La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 02/05/20
Le 2 décembre 1814, au soir, Sade expirait. De son vivant pourchassé, maudit, persécuté, engeôlé durant près de trois décennies, le marquis et son œuvre furent-ils mieux traités depuis deux siècles? Censuré, psychanalysé, biographié, disséqué, théâtralisé, pléiadisé, le voilà désormais produit-dérivé. Un descendant, mercantile, peu scrupuleux de la postérité de la création littéraire de son aïeul, écoule un brandy "Divin marquis". L’époque est à la vulgarité; l’obscénité tient sa part. Quant à lire Sade, c’est suranné, trop long, fastidieux. Et cette manie aussi de tout mélanger, sexe et pensée, au prétexte de littérature. Jean-Jacques Pauvert fut le premier à oser publier Sade sous son nom d’éditeur. Grâce lui soit rendue. Balançant entre le clair et l'obscur, désormais, il faut faire avec l'écrivain. Il a maintes fois été écrit que Sade, poussant la fureur à son point d’incandescence, déchiquetant les corps à coups de plume, au risque d’effacer les âmes, prophétisait l’Holocauste. Ce que Dante a décrit dans son terrible poème, l’auteur des 120 Journées de Sodome savait que l’homme le réaliserait. Sade a pensé et a commis les plus atroces supplices que l’esprit puisse engendrer. Il s’est livré à l’autopsie du mal. Sans doute est-il vain de spéculer pour déterminer si Sade voulait prévenir du malheur ou l’appelait de ses vœux. Il faut avoir le cynisme de Céline pour prétendre, a posteriori, qu’il ne voulait, dans "Bagatelles pour un massacre" (1937), "qu’éviter aux hommes les horreurs de la guerre." Qu’importe les intentions de Sade. Annie Le Brun, exploratrice de l’homme et de son œuvre a établi le constat: "La pensée de Sade a son origine dans l’énergie des pulsions". Les objections sont connues: "fumisterie anachronique", "délire d’interprétation." Sade a poussé le libertinage aux extrêmes de la légalité en commettant d'odieux actes sur mineurs naïfs ou "achetés." Prétendre le contraire serait une contre-vérité historique. Mais fallait-il pour cela censurer son œuvre ? De Louis XV à Napoléon, il fut incarcéré sous tous les régimes. Le blasphémateur, le dépravé, le révolutionnaire, le politique, toutes les figures qu’il incarna furent opprimées. Dans ses écrits, Sade n’a cessé de revendiquer avec passion la primauté de la Raison, au sens du XVIII ème siècle. L’athée, auteur du "Dialogue entre un prêtre et un moribond" taille la religion en pièces, appelle à la sédition anticléricale. Robespierre voudra le lui faire payer de sa vie avant, tout juste, de perdre lui-même la tête. Sade, libérateur, dans ses discours en damnés devant la section des Piques, la plus virulente de la Révolution, réclame l’abolition de la monarchie. Il le répète, encore, dans le fameux appel public, "Français, encore un effort si vous voulez être républicains", de même qu’il y prône la liberté des mœurs et la dissolution de la famille comme institution. Trop vite, certains réduisent le programme au discours d’un anarchiste. Rien n’est plus faux. Sade milite pour le bien commun, au sein d’une société respectueuse de chacun éclose dans un État digne. Tôt, il embrasse et théorise ce projet politique. Novembre 1783, emprisonné au donjon de Vincennes, Sade écrit à son épouse Renée Pélagie: "Ce ne sont pas les opinions ou les vices des particuliers qui nuisent à l’État; ce sont les mœurs de l’homme public qui seules influent sur l’administration générale. Qu’un particulier croie en Dieu ou qu’il n’y croie pas, qu’il honore et vénère un putaine ou qu’il lui donne cent coups de pied dans le ventre, l’une ou l’autre de ces conduites ne maintiendra ni n’ébranlera la constitution d’un État." La corruption des puissants, voilà l’ennemie: "Que le roi corrige les vices du gouvernement, qu’il en réforme les abus, qu’il fasse pendre les ministres qui le trompent ou qui le volent, avant que de réprimer les opinions ou les goûts de ses sujets!". Et Sade met en garde, à défaut, ces sont "les indignités de ceux qui approchent le Roi qui le culbuteront tôt ou tard." Faut- il, là encore, attendre passivement que la prophétie sadienne se réalise? Elle semble en passe de l’être. de Sade. La réduire à une lettre "dégoutante" est une erreur. L’ignorer est une faute. Il n’est pas trop tard. Dès 1909, le poète, qui avait bien lu, nous livrait le message d’espoir, évoquant deux emblématiques personnages sadiens: "Justine, c'est l’ancienne femme, asservie, misérable et moins qu’humaine; Juliette, au contraire, représente la femme nouvelle que Sade entrevoyait, un être dont on n’a pas encore idée, qui se dégage de l’humanité, qui aura des ailes et qui renouvellera l’univers." Sade a rédigé son œuvre à un rythme impressionnant, écrivant cinq à six pages par jour, comme le suggèrent les dates de début et de fin de rédaction de ses textes présentes en marge. De nombreuses ratures, des passages entièrement repris, des ajouts en interligne montrent un travail de réécriture constant du texte. Dans le dernier cahier, après trois années de travail, il rédigea le "catalogue" de ses œuvres. Si les plus subversives, à commencer par le manuscrit clandestin des 120 Journées n’y apparaissent pas, il recense tout de même, au feuillet 451, pas moins de cinquante nouvelles, écrites sur vingt portefeuilles cartonnés. Relâché le 2 avril 1790, Sade emporta avec lui ses papiers de prison, mais il oublia ou perdit deux de ses portefeuilles dans son déménagement. Il n’hésita pas à écrire au lieutenant général de police pour se plaindre de cette perte. Sade pensait probablement déjà à faire publier ces œuvres, et il envisagea différents titres: "Contes et fabliaux du XVIII ème siècle par un troubadour provençal" puis "Portefeuille d’un homme de goût." En juillet ou août 1800, plusieurs de ces récits rédigés par Sade en prison, ainsi que quelques nouvelles compositions, parurent finalement en quatre volumes sous le titre des" Crimes de l’amour", chez l’imprimeur-libraire Massé. Entre sa publication et son entrée dans les collections patrimoniales de la Bibliothèque nationale, le destin de ce manuscrit demeure mystérieux. Fut-il, comme ses autres papiers, confisqué par la police au moment de son arrestation, en 1801 ? Est-il passé entre les mains d’un admirateur lettré qui aurait pu désirer s’approprier ou collectionner les papiers du marquis ? La date de son arrivée au département des Manuscrits reste énigmatique. Son identité demeure inconnue. De nombreux textes ont été, à un moment ou à un autre, saisis par la police, et ont échappé de peu à la destruction, sous le Consulat, la Restauration et la monarchie de Juillet. La Police obéissait scrupuleusement aux ordres politiques. Louis Philippe ordonna la destruction du manuscrit du "Délassement du libertin". Le fils du marquis de Sade, Armand (1769-1847), ayant appris l’acquisition faite par la bibliothèque, avait tenté d’atteindre le roi Louis-Philippe. La demande, ou supplique, adressée au très puritain roi des Français devait certainement invoquer des notions d’honneur et de morale, le fils du marquis étant prêt à tout pour faire détruire les écrits de son père et tenter d’échapper à la mauvaise réputation paternelle. Protège-moi de ma famille, mes ennemis, je m'en charge. La décision radicale de brûler cette œuvre, qui avait été prise par le roi lui-même, devait finaliser tout un processus de censure de l’œuvre de Sade, le manuscrit ayant déjà été acheté dans le but avoué de le soustraire aux regards. C’est à Champollion-Figeac que l’on doit le sauvetage in extremis des "Crimes de l'Amour." Le dernier cahier des Journées de Florbelle, dérobé en 1825, échappa ainsi au triste sort que connut le reste du manuscrit, lui aussi détruit à la demande d’Armand de Sade, et qui faillit, comme le raconte plaisamment Jean Tulard, mettre le feu à la préfecture de police lors de son autodafé. Les cahiers des "Délassements du libertin" et des "Crimes de l’amour" furent peut-être eux aussi volés à ce moment, comme, les cahiers manuscrits de "Juliette." D'abord réservé à quelques amateurs proches du préfet de police, puis réputé détruit durant près d’un siècle, le cahier des Journées de Florbelle resta caché jusqu’à la fin du XIX ème siècle. Les membres du gouvernement, qu’il s’agisse de Fouché, voire de Bonaparte, étaient donc parfaitement informés des agissements de Sade, connu comme délinquant littéraire depuis des années. La police savait qu’il venait tout juste de finir l’impression de Juliette, et qu’il travaillait déjà à une nouvelle version de Justine. Le jour de son arrestation, Sade espéra sans doute, en se faisant passer pour un copiste travaillant à recopier les récits des autres, calmer le zèle de la police, voire peut-être éviter la saisie de ses papiers. C’était sans compter sur l’imprimeur-libraire Massé, qui révéla à la police l’emplacement où avaient été dissimulés les volumes fraîchement imprimés de Juliette en échange de la liberté. Aujourd’hui encore, les éditions complètes des dix volumes de "l'Histoire de Justine", de "l’Histoire de Juliette", avec leurs cent gravures, sont excessivement rares. S’il ne consulta sans doute pas le manuscrit confisqué, Napoléon eut probablement un exemplaire imprimé entre les mains. À Sainte-Hélène, il raconta en effet avoir un jour parcouru "le livre le plus abominable qu’ait enfanté l’imagination la plus dépravée", sans pouvoir pour autant se souvenir du nom de son auteur. ?Il finit par entrer dans la collection Rothschild, et fut relié dans un recueil d’échantillons d’écriture et d’autographes des plus grands écrivains du XVIII ème siècle: entre Rousseau, Voltaire et Choderlos de Laclos, Sade a finalement trouvé sa place parmi les auteurs de son temps, avant de rejoindre les collections de la BNF, en 1933. Écrivain libertin talentueux, ou fieffé scélérat débauché, Sade brille, dans sa tentative désespérée, de mettre à bas, en tant qu'esprit libre et vagabond, un ordre social et religieux, en déclin à la fin du XVIII ème siècle. Son œuvre, inspirée d'une conscience matérialiste de l'infini, déshumanisant les corps, explore les abîmes sombres de l'âme. Il demeure un grand auteur, capable de nouveauté et d’audace, plaçant la littérature à la hauteur de son exigence. Bibliographie et références: - Henri d’Alméras, " Le marquis de Sade, l'homme et l'écrivain." - Donatien-Alphonse-François de Sade, "L’Œuvre du marquis de Sade." - Emmanuel de Las Cases, "Mémorial de Sainte-Hélène." - Annie Le Brun, "Les Châteaux de la subversion, suivi de Soudain un bloc d'abîme." - Annie Le Brun, "Sade: "Attaquer le soleil." - Annie Le Brun, "Préface à Jean-Louis Debauve, D.A.F. de Sade, lettres inédites et documents." - Annie Le Brun, "Sade, aller et détours" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/05/20
L’ér?s entre femmes était-il différent de l’ér?s entre hommes en Grèce antique ? Hors de la nécessité de domination typique des sociétés patriarcales, les femmes grecques auraient connu des rapports érotiques où la réciprocité était absolue et l’affection véritable. Alcman, poète spartiate du VII siècle, composait des poèmes destinés à des chœurs de jeunes filles. Celles-ci chantaient leur admiration et leur élan érotique pour plusieurs figures féminines. L’élan érotique se formulait selon une situation exactement inverse à ce que l’on trouve dans les poèmes érotiques dits pédérastiques. La personne qui occupait une position supérieure était représentée comme l’objet du désir de celles qui lui étaient inférieures. Au yeux des hommes, la jeune fille était toujours objet du désir. Le cas des poèmes de Sappho est différent, car certains d’entre eux supposaient un auditoire complétement féminin. L’existence d’une asymétrie dans l’ér?s est essentielle pour comprendre les strophes où Sappho n’est pas protagoniste du rapport érotique, mais simplement assiste à un lien entre deux femmes. Il est essentiel d’utiliser ici le terme de "femmes", car l’idée que les amies, les "phílai" de Sappho étaient toutes des jeunes filles est un préjugé contemporain ou une surinterprétation littéraire. L’interprétation qui va dans le sens d’une réciprocité totale n’implique cependant pas la symétrie: la philót?s est un type de relation qui suppose une réciprocité souvent asymétrique. Si un paîs masculin ou féminin peut non seulement recevoir les dons de l’amant mais aussi donner sa cháris, si un paîs peut chercher son amant et le désirer, un rapprochement entre la philót?s érotique et le rapport de compagnonnage, l’hetaireía, pourrait être significatif: l’hetaireía, en effet, n’est rien d’autre qu’une déclinaison de la relation de philót?s. L'hétaïre étant une compagne ayant reçu une éducation supérieure. Or, un des rapports considéré comme paradigmatique du compagnonnage guerrier, celui entre Achille et Patrocle, montre que la réciprocité entre les deux partenaires ne se base pas sur une égalité d’âge ou de statut social: Patrocle, qui est le serviteur d’Achille et a même peur de lui, est plus âgé qu’Achille, mais inférieur en ce qui concerne la force. La condition de supériorité, pourtant, n’empêche pas Achille de faire cesser sa colère pour venger la mort de son compagnon Patrocle, lui qui émet le souhait d’un tombeau commun avec son phílos hetaîros. Les Grecs anciens ne se définissaient pas personnellement en fonction d’une sexualité, le sexe de la personne désirée n'était pas un critère pour définir et catégoriser un individu. Ils n’ont jamais considéré que pouvaient être regroupées dans une même catégorie d’individus des personnes, hommes et femmes, de tous statuts (citoyens, étrangers, esclaves), de toutes origines et de tous milieux sur le simple critère qu’ils étaient attirés par des personnes de l’autre sexe, ou sur le critère d’une attirance pour des personnes du même sexe. L’étude des textes montre clairement que la première distinction perçue par les Anciens n’est pas celle du sexe mais celle qui oppose les individus libres à ceux qui ne le sont pas, ceux qui disposent de leur corps et ceux dont le corps appartient à un maître, à savoir une très importante proportion de la population, la population servile. De façon générale, quand les Grecs évoquaient les "ándres" ou "gynaîkes", ils désignaienr uniquement la population citoyenne, ou au mieux les individus libres (citoyens, affranchis, métèques, étrangers): de ce fait, ces termes n’ont pas le même sens qu’ont, aujourd’hui, les mots, hommes et femmes. l’hétérosexualité et l’homosexualité, en tant que telles, n’existaient pas dans l’Antiquité. En Grèce ancienne, le caractère désirable d’un corps n’était pas lié à son sexe mais à son statut. Solon, poète et législateur athénien du vie siècle, apporte des indications sur les perceptions grecques des âges de la vie d’un homme libre. Malgré la subdivision arbitraire de la vie humaine en périodes de sept ans, on y peut distinguer cinq moments: l’enfance, quand le paîs n’est pas pubère; l’adolescence, caractérisée par une condition éphémère, car la "fleur" de la peau change et les joues se couvrent de poils; la jeunesse adulte, quand l’homme de vingt et un ans devient néos et n’est plus n??pios, car il est au sommet de sa force et vertu; la maturité, quand l’homme est formé, qu’il se marie autour des trente ans et qu’il a acquis la prudence; enfin, la vieillesse, quand la personne a perdu sa force, mais se trouve au sommet de la sagesse. Cette subdivision ne s’adapte pas aux femmes: chez elles, en effet, on trouve l’enfance; la nubilité (parthenía), qui dure plus ou moins quatre ans et qui est caractérisée par le désir érotique que la jeune fille suscite; la condition, très brève de jeune épouse (nýmph?), qui n’a pas encore enfanté; celle de femme adulte (gyn??), qui est désormais devenu mère; la vieillesse, quand la femme a perdu la possibilité d’enfanter. La future épouse, ainsi, est donnée en mariage par son père ou son tuteur, parfois promise très tôt et avant même que la cérémonie du mariage (le gámos) ne soit célébrée. Enfin, les jeunes filles pouvaient être mariées avant d’avoir leurs premières menstruations. Une question se pose alors: cette asymétrie dans l’âge du mariage fait-elle des hommes mariés des individus aux penchants pédophiles ? Tout le monde percevra l’anachronisme de cette question. Pourtant son équivalent pour les relations sexuelles entre hommes a souvent circulé, preuve que les regards vers le passé sont toujours informés de codes moraux du présent. L’âge du jeune homme n’est pas un critère qui le constituerait comme un partenaire sexuel interdit, car vulnérable; au contraire, sa jeunesse en fait un partenaire privilégié. Le consentement du paîs à la relation est recevable et son amant n’est de ce fait pas un violeur ni un pervers mû par des désirs inavouables. Si, par ailleurs, cette personne joue un rôle dans la formation du jeune homme et s’il est de noble famille, et de bonne réputation, la relation n’en est que plus valorisée. Ainsi, dans le Banquet de Xénophon, le riche Callias, amoureux du jeune Autolycos, invite son aimé et son père à la soirée qu’il organise dans sa maison du Pirée, qui accepte bien volontiers. Nous voilà loin des cadres contemporains de la sexualité surveillée des mineurs. Dans les représentations des historiens, les femmes incarnent aussi le sexe faible par excellence. Faibles parce que sans aucune force physique: Cyrus promet de rendre le fleuve Gyndès si faible que même les femmes pourraient le traverser aisément sans se mouiller les genoux (Hérodote). Le féminin est aussi associé dans les représentations historiographiques à des caractéristiques physiques précises: peau claire, épilation, vêtements, bijoux, maquillage. La lubricité et la recherche excessive des plaisirs du corps ne conviennent donc pas à l'homme viril, l'historiographie comme l'ensemble de la littérature grecque montrent bien que ces vices sont bel et bien féminins. Selon la tradition misogyne grecque, remontant à J'époque archaïque et représentée notamment par les poètes Hésiode et Sémonide d' Amorgos, la femme est un être insatiable, un "ventre creux", constamment affamé de nourriture et de sexe. C'est pourquoi, d'une part, avoiIr une femme à la maIson, c'est cohabiter avec Faim ou Famine. Ces femmes soumises à une libido démesurée se retrouvent de même dans la comédie ancienne, qui regorge de ces représentations de femmes lubriques et ivrognes. Celles qui par exemple, chez Aristophane, planifient de faire la grève du sexe pour rétablir la paix dans la cité, ont peine à s'imaginer devoir vivre en se "privant de verges." La liste des malheurs subis par les femmes, quel que soit l'historien et quelle que soit l'époque, met en lumière la position objectivée de toutes ces femmes face aux entreprises des hommes, quel que soit leur niveau social. Le féminin considéré comme genre ou symbole évoque, en accord avec la vulgate littéraire, mythique ou philosophique, l'idée de lâcheté, de faiblesse, de démesure ou de violence incontrôlée. Enfin, si les vices associés au féminin semblent permanents d'un historien à l'autre, il en va de même pour les vertus dites féminines. Les historiens attribuent tous aux femmes des qualités qui leur sont propres. Mais cet idéal fait de modestie, de dévouement et de soumission impliquait que les femmes ne sortent pas de la sphère d'activité qui leur est dédiée, de l'univers domestique et familial. La femme était considérée vertueuse si elle possèdait ces qualités et si elle se conformait au rôle qui lui était attribuée. Bibliographie et références: - Callimaque, "Hymnes" - Déméter, "Les Hymnes homériques" - Foucault M, "L’invention de l’hétérosexualité" - Hérodote, "Histoire" - Hésiode, "La Théogonie" - Homère, "Odyssée" - Homère, "L’Iliade" - Pausanias, "Description de la Grèce" - P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque" - Platon, "République" - Platon, "Le Banquet" - Plutarque, "Vie de Sappho" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 02/05/20
À quatre pattes, Baptiste un peu inquiet, voit la porte s’ouvrir devant lui. Maitresse Julie , dans sa tenue de petite diablesse rouge qui met en valeur ses longues jambes , approche avec un petit sourire narquois aux lèvres. Ses talons compensés claquent sur le parquet de chêne ancien. Elle lui caresse la tête et s’empare de la poignée de la laisse que Marc lui présente avec déférence. Sans un regard pour la soubrette elle s’adresse à son soumis : « Nous sommes chez Madame Méphista et Monsieur Trépuissant. Tu vas venir leur rendre tes hommages. Marche fièrement et cambre toi bien, que tout le monde voit bien que tes parties sont bien retenues dans le cuir et que tu as un bel arrière-train .» Tout en écoutant sa domina, Baptiste sent la main libre de celle-ci se glisser à l’arrière et vérifier les sangles qui compriment son sexe d’une manière inconfortable. La culotte en dentelle rouge l’irrite et les sangles le compriment. Mais il relève la tête et tend fièrement son dos et ses fesses vers le haut. Julie le fait se diriger vers le côté droit du salon. Il aperçoit un homme en costume sombre allongé nonchalamment sur une superbe méridienne en velours bordeaux , devant lui Madame, une badine entre les doigts, est assise sur un tabouret de cuir ébène . En s’approchant Baptiste se rend compte de son erreur, ce qu’il a pris pour un tabouret est en fait une magnifique jeune femme métisse à quatre pattes, la tête baissée, qui sert de siège à sa domina. À la même hauteur qu’elle, il aperçoit un objet brillant qui lui écarte les fesses ainsi que des menottes reliées par des chaînes aux poignets et aux chevilles. Ses seins sont comprimés par plusieurs rangs d’une corde soigneusement tendue et de petits anneaux brillent au bout de ses tétons. Dans sa bouche une boule brillante maintenue par une lanière de cuir l’empêche de la refermer. De la bave coule au sol et forme une flaque à la verticale . Baptiste comprend que la boule l’empêche de déglutir et il se souvient en avoir porté une aussi. Vue sur cette jeune femme l’effet est saisissant. La salive fait luire la peau noire de son menton. Les yeux baissés la soumise glisse un regard en coin vers Baptiste. La laisse qui tire sur son collier et une claque sur les fesses interrompent ses observations. Il entend Maitresse Julie demander à ses amis d’être indulgent, c’est la première fois qu’il voit une femme-meuble. L’homme glisse son pied sous la laisse et relève le menton de Baptiste avec un petit sourire moqueur. « C’est bien parce que c’est vous chère Julie. » Puis il s’empare de la laisse tout au bord du collier et tire un coup sec « Regarde moi bien jeune soumis car ce sera la seule et unique fois où tu en auras le droit ! » Baptiste déséquilibré lève les yeux vers l’homme qui s’est redressé : de type méditerranéen, celui-ci est très brun de peau, bien rasé de près à l’exception d'une fine moustache qui met en valeur sa bouche sévère et souligne son nez grec , ses yeux très bleus ressortent derrière des lunettes à la fine monture dorée et rectangulaire . Il appuie sur la tête du jeune soumis jusqu’à ce que sa bouche se heurte à la fermeture éclair du pantalon du costume bleu nuit dont il est vêtu. La pression est très forte et Baptiste sent sa bouche s’ouvrir sous la douleur, honteux il sent de la bave couler sur l’entrejambe du dominant. Une rude main virile attrape ses cheveux et tire vivement sa tête vers le haut. Surpris Baptiste laisse échapper un gémissement vite interrompu par la claque que sa maîtresse lui assène sur la fesse droite. « Veuillez me pardonner cher ami, il a encore du mal à maitriser sa gueule de chien ! Je m’efforce de le dresser mais c’est seulement notre deuxième journée. Le bâillon va lui apprendre, du moins j’espère.. --- Oui je comprends, ne vous inquiétez pas jeune Dame, nous sommes là pour vous aider par notre expérience. --- Merci beaucoup, votre magnanimité vous honore », répond Julie d’une voix toute timide. Puis il voit Madame Méphista ouvrir délicatement la braguette de Monsieur, sortir le membre viril déjà légèrement dressé , et il sent sa tête poussée vers le sexe de cet inconnu. Un ordre claque :« Lèche chien ! Ou il t’en cuira ! Ici tu n’es qu’un animal à notre disposition ! Tu me dois obéissance ! » Et comme malgré lui, Baptiste sort sa langue et donne de petits coups timides sur le gland décalotté qui lui est présenté. Les trois dominants échangent un regard complice et un léger clin d’œil de Trépuissant à Julie la rassure sur son intégration à ce petit groupe bdsm dirigé par le couple propriétaire de cette demeure bourgeoise aménagée pour recevoir ces visiteurs si particuliers. Baptiste sent le sexe frémir sous la caresse buccale et en ressent curieusement une certaine fierté. Il a passé l’épreuve et semble bien être le soumis de Maîtresse Julie à partir de cet instant. Une vague de soulagement le traverse et sa bouche se tend pour saisir le gland de Trépuissant. Il entend rire Julie , les deux autres se joignent à elle « Beau p’tit soumis ça ! Bon chien ! Bon, Fini de jouer ! » Un coup de badine sec et puissant sur son dos, un coup vers l’arrière à hauteur du front et ses cheveux tirés en arrière par sa domina lui rappelle que son corps ne lui appartient plus. Un claquement de doigts lui enjoint de poser sa tête sur les pieds de l’homme assis pendant que celui-ci se réajuste, ses bras se plient et ses mains vont tout naturellement se nouer sur sa nuque. Il abaisse sa croupe et se replie du mieux possible dans une belle position de soumission totale. Il sent plus qu’il ne voit l’homme déplier ses longues jambes et se lever. Méphista dont les mains torturent impatiemment la badine se lève et se dirige vers la grande table rectangulaire en chêne massif et ses deux bancs. La jeune soumise ne bouge pas, sa salive continue à couler le long de son menton et la flaque entre ses bras tendus s’étale lentement . Julie joue machinalement avec la laisse que Trépuissant lui a rendue. Elle observe la femme-meuble et un petit sourire étire sa bouche à l’idée d’imposer cela à Baptiste bientôt. Des idées surgissent dans son esprit et un franc sourire éclaire son visage. « Julie, vous semblez rêveuse ? Des idées neuves ? -Oh oui chers amis, mais ce sera pour plus tard. Trépuissant claque des doigts et la jeune soumise s’étire lentement. Son Maître caresse ses cheveux presque crépus, et la fait se lever à genoux. P’tit soumis ne bouge pas, les yeux rivés au sol , seules ses oreilles lui donnent quelques informations sur ce qui se passe autour de lui. Toujours bâillonnée, les yeux baissés, la jeune Bianca ne bouge pas à l’exception de ses mains qui vont rapidement et sans ordre donné se nouer derrière sa nuque. Le Maître caresse distraitement la tête de sa soumise tout en prenant Julie par la taille. Baptiste ne bouge pas et malgré l’inconfort de sa joue sur les lacets du dominant il attend patiemment comme Maitresse Julie lui a expliqué dans la voiture. Puis il sent que l’on tire sur sa laisse, sa tête se redresse, ses membres se déplient et il se retrouve à quatre pattes, le dos bien cambré, le sexe coincé. De petits courants de douleur traversent son corps, mais il en ressent un plaisir sombre. Cette position humble le comble. Jamais ces collègues ne l’imagineraient dans cette tenue, ni dans cette position animale. Et surtout comment comprendraient-ils le plaisir qu’il ressent à ne plus penser, ne plus décider, juste obéir à cette si belle versaillaise ou à ses amis, lui, celui qui paraît si sûr de tout , lui dont l’expression est toujours si péremptoire, lui qui a toujours réponse à tout ? Mais voilà, c’est ce cerveau si dynamique qui le fatigue, ces décisions toujours à prendre qui l’épuisent, ces responsabilités qui le rongent. Il envie souvent ses subalternes qui le jalousent de sa mutation récente et qui vivent sans ces questions incessantes qui tournent dans sa tête depuis toujours. Il n’y a que depuis qu’il a découvert ces jeux de soumission avec son ancienne compagne qu’il arrive à se sentir mieux. Un coup sec de sa laisse le ramène à l’instant présent. Il suit le mouvement initié par sa domina et se retrouve au pied de la table en chêne. Ses poignets sont tirés brutalement par Madame Méphista qui est accroupie face à lui et, bien qu’il ait les yeux baissés, il ne peut s’empêcher d’apercevoir sa fente largement écartée par sa position. En effet sous la courte jupe en cuir, l’absence de sous-vêtement révèle au p’tit soumis toute l’intimité de la domina. Sa position légèrement déséquilibrée fait se mouvoir de haut en bas une charmante minette bien épilée. Une érection brutale à cette vue se bloque dans les nœuds de cuir que Marc a soigneusement serrés tout à l’heure et Baptiste a du mal à retenir un petit gémissement. Heureusement celui-ci est couvert par les bruits de la chaine et de la barre d’écartement que manipule Julie qui s’est baissée. Les yeux du soumis s’écarquillent à cette vue. Maitresse Julie se penche encore un peu et lui murmure à l’oreille : « c’est seulement pour tenir tes bras bien écartés et pour empêcher tes mains de venir te branler. Cela ne te fera pas mal, en principe », ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Et pendant que la barre est glissée sur ses épaules et que ses poignets sont attachés à des anneaux, Méphista tire sur ses chevilles pour les attacher aux pieds de la table. Baptiste ainsi immobilisé ne peut plus guère bouger. La jeune soumise est de nouveau à quatre pattes. Baptiste voit bien son sexe épilé entre ses cuisses écartées et son membre tente encore une fois de se redresser dans sa prison de cuir. La petite soumise recule vers lui, et bien qu’il baisse les yeux, il ne rate aucun des roulements de ses grandes lèvres sombres. Il sent qu’il se met à baver mais il ne déglutit pas. Marc lui a bien expliqué que cela lui est interdit : un chien ça bave ! Il ne doit surtout pas avaler sa salive ni fermer sa bouche, ni rentrer sa langue : les chiens ont toujours la langue pendante. Il est un chien et doit se comporte comme tel ! Sinon ses fesse lui en cuiront ! Les maitres ont la badine facile, et pour preuve Marc a retroussé son tablier de soubrette pour exhiber les cicatrices sur ses propres fesses. Et même si l’accord entre Julie et Baptiste interdit les cicatrices, quelques marques provisoires sont acceptables. Baptiste vit seul et ne craint pas les regards indiscrets mais il ne tient pas à marquer son corps. Il l’entretient régulièrement à la salle de sport et en est fier. Julie approche alors sa main gauche de ses parties intimes, elle l’ouvre et des pinces à linge de bois apparaissent bien à plat sur ses doigts tendus. Baptiste sent son cœur accélérer de plaisir anticipé : son amie Marie lui en faisait mettre régulièrement. Le pincement au moment de la pose est désagréable, mais ce n’est rien par rapport au courant de plaisir douloureux qui le parcourt quand on les ôte ! Julie saisit une pince entre son pouce et son index droit, elle la fait s’ouvrir et vient la frotter sur la langue baveuse de son soumis. Puis elle la fait claquer et l’approche de son testicule droit dont elle saisit de la peau. Elle installe la pince et sourit de la grimace de son soumis. Elle prend une deuxième pince et recommence son manège mais cette fois elle l’installe sur le testicule gauche. Elle recommence plusieurs fois jusqu’à être satisfaite du résultat : quatre pinces de chaque côté qui forment un arc de cercle du plus bel effet. Puis en s’appuyant sur la tête de Baptiste elle se relève et la lui caresse doucement. Il se sent heureux du sourire satisfait qu’elle lui a accordé à chaque pince posée. Entretemps le dom s’est approché, il ouvre sa braguette et après avoir demandé à Julie l’autorisation, il force la bouche de Baptiste jusqu’au fond. Le pauvre soumis a un haut le cœur de surprise. Sa salive abondante coule en un jet au sol. Trépuissant maintient fermement sa nuque et il ne peut bouger. « Première gorge profonde on dirait chère Julia. Ce n’est pas toi qui peut faire cela ! » Julia rougit et Baptiste prend de nouveau conscience de la hiérarchie de ce petit groupe. Il ne connait pas la relation réelle entre les protagonistes mais il est clair que l’homme est un pur dominant qui a l’ascendant sur les deux femmes présentes. Madame Méphista s’est installée devant sa soumise et lui tire la tête en arrière. Le dos cambré, la bouche baveuse toujours obstruée par la boule brillante, la belle brune échange un long regard avec sa domina. Puis elle sent les mains de Julie ôter le bâillon mais sa bouche reste ouverte, et avec un curieux petit bruit Madame Méphista laisse couler un filet de salive dans sa bouche déjà bien pleine. La bave coule et d’un coup sec sous le menton la domina referme cette bouche béante. Heureusement ce n’est pas la première fois qu’elle se livre à ce petit jeu et Bianca sait quelle doit rentrer sa langue pour ne pas se mordre. Quelques morsures malencontreuses le lui ont appris et elle sait anticiper. L’ordre sec suit «Avale chiennasse ! ». Baptiste sursaute en entendant cette insulte et bien qu’elle ne soit pas à lui adressée, il rougit de honte par empathie. Alors Maitresse Julie se place devant lui et il pressent qu’il va avoir droit à un traitement identique. Effectivement Julie le regarde et laisse couler un filet de salive de sa bouche vers celle de Baptiste. Et pour être certaine que son but soit atteint elle maintient ouverte la mâchoire de Baptiste de sa petite main si forte. Puis elle lui referme la bouche et murmure « Avale petit chien ! »Il s’empresse d’obéir avec un certain dégoût qu’il n’arrive pas complètement à dissimuler aux yeux inquisiteurs de sa domina. Un regard sévère le scrute longuement et il commence à rougir de honte. -
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Par : le 01/05/20
C’était le grand jour. Sarah et Cléo avaient revêtu leurs tenues les plus innocentes pour affronter Paris, il faut de la ruse pour survivre dans une grande ville. Robes de printemps, légères comme des pétales mais assez cintrées pour joliment rebondir sur leurs croupes, seins libres, sandales blanches et pieds nus, elles étaient ravissantes. Suite à une remarque de ma part, Sarah avait tout de même enfilé une culotte de coton, mais elle avait interdit à Cléo d’en mettre une. Elle tenait à sa prééminence. L’excitation du jeune couple au moment de se lancer à l’assaut des boutiques parisiennes était à la fois charmante et inquiétante eu égard à mes ressources… Je proposai la voiture, elles exigèrent les transports en commun. Elles ne se lâchaient pas la main et riaient aux éclats de plaisanteries qui n’appartenaient qu’à elles. Je me sentis dans la peau d’un garde du corps et chaque paire d’yeux trop insistante sur leurs poitrines ou leurs jambes était instantanément découragée. Mon anxiété s’accrut quand il s’agit de se mêler à la foule compacte du métro. Mais, sans plus de difficulté, nous fîmes retentir quelques dizaines de minutes plus tard le grelot d’une boutique de piercing du XIème arrondissement à l’heure précise du rendez-vous. L’établissement était clair et propre comme une clinique. Un jeune femme aux bras tatoués nous accueillit et dirigea Sarah vers une cabine où elle put se dévêtir. J’insistai pour assister à l’opération, Cléo me fit écho. L’employée consulta Sarah avant d'accepter de nous faire entrer, en nous recommandant de nous tenir un peu à distance. Le pierceur était un costaud taciturne et assez peu souriant. Il fit allonger Sarah sur la table et lui demanda sans plus de politesses d’écarter les cuisses afin d’examiner l’anneau qu’il devait découper. Il lui fallut plusieurs minutes pour venir à bout du métal à l’aide d’une simple pince coupante mais une fois l’opération faite, ce fut soulagement pour tous. Pour Sarah, en premier, dont le corps enfin se détendit. En dépit de la lumière clinique que dispensait la grosse lampe au-dessus du fauteuil, c'était le plus voluptueux des corps, le plus harmonieusement dessiné et le plus désirable. Cléo et moi, sans doute pénétrés par la même idée, échangeâmes un sourire de complicité, non dépourvu d'ambiguïtés. Le pierceur dut ensuite poser le nouvel anneau, le mien, celui qui portait gravées mes initiales. Il était beaucoup plus large et épais que le précédent et je le voulais le faire poser autrement, au travers des grandes lèvres. Il m’importait qu’on le voie, que Sarah ait les cuisses ouvertes ou fermées. Le pierceur ausculta Sarah puis lui demanda si l’anneau est bien celui qui avait été commandé. Sarah ayant confirmé, il l’avertit qu’il devrait forcer un peu le passage au travers des grandes lèvres compte tenu de l’épaisseur de l’anneau. Sarah acquiesça avec une petite grimace. L’homme procéda avec dextérité après avoir largement enduit l’anneau et les lèvres intimes de vaseline. Pour terminer, il souda à froid au moyen d’une résine dont la couleur ne se distinguait pas de celle de l’acier chirurgical. Lorsque le perceur eut épandu tout le désinfectant nécessaire et répété les consignes d’hygiène indispensables, Sarah se leva et vint à moi, plus digne et fière dans sa nudité qu’une princesse en robe d’apparat. Son anneau luisait fièrement à la jonction de ses cuisses et de son bas-ventre. Elle prit ma main et la baisa en effectuant une gracieuse génuflexion. Lui saisissant délicatement le menton, je la relevai pour lui offrir mes lèvres et nous échangeâmes enfin notre premier baiser, un baiser qui comblait le temps perdu, effaçait les incompréhensions et scellait sa soumission. Au sortir de l’officine, le boulevard s’offrit avec son tintamarre et son inlassable cohue. Tandis que les deux amies se fondaient parmi les passants et qu’à regret je voyais disparaître le gracieux ballet de leurs robes sur leurs fesses rebondies, me revint cette phrase de Victor Hugo : « Dieu les a fait belles, cela ne leur suffit pas, elles se font jolies. » Nous nous retrouverions dans l’après-midi pour nous promener au Père-Lachaise avant de dîner dans une brasserie du quartier. Il me fallait maintenant effectuer mes propres emplettes pour avoir un peu de temps à consacrer aux bouquinistes. Il existait alors une excellente boutique spécialisée, au fond d’une impasse, en remontant la colline de Ménilmontant. J’y fis un très long séjour, hésitant entre les fouets, les plugs, les harnais, les pinces et autres godemichés. Bien évidemment, j’excédai largement mon budget. Du magasin je gagnai la rue des Pyrénées où un bouquiniste m’offrit l’occasion de perdre mon temps dans son labyrinthe de papier et d’encre, avant de m’installer dans la première brasserie venue avec l’espoir d’y retrouver un peu de sérénité. L’image de Sarah nue, son anneau au sexe, s’approchant lentement de moi en me fixant dans les yeux, ne m’avait pas abandonné une seule seconde. Depuis mon passage dans le sex-shop, une sorte de fébrilité me brouillait l'esprit. Par tempérament, toute situation heureuse me faisait habituellement appréhender un désastre ultérieur. Le bonheur me stressait, en quelque sorte. Ma nouvelle vie, née une nuit de partie de poker, ne pouvait, pour un esprit aussi fataliste que le mien, que s’achever par une déception proportionnelle au bonheur qu’elle m’accordait provisoirement. Il était déjà 16 heures lorsque je vis se profiler au travers de la vitrine de la brasserie les deux silhouettes espérées. Joyeuses et un peu essoufflées, elles s’installèrent à ma table et commandèrent deux verres de vin blanc. La conversation partit un peu dans tous les sens, comme doit être une conversation agréable entre des personnes qui ne se sont pas vues depuis trois heures. Se penchant sur la table, Sarah me glissa dans son poing fermé une boule de tissu.. - Tenez, Monsieur, je n’ai pu la garder sur moi… elle frottait contre ce que vous m’avez fait le bonheur de me poser… Cléo conclut d’un clin d’oeil. Tout en fourrant la culotte dans ma poche et plus discrètement possible et en m’apercevant, d’ailleurs, qu’elle était en partie humide, je réglai l’addition et proposai de ne pas attendre que le cimetière ferme. De tout Paris, c’est certainement le Père-Lachaise que je privilégie. En cette fin de printemps, il embaumait de pollens et d’arômes. Nous nous promenâmes longtemps, d’un pas égal, sans but précis, veillant à nous perdre plutôt qu’à nous retrouver. Cléo tenait à voir le Mur des Fédérés, parce qu’elle était révolutionnaire, Sarah, elle, voulait rendre hommage à Victor Noir parce qu’elle était superstitieuse. Elle s’y frotta même beaucoup plus que nécessaire, enfin bref, chacune eut ce qu’elle voulait et nous nous dirigions vers la sortie lorsqu’au détour d’un sentier se présenta un hameau de petites chapelles et de caveaux rassemblés autour d’une pyramide. Le lieu était si romantique que Sarah, prise d'une inspiration subite, nous saisit par la main, à Cléo et moi, pour nous entraîner à l’arrière de la plus haute des chapelles. Il régnait là un parfum de seringat, de mousses et de fleurs fanées. S’étant assurée que nous ne pourrions être vus, Sarah plaqua Cléo contre le calcaire froid et déboutonna sa robe en un tour de main. Cléo, se laissant faire, lui offrit ses seins et écarta déjà les cuisses... Disponibilité admirable apprise d’un dressage que j’avais, à tort, jugé trop rigoureux. Tout en me faisant signe de m’approcher et profitant de la position de sa maîtresse qui se penchait sur son bas-ventre, Cléo lui écarta délicatement les fesses. Ma verge était déjà raide et mon pantalon entre-ouvert, je m’enfonçais avec une lenteur calculée dans l’orifice le plus étroit de Sarah. Celle-ci gémit de plaisir et, tout en creusant les reins pour m'offrir plus de facilité, elle parvint à lécher la fente gracieuse que Cléo lui offrait en écartant des deux mains. J’avais à peine éjaculé que retentit la cloche d’un gardien qui effectuait la tournée de fermeture. Sarah et Cléo voulurent achever de se besogner mais j’insistai pour abandonner les lieux au plus vite. C’est donc déçues et frustrées que mes deux compagnes obéirent à la consigne.
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Par : le 01/05/20
Par avance désolée pour les fautes.. j'ai besoin de me repentir… ************************************************************************************************** A mon tour de le surprendre. Il savait tant faire preuve d’imagination. Je lui avais demandé à le voir. Il me manquait. Malgré sa longue journée, il avait accepté. Pour cette soirée, je voulais créer une atmosphère comme il se doit. Je vais vous faire pénétrer dans mon boudoir. L’an passé j’ai décoré l’ensemble de ma chambre. Très douée, paraît il pour la création d’ambiance pour des événements, je voulais cette fois ci essayer de faire une chambre avec mes moyens. Il m’était inconcevable de refaire ma chambre sans mobilier qui a du vécu, de l’âme. Tout avait commencé après une longue période difficile. Refaire son intérieur c’est un peu comme faire le ménage dans sa tête. J’avais tout chiner. Le lustre mongolfière en crital de baccarat qui donnait une sublime atmosphère au plafond quand il était allumé, une sorte de ciel étoilé artistique. Au fond, j’avais tapissé le mur d’un papier peint en velours noir avec des imprimés baroques argentés. Le reste des murs était dans un bleu canard que j’affectionne tant. Sur la doite, j’avais disposé un manteau de cheminée en bois pour apporter une touche chaleureuse où dans l’antre, j’avais disposé plusieurs bougies dans des écrins métalliques. Sur cette dernière, un vase plein de plumes d’autruche. Face à ce manteau de cheminée, de l’autre coté du mur, une armoire chinoise avec des sculptures représentant les fleurs des cerisiers jouant avec le vent, ainsi que des oiseaux exotiques. J’aimais ouvrir les portes de cette armoire laissant présagés milles objets interdits. Sur la partie supérieure, mes plus beaux corsets, sur sur la partie inférieure, je vous laisse deviner .. une sorte de chasse aux trésors. Face à mon lit, un sublime miroir chiné dans une brocante dans un style art nouveau que j’affectionne tant. 165 cm par 125 cm. Légèrement tiqué pour regarder dans le miroir des scènes probablement interdites que vous pouvez vous imaginer. Un peu plus loin, des crochets porte vêtement avec cette forme de coquille St Jacques, complètement dorés. A coté de ce dernier, un fauteuil crapaud invitant à s’y reposer. Pour cette soirée spéciale où Monsieur me faisait l’honneur de venir, j’avais pris soin d’allumer lumières chaleureuses tamisées ainsi que des bougies. Il y régnait une atmosphère particulière. Tout en préparant avec soin tout ce que mon maître mérite, j’avais mis en toile de fond de la musique baroque qui me transporte. Le pouvoir de la musique est incroyable, voyageant dans nos esprits égarés, voulant jouer ces personnages passés où on s’imagine tant d’intrigues, le libertinage loin des conventions religieuses imposées. Vous êtes-vous déjà intéressé€) à la naissance du mot libertinage ? . J’avais pour cette soirée mis mes rajouts de cheveux noirs pour ressembler à la vénus de Boticelli mais en version bien sur moins angélique. Sur ma peau, la douceur de la soie me caressait. Un déshabillé de soie violette, avec de longues manches japonaises, où la dentelle noire apportaient une douce d’élégance fine. Ce deshabillé se refermait à la taille avec un nœud. J’avais pris soin d’appliquer une huile dorée sur mon corps, j’appliquais quelques paillettes dorées que j’aimais utiliser lors de mes effeuillages, et pour parfaire le tout des notes parfumées rappelant l’ambiance des jardins italiens où la fleur d’orangers et des citronniers nous exalter. Escale à Portifino. Un parfum qui porte bien son nom.. Je prie alors mon papier à lettre. J’aime écrire avec ma plume. Cher Monsieur, Je vous attend à l’étage. Je dois faire preuve de repentance. J’espère que Monsieur saura m’absoudre de mes pensées pour me remettre sur le bon chemin. Bien à vous. Mademoiselle Lane J'avais placé le mot à la porte d'entrée. J’entendis sa voiture se garer, je vérifier que tout était parfait. C’est alors que je m’installais sur le prie-Dieu que j’avais acheté dans cette petite brocante. Je l’avais mis juste face au miroir. Je m’étais agenouillée, prenant bien le soin de placer mon deshabillé, mes cheveux et ma position pour en faire un tableau. Dans mes mains, ce petit chapelet se frayant un chemin parmi mes doigts pour m’enchainer sur le chemin de ma repentance. J’entendis ses pas monter les escaliers. Mon cœur battait si fort. Je baissais ma tête. Il avait ouvert la porte. Je ne bougeais pas. Il régnait une atmosphère presque irréelle. En musique de fond, Vivaldi. Staber Mater. C’est là que je le sentis face à moi. Je ne bougeais pas. Je sentis alors ses doigts effleurer ma joie, une si douce caresse. Je me laissais aller à la poser contre eux. Puis il rapprocha sa main vers ma bouche. Je la baisais naturellement pour lui montrer ma reconnaissance, ma passion et ma dévotion. - Vous m’appelez Monseigneur, ce soir. Ainsi, vous semblez prise dans des prières qui semblent bien vous tourmenter ma chère. Que vous arrive-t-il bel enfant ? - C’est que.. je.. je laissais échapper un soupir hésitant.. c’est que voyons-vous Monseigneur, depuis notre dernière entrevue, je ne cesse d’avoir des pensées charnelles. Je pense à vous, à vos mains sur mon corps. Tout mon être vous réclame. Je ne peux lutter Monseigneur. - Je vois. Quelle pécheresse vous êtes. Une femme si pure que vous, pêcher dans la luxure. Nous allons travailler à votre vertue afin de vous rendre la plus parfaite des servantes. Rougissante car je voulais que cela, je ne bougeais toujours pas. C’est là qu’il caressa mes cheveux. - Veuillez mettre à nue votre dos et restez agenouiller tout en pensant à votre repentance. - Oui, Monseigneur. Je laissais tomber la soie sur mes fesses. Avec douceur, il mis mes cheveux sur le coté. Doucement, il se dirigea vers mon armoire à secrets. - Il vous faut expier ma chère. Je pense que 10 coups de fouet sur votre dos vous feront le plus grand bien. Vous allez les compter et je veux que vous réclamiez le suivant avec gratitude. - Oui.. Monseigneur. Je sentis alors le premier coup .. - 1 – Monseigneur. Je vous remercie.. Continer à me flageller comme je le mérite. - 2 – Merci Monseigneur, encore je vous prie… - 3 – Mon souffle s’est retenu, il avait frappé fort.. Merci Monseigneur.. je vous.. en prie… encore - 4… pour aller jusqu’à 10… IL ne disait aucun mot. Quand sa main vint sur mon dos pour me cajoler j’oubliais tout. - Redressez-vous je vous prie. Et otez moi de tout ce superflu. Tenez vous bien droite, soyez fièrement dressée. Les bras derrière votre tête. Il s’était emparé des pinces à sein. Je ressentis cette douleur excitante. - J’aime quand vous êtes ainsi, sur le point de rupture ma chère. Il est tant de vous réchauffer. Il avait allumé une bougie. Il la passa devant mes yeux. - Pas un bruit, pas un mot. Prenez votre chaine qui rattache vos seins dans la bouche. - Je vous prie de bien relever votre tête pour tirer au mieux votre chaine, sinon je me chargerai de tirer dessus moi-même. Je vis la cire de la bougie couler sur mon sein droit.. Une première goute, juste pour prendre la température.. Puis une seconde, une troisième. Il la rapprochait. Je sentais cette chaleur, cette sensation de brulure qui laissait place à cette parure éphémère. - Voilà une belle œuvre ma chère. Sentez vous la chaleur de ce désir ?. Je suis certain que votre con est en émoi. Une créature comme vous ne peut se contenir. Il vérifia l’état de mon excitation. - Hum, je n’ai même pas à y mettre mes doigts que vous êtes déjà dégoulinante Mademoiselle. Laissez tomber votre chaine de votre bouche. Il s’en empara et tira vers lui. Je sortis un cri vif. - Chut.. Pecheresse ! vous méritez tout cela. Levez vous. Il m’empoigna par les cheveux et me mit face au miroir. - Regardez vous ? Que voyez-vous ? - Je… - Alors que voyez-vous ? - Je vois une femme incapable de se contenir Monseigneur. Une femme qui a des pensées bien peu chastes. - Hum.. en effet c’est bien le cas. Quand on voit tous ces atouts. Ces seins, ses fesses ( il me les malaxait), cette bouche, vous êtes fait pour cela. Vous êtes un succube. Allez assumez ce que vous êtes.. Une chienne lubrique. Je le regardais à travers le miroir avec un sourire pervers. - Oui Monseigneur, je suis une chienne lubrique. Votre chienne lubrique. - Allez venez. Il me poussa sans ménagement vers les portes vêtements. Il prit ma main droite et l’attacha au premier puis ma main gauche au second. - Voilà. On a va calmer vos ardeurs. Quelques coups de badine, et un moment pour réfléchir à votre condition, à ce que vous voulez. Je pense que cette soirée va vous laisser les marques de mon affection. Vous me comblez par votre imagination ma chère. Toutefois, vous en payez les conséquences. Je sentais chaque coup de badine sur mon postérieur. Je ne pouvais m’y soustraire. IL m’avait parfaitement bien attaché. - Voilà qui est mieux ce rouge à vos fesses. Je vois que vous m’avez préparé mon verre à Whisky… Parfait. Je vais vous plugger le cul, vous muselez.. et je m’occuperai peut être de vous après. Après tout, la patience est une vertue, ma douce pecheresse.. Il sortit de sa veste un écrin. - Voici votre nouveau chapelet.. Il s’agissait d’un rosebud certi d’une pierre rouge. Votre fion sera le meilleur des écrins. - Ouvrez votre bouche ma chère. Bien sur je n’aspirais qu’ à cela.. Elle était déjà ouverte comme pour laisser échapper mon désir. Il s’amusa à me faire entrer et sortir dans ma bouche. - Je vois que votre vertue est complètement perdue ma chère. - Baissez votre tête !. C’est alors qu’il se leva et quitta la pièce. Il était allé prendre une douche. Quand il pénétra dans la chambre, j’avais envie de sentir la chaleur de ses mains sur moi. La chair de poule s’était emparée de moi. Il me détacha m’attacha les poignets, puis me tira à lui. Il me chuchota à l’oreille. - Sers moi un verre de Whisky comme j’aime. - Oui Monsieur. Les mains attachés, tout était moins simples. Il s’était assis sur le fauteuil à regarder, à m’observer, à me déshabiller du regard même si j’étais nue. J’aimais le regarder droit dans les yeux. Son sourire en coin, son sourire pouvait en une fraction de seconde laissée place à cette intransigeance où aucune de mes suppliques pouvaient lui faire entendre raison. Je m’avançais vers lui, puis naturellement je prie ma place devant lui. Il avait pris soin de placer un cousin pour mes genoux. Je m’agenouillais, tenant le verre entre mes mains, comme si c’était une offrande. - Baissez les yeux ! Ne me regardez pas et tenez donc le verre plus haut ! - Oui.. Monseigneur. Il tenait son verre tout en le reposant sur l’accoudoir. - Pour se repentir, il faut savoir se courber ma chère. - Allez, prosternez vous ! Je me mis à ses pieds ainsi, fière de toute son attention, d’être à ma place, le centre de son attention. - Léchez et baisez mes pieds. Je veux sentir votre langue de chienne me servir comme il se doit. Je me rapprochais de lui, de ses pieds.. Je sortis ma langue et je commençais la tâche que Monseigneur m’avait demandé. Après tout, lé vénération fait partie du chemin de la repentance non ?. J’aime me sentir à ses pieds, ainsi, Une fois qu’il eut satisfaction il me releva pour me prendre dans ses bras. J’aimais m’abandonner ainsi. J’aimais la liberté de lui donner son pouvoir sur moi. Ce lâcher prise qui faisait que notre relation était si forte si complice. Toujours assis, moi agenouillée, il me caressait le dos, les cheveux comme on caresserait une brave chienne. - Retournez donc à vos prières maintenant. J’allais me réinstaller sur le prie-Dieu. Je crois que je n’ai jamais été autant agenouillée que ce soir là. - Gardez bien votre bouche ouverte pour recevoir votre pénitance . Il s’était mis face à moi. Je voyais son sexe dressé prendre la direction de ma bouche. J’aimais me délecter de sa queue. La lécher, la prendre totalement ou juste m’occuper du bout de son gland. IL me laissait prendre parfois le contrôle mais cela ne durait jamais bien longtemps. Il rentrai sa queue bien au fond, mis sa main sous ma gorge. Puis de l’autre me maintenant par la tête. Je ne pouvais plus bouger. J’étais presque sur le point de vouloir vomir. Il était rentré dans cette frénésie où ma bouche était à son service, et utilisée comme ma chatte ou mon cul. Pour mieux me prendre avec profondeur, il me tenait par la tête et y mis un rythme si infernal que je bavais avec une telle difficulté à respirer. J’étais abasourdie. - Tu vois ce qu’on fait aux petites pécheresses sans vertus. Je vais te montrer comment on se met dans le droit chemin. Toute une éducation pour satisfaire son Maitre. La catin de son Maitre. Regarde toi.. en train de baver à manger cette queue. Gourmande en plus.. encore un pêché de plus ! Paresseuse aussi, car je fais tout le travail ! Puis dans une certaine frénésie, il me leva. Déplaça le prie dieu et me remit en position. .Il mit sa queue dans ma chatte bien baveuse de mouille, le rosebud toujours en place. - Je veux que tu me regardes à chaque coup que je t’offre. Que tu me supplies, de t’en donner davantage. Que tu me dises ce que tu es. - Monseigneur. Je vous en supplie. Baisez moi bien fortement comme je le mérite. Je veux vous sentir me remplir complètement. - Continue ! J’entendais ses couilles claquées. C’était violent intense. Il me claquait les fesses, me forçant à bouger mon petit cul comme pour le rendre encore plus fou. - Allez remue mieux ton cul que ça ! Cherche ma queue, implore… - En même temps il mis ses bras autours de mon cou me cambra. - Tu es ma chienne, ma pute. - Oui, Monsieur, je suis votre chienne, votre putain. J’aime que vous m’utilisiez comme bon vous semble. J’aime être à vos pieds. Mon cul, ma chatte et ma bouche ainsi que mon âme vous sont dévoués. - Fermez là maintenant ! On se regardait à travers le miroir. - Quelle petite vicieuse si innocente. J’espère que votre repentance est à la hauteur de vos attentes, mais je crois qu’il vous faudrait bien d’autres séances. Il m’avait prise avec une telle frénésie.. il avait joui fortement. - Ce soir tu dormiras attacher contre moi. Je songe même à t’attacher jambes écartées prête à subir tous les assauts. Il me releva et me jeta sur le dos sur le lit. Il leva alors mes deux jambes pour avoir accès à mes fesses et me put s’empêcher de me corriger. D’un coup sec, il m’écarta les jambes. - Ne bouge pas ! Il commença à passer ses doigts sur mon petit clitoris qui était bien sensible. - Hum tes lèvres sont si enflées. Hum mes doigts y rentrent comme dans beurre. Il commença alors à placer sa langue sur mon sexe. Je defaillais par cette délicate attention. Quand il entamait cette danse avec sa langue si légère et ses doigts bien épais au plus profond de moi.. bien profondément. Je ne pouvais m’empecher de me dandiner comme la bonne petite putain que je suis. A prendre cette jouissance qu’il m’offrait. Il me maintenait maintenant fermement les jambes. Je sentais la jouissance me gagner tout doucement. - Monsieur, je vais jouir, c’est si.. - Prends tout le plaisir que tu mérites. La vague qui arriva me submergea d’une telle intensité, d’un telle bonheur. J’étais épuisée. Au bout de quelques secondes, je sentis les larmes monter, les traces de mon plaisir coulaient de partout.. Il m’avait choyé en me bordant puis se coucha contre moi. J’étais aux anges contre celui qui provoquait ce désir si intense.
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Par : le 01/05/20
Viky est une nana superbe sauf que c'est un mec à l'intérieur. Un mec macho et bagarreur, un mec qui cogne d'abord et discute après. En charabia moderne on dit une FTM. Et viky depuis toute petite doit vivre avec tous les problèmes des personnes transgenres. C'est un bilame qui va vers le plus ou le moins, le yin ou le yang, la droite ou la gauche, un bilame qui met du temps à se trouver et puis qui finalement un jour s'accepte et s'assume. Viky a fait le choix de vivre dans son superbe corps de femme et de rester un mec à l'intérieur. Elle est bien batie, tout en muscles, épaules larges, petite poitrine bien ferme et chatte bien poilue. Elle est vraiment canon pour ceux ou celles qui aiment les femmes sportives et charpentées. Elle bosse dans une banque et aime porter le costard cravate des mecs, ce qui la rend encore plus sexy. Avec des lunettes noires ont dirait James Bond. Dans sa jeunesse, quand elle se cherchait, elle a pris de la testostérone et cela se voit. C'est surtout son clito qui a gonflé, presque un petit pénis lorsqu'il entre en érection et c'est souvent car elle aime se branler et se faire jouir. Viky, aucun mec n'a pu la pénétrer. Par contre, elle en a sodomisé à la pelle avec son god spécial qu'elle s'est fait faire par un artiste en moulages silicone. Inutile de vous dire comment elle l'a remercié pour son beau travail. Un god double qu'elle enfonce dans sa chatte, qui tient bien sans ceinture ou harnais et qui se dresse bien à l'extérieur. Une belle et bonne grosse bite. Celle qu'elle avait toujours voulu avoir. C'est fou son succès avec les filles. Elle adore les saillir. C'est une vrai bonne macho sans pitié pour les chattes et les culs des femelles qu'elle adore claquer et rendre bien rouges avant ses pénétrations à la cosaque. Niky lui est un gringalet, avec un pénis minuscule. Un petit homme en tout sauf en égo.Comme tous les petits, il veut toujours commander et se faire obéir. Dès qu'il a vu Viky, il a su que c'était la femme de sa vie et n'a eu de cesse de vouloir l'épouser. Et Viky a accepté. Un couple étrange et pourtant un couple très heureux. Niky n'a pas le droit de pénétrer sa femme. C'est dans leur accord, mais elle aime le sucer pour lui prendre son sperme qu'il a en abondance et bien le milker. Pourtant la nature suit des chemins bizarres. Cela a du se passer une nuit, peut être en rêves, mais le tout petit pénis de Niky a réussi a féconder sa femme. Le drame au début, surtout lorsque les hormones se sont bousculées chez Viky qui a fini par accepter sa grossesse. Un beau couple et un bel enfant pour sceller un bel amour. La morale de cette histoire c'est que la nature trouve toujours un chemin sans qu'il soit besoin d'une volonté.
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Par : le 01/05/20
Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour reprendre mes esprits. Maxime n’en avait pas terminé avec moi. J’ai compris ses intentions quand il a remis le vibromasseur en marche et me l’a introduit dans la chatte, après avoir rajouté sur sa tête un stimulateur de point g. Compte tenu de ce je venais de subir, encore chaude de mes orgasmes précédents, je suis repartie au quart de tour. Les picots du wand m’ont mis le clitoris en feu, et au fur et à mesure que Maxime augmentait la puissance de l’engin, je me mettais à vibrer de l'intérieur en gémissant de plaisir. A nouveau, j’ai perdu toute notion du temps, jouissant et jouissant encore, suppliant en vain mon bourreau d'arrêter. Tout en continuant à me fouiller la chatte avec son engin diabolique, Maxime me maintenait fermement de l’autre main, alors même que mon corps tout entier était secoué de spasmes de plus en plus en plus violents. J’étais littéralement en transe tout en ressentant comme une envie de plus en plus forte d’uriner. Il s’en est rendu compte, à ma manière de gémir en me tordant dans mes liens, et à fini par me libérer du wand en l’extirpant de ma chatte. Là, dans une ultime explosion, incapable de me contrôler, j’ai joui à nouveau, tout en laissant jaillir de mon sexe en feu ce jet d’éjaculat femelle que je ne pouvais plus contrôler. Je desteste squirter. Je trouve obscène ce liquide féminin jaillissant de mon sexe. Pour moi, l’éjaculation appartient au Mâle et une femelle n’a pas à jouir ainsi. Mais je n’y pouvais rien. C’est lui, mon Maitre, qui me l’avait imposé et, attachée comme je l’étais, il m’était impossible de rien contrôler. Enfin Maxime m’a libérée de mes liens. J’étais totalement épuisée, les poignets et les chevilles douloureux d’avoir été entravés pendant tout ce temps où je m’étais tordue de plaisir sur le lit. Il m’a embrassée longuement, sur les lèvres, les seins, le ventre, la chatte, pendant que je reprenais progressivement mes esprits. Quand j’ai voulu aller me rafraîchir pour me libérer de l’odeur de stupre que je portais sur moi, il a refusé, préférant au contraire s’ allonger sur moi, me laissant spontanément écarter les cuisses pour qu’il enfonce en moi sa queue raide. Il m’a prise longuement, brutalement. Chaque fois que son désir était a son paroxysme, il s’interrompait, s’extirpant quelques instants hors de moi pour faire retomber sa tension, avant de me pénétrer à nouveau, s’enfonçant chaque fois plus profondément en moi. Le plaisir que j’ai ressenti pendant qu’il me baisait était sans commune mesure avec celui qu’il m’avait fait subir avant, plus profond, plus intense que celui purement mécanique provoqué par le vibromasseur. C’est de lui, de mon Maitre, de son sexe que je jouissais désormais. Et cela n’avait rien à voir. C’est ensemble que nous avons explosé dans une déferlante de plaisir, qui nous a laissés épuisés et il s’est effondré sur moi, écrasant mon corps sous le poids du sien, pendant que se mélangeait en moi sa semence de Mâle et le reliquat obscène de mes orgasmes précédents. Maxime n’a pas voulu que je change les draps. Quand je me suis réveillée, le lendemain matin, ils étaient encore humides de mes éjaculats femelles et il continuait de régner dans la pièce l’odeur diffuse de nos ébats de la nuit. J’ai été me doucher avant de lui faire l’offrande de ma bouche.
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Par : le 01/05/20
L'ombre peu à peu avait envahit la cave. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis près d'une heure commençait à la faire souffrir. Passaient encore les fourmillements dans les jambes et les bras attachés. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle arrivait toujours à relancer la circulation du sang. Le plus insupportable, c'était cette douleur, à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de se ses jambes. De part et d'autre de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension dans laquelle ils étaient soumis. Que faisait donc Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée innonda la cave. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'ambrasure. La lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, les mains sur las hanches, la considérait d'un oeil narquois. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avac soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa machoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarassa de ses vêtements. Lorqu'il s'approcha du lit, Charlotte remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasoudie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écoeurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelotte de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. - Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi. Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, comme soudé à la chaise, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procèda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Charlotte, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humilainte. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/05/20
Depuis déjà des mois j’occupe la maison de par une activité professionnelle néant. Ce temps de recherche d’emploi me laisse aussi beaucoup de temps pour développer mon imaginaire sexuel et imaginer de nouveaux fantasmes dont je sais, certains ne caresseront pas son esprit que j’aimerais plus audacieux et pervers. Pourtant je soulage ma conscience de son énergie sexuelle en remplissant quelques articles sur mon blog à caractère informatif avec une touche de pornographie. Cela m’occupe et me donne l’impression de faire une thérapie ou je me révèle à elle comme si elle lisait régulièrement ces pages qui livrent parfois entre un article futile traitant d’un incident sexuel ou d’une loi ayant comme sujet le sexe ; un fantasme que je glisse aux yeux des quelques internautes curieux qui passent par ici juste attirés par une image tirée d’un film X. Lire la suite : http://comtedenoirceuil.com/tous-ces-midis-perdus/
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Par : le 30/04/20
Esclave des désirs Allez comprendre pourquoi on est parfois scotché par un visage ou une personne que l’on croise sur son chemin. Un jour j’ai regardé une passagère dans une rame de train qui voyageait avec son vélo. Il ressortait de sa personne une lumière et un calme intérieur qui m’a fasciné. J’en serais tombé raide amoureux pour le coup ! Je n’osais pas trop la regarder et posais avec discrétion mon regard sur elle de temps en temps en décortiquant le contour de se yeux amandes et de son visage ovale, puis mon regard glissait sur ses mains qui pianotaient doucement l’une sur l’autre au dessus de ses genoux en attendant de descendre à la bonne station. Oui j’en étais paralysé de bonheur de contempler cette femme qui m’avait déjà englobée dans son aura de bonté et de douceur sans que je n’y ait pris garde… Elle rayonnait et sa lumière m’apprivoisait… Si elle m’avait demandé de la suivre comme esclave, j’en aurait été comblé de bonheur et l’aurait suivi… Oui j’aurai eu plaisir à devenir esclave de mes désirs en m’enchainant à ses souhaits et ses caprices… Pour sûr j’aurai eu plaisir à tout découvrir de sa sagesse tranquille qui diffusait autour d’elle une auréole de douceur ferme et déterminée… Son élève aurait été docile et appliqué pour la combler dans son extase désirée, apprivoisé que j’étais déjà par son regard intemporel… Une merveille des merveilles qu’une vie n’aurait suffi à satisfaire de ses désirs inassouvis… Je suis perdu depuis par ce désir qui m’englobe et m’emporte dans ce souhait virtuel de lui appartenir… Ne serait-ce que par un seul regard de sa part… La porte du wagon s’est ouverte à la station et elle est descendue du train en enfourchant son vélo… Mon regard l’a suivi sans qu’elle ait même détourné son visage pour m’abandonner à la piqure de mon cœur soudain solitaire de cette apparition déjà évanouie dans la multitude… La recroiserai-je un jour si notre destin s’en mêle que j’accepterais d’en suivre son ombre si elle me le demandait… Serais-je déjà enfin presque devenu le petit toutou à sa mémère ? C’est bien possible… Bon en même temps je me dis que ce n’est pas possible de devenir le toutou à sa mémère, car je me souviens de la phrase de Khalil Gibran : « Combien noble est celui qui ne veut être ni maître, ni esclave ! » Ah que ce monde est déroutant parfois surtout quand vos désirs profonds vous rendent esclaves ! Texte trouvé sur le net sans signature L.H
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Par : le 30/04/20
Désolée pour mes fautes.. J'écris instantanément… si quelqu'un est prêt pour me corriger :)? ***************************************************************************** C’était un samedi soir, il faisait bon dehors. Cela faisait déjà quelques jours que je n’avais pas vu Monsieur. Il était en déplacement. J’aime avoir ces moments d’indépendance où Monsieur sait montrer sa présence, sa bienveillance.. parce qu’il pense à moi. Cette pensée me fait sourire, il alimente toujours ce lien, tout comme je le fais. J’avais eu une envie folle de Shopping. Je suis allée faire un tour dans celle que j’affectionne à Strasbourg. Une amie qui tient une boutique avec de la lingerie et des robes sexy à souhait, sans vulgarité. Elle me connaît par cœur.. Si vous la cherchez elle est rue de la Madeleine… A chaque fois que j’y vais c’est papotage, essayage et craquage ! J’avais envie de me faire belle pour lui. Le surprendre. Cela doit aller dans les deux sens. Nous voulons être surprise.. mais nous devons aussi surprendre. C’est là que j’ai vu.. The robe ! Celle qui est juste sexy à souhait mais sans aucune vulgarité. J’ai toujours aimé avoir mon look et à fuir les enseignes de vêtements qui font de nous des petits moutons. Je regardais mon amie.. et elle sourit. Elle comprit. Je passais donc à l’essayage. Une envie folle de montrer à Monsieur. Il aime savoir ce que je fais. Mais de l’autre j’avais envie de le surprendre. C’est alors que je lui envoyais par Whatsapp un message vocal. Il aime encore ma voix.. Douce, suave et apaisante. « Cher Monsieur, je suis en pleine essayage dans la boutique d’une amie.. Puis-je la prochaine fois que nous nous voyons choisir ma tenue ? Bien à vous. Votre petite chienne. » Même si je n’attendais pas sa réponse, je me décidais à prendre cette robe. Elle était faîte pour moi. Je venais de perdre plus de 15 kg. Je devais me réapproprier mon corps. J’avais encore du mal. Il n’est pas parfait. J’aimerai me sculpter, faire plus hélas mes problèmes de dos m’empêchent d’être totalement celle que je suis dans ma tête. Au fond ce qui compte c’est d’être bien dans sa tête. Après cette frénésie acheteuse, je rentrais chez moi en profitant du soleil, cheveux au vent avec cette excitation dans mon entrejambe. Au feu.. je regardais mon portable.. toujours pas de réponse. On devait se voir ce soir. Une soirée privée à la villa Sturm. La soirée du soir était sous le thème de la sensualité et du Glamour. Je pense que cela allait coller parfaitement… Soudain, je vis sa réponse. « Je t’autorise pour ce soir à t’habiller comme il te plait. Je vérifirai que tout est parfait. Je passe te récupérer à 21h30 ». Cheveux attachés, détachés… rouge à lèvre rouge ou lèvre naturelle ? que de choix cornélien. Je me dis toujours Less is more. Avoir juste les bons accessoires sans en faire de trop. 21h15.. Enfin prête. J’avais hâte de savoir s’il allait apprécier ma tenue… Il était toujours d’une ponctualité exemplaire. J’appréciais cette attention et ce respect. Je vis sa voiture arriver. Je sortais. Je descendis les escaliers avec cette petite démarche fière car je me sentais particulièrement belle. Ce sentiment de s’aimer est si bon.. C’est celui qui fait que vous dégagez ce bien être et cette beauté. Je dis cela sans vouloir être prétentieuse, mais vous comprenez ? la beauté n’est pas dans le physique mais dans notre attitude aussi. J’ouvrai la portière de la voiture et m’y installait confortablement. IL faut dire que je trouve cela d’une galanterie. - Vous êtes magnifique, ma chère Mademoiselle Lane . C’est là qu’il mis sa main sur ma cuisse en y mettant une certaine pression qui indiquait clairement.. « Tu es à moi ». J’aimais ce coté animal. - Je t’inspecterai plus tard. Sur un fond très jazzy, nous allions en ville pour commencer par prendre un verre dans un bar feutrée de Strasbourg. Les cocktails sont relativement bons sans être non plus à la hauteur des meilleurs bars que je connais à Londres. Il me tenait par le poignet, je le suivais. Arrivée au bar, il décida d’aller au sous-sol éclairé de lumières rouges et de lanternes. Il s’assit sur le tabouret haut. IL m’attira à lui par la taille. A l’oreille, dans un ton confidentiel il me dit : - Tu es une petite putain que je vais me faire un plaisir d’exhiber. J’aime que les hommes te regardent. » Je souris, je baissais la tête à la fois excitée et gênée. Deux sentiments contradictoires comme nous pouvons tous l’être. J’étais avec lui cette femme indépendante et de l’autre, celle qui se sent protéger sous sa protection. Il commença à me caresser avec une réelle délicatesse, son regard me dévorant. J’aimais le pouvoir qu’il avait sur moi. Alors regardons cette robe de plus prêt… - Hum.. une robe avec une fermeture éclaire dans le dos qui donne accès si facilement à tant de délices. Tous ces mâles vont être en rute. Remarque chienne que tu es, c’est ce que tu veux. Doucement il me mis dos à lui. Puis s’empara de la fermeture éclaire de la robe et la remonta relativement haut. J’avais peur qu’on nous voit. Ce côté petite fille qui veut toujours respecter les règles. - Je t’ai dit que je t’inspecterai. C’est alors qu’il monta sa main jusqu’à mon entrejambe tout en restant d’une discrétion et en continuant à me parler comme si de rien n’était mais ses mots me mettaient en un réel émoi. - Alors petite catin.. comment se fait-il que tu portes une culotte ? Nous allons l’enlever.. là maintenant. Non mieux.. tu vas l’enlever. Je me sentais complètement interdite. Il me saisit le poignet et me dit.. - Tout de suite, Obeis. J’avais la sensation que tout le monde me regardait. Je me sentais honteuse et si excitée. Je me dandinais pour faire en sorte de retirer cette culotte.. J’avoue avoir fait exprès de la mettre.. Je voulais le titiller bien sur.. mais je ne m’attendais pas à faire cela .. là maintenant. La robe était relativement moulante. Mes fesses presque à l’air. Je m’étais mise dans le coin où nous étions.. afin qu’on ne m’apercoive pas. Curieux non ? Mon attitude devait paraître bien étrange pour arriver à enlever une culotte d’une robe moulante. C’est là qu’elle était arrivée à hauteur de mes cuisses. Je me bougeais pour la faire arriver à mes genoux. Je fis mine ensuite de faire tomber mon sac au sol tout en contrôlant ce que les autres pourraient voir. La culotte était dans ma main. Je me releverai et je le regardais droit dans les yeux. - Voilà Monsieur, ma culotte comme vous me l’aviez demandé. Je lui tendais. - C’était un plaisir de te voir ainsi à braver tes convenances. Il prit la culotte. - Hum.. je devine ton état rien qu’à son toucher. Petite chienne. Il s’amusa encore à toucher mes cuisses mes fesses mais ne s’aventura pas plus loin. Je n’avais envie que de cela. J’étais en transe. J’avais oublié où nous étions. J’étais dans notre bulle. D’un coup sec, il redescenda la fermeture éclair. - Bon allons à cette soirée. A notre arrivée à la villa sturm, nous empruntions les escaliers magnifiques de cette demeure. Il me faisait marcher devant lui. Bien sur allait il rater une miette de ma démarche afin de profiter de la vue de mon postérieure et de mes jambes. - Quels sublimes escarpins tu as choisi. Tu as toujours bon goût. Peut être vais-je t’autoriser à me surprendre plus avec tes choix vestimentaires. Je portais cette petite paire dénicher dans une friperie. Des Nina Ricci avec un talon fin.. Ils étaient rouge vernis, le bout légèrement pointu et arrondi, comme les ongles d’une main vernie d’un sublime rouge. Ils étaient originaux par la forme mais simples. Dans la pièce à l’étage, Deux grandes salles avec des lustres en cristal. De grandes baies vitrées. Tout le monde avait joué le jeu de cette soirée. Une ambiance ultra glamour et feutrée. Pour une fois la musique était très sympa avec un mixe très jazzy, soul de bon goût. Cela changeait de ces soirées aux musiques électros sans saveur que je déteste. - Regarde comme on te regarde.. J’étais complètement aveugle aux personnes qui me regardaient. Une partie de moi était prête à affronter le monde et l’autre… complètement timide, réservée et peu sûre de moi. C’est là qu’il croisa des connaissances. J’avais de mon envie une envie folle de danser et de ne pas écouter. La musique de Feeling Good reprise par Aviinci m’incita à aller sur la piste. - Puis je aller danser ? lui demandais-je ? - Oui va y, je te rejoins. Cela ne me dérangeait pas de danser seule, mais je ne le quittais pas du regard. Je voyais qu’il me jetait ses regards de surveillance. En dansant seule, rapidement quelques hommes s’aglutinaient autours de moi avec ce sourire et cette nonchalance qui laissait planer qu’ils voulaient faire connaissance. D’un naturel sociable, j’entamais des échanges relativement simples. - Bonsoir Mademoiselle. Sympa cette soirée. - Oui en effet, ça change de ce qu’on a l’habitude de voir à Strasbourg.. - Vous êtes très jolie, et vous dansez super bien ! Je devinais bien sur où il voulait en venir mais ils n’avaient bien sur aucune chance. La place était prise dans mon esprit. Mais mon coté petite allumeuse parfois pouvaient prendre le dessus. Après tout je n’avais rien demandé.. C’était eux qui étaient venus. Je me laissais porter par la musique à me déhancher. C’est l’un d’un charmant homme blond, assez grand se rapprocha de moi pour danser à deux. Il mis son bras autours de ma taille.. Bien sur.. il se prenait des libertés d’un homme respectueux ne ferait pas. - Puis-je t’offrir un verre ? - Non c’est très gentil. La fille timide reprenait vite le dessus. Lassée par ces techniques de drague très ennuyeuse, je rejoignais Monsieur. - Alors petite salope, tu ne peux pas t’empêcher d’aguicher ! - Mais non.. je n’ai rien fait cher Monsieur, répondais-je avec un léger sourire complice. Je reviens, je vais aux toilettes, si vous le permettez. Les toilettes étaient très grandes. C’est en refermant la porte que je sentis une main forcée la porte. Il me tira alors par les cheveux et me poussa vers le lavabo. Je me retrouvais les mains posées sur ce dernier à me regarder face à ce grand miroir. D’une main animale il remonta la fermeture éclaire de ma robe puis mis sa main sur ma bouche. Sans aucun ménagement il me sodomisa. Ses coups étaient si fort et intenses. Mes cris se perdaient dans sa main. Cela n’avait pas durer très longtemps. IL m’avait prise sauvagement comme une putain. Il avait joui et laissé son foutre dans mon cul. Une fois son affaire terminée, il me releva en tirant mes cheveux puis me rejeta vers le lavabo et prenait la direction de la porte. - Allez nettoie toi ! Tu vas en reprendre encore. Tu n’attends que ça. Je te laisse quelques minutes et rejoins moi à l’entrée. Son assaut avait été féroce. J’étais totalement chipée. J’aimais quand il était fougueux à me baiser comme une pute. Je resaissais mon esprit. Je faisais tant bien que mal pour nettoyer mon anus. - Où allons nous ? demandais-je ? - T’exhiber. Je ne savais pas quoi répondre. Je baissais le regard. Maintenant il savait où étaient mes limites et ce que je ne voulais pas. Je me sentais donc en sécurité malgré tout. Il avait perdu ce côté chaleureux pour laisser place à cet homme intransigeant. EN arrivant à destination, nous étions dans un bar libertin. Je détestais ce genre de lieu à Strasbourg où il manque tant de finesse, de glamour et il le savait. C’est là que je vis cet homme blond avec lequel j’avais dansé et ces connaissances auxquelles je ne m’étais pas intéressée. - Et si nous faisions de toi, une petite chienne de concours. Tu vas nous montrer tes atouts et nous jugerons si tu en es une.. - Je.. Oui Monsieur.. - Brave petite chienne. Nous étions installés dans un coin canapé. Ils s’étaient installés sur les canapé. N’étant pas à mon aise dans ce lieu que je qualifierai de glauque, je m’apprêtai à m’asseoir. - T’ai-je permis de t’asseoir comme nous ? - Euh.. non .. - Pardon ? je pense qu’il manque un peu d’éducation. Il voulait que j’assume mon statut de chienne. Il savait que j’étais tout autant effrontée. C’est là que je m’avançais vers lui et je quittais ce tempérament à me sentir vulnérable. - Non, Monsieur. Vous ne me l’avez pas permis. - Allez, à quatre pattes sur la table ! Je pris alors ma démarche féline tout en le regardant, comme pour montrer à qui j’étais. C’est là qu’il se leva puis me banda les yeux. Je me demandais encore s’il avait préméditer tout cela. Puis il me dit à l’oreille - Tu es sublime, me murmurait il. Tu connais le mot si jamais cela va trop loin pour toi. Comme pour me rassurer. - Oui, Monsieur. C’est là qu’il remonta encore la fermeture éclair jusqu’à ma taille, dévoilant ainsi à la vue de ses connaissances mon fessier. Mon cœur palpitait. ‘- Messieurs, vous avez le droit de regarder, de toucher mais pas de pénétrer. Est-ce bien clair, sauf si je vous y autorise. Je vous présente Mademoiselle Lane. C’est là que je sentis une main me prendre par le menton. Je devinais que la personne était celle assise face à moi. Elle commença passer son doigt sur ma bouche. - Ouvre ta bouche, petite chienne et lèche le doigt. J’ouvrais alors ma bouche et je sortais ma langue afin de lécher ce doigt. Quand tout à coup, je sentais plusieurs mains s’attarder sur mon fessier. Certains me pinçaient, d’autres écartaient mes jambes. - Humm elle a la chatte bien lisse, on aimerait bien y gouter. Quelle chienne que tu as là. Je suis très envieux entendais-je. - Puis-je voir ses mamelles ? dit un autre ? J’étais complètement outrée par la manière dont il me décrivait. Ce mots qui ne venaient pas de mon maître. -Redresse -toi. - Oui.. Monsieur. C’est là que je le sentais devant moi. Il se saisit de ma robe et passa ma poitrine par-dessus. J’étais présentée, ainsi défaite. Je perdais encore plus de mon assurance. - Allez y Messieurs. Je vous laisse profiter de cette poitrine. J’étais touchée de partout mais aucun geste déplacé sur mes trous de chienne. Il y avait veiller. Ils s’amusaient à les triturer, à les malaxer. Je sentais un homme me saisir par les hanches à mimer un acte sexuel. Une poigne certaine. Je sentais leur désir à mon égard à me prendre, à vouloir me baiser sans frénésie. - Qu’elle est bonne à être baisée. C’est là que Monsieur me releva et me dirigea en me tenant par le bras. Je ne sais pas où nous allions. C’est là qu’il retira mon bandeau. Nous étions seul dans cette pièce qui ressemblait plus à une cage. Il y avait des barreaux. Je voyais la silhouette d’hommes derrière ces barreaux. - Maintenant , je vais te baiser, et tu vas t’offrir. Tu vas offrir un très beau spectacle. Je veux que toutes ces queues soient bien dressés. Montre leur qu’il n’y a qu’à moi que tu t’offres petite chienne. Qu’il n’y a que moi qui décide ce que je fais de toi ! T’es une vraie petite salope. Dis-le ! - Oui Monsieur, je suis votre petite salope. Il m’avait plaqué les mains contre le mur. Avec son pied, il m’avait fait écarter les jambes. - Cambre toi mieux que ça. Crois tu que je puisse te prendre bien à fond en étant ainsi ! Je me cambrais davantage en me baissant un peu. - Ecarte ton cul qu’on le voit bien ! Tu t’es fait belle, autant le montrer. J’étais complètement génée mais j’oubliais tout tant qu’il était avec moi. J’obeissais. Je tournais la tête. Je voyais ces ombres s’agglutiner à profiter de ce spectacle. Il commença par vérifier mon excitation. J’étais littéralement trempée ! Il avait l’air de me pousser dans mes retranchements, à assumer cette partie de moi. Il me saisit les bras, les mis en arrière et me maintenait les poignets dans le dos. - Je vais te tringler comme jamais. Tu ne mérites que ça. D’etre comblée par une queue si dure. Sens tu tout ce que tu provoques. - Oui.. Monsieur. Je ne mérite que ça Il prenait possession de ce qui lui appartenait. Cette fois il pénétra ma chatte encore et encore, il me labourait bien profondément en levrette. - Bonne petite pute. Regarde… regarde comment on regarde comment on prend une bonne chienne. Toi en train d’exciter tous ces mâles. C’est là que l’homme blond entra… Je me sentais interdite. - Il voulait te regarder de prêt en train de te faire sauter. C’est un voyeur. Ne t’inquiète pas. Il se plaça juste face à moi. Il avait son verre à la main et me regardait droit dans les yeux. C’est là qu’il se rapprocha de moi et me dit. - Tu es véritablement une bonne petite chienne de concours. Cette manière que tu as quand tu te cabres pour te faire prendre si profondément. Ces cris que tu émets quand tu te fais fourrer. Un vrai délice. Une vraie salope. - Je vous remercie mon cher. dit mon Maître. En effet c’est une vraie Salope. J’aime révéler cette nature et la montrer. - Elle est faite pour cela. C’est là qu’il m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Puis il jetta mon visage contre le sol. - Voilà une excellente position pour bien la remplir. Je l’ai fait tout l’heure. J’aime me perdre dans ce petit garage. - Puis-je entendais-je ? l’homme avait demandé visiblement quelque chose à mon Maitre. L’homme s’était accroupi et dégageait mes cheveux pour mieux voir mon visage. -Qu’elle est belle quand elle se fait baiser. Il aura été dommage de nous priver de ce spectacle. Puis il se rapprocha à nouveau de moi. Je sentais sa respiration forte prêt de moi. - Allez, fais toi bien bourrer comme tu le mérites. Je vais me caresser en te regardant prendre ton plaisir. Regarde ce que tu provoques. Il s’était éloigné. Mon Maitre écartait à nouveau mes fesses pour observer sa queue s’engouffrer dans mon petit fion. Il la rentrait, la sortait parfois doucement. Il la réintroduisait parfois avec une telle profondeur… J’avais tout oublié, même où j’étais.. il me rendait complètement folle… Il tapissait encore de son foutre mon fion. Il se redressa et m’ordonna de rester un peu ainsi à la vue de tout le monde. Au bout de quelque minutes, il me releva et me remis le bandeau, comme s’il avait compris mes ressentis. Il me remis ma robe avec une telle délicatesse bien qu’il avait été moins avec mon cul. - Tu m’as rendu fière de toi ce soir ! Dormons ensemble ce soir. Puis juste avant de sortir, il ota le bandeau. Nous allions vers la voiture.. Je me rejouissais de dormir dans ses bras. Une si belle récompense.
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Par : le 30/04/20
Par avance, navrée pour les fautes. J'écris instantanément. J'aurai peut être besoin.. d'une correction. ************************************************************************************************************************** « Habille toi comme une petite écolière quand tu viens. Je te veux en chaussettes hautes, une petite jupe d’écolière et un chemisier. Mets des sous vêtement simples, de jeune fille. Tu t’attacheras les cheveux avec un joli nœud. Tu viendras avec un cartable, un cahier de note et tout ce qu’il te faudra pour prendre ta leçon du jour. Je t’attend pour 16h30. Soit à l’heure. A le lecture de son message, un sourire me prit. Je me demandais encore ce qu’il avait pu imaginer. Je regardais dans mon dressing ce qui ferait bien l’affaire pour sa demande précise. C’est là que je trouvais une paire de chaussettes hautes noires arrivant au genou, décorées sur l’une, d’une rose brodée. Je mis cette petite jupe de motif écossais en carreau Rouge, Noir et vert. Je pris un chemisier blanc des plus simple. Je pris alors en sous vêtement ce petit shorty noir et un soutien gorge adapté à mon chemisier blanc. Tout doucement, je me regardais dans le miroir. Soigneusement je mis peu de maquillage mais juste ce qu’il faut pour avoir un teint éclatant, le tout réhaussé d’un gloss à cette couleur légèrement rouge orangé.. Je redressais mes cheveux en une belle queue de cheval auquel j’ajoutais comme Monsieur me l’avait demandé un ruban rouge que j’ai détourné. Me voilà replonger dans ma jeunesse. Il ne me manquait plus que le nécessaire pour écrire ma leçon d’école. Arrivant chez Monsieur, je vérifiai ma tenue afin de lui plaire. Mon cœur battait à la chamade. Par jeu, j’avais sorti une de ces petites sucettes au goût pomme, pour me montrer un brin provocatrice comme il aime que je sois. Et puis, les adolescentes n’aiment-elles pas sucer.. des sucettes ? La porte s’ouvrit. Il était tout de suite dans son rôle de maitre d’école, sévère. Il était habillé avec élégance, un pantalon de toile bleu marine, une chemise blanc-perle, le tout réhaussé de belles bretelles. Il avait un goût parfait pour savoir se vêtir selon les circonstances. Je sentais l’odeur de son parfum m’envouter. Je me souviens la première fois que je l’avais rencontré. J’étais comme hypnotisée car cela lui collait à la peau… La nuit de l’homme. Sa voix était assurée, grave, d’une telle douceur même dans les jeux. Il me conduisait à son garage qu’il avait pris soin d’arranger. Il avait réussi à placer un tableau blanc, une table d’écolier et il avait placé un bureau en bois qui me faisait réellement penser à mes années de lycée à Châlons en Champagne, un ancien couvent.. avec ce vieux mobilier et le vieux parquet au sol. Bien sur on en était loin ici mais je devais reconnaître l’’art qu’il avait à mettre des scénarii en place. - Prenez place, Mademoiselle Lane. Tout en le regardant je profitais de sucer langoureusement ma sucette et de jouer avec comme une adolescente qui cherche à attirer l’attention de son professeur, je m’installais sur le banc de la table d’école. Et je sortais mes affaires de mon cartable. Il me regarda alors droit dans les yeux d’un regard sévère. - Veuillez immédiatement enlever cette sucette. Vous ai-je autorisé à venir en classe avec ? - Non, Monsieur, je l’avoue, dis-je avec une moue pleine de défiance. - Ah ainsi, vous voulez prendre mes dires par-dessus l’épaule, je vais donc vous donner une leçon bien éducative et inscructive. - Levez- vous et placer vos mains devant-vous, paume vers le haut. Il s’était muni de la règle que j’avais sortie de mon cartable. - Eh bien vue que la discipline ne soit pas votre fort, nous allons y remédier. Je vais vous donner trois coups sur chaque main. Je ne veux pas vous voir ôter vos mains, ni crier. - Je (baissant alors mon regard à la peur de subir cette première punition), je.. oui, Monsieur. Il se mit à ma hauteur et ôter de ma bouche cette sucette. Il plaça la badine sur ma main droite. Il tapotait tout doucement augmentant alors mon stress, ma respiration. Le premier coup s’abattu. C’était si.. vil de sa part. Mais ma fierté prenait le dessus comme lorsque j’étais jeune et que j’étais dans cette déviance, voulant dire.. même pas mal, mais je bouillais pour me retenir de ne pas crier en voulant même faire ce petit sourire en coin, le regarder dans les yeux. - Merci, Monsieur… avec un ton provocateur. Il fit alors de même à deux autres reprises. Il avait ce coté un peu sadique à frapper au même endroit. Au dernier coup, j’avais ravalé ma fierté. Je me pinçais les lèvres. Il faisait la même opération sur ma main gauche. J’étais calmée. - Donc où en étais-je ? me dit-il Vous avez été convoqué Mademoiselle Lane pour deux heures de colle. J’ai ici un carnet de notes à votre égard sur vos manquements qui semblent s’accumuler ces derniers temps. Vous comprenez bien que je ne peux pas tolérer tout cela est que vous allez être punie. Le comprenez-vous, Mademoiselle Lane ? Je souriais intérieurement car il avait réellement pris des notes sur les petites libertés que j’avais prises ces derniers jours avec les dates et les horaires ! Lisez- moi à haute voix cette page. Il me tendit alors son carnet de note. - Lundi 19h : non envoi de la photo de sa chatte trempée. - Mercredi 15h : Echange téléphonique - Oubli de m’appeler Monsieur à 3 reprises. - Jeudi 17h : avoue s’être caressée malgré mon interdiction. Je me disais qu’il n’avait rien relevé. Il est vrai que lundi, il m’avait mis dans un tel état d’excitation mais je n’avais pas forcément envie de lui envoyer ma photo de mon sexe brulant puisque je ne la jugeais pas présentable. Je n’étais pas encore aller chez l’esthécienne.. Mercredi, je devais être tête en l’air et guillerette. C’est probablement la raison pour laquelle il ne m’a pas corrigé.. Quand à Jeudi, c’est pas très sympa car j’ai avoué ma faute. Je n’en pouvais plus. La voix de la petite chienne que je suis a pris le dessus… mais j’avais avoué. C’est là que j’arrêtais la lecture. Je voulais m’expliquer et je commençais à lui répondre - Cher Monsieur, je suis navrée m.. - Vous ai-je donner le droit de répondre ? Taisez-vous maintenant. Vous allez me faire une lettre d’excuse pour votre mauvais comportement ! Vous avez 15 min. Je m’installais alors sur le banc. Je pris mon vieux stylo plume. Le silence s’était installé et était à la limite stressante. Il s’était assis sur sa chaise, à son bureau, face à moi. IL m’observait. Le regard inquisiteur. Le rouge me monta au joue. IL avait cette prestance, ce regard, cette voix.. toutes ces petites choses inexplicables qui sont si importantes. Vous le comprenez j’en suis certaine, surtout vous Mesdames. Je commençais alors ma lettre *********************************************************************************************************** Cher Monsieur, Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. Mademoiselle Lane ******************************************************************************************************************** - Avez-vous terminé, Mademoiselle Lane ? - Oui, Monsieur. - Parfait, me dit-il. Maintenant venez ici à mon bureau, avec votre lettre d’excuse avec une voix autoritaire. Je me levais et je me dirigeais vers lui. - Bien, maintenant que vous vous êtes penchée sur votre mauvaise attitude, vous allez vous allonger sur mes genoux. Maintenant ! Je m’installais sur ses genoux. Je sentais à travers mon bas entre son sexe. Toujours dans ce silence, il soulevait avec délicatesse ma petite jupe. Il caressa mes cuisses, puis les empoigna de manière plus ferme. Il remonta ma jupe sur mes fesses. - Quelle croupe chère Mademoiselle. D’une main ferme, il baissa ma culotte sur mes cuisses. - Maintenant Mademoiselle Lane, vous allez me lire votre lettre d’excuse, tout doucement pendant que je vous fesse. Vous allez me remercier pour chaque coup que je mettrai. - Je… Oui, Monsieur, j’ai saisi. Je prie alors ma lettre à deux mains et je commençais à lire ma lettre. - Cher Monsieur, Une première claque s’abaissa sur ma fesse droite. - Merci Monsieur. Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours Puis une autre… bien plus forte celle-ci qu’elle m’arracha un cri. - Merci Monsieur. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses Deux autres d’affilées s’abattirent au même endroit. Ma fesse droite commençait à chauffer. - Merci Monsieur. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Ma fesse gauche ne resta pas en reste quand il m’en mis une.. puis une.. puis encore une.. J’avais du mal à me concentrer à ma lecture, à ne rien laisser transparaître. Ma correction était bien méritée. Il avait une telle poigne.. - Merci… Monsieur, dis-je avec une voix troublée et douloureuse. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Il continua.. Mes fesses commençaient à me gratter. Je commençais à vouloir me défiler de cette punition. - Me.. hésitante.. Merci Monsieur. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Il me fessa pour cette dernière d’une telle force que je m’en souviendra je pense.. Un cri s’échappa. J’avais envie de me soustraire, de ne pas être sur ses genoux. Puis me voyant ainsi, il me laissa le temps de me ressaisir tout en caressant doucement mes fesses qui devaient être écarlates. - Merci.. merci Monsieur. - Continuez je vous prie Mademoiselle Lane. - Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Je sentis sa main se soulever à nouveau, et contre tout attente, au lieu de me fesser il malaxait mes fesses. Certes c’était douloureux, mais quelques part cela apaiser le brasier qu’il avait mis à mes fesses. - Je vous remercie Monsieur. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. Il me remit une fessée. J’avais envie de pleurer cette fois. Faire tomber ma fierté. Lâcher prise. Merci.. Monsieur, en laissant perler les larmes de mes yeux. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. C’est là qu’il me caressa d’une infinie douceur, pour me soulager. - Merci Monsieur pour l’attention que vous m’accordez. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. - Vos excuses sont acceptées Mademoiselle Lane. J’espère que vous en avez tirez les conséquences. Asseyez vous devant moi, les jambes bien ecartées, les paumes posées vers le haut, sur vos cuisses. Je m’exécutais. Une fois assise à ses pieds devant lui, j’avais stoppé mon attitude insolente. Il m’avait bien remise à ma place. Mes yeux étaient naturellement baissés. Je n’osais plus croisé son regard. Honteuse petite chienne que j’étais. J’avais cedée à la facilité. Je sais que ce qu’il me demande c’est autant d’attention qu’il m’en donne. J’avais regretté de mettre caresser car au fond, il voulait me faire jouir avec encore plus de violence. Je comprenais qu’il ne voulait que mon bien. De sa main droite, il me releva le menton afin de me regarder et que je puisse plonger mon regard dans ses yeux bleus. Puis il secha mes larmes avec la pulpe de ses doigts. Naturellement je plaçais ma joue contre sa main si réconfortante. J’aimais ce moment de relâchement, cette parenthèse de douceur entre différents.. Mots.. maux. - Vous savez que j’accorde une importance au maintien chère Mademoiselle Lane. J’aime vous voir dans cette position d’attente à mes pieds. C’est là qu’il prit entre ces doigts ma bouche puis me gifla. Bonne petite chienne. Je vous interdis de me regarder ainsi. Je savais jouer de mon regard, je savais qu’il l’adorait. J’aimais quand il me punissait parce que je le regardais. En même temps j’adorais qu’il me traite ainsi. Lui seul savait, lui seul avait ce droit sur moi. Il me releva en me tenant par la queue de cheval. Il se tenait derrière moi. J’aimais sentir son souffle au creux de mon oreille, quand il me parlait doucement. Cela me rendait toute folle, à obéir. Ma tête était maintenant en arrière, il me disait comment j’étais sa petite putain, voulant me faire dire tout ce que je suis , tout ce que je mérite. Il saisit à travers mon chemisier mon sein droit. Avec force il me malaxa. - Tu es à moi. Rien qu’à moi petite catin. C’est là qu’il déboutonna un à un les boutons de mon chemisier tout en me maintenant fermement. - Regarde moi comment tu es, petite trainée. Tu n’attends que cela.. d’être comblée, prise, doigtée, fouillée, enculée, bourrée, labourée.. Mais comme tu es dégouillante. Mais doigts sont trempés de ta cyprine. Quelle chienne tu es ! D’un seul coup il me poussa vers son bureau. J’avais les deux mains dessus. D’un geste très viril, il souleva ma jupe et déchira ma culotte. C’était un moment si.. érotique, si bestial. Je gémissais de désir. Je lui résistais, ne voulant pas succomber, ne voulant pas céder si rapidement à cet état qu’il me provoquait. Mais peut on raisonner une chienne qui ne demande que cela ? non.. Il me retourna avec cette violence virile puis mis ma culotte trempée dans ma bouche. Puis il mis sa main sur ma gorge et la serra. Il me possédait avec cette force ; J’aimais sentir sa poigne sur ma gorge. Je me sentais encore plus lui appartenir. - Je ne veux même pas t’entendre ! Je vais te prendre et abuser de toi. Prendre mon plaisir. Tu vas être ma putain. Tu as osé te caresse sans mon autorisation. C’est là qu’il mis plusieurs doigts dans ma chatte. Elle était si trempée qu’elle aura pu engloutir bien plus que ces deux doigts qu’il avait mis… C’est alors qu’il en mis quatre.. A faire des va et vient si fort. A me stimuler. J’étais là.. Muselée par ma culotte, je sentais sa main sur mon cou. Je sentais son regard sur moi. Je me sentais toujours honteuse quand il faisait cela. Je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais si fontaine. Il aimer me vider, m’épuiser… - Petite garce, regarde tout ce que tu fais jaillir… Des larmes de joies coulaient de mes joues. Je tremblais de désir, j’avais tant envie de l’honorer comme il m’honore. Je n’attendais qu’une chose, et vous devinez bien quoi… ? - Tu ne mérites pas ma queue ! Il me gifla un coup puis un autre.. Puis il me laissa là.. interdite, sans aucune force. - - Allez debout ! qu’elle est cette manière de se dandiner ? A coté de ta table. J’avançais à ma table avec cette démarche incertaine. Mon entrejambe lui aussi se dandinait à l’envie de sentir une queue y entrer.. ou tout autre chose. Il m’avait juste mis l’excitation à un tel point. Il s’avança vers moi et plaça un livre sur ma tête.. - Chère Mademoiselle Lane.. reprenons notre leçon.. de maintien. Ce livre ne doit pas tomber. Est-ce bien clair ? - Oui.. cher Monsieur. - Bien… Maintenant je vais m’occuper du maintien de vos seins. Il aimait jouer des corses. C’est là qu’il entreprit d’utiliser mon corps pour sa toile. Aucun mot ne sortait même si on se disait tout.. Ces moments là où tout est parlant dans le silence. Cette concentration qu’il mettait à faire chaque passage de corde, chaque nœud pour mettre en valeur mon corps. C’était une fierté d’avoir toute cette attention à mon égard. Il me fascinait. Mais avec ce livre sur la tête, je ne pouvais le regarder. Il m’en avait privé. Il avait particulièrement fait passé les cordes autours de mes seins, les maintenant fermement, les faisant ressortir. Il s’éloigna de quelques pas pour admirer son œuvre. Il faisait le tour de moi, m’effleurait.. La posture a tenir n’était pas aisé avec ce maudit livre. C’est là qu’il prit la paire de ciseaux de ma trousse et entrepris de couper.. couper la chemise, couper le soutien gorge.. - Voila je préfère… Je vois que vous avez su faire preuve de tenue. Je vous en félicite,dit -il en me regardant dans les yeux et en tenant dans chacune de ses mains mes tétons Il les tira pour les amener à lui. J’avais envie de pousser un tri mais je pensai à ce livre sur ma tête à ne pas faire tomber. - Ne bougez pas. Vous êtes très belle ainsi. Je vais vous ornementer. Il se dirigea vers le tiroir de son bureau. Je devinais ce qu’il sorta… - Vos seins, Mademoiselle Lane sont si magnifiques. Vos tétons si.. doux.. une invitation à s’en occuper. Je sentis le métal de la pince. Il avait choisit une pince qui s’adaptait. J’étais très sensible et il le savait. Mais je savais que j’allais devoir me surpasser. Malgré ce qu’on pense, cette douce douleur amène ensuite un tel plaisir, une libération, un lâcher prise comme lorsqu’on gravit cette montagne et qu’on a souffert mais on est si heureux après. Me voilà avec des pinces sur mes seins reliés par une chaine. Il tira la chaine à lui. Je ralais.. Puis il tira à nouveau. Le livre tomba. - Vilaine petite écolière incapable de se tenir. A genou sur votre table ! - Voyons l’état de ma petite chienne. Ah oui je vois que ça mouille toujours autant. C’est là qu’il passa entre mes lèvres quelque chose de rond et métallique. - Voila, je pense que cela va rentrer comme dans du beurre.. dans votre petit fion de salope innoncente. Je sentis mon petit anus céder sous la pression de cette boule. Cette dernière a été engloutit rapidement. Il me l’avait enfoncé avec force et sans réel ménagement. Il attacha le crochet anal à ma queue de cheval en laissant un léger mot pour préserver mon dos. Je me retrouvais ainsi tel une chienne cambrée à exposer ses attribus et en ayant la tête maintenu fièrement dressée. - Voilà ce qu’est avoir du maintien Mademoiselle Lane.. Un cul prêt à recevoir, des seins dressés et un port de tête altier. Une chienne muselée..Le cours de maintien débute si bien. Il ne vous manque que votre collier.. mais vous n’êtes pas digne aujourd’hui… Il était derrière moi à regarder mon sexe offert à sa vue. Il effleurait mes cuisses, mon entrejambe.. Je n’attendais moi qu’une chose..mais je ne pouvais bouger. Il prie chacune de mes lèvres entre ses doigts, les pinça, les écarta… Il m’inspectait. - Je vois que votre chatte est bien douce et lisse. Votre cyprine coule dessus c’est divin à regarder. Il plaça alors un gode rattacher à un manche dans ma chatte. - Ne pensez pas que je vais vous faire le plaisir de vous baiser avec. J’ai juste envie de vous voir remplie comme une bonne petite pute qui n’attend que ça. Il retira ensuite de ma bouche ma culotte. Il prie à nouveau un objet de son bureau… un baillon avec un anneau. Il me plaça afin que je garde la bouche bien ouverte, attendant d’être à la disposition de la queue de mon Maître. Puis pour terminer son œuvre, il mis une corde autours de mon cou qu’il fixa à un anneau. Ainsi j’étais à sa merci, à ne plus pouvoir rien faire si ce n’est.. attendre. Voilà, vous allez terminer votre colle ainsi.. Mademoiselle Lane. Je vous laisse méditer, petite chienne. C’est là que je sentis une frustration immense. La punition était à la hauteur de mes manquements.
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Par : le 29/04/20
Au fond du cachot… Attendre sans aucune raison que de tuer le temps est difficile et parfois, par rapport au temps qui passe, respectivement à sa durée de vie, peut être compris comme étant du gaspillage. Je n’aime pas cela! Je suis quelqu’un d’actif et plein de ressources avec une imagination très riche. L’attente pour elle-même m’est donc pénible. Pour attendre, il faut entrer dans le monde BDSM. Là, la vie change de couleur. Attendre, aussi longtemps que la Maîtresse le décide, c’est autre chose. Alors ces moments provoquent chez moi un afflux absolument débordant de réflexions, de pensées, d’idées. Un mélange tout à fait au hasard de situations vécues, de films visionnés, de lectures, de conversations, toute une série d’images et de situations qui défilent dans la tête. Attendre comme je l’ai déjà fait avec vous, Maîtresse. Vous vous en souvenez certainement alors que j’étais entravé avec ce carcan qui vous enserre le cou et les poignets. A plusieurs reprises, vous vous êtes placée au-dessus de moi et vous m’avez inondé avec votre liquide doré. Je devais lutter contre l’inconfort, j’étais trempé de votre liquide divin, j’en avais autant que je pouvais d’ailleurs. Et après, j’ai attendu. Une attente tout au contraire captant ces images et ces sensations, pour un soumis, c’est un véritable délice. Ces moments mettent d’ailleurs en relief toute la relation. Dans mon parcours, je crois vous avoir expliqué que, j’avais attendu dans cette oubliette, nu, complètement souillé de poussière et d’urine, les mains menottées dans le dos. C’était dans cette prison de Grossenhain près de Dresde. Ou encore cette attente dans le cachot, où je posais ma tête sur le boulet de prisonnier. Reposer ainsi sur le sol, se transformant en un véritable supplice car rester sur une épaule devient difficile et je devais donc me retourner pour m’appuyer sur l’autre épaule, souillant du coup tout mon corps d’un mélange de poussière de petits gravats et d’urine. En fait pour moi, ce fut absolument délicieux et je m’en souviens comme si c’était à peine fini. Je me souviens aussi de ce terrible supplice qu’est d’être enfermé dans une cravate. Attendre, en souffrant l’horreur, j’ai crié de douleurs à cause des crampes dans mes jambes, je tremblais de froid après avoir été aspergé d’urine par mes deux « gardiens ». En plus, j’avais le goût délicieux d’une abondante giclée de sperme encore en bouche d’une fellation faite sur la queue du soumis que le gardien avait amené. Cette attente était aussi merveilleuse. Je sais que je tremblerai de peur d’être encore bloqué dans cet innocent instrument de torture (mon mal au dos étant sauf…). J'y suis resté 4 heures 48 minutes d'ailleurs. Attendre nu, couché sur le sol, dans le noir, entravé, la bouche occupée par un bâillon qui fait baver. Une belle épreuve surtout quand on sait que bientôt je vais être, à nouveau, torturé et supplicié. Attendre, complètement attaché, incapable de bouger, après avoir été giflé et boxé, le visage couvert de crachats qui coulent lentement le long du visage. Attendre jusqu’à ce que ces crachats, justement, sèchent, probablement une attente interrompue par un petit arrosage « champagnesque »… suivi d’une nouvelle attente. Autant de souvenirs et de moments qui font bouillir le cerveau de choses absolument indescriptibles. Vous savez, Maîtresse, que dans mes rêves, je m’imagine être enfermé, nu, souillé, dans un cachot. Je l’ai déjà été pendant 5 ou 6 heures. C’était bien. Mais mon rêve donc, c’est l’attente pendant 24 heures au moins, sans être abreuvé ou juste arrosé de temps à autre, pas nourri, juste prisonnier. Peut être interrompu par des visites de vous ou de vos amies, pour rire et commenter cet objet que je suis ou, si l’envie vous en prenait, de me sortir, de me faire subir une flagellation, une séance de kick-boxing assez dure pour tout de suite après me remettre dans la cage ou le cachot. Peut être, juste avant de fermer la porte, de me cracher sur le visage histoire de me dire, « hi hi, t’as soif? eh bien voilà, je te donne un peu de ma salive car je prends soin de toi ». Moisir dans la cage exposé aux visiteurs et initiés qui mangent ou boivent devant, viennent vous pincer le corps entre deux conversations, vous tirer par les cheveux et se moquer de vous… Etre enfermé, avec un autre soumis mais la bouche entravée avec une bride-bavarde ou la bouche cousue pour m’empêcher de pouvoir communiquer avec l’autre et attendre, nu, sur le sol poussiéreux. Evidemment, Maîtresse, une attente avec tout le décorum que l’on peut imaginer, chaînes, fers, plugs insérés dans l’anus et reliés à une chaîne, cages, oubliettes, cellule sale, participe à rendre l’attente comparable à une session. L’attente consécutive à une explication de ce qui attend le soumis, lui expliquer qu’il va affronter une dure session, un échange oral ou s’échangent aussi caresses, gifles, coups de genoux ou de pieds, plonger la main dans la bouche, où le soumis dit son désir de montrer sa dévotion, son désir de souffrir pour prouver, pour aimer aussi. Cette longue préparation qui va « potentialiser » toute la relation. Cela permet aussi à la dominante ou au dominant de disposer du temps pour elle, pour lui, de préparer la session suivante, de manger, de boire, de se reposer, de lire ou de regarder la TV, de s’occuper d’un autre esclave. Les conséquences de ces attentes sont évidemment une montée en puissance de l’effet des tourments et des supplices. Probablement aussi une meilleure performance et de résistance aux supplices qui arrivent par une préparation des décharges d’endorphines. L’attente est donc, si vous voulez, une sorte de potentiomètre agissant sur le cérébral du soumis dans la relation et les actions qui suivent. Avant de conclure, j’aimerais mentionner les moments d’attente qui précèdent une session. Les temps consacrés à la préparation, la manipulation des fers, des chaînes, des cordes, le temps de fixation, les explications ou les mots prononcés par l’opérant au soumis. Je pense par exemple aux sessions sur les croix de St.-André (j’en parle car je l’ai pas souvent vécu) où l’on attache, lentement, vérifiant la solidité, où on en rajoute pour bien fixer tout le corps, où l’on glisse le bâillon dans la bouche. Tout ces moments qui préparent le soumis à la torture pour votre plaisir et votre joie de posséder et de faire toutes les choses qui vous passent par la tête. Finalement l’attente met en relief tout ce qui est avant et après une session et cela joue en moi un effet important. Je suis reconnaissant à Maîtresse Gabrielle de me permettre d’évoquer cela dans le détail. Cela aide à la compréhension mutuelle et apporte aussi aux autres lecteurs des éclairages qui parfois manquent. Maîtresse, j’attends la fin de se satané confinement car, ça, c’est devenu une attente intolérable! Kaji, SLNR 386-312-138
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Par : le 29/04/20
Baptiste s’est redressé sur les genoux. Les yeux baissés il n’ose plus bouger, il savoure cet instant hors du temps. Puis Maîtresse Julie le repousse brutalement, il perd l’équilibre et heurte le sol. Un petit sourire ironique soulève les coins de ses lèvres. Ce fût une belle petite séance en plein air. Et ce n’est que le début du week-end. Julie laisse Baptiste au sol et s’étire en ajustant sa jupe et son petit top, puis elle pose son pied sur la tête de son soumis, attrape son téléphone et prend une photo. Par respect pour elle et lui les visages n'apparaissent pas mais on voit bien qu’elle le domine. Puis elle se penche, saisit la laisse et tire dessus. L’homme ou plutôt le chien se relève un peu et se met à quatre pattes tête baissée. Sa maîtresse le regarde et lui caresse la tête «Bien le chien, réajuste toi un peu ! Tu ne ressembles à rien ainsi. »Baptiste se redresse un peu, remonte la culotte de dentelle sur ses fesses, puis glisse la chemise dans le short et resserre sa ceinture. « Plus serré la ceinture ! Encore ! Je veux qu’elle te gêne !.—Oui Maîtresse Julie, » souffle Baptiste de nouveau à quatre pattes. Elle lui fait faire le tour du bosquet, lui ordonnant de se baisser, passer sous le banc de pierre, puis ramper. Elle ramasse un bâton et force sa bouche pour qu’il le prenne, puis tire et il résiste en souriant à la douleur. « Bien le chien !Ça te plaît de faire le chien !N’est-ce pas ?Allez , vas-tu lâcher Sale Bête ! » Mais dans un curieux sursaut de quelque peu chose qui ressemble à de l’honneur, Baptiste ne lâche pas et défie sa domina. Alors d’un grand coup de laisse sur les cuisses , elle lui impose sa volonté « Tiens et maintenant lâche ce bâton c’est un ordre ! Espèce de sale petit bâtard ! Vas-tu apprendre à obéir ? Sinon je vais te laisser attaché ici ! Sais-tu que ce bosquet reste désert toute la nuit ? » À ces mots, les mâchoires du soumis se relâchent , le bâton plein de bave glisse vers ses lèvres et les yeux baissés sur les bottes de Julie, il rougit de honte. L’idée de rester attaché toute la nuit dans le parc le terrorise. Il ne sait pas qu’une domina ne ferait jamais cela, que c’est contraire à l’honneur du bdsm qui exige que les soumis soient toujours en sécurité. Mais Baptiste a vraiment peur car il ignore la plupart des règles. Il est nouveau dans le milieu. Et arrivé depuis peu dans la région il ne connaît pas non plus les habitudes des habitants qui pourraient le surprendre attaché comme un animal abandonné et le mettre dans une situation encore plus inconfortable. Mais Julie éclate de rire en voyant son expression et d’une caresse et de quelques mots gentils le rassure : « Tu as l’air inquiet pour de vrai dis donc ?Mais non, voyons, on ne fait pas ça ! Je suis responsable de toi, jamais je ne te mettrai en danger volontairement ! Bon marchons un peu puis nous irons chercher la voiture. Nous allons rejoindre quelques amis pour une soirée privée ce soir. Je te présenterai. Et tu m’obéiras !Compris ? – Oui Maîtresse Julie ,» murmure le pauvre Baptiste un peu perdu devant cette volte-face. Elle tire sur la laisse et ils avancent tranquillement jusqu’à la grande allée. « Debout ! Mais tu vas garder le collier ! Compris le chien ? – Oui Maîtresse Julie» . D’un geste presque tendre Julie relève les cheveux de la nuque de son soumis et détache le mousqueton. Elle entoure le poignet du jeune homme de la chaîne et leurs doigts se mêlent naturellement. D’un pas rapide ils se dirigent vers la ferme de Marie-Antoinette, passent le ruisseau presque à sec où quelques truites japonaises lèvent une tête amorphe vers eux. Après avoir traversé la cour, Julie le conduit vers la grande grille non loin de la place de la Loi. Les abords du parc sont saturés de voitures en stationnement, mais la jeune femme habite le quartier depuis quelques années et sait trouver les places improbables. Toujours enchaîné Baptiste suit et écarquille les yeux devant le luxe des bâtiments et des véhicules aperçus. L’ombre des arbres commence à s’allonger et la fraîcheur va vite tomber, après quelques minutes à l’ombre il sent les poils de ses bras se hérisser. D’une tape affectueuse Julie le fait accélérer vers sa petite voiture cachée derrière un camion. Elle lâche sa main et sort les clés de son sac. D’un doigt elle lui montre le siège arrière. Elle sait pertinemment qu’il ne pourra s’y glisser qu’en se contorsionner. Ces petites voitures ne sont pas adaptées à ses longues jambes. Elle se glisse à la place du conducteur et recule le siège passager pour lui laisser encore moins de place. Il baisse la tête mais ne dit rien. Elle se tourne vers lui, tend son bras et lui écarte les jambes. Puis elle saisit son entrejambe entre ses doigts petits mais vigoureux et pince fort. Un petit cri échappe à Baptiste et il se mord les lèvres aussitôt, conscient de son mauvais comportement. La main serre plus fort encore. Il se met à pleurer en silence en mordant encore ses lèvres. De l’autre main elle claque sa cuisse. Puis elle lui tend sa badine. « Tape tes cuisses le chien. Je veux entendre claquer ! Compris ?Et tu comptes en disant Merci Maitresse comme l’autre jour !» Julie s’installe correctement pour conduire et très habilement elle leur fait quitter la rue. Elle retourne vers le château et la grande Place d'Armes pour le contourner et se diriger vers Saint Cyr l’École. Au feu elle tourne la tête, son soumis a les cuisses bien rouges, ses yeux pleurent de se frapper lui-même, de honte et de douleur. Elle le fait cesser « C’est bien. Prend dans le vide-poche de quoi te désaltérer, il y a de l’eau et des fruits secs si tu as faim-- Merci Maitresse Julie » répond le p’tit soumis en tendant le bras. Il se rend compte à ce moment là qu’il commence à avoir faim et ce petit grignotage le comble d’aise. La circulation est assez dense et Julie ne va pas très vite. Il a le temps d admirer la Pièce d’eau des Suisses qui doit son nom à la Garde Suisse de Louis le quatorzième ou Roi Soleil. En effet les travaux d assainissement du marécage avait décimé les ouvriers et on fit appel aux valeureux Suisses, ceux dont il est dit qu’ils meurent et ne se rendent pas, pour finir le chantier. De l’autre côté il aperçoit le parc du château, qui court presque jusqu’à St Cyr. Julie lui explique que l'INRA, installé dans les anciens dépendances, fait des lâchers de coccinelles tous les ans pour lutter contre les pucerons des rosiers dont elles se nourrissent. Puis ils traversent la ville en direction de Bailly, petite ville très bourgeoise où se déroulent des rencontres intimes de bdsm dans de belles villas privées cachées pas de hauts murs. Pour la rejoindre ils longent les travaux de la future ligne de tram et, de l’autre côté, la Ferme de Gally qui s étend sur plusieurs hectares et où les habitants de l’agglomération du Grand Versailles viennent satisfaire leurs désirs d’écologie.. Au carrefour de la Grille de Maintenon, du nom de la favorite du roi, ils tournent à gauche .Aprèsavoir quitté la grande rue et aperçu l’Hôtel de Ville au milieu d’un espace vert dégagé, Julie se faufile dans une petite rue sur la droite et après quelques changements de direction que Baptiste cesse de compter elle s arrête devant une majestueuse grille en fer forgé noir. « Descend sonner et dis que Maîtresse Julie est arrivée, puis passe le portail et suis la voiture à quatre pattes. Compris le chien ? --- Oui Maîtresse », murmure Baptiste en descendant de voiture. Il peut enfin déplier ses longues jambes qui commençaient à s'ankyloser. Il appuie sur le bouton de l’interphone pour annoncer sa maîtresse et le portail s’ouvre sans un bruit. Derrière, une belle allée en gravier conduit jusqu’à une grande demeure en meulière. La voiture entre et roule au pas pour ne pas trop bouleverser l’ordre du gravier et Baptiste se met à quatre pattes et suit la voiture. Il sent les gravillons à chaque mouvement lui griffer un peu la peau des genoux qui n’est pas vraiment habituée à ce traitement. Au bout d’une trentaine de mètres, il se retrouve au bas d’un bel escalier en pierre grise de quelques marches et attend. Julie descend de sa petite voiture qu’elle a garée à côté d’une grosse berline noire. De son pas dansant elle s’approche de son soumis en faisant tourner la laisse et la fixe au collier avec le mousqueton. D’une caresse un peu rude sur sa tête elle le guide pour monter l’escalier. La grande porte en chêne massif sculptée s’ouvre et une magnifique femme toute de noir vêtue apparaît. Les bras largement ouvert elle prodigue à Julie une accolade sincère et chaleureuse puis elle baisse les yeux vers Baptiste et tend un pied botté vers lui. « Lèche le chien ! Ainsi tu seras autorisé à pénétrer dans ma demeure !—Obéis ! » ordonne Julie , et Baptiste lèche d’un bout de langue récalcitrant le talon qui s’est posé sur ses lèvres. Une caresse le récompense. Il se sent heureux d’être accepté par cette grande et belle femme. Il ose un regard et aperçoit de hautes bottes à talons compensés, dans lesquelles se sont glissées de longues jambes fines au mollet un peu fort recouvertes de bas résille noirs. Il ne fait qu’apercevoir le bas d’une jupe de cuir qui descend à peine sur le haut des cuisses. Sa laisse est tirée brutalement pour lui rappeler qu’il doit baisser la tête. Les deux femmes s’embrassent sur les lèvres puis se dirigent vers la vaste entrée dont le sol est recouvert de tomettes à l’ancienne. Elles font une halte et un soumis habillé en soubrette présente à Julie une tenue de diablesse rouge. La domina sans pudeur quitte sa longue jupe ainsi que son top et revêt la jupette rouge sans sous-vêtements. Puis la soubrette l’aide à enfiler le corset rouge aux larges lacets noirs. Un bibi de dentelle rouge complète la tenue. « Merci mon amie, c’est le genre dont je raffole !Et rouge, tu me combles de joie ! » et voilà Maîtresse Julie qui se met à tourner sur elle-même pour se faire admirer ! » Elle confie la laisse à la soubrette en lui disant « Trouve une tenue correcte mais laisse lui sa culotte rouge, elle ira bien avec la mienne » et un joyeux éclat de rire raisonne dans l’entrée. Le soumis de la maison tire sur ma laisse et me fait franchir une porte. Je me retrouve dans une cuisine où une lirette devant un bol d’eau attend . Là le soumis m’informe que dans cette pièce, si les maitres ne sont pas là, il m’est autorisé de me lever et de m’asseoir sur le tabouret de bar en bois si je le souhaite. Je déplie mes jambes aussi sec et tend la main vers la sienne « Baptiste, enchanté. –Marc » répond-il en saisissant ma main d’une poigne vigoureuse. « Voyons voir ce que tu vas mettre à la place de cette tenue qui est franchement ridicule mais tout à fait adaptée ». Je rougis, conscient de l’exactitude de ses propos « J’ai suivi les ordres de Maîtresse Julie » murmuré-je en rougissant et sans oser le regarder en face. Il hausse les épaules, sourit gentiment et sort d’un sac de sport un ensemble de lanières de cuir et de boucles de métal. « Je sais, ne t’excuse pas, mais déshabille toi que je puisse t’équiper , et garde ta culotte rouge, il semble qu’elle y tienne». Je m’exécute et me retrouve en culotte très vite. Avec une grande dextérité il relie mon collier à des lanières qui compriment mes cuisses et mon torse . Il me met des genouillères, des chevillières et des poignets de cuir avec des anneaux d’où pendent des mousquetons et commence à me guider vers une deuxième porte qui donne sur la salle de réception. Juste avant de l’ouvrir il me fait comprendre d’une pression sur les épaules que je dois me remettre à quatre pattes.
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Par : le 29/04/20
Je rentrais complètement énervée. Dans ces moments là, je suis plutôt expéditive à vouloir m’isoler. Un rien peut me rendre comme une panthère, prête à sortir les crocs, à griffer. J’allais le rejoindre. Il m’avait ordonné de venir dans son antre. Vêtue d’une robe légère framboise laissant apparaître un décolleté léger qui arrivait sous mes genoux avec des petites sandales printanières, je toquais à sa porte. Sa maison était située à la campagne, une maison faîte de pierre décorée avec goût et des matières naturelles. J’aimais beaucoup me rendre dans cet espace où je pouvais me libérer de toute tension. C’est là qu’il ouvrit la porte. Habillé d’un Jean bleu foncé tenu par une ceinture marron clair et une boucle élégante, il portait une chemise légère qui le rendait tellement sexy. C’est là qu’en arrivant je manquais à tous mes devoirs. Je rentrais sans répondre à son bonjour, et en parlant de mon énervement. C’est là que d’un seul geste, il se rapprocha de moi, m’empoigna les cheveux et se mit derrière moi. - Tout doux… Respire… Je crois que tu en as oublié tes belles manières. C’est là que je voulais répondre pour m’expliquer. Il mis sa main sur ma bouche tout en mettant son bras autours de mon cou - A partir de maintenant, je vais t’apprendre à te contrôler, à gérer ta colère et surtout à ne pas jeter ta mauvaise humeur sur moi. Je t’interdis de me parler, sauf si je te l’autorise. Je vais te traiter comme une poupée, ma petite poupée, dévouée. Je vais devoir te punir comme une enfant. C’est tout ce que tu mérites. Suis-je clair ? Je hochais de la tête un oui avec une certaine crainte ce qui allait venir. IL savait tout de suite prendre les rennes. Au fond, il savait baisser mes tensions, me rassurer. - Enlève moi cette robe. C’est là qu’il me jeta au sol, le visage plaqué contre le parquet qu’il maintenait avec son pied. - Tu n’es qu’une bonne petite chienne. Tes mains dans le dos puis ne bouge pas. C’est là qu’il se mit sur mon dos. IL me mis un gag ball et le serra très fortement. - Voilà qui va être parfait. Ne pas t’entendre râler. - Puis il me mis des bracelets en cuir aux poignets, puis à mes chevilles. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Je m’executais. J’étais ainsi les seins dénudés, avec une petite culotte fine. Il me botta les fesses avec son pied pour me faire avancer. - Allez marche un peu, je vais te remettre à la place qu’il se doit. Tu vas méditer à ton comportement. Allez avance vers là bas.. Le là bas était son bureau / boudoir où parfois il me recevait. Je savais que cette pièce était relativement petite, sans fenêtre où l’on trouvait un bureau avec un fauteuil voltaire, un canapé. Elle était relativement froide et rustique. Il alluma la lumière et sans ménagement, je découvris une couche au sol. - Allez sur ton tapis. Je me refusais à ce traitement. Je n’aimais pas cela. C’est là qu’il me traina par les cheveux. Il entreprit alors de m’encorder afin de m’immobiliser complètement. Quand il est dans cet état, j’aime le regarder. Il est comme posséder. Je ressens une certaine froideur malgré sa bienveillance. Je souris intérieurement. Il prit un malin plaisir à jouer des cordes pour que je sois à sa merci, toute offerte, de manière à être inconfortable pour me voir me mouvoir. Je devinais que cela le rendait fou, de me voir ainsi à sa merci. Le regardant droit dans les yeux, comme pour le supplier de me libérer. - Il te manque ton collier de chienne. Et ne me regarde pas. Tu baisses le regard sinon je vais être obligée de bien te corriger. Est-ce cela que tu veux ? Des coups de cravache ? hum.. non le martinet serait plus appropriées aux petites chiennes dévergondées. Une fois le collier mis, il prit la laisse qu’il serra court contre le radiateur. Puis il sorti en éteignant la lumière. J’étais ainsi dans le noir, offerte à ses moindres désirs, enchaînée. J’étais quelque part énervée de me retrouver ainsi alors que je voulais être contre lui et de l’autre je sentais l’excitation me gagner. Son imagination était toujours incroyable. Il savait me surprendre, il savait de quoi j’avais besoin. J’essayais de me détendre, de respirer calmement. Tout doucement, cet immobilisme me conduisit à ne plus penser à mon état de l’après midi, mais je n’avais qu’une envie, qu’il s’occupe de moi. J’entendais à travers la porte ses pas, je devinais dans quelle pièce il était. Il avait mis une musique de fond, une musique classique. Il était dans un contrôle incroyable, sachant ce qu’il fallait pour me détendre malgré tout. Je notais ce geste d’attention à mon égard. Je commençais à perdre la notion du temps. Je tremblais un peu de froid. La porte s’ouvrit, il alluma la lumière. J’étais aveuglé. Il me regardait en train de supplier en bouger de me défaire de cette place. Mais je sentais que ce n’était pas dans sa volonté.. IL avait le regard rude. Il se rapprocha puis caressa mes cuisses, remonta sur mes fesses. Il se saisit de ma culotte qu’il resserra dans sa main. Il s’amusa à jouer avec le tissu afin qu’il fasse comme une corde passant sur mes lèvres et mon petit anus. Je me dandinais.. - Humm.. je vois que tu ne peux pas te contrôler. Il faut que tu te déhanches. Il placa alors sa main sur mon entrejambe puis m’assena une claque dessus. Puis je senti un effleurement de ses doigts sur mes lèvres. Un filet de mouille s’en dégageait. IL enleva mon gag ball et introduisit ses doigts dans ma bouche. - Allez lèche moi ça… Je ne voudrais pas en mettre partout puis te faire nettoyer les sols. J’ai un petit cadeau pour toi… Regarde. Il sortit alors un plug d’une taille certaine. Mes yeux s’écarquillaient. - Ouvre ta bouche de petite putain. On va s’occuper que tu sois bonne de partout. J’ai une envie de faire de ton petit fion une chatte, un petit garage à bite. - Il tira mes cheveux en arrière pour me redresser et me mit le plug dans la bouche. - Allez lèche le comme si c’était ma bite. Tu es si douée pour ça. Montre moi ton talent. Je veux voir jusqu’où tu es capable de l’engloutir. Il était en train de m’humilier. Je hais quand il fait cela mais au fond, peut être une partie sombre mais cela me met dans un tel état. Etais ce au final une punition ? ou une récompense ?. Je suçais ce plug parfois avec difficulté. Le rythme qu’il donnait me laissait aucun répis, j’en bavais. - Voilà, je pense qu’il est parfaitement humide et préparé pour le mettre dans ton cul. Je te préviens, je ne rien entendre. Compris. - Oui Monsieur. Il me tira à nouveau par les cheveux.. - Je t’ai dit que je ne voulais pas t’entendre. Il remit mon gang ball. Il descendit ma culotte sur mes cuisses. Je me sentie ainsi humilée. J’étais ainsi face contre le sol, les fesses relevées avec cette culotte baissée et trempée. Victime de toute mon excitation. - Tu garderas toute la soirée ta culotte sur les cuisses. Puis je sentie le bout du plug qui commençait à s’engouffrait doucement dans mon anus. Il me demandait de pousser, de travailler à son ouverture. - Allez va-y petite pute. Tu vas y arriver. Je veux que tu sois bien ouverte. Ouverte à ce plug, à ma queue, à mes doigts ou à ma main.. On verra tout ce qui peut y passer. Suis- je clair ? Je hochais la tête avec un léger son timide. Malgré cette situation, j’était toute excitée. - Humm, voila.. tu es parée, ornée.. Je vais maintenant te laisser encore un peu méditer à ton comportement quand tu es arrivée. Je me devais te rappeler qui est ton Maître. Oh oui il était mon Maître, par là je voulais dire mon guide.. Il me connaissait, il me faisait sortir des sentiers battus, en pensant à moi, à lui. Je me sentais lui appartenir, j’avais une telle confiance. Je fermais les yeux en pensant à tout cela.. à ce qui allait aussi se passer. Je soupirais.. Le temps se faisait long. Je l’entendais. Je me sentais délaissée. Je commençais à m’exciter à vouloir bouger, me dégourdir. Quand il revint j’étais presque heureuse. J’étais à nouveau ébloui. Me voyant calme il me caressa la joue puis je sentie sa main ferme me maintenir par le cou. Il détacha ma laisse du radiateur, puis libéra mes mains et mes jambes. Il me tenait haut et court, à maintenir un petit étranglement très excitant. - Cambre toi. Je veux une chienne noble qui expose son cul. Il me faisait marcher à coté de lui, avec fermeté jusqu’à son salon. J’avais ma culotte à ne pas faire tomber davantage Il avait une table- fauteuil posé juste devant la cheminée. - Allez monte dit il en papotant dessus. Ma démarche de chienne était assurée et je montais dessus comme le ferait un chien. A quatre pattes, il appuya sur mon dos pour me faire cambrer. Il maintenant ma laisse courte pour bien me redresser, me dresser. Il se saisit alors de la cravache pour bien corriger ma posture. - Je vais te donner des coups de crache, 10. Tu vas les compter un à un.. et tu vas me remercie par .. Merci Monsieur. Je sentais la cravache parcourir mon corps, je ne savais pas où elle allait s’abattre. Il aimait m’effleurer avec, comme pour détourner mon attention. Le premier coup fut sur ma fesse droite.. et le second aussi et le troisième. IL se montrait particulièrement rude avec moi ce soir. Est-ce don j’avais besoin. Je voulais me dédouaner de la cravache. C’est là qu’il me réprimanda. - Je vois que cela ne semble pas suffisant à t’éduquer comme il se doit. Très bien. Il lâcha ma laisse. Il mit la cravache dans ma bouche puis se saisit du martinet. - Ma blanche neige va comprendre comment une belle pomme rougit… Aucune partie de mon corps n’était épargner. Il commença par mon dos, mes fesses puis mes seins. - Allez cambre toi, écarte bien tes jambes.. que je m’occupe de ton entrejambe de chienne. Là je commençais à trembler. Je n’aimais pas cela. J’avais peur. Je ne voulais pas. Mais ses coups de martinet se faisait de plus en plus fort. Je compris que je devais céder. Il me mit un seul coup sur ma chatte qui me faisait crier et tomber la cravache de ma bouche. Je m’attendais à ce qu’il soit rude mais au contraire, il me caressait doucement sur les parties sur lesquelles il avait adoré mettre des couleurs. J’aimais ce moment là, plein de douceur, où je devais quand même rester sur mes gardes, puisqu’il avait toujours le martinet en main. Alors que je m’attendais à recevoir d’autres coups, il me me redressa. Sors ta petite langue qui n’attend qu’une chose. Il enleva la boucle de sa ceinture. - Enlève là avec ta bouche, puis met là autours de ton cou. - Je veux que tu sortes ta langue de chienne. Je sais que tu la veux ma queue. TU n’as pas le droit de la toucher. Compris ? Il défit son jean et en sorta son membre. Il bandait. - Regarde ce que tu provoques.. Puis il plaça son sexe devant moi, ma langue étant dehors. Je ne voulais qu’une chose, l’honorer, le lecher, le sucer. - Renifle la. Il passa ensuite son sexe sur ma langue et ma bouche. Puis il entra son membre dans ma bouche. Il bloqua alors ma tête en l’amenant vers lui. J’étais là, sans l’incapacité de bouger, ma bouche empaler sur son gland. Il forçait le passa pour atteindre ma gorge à m’en faire baver comme une petite putain. - Regarde moi. Je le regardais droit dans les yeux. Il avait ce regard si intense. Je sentais que j’allais être la victime de son désir. C’est là qu’il saisit la ceinture et serra mon cou avec tout en me baisant la bouche. Je n’avais même pas le temps de comprendre ce qui se passait. J’étais à son service, l’esclave de son plaisir, l’esclave de mon plaisir. Ma bave dégoulinait sur le sol, sur sa queue, je peinais à respirer. - Garde ta putain de bouche bien ouverte ! Je ne veux pas sentir tes dents. Il me gifla. - Brave petite pute. Sa queue était toute dure, je sentais le gland au fond de ma gorge, puis contre ma joue. J’étais dans un tel état. J’adorais quand il m’utilisait comme cela. - T’es la bonne chienne à ton maître. Allez descend et nettoie moi cette bave que tu as mis partout. Je refusais cette tache qui me demandait. Il en était hors de question. - Ah tu rechignes à cette tache… Il me prie par le cou et m’obligea a mettre mon visage contre le sol mouillé. - Nettoie ! Je me refusais à nettoyer. C’est là qu’il prie la cravache.. - Nettoie ! J’aimais ne pas me laisser faire quand je ne voulais pas faire quelque chose. - Je ne le répéterais pas. Nettoie ou tu te souviendras de cette correction. Et crois moi, les coups de cravache de tout à l’heure ne seront rien comparer à ce qui t’attend. Je vais peut être m’amuser avec tes seins. Je sais que tu adores ça. Alors ? Je me refusais toujours. - Très bien, c’est ton choix. Mets toi à genou, les mains dans le dos. Je vois que tu as repris ton tempérament rebelle. Serais ce mes sévices qui te donnent le droit de me défier ? Je souris intérieurement. Mais je ne voulais pas que tout soit facile. - Tu sais très bien que je ne vais pas te soumettre par la force. Je pense que le plus simple, serait de t’abandonner à nouveau dans le bureau.. Est-ce ce que tu veux ? Il savait utiliser les mots justes.. Je m’executais.. je me mis sur les genoux, les jambes ecartées. - Mets des bras derrière la tête. Cela mettait en avant ma poitrine. Je savais ce qui m’attendait. Je devinais dans son regard que mes seins allaient être l’objet de son attention. Il se saisit de deux tires tétons. - Alors voyons voir ce qu’on peut tirer de tes mamelles de chienne. Il positionna le premier. Je sentais alors l’aspiration. C’était une première pour moi. J’étais relativement surprise par à la fois la douleur et le plaisir. Allez encore un peu. - Regarde comme tout est aspirer, penses tu qu’on puisse le mesurer ? - Tais toi, je ne veux pas de réponse. Il fit de même avec le second. J’avoue que je sentie l’inconfort. Il me laissa ainsi, à ma méditation au milieu de la pièce. IL était aller se servir un verre. Il s’était assis face à moi sur le canapé. Je commençais à avoir mal au genou. Mes bras commençaient à s’engourdir. Puis au bout d’un moment. - Alors tu es calmée ? Je fis un signe par l’affirmative. Il s’approcha et retira les tire tétons. Je sentis un soulagement mais qui fut de courte durée. Il se saisit de chacun de mes tétons et les serra fortement. Les tritura. Je le regardais droit dans les yeux. Ma fierté me poussa à refreiner le moindre bruit. Je ne voulais rien montrer, un peu comme une adolescente recevant une fessée pour mauvaise conduite et qui répond .. même pas mal. Voila, tes petits tétons bien dressés, à la différence de toi. Il me releva. Il passa son bras autours de mon cou, et le serra. Cette étreinte me permettait de sentir son souffle. J’aimais quand il me parlait avec murmure au creux de mon oreille - La soirée ne fait que commencer ma petite. Tu es ma fierté, sache-le. Il me caressait le visage, mes fesses. Je n’arrivais plus à me tenir. J’ondulais contre lui. J’aimais son odeur, la douceur de ses mains, sa fermeté aussi. Ce tout qui fait que je sais que quoi qu’il arrive, je suis incapable de lui résister. Toujours en me tenant ainsi, il mit sa main sur mon sexe et me caressa. - Que tu es trempée… je vais me délecter de toi. Regarde mes doigts remplis de ta mouille… Il lecha ensuite ses doigts. Hum ta mouille est exquise, divine. Un si bon nectar. Je veux te voir dégouillanante. C’est là qu’il me relacha, s’accroupit et commença à me fouiller la chatte. Je sentais ses doigts en prendre possession. Il voulait me rendre fontaine. Et il savait y faire. - Regarde moi quelle petite salope que tu fais. Tu ne sais pas te retenir hein ? regarde tout ce que tu as mis par terre… Tout est trempé. Dis moi ce que tu es ? - Je suis votre chienne, Monsieur. - Et que fais la chienne de Monsieur ? - Elle est à sa disposition, à son service, tout comme sa bouche, sa chatte et son cul qui ne demanda qu’à être utiliser. Monsieur. - C’est bien. On va continuer ton éducation anale. Je n’ai aucune envie d’honorer ta petite chatte avec ma queue. Tu ne le mérites pas. Remonte moi ta culotte ! et marche à quatre patte jusqu’à la table. Ensuite je veux que tu te cambres au dessus de la table du salon et que tu écartes tes fesses avec tes mains. Je remontais ainsi ma culotte et j’entrepris de marcher jusqu’à la table. J’avais la sensation que j’allais perdre le plug qu’il avait incéré dans mon petit fion, tellement j’étais trempée. Arrivée à la table, je me remettais debout. Je mis mes mains sur mes fesses avant de les écarter. Je sentis le tissu humide de ma culotte entre elles. - Ecarte moi bien tes jambes. Il s’approcha de moi puis me forca à mettre mon ventre contre la table. C’est là qu’il m’attacha les chevilles de part et d’autres aux pieds de la table. Ensuite il attache mes poignets ensemble et les attacha à l’avant. C’est là qu’il déchira ma culotte avec une telle force que j’en fus surprise. Il claqua ensuite mes fesses, les malaxa et s’amusa à les ouvrir et voir le plug qu’il avait placé. Il appuyait dessus, il passait aussi sa cuisse à hauteur de mon entrejambe. Je me sentais si chaude, prêt à être cueillie. Je n’opposais plus aucune résistance. - Je vais m’occuper de ton fion. Je vais l’élargir. Je vais enfoncer plusieurs doigts, je vais t’écarteler, de fouiller, te baiser peut être avec .. ou peut être avec ma main.. ou peut être avec ma queue. Je veux t’entendre dire que tu es une chienne en chaleur, que tu veux que je t’écartèle le fion pour qu’il soit aussi ouvert que ta chatte de putain. Il releva alors ma tête en tirant mes cheveux. Je sentais à nouveau son souffle. - Allez je t’écoute. - D’une voix, presque un murmure.. Monsieur, je veux être votre chienne que vous l’art de mettre en chaleur, je veux que vous m’écartelez mon fion afin qu’il soit ouvert comme ma chatte de putain. J’en serai honorée Monsieur. - Hum… tu es parfaite me murmurait il. IL jetta ensuite ma tête contre la table. Doucement, il sorta le plug de mon cul. Il regardait mon fion céder. Une fois enlevé, il regarda ce trou dans lequel il voulait se perdre. Il passa sa langue dessus puis commença a m’honorer avec sa bouche sur mon sexe également. Je me sentais complètement défaillir. Il introduisait savamment un premier doigt dans mon fion. - Oh c’est comme dans du beurre… Oh le second aussi… C’est là que de son autre main, il introduisit aussi deux autres doigts.. - Humm quatre doigts dans le cul de ma chienne. Il écartela alors mon fion. - Tu es encore bien étroite.. Il va falloir travailler tout ça. De là il me caressa tout doucement puis il commença à vouloir frayer un chemin avec sa main. J’étais effrayer. - Regarde comment tu te montres.. Montre moi comment tu as envie de ma main en toi, combien tu es faite pour ça. Je soupirais de désir, un fantasme, une envie, mais en suis-je capable ? Il commença par me fouiller, à tourner avec ses doigts jusqu’à en mettre 4… - On va voir si tu es capable de te faire baiser par mon poing, petite salope. - Mon dieu, quelle pute tu fais… Je me dandinais pour aller chercher ses doigts, à faire comme si on me baisait. La douleur était relativement saississante que je ne faisais plus la belle afin de trouver la bonne posture pour me faire baiser avec son poing. Il se faisait doux pour se frayer le passage. IL n’y arriva pas totalement, il ne força pas. IL ne voulait pas casser son petit jouet sexuel. - Regarde moi comme tu es trempée, ta mouille coule au sol. Supplie moi de te baiser maintenant. - Monsieur je vous en supplie, baisez- moi. Il retira alors la ceinture de mon cou et la passa sous mes hanches. Il me mit ensuite mon gag ball Il trempa sa queue avec ma mouille et me sodomisa sans ménagement. Il pris de part et d’autre la ceinture pour coller encore plus mes fesses et me prendre bien profondément comme une chienne le mérite. Je sentais son souffle saccadé, ses coups de queue me heurter. Il me baisa avec une telle violence. Des coups si forts, encore et encore. Il s’était déchainé. J’étais épuisé. Il jouit sur mes fesses. Il me laissa ainsi sa semence sur moi. J’étais les jambes écartées, attachées, muselée.. à subir les désirs de mon maitre. J’étais sa chienne, sa putain.. Il revint, me banda les yeux… J’étais épuisée.. Il vint tel un félin me murmurer à l’oreille - Ma douce panthère, je vais te détacher. C’est là qu’il me prit ensuite dans ses bras. Toujours les yeux bandés, il me fit marcher jusqu’à une pièce.. me demanda ensuite de lever ma jambe.. d’avancer.. IL m’avait préparé un bain. Je sentais la chaleur de ce bain me réchauffer. - Non, n’enlève pas le bandeau.. j’ai plein de surprises pour toi…
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Par : le 29/04/20
Le sadomasochisme est une relation particulière dans laquelle deux partenaires s’engagent dans une relation dominant/dominé, de façon adulte et consentante et qui n'engendre aucun préjudice physique ou moral pour les pratiquants ou le public. C'est un choix individuel et libre. L'activité existe uniquement par celui qui le conçoit et par celle qui va le faire vivre, ou inversement. Aucune loi ne la régit, à part des règles de sécurité. Il y a autant de BDSM différents que d'individus qui le pratiquent. L'important est de se connaître afin de vivre au mieux ses fantasmes. Aucune pratique n'implique obligatoirement le passage à l'acte sexuel. Toutefois, il est fréquent de la voir interprétée par les participants comme un prélude érotique. Les pratiques BDSM ont un poids psychologique essentiel, voire fondamental. C'est le cas dans celles qui ont une forte dimension de soumission ou de domination liée à un statut ou une situation. Les partenaires pratiquent ces jeux afin d'obtenir, par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes, un désir sexuel plus intense. La douleur psychologique, humiliation ou physique peut devenir souffrance. Mais la douleur devient plaisir lorsque la charge d'endorphine couvre le choc de la douleur. Ceux qui le découvrent seront toujours en quête, car dans ce cas, le désir est accru. Il ne faut pas confondre BDSM avec sadomasochisme, la dimension de douleur est nettement moins présente dans le BDSM qui se centre principalement sur l'aspect domination et la dimension psychologique. Pour certains adeptes, le plaisir sexuel se double d’une décharge d’endorphine, et la douleur plonge l’individu dans un état d’euphorie très intense. Depuis l’origine de l’homme, douleurs et plaisirs ont entretenu des rapports extrêmement ambigus. La douleur et le plaisir sont les deux faces opposées d’un même corps , tel Janus le dieu romain aux deux visages, complémentaires et sans doute indissociables des comportements humains. De nombreuses règles peuvent régir les comportements, les autorisations et interdictions des deux personnes, sous la la forme d'un contrat généralement écrit. Un journal peut aussi être tenu à jour quotidiennement. Ces engagements font partie de ce qui peut structurer une relation BDSM sans incorporer encore une fois, nécessairement des actes sexuels. Le plus célèbre des contrats est sans nul doute celui qui lie Sacher-Masoch à Mme Dunajew: ainsi Séverin s’engage-t-il, sur sa parole d’honneur, à être l’esclave de Mme Wanda Dunajew aux conditions qu’elle demande et à se soumettre sans résistance à tout ce qu’elle lui imposera. Les pratiquants BDSM affectionnent ce type de contrat qui stipule des règles précises à respecter, énonce les statuts des uns et des autres. À titre d’exemple, dans le roman "La Vénus à la fourrure": "L’esclave, anciennement libre de sa propre personne, accepte et établit qu’il veut et a l’intention de se livrer complètement entre les mains de son Maître. Le Maître accepte et établit qu’Il veut et a l’intention de prendre possession de l’esclave. Par signature de ce contrat d’esclavage, il est convenu que l’esclave donne tous les droits sur sa propre personne, et que le Maître prend entièrement possession de l’esclave comme propriété." Dans ce contexte, l’individu devient soumis, non pas parce que cet état est inscrit dans sa nature, mais parce qu’il le désire. En outre, il le devient, non pas parce qu’il n’a pas de biens propres, de nom ou de corps: il le devient justement parce qu'il a un corps et que ce corps lui appartient. Le dominant prend possession de lui et il devient sa propriété. Dès lors, le rôle de la soumise ou du soumis est défini. En ce sens, les pratiques BDSM sont transgressives car elles remettent en cause la notion juridique de personne en tant que fait fondamental du droit, c’est-à-dire qu’elles remettent en cause la liberté de jouir de sa propre personne. Cependant, c’est oublier que nous sommes dans le cadre d’un jeu de rôle et plus exactement, dans une modalisation. C’est-à-dire que la relation BDSM prend pour modèle la soumission mais lui accorde un sens tout à fait différent. Ainsi, si le contrat stipule que la Maîtresse ou le Maître prend entièrement possession de la soumise comme propriété, il précise également que, si elle sent qu’un ordre ou une punition va nettement au-delà de ses limites, elle peut faire usage d’un mot de passe convenu avec le Maître pour stopper immédiatement une action ou une punition. De même, la soumise ou le soumis peut user d’un mot de veto convenu avec son Maître pour refuser un ordre qui mettrait en péril sa vie professionnelle ou son intégrité physique. Lors d'une séance, c'est le fameux safeword qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu'il doit immédiatement et sans discussion interrompre l'action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible. La négociation des fantasmes permet donc toujours de fixer des limites, des frontières à ne pas dépasser. On ne le répétera jamais assez aux novices en soumission, le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation, et aussi anodine puisse-t-elle paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements. Le contrat BDSM a pour fonction de préciser que l’on ne se situe surtout pas dans une véritable relation de sadomasochisme au sens classique du terme. Dans l’univers BDSM, le contrat de soumission n’est qu’un simulacre dans le sens où masochisme et sadisme ne s’y rencontrent jamais à l’ état pur. Des individus acceptent néanmoins, pour un temps donné, d’endosser le rôle du sadique ou celui du masochiste. Le véritable sadisme n’est-il pas d'infliger une douleur non souhaitée, non espérée, non désirée ? Le véritable sadisme n’est-il pas dans l’authenticité de la souffrance ? C’est la raison pour laquelle le véritable sadisme ne fait pas en principe partie de l’univers SM. Le BDSM n’est jamais négateur de l’autre. Ni le désir ni le plaisir de l’autre ne sont ignorés. Il s’agit bien plus de trouver un consensus, de délimiter un territoire où chacun des protagonistes trouvera plaisir et satisfaction. Dès lors, de quelle manière le dominant prend-il véritablement possession du dominé ? Le contrat BDSM, formel ou tacite, est nécessaire pour amorcer la relation; il crée une rupture avec le quotidien et instaure un espace de jeu. Celui-ci n’est pas fixe mais au contraire peut varier dans le temps et dans l'espace. Il peut s’agir d’un donjon, d’un lieu privé, voire d’un lieu public. Toutefois, au-delà des décors et des situations, l’espace du jeu se focalise avant tout sur le corps de la personne dominée. Le corps devient le lieu même de l’action puisque le dominant l’utilise tel un objet et exerce une action sur lui. La Maîtresse ou le Maître accepte la responsabilité du corps et de l’esprit de la personne dominée et, tout en ne mettant pas en danger la vie de la soumise, ou du soumis, édicte des règles de comportement, comme par exemple, d'exiger d'elle ou de lui, de vivre en permanence avec des signes de soumission, ou de se faire tatouer, de percer ou de se faire percer le corps. En d’autres termes, prendre possession de la soumise ou du soumis, c’est prendre possession de ses territoires, et surtout de ses territoires les plus intimes: le corps et l’esprit. Dès lors, l’espace du jeu se décline n’importe où, n’importe quand. Même si les décors ont une importance, parce qu’ils véhiculent une certaine atmosphère, le jeu peut se dérouler dans n’importe quel lieu public, à l’insu des autres. La domination consiste alors à choisir pour l’autre, à décider de ses attitudes ou de son comportement. Le jeu sadomasochiste est également signifié dans le langage lorsque les individus conviennent d’un certain nombre de rites d’usage. Le consentement, la négociation des désirs qui précède tout contrat, mais aussi souvent l’échange des rôles entre partenaires, indiquent combien le caractère dramatique du contrat n’est qu’illusoire. En quelque sorte, la soumise ou le soumis conserve toujours la maîtrise de son corps, puisque à tout moment il peut arrêter le jeu, et nous sommes ici bien plus dans un jeu de rôle ou de masque, que dans le tragique d’une relation humaine. Les pratiques BDSM n’ont donc en principe, aucun caractère violent, tout au plus s’agit-il d’une violence canalisée, voire symbolique et toujours encadrée. Elles ne font que mettre en scène une relation de pouvoir qui ne peut être, par définition, une relation de soumission, encore moins d'esclavage. En outre, dans les relations BDSM, le pouvoir est mobile et instable. En d’autres termes, la relation de pouvoir ne peut exister que dans la mesure où les sujets sont libres. Dès lors, il importe de déterminer jusqu’à quel point les individus, dans ce contexte, sont libres et consentants et jusqu’à quel point il s’agit de relations de pouvoir jouées et non pas d’une manifestation masquée de domination masculine ou d’une intériorisation des normes caractérisant le féminin et le masculin, qui emprisonnent l’individu dans un rapport de domination sans issue. Les jeux de rôle BDSM nous interpellent, trop souvent, à plus d’un titre, par leur caractère stéréotypé. Les histoires que se racontent et que jouent les pratiquants empruntent, en effet, aux rôles traditionnels, notamment féminins et masculins, et à la représentation classique, des rôles de sexe mais en les exacerbant et en les caricaturant. Voilà pourquoi seule l'imagination de la Maîtresse ou du Maître, sans cesse renouvelée, peut assurer la pérénnité et l'épanouissement d'une relation SM. La comparaison des romans d’"Histoire d’O" de Pauline Réage et de "La Vénus à la fourrure" de Sacher-Masoch est à ce titre tout à fait significative. Dans le premier, bien que O soit une femme autonome et active, sa soumission paraît naturelle et se passe de justification. La manière dont elle vit et dont elle ressent sa soumission est exprimée, mais jamais son désir de l’être. La soumission est ici féminine. Dans "La Vénus à la fourrure", la soumission est masculine et n’a aucun caractère naturel. À l’inverse d’O, Séverin est celui qui construit sa soumission, choisit celle qui le dominera et à qui il impose un contrat qui stipule sa servitude. Ici, le soumis est celui qui dicte les règles. Si nous nous en tenons à la représentation des catégories de sexe, il est possible d’observer une reconduction de la domination masculine. Il y a une affirmation de la domination lorsqu’un homme domine et une affirmation de la soumission lorsqu’une femme se fait dominer. Il y a très souvent une illusion de la domination lorsqu’une femme domine. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il y ait une perpétuation de la domination masculine. Les relations BDSM ont ceci de paradoxal qu’elles sont l’endroit où cette domination peut être reconduite tout comme elle peut s’évanouir. Par ailleurs, il existe de véritables et authentiques cas de relation de domination féminine sur des hommes soumis. Alors que le rôle féminin et masculin ne cessent de se redéfinir l’un par rapport à l’autre, il semble que les relations sadomasochistes ne fassent que théâtraliser des rôles traditionnels figés, en les appliquant ou en les inversant. Cependant, bien que les rôles soient prédéfinis et stéréotypés, il est toujours possible de les réinventer, de composer, de créer son masque et renouer avec les jeux de l’enfance. L’individu se projette et trouve des réponses aux questions qu’il se pose inconsciemment. Il choisit d’être homme ou femme, sadique ou masochiste, dominant ou soumis. Il s’identifie et expérimente. Il peut laisser libre cours à son imagination puisqu’il est entendu qu’il s’agit d’un jeu et que les limites de chacun seront bien heureusement respectées. Il n’importe pas de chercher une explication de type pathologique à un désir de soumission ou de domination mais d’être sous le charme d’un érotisme qui peut faire exploser les rôles habituels. Toutefois, la difficulté de l’analyse des relations BDSM réside dans le fait que la relation sadomasochiste ne saurait se réduire à un jeu sexuel basé sur un contrat qui énonce les rôles et les statuts de chacun. Les individus établissent un lien avec l’autre, lien qui implique une relation humaine, source d’émotions et d’affects. Avant d’être une relation BDSM, il s’agit d’une relation entre deux individus. Lorsque l’on connaît le mode de fonctionnement de ce type (consentement mutuel, négociation des désirs, contrat), la relation BDSM laisse d’abord apparaître la complicité, la réciprocité, la connaissance de soi et de l’autre. Et, en effet, beaucoup de pratiquants évoquent un épanouissement possible dans cet univers qu’ils ne trouvent pas ailleurs, basé sur une connivence mutuelle. C'est toute la richesse du lien de domination ou de soumission. Mais parce que les pratiques BDSM sont aussi des pratiques sociales, on y trouve les mêmes travers que ceux observés dans la société, et la même hétérogénéité. Certains individus ne cherchent qu’à satisfaire leur désir sans tenir compte des désirs de l’autre. Il en va ainsi des pseudo Maîtres dominateurs qui trop souvent contactent des soumises pour assouvir un classique désir sexuel tarifié, comme des soumis qui consultent des dominatrices professionnelles pour vivre leur fantasme. Le corps de l’autre n’est alors utilisé que comme objet et ne nécessite aucune relation authentique de complicité. Comme les pratiques BDSM sont aujourd’hui plus visibles et pénètrent dans l’univers du sexe en général, certains prétendent vouloir engager ce genre de relations alors qu’ils cherchent tout à fait autre chose. Le jeu sensualiste et érotique devient alors pornographique. Les relations BDSM sont hétérogènes et ne diffèrent en rien de n’importe quel autre type de relation. On y trouve, comme partout ailleurs, des mécanismes de domination et d’appropriation de l’autre. Cependant, elles sont aussi l’endroit où un véritable échange peut s’observer. Ainsi, elles ne constituent pas plus que d’autres une entorse au respect des personnes. Comme toute relation, elles peuvent reconduire des rapports de force ou bien participer à la construction des identités. Les pratiques BDSM ne remettent donc pas en cause les principes fondamentaux du droit. Il n’y a pas un individu qui s’approprie le corps ou l’esprit d’un autre. Deux partenaires, dont l’identité est en perpétuelle construction, s’investissent dans un univers où les règles sont fixées, non seulement par le contrat, mais aussi, plus profondément, par le jeu social lui-même. C’est pourquoi ces pratiques, qui ne sont transgressives qu’en apparence, se donnent pour principe de fonctionnement, le respect mutuel et la négociation. Loin d’être sauvages, elles sont bien au contraire socialisantes. C’est paradoxalement en usant de masques, en ritualisant et en théâtralisant l’échange, que deux partenaires ont la possibilité, dans une relation SM saine, de pimenter leur sexualité, en réalisant une part de leurs désirs inconscients informulés et de s’affirmer comme personnes à part entière, consentantes et responsables. Bonne lecture à toutes et à tous. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/04/20
Maxime a commencé par s’allonger à mes côtés, pour m’embrasser longuement, comme pour me témoigner que ce qui allait suivre ne changeait rien à la tendresse qu’il éprouvait pour moi, qu’il restait conscient que même esclave je demeurais aussi femme et qu’il me respectait pour cela. Puis il a continué de me caresser et de m’embrasser, les seins, le ventre, le sexe, lentement, doucement, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de m’abandonner à son désir, ma chatte se retrouve trempée de mouille. Après une dernière caresse buccale, il s’est relevé, et quelques instants plus tard, la cravache cinglait ma poitrine, mon ventre, mon sexe. Attachée, les yeux bandés, je ne pouvais rien anticiper, ni savoir où son prochain coup allait s’abattre. Je n’avais d’autre choix que de subir, et de l’imaginer, nu, jambes écartées, la queue raide du plaisir de m’entendre gémir, de me voir essayer en vain d'échapper à mon supplice. Les larmes coulaient sous le bandeau, mais en même temps je jouissais de cette impuissance qui était la mienne et comme toujours, après une dizaine de coups, le plaisir a pris le pas sur la douleur, jusqu’à un premier orgasme qui m’a fait me cambrer en dépit de mes liens. Mais ce n’étaient que les prémisses de ce qui allait suivre, la cravache n’étant qu’une entrée en matière, somme toute classique, de ce qu’il avait prévu pour moi. Je n’ai jamais été fan des sextoys, qu’il s’agisse de plug, godes ou vibromasseurs. Je préfère de loin les originaux aux copies, la queue de Maxime à ses substituts. Mais ce n’est pas à moi de décider de la manière dont mon Maitre use de mon corps et de mes trous. Et dans les divers instruments dont il se sert pour abuser de moi, jouir de moi et me faire jouir, nous avons un « fairy wand ». J’ignorais que ce soir là, il avait décidé d’en faire usage. Je l’ai su lorsque j’ai entendu le bruit du moteur qui se mettait en marche. Il a commencé doucement, à mi-puissance, par l'intérieur de mes cuisses, mon pubis, en augmentant progressivement au fur et à mesure qu’il approchait l’instrument de ma vulve, où il a envoyé la pleine puissance, jusqu’à ce que je cambre sous l’effet des vibrations. La première explosion n’a pas tardé et j’ai joui. Le temps que je me ressaisisse, il avait à nouveau diminué l’intensité des vibrations et était repassé au pubis. Quelques instants d’une excitation différente, et il revenait à mon sexe, introduisant cette fois le vibromasseur dans ma chatte, stimulant mon clitoris jusqu’à ce que je me cambre à nouveau et reparte pour un second orgasme. Il a continué à jouer ainsi avec moi un long moment, en alternant intérieur des cuisses, pubis, vulve, clito, s’interrompant parfois pour me stimuler les tétons, avant de repartir vers mon sexe. J’avais perdu toute notion du temps et les orgasmes, purement mécaniques, se succédaient, me laissant épuisée quand il a fini par s'arrêter.
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Par : le 28/04/20
La voiture quitta la route pour s'arrêter en contrebas d'un bouquet d'arbres jouxtant une grange délabrée. Hormis quelques chants d'oiseaux et le bruissement du vent entre les feuilles, l'endroit était parfaitement silencieux. Le soleil était chaud, et l'endroit désert. Pourquoi, ne pas se laisser aller ? D'un geste, Charlotte dégrafa sa minijupe et la fit glisser le long de ses jambes en même temps que son string. Puis elle ôta son chemisier, son soutien gorge, et jeta le tout sur la banquette arrière. - Est-ce que je plais comme ça ? Minauda-t-elle. Juliette ne répondit pas, comme si elle n'avait même pas remarqué le rapide effeuillage de son amie. Pourtant, Charlotte la vit serrer les dents et presser un peu plus fort le volant entre ses poings. Enhardie par cette réaction, elle se pencha un peu et déboutonna le short de Juliette, juste assez pour que sa main puisse se frayer un passage jusqu'en bas de son ventre. Elle découvrit à tâtons un pubis parfaitement lisse, un peu plus bas encore, le léger relief intime des lèvres moites. Juliette se laissa faire quelques instants sans réagir. Brusquement, elle aggripa les cheveux de Charlotte et lui colla violemment la joue contre sa cuisse. - Ecoute-moi bien Charlotte, gronda-t-elle sur un ton abrupt, Il faut que tu saches que je n'aime pas beaucoup que l'on prenne les initiatives à ma place, tu as compris ? Charlotte acquiesça sans mot dire. Elle qui, quelques instants plus tôt, était persuadée d'avoir gagné le cœur de son amie, subissait à nouveau sa violence. Elle se sentait anéantie, ridicule ainsi contrainte et nue, mais en même temps, elle éprouvait un étrange plaisir qui l'empêchait de tenter de se dégager ou de fondre en larmes. Le sexe de Juliette était là, tout près de son visage. Elle en devinait le parfum intime. Elle l'avait touché du doigt. Elle l'avait senti humide et cela ne pouvait pas la tromper: Juliette était excitée elle aussi. Son amie relâcha sa pression qui devient caresse. Elle releva jusqu'à sa bouche les lèvres de Charlotte et l'embrassa à nouveau, plus tendrement cette fois. - Xavier ne t'a jamais emmenée ici ? Demanda-t-elle d'une voix de miel. Cet endroit appartient à l'un de mes cousins. Tu ne trouves pas cet endroit magique ? Elle demeura songeuse, appuyée contre le volant à observer les alentours. La grange, dont une partie de la toiture s'était effondrée depuis longtemps était dévorée de lierre et de chèvrefeuille. Un doux parfum de liberté et de sensualité flolttait dans l'air, enveloppant les deux jeunes corps d'un irrépréssible désir. Seul, un chemin serpentait entre les coquelicots et les fougères jusqu'aux ventaux vermoulus du portail. On le distinguait à peine derrière un groupe de jeunes sureaux indisciplinés qui en gardaient l'entrée. - Sors de la voiture, Charlotte, j'ai envie de te regarder. Charlotte obéit à nouveau. Dehors, sous les arbres, le sol moussu dégageait une odeur puissante d'humus. Elle demeura quelques instants immobile à sentir le parfum du vent tiède glissant sur sa peau. Être nue sous le feuillage, au bord d'une route de campagne, ne lui semblait en rien extravagant à cause du regard de son amie posé sur elle. Elle s'aventura de quelques pas dans la futaie. Sous la plante de ses pieds, les brindilles sèches craquelaient, tandis qu'à l'odeur fraîche de l'humus se mêlaient celles, plus entêtantes encore, des herbes chaudes et des fleurs gorgées de soleil. Tout éveillait en elle son animalité. Elle se retourna. Juliette avançait vers la grange d'un pas lent, à l'élasticité féline. Charlotte eut tout à coup le désir de posséder son amie. La prendre par les hanches et l'attirer vers elle. Caresser ses fesses, en découvrir les formes, embrasser ses seins fermes, en mordiller les aréoles brunes.Toucher son ventre chaud et lisse. Elle marcha à son tour vers la grange. Dans le fond du bâtiment, une échelle en bois menait à l'étage, une sorte de mezzanine sombre. Charlotte adora aussitôt cet endroit. Elle aimait le bruissement tranquille des arbres tout proches, la lumière dorée du soleil filtrant à travers le toit éventré, et le suave parfum d'été qui se dégageait de la paille. - J'aime bien te voir nue dans ce lieu. Elle roulèrent sans un mot sur le sol paillé. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant, se mordant et se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un jaillissement furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand Xavier commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent, On dirait un peintre occupé à préparer ses pinceaux. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. Juliette marqua une légère pause avant de reprendre: - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à une poutre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis que Juliette l'ôtait de son short. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes du monde, devenir leur proie et se griser à l'idée de payer par le fouet, le fait dêtre leur plus dangereuse concurrente. Le premier coup claqua séchement contre ses fesses. Juliette n'était pas du style à y aller progressivement. Elle avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. Sa réaction sembla plaire à Juliette. Elle leva le bras encore plus haut, abbatit le ceinturon avec plus de force et cette fois, Charlotte poussa un cri bref en se cramponnant à la corde qui la tenait étirée. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. - Retourne-toi, dit Juliette d'une voix calme. Aggripée à sa corde, ruisselante de sueur, Charlotte était épuisée. - Non, pas devant Juliette, haleta-t-elle, Pas devant. -Tu dois aller jusqu'au bout de ton désir, Chalotte, Allons retourne-toi vers moi. Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Juliette ne refrappa pas immédiatement. Elle attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Au coup suivant, elle ne tenta plus d'esquiver. N'avait-elle pas désiré cette correction ? Juliette avait raison; elle devait savoir ce qu'il y avait au-delà de cette douleur qui lui arrachait des cris et des larmes. Par dépit, elle plongea son regard dans celui de son amie et elles ne se lachèrent plus des yeux tout le temps que dura la flagellation. Elle se voyait onduler au bout de sa corde, en sentant ses seins frétiller, ses cuisses tendues, son ventre creusé. Elle se voyait brûler sous les coups, s'enflammer toute entière. Juliette continuait à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Se suspendant à sa corde, Charlotte jeta le bassin en avant, enroula ses jambes autour du cou de son amie pour emprisonner son visage contre son sexe ouvert. Juliette réagit en dardant une langue aussi droite et rigide qu'un membre d'homme sur son clitoris. À ce seul contact, Charlotte jouit aussitôt. Enfin Juliette se détacha d'elle. la corde à laquelle elle était suspendue fut coupée et Charlotte se laissa tomber sur le sol, savourant l'étrange bonheur de sa soumission. Les parties de son corps offensées, devenues douloureuses, lui apparaissèrent plus belles, comme anoblies par les marques fraîches, stigmates de la flagellation. Elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/04/20
(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues) . Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ? Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ? Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine. "Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci. A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements.. Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités. Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.   01 - A qui s'adresse cet article ? Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir.. Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir). Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes. Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures. Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.   02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?   - La femme dite "Vanille". - La femme dite "Débauchée". - La femme dite "Masochiste". - La femme dite "En relation BDSM".   - La femme dite "Vanille". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple. Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer. Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples. Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées). Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert. Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).   - La femme dite "Débauchée". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale. A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes. Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder. Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires. Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple. Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.   - La femme dite "Masochiste". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale. Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir. Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments. Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles. Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.   - La femme dite "En relation BDSM". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix. Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable. Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions. Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples. Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.   03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ? Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue. Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps. En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues. Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations. Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes. (La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.) Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui. Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper. Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Par : le 28/04/20
Les jours suivants se déroulèrent dans une atmosphère de joyeuse complicité. Cléo aimait s’amuser et jouissait d’un authentique talent d’actrice. Son entrain naturel faisait un opportun contrepoint à la gravité habituelle de Sarah. Sans doute cette dernière conservait-elle en elle trop de blessures secrètes pour se laisser aller facilement à la légèreté. Il me revanait désormais de les lui faire oublier. Observer les deux filles ensemble était un pur bonheur et chacun de leurs gestes amoureux me réchauffait l’âme. Et si je toussotais lorsque l’une glissait la main sous la robe de l’autre, ce n’était que par jeu. Il y avait aussi les baies à ramasser au fond du jardin, les fleurs à arroser, les repas à préparer, un peu de couture, de ménage ou de bricolage à faire. Il fallait aussi que je me remette au travail et que je consacre impérativement mes matinées à la comptabilité, sous peine de faillite. C’est pourquoi, tandis que je m’enfermais dans mon bureau sitôt après le petit déjeuner, les deux jeunes femmes avaient tout loisir de se livrer à la grande cérémonie de la toilette, à laquelle elles consacraient une bonne heure. Ensuite, si la toilette n’était pas suivie du rite sacré de l’épilation, Cléo allait chercher le journal, qu’elles lisaient ensemble, serrées l’une contre l’autre, sous la véranda, accompagné d’un troisième ou quatrième café. La lecture achevée, elles sortaient dans le jardin en tee-shirt et culottes sages pour s’adonner à leurs sports : badminton, gymnastique improvisée, lutte ou, plus calmement, yoga. Mais les jours d’épilation, plus rien ne comptait d’autre que la cire chaude et les bandelettes. Un temps suspendu par l’orage, le printemps retrouvait ses transparences. Une tiédeur s’installa, hachurée du bourdonnement des insectes. Une sorte de paresse sensuelle s’installa. Cléo préparait les repas et servait à table. Il arrivait que Sarah propose qu’elle nous rejoigne mais la plupart du temps, elle restait debout, à légère distance, mains sagement croisées dans le dos et prenait son repas plus tard, seule dans la cuisine. Est-il besoin de dire qu’elle n’était vêtue que du minimum ? Jupe courte à volants et simple bandeau de tulle sur la poitrine le midi, corset noir avec seins apparents et bas de la même couleur pour le dîner. Sarah, cependant, avait le souci d’agrémenter chaque jour cette semi-nudité d’un ornement différent, qu’il s’agisse de cristaux, de pierreries ou de chaînettes à ses anneaux, de façon à ce que le regard sur son corps en soit chaque jour renouvelé. Un soir sur trois, Cléo nous offrait une petite représentation ou une lecture, selon ce qu’elle avait préparé. Une tenture de velours rouge sang dénichée au grenier, une douzaine bougies, l’amplificateur de la chaîne stéréo… et le spectacle commençait. C’était pour des imitations de Liza Minnelli, de Marlène Dietrich ou de Greta Garbo, dans le style burlesque. Le maquillage et la coiffure étaient saisissants de véracité, la voix et les pauses d’une ressemblance parfaite, mais la tenue, bien évidement, s’affranchissait des pudeurs de l’époque. Pour ses simples lectures, Cléo s’étendait sur le canapé, appuyée sur un coude, les jambes rassemblées en fuseau, et aux lèvres un rouge si pétulant que le mouvement des mots prenait vie. Ses choix portaient sur des affaires scandaleuses comme celle du couvent de Sant’Ambrogio, dont les novices étaient contraintes au cunnilingus sur l’abbesse, laquelle sécrétait « une sainte liqueur » dont Dieu faisait « don » aux jeunes filles, ou celle de la criminelle Comtesse Bàthory. Ces saynètes ou ces contes pour grandes personnes mettaient chaque fois Sarah dans un état de fascination tel qu’elle semblait totalement s’abstraire de la réalité et que je surpris bien des fois sa main glisser sous le tissu jusqu’à ses seins. La représentation achevée, elle invitait notre artiste à venir l’embrasser. Ce baiser, qui n’était qu’un défi à mon égard, avait ses justifications. Je n’avais pas touché Sarah depuis le jour où je l’avais prise dans le jardin, juste avant l’averse. Son dépit était compréhensible, mais il n’était pas question que je la prenne tant qu’elle serait annelée au nom d’un autre. Rendez-vous avait été pris, je m’assurais que tout soit fait et bien fait. Les comptes seraient soldés ultérieurement. Il fallait encore un peu de temps. Sarah et Cléo partageaient le même lit mais Sarah avait fait le choix de laisser dorénavant leur porte grande ouverte. Dans son esprit, elle n’avait plus rien à me dissimuler de son intimité, puisque j’étais désormais son maître. Cléo avait bien protesté de cette intrusion dans leur vie amoureuse mais Sarah était restée ferme et lui avait promis de limiter ma présence de telle façon qu’elle ne s’en rendrait pas compte. C’est du moins ce que je les entendis négocier dans mon dos, Cléo concluant : « me faire baiser devant l’homme invisible, si je m’attendais à ça ! » Grimpant dans ma chambre beaucoup plus tard qu’elles, il m’arriva en effet de passer quelques minutes à les contempler endormies, enlacées l’une à l’autre, partageant leurs parfums et leurs sueurs. En son temps, Courbet sut traduire cette volupté… Et puisque l’on parle des nuits, il faut s’arrêter sur celles où elle regagnaient leur chambre en se donnant la main, geste de tendresse qui faisait comprendre que Sarah avait envie de profiter de son amie. Je ne les suivais qu’un peu plus tard, pour ne pas gâcher leurs préliminaires, et lorsque j’assistai à leurs ébats, c’était avec une parfaite discrétion, assis dans le coin le plus obscur. Elles me savaient là, quelque part, et j’imaginais qu’elles finissaient pas m’oublier. Sarah menait le bal sans qu’il y ait de règle ou de constance dans leurs ébats. La première nuit fut celle qui m’initia aux ressorts de leur relation. Sarah commença par bâillonner Cléo avant de lui attacher les mains dans les reins et les pieds aux montants du lit à l’aide de menottes de cuirs. Les cuisses largement ouvertes, Cléo était ainsi exposée sans défense à ses caprices et, accessoirement, à mon regard. Elle se laissa faire avec une docilité extrême. Sarah commença par lui mordiller longuement les seins, les pinçant, les étirant et les pressant aussi des doigts, avant de descendre tous ongles dehors jusqu’à sa chatte, où, remontant et descendant le sillon de ses doigts habiles, elle insista alternativement sur le clitoris et sur l’orée du vagin. Lorsque l’excitation de Cléo devint plus évidente, que son bassin commença à onduler, Sarah abandonna ses caresses pour s’agenouiller au dessus du visage de son amie. Avec une lenteur millimétrique, elle approcha sa vulve de la bouche de sa compagne. Tout n’est alors qu’un défilement d’images qui se superposent : lèvres intimes contre lèvres, baiser ardent, langue agaçante, dents mordillantes, fente avide, bouche dévorante, bouton tumescent, humeurs, nectar, jus, coulures, bavures, cyprine diluée de salive, puis dans un ultime coup de rein, ce petit éjaculat au visage tandis qu’elle basculait de son côté, la main pressée contre son sexe qu’elle l’apaisa à renfort de caresses. Cléo, abandonnée, ne cessait, elle, de se tortiller sur le draps, grognant au travers de la boule qui lui obstruant la bouche. J’eus pitié d’elle, de son sexe gonflé et luisant d’humidité. Le lendemain matin, Cléo apparut toute défaite. Pâle et les larmes aux yeux, elle traversa le salon à grandes enjambées pour se lover en boule dans l’un des fauteuils, sa robe de chambre rassemblée autour de ses jambes. Sarah arriva sur ces entrefaites, impeccablement maquillée, les yeux luisants de colère. Le martinet à longues lanières pendait à son poignet. D'un ton sec, elle intima à Cléo de se lever. Je voulus intervenir, mais pourquoi l’aurais-je fait ? Cléo ne m’appartenait pas. Sarah l’attrapa par les cheveux et la tira jusque sous la véranda. À cette heure, le soleil frappait droit au travers du toit vitré et la chaleur était déjà vive. Au travers de la fenêtre, je vis Sarah arracher sa robe de chambre de Cléo, basculer celle-ci contre la table, sur le ventre, puis, d’un large mouvement du bras, lui asséner un premier coup de martinet. Cléo ne hurla pas de douleur, à peine supplia-t-elle. Elle ne chercha pas à éviter la punition, elle s’agrippa seulement aux rebords de la table. Son corps luisant de sueur était plus désirable que jamais et ses larmes plus émouvantes encore. Un second puis un troisième coup s’abattirent sur ses fesses. Les marques rouges devinrent visibles. Quelques autres frappes sur le dos et Sarah la fit se retourner. Elle cingla les seins à coups redoublés puis le ventre, les cuisses et enfin, après lui voir ordonné d’ouvrir les jambes, elle visa son pubis. Cléo se contractait sous la morsure du cuir mais jamais elle ne chercha à se protéger et encore moins, à s'échapper. Ses yeux étaient clos, sa respiration haletante, ses lèvres entrouvertes, elle acceptait la souffrance, peut-être même comme un bienfait. Son corps, enfin se relâcha. Sarah, enfin, s’essuya le front, épuisée. Elle laissa tomber le martinet au sol, déposa un long baiser sur les lèvres de Cléo et revint au salon. - Pourquoi cette punition ? lui demandais-je aussitôt, bouleversé par la scène. - Auriez-vous un verre d’eau ? Il fait une chaleur sous la véranda… Je renouvelai ma question en lui rapportant son verre. - Cette petite vicieuse s’est masturbée une partie de la nuit. - Elle était restée insatisfaite, c’était un supplice… - Et alors ? Croyez-vous Monsieur qu’une simple fille doive être satisfaite ? répondit Sarah, laissez un seul interstice et elle vous échappera.
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Par : le 26/04/20
Je n'avais pas été parfaite, loin de là: je m'étais laissé aller à un moment de faiblesse, et elle ne me le pardonnait sans doute pas. Je devais maintenant affronter une nouvelle étape initiatique bien plus éprouvante encore; ses reproches et les humiliations qu'elle allait inventer pour me punir. Juliette me traita de petite salope incapable, prétentieuse et sans honneur. J'avais failli à la parole donnée. Elle m'injuriait et cela me rendait triste. Sa colère était injuste, tout autant que ma dérobade était indigne de l'amour que j'éprouvais pour elle. M'ayant entraînée au fond de la cave, là où la pénombre était la plus dense, elle fit pivoter mon corps contre la paroi humide. Je sentis le salpêtre se dissoudre sous mes doigts qui s'accrochaient. Pour me racheter, j'aurais voulu être attachée, là, dans cette position, le ventre nu contre ce mur poisseux, le dos, les reins, offerts aux hommes qui auraient eu la libre disposition de moi, sans conditions. Sentir mes mains prises dans la pierre et enchaînée pour ne plus pouvoir bouger et tout endurer pour devenir une parfaite esclave. Un Maître commença à me caresser. Il savait qu'en faisant cela, il me donnait une chance de faire oublier ma faute. Il s'empara d'un martinet et me travailla le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec les cinglements cruels et violents. Plus il frappait fort et plus je m'offrais. Je n'éprouvais qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces puis je sentis les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant douloureusement. Chacun des mouvements que je faisais alors amplifiait le balancement des pinces, provoquant une sensation effrrayante d'arrachement. Je me souviens de ce moment où je fus mise à quatre pattes au milieu de la cave. Le Maître dont j'étais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, juste en dessous du clitoris. Tout mon corps se balançait d'une façon obcène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir de faire cesser mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par ses balancements pour satisfaire ma Maitresse et mériter son pardon. J'observais avec orgueil la rotation pendulaire des poids suspendus aux pinces attachées à mes seins, de droite à gauche, de gauche à droite. Bientôt, la douleur devint intolérable. Ainsi, je ressentis ma première jouissance cérébrale de femme soumise et esclave à un homme qui l'oblige à souffrir. Quelque chose d'indéfinissable semblait avoir pris le contrôle de mon cerveau et commandait à mon corps de jouir de cette souffrance fulgurante magnifiée par mon obéissance servile. Ce fut une révélation plus que prodigieuse pour moi que de parvenir à me libérer et à jouir de la douleur imposée et voulue par le Maître à qui j'étais prêté, comme un objet sans importance, sans valeur, que j'étais devenue en refusant l'épreuve. Pour marquer sa satisfaction, ma Maîtresse me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une position d'écartèlement extrème. Un inconnu s'approcha alors de moi, comme si je redevenais digne de son intérêt, et je crus lire dans son regard l'amour que l'on me donne parfois un peu maladroitement mais qui me rassure tant et qui est ma raison d'être. Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Je me livrais au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré. Des images fulgurantes de sacrifices déferlaient en moi. Je me surprenais à souhaiter que ma chair se déchire et que mon sang coule. J'avais retrouvé la considération de ma Maîtresse, j'étais devenue esclave, digne de ce nom et digne d'elle. Et il n'est pas pour moi plus grand bonheur que de me savoir appréciée. C'était de l'amour avec le vertige en plus. Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe, un homme s'approcha de moi. Il me contempla silencieusement, nue et enchaînée; bientôt, je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles. Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à malmener, puis à presser pour en faire jaillir la pointe granuleuse. Lorsque le mamelon fut excité, il y planta sa première aiguille, puis presque aussitôt, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé et qui réagit de tout autre façon. J'aimais l'idée du supplice douloureux et long. D'autre aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir le métal que la lueur du faible éclairage faisait jusqu'à-là scintiller. Afin sans doute d'accentuer ma douleur, il me transperça la chair sur mon ventre. Je me consumais, j'avais les entrailles en feu. Ma Maîtresse, penchée au dessus de moi, tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina, la cire brûlante perla sur ma peau. Mon martyre devenait délicieux. Qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, je n'en avais jamais douté. Le pire restait à venir. Les coups de fouet me cinglèrent avec une violence terrifiante. Je devinais que ces cinglements abominablement cruels étaient destinés à faire éclater les croûtes de cire qui constellaient mon ventre et mes seins. Hélas, je ne pus me retenir davantage, mes reins se cambrèrent, propulsèrent mes cuisses et mon ventre en avant, dans un orgasme si violent que je crus démanteler la croix qui me tenait contrainte. Ruisselante et fière, j'avais joui par la seule volonté de ma Maîtresse. Lorsque j'eus retrouvé la maîtrise de mes nerfs, je demandai à ma Maîtresse de me ramener dans le salon où les hommes attendaient mon retour. Je fis mon apparition, les yeux de nouveau bandés, nue, droite et fière, guidée par Juliette qui me dirigea vers le cercle des hommes excités et ce fut moi qui m'agenouillai pour prendre leur verge dans ma bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur mon visage ou ma poitrine offerte. L'un deux s'approcha de moi, me palpa, s'insinua, me fouilla et me sodomisa. La pensée du sacrifice procure à certaines femmes un sombre plaisir. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/04/20
Elle savait. Elle avait été prévenue. Ils avaient longuement discuté. Elle avait accepté. Formellement, elle avait même signé son engagement, dont elle se rappelait encore chaque mot qu'elle avait écrit au moyen d'une plume d'oie trempée dans un encrier d'encre de Chine noire comme du charbon au fond d'une mine profonde et sans lumière : "Moi, Artémis, me constitue prisonnière auprès de mon maître Hector. Il sera mon geôlier, et aura la libre et totale disposition de mon corps. Je lui abandonne ma liberté, et le contrôle de tous mes mouvements pour la durée qu'il lui plaira." Et surtout, elle se rappelait ce qui avait suivi ce moment. Il était venu avec une petite aiguille, et lui avait demandé de lui présenter sa main tendue, paume ouverte vers le haut, et lui avait demandé : « Tu peux encore refuser. Il est encore temps de rester libre. Si tu confirmes ton engagement, dis simplement "Je le veux, qu'il en soit ainsi" » et il l'avait regardé au fond des yeux. Elle n'avait pas hésité un instant et avait répété d'une vois basse et sensuelle la formule suggérée : « Je le veux, qu'il en soit ainsi », et avait abaissé ses yeux. Alors il avait piqué le bout de son index, dans la pulpe du doigt, et avait fait couler un peu de son sang dans une petite coupelle de verre, et lui avait dit : « Maintenant, signe de ton sang ton engagement, et il sera irréversible. » Elle avait trempé le penne de la plume d'oie, taillé en bec et fendu, dans la petite coupelle, et signé de son sang. il avait alors apposé un seau de cire rouge au bas du document. C'était le 21 février 2020. Alors il lui avait dit : « Désormais, tu es ma captive. Commence par te mettre nue. » Elle l'avait regardée, hésitant un instant. Elle le connaissait si bien, depuis qu'ils échangeaient et dialoguaient ensemble. Mais elle le connaissait si peu, aussi : il lui inspirait confiance, elle savait qu'elle voulait vivre cette expérience... mais c'était leur première rencontre ! Une petite appréhension l'avait subitement saisie et elle ressentait comme une petite boule au ventre. « Entièrement nue », avait-il précisé, d'un ton autoritaire et sec mais empreint simultanément d'une grande tendresse, sentant son hésitation, et coupant court à ses tergiversations. Alors elle avait débuté son déshabillage. Elle avait commencé par se pencher, pour défaire le fermoir de ses chaussures. C'était des stilettos noires à bout très pointu, perchées sur un talon en acier brut de 14 cms, et retenues à la cheville par une fine lanière de cuir qui s'enroulait jusqu'au bas du mollet, au-dessus de la malléole externe, telle une liane sauvage. Elle avait avisé un beau fauteuil club de cuir fauve, et était venue les déposer délicatement aux pieds de celui-ci. Puis elle avait ouvert son chemisier, bouton par bouton, de haut en bas : elle connaissait l'effet qu'elle produisait ainsi, et ressentait le regard acéré et brillant d'Hector qui l'observait, debout face à elle, sans prononcer un mot. Arrivée au dernier bouton, elle en avait écarté les pans, découvrant sa poitrine nue, sans soutien-gorge, conformément aux instructions qu'elle avait reçue avant de se rendre à ce rendez-vous : deux beaux globes de chair ferme et opulente, qui ne pouvaient laisser aucun homme indifférent, elle le savait. Elle avait alors laissé glisser les deux manches du chemisier le long de ses bras sur l'assise du fauteuil derrière elle. Elle n'était plus vêtue que d'une courte jupe étroite et moulante en cuir noir et de ses bas noirs, dont on devinait les jarretelles dépassant tout juste du bas de la jupe, ce qui n'était en aucun cas un hasard. Elle avait alors effectué une demie-torsion de son buste pour attraper la tirette de la fermeture éclair située dans son dos, recouvrant le sillon de ses fesses. Elle s'était alors retournée, pour qu'il puisse jouir du spectacle lorsqu'elle avait commencé à dézipper sa jupe, écartant les deux pans de la jupe, dévoilant en écho deux autres globes non moins charnus et voluptueux. Elle avait alors laissé glisser la jupe à ses pieds : là encore, conformément aux directives reçues, il pouvait se rendre compte qu'elle ne portait ni culotte ni string ni quoi que ce soit qui puisse cacher la moindre parcelle de son intimité, qui avait été soigneusement et intégralement épilée. Toujours de dos, elle s'était alors penchée en avant, tout en gardant les jambes bien droites, pour ramasser sa jupe, faisant ressortir les muscles de ses mollets, de ses cuisses et de son fessier dans ce mouvement qu'elle avait su rendre gracieux mais aussi très érotique. Et la jupe avait virevolté d'un geste rapide et ample vers le dossier du fauteuil, avant de retomber sur l'assise aux côtés du chemisier. Restant dos à Hector, elle avait à ce moment commencé à dégrafer les jarretelles de ses bas, mais elle avait alors entendu une injonction sèche et concise, prononcée de la voix chaude et profonde d'Hector : « Retourne toi, je veux te voir de face. » Elle s'était donc retournée, lentement, incapable de résister : elle n'en avait d'ailleurs pas envie, elle voulait se montrer à la hauteur des attentes de son dominant, celui qu'elle avait choisi pour vivre cette expérience, pour se révéler à elle-même, pour vivre en harmonie avec ses désirs profonds de soumission. Et elle avait dégrafé les dernières jarretelles, fait glisser les bas jusqu'à ses genoux, puis relevé ses jambes pour les retirer, ainsi que le porte-jarretelles, et les lancer derrière elle rejoindre le reste de ses habits. Elle était maintenant entièrement nue, comme il le lui avait demandé. Elle se tenait debout, un peu maladroitement, un peu honteuse mais très excitée par la situation aussi, les bras ballants le long du corps, la tête de côté regardant dans la vague, se laissant admirer, sans savoir ce qu'il attendait d'elle maintenant. C'était une belle femme. Il avait dit simplement : « Tu vas prendre une position d'inspection, maintenant, qu'il te faudra bien retenir : debout, le corps bien droit, ta poitrine projetée vers l'avant et tes fesses vers l'arrière, les jambes légèrement écartées, sur la pointe de tes pieds, les mains derrière la tête. » Elle avait adopté la position indiquée sans sourciller. Il avait corrigé quelques défauts de postures par de petits coups secs de sa cravache, lui faisant rentrer le ventre, tenir ses bras bien écartés et en arrière, ajustant l'écartement des jambes. Elle était maintenant dans l'attente, en équilibre instable sur ses orteils. Il avait tourné autour d'elle, observant chaque détail de son corps, tâtant ici un sein, ici une cuisse, là une fesse, ou caressant une joue, le ventre ou le bas de ses reins. Puis il avait introduit son majeur dans sa bouche, et elle avait eu le réflexe de succion qu'il attendait. « Tu es une bonne suceuse, je crois », avait-il décrété abruptement et un peu vulgairement, mais cela l'avait excitée, et elle se sentait presque fière d'avoir entendu cela ! Elle avait alors senti les doigts d'Hector descendre le long du sillon de ses fesses, puis caresser son périnée, et revenir sur l'avant effleurer ses lèvres vaginales. Elle avait ressenti des fluides intimes s'écouler le long de ses jambes, mais en même temps elle avait fléchi les pieds, ce qui lui avait immédiatement attiré une claque sonore et percutante sur ses fesses. Elle avait compris instantanément, et s'était redressée sur la pointe de ses pieds. « Garde la position. Tu vas maintenant mettre ta tenue de prisonnière. » Et il s'était retourné pour ouvrir le tiroir d'un petit meuble derrière lui, dont il avait retiré un vêtement. Il lui dit « Repos, maintenant. Enfile cela. », et lui tendit le vêtement. Elle s'était exécuté. C'était une tunique de tissu semi-transparent d'organdi et tulle "eye-catcher" de couleur beige chair, constituée de deux pans verticaux au droit du corps et retenus par des lacets de coton bruns tabac sur les épaules et le long du corps sur les deux côtés qui restaient ainsi ouverts à la vue. La tunique s'arrêtait évidement très haut sur les cuisses, presque à la commissure de la hanche et du bas des fesses. Il s'était à nouveau retourné, avait ouvert le second tiroir, et elle avait entendu un tintement métallique lourd lorsqu'il avait retiré d'autres objets qu'elle distinguait maintenant. C'était des fers. De lourds fers épais en acier inoxydable chromés et rutilants, munis de gros anneaux de la même matière. Il y en avait cinq en tout, tous reliés entre eux par des morceaux de chaîne à gros maillons. Hector fixa d'abord les fers à ses pieds. Elle avait ressenti instantanément la sensation aigüe d'être prisonnière, à l'image de ces bagnards condamnés à l'exil que l'on voit dans les films. Mais là, ce n'était pas un film : les deux pièces d'acier venaient de se refermer autour de ses chevilles. Ils pesaient lourd, la chaîne qui les reliait était courte, elle avait compris qu'elle ne pourrait plus marcher à grands pas, et encore moins courir pour s'échapper, si d'aventure l'envie lui en prenait ! Il souleva alors deux autres fers d'acier qui vinrent enserrer ses poignets. Les chaînes qui les reliaient aux chevilles ne lui permettaient plus de soulever ses poignets au-dessus de la taille. Puis il s'était saisi du dernier fer, qui était venu se verrouiller autour de son cou. Elle s'était ainsi retrouvée entièrement harnachée d'acier qui entravait et limitait ses mouvements. Et elle se rappelait ses sensations étranges à ce moment-là. Un mélange de sentiment d'impuissance totale, de se retrouver à la merci d'Hector, en danger, sans défense possible, exposée à toutes ses perversions dans sa semi-nudité lubrique. Mais aussi de calme, d'apaisement et d'oubli de tout souci, d'abandon et de lâcher-prise confiant, comme dans un cocon protecteur et ouaté. Elle frémissait d'une angoisse diffuse, mais aussi d'une sensualité trouble et rassurante. Un nouvel ordre était tombé : « Avance, maintenant. Tu vas faire connaissance de ta nouvelle demeure. » Alors elle avait fait un premier pas, et avait failli trébucher : le pas qu'elle avait voulu faire était trop long, et la chaîne à ses chevilles s'était tendue brusquement dans un cliquetis métallique, retenant l'avancée du pied, tandis que le haut du corps était entraîné vers l'avant par l'impulsion donnée. Mais elle avait su se rétablir, et avait remarqué qu'Hector avait veillé, et l'aurait retenue si elle avait vraiment basculée. Cette prévenance l'avait rassurée, et elle avait avancé dans la direction indiquée , à pas mesurés. Par un coup de cravache sur les poignets, il lui avait fait comprendre de tenir ceux-ci élevés, de façon à ce que la chaîne qui les reliait aux chevilles soit tendue vers le haut, et ne racle pas le sol. Il lui avait fait suivre un long couloir, puis descendre un escalier de pierre qui descendait dans un sous-sol éclairé par de faibles ampoules à incandescence à la lumière jaune. C'était un vaste sous-sol, aussi grand que toute la surface de la maison, qu'il lui avait fait traverser entièrement. Au fond, une ouverture dans le mur de pierre était munie d'un grille ouverte. Il lui avait intimé de passer cette ouverture, et elle découvrit un étroit réduit aux murs de pierre d'environ deux mètres sur trois. Au fond, une paillasse cimentée sur lequel était disposé un simple matelas. Sur le côté gauche, un WC et un lavabo ainsi qu'un simple tuyau de douche flexible sortant du mur. Aux murs, plusieurs anneaux en fer forgé noir étaient scellés dans les pierres. Il lui avait demandé de s'asseoir sur le "lit" (si l'on pouvait appeler ainsi cette simple paillasse cimentée) et s'était emparé d'une chaîne fixée au mur au-dessus du lit, qu'il avait fixée au fer de son cou au moyen d'un gros cadenas. La chaîne faisait environ 2,50m de long, et lui permettait ainsi d'aller du lit jusqu'au WC ou au lavabo, mais en aucun cas de passer la grille de la porte, même si celle-ci restait ouverte. La cellule - puisqu'il fallait bien l'appeler ainsi - était assez haute de plafond, et était éclairée d'une unique ampoule incandescente jaune. Elle avait aussi remarqué dans un coin du côté de la porte une caméra, et avait compris que l'angle de prise de vue de celle-ci lui permettait de distinguer tout ce qui se passait : il n'y avait pas d'angle mort, elle serait sous la surveillance permanente de cet œil électronique... Elle se remémorait tout cela avec précision. Elle ne regrettait rien. Ses journées étaient rythmés par les repas que lui apportait son geôlier, qui étaient simples mais toujours bons et suffisamment copieux. Malgré sa tenue légère, elle n'avait pas froid, la cellule était bien chauffée. Il n'y avait pas de lumière du jour. Et elle ne pouvait pas commander l'allumage de l'ampoule. Celle-ci s'allumait ou s'éteignait à des heures dont elle n'avait pas la maîtrise. Aussi ne savait-elle plus depuis combien de temps elle était là. Elle avait perdu toute notion du temps. Elle n'avait pas de nouvelles du dehors. Son seul contact humain était lorsque Hector venait lui apporter ses repas, ou aussi lorsqu'il venait pour une "séance". Souvent. Chaque fois qu'il en avait envie. Il l'attachait à l'un des anneaux du mur, et la fouettait, la cravachait, la tourmentait de mille manières, puis la prenait brutalement et sauvagement, ou bien parfois avec douceur, lenteur et volupté. Elle devait le sucer goulument, et se délecter de son sperme, ou bien se laisser sodomiser sans ménagement. Elle n'avait rien à dire, pas de choix autre que celui de subir chaque fois qu'il le désirait les envies d'Hector... Mais elle était heureuse, elle jouissait aussi le plus souvent, et elle ressentait la plénitude de sa condition de soumise, de prisonnière asservie, d'esclave sexuelle au service des désirs pervers du maître des lieux et maître de son cœur comme de son corps. Une certaine forme de routine s'était installée, même si aucune séance ne ressemblait à la précédente. Elle ne savait pas quand il mettrait fin à cette expérience ; lui seul avait le loisir d'en décider. Un jour, plongée dans le noir total, elle entendit le bruit caractéristique et si familier maintenant de la porte du sous-sol qui s'ouvrait, annonçant la venue d'Hector. Le plafonnier s'alluma, éclairant la cellule de sa lumière blafarde. Quand il entra, elle sentit que ce n'était pas un jour comme les autres... Il avait un air légèrement soucieux. Et, en effet, il lui dit : « Sais-tu quel jour nous sommes ? » Elle ne savait pas, mais elle s'étonnait qu'il lui pose cette question. C'était la première fois. - Non, je ne sais pas. - Nous sommes le mardi 17 mars. Elle ne savait pas où il voulait en venir. - D'accord. Mais, euh... pourquoi me dites-vous cela ? Il attendit un moment, puis dit : - Il y a une mauvaise nouvelle... Elle se demanda ce que cela pouvait être. Allait-il devoir partir, et l'abandonner seule quelques jours ? Était-il mécontent d'elle, et voulait-il la renvoyer ? Une sourde angoisse l'envahit. - Quelle est cette mauvaise nouvelle ? parvint-elle à prononcer en déglutissant pour évacuer son angoisse. - Eh bien, il y a un virus, qui vient de Chine, et qui est assez dangereux... - Ah, d'accord, et alors ? Elle était presque soulagée par rapport à ce qu'elle avait imaginé, ce n'était donc que cela ! - Et alors ? Nous allons devoir être confinés, pour une durée indéterminée ! Il avait pris un air renfrogné. Alors elle l'entoura de ses bras, et l'embrassa tendrement, pour le consoler. Elle était ravie de cette nouvelle !
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Par : le 25/04/20
Dimanche soir, après le dîner, Maxime m’a ordonné d’aller me rafraîchir et de lui rapporter mon collier d’acier, signe qu’il avait l’intention de faire pleinement usage de ses prérogatives de Mâle. Apres une douche rapide, tremblante du désir de ce qui allait suivre, j’ai pris le collier et suis revenue m’agenouiller à ses pieds. Le temps qu’il me le mette autour du cou, toujours à genoux, je caressais, embrassais, reniflais, léchais l’emplacement de son sexe, pour lui prouver mon désir et ma soumission. Très vite, j’ai senti monter le sien, sa queue durcir sous son pantalon, se tendre sous mes caresses. Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever, pour que je le dévête à son tour. La chatte humide, je lui ai retiré sa chemise, avant de me frotter contre lui, pour embrasser, sucer, mordiller doucement ses tétons et les faire durcir. Puis, toujours lovée contre lui, je me suis laissée glisser le long de son corps, pour revenir à ses pieds, retirer ses chaussures, ses chaussettes, embrasser, lécher ses pieds avant de dégrafer sa ceinture, lui retirer son pantalon et découvrir, jaillissant de son boxer noir, l’objet de mon désir, cet arrogant symbole de sa virilité triomphante. J’ai relevé la tête, croisant son regard, attendant ses ordres pour aller plus loin. Parce que si mes trous appartiennent à mon Maitre, cela ne me donne aucun droit sur ce qu’il a entre les jambes. Le sexe du Maître ne m’appartient pas, il est une récompense, que je peux désirer, adorer mais que je dois mériter et dont lui seul peut décider de l’usage qu’il en fait. Finalement, l’ordre est tombé, « continue », me permettant enfin de vénérer pleinement son corps nu, d’embrasser, de lécher ses couilles, de les prendre en bouche, de les sucer doucement, avant de parcourir avec la langue son phallus tout puissant pour goûter aux prémisses humides de son désir en léchant son gland. Il m’a entraînée dans la chambre, m’a ordonné de m’allonger sur le lit, avant de m’attacher, bras et jambes en croix, les membres tendus à l’extrême pour m’immobiliser totalement. Puis, il m’a bandé les yeux. Immobilisée, entravée, incapable de bouger et au surplus dans l’impossibilité d’anticiper, de me préparer à la suite puisque ne voyant rien, j’étais totalement offerte, sans autre possibilité que de supporter ce qu’il déciderait. Mais je savais en même temps que quoi qu’il décide, m’impose, je n’avais rien à craindre. J’étais à ma place, dans la fonction qui est la mienne, celle d’une esclave, son esclave, offerte à son plaisir. Et je mouillais d’être à sa merci.
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Par : le 25/04/20
Ulrich, vit dans un canton reculé de la Suisse profonde où les femmes n'ont toujours pas le droit de vote. Pourquoi faire? La politique, elles y comprennent rien. Pour Ulrich, les femmes c'est à peine un peu plus que les vaches de son étable, mais vraiment à peine plus. Des fois Ulrich se demande même si ses vaches ne sont pas plus intelligentes que les femmes. Moins casse couilles c'est sûr. La seule femelle qu'aime Ulrich, c'est Maïke, la reine de son troupeau. Celle là, il la vendrait pas contre toutes les femmes du canton. Sa Maïke est vraiment la reine. Faut voir comme elle marche avant d'aller au combat. Elle gagne toujours. Un rival du hameau voisin lui a proposé ses deux filles, deux jolies vierges, en échange. Ulrich a répondu: - Mais qu'est ce que tu veux que j'en foute de tes filles. Tu veux me ruiner ou quoi? la femme d'Ulrich est une soumise totale, non seulement elle n'a pas le droit de vote, mais elle a en plus un devoir, c'est de la fermer. Ulrich aime manger sa soupe au calme. Sa femme se tient derrière lui et doit le servir en silence, debout, regard baissé. Non mais, c'est la moindre des politesses. Les femmes mangent après les hommes dans son canton, juste avant les chiens qui finissent les restes. Et le soir, elles doivent écarter et se laisser saillir. Ulrich a tous les droits sur sa femme, il l'a baise quand il veut et comme il veut. L'autre doit écarter s'ouvrir et se taire. Et quand Ulrich se libère, il beugle dans son patois. La jouissance de sa femme ? Pour Ulrich les femmes n'ont d'autre jouissance que de faire plaisir à leur propriétaire. On ne se marie pas à une femme, on en fait sa propriété. D'ailleurs Ulrich a marqué le cul de sa femme au fer rouge, comme ses vaches. Au moins elle sait où est sa place. Sa femme n'a pas de nom, ni même de petit nom. Il l'appelle "ma pisseuse". Elle ne doit jamais porter de culottes sous son épaisse longue jupe fleurie et brodée. La pisseuse d'Ulrich a de bonnes grosses mamelles bien laiteuses et un gros cul bien blanc. Il adore la trousser quand elle retourne les foins dans l'étable. Il lui a fabriqué une muselière en cuir épais avec un mors en bois. Il l'attache solidement par les mains à une traverse en bois, l'oblige à bien se cambrer. Une bonne pisseuse doit être bien fouettée avant l'amour. Cela lui détend les fesses et la chatte. Ce n'est qu'une fois qu'elle a le cul bien rouge qu'il faut la saillir d'un coup. Les pisseuses adorent se faire violer la chatte et le cul, dans une étable. C'est bien connu. Et Hercule, le gros taureau noir adore mater, pour voir comment Ulrich fait avec ses femelles. Cela doit lui donner des idées car il va aussitôt se taper lui aussi de belles vaches. C'est vrai que la pisseuse a un cul superbe, bien bombé et tonique. L'air frais des montagnes, l'eau de source, de bonne fessées bien méritées, de bonnes giclées de sperme. la pisseuse d'Ulrich respire la santé.
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Par : le 25/04/20
Nymphe et reine de l'île d'Ogygie, la presqu'île de Ceuta en face de Gibraltar, Calypso du grec ancien, ??????, était la fille d'Oceanos et de Téthys. Sa légende s'intègre dans le récit du retour d'Odysseus, Ulysse. Lorsqu'il quitta Troie, après une traversée périlleuse durant laquelle il résista au chant des Sirènes, le héros et son équipage essuyèrent une tempête envoyée par le Titan Hypérion. Il fut le seul survivant et, accroché à un radeau de fortune, s'échoua sur l'île d'Ortygie où la fille de Théthys et d'Océanos, Calypso, vivait dans une grotte. La séduisante jeune fille accueillit le naufragé, le ranima avec du vin fort et de la nourriture, puis le coucha dans son lit. S'étant éprise de ce héros venu de la mer, elle parvint à lui faire oublier sa patrie et sa famille. Pendant sept ans, ils vécurent heureux, sur l'île des peupliers noirs, et donnèrent le jour à trois fils: Latinos et les jumeaux Nausithoos et Nausinoos. Le navire, pris dans une énorme tempête déchainée par Poséidon, dériva jusqu 'à Charybde où tout l'équipage fut englouti. Seul Ulysse survécut, accroché à un arbre. Il put enfin s'agripper à une épave, dériva neuf jours pour atteindre finalement l'île d'Ogygie où il fut accueilli très gentiment par Calypso. Très rapidement, elle tomba amoureuse du héros et lui demanda de rester auprès d'elle. Elle lui offrit même l'immortalité et l'éternelle jeunesse. Mais rien n'y fit: l'amour d'Ithaque et de Pénélope demeurait toujours le plus fort dans le cœur d'Ulysse, qui passait ses journées sur le rivage à contempler la mer, les yeux mouillés de larmes. Conseillé par Athéna, Zeus en fut ému et dépêcha Hermès auprès de Calypso pour lui donner l'ordre de laisser partir Ulysse de son l'île. Calypso fut étonnée de voir Hermès dans ces parages, elle lui offrit un repas d'ambroisie et de rouge nectar et lui demanda ce qu'il désirait. Dans un petit discours Hermès expliqua qu'il n'était pas ici de sa propre volonté et que traverser des étendues infinies d'eaux salées ne lui plaisait pas, mais Zeus lui avait ordonné de venir la voir: "Maintenant, Zeus t'ordonne de renvoyer Ulysse très promptement, car sa destinée n'est point de mourir loin de ses amis, mais de les revoir et de rentrer dans sa haute demeure et dans la terre de la patrie." Homère, "Odyssée" V, 112 Malgré sa douleur et l'enfant qui venait de naître, Calypso obéit. Elle vint avertir le héros qu'il pouvait partir et qu'elle l'aiderait à construire un radeau. Toujours aussi soupçonneux, Ulysse ne voulut pas la croire et il lui demanda de jurer par un serment solennel qu'elle ne cherchait pas son malheur et sa perte sur les flots amers. La nostalgie de sa chère Ithaque et l'absence de son épouse Pénélope devenaient insupportables. Ulysse ou Odysseus se lassa des caresses et des baisers de la jeune femme. Calypso, qui souffrait en silence, lui promit l'immortalité s'il restait avec elle, mais il languissait, assis sur la plage, le regard fixé sur l'horizon, jusqu'au jour où Hermès, envoyé par Zeus, ordonna à Calypso de laisser partir son amant. La mort dans l'âme, elle l'aida à construire, avec des écorces d'arbres, un radeau qu'elle chargea de provisions. Elle y ajouta les outils nécessaires pour survivre et se défendre, le cas échéant, puis Ulysse le mit à la mer sur des rouleaux et se laissa pousser par le vent. La nymphe Calypso demeura seule, attristée sur la plage. Alors Calypso jura sur le Styx, le plus sacré des serments, qu'elle aiderait le héros à construire un radeau, elle lui fournirait du vin du pain et de l'eau nécessaires à sa traversée. Une dernière fois elle lui proposa de rester sur son île au lieu de courir vers de nouveaux dangers et une nouvelle fois, il souhaita revoir son épouse et sa patrie. En quatre jours le radeau fut prêt; le cinquième jour la divine Calypso, après l'avoir baigné et habillé de vêtements parfumés le renvoya de l'île et elle lui donna un vent doux et propice. Calypso ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse. Sa grotte ne résonnait plus de son chant; les nymphes qui la servaient n'osaient lui parler. Calypso mourut de chagrin quelques temps plus tard bien que cette version soit peu conciliable avec le fait qu'elle fût quasi immortelle. Suivant une autre légende, l'aventure se reproduisit lors du passage de Télémaque qui aima puis abandonna la nymphe. Dans la version de Fénelon c'est elle qui accueillit Télémaque et Mentor, en fait Minerve, partis à la recherche d'Ulysse. Télémaque est jeté par une tempête dans l'île de Calypso. Cette nymphe, inconsolable depuis le départ d'Ulysse, fit au fils de ce héros l'accueil le plus favorable, et, concevant aussitôt pour lui une violente passion, elle lui offrit l'immortalité, s'il voulait demeurer avec elle. Télémaque refusa mais en revanche, il tomba amoureux d'Eucharis, une suivante de Calypso, dont il n'est nulle part question dans la mythologie grecque classique. Chacun a en mémoire les figures féminines qui guettent les voyageurs sur l’immensité marine si pleine de dangers et d’écueils redoutables aux Grecs. Barbares des rivages asiates, nymphes insulaires en des rivages proches de ceux de la mort et de la nuit, descendantes de l’Océan, elles semblent encore plus terrifiantes souvent que gouffres ou rochers. Leurs crinières ensauvagées de jeunes filles disent les vents qui bouleversent en tout sens l’itinéraire du voyageur et comment elles le guettent, prêtes à l’agripper avec leurs griffes pointues, leurs mains de magiciennes chargées de philtres, de poisons ou de tissus inquiétants. Qu’elles s’appellent Sirènes, Gorgones, Grées, ces vieilles jeunes filles qui portent en plein visage les rides de la mer ou Harpyes, semblables au vent de l’orage. Ou bien encore Médée, Circé, Calypso, pour ne retenir que quelques-unes de celles qui jalonnent le périple des voyageurs; Ulysse, Jason, Persée. Car, finalement, ce sont ces figures inoubliables apprises dans les livres, qu’ils devaient affronter lors de gestes héroïques, ou dans leur quête d’une réintégration, d’une reconnaissance au cœur de la société des hommes. Et la question ne pouvait que se poser; à quoi correspondaient leurs attributs aussi sauvages que terrifiants ? De quoi, si angoissant pour l’homme, pouvaient-ils être signes chez ces femmes ainsi placées en marge, bien à l’écart même souvent, du monde policé, constituant en même temps, pour les plus grands des héros, d’ultimes épreuves ? Dans l’Antiquité déjà, Cicéron, et d’autres avec lui, s’étonnait de l’attirance du si avisé Ulysse pour les "petits chants" des Sirènes, n’y trouvant qu’une explication: le désir effréné de connaissance que leurs voix faisaient vibrer. Car il s’agit bien, aux yeux du philosophe latin, d’un savoir possédé par elles et promis par leurs chants. C’est aussi la Gorgone qui hante Les Palmiers Sauvages. L’évocation à intervalles réguliers de son visage gris, de ses cheveux gris aussi, "tout hérissés de papillotes", suffit à inscrire son omniscience des destins. Devant leur réalisation, ici la naissance avortée de l’enfant du couple adultère, elle n’est nullement surprise, n’entendant que ce qu’elle savait, s’attendait à entendre. Pour qui est pris par les figures mythologiques et sait les destins recroquevillés dans leurs noms, ces derniers constituent une réserve inépuisable pour l’imaginaire, mais aussi un support pour mettre au jour ce qui semble n’attendre que de se déployer. Et, par delà leur apparente aridité, la fascination suscitée par les dictionnaires mythologiques, tient, pour nous, à leur aptitude à faire trembler certitudes et idées reçues, en multipliant questions et solutions fluctuantes, à dire par un autre biais la marge de liberté prête à réaffleurer dans les inflexions des destins écrits ou désignés à chacun. Car elles sont faucons qui emportent, comme le signifient les syllabes des Harpyes rencontrées par Jason, femmes qui attachent par des liens, les Sirènes, en passant sur la route du retour d’Œdipe, hors de la ville de Thèbes par le sphinx. C’est de cette double forme que le destin dévoilé par les noms tient sa force inquiétante. Ainsi en est-il de Calypso, la terrible déesse qui file les voiles de l’embarcation d’Ulysse, et qui est tout à la fois, la cachée, et celle qui cache; ainsi de Circé, qui dérobe les autres à la vue comme le suggérait déjà Homère. De Méduse, la farouche, dont le regard est synonyme de mort pour qui s’approche trop près de son antre écarté et la contemple, ou encore de Médée, qui multiplie les crimes, par son caractère rusé, si l’on s’en tient à cette traduction ambiguë à qui ne connaît pas les subtilités de la métis grecque. Ainsi encore d’Hélène, non plus barbare mais grecque, c’est vrai, magicienne pourtant, à sa façon, et devenue troyenne durant dix ans. Son nom dit tout à la fois le rapt dont elle est l’objet par Pâris et celui dont elle est actrice, ravisseuse, pour les envoyer à la mort, de tant de vies d’hommes. Si les destins sont dessinés par avance dans les noms, ils le sont aussi par les mains de toutes celles, déjà rencontrées ici, qui jalonnent les grands retours: celui d’Ulysse vers sa sage épouse, la tisserande que chacun sait. Sage ? Pas si simple à dire. On a déjà pu rappeler comment des écrivains-femmes modernes se plaçaient sous la bannière de Cassandre, sous sa parole porteuse d’une vérité inaudible aux hommes. Peut-être s’étonnera-t-on davantage de les voir enrôlées sous le nom de Pénélope, attendant si longtemps celui qui séjourne plus qu’il ne devrait aux bords de rivages féminins. On s’en étonnera moins si l’on se penche sur les liens qui l’unissent par delà la mer, à Circé, à Calypso; sur ces tissages qui occupent les jeunes filles et femmes depuis Hélène, dans sa première apparition chez Homère. ?Eclairé par les reconstructions modernes, l’espace qui leur est concédé est toujours dans ce qui échappe aux mots, ou ne pourrait se dire que dans un langage nouveau, en rupture. On ne saurait assimiler hâtivement les places assignées aux femmes dans la cité ancienne et la nôtre, relativement à la reproduction. Mais, sous cet angle aussi, par delà ces figures mythologiques féminines telles qu’elles arrivent jusqu’à nous, un champ immense continue d’être ouvert à l’exploration. Car c’est toujours, à nos yeux, de légitimité qu’il est question avec ces visages féminins aux paroles nomades, sans lieu pour s’enraciner, si ce n’est dans les marges de ténèbres toujours renouvelées qu’elles font entrevoir, tendant leurs questions éternellement actuelles aux hommes soucieux de planifier la vie, sa propre histoire, pour les maîtriser mieux. Si, dans des perspectives poétiques masculines, leurs rivages, relégués au loin, se sont fait lieux de projection de leurs peurs, celles-ci leur offraient, du même mouvement, la possibilité de récupération d’un pouvoir infiniment plus grand que l’effroi de leurs doigts crochus ou de leurs voix stridentes: celui de faire trembler les certitudes ou d’en montrer les limites, de décliner les doutes de l’être humain sur sa place dans le monde, ses tentatives de planification de la vie, de la mort, de l’Histoire, sur les formes de barbarie à l’œuvre dans le siècle qui aurait dû être le plus civilisé. Si les œuvres représentant Calypso ne sont pas fréquentes chez les grecs, en revanche les artistes du XVII ème et XVIII ème siècle lui ont témoigné beaucoup plus d'intérêt. C'est le nom du bateau du célèbre océanographe Jacques-Yves Cousteau. Bibliographie et références: - Callimaque, "Hymnes" - Déméter, "Les Hymnes homériques" - Fènelon, "Aventures de Télémaque" - Hésiode, "La Théogonie" 1017 - Hygin, "Fables" 125 - Homère, "Odyssée" - Homère, "L’Iliade" - Pausanias, "Description de la Grèce" - P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/04/20
Lorsque je reçus le premier coup de fouet, je compris qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à me chauffer le corps avant d'autres impacts plus sévères. Du martinet, Juliette passa à la cravache. J'en reconnus la morsure particulière au creux de mes reins. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec nuance et précision, chaque coup reçu me semblait différent du précédent, selon que la mèche de cuir me frappait à plat, ou au contraire, sur toute la longueur de la tige. Juliette me flagellait avec une rigueur impitoyable et j'oubliais toutes mes bonnes résolutions pour me mettre à crier sous la morsure impitoyable du cuir. Mon corps se tendait en une supplication muette, mais éminemment éloquente. Bientôt, comme je le pressentais, la douleur qui me tenaillait se mua en plaisir, alors je ne pus me retenir davantage, mes reins se cambrèrent, propulsant mes cuisses et mon ventre en avant, dans un orgasme si violent que je crus défoncer la croix qui me retenait prisonnière. Honteuse et fière, j'avais joui des traitements infligés par la seule volonté de ma Maîtresse. Comme s'ils avaient deviné l'intensité de mon plaisir, que j'avais dissimulé de mon mieux sous des râles et des sursauts, Clothilde et Juliette accrochèrent soudain sur la pointe de mes seins et les petites lèvres de mon sexe, des pinces dont le poids entraînait la chair vers le sol. J'apprécie de porter des pinces aux seins, ma Maîtresse dit que je suis une jouisseuse des seins; me faire pincer les seins, parfois d'une façon très douloureuse me procure maintenant presque autant de plaisir que de me faire fouetter. En revanche, mes lèvres sont très sensibles et les pinces me font toujours beaucoup souffrir, et quels que soient mes efforts, j'ai bien du mal à surmonter ce genre de douleur. Lorsque Juliette installa l'une après l'autre les pinces dont le poids étirait douloureusement ma peau, je crus ne pouvoir jamais les supporter. Mais cette farouche volonté de ne décevoir ma Maîtresse, en aucun cas, m'a permis d'assumer bien des sévices. Je me concentrais de toutes mes forces sur un autre sujet susceptible de me faire oublier mes souffrances et je parvenais ainsi à oublier la douleur lorsque, brisant la tension nerveuse qui me faisait trembler au bout de mes chaînes, Juliette m'annonça la venue de Béatrice. Pendue aux menottes qui me sciaient les poignets, écartelée à en sentir les muscles de mes cuisses douloureuses, je ne pouvais faire un mouvement, ni tourner la tête pour contempler la belle femme qui était entrée dans la cave. Je sentis seulement sa présence, puis l'odeur envoutante de son parfum. Une main douce caressa mes fesses endolories et flatta mes seins meurtris par la flagellation. Je ressentis un apaisement qui n'était pas seulement dû aux caresses, mais à la présence de cette femme superbe que je n'avais pas le droit de regarder, même lorsque Juliette eut ôté le bandeau qui aveuglait mes yeux, puis libéré ma poitrine et mon sexe du carcan des pinces. Pour que je ne puisse avoir la tentation de me retourner vers la belle inconnue, Juliette plaça une cravache en travers de ma bouche, que je me mis à mordre instinctivement très fort entre mes dents. Je mourais d'envie de la voir; c'est un véritable supplice, de ne pas avoir le droit de regarder ceux qui vous frappent lors d'une séance de dressage. Cette frustration est à la fois blessante, car alors on a la preuve de ne pas exister, et terriblement excitante, car la curiosité est un trait dominant chez les esclaves. Enfin, elle fit le tour de mon corps écartelé et se plaça devant moi. Je la découvris, plus belle encore que je n'avais pu l'imaginer. Elle était grande, élancée, d'une finesse et d'une classe folle; la forme de ses lèvres sensuelles, la longueur de ses cuisses, la musculature de son corps de sportive. Béatrice semblait sûre d'elle et faisait preuve d'une tranquille détermination qui m'impressionnait. Juliette m'avait appris qu'elle avait été soumise, mais je ne décelai rien qui pût me conforter dans cette idée. Elle n'avait rien d'une esclave. Au contraire, elle avait le port du visage fier, comme celui d'une princesse dédaigneuse venue examiner ses sujets. Je ne pouvais l'imaginer agenouillée ou rampante, mais au contraire apte à dominer les femmes autant que les hommes. Ce soir-là, elle était nue, à part un mince string en voile noir qui mettait en valeur une chûte de reins magnifique et bronzée. Ses cheveux bouclés roux, son visage mince, ses yeux verts étincelants la métamorphosaient dans mon esprit d'esclave soumise en proie aux fantasmes d'une lionne qui allait me dévorer. Elle me détacha pour me placer face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même temps. La véritable humiliation était là: me montrer dans cette position dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Juliette commença à me flageller en insistant sur mes fesses, auxquelles elle vouait un véritable culte. Puis ce fut au tour de Clothilde et de Béatrice de me faire l'honneur de me battre. Je me tordis en gémissant sous le fouet, demandant grâce. Puis je sentis des doigts gainés de latex écarter mes lèvres, s'intoduire dans mon intimité, évaluer l'humidité involontaire que le contact de l'appareil avait suscité. Mes fesses furent écartées; je compris que j'étais inspectée plus intimement avec les doigts de latex, ensuite avec un speculum dont l'acier froid affola mon anus qui s'ouvrit lentement au gré de l'écartement de l'instrument qui le dilata jusqu'à la douleur. Comme je l'avais redouté, Juliette saisit un instrument de latex gonflable dont elle vérifia le fonctionnement sous mes yeux apeurés. Avec douceur et détermination, elle installa l'appareil en moi et commença à procéder au gonflage qui me dilatait inexorablement. La sensation devenait réellement insupportable. J'avais l'impression que mon anus se distendait sous l'envahissement de l'énorme cylindre conique qui semblait s'être fiché à jamais au plus profond de mes reins. Je ressentis un véritable dégoût à ne pouvoir contrôler l'orgasme lancinant qui montait en moi, me prouvant si besoin est que je devenais ce que Juliette voulait, un animal servile à la merci des jouissances les plus révoltantes. Après que Béatrice m'eut pénétrée les reins avec un nouvel objet plus épais mais très court, que l'on décida de laisser en place jusquà la fin de la soirée, une véritable terreur me submergea. Le feu crépitait dans la cheminée ancestrale, rendant l'atmosphère encore plus torride. Le supplice terminé, prise d'un besoin pressant, et ayant demandé à ma Maîtresse l'autorisation de me rendre aux toilettes, on m'opposa un refus bref et sévère. Confuse, je vis qu'on apportait au milieu de la cave une cuvette et je reçus de Juliette, l'ordre de satisfaire mon besoin devant les trois femmes. Une honte irrépressible me submergea. Autant j'étais prête à exhiber mon corps et à l'offrir à son bon vouloir, autant la perspective de me livrer à un besoin aussi intime me parut inacceptable. La véritable humiliation était là. L'impatience que je lus dans son regard parut agir sur ma vessie qui se libéra instinctivement. Lorsque j'eus fini d'uriner, ma Maîtresse m'ordonna de renifler mon urine, puis de la boire. N'osant me rebeller, je me mis à laper, comme une chienne, en avalant le liquide clair et encore tiède. Quelques instruments rituels étaient disposés à proximité de l'âtre: il s'agissait de véritables fers de marquage. Béatrice s'approcha de moi en brandissant un fer qui avait rougi dans les braises. Le regard de Juliette ne répondit pas à ma supplication. Béatrice se pencha sur mes reins offerts, que Clothilde maintenait immobiles. On me lia les mains et les pieds. Perdue dans mon épouvante, je sentais la main de Béatrice sur le bas de mon dos, qui indiquait où poser le fer. J'entendis un sifflement d'une flamme, et dans un silence total, une seule douleur abominable me transperça, me jetant hurlante et raidie dans mes liens. Je ne pus retenir un cri d'épouvante lorsque je crus sentir la brûlure sur ma chair. Je perçus une lègére pression, un pincement aigu très sec, et ce fut tout. J'étais bel et bien marquée, mais seulement à l'encre rouge. Le but était de provoquer ma peur, non de me marquer réellement. Je fus à la fois soulagée par ce dénouement inattendu, et secrètement déçue peut-être, de n'avoir pu donner ainsi une preuve d'amour définitive. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/04/20
Justement, à propos de boire… J’en ai peu dormi, cette nuit…, ma Maîtresse m’a demandé d’écrire sur la boisson. Pourquoi donc ce nom m’a-t-il empêché de m’endormir? Oh, tout simplement parce que venant d’elle, toute une série d’idées sont venues se bousculer dans ma tête. Sa présence, ses possibles idées… Tout d’abord, la boisson fait penser à l’eau et évidemment à son histoire. Je veux parler d’histoire d’O, ce roman écrit et surtout réalisé sous la forme d’un film qui a illuminé mes fantasmes et m’a préparé, il y a longtemps, à vivre ce que je suis devenu maintenant. Un soumis sensible à la théâtralisation, à l’adoration d’une Maîtresse, à l’accomplissement d’un être inférieur par rapport à la femme qui plus est, est soumis à une Maîtresse. Le parcours de Corinne Cléry, je l’avais pris pour moi et encore plus en y repensant justement cette dernière nuit. Histoire d’O met en lumière le parcours d’une soumise (évidemment la soumise peut aussi être un soumis) qui suit un parcours initiatique pimenté de flagellations, d’emprisonnement, de prêt, de bisexualité, d’épreuves couronnées par le débarquement de cette esclave fière d’appartenir. Cette esclave qui, à la fin, montre le chemin à une soumise suivante. Peut être que mon présent écrit a cette vertu, je l’espère, de guider les lecteurs qu’ils soient dominants ou soumis, sur ces parcours merveilleux de sensualité, de sensibilité, d’émotion aussi. De cette histoire découle évidemment la présence des liquides dans les pratiques, us et coutumes qui prévalent dans le monde BDSM. Etant donné que l’eau est la première boisson à laquelle on pense, évoquons ici, quelques chemins et expériences. L’eau que l’on boit dans un verre et qui souvent se révèle nécessaire au cours d’une épreuve un peu « hot ». L’eau que l’on donne dans un verre mais qu’une Maîtresse peut aussi cracher sur le visage du soumis ou gicler depuis sa bouche dans celle, ouverte de celui qui subit ses envies sadiques. L’eau qui peut passer d’une bouche à l’autre quand, dans le cadre d’un enfermement dans une cellule ou un cachot, l’un des deux soumis est incapable, à cause de son carcan, par exemple, de se désaltérer: une belle situation d’entraide. L’eau que l’on peut placer en dehors de la cage et dans laquelle se tient un soumis qui justement est en cours d’assoiffement, que l’on titille en lui montrant une écuelle d’eau qu’il ne peut atteindre. Petit moment de sadisme que je vais encore évoquer plus bas. Les jeux avec l’eau sont multiples et variés car si, à l’évidence, on peut faire couler la boisson dans la bouche, il est aussi possible de la faire couler au travers d’une canule fixée dans l’anus. Un lavement qui, en règle générale, selon la constitution des personne, peut ingurgiter 1 à 2 litres d’eau (notons ici que certains font des lavements avec des produits savonneux, voire même avec du vin ou du champagne, c’est dangereux et à proscrire!). L’eau donc que l’on peut garder malgré des contractions et des crampes qu’un bon bouchon peut retenir durablement. Ce lavement qui peut s’éjecter sur une cuvette des toilettes ou, par exemple, si le sujet est suspendu par les pieds, sortir par saccades… (Pour ceux qui n’aiment pas, et j’en suis, un petit prélavage est requis de telle façon que l’eau circule facilement dans les entrailles et que rien de trop sale vienne troubler une session). Après l’eau, les boissons peuvent être évidemment multiples et variées. J’ai souvent fait de mauvaises expériences quand, dans le donjon coulait le champagne ou d’autres boissons alcoolisées. Les sessions dérapent en général car l’alcool ne fait pas du tout bon ménage avec les bonnes pratiques BDSM. On parle champagne? venons-en alors, maintenant, à la boisson qui établit entre la dominatrice et le soumis une relations particulière et étroite, je veux parler de l’urolagnie, ou autrement dit celle de boire l’urine. Bien sûr que l’eau mentionnée ci-dessus et les descriptions de pratiques, peut avantageusement être remplacée par l’urine. Importée des USA, la technique fort sadique qui consiste à ficeler le soumis bien serré et de lui recouvrir le visage avec un linge sur lequel la dominatrice fait gicler sa petite fontaine dorée. L’effet de suffocation ne tarde pas à faire son effet que le soulèvement de ce bout de tissus permet de stopper. Pour le soumis c’est une délicieuse façon d’être entre les mains de sa domina, l’effet physique est doublé par une excitation cérébrale intense. La boisson « naturelle », chaude, est agréable et a un goût parfois assez sympa. Je me souviens de ce stage, écourté, à cause justement de l’alcool et la drogue (!!!). Je fus reçu, juste après le déjeuner. « On va te laver » me dit la dame. Nu, complètement ligoté, elle me fit subir le supplice de la baignoire. Je bus quelques mémorables tasses… entre deux étouffements, puis, en fin d’après-midi, alors que je commençais à avoir envie de boire quelque chose d’agréable, la dame me dit « hein, t’as soif? » elle baissa son leggings noir et pissa dans un verre qu’elle me tendit, la boisson avait un très bon goût de whisky! Je me souviens aussi de cette soirée en donjon où la dominatrice me tendant l’écuelle avec le repas du soir, la repris, écarta son slip pour pisser dans l’écuelle. « Comme ça tu aura ta boisson en même temps que ta pitance » me dit-elle, en riant. Il m’est aussi arrivé de boire l’urine froide du matin qui a elle un goût plus prononcé et parfois âcre. Mais quand on aime on ne chipote pas. Lors d’une préparation à une session uro, je me souviens de cet ami, propriétaire et gardien de prison, tatoué de partout d’ailleurs (avec une queue « insuçable » tellement elle était percée et gonflée par des implants sous la peau) qui avait pissé dans un verre avec l’intention de me le faire boire. En voyant, dans le verre, des « épaisseurs » comme de l’albumine, pas très catholiques; je lui dis que son urine devait contenir des éléments plutôt pathologiques et nous avions donc renoncé à la boisson. (Par contre l’arrosage, sans ingestion, ne me posa pas de soucis autre que celui de trembler de froid avant que l’urine n’ait séché alors que j’étais enfermé dans une cravate dans un sous-sol poussiéreux et assez frais). Il va sans dire donc que cette pratique suppose que les participants soient en bonne santé (pas de diabète, de cystite, d’infection). Il m’est aussi arrivé de boire des liquides (du lait en l’espèce) qui avaient été préalablement injectés dans le vagin d’une soumise, petit exercice souvent drôle, car il était toujours difficile de garder l’étanchéité de la « bouteille » improvisée… chose qui arrive notamment avec des pseudo-boissons du genre crème vanille, à la fraise ou au chocolat… (je ne parle pas ici, mais j’y pense quand même, des possibles petits « mélanges périodiques »…) on s’en met partout, souvent sous les rires et commentaires des spectateurs et des opérateurs avec pour finir le léchage de la soumise pour bien finir le « travail ». Les beaux moments sont aussi ceux de recevoir la boisson en étant enfermé dans un cachot, la « fontaine » coulant au travers de la grille du dessus. Ces nuits passées dans des cages superposées où celles, occupées au dessus, « alimentent » le ou les soumis placé en-dessous. Après une telle nuit dans ces conditions, il règne une petite odeur bien sui-generis qu’en bon soumis maso on apprécie toujours un peu, surtout quand les opérateurs viennent laver ça à grande eau bien froide. Evoqué et réalisé aussi, la boisson en circuit fermé. Oui, je l’avoue, ce fut une session un peu spéciale (mais bon ça peut se faire…). Insertion d’une sonde urinaire avec un tuyau qui va de la sortie de cette sonde à une sonde gastrique insérée dans le nez pour descendre jusqu’à l’estomac… le soumis s’hydrate tout seul sans rien faire notamment quand il est complètement momifié avec un tuyau dans la bouche pour respirer. Il va sans dire que venir se désaltérer à la source reste un privilège précédant ou suivant un délicieux cuni ou une belle pipe. En fonction de la situation, après, sous forme d’une délicieuse liqueur que l’on sert après un repas, les humeurs féminines ou le sperme viennent vous remplir la bouche que probablement, une dominatrice un peu perverse, viendra boucher avec un bâillon. Ce goût de liqueur et d’urine embaumera les papilles gustatives pendant une longue période pour le plus grand bonheur du soumis ou de la soumise d’ailleurs. Une façon possible de précéder la mise en sevrage qui pourrait durer, par exemple 24 heures, d’un soumis portant une bride-bavarde, enfermé dans une cage, exposé, titillé par des invités se promenant le verre à la main, crachant sur l’envieux en commentant et riant de sa soif. L’antithèse de l’action de boire en quelque sorte. A ma Maîtresse Gabrielle! Maîtresse, je suis la bouche ouverte pour recevoir votre divin liquide! Kaji (esclave SLNR: n° 386-312-138)        
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Par : le 22/04/20
Aujourd'hui, je vous apporte un sujet peu commun: le soi-disant Geisha mâle ou Taikomochi ou h?kan , qui était la façon courante de les appeler. Son origine remonte au Japon féodal du s. XIII. Ils faisaient partie de l'assistance personnelle du Seigneur féodal en matière de connaissance de la musique, de la poésie et du rituel du thé. Ils devinrent plutôt des bouffons (daimyo) encouragés à divertir les banquets majestueux. Plus tard, avec l'arrivée des Samouraïs, ces "geishos" ont été rebaptisés Otogishu , des conteurs de style jongleurs, plutôt humoristiques, bien qu'ils se soient concentrés davantage sur des conversations confidentielles avec le Seigneur, même de nature militaire. qui étaient de vrais conseillers et une partie importante dans les décisions finales sur les stratégies, allant même jusqu'à se battre au coude à coude dans les batailles dans lesquelles leur Seigneur était impliqué. Leur niveau était de haute confidentialité étant considéré comme des camarades, c'est-à-dire doboshu. Avec l'unification du pouvoir politique et militaire sous la domination du dernier Shogun (Tokugawa Ieyasu), ils ont acquis de nouveaux pouvoirs et un nouveau statut, devenant des courtisans d'une éducation délicate et d'une connaissance approfondie des divers arts, en particulier des histoires érotiques. C'est quand on leur a donné le nom de Taikomochi. C'était dès l'apparition de la première geisha (onna geisha), Kikuya, de retour dans l'art. XVIII, lorsque les Taikomochi ont commencé à jouer un rôle encore plus secondaire. Certains étaient de simples compagnons ou assistants de la geisha lors de réunions importantes. D'autres ont profité de l'occasion qui s'est présentée à la suite de l'expulsion de femmes des arts du spectacle pendant le shogunat de Tokugawa. Ainsi, aujourd'hui, seuls les artistes du théâtre Kabuki sont des hommes. Ils peuvent trouver une infinité d'informations sur le net. Je n'ai fait qu'un bref examen, de nombreux détails ont donc été omis.
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Par : le 22/04/20
Le lendemain de cette nuit où fut suppliciée la jeune soumise, Xavier avait été absent une partie de la journée. Charlotte était restée seule avec Juliette à s'ennuyer, mais après dîner, elle était montée dans la chambre de sa Maîtresse qui faisait sa toilette; la nudité aidant, d'attouchements en attouchements, elle avait dû s'avouer vaincue et cèder à son désir de soumission. Bénéficiant des ardeurs de Juliette, elle se remémora la soirée et seulement toute l'horreur de son abandon lui apparut. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu s'offrir et se laisser ainsi sodomiser par des inconnus dans des poses d'une lubricité atroce. puis peu à peu, le souvenir de certaines émotions charnelles supplanta la vague de pudeur qui déferlait en elle; elle repensa à l'ardente virilité de Xavier et trouva la vie plus belle que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour tamisée par les volets. L'après-midi, elle retrouva Juliette et l'emmena chez Xavier; vêtues toutes les deux de blanc, elles avaient l'air de deux sœurs et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites. Bientôt, les deux corps dénudés se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Juliette exhala non sans passion sa volupté toujours puissante. Alors Charlotte abandonna son corps aux désirs sadiques de Xavier. Il l'entraîna sur une table haute en bois et l'allongea à plat-ventre, jambes et bras écartés en lui liant les chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses membres en position d'écartèlement extrême. Xavier se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à flageller les reins qui s'offraient à lui; il commença doucement, visant le sommet des fesses tendues. Charlotte n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Xavier, excité, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements de Charlotte furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla; l'homme la flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Xavier frappa encore plus fort et les fines lanières claquèrent dans un bruit mat les fesses musclées. La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son buste que sa Maîtresse maintenait tout en le caressant; elle lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de résister encore; parfois Charlotte se tournait vers Xavier dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte; elle voulut fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Mais la douleur devint trop vive. Charlotte laissa couler quelques larmes sur la main de Juliette qui fit signe à Xavier de cesser la flagellation. On la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que peu de temps; penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité; mais elle même, sentit monter en elle la plus violente des jouissances sous la caresse précise de Vincent qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait la peau satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Charlotte s'échappait la plainte d'amour, s'éleva le gémissement étouffé de la chair humide et palpitante de Juliette, jouissant de toutes ses forces. Xavier dut maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et inintérrompus. Quand Charlotte eut repris ses sens, tous trois revinrent sur le lit; Xavier fit prendre à la jeune soumise les positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche; avec violence le phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge de sperme qu'elle avala mystiquement jusqu'à la dernière goutte. Juliette posa son index sur l'anus de Charlotte, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout. Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë; doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert, tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Xavier, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur le membre gonflé; elle comprit simplement qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit. Il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Charlotte, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Juliette avait laissé à regret; alors avec force, sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non sans se débattre et sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait sacrilège; elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles offensées. Vincent sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter et distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la croupe empalée. Charlotte, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa. Xavier se retira, la libérant; Charlotte voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa. Semi-consciente, elle pensa seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait. Elle était là pour que Juliette assouvisse ses plus bas instincts, ses plus vils fantasmes; au fond d'elle même, elle était décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive, et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait pire que n'importe quelle chaîne. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 22/04/20
Je pris la fuite avant l’aube, plus misérable que jamais. Abruti par une nuit blanche et l’excès d’alcool, rongé par la culpabilité, je vis défiler l’autoroute jusqu’à Paris plongé dans une torpeur hantée par les images de la nuit. Je revoyais ces scènes obsédantes de jouissance et de douleur mêlés, je ressentais encore la main de Maurice étreignant mon sexe ou le désir fou que j’avais éprouvé de cette esclave enchaînée à sa maîtresse. S’associaient contradictoirement le désir de retrouver au plus vite une telle jouissance et un profond dégoût de moi-même. Mon sexe, plutôt que de se tendre, maculait mon pantalon. Ce ne fut qu’aux abords de Paris que je recouvrais mes esprits. La familiarité du paysage urbain et le ciel gris me ramenèrent à une réalité plus prosaïque. Bientôt, sans même m’en rendre compte, j’arrivais dans ma rue puis devant la porte de mon pavillon. J’ignorais si je retrouverais Sarah ou si ce joli fantôme s’était évanoui dans la nature. Au fond, j’aurais pareillement accepté les deux hypothèses. Il était encore tôt, je pénétrai dans la maison sans bruit et me glissai jusqu’à la cuisine. Les pièces étaient plongées dans la pénombre, à l’exception de la cuisine. C’est là, soudain, que je découvris ébahi une jeune femme entièrement nue, une paire d’écouteurs sur les oreilles, et qui se dandinait d’un pied sur l’autre en attendant que le four à micro-ondes ait fini de tourner. Je toussotais assez bruyamment pour qu’elle se rende compte de ma présence mais sans l’effrayer. Elle se retourna avec un petit cri d’effroi, laissa tomber la tasse qu’elle tenait à la main et plaqua une main sur son bas-ventre tandis que son autre avant-bras masquait son peu de poitrine. Joliment brune, avec des yeux très noirs, elle avait encore quelque chose de l’adolescente. Si ses traits plus nets n’attestaient de sa maturité, on lui aurait donné seize ans. Sans doute sa poitrine trop menue y était-elle pour quelque chose d’autant que les deux anneaux qui traversaient les mamelons attiraient inévitablement le regard. Son pubis glabre rappelait également l’innocence pré-pubère, mais il suffisait de s’attarder sur le modelé des épaules et des hanches pour constater sa pleine féminité. Tout en lui interdisant d’un geste de bouger pour ne pas se couper la plante des pieds, je saisis un torchon et une pelle et, à genoux, j’entrepris de ramasser les morceaux de porcelaine. Mon geste eut pour première fonction de la calmer. C’est alors que retentit dans mon dos la voix de Sarah. - Je vois que vous avez déjà fait connaissance ! Je me relevais péniblement tandis que, profitant de ma position, la jeune inconnue contournait la table et se réfugiait dans les bras de Sarah. Je devais avoir un aspect assez minable pour que Sarah m’inspecte avec une expression aussi dubitative que la sienne. Elle, en revanche, dans un peignoir qui m’appartenait et qu’elle portait largement ouvert, apparaissait aussi gracieuse et désirable que d’ordinaire. Avec, en plus, un petit air de supériorité dont je compris la raison lorsqu’elle s’adressa à son amie. - Cléo, as-tu présenté tes excuses à Monsieur pour t’être exhibée dans sa maison sans que l’on te l’ait demandé ? Et pour avoir cassé cette tasse ? je suppose également que tu ne l’as pas salué… Se redressant et croisant les mains dans son dos, Cléo s’approcha assez près de moi pour que je perçoive le parfum de son corps. Les yeux baissés, elle prononça d’une voix maladroite : - Monsieur, je vous demande pardon. - File t’habiller maintenant et tu redescendras nous servir le petit déjeuner dans le salon. Je ne sais d’où Sarah tira cette lanière qui apparut dans sa main mais elle claqua farouchement sur les fesses de la jeune femme au moment où elle quittait la pièce. - Je suis désolé, me fit Sarah je me sentais seule, je lui ai demandé de me rejoindre. J’ignorais quand votre retour était prévu. - Qui est-elle ? - Mon amour. Je manquais de m’étrangler. Venez, ajouta-t-elle avec une douceur mesurée. Venez, j’ai à vous parler. Nous sortîmes dans le jardin. Le temps était à l’orage. Tout au fond du ciel, de gros nuages noirs roulaient sur un fond gris. Les chants d’oiseaux s’étaient suspendus, l’attente de la colère des cieux avait bâillonné le monde. J’étais fourbu et n’espérais qu’une douche et une journée entière au lit. Je déposai mon manteau sur la balançoire et m’adossait au tilleul, Sarah tira l’un des fauteuils d’osier et s’installa tout près. - Votre voyage s’est bien déroulé ? - Non. Oui et non. Je lui racontais mon entretien professionnel à Lyon, mes soucis d’argent qui s’éloignaient, la possibilité d’un contrat plus rémunérateur. - Ce n’est pas tout, conclut elle lorsque j’en eus fini. - Comment cela ? - Vous ne me dites pas tout. Cela se lit sur votre figure. - Non, je vous promets…. - Tututut ! Faites moi confiance, dites-moi… dit-elle d’un air faussement détaché. Je cédais. J’avais besoin d’évacuer le trop plein d’images et de sensations de la veille. Je lui expliquais comme j’aurais expliqué à un psychologue ou un prêtre. C’était une confession, un aveu, non pas à Sarah en particulier mais à un être humain qui, je ne sais pour quelle raison, m’apparaissait à cet instant être le seul à pouvoir me comprendre. Les mots sortaient en vrac, sans ordre précis mais le tableau à défaut d’être exact, était juste. Mon récit achevé, Sarah plongea ses prunelles grises au fond de mes yeux. Elles luisaient avec une dureté métallique. - Il n’y avait là rien de sordide, Monsieur. Et je crois que vous savez parfaitement ce qui vous taraude. - Je ne tiens pas à en parler… - Si, justement, nous allons en parler ! ordonna-t-elle, parce que tout est en rapport avec tout. Vous avez aimé que cet homme vous branle. Ne le niez pas. C’est cela et rien d’autre qui produit en vous cette confusion. Vous vous débattez entre deux sentiments. Ne soyez pas aussi lâche ! Cléo réapparu sur ces entrefaites, coiffée, légèrement maquillée et vêtu d’une légère robe printanière qui ne couvrait que le haut de ses cuisses. Je priai qu’elle n’ait rien saisi de notre échange. - Viens ici, ma chérie, fit Sarah en changeant diamétralement de ton. Me saisissant par le bras et prenant Cléo par la main, elle nous entraîna autour du jardin. - Je vous ai avoué, Monsieur, que j’aimais Cléo. C’est la vérité et vous l’avez probablement mal pris. Nous nous sommes connues à l’université, nous partagions la même chambre d’étudiantes, trop pauvres pour en louer une chacune. À force de réviser ensemble, de dîner ensemble, de sortir ensemble et de dormir ensemble nous avons fini par nous aimer. Mais cet amour, l’amour d’une femme envers une autre femme n’a rien à voir avec l’amour d’une femme envers un homme. C’est autre chose, un autre univers. Il y a des femmes qui n’ont jamais aimé que les femmes parce qu’elles sont ainsi. Il y en a d’autres qui s’aperçoivent au cours de leur vie que ce sont les femmes qu’elles aiment plutôt que les hommes avec lesquels elles ont vécu. Il y a aussi des femmes qui décident de ne plus aimer que des femmes parce qu’elle ne supportent plus les hommes. Sans doute les trouvent-elles trop bornés, trop violents, trop obsédés par le sexe et je les comprends. Chaque femme, chaque homme est unique. Moi, je prends ce que chaque côté m’offre et je le fais avec la même sincérité et la même loyauté. J’aime Cloé et je crois que je commence aussi à vous aimer. Ce n’est pas la même nature d’amour mais l’un et l’autre sont aussi importants à mes yeux. Ces mots, d’une admirable franchise, dispersèrent les contradictions qui depuis notre rencontre m’embrouillaient l’âme. Décrits avec cette limpidité, nos rapports prenaient toute leur évidence. Il n’y avait plus de drame, ni de bien ou de mal, plus de culpabilité. Et moi commençais-je aussi à l’aimer, Sarah ? Une petite tape sur les fesses suffit à renvoyer Cléo vers la cuisine. Il restait tout de même certaines choses à régler entre nous, ne serait-ce que pour le bien de la vie commune. - Et Cléo ? demandais-je. - Cléo ? Pourquoi ? - Pour rien… Sarah sourit énigmatiquement. - Cléo m’appartient. Depuis toujours. Elle m’est parfaitement soumise et m’obéit sans récriminer ni même hésiter. Je suis responsable d’elle, de sa sécurité, de son intégrité et de sa docilité. Il m’est arrivé de la prêter à d’autres hommes ou femmes, contre de l’argent, pour qu’elle ait consciente d’être ce qu’elle est : guère mieux qu’une petite prostituée que j’accepte dans mon lit et à laquelle j’accorde mon coeur. Cléo était déjà revenue les bras chargés d’un plateau avec les tasses, le café et les biscuits qu’elle déposa sur la table de jardin. Sarah lui fit signe de s’installer sur ses genoux, dans le fauteuil. L’ayant orientée de façon à ce qu’elle soit tournée vers moi, elle releva ce qui restait de tissu pour masquer sa pudeur puis d’un léger coup de griffe sur l’intérieur de ses cuisses, lui commanda de les ouvrir. J’eus la vision d’un mont de Vénus lisse comme l’albâtre et délicatement bombé au dessus d’une vulve aux grandes lèvres pleines et tendrement ourlées où affleuraient en vaguelettes les chairs plus foncées des petites lèvres. Elle portait elle aussi un anneau d’acier de bonne taille au clitoris. Sarah commença à jouer avec le métal, le faisant pivoter entre ses doigts ou rouler sous sa paume. Elle est belle, n’est-ce pas, ma petite putain ? demanda-t-elle en lui déposant un baiser dans le cou. Elle manque seulement de tout sens moral… Cette petite fente délicieuse qu’elle cache là, entre ses jambes, lui fait perdre trop vite la tête. Sarah tira d’un coup sec sur l’anneau, arrachant une plainte à son amante. Puis, élevant légèrement la voix afin d’être certaine d’être comprise, elle expliqua : -Je voudrais pourtant qu’elle soit témoin de ce que je vais vous avouer, à mon tour. Alors, elle redressa, laissa tomber sa robe et se présenta nue. Ses gestes avaient une élégance particulière. Certaines personnes ont plus de noblesse dans leur simple nudité que dissimulés sous leurs plus précieux habits. Je l’avais déjà vue nue, mais il me sembla pourtant que je redécouvrais son corps. Comme je l’ai déjà dit, la grâce qui en émanait tenait à ses proportions inhabituelles. La rondeur de ses épaules et ses bras fermes donnaient une impression de force sereine. Ses hanches étroites comme celles d’un garçon faisaient un étonnant contraste avec des seins lourds mais ronds et portés hauts. De son ventre où scintillait une perle incrustée au creux du nombril toutes les lignes convergeaient vers un pubis lisse et fendu particulièrement haut. Ses doigts jouaient à se croiser et se décroiser, trahissant la nervosité qui l’agitait. Au terme d’un très long silence, au cours duquel elle chercha probablement les mots les plus justes, elle releva le visage. Des larmes brouillaient ses prunelles. - Vous m’avez témoigné votre confiance en vous confessant à moi. Je vous ai avoué mes désirs les plus intimes. Nous nous sommes battus trop longtemps, pour résister à ce que nous éprouvions. Je ne suis pas une femme parfaite et je mérite sans doute mille fois d’être punie pour mon insolence, mon agressivité, mon égoïsme et tous les défauts que vous connaissez trop bien. Elle rayonnait d’une beauté secrète que j’eus le sentiment d’être le seul à percevoir. Chaque mot que ses lèvres prononçait s’incrustait au plus profond de moi. Dans un souffle, elle me fit l’aveu que j’attendais depuis tant de jours : - Monsieur, je vous désire pour maître. Sa poitrine se soulevait rapidement. Deux larmes glissèrent tout au long de son visage. - Je n’exige pas que vous m’aimiez, je n’exigerai jamais rien de vous. Prenez-moi comme il vous plaira. Soudain dégrisé, je réalisai qu’elle m’offrait son amour, qu’elle se donnait à moi, sans réserve ni condition, dans un élan de passion. L’empoignant par les cheveux, mais sans brutalité, je l’entraînais vers la table du jardin. Tout en la faisant ployer la buste sur la surface froide du métal, je l’incitais du bout de la chaussure à écarter les jambes. Quelques gouttes de pluie s’écrasèrent dans l’herbe. Cléo s’était approchée. Je lui indiquais par geste de maintenir solidement les poignets de sa maîtresse au-dessus de sa tête. Ainsi offerte, Sarah sembla se détendre, elle tourna le visage de façon à poser sa joue contre la table et accentua légèrement la cambrure de ses reins. Son anus, petite étoile de chairs resserrées, s’offrit dans l’entrebâillement de ses fesses. Libérant ma verge de mon pantalon, je la posais à l’entrée de son orifice étroit puis, d’un seul coup de reins, la forçai au plus profond. Sarah laissa échapper un long feulement de douleur. La pluie commença à tomber. Je me reboutonnai et abandonnai Sarah à l’averse.
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Par : le 22/04/20
Ca ne se voit pas souvent mais il est vrai que les séjours prolongés montrent toujours les petits soucis de la vie... Satisfaire des besoins naturels, manger, s'abreuver font partie de ces détentions qui dépassent largement les soirées en donjon tout comme d'ailleurs le rasage, la prise éventuelle de médicaments et autres petits problèmes analogues. Toutes ces choses là sont en main de la dominatrice (ou du dominateur) qui règle les choses selon sa convenance d'abord. Nous aurons l'occasion, probablement de revenir sur la plupart de ces sujets, je veux maintenant, à l'invitation de ma Maîtresse Gabrielle, vous exposer le sujet "manger". Tout d'abord vous dire que j'espère une prochaine fois être mis à l'épreuve en ce qui concerne la subsistance et la boisson: être enfermé ou du moins contraint (car l'enfermement peut très bien connaître des interruptions consacrées à des supplices et épreuves) et être affamé et assoiffé. Au besoin, de temps à autre, lécher un queue, un doigt enduit d'humeurs féminines, que sais-je, mais pendant 24 heures au moins ne plus être nourri. J'ai connu pas mal d'épreuves mais celle-là, encore jamais.... peut être que selon le bon vouloir de ma dominatrice... qui sait... En période de subsistance, l'écuelle paraît être l'un des récipients que l'on met à disposition du soumis qui, les mains attachées, le plus souvent dans le dos, vient laper sa pitance. Je dis écuelle car parfois on peut jeter la nourriture sur le sol, peut être piétinée au auparavant pour étaler ou attendrir les morceaux. Evidemment le nettoyage soigneux du pied ou de la chaussure étant requis juste après. Dans les genres de nourriture que l'on peut placer, il y a bien sûr toutes sortes de choses comestibles parmi lesquelles les pâtes avec de la sauce tomate par exemple, de la soupe, que sais-je encore qui tache bien. Toujours sympathique, l'écrasement de la figure du soumis dans l’écuelle, par un pied sadique qui provoque la souillure de tout le visage. Après l’exercice, il est ainsi possible d'ordonner à l’autre soumis de « laver » le visage de l’autre, petit exercice qui peut s’accompagner d’une séance de crachats qui prolonge ainsi ce tableau de soumission et d’humiliation. Une façon aussi de mettre les soumis ensemble dans leur épreuve. Parfois, quand on voit qu’il manque de fluidité dans le menu, un arrosage de « champagne » du « Château de la Maîtresse » permet d’améliorer le plat. On peut évidemment aussi prévoir que le dessert consiste en la prise d’une banane glissée dans la vagin d’une soumise qui, probablement n’en demanderait pas tant de faire partie du menu de fête (pour autant évidemment que la sujette soit disposée à cela. Et justement si, par pur hasard, elle est indisposée et que les participants acquiescent à cette pratique, teinter le dessert… enfin vous voyez ce que je veux dire? sinon contactez-moi, je vous expliquerai dans le détail). Une autre variante de ces moments de repas, et en relation avec un rationnement choisi, il y a celle du soumis, emprisonné ou enfermé dans un carcan, placé à côté de la table où se restaurent les dominants, qui reçoit, de temps à autre une bouchée recrachée par la Maîtresse. Un délice à n’en pas douter pour le soumis qui est très intimement lié à la bonne volonté de sa dominatrice. Un don aussi fort précieux que celui d’être directement nourri par sa propriétaire. Un tableau qui pourrait avantageusement faire partie d’un de ces repas protocolaire pendant lequel le plaisir se partage entre dominants avec bonne humeur, joies, rires et petits commentaires sadiques. Comme vous pouvez le voir sur la photo sous lequel s’abrite ce texte, boire avec les mains attachées dans le dos est un exercice pas très facile d’autant plus qu’il faut se tortiller pour atteindre le bol et de ce fait se salir le corps, ce qui n’est bien entendu pas bien du tout… (comme vous pourrez, assurément bien comprendre). Et encore vous dire que dans le domaine de la nourriture, je peux témoigner une session où, nu bien sûr, on balance le soumis entravé, dans un container rempli de déchets de repas de restaurant (attention pour la profondeur du container et surtout de la façon dont vous le retirez…). Transporté dans un espace ouvert, l’exposer, les 4 membres attachés à 4 pieux, sur une prairie pour que les insectes, mouches, guêpes et abeilles, viennent butiner pendant quelques heures. Pendant ce temps vous pouvez pique-niquer non loin, profitant de ce fait du spectacle du soumis qui se débat et chasse par ses mouvements les petites bêtes trop heureuses de ce gâteau inespéré… Ne manquons pas d’évoquer les concours qui voient le soumis ou la soumise suspendu sous un arbre et servir de cible avec des pommes bien mûres, des tomates, des oeufs… On le voit, tellement de possibilités de se faire plaisir avec finalement pas trop d’instruments ou de moyens. Au plaisir de vous servir Maîtresse. C’est le destin d’un soumis, objet de plaisir qui s’offre, humblement et très volontairement à toutes vos idées et pratiques. Kaji
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Par : le 21/04/20
À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche un peu courte pour son âge et un chemisier blanc sous lequel elle était nue; ses jambes étaient bronzées. Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes nues et des chaussures à talons hauts. Xavier les attendait dans le salon plongé dans l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement, ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient sous le chemisier, Xavier admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses de Juliette; ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait, très prometteur. Juliette laissa Charlotte dégrafer son corsage et faire jaillir ses seins. Charlotte tournait le dos à Xavier légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cèdant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement, Xavier se reput de ce spectacle rare, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes. Xavier admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions et de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile et musclé se colla au sien. Xavier frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des cuisses écartées dans un gémissment de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos, cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter les seins. Xavier, à genoux, baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun. Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Xavier; dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir et sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue, jusqu'à la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée; dans le silence, s'éleva le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Xavier, lui offrit ses seins pour qu'il les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Xavier était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Xavier posa ses mains sur la tête de Charlotte. Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble; elle fit signe que oui et Xavier s'abandonna. Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton; elle se redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les cuisses, et Xavier, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée. Ils laissèrent Charlotte se reprendre, et Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées, colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir. Xavier, penché sur Juliette, lui caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes, tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Xavier qui se glissait entre ses fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Xavier penché sur le dos de sa soumise. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Xavier, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise. Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais. Xavier poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de la jeune soumise sur son sexe béant et celle-ci recommença à la sucer; mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frolèrent ses chairs exacerbées. Xavier continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile, sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux, tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins. Xavier s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples; alors, il sodomisa la jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie; la chaleur montait à sa tête déjà chavirée; ses mains libérées s'aggripèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Xavier eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine. Xavier sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il accéléra le coït dans les reins offerts; de la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus; elle sombra dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un orgasme et savoura dans son ventre heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle. Hommage à Charlotte Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/04/20
Le duc observe sa femme avec une expression de profonde satisfaction. "C'est vraiment une adorable petite chienne bien obéissante. Elle a un beau physique mais surtout une tête bien faite . Sa façon de traiter les conflits latents m'aide beaucoup. Et puis ce corps, qu'il réagit donc bien aux sévices ! Quel plaisir de contrôler sa jouissance ! De la faire monter jusqu'au ciel pour la ramener brutalement plus bas que terre !De caresser sa blanche peau si fine ! De la strier de coups de badine pour la faire rougir !De palper si fort ses seins et son ventre que des traces de doigt apparaissent ! De l'empêcher d'exprimer son plaisir puis de le lui autoriser ! De l'entendre hurler à la lune comme une louve en chaleur !Et quand je le veux, la laisser se tordre de plaisir sous mes doigt ! Que de satisfaction elle m'apporte !Babette la prépare bien et elles y trouvent toutes deux du plaisir. Il faudrait que je la récompense cette petite esclave. Je ne lui dois rien, c'est certain, mais son dévouement n'en sera que plus sincère. Qui travaille mieux qu'une esclave comblée? Puis sa p'tite chatte est douce à ma queue. Et sa longue langue pénètre bien mon anus quand je ramone mon épouse. Mon plaisir en est amplifié grandement. Elle est avec mon valet qui va la punir un peu et elle ne s'attend sûrement pas à jouir dans l'écurie. Puis il sera plus tendre. J'ai senti l'attirance qu'il n'ose lui déclarer. Il me sert bien et s'il se marie avec elle je les aurais encore plus près de moi. Il n'ira pas chercher une autre calèche à conduire. Babette sait bien obéir. Elle devrait lui convenir. Bon fini de rêver. Que fait ma duchesse aux pieds nus? Son repas est presque fini . Je vais la laisser dormir un peu . Holà Martin. Viens donc par ici! » L'aubergiste approche, un pichet de vin à la main. "Oui Monseigneur? ---Trouve une couche moelleuse pour mon épouse. La matinée a été difficile pour elle au château. Elle a besoin de dormir au calme et au chaud. Fais la marcher en laisse compris? ---Oui Monseigneur. Nous avons une nouvelle couche dans l'alcôve de l'autre côté du mur. Elle jouxte la cheminée et la chaleur se diffuse doucement. Je pense que Madame y sera bien. ---Parfait. Et je compte sur toi pour t'assurer qu' elle ne soit pas dérangée. Elle est très fatiguée. ---Oui Monseigneur, je veillerai sur elle. " Martin s'approche de Dame Blanche qui somnole près de sa gamelle, il saisit doucement la poignée de la laisse et fait cliqueter celle-ci. Entendant ce signal bien connu Blanche se redresse promptement sur ses genoux. Elle se laisse guider après un petit regard inquiet vers le duc. D'un geste désinvolte de la main et d'un sourire il la rassure. Confiante, la jolie petite chienne suit Martin jusqu'à l'alcôve cachée derrière le mur. Elle grimpe sur la couche et s'installe en chien de fusil. Avec tendresse Martin étale sur son corps une douce fourrure. Épuisée, Dame Blanche s'endort. Dans l'écurie Babette craignait d'être violentée , mais c'est avec douceur que le domestique l'a prise sur la paille. Il a même étalé une couverture ramassée sur la demie-porte d'une stalle vide. Elle s'est laissée faire puis son corps s'est éveillé au plaisir. De doux frissons ont commencé à la parcourir . Son sexe s’est ouvert sous des doigts agiles, les pointes de ses seins se sont dressées sous une bouche gourmande et son moulin à miel a inondé sa chatte de cyprine. L'homme à défait sa ceinture de toile et a pénétré d'un coup sec la femme offerte. Les mouvements des bassins se sont très vite accordés et une jouissance rapide a explosé en eux. Les regards se sont croisés, les bouches ont souri et ils ont partagé un vrai et long baiser. Se tenant par la main, les deux nouveaux amants ont quitté l'écurie pour se rendre au verger, certains d'entendre les appels du duc . Les autres invités ont fini de manger et s éloignent en marchant un moment. C'est un instant de détente et de repos pour tous. Les deux soumises sont attachées sous un banc, à l'ombre. L'homme quant à lui a été installé au piloris extérieur . Son sexe piqué par un crochet présente un angle curieux avec son corps. Des cordes dessinent des formes sur son dos. La position tire sur ses muscles mais il peut bouger un peu. C’est un moment de détente pour tous, ce temps de la sieste de la duchesse. Les deux dominants et la maîtresse discutent taxes et récoltes. Le duc s'est levé, appuyé au chambranle de la porte arrière de l'auberge , son corps chauffé par le soleil de ce radieux début d'après-midi de printemps, il observe tel un félin son petit monde complice de ces moments de débauche. Ils se connaissent depuis longtemps et leur amitié a grandi en même temps qu'eux. Malgré les sermons des prêtres et de l'évêque d'Etampes, ils n'ont jamais arrêté leurs jeux sexuels. Ils ont tous tentés de mener une vie plus ordinaire, sans ses pratiques particulières, mais ils n'étaient pas heureux. Les soumis les provoquaient trop souvent car eux aussi connaissent les affres du manque et de la chasteté relative. Alors le Duc avait instauré ces rencontres certains dimanches. Cela n'avait provoqué ni intempéries ni maladies ni catastrophes comme il l'appréhendait un peu au tout début. Et il ressentait un vrai bien-être après. Sa première épouse était morte en mettant au monde un bébé difforme qui n'avait pas vécu. Il s'était demandé s'il existait un lien avec ses activités sexuelles. Mais il l'avait traitée avec respect et douceur, pas en soumise ni chienne. Ceci était une autre partie de sa vie, une partie secrète . Cette année-là il y avait eu plusieurs décès de femmes en couches dans toute la région. La rebouteuse n'avait rien pu faire. Les familles avaient pleuré les mortes et payé des messes. Mais le duc ne croyait pas à l'efficacité de cette protection . Il avait commencé à rechercher une nouvelle épouse très vite. La petite Damoiselle Blanche avait présenté de nombreuses qualités qui avait amplifié avec le temps. Il ne regrettait pas son choix. La dot avait été chiche mais la belle était vraiment à son goût. Il avait ressenti son désir de plaire et son goût de la soumission dès les premières rencontres. Il avait patienté plusieurs années afin qu'elle ait grandi un peu. La loi l'aurait autorisé à l'épouser à quatorze ans à peine mais il avait préféré la laisser mûrir un peu. Il n'était pas certain que sa jeunesse ait été très heureuse d'après les rares confidences reçues. Bien sûr il était ravi de sa soumission mais il se demande encore si son "père" et dame Gertrude n'avait pas forcé un peu. Son épouse parle peu . Elle aime son collier d'une manière surprenante pour une aussi jeune femme. Il doit l'accepter telle qu'elle est. Son plaisir est extraordinaire, comme beaucoup plus intense que les autres soumises qu'il a éduquées. Son esprit est d'une grande finesse. Elle est brillante dans ses raisonnements et curieuse de tout pour une femme. Son habileté à broder montre une grande concentration et un vrai goût artistique. Elle aime les moments calmes, comme si un grand feu éclairait son cerveau ou si un grand vent l'agitait. Elle peut rester assise à écouter le vent comme s'il lui parlait. ----"C'est une jeune femme un peu étrange mais elle semble se plaire au château, même attachée sur le lit, le gode de bois bien enfoncé dans l'attente de ma venue. J'aime jouer avec son corps. Il est si réceptif. Bon fini de rêvasser, je lui ai promis une promenade en forêt. Allons la réveiller. " Et le duc siffle un grand coup les deux doigts dans la bouche. Babette et le valet arrivent en courant main dans la main. Le duc retourne dans l'auberge et regarde tendrement son épouse encore à moitié endormie. Il caresse sa tête doucement, se penche et murmure :" Prête pour une promenade en forêt petite chienne?" Blanche ouvre vivement ses yeux et se positionne puis frotte sa tête sur l'entrejambe et provoque une rapide érection. "Tourne toi donc." À peine le demi-tour effectué et après quelques claques assenées sur la croupe tendue il la prend rapidement en levrette et jouit très vite. "Ta chatte n'attendait que cela Jolie puterrelle." Blanche gémit « Oui Maître » Le duc caresse ma tête, je sens sa main descendre le long de mon cou, masser mes épaules puis mes côtes. Je gémis de plaisir. Puis je me mords les lèvres et mes yeux cherchent son regard. Ses sourcils froncés me montrent son déplaisir face à mon gémissement. Aussitôt je m'aplatis et noue mes mains sur ma nuque. Il caresse ma tête et murmure : « Ne recommence pas. Tu sais que tu dois être la reine de silence. Tu pourras hurler ton plaisir de louve en forêt tout à l'heure. Enfin peut-être. Si tu es sage et silencieuse..... » Cette demi-promesse me comble de plaisir anticipé. J'aime tellement communier avec la nature quand mon plaisir est si intense que je ne sais plus si je suis femme ou louve, terre ou feu, plante ou air. Toute ma peau ressent l'air autour de moi, tout mon intérieur vibre au contact des mains de mon seigneur, mes genoux et la paume de mes mains ne font plus qu'un avec ma mère la Terre, mon nez aspire tous les parfums du monde et quand la virilité de mon homme entre en moi je meurs et revis plusieurs fois. Mon hurlement de louve vient du fond des âges. À travers moi s'exprime la jouissance des femmes du passé. Je ne suis plus moi. Je me demande parfois si les autres femmes ressentent la même chose? Le peu que j'ai perçu de leurs discussions ne le montrent pas. Mais elles ne savent pas être chiennes et retourner à l'état primitif et animal. « Stop Blanche! Silence la tête de chienne! Ton maître est là. Profite de ces instants. » Et Blanche relève un peu sa tête. Le duc lui sourit : « Viens, allons en forêt jolie petite chienne » Blanche descend souplement de la couche et s'assoit près de son maître. Il saisit la poignée de la laisse, glisse sa main dedans et avance doucement. Dans l'arrière-cour ses amis l'attendent , les soumises à leurs pieds. Le soumis à été détaché après plusieurs coups de baguette sur ses parties viriles et ses cuisses. Il attend au sol, sa maitresse debout sur le dos. Celle-ci écarte bien ses jambes et d'un coup de martinet sur les fesses lui ordonne de se mettre à quatre pattes, puis elle l'enfourche et se fait porter. La compagnie avance de concert vers le portail du fond qui ouvre sur un sentier de la forêt. Derrière sa fenêtre l'aubergiste les suit des yeux. Il trouve ses couples curieux mais qui est-il pour juger? Puis il finit de ranger avant d'aller s'étendre sur la couche où Dame Blanche a dormi et il s'endort très vite en pensant à elle. La compagnie se dirige vers le fond du jardin. Blanche et les deux autres soumises marchent au pied de leurs maîtres et la troisième jeune femme se fait porter sur le dos de son soumis à quatre pattes. Au bout de quelques pas elle descend gracieusement et prend le duc par le bras. « Savez-vous mon frère, que je me délecte de ces dimanches dans cet endroit si agréable ? Mon cher et tendre Guillaume en revient ravi et le plus attentionné des époux dont on peut rêver. » Avec une légère tape sur les fesses nues de son époux elle lui provoque une légère érection. L’odeur de l’herbe fraîchement coupée et ce léger contact lui rappelle sa première rencontre avec Dame Isabelle, la sœur du duc. Âgé d’environ huit ans il venait d’être placé comme page au château ducal et avait rejoint les autres enfants dans la prairie pour une des premières leçons de sa formation. Le duc et sa sœur étaient là, un franc sourire éclaira leurs visages en le voyant arriver. Une amitié étroite s’installa rapidement dans le trio. Ils devinrent vite inséparables et grandirent ensemble. Guillaume était en admiration pour la jeune Isabelle qui manifesta dès le plus jeune âge une grande force de caractère. Elle était l’égale des garçons dans bien des épreuves, sa force physique légèrement inférieure était compensée par une grande persévérance et une intelligence hors du commun. Petit à petit Guillaume se fit son chevalier servant, devançant ses souhaits pour la satisfaire. Et ce fût tout naturellement qu’elle devint sa maîtresse exigeante lorsqu’à l’adolescence ils découvrirent ensemble les jeux interdits. Sous le regard complice du duc une belle histoire commune commença. Deux autres écuyers avec leurs servantes ont complété le groupe. Les différents rôles se mirent très vite en place et chacun y trouvant un épanouissement personnel, se retrouvaient-ils dans cette auberge de manière régulière depuis de longues années. Quand ils furent en âge des épousailles c’est sans se poser la moindre question qu’Isabelle et son galant convolèrent en justes noces et s’établirent non loin du château dans une belle demeure appartenant au duc. Ils arrivèrent au bout de quelques minutes à la clairière sommairement aménagée pour leurs ébats. Au centre une grande table et ses deux bancs, à côté un piloris et des chaines, et de l’autre côté un cheval d’arçon, puis un vaisselier rustique, qui permet de poser les sacs, complète le mobilier de bois. Jeanne, une des servantes est installée sur le chevalet de bois. Les jambes bien écartées mettent ses orifices à hauteur de l’entrejambe des hommes. Babette ceint son front d’une large bande de cuir pour lui retenir la tête bien droite et sa bouche est maintenue ouverte par des mors de cheval adaptés à son anatomie de femelle humaine. Mariette, la deuxième, est déjà en position d’attente, à genoux, cuisses écartées, tête baissée, elle fixe l’herbe tendre, les doigts croisés derrière sa nuque penchée. Dame Blanche à genoux elle aussi frotte sa tête sur la cuisse du duc. Celui-ci la caresse d’un air distrait. Son beau-frère s’installe de lui-même au pilori et Jannot, le nouvel amant de Babette, resserre les sangles qui le maintiendront en place. Dame Isabelle sort un fouet d’un sac et caresse le dos de son époux silencieux. Puis elle lève un bras et le fouet claque. Guillaume sursaute et laisse un léger cri lui échapper. D’un claquement de doigts Dame Isabelle donne l’ordre à Jannot de bâillonner son soumis puis elle lui montre ses parties viriles que le serviteur s’empresse de comprimer avec une corde de chanvre. Son érection devient impossible et ses yeux se mouillent de frustration et de plaisir mêlés. De nouveaux coups de fouet claquent sur son dos vite marqué. Une pause lui est généreusement octroyée par son épouse qui vient l’embrasser puis le mordre avec tendresse. Jean et Marcelin ,les complices du duc depuis l’adolescence, arrachent des orties qui poussent au pied de la table. Ils ne se piquent pas car une longue expérience leur a appris à tenir ces plantes par les feuilles. Ils les posent sur la table et Babette s’empresse de les assembler avec un ruban en un petit fouet vert tendre. Jehan se place devant Mariette qui relève un peu la tête pour saisir la virilité de son maitre qui sort de son pantalon ouvert sur le devant. Il avait soigneusement choisi ce vêtement pour être bien à l’aise sans devoir se dévêtir. Il sort son sexe tendu et l’enfonce dans la gorge de la jeune femme qui s’étouffe un peu. Puis leurs mouvements s’accordent en un rythme sauvage. Jehan empoigne les cheveux de Mariette et lui impose sa volonté. Elle lève les yeux vers lui et lit dans son regard sa satisfaction. Malgré l’inconfort de la terre dure qui meurtrit ses genoux nus, la bave qui coule de sa bouche, ses yeux qui pleurent et son nez qui commence à couler, son crâne qui lui donne l’impression de se faire scalper, et le sexe de son amant qui pilonne sa glotte, elle retient ses haut-le-cœur et sent un frisson de plaisir rayonner de sa bouche malmenée. La main de Jehan se fait moins brutale, ferme mais plus tendre et Mariette sent son plaire jaillir en même temps que celui de son amant quelle avale goulûment. Derrière Fanchon écartelée sur le chevalet Marcelin tend la main et lui enfonce délicatement deux doigts dans la fente puis les agite tranquillement d’un air distrait. Il échange un sourire complice avec le duc lorsqu’il voit Dame Blanche frémir de plaisir en regardant sa servante se faire doigter ainsi. Il y a un certain temps déjà que les amis ont compris l’empathie de la jeune duchesse et qu’ils savent lui donner un plaisir rare sans la toucher. La petite chienne se tortille aux pieds du duc qui tire un peu sur la laisse pour l’immobiliser. Le plaisir ressenti fait pointer ses tétons en avant et la fait se redresser un peu, une petites tape sur la tête lui fait comprendre qu’elle doit se rabaisser très vite. Elle obtempère car elle ne veut pas indisposer le duc. Aux pieds de mon époux, les yeux fixés sur l’arrière-train de Fanchon je sens ma grotte commencer à s’humidifier et je ne peux m’empêcher de gémir. Sur un claquement de doigts Babette s’approche et me bâillonne avec un grand foulard de soie douce. Je bouge tout doucement pour frotter mon entrejambe et ainsi mon didi me procure de doux frissons. Je tente de rester discrète mais mon sourire me trahit. Mon Maître tire sur mon collier et je me redresse à genoux. « Cesse donc petite chienne ou tu vas être punie. Je suis maître de ton plaisir, ne l’oublie pas ! » Je baisse les yeux mais sous mes paupières mon regard se glisse vers les fesses tendues de Fanchon et je frémis encore. Marcelin sourit de plus en plus et claque vivement sa servante qui pousse un cri de surprise. Je ne peux contrôler mon corps qu’un spasme parcourt. Le visage de mon époux est rayonnant et il me caresse tendrement le crâne. Marcelin continue de fesser Fanchon qui crie de plaisir en se mordant les lèvres. Moi je me balance au rythme du son dans un mouvement hypnotique. Le duc me soulève et dans ses bras je me sens fondre. Ses doigts glissent sur mon dos et je peux compter mes os du dos, un courant de chaleur me traverse, j’ai envie de crier mais me retiens : je n’en ai pas l’autorisation et ne souhaite surtout pas interrompre ce moment parfait, surtout que je sais que le duc mon époux va me donner beaucoup de plaisir si je suis une petite chienne bien obéissante. Toujours debout il positionne mes mains sur la table et m’écarte doucement les cuisses. J’entends le froissement des vêtements de Babette qu’elle enlève et lance sur le vaisselier à côté des sacs. Puis elle se glisse sous la table pour me lécher. Marcelin passe devant Fanchon et introduit son sexe turgescent dans la bouche de sa soumise qui bave en souriant. Jannot saisit le bouquet d’orties et lui caresse les cuisses puis il sort une badine du sac pour la frapper de quelques coups secs sur la vulve gonflée. Mon corps se cambre par solidarité, et la langue de Babette s’active pour me donner encore plus de plaisir. Mon époux pose la laisse sur la table à côté de moi et vient s’asseoir en face. Il soulève mon menton, descend le bâillon et m’embrasse langoureusement les lèvres. Sa langue écarte avec douceur mes dents et touche la mienne. Tels deux rubans dans le vent elles s’enroulent et j’ai l’impression que nous ne sommes plus qu’un seul être, comme dans les légendes des dieux romains dont les baisers et les ébats déclenchaient tremblements de terre et éruptions de volcans. Mes yeux dans ses yeux couleur du ciel d’été j’ai l’impression de me noyer, tout mon corps frémit. Babette enroule mon didi de sa langue puis celle-ci se crée un chemin dans mon sexe . Je ne peux rien exprimer mais mes narines soufflent comme celles du taureau sous le plaisir diffusé de partout. Les mains du duc avancent vers mes mamelles si lourdes de désir. Il en saisit les pointes et tire délicatement en tournant. Le plaisir et la douleur mêlés font mouiller mes yeux et mon souffle s’accélère. Ses lèvres quittent les miennes et dans un sourire moqueur il murmure : « Exprime-toi belle louve Blanche , tu peux faire du bruit, dans ma grande bonté je t'y autorise ». Et un son rauque jaillit, au rythme du plaisir provoqué par la langue de Babeth. Le duc se déplace pour venir derrière moi. Babeth s’empresse de se baisser et je sens les doigts du duc si habiles à tailler des flèches s’agiter dans mes orifices. Puis son membre tendu pénétré mon petit trou arrière et je gémis de plaisir et douleur mélangés. Il en est ainsi à chaque fois, comme si c’était une première fois. Pourtant il y a longtemps que j’ai découvert le plaisir de ce côté-là ! Les vas-et-vient du duc dans mon fondement et ses mains qui massent mon dos, la langue de Babette qui s’agite, la rudesse du bois de la table sur lequel frotte la peau si fine de mon ventre me procurent un tel mélange de sensations que je me sens partir, je gémis, je crie, je grince comme une vieille porte mal fermée, et dans un son rauque mon hurlement de louve jaillit et se répand dans la clairière et au-delà. » Dame Isabelle avait détaché son époux et blotti sous sa jupe, sa langue habile et ses doigts si fins la font jouir. Marcelin pilonne sa belle Fanchon dont les cris moindres accompagnent ceux de Dame Blanche et Mariette offerte à Jehan qui lui tient le corps cambré en tirant sur ses cheveux a un plaisir plus discret mais tout aussi intense. Le pauvre Jannot debout contre la table ne peut que contenir son envie. Un serviteur ne prend pas son plaisir sans autorisation et le regard du Maître est sans appel. La tête baissée, le regard vers Babette il serre les dents de frustration. Ses besoins de plaisir assouvis, le duc claque des doigts et les dominants ajustent leurs vêtements. Puis il indique à Babette de libérer Fanchon et de prendre sa place. Il fait ensuite signe à ses amis qu’ils peuvent aller se faire toiletter par son esclave. Celle-ci lèche les sécrétions avec applications. Et Jannot agenouillé voit défiler devant lui les chattes des servantes qu’il s’empresse de nettoyer. Puis le duc l’autorise à se soulager sur le dos de Babette qu’il léchera ensuite pour la nettoyer. Ce dernier acte terminé, les soumis à quatre pattes, les Maitres et la Maîtresse devant, Jannot et Babette portant les sacs, toute la compagnie reprend le chemin de l’auberge pour aller partager un en-cas bien mérité. Le soleil se cache derrière la forêt, la fraîcheur tombe et les peaux nues frissonnent. L’aubergiste a préparé du vin chaud et de la viande grillée qu’ils vont partager autour de la grande table de chêne.
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Par : le 21/04/20
À mon arrivée, je demande à Madame Simone : — Kristos n’est pas là?? — On fait d’abord nos comptes. Elle pourrait me répondre?! Je lui dis : — Voici 1000 francs, Madame. Elle me regarde, surprise, puis elle s’approche de moi et... me renifle. Elle me dit : — Tu sens le clebs?! En rougissant bêtement, je réponds : — Oui, j’ai fait des photos avec son chien. Elle lève les yeux au ciel, mais empoche les 1 000 francs. en m’annonçant : — Ils sont tous dans la dernière villa, celle qui donne sur la plage. — Julien aussi, Madame?? — Sans doute. J’ai déjà dit « salope », non?? Je confirme. J’en ai marre d’elle et de sa putain de fille?! Le photographe m’a proposé de loger dans sa villa. Je serais bien là avec Julien et mon nouvel ami. Je me gratte?! Ça, c’est le seul défaut du chien jaune : il a des puces. Si j’allais loger là, il me faudrait un collier anti-puce. Je préfère imaginer ce genre de trucs, plutôt que penser à Kristos et Kriss en train de discuter. Hélas, je l’ai dans la peau... oui, aussi vite?! Je roule le long du chenal, qui clôt le village naturiste. De l’autre côté, ce sont les "textiles". Il y en a qui viennent en nageant. La dernière villa est beaucoup plus petite que celle du chien jaune. Sur la plage, juste devant la villa, quelqu'un a fait un feu, ce qui n’est certainement pas autorisé. Une douzaine de personnes sont assises autour du foyer. On dirait une bande de scouts... sauf qu’ils sont à poil, qu’ils boivent de la bière et que leur musique n’est pas un chant scout, mais Hôtel California. Kristos et Kriss dansent... Je me dirige vers eux. Dès qu’elle me voit, Kriss dit : — Tiens, Samia. Alors, on s’est fait des nouveaux amis?? — ... euh ... — Si tu te fais monter par un chien, tu vas attraper des puces. Ils rient tous les deux ! Merde, comment elle sait ça?? Sa mère a dû téléphoner à la villa?! Tout le monde me regarde, il y en a que ça amuse mais d’autres sont franchement dégoûtés. Je lui réponds : — C’est pas vrai ! Menteuse ! — Ton client a téléphoné à ma mère parce que tu as oublié ton collier. Il était ravi que tu aies posé avec son chien, ou plus exactement avec le chien en toi?! Ma mère a demandé quelques photos... On va faire ta pub dans les chenils?! Là, je pète un plomb, et mon poing lui arrive droit sur le nez et l’œil. Elle pousse un cri et me repousse avec tant de force que je m’étale sur le sable. Elle crie : — Maintenez-la par terre, sur le ventre?! Plusieurs garçons me retournent et me tiennent par les chevilles et les poignets. Je crie à mon tour : — Kristos, au secours, défends-moi?! Il répond calmement : — Tu ne dois pas frapper les gens, ça mérite une punition. Ils sont tous d’accord, j’entends « Cette fille est cinglée », « C’est une Rom?! », « Punis-la, Kriss ! » et enfin la voix de Kristos : — Tiens, prends ma sandale. Je suis couchée sur le ventre bras et jambes écartées maintenues par plusieurs garçons. Je crie : — Je vais porter plainte, vous ne pouvez pas me frapper ! Kriss répond : — Et toi, tu as le droit?de me frapper ? Tiens?! PAF?! Je reçois un méchant coup de sandale en cuir en travers des fesses. Ça fait un mal de... chien?! Je pousse un cri, et aussitôt, "PAF?!" elle me frappe à nouveau. Elle me donne une dizaine de coups de sandale. Je crie à chaque coup le visage plein de larmes. Quand elle s’arrête enfin, une fille lui dit : — À moi, s’il te plaît Kriss. Et quelques secondes plus tard : — Tiens?! PAF, c’est reparti. Je crie et je pleure dans le sable. Une autre prend sa place, je reçois des dizaines de coups de sandale depuis la pliure des genoux jusqu’en haut des fesses. Je finis par supplier, honteusement : — Pitiééé... aïe... Mademoiselle... aïe... Kriss... aïe?! Autour de moi, on rit et on encourage les filles qui me frappent. Enfin, ça s’arrête?! Mes fesses sont dans un volcan en éruption. Je reprends mon souffle et je me lève péniblement, tenant à peine sur mes jambes. Je ne pense qu’à une chose : foutre le camp?! Je dois passer par le jardin pour déguerpir. En passant, je ramasse une serviette éponge qui traîne par terre. Je la mets autour de la taille. Je me demande où est passé Julien, quand je le vois arriver sur son vélo. Il me demande : — Ça va, Samia ? Tu as pleuré ? — Tu étais où?? — Mademoiselle Kriss m’a envoyé faire des courses... — Va les lui donner et puis on rentre. Je piquerais volontiers ce qu’il a acheté mais je n’ai pas envie qu’ils viennent le récupérer au camping. Je ne veux plus jamais voir ces gens, de toute ma vie. Quand il revient, je vois à sa tête qu’on lui a dit ce qui s’était passé. Je lui demande : — Tu as vu Kriss?? — Oui... elle a le nez tout gonflé et un œil au beurre noir. Merci Sainte Sara... Je prends l’essuie et le plie en quatre. Julien qui voit mes fesses me dit : — Tu veux qu’on passe dans une pharmacie?? Je m’imagine montrant mes fesses à un pharmacien... Je lui réponds : — C’est pas tes affaires?! — Pardon, Samia. Faire du vélo avec un derrière incandescent, c’est pas le pied. J’aurais dû être plus subtile, me venger en douce. La frapper devant témoins, c’est stupide. Elle a beau jeu de dire « C’est elle qui m’a frappé en premier », comme dans une cour de récréation. Je ne vais pas mentir, il n’y a pas que mes fesses qui me font souffrir... Disons qu’une autre souffrance se situe derrière mon nichon gauche. On va dormir au camping. Julien a bien compris qu’il ne devait surtout pas me poser des questions. *** J’ai dormi sur le ventre et ce matin, je ne suis pas en pleine forme. J’espère que je n’ai pas cassé le nez de Kriss, étant donné que Madame Simone a des amis et des parents qui font partie du milieu marseillais. De plus, je ne veux à aucun prix revoir Kristos. Mes fesses gardent les traces de la semelle d’une de ses sandales... Celle qu'il a passée à Kriss?! Ce n’est pas que j’en ai marre du Cap d’Agde, je me sens bien ici, mais... pour le moment, on va redevenir des "textiles". On va se doucher et on s’habille pour de vrai. Je mets ma jolie robe rouge, des espadrilles compensées et même une culotte ! On va prendre le petit déjeuner. Julien se tait. Quoi qu’il dise, ça ne me plaira pas. Ensuite, on va à la réception pour payer l’emplacement. Le patron me dit : — Tu dois appeler ce numéro. C’est celui de Madame Simone. Autant savoir ce qu’elle prépare et puis, je ne vais pas me dégonfler. J’appelle, madame Simone répond. Je lui dis : — J’ai eu votre message. — Je suis contente que tu appelles, Samia. Ma fille est une garce. Le photographe d’hier ne va jamais donner tes photos à personne. D’ailleurs, je regrette d’en avoir parlé à ma fille. Viens travailler, Kriss s’excusera. — Sérieux?? — Oui. Il y a aussi deux garçons, vraiment pas mal, qui ont vu des photos de toi et qui te proposent 2 000 francs. Viens travailler. — J’ai des marques... c’est gênant. Elle se marre en répondant : — Je te mettrai du fond de teint sur les fesses. Je ris aussi... — D’accord, on sera là à 11 h. Ce n’est pas la première fessée que je reçois, on s’en remet. Par contre, mon amour propre a pris une raclée nettement plus douloureuse. Je sais que Madame Simone ne fait pas ça par altruisme, mais par intérêt et parce qu’elle a besoin d’une serveuse. Moi aussi, j’ai envie de cet argent. Bientôt, je pourrai faire du shopping à Cannes, dormir dans un bel hôtel et puis retrouver mes futurs beaux parents dans le Nord?! On sort, j’annonce à Julien : — On se déshabille. J’enlève ma robe et ma culotte avec grand plaisir. On remonte à vélo... Ça, c’est un mauvais moment à passer, mes fesses me font toujours franchement mal. Mais ce n’est pas grave. On arrive aux Flots Bleus. Je vois Kriss, qui a un joli cerne sous l’œil droit, mais, son nez est à peine gonflé. Dès qu’elle me voit, elle vient me dire : — Excuse-moi Samia, je n’aurais pas dû te dire ça. On oublie?? Elle me tend la main. Je la serre. De loin, Madame Simone apprécie : — C’est bien les filles. Kriss m’embrasse, ses seins écrasent les miens et elle me tient fermement contre elle par la taille en me disant assez bas pour que sa mère n’entende pas : — Je m’excuse pour faire plaisir à ma mère, mais j’ai beaucoup aimé frapper tes grosses fesses et entendre tes couinements. Sale garce?! On est les yeux dans les yeux et là... ça dérape. Je veux dire que mes hormones me font un croche-patte. Comme avec Kristos, il y a quelques jours... Kriss est tellement sûre d’elle et d’une telle désinvolture que... je baisse les yeux. Je reconnais qu’elle est la plus forte. D’ailleurs, quand elle me dit : — Tu vas m’obéir?? Je réponds : — Oui Mademoiselle. Mais vous ne me frapperez plus ? — Qui a commencé?? — Oui, pardon Mademoiselle. C’est moi qui m’excuse?! Saloperie d’hormones?! Madame Simone est un peu plus loin, mais elle a bien compris ce qui se passait. Elle soupire en levant les yeux au ciel. Kriss m’annonce : — Maintenant au travail. — Oui Mademoiselle Kriss. Mais... euh... Madame m’a dit qu’elle me mettrait du fond de teint sur les fesses pour cacher les marques. — Tu rêves?! Allez au travail. — Oui Mademoiselle. Je vous imagine : vous soupirez en levant les yeux au ciel, comme Madame Simone?! Tant pis, c’est plus fort que moi. Je rejoins Anaïs, on s’embrasse, puis on dresse les tables avec Julien. Je lui demande : — Tu sais ce qui s’est passé?? — Oui, tu as bien fait de lui casser la gueule à cette garce. A suivre.
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Par : le 21/04/20
Elle écoute ses mots. Le temps se distend et son corps s’assouplit. Petit à petit, elle rentre dans l’état attendu par son Propriétaire, elle se conforme à ses exigences et adapte ses gestes à ses paroles. Son observance est complète et totale. Elle acquiesce à toutes ses directives. Elle a trouvé dans cette matrice un tissu brodé avec finesse, qui caresse avec douceur, protège avec bienveillance et serre avec rigueur. Elle grandit et s’épanouit au sein de ce territoire où règnent ses aiguilles. Face au métier à tisser, il guide ses gestes d’abord, entoure ses poignets d’étoffe et les fait évoluer de sa hauteur. Il lui souffle à l’oreille ses projections et sa langue glisse sur sa nuque comme un chemin tracé vers la fusion de son imaginaire avec les fils de couleur qui se mêlent aux doigts de sa petite chose. Un défaut apparaît, qui n’échappe pas au regard du Tuteur. Il en informe la brodeuse qui s’arrête net dans sa tâche, le rouge aux joues. Elle ferme les yeux et patiente, assise sur le banc, les bras bien écartés, les mains posées sur la structure boisée face à elle, les jambes ouvertes. Il se saisit de deux passettes aux extrémités crochetées et les installe dans les anneaux qui ornent chacun des seins de la novice tisserande. La douleur qu’elle ressent au moment où il tire sur les boucles lui rappelle sa condition et les conséquences de chaque geste. Un simple avertissement. Les larmes aux yeux, elle reprend son ouvrage après que le Maître des lieux ait pris le soin et surtout le plaisir de faire glisser ses doigts entre ses jambes et de déposer sur ses lèvres la moiteur de son ravissement inavoué. Le chemin est encore long mais l’Artisan est confiant. Il a hâte de pouvoir accrocher au mur de son atelier une nouvelle tapisserie à contempler. Il n’a qu’une envie : que son élève admire tout autant le fruit de son travail que les Préceptes qui sont les siens.
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Par : le 21/04/20
Les hommes en face de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, sous la jupe, le reflet voluptueux des jarretelles. Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les cils baissés leur impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, au-dessous, son sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. À peine dans l'escalier, elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. À nouveau, sa jupe fut troussée, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, son anus fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit et, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. Subitement, elle se dégagea, se tourna; il la plaqua face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins, comme une épée dans son fourreau; elle goûta la sensation de cette chair palpitante et mafflue; lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui prenant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son ventre. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui pinçait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche; elle suça avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge; elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif des invités. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair; les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à coeur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. On la déshabilla totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle était offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas lui faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, et quand elle ne put plus résister, elle céda; tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence retomba et Charlotte, les yeux clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident; elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé; sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité; il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins; le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit sur un lit. Souillée de sperme et de sueur, chancelante et presque évanouie, seule dans le noir, elle s'endormit. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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