La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/04/13
Dans toutes les soirées passées, j’ai fait connaissance de beaucoup de monde et mon carnet d’adresses était bien rempli. Un jour que j’étais invitée chez des amis, la conversation est tombée sur ce sujet. Chacun notre tour nous avons évoqué des fantasmes que nous avions en tête. Comme beaucoup de femmes et je suppose d’hommes, nous avons tous des fantasmes. Pour avoir lu des études sur ces fantasmes, il en ressort qu’en fin de compte ils sont sains, et permettent d’entretenir une certaine libido. J’évoquais le fantasme d’un viol collectif ou de se transformer pour un soir en prostituée, une amie aurait souhaitée être baisée par un inconnu dans la rue, devant son mari. Une autre voulait connaître ce que procurait la douleur physique pour ensuite arrivée à la jouissance. Un homme évoqua le fait d’être violé par plusieurs femmes devant sa femme, un autre par des hommes également devant sa femme, une autre femme raconta que depuis son adolescence au pensionnat, elle rêvait de faire l’amour avec une femme déguisée en bonne sœur etc. Tout un programme. Le tour de table terminé, nos esprits étaient assez échauffés, mais la soirée s’est terminée sans que personne ne prennent l’initiative d’une soirée plus érotiques (pour une fois). Avant de partir un de mes amis évoqua l’idée que nous pourrions organisés chacun de notre côté le fantasmes d’un autre, tout cela dans le plus grand secret. Après un court instant de réflexion, l’idée fut adoptée à l’unanimité. Donc chacun d’entre nous fera tout pour réaliser les fantasmes d’un autre ou d’une autre. Je rentrais chez moi, en me demandant quels fantasmes allait-on réaliser pour moi et lequel j’allais réaliser pour mes amis. Je décidais d’organiser le viol de cet ami par des hommes, je trouvais l’idée intéressante, n’ayant jamais vue d’hommes entre eux. Trois semaines plus tard, sous prétexte d’un service à demander, j’organisais chez moi un diner en tête à tête avec le couple dont l’homme avait émis le souhait de se faire violer par des hommes. Le diner se passa sans visiblement qu’il ne se doute de quoi que se soit. Passé au salon, je m’absentais un moment, pour aller ouvrir la porte d’une chambre ou étaient depuis le début de la soirée 4 copains, prêt à tout pour satisfaire mon ami, bien qu’ils ne soient en rien homosexuels. Ils firent irruption dans le salon, saisirent le « condamné », le déshabillèrent complètement, et commencèrent le travail pour lequel je les avais conviés. Le pauvre ne s’attendait pas à un tel assaut, il dut faire une fellation à un, se faire sodomiser par un autre. Sa femme regardait la scène médusée, visiblement le fait de voir son mari abusé par d’autres hommes, le mettait dans un état d’excitation extrême, Je m’en aperçu, je m’approchais d’elle, commençais à lui caresser les seins, puis ma main est descendue vers son sexe, elle ouvrit immédiatement les cuisses, se laissa pénétrée, les yeux rivés sur les fesses de son mari entrain de se faire sodomiser pour la troisième fois. Ne pouvant pas la laissée dans cet état, je demandais à un des 4 « invités » de s’occuper d’elle, Il l’a fit mettre à quatre pattes sa tête en face de celle de son mari et lui pénétra les reins. Ils se faisaient sodomiser en même temps. D’un fantasme, j’avais réussi, sans le vouloir, à en réaliser d’eux. Elle n’avait pas avouée qu’elle souhaitait être enculée en même temps que son mari, de peur que celui-ci refuse. Il faut toujours dire ce que l’on souhaite faire ou se faire faire, dire la vérité sur soit, dire ses fantasmes, dire que les autres sont des hypocrites, qui trompent leurs femmes ou leurs maris au lieu de faire ça ensemble, la jouissance est alors multipliée à l’infini. Et puis le temps passa, sans que je repense trop cette organisation. Un soir après un diner avec un de mes meilleurs amis, je l’appellerais Michel, qui était présent à cette fameuse soirée, dans la voiture qui nous conduisait à son domicile, à un arrêt au feu rouge, il me tendis un bandeau noir et me demanda de le mettre sur les yeux. Je m’exécutais, un peu inquiète tout de même. Nous avons roulé encore quelques temps, et nous nous sommes arrêtes. Cette mise en scène me rappela le roman « Histoire d’O » lorsque « O » est emmené par son amant René dans le château de Roissy. Je l’entendis couper le moteur, descendre de la voiture, m’ouvrir la portière et m’aida à descendre. J’ai entendu des voix autour de moi, puis une porte s’ouvrir, mes pas résonnaient sur ce qui devait être un sol en carrelage. Nous avons monté un étage et j’ai senti qu’on me faisait rentrée dans une pièce qui résonnait aussi à mes pas. Toujours les yeux bandés, une main vint me faire descendre la fermeture éclaire de ma robe, ensuite retirer mes chaussures. On m’allongea sur ce j’ai cru être une table, mais légèrement rembourrée, on me leva les jambes, j’ai senti qu’on les reposait en hauteur et qu’on les attachait avec des sangles. Je compris instantanément que j’étais allongée sur une table de gynécologue. On m’a prise par la taille et tirée vers le bas, je me suis retrouvée dans la même position que chez mon toubib, les fesses justes au bord de la table. Michel qui était toujours là, me dit alors que je devais garder mon bandeau. On m’attacha également les mains aux sangles de la table. A ma droite, j’entendais des bruits, des gémissements, des râles. Et puis ça a commencé, j’ai senti un homme me pénétrer brutalement, mon sexe pas encore humide reçu ce sexe assez gros avec une forte douleur. Puis au bout d’un temps assez court, je l’entendis jouir et se retirer aussitôt, par contre je ne sentis pas son sperme dans mon vagin, il devait porter un préservatif. Puis un autre aussitôt arriva et tout recommença. J’étais où ? La question me taraudait l’esprit malgré la douleur persistance du premier assaut. Et une suite sans fin de pénétrations se succédèrent à une rythme soutenu, je n’arrivais pas à jouir et à me libérer complètement pour pouvoir apprécier cette séance. C’est quand mon ami me dit, « ça fait vingts mecs qui te baisent » qu’est venu mon premier orgasme. Était-ce le fait du nombre, l’idée que trente hommes m’avaient pénétré et joui en moi qui m’a fait cet effet, en tout cas je jouissais. La séance continua, je devenais folle, mon sexe commençait à me faire très mal, je sentais que de temps en temps on me mettait dans le vagin un gel lubrifiant. J’appelais mon ami, et quelqu’un me dit alors qu’il était parti. Prise de panique je hurlais, mais une main ferme me cloua la bouche et un bâillon termina d’étouffer mes cris. Combien de temps je suis restée sur cette table à recevoir sans dis continué des dizaines d’hommes en moi, je n’en avais pas la moindre idée. Puis brusquement tout s’arrêta, je reconnus la voix de mon ami, on me détacha les mains, et me retira le bâillon et le bandeau. Un spectacle d’horreur s’offrit à moi, sur une table à droite, était attachée une femme, et une longue fille d’hommes attendaient le sexe à la main, de se soulager en elle. Elle était visiblement très jeune tout au plus 18 ans. Elles subissaient les assauts des hommes, certains la baisait, d'autres l'enculait, mais, à l’inverse de moi sans préservatif, alors je vis une vieille femme arrivée un tuyau d’arrosage à la main l’introduire dans le sexe de la fille et ouvrir le robinet. L’eau gicla avec violence, le sperme mélangé à l’eau s’évacua, puis elle retira le tuyau et l'introduit dans l'anus et recommença puis elle la sécha rapidement avec une serviette et sans autre soin, le supplice recommença aussitôt. Elle semblait dans un état second, certainement droguée. On me détacha complètement et on m’emmena dans une autre pièce où j’ai pu prendre une douche. Je demandais à Michel ou je me trouvais, Il me répondit dans une maison close du 18eme arrondissement de Paris, fréquentée uniquement par des maghrébins et des africains, il ajouta une maison d’abattage, ou les femmes récalcitrantes étaient amenées pour être punies. Je lui demandais, « combien d’hommes m’ont baisée », « tu veux vraiment le savoir » me dit’ il. Il hésitait un moment et me répondit « Bien plus de 70 hommes t’ont baisée, tu es restée 7 heures sur la table, mais tu sais ils sont tellement excités qu’ils jouissent au bout de 3 ou 4 minutes surtout dans une femme blonde ». Comment j’avais pu supporter cela. Il me dit : «ce n’est rien, les femmes qui sont amenées ici subissent plus de 300 passes par jour. Elles restent en moyenne entre 8 et 30 jours, elles dorment 2 à 3 heures par jour. Le bordel étant ouvert 24h sur 24. Ils y a celles qui sont amenés également sur les grands chantiers. Elle sont enfermées 24h/24 dans un bungalow et subissent aussi autant de pénétrations sans compter les coups qu'elles prennent si elles se rebellent. Et puis il y celles qui sont envoyées dans des soirées privées, et là tout est permis sur elles". Puis il ajouta, " j'ai eu connaissance de trois filles qui ont été torturées à mort, les seins coupés, le clitoris coupé ainsi que les petites et les grandes lèvres intimes. Quand elles ont été retrouvées dans un décharge, elles avaient dans le vagin et l'anus des bouteilles de biere qui avaient été cassées à l'intérieur, sans doute à coups de marteau. Elles avaient les doigts coupés pour ne pas pouvoir les identifiées. L'autopsie à prouvée que la mort avait été provoquée non pas par les tortures, mais une balle dans la nuque. Ces "soirées" sont généralement filmées et les cassettes sont vendues à prix d'or par des réseaux spécialisés. Le pire ça été dans une grande propriété abandonnée, près de Chantilly, il a été trouvé une fille suspendue par les mains dans une cuve d'acide, son corps ou plutôt ce qui en restait était plongé dans le liquide jusqu'à la taille. Ses seins avaient été perforés de long en large par une longue tige métallique type fer à béton qui avait été affuté et qui entrait dans le sein gauche et ressortait par le sein droit a laquelle était attaché aux extrémités deux parpaings ce qui faisait pendre ses seins jusqu'au milieu du ventre. Son visage intact mais avec la langue coupée, montrait des traits déformés par la souffrance. L'horreur à l'état pur". Il continua " Aux USA, on a trouvé une femme qui avait été découpée vivante suivant le supplice chinois des sept couteaux. Un couteau servait à découper les seins au raz de la cage thoracique. Un petit couteau servait pour retirer chez les hommes les testicules de leurs enveloppes et ouvrir le sexe dans sa longueur et pour la femme la totalité du clitoris et des lèvres, un autre à couper les muscles des bras et des cuisses, un plus grand, les articulations des coudes et des genoux. Le bourreau terminait son œuvre par l'ouverture de l'abdomen, laissant ainsi échapper tous les organes. Le bourreau s'appliquait à laisser la femme ou l'homme ainsi torturé vivant le plus longtemps possible". J'atais blême au bord d'être malade. Nous sommes ressortis de ce bordel, il faisait grand jour, des hommes faisaient la queue devant la porte. Je remarquais la façade de l’immeuble, ça ressemblait à un ancien cinéma. Je demandais alors à Michel, « mais les flics n’interviennent pas, les maisons closes sont interdites en France» Il me répondit, « c’est vrai que les maisons closes sont interdites, mais la police ferme les yeux, ça permet de diminuer l’agressivité dans ce quartier ». Il me semblait bien au courant, et il avait de drôles de fréquentations, comme je ne lui avais jamais demandée le métier qu’il exerçait, je profitais de l’occasion : « Moi je suis flic, Inspecteur Principal si tu veux savoir ». Et comme pour se dédouaner, il ajouta : « Tu sais on fait des descentes de temps en temps,… pour la forme , et pour ce qui est des trois filles torturées, c'est moi qui avait été chargé de l'enquête ». Le jour où j’avais parlé de se transformer pour un soir en prostituée, j’avais imaginé plutôt en call girl ou sur le trottoir, faire une fellation et me faire sauter dans une voiture, j’étais loin de m’imaginer qu’on me mettrait dans une maison d’abattage. J’aurais mieux fait de me taire, mais j’avoue qu’avec le recul, l’expérience que j’ai subie m’a fait comprendre le calvaire de ses femmes soumises à ces tortures physiques et aussi morales, car pour tenir le choc pendant un mois voir plus, si la fille est très jeune et jolie, à ce rythme là, beaucoup reçoivent des doses importantes de drogue. Elles ressortent de cet enfer complètement détruites moralement et physiquement. J’avais pour ami un flic ripoux. Bon ripoux j’oublie, mais flic, ça pouvais toujours servir. Mon fantasme avait été exhaussé à la puissance 100. Mais juré promis, craché, je ne recommencerais jamais. Quelques temps plus tard ou je prenais le métro à Stalingrad pour allez vers la place Clichy, du métro aérien à la station Barbès, je me remémorais ce qui c’était passé dans ce bordel devant lequel s’allongeait une file d’hommes prêts a assouvir leurs besoins sexuels sur des femmes esclaves du sexe. Je repense souvent à elles. Si cet ami ne m’avait pas fait connaître cette partie cachée de l’univers de la prostitution, je n’aurais certainement pas cru qu’une telle dégradation de la femme puisse exister. Ces maisons ont été fermées quelques temps plus tard. Ce qui n’a rien changé au problème de la prostitution. A suivre
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Par : le 22/12/17
Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux. J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée. Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher. Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête. Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner. Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent. Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs. A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris. Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé. A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ? Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée. Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées… On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer. La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement, Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial. A lire également : Quand Madame domine Soumettre un homme  
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Par : le 06/02/13
N.Y. le 28 janvier Notre vie New Yorkaise se poursuit tranquillement. J’attends avec impatience la fin des travaux de ma galerie, ainsi que Justine pour qui cette nouvelle vie est un vrai rêve. Bruno était reparti à St Barth pour régler quelques affaires privées avant de revenir début février. J’avais parlé précédemment des gouts de Justine pour les expériences hard et même sado maso. C’est pourquoi John me parla de soirées que les américains appellent « Public Disgrace ». Il existe plusieurs variantes à ces expériences, certaines se font à l’extérieur, la fille est entièrement nue, menottée et promenée ainsi à la vue du public. Elle est à la merci de son Maître qui peut faire d’elle ce qu’il veut. Elle peut ainsi se faire baiser par des inconnus, sodomiser, subir des fellations forcées. Tout est permis. D’autres, peuvent se passer dans des magasins, des bars tout lieux publics, mais elles sont organisées le plus souvent dans des endroits privés dans des lieux un peu sinistres.  Les invités sont les spectateurs et les acteurs.  Ils payent leur participation à ces séances. La ce présente  deux cas. Le premier, la ou les filles sont volontaires dès le départ de la soirée, Le deuxième cas, les filles présentes ne savent pas à l’avance ce qui les attends. Bien sur, elles sont toutes consentantes et savent que le sort peut les désigner pour être la « victime ». Ce sont les soirées les plus excitantes. Donc un soir de la semaine ou nous étions tout les trois à table, John annonça que nous étions invités à une soirée, il expliqua qu’il s’agissait d’un spectacle érotique, voir pornographique mais sans en préciser la nature exacte. Bien sûr j’étais au courant, John m’ayant tout expliqué. Justine, toujours avide de nouvelles expériences se dit très intéressée par ce type de spectacles. Le jour dit, nous nous sommes préparés pour cette soirée. Je m’habillais d’une jupe de cuir très courte, d’un chemisier pratiquement transparent et comme à mon habitude sans sous vêtement. Je conseillais à Justine de mettre une robe légère décoltée, bas et porte jarretelles, et vue la proportion de sa poitrine, elle porte toujours des soutiens gorges. Elle ne fit aucune objection à mes conseils et ainsi habillée est était très désirable. En chemin, Justine me demanda si je connaissais déjà ce type de spectacle. Je lui avouais que non et que j’avais hâte de découvrir de quoi il s’agissait. Nous sommes arrivé 30 minutes plus tard, dans un quartier que je ne connaissais pas, triste, avec des maisons délabrées et inhabitées pour la plus part, c’était sinistre. Puis nous sommes arrivés devant ce qui devait être un ancien garage, avec un rideau de fer. Holden notre chauffeur descendit sonner, et le rideau de fer s’ouvrit, nous sommes entrés avec la voiture. Une quinzaine de véhicules étaient garés à l’intérieur. Nous sommes descendus puis, je regardais Justine qui semblait un peu effrayée par l’endroit. John ouvrit une porte en fer et nous pénétrâmes dans un grand hangar. Ce qui me frappa en premier, c’est qu’une trentaine d’hommes et de femmes étaient présents tous portaient un loup sur le visage et étaient assis sur des chaises placées en rond autour d’une estrade ou trônait en son centre deux poteaux placées verticalement. Il y avait aussi une table,  un  tabouret, un carcan, et divers autres objets. Nous avons posés nos manteaux, puis on nous invita à prendre dans une vasque une enveloppe et nous nous sommes assis avec les autres personnes présentes. Une femme entra, habillée entièrement de cuir, composé d’un bustier lui serrant la taille et qui lui faisait jaillir deux seins magnifiques, d’une jupe de cuir ultra courte qui laissait entrevoir son entrejambe nu de tout vêtement et de cuissardes à talons très haut. Ca devenait très chaud. Elle se présenta comme la Maitresse de la soirée. Puis elle prit dans une autre vasque une enveloppe l’ouvrit et annonçât le numéro 21. Elle demanda ensuite d’ouvrir nos enveloppes et que le N° 21 se fasse connaître. Justine eu un moment de panique en découvrant son numéro, le 21. Tout les regards se tournèrent vers elle et un murmure de satisfaction se fit entendre. La Maitresse de la soirée s’approcha alors de Justine, l’invita à se lever, et la prenant par la main, l’amena au centre de l’estrade. Elle lui demande alors de dire si elle était d’accord pour participer comme actrice à cette soirée. Justine un peu perdu cherchait dans mon regard un réconfort et une réponse, mais je ne bronchais pas, et au bout de quelques instants elle dit « oui j’accepte ». Et tout alla très vite, elle se retrouva les mains liées derrière le dos, sa robe fut arrachée violement, son soutien gorge coupé par le devant libéra ses seins aux pointes brunes et  dures. Puis se fut le tour de son string également coupé avec un canif. On lui laissa ses portes jarretelles ses bas et ses chaussures. En 15 secondes elle s’est retrouvée complètement nue, immobilisée et à la merci de cette femme. Ensuite on lui posa un bandeau sur les yeux, ce qui augmenta encore plus sa panique. Un homme, son assistant, s’approcha d’elle, et aida la Maitresse à attacher chacune de ses mains aux deux poteaux par des bracelets de cuir. On lui posa des bracelets aux chevilles et elle se retrouva ainsi exposée, les jambes largement ouvertes. Je regardais John et lui demandais : « J’espère qui tu leur a dit de pas être trop brutaux avec elle » Il me répondit ; « ne t’inquiète pas elle ressortira de là sans séquelles ». Pas très rassurant quand même. La femme pris alors un fouet à une lanière de cuir à manche court puis s’approcha de Justine. Elle fit claquer son fouet, Justine compris instantanément ce qui allait se passer et elle se cabra dans ses liens. Et le fouet claqua, d’abord sur son dos, un coup sec, mais sans violence, elle répéta l’opération une deuxième fois, Justine cria, le coup était plus fort. L’homme resté  à côté s’approcha et plaça sur la bouche de Justine un bâillon en forme de boule de caoutchouc et attaché derrière la tête Elle recommença en descendant sur les fesses en lui administrant une dizaine de coups assez forts. Ses fesses se marquèrent instantanement de marques violacées. La Maitresse fit le tour se plaça devant Justine et fit claqué son fouet sur le ventre, et sans attendre deux autres coups sur chaque seins. Justine se débattait dans ses liens.   Je regardais avec un peu d’effroi ce qui lui arrivait, moi qui n’est jamais appréciée la brutalité. Les hommes et les femmes autour commençaient à s’exciter, et je craignais que cette excitation fasse que les « spectateurs » ne se contrôlent plus. La Maitresse demanda alors un volontaire pour continuer à la fouettée. Un homme fut plus rapide que les autres, il se leva, pris le fouet des mains de la femme, se plaçant devant Justine il entreprit de la fouettée à l’intérieur des cuisses, une partie du coprs particulièrement  sensible. Deux coups sur chaque cuisses, il alla regarder son œuvre et sans doute mécontent du résultat recommançat l'opération. Puis se remettant devant Justine il assénat trois coups sur chaque seins. iI frappait plus fort que la Maitresse et des marques apparurent sur les mamelons. Il refit le tour, et fouetta Justine une dizaine de fois dans l’entre jambe, le bout du fouet frappant exactement sur  le devant de son  sexe juste sur le clitoris. Il revint devant et asséna un coup encore plus violent sur chacun de ses seins, des marques laissées par la lanière de cuir apparut quelques gouttes de sang sur les bouts de ses seins. Justine hurlait dans son bâillon. John fit un signe à la femme qui fit stopper le supplice. Mais l’homme surexcité la frappa de toutes ses forces sur le devant de son corps. Il aura fallu qu’un autre homme intervienne pour le stopper dans sa folie. Ils la détachèrent alors et la placèrent dans le carcan. Cet instrument de torture était composé d’une pièce de bois fixe sur un support au sol avec deux demi trous, deux pour les mains et un pour la tête, ils refermèrent l’autre moitié et Justine se retrouva la tête et les mains prisent dans cet étau. Une barre fixée sur les attaches de ses chevilles lui écartait les jambes au maximum, offrant une vue imprenable sur son intimité. Auparavant on lui avait retiré son bâillon, un homme s’approcha d’elle, la braguette ouverte, le sexe en érection et sans ménagement  le lui enfonça dans la bouche, jusqu’à faire toucher ses testicules sur ses lèvres. Il resta comme ça puis se retira, Justine, étouffait et il recommençât, mais cette fois-ci en violents vas et vient. Toutes les quinze secondes il se retirait pour la laisser respirer et continua jusqu’à éjaculer au fond de sa gorge.   Un autre le remplaça aussitôt et tout recommençât, avec en prime une pénétration des plus brutales. En effet, la femme venait de lui enfoncer sa main dans le vagin sans ménagement. Elle allait et venait de plus en plus vite. Toute sa main jusqu’au poignet pénétrait dans le vagin de Justine, qui ne pouvait crier vu l’engin qu’elle avait dans la bouche. La femme retira sa main, s’enduit la main de gel, présenta son poing fermé à l’entrée des reins de Justine et en tournant légèrement entreprit de le pénétrer comme par devant. Centimètre par centimètre son poing pénétrait l’orifice étroit de ses reins. Un troisième homme remplaça le précédent qui venait de jouir au fond de sa gorge. Et tout continua. L’homme un noir avec un sexe énorme remplaça la main de la femme et l’enculât d’une seule poussée. Deux autres hommes se placèrent devant la bouche de Justine et firent entrer leurs deux sexes en même temps. Des larmes coulaient sur son visage entrainant avec elles le maquillage, elle était méconnaissable. Et pas moyen d’arrêter tout cela. Jugeant que cette position avait proposée toutes les solutions, on la sortit de son carcan, et ils la firent assoir sur le tabouret, sur lequel il avait posé un gode conique de grande taille. Lubrifiée par le gel et le sperme du noir, elle s’enfonçât  jusqu’à toucher les fesses sur le tabouret. Une femme s’approcha avec un vibromasseur, le plaça sur le clitoris de Justine qui se mit à bouger dans tous les sens, maintenue au tabouret par de pieu de plastique. Elle fit durer le supplice jusqu’à ce que Justine explose dans un orgasme exceptionnel. Pendant de temps là un homme muni d’un bâton électrique lui titillait les seins et le bas ventre lui envoyant des décharges électriques puissantes mais inoffensives. Je regardais le public autour de moi. Tout ce petit monde, s’envoyait en l’air dans son coin,. Une femme avait fait entré sa main dans son sexe et se masturbait violemment. Une autre suçait son voisin de siège pendant qu’au autre la baisait. Un autre se masturbait et éjacula sur le visage de sa voisine. Je regardais John, il était stoïque. Il regardait le spectacle sans émotion apparente, j’avançais ma main vers son sexe, le dégageais de son pantalon, il bandait comme un âne, je me penchais et avalais ce sexe qui me donnait tant de plaisir. Dans la position ou j’étais j’offrais mon cul à qui voulait le prendre, ce qui ne tarda pas. Je ne voyais pas l’homme puis me baisait et décidais de ne pas savoir qui c’était, jeune, vieux, un sexe qui bande est toujours un sexe.. Pendant ce temps, Justine avait été portée sur la table, un homme placé sur le dos la baisait, pendant qu’un autre la sodomisait. Ils se succédèrent ainsi sans s’arrêter. Justine jouissait pratiquement sans arrêt. Ils le retournèrent celui sur le dos l’encula pendant qu’un autre la baisait. La Maitresse vint alors se placer sur la bouche de Justine lui offrant son sexe. Sa langue léchait le clitoris, pénétrait à l'intérieur de son vagin largement ouvert, mordillant ses lèvres et revenant au clitoris qu'elle prenait entre ses dents. Elle jouit très vite inondant lson visage et faisant boire à Justine le jet de son orgasme. Cela faisait deux heures que la séance venait de commercer. Et ils n’en finissaient pas de la baiser, de l’enculer. Justine, pratiquement inconsciente, avalait tout le sperme qu’on lui faisait boire. Que pouvait-elle subir de plus. Quelles imaginations lubriques pouvaient encore jaillir de ces cerveaux pervers. Et bien ils trouvèrent vite une suite à tout ce qu’elle avait déjà subi.       Tout le monde se rhabilla, ils nettoyèrent Justine, mais la laissant complètement nue, avec son porte jarretelles et ses chaussures,  un homme la portât jusqu’au parking. Il l'installa dans une voiture. Je m’inquiétais de savoir où ils allaient. John me rassura en me disant qu’on allait les suivre en voiture, et qu’il savait ou ils l’emmenaient. Nous avons suivi len cortège jusqu’à un port au bord de l’Hudson. Là se trouvait une vingtaine d’hommes, adossés à des containers,  des dockers pour la plus part, prévenus de la soirée. On fit descendre Justine à qu’on avait remis le bandeau sur les yeux et attachés les mains derrière la tête sur un anneau fixé sur un collier en cuir.  Il faisait assez froid, nue comme elle était elle devait subir cette température difficilement.  L’homme qui le tenait l’approcha des hommes, et leur dit : «Elle est à vous, vous en faites ce que vous voulez, ne la ménagé pas». Aussitôt les hommes l’entourèrent, leurs mains se posèrent sur ses seins, lui tordant les bouts, elles s’insinuaient dans sons sexe pinçant son clitoris,  ils pénétraient leurs doigts dans son cul. Puis ils la firent mettre à genoux, en lui présentant  leurs sexes en érection. L’obligeant à les avaler tour a tour, passant de l’un à l’autre. Certains éjaculaient dans sa bouche d’autres sur ses seins, sa figure. Puis remise debout, penchée en avant, ils la prirent par devant, par derrière tout en lui enfonçant dans la bouche leurs sexes. Je regardais ce spectacle, une envie folle de la rejoindre me pris, j’en parlais à John qui me dis de faire ce que je voulais. Je m’approchais du groupe, j'ouvrais mon chemisier et remontais ma jupe jusqu'a la taille. Ravis d’en avoir une deuxième pour le même prix ils ne tardèrent pas à s’occuper de moi et de me faire subir le même sort qu’à Justine qui me regardait, les yeux dans le vague, saoule de sexe et de sperme. Un homme me souleva, je serrais mes jambes autour de sa taille, puis il me fit descendre sur son sexe, un autre se plaça derière moi et m'encula de tout la longueur de son sexe. Je descendais et remontais de plus en plus fort. je sentais leurs membres taper au fond de moi, ce qui déclenchaient des orgasmes à répétition. La séance dura le temps que les assaillants vidés complètement et sans munition arrêtèrent  de s’occuper de nous. Je prenais Justine par la taille, lui retirais son bandeau, détachais ses mains, puis se dirigeant vers notre voiture ou Holden nous attendait en jouissant du spectacle, je demandais à Justine comment elle allait. Sa réponse fut sans appel, jamais elle n’avait jamais prit un pied comme ce soir. Elle ne regrettait ni les coups de fouets surtout sur les seins, ni les pénétrations violentes, rien de tout cela. Et se disait prête à recommencer avec plus de violence encore. Tu sais me dit'elle, je sais qu'on peut utiliser des aiguilles sur les seins et le sexe, Il faudrat que j'essaye ça  la prochaine fois. Justine m’inquiétait sérieusement. Il ne faudrait pas qu’elle prenne trop goûts à ce genre de séance, car bon nombre de femmes et d’hommes tombés dans l’addiction du sado masochisme se sont retrouvés mutilés par les coups de fouets, de cravaches, de pinces diverses, d’aiguilles plantés dans tous les endroits les plus sensibles du corps, de suspensions etc. Je me souviens de l'expérience malheureuse du fou qui m'avait mis sur le clitoris son objet de torture qui me faisant pénétrer une aiguille dans le clito à chaque fois que pendant qu'il me baisait son ventre touchait cet engin de torture. J'en garde  un souvenir douloureux. Il faudra que je la surveille de prêt, de toute façon Bruno qui n’est pas non plus un adepte de ce genre de sport lui fera comprendre ou il faut qu’elle s’arrête. Dans la voiture qui nous ramenait, elle s’était blotti contre moi. Habillée d’un peignoir que John avait prévu, elle sommeillait dans mes bras. Arrivé à l’hôtel particulier, elle demanda à Holden de lui faire couler un bain. On ne le revit pas ressortir de la chambre de Justine, à croire qu’elle n’en avait pas eu assez ce soir. Je demandais à John : " le numéro 21 tiré soit disant au hasard, ce n’était pas complètement le hasard". Eclatant de rire John me répondit que bien sûr que non, tout était arrangé d’avance. Tu sais dit ’il, je crois que la prochaine fois, ce sera ton tour. Je le regardais alors dans les yeux, en lui disant que s’il me faisait ça, je m'occuperais de lui personnellement  en pire., que j'avais déjà quelques idées précises de ce que je pourrai lui faire subir. Sa réponse  fut : " arrête tu me fais bander, viens tu vas m'expliquer tout ça " et il m’entraina dans notre chambre.   A suivre        
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Par : le 06/04/22
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes. Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable. Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part. Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance. A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu. Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité. «Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ». Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné. Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition. 13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger. « Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. » Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin. L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité. « Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires. J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche. L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse. Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé. Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ». Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction. « Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant. Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement. « Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation. Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant. « Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il. « Oui, elle est particulièrement appliquée ». « Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle. Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort. Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis. À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables. Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond. Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
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Par : le 09/10/19
Impuissant, j’essaie de me libérer mais instinctivement je sait que cela ne sert à rien. Des chaines retiennent les bracelets de mes poignets et de mes chevilles ; des sangles entourent mes épaules, mes cuisses et même ma taille. Je suis fixé au banc rigide. Je regarde avec incrédulité ma Gardienne. Dès qu’Elle eut fini de m’attacher, Elle a enlevé ma cage. Maintenant, Elle prépare des aiguilles et des seringues. Jusqu'à cet instant, je n’ai jamais cru qu'elle le ferait réellement. Ma bouche, remplie de mon bâillon pénis au goût fétide de caoutchouc, s'assèche brusquement quand Elle s'approche. Je me crispe involontairement alors qu’Elle se penche vers moi. « Alors esclave, voilà le jour tant attendu » dit-Elle avec un large sourire. Je la regarde avec un air d’incompréhension. Pourquoi dit-Elle ça ? « Ta Dame a décidé de te donner une récompense », continue-t-Elle, « et surtout, Elle a accepté mon aide pour te préparer. N’est-ce pas gentil de ma part ? ». Sans attendre ma réponse, Elle désinfecte mon sexe et ses alentours. Elle prend un 1ère seringue et réalise la première injection, suivie de plusieurs autres dans mon pénis, mes testicules et tout autour. Le liquide me brûle brièvement au fur et à mesure qu'il pénètre. Puis lentement, la brûlure se transforme en une chaleur douce et brillante, puis finalement plus rien. Je réalise qu’Elle m’a anesthésié. Elle m’a volé toute sensation dans et autour de mon pénis. L'effet est total. Elle place un bandeau sur mes yeux. Je ne me rends pas compte qu’Elle prépare une dernière injection. Une qui est complètement différente. « Tu es presque prêt. C’est bien. Elle va arriver dans quelques minutes ». Sans que je le remarque, Elle pique directement dans mon pénis flasque. Normalement, cela aurait dû me brûler mais je ne sens rien. Aucune sensation. Puis, j’ai l’impression d’un durcissement lent, inévitable de mon pénis engourdi. Je contracte mes muscles et j’arrive à le sentir taper contre mon ventre. Dans les 3 minutes, il est devenu complètement dur et mais totalement insensible. Elle enlève le bandeau et Elle sourit. « Aujourd'hui tu seras un gode humain. Ta Dame va t'utiliser et je prendrais beaucoup de plaisir à te voir essayer de jouir. Mais il n'y aura rien à faire ; tu ne peux pas devenir mou et tu ne peux rien sentir et en plus, tu ne peux pas bouger. Tout ce que tu peux faire, c'est rester là et la voir prendre son plaisir ». Avec ça, ma Dame arrive. Elle embrasse langoureusement son amante dans une longue étreinte. « Alors esclave » me dit ma Dame. « Je vois que tu es déjà prêt » en caressant mon pénis de haut en bas. Elle saisit mes testicules. « Je vais te donner une règle, une seule. N’envisage même pas de jouir avant moi. » Elle doit avoir serré mes testicules, car sans ma réponse, Elle ajoute : As-tu bien compris ? » « Mmmohi » Elle se mit à califourchon sur moi et glissa mon pénis dur au fond de son sexe. Les larmes me montent aux yeux alors que je réalise que je ne ressens rien. Pas de mouvement. Pas de chaleur. Pas de friction, rien. C’est comme si tout mon sexe et mes boules n'existent tout simplement plus. Je veux fermer les yeux, je veux disparaître, je veux que cela s’arrête, que je me réveille de ce cauchemar. Mais je suis obligé de la regarder alors qu’Elle bouge lentement sur moi, se rapprochant toujours plus de l'orgasme. Je ne peux pas bouger, je ne peux pas m’échapper, je ne peux pas l’arrêter. Elle me chevauche, encore et encore pendant ce qui semble être des heures ... tirant de mon corps sans défense chaque once de Son plaisir. Amère ironie, l’engourdissement complet de mon sexe signifie que je n’ai pas besoin de m’inquiéter de l'éjaculation. Je ne peux tout simplement pas, même si je le voulait ... il n’y a aucune sensation pour déclencher mon plaisir. C’était comme si le produit anesthésiant avait bloqué tous les nerfs de mon corps nécessaire au contrôle de mes muscles éjaculateurs... je suis dur, mais impuissant. Ma Gardienne s’était rapprochée et La caresse. Ma Dame se délecte, prenant son plaisir encore et encore sans interruption dans les bras de son amante, utilisant le gode humain que j’étais devenu. Finalement, elle est repue. Elle se lève vacillante et je vois que mon pénis est toujours dur. Je n’ai toujours pas joui. Je gémis alors que le bandeau est refixé sur ses yeux, coupant tous les regards et la vision de mon sexe abandonné. Elles me laissent là, ligoté, tremblant, frustré comme jamais et les yeux bandés. Plus tard, j’entends que quelqu’un vient. Ce doit être ma Gardienne. « Je vois que tu as débandé. Il est temps de le remettre dans sa cage » annonce-t-Elle joyeusement. « Mmmmpf ». Je proteste. Je n’ai pas eu ma récompense. Je devais pouvoir enfin jouir après des semaines d’abstinence. « Ne t’inquiète pas, j’ai aussi un petit cadeau pour toi » dit-Elle d’un ton sournois. « Le petit paquet que nous avons reçu l’autre jour contenait ton cadeau. Il est temps de faire bonne usage de ton nouveau piercing au pénis ». Je ne sens toujours rien alors qu’Elle nettoie soigneusement mon sexe. Elle glisse le solide anneau d'acier derrière mes testicules. Le tube de métal suit enfermant mon pénis qui a dû ramollir entre temps. Me surprenant, Elle continue à me manipuler, puis avec une torsion rapide, Elle ferme la serrure et voilà. Je suis de retour dans la cage de chasteté. Je suis complètement sous le choc, seul, toujours fixé à ma banc. Encore plus tard, ma Dame vient me libérer. Je sens les sangles se desserrer puis être enlevées. Les cadenas de mes chaînes sont ouverts, le baillon est retiré. Je me lève lentement vacillant. Dès que je suis debout, je m’appuie contre Ellle. Je sens Sa chaleur et Son parfum. Je compris... et un gémissement long et bas s'échappa de mes lèvres... Elle me fit taire d'un baiser dur et profond, sa langue forçant son passage dans ma bouche, provoquant des vagues de luxure et… une forte compression dans mon pénis. Une nouvelle cage de chasteté était fixée autour de mon sexe. « Je t'ai prévenu de ce qui se passerait si tu venais avant moi » Dit-Elle. « Tu as réussi à ne pas éjaculer, c’est incroyable. Mais tu n'as pas bien écouté, et ne t’ai-je pas dit de jouir après moi. Tu es vraiment stupide d’avoir louper une occasion pareille. Je t’aurais même laissé me nettoyer. Maintenant, tu ne peux plus bander du tout, ni jouir bien sûr pour une nouvelle longue période ». Je veux lui dire que j’ai été piégé, que c’est un complot. Mais il n’y a plus aucune trace des seringues utilisées par ma Gardienne et Il lui suffirait de dire que je fabule, que je mens. Qui pourrait croire à une histoire comme ça. « Tu devras t'habituer à la nouvelle cage que t’a offert ma chérie. » Continue-t-elle. « Je me suis laissé dire qu’elle est plus sévère et sécurisée que l’ancienne. » Et Elle a jouta « Maintenant va prendre ta douche ». Je restais là abasourdi. Chancelant, je me dirige vers la douche. Le jet tiède me fait du bien. je sens que les sensations reviennent lentement dans mon pénis et mes testicules. J’inspecte ma nouvelle cage. Elle est vraiment plus courte, trop courte !!! et je pense qu’elle est encore plus serrée, trop serrée !! Une broche de retenue traverse le piercing de mon gland et ressort par le bout du tube. J’essaie de bander, j’ai tout de suite très mal. Je suis désespéré. Quand je sors de la douche, ma Gardienne est là avec de quoi manger et boire. « Tu resteras chaste ou anesthésié jusqu'à ce que je sois convaincue que tu as appris ta leçon. » me lança-t-Elle pendant que je mange. « Dorénavant, je te ferai bander sur ordre et pour la durée que je déciderai. En dehors, ta nouvelle cage se chargera de te rappeler que tu n’as plus le droit de bander. » « C’est moi qui dirige ta vie maintenant. Est-ce bien compris ? m’as-tu bien entendu ? ». « Oui, Madame » dis-je dans un souffle. « Lève-toi que je prépare tes chaînes pour la nuit. Ensuite je t’emmène à ta nouvelle cellule. » Cette fois, il n'y aura pas d'échappatoire pour lulu.s       https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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Par : le 20/12/20
Pour ceux à qui la lecture ne fait pas peur, un maître en la matière d'histoire de chatouille :) Première d'une histoire nommé "la chapelle". Menu à bord : bondage, chatouille, fétichisme des pieds, orgasme, etc... Petite mise en garde : l'histoires présentent des aspects sexuels suscpetibles de heurter la sensibilité d'un public non averti même si nous sommes tous sensé être majeur :) Ne pas oublier également qu'il s'agit d'une fiction ! Il doit bien être deux heures du matin, se dit Virginie en jetant un regard sur sa montre. Celle-ci avouait largement deux heures et demie. La nuit sans lune conférait au campus endormi des allures inquiétantes. En bas sur le parking, deux phares s'allumèrent, immédiatement accompagnés du toussotement d'un moteur fatigué : Virginie reconnut aussitôt la 2CV de Vincent. Ce dernier lui avait proposé de l'emmener chez lui mais elle avait décliné son offre, prétextant qu'elle préférait prendre l'air avant d'aller se coucher. Ce soir, elle n'éprouvait aucune envie de relation sexuelle. Et puis elle devait se lever tôt car son premier cours avait été exceptionnellement avancé à huit heures. Heureusement, demain soir commençaient les vacances de Pâques. Virginie comptait en profiter pour se reposer tranquillement, n’ayant prévu aucune autre activité que de se la couler douce pendant deux semaines. Dans un vacarme effrayant, la 2CV s'éloigna vers la grand route, s'évanouissant bientôt dans la nuit. Virginie enfouit ses mains au fond de ses poches et s'éloigna dans l'allée sombre et silencieuse. Elle marchait d'un pas léger, laissant son allure se rythmer de l'alternance des zones d'ombre et de lumière laiteuse de l'éclairage public. Sa mémoire la ramena aux principaux événements de la soirée, surtout à ce gage que lui avait fait subir cette vipère de Sabine : - Et si nous lui chatouillions les plantes de pieds ? avait-elle proposé non sans malice. Malgré ses protestations, Virginie avait été forcée de se coucher sur le dos, à même le sol du salon. Quatre volontaires, dont elle ne se rappelait même plus les noms, lui avaient immobilisé les poignets et les chevilles. En revanche, elle se souvenait parfaitement de Sabine et Catherine qui s’étaient agenouillées chacune devant un de ses pieds immobilisés. Puis, avec des mouvements parfaitement synchronisés, elles lui avaient soigneusement dénoué les lacets de ses tennis avant de les lui retirer. Virginie se souvenait de ce regard complice qu’elles avaient alors échangé, tandis que d’un geste brusque elles arrachaient les chaussettes de leur prisonnière, découvrant ses deux pieds nus superbes aux formes parfaites. - Très mignons ! avait lancé Sabine. Voyons à présent s’ils sont aussi également très chatouilleux. Et tandis qu’elle prononçait ses derniers mots, ses doigts s’étaient mis à effleurer délicatement la peau nue et vulnérable qui s’offrait à eux, aussitôt imités par ceux de sa complice. Catherine s’était occupée de son pied gauche, assez maladroitement d’ailleurs, et lui avait chatouillé surtout la base des orteils. Virginie n’avait éprouvé aucune difficulté à soustraire par de petits mouvements vifs son pied nu des attouchements les plus réussis de son bourreau, apparemment néophyte en la matière. Sabine, en revanche, avait fait montre d’une adresse peu commune. Elle avait commencé par immobiliser d’une main ferme les orteils de son pied droit, avant de se mettre à lui chatouiller du bout des ongles le creux de sa plante de pied. Immédiatement, la sensation avait été quasi insoutenable et Virginie s’était abandonnée à des rires nerveux mêlés à quelques hurlements lorsque Sabine touchait un point particulièrement sensible. En se remémorant ces événements, Virginie ne pouvait empêcher une irrésistible excitation de monter en elle à nouveau. Car elle cultivait depuis de longues années et dans le secret le plus absolu des fantasmes de chatouilles où elle jouait invariablement le rôle de la victime de supplices les plus étonnants. De toutes les parties de son anatomie, ses pieds étaient sans conteste ce qu’elle possédait de plus parfait. Elle leur consacrait chaque jour plus de temps que nécessaire à leur prodiguer les soins qu’ils méritaient à ses yeux. Elle ne marchait presque jamais pieds nus et portait toujours des chaussettes afin de ne laisser aucune chance aux callosités qu’elle considérait comme le pire de ses ennemis. Le résultat était à la mesure de toutes ses attentions : à vingt et un ans, ses pieds étaient restés ceux d’une adolescente et le soir, en regardant négligemment la télévision, elle se plaisait à caresser parfois pendant des heures leur peau douce et satinée en nourrissant un étrange sentiment de fierté et de satisfaction. Le fantasme des chatouilles représentait déjà pour Virginie un vieux compagnon. Il lui était venu vers l’âge de douze ans. Sa tante possédait une résidence secondaire en province où sa famille se réunissait une dizaine de fois par an. C’est là, dans la chambre mansardée de ses deux cousines, Stéphanie et Gaëlle, qu’elle découvrit sa surprenante fascination pour les chatouilles et les pieds nus. Elle découvrit également assez rapidement qu’elle se montrait de très loin la plus vulnérable des trois à ce supplice. Ses cousines décidèrent alors qu’elle serait désormais la victime toute désignée de leurs petits jeux innocents. Vers quatorze ou quinze ans, Stéphanie proposa un jour de pimenter les supplices en attachant leur prisonnière avec des cordes et en la bâillonnant. Gaëlle et sa complice devinrent rapidement des expertes dans cet art dont Virginie apprit plus tard qu’il s’appelait bondage. Il est vrai que les lits à barreaux de cuivre qui ornaient la chambre se prêtaient tout particulièrement à ces pratiques. Ligotée et bâillonnée, Virginie vit alors ses séances de chatouilles à la fois s’intensifier et se prolonger. Durant ces quelques années, Gaëlle et Stéphanie explorèrent avec méthode tous les raffinements possibles des supplices des plantes de pieds. Elles appréciaient avec une délectation sadique découvrir progressivement les pieds nus de leur infortunée victime : Virginie était ainsi presque toujours attachée en tennis et en chaussettes blanches (un rituel presque imposé, auquel tout manquement était sévèrement puni), que ses deux bourreaux lui retiraient ensuite avec une délicate lenteur directement proportionnelle à leur excitation. Stéphanie avait depuis longtemps jeté son dévolu sur les creux des plantes des pieds de Virginie, où la peau plus blanche trahissait chez elle une sensibilité ahurissante. Elle en connaissait chaque millimètre carré et toutes les façons de les effleurer pour arracher à Virginie les hurlements étouffés les plus aboutis. Gaëlle n’était pas en reste et était devenue l’experte de la base des orteils où les chatouilles plongeaient Virginie dans un état quasi second. Puis, vers l’âge de dix-sept ans, les réunions familiales se firent moins nombreuses et les jeunes filles abandonnèrent leurs jeux érotiques. Virginie ne s’en plaignit pas car elle commençait à redouter le moment inévitable où leurs ébats prendraient un tour moins anodin. En fait, ce fut elle qui arrêta, ou du moins fit tout pour cela, à partir du jour où Stéphanie parla de faire intervenir un garçon dans un prochain supplice. C’était l’époque des découvertes amoureuses et ses cousines lui avaient confessé récemment leur première expérience sexuelle. Virginie, moins pressée, ne voulut prendre aucun risque car elle ne connaissait que trop bien la perversité de Gaëlle et surtout de Stéphanie. D’ailleurs, ce fut à cette époque que Virginie déménagea. Elle perdit de vue ses cousines et le souvenir des séances de chatouilles endiablées s’estompa peu à peu. Certes, elle continua de cultiver ses fantasmes avec une obstination que les années n’atténuaient pas, mais le rêve avait désormais tout entier prit la place de la réalité. Sur ces considérations, le temps avait passé sans que Virginie s’en aperçoive et elle approchait à présent de chez elle. Elle s'engouffra dans la ruelle voûtée qui donnait accès à son immeuble. Pressant le pas, elle gravit rapidement les quelques marches de l’entrée avant de sursauter brusquement : derrière elle, surgissant de nulle part, une silhouette venait de se précipiter à son tour dans l'allée. Elle s'en voulut aussitôt de se montrer aussi craintive. Elle pénétra résolument dans le hall étroit et ralentit par habitude en passant devant sa boîte aux lettres. - Mademoiselle ! S’il vous plaît… Virginie se retourna d'un seul geste : la silhouette mystérieuse accourait droit vers elle. C’était une femme. L'inconnue s'immobilisa à deux pas : - Excusez-moi, je cherche la rue Montfort, mais je pense m'être égarée. Pouvez-vous m'aider ? - Bien sûr, répondit Virginie. Mais c'est à l'autre bout du campus, près de la Faculté des Lettres. Il y en a pour au moins trente minutes à pied. - J'ai un plan dans ma voiture, garée au bout de l'allée. Pourriez-vous m’y indiquer le chemin à suivre pour m'y rendre. Il fait nuit et c’est la première fois que je viens par ici... - D'accord, fit Virginie. Allons-y ! - Merci beaucoup. Il y en a juste pour une minute. Virginie n’avait pas pour habitude de prendre le risque d’accompagner ainsi une inconnue à une heure aussi tardive, mais elle était encore plongée dans les souvenirs de ses fantasmes d’adolescente et elle avait répondu machinalement sans réfléchir. A présent, il était trop tard pour faire demi-tour et elle emboîta le pas de l’inconnue. Arrivée au bout de l'allée, la jeune femme indiqua l’extrémité du parking : - Venez, ma voiture est juste là. Elle entraîna Virginie avec elle, longeant la file des voitures immobiles. Au moment où Virginie arrivait à la hauteur d'une fourgonnette de couleur sombre aux vitres opaques, les portes arrières du véhicule s'ouvrirent brutalement. Quatre silhouettes surgirent de la camionnette et se précipitèrent sur Virginie. Celle-ci n'eut même pas le temps de pousser un cri, et encore moins d'esquisser un geste de défense, qu'elle se retrouva ceinturée par ses agresseurs déterminés auxquels l’inconnue avait prêté immédiatement main forte, une main plaquée sur la bouche et entraînée sans ménagement à l'arrière du véhicule dont les portes se refermèrent aussitôt. Dans le feu de l’action, elle sentit à peine la fourgonnette démarrer dans un hurlement rageur du moteur. L’affaire avait été soigneusement préparée et rondement menée, car malgré l'instabilité de la fourgonnette et ses tentatives désespérées pour se libérer, en quelques secondes, Virginie se retrouva les poignets menottés aux ridelles du plafond . On la bâillonna soigneusement et un bandeau noir fut posé sur les yeux. Malgré le vacarme du moteur lancé à plein régime, une voix féminine se fit entendre distinctement : - Et bien, qu’est-ce que vous attendez ? Déshabillez-la ! Virginie sursauta lorsqu’une autre voix, toujours féminine, lui murmura presque dans l’oreille : - J’ai parié avec elle que tu avais de petits mamelons bruns. Elle préfère les roses. Mais elle ignore que je suis une tricheuse et que je t’ai déjà vue nue sous la douche. Virginie connaissait cette voix, mais son esprit chahuté ne réussissait pas à se concentrer suffisamment pour mettre un nom sur le timbre familier. Elle n’eut d’ailleurs guère le loisir de poursuivre ses réflexions car les événements se précipitaient tout autour d’elle. Malgré ses protestations, étouffées par son bâillon, ses agresseurs commencèrent à lui retirer ses vêtements. Ses poignets étant attachés au plafond, sa blouse et son soutien-gorge lui furent déboutonnés puis découpés au ciseau. Deux petits seins ronds et fermes pointèrent fièrement deux mamelons bruns aux proportions quasi parfaites. - Tu as perdu, lança la voix familière à sa complice. - Je le vois, répondit la première voix. De toutes façon, elle aurait été à toi pour la première épreuve. Virginie n’osait en croire ses oreilles tant ces propos paraissaient irréels. La seule chose dont elle était persuadée à ce stade, était que le hasard n’était pour rien dans ces événements : tout avait été soigneusement préparé et cette voix familière sur laquelle son esprit ne parvenait pas encore à mettre un visage devait certainement être au centre des explications. Virginie cherchait désespérément dans ses souvenirs récents un indice, mais ses agresseurs ne lui laissaient guère le temps de se penser. - Allez, reprit la voix familière. Voyons si ce que tu nous caches encore est à la hauteur de ce que tu nous offres déjà ! Et pour la seconde fois de la soirée, mais à présent dans des conditions nettement plus inquiétantes, on retira à Virginie ses tennis et ses chaussettes. Son jean puis son slip glissèrent le long de ses jambes, et elle se retrouva complètement nue. Sa nudité soudaine la figea dans une immobilité quasi parfaite, tandis qu’elle poussait de petits gémissements nerveux à travers son bâillon. Après avoir négocié de nombreux virages, la fourgonnette semblait s'être à présent engagée sur une autoroute, ou une route nationale. Profitant de la stabilité relative et nouvelle du véhicule, les agresseurs poursuivirent leur entreprise. Virginie étouffa un cri de réprobation : deux mains venaient de se poser sur ses seins et s’étaient mises aussitôt à rouler entre leurs doigts le bout de ses mamelons. Malgré la peur panique qui lui enserrait le ventre dans un étau, elle ne resta pas longtemps insensible à l’adresse redoutable des doigts inconnus. Ses bouts de seins réagirent naturellement dans un réflexe irrépressible, pointant fièrement d'excitation une rigidité manifeste. Virginie sentit alors un corps se coller juste derrière elle. Deux bras enlacèrent ses hanches et deux mains froides vinrent se poser sur son ventre, juste à hauteur de son nombril. Sa peur monta encore d’un cran dans un tourbillon d'images terrifiantes, et en même temps, elle ne pouvait empêcher l’excitation de la submerger peu à peu. Elle serra les poings et tira sur ses menottes dont les chaînes se tendirent dans un cliquetis métallique. Les mains qui lui caressaient le ventre descendirent lentement et inexorablement vers son pubis. Virginie haletait de désir et d'effroi. Les mains glissèrent doucement sur les bords de son pubis, et vinrent s’arrêter sur l'intérieur de ses cuisses, les extrémités des doigts effleurant ce qu’elle avait de plus intime. L’humidité apparente de son sexe ne laissait aucune place au doute quant au résultat des caresses érotiques dont elle était l’objet. - On dirait qu’elle est déjà toute excitée, fit la voix derrière elle. Sa ravisseuse entreprenante s’adressa ensuite directement à elle avec une révélation étonnante qui atteignit Virginie plus violemment encore qu’un direct à l’estomac : " Alors, petite fille, on dirait que tes fantasmes se réalisent. Mais nous n’en sommes qu’aux préliminaires, et tu seras sans doute surprise de découvrir tout à l’heure ce que nous sommes capables de faire à tes mignons petits pieds nus qu’on dit si chatouilleux. " Virginie n’osait y croire. Mais comment avaient-elles pu savoir ? Soudain, la vérité lui apparut si simple et évidente, et un visage vint en même temps se poser sur la voix familière : Stéphanie, la cousine des jeux interdits. Stéphanie qui en savait assez sur son compte pour expliquer en partie tout au moins sa situation actuelle. Virginie ne pouvait en revanche pour l’instant dévoiler à ses agresseurs qu’elle avait reconnu l’une d’entre elles, son bâillon la forçant à un silence d’esclave soumise aux outrages les plus pervers. La voix derrière elle reprit à l’attention de ses complices : - Je vais y aller. Attrapez-lui les chevilles ! Plusieurs mains empoignèrent fermement les chevilles de la prisonnière pour lui immobiliser les jambes. Virginie tenta un instant de se débattre mais devant l'inutilité de ses efforts, elle abandonna presque aussitôt toute résistance. Comme elle s’y attendait, les doigts habiles de Stéphanie, pour la première fois, lui touchèrent directement le sexe. Ils lui écartèrent d’abord les lèvres avant de la pénétrer tout simplement. Virginie crut s'évanouir tant l'excitation était forte. Tandis que les doigts impudiques et audacieux avaient commencé un va-et-vient somme toute assez banal, Virginie sentit le pouce de Stéphanie s’approcher presque imperceptiblement de son clitoris. Lorsqu’il le toucha enfin, Virginie poussa un long gémissement, tandis que ses reins se cambraient irrésistiblement. Ses bourreaux éprouvaient à présent les plus grandes difficultés pour continuer à l’immobiliser. - Mes amies, exulta Stéphanie, voici la perle rare que je vous avais promise ! Mais je crois qu’elle est en train de surpasser nos espoirs les plus délirants… - Tu crois pouvoir la faire jouir ? interrogea la voix du devant qui semblait commander à tout le groupe. - Si je n’y arrive pas dans les minutes qui suivent, je veux bien prendre sa place, ironisa Stéphanie qui intensifia au même moment soudain ses caresses. Virginie haletait, alternant râles de plaisir et hurlements de dépit étouffés les uns comme les autres. Elle était tout à la fois emportée par l'excitation violente et révoltée par sa nudité violée sans restriction. Les pensées les plus folles se bousculaient dans sa tête, cherchant à comprendre, à expliquer le pourquoi de cette situation absurde qui la voyait attachée, nue dans un fourgon qui filait dans la nuit vers une destination mystérieuse et menaçante... Soudain, sans qu'elle l'eut pressentit, l'orgasme vint la frapper de plein fouet, lui arrachant un cri d'abandon que son bâillon étouffa à peine et qui provoqua chez ses bourreaux d'autres cris, de satisfaction, qui vinrent lui faire un étrange écho. Virginie jouit ainsi durant de longues secondes, interminables, rythmées par les vagues de plaisir qui déferlaient en elle et l'emportaient en un tourbillon insensé de chaleur et de violence. Enfin, les derniers spasmes lui arrachèrent un ultime gémissement, tandis que les doigts coupables se retiraient de son orifice le plus intime et qu’on lui relâchait les chevilles. Elle resta un instant pendue, inerte, comblée, imaginant sans peine les regards avides pour lesquels les moindres détails de son anatomie ne recelaient désormais plus guère de secrets. Près de l’oreille de Virginie, la voix de Stéphanie rompit le relatif silence qui avait suivi son orgasme : - J’espère pour toi que tu es toujours aussi chatouilleuse des pieds. Sinon, avec un sexe aussi sensible, tu ne résisteras pas longtemps à nos traitements. Mais à ce qu’on m’a dit, il paraîtrait que les années, loin d’émousser ta sensibilité, l’ont plutôt exacerbée. https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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Par : le 16/10/12
Je m'appelle Philippe et je suis journaliste d'investigation. A la demande de mon rédacteur en chef, j'avais entrepris une enquête approfondie dans les milieux si méconnus des adeptes de la Domination et de la soumission, du S/m, du bondage, du BDSM, etc. Après le passage obligé des boutiques et des sites internet, j'avais réussi à obtenir un rendez-vous avec Celui qui apparaissait pour beaucoup de mes interlocuteur comme Une Référence en la matière. je me souviens, c'était lors d'un chat avec une Maîtresse : "essaie de contacter Sir Evans, avec Lui tu apprendras beaucoup", m'avait-elle affirmé. J'avais alors erré quelque temps sur le net, jusqu'à tomber enfin sur un site où figurait ce pseudo. Nous avions échangé quelques phrases et Sir Evans avait finalement consenti à me recevoir. Il m'avait dit d'être le vendredi à midi sur la place du village de St- XXXXXX et d'attendre, qu'il se chargeait d'organiser la suite. Au jour dit, je me rendis donc au lieu de rendez-vous. Il faisait gris et froid, une légère brise me glaçait les os. j'étais seul sur la place avec ma Clio noire portant le logo bleu et vert de mon journal. Impossible de me rater pensais-je, appuyé sur le capot et fumant une énième cigarette. je trouvais le temps long... Finalement, vers la demie, je vis un lourd 4X4 qui roulait au ralenti vers la place. je me redressais un peu et jetais mon mégot vers le caniveau. Une étrange sensation m'habitait... j'avais beaucoup discuté avec des adeptes du Divin Marquis lors de mon enquête, mais je n'avais encore jamais rencontré l'un d'eux. j'imaginais des choses assez glauques ou violentes, riche seulement de quelques références littéraires ou cinématographiques. Le 4X4 s'arrêta face à moi... j'attendais, immobile. Pendant de longues minutes, rien ne se passa. je tapais des pieds sur le sol pour me réchauffer et commençais à m'impatienter. Enfin, les portières du véhicule s'ouvrirent. Deux hommes à la forte carrure en sortirent et s'approchèrent. L'un d'eux s'arrêta à quelque distance, tandis que l'autre venait jusqu'à moi : "T'es le journaliste ?" ... "Oui" répondis-je "je commençais à me demander si c'était un canular !". Mon ton un peu sec ne provoqua aucune réaction sur le visage massif de cet homme à la carrure impressionnante : "Suivez moi" dit-il, reprenant le chemin du 4X4, je lui emboitais le pas alors qu'un léger crachin commençait à tomber. Celui qui était resté en retrait s'interposa alors : "Veuillez me donner les clefs de votre voiture, je m'en charge" me dit-il d'un ton qui, allié à une carrure tout aussi compact(e que celle de son compère, n'admettait pas vraiment de réplique. je donnai donc mes clefs et allai jusqu'au 4X4. Je m'installai sur le siège du passager, découvrant la présence d'un troisième homme à l'intérieur. Celui qui m'avait accueilli était déjà installé au volant. C'est lui qui m'expliqua la règle du jeu : "On tient à la discrétion... C'est pour ça que je vous conduis et qu'y faut la cagoule"... "La cagoule ?" je m'étonnai. L'homme assis à l'arrière tendit alors le bras, tenant une cagoule de soie noire. "Excusez nous hein, Le Maître y tient", dit-il tout en passant déjà le fin tissus sur ma tête. "je comprends" répondis-je, plus conciliant par la parole que par l'esprit, un peu angoissé quand même par ces manières de conspirateurs. Le 4X4 démarra en douceur et commença alors un trajet dont j'ignorais totalement la destination. D'abord mené sur une route asphaltée, je sentis soudain un ralentissement, puis quelques cahots, alors que le véhicule s'engageait sur un chemin de forêt. Il fallut environ une demi-heure pour que nous parvenions à destination. les deux hommes m'aidèrent à m'extraire du 4X4 et me guidèrent avec fermeté... A l'issue de quelques mètres sur un sol spongieux, je sentis enfin une dalle de pierre sous mes pieds... le grincement d'une lourde porte et soudain le parfum de l'intérieur... La cagoule me fut ôtée et je découvris un vaste hall dallé, s'ouvrant sur plusieurs portes fermées, et au centre un grand escalier de bois menant vers des étages. Un majordome (je sus plus tard qu'il se prénommait Walter) à l'air sévère se tenait très droit face à moi et ma salua d'un bref hochement de tête : "Le Maître vous attend, veuillez me suivre"... il tourna alors les talons et se dirigea vers l'une des portes au fond du hall, je me hâtai de le suivre... Le majordome ouvrit la porte et s'effaça afin de me céder le passage. j'avançais dans une vaste pièce aux murs de pierre recouverts de riches tapisseries anciennes présentant d'étranges scènes antiques, présentant des hommes et des femmes nus, enchaînés, exhibés sur des marchés aux esclaves ou offerts aux sévices et plaisirs de Leurs Maîtres(ses) vêtus à l'Antique. De hautes colonnes flanquaient chaque côté de la grande pièce éclairée par des fenêtres placées très haut et n'offrant pas de vue sur l'extérieur... Au fond, au centre, une sorte de trône en bois ouvragé sur lequel était installé Un Homme qui me fixait; j'eus un bref instant de doute lorsque je vis... Et pourtant c'était la réalité... A Ses Pieds, nues, seulement vêtues d'un épais collier d'acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient alanguies, une fine chaîne partant de leur collier à chacune pour être fixées aux accoudoirs du trône. L'Homme tendit la main et fit un léger geste pour me signifier que je pouvais approcher, flanqué du majordome qui marchait à mes côtés. Arrivé à environ deux mètres du trône, le majordome tendit la main pour me saisir le poignet; "ici c'est bien" me glissa-t-il dans un souffle. je m'arrêtai... Quelques secondes de silence... Puis la voix de l'Homme du trône retentit, claire, distincte, élégante. Sans avoir besoin de se forcer, elle retentissait dans ce vaste espace : "Bienvenue dans mon domaine", dit-il. je bredouillai un "bonjour et merci d'avoir accepté de me recevoir" plutôt piteux, assez impressionné par l'ambiance et par cet homme qui n'hésitait pas à me recevoir avec ces deux femmes réduites à l'état d'animaux de compagnie qui se tenaient docilement à ses pieds. Le majordome avança d'un pas : "je vous présente Sir Evans, Maître de céans..., Maître, voici Philippe Damier, le journaliste qui avait sollicité une entrevue". Puis il se retira et le silence retomba... Mal à l'aise, je sortis maladroitement un carnet un stylo de ma poche "euh... je... cela ne vous dérange pas si je prends des notes ?"... Un sourire se dessinant sur ses lèvres, Sir Evans eut un geste élégant de la main "mais je vous en prie, notez mon cher, notez... Je suis sur que vous avez beaucoup à apprendre ici"... "je.. euh, merci Sir, ... merci" Sir Evans se leva alors, d'un geste il saisit les bouts des deux chaînes et s'en servit de laisse pour entraîner à sa suite les deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. Sir Evans s'approcha de moi et j'eus du mal à soutenir son regard... Sa seule présence marquait l'évidence de Sa Nature Dominante. Il commença à arpenter la pièce, menant à sa suite les deux femmes qui le suivaient pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par leur Maître. Tout en accompagnant cette promenade circulaire à travers la grande pièce, j'interrogeai Sir Evans sur sa notion de la Domination, sur ses expériences, ses principes... Il répondait avec clarté, sincérité, ponctuant ses propos d'anecdotes et de récits variés. Fréquemment il tournait son regard vers moi afin de ponctuer une phrase ou un récit; invariablement, je me sentais rougir légèrement et je baissai instinctivement les yeux. je ne parvenais pas à me maîtriser totalement, moi qui étais pourtant habitué à interroger de hauts dirigeants économiques ou politiques, je me sentais soudain "tout petit". Et malgré mes efforts pour qu'il n'en paraisse rien, je n'étais vraiment pas sur d'y parvenir... L'entretien dura près de deux heures. Et tout au long de ces échanges, les deux femmes suivirent le rythme de nos pas, sans jamais gêner nos évolutions, sans jamais se plaindre. Sir Evans devina que je m'interrogeai et précéda ma question : "Ce sont deux de mes esclaves... deux bonnes chiennes qui ont déjà été longuement dressées. Elles sont ici pour quelques semaines et agrémentent mes journées... Ainsi que les soirées que je donne parfois dans la salle à manger du château, pour quelques amis triés sur le volet". Je ne parvins qu'à hocher la tête et ne pu m'empêcher de jeter un regard sur ces deux femmes, qui se tenaient parfaitement immobiles, à quatre pattes, les reins légèrement creusés, la croupe un peu relevée... comme prêtes à être saillies à tout instant. Mon regard s'attarda sans doute plus que je ne le voulais car j'entendis soudain la voix de Sir Evans... "Manifestement elles vous intéressent... Voudriez vous en essayer une ? Je pensais vous offrir l'hospitalité pour la nuit et l'une de ces chiennes aurait pu agrémenter votre séjour, après tout l'expérimentation enrichit toujours le simple témoignage, ne croyez vous pas ?". La proposition avait été faite d'une voix mesurée, calme... même s'il me semblait y avoir peut-être décelé un zeste d'ironie. je bredouillais... "euh, c'est à dire... (je me sentis rougir !) je dois... rentrer ce soir, je ne peux pas... merci mais, non vraiment"... Sir Evans laissa un instant peser son regard sur moi et je ressentis une gêne comme je n'en avais jamais connu. "A votre guise", dit-il, "je vais vous faire raccompagner". Dehors, la bruine du matin s'était transformée en une pluie fine mais persistante... Devant le perron du château, ma voiture professionnelle était garée. Le majordome m'en tendit les clefs que je saisis. je descendis les grands escaliers extérieurs et trouvai refuge dans la Clio. je restai ainsi immobile quelques minutes, essayant de remettre un peu d'ordre dans mes idées. j'avais été extrêmement troublé par cette journée et par cette rencontre avec Sir Evans. Une foule de pensées se bousculaient dans mon esprit. je revoyais les tapisseries avec leurs scènes d'esclavage antique, les deux femmes-chiennes si excitantes au bout de la laisse de Sir Evans... excitantes, oui, indéniablement. Mais ce qui me troublait plus encore, c'est que j'avais du mal à définir ce qui m'avait le plus excité dans cette vision : était-ce de les voir ainsi traitées comme des chiennes ? était-ce plutôt leur situation ? je n'avais pas pu m'empêcher, un instant de me demander ce qu'elles ressentaient, ce que l'on ressentait dans une telle situation, à être ainsi avili, rabaissé au rang d'un animal de compagnie... nié dans la dignité d'être humain libre... et cela aussi m'excitait. Brusquement, n'y tenant plus, je démarrais dans un crissement de pneus. je voulais partir, m'éloigner... Etre loin de ce château, de son Seigneur à la séduction si ambigüe, que je trouvais perverse... je ne me l'avouais pas, mais je fuyais, sans trop savoir quoi, je fuyais... Je roulais sans doute un peu trop vite sur le chemin de forêt qui ceinturait l'enceinte du Château. je sentais mes pneus se dérober légèrement à chaque virage, mais je ne levais pas le pied? je voulais être loin. Mais soudain, un coup de volant un peu trop brusque ? je sentis la voiture échapper à mon contrôle sur le sol boueux. Elle partit en un dérapage que j'étais bien loin de contrôler et alla se ficher dans le bas-côté, heurtant au passage une souche avec laquelle le choc fut violent. La Clio immobilisée, je restais un moment immobile au volant... j'enrageais ! je voulais m'éloigner et voilà que j'étais bloqué comme un fieffé imbécile ! je m'en voulais. je sortis pour constater les dégâts, l'aile était bien endommagée, mais la direction ne semblait pas avoir souffert. je pourrai peut-être dégager la roue et repartir. Sous la pluie, je m'affairai pendant un temps infini, sans résultat. Plusieurs fois, de rage, je donnai un coup de pied dans la voiture immobile, devenue si stupidement inutile ! Je commençais à désespérer, assis sur le capot, la tête entre les mains, lorsque j'entendis un bruit de moteur lointain... Je me redressai et vis au loin le 4X4 qui m'avait pris en charge à mon arrivée. Il approchait et s'arrêta à ma hauteur. Les deux colosses qui m'avaient accompagné à l'aller sortirent et j'allai vers eux... "Vous ne pouvez pas savoir combien je suis content de vous voir", dis-je avec un sourire. Ils ne m'accordèrent même pas un regard, allèrent jusqu'à ma voiture et l'examinèrent. Echangeant un regard entendu, il hochèrent la tête d'un même mouvement : "L'est foutue, pourrez pas rentrer avec", dit l'un d'eux sans même m'accorder un regard. "Vous êtes sur ?" "Ben oui... C'est la direction qu'à morflé... Va falloir réparer, ça prend du temps", dit-il encore, ajoutant : "Z"auriez mieux fait d'accepter l'hospitalité du Maître"... j'étais furieux... "J'aurai surtout mieux fait de ne pas venir dans ce bled pourri !" criais-je en tapant du pied sur le sol boueux, ne parvenant qu'à salir un peu plus le bas de mon pantalon... "C'est pas gentil de dire ça, le Maître a été très accueillant. C'est pas une façon de le remercier", me lança un des deux colosses. Son ton lent et neutre m'énerva encore plus : "Oui ! très accueillant, avec des femmes en laisse !" j'allais continuer lorsque la brusquerie de mon mouvement me fit perdre l'équilibre et chuter dans la boue. j'allai me relever lorsque je sentis un poids soudain peser sur mes épaules... je forçais, en m'appuyant sur mes deux mains, sans succès...le poids se faisait encore plus pesant sur mes épaules... je compris que l'un des deux hommes appuyait sa chaussure sur moi, me maintenant dans la boue... Il appuyait plus encore et mon visage s'enfonçait dangereusement dans la trainée d'eau boueuse qui noyait le chemin. L'autre s'accroupit et se pencha à mon oreille : "C'est pas bien de parler comme ça du Maître"... Tandis que le pied de l'autre me maintenait au sol, le second saisit mes cheveux et écrasa mon visage dans la boue, la maintenant ainsi jusqu'à ce que cherchant ma respiration, je finisse par sentir la boue entrer dans ma bouche et mes narines. Puis il releva ma tête... "il faut s'excuser maintenant". J'avais peur... très peur... "je demande pardon (je toussai et crachai de la boue) je suis désolé, j'étais énervé... je n'aurai pas du"... Malgré ces mots, l'homme repoussa à nouveau mon visage dans la boue de longues secondes avant de me tirer par les cheveux pour me permettre de respirer : "Encore, mieux... "... je sentis le poids du pied dégager mes épaules et c'est en me tirant les cheveux que l'on me força à me relever : les deux colosses se tenaient face à moi... je n'osais ni bouger, ni parler... j'étais tétanisé de peur. "Il est pas très poli le journaliste", dit l'un à l'autre qui lui répondit : "Non, pas très... Va falloir qu'il apprenne"... "Oui, va falloir le dresser". je me tenais dos à mon véhicule accidenté. je n'avais aucune échappatoire. De toute façon, je ne savais même pas par où aller pour rejoindre le village... "écoutez, je suis désolé. j'étais énervé par l'accident, je ne voulais... " C'est une gifle qui vint m'interrompre. Puis je sentis des mains épaisses qui me saisissaient et me retournaient... Je n'osais pas avoir de réaction... paralysé par la criante, je me laissais faire, la situation me semblait irréelle... j'avais le ventre allongé sur le capot de ma voiture, un homme me tenait fermement les poignets tandis que l'autre dégrafait brutalement mon pantalon et le baissait sur mes chevilles. Puis il arracha mon boxer et je sentais la pluie fine et régulière venant s'abattre sur mon cul nu... j'étais terrorisé... je tentais de supplier, mais je ne parvenais même pas à prononcer un mot audible. Par contre, je criai lorsque je sentis quelque chose de souple mais dur venir cingler violemment mes fesses... Une fois, deux fois... cinq fois je sentis cet objet me fouetter et à chaque fois je poussai une cri déchirant. Il y eut cinq coups encore et les sanglots se mêlaient aux cris... je tremblais de tout mon corps, la douleur, le froid, l'humiliation, la peur... je ne savais plus ce qui l'emportait en moi... j'avais le sentiment de flotter, ailleurs, je ne savais plus très bien où j'en étais lorsque les deux hommes me saisirent par les bras pour m'amener jusqu'à leur 4X4. Ils me jetèrent sur la banquette arrière tandis que je sanglotais, s'installèrent à l'avant et démarrèrent... Quelques minutes plus tard, le 4X4 s'immobilisait et je fus sorti de force... Sans ménagement, les deux hommes me mirent debout et arrachèrent mes vêtements... je tentai de supplier une fois, mais une nouvelle gifle vint rougir ma joue et j'abandonnai toute velléité de résistance. je me retrouvai nu sous la pluie battante, les pieds dans la boue, mes vêtements jetés sur le sol comme un vulgaire tas de linge inutile. je me recroquevillai et tentai de cacher mon sexe en joignant les mains devant. Les deux brutes émirent un rire gras : "Voyez donc ça ! ! ça fait des manières, ça veut se cacher"... Ils éclatèrent de rire... L'un d'eux s'approcha et leva la main, au bout il tenait une sorte de badine et il l'abattit, cinglant ma cuisses... "Mets tes mains dans ton dos, salope !" Comme je n'obéissais pas assez vite, un second coup tomba... je poussai un petit cri aigu qui ne manqua pas de faire bien rire mes deux tourmenteurs. et j'obéissais, joignant mes mains dans le dos... les deux homes s'approchèrent alors et je sentis une corde venir lier mes mains, puis ils s'amusèrent à me bousculer, me poussant de l'un vers l'autre, comme une sorte de ballon, ou de poupée de chiffon... je pleurai et mes larmes se mêlaient à la pluie battante qui s'abattait sur mon corps nu et meurtri. Je remarquai soudain que nous étions à l'arrière du Château, près d'une petite porte de service. celle-ci s'ouvrir justement et je vis une femme habillée simplement sortir en s'essuyant les mains à un torchon. "Eh bien ! ? Vous voulez qu'il attrape la mort ou quoi ? Allez, assez joué, ramenez moi ça à l'intérieur !" lança-t-elle à l'adresse des deux colosses qui me poussèrent alors vers la porte... j'entrai pour la deuxième fois dans le château de Sur Evans, mais cette deuxième expérience n'avait pas vraiment le même goût que la première. Nu, entravé, la croupe meurtrie par les coups, tremblant de froid, je franchissais le seuil d'un monde nouveau que j'allais apprendre à découvrir... Les deux brutes me poussèrent à l'intérieur... Il s'agissait d'une petite pièce nue, au sol de grandes dalles de pierre, avec seulement un banc dans un coin. La femme en sortit par une porte de côté tandis que les deux colosses m'immobilisaient au centre de la pièce... l'un d'eux saisit mon sexe dans sa main et dit en riant : "Mais regarde ! La petite salope bande... Malgré le froid, je crois que c'est vraiment une salope, Le Maître avait raison"... J'avais honte de ce qu'il venait de découvrir. Malgré le froid, la honte, la peur, la situation m'excitait, je comprenais à quel point le trouble qui m'avait saisi à la vue des deux femmes nues signifiait que je les enviais. Je n'eus pas le temps d'y penser plus, car la femme revint dans la pièce avec une serviette qu'elle lança à l'un de mes deux tourmenteurs "Sèche le, Le Maître n'apprécierait pas qu'il tombe malade ! Mais qu'est-ce qui Vous a pris ?" lança-t-elle aux deux brutes, "vous savez bien que Le Maître est très attaché à la bonne santé de ses esclaves, quand même !"... L'homme se saisit de la serviette et entreprit de me sécher brutalement. Il passait la serviette chaude partout sur mon corps, s'amusant à insister sur mon sexe et mes couilles... L'autre regardait en riant. "Regardez Marie... Cette salope est toute excitée"... La femme s'approche et regarde mon intimité avec insistance : "En effet... il semble y avoir un potentiel. Mais c'est Le Maître qui en décidera. En attendant, menez le près de la cheminée". A nouveau, les deux brutes me saisirent par les bras pour m'entraîner dans une vaste pièce attenante, où un beau feu grésillait dans une immense cheminée. Une vaste table de bois épais trônait au centre de cette pièce fleurant bon les épices et les plats qui mijotent... A la table, un homme et une femme, nus, portant un collier de métal au cou s'affairaient à éplucher des monceaux de légumes. Ils ne levèrent pas les yeux de leur ouvrage, ne risquant même pas un bref regard. Je fus transporté jusqu'à proximité de l'âtre et installé à genoux. Une main impérieuse m'obligea à me tenir prosterné, visage contre le sol, reins creusés et croupe relevée... deux mains saisissant mes cuisses pour les forcer à s'ouvrir. "Tu ne bouges plus... Immobilité totale" me glissa une voix menaçante. Je n'en pouvais plus de ce traitement, des larmes coulaient silencieusement, mais je n'osai rien dire et j'obéis, je m'appliquais à rester parfaitement immobile dans cette position qui ajoutait l'inconfort à l'humiliation. Tandis que j'entendais des bruits de cuisine tout autour de moi et que les parfums culinaires venaient titiller mes papilles je tentais de m'extraire du contexte pour retrouver mes esprits. j'avais perdu toute notion de temps... je ne savais plus quelle heure il était, j'avais l'impression qu'une éternité venait de s'écouler depuis que j'étais arrivé le matin même dans ce village perdu battu par la pluie. Pourtant tout était si réel, cette position que j'avais du mal à garder, la douleur qui lançait ma croupe meurtrie par la flagellation... Comment pouvais-je en être arrivé là ? Quels mécanismes avaient donc tout bouleversé ? Je tentais de retrouver mes esprits... j'étais victime de deux tarés et Sir Evans allait tout faire rentrer dans l'ordre, il ne pouvait pas en aller autrement ! j'étais un journaliste, on n'enlève pas comme ça un journaliste en France, quand même ! Le Maître des lieux allait corriger ce malentendu, j'étais même sur qu'il allait s'excuser et passer un sacré savon à ses sbires débiles. La chaleur émanant de la cheminée et ces pensées me rassuraient un peu, cette situation absurde ne pouvait pas durer, c'était une évidence ! Pourtant le temps passait et j'avais de plus en plus de mal à garder ma posture. je sentais que je n'allais pas tarder à vaciller, que je risquais de perdre l'équilibre et en attendant que les choses ne rentrent dans l'ordre, je ne tenais vraiment pas à risquer une nouvelle correction. Heureusement, je sentis une présence tout près de moi. Et je vis des chaussures féminines assez grossières à hauteur de mon visage. "Debout !" dit la voix autoritaire de la femme qui m'avait permis d'être réchauffé. j'obéis, me redressant maladroitement en raison de mes poignets toujours entravés dans mon dos. Je me tenais maintenant debout et je fixais le sol, tête baissée, n'osant pas regarder en face cette Femme qui semblait jouir ici d'une certaine autorité. Elle m'avait protégé des deux brutes et je tenais à conserver de sa part cette attitude plutôt positive... "Le Maître est occupé pour le moment, il m'a dit de m'occuper de toi" me dit-elle en me bousculant un peu... je compris que je devais me déplacer. Elle me saisit alors le bras d'une poigne étonnamment ferme et me guida jusqu'à la grande table, me forçant à m'asseoir sur une chaise en bois à l'extrémité opposée à celle où se tenaient l'homme et la femme nus, toujours en train d'oeuvrer à la préparation de quelques mets destinés sans doute à la table de Sir Evans. La Femme autoritaire se tenait à côté de moi et je n'osais pas la regarder. Elle saisit alors mon menton et tourna mon visage vers Elle : "Je suis Marie, la cuisinière. Pour toi c'est Madame Marie ! Quand tu seras autorisé à t'exprimer. Compris ?" "Oui" disais-je en hochant la tête... juste quand la gifle claqua. je compris immédiatement quelle faute j'avais commise. j'avais assez enquêté dans le milieu S/m pour saisir et je me rattrapai au plus vite : "Oui Madame Marie", dis-je les yeux baissés. "C'est bien, tu comprends plutot vite, c'est un avantage" dit-elle tout en s'éloignant. Elle revint quelques secondes plus tard avec un bol qu'elle posa sur la table devant moi. Il contenait une sorte de bouillon clair dans lequel flottaient quelques bouts de légume, des carrés de pain et quelques petits bouts de gras de viande. Je restais interdit face à ce bol... "Mange, c'st chaud, ça te fera du bien" lança la voix impérieuse de la cuisinière. Je me tournais vers elle l'air interrogatif... "Quoi ?" dit-elle. Me supposant autorisé à parler j'osai une courte phrase : "Mais j'ai les mains attachées Madame Marie"... ce qui lui tira un fort mais bref éclat de rire. "Et alors ? as-t-on vu un chien manger avec les doigts ? j'aurai du te servir par terre, mais comme tu es nouveau je te fais une faveur. Alors mange en silence, sinon je devrai sévir". Le ton était si autoritaire que je compris qu'il valait mieux obéir en silence. Je penchai mon visage vers le bol et je commençait à laper le bouillon et à saisir tant bien que mal les bouts de légumes et de pain entre mes dents. Le bout de mon nez trempait dans le bouillon, mon visage s'en maculait. j'essayai de garder une relative dignité mais je n'étais pas dupe, j'étais ridicule et je faisais en mangeant le bruit d'un chien qui dévore sa pitance. Peu importait, le bouillon chaud me réchauffait le corps et je me sentais mieux. je ressentis même de la reconnaissance pour Celle qui daignait ainsi me nourrir, quelles que soient les conditions dégradantes qu'Elle m'imposait. je finis mon bol sans rien laisser, espérant que Madame Marie apprécierait que j'ai fait "honneur" à sa pitance. Ce repas m'avait redonné un peu de courage, mais pas assez cependant pour oser relever le nez de mon bol... je sentais la présence de Madame Marie à proximité et je préférais rester discret car je ne doutais pas que sa main pouvait s'abattre à tout instant si mon attitude ne Lui semblait pas conforme à l'attitude exigée d'une personne dans ma situation... Ma situation, je ne cessais d'y penser, de tenter de l'analyser. j'étais persuadé que les deux brutes avaient outrepassé les ordres de Leur Maître. Le Sir Evans que j'avais rencontré quelques heures auparavant n'aurait pas manqué de s'enquérir de ce qu'il était advenu de moi. Forcément Il ignorait tout de ma situation et ne tarderait pas à remettre les choses en place. je rêvais à ma "revanche" à venir lorsqu'une tape sur la nuque me rappela à ma réalité du moment. "Debout !" m'intima Madame Marie d'une voix puissante. j'obéissais sans tarder et me tenais à ses côtés, debout et aussi nu qu'au jour de ma naissance, la tête basse, le regard rivé vers le sol dans une attitude aussi humble que je pensais pouvoir le faire. Elle vint alors devant moi et attacha une épaisse corde autour de mon cou, suffisamment serrée pour que je ressente sa présence, mais sans pour autant gêner ma respiration. Elle tenait l'extrémité de la corde en main et tira d'un petit coup sec dessus, je suivis le mouvement qu'Elle avait imprimé en faisant un pas en avant... Puis m'arrêtai. Elle recommença ce geste à deux reprises et à chaque fois je tentais au mieux d'épouser le mouvement qu'Elle avait initié. Sans oser lever les yeux, je parvins cependant à percevoir un sourire. Apparemment, Madame Marie était satisfaite de mon attitude, ce qui je l'avoue me rassurait grandement. Elle tira alors plus vivement sur la corde, m'obligeant à un brusque pas en avant et cette fois elle ne cessa pas d'avancer. le cou enserré dans la corde, je suivis le mouvement, réglant mon pas sur celui de La Dame afin de la suivre sans à-coups. Nous sortîmes de la cuisine pour suivre un long couloir assez sombre. Quelques rares appliques distillaient un éclairage tremblotant dans cette longue allée dont les larges dalles de pierre étaient recouvertes d'un long tapis de velours rouge. Je n'osais pas lever la tête et ne pouvais discerner précisément quels thèmes illustraient les riches tapisseries qui pendaient aux murs, de part et d'autre. Au bout du couloir, Celle qui me menait à la longe semblant prendre un tournant et je suivis, m'engageant à sa suite dans un étroit escalier en colimaçon en pierre nue, froide à mes pieds. L'escalier tournait en s'enfonçant profondément sous le Château. Malgré l'humidité ambiante, les marches étaient parfaitement entretenues, ni mousse, ni poussière sur ces pierres ancestrales que je descendais vers un destin dont j'ignorais tout... En bas des escaliers, un petit palier donnait sur une porte basse, fermée. Madame Marie s'arrêta au centre de ce petit espace et je fis de même. Elle s'approcha alors de moi et me saisit le menton pour me forcer à relever la tête. L'espace d'un bref instant je croisai son regard, des yeux noirs durs mais malicieux... je fus saisi d'un éclair de crainte, ce regard sur moi... je sentis qu'Elle était capable de tout, qu'Elle pourrait se montrer presque maternelle comme lorsqu'Elle m'avait protégé des brutes, mais qu'Elle pourrait instantanément se métamorphoser et me faire cruellement souffrir... En maintenant toujours mon menton serré entre Ses doigts, elle me força à regarder les murs autour du palier : à des crochets pendaient des ustensiles tels que fouets, cravaches, liens divers, mors mêlant cuir et métal... Dans des râteliers reposaient d'autres objets, barres de bois et de fer ou d'autres dont j'ignorais l'usage et jusqu'à aujourd'hui l'existence même. Madame Marie ne dit pas un mot, elle m'abandonna dans ma contemplation, comme prenant plaisir à sentir l'angoisse qui me nouait l'estomac. Elle approcha d'un mur et y saisit un simple foulard de soie noire, puis revint vers moi et banda mes yeux. "Tu n'as pas à voir ce qui est derrière cette porte, pour le moment tu n'es qu'une sorte... d'invité (elle rit) par la suite, peut-être seras tu autorisé à ouvrir les yeux" et elle repartit dans un éclat de rire. Les yeux bandés, j'entendis le grincement de la porte de bois que l'on ouvrait, puis une impulsion sur la corde qui se tendit, me contraignant à suivre à nouveau le mouvement. Je marchais en me réglant sur le rythme imposé par La Cuisinière, marchant sur un sol moins régulier qu'auparavant et ressentant comme une sorte d'oppression. Manifestement, le couloir quelque peu sinueux que nous suivions était beaucoup plus étroit. Nous avons ainsi marché une poignée de minutes, avant de nous immobiliser à nouveau. Encore le grincement caractéristique d'une porte aux gonds rouillés, le frottement du bois qui frôle un sol irrégulier... et de nouveau la corde qui tire sur mon cou et me force à avancer... Une odeur de moisi, une ambiance chaude mais humide... Privé de regard, je tentai, sans grand succès, à utiliser mes autres sens pour situer où je me trouvais. "A genoux !", à nouveau la voix impérieuse de Madame Marie et une obéissance immédiate, déjà presque un réflexe, comme une évidence qui s'insinuait dans mon esprit : un ordre, un acte immédiat, une obéissance de l'instant, pour éviter le châtiment. j'avais du mal à accepter cette soumission presque instinctive dont je faisais preuve... j'avais l'impression d'être un autre. Tandis que ces pensées occupaient mon esprit, un bruit de métal me fit sursauter. Pas le temps de réfléchir, déjà on défaisait la corde de mon cou, pour immédiatement la remplacer par ce qui ne pouvait être qu'un collier de métal. Un claquement sec et je pus sentir le poids de ce collier pesant sur mes épaules. je restais là, le collier refermé autour de mon cou, dont je devinais à chaque mouvement qu'une chaîne y était fixée, sans doute me reliant au mur de cette pièce où j'étais désormais captif. Ce n'est qu'alors que je sentis de la paille sous mes genoux... j'avais été tellement obsédé par mon environnement que je ne l'avais même pas sentie en marchant dessus. je me trouvais donc enchaîné, nu sur un sol couvert de paille, les yeux bandés, dans une sorte de cachot plongé dans les entrailles d'un Château isolé du reste du monde. Soudain, les quelques bouffées d'espoir qui m'avaient permis de tenir jusque là m'abandonnèrent totalement. j'étais désespéré, je me sentais perdu. Perdu pour le monde dans lequel j'évoluais habituellement, perdu pour ceux que je connaissais, perdu pour les autres et perdu pour moi-même... je ne savais rien de ce qui m'attendait, ni rien de ce que serait mon avenir, si j'en avais un. je commençais à pleurer doucement... Combien de temps ? Combien de temps suis-je resté ainsi dans le noir de ce bandeau posé sur mes yeux ? je m'étais abandonné à une espèce de langueur. Mon corps nu et meurtri gisait sur la paille qui garnissait le sol de pierre de ce cachot où j'étais désormais captif. Un épais collier de métal ceignait mon cou, relié au mur par une lourde chaîne... mais je ne le sentais quasiment pas, ou plutôt je m'étais résigné à ressentir sa présence. Voilà, j'étais résigné. A l'enthousiasme qui m'avait habité quelques heures plus tôt avait succédé une sorte de distanciation. Ce n'était pas moi qui étais avili par cette humiliante captivité. Cela ne pouvait pas être moi. Non ! Pas moi, pas le journaliste au caractère indépendant, pas celui qui savait toujours poser la question qui dérange. Pas cet homme irrespectueux et ... libre ! Ce n'était plus moi celui qui gisait ainsi, qui avait subi presque sans résistance de telles humiliations... celui avait avait lapé sa pitance comme un chien, qui avait été battu, giflé, humilié, traité comme moins que rien. Et surtout... surtout, cela ne pouvait pas être moi celui qui à chacun de ces instants avait, au-delà de la douleur, de l'humiliation, celui qui avait... éprouvé aussi une certaine forme d'excitation. Oh ! Quelle honte ! je n'avais pas pu totalement étouffer ce ressenti là. Les deux brutes l'avaient bien vu, qui avaient montré à Madame Martine mon sexe en érection tandis qu'ils s'amusaient à m'humilier... Et le regard de La Cuisinière avait été sans ambigüité. j'étais bien conscient de cela, aussi. Même si je me refusais à l'admettre et surtout si je ne comprenais pas ce que j'avais alors laissé s'exprimer de moi... Cette "chose" qui s'était échappée des entrailles de mon être, du plus profond et du plus primaire de ma nature... Le bruit du frottement du bois sur les pavés me tira de ces méditations. On ouvrait la porte de mon cachot... je tentais de me redresser tant bien que mal, quelque peu engourdi par la torpeur à laquelle je m'étais abandonné. Mais deux mains fermes vinrent suppléer à ma faiblesse, me forçant à me redresser et à me mettre à genoux. d'un coup de pied, celui qui venait de m'installer me força aussi à écarter les genoux, rendant ainsi mes parties intimes aussi vulnérables qu'accessibles. Une bouffée de honte me gagna alors, lorsque je sentis que mon sexe se tendait brusquement... Impossible de me contrôler, cette nouvelle humiliation suscitait en moi ce réflexe... Etre humilié, avili, me faisait bander, je n'y pouvais rien, je ne contrôlais pas cette part de moi qui avait toujours été dissimulée et qui soudain se révélait au grand jour. j'en ressentais la pire des humiliations... Manifestement, je n'étais pas le seul centré sur ce sujet... " Je constate que tu n'es pas indifférent à ce que tu subis", dit soudain une voix posée, rompant le silence. Sir Evans ! J'aurai pu reconnaître cette voix entre mille. Elle m'avait charmé lors de notre entretien, elle me glaçait maintenant. Toujours aussi élégante, mais dépourvue de la douce sympathie qui avait bercé l'interview. Maintenant Elle était plus distante, plus incisive... Sir Evans, puisque c'était bien Lui, reprit : "J'ai su tes déboires... Tu aurais dû accepter mon hospitalité je crois. Puisque celle que je t'accorde maintenant est sans doute bien moins... confortable. Mais après tout, tu m'apportes la preuve de ce que j'avais pressenti en te cotoyant ce matin"... Un silence... Je n'osais rien dire, je n'osais pas bouger... j'attendais immobile et soumis. "Donc ! (reprit Sir Evans) Te voici donc mon... hôte. J'ai pensé dès que je t'ai vu que tu avais une âme de chienne. et je ne me trompe jamais à ce propos. Jamais ! ... Enlevez lui son bandeau !"... Quelqu'un placé derrière moi retira le bandeau qui entourait mes yeux... je découvris alors Sir Evans debout, à deux mètres de moi, flanqué à Son côté de l'une des brutes qui m'avaient "capturé" sur la route. je sentais, derrière moi la présence d'un autre... Sir Evans me regardait et, immédiatement, sans même y penser je baissais les yeux. "Je m'intéresse aux sujets tels que toi. j'aime assez les dresser, révéler leur vraie nature et en user, en abuser au gré de mes Désirs, leur faire découvrir tout ce qui se cache en eux et les aider à assumer pleinement ce qu'ils sont... C'est cela que je te propose (il s'approchait de moi, se penchant vers mon visage)... petite pute !", un crachat vitn s'écraser sur mon visage... "As tu quelque chose à dire ? C'est l'occasion ou jamais", poursuivit Sir Evans. j'avalais ma salive, que pouvais-je dire ? je voulais pouvoir partir, rentrer chez moi, oublier tout cela, enfin, il me semblait que je voulais cela, mais les mots ne venaient pas... "je... euh... je veux rentrer. je ne dirai rien de ce qui s'est passé... on oublie tout ! d'accord ? je... je voudrai..." je n'avais plis de mots, pas les bons en tout cas... Sir Evans éclata de rire ! "C'est bien ce que je pensais. Tu n'as rien à dire. Tu es fait pour obéir en silence, pas pour t'exprimer... Alors je vais être clair : je vais compter jusqu'à 10 ... A dix tu devras prendre une décision : ou tu dis je veux partir et je te rends ta liberté... Ou tu choisis d'assumer ce que tu es, de vivre ta réalité. Et dès lors tu abdiques toute volonté et tu t'en remets à moi. Attention, je compte..." Un... Deux... Trois... les chiffres s'égrainaient peu à peu, mon esprit fonctionnait à toute allure. Je devais partir, bien sur je devais partir ! Six... Sept... Huit... Partir, quitter cet univers irréel et revenir vers mon quotidien, vers mes habitudes, vers... vers quoi, en fait ? Neuf... Dix... "Alors ? Qu'as tu à dire ?", Sir Evans avait terminé son décompte et je devais m'exprimer. Je savais que je devais partir, retrouver ma vie d'avant. je le savais... je le savais... Pourtant je ne dis rien... pas une phrase, pas un mot... Rien ! je ne pus, ni ne sus prononcer les mots qi m'auraient libéré. Quelque chose en moi avait pris le dessus. Quelque chose venu du plus profond de mon âme, du plus profond de mon esprit... je ne dis rien et Sir Evans éclata encore de rire... Alors qu'il sortait de mon cachot, son rire raisonnait encore entre les vieilles pierres constituant les limites de mon espace... je venais d'abandonner mon libre arbitre et de me livrer totalement à Un Homme dont j'ignorais presque tout... et sa dernière phrase retentissait encore à mes oreilles, tandis que je restais seul dans mon cachot. La voix de Sir Evans, ironique, disant : "Je le savais"... Je restai ainsi nu et à genoux, enchaîné au mur de mon cachot dont je découvrais enfin l'espace dans lequel j'avais été confiné... Il s'agissait bien d'une sorte de cachot dont trois murs étaient maçonnés et le quatrième directement taillé dans la roche. C'est à ce dernier qu'une épaisse chaîne avait été fixée à un gros anneau d'acier. Cette même lourde chaîne dont les anneaux épais rejoignaient le collier fermé autour de mon cou. Je demeurai immobile, conscient que je venais sans doute de sceller mon destin. Quelque chose au plus profond de moi m'avait empêché de hurler, d'insulter celui qui m'avait réduit à cet état de captif et qui prétendait que je le désirais... Pourquoi ? Pourquoi n'avais-je pas dit que je voulais partir ? j'avais accepté, oui accepté de rester là. Sir Evans m'avait offert le choix et j'avais été incapable de prononcer un seul mot. je m'étais résigné... Combien de temps allais-je rester dans ce réduit de quelques mètres carrés ? Qu'est-ce qui m'attendait ? Des dizaines de questions se bousculaient dans ma tête. Lorsque soudain, le verrou de la porte se mit à jouer, on ouvrait... Deux des hommes de main de Sir Evans entrèrent. l'un de mes tourmenteurs du matin et le troisième homme, que j'avais peu vu. Ils s'approchèrent sans mot dire. je baissais la tête et fixais le sol... j'avais peur... "Une belle petite salope" dit la voix de l'un d'eux... "Tu aurais vu, rien que de la foutre à poil et elle avait déjà la nouille toute raide ! je suis sur qu'elle meurt d'envie d'y passer" et ils se mirent à rire tandis que je restais immobile, craintif, n'osant pas relever la tête... C'est une poignée de main ferme qui m'y obligea. Elle saisit mes cheveux et tira dessus sans ménagement, m'obligeant à lever les yeux et à regarder les deux hommes qui étaient entrés. Grands, larges d'épaules, le crâne presque rasé... Ils portaient tous les deux des débardeurs noirs, des pantalons de treillis et de grosses rangers noires... celui qui me tenait par les cheveux affirma encore sa prise, me forçant à me courber jusqu'au sol... ou plutôt jusqu'à ses rangers... "Lèche, chienne !" lança-t-il... je n'eus pas à réfléchir, je vivais une évidence. mon visage tout contre la chaussure, l'odeur âcre du cuir emplissant mes narines, je me mis en devoir de lécher avec application la ranger boueuse. je m'appliquais à ne négliger aucun point de la chaussure, usant parfois du bout des dents pour décrocher un petit bout de terre mieux accroché que les autres. Le goût de la boue emplissait ma bouche, commençait à produire une sorte de bouillie terreuse que je devais avaler pour ne pas risquer de la recracher sur le cuir qui peu à peu retrouvait son lustre par la grâce de ma salive servile. Un léger geste me fit comprendre qu'il fallait passer à la seconde chaussure et je repris humblement mon léchage, avec application. le goût de terre m'écoeurait mais je m'appliquais à bien nettoyer la première paire, avant comme je m'en doutais déjà, de devoir exécuter la même opération avec la paire de l'autre individu. Lorsque j'eus terminé et que les deux brutes furent satisfaites du cuir brillant de leurs rangers, je sentis une nouvelle pression sur mes cheveux pour m'obliger à me relever... j'avais les articulations douloureuses, après des heures passées à genoux... Mais d'un seul bras, l'homme me maintenait debout, me retenant seulement par les cheveux, rendant mon cuir chevelu de plus en plus douloureux. Un peu titubant, je parvins tout de même à me tenir à peu près droit, même si la chaîne entravait fortement mon déplacement. D'un geste brusque, l'homme me saisit aux épaules et me plaqua contre le mur, le visage écrasé contre la pierre humide. Il m'obligea à me tenir ainsi, penché en avant, reins creusés, la croupe tendue... Je sentais que les deux hommes m'observaient et je n'osais bouger. "Regarde cette salope !" lança l'un... à quoi l'autre répondit en riant : "Oui, Le Maître avait encore raison, il avait bien senti son tempérament. Bien dressée on va pouvoir en tirer le meilleur"... L'un d'eux s'avança et saisit la chair de mon cul à pleine main... Il pétrit ainsi ma croupe, avant de relever la main et de l'abattre violemment sur ma peau. Le coup claqua bruyamment et je ne pus retenir un tressaillement... "Tu ne bouges pas !" dit-il durement, avant de continuer à me claquer les fesses. j'avais subi quelques fessées dans mon enfance, mais là je découvrais ce qu'est une "vraie" fessée... A chaque coup qui s'abattait, je sentais ma peau devenir plus sensible encore, je savais qu'elle était en train de rougir, que la main qui s'abattait implacablement, régulièrement, presque machinalement, allait continuer. Que ce que je ressentais déjà comme une douleur n'était rien... Et je subissais les coups, un à un, le claquement sec et régulier envahissant mon esprit, chassant toute autre pensée. Ma croupe n'était plus que brûlure. Je n'osais imaginer à quel point elle devait être marquée. je ne savais plus combien de coups étaient déjà tombés. Combien allaient continuer de pleuvoir... Des larmes coulaient sur mes joues, je sanglotais doucement, faisant mon possible pour rester silencieux, de peur maintenant que l'expression de ma douleur ne me vaille une multiplication des coups. La grosse main calleuse s'abattait, et s'abattait encore, je sentais mes cuisses et mes jambes qui tremblaient. La transpiration qui s'écoulait le long de mon échine, car malgré la fraîcheur relative des lieux, mon corps était brûlant, le feu de ma croupe se répandant peu à peu partout en moi. Je ne sais combien de temps dura mon calvaire, mais lorsque la main cessa, j'avais perdu toute force et je m'écroulais sur le sol, sous les rires gras et moqueurs de mes deux tourmenteurs... "Déjà ? Quelle mauviette ! (ils riaient) Bah, un bon dressage et tu apprendras à supporter bien plus que ces caresses. Là je t'ai à peine effleuré, mais bientôt ton dressage commencera"... Je restais prostré sur le sol, n'osant ni bouger, ni parler, à peine respirer... je ne vis pas les deux hommes sortir, je ne sus qu'ils étaient partis qu'au bruit de la porte qui se refermait sur mon désespoir. Et je restais seul, la croupe en feu... Le temps avait passé. Impossible de dire combien. Une heure, deux... ? Plus , ma seule façon de savoir que du temps s'était écoulé, c'est que la brûlure de la correction avait délaissé ma croupe. je m'étais à moitié assoupi, toujours enchaîné au mur de mon cachot. je préférais cela, d'ailleurs, car j'ignorais ce qui m'attendait et je préférais ne pas le savoir. je ne voulais plus rien savoir, seulement que l'on m'oublie et ne plus avoir à supporter ces humiliations si douloureuses... Mais bien sur, cela ne pouvait pas durer. Et je fus bien vite rappelé à la réalité de ma situation. La porte de la pièce où j'étais tenu prisonnier grinça à nouveau et les deux brutes approchèrent à nouveau. je ne pus retenir le tremblement qui me saisit alors. j'avais peur. Peur d'être à nouveau battu ou de subir de nouvelles humiliations et souffrances... Mais rien de tout cela. Avec cette poigne puissante qui les caractérisait, ils me soulevèrent du sol pour me remettre debout. Et tandis que le premier nouait un ruban de soie noire sur mes yeux, l'autre décrochait la chaîne du lourd collier de métal qui enserrait mon cou. Du plat de la main, celui qui se tenait derrière moi me poussa en avant et c'est aveuglé mais encadré par les deux colosses que je quittais ma prison. Dans l'autre sens, je sentis sous mes pieds le sol de l'étroit couloir, puis la pierre du palier par lequel Madame Marie m'avait guidé lors de mon arrivée. Lentement, trébuchant parfois et mes orteils heurtant douloureusement la pierre, je gravis cette fois l'escalier en colimaçon pour remonter vers le château. Mes deux accompagnateurs ne faisaient rien pour m'aider. Au contraire, ils ne disaient pas un mot, mais laissaient échapper des rires gras à chacun de mes faux pas et lorsque je cognait durement dans la pierre... Ils ne me torturaient certes pas; mais la situation me rappelait à chaque pas la situation avilissante dans laquelle je me trouvais. Prisonnier et abandonné de tous. Nu, humilié, tourmenté... et dans l'ignorance totale de ce qui m'attendait encore. Ma destinée ne m'appartenait plus. je n'étais plus rien, sinon la victime désignée des décisions de Celui qui commandait à ces gens qui me traitaient comme si je n'étais rien. Et d'ailleurs, c'était bien ainsi que je percevais ma situation : je n'étais plus rien... l'escalier se terminait, nous étions de retour, supposais-je dans le grand couloir du château. Une main se saisit de mon épaule, et- je compris tout de suite que je devais m'immobiliser. Les deux hommes se placèrent chacun d'un côté, ils me saisirent aux épaules et me forcèrent à avancer. Ils me portaient plus que je ne marchais. Et cette façon de ne même pas pouvoir me déplacer par moi même ne fit qu'accentuer mon sentiment d'humiliation et d'insignifiance. On ne me laissait même pas marcher par moi même ! Je fus ainsi "porté" pendant plusieurs minutes. Soudain nous stoppâmes. je sentis du cuir sous ma poitrine et on tira mes bras en croix... je compris de quoi il s'agissait : on m'installait sur une espèce ce cheval d'arçon. ma poitrine reposait sur la large assise en cuir, tandis que mes poignets étaient fermement liés aux arceaux de bois de chaque côté. j'étais renversé sur le ventre, bras en croix, mes pieds ne reposant au sol que sur la pointe des orteils. Dans cette position, ma croupe saillait et j'étais contraint de garder les reins cambrés. je craignais une nouvelle correction lorsque j'entendis des pas qui se rapprochaient. Une présence soudaine, tout près de moi, que mes yeux bandés m'empêchaient d'identifier. ce fut Sa Voix qui retentit soudain, Sir Evans : "On me dit que tu ne résistes guère... C'est une bonne chose, de toute façon tu es totalement en Mon Pouvoir. Autant t'y résigner et comprendre que plus forte sera ton acceptation, plus facile sera ton formatage. Tu n'en es qu'au début, mais je place beaucoup d'espoirs en toi. Bien dressé, tu seras un bon esclave et tu sauras tenir ta place. Mais pour cela, il y a encore beaucoup de travail, alors tâche d'être raisonnable..." Sir Evans venait d'énoncer ce discours d'une voix calme et régulière. Sans forcer sur aucun mot. Ceux-ci pourtant m'avaient transpercé, car ils ne me laissaient aucune alternative. Manifestement il n'y avait plus de répartie possible, mon silence lorsque j'avais eu le choix avait définitivement scellé mon destin. Mais quel destin ? Je restais muet, n'ayant pas la moindre idée sur l'attitude que je devais observer. De toute façon j'étais immobilisé, impuissant... qu'aurais-je pu faire ? Je sentis une main se poser sur ma croupe offerte... un doigt glisser le long de ma raie... Et soudain, à nouveau, Sa Voix : "Saches qu'ici, un esclave mâle ou femelle se doit d'être une bonne putain ! Les tâches ménagères sont l'apanage naturel des esclaves, mais pour être une vraie catin servile, il faut être éduqué, apprendre pas à pas. Apprendre à abdiquer toute forme de pudeur ou de dignité. Apprendre que ton corps ne sera qu'un instrument dont on pourra disposer, user et abuser sans aucun égard pour l'objet que tu seras devenu (une claque fortement appuyée sur ma fesse vint ponctuer le discours).. Compris ?" Comme je restais silencieux, une nouvelle claque retentit et je sentis ma croupe chauffer... "Compris ?" et avant même que je n'ouvre la bouche, une troisième claque ! "oui ... oui Maître"... dis-je dans un souffle... tandis que déjà mes fesses sentaient la brûlure d'une quatrième claque... "Plus fort... et plus convaincant" dit la Voix Du Maître, tandis que la cinquième et la sixième claque chauffaient mon cul... "Oui Maître" énonçais-je avec volonté et en harmonie avec le septième coup... le huitième, le neuvième et le dixième précédèrent une nouvelle phrase de Sir Evans : "Dis : je suis la putain de Sir Evans !" Ce n'est qu'après le douzième coup claquant sur mon cul que je pus articuler cet aveu à haute voix : "je suis la putain de Sir Evans !". Je dus répéter encore trois fois, d'une voix forte mais posée cette reconnaissance de mon état... Et il fallut en arriver au vingtième claquement pour que Le Maître juge mon ton satisfaisant... Dix fois encore il m'appliqua ces claques sèches et fermes qui me chauffaient la croupe. Mais je n'avais plus rien à dire, seulement à subir. Après trente coups, la fessée prit fin. je tremblais un peu, mais je demeurai aussi silencieux et immobile que je le pouvais. "Bien, désormais tu sais ce que tu es... à quoi tu vas être destiné et pour quoi tu vas être dressé"... un silence... je craignais à chaque seconde qu'un nouveau coup s'abatte sur mon cul en feu, mais il n'en fut rien, Sir Evans poursuivit : "Mais, il y a ce que l'on dit... et les faits. Puisque tu as reconnu que tu es désormais ma putain, il est nécessaire que je te voie à l'oeuvre. Dis moi..." il y eut un nouveau silence... "as tu déjà offert ton cul ?" ... je gardais un court instant le silence... Mais une claque sèche et sans appel me rappela à mon devoir, au plus vite, mais d'une voix retenue, je répondis : "Non Maître, mon cul est vierge Maître", dis-je dans un sanglot... "Eh bien, nous allons y remédier" dit alors Sir Evans, juste avant qu'un claquement de doigts ne retentisse dans la pièce dont j'ignorais tout... je ne pus m'empêcher de m'agiter... Dans une ridicule tentative pour échapper à ce qui était bien sur inéluctable. Deux mains vinrent peser sur mes épaules, m'immobilisant plus encore que les liens qui enserraient mes poignets et m'auraient de toute façon maintenu dans la position qui m'offrait totalement aux désirs de qui le voudrait. Tandis que j'étais immobilisé, je sentis une sorte de crème couler dans ma raie, une main qui l'étalait autour de mon anus et brusquement, un gros doigt qui vint se fourrer dans mon petit trou que l'on forçait pour la première fois... le doigt effectua quelques allers et retour... Il ressortit, puis entra à nouveau pour de nouveaux va-et-viens... je gémissais doucement, mais n'osais pas plus tandis que le doigt poursuivait son exploration. Et soudain le doigt ne fut plus seul. ce sont deux doigts qui forçaient mon fondement, qui s'immisçaient en moi. deux doigts qui jouaient avec mon petit trou, qui en écartaient les chairs, qui en faisaient peu à peu un trou accessible à de plus larges perspectives... Je sentis un nouveau flot de gel froid coulant dans ma raie et je ne pus retenir un cri lorsque "quelque chose" de plus volumineux vint s'enfoncer dans mon cul. Mon cri suscita quelques rires, mais surtout un coup de rein plus appuyé encore qui fit s'enfoncer la queue au plus profond de moi... Les coups de boutoir de celui qui m'enculait étaient de plus en plus rapides, de plus en plus profonds... je gémissais sans cesse et poussais de petits cris qui ne manquaient pas d'amuser ceux qui se jouaient de moi. Lorsque le premier se retira, je n'eus même pas le temps de ressentir une once de soulagement, puisque déjà, une autre queue vint remplacer la précédente. Bien que mon trou se soit légèrement élargi, je sentis bien que celui qui venait était plus large et plus long encore que le précédent... Il se mit à me limer brutalement, ses coups de reins me labouraient le cul, enfonçaient sa queue bien loin dans mon cul... Et il prenait un malin plaisir à demeurer ainsi enfoncé bien à fond plusieurs secondes, avant de se retirer partiellement et de s'enfoncer à nouveau en poussant un râle qui semblait donner plus de force encore à son coup de bitte qui me défonçait le cul. Il reste ainsi bien plus longtemps à me limer... et bien que brouillé par la douloureuse expérience, mon esprit gardait assez de lucidité pour savoir que rien n'était fini. J'étais sur en effet que ceux qui me baisaient étaient les brutes qui m'avaient kidnappé... or, tandis que l'un d'eux, le second, prenait mon cul à grands coups de bitte... je me souvenais qu'ils étaient trois... Et en effet, le second venait à peine de se retirer, qu'il y eut une brève giclée de gel et que je sentis un chibre énorme qui forçait mon cul. Bien que bien ouvert par ses prédécesseurs, celui-ci dut insister. le gland forçait contre les parois de mon anus et il s'introduisit en me forçant violemment et en me soutirant un cri strident ! Tout au long de ce troisième enculage, je ne cessais de gémir, de pleurer et de pousser des cris de douleur. Plus large, plus long, plus gros, plus violent aussi, car je sentais qu'il ne m'enculait pas seulement pour ouvrir plus encore mon cul, mais pour tirer de moi de nouveaux cris. Chaque va et vient était l'occasion de m'ouvrir un peu plus, de m'avilir un peu plus, de m'anéantir en me montrant que je n'étais qu'un trou qui devrait apprendre à être pénétré et pénétré encore et encore et encore... Et en plus, cela dura, dura... ce fut interminable et mon anus devenait à chaque instant un trou un peu plus ouvert, un peu plus large, un peu plus accessible pour tous ceux qui en voudraient... à la fin, je relâchais totalement mon corps. mes muscles ne m'obéissaient plus. je n'étais qu'un pantin dans lequel l'énorme sexe allait et venait méthodiquement. et chaque aller et retour était une façon de me dire qu'il en serait toujours ainsi et que je devrai m'y faire. Non seulement l'accepter, il était si facile de m'y contraindre, mais assimiler que c'était désormais ce que j'étais : un trou, un objet, une putain... Lorsqu'enfin le troisième se retira... j'avais abdiqué. Tout abdiqué. Et lorsque à nouveau retentit la voix de Sir Evans il n'y avait plus aucun doute. "Qui es tu ?" demanda la voix calme et posée du Maître. "je suis la putain de Sir Evans" répondis-je tout en cherchant mon souffle... (A suivre ...) ------------------------------------------ Comme déjà dit,je ne veux pas polluer le site de mes histoires, donc après avoir posté sur un premier article un épisode de ma Saga des esclaves, je poste juste ici, un épisode des Origines de la Saga et ce sera tout...Bien amicalement Année 1784 -(1) - Le carrosse & L'Invité fugitif - Printemps 1784. Un carrosse tiré par quatre puissants chevaux brinquebale sur la route cahoteuse et poussiéreuse. Il laisse loin derrière lui le sinistre donjon de Vincennes réputé pour ses prisons sordides... Les geôliers, qui se montraient cependant fort déférents à l'égard de "Monsieur le 6" (du nom de sa cellule), ainsi qu'il est d'usage dans les forteresses royales... Les lettres de cachet, qui ont déjà trop souvent interrompu ses tumultueuses expériences... Il devait être transféré... Pour plus de sécurité, lui avait-on dit. Certes ! Mais ces geôliers si attentionnés l'étaient aussi aux pièces d'or sonnantes et trébuchantes. Il avait suffi d'une bourse suffisamment bedonnantes pour les convaincre de fermer les yeux lorsque s'était effectué un discret échange. Il avait quitté le donjon, franchissant d'un pas toujours un peu plus léger les dix-neuf portes et grilles métalliques qui le séparaient de l'air vif de la liberté, tandis qu'un pauvre bougre quelque peu simplet faisait le chemin en sens inverse. Ainsi il y aurait bien un prisonnier, le lendemain matin, dans la cellule depuis laquelle il serait transféré vers l'immonde prison de La Bastille. Maintenant, il dévorait les lieux... ou plutôt se laisse porter par une folle chevauchée. Madame de Montreuil a su parfaitement élaborer son évasion, il est vrai qu'elle n'a plus qu'un espoir en tête, se débarrasser de lui, aussi définitivement qu'il est possible, sans bien entendu, se salir les mains. Tout ce qu'elle désire, c'est qu'il s'éloigne, disparaisse... sorte de sa vie et de celle de sa fille. Certes, il la déteste... Il ne cesse d'imaginer pour elle, les pires supplices. Voici seulement quelques jours, il l'imaginait écorchée vive, traînée sur des chardons, avant d'être jetée dans une cuve de vinaigre ! Mais ce soir, il se sent d'humeur indulgente. Peut-être la livrerait-il à quelque nègre acheté tout exprès pour la taille extrême de sa virilité... juste pour le plaisir de voir cette bigote rabougrie écartelée, hurlante ou gémissante ? Allez savoir avec les grenouilles de bénitier ! Il ne peut s'empêcher de sourire à l'idée de Mme de Montreuil se faisant ramoner sans ménagement par un esclave noir... d'imaginer l'énorme phallus d'ébène la transpercer, tant par le devant que par le fondement... Certes il lui doit sa liberté, mais à quel prix ! Car il est vrai que le prix à payer n'est pas anodin. Il doit disparaître et laisser le pauvre hère qui l'a remplacé assumer le poids d'une détention dont nul ne sait combien de temps elle pourrait durer... Sombres pensées... Mais bien vite, son esprit se réveille et il profite du délicieux spectacle qui lui est offert au cours de ce long et périlleux périple. Face à lui, deux jeunes beautés. A la longue chevelure ondulée, l'une est brune, l'autre est blonde. Elles sont nues, comme au jour de leur naissance, puisqu'il ne subsiste aucune pilosité sur leurs corps épilé, jusqu’aux moindre recoins de leurs sensuelles formes Elles sont l'ultime présent de sa belle-mère. Un cadeau qu'il a obtenu de haute lutte, laissant entendre qu'il préférait renoncer à la liberté, s'il ne pouvait en jouir pleinement... Il se souvient encore de ses mots, lorsqu'elle était venue, nuitamment lui rendre une visite aussi inattendue qu'intéressante. D'abord hautaine, elle avait fini presque le suppliant d'accepter de ses conditions pour disparaître de sa vie. "Si vous mettez ma liberté au prix du sacrifice de mes principes et de mes goûts, nous pouvons nous dire un éternel adieu. Car je sacrifierai plutôt qu'eux, mille vies et mille libertés si je les avais", lui avait-il lancé voyant qu'elle ne cédait point à ses exigences. "Soit, Monsieur. puisque tel en est le prix vous les obtiendrez, en échange d'un définitif éloignement", avait-elle rétorqué, gardant dans la défaite comme un accent d'autorité. L'argent et les deux filles. Il avait tout obtenu. Ces deux délicieuses ingénues dont il avait assuré l'éducation. Bien avant même d'être si vilainement emprisonné. Elles n'avaient survécu qu'en vendant leur corps si frais et se désespéraient de ne plus être en son pouvoir, où elles avaient tant appris des délices et des souffrances d'un total esclavage. Elles l'avaient si souvent inspiré, qu'il n'était que justice qu'elles puissent l'accompagner en son lointain exil pour, à nouveau, n'être qu'à lui.... Le fugitif n'accorde pas un regard à leurs visages. Il préfère se perdre dans le balancement de leurs seins blancs et lourds, qui suivent le rythme des cahots qui secouent le carrosse. Il se laisse bercer par cette émouvante vision. Il a passé tant de mois entre les quatre murs d'une cellule. Pour quelques pièces, les geôliers lui amenaient quelques fois une catin, mais ce n'étaient que femelles de bas étage, au corps usé, qui se pliaient difficilement aux exigences les plus sublimes de ses sens. Les deux charmantes créatures qui se tenaient docilement face à lui étaient tout autres. Il les avait connues fort jeunes et les avait éduquées. Au fil des ans, il avait façonné leurs pensées, mais aussi leurs corps. Et il était bien fier de son "oeuvre" ! Des seins, son regard descendait peu à peu vers leur ventre et leurs cuisses, docilement ouvertes, offrant une vision idéale sur la cicatrice rosée de leurs sexes parfaitement lisses. Il savait leurs regards baissés. Leurs pensées toutes tendues vers l'unique volonté de lui plaire. Leurs esprits parfaitement dressés, désireux seulement de combler chacune de ses attentes, les plus perverses de ses envies. Juliette et Justine, ainsi qu'il les a baptisées, sont pour lui, un aboutissement. Tout ce qu'il écrit et qui lui vaut tant d'avanies, elle en ont été la substantifique moëlle. Sur elles, il a tout expérimenté... elles se sont pliées à ses plus sombres désirs, ont offert docilement leurs corps à ses plus folles tentatives. Comblé, le voyageur contemple ses créatures. Elles lui appartiennent corps et âme et ont à jamais lié leurs destins au sien. Alors qu'il était emprisonné, elles se sont vendues à des hommes pour survivre. Le vulgaire a ainsi pu souiller leurs corps’ si magnifiques, malgré tout ce qu'ils ont subi. Mais il sait que leurs pensées sont restées vierges (le mot le fait sourire) de toute tâche. C'est pour leur Maître qu'elles ont fait commerce de ces corps qu'il avait façonné. Elles n'ont gardé que le minimum vital pour elles même, envoyant à leur Seigneur adoré tout le surplus afin d'améliorer un peu son triste quotidien. Elles n'ont fait ainsi que leur devoir d’esclaves, mais il sait que rares sont les êtres qui se seraient montrés aussi fidèles. Et cette nuit elles sont là, assises face à leur Maître. Nues, offertes, prêtes à tout accepter de lui, pour lui. Leurs cuisses à la chair ferme sont largement ouvertes, dévoilant la chair rose de leurs sexes qu'il a tant de fois pénétrés et dont la vue lui procure pourtant toujours un si délicieux émoi. L'observation de ces deux corps fait peu à peu monter le désir en lui. Après des mois de quasi abstinence, après la multiplication des pensées les plus perverses, dont il n'a pu se soulager que par l'écriture, il sent la vie renaître dans sa plus vive intimité. Il sent son sexe qui gonfle et durcit, palpitant comme aux plus beaux jours de sa jeunesse. il fixe les deux paires de seins qui palpitent au gré des cahots du chemin, les tétons roses foncé et l'une et nettement bruns de l'autre... des souvenirs lui reviennent. Il n’hésite alors pas une seule seconde et fait claquer les doigts de sa main gauche. C'est Juliette qui réagit donc. Sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, elle quitte le siège et vient s'agenouiller entre ses jambes. Lui, d'une main assurée, défait sa culotte et libère son épais phallus. Celui ci demeure droit, tendu et Juliette doit se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres. Elle y parvient malgré la position rendue fort inconfortable par les aléas du parcours. Mais elle est experte et sa bouche se referme sur le sexe telle une gaine parfaitement proportionnée. Elle l'avale et le suce avidement. L'érection est telle que la fine bouche parvient à peine à l'engloutir, Juliette devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laisse le mouvement du carrosse imposer son rythme et elle offre à son Maître la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer son plaisir, jusqu'à ce que celui ci jaillisse brusquement, violemment, inondant la bouche de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'applique à avaler jusqu'à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer avec le plus grand des dévouements le gland rougi du Maître avant que de reprendre sa place, humble et silencieuse... 2 - L'Auberge Ainsi se poursuit le voyage, jusqu'au plus profond de la nuit. Lorsqu'enfin le cocher arrête ses chevaux, le sombre manteau d'Hécate s'est refermé. Un léger frisson fait trembler les grands arbres qui assombrissent encore cette contrée si éloignée de tout. Au coeur de cette forêt se dresse une minuscule bâtisse. L'auberge est plus isolée du monde que la plus lointaine des îles exotiques. C'est ici qu'a été prévue l'étape nécessaire avant que le carrosse n'atteigne le terme de son périple. Le cocher descend de son siège et va ouvrir la porte du carrosse dont une épaisse couche de peinture noire a définitivement dissimulé les armoiries qui en ornaient les flancs. Justine et Juliette, aidées par le cocher, en descendent les premières, toujours aussi nues qu'au jour de leur naissance. Elles s'installent à quatre pattes sur le sol afin de constituer un marchepied de chair et de sang, sur lequel le voyageur s'appuie afin de rejoindre le sol, face à l'entrée lumineuse de son abri pour la nuit. Sans un regard pour ses servantes, le voyageur gagne la porte de la petite bâtisse dont la porte s'ouvre sur un homme trapu, à la barbe épaisse. De l'intérieur s'échappe un lourd effluve de cuisine. Senteurs chaudes et parfumées qui réveillent l'esprit de l'occupant du carrosse. A l'intérieur, près d'une vaste cheminée qui occupe un pan entier de mur, une table a été dressée, couverte de victuailles, vers laquelle l'aubergiste mène le voyageur en multipliant les gestes de déférence. Tout a été prévu pour réserver le meilleur accueil à ce voyageur de renom. L’aubergiste ayant reçu des instructions claires moyennant une forte bourse de pièces d’or. Le voyageur se laisse lourdement tomber sur un banc de bois qui ploie un peu sous son poids, tandis qu'à l'extérieur, le cocher libère ses chevaux et les mène à l'écurie afin de les bouchonner. Toujours agenouillées au sol, face à l'entrée, les deux jeunes femmes demeurent immobiles dans la nuit. Elles grelottent un peu et c'est l'unique mouvement qu'elles osent. Le cocher viendra s'occuper d'elles, lorsqu'il en aura fini avec les chevaux... respectant ainsi l'ordre établi des priorités. Ce n'est donc que bien plus tard que, et usant parcimonieusement de son fouet, que le cocher vient les faire avancer, à quatre pattes, afin de regagner à leur tour l'intérieur. Là, le voyageur a déjà regagné la chambre préparée pour lui, en compagnie de la fille de l'aubergiste qui a été largement récompensé pour avoir su préserver la virginité de la jeune femme afin de la livrer aux appétits de son hôte prestigieux, qui sait apprécier de tels sacrifices lorsqu'il les impose au commun. Tandis que l'âtre s'éteint doucement et que la nuit avance, le cocher savoure les restes du repas de son Maître, qui aime l'abondance mais se rassasie promptement. Face à lui, accroupies sur le sol, les deux jeunes femmes attendent docilement qu'il daigne leur jeter quelques reliefs de son festin. Lorsqu'il lance ses restes, elles s'en nourrissent avec reconnaissance, heureuses de retrouver ainsi les délices qui étaient leur quotidien aux temps heureux où leur Maître jouissait pleinement de sa fortune et de sa liberté. Les temps bénis où il leur avait appris à offrir la moindre parcelle de leur corps pour combler les désirs les plus inavouables. Il ne se privait de rien, ne connaissait aucune limite et elles avaient appris très tôt à l'accompagner en ses extravagances, apprenant au fil du temps à faire plaisir et délices des douleurs et avilissements qu'il se plaisait à leur imposer. Elles ont tout connu auprès de ce Maître qui a guidé leurs vies et les a dressées mieux que jamais ne le fut animal domestique. Il les a entraînées dans ses folles aventures, faisant d'elles les vestales perverses de cérémonies qui auraient valu le bûcher, place de Grève à tout autre. Au sein même d'une chapelle, il avait avec elles consommé l'offrande de sa jeune belle-soeur, la tendre chanoinesse Anne-Prospère, dont il avait possédé chacun des orifices en un quasi-pervers sabbat. La jeune religieuse avait en une folle nuit, fait le sacrifice de sa virginité et l'offrande de son âme à celui qui avait déjà fait trois enfants à sa soeur. Et avant que de la posséder et de lui faire renier tous ses voeux de chasteté, il avait confié à ses deux esclaves le soin de la pervertir et de lui faire découvrir sur l'autel même tous les charmes du saphisme le plus échevelé. ... Tous repus passèrent une reposante nuit. La seule qui fut courbaturée était la fille de l'aubergiste que le voyageur avait chevauchée avec passion durant de longues heures, n'hésitant pas à la flageller fort durement lorsqu'elle tentait sans grand espoir d'échapper à son priapique initiateur. C'est donc de fort plaisante humeur que le voyageur quitte l'auberge, non sans avoir une dernière fois fourragé le fondement de la jeune femme sous les yeux même de son cupide aubergiste de père, surtout préoccupé par les pièces d'or offertes par son noble et anonyme client, pour le prix de ‘’cet ultime service’’ Et le carrosse reprend la route... Chacun a retrouvé sa place, le cocher fouette ses bêtes tandis que le voyageur, aussi confortablement installé que possible, fait ses délices d'un recueil de Pétrarque, dont parfois il daigne faire grâce à ses deux silencieuses accompagnatrices de la lecture de quelques vers : "De longs cheveux brillants à rendre l'or jaloux, Le regard le plus pur, le plus charmant visage Qui jamais aient fait mettre un mortel à genoux, Un sourire ineffable, un si gracieux langage, Une main, de beaux bras noblement arrondis A faire implorer grâce au coeur le plus rebelle, Un pied fait par l'amour, une femme si belle En un mot, qu'il n'est rien de tel au paradis"... Ainsi lit le voyageur, faisant profiter ses deux douces créatures de la richesse de son esprit. Et la poésie aidant, le voyage se passe et le jour s'alanguit. Peu à peu il décline et déjà le terme du voyage approche. Enfin ! s'exclame le voyageur. Enfin le voyage s'achève. Le carrosse s'est engagé sur une longue allée de graviers qui crissent sous les lourdes roues ferrées. De part et d'autre de l'allée, de hautes torches éclairent le trajet qui mène jusqu'au devant d'une impressionnante bâtisse. Le Château d'un fort précieux et si prestigieux ami qui a accepté avec enthousiasme de l'accueillir et de l'héberger aussi longtemps qu'il le souhaitera. Quelques minutes encore pour qu'enfin, les chevaux ne stoppent face au perron du Château. Comme devant l'auberge, le même cérémonial... Le cocher ouvre la porte aux armoiries cachées et les deux jeunes servantes qui servent de marchepied au voyageur qui descend d'un pas assuré. Mais cette fois, depuis le perron, c'est un autre noble et grand personnage qui s'avance. Plus qu'un ami, un égal pour le voyageur qui ne s'en reconnaît que fort peu. Tandis que l'un monte les premières marches menant au Château, l'autre les descend et ils tombent dans les bras l'un de l'autre... - "Cher Marquis, quel bonheur !" lance l'invité... - "Marquis... il y a si longtemps !" répond l'hôte... Et tous deux de s'embrasser en s'étreignant... - "Donatien de Sade... Donatien, cher Marquis, mon ami ... Sentez vous ici, chez vous... autant qu'il vous plaira" - "Merci Marquis d'Evans, je n'aurai pu rêver d’un meilleur refuge !"....
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 18/03/20
Charlotte fut préparée dans l'attente de la soirée: elle avait été avertie que Béatrice serait accompagnée de plusieurs couples à qui elle s'offrirait, quoi qu'on pût exiger d'elle ou lui infliger; il fut décidé qu'elle ne les verrait pas et que les mains attachées derrière le dos, on la conduirait dans une cave. On fixerait à son cou un collier et à ses poignets des bracelets. Juliette avait choisi sa tenue: une jupe courte en taffetas noire, dévoilant ses cuisses, et un chemisier clair marquant un corset en cuir resserré de façon à faire saillir ses seins; elle s'assura que son ventre ainsi que le sillon de ses reins étaient parfaitement lisses afin que ses deux orifices soient ouverts à ses besoins, ou à ceux des des inconnus à qui elle la destinait. Pendant que je lui nouai les cheveux en queue de cheval, pour lui bander les yeux, un cri indubitablement féminin retentit, elle se mit à trembler. À force d'être humiliée, il me semblait qu'elle aurait dû être habituée aux outrages, sinon au fouet, à force d'être fouettée; une affreuse satiété de la douleur et de la volupté devrait la résigner, comme le supplice d'une fille offerte comme elle, et même lorsqu'elle n'était pas livrée, de son corps toujours accessible. Un long silence suivit, troublé seulement par des chuchotements. Je reconnus Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu'à ses bottes en cuir. Elle déganta sa main droite et posa doucement son majeur et son index près de l'oreille gauche de Charlotte; la maîtresse de lieux, qui semblait particulièrement l'apprécier, l'entraîna au bout d'une laisse dans la cave, au beau milieu d'une réception où des couples contemplaient le spectacle d'une jeune femme nue se faisant prendre sauvagement par des esclaves mâles. Des hommes et des femmes en tenues de soirée, tous masqués, étaient éparpillés çà et là une coupe à la main; au centre de la salle, sur un grand lit en fer forgé noir, érigé en estrade, la femme que j’imaginais se faire torturer, était possédée par deux hommes aux corps d’athlètes qui la pénètraient frénétiquement dans la lueur des torches. Elle avait de petits seins fermes et des hanches à peine formées. L’assemblée se tourna vers nous et nous salua en s’inclinant en silence. Ses doigts glissèrent le long de ma machoire, puis de mon cou, contournèrent mon sein gauche, carressant ma taille, et s’arrêtèrent sur ma vulve, en appuyant légèrement sur la chair fragile; saisissant la dragonne de la laisse reliée aux anneaux d'or fixés sur mes lèvres intimes, elle ouvrit les deux battants du grand salon et me guida vers l'autel de mon sacrifice; au fond de la salle, éclairée par des projecteurs diffusant une lumière pâle, m'attendait la croix de saint André; j'avançai vers ma crucifixion, tenue par mes anneaux; Béatrice me tendit la main pour m'aider à gravir les deux marches qui me menait à mon calvaire; elle me plaqua le dos contre le bois, me laissant ainsi exposée de longs instants. Elle me présenta comme étant son esclave; tout me serait infligé sans pitié pour juger de l'efficacité du fouet. En elle, je devinais une volonté ferme et glacée, que le désir ne ferait pas fléchir, je devais obéir docilement; les yeux bandés, je ne pouvais apercevoir les derniers invités qui descendaient dans la cave, grossissant l'assistance silencieuse; ainsi exposée et écartelée sur cette croix, seule dans le noir et le silence, je me demandais pourquoi tant de douceur se mêlait à tant de terreur, ou pourquoi tant la terreur me paraissait aussi douce. On me détacha enfin pour m'exhiber. À peine libérée, quelqu'un me demanda de me tourner et on me délia les mains en m'ôtant le bandeau des yeux. On me fit avancer, trébuchant un peu, vers un homme qui voulait me toucher. Il m'ordonna de me déshabiller, et de me présenter, ce que je fis instantanément: debout les bras coudés derrière la tête en écartant les cuisses, comme on me l'avait signifié, afin de livrer avec le plus d'indécence possible le spectacle de mon intimité. Se présenter de telle façon oblige l'esclave à s'abandonner, quels que soient ses réticences, à mieux se donner. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié, sans concession; la soumise ainsi exhibée apprend à se surpasser dans l'épreuve, poussée parfois au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique; c'est ainsi qu'elle peut s'épanouir et accepter les châtiments les plus cruels. Béatrice apparut avec un esclave à demi-nu harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure athlétique était doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe épais dont on osait à peine imaginer la taille en érection. Elle fit allonger l'homme sur le dos, puis me tira par les cheveux et me força à m’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage écrasé contre son pénis. J’entendis des ricanements dans l’assemblée. Ce n'était pas la caresse de mes lèvres le long de lui qu'il cherchait, mais le fond de ma gorge. Il me fouilla longtemps, et je sentais gonfler et durcir en moi le baillon de chair qui m'étouffait, et dont le choc lent et répété me tirait des larmes. Debout sur l'estrade, Béatrice faisait voler sa cravache sur mes reins. Elle m'ordonna de lui lècher les testicules et le pourtour de son anus; je m’exécutai, faisant glisser ma langue de la hampe jusqu'à l'entrée de sa cavité anale. L'esclave semblait apprécier et s'enfonçait dans ma bouche pendant que je le couvrais de salive; elle se plaça derrière moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Les lèvres forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Béatrice continuait de me fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon intoduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes; j'étais partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant. Mais ce ne furent que les préliminaires. Béatrice me relèva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, j’enjambai maladroitement l'esclave et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Béatrice maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante; tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches; alors que je m'efforçai de garder l’équilibre, l'esclave me força à m’empaler sur son sexe; je tentai de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur. Béatrice exultant, ordonna l'esclave mâle à me pénétrer tout en caressant ses testicules: “Allez, chien, défonce-lui son cul de salope!”; l’homme obéit sans sourciller et m’attira contre son sexe brutalement pour me faire mal; mes deux sphincters anaux se dilatèrent sous la pression et il me pénétra d'un seul coup. Je manquai de m'évanouir. L’assemblée poussa un “Oooh” d’étonnement mêlé d’admiration; Béatrice demeura un instant interdite à la vue de ce membre à moitié emprisonné. Partagé comme moi entre douleur et plaisir, l'esclave mâle relâcha son étreinte, en me maintenant dans cette position grotesque; accroupie, empalée au sommet de son sexe, Béatrice, agenouillée face à moi, me meurtrissait les seins en me pinçant les pointes tout en m’observant avec un regard pervers qui m'effraya; elle quitta mes yeux, plongea sa tête entre mes cuisses, posa délicatement sa bouche sur ma vulve rougie par ses coups de cravache puis aspira mon clitoris entre ses lèvres. La bouche de Béatrice estompa peu à peu la douleur de la colonne de chair qui saccageait mes reins. Je luttais pour ne pas jouir; les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle que j'offrais, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Béatrice se dénuda alors et commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées; juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Béatrice; mes jambes vacillèrent mais l'esclave me tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse; on entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir; plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Béatrice, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois. Elle se pencha à nouveau entre mes cuisses mais cette fois pour s’occuper de l'esclave. Elle commença par effleurer ses testicules du bout des doigts puis elle remonta sur sa hampe qu'elle caressa comme un objet sacré; elle semblait s'amuser de façon perverse avec ce sexe surdéveloppé pour faire souffrir l'homme. Elle glissa une main sous ses fesses musclées et stimula son anus en le masturbant de plus en plus fort; c'était excitant d'assister à son érection: il grossit et se déploya. L’effet ne se fit pas attendre; dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, il se cambra sous moi et rompit le silence de la salle par un long râle bestial; je sentis son sexe tressaillir, me remplissant d’un flot de sperme saccadé. La sensation fut divine et l’instant si intense que je fus à nouveau sur le point de jouir. Visiblement satisfaite, Béatrice se redressa, posa ses mains sur mes épaules et se pencha sur moi pour m’embrasser. Elle goûta à mes lèvres, les aspira, les mordilla puis pénètra ma bouche de sa langue mouillée. Fermant les yeux et vaincue, je me laissai emporter par un nouvel orgasme. Alors que je m’abandonnai à son étreinte, elle appuya de tout son poids sur mes épaules et me força à m’empaler de nouveau sur le sexe redevenu raide. Le pieu de chair dégoulinant me pénétra facilement et m’envahit sans plus aucune résistance. Distendue, la sensation d’être remplie totalement dépassa tout ce que j’avais enduré auparavant. Mon orgasme redoubla d’intensité et semblait ne plus vouloir s’arrêter. Béatrice relèva mon menton du bout des doigts et me regarda jouir avec le sourire de la victoire; l'esclave mâle qui était resté passif jusque-là recommença à s'ébranler lentement dans son foutre tout en m’agrippant fermement par la taille, n'ayant rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Béatrice m’abandonna à mon sort. Elle s’accroupit juste derrière moi et écrasa sa croupe sur le visage de l'homme. Ce dernier sembla apprécier cette douce humiliation et continua de me fouiller les reins en redoublant d'acharnement. Dans un bruissement gras et humide, rompant le silence, mon corps se balançait au rythme de ce va-et-vient féroce. Je faisais maintenant face à l’assemblée qui se pressait autour de moi pour me regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbaient sans retenue, juste devant moi. Du haut de son estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil, la maîtresse des lieux se caressait tout en se délectant du spectacle de ma sodomie. Des mains glacées se posèrent alors sur ma peau et me firent tressaillir. Je m'offris avec docilité aux caresses de plus en plus insidieuses. Un long silence suivit, troublé par quelques chuchotements dont j'essayai vainement de percevoir le sens. Subitement, je me sentis soulevée de terre, mes poings et mes chevilles furent liés par force de nouveau à la croix. Dans cette position qui favorisait l'examen de mon corps, un doigt força brusquement mes reins et me pénétra avec douleur. Celui qui me violait ainsi, sans préparation, me menaçait durement. Soudain, on me cingla. Je reconnus immédiatement les coups appliqués par Juliette: elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée se traduisant par une caresse de la cravache avant le claquement sec, imprévisible et toujours judicieusement dosé. Après le dernier coup, elle caressa furtivement mon ventre enflammé et cette simple marque de tendresse me donna le désir d'endurer encore davantage; quand le cuir s'attaqua à mes seins, je compris que je serais fouettée intégralement sauf le visage; comme une confirmation, les lanières atteignirent le bas de mon ventre, en cinglant mes lèvres intimes; je laissa échapper un cri de douleur, comme un écho au hurlement entendu dans le couloir. On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave; je reconnus à la douceur des mains de femmes qui commencèrent à palper mon corps. Elles ouvrirent mon sexe. Peu après, mon ventre fut investi par un objet rond et froid que Béatrice mania longtemps avec lubricité. On décida alors de me reconduire au premier étage pour me placer dans un trou aménagé dans le mur. Alors que l'on usait de tous mes orifices, un homme exhiba son membre que je tentai de frôler avec mes lèvres puis avec ma langue, mais avec cruauté, il se dérobait à chaque fois que j'allais atteindre sa verge. Prise d'un besoin naturel, on me refusa de me rendre aux toilettes. Confuse, je vis qu'on apportait une cuvette et je reçus l'ordre de me soulager devant les invités rassemblés. L'humiliation était là: me montrer dans cette position si dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. L'impatience que je lus dans le regard attentif de Juliette parut agir sur ma vessie qui se libèra instinctivement. Lorsque j'eus fini de me soulager, Béatrice m'ordonna de renifler mon urine, puis de la boire. Au bord des larmes mais n'osant pas me rebeller, je me mis à laper et à avaler le liquide clair et encore tiède. Après avoir subi les moqueries des invités, je fus amenée devant Béatrice dont je dus lécher les bottes vernies du bout de ma langue. On m'ordonna ensuite de me coucher sur le sol et de relever mes jambes afin que chacun puisse me prendre facilement. Je fus possédée par l'ensemble des invités qui se succédaient à la chaîne sur mon corps. Puis on me releva pour me placer sur un tabouret hérissé d'un volumineux olisbos. Dans cette nouvelle position, mon ventre devenait douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on m'ordonna de m'asseoir sur le cylindre massif et de le faire pénétrer entre mes reins profondément. Je sentais mon anus s'écarteler au fur et à mesure que je m'empalais sur le cylindre de latex. Longtemps, on me força à me pénétrer l'un et l'autre de mes orifices. " - Je suis fière de toi, tu te comportes comme je l'espèrais, tu dois continuer". Juliette venait de me signifier que mon dressage n'était pas achevé. Ma peau subit aussitôt le contact de mains posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Une cravache noir me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement; la rigidité du cuir enflammait mes reins et mon dos; les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié; je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Béatrice qui m'installa. J'étais en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant d'écrin; au même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe; mon ventre se liquéfia. J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris; je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont Béatrice s'était ceint à la taille. Elle exigea de moi que je me cambre davantage, pour qu'elle puisse "me remplir jusqu'au fond." Je cédai à l'impétuosité d'un orgasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler. Béatrice se détacha de Charlotte qui glissa au sol. Elle récupéra ses appuis et réussit à se tenir debout, mais on la rattacha fermement sur la croix de Saint André face à la salle plongée dans la pénombre. Elle demeura ainsi le reste de la soirée, souillée de sperme et de sueur, les chevilles et les poignets entravés. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.        
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Par : le 27/10/20
Marié 8ans, un divorce et une séparation difficile à traverser pour mieux renaître. Une forte passion qui s est étiolée au fur et à mesure des jours , semaines et années que nous avons traversé pour mener a bout un désir utopique d enfant. La renaissance a eu lieu il y a deux ans et les rencontres que je réalisais ne me suffisaient plus. Un surinvestissement au travail m à rappellé à l ordre après être passé 4 jours dans un service vasculaire cerebrale.. De la liberté de pensée et d action, sortir de l allienation et du modèle sociale.. de l expérimentation , tjrs plus d expérimentation pour ressentir .. se sentir vivre Quand on est un homme non revendiqué alpha, il est sans doute difficile de trouver une femme pour se prêter à des jeux et la découverte de nouveaux sens ... sans tomber dans le cliché de la rencontre et du "tirage de coup" qui depourvus de romance... au final ne m apportent rien sinon de la frustration emotionnelle. A 35-40ans beaucoup de femmes sont encore dans le cliché du prince charmant et de l âme soeur sinon à la recherche de confort et de stabilité. Je reste persuadé que l unicité est multiple au cours d une vie car elle est question de temporalite et d exploration. L'affinité ne se decrete pas c est aussi un sujet d aquetation à un instant donné... Engouffré dans le metro/boulot/apéro/dodo, les sites de rencontre se présentent comme d une solution et nous croire , nous frustrent, et nous poussent irrémédiablement dans "l' effet contraste". a la fois une Agora prometteuse ou toutes les populations se croisent et pour autant une prison ffrustrante ou les échanges artificiels permettent difficilement de s élever vers le désir et l intellect. C est début septembre 2020 que je reçois réponse à l' une des nombreuses bouteilles a la mer que j ai positionné depuis 2-3mois sur la toile, que je consulte tel un métronome... MA 20ans Son fantasme est d entrer dans un hôtel avec un simple numéro de chambre et de gouter a sa première expérience de soumission soft. Un message clair d accroche: " prennons date en septembre". Tres vite l échange bascule par un appel où nous succombons à nos voix. Je lui fais passer le test bdsm pour en savoir davantage sur sa sexualité et je découvre son fort attrait "rope Bunny" qui me permettra de vivre mon fantasme de rigger. Les emplettes seront rapidement faites avec de beaux lien en satin et une roulette de wartenberg pour compléter ma collection de jeux encore trop limitée Le rendez vous du 28/09 s avérera annulé. Garder la trajectoire, suivre le flow.. sans peur... c est finalement le lundi 12 octobre que la rencontre se déroulera. Les derniers messages de la semaine me permettront de lui redemander ses attentes et ses peurs.. et de vider un long message émotionnel sur la sincérité de ma démarche... avant la séance. Lundi 12, le congés est posé je suis dans le train de banlieue direction Gare du Nord puis tgv lille... J en suis à me demander où ma bêtise et mes enfantillages vont ils me mener? Je dois y rencontrer MA dans une chambre d hôtel de standing que j ai pris soin de reserver : soumise qui se prêtera entierement à mes jeux.. Un peu d aprehension, du traque, de l envie... Ne pas trop projetter ce que cela sera pour laisser la surprise et créativité s exprimer .. cependant le cadre est visualisé avec une palette d alternatives. Le temps de prendre un welsh et une blanche à la brasserie... 14h elle y est. Je la laisserai languir encore quelques minutes avant de la rejoindre.. la porte s ouvre je la découvre naturelle, belle, apretée, si fragile. Inutile de tenter de la mettre à l aise je me découvre également en train de trembler .. elle ne prête pas beaucoup d attention à la boîte de chocolat que je lui propose en cadeau son regard est déjà ailleurs.. elle est assisse sur le coin du lit... elle ne dit rien , ne souhaite ni eau ni café, elle souhaite que je commence. Je lui donne en main le fouet 15 lannieres afin qu' elle le sente et s en empreigne pendant que je fixe les 2 premiers rubans qui me permettront de la tenir allongée sur le lit, sur le dos, les bras ouverts à m acceuillir Les premiers coups de fouet sont doux et me permettent de sentir sa respiration.. peu à peu je la denude , je précise les impacts et l intensité tout en intercalant caresses et baissers sur sa peau encore si pure. basculée sur le ventre j en profite pour inverser les liens. Les coups reprennent peu a peu j aprivoisonne ces nouvelles émotions. La bande son devient si pure : mouvements dans l air et impacts. Les coups sont dosés, dirigés mais aléatoire je veux la suprendre, je contrôle ses émotions et son ressenti. Elle me dit que cela va.. je la sens partir dans ses propres émotions, elle semble bien et me le reconfirme... Je lui propose de ne plus lui poser la question et qu elle est libre à tout moment de dire stop qu elle accepte dans l instant. Les lanières sur les epaules et sur le flanc la font cambrer et m ecxitent.. je me repositionne sans jamais la laisser se frotter...je m assure que son bandeau sur les yeux ne la gène aucunement ... puis me lasse. Il est temps de changer. La roulette lui plaît également. Ce bruit de métal sorti d un sac à fermeture éclair l intrigue, je lui fais goûter les pointes en commençant par un doigt, puis le poignet et le bras.. elle s habitue sans s habituer, je cadrille son dos... Libere ses fesses de son collant ce qui m offre de nouveaux espaces d exploration à ratisser de clous. Corsage retirée ses seins se libèrent et sont bien plus important que ce que j ai pu connaître jusque là .. ils ne seront pas épargnés et de la roulette je repasse au fouet... Sa culotte est trempée je ne le vois pas encore mais je commence à le sentir et cette odeur m attire. Quelques fessées à main nue me permettront de m approprier cette zone et de confirmer mes sens. Ma langue s engoufrera pour aider à l exploration. Sa chatte est douce son clitoris en erection si bien proportionné. Je déguste le dessert qui m a manqué, juteux et frais à souhait.. un peu de lubrifiant et les doigts glissent entre et dans ses orifices... Elle est détendue et s offre pleinement. Cela devient trop simple je decrete une pose. J active la machine à café , elle se retrouve attachée , les yeux bandés, inherte sur le lit. Je l entends encore gémir mais là dans l instant je souhaite qu elle pense que je l'ignore.. que je l ai oublié. Je la redresse assise sur le lit et lui propose une boisson qu elle refuse , le café coule, elle semble dans un autre monde avec un sourire qui ne quitte pas son visage. Je m assois derrière elle avec mon café , près de sa nuque je profite de nouvelles perspectives. Ma main repart entre ses jambes , quelle sensation de douceur ! Il est temps de sortir de nouveaux jeux... Je prends le temps de les déballer , les renettoyer , de les lubrifier puis de les inserer .. suffise que je lui sussure quelques mots à son oreille, le plug progresse et s engouffre.. elle est conquise . Un nouveau coup de langue et son ami vibreur le rejoint à l autre orifice. Chaque mouvement de se dernier semble tellement être apprécié je la laisse exprimer son plaisir avant de lui demander de se taire.. elle semble accepter cette remontrance voir l avoir provoqué pour que le fouet revienne pour lui garder son calme et s acclimater aux vibrations. La voilà gémir sur le lit attachée, les yeux bandés avec mes jeux électriques s occuper d elle. Je les manipule avec rythme , entrecoupant de quelques frappes lorsque le plug souhaite s echaper. Cela doit faire une heure que la séance a débuté et que nous jouons ainsi. Je retire les appareils et comme pour laisser ses orifices se reposer je me décide à torturer ses seins don elle était si fier. Roulette , fouet, pinces , je dose en fonction de son ressenti et des signaux qu elle m envoie. J ai l impression d y aller trop fort alors souvent j entrecoupe de baisers comme pour me faire pardonner... ou pour me deculpabiliser à repartir de plus bel. Basculée à quatre pattes sur le lit je lui demande de se cambrer afin d exposer son fessier à la punition. Le fouet est amusant mais le claquement de ma main est tellement plus vivant et me permet de doser davantage. Ses fesses rougissent alors je passe mes doigts de temps à autres dans son entrejambe pour collecter cette mouille qu elle m'offre . Son anus est tellement beau, si bien dégagé et âpreté que je ne peux m empêcher de le lécher... J aimerai tant que mon sexe puisse s y engouffrer mais c est une limite qu elle m a fixé... Alors je la laisse subitement là, cambrée sur le lit.. le temps de sortir un préservatif lui basculer une main derrière son dos pour qu elle puisse saisir mon sexe et le sentir couvert de ce latex. J attache ses mains à nouveau avant de laisser mon sexe découvrir cette mouille et le laisser trouver son chemin dans son vagin qui n'attendait que cela. Je pénètre, repenetre et repenetre encore .. des séquences certaines fois rapides et d autres plus calmes au cours desquelles je peux varier les angles et orientations. Tout son intérieur doit être parcouru et vibre à chacun de mes mouvements... Lorsqu'elle se mets naturellement à mettre en mouvement son bassin c est une parfaite occasion de la rappeler à l ordre et que le fouet frappe ses épaules.. puis je me lasse et lui ordonne alors d être en mouvement et de me reposer... Elle s exécute telle une libération pour elle Aucun de nous deux ne jouira bien que les émotions aient dépassé les objectifs fixés. La rencontre s écourtera par un message de sa colocatrice se retrouvant bloquée et ne pouvant rentrer sans clés.. la descente est quelque peu brutale, elle se rehabille et nous nous faisons déjà nos adieux dans un aftercare improvisé... Etant promis de ne pas nous revoir , tel est le contrat de sa relation libertine. Je le retrouve seul dans cette chambre y a remballer mes jeux et remettre à un peu d ordre...Quelques discussions infructueuses avec l hôtelier puis la SNCF et me voilà déjà dans le train de retour toujours sous le spleen de ce moment unique que je viens de vivre... Nos échanges se clotureront par messages interposés durant les 24h qui suivront pour partager nos émotions et se remercier de cette parenthese de confiance que nous avons pu échanger. Une adéquation inattendue dans le parfait niveau emotionnel et de partage... la vie m offrira telle d'autres expériences de ce type (dans un cadre candauliste par exemple)?
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Par : le 14/05/18
Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux. Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même. En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part. L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs .... Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent. " Veux-tu prendre un verre avant de manger ? - Volontiers, lui répond-il." S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit. Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains. "Installe-toi ici, devant Moi". Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche. " A la tienne, Hestia - A la vôtre, Maitre". Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne. Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps. De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre. En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front. " Voulez-vous passer à table ? C'est prêt. - Non, je préfère passer directement au dessert." Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue. Le Voyage débute ... Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre. A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol... Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux. Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois.... Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement. La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains. Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien. Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre. Puis, Il lui redresse la tête. " Qui es-tu ? - Je suis Votre soumise, Maitre" Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance. Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer.... Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever. Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis. Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires... Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées. "Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser. Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin. Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi. Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois. Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche. Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture. Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit. Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite... La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir. Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires. A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même. Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut. Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps. D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle. Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation. Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre .... D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise. Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin. Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé.... Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout.... Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme. Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation. Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici. De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté. Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète. Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions. Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus. Pourquoi s'arrêter ainsi ...... Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre. Le Graal n'est plus bien loin. L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme.... Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu. Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût. Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur. C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire. Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout. Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ? Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher. Une pause.... qui cesse enfin. Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert. « Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants. Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements … Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie... Arriver à la maison est très rapide. Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Par : le 26/09/17
Sur la route qui me conduit à son domicile, je suis étonnamment serein. Certainement parce que j’ai déjà eu un premier contact téléphonique très rassurant. J’ai senti Miss G bienveillante et à mon écoute. Bref, je suis calme mais je me pose principalement une question. Comment vais-je l’aborder ? Je suis totalement dans l’inconnu. Mis à part le traditionnel vouvoiement qui me semble naturel, je ne sais pas trop comment me présenter à Elle. - Dois-je me comporter immédiatement comme un soumis et si oui, comment ? - Dois-je l’appeler Miss G, Lady G, Maîtresse, Madame - Dois-je lui baiser la main ou ne rien faire tout simplement. Je ne vais tout de même pas lui claquer la bise ou lui serrer la main J’arrive devant son domicile, je ne pense plus à rien. La sérénité fait place à la fébrilité. J’entre et Elle est là derrière la porte. Ma fébrilité est palpable, je n’ose la regarder. Instinctivement et après un simple bonjour, je décide d’être franc. Je lui avoue que je suis plutôt stressé et intimidé en espérant inconsciemment qu’Elle prenne rapidement les rennes et me montre la voie à suivre. Une nouvelle fois, Elle se montre très rassurante et m’énonce le déroulement de la séance. Il est temps de préparer la séance, nous nous retrouvons dans l’anti-chambre de son donjon. Elle me laisse ici, le rituel veut que je me déshabille complètement pendant qu’Elle prépare le donjon. En cet instant, je n’ai même pas pensé « Mais qu’est ce que tu fous là ? Prends tes jambes à ton cou, c’est de la folie », je m’exécute simplement. Une fois nu, je me présente à la porte du donjon et je frappe à la porte. D’un ton impérial, Elle me dit « Tu attends », je ne bouge pas. Peu de temps après, Elle me dit calmement « Tu peux entrer ». J’entre dans le donjon, c’est une petite pièce avec un grand fauteuil où trône Miss G dont les jambes sont croisées. Elle porte une belle robe courte, noire et très près du corps. Je remarque un peu plus tard des tatouages sur ses jambes qui m’émoustillent. Miss G est ravissante ! Captivé par Miss G, je me rends compte à l’heure actuelle que je n’ai pas fait attention à grand chose dans la pièce à part une petite bougie devant ses pieds et une petite fourrure au sol. Elle m’invite à m’installer sur la fourrure et sans réfléchir, je me place à genoux. Je baisse ensuite naturellement les yeux. J’ai toutefois une vue imprenable sur ses pieds chaussés de talons aiguilles et sur le début de ses jambes. Afin de nous connaître un peu mieux, nous nous posons mutuellement des questions à commencer par « Pourquoi j’ai fait appel à Elle ? ». D’une voix tremblante mais sincère, je lui avoue que son annonce était très bien écrite, sensuelle et loin d’être prétentieuse, que sur les photos Elle semble très ravissante et élégante. Elle m’a tout de suite plu. Miss G me raconte également quelques uns de ses traitements et j’ai du mal à masquer mon intérêt. Une fois qu’on se connaît mieux, on passe à l’action. Sur ses recommandations, j’accepte de me laisser guider au son de la voix de Miss G. À sa demande, je me place face à une croix de Saint-André et Elle commence à m’attacher les poignées. Intérieurement, je suis un peu réticent à me faire attacher lors d’une première séance. M’ayant mis à l’aise depuis le début, je me laisse tout de même faire. Vient ensuite le bandeau sur les yeux. Je suis complètement à sa merci et dans l’inconnu. Je suis maintenant attentif au moindre son, au moindre effleurement. Je sens beaucoup de caresses, de baisers et de mordillements. Un martinet vient me chatouiller l’intérieur de mes cuisses pour m’inciter à écarter les jambes suivi de quelques légers coups de martinet. Je sens ensuite de petits picotements chauds sur mon dos avec une sensation de liquide qui coule. Je comprends rapidement que j’ai eu droit à la caresse de la cire chaude :) Un peu fébrile et sur le coup de la surprise, je sursaute au moindre effleurement du martinet et de la cire, je commence à monter en pression. Miss G me libère une main afin que je puisse commencer à me masturber. La sensation est très jouissive. Commençant à être très chaud, Miss G me propose un massage prostatique. Calmement, Elle m’informe qu’elle peut s’arrêter à tout moment si je ne me sens pas à l’aise, j’apprécie énormément sa bienveillance dans sa voix et je décide de me laisser faire. Entre le massage prostatique, le massage de mes testicules et de mon sexe, je ne sais plus où je me trouve, je suis au bord de l’explosion. Miss G décide alors de calmer le jeu et de finir le massage prostatique au sol. C’est intense et extrêmement jouissif, il est de plus en plus dur de me retenir. La libération vient enfin avec l’accord de Ma Maîtresse ! Nous passons ensuite à une séance de massage afin de me détendre. Je me couche sur le dos, Miss G me masse le torse et effectue par la même occasion de légère pressions sur mon cou comme si Elle souhaitait m’étrangler. Elle se couche ensuite sur moi, il me semble que sa poitrine est sur mon visage, inutile de vous dire comment je suis à ce moment :) Elle se place ensuite derrière moi et place ma nuque sur ces cuisses, Elle commence un massage de mon visage et finit par me pincer le nez et bloquer ma respiration. En cet instant, je lui fais assez confiance pour la laisser faire. Sur sa demande, je passe ensuite sur le ventre en calant mon visage au niveau de ces cuisses. Je suis encore une fois aux anges. Miss G se couche une nouvelle fois sur moi tout en me massant et me parlant avec des paroles très bienveillantes. Même si je suis de nature crispé et toujours aveuglé par le bandeau, je trouve cela très agréable. Nous approchons de la fin du jeu, nous terminons avec une séance de relaxation pour revenir petit à petit à la réalité. La séance finie, j’ai l’immense honneur de passer un moment privilégié avec Miss G afin de revenir sur mon ressenti. Il est vrai qu’on ne sait pas trop quoi penser quand c’est la première fois, je suis tout de même déboussolé depuis quelques minutes. C’est très rassurant de savoir qu’on peut parler avec notre Maîtresse. J’apprends aussi que ces moments ne sont pas donnés à tout le monde, j’en suis d’autant plus fier :) J’ai longtemps hésité à sauter le pas. Ce soir, je ne regrette pas d’avoir sauté le pas et de l’avoir fait avec Miss G. Ce que je retiens de cette séance, c’est beaucoup de sensualité, de bienveillance, de chaleur, de domination avec une Maîtresse RASSURANTE. Je pense qu’Elle m’a plutôt bien cerné :) La domination est restée soft pour une entrée en matière, elle sera peut-être plus forte la prochaine fois. Une chose est sûre, c’est Elle qui décidera. En venant à sa rencontre, je souhaite que les désirs et plaisirs de Miss G passent toujours en premier.
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Par : le 13/07/21
De mon avis, l'un n'exclut pas l'autre, le coté sexuel n'étant à priori pas une souffrance ce n'est donc pas une pratique sadique en soit ? Tant qu'il ne comporte pas de "sadisme" (Sadisme Perversion sexuelle dans laquelle le plaisir ne peut être obtenu que par la souffrance infligée à l'objet du désir. Sadisme et masochisme.) Le sexe peut être une pratique DS dans la domination, devenir ou être soumise à, ne comporte pas de restrictions dans les punitions ou récompenses d'ailleurs. De mon avis (qui n'engage que moi) et c'est comme cela que je le pratique, il doit être scénarisé. Les images que vous voyez peuvent en être l'aboutissement, la finalité étant purement cérébrale, le D/s "vanilla" est plus pour moi plus du ressort de la domination "tantrique" sous réserve du mot dans son sens réel. Ceci dit effectivement, on voit depuis quelques années (l'apparition du sida entre autres) des versions plus ou moins édulcorée du D/s (On appelle aussi ça jouer à touche pipi avec un gant au bout d'une perche ou sans se mouiller les doigts. (l'image m'amuse.) Pour exemple, des soumises de ma connaissance aiment être offertes comme objets et pour autant ne supportent pas la douleur. Est-ce la pluralité masculine qui leur plaît ? Non pas vraiment, c'est uniquement le côté cérébral de la contrainte, devenir un objet ou cette espèce de peur qui les motive et les attirent, ce moment ou tout va basculer. Alors la PEUR est elle DS ou SM, les soumloves connaissent toutes ce moment où la trouille est là, sorte de vertiges, jambes qui flagellent, mais ce petit quelques choses qui pousse à aller un peu plus loin. (lors des premiers sauts en parachute à l'armée, ils appellent ça le pipi de la peur.). Dans tous les cas le seul but de ces pratiques (certaines) est le plaisir Partagé de la soummise et accessoirement celui du dominant, uniquement entre adultes consentant avec toutes les précautions d'usages. Public disgrâce, exhiber une soumise (dans des lieux appropriés, car l'exib public tombe sous le coup de la loi en France) Bound Gang Bangs, offrir une soumise attachée, avec un scénario, comme récompense après une privation d'orgasme ou comme punition. Device Bondage, pratiqué de différentes manières, pinces bougies, etc... Sadistic Rope ou shibari pour dominateurs très attachants et soumlove patientes Water Bondage, ou jeux d'"O" évidemment l'utilisation d'un jet haute pression relève plus du SM à mon avis et peut être extrêmement dangereux Fucking Machines, est il besoin d'expliquer ? Whipped Ass , fouet, cravache, paddle, fessées tout est question de dosage et de matériel Glory hole, À la base une pratique gay devenu plus courante de nos jours elle était une pratique DS avec un sac en papier ou une boite en carton troué sur la tête Il existe bien d'autres pratiques D/s, l'humain de manque pas d'imagination en la matière. Dogging, offerte en voiture, parking, routiers, garage Pour ce qui est des gifs que je mets, ils représentent un panel très incomplet de ce que peut-être le DS, je ne posterais pas d'image "sadique ", car je ne suis pas plus fan de Sacher-Masoch que du divin Marquis. Si un jour vous pratiquez ce genre de domination scénarisée (je vous donnerai plus de détail si vous voulez.) avec une soumise ou un soumis tentez l'expérience d'isolation sensorielle (bandeau) par exemple... Une fois, cette séance terminée demandé lui ce qu'elle ou il a imaginé (à condition d'avoir été sous le bandeau durant sans interruption), vous verrez ce que l'imaginaire peut faire dire, c'est assez impressionnant et édifiant, et ce retour vous donnera un excellent sujet pour une prochaine séance.
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Par : le 13/01/19
En ce dimanche après-midi, nous sommes invités à une séance d’initiation chez ce nouveau dominateur que nous avons rencontré récemment. Arrivés dans son donjon, il traîne une lourde caisse qui attise ma convoitise. Et il ouvre sa boîte de Pandore : je risque un œil et aperçoit plusieurs colliers et bracelets en fer. Le métal luit froidement et déjà ma peau frémit à l’idée de porter ces bijoux. Première surprise, le collier est lourd, glacial évidemment, il pèse sur ma nuque et j’entends le cliquetis du mécanisme se refermer sous mon menton. Puis Maître Pascal me demande de tendre mes bras et me pose les tout aussi lourdes menottes. Je suis fascinée par la brillance de ses objets, je n’en ai jamais vu de pareils. Il me demande de poser un pied sur le divan et menotte mes chevilles, reliées par une chaîne, je ne peux me déplacer qu’à pas très mesurés. Il place maintenant une ceinture de fer autour de ma taille et la cadenasse, sous le regard de mon Maître, je le sens très observateur. Hypérion s’approche de moi, pose un baiser de propriétaire sur mes lèvres et recouvre mes yeux d’un bandeau. Mon souffle ralentit. Je n’ai pas senti le coup arriver, presque une caresse. Cravache. Le cuir effleure mes bras, glisse sur mon dos et s’abat sur le rebondi de mes fesses. Je pince mes lèvres. Pas bouger Salomé. Deux doigts viennent agacer mon téton, le tordre, ma respiration devient plus courte. Les yeux bandés je ne sais qui effleure mon épiderme. Je ne sais quelle main tient telle badine ou tel fouet. Cette sensation d’inconnu me plonge dans un abîme de volupté. J’entends mes deux dresseurs comparer les jouets étalés devant eux, ils choisissent soigneusement, je ne suis déjà plus vraiment dans cette pièce, suspendue aux sensations, délice, douleur, je ne sais plus, mais j’en veux encore. Et plusieurs lanières lèchent ma peau , pas de répit le fouet claque et m’arrache un cri. La douleur, cuisante brûle ma cuisse, comme une épine, elle reste là, s’attarde, s’enfonce, pénètre … Maître Pascal me guide vers une de ses créations, il me place dos contre une barre. Mes bras sont tirés en arrière attachés et la corde se tend, je suis arc-boutée ,le métal des menottes mord ma peau, je laisse échapper un gémissement sourd. Mais une autre surprise m’attend : notre hôte dévisse un écrou et fait coulisser une pièce qu’il remonte entre mes cuisses, je touche à peine le sol, les pointes de mes pieds effleurent le plancher, ma vulve repose sur cette traverse. J’aimerais pouvoir adapter ma position, ma chair se coince et cela devient rapidement insupportable, l’air a du mal à arriver dans ma poitrine. Je ne sais pas combien de secondes il me reste avant de perdre connaissance. On me fait descendre,je reprends mes esprits. Maître Pascal disparaît dans une autre pièce avec Hypérion et ils reviennent poussant un étrange attirail. Sa dernière invention ,que je vais avoir l’honneur d’étrenner la première. Mon œil est immédiatement intrigué par un gode, en fer, de belle taille, dressé à l’horizontale comme une lance. Je suis mise en position, à plat ventre sur une planche montée sur roues. Le génial artisan de cet engin diabolique replie mes jambes et pousse mes chevilles dans des anneaux en acier. Je réalise que les deux autorités qui m’entourent me demandent de m’insérer dans cet appendice que j’appréhende. Comment ?! Je vais devoir …m’empaler ? Cela me semble impossible. Je suis toujours entravée, je me contorsionne comme je peux, repousse le sol avec mes mains et je sens le levier pénétrer ma chair, sous l’approbation de mes dompteurs. Mes bras sont maintenant tirés en arrière, je comprends qu’ils vont aussi être immobilisés ,enfilés dans les arceaux que j’ai aperçu tout à l’heure. Ils sont mes croupiers, je ne suis plus que la boule qu’ils jouent, jettent et font rouler dans une course folle sur la roulette lancée à vive allure. Et ils redoublent d’imagination : Maître Pascal fixe un deuxième gode puis il me fait doucement et fermement coulisser vers l’arrière pour présenter mon orifice anal vers l’instrument. Oh…My… God !!!! Mes deux douces cavités, humides, quel délicieux supplice ! Je suis stupéfaite par la maîtrise des ordonnateurs, alors que je suis dans un état d’excitation torride. Et ils font ainsi tourner cette planche ,m’exposant ,tour à tour côté face puis pile à chaque œil dominateur. Mais voilà qu’ils décident de changer de jeu. Je m’extirpe , mes chairs s’étaient resserrées autour de cette redoutable arme qui a pris la température de mon corps, j’ai presque du mal à m’arracher. Viens… me dit le Maître du donjon et nous montons encore un étage dans sa tour. Là-haut, au centre de la pièce m’attend un chevalet, il m’ enjoint de me mettre à quatre pattes ,coudes au sol, attache ma taille au support, incline ma gorge vers un étau. J’entends les pas d’ Hypérion dans l’ escalier et je sens son sourire approbateur lorsqu’ il découvre ma posture . Ma croupe est offerte à ses mains, à ses moindres désirs , à ses rêves pervers…. Je me délecte dans le miel de ce suave instant, sensualité féroce. Son compagnon de jeux fixe mes poignets à la barre au sol. Livrée……
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Par : le 09/10/17
Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !. Je m'assois . A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre... RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ». La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir. A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent. Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne. Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle. « Ne vous retournez pas ! » Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus. De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison. ….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ? Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée... On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses. J'attends. Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas. Un long moment s'écoule. Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins. Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un «  chchchut » très doux me calme. « Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute . « Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! » Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence. Au loin, hors, une rame de métro repart. Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux . A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu. «  Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux . « Gardez -les ouverts. » Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer. « Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! » Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente.. « A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ». De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée. Mes genoux commencent à me faire mal. Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent. « Resservez -nous donc deux flûtes. » Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif... Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure. « Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet. « Léchez ! » Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus. Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence . Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge. « Maintenant !» La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres. Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même. Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle... Peine perdue.Je débande. « Restez-là , reposez-vous.» Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent. « Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi. Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm. S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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Par : le 03/01/23
Daddy Dom little girl, ou DDlg en abrégé, est un type de relation BDSM qui consiste en un jeu de rôle, entre adultes consentants. Ce jeu de rôle proposère entre un adulte (le Daddy Dom, le "papa") et un partenaire dans un rôle (on parle bien de rôle !) plus jeune (la little girl, la "petite fille"). Elle est basée sur l'idée que la little girl a besoin d'être guidée et protégée par le Daddy Dom, qui l'aime et la nourrit, prends soin d'elle. Dans le jeu DDlg, il existe une dynamique dans laquelle les deux partenaires du couple négocient les rôles et les limites, ainsi que chaque pratique qui va être accepté". Le Daddy Dom ("papa") prend soin de la little girl ("petit fille") de toutes les manières, lui fournit une structure et des limites à respecter, mais l'aime aussi inconditionnellement. Cela peut inclure le fait de lui apporter un soutien émotionnel dans les moments difficiles et d'être compréhensif lorsqu'elle fait des erreurs. La little girl doit faire preuve de respect envers le Daddy Dom tout en s'amusant dans leur relation qui reste teintée de BDSM. Le rôle de la little girl consiste à faire confiance au papa-domaine pour lui fournir amour et conseils, tout en assumant la responsabilité de ses propres actions. Elle doit être prête à accepter la discipline lorsqu'elle est justifiée et à apprendre de ses erreurs. En retour, elles peuvent compter sur le papa-domaine pour obtenir un soutien émotionnel et une stabilité. Bien que le DDlg puisse prendre de nombreuses formes différentes en fonction de la dynamique propre à chaque couple, il consiste généralement en des activités de punition telles que la fessée ou des "punitions scolaires" comme le fait de devoir écrire des lignes ou de se tenir dans un coin comme on le ferait avec un enfant méchant. Il peut aussi s'agir de se faire des câlins, de lire ensemble des histoires à dormir debout ou de jouer à des jeux de société comme les dames ou les échecs. Dans l'ensemble, cette forme de relation BDSM est conçue pour créer un espace émotionnellement sûr où les deux partenaires peuvent explorer leurs fantasmes sans crainte de jugement ou de punition. Tant que chaque personne impliquée se sent en sécurité à tout moment, le DDlg peut être une expérience épanouissante ! Le rôle du Daddy Dom Un Daddy Dom est le leader et le protecteur dans une relation DDlg. Il assume le rôle d'une figure d'autorité en fixant des règles et des limites, en fournissant une structure et des conseils, et en servant de soignant aimant. Il veut nourrir et prendre soin de sa lg, tout en l'aidant à se développer pour atteindre son plein potentiel Il l'éduque en fixant des attentes et des directives claires afin qu'elle puisse se sentir en sécurité dans leur relation. Cela peut aller de l'étiquette de base à des responsabilités plus complexes comme la gestion des finances ou l'exécution de tâches ménagères. Il encourage également les comportements positifs par le biais de récompenses, comme les éloges verbaux ou l'affection physique En même temps, il utilise une discipline ferme lorsque cela est nécessaire pour corriger un comportement qui va à l'encontre des règles. Cela peut aller d'un avertissement sévère à la suppression de privilèges ou à l'application de punitions plus sévères si nécessaire. Il garde la communication ouverte avec sa lg afin qu'ils puissent parler de tous les problèmes qui se présentent sans jugement ni crainte de punition Le Daddy Dom veut aider sa little girl ("petite fille") à donner le meilleur d'elle-même tout en assurant sa sécurité, il l'a guide. Au fond, il veille à son bien-être et à son épanouissement ; que ce soit en la validant dans les moments difficiles, en l'encourageant dans ses réussites ou en lui offrant une présence réconfortante dans les moments difficiles, il veut s'assurer qu'elle a les outils nécessaires pour réussir dans tous les aspects de la vie. Le rôle de little girl Une little girl est une femme adulte qui prend part à la dynamique DDlg. Il est important de noter qu'en dépit de son âge et de sa maturité, une "little girl" prend une allure d'enfant dans la pratique DDlg. Cela ne veut pas dire qu'elle se comporte de manière immature, mais plutôt qu'elle revêt une certaine innocence juvénile au sein du couple. La little girl aspire à la sécurité et à l'amour inconditionnel de la part de son Daddy Dom. Il doit être quelqu'un qui lui apporte un soutien émotionnel, une protection et des conseils tout en étant enjoué et compréhensif vis-à-vis de ses besoins de femme adulte. Un Daddy Dom doit être capable de la réconforter en cas de besoin, mais aussi de faire ressortir sa confiance et sa force. Il nourrira l'enfant qui sommeille en elle et créera un environnement dans lequel elle se sentira suffisamment en sécurité pour explorer différents aspects d'elle-même. La "fille" ne fait pas exprès d'être vilaine pour être punie par son "Papa" Daddy Dom.Plutôt que d'être axé sur la punition ou la discipline, le DDlg se concentre davantage sur le développement de la confiance entre les deux partenaires par le biais du respect mutuel, de la communication et de la connexion émotionnelle. L'aspect sexuel du DDlg est généralement réduit au minimum, voire inexistant, l'accent étant plutôt mis sur l'instauration de la confiance et de la stabilité au sein du partenariat. Comment se déguise et se coiffe une little girl dans la relation DDlg Une little girl dans une relation DDlg s'habille et se coiffe généralement d'une manière qui reflète son rôle. Elle porte généralement des vêtements mignons qui véhiculent l'innocence, comme des robes à jupe bouffante, des volants et de la dentelle. Elle peut accessoiriser sa tenue avec des bandeaux, des arcs ou des rubans pour compléter son look En plus de cela, elle a souvent un grand choix de vêtements aux couleurs pastel dans sa garde-robe - surtout ceux avec des personnages de dessins animés comme Hello Kitty ou My Melody. En outre, elle porte des bas colorés ou des chaussettes qui montent jusqu'aux genoux, ce qui contribue à accentuer le caractère girly de son look. Pour être sûre d'être encore plus mignonne, elle associe généralement ces bas ou ces chaussettes à d'adorables chaussures Mary Jane En termes de coiffure, une lg a tendance à opter pour des coiffures classiques comme les tresses doubles ou les nattes. Parfois, elle choisit de les laisser tomber et de les coiffer en deux chignons de chaque côté de sa tête. Comme la coloration joue un rôle important dans ce style de vie - surtout lorsqu'il s'agit de la préférence du papa-domicile - certaines lg teignent leurs mèches dans différentes nuances de rose, de bleu et de violet. D'autres options populaires incluent l'ajout de perruques et d'extensions à clip pour des occasions spéciales, comme des événements à thème et des rencontres organisées par d'autres membres de la communauté DDlg Pour les accessoires, de nombreuses lg accessoirisent leurs tenues avec des animaux en peluche et d'autres objets qui représentent leur personnage d'enfant intérieur et les font se sentir plus à l'aise lorsqu'elles s'engagent dans ce type de relation de jeu de rôle. Les articles comme les tétines sont également populaires dans certains cercles car ils aident à faire ressortir l'attitude ludique associée au fait d'être une lg dans cette dynamique.        
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Par : le 06/11/22
Ce n'était pas notre première envie, il faut bien l'avouer. Nous étions plutôt bandeau, menottes, un peu de bondage pour débutants, etc. Bref, à nos débuts, nous étions assez mainstream, biberonnés à 50 nuances de Grey ! Et puis de jeux en jeux, l'idée a fait son chemin dans sa tête. Il me disait que j'étais sa chienne, lors de nos jeux... Alors après tout ... J'avais regardé les colliers dans les sexshops SM en ligne mais je trouvais plus excitant les vrais accessoires destinés aux animaux. Je ne voulais pas un collier qui soit un bijou ou un accessoire de mode. Je lui ai donc dit que je voulais bien mais que je voulais un vrai collier en cuir de chienne avec une vraie laisse en métal, vous savez celles avec des maillons très lourd authentiquement prévus pour l'animal. Je trouve que cela participe au symbole et à la cérébralité du truc ! Il s'est donc débrouillé en allant en animalerie et m'a fait la surprise et faut offert un bon gros collier et la laisse qui va bien. Il m'a avoué plus tard qu'il avait même envisagé d'acheter un collier d'occasion déjà porté par un animal, sur le bon coin, mais n'a rien trouvé de probant. Il ne s'agissait évidemment pas d'économiser dans l'achat du collier, mais que ce soit de facto un vrai collier de chien. L'idée m'aurait profondément excitée au demeurant. Bref. Mais le tout neuf était très bien aussi, de bonne qualité, très classique, en cuir de couleur noire, avec une grosse boucle en inox pour la fermeture, et la force du tout neuf c'est sans doute la plus forte odeur du cuir, j'y reviendrais. On a fini par essayer et j'avoue avoir tripé sur la connotation de possession et de domination/soumission. Comme l'expérience était faite avec préméditation, j'ai essayé de me concentrer sur les sensations et le ressenti du port du collier et de la laisse. La sensation de possession J'ai adoré cette nouvelle manière d'être son objet, d'être SA chienne, cela m'a vraiment bouleversé. Même si je suis un peu brat, je sais bien, et lui aussi, que je suis une soumise dans l'âme, qui ne switche que parce que j'aime les expériences et pour faire plaisir. Quand il a ajusté le collier autour de mon cou, j'en ai eu le cœur qui s'est affolé. Ceci pour dire que porter un collier et être tenue en laisse, m'a semblé très "gratifiant" ... Qualificatif un peu bizarre, j'en conviens. Je me suis sentie un peu plus possédée encore. Mon partenaire devenait vraiment mon maître. Et en plus de la sensation du cuir sur ma peau, la sensation sur mon cou, j'ai trouvé l'expérience enivrante de par l'odeur du cuir. Et maintenant, quand je sens l'odeur du collier, je me fais un peu chienne de Pavlov ;-) La sensation d'être dominée avec le collier Alors la sensation de soumission, d'être dominée, je commence à bien connaitre. Mais là, la sensation m'a semblé un peu plus forte encore que d'habitude une fois le collier en cuir et la laisse posée est dans le prolongement de la sensation de possession qui était le premier à m'être venu. Mon Maître a quasi aussitôt tiré sur la laisse pour voir (en réalité pour voir si le collier était bien fixé et pour vérifier les points d'attache). Moments d'appartenance, de soumission et de dévotion qui m'ont fait terriblement mouiller (et lui bander, c'était manifeste) ! J'ai senti que j'étais sous son contrôle, et à cet instant-là, j'étais habitée par le désir d'obeïr à toutes ses exigences. J'étais une bonne chienne, avec mon collier et ma laisse (de vous l'écrire maintenant, même avec le recul m'excite encore ...). La sensation d'être contrainte par le collier Ca m'a fait quelque chose de particulier d'être limitée dans mes mouvements , même si ce ressenti m'était moins inconnu puisque nous avons une panoplie d'accessoires de contraintes (menottes etc...). Cela fait vibrer les mêmes cordes que le bondage, grosso modo. Mon collier de chienne et la laisse, avait peut-être cela de différent qu'ils contraignent moins les mouvements (sauf quand mon partenaire a enrouler la laisse dans sa main pour me tenir au plus court, en mode dressage ... ouahhhh) mais qu'il sert (avec prudence je vous rassure) le cou : cela fait se sentir davantage encore à la merci. Je me suis sentie très vulnérable et le sentiment de devoir obéir allait au delà du jeu consenti. Le collier facilite la contrainte par le Maître. Un collier (bizarrement) rassurant J'ai trouvé aussi, encore un paradoxe, que cela avait quelque chose de rassurant. Difficile à expliquer ... mais dans l'idée que je m'en fais le maitre d'un chien ou d'une chienne, en prend grand soin, veille sur lui, se fait caressant sauf si la chienne désobéit. La sensation d'être tenue en laisse à un côté libérateur, finalement. Mon Dominant a globalement été attentif à mon bien-être, cela rejoint sans doute ce que l'on récent dans les pratiques d'infantilisation (je ne connais pas cette pratique, je ne fais que supputer). De ce point de vue le collier et la laisse offre une sensation d'importance et de valorisation, que je n'imaginais pas. Avant qu'on explore les pratiques BDSM et la domination/soumission, je crois que j'aurais trouvé ces histoires de colliers et de laisses assez dégradantes. Et très cliché, genre un soumis soixantenaire et bien en chair avec sa cagoule, sa laisse et son collier. Mais maintenant que nous connaissons mieux ce milieu et que nous avons de l'expérience, mon vécu me donne à ressentir tout ce que je pouvais ignorer quand j'étais vanille. Devenir une chienne, être d'une autre façon à la merci de mon dominant m'a donner des sensations complètement inattendus... et délicieuse. J'avais été dominée de bien des façons. Mais la force du symbole, la collection de sensations qui en découle, le lien que la laisse et le collier tissent entre les partenaires. Il y a plein d'autres ressentis qui m'ont traversé : le froid du métal est par exemple très érotique, surtout quand la chaine courre sur les tétons ... Rhaaa !!!), la posture de chienne avec son collier autour du cou est bien plus qu'une mise à quatre pattes ! J'ai adoré cette expérience. Ca se sent, hein ? ^_^ Je me retrouve attachée (c'est le cas de le dire) comme rarement à ce collier au point que nous avons décidé d'en acheter un second collier bdsm pour que je fasse vivre l'expérience à chouchou qui lui aussi aime bien être dominé à ses heures (mais pas trop souvent quand même :) ). Cette fois ci c'est donc moi qui vais l'acheter. Probablement dans une boutique spécialisée cette fois, j'ai vu quelques belles pièces sur les boutiques SM mais celles orientées gay. Je crois que cela lui irait très bien... A lire également : https://www.bdsm.fr/blog/8226/Bondage-:-conseils-et-accessoires/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/3763/Cagoule/ https://www.bdsm.fr/collier-appartenance/  
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Par : le 15/11/17
Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir.. Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir. Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin. En attendant la vie avait repris son quotidien. Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore. En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes. Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto : - « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... » puis : - « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée » A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre. Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant. Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante : - « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir » et de rajouter : - « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc » La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité. Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée. La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous. Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait : - « Vous êtes très belle mademoiselle... » Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment : - « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment. Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir... Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là... Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles... Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer. Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit. Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre. Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir... Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait. Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer. Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous. La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins. D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru. C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur. Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes. Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine. Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment. Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée. Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre. Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer. Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée. Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi . Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment. Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable . Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela. Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite.. J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations.. Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux. J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises. Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore. Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul. Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors. La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer.. Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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Par : le 24/08/16
Petite histoire à lire au chaud... de votre serviteur. +++ Noémie ne comprit pas, tout d'abord, ce qui lui arriva. Elle avait à peine ouvert la porte de sa maison sur cet inconnu, et n'eut pas le temps de lui dire bonjour : la main de l'homme s'était plaquée sur sa bouche. Elle fut saisie, et se retrouva couchée au sol, fermement maintenue sur son ventre par les mains de l'intrus tenant ses bras, et par le poids de son corps assis sur son fessier... incapable d'appeller à l'aide : une bande adhésive était maintenant fixée sur ses lévres. Comme elle se tortillait dans sa panique, son assaillant rit, et accompagna ses mouvements frénétiques ; elle luttait avec l'énergie du désespoir, mais l'homme lui ne faisait que jouer avec sa proie... il la laissa donc lutter, tout en appréciant de la voir gesticuler ainsi. Cela dura un certain temps, jusqu'à ce que Noémie ne s'épuise. Entre sa peur, sa respiration limitée à son nez et l'effort physique, elle ne pût continuer longtemps sa vaine lutte, et s'effondra sur elle-même, le souffle court. Bien qu'il fut amusé, l'homme avait vu venir cet abandon, et ses mains toujours serrées sur ses avants-bras, l'accompagna doucement pour qu'elle ne se fit pas mal au crâne. Puis il sortit comme de nulle part deux paires de menottes ; il commença par refermer la première paire sur les poignets frêles de sa proie, avant d'en faire de même pour la deuxième sur les chevilles... tout en appréciant le gémissement désespéré de cette dernière. Puis il se retira de sur Noémie, s'assit au sol non loin d'elle, et admira sa prise. La pauvrette pour sa part roula sur le flanc, n'osant point essayer de se relever. Noémie, prise par surprise, n'avait guère eu le temps de maintenir sa tenue. Uniquement vêtue d'un short court et d'un débardeur, maintenant couverte de sueur du fait de la peur et de l'effort, elle offrait une vision tout à fait exquise, et ses jolis yeux lançaient des appels à l'aide, emplis de frayeur, tandis que ses lèvres tremblotaient sous le scotch. L'homme sourit à cette vision, et poussa plus loin son examen... il voyait tout le corps de sa proie en état de choc frémir et frissonner dans l'expectative, et cela fit se dresser sa queue. Il se releva soudain, faisant sursauter Noémie, et se coula au-dessus d'elle, comme un scorpion sur le point de frapper... mais son dard attendrait pourtant. Il promena une main ferme sur les courbes de la fille couchée sur son flanc, flattant sa hanche, appréciant la chair. Puis sans prévenir il la fit de nouveau basculer sur le ventre, dans un cri étouffé. Là, il se porta son visage juste au-dessus du sien, et elle put voir son cruel rictus. Soudain, il avança une main... Noémie ferma les yeux et se crispa, mais il ne fit que gentiment bouger une méche de cheveux détrempée derrière son oreille, frôlant sa joue. Le geste fut doux, presque aimant... et Noémie, en dépit de sa situation, se prit à rougir. Cela n'échappa pas non plus à son assaillant, et le fit rire. Comme en récompense, il pinça son oreille. Noémie gémit encore, mais cette fois laissa faire ; qu'aurait-elle pu, de toutes façons ? Alors l'homme placa cette même main sur la fesse droite de sa proie. Ce geste non plus fut sans violence, mais Noémie cria, à travers son baillon sommaire. Une claque ferme sur cette chair tendre la fit taire immédiatement ; la surprise l'avait fait réagir, mais ce dernier acte n'avait rien d'ambigu : l'homme lui intimait le silence. Elle se tint donc coite, ne voulant pas l'énerver, bien que cette claque fut moins un coup qu'un simple avertissement. L'homme hocha la tête. "brave fille", lui dit-il, et elle réalisa que c'était là les premiers mots qu'elle entendait de lui. Il replaca donc sa main sur la courbe de cette fesse qui, désormais, lui appartenait comme son bien propre. Un geste d'appréciation, de propriétaire, sans excès, mais sans retenue. Il la tâta, la palpa comme un écuyer flatte la croupe d'un cheval. Puis il la fit vibrer un peu de petites claques, tout en pinçant de son autre main la fesse gauche... Noémie, de tout ce temps-là, tenta vainement de faire croire qu'elle ne ressentait rien ; il pouvait la voir frémir, battre des paupières, et virer au rouge. Ce fut lorsqu'elle s'y attendait le moins qu'il la releva brusquement, la soulevant par les avants-bras et le ventre l'ayant enlacée... il la fit glisser d'à plat ventre jusqu'à genoux, restant lui-même dans son dos et légérement au-dessus d'elle car posté sur un genou, l'autre jambe en arc, afin de mieux la maintenir, eut-elle tenté quoi que ce soit. Mais la malheureuse n'en était déjà plus là ; terrifiée autant que résignée, elle commençait aussi à ressentir comme une étrange sensation, d'être ainsi contrainte et maniée contre son gré... Son ravisseur le vit bien, lui qui n'avait pas choisi sa victime au hasard. Il esquissa un bref sourire, et se mit en devoir d'apprécier plus avant la qualité de sa proie. Le bras gauche toujours maintenant ceux de la fille dans son dos en dépit des menottes, il glissa le droit sur la taille de cette dernière. Noémie cria de nouveau lorsque la main scélérate empoigna la chair de son ventre, palpant et pinçant son nombril. Cette fois l'intrus la laissa aller, et se sentant libre de toute menace de représailles immédiates, elle se tortilla furieusement ! Mais lui n'en avait pas fini avec elle... Il lui saisit un sein, laissant échapper un soupir rauque et satisfait. Même à travers le tissu pouvait-il sentir la chair douce, et un détail le fit rire de nouveau. Bien que Noémie tentât de le cacher, ses larmes inondant maintenant ses joues furieusement rougies, l'homme put sentir sous ses doigts un petit point raffermi... il l'agaça, elle gémit, et son téton durcit encore. Ce ne fut rien comparé au véritable coup de foudre qui saisit tout son corps, lorsque délaissant son dos le bras gauche de son assaillant plongea par la taille, et que sa main s'empara de son entrecuisse. Désormais conquise, Noémie rua vainement une dernière fois, mais un bref quoique rude pincement dudit téton la mit en garde, et elle s'abandonna, arquée contre le corps qui à présent possédait le sien. L'intrus poursuivit son examen, palpant d'ici un muscle au ventre, tâtant de-là une cuisse dénudée... il laissa pour l'instant sauves les chairs les plus intimes de sa captive - car elle était désormais sa captive - et se mit en devoir de pétrir sous ses mains chaque autre part de son corps, pour lui signifier que rien de ses charmes ne lui était privé... et qu'il ne s'en prendrait à ses plus douces parts qu'en temps et en heure, bien qu'elle n'y pourrait rien le moment venu. Elle gémit, pleura doucement, mais en son for intérieur elle se surprit à apprécier son terrible péril, car privée de toute volonté la voici maintenant sans plus guère de faux-semblants. Et parce qu'il l'aimait déjà, lui la laissa glisser sur ses cuisses, lovée contre son poitrail et les jambes repliées sous elle, afin que sa position ne lui blesse point les genoux. Lorsqu'il en eut fini, l'homme se releva, et elle crut - et elle... craint ? - qu'il ne la quitte pour de bon, ayant eu son soûl. Mais cela bien sûr ne devait pas être. Il sortit une lame, et elle cria de frayeur. Une claque en pleine joue, plus ferme que douloureuse, lui intima le calme. Elle se raidit, et vit que ladite lame n'était qu'une grande paire de ciseaux. Pour cependant la rassurer, l'homme passa tendrement une main sur sa joue meurtrie, puis la fit glisser sur sa tempe pour lui caresser la tête, et finalement retomber au versant de sa nuque. Son regard fit comprendre à sa prisonnière qu'il ne la blesserait pas, et sa ferme caresse lui assura l'obéissance. Elle baissa les yeux, puis la tête, sous une dernière caresse réconfortante, et laissa faire. Il commença par son short, ouvrant le tissu et libérant son aine de ce carcan, ne lui laissant qu'une culotte de ficelle pour orner ses jambes à présent totalement nues. Puis son débardeur y passa, et il vit avec amusement que son soutien-gorge avait d'ores et déjà quelque peu glissé. Il en disposa. Ses jolis seins à l'air, il fit une pose pour admirer l'ouvrage. Flambée de honte, sa captive n'osait le regarder, désormais étendue sur le sol afin qu'il puisse tout voir d'elle. Entre sa chair et son ravisseur ne se dressaient plus que deux paires de menottes, un bâillon de scotch... et un string au demeurant charmant. Si elle s'attendait à ce qu'il lui ôte également ce dernier, elle en fut pour ses frais. L'homme, qui n'avait toujours pas pipé mot, produisit deux pans de soie, puis encore deux autres. Il se pencha sur elle, et la fit frémir. Mais il n'avait pas l'air de vouloir lui faire du mal, car il passa une main douce sur son petit ventre. Il parla : "tiens-toi tranquille, compris ?" mais ce n'était une question que pour la forme, car elle n'oserait plus le défier, du moins pas dans le but d'une évasion. Elle n'en hocha pas moins la tête, et osa le regarder, tandis qu'il déployait la soie. Puis il se mit en devoir de la lier de plus belle et confortable manière, selon un ordre minutieux qui, soupçonna-t'elle, ne devait rien au hasard. Il la fit se rassoir sur ses fesses, afin d'accéder à ses mains. Ôtant les menottes, il lia ses poignets d'un nœud de ce doux tissu, et elle lui en fut reconnaissante, tant les menottes dures et anguleuses pouvaient faire mal. Il la laissa se maintenir le buste droit, en appui sur ses mains, puis il fit de même avec ses pieds, ne résistant pas à la tentation de glisser ses doigts sur leur plante. A son petit sursaut, à la crispation soudaine des orteils, il sut qu'elle était chatouilleuse... et s'en réjouit cruellement. Elle fut effectivement plus belle ainsi, mais il n'en avait pas terminé. Arrachant le scotch de sa bouche, il la laissa reprendre un peu de souffle, bien qu'elle n'osât pas fixer ses yeux, ni émettre le moindre mot. Ainsi assuré de sa docilité, il lui sourit, puis noua le grand pan de soie tel un bâillon, et lui clôt la bouche avant que de la couvrir d'un deuxième tour, qu'un dernier nœud fixa sur sa nuque. Comme récompense, il y déposa un baiser qui la fit frissonner de tout son corps ; elle lui appartenait. Elle se demandait naïvement à quoi servirait l'ultime pan de soie, et le vit bientôt... ou plutôt ne le vit point, lorsqu'il serra le bandeau sur ses yeux. Ainsi ligotée, elle n'avait plus aucune liberté de mouvement, ni plus aucun sens actif ; privée de ses bras comme de ses jambes, de sa vue jusqu'à sa parole, elle ne pouvait qu'entendre, entendre et ressentir plus fort qu'à l'ordinaire ce qui l'entourait, pour le peu qu'elle en recevait. Le froid du sol sous ses pieds, ses fesses et ses mains... les pas de son ravisseur, et son odeur... et sa propre odeur, mélange de sueur, de peur et... et d'excitation - et à cette pensée elle manqua de mourir de honte ! Mais c'était pourtant bien ainsi : elle était désormais la captive d'un inconnu, bon gré mal gré, et en retirait bien moins d'angoisse qu'elle ne l'aurait cru. Elle n'eut cependant pas le temps de s'étendre sur la question, car l'homme était revenu. Elle le sentit se pencher sur elle, puis ses doigts frôler sa gorge... Doucement - délicieusement ? - effrayée, elle résolut de bien se conduire, et lova son corps, pencha subtilement sa tête pour lui présenter son cou, telle une proie vaincue s'offre aux crocs du prédateur ! Mais bien sûr elle ne le faisait là encore que pour échapper à sa colère, n'est-ce pas... ce n'était pas, voulut-elle se convaincre, comme si elle appréciait d'être ainsi traitée ! Alors l'homme, sans doute un peu surpris, marqua un temps d'arrêt, puis rit gentiment et lui pinça l'oreille une fois de plus, la massa aimablement entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle gémisse et devienne plus rouge encore. Puis il acheva son œuvre : elle sentit glisser autour de son cou une chose à la fois rude et douce, souple et ferme... ce ne fut que lorsqu'il le referma qu'elle comprit : telle une bête, le chasseur venait de coiffer sa proie d'un collier ! Tous deux restèrent ainsi un moment, pour qu'elle sache ce qui venait d'être accompli, et qu'elle en prenne la pleine mesure. S'il n'avait, en toute connaissance de cause, demeuré juste là à son côté, admirant ses formes et son port, elle aurait sans doute versé dans mille bouleversements, ou quelque panique soudaine... mais de le sentir juste là, et de savoir son regard sur elle, focalisait son esprit et l'obligeait à admettre la réalite : il n'y aurait nul sauvetage pour elle, ni déni de sa part : elle était captive... et elle adorait ça. Il se releva, et la laissa glisser de nouveau au sol, étendue sur le dos, dans un étrange état de plénitude. Nul choix, nulle voix au chapitre ne lui était plus autorisée, et bien qu'elle fut toujours apeurée, elle ne put que reconnaître que ce terrible sort ne lui déplaisait pas... serait-elle devenue folle ? Toute considération psychologique fut cependant chassée un instant plus tard, lorsqu'elle entendit revenir son ravisseur qu'elle n'avait pas entendu s'éloigner, trop concentrée sur elle-même pour prêter attention à ce qui l'entourait. Ce fut donc une surprise totale, et un certain choc, lorsqu'il déversa sur elle le contenu d'une bouteille d'eau glacée. Elle rua, cria sous la frayeur subite, mais cela ne dura qu'un instant. Elle se retrouva trempée des pieds à la tête, baignant dans l'eau sur le sol même, respirant à grandes goulées d'air par le nez, revenue de sa frayeur... et incroyablement excitée par la pure adrénaline de ce moment. "bien" l'entendit-t'elle le dire. "ces liens sont donc solides... parfait" Elle frissonnait, tremblait, sous le choc autant que sous l'effet de l'excitation. Mais il lui sembla confusément qu'elle avait aimé ça... Une main se posa sur son front, y chassa quelques mèches en bataille, et la caressa gentiment. L'eau et sa peau tendue accroissaient la sensation, et elle se prit à vouloir que cette même main descende le long de son corps ; plus bas bien plus bas dans sa chair offerte... Mais il n'en fit rien, car il savait la force d'un plaisir refusé. Tout au plus promena-t'il ses doigts sur le visage captif, lié par ses soins. Il testa le bandeau, chatouilla doucement sa joue et l'arête de son nez en y passant ses ongles, et les fit reposer à l'endroit de ces lèvres sous le bâillon... Abandonnée, elle y porta un baiser, qu'il fut satisfait de sentir malgré le tissu. "as-tu froid, petite femelle ?" Dans son état de transe, il lui fallut un petit moment pour comprendre qu'il s'adressait à elle. Elle hocha timidement la tête, et ne put voir son sourire. "tâchons donc de te réchauffer..." Elle se sentit saisie, portée telle une princesse captive dans les mains d'un rude geôlier, et emportée vers ce qu'elle savait être sa chambre. Plus jamais, ni maintenant ni plus tard, ne devait-elle protester. Jegesh
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Par : le 16/04/18
Je suis nue, comme toujours dans nos tête-à-tête. Madame aime exacerber mes sens, alors un de mes bas sert de bandeau. De toute façon je ferme les yeux, concentrée sur sa voix, ses mouvements, son parfum. Je suis contrainte par cette corde rouge que je connais si bien, la position de mes bras est inconfortable, mes jambes liées sont écartées pour me maintenir disponible. Une chaîne relie mon téton le plus sensible à mon piercing intime, un plug est planté dans mon sexe. L'amplitude de mes mouvements est très limitée. Madame joue avec moi comme un fauve avec sa proie. Elle se sert, elle m'utilise, elle dispose à sa guise. Je vis chaque sensation et chaque douleur avec cet indicible plaisir de me soumettre et de m'offrir à cette femme dont je connais aussi bien la douceur que le sadisme. Je suis en nage et inondée de désir. J'entends le petit "pop" du capuchon du feutre. Madame écrit sur ma peau. Je m'abandonne sans réserve. Je suis sa propriété, sa chose, sa chienne. Le temps s’écoule au rythme de ses pulsions et de ses caresses, mon cerveau sécrète en alternance de la dopamine et des endorphines, mes terminaisons nerveuses sont à vif, mon ventre est en feu. Madame finit par enlever le bandeau et délie la corde. La chaine et le plug restent en place. Je lis ses mots sur mon corps. *M's precious slut*. Le rouge de l'émotion me monte aux joues, violent. Madame me fait face et s'allonge à moitié. "Ne bouge plus". Je suis à genoux. Immobile. Le silence envahit la pièce. Elle me regarde. Longtemps. Il y a beaucoup, dans ce regard. #BMOM
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Par : le 21/05/18
Tout était prêt. Elle était entièrement nue, si l'on excepte le collier d'esclave qu'elle arborait fièrement autour de son cou gracile : un bandeau de cuir naturel épais et large, muni d'un solide anneau et de rivets en forme de clous tapissiers assortis en laiton ancien. Et bien sûr cette fine couche d'huile de massage parfumée à la fleur d'ylang-ylang dont je l'avais enduite et qui faisait luire de reflets soyeux sa peau déjà dorée par les premiers rayons de soleil de cette fin de printemps. J'avais pour ma part mis ce pantalon de cuir noir 'wet look' que j'affectionne, surmonté d'une chemise blanche "pirate" sans boutons mais lacée aux emmanchures et au col, et avais décidé de rester pieds nus. Je parcourais la pièce d'un dernier regard circulaire pour vérifier que je n'avais rien oublié. Les accessoires étaient disposés à leur place respective. Au milieu, la table basse de salon en teck massif naturel cérusé de blanc aux larges pieds bombés. Tout autour de la pièce, une multitude de chandelles aux couleurs chatoyantes l'éclairaient de leur lumière vacillante et chaleureuse... Et plusieurs cônes d'encens commençaient à diffuser leur parfum ambré et musqué aussi exotique qu'érotique ... Sur le canapé de cuir fauve à côté de la table basse, les ustensiles de plaisir qu'elle avait sélectionnés pour ce défi : un gode en verre 20x4 cms strié en spirale, un gode chapelet formé d'une succession de six sphères de diamètres successifs de 2,5 à 5 cms en silicone noir, un plug anal gonflable en silicone noir également, deux doigts chinois en TPR transparent aux nombreux picots , un double dong 45x3,5 cms en silicone transparent, un gode-phallus géant 30x4,5 cms en latex noir, un stimulateur clitoridien multi-vitesses, son vibromasseur vaginal Rabbit, et bien sûr son Magic Wand préféré ! Sans oublier bien entendu un tube de lubrifiant anal... Sur le côté, disposés sur une étroite mais longue console haute en bois adossée au mur de pierre, les instruments de "torture" que j'avais choisis pour cette séance : une grande bougie de cire rouge, des pinces à seins à vis de serrage et chaînette de liaison, une trentaine de pinces à linge en bois, une fine cordelette de chanvre, une roulette de Wartenberg, une canne en bambou, ma cravache de cuir noir, un martinet aux multiples lanières épaisses de cuir noir, et bien sûr mon fouet arabe préféré de cuir tressé noir d'une longueur de deux mètres... Satisfait de mon inspection, je lui dis "Je te rappelle les sept règles de notre jeu d'aujourd'hui : - tu peux utiliser tous les accessoires que tu as choisis et disposés sur ce canapé ; - tu ne dois pas quitter l'espace de cette table de salon, sur laquelle tu es libre de tous tes mouvements et positions, sauf si je te donne une instruction spécifique pour accéder à telle ou telle partie de ton corps ; - tu ne dois pas chercher à esquiver mes coups ; - tu peux gémir, crier, hurler, râler, geindre sans retenue, de douleur ou de plaisir, personne ne peut t'entendre ; - le jeu commence à la première note de la musique, et se termine à la dernière note : cette musique pour aujourd'hui est le Boléro de Ravel, dans la version de Charles Munch avec l'Orchestre de Paris, d'une durée de 16 minutes et 54 secondes ; - tu seras la gagnante si tu parviens à jouir avant la dernière note, et cette jouissance devra être visible sous la forme d'un jet fontaine ; dans le cas contraire, si je parviens à t'empêcher de jouir par la douleur infligée avant cette limite de temps, c'est moi qui serai déclaré vainqueur ! - et le vainqueur pourra disposer à sa guise du corps de son partenaire pendant le reste de la journée ! Sommes nous bien d'accord sur ces règles du jeu ? Une question ?" Elle plongea vers moi son regard si profond et langoureux, et murmura de sa voix douce et sensuelle : "Oui, bien sûr, pas de question, je suis prête". "Bien, le jeu peut donc commencer", répliquais-je. Et je me dirigeais vers la chaîne hi-fi, posais le disque de vinyle sur la platine tandis qu'elle s'asseyait sur la table basse, saisissait les deux doigts chinois et les enfilait prestement sur le majeur de chacune de ses deux mains. J'appuyais sur la touche 'Play', le bras de la platine se leva et vint se poser doucement sur le bord de la surface noire, et les deux enceintes Jean-Marie Reynaud Grand Opéra commencèrent à égrener les premières notes de la musique à la mélodie diatonique et au rythme à trois temps si envoûtant de Ravel... https://youtu.be/CJRE1y5uxOM . Croche-triolet, croche-triolet, croche-croche... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (pianissimo) Le tambour caisse claire en pianissimo... Les altos et violoncelles en pizzicato... La flûte qui entame la ritournelle en sourdine et en solo... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... Elle était assise, le torse rejeté en arrière, les yeux mis-clos, et n'avait pas perdu de temps : elle se caressait les tétons de ses deux embouts aux picots caoutchoutés... Je me saisis pour ma part de la pince à seins... Ses tétons étaient déjà érigés, ce qui facilita leur pose : je les serrais sur chaque mamelon, et elle ne put retenir une grimace de douleur, mais simultanément ses deux mains s'étaient dirigées vers son entrejambe, où elle commençait à masser sa vulve et son clito en lents mouvements circulaires et de va-et-vient verticaux... Je me munis alors du petit panier de pinces à linge et de la cordelette de chanvre, et commençais à les appliquer sur son corps, tout en enserrant la fine corde dans les arrondis du bois : deux pinces sur chaque sein, puis en descendant le long de son torse, de son ventre, pour finir sur ses cuisses un peu au-dessus du genou... Elle haletait de douleur contenue, mais je pouvais observer qu'en même temps ses lèvres vaginales étaient déjà toutes humides de désir... . Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (pianissimo) La 2ème flûte, la 1ère clarinette, la harpe, suivies du basson entrent dans la danse... Le son est plus appuyé, en mode 'mezzo piano' et 'piano'... Les 2ème violons en pizzicato et la contrebasse en alternance avec les bassons... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano) J'avais fini de poser la dernière pince. Elle venait de prendre le tube de gel anal, s'était mise à quatre pattes les fesses en l'air, et commençait à enduire sa fente anale, puis à élargir son petit orifice par des massages circulaires, avant d'y introduire un index, puis deux doigts, dont le majeur toujours encapuchonné de son doigt chinois... Je ne pouvais résister au plaisir d'administrer dans le même temps sur ce cul offert de façon si indécente à ma vue une série de claques magistrales et résonnantes au rythme de la musique : Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano) La petite clarinette en mi bémol fait entendre son timbre nasillard, tandis que les 2ème violons en pizzicato scandent le rythme en alternance avec la contrebasse et les bassons... Elle saisit le plug anal, l'enduit de gel, et commence à le presser contre sa rondelle déjà ouverte... Par de lents mouvements de va-et-vient, il s'enfonce doucement dans l'évasure frémissante, jusqu'à disparaître, entièrement happé par les constrictions du sphincter... Seuls le petit tuyau et la poire dépassent encore à l'extérieur, et elle commence alors sans perdre de temps à presser la poire... J'entends le suintement de l'air comprimé qui s'engouffre vers l'insert anal, et je vois sur son visage le sourire de plaisir qui l'envahit... Je me dirige alors vers la console, attrape la grande bougie et l'allume... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano) Le hautbois d'amour reprend la mélodie en solo... Les 1ers violons donnent de la voix en pizzicato... Le 1er cor se fait entendre... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (piano) Elle s'est emparé de son gode en verre spirale, et vient en caresser ses lèvres vaginales... Je verse une première goutte de cire rouge sang qui vient s'écraser entre ses deux seins, elle tressaille brusquement, et accélère le mouvement avec son gode spirale, dont l'embout ovale commence à s'insérer dans sa vulve humide... Je continue à verser le liquide chaud et rougeoyant... Sur ses tétons emprisonnés dans la gangue des pinces à seins, sur son ventre ondulant entre plaisir et douleur, sur ses cuisses aux muscles tendus par la morsure lancinante des pinces... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano) La 1ère trompette avec sa sourdine et la 1ère flûte à l'octave mêlent leurs timbres harmonieux... Suivis des flûtes, de la 2ème trompette et des 2èmes violons pizzicato... Puis du majestueux saxophone ténor en vibrato... Et à nouveau la 1ère trompette, le hautbois, qui accompagnent l'entrée du cor anglais, avec les 1ers violons pizzicato en soutien... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano) Le gode spirale en verre a fait son office... Il a pénétré de toute sa longueur dans l'orifice vaginal... Elle l'extirpe et se saisit maintenant du gode chapelet à six sphères, dont elle masse à nouveau sa vulve... La première des sphères, la plus petite, s'introduit sans difficulté dans son antre de plaisir, et ressort, rentre à nouveau, s'extrait et se réintroduit d'un mouvement lancinant calqué sur le rythme de la musique. Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo piano)... Puis la deuxième, un peu plus large, et la troisième, déjà d'un bon diamètre... Je continue à verser les gouttes de lave chaude qui font frémir sa peau et qui lui arrachent des gémissements plaintifs... La 4ème sphère, puis la 5ème disparaissent à leur tour... Je fais couler la cire de façon drue pour lutter contre le plaisir évident qui prend possession d'elle... Mais la sixième sphère, la plus large, de 5 cms, est maintenant entrée également, et les mouvements d'aller-retour s'amplifient sur toute la longueur du gode, sortant jusqu'à découvrir la 1ère sphère avant de s'enfoncer à nouveau jusqu'à la garde, au son du saxophone sopranino qui inaugure sa partition, avant de se faire couvrir par le saxophone ténor... La cire recouvre désormais abondamment son corps, tandis que j'étire ses tétons en tirant sur la chaînette de ses pinces à seins, générant une complainte rauque de sa part... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte) Rupture d'intensité et de volume sonore avec la 1ère flûte, la clarinette basse, les bassons, le 2ème cor et la harpe qui unissent leur force pour emplir la pièce de leurs harmoniques... Puis les flûtes piccolo, le 1er cor et le celesta, cet instrument si particulier et rare au son si pur... Et voilà les 3 trompettes qui s'ajoutent à la folle farandole, ainsi que le 4ème cor avec les arpèges de cordes en fond sonore... Puis viennent s'entrelacer les 2 hautbois, le cor anglais, les 2 clarinettes et le hautbois d'amour... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte) Elle s'est séparée de son gode à sphères, et a desserré la petite vis de la poire du plug anal qui se dégonfle, laissant échapper un petit 'pschitt' qui pourrait ressembler à une flatulence gâchant l'harmonie musicale du moment, mais qui en réalité s'apparente plutôt à une douce vesse en consonance avec le contrebasson... Elle s'empare alors de son double dong, dont elle introduit fébrilement l'embout le moins large dans l'orifice anal ainsi libéré et palpitant du plaisir d'accueillir ce nouvel hôte qu'elle fait coulisser au rythme de la caisse claire dont l'intensité a monté d'un cran... Pour ma part, devinant le danger d'un orgasme imminent, j'abandonne la bougie et part me saisir de la roulette de Wartenberg. Je lui demande de se mettre allongée sur le dos, les pieds dépassant de la table basse... Et je commence alors à faire rouler les griffes métalliques sur ses tétons, lentement, de façon légère d'abord, puis de plus en plus appuyée, jusqu'à ce qu'elles marquent la peau de petits points rouges espacés régulièrement... De son côté, elle courbe le double dong à 180°, et introduit le second embout, le plus large, dans sa chatte maintenant brûlante et assoiffée de plaisir... Les deux embouts sont enfoncés de 5 cms dans chacun des deux orifices auxquels ils sont destinés... Elle se saisit alors à deux mains du corps cylindrique courbé et entame des mouvements rythmés... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (mezzo forte) La 1ère flûte, le contrebasson, les clarinettes, le 2ème cor animent et accompagnent ses manœuvres... Le double dong s'enfonce jusqu'à 10 cms de chaque côté... Je fais glisser la roulette vers son ventre, ses cuisses, ses mollets... Elle frémit... Puis je m'agenouille devant ses pieds, que je maintiens d'une main solide... Et l'applique brusquement et fermement sur la plante de ses pieds... Et, simultanément avec le suraigu sostenuto du 1er trombone qui éclate à ce moment précis, elle laisse échapper un cri de douleur et agite frénétiquement ses jambes pour échapper au diabolique instrument... Mais rien n'y fait, je continue à meurtrir la chair si tendre à cet endroit, tandis que, impuissante, pour compenser son tourment, elle engloutit le double dong de 45 cms jusqu'à la garde en des mouvements éperdus... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Rupture d'intensité à nouveau, on entre dans le 'forte'... J'abandonne la roulette, il est temps de passer aux choses sérieuses ! La 1ère trompette, le 4ème cor et les tutti de cordes font sonner leur puissance... Les bois font entendre leur souffle... Les bassons, contrebasson, cors et timbales font éclater leur vibrations dans un joyeux tintamarre ! Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Je lui demande de se mettre de nouveau à quatre pattes maintenant. A mon regard déterminé, elle sait ce qui l'attend... Elle extirpe le double dong de ses tréfonds, et s'empare du gode-phallus géant, sur laquelle elle s'empale résolument, tandis que je saisis la badine de bambou et la fait siffler dans l'air pour en apprécier la souplesse... Un premier coup, léger, s'abat sur son joli fessier... Puis un deuxième, plus dru, vite suivi d'un troisième; qui lui arrache un mugissement rebelle... Elle active le gode géant en elle pour faire monter le plaisir, mais la badine de bambou cingle au rythme de la musique... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Les piccolo, flûtes, hautbois, clarinettes et 1ers violons résonnent bruyamment... Ses fesses s'enrichissent de zébrures roses, puis rouges vermillon, puis rouge carmin... Elle tressaute sous les coups, tandis qu'elle ondule simultanément sous l'effet des ondes de plaisir du gode-phallus... J'échange la canne de bambou pour la cravache, je sais qu'elle déteste cet instrument, dont les percussions la font maintenant sursauter au rythme des caisses claires et au son des bois, des violons et de la 1ère trompette, puis du 1er trombone... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) On approche de la fin... Elle le sait aussi... Il nous reste trois minutes pour gagner ou perdre la partie... Nouvelle rupture d'intensité sonore... Les bois aigus, les cors, les cordes s’époumonent, et la 2ème caisse claire amplifie la cadence... Les piccolo, flûtes, saxophones, petite trompette, 3 trompettes, et 1ers violons reprennent la mélodie en l'amplifiant... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Je pars reposer la cravache et prends le martinet. Elle profite de ce court moment de répit pour abandonner le gode-phallus qu'elle laisse rouler à terre, et s'emparer simultanément de son stimulateur clitoridien multi-vitesses et de son vibromasseur vaginal Rabbit... D'une main, elle enfourne le Rabbit dans sa fournaise vaginale et actionne le bouton 'On'... De l'autre main, elle met en route le stimulateur clitoridien et l'applique résolument sur son petit bouton de plaisir... Je sens que l'orgasme peut éclater à tout moment... Je fais cingler énergiquement les lanières du martinet sur ses fesses, sur son dos... Elle crie, elle fulmine, elle glapit, elle grogne... Elle actionne le bouton d'intensité de ses deux vibros... Je dirige les lanières vers la plante de ses pieds, que je sais si sensibles, au rythme envoûtant de la musique... Elle rugit, s'égosille, vagit, vocifère ! Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (forte) Les 4 trompettes, le 1er trombone et les 1ers violons font entendre toute leur force ! L'hallali est proche, à peine plus d'une minute... Le temps est venu pour le dernier instrument, le plus puissant, le plus redouté, le plus impitoyable, le plus cinglant : le fouet ! Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) On approche de la fin... Elle le sait aussi... Il nous reste trois minutes pour gagner ou perdre la partie... Nouvelle rupture d'intensité sonore... Les bois aigus, les cors, les cordes font vibrer l'air de façon presque papable, et la 2ème caisse claire amplifie la cadence... Les piccolo, flûtes, saxophones, petite trompette, 3 trompettes, et 1ers violons reprennent la mélodie en l'amplifiant... La modulation en mi majeur de tous les instruments simultanés annonce le grandiose finale... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Elle m'a vu saisir le fouet. Alors elle laisse à son tour tomber les deux vibros, et empoigne son Magic Wand, le branche et l'applique vigoureusement à deux mains sur sa vulve trempée et dégoulinante... Je devine à son regard vide aux yeux révulsés en arrière et à sa bouche grande ouverte essayant d'aspirer l'air à grandes goulées dans une respiration haletante qu'elle est au bord de la jouissance... Alors, j'administre sans tarder les coups de fouet, au rythme et avec l'intensité maintenant surpuissante de l'interprétation de Munch et de l'Orchestre de Paris... La lutte est féroce, entre l'instrument magique de plaisir, et l'instrument prodigieux de supplice ! Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Ce sont les dernières dizaines de secondes... La première série des répétitions de grosse caisse, de cymbales, de tam-tam, des glissandos de trombones... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Je sais qu'il ne faut pas laisser d'espace libre ni de temps mort, que le Magic Wand est irrésistible, que le moment est venu de jouer ma dernière cartouche ! Je la fais asseoir au bord de la table... Je saisis les deux brins de la cordelette enfilée dans les 30 pinces à linge apposées sur son corps... Elle comprend immédiatement mon intention, me regarde d'un air de défi, et pousse son Magic Wand sur le cran le plus élevé de vitesse de rotation... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Le grand accord de tous les instruments simultanés résonne, celui qui précède de quelques secondes l'écroulement final... Tam... Tatatatam... Tatatatam... Tam... Tam... Tatatatam... (fortissimo) Je tire brutalement sur les deux cordelettes, arrachant en un éclair toutes les pinces... Les dernières notes retentissent et au même instant un hurlement strident s'exhale de sa gorge, tandis qu'un jet liquide puissant jaillit de sa vulve et se projette à plus d'un mètre, inondant au passage mon pantalon de cuir !!! Puis elle s'écroule en avant, à genoux, contre moi, enserrant mes jambes de ses bras, pantelante, tremblante de tous ses membres, agitée de soubresauts spasmodiques, le regard vitreux et le souffle court... Et, dans un murmure à peine audible mais que le silence retrouvé rend perceptible, elle dit "Merci !"... A mon tour, je lui réponds "Merci, aussi". Et nos deux regards se croisent, vibrionnants de plaisir et de désir...
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Par : le 17/09/22
Soumise Lily, chapitre 1 J’ai toujours été attiré par le bdsm, la soumission, domination, etc… et c’est il y a quelques années que je me suis lancé dans ce monde très vaste, rempli de plaisir, d’une façon inattendue. Je tiens à signaler que tous les prénoms ont été changés pour garder l’anonymat. Cela ce passe en mi-septembre, étant célibataire, je suis inscris depuis quelques temps sur une application de rencontre classique très connu. Après avoir discuté avec quelques filles sans trop de résultat, je commence à bien parler avec une certaine Lily. Elle ne recherche rien de sérieux car elle est plongée à fond sur ces étude et cherche donc juste à s’amuser un petit peu. La conversation dérape vite sur des sujets plutôt coquin et surtout sur le bdsm. Elle me dit être beaucoup attiré par ce milieu mais n’a jamais eu l’occasion d’essayer. Après avoir échanger pendant quelques heures sur ce sujet on prévoit de ce rencontrer pour une première séance la semaine suivante. Le jour du premier rendez vous est là, nous nous retrouvons dans une rue à côté de son domicile. Je suis garé sur une place de parking le long de la route et je la voit arrivé. Elle est très belle, cheveux brun avec une coupe au carré, une poitrine très généreuse qu’elle as bien mis en valeur grâce à un petit chemisier assez ouvert, une jupe noir assez courte et une jolie paire de talon. Elle monte dans la voiture et on se fait la bise. Je la sent un peu stressé et nerveuse. Nous décidons d’aller au restaurant et de revenir chez elle après. Tout se passe très bien, elle est assez timide au début, mais plus la soirée avance, plus la timidité s’efface. Nous sommes de retour dans la voiture et je lui dit : -As tu mis une culotte ? Je t’avais donné comme consigne de ne pas en mettre ? Je la sent gêné et me répond -J’en ai mise une, je suis desolé mais cela me gênait de ne pas en porté. -Tu sais que cela te vaudra ta première punition, tu en es consciente ? -Je le sais et j’accepte cette punition…. Après quelques minute nous arrivons sur le parking, descendons de la voiture et nous nous dirigeons en direction de son appartement. Nous montons les escaliers, et arrivons enfin devant sa porte, elle la déverrouille et s’apprête à l’ouvrir. Je là stop dans son élans : -Du moment où tu ouvre cette porte tu es à moi, tu ne fait rien sans que je te l’ordonne, tu ne parle pas si je ne te pose pas de question, et tu m’appel maitre ! Elle hoche de la tête pour me montrer qu’elle a compris et ouvre la porte sans hésiter. Nous pénétrons à l’intérieur et nous installons sur le canapé. Après avoir bu un verre de vin je la regarde droit dans les yeux et je lui demande si elle est prête. -Oui je suis prête, prête à être votre soumise… maître. -Bien, alors vas dans la chambre, je te laisse 10 minutes pour te déshabiller entièrement, et m’attendre à genoux devant le lit. Je la regarde partir et au bout de ces 10 minutes, je me lève également en direction de la chambre. J’ouvre la porte, je la voit, au pied du lit , à genoux, entièrement nue et cela m’excite beaucoup. Sans rien dire, je pose mon sac par terre et en sort un bandeau pour les yeux que je lui met directement. -Lily, met toi debout que je t’observe. Elle se lève et je peu voir tout son corps, je le regarde, lui demande de tourner sur elle même que je puisse voir l’intégralité de ces formes. Elle as des courbes parfaites, que ça soit ses seins, ses fesses, ses jambes … Je lui demande de se pencher en avant sur le lit, jambe assez écartée pour avoir une vu assez dégagée sur son entre-jambe pour voir si, comme je l’avais ordonné avant notre rendez vous, elle s’était épilée intégralement , et c’était le cas. -Tu as marqué un bon point soumise, tu as fait ce que je t’avait ordonné, mais tu n’échapperas pas à ta punition pour ta culotte ! -Je suis prête maitre, punissez moi ! Étant debout, penché sur le lit et les fesses bien cambré je lui dit de rester dans cette position. -Reste comme ça, et compte, tu aura le droit à 5 fessées ! Pour la première je reste gentille, et au fur et à mesure qu’elle compte, l’intensité de ma main sur ses fesses est de plus en plus forte, ces fesses commences à rougir -4 … La dernière claque est bien plus forte que les autres, et Lily est surprise, mais je voit que ça l’excite beaucoup en vue de sa petite fente qui s’humidifie a vu d’œil. -5 … merci maître. -Je voit que tu as retenu tout ce que je t’ai dit ! C’est bien Lily. Elle est toujours dans la même position, et j’en profite pour faire glisser mes doigt en remontant le long de ses jambes, jusqu’à ces petites lèvre trempées par le nectar qui en coule. Je l’entend gémir de plaisir tandis que mes doigt commence à la pénétrer en douceur. Je me stop et vais chercher dans mon sac un petit plug ainsi que du lubrifiant. Je lubrifie son petit œillet mauve, et commence à y glisser le bout de mon doigt. Je la sent se crisper alors je la rassure. A force des petits vas et viens que j’effectue , je la sent plus à l’aise et plus détendu, j’en profite pour glisser un deuxième doigt, que je met un moment à rentrer convenablement. J’entame quelques vas et viens, j’entends Lily respirer fort puis les respirations se transforme en gémissement, je comprend vite qu’elle commence à aimer ça. J’enduis le plug en métal de lubrifiant et positionne le bout à l’entré de son anus. Je pousse un tout petit peu et celui ci rentre très facilement à ma grande surprise. Alors je décide de prendre la taille au dessus , le lubrifie et entreprend de remplacer le plus petit. Il rentre plus difficilement que le premier, mais trouve parfaitement ça place. Lily sent comme un vide qui s’est comblé, c’est une sensation très bizarre mais loin d’être désagréable. Je dit à ma soumise de se remettre à genoux, sur le sol. En plus de son bandeau , je lui rajoute une paire de menotte pour lui attacher les mains dans le dos. Je la regarde, elle est là,captive, là, devant moi, à genoux, attaché, les yeux bandés et ne sachant pas ce qu’il va se passer ensuite, elle respire fort, car elle est très ecxitée , je le ressent. Je me déshabille entièrement. Je bande déjà très dure. -Ouvre la bouche et tire la langue soumise ! Elle s’exécute. Je pose délicatement mon gland sur sa langue et sa première réaction es de l’enfoncer dans sa bouche. -Lily, je t’ai dit quoi ? Tu ne fait rien si je ne t’en ai pas donné l’ordre ! Compris ? Sinon tu aura le droit à une autre punition ! -J’ai compris maitre, mais toute cette situation m’excite beaucoup ! Je repose mon gland sur sa langue et fait de petit vas et viens sur celle-ci, en allant de plus en plus profond et de plus en plus vite. J’attrape ces cheveux, et maintiennent ça tête plaqué contre mon bas ventre, au bout de quelques seconde, je relâche la pression, et je répète ça plusieurs fois. Après quelques vas et viens au fond de sa gorge, je me retire, la relève, et je la pousse sur le lit, toujours les mains attaché dans le dos. Je la met à genoux sur le lit, la pousse en avant, et elle se retrouve sur les genoux, tête sur le lit, les mains lié dans le dos avec les fesses bien tendu, offerte. Je voit le plug qui scintille entre ses fesses et décide de lui retirer. Je retourne vers mon sac et attrape un vibro ainsi qu’on gode de taille moyenne. Pendant plusieurs minutes je joue avec le gode, en alternant entre l’anus et sa petite chatte (qui ne demandais que cela) mais je passe aussi le vibro entre ses lèvres pour lui stimuler le clito. Elle ronronne de plaisir , ne peux plus se retenir de gémir, de plus en plus fort, et au bout de 15 min, c’est la délivrance, elle est prise d’un orgasme qu’elle ne peu contrôler, un orgasme comme jamais auparavant elle n’a vécu. Il faut dire que cette situation l’excitait au plus haut point, le faite d’être attaché, les yeux bander, et ne rien pouvoir contrôler, tout ce mélange, elle y avait pensé de nombreuse fois. Après qu’elle ai jouis pendant longtemps, je décide de la détacher, et de retirer le gode de son petit cul. Je le retire délicatement et une fois retirer , Lily ressent comme un vide à l’intérieur d’elle, une sensation que jamais auparavant elle avait ressentit. Sans lui débander les yeux, je lui demande de se mettre allonger sur le dos, je lui attache les bras aux coins du lit , et les jambes, aux bras, de sorte à ce qu’elle me soit bien offerte. J’aime voir une soumise offerte de la sorte. Je m’approche d’elle e commence à frotter ma queue sur sa petite chatte, elle essaye de se débattre, car après son orgasme, la sensation est insoutenable, pas mauvaise mais insoutenable. Puis, au bout de quelques instant, je la pénètre d’un coup sec, ça rentre tout seul tellement elle mouille ! Elle jouis, elle adore ça, que je la pénètre sans ménagement ! Je pose ma main autour de sa gorge et serre un peu tout en la pénétrant avec beaucoup de vigueur. Au bout d’une dizaine de minute, je décide de m’occuper de son petit cul, je pose mon gland sur son anus, et pousse doucement. Ça rentre plutôt facilement, le lubrifiant aidant beaucoup, ainsi que la petite préparation. Je fait des vas et viens, plus doucement , en prenant soins de m’y enfoncer jusqu’au bout et je sent la jouissance monter en moi ! Je me retire, et la détache, en prenant soins de bien laisser son bandeau sur les yeux. Je la fait mettre à genoux, par terre en face de moi. -Maintenant, suce moi, je veux jouir dans ta bouche soumise ! À tâtons, elle attrape ma verge gonflé de sang et la prend en bouche sans hésitation ! Elle entame des vas et viens rapide, et quelques minutes après je jouit dans sa bouche, mon corps est parcouru de spasme et je m’effondre sur le lit ! Sans rien que je lui dise, elle avale tout d’un coup ! -Soumise, qui t’a dit d’avaler ? -Personne maître… -Alors à notre prochaine séance tu sera puni ! C’est comme ça que s’est terminé notre première séance,elle avait trouvé son maitre avec la promesse de revenir très vite !
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Par : le 18/10/21
Bonjour la communauté ! J'ai décidé de me mettre à écrire, je ne sais pas ce que ça vaut, j'attends vos retours pour savoir si je continue à publier. Ce récit est fictionnel. Toute ressemblance avec les fantasmes de l'auteur seraient totalement fortuites. Quoique... Bonne lecture ! CHAPITRE 1 Attiré depuis bientôt 5 ans par le BDSM et spécialement par la soumission, j'ai décidé de m'y investir un peu plus intensément. Jusqu'à présent, je n'avais fait qu'un peu de selfbondage avec ce que j'avais sous la main comme du scotch pour remplacer le baillon, ou un tee-shirt en guise de bandeau. Il me fallait passer au niveau superieur. J'ai donc cherché un endroit pour une séance de soumission. J'ai fini par trouver ce que je cherchais : un hôtel qui propose des séances de soumission. J'ai envoyé un mail pour prendre rendez-vous. En guise de réponse, j'ai reçu un questionnaire à remplir. Allons-y. Nom : Xavier Age : 23 ans Situation sentimentale : célibataire Nombre de visites au donjon : 1ère fois Experience BDSM : Aucune Experience sexuelle : Aucune Un vrai puceau quoi. Suivaient d'autres questions sur les pratiques, les limites, un rappel sur le consentement... Quelques heures après avoir renvoyé mon questionnaire, j'ai reçu un message me donnant les indications pour me rendre sur place ainsi que quelques informations comme le fait de ne pas prendre d'affaires personnelles, excepté la cage de chasteté qui n'est pas fournie. La date était également mentionnée : le mercredi de la semaine suivante. L'attente allait être longue. Le mercredi suivant, au matin, j'ai décidé  de passer la journée avec ma cage de chasteté afin d'éviter une excitation trop précoce. Comment dire que la journée a été longue ? Je ne cessais de me demander comment allait se passer la soirée. Vers 20 heures, j'arrivais à destination. De l'extérieur, cela ressemblait à un petit château ou une grande maison d'hôtes. Un mélange d'excitation et d'appréhension s'est emparé de moi. J'hésitais à entrer... A suivre...
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Par : le 20/03/21
J’attendais ce collier avec impatience. Maîtresse me l’avait choisi. Il est enfin arrivé et Elle a décidé de me le passer officiellement à l'occasion de ce « Munch and play » organisé dans la région. Cette officialisation devant témoins me plaisait beaucoup. Ce Munch était aussi ma première sortie avec Maîtresse comme soumis officiel. Elle m'a imposé un dress code très féminisé avec bas, porte-jarretelles, robe, bottes à talons, perruque brune et boucles d’oreille. Maîtresse m’a mis mon ancien collier et me tenait en laisse dès que nous sortions de la voiture. Récemment Maîtresse m’a lancé un défi de chasteté totale, je suis donc encagé et plugué. Les dernières recommandations tombent avant d'accéder à ce Munch mais comme il est un peu tôt, Maîtresse en profite pour faire un petit tour en centre ville. J’appris plus tard qu’elle aurait bien fait un petit échauffement en extérieur, malheureusement le centre ville ne s’y prêtait pas et elle en fut probablement frustrée. En bon soumis, je me tiens tête baisée en retrait de Maîtresse tout en évitant que la laisse soit tendue. Les passants sont assez nombreux à cette heure-ci. Je n’ai pas encore l’assurance pour soutenir leur regard mais finalement me regardent-ils vraiment ? J’admire Maîtresse, sa démarche droite, élégante et sa belle prestance. Certes j'ai un peu honte mais au final, je suis heureux à ses pieds et puis Maîtresse semble tellement contente de guider son soumis à travers ces rues. Maîtresse s’arrête devant une porte cochère. Je lui ouvre la porte. Elle me précède dans l'escalier. Sur le palier de l’étage, Maîtresse sonne. La porte s’ouvre promptement. Tête baissée, je dis «bonjour» assez maladroitement me semble-t-il tandis que Maîtresse engage une conversation guillerette. Elle enchaîne immédiatement par les présentations aux invités déjà présents. Quelle fierté de I'entendre dire "Rnby, mon soumis". Je reste là, silencieux, tête baissée, debout ou agenouillé selon sa volonté. L'appartement est bien équipé en points de fixation, croix de saint André, et autres. Notre hôte, dominant expérimenté, ne manque pas d'accessoires. Maîtresse avait déjà tout organiser pour que son jeune contact ici puisse prendre les photos de ma remise de collier. L'émotion me submerge. Maîtresse me retire mon ancien collier et je lui présente mon nouveau à genoux, bras tendus au-dessus de ma tête comme elle m’a appris. Elle s'en saisit délicatement, l'ouvre et me le referme autour du cou. CLIC, c'est fait, je suis encore bien plus sa propriété. Je suis ému, au bord des larmes, admiratif en regardant Ma Maîtresse. Je la trouve resplendissante et me jure de la vénérée comme elle le mérite. Nouveau clic avec la laisse, elle me tire au sol. Elle me possède tellement que mon corps suit naturellement. Talon sur mon torse, elle sollicite la résistance de mon collier qui malheureusement se détache trop facilement. Il est beau mais fragile. Maîtresse préfère s’attacher à la symbolique «Tu le porteras quand tu sortiras, il est discret». C’est avec un collier plus solide que Maîtresse ma ramène à genoux contre le divan, quelques essais de cravaches me chauffent les fesses avant un petit repas canadien. Un buffet est dressée au centre de la pièce avec les plats amenés par tous mais aussi avec les délicieux Sushi préparés par nos hôtes. Maîtresse me demande d’aller chercher ma gamelle et je peux ainsi manger à 4 pattes dans un coin du salon. Je m’imagine égoïstement que tous les yeux sont tournés vers moi. Mais non, quelle bêtise, dans cette ambiance mon comportement ne dénote pas puisqu’il est la volonté de ma Maîtresse. Je sais que je suis à ma place ici ou ailleurs. Je mange naturellement et je lèche ma gamelle avec application. Dès le repas terminé, c'est Maîtresse qui lance les premiers jeux et bien sûr vous devinez qui est son jouet. Elle m’attache nu à un crochet qui tend mon corps, me passe un bâillon boule qui me fait baver d’emblée et me réduit au silence. Un bandeau sur les yeux ne tarde pas à me priver de la vue. Maîtresse m'introduit un crochet anal et en profite pour me diriger en tirant dessus. J'essaye de me présenter du mieux que je peux pour recevoir ses supplices. Elle dispose de plusieurs fouets qu'elle manie aisément. Les sensations sont différentes pour chacun d’eux mais je ne vois pas leur forme. Maîtresse m'annonce les impacts dos, dos, fesses délicatement avec le fouet puis les lanières s’abattent alors sur mon corps comme annoncées. D’autres séries suivent fesses, dos, fesses, dos, et bien d’autres encore. Maîtresse me réserve quelques surprises, ne suit pas les annonces, varie les coups pour me déstabiliser. Ma peau se lacère de bleu, de rouge, se pare de traces géométriques propres à chaque fouet. Maîtresse me souffle dans l’oreille «encore ?», j’acquiesce en hochant la tête et en gémissant un oui incompréhensible à travers le bâillon. Les mains tendues sur ma laisse, je résiste. La douleur est forte surtout quand les coups sont répétés aux mêmes impacts. Maîtresse me soulage en venant tendrement contre moi. Elle passe sa tête au-dessus de mon épaule et me souffle quelques mots «doux» comme «j’aime te fouetter ma salope», ou «tu es à moi» et bien d’autres. Sa tendresse me rassure, je retombe dans une sorte de sérénité. Maîtresse marque de plus en plus mon corps. Elle le fait avec la dextérité et la fougue que je lui connais. Je sens Maîtresse de plus en plus excitée, les fouets dansent entre ces doigts agiles, un puis deux simultanément. Les lanières virevoltes, sifflent à mes oreilles. Leurs extrémités effilées viennent meurtrir mon corps, tout à la fois cinglants et mordants. Maîtresse s’emballe et les lanières s’abattent avec force et rapidité sur ma peau. Je gémis, tire sur mes attaches, je me tortille mais je suis bien obligé de reconnaître que Maîtresse a encore gagné. Des «pitié» étouffés s’échappent de ma gorge même si je désire intérieurement que les lanières continuent leur travail sur ma peau écarlate. Bien sûr Maîtresse ignore mes premières supplications ; chaque fois elle repousse un peu plus mes limites. Les derniers coups me laissent pantelant au bout de mes attaches. Maîtresse me susurre à l’oreille qu’elle m’aurait bien baisé mais cela ne peut pas se faire ici. Elle prend soin de moi, réchauffe mon corps en détachant mes liens et mes bâillons. Je tombe à genoux épuisé mais fier d’avoir montré à Maîtresse que je mérite son collier. J’ai quartier libre pendant que Maîtresse s’entretient avec d’autres invités. J’en profite également pour faire connaissance et échanger sur les motivations de chacun. Deux couples s’encordent doucement. C’est élégant et le montagnard que je suis apprécie tout particulièrement l’élégance de ces entrelacements et de ces nœuds. Chaque personne a ses préférences mais l’on ne ressens que de l’admiration et jamais de jugement ou de jalousie, comme si chacun s’imprégnait du savoir de l’autre. L’après-midi avance et il faudra bientôt quitter ce lieu de plaisir. Prêt à partir, Maîtresse jette son dévolue sur une invité un peu trop bavarde au goût d'un certain nombre de convives. Maîtresse est joueuse et ça l'embête de partir sans avoir attrapé quelqu'un, alors elle l'attire dans ses filets, exécute sur  sa proie  un shibari improvisé avec les cordes que lui a mis à disposition notre hôte. Rapidement, sans même que la femme s'en rende compte, les cordes l’entourent et la bâillonnent. Maîtresse décide alors de partir la laissant immobilisé et sans voix, ce qui fait rire tout le monde. Satisfaite, Maîtresse m'indique la sortie puis elle salue  tout le monde d'un signe de la main et d'un large sourire. Je dis au revoir de loin,non sans un petit pincement au cœur. Indiscutablement Maîtresse a apprécié et me le fait savoir. Je ne vois pas le retour passer. Maîtresse en profite pour sélectionner les meilleurs photos et me les envoyer. S’ensuit un petit débriefing où elle me félicite pour mon comportement et me signale aussi mes erreurs de débutants. Finalement la passion l’a emportée sur le stress et je me suis senti à l’aise aux pieds de Maîtresse. Lui donner du plaisir est essentiel et ce ne sera probablement pas la dernière fois. 
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