La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/12/18
Sans avoir retrouvé un lexique ici sur tous les termes possibles et imaginables en BDSM, et en étant parfois perdue sur certains de ces termes, je reprends un lexique trouvé sur Fet-Life, plutôt bien documenté : s'il est déjà publié ailleurs, vous m'excuserez de ne pas avoir assez cherché et j'effacerai celui-ci Allez, c'est parti ! Case Gender Male (M) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'une homme ; Female (F) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'un femme ; CrossDresser/Transvestite (CD/TV) - une personne qui aime s'habiller et se comporter dans le style et les manières généralement associés au sexe opposé ; Trans - une personne dont le sens de l'identité personnelle et du sexe ne correspondent pas au sexe biologique assigné à la naissance. ** Male to Female - homme vers femme (MtF) ; ** Female to Male = femme vers homme (FtM) ; Transgender (TG), terme vaste qui englobe toutes les personnes qui sortent du cadre traditionnel du genre qui leur a été assigné ; Gender Fluid (GF) - une personne qui fluctue entre plus d'un genre, ou entre avoir un genre et ne pas avoir un ; Genderqueer (GQ), une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au binaire mâle-femelle. ; Intersex (IS) - une personne née avec une anatomie reproductive ou sexuelle qui ne semble pas correspondre aux définitions typiques de femmes ou d'hommes. ; Butch (B) - une personne généralement identifiée comme une femme mais dont les rôles sociaux et relationnels sont perçus par beaucoup comme masculins, ayant souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Femme (FEM) - une personne qui a une apparence ou d'autres caractéristiques traditionnellement considérées comme féminines, et qui ont souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Not Applicable = pas applicable. Sources : Mais qu'est ce que ça veut dire? - cherche traduction Anglais/français - Kinktionary Case Sexual Orientation Straight = hétérosexuel. Heteroflexible = personne qui s'identifie comme hétérosexuelle, mais qui peut parfois trouver le même sexe attrayant. Bisexual = bisexuel. Homoflexible = personne qui s'identifie comme homosexuelle, mais qui peut parfois trouver le sexe différent attrayant. Gay = gay. Lesbian = lesbienne. Queer = queer. Pansexual = pansexuel, a des activités sexuelles ou érotiques sans distinction de genre, sexe et/ou orientation. Fluctuating/Evolving = fluctuant/en évolution. Asexual = asexué. Unsure = incertain. Not Applicable = pas applicable. Case Role Dominant = Dominant (Dom), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s. Domme = Dominante/Domina (Domme), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s - terme habituellement féminin. Switch = Switch (Switch), qui peut se sentir Dominante/sadique ou soumis/masochiste en fonction de son partenaire, du contexte ou de son humeur, etc. submissive = soumis(e) (sub), qui donne le contrôle à un(e) Dominant(e) dans une dynamique D/s. Master = Maître (Master), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s. Mistress = Maîtresse (Mistress), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s - terme habituellement féminin. slave = esclave (slave), qui donne le contrôle quasi-totale à son Maître/Maîtresse/Propriétaire. kajira = kajira (kajira), esclave féminine dans la culture Goréenne ; kajirus = kajirus (kajirus), esclave masculin dans la culture Goréenne ; Top = littéralement celui du Dessus (Top), qui exerce le contrôle pendant une session. Bottom = littéralement celui du dessous (Bottom), qui donne le contrôle pendant une session. Sadist = sadique (Sadist), qui aime infliger de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) sur une autre personne. Masochist = masochiste (Masochist), qui aime recevoir de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) d'une autre personne. Sadomasochist = sadomasochiste (Sadomasochist), qui aime à la fois recevoir et infliger (émotionnellement et/ou physiquement) de la douleur et/ou de l'humiliation. Kinkster = kinkster (Kinkster), qui a des préférences sexuelles ou un comportement sexuel inhabituels pour la société. Fetichist = fétichiste (Fetishist), qui est excité par un fétiche spécifique. Swinger = Échangiste ( Swinger ), qui n'est pas monogame et peut avoir des relations sexuelles avec d'autres personnes que les relations officielles. Hedonist = hédoniste (Hedonist), qui considère que la recherche du plaisir est la quête primaire de la vie. Exhibitionist = Exhibitionniste (Exhibitionist ), qui aime s'exposer ou s'afficher de manière publique ou semi-publique. Voyeur = Voyeur (Voyeur), qui aime regarder les autres, le plus souvent dans un contexte sexuel, sans s'impliquer envers eux. Sensualist = Sensualiste (Sensualist), qui considère la recherche du plaisir via les sensations physiques comme un de ses objectifs principaux dans la vie. Princess = Princesse (Princess), qui réclame un soin particulier en terme de compliments, d'attention et de précautions. Slut = littéralement une femme avec une morale d'homme (Slut), qui se donne la liberté de s'adonner à des relations sexuelles avec qui elle veut, comme elle le veut. ( complément) Doll = Poupée (Doll), qui aime être une poupée, mentalement et physiquement. sissy = sissy (sissy), qui se livre à un mélange de féminisation et d'humiliation afin d'atteindre un état émotionnel ou mental différent - généralement un homme soumis. Rigger = Attacheur (Rigger), qui pratique l'art du bondage ; la plupart du temps avec de la corde. Rope Top = littéralement celui "du dessus" avec les cordes (Rope Top), qui pratique le bondage sur un Rope Bottom. Rope Bottom = littéralement celui "du dessous" avec les cordes (Rope Bottom), qui pratique le bondage avec un Rope Top. Rope Bunny = littéralement lapin de corde (Rope Bunny), qui sert de modèle de démonstration avec des cordes, comme le Shibari. Spanko = terme racourci pour "spankophilie" : adepte de la fessée (Spanko), qui aime la fessée sans préjugé du rôle. Spanker = fesseur (Spanker), qui donne des fessées aux autres. Spankee = fessé(e) (Spankee), qui aime recevoir des fessées. Furry = adepte de personnage anthropomorphique (Furry) , qui s'identifie fortement à un animal particulier ou une créature anthropomorphe particulière. Leather Man = littéralement Homme de cuir (Leather Man), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement masculin. Leather Woman = littéralement Femme de cuir (Leather Woman), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement féminin. Leather Daddy = littéralement Papa de cuir (Leather Daddy), qui exerce une figure paternelle pour un(e) garçon/fille, , terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Top = littéralement celui du dessus (Leather Top), qui exerce le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather bottom = littéralement celui du dessous (Leather bottom), qui donne le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather boy = littéralement garçon de cuir (Leather boy), qui est un homme soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather girl = littéralement fille de cuir (Leather girl), qui est une femme soumies cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Boi = littéralement garçon de cuir (Leather Boi), qui est un soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Boi désignant une personne de sexe biologique féminin qui adopte un comportement de jeune homme. Bootblack = littéralement Cireur de chaussures (Bootblack), qui considère dans le cirage de bottes comme appartenant au cadre du jeu. Primal = Primale (Primal), qui définit 1/ ceux qui veulent rompre avec les traditions en créant leur propre mode de vie sans règles pré-établies ou protocoles pré-définis. 2/ ceux qui se réfèrent à une sorte d'instinct primaire/primitif très animal. Predator Primal = littéralement Prédateur Primal (Predator Primal), qui cherche à chasser et à dominer sa proie. Primal Prey = littéralement Proie Primale ( Primal Prey), qui cherche à être chassé et se soumettre à un prédateur. Bull = littéralement Taureau (Bull ), qui a des relations sexuelles avec le partenaire "infidèle" dans un cocufiage dynamique. cuckold = cocu (cuckold), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement masculin. cuckquean = cocue (cuckquean), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement féminin. Ageplayer = Adepte des jeux de régression (Ageplayer), aime qu'une différence d'âge soit incarné par l'un ou les deux partenaires. Daddy = Papa (Daddy), qui incarne la figure paternelle dans la relation - souvent mais pas toujours un Dominant. Mommy = Maman (Mommy), qui incarne la figure maternelle dans la relation - souvent mais pas toujours une Dominante. Big = littéralement Grand (Big), qui a un rôle de soutien dans une dynamique de jeux de régression/ageplay - souvent avec un little. Middle = littéralement Milieu (Middle), qui s'inscrit dans la dynamique Big/little mais qui se sent plus grand qu'un little - souvent mais pas toujours un soumis. little = littéralement petit (little), qui agit et se comporte comme un enfant- souvent mais pas toujours un soumis. brat = soumise insoumise/sale gosse (brat), qui est insolent, répond, et est désobéissant - souvent mais pas toujours un soumis. babygirl = bébé fille (babygirl), qui s'identifie ou joue le rôle d'une petite fille - souvent mais pas toujours un soumis. babyboy = bébé garçon (babyboy), qui s'identifie ou joue le rôle d'un petit garçon - souvent mais pas toujours un soumis. pet = animal (pet), qui aime le petplay (jeu d'identification à un animal familier) - souvent comme bottom ou soumis(e). kitten = chaton (kitten), qui s'identifie à un chaton ou un chat dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pup = chiot (pup), qui s'identifie à un chiot ou un chien dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pony = poney (pony), qui s'identifie à un poney ou un cheval dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). Evolving = En évolution (Evolving), qui est actuellement en évolution. Exploring = En exploration (Exploring), qui voyage librement dans le monde de la perversion/kink. Vanilla = Vanille (Vanilla), qui n'a pas de kinks ou de fétiches identifiés. Undecided = Indécis (Undecided), qui n'a pas encore identifié un rôle particulier. Not Applicable = pas applicable (Not Applicable), qui ne souhaite pas spécifier de rôle particulier. Source {en} : Describing Our Roles case How Active Are You I Live it 24/7 = je le vis en 24/7 (tous les jours, tout le temps). I Live The Lifestyle When I Can = je vis le style de vie quand je le peux. Just In Bedroom = seulement dans la chambre à coucher. Once In A While To Spice Things Up = une fois de temps en temps pour pimenter les choses. Curious And Want To Try = curieux et veut essayer. Just Curious Rgith Now = seulement curieux. Case Relationships Single = seul, célibataire ; Dating = voit/fréquente quelqu'un(e) ; Friends With Benefits = ami avec intimité sexuelle ; Play Partners = partenaires de jeux ; In A Relationship = en relation ; Lover = amoureux ; In A Open Relationship = en relation ouverte ; Engaged = fiancé ; Married = marié ; Widow = veuve ; Widower = veuf ; Monogamous = monogame ; Polyamorous = polyamoureux (Quand aimer ne se conjugue pas qu'au singulier) ; In A Poly Group = appartient à un groupe polyamoureux ; In A Leather Family = appartient à une "Leather Family" ; In A Pack = appartient à une "meute" ; In A Rope Family = appartient à une "famille de cordes" ; Member Of A House = membre d'une Maison ; It's Complicated = c'est compliqué. Case D/s Relationships Dominant = Dominant ; Sadist = sadique ; Sadomasochist = sadomasochiste ; Master = Maître ; Mistress = Maîtresse ; Owner = Propriétaire ; Master And Owner = Maître et Propriétaire ; Mistress And Owner = Maîtresse et Propriétaire ; Top = littéralement celui du Dessus ; Daddy = papa ; Mommy = maman ; Brother = frère ; Sister = soeur ; Being Served = est servi ; Considering = considérant ; Protecting = protégeant ; Mentoring = mentor ; Teaching = enseignant ; Training = formateur ; Switches = switch ; submissive = soumise ; masochist = masochiste ; bottom = littéralement celui du dessous ; owned and collared = appartenant avec collier ; owned = appartenant ; property = propriété ; collared = portant le collier ; slave = esclave ; kajira = kajira (cf ci-dessus) ; kajirus = kajirus (cf ci-dessus) ; in service = au service ; under protection = sous la protection ; under consideration = sous la considération ; pet = animal ; toy = jouet ; girl = fille ; boy = garçon ; babygirl = bébé fille ; babyboy = bébé garçon ; brat = soumise insoumise/sale gosse ; Keyholder = porteur de la clé ; in chastity = sous chasteté ; being mentored = sous mentorat ; student = étudiant ; trainee = stagiaire ; unowned = sans propriétaire ; unpartnered = sans partenaire ; It's Complicated = c'est compliqué ; Presently Inactive = actuellement inactif ; Not Applicable = pas applicable.   Liens complémentaires et sources :   {fr} Mode d'emploi francophone pour FetLife {fr} Faq francophone FetLife - Les questions les plus courantes {en} Roles, Orientations and Genders Defined.
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Par : le 14/08/20
Contrat de soumission BDSM 1. Lieu et durée : Le soumis accepte de se soumettre complètement à sa Maîtresse. Il n'y aura aucune limite de lieu, de temps, ou de situation dans lesquelles le soumis puisse refuser d'obéir à un ordre de sa Maîtresse. 2. Plaisirs : Le soumis accepte, aussitôt ce contrat signé, que son corps devienne la propriété totale et exclusive de sa Maîtresse, qui pourra en disposer comme bon lui semble. Cela signifie désormais que sa jouissance appartient à sa Maîtresse, que celle-ci pourra par conséquent lui interdire tout plaisir, ou au contraire fixer à sa guise ses rapports avec toute autre personne et l’offrir à toute autre personne. Lorsque la Maîtresse et son soumis se livreront à des attouchements, il va sans dire que le plaisir de sa Maîtresse prime sur le plaisir de son soumis, et que le seul plaisir de contenter sa Maîtresse pourrait suffire au plaisir du soumis. 3. Respect : Le soumis parlera toujours de sa Maîtresse en des termes d'amour et de respect. Le soumis s'adressera toujours à elle en tant que " Maîtresse ou Madame…». En retour, la Maîtresse pourra appeler son soumis « petit soumis », ou autre surnom qui lui plaira sans que le soumis ne puisse s'en offusquer. 4. Sincérité : le soumis répondra sans hésitation à toutes questions posées honnêtement et directement, par sa Maîtresse et il inclura toute information, même intime, afin que sa Maîtresse soit parfaitement informé de tout ce qui se passe dans la vie intime de son soumis. L’intimité du soumis appartient désormais à sa Maîtresse. 5. Plaintes et critiques : La Maîtresse exige de son soumis, qu’il s'exprime honnêtement et spontanément sur tout ce qui la tracasse, le soumis ne pourra se plaindre ou critiquer sa Maîtresse qu'avec une infime précaution, beaucoup de respect, et toujours dans le souci de renforcer leur relation. 6. Apprentissage : Le soumis recherchera, pendant la période de soumission, à plaire à sa Maîtresse et acceptera gracieusement toute critique de la part de sa Maîtresse, et ce peu importe la forme que celle-ci prendra, évidement ces critiques devront toujours être constructives et respecter les limites définies dans ce contrat. II. Rôle de la Maîtresse : Le soumis, qui accepte de devenir sa chose, son soumis, doit en retour pouvoir vivre sa relation avec sa Maîtresse en toute confiance, ce qui signifie que sa Maîtresse s'engage à respecter le contrat et à prendre soin de son soumis, s'assurer de sa sécurité et de son bien-être. La Maîtresse accepte donc de traiter le soumis comme il se doit, de le dresser, de le punir, de l'aimer, et de l'utiliser au gré de sa volonté, mais toujours dans le souci de : - lui procurer du plaisir, de satisfaire ses fantasmes, ses penchants, sa libido. - le dresser pour en faire un soumis parfait, c'est-à-dire docile et perver et une bonne pute. - le respecter, dans son intégrité physique et morale, sa vie familiale et professionnelle III. Exigences de la Maîtresse : 1. Refus : la Maîtresse ne permettra jamais certaines pratiques dans le cadre des relations qui le lie au soumis : la scatologie, toutes marques de sang. Toutes ces pratiques sont catégoriquement refusées par le soumis et marquent des limites à ne jamais franchir. 2. Supériorité : la Maîtresse ne permettra jamais que le soumis ne soutienne en public des positions contraires aux siennes, ou ne défie son autorité, sous peine d'une très sévère punition. Le soumis reconnaît et accepte à l'avance la supériorité de sa Maîtresse, dans quelques domaines que ce soit. 3. Position et culotte : la Maîtresse ne permettra pas à le soumisde croiser les jambes ni de fermer totalement les cuisses en sa présence ou devant son ordinateur lors de chat ou lors de prêts de la soumise à des tiers. Le soumis ne devra porter aucun sous-vêtement en présence de sa Maîtresse et lors des prêts ou utilisation du soumis par des tiers, et parfois même en son absence. Le but étant que les orrifices et le sexe de l'esclave soit disponible et accessible à toute caresse ou pénétrations diverses choisies par sa Maîtresse, quel que soit l'heure et le lieu et les tiers autorisés par celui-ci. 4. Politesse : la Maîtresse exigera que le soumis inclus toujours le vouvoiement, le mot Maîtresse ou Madame dans ses réponses lorsqu'ils seront seuls, ou parmi d’autres dominants. 5. Internet : la Maîtresse pourra déterminer le temps que le soumis passera sur Internet et y publier sur son blog ou des sites dédiés, les photos de son soumis dans toute tenue et positions. Les images de la soumise appartiennent à sa Maîtresse. 6. Dilatation anale : la Maîtresse pourra dilater l'anus du soumis et y introduire tous les objets qu'il désirera, (doigts, godemichés, etc.) ou bien exiger du soumise qu’il le fasse lui-même lors de séances de domination virtuelle ou par lui-même. 7. Achats : la Maîtresse pourra exiger que le soumis lui demande son avis pour acheter ou porter ses vêtements. La Maîtresse pourra décider des tenues vestimentaires que son soumis aura à porter. Les tenues vestimentaires en présence de la Maîtresse ou de prêt à des tiers devront être très explicites sur le statut du soumis. 8. Collier : la Maîtresse pourra exiger que le soumis porte un collier en cuir discret, mais avec un petit anneau pour que la Maîtresse puisse y accrocher une laisse. Le soumis pourra néanmoins retirer son collier sur son lieu de travail et en famille. 9. Laisse : la Maîtresse pourra si elle le désire obliger le soumis à se promener en laisse et ce, où il le désirera, En extérieur tant que cela ne porte pas préjudice à sa carrière, sa famille ou à sa réputation. 10. Demande de châtiment : la Maîtresse pourra exiger du soumis que celui-ci demande spontanément matin et soir le châtiment de son dressage soit ; coups de fouet, badine, cravache, martinet, ceinture ou à la main. 11. Relations sexuelles : la Maîtresse pourra si elle le désire, interdire toute relations sexuelles au soumis et ce pour une période que seul la Maîtresse déterminera. Le soumis ne pourra pas refuser de relation sexuelle avec toute personne qui lui sera présentée par la Maîtresse ni à l’occasion des prêts. 12. Prêt du soumis : la Maîtresse pourra si elle le désire, donner, prêter le soumis à d'autres Maîtres ou Maîtresse, des connaissances et amis en qui elle a confiance. Le soumis pourra aussi être amenée à obéir ou à s'exhiber devant certains amis et complices de la Maîtresse en présence ou non de la Maîtresse. 13. Masturbations et frustrations : la Maîtresse exige de son soumis qu’il se masturbe au moins deux fois par jour en pensant à Maîtresse mais sans se donner le plaisir libérateur. Le but étant de maintenir le soumis dans un état d'excitation permanent. 20. Clause de sauvegarde : la Maîtresse s'engage à ne pas compromettre la vie de famille et professionnelle du soumis en révélant sa soumission à sa famille ou ses collègues, y compris par des actes ou des punitions qui trahiraient son statut de soumis. IV. Punitions : 1. Justification : Le soumis accepte de recevoir toute punition que sa Maîtresse décidera de lui administrer, qu’il l'ait mérité ou non. 2. Forme et intensité : Le soumis accepte qu'une punition sévère puisse lui être administrée pour toute infraction à la lettre ou à l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion de la Maîtresse. Il pourra évidemment s'agir de châtiments corporels : fessée, cravache, martinet, badine... Mais aussi de punitions psychologiques, des contraintes, des obligations, des humiliations, des exhibitions... 3. Date et lieu : la Maîtresse devra faire clairement savoir au soumis qu’il est puni et ce, quand la punition lui sera infligée : en sa présence immédiatement, ou ultérieurement lors d'un rendez-vous, dans le lieu et à l'heure qu’elle aura choisis. 4. Intensité : la Maîtresse s'engage à ne causer aucune blessure corporelle au soumis tout comme il s'engage à ne pas la tatouer ou la percer. Néanmoins, le soumis s'engage à endurer toutes les punitions, que ce soit sur les fesses, les seins ou toute autre partie du corps que le Maître aura envie de martyriser. Si toute marque ou cicatrice sont proscrites, des fesses bien rouges ou des zébrures sur les fesses du soumis seront acceptées. V. Règles de conduite au travail : Aucune partie de ce contrat n'est prévue pour nuire à la carrière, à la famille ou à la réputation du soumise. La Maîtresse, souhaite que son soumis travaille fort et honnêtement et qu’il se conduise le plus normalement du monde. Pendant les heures de travail, le soumis aura la permission de s'habiller d'une manière appropriée, ce qui signifie sans excès ou provocation, et sa maitresse ne pourra exiger aucune exhibition ou acte à caractère sexuel sans le consentement de son soumis. VI. Signature du soumis : De son consentement libre et éclairé et par désir d'exprimer son amour et sa dévotion pour sa Maîtresse, il s'offre en soumis à sa Maîtresse. Malgré le fait qu’il se considère comme soumis à sa Maîtresse, l soumis s'engage à se dévouer complètement et totalement au plaisir et désirs de sa Maîtresse et ce sans aucune hésitation ou autre considération. Le soumis a lu et compris le présent contrat dans son entier. Le soumis accepte de remettre son corps et son âme à sa Maîtresse. Le soumis comprend qu’il sera façonné et dressé à servir en pute et en chienne et d’être puni en cas de désobéissance à sa Maîtresse ou lors de prêts et ce dans son meilleur intérêt et il promet de se consacrer à combler le moindre des désirs de sa Maîtresse. Je reste le soumis de ma Maîtresse sans limite de durée de façon irréversible. Je ne peux rompre ce contrat, seul ma Maîtresse peut le rompre. Note ajouté par la Team BDSM : Merci à francksoum33 de partager son contrat BDSM. Il constitue un excellent exemple de contrat d'appartenance. Ce contrat de soumission pourra servir de modèle aux membres de la communautés. A chacun d'adapter ce contrat pour en faire le modèle qui lui sera propre en fonction des ses pratiques (les contrats BDSM type pour un esclave peuvent être formuler différemment). A lire également : Soumettre un homme Trouver et hoisir son maître Soumis par une domina
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Par : le 07/04/20
Elle lui avait téléphoné la veille :" Demain 16h au xx Avenue de Paris au Chesnay appartement 42" puis il avait reçu un message précisant " Tu porteras une culotte en dentelle rouge et un corset assorti bien serré et tu monteras rapidement par l'escalier " Ansi vêtu sous sa veste et son pantalon en jean,il craignait le regard des passants, et surtout celui de ces belles versaillaises si élégantes avec leurs petites jupes écossaises et leurs chemises blanches. Allaient-elles imaginer qu'il avait rendez-vous avec l'une d'entre elles pour sa première séance de dressage? Oui il était un homme soumis. Cela avait été long pour l accepter, mais depuis que c'était chose faite, il se sentait mieux. Il se souvenait des sensations si agréables quand ses potes de karaté lui touchaient le sexe à plusieurs, impressionnés par sa taille . Il se souvenait la première fois qu'une amie l'avait obligé à se mettre à genoux sous sa jupe pour un cuni rapide après un pari stupide. Son sexe avait gonflé de plaisir de cette humiliation. Alors il s'était inscrit là, sur ce site de rencontres un peu particulières. Oh cela ne s'était pas fait sans hésitation. Mais ce déménagement en Île de France lui avait fait perdre sa partenaire. Et ces moments de soumission lui manquaient, c'était un réel besoin viscéral. Alors quand Maitresse Julie l'avait contacté pour lui proposer un rendez-vous chez elle, il avait de suite accepté avec enthousiasme.... Et me voilà tout intimidé devant ce bel immeuble de type Mansart à la grande porte en chaîne sculptée aux armes d'un quelconque noble disparu. Je tape le numéro 42 sur le digicode et j'entends le déclenchement de l'ouverture de la porte. Mon coeur rate un battement d émotion et je sens un frémissement dans mon ventre. Je cherche l escalier des yeux. Où est-il? Derrière cette porte? Non! Ah , suis-je nerveux, une flèche cuivrée dans un cadre de chêne indique sa direction. Je me précipite et monte deux par deux les marches en faux marbre de cet escalier majestueux. Une corde rouge court sur le mur tout du long, glissée régulièrement dans des anneaux de cuivre. Au troisième palier mon allure ralentit un peu. J'arrive tremblant et troublé au quatrième étage. Un carrelage blanc très chic s'éloigne des deux côtés. Mes yeux cherchent et trouvent rapidement la bonne porte. Elle s'ouvre devant moi et ma Maitresse apparaît. La silhouette de sa longue robe du soir se profile à contrejour, encadrée du montant de la porte et j aperçois derrière elle un couloir recouvert de moquette qui semble filer jusqu'à l'horizon. Le bras gauche tendu, une longue main fine couverte de bagues brillantes se pose sur mon sternum. Je suis pétrifié et ose à peine respirer. Son autre main vient se poser sur ma tête et appuie fermement. Mon cou se courbe,mon menton vient s'appuyer sur mon col . Instinctivement mes yeux se baissent sur la poitrine opulente de Maitresse Julie. Je rougis. La pression s'accentue et les deux mains s'emparent de mes épaules. Un murmure parvient à mes oreilles : " À genoux le chien! Devant moi." Mes jambes se plient sans que ma volonté intervienne. "Mains sur la tête! " . Heureux d'obéir, mes bras se plient et mes mains se croisent sur ma nuque. " Mmmm bien . Gentil chien " . Elle se penche vers moi et je sens son souffle dans mes cheveux. Malgré le plaisir éprouvé, j'ai très peur qu'un de ses voisins n'ouvre sa porte et ne me surprenne dans cette position humiliante. En même temps, le risque décuple les sensations, ma respiration accélère et je sens mon sexe gonfler. Elle saisit mon menton entre son pouce et son index et je sens son majeur forcer ma bouche. Mes dents s'écartent et son doigt se replie sur mes incisives inférieures. Elle tire sur ma mâchoire et murmure "Avance... ". Mes genoux progressent chacun leur tour sur le paillasson. La barre de seuil appuie fortement et je gémis. Une claque me fait retenir le gémissement suivant. J'entre dans cet appartement luxueux dans une position très humiliante et mon âme de soumis se réjouit. Après avoir passé la porte je vois sur ma gauche un fauteuil Voltaire habillé de toile de Jouy. Le doigt sort très lentement de ma bouche et je comprends que la porte se referme. Maîtresse Julie relève légèrement sa robe et s'assoit dignement sur le fauteuil. Elle saisit une badine accrochée au bras du fauteuil et soulève mon menton : " As-tu bien suivi mes consignes? " Je hoche la tête et murmure :" Oui Maitresse Julie" je savoure ces mots enfin prononcés à haute voix. Ma tête penchée en arrière je m'efforce de garder les yeux baissés. Elle sort sa langue et lèche ma joue. " Mmm tu transpires. Voyons voir. Ôte ta veste que je vérifie " . Mes doigts fébriles déboutonnent les fausses pressions de ma veste difficilement. Pourquoi les boutonnières sont-elles donc si petites? La crainte de faire attendre ma domina rendent mes mouvements encore plus maladroits. Elle ressent mon anxiété et caresse doucement ma tête. " Cool. On a le temps. Calme toi donc sale petit chien. " Ce mélange d'insultes et de douceur me perturbent encore plus. Mes yeux s' humidifient d'angoisse. Elle prend mes mains entre les siennes , les écarte et je me retrouve les bras ballants, la tête basse, les yeux humides de honte . Elle finit en murmurant :" Petit chien, il va falloir apprendre à mieux obéir. Tu vas être puni. " Et d'un coup sec elle m'arrache ma veste. Je perds un peu l'équilibre et me retrouve le front au sol. " Joli déshabillé, il te va très bien. L'as-tu volé à ton ancienne domina? Ou est-ce un cadeau? "Elle rit "Non tu l'as acheté exprès sur internet? Ou dans une boutique en disant que c'était pour ta petite amie? " Je murmure :" Sur Internet Maîtresse Julie " un franc sourire éclaire son visage " Au moins tu as du goût , même sur toi c'est très mignon " Heureux je frotte ma tête à ses chevilles et les entoure de mes mains. Elle se penche et caresse mon crâne . Mes cheveux ne sont pas si courts et elle tire un peu dessus pour relever ma tête ." Bien. Reste à terre et ôte ton pantalon et tes chaussures " Et pour être certaine que je ne me relève pas ,sa botte se pose sur ma joue et appuie de plus en plus. Je me contorsionne en tous sens et arrive à me dévêtir . " Mignonne petite culotte" s esclaffe-t-elle! Je rougis. La dentelle m'irrite . Des rougeurs sont apparues au creux de l'aine. Mon sexe est compressé, le gland coincé sous l'élastique me fait un peu mal. L'excitation tente de le redresser . Douleur et plaisir, honte et fierté, que de sentiments mélangés. "Bien, dit-elle en se relevant, nous n'allons pas passer la journée dans l'entrée! " Elle me tire les cheveux pour me faire avancer à quatre pattes sur la moquette qui brûle mes genoux nus. Nous arrivons dans un grand salon. Je ne vois que les bas des meubles mais il respire le luxe pour mes yeux de prolétaire provincial. L'assortiment des matières nobles indiquent un goût certain. Ma domina me dirige vers un canapé en peau de vachette et je vois une lirette qui dénote avec la décoration. "Vois ce petit tapis. Ce sera là ta place le chien quand tu m'entendras t'y envoyer . À genoux! Mains sur la tête! Et baisse les yeux! Tu vas te punir. Tu vas te fesser, compter, alterner les deux côtés, et dire après chaque : Merci Maîtresse . As-tu compris? Ou dois-je répéter? " Ces deux questions à la suite dont les réponses sont contraires me perturbent. Je me mets à bafouiller :" oui Maîtresse, non Maîtresse , heu....." Ma confusion la fait rire et je perds encore plus mes moyens. " Qu'attends-tu ? Commence " Rouge de honte je me penche un peu, me donne une claque sur la fesse droite et murmure :" Un Merci Maîtresse " Un coup de badine sur mes cuisses me déséquilibre et je l'entends me sussurer en se penchant sur moi : "Bien petit chien, mais je ne t'entends pas assez . Un peu plus fort s'il te plait. " Je me redresse et me fesse à gauche : "Deux, Merci Maîtresse " je perds de nouveau l'équilibre. Honteux de mon échec je tente de me relever. " Il va falloir t'entraîner chez toi d'ici la prochaine fois! Bon pour cette fois, allonge-toi sur le dos. " Allongé sur le dos,je serre mes genoux relevés et claque à droite en criant presque "Trois! Merci Maîtresse! " Elle approuve de la tête et je continue jusqu'à huit. La paume de mes mains est douloureuse, mon sexe se dresse un peu plus à chaque coup malgré la culotte qui le comprime, mes fesses commencent à me faire mal. "Stop! À quatre pattes! Tête au sol! Mains sur la tête! Pieds croisés! "Les ordres retentissent dans la pièce. Je m' efforce d'obéir rapidement. Une caresse me réconforte. Ma Maitresse est satisfaite. Je laisse échapper un petit soupir de satisfaction. Je sens un doigt se glisser sous l'élastique de la culotte et la glisser à mi-cuisses. Il me griffe l intérieur de la raie et vient appuyer sur mon anus . Malgré moi je me redresse un peu mais mon mouvement est vite interrompu quand je reçois un coup de badine sur mes fesses dressées. " Pas bouger le chien! Au sol!" Je replie mes jambes et mes fesses s'écartent un peu. Je sens un doigt s'immiscer dans mon orifice et je gémis, honte et plaisir, douleur et fierté, tout se mélange. Elle me masse doucement. Le plaisir monte en moi. Je commence à baver par terre. De l'autre main elle redresse ma tête pour savourer mon plaisir. D'un petit coup de langue elle remonte ma bave dans la bouche, lèche mes lèvres et mon menton,puis me mordille l'oreille. Son doigt s'agite de plus en plus et un deuxième le rejoint. Elle tire sur mon sphincter qui se dilate. Mon corps se souvient des doigtés de mon amie de province et un peu de sperme coule au sol. Les yeux de Maitresse Julie brillent de plaisir mais elle fronce les sourcils. Ses doigts quittent mon trou et je gémis de frustration." À genoux! Mains sur la tête " Elle s'assoit devant moi, remonte sa robe sur ses cuisses, écarte des jambes parfaites et j'aperçois son sexe délicatement poilu bien ouvert. " C'est bien petit chien, je t'autorise à te masturber, Mais Interdit De Jouir!! Une seule main! Et regarde moi! " Ma main s'agite, mon sexe grandit. Maîtresse Julie me regarde et je ne sais interpréter son expression. Ma deuxième main descend vers mon sexe et un coup de pied me fait rouler sur le côté. " Tu vas devoir apprendre à obéir! Une seule main! Qu'est ce que tu n'as pas compris? Allez sur le dos et tu te fesses comme tout à l'heure! Compris? " Frustré, honteux, je murmure :" Oui Maîtresse Julie " je me repositionne sur le dos et me fesse de nouveau. Mes mains et mes fesses me brûlent et je pleure. Mon nez coule et je bave. Mon décompte ne s'entend pas. Un pied bloque mon bras dès la deuxième claque assenée. Ma domina se baisse à croupeton sur mon visage, sa robe du soir est relevée et coincée dans son soutien gorge de dentelle rouge. Je comprends son exigence de couleur. Sa chatte s'écarte devant mes yeux éblouis. Elle suinte de mouille et vient se positionner sur ma bouche qui s'ouvre . Je tends ma langue et suçotte son clitoris. Enfin! Ça y est! J'ai enfin un soumis obéissant! Un peu maladroit certes, mais c'est notre première séance, je dois le ménager. Sinon il ne reviendra pas et ce serait fort dommage. Je lui pressens un fort potentiel à ce gars. Il n'en est même pas conscient. Il n'a sûrement jamais vu un tel logement dans sa province miteuse. Et bon sang, ce corps, wahou, je ne suis pas déçue. Beau cul belle gueule comme on dit. Langue agile en plus. Ma kundalini libérée s'enroule le long de ma colonne. Oh la vache! Plusieurs orgasmes d affilée. Trop bon. Allons, je dois être raisonnable, mais ce courant partout! Il a eu une bonne domina! Je vais me le mijoter aux petits oignons celui-ci. Mmmm Je sens le plaisir de Maitresse Julie couler dans ma bouche. Mon sexe se tend à me faire mal. Elle se redresse , se met à genoux à côté de moi et griffe doucement ma verge en pleine érection. Son regard capture le mien. Un sourire étire ses lèvres. Elle s'assoit à nouveau sur le canapé. Je trouve que son plaisir visible lui fait perdre un peu de dignité. Mais cela m'excite encore plus. " À genoux, branle toi et je t'autorise à jouir sur mes bottes gentil petit chien !" Ma main s'agite tout du long de mon sexe. Elle monte et descend, serre et se relâche. C'est si bon. Mais je crains que Maîtresse Julie ne m'interrompe et cela freine mon plaisir. " Stop! " Je lâche ma verge tendue en gémissant. Je mords ma lèvre d'angoisse. Une main relève ma tête. Maitresse Julie avance au bord du canapé, les cuisses écartées. Elle attire ma tête vers son sexe ouvert et glisse une jambe entre mes cuisses. " Tu vas lécher ma chatte petit chien. Tu as le droit de te branler mais donne moi du plaisir sinon gare à toi. " Son pied se dresse et remonte mes testicules vers mon scrotum. Je bande si fort que j'ai presque mal. Ce plaisir mélangé à la douleur et à l humiliation me réjouit. Je suis si bien là, aux pieds de ma Maitresse." Pourvu qu'elle accepte de me recevoir de nouveau. Pourvu que cette séance lui ait plu...Pourvu...Non , arrête de penser! Tu dois bien la faire jouir! ..." Je glisse ma tête vers ce moulin à miel offert. Ma langue titille le clitoris dressé. Mon nez souffle doucement sur sa vulve. Puis ma langue pénètre son intimité et je sens son plaisir jaillir. J'éjacule au même instant sur les bottes de cuir. Une boucle griffe ma fesse et un dernier courant de plaisir me parcourt. Je me tends et pousse un petit cri retenu. Ma tête est fermement maintenue et je continue à lécher ma Maitresse. Elle me pousse vers son anus et ma langue agile le pénètre délicatement. Ses cris sont indignes d'une domina mais je suis certain qu'elle ne simule pas. Elle crie:" je veux sentir tes doigts! " Je m'exécute fébrilement. Je n'ai jamais rencontré une femme qui réagisse de manière si intense, pourtant j'ai une certaine expérience. Je doigte m'a maîtresse tout en agitant ma langue. Ses mains tirent mes cheveux. Elle a lâché prise. Je suis si heureux. Puis brutalement elle me repousse d'un coup de pied au sternum, tire sa robe sur ses genoux et étend ses jambes. "Nettoie mes bottes! Lèche! Chien! " Le moment est passé, elle reprend un air sévère. À ses pieds je lèche ma semence répandue sur ses bottes. Mon hésitation me vaut des coups de badine : " Les femmes le font! C'est ton jus! Te crois-tu supérieur à une femme? Nettoie et plus vite! Ta langue est agile! Prouve le encore! " J obéis et sens une érection tendre mon sexe. Le cuir des bottes brillent de ma salive. Maîtresse Julie se penche en avant ,saisit mes couilles et leur inflige une violente torsion. La douleur parcourt tout mon corps en un instant. Je pleure et tremble, douleur et plaisir, je ne sais plus où j'en suis. De douces mains enserrent mon torse, je m'étire légèrement vers le haut. Ma Maitresse me caresse, m'embrasse doucement, et murmure tout bas, ma tête blottie entre ses seins généreux :" je suis contente de toi petit chien. Ta domina t'a bien éduqué. Je vais te faire dépasser tes limites. " Puis elle me fait asseoir sur mon tapis , me caresse gentiment, et m'autorise à me branler en la regardant. Elle se lève et revient vite, un bol plein d'eau à la main posé sur un plateau métallique . Sa main interrompt de nouveau mon plaisir. "As-tu soif petit chien? " Je lève un regard douloureux vers elle et hoche la tête. Elle désigne le bol d'un claquement de doigts. Je me remets à quatre pattes et commence à laper. Une caresse sur mes reins m'assure que j'ai bien interprété son souhait. L'eau coule le long de mon menton sur mon torse. Un frisson me parcourt. Maîtresse va ranger le bol mais laisse le plateau. Puis d'un geste moqueur elle m'ordonne de reprendre ma masturbation. Son regard glacial limite mon érection. Je gémis de douleur et reçoit plusieurs coups de badine. " À quatre pattes le chien! " je m'exécute vivement et elle commence à me branler violemment. Je serre les dents de honte et de douleur. Mais le plaisir monte, il irradie de mon bas-ventre, parcourt tout mon corps. Et au moment où son majeur me pénètre j'éjacule royalement dans le plateau avec un râle d'agonie. Je reste tremblant sur mes bras tendus. Mon bassin s'affaisse. Je sens des bras m'enserrer la taille, des lèvres lécher mon oreille gauche et j'entends dans un murmure . " C'est bien petit chien, je crois que nous nous reverrons ". Elle me laisse ainsi reprendre mon souffle puis revient avec des fruits secs dans une gamelle pour chien. Elle fait couler mon sperme dessus, attrape mes cheveux, pousse ma tête vers l'assiette. Sans rien dire j'attrape les fruits du bout des dents, lève les yeux vers Maîtresse Julie et croque le mélange. Je recommence jusqu'à vider l'assiette . Un froncement de sourcils me fait comprendre que je dois nettoyer l'assiette avec ma langue. Honteux du plaisir ressenti, je lèche jusqu'à la disparition de toute trace. Maîtresse Julie s'est redressée. Elle tapote l'intérieur de mes cuisses de sa badine de plus en plus fort. Un mélange de douleur et de plaisir électrise mon corps. Elle pousse la gamelle du pied et l'envoie rouler loin de moi. Puis avec un petit sourire en coin elle m'ordonne dans un claquement de doigts d'aller la chercher. Toujours à quatre pattes je me dirige vers le fauteuil sous lequel la gamelle a glissé. Je tends la main pour l'attraper mais un coup de badine brutal sur mes fesses stoppe de suite mon geste. "Un chien n'a pas de mains voyons. Aurais-tu oublié que tu n'es qu'un chien? " Je rougis, me colle au sol et rampe sous le fauteuil. Mon arrière-train dépasse . Une main appuie dessus et je me retrouve à plat ventre." Pas bouger le chien " Je me transforme en statue . Mes jambes sont violemment écartées, mon bassin soulevé, et je sens qu'un rouleau de plastique décoré de pointe est glissé sous mon ventre. La peur contracte mes muscles et me tétanise. Je ne vois rien. Le silence devient oppressant. Le bas de mon corps est à la merci de Maitresse Julie. Elle introduit alors un embout dans mon anus et de la vaseline en jaillit. Rassuré je me détends. Je sens des doigts me pénétrer. Je relache mon corps puis un gode les remplace. Le plaisir m'envahit. Il irradie. Je crie mon plaisir et le gode est ôté brutalement. Une tape me rappelle que je n'ai pas eu d'autorisation pour jouir. Mon sexe se replie. Maîtresse Julie pousse le fauteuil, se baisse et me muselle avec un torchon. Elle pose la gamelle sur ma tête. Puis elle me gode à fond en griffant mon dos. Penchée sur moi elle susurre: branle toi et jouis chien. Mes mains s'emparent fébrilement de mon sexe et leurs mouvements s'adaptent à celui de ma Maitresse. Je jouis de nouveau malgré l'inconfort de la situation . Mon ventre me brûle, mon fondement me brûle, mon sexe me brûle, mais je lâche prise et connais un moment d'extase. Des caresses sur mon dos permettent un retour en douceur dans mon corps. Mon sexe coule, mon nez coule, de la bave coule sur mon menton. Je plane encore. Maîtresse se lève et une douce couverture recouvre mon corps. Mes yeux se ferment de plénitude, je suis comblé et m'assoupit. Il est beau au repos ce bougre, je vais améliorer ses cuni et il sera prêt pour le concours. Sa bandaison est belle, il récupère vite. J'ai bien fait de le contacter. Cela va être un vrai plaisir je pense. Allongé au milieu du salon, le soumis rêve puis s'éveille. Une belle femme en robe du soir l observe. D'un claquement de doigts elle lui montre le couloir. Il tente de se relever mais le poids d'un pied sur son dos lui fait vite comprendre qu'il doit ramper. Il se déplace ainsi jusqu'à l'entrée. De la badine sa maitresse lui montre ses vêtements. Il se rhabille au sol. Un geste pour le mettre à genoux. La porte s'ouvre. Le couloir est vide. Il sort comme il est entré, il y a une éternité, à genoux les mains sur la tête. La lourde porte sécurisée se referme sans un bruit. Il se relève et se dirige vers l'escalier. Les quatre étages lui offre le laps de temps nécessaire pour qu'il quitte son personnage . La brûlure à l'aine lui rappellera cette soirée pendant un moment. Il sort de l'immeuble et sourit à la vie. Un bus passe . Il décide de marcher,libre et heureux. Cette belle séance lui a permis d'évacuer le stress. Sa nouvelle vie en région parisienne commence sous d'heureux auspices. La lune qui brille entre deux bâtiments lui adresse un clin d'oeil complice.
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Par : le 23/02/20
Un nouveau chapitre de notre histoire préférée à ma soumise et moi-même. Cela faisait quelques semaines, mais il ne faut pas trop la gâter... Bien, nous en étions restés au moment où, après avoir été présentée aux clients de l'Académie avec les autres novices, tâtée et humiliée sur le podium devant les photographes et les yeux scrutateurs des sadiques de l'assistance, la demoiselle était emmenée. Elle se retrouva entre deux gardes, passant à travers les couloirs. Son souffle était encore haletant après la peur et le déluge de sensations. Les caresses, les regards lubriques, les parfums étouffants de la pièce, semblaient perdurer autour d'elle. Une chaleur moite montait de son corps. Les crèmes qu'on avait étalées sur sa peau semblaient dégager une aura qui mettait son corps aux aguets, sensible à chaque caresse de l'air et à chaque gémissement autour d'elle. Les scènes passaient en un éclair devant ses yeux. Une main posée à plat sur un sein à la lueur d'une flamme, qui se serrait soudain et glissait jusqu'à ce que les doigts se referment, implacablement, sur le téton. Un corps rose étalé sur un meuble, rond et ouvert, donc les courbes se tordaient, de plus en plus étirés, à mesure que chaque centimètre de peau était couvert par la cire brûlante d'une bougie. Une bouche qui glissait le long d'un phallus de métal scintillant, poussée toujours plus loin par une main gantée contre sa nuque. Des cris faisaient tressauter son cœur. Un "ah" perçant de surprise, arraché à un visage enfantin par un coup de fouet inattendu. Un gémissement long et monotone, épuisé déjà, d'une jeune fille attachée à une roue. Un râle émanant d'une sorte de masque de cuir, dont la seule ouverture était bouchée le reste du temps par le sexe des hommes qui s'en servaient. Des corps la frôlaient. Les hommes, souvent en costumes de soirée, tenant en laisse des demoiselles ou des soumises d'une autre origine, jetaient un œil cupide à ses formes en la voyant passer. Les filles ne la regardaient pas, les yeux à terre ou toutes entières concentrées sur leur tâche ou leur douleur. Les gardes l'arrêtèrent devant un meuble étrange. Celui de derrière la plaqua négligemment contre le mur, en grognant "Ne bouge pas." Sans oser bouger, elle les regarda s'affairer autour du meuble. On aurait dit une petite armoire à première vue, haute d'un peu plus d'un mètre et demi, et fermée de tous les côtés. Ils l'ouvrirent par en haut, et entreprirent d'en défaire la partie supérieure. Des petite trappes circulaires s'ouvraient, à l'avant et en bas à l'arrière. Puis ils ouvrirent le côté, et la demoiselle put en voir l'intérieur. La panique fit trembler ses jambes. Sans les sévices qu'elle avait enduré jusque là, elle aurait pris la fuite aussitôt. la partie supérieure était évidée. On voulait l'enfermer dans cette cage de bois. Et dans la partie inférieure, au niveau de son abdomen, un triangle de bois pointait vers le haut, étalant son arête sur toute la longueur du meuble. Les trous en bas étaient pour ses pieds. Ils allaient la faire s'asseoir sur cette pointe effilée. Aussitôt le côté du meuble ouvert, les gardes la prirent par les jambes et la firent chevaucher ce "cheval de bois" étroit. A l'arrière du meuble, des anneaux permettaient d'attacher ses bras. Quand ils lui firent lâcher le montant de la boîte, auquel sa main s'était agrippée par réflexe, elle n'eut plus aucun point d'appui. Ses genoux tombèrent sur les côtés du triangle, et son entrejambe s'enfonça contre l'arête effilée. La douleur monta d'un coup. Comme si on était en train de la couper en deux par en bas. Mais son gémissement à peine commencé fut étranglé. Un des gardes profita de ce que sa bouche était ouverte et y enfourna un godemiché noir. Il attrapa son cou et tira son visage en avant, pour visser ce bâillon infernal à l'avant de la machine. Enfin, l'autre garde appuya sur son dos, poussant son corps en avant. L'arête du triangle écrasa contre elle une de ses lèvres intimes, et les pleurs jaillirent de ses yeux. L'autre garde s'était baissé, et ajusta les trappes à l'avant du meuble. Les yeux de la demoiselle se baissèrent sur le spectacle obscène de ses seins, comprimés et poussés en avant par l'impitoyable machine, qui ressortaient du meuble comme deux globes de chair désincarnés. Après avoir ajusté une planche du meuble pour pousser sa poitrine le plus avant possible, le garde derrière elle s'approcha de son oreille et murmura "Pas de douceur pour toi par en dessous ce soir. On protège vos parties intimes, pour nos clients les plus "select". Ouvre grand les yeux, et profite du spectacle. Tu vas voir ce qui t'attend. Et un conseil: oublie la douleur. Ce n'est rien à côté de ce que tu vas connaître..." Quand ils furent partis, un calme de purgatoire s'abattit sur la demoiselle. La douleur dans son entrejambe commença par monter jusqu'à devenir intolérable. Tout son corps était tendu, accroché à cette arête qui broyait sa peau la plus tendre sous son propre poids Elle entra dans une sorte de transe, d'où elle se réveillait par a-coups, dans de nouvelles crises de douleur ou quand le godemiché dans sa bouche la faisait s'étrangler. Le monde autour d'elle semblait bouger au ralenti, flou, dans ce temps qui n'avançait plus, qui n'était qu'abandon à la douleur et vulnérabilité totale. Soudain, une sensation nouvelle s'empara d'elle. Ses yeux qui s'étaient à demi-fermés s'ouvrirent grand. Une main s'était posée sur ses seins Un homme se tenait devant elle. De sa position, elle devait lever les yeux pour voir son visage. Il ne la regardait pas. Il parlait avec quelqu'un d'autre qu'elle ne pouvait pas voir. A côté de lui, à genoux, une jeune fille attendait. Elle avait la peau mate, et des yeux verts tellement brillants que la demoiselle en oublia sa douleur. Elle avait rarement vu une jeune femme aussi belle. Les courbes de son corps étaient à peine visibles dans la pénombre, mais la grâce de ses mouvements, même les plus discrets, était ensorceleuse. Un bruit près de son corps rappela à elle la pauvre prisonnière dans sa boîte infernale. L'homme ouvrait sa braguette. Aussitôt, le visage aux yeux verts s'avança, et une langue lascive en sortit, baignant de salive le sexe déjà en érection du maître. Ce ballet, ce va et vient de la langue sur ce membre qu'elle ne percevait que du coin de l’œil - son visage était fixé à la boîte par le godemiché - semblaient surréels pour la demoiselle. Que faisaient-ils devant elle, ainsi? Dans le brouillard de douleur et de fatigue qui la tenait, son esprit ne parvenait pas à comprendre cette cérémonie étrange, qui semblait détachée entièrement du reste de la soirée. Puis les bras de la jeune femme montèrent le long du meuble, et ses mains s'arrêtèrent sur les deux seins qui en ressortaient. La demoiselle sentit les doigts serrer, tirer, malaxer. Entre ses deux seins, doucement, monta le sexe de cet homme. La jeune femme aux yeux verts le masturbait avec ce jouet humain, ces mamelles sans corps sorties de la boîte comme par magie. Sans les voir, le visage toujours fixé en avant, la demoiselle put sentir les doigts, le membre qui se gonflait de plus en plus dans les plis de sa chair, les caresses que lui administrait la savante et habile esclave Elle sentit se tendre le pénis, les mouvements se firent de plus en plus rapides. Les boules de l'homme frappaient à présent le bas de ses seins. Puis un bruit sourd. Le bras de l'homme s'était baissé d'un coup, frappant le visage aux yeux verts d'une claque violente. "Assez!" L'homme, toujours sans la regarder, passa la main sur son sexe puis essuya la salive de son esclave sur les cheveux de la demoiselle Puis il repartit, entraînant avec lui la jeune femme à quatre pattes, dont le corps serpenta le long de la salle, ses hanches se soulevant et s'abaissant de nouveau comme le mouvement d'une vague qui se perdait dans la tempête de l'orgie. Les yeux de la demoiselle se fermèrent, ses forces l'avaient lâchée. La douleur, le bruit autour d'elle, tout ne fut plus qu'un long demi-sommeil maladif. Bercé parfois par la lueur mystérieuse, lointaine, de deux yeux verts. Voilà pour cette fois. N'hésitez pas si vous avez quelques idées à rajouter pour la suite. Je suis preneur, mon imagination se nourrit de tout. Et bien entendu, je réitère, ne refaites pas ça chez vous. A moins d'être vraiment un ébéniste de génie! ;)
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Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 22/12/17
Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux. J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée. Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher. Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête. Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner. Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent. Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs. A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris. Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé. A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ? Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée. Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées… On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer. La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement, Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial. A lire également : Quand Madame domine Soumettre un homme  
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Par : le 17/09/12
  Voici une histoire de domination soumission où je serais soumis à une femme. A chaque fois j'en écrirai un petit morceau. J’imagine ma maîtresse toute de cuir vêtue, portant des bottes avec de hauts talons, des bas, une mini jupe, un corset et des gants. Elle a une cravache en main afin d’asseoir son autorité. Elle me demande de venir chez elle un vendredi en début de soirée, et une fois arrivé, d’ôter tous mes vêtements qu'elle s'empresse d'aller cacher. Elle m’impose ensuite ma tenue. Elle veut que je sois travesti en cuir. Elle choisit tout ce qu’il y a de plus difficile à porter, me justifiant à chaque fois pourquoi elle a fait ce choix. Elle commence par une catsuit en latex. Avec cet habit, elle veut que je transpire et me sente mal à l’aise. Elle me fait porter des bottines ballet boot. La raison première est évidente : avec ce genre de chaussure il m’est impossible de me tenir debout et marcher. Comme pour tous les accessoires qui vont suivre, elle va les verrouiller avec un système de lanière et de cadenas. Au niveau de la taille elle me passe un corset qu’elle serre au maximum, n’hésitant pas à me planter son talon dans le dos pour resserrer mes liens. Ainsi elle me force à garder le dos droit à cause de l’armature métallique du corset, et me donne du mal à respirer. Ensuite elle me pare d’un collier minerve pour me bloquer le cou en position. Ce collier est verrouillé par deux cadenas et possède quatre anneaux : à droite, à gauche, devant et derrière mon cou. Elle poursuit en m’attachant les bras dans le dos au moyen d’un armbinder. Là aussi elle ne me fait aucun cadeau et le serre comme il faut. Puis elle attache mes chevilles à une barre d’écartement. La raison, je la découvre après lorsqu’elle ouvre ma catsuit au niveau de l’entre jambe, prend mes testicules entre ses mains pour y passer un ball stretcher. Lorsqu’elle a fini, elle attache l’anneau situé en bout de l’armbinder au ball stretcher, me bloquant totalement les bras. Si je les bouge, je tire sur mes testicules. Elle termine de me préparer en me coiffant d’un cagoule de privation sensorielle. Cette cagoule ne possède qu’un petit œillet au niveau de la bouche. Elle est rembourrée au niveau des yeux, me forçant à garder les paupières fermées, ainsi qu’au niveau des joues pour que j’ouvre la bouche. Comme toute les cagoules elle se lace par derrière, mais en plus elle a trois lanières verrouillables afin de totalement me museler totalement. Ainsi soumis, son premier jeu consiste à me branler quelques secondes, puis à me mettre un petit coup de cravache sur mes testicules. Évidemment, je ne sais pas quand elle va me cravacher. Quelque fois elle me caresse avec la cravache au lieu de me frapper. Le but est de tenir un quart d’heure ainsi. Même si la situation est très contraignante, je suis très excité et jouis au bout de quelques minutes. Elle essuie ma queue et referme en partie ma catsuit. Elle prend une corde et l’attache d’un coté à la barre d’écartement, et de l’autre à l’anneau situé en haut de ma cagoule, me forçant à me cambrer et à rester ainsi. Elle tend la corde comme il faut. Elle me laisse ainsi et prend plaisir à me voir me tortiller et gémir à la fois de plaisir et de douleur. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais cela devient très vite insupportable. Je suis forcé d’endurer car elle me laisse longtemps ainsi. Pour moi cela a duré une heure, mais ayant perdu toute notion d’espace et de temps, ils se peut que je sois resté ainsi seulement un quart d'heure, ce qui semble plus réaliste. Elle m’enlève ensuite la corde, la barre d’écartement et détache l’armbinder des testicules. Elle me laisse me reposer ainsi un moment avant de passer à la suite. Elle me repasse la barre d'écartement et attache mes poignets à mes chevilles. Elle m'enlève ensuite la cagoule et me demande de lécher ses bottes. Ne la voyant pas devant moi, je la cherche et la trouve assise sur le canapé à l'autre bout de la pièce. Elle veut que je rampe ainsi jusqu'à elle. Je fais ce que je peux, mais n'avance pas beaucoup. Elle menace de me rattacher comme avant si je n'y mets pas plus du mien. Lorsque je suis à ses pieds, elle ouvre ma catsuit pour dégager mes testicules qu'elle caresse avec sa cravache. Elle m'ordonne de lécher ses bottes. Cela me rebute et j'y vais lentement. Du coup elle me cravache les fesses pour me donner le rythme. Si je n’obéis pas à ses coups, j'ai droit à la même chose sur les testicules. C'est cruel et dur mais il faut ça pour dresser un chien. Aucune tolérance. Elle arrête ses coups et me laisse continuer à la lécher. A la moindre hésitation ou ralentissement de ma part, la punition tombe à nouveau. Lorsqu'elle estime que c'est suffisant, elle me coiffe d'une cagoule et me laisse ainsi. Ma maîtresse étant cruelle et exigeante, elle me fait lécher une autre de ses paires de bottes avec une cagoule ayant une ouverture au niveau de la bouche.
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Par : le 31/01/19
Ce récit est extrait du Blog de Mlle EMILIE. " J'écris pour témoigner sur ma condition d'homme soumis, afin d'expliquer ici mon réel bonheur à servir et aimer une femme en choisissant délibérément la soumission. Beaucoup d'hommes en effet ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre mon attitude et ma dévotion envers la Femme que j'ai choisi d'aimer. Et je dis bien choisi, car ce n'est ni par contrainte ni par faiblesse que j'ai décidé d'obéir à celle qui est devenue ma Maîtresse, mais simplement par amour et par passion. Et en m'abandonnant à elle, c'est le bonheur que j'ai découvert. La soumission n'est pas une prison, ou alors avec la porte grand ouverte car aujourd'hui, rien ne m'empêche de partir. Mais quand on a découvert le bonheur, le plaisir et la sérénité, on n'a plus envie de le quitter. C'est aussi simple que ça. L'abandon de soi n'est pas un sacrifice,mais un acte d'amour. Quel autre plaisir aussi fort peut-il y avoir que de rendre une femme heureuse ? Car ce que j'ai découvert dans l'évolution de notre relation domination soumission, c'est qu'en donnant beaucoup à ma Maîtresse, je recevais dix fois plus d'amour qu'avant. Ma Maîtresse ne m'aime que davantage devant mon amour pour elle. Et depuis que je la sers et lui obéit, elle est beaucoup plus attentionnée à mon égard, plus câline, plus amoureuse. Notre relation s'est trouvée enrichie. Alors aujourd'hui, pour rien au monde je ne voudrais quitter ma douce vie d'homme soumis, pour retrouver la vie de couple monotone de monsieur et madame tout le monde qui finit souvent par une séparation après tant de déboire et de chamailleries. Que de temps perdu inutilement, et quel dommage de passer à côté du bonheur qui souvent nous tend les bras. Bien sûr, j'imagine que certains hommes en me lisant doivent être sceptiques, et se demandent comment on peut trouver le bonheur en étant un esclave. C'est justement que je ne suis pas un esclave, comme beaucoup de gens ont tendance à penser quand on parle de domination. En effet, beaucoup de gens parlent sans savoir, et dès que l'on prononce le mot soumission, beaucoup y perçoivent immédiatement le côté dégradant et vulgaire. Alors qu'il n'en est absolument rien. La relation de Maîtresse soumis n'est pas une relation de force ni un abus de pouvoir, c'est en fait un échange, ou chacun occupe sa place qu'il a librement choisie. C'est une relation d'amour qui ne peut évoluer que dans le respect mutuel, et quand on a compris ça, on peut enfin entrevoir le bonheur qui se propose à nous. Aujourd'hui, je suis un homme parfaitement épanoui, et cela grâce à la Maîtresse merveilleuse qui saura me guider. Chaque jour je vais travailler, je peux voir mes amis et ma famille aussi souvent que je le veux, je peux faire du sport et sortir pour me détendre comme c'est le cas pour beaucoup d'entre vous. La seule chose qui change avec tous les autres couples, C'est que la femme domine. Et je dois dire aussi qu'aujourd'hui, j'y trouve beaucoup d'avantage. Beaucoup plus que dans une vie dite " normale ", où l'homme doit sans cesse prouver et décider. Mais bien sûr on ne devient pas soumis en quelques jours. C'est un long cheminement, une progression lente avec beaucoup d'amour et de complicité. Il faut d'abord aimer la Femme avant de vénérer sa Maîtresse et que celle-ci aime d'abord son homme avant de dominer son soumis. Sans respect mutuel, sans amour et sans complicité, cette relation n'a aucune chance d'aboutir. Il n'était nullement question de domination. On s'est aimés comme n'importe quelle couple, partageant amour, plaisir, et complicité. Cela a commencé lentement. D'abord par notre vie sexuelle. Ma femme n'avait rien de la femme qui s'allonge sur le dos et qui attend que l'homme lui donne du plaisir, alors tout naturellement, dès les premiers instants elle prit les initiatives. Si cela m'a un peu perturbé la première fois, je dois dire que je me suis habitué très vite. Car c'était très plaisant pour moi. Je n'avais rien du macho de base qui se sent obligé de jouer les hommes virils en montrant sa puissance. Toutes les autres femmes que j'avais connues avant ma femme étaient plutôt du genre à attendre, à me laisser toutes les initiatives. Et je dois avouer que si cela ne me déplaisait pas, je n'éprouvais pas pour autant une grande satisfaction à diriger. Et pour tout dire, je trouvais à l'époque que faire l'amour n'avait rien de bien transcendant. Cela me plaisait, mais sans plus. Alors quelle différence avec une Maîtresse femme ! Le fait de faire l'amour avec une Femme active qui assumait pleinement ses désirs fut une révélation pour moi. En la laissant prendre les initiatives, elle me fit découvrir tout le bonheur à faire l'amour. Elle jouait avec mon excitation, faisant monter mon plaisir, avant de le freiner pour mieux le laisser rejaillir. Et quelle force dans la jouissance quand vous ne la contrôlez plus. Quel plaisir de se laisser bercer, caresser, cajoler. Je découvris grâce à elle ce que voulait dire faire l'amour. Les Femme sont une vraie connaissance et une vraie sensibilité à l'érotisme, à la sensualité, à l'amour. Et je découvris en même temps le plaisir qu'il y avait, non pas à obéir, mais à se laisser guider. Car comme je lui laissais les initiatives pour mon plus grand plaisir, elle m'indiquait ce qu'elle aimait elle. Je me laissais faire, et comme elle me donnait tellement de plaisir, c'est avec bonheur que je répondais à ses demandes. Je crois qu'inconsciemment, c'est là que j'ai pris conscience du plaisir à donner, à offrir, à me laisser guider. Plus de questions à se poser, plus de réponses à trouver, plus de pression. Je n'avais plus besoin de réfléchir sur comment rendre ma Femme heureuse. Elle m'indiquait où était son bonheur, et moi je me soumettais volontiers, et lui offrais ses désirs pour la rendre heureuse.Quel plaisir et quel confort de s'abandonner à ses désirs. Je n'avais jamais éprouvé un tel sentiment d'importance, de bonheur et de liberté. Pour le reste, tout a été lent et progressif. Mais néanmoins, le plaisir de me laisser guider, d'être soumis à ma reine se fit encore plus présent et plus évident. Je me sentais bien, et j'avais envie de la rendre encore plus heureuse, d'être un homme protecteur et attentionné. Je voulais veiller sur elle, sur son bonheur. Alors naturellement, comme elle rentrait tard du travail, je me mis à préparer le repas, à mettre la table et la servir. Ses yeux étaient brillants chaque soir, et je savais que cela la rendait heureuse de trouver le dîner prêt à son retour à la maison. Et il était naturel pour moi qu'elle se détende après une dure journée de travail. Un dimanche, alors que je débarrassais la table, je surpris ma femme en train de commencer la vaisselle. Sur le moment, je fus surpris. Et cette image me déplut. Je me suis alors approché de ma femme, je l'ai enserré amoureusement,et gentiment, je lui ai retiré ses mains du bac à vaisselle. Tendrement je lui ai alors glissé à l'oreille qu'elle n'avait pas à faire ça, que j'étais là et qu'elle devait plutôt se détendre et profiter de son dimanche. Son sourire était radieux et j'étais heureux de pouvoir lui offrir tant de bonheur. A partir de ce jour, je me mis naturellement à m'occuper de la maison. Ma femme ne me dominait pas encore comme elle le ferait aujourd'hui, mais il devenait évident pour moi que je m'occupe des tâches ménagères. J'admirais ma femme, qui n'était pas encore ma Maîtresse mais que je commençais à voir comme telle. Et naturellement, cela devenait inconcevable pour moi que ma femme, travaillant dur la semaine, fragile, tendre et amoureuse, fasse ces choses-là pendant son temps libre. Je voulais la décharger de tous ces petits soucis du quotidien. Je voulais qu'elle se détende, qu'elle soit heureuse. Les jeux de domination soumission se sont développés comme une suite logique. Cela a commencé en douceur. J'avais toujours eu un petit faible pour les pieds des Femmes. J'étais en quelque sorte sans vraiment le savoir un fétichiste des pieds. Et un jour naturellement, alors que ma femme rentrait du travail, épuisée après de long moment de marche, je me proposais du lui retirer ses chaussures et lui faire un petit massage des pieds pour la détendre. Et comme elle appréciait beaucoup, je recommençais ainsi chaque jour pour son plaisir. Et une fois, sans vraiment m'en rendre compte, je lui fis un petit bisou sur le pied. Elle a souri immédiatement, me disant que c'était très agréable d'avoir son homme à ses pieds, et de se les faire embrasser. Ce qui était un simple petit jeu, est devenu par la suite un rituel auquel je prenais moi aussi beaucoup de plaisir. Alors chaque soir, c'était devenu un moment incontournable. Quand ma femme rentrait du travail, elle s'asseyait dans le canapé, et je venais tout naturellement la déchausser, et les petits bisous du départ sont devenus de gros bisous, et une véritable vénération pour ses pieds. Je prenais chaque soir un grand plaisir, et je dois avouer qu'avec l'habitude, c'était devenu un rituel dont aucun de nous deux ne voulait se passer. Comme je l'ai dit plus haut, tout se fait dans le respect mutuel et dans la complicité. Car sinon rien ne pourrait se passer. Et si tout est concentré en quelques lignes, je rappelle qu'il faut du temps, et que cette relation ne se développe qu'avec la patience et au fil des mois. Mais bien sûr, ici je suis obligé de regrouper les événements. Bien plus tard, alors que ce petit rituel durait depuis plusieurs mois,ma femme est un jour rentrée avec de jolies et longues bottes en cuir noir. Je l'ai d'abord félicitée sur leur beauté. Je la trouvais plus belle encore. Plus femme. Mais lorsqu'elle s'est trouvée assise et que je m'apprêtais à lui retirer, elle m'arrêta avec un sourire. Elle s'est juste contentée de me dire "embrasse les avant, fais-moi plaisir ". Je ne fus pas vraiment surpris de cette demande, et comme dans un rêve, sans vraiment chercher à comprendre, je me suis penché et avec amour j'ai embrassé ses bottes. Elle m'a demandé ensuite de me mettre nu pour le faire. Ce qui m'a gêné à ce moment-là, ce n'était pas vraiment d'être nu, mais plutôt de lui montrer ma belle érection. Car cela m'excitait énormément. Je ne pouvais donc plus lui cacher davantage mon trouble à être à ses pieds et lui embrasser ses bottes. Je dois avouer qu'à cet instant, ma crainte était plutôt de la décevoir. Mais devant son énorme sourire, je fus immédiatement rassuré. A partir de ce moment-là, chaque jour je me mettais nu pour la recevoir, et c'est avec un immense plaisir que je lui embrassais ses chaussures avant de lui retirer. Ma femme n'ordonnait pas, ne me forçait pas. Elle me guidait juste dans le plaisir de ces jeux. Elle m'éduquait avec subtilité et tendresse, pour me faire progresser à ma vitesse, vers un jeu où nous prenions beaucoup de plaisir. Et c'est avec une grande joie que j'accueillais à chaque fois ses nouvelles idées. C'est le collier qui est arrivé ensuite. Ma femme savait me présenter les choses, en utilisant les allusions bien placées. Et un jour, alors que je lui embrassais ses escarpins, je l'entendis me dire que je serais certainement plus beau avec un collier, et que cela devrait m'aller très bien. Pendant quelques jours, je me demandais ce qu'un collier pourrait apporter de plus. Comme d'habitude, ma femme ne m'imposait rien. Elle se contentait de me suggérer les choses, et elle me laissait le temps d'y réfléchir, d'y penser librement. Et lentement dans ma tête, a germé la notion de symbole fort. Un symbole d'appartenance dans la complicité, dans l'amour. Une sorte d'alliance qui montre à la personne aimée à quel point on l'aime. Je me suis rendu compte du merveilleux cadeau que je pouvais lui faire. Et c'est donc moi, un samedi après-midi, qui ai formulé la demande pour aller acheter un collier. Nous l'avons donc choisi ensemble. Et le soir même, j'éprouvais une grande fierté à le porter pour elle. Ma femme était ravie. Ce fut, je dois le dire un grand moment qui restera gravé dans nos mémoires. Et sans m'en rendre compte, je me suis aperçu que je ne le quittais plus. C'est ma femme qui me le fit remarquer. Un peu surpris, et ayant peur de la décevoir, je lui demandais alors si cela lui déplaisait. Elle me répondit avec un grand sourire qu'au contraire, cela lui plaisait beaucoup, et qu'elle était heureuse que je lui montre mon bonheur en portant ce collier. Quelques semaines plus tard, c'est la laisse qui vint pimenter nos jeux. Je découvris alors le plaisir de la promenade avec ma femme. Depuis quelques temps déjà, elle s'amusait à me faire marcher à quatre pattes, me disant qu'elle me trouvait très beau et que c'était très excitant à voir. Alors dès qu'il y avait quelque chose à aller chercher, j'y allais à quatre pattes pour faire plaisir à ma femme. La laisse est donc venue naturellement. Si le collier est un symbole d'amour et d'appartenance que j'aimais porter, la laisse représente un autre symbole. Celui qui nous relie ensemble physiquement. Quand ma femme me tenait en laisse, c'est son amour qu'elle tenait fort près d'elle pour que personne ne lui prenne. Et je me sentais fort, important, aimé et respecté. Les choses ont évolué petit à petit, comme une progression normale, sans jamais que je ne sois forcé ni contraint. Mais ce qui était acquis devait le rester. Et c'est comme ça que la notion de punition est arrivée. Elle aussi, naturellement. Quand ma femme me trouvait un peu mou ou peu enthousiasme, elle avait trouvé la solution de m'envoyer au coin pour me motiver. Et en revenant,je me sentais encore plus soumis, ce qui l'a rendait heureuse. Je dois même avouer, que non seulement ces punitions me faisaient beaucoup de bien, mais aussi que parfois je les provoquais pour vérifier son amour. Puis, nos jeux ont évolué et vont donc beaucoup plus loin. Ma femme a su m'éduquer pour faire de moi un parfait soumis à son plaisir. J'ai progressé, pour mon bien et pour notre bonheur, et à chaque fois, ses nouvelles idées me transportent de plaisir car je sens vraiment ma femme heureuse et épanouie. Alors comme je le disais plus haut, qu'y a-t-il de mieux dans la vie que de rendre sa Femme heureuse ? Dans la relation femme et soumis, le jeu est important, et je dois dire que ma femme aimait particulièrement jouer avec moi. Bien sûr, certains hommes en me lisant peuvent être surpris à la lecture de certains actes ou certaines positions que je suis amené à faire pour notre plaisir. Mais il faut replacer les actes dans leurs contextes, car en les lisant comme ça, à froid, on peut les trouver ridicules. Mais quand on est soumis, et que notre femme nous domine avec amour, tout cela se fait naturellement. Par exemple, ma femme aimait particulièrement me promener à quatre pattes. Et un jour, pour pimenter le jeu, elle a posé devant moi un bol d'eau fraîche. Dans le contexte, j'ai trouvé cela tellement naturel que j'ai bu l'eau en lapant sans me poser de questions. Ma femme était fière de moi, et la récompense fut grande et intense pour moi. Et logiquement, après quelques semaines où je prenais l'habitude de boire dans mon bol, ma femme me fit manger à ses pieds, dans une gamelle. Je dois avouer que la première fois, je fus assez hésitant et elle dut m'encourager pour prendre mon repas complet à ses pieds. Mais aujourd'hui, c'est un véritable plaisir. Et comme je ne le sais jamais à l'avance, à chaque fois que je vois ma gamelle sortie dans la cuisine, je suis toujours très impatient et très excité à l'idée de manger à ses pieds après une bonne promenade. La sodomie est aussi arrivée comme une logique. Ma femme m'avait déjà suggéré son envie de me faire l'amour ainsi. Alors, pour lui faire plaisir, je lui ai offert moi-même à un Noël un gode ceinture. Elle fut très heureuse de son cadeau. Depuis, elle prend un plaisir immense à me faire l'amour. Elle m'a sodomisé toujours avec douceur, écoutant avec passion mes gémissements que je lui offrais par la pénétration. Au début, comme tous les hommes qui pratiquent la sodomie, j'avais quelques craintes. Mais bien vite, grâce à la tendresse, la patience et le savoir-faire de ma femme, mes peurs ont vite disparues pour laisser place à un plaisir commun. Notre vie sexuelle se trouva vraiment enrichie et très excitante à vivre. J'ai pris du plaisir comme jamais auparavant une femme ne m'en a donné. Ma femme ma fait toujours découvrir de nouveaux jeux, dans l'amour et le respect mutuel, ce qui est la base de notre relation. A travers ce témoignage, je voulais simplement, non pas faire l'apologie de la soumission, mais essayer d'éclairer certains et certaines d'entre vous sur le bonheur qu'il peut y avoir à se laisser dominer. Je voulais juste essayer d'expliquer que c'est avant tout une relation d'amour. Je me suis décidé à écrire mon histoire, parce que beaucoup trop de gens confondent les jeux de soumission dans le couple, avec le SM, ou la domination par intérêt, par perversion ou par dépendance. Dans une relation telle que la nôtre, il n'y a que de l'amour, de la complicité et un grand respect. Aujourd'hui, je suis un homme malheureux. Je ne suis ni un esclave, ni une machine qui obéit et qui n'a pas le droit à la parole. Trop de gens ont tendant à faire l'amalgame entre être soumis, et être une espèce de bête de foire qu'on enchaîne à la cave. Je voulais juste remettre les choses à leur place et montrer que la soumission peut être un merveilleux rêve éveillé. A l'heure où je termine d'écrire ce témoignage ma femme est décédée. Depuis 20 ans. "
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Par : le 15/06/18
Je suis une partisane de la Suprématie Féminine, et j’aime utiliser mon savoir élaboré du dressage des esclaves afin d’aider d'autres femmes à apprendre comment transformer un mâle en un véritable Esclave. Totalement dévoués et vraiment très obéissants. Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles : la bisexualité forcée. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des bites est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine et de mentalité machiste Doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre. J’ai d'abord entrainé mes soumis à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture et après leur pénétrer l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de mes lopettes. C'est aussi un mâle soumis, mais il peut être actif avec d'autres mâles soumis, Il est grand, musclé, bien monté. Il n’est pas véritablement homo, mais bi et vraiment très cochon. Pour préparer mon Esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très humiliante et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d'impuissance. Je lui ordonne de se mettre debout devant mon soumis. Il est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Il se déshabille et présente son sexe à mon soumis. Je le prends en main et oblige mon esclave à le sucer et à lui lécher les couilles, puis sur mon ordre il le met entièrement dans sa bouche. et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle puis je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Il reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon soumis trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. Ce type d’entrainement est très utile en faire une vraie salope mâle lui dilater sa chatte anale, et obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon esclave.
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Par : le 06/02/13
N.Y. le 28 janvier Notre vie New Yorkaise se poursuit tranquillement. J’attends avec impatience la fin des travaux de ma galerie, ainsi que Justine pour qui cette nouvelle vie est un vrai rêve. Bruno était reparti à St Barth pour régler quelques affaires privées avant de revenir début février. J’avais parlé précédemment des gouts de Justine pour les expériences hard et même sado maso. C’est pourquoi John me parla de soirées que les américains appellent « Public Disgrace ». Il existe plusieurs variantes à ces expériences, certaines se font à l’extérieur, la fille est entièrement nue, menottée et promenée ainsi à la vue du public. Elle est à la merci de son Maître qui peut faire d’elle ce qu’il veut. Elle peut ainsi se faire baiser par des inconnus, sodomiser, subir des fellations forcées. Tout est permis. D’autres, peuvent se passer dans des magasins, des bars tout lieux publics, mais elles sont organisées le plus souvent dans des endroits privés dans des lieux un peu sinistres.  Les invités sont les spectateurs et les acteurs.  Ils payent leur participation à ces séances. La ce présente  deux cas. Le premier, la ou les filles sont volontaires dès le départ de la soirée, Le deuxième cas, les filles présentes ne savent pas à l’avance ce qui les attends. Bien sur, elles sont toutes consentantes et savent que le sort peut les désigner pour être la « victime ». Ce sont les soirées les plus excitantes. Donc un soir de la semaine ou nous étions tout les trois à table, John annonça que nous étions invités à une soirée, il expliqua qu’il s’agissait d’un spectacle érotique, voir pornographique mais sans en préciser la nature exacte. Bien sûr j’étais au courant, John m’ayant tout expliqué. Justine, toujours avide de nouvelles expériences se dit très intéressée par ce type de spectacles. Le jour dit, nous nous sommes préparés pour cette soirée. Je m’habillais d’une jupe de cuir très courte, d’un chemisier pratiquement transparent et comme à mon habitude sans sous vêtement. Je conseillais à Justine de mettre une robe légère décoltée, bas et porte jarretelles, et vue la proportion de sa poitrine, elle porte toujours des soutiens gorges. Elle ne fit aucune objection à mes conseils et ainsi habillée est était très désirable. En chemin, Justine me demanda si je connaissais déjà ce type de spectacle. Je lui avouais que non et que j’avais hâte de découvrir de quoi il s’agissait. Nous sommes arrivé 30 minutes plus tard, dans un quartier que je ne connaissais pas, triste, avec des maisons délabrées et inhabitées pour la plus part, c’était sinistre. Puis nous sommes arrivés devant ce qui devait être un ancien garage, avec un rideau de fer. Holden notre chauffeur descendit sonner, et le rideau de fer s’ouvrit, nous sommes entrés avec la voiture. Une quinzaine de véhicules étaient garés à l’intérieur. Nous sommes descendus puis, je regardais Justine qui semblait un peu effrayée par l’endroit. John ouvrit une porte en fer et nous pénétrâmes dans un grand hangar. Ce qui me frappa en premier, c’est qu’une trentaine d’hommes et de femmes étaient présents tous portaient un loup sur le visage et étaient assis sur des chaises placées en rond autour d’une estrade ou trônait en son centre deux poteaux placées verticalement. Il y avait aussi une table,  un  tabouret, un carcan, et divers autres objets. Nous avons posés nos manteaux, puis on nous invita à prendre dans une vasque une enveloppe et nous nous sommes assis avec les autres personnes présentes. Une femme entra, habillée entièrement de cuir, composé d’un bustier lui serrant la taille et qui lui faisait jaillir deux seins magnifiques, d’une jupe de cuir ultra courte qui laissait entrevoir son entrejambe nu de tout vêtement et de cuissardes à talons très haut. Ca devenait très chaud. Elle se présenta comme la Maitresse de la soirée. Puis elle prit dans une autre vasque une enveloppe l’ouvrit et annonçât le numéro 21. Elle demanda ensuite d’ouvrir nos enveloppes et que le N° 21 se fasse connaître. Justine eu un moment de panique en découvrant son numéro, le 21. Tout les regards se tournèrent vers elle et un murmure de satisfaction se fit entendre. La Maitresse de la soirée s’approcha alors de Justine, l’invita à se lever, et la prenant par la main, l’amena au centre de l’estrade. Elle lui demande alors de dire si elle était d’accord pour participer comme actrice à cette soirée. Justine un peu perdu cherchait dans mon regard un réconfort et une réponse, mais je ne bronchais pas, et au bout de quelques instants elle dit « oui j’accepte ». Et tout alla très vite, elle se retrouva les mains liées derrière le dos, sa robe fut arrachée violement, son soutien gorge coupé par le devant libéra ses seins aux pointes brunes et  dures. Puis se fut le tour de son string également coupé avec un canif. On lui laissa ses portes jarretelles ses bas et ses chaussures. En 15 secondes elle s’est retrouvée complètement nue, immobilisée et à la merci de cette femme. Ensuite on lui posa un bandeau sur les yeux, ce qui augmenta encore plus sa panique. Un homme, son assistant, s’approcha d’elle, et aida la Maitresse à attacher chacune de ses mains aux deux poteaux par des bracelets de cuir. On lui posa des bracelets aux chevilles et elle se retrouva ainsi exposée, les jambes largement ouvertes. Je regardais John et lui demandais : « J’espère qui tu leur a dit de pas être trop brutaux avec elle » Il me répondit ; « ne t’inquiète pas elle ressortira de là sans séquelles ». Pas très rassurant quand même. La femme pris alors un fouet à une lanière de cuir à manche court puis s’approcha de Justine. Elle fit claquer son fouet, Justine compris instantanément ce qui allait se passer et elle se cabra dans ses liens. Et le fouet claqua, d’abord sur son dos, un coup sec, mais sans violence, elle répéta l’opération une deuxième fois, Justine cria, le coup était plus fort. L’homme resté  à côté s’approcha et plaça sur la bouche de Justine un bâillon en forme de boule de caoutchouc et attaché derrière la tête Elle recommença en descendant sur les fesses en lui administrant une dizaine de coups assez forts. Ses fesses se marquèrent instantanement de marques violacées. La Maitresse fit le tour se plaça devant Justine et fit claqué son fouet sur le ventre, et sans attendre deux autres coups sur chaque seins. Justine se débattait dans ses liens.   Je regardais avec un peu d’effroi ce qui lui arrivait, moi qui n’est jamais appréciée la brutalité. Les hommes et les femmes autour commençaient à s’exciter, et je craignais que cette excitation fasse que les « spectateurs » ne se contrôlent plus. La Maitresse demanda alors un volontaire pour continuer à la fouettée. Un homme fut plus rapide que les autres, il se leva, pris le fouet des mains de la femme, se plaçant devant Justine il entreprit de la fouettée à l’intérieur des cuisses, une partie du coprs particulièrement  sensible. Deux coups sur chaque cuisses, il alla regarder son œuvre et sans doute mécontent du résultat recommançat l'opération. Puis se remettant devant Justine il assénat trois coups sur chaque seins. iI frappait plus fort que la Maitresse et des marques apparurent sur les mamelons. Il refit le tour, et fouetta Justine une dizaine de fois dans l’entre jambe, le bout du fouet frappant exactement sur  le devant de son  sexe juste sur le clitoris. Il revint devant et asséna un coup encore plus violent sur chacun de ses seins, des marques laissées par la lanière de cuir apparut quelques gouttes de sang sur les bouts de ses seins. Justine hurlait dans son bâillon. John fit un signe à la femme qui fit stopper le supplice. Mais l’homme surexcité la frappa de toutes ses forces sur le devant de son corps. Il aura fallu qu’un autre homme intervienne pour le stopper dans sa folie. Ils la détachèrent alors et la placèrent dans le carcan. Cet instrument de torture était composé d’une pièce de bois fixe sur un support au sol avec deux demi trous, deux pour les mains et un pour la tête, ils refermèrent l’autre moitié et Justine se retrouva la tête et les mains prisent dans cet étau. Une barre fixée sur les attaches de ses chevilles lui écartait les jambes au maximum, offrant une vue imprenable sur son intimité. Auparavant on lui avait retiré son bâillon, un homme s’approcha d’elle, la braguette ouverte, le sexe en érection et sans ménagement  le lui enfonça dans la bouche, jusqu’à faire toucher ses testicules sur ses lèvres. Il resta comme ça puis se retira, Justine, étouffait et il recommençât, mais cette fois-ci en violents vas et vient. Toutes les quinze secondes il se retirait pour la laisser respirer et continua jusqu’à éjaculer au fond de sa gorge.   Un autre le remplaça aussitôt et tout recommençât, avec en prime une pénétration des plus brutales. En effet, la femme venait de lui enfoncer sa main dans le vagin sans ménagement. Elle allait et venait de plus en plus vite. Toute sa main jusqu’au poignet pénétrait dans le vagin de Justine, qui ne pouvait crier vu l’engin qu’elle avait dans la bouche. La femme retira sa main, s’enduit la main de gel, présenta son poing fermé à l’entrée des reins de Justine et en tournant légèrement entreprit de le pénétrer comme par devant. Centimètre par centimètre son poing pénétrait l’orifice étroit de ses reins. Un troisième homme remplaça le précédent qui venait de jouir au fond de sa gorge. Et tout continua. L’homme un noir avec un sexe énorme remplaça la main de la femme et l’enculât d’une seule poussée. Deux autres hommes se placèrent devant la bouche de Justine et firent entrer leurs deux sexes en même temps. Des larmes coulaient sur son visage entrainant avec elles le maquillage, elle était méconnaissable. Et pas moyen d’arrêter tout cela. Jugeant que cette position avait proposée toutes les solutions, on la sortit de son carcan, et ils la firent assoir sur le tabouret, sur lequel il avait posé un gode conique de grande taille. Lubrifiée par le gel et le sperme du noir, elle s’enfonçât  jusqu’à toucher les fesses sur le tabouret. Une femme s’approcha avec un vibromasseur, le plaça sur le clitoris de Justine qui se mit à bouger dans tous les sens, maintenue au tabouret par de pieu de plastique. Elle fit durer le supplice jusqu’à ce que Justine explose dans un orgasme exceptionnel. Pendant de temps là un homme muni d’un bâton électrique lui titillait les seins et le bas ventre lui envoyant des décharges électriques puissantes mais inoffensives. Je regardais le public autour de moi. Tout ce petit monde, s’envoyait en l’air dans son coin,. Une femme avait fait entré sa main dans son sexe et se masturbait violemment. Une autre suçait son voisin de siège pendant qu’au autre la baisait. Un autre se masturbait et éjacula sur le visage de sa voisine. Je regardais John, il était stoïque. Il regardait le spectacle sans émotion apparente, j’avançais ma main vers son sexe, le dégageais de son pantalon, il bandait comme un âne, je me penchais et avalais ce sexe qui me donnait tant de plaisir. Dans la position ou j’étais j’offrais mon cul à qui voulait le prendre, ce qui ne tarda pas. Je ne voyais pas l’homme puis me baisait et décidais de ne pas savoir qui c’était, jeune, vieux, un sexe qui bande est toujours un sexe.. Pendant ce temps, Justine avait été portée sur la table, un homme placé sur le dos la baisait, pendant qu’un autre la sodomisait. Ils se succédèrent ainsi sans s’arrêter. Justine jouissait pratiquement sans arrêt. Ils le retournèrent celui sur le dos l’encula pendant qu’un autre la baisait. La Maitresse vint alors se placer sur la bouche de Justine lui offrant son sexe. Sa langue léchait le clitoris, pénétrait à l'intérieur de son vagin largement ouvert, mordillant ses lèvres et revenant au clitoris qu'elle prenait entre ses dents. Elle jouit très vite inondant lson visage et faisant boire à Justine le jet de son orgasme. Cela faisait deux heures que la séance venait de commercer. Et ils n’en finissaient pas de la baiser, de l’enculer. Justine, pratiquement inconsciente, avalait tout le sperme qu’on lui faisait boire. Que pouvait-elle subir de plus. Quelles imaginations lubriques pouvaient encore jaillir de ces cerveaux pervers. Et bien ils trouvèrent vite une suite à tout ce qu’elle avait déjà subi.       Tout le monde se rhabilla, ils nettoyèrent Justine, mais la laissant complètement nue, avec son porte jarretelles et ses chaussures,  un homme la portât jusqu’au parking. Il l'installa dans une voiture. Je m’inquiétais de savoir où ils allaient. John me rassura en me disant qu’on allait les suivre en voiture, et qu’il savait ou ils l’emmenaient. Nous avons suivi len cortège jusqu’à un port au bord de l’Hudson. Là se trouvait une vingtaine d’hommes, adossés à des containers,  des dockers pour la plus part, prévenus de la soirée. On fit descendre Justine à qu’on avait remis le bandeau sur les yeux et attachés les mains derrière la tête sur un anneau fixé sur un collier en cuir.  Il faisait assez froid, nue comme elle était elle devait subir cette température difficilement.  L’homme qui le tenait l’approcha des hommes, et leur dit : «Elle est à vous, vous en faites ce que vous voulez, ne la ménagé pas». Aussitôt les hommes l’entourèrent, leurs mains se posèrent sur ses seins, lui tordant les bouts, elles s’insinuaient dans sons sexe pinçant son clitoris,  ils pénétraient leurs doigts dans son cul. Puis ils la firent mettre à genoux, en lui présentant  leurs sexes en érection. L’obligeant à les avaler tour a tour, passant de l’un à l’autre. Certains éjaculaient dans sa bouche d’autres sur ses seins, sa figure. Puis remise debout, penchée en avant, ils la prirent par devant, par derrière tout en lui enfonçant dans la bouche leurs sexes. Je regardais ce spectacle, une envie folle de la rejoindre me pris, j’en parlais à John qui me dis de faire ce que je voulais. Je m’approchais du groupe, j'ouvrais mon chemisier et remontais ma jupe jusqu'a la taille. Ravis d’en avoir une deuxième pour le même prix ils ne tardèrent pas à s’occuper de moi et de me faire subir le même sort qu’à Justine qui me regardait, les yeux dans le vague, saoule de sexe et de sperme. Un homme me souleva, je serrais mes jambes autour de sa taille, puis il me fit descendre sur son sexe, un autre se plaça derière moi et m'encula de tout la longueur de son sexe. Je descendais et remontais de plus en plus fort. je sentais leurs membres taper au fond de moi, ce qui déclenchaient des orgasmes à répétition. La séance dura le temps que les assaillants vidés complètement et sans munition arrêtèrent  de s’occuper de nous. Je prenais Justine par la taille, lui retirais son bandeau, détachais ses mains, puis se dirigeant vers notre voiture ou Holden nous attendait en jouissant du spectacle, je demandais à Justine comment elle allait. Sa réponse fut sans appel, jamais elle n’avait jamais prit un pied comme ce soir. Elle ne regrettait ni les coups de fouets surtout sur les seins, ni les pénétrations violentes, rien de tout cela. Et se disait prête à recommencer avec plus de violence encore. Tu sais me dit'elle, je sais qu'on peut utiliser des aiguilles sur les seins et le sexe, Il faudrat que j'essaye ça  la prochaine fois. Justine m’inquiétait sérieusement. Il ne faudrait pas qu’elle prenne trop goûts à ce genre de séance, car bon nombre de femmes et d’hommes tombés dans l’addiction du sado masochisme se sont retrouvés mutilés par les coups de fouets, de cravaches, de pinces diverses, d’aiguilles plantés dans tous les endroits les plus sensibles du corps, de suspensions etc. Je me souviens de l'expérience malheureuse du fou qui m'avait mis sur le clitoris son objet de torture qui me faisant pénétrer une aiguille dans le clito à chaque fois que pendant qu'il me baisait son ventre touchait cet engin de torture. J'en garde  un souvenir douloureux. Il faudra que je la surveille de prêt, de toute façon Bruno qui n’est pas non plus un adepte de ce genre de sport lui fera comprendre ou il faut qu’elle s’arrête. Dans la voiture qui nous ramenait, elle s’était blotti contre moi. Habillée d’un peignoir que John avait prévu, elle sommeillait dans mes bras. Arrivé à l’hôtel particulier, elle demanda à Holden de lui faire couler un bain. On ne le revit pas ressortir de la chambre de Justine, à croire qu’elle n’en avait pas eu assez ce soir. Je demandais à John : " le numéro 21 tiré soit disant au hasard, ce n’était pas complètement le hasard". Eclatant de rire John me répondit que bien sûr que non, tout était arrangé d’avance. Tu sais dit ’il, je crois que la prochaine fois, ce sera ton tour. Je le regardais alors dans les yeux, en lui disant que s’il me faisait ça, je m'occuperais de lui personnellement  en pire., que j'avais déjà quelques idées précises de ce que je pourrai lui faire subir. Sa réponse  fut : " arrête tu me fais bander, viens tu vas m'expliquer tout ça " et il m’entraina dans notre chambre.   A suivre        
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Par : le 06/02/23
  Bonjour à toutes et à tous. Pas de photos de la séance cette fois-ci, elle a refusées et comme toujours, c'est un devoir pour moi de respecter cela. Après trois mois d'échanges par mail, par textos, une rencontre autour d'une table d'un établissement sympathique pour faire connaissance autour d'un verre en toute convivialité, le rendez-vous est pris. La voilà devant la porte de mon donjon, belle, féminine, élégante, bref Femme avec un grand F. Je l'invite à entrer, lui ôte son lourd manteau d'hiver pour découvrir une magnifique robe de laine de couleur grise qui, galbe sa silhouette et mets bien ses formes en valeur. Des magnifiques escarpins assortis à talons hauts et fins qui lui font un magnifique galbe de ses jambes. Ces jambes habillées de bas, mon imagination fait le reste et dans un moment, cela ne sera plus imaginaire. Coiffée pour l'occasion, maquillée avec soin, bijoux qui brillent, elle est magnifique. Je la laisse vagabonder dans le donjon, la regarde toucher le chevalet du bout d'un doigt, faire une pause le regard imaginatif devant mon poteau de l'offrande, se dirige vers le pilori et là, toute chose, touche le bois de sa main fébrile, caresse le velours, passe une main dans une ouverture où sont poignet sera bientôt contraint. Elle me regarde avec un regard aussi bien excité que fébrile avec ses joux qui rougissent. Elle s'assoit sur un des supports du pilori où, une de ces jambes sera bientôt liée, encordée, contraintes, dans l'impossibilité de bouger, de se libérer. Elle se lève, se dirige vers ma commode et prend le collier en inox chirurgical et me donne celui-ci d'un regard décidé et prêt à vivre enfin ce fantasme qui la ronge depuis plus de 3 ans. Elle s'agenouille devant moi, mets ses bras dans son dos, les poignets l'un contre l'autre, resserre ses jambes pour que ses chevilles soient l'une contre l'autre. Elle lève la tête, me regarde et d'une voie presque tremblante, me dit, je suis à vous, faite de moi ce que vous voulez, je suis votre chose, votre jouet, votre soumise pour cette après midi. Utilisez-moi, dominez-moi, prenez-moi, je suis à vous. Comment résister devant cette offrande ? Pour ma part, impossible mais, je le reconnais, je ne suis pas un saint et j'aime les Femmes. Les posséder en leurs donnent le plus de plaisirs possibles, c'est ainsi qu'elles m'appartiennent. Je lui ordonne de se lever et, glisse mes mains sous sa robe pour retrousser celle-ci et ainsi, lui ôter. Je découvre sous cette robe un ensemble trois-pièces en satin de couleur gris comme la robe, élégante et coordonnée jusqu'au bout des ongles. Un magnifique soutien-gorge balconnet qui met en valeur sa joie poitrine. Un serre-taille bien large avec 8 porte-jarretelles, une petite culotte que je vais m'empresser d'ôter. Ses bas porte jarretelle magnifiquement féminin et tellement glamour. Je la caresse sur la totalité de son corps, dégrafe.    son soutien-gorge pour libérer cette poitrine en forme de poire. Je commence avec la pulpe de mes doigts, caresser ses seins, ses tétons. Elle frissonne, croise ses jambes, pince ses lèvres. D'une voix ferme et autoritaire, je lui ordonne de décroiser ses jambes et lui donne une bonne fessée. Très stimulée par cette chaleur et ces couleurs sur son fessier, elle baisse les yeux. Je lui pose le collier en inox autour du cou, froid, lourd elle est impressionnée et, quand le clique du verrouillage de la serrure se fait entendre, elle se met à trembler. Je prends les bracelets de poignets de cette parure d'esclave et immobilise ses poignets dans son dos. Elle tente de tirer pour séparer ses poignets mais la contrainte d'acier l'en empêche. Je la regarde droit dans les yeux et prends devant elle avec un sourire diabolique les bracelets de chevilles. J'ouvre ceux-ci et me baisse pour les mettre en place sur ses fines chevilles féminine. La voilà en sous-vêtements, les poignets et les chevilles enchaînés, un collier d'esclave autour du cou. Magnifiquement soumise, je viens vers elle pour lui montrer qui est le Maître. Je passe un doigt dans l'anneau du collier, l'oblige à baisser sa tête pour l'embrasser et lui montrer, lui faire comprendre, qu'à ce moment elle n'est plus à elle mais à moi, tel un objet, une chose. Je pose une chaîne supplémentaire pour marier les bracelets de poignets et de chevilles. Impossible pour elle de bouger, aucun mouvement ni liberté. Je prends une cravache et commence à la caresser avec sur la totalité de son corps, ses seins, son ventre, son dos, son entre jambes. Passé le moment des caresses, les gestes se font plus fermes, plus francs, plus durs. Des petits cris sortant de sa bouche, doux mélange de plaisirs et de honte. Après avoir bien stimulé sa poitrine, les tétons bien durs et bien tendus, je pose sur ceux-ci des pinces avec chaîne pour, être coordonnées avec le collier et les bracelets. Une Femme doit toujours être élégante et coordonnée, je m'en voudrais d'être l'hauteur d'un tel sacrilège. Elle est profondément excitée, des gémissements se font entendre à chaque coup de cravache. Je mets mes mains sur ses hanches, elle sursaute. Je glisse doucement mes mains le long de ses hanches pour m'arrêter sur le début de l'élastique de sa petite culotte. Là sa respiration s'emballe, ses cuisses se resserrent. Je passe ma main à l'intérieur de sa petite culotte et toute en la fessant, là stimule avec un doigt entre les lèvres de son intimité. Je m'attarde sur son clitoris et redouble les fessées. Elle n'en peut plus et commence à vaciller, ces sensations, ces ressenties, ces plaisirs sont presque insupportables car, contrainte et dans l'obligation de subir ces vagues de plaisirs intenses. Cette fois il est temps d'ôter ce bout de tissu qui ne sert à rien et le faire tomber sur ces chevilles contraintes par ce métal. Les seins nus, son intimité à mes yeux, elle se sent honteuse d'être ainsi exposée et de plus, ouverte, humide, voire mouillée. Je saisis une laisse, la pose sur l'anneau du collier et d'un geste ferme, l'oblige à s'agenouiller. Je saisis ses cheveux, les réuni pour faire une queue-de-cheval qui va devenir bientôt, un levier de commande pour faire d'elle, mon objet de plaisir. Ses cheveux dans une main, je déboutonne mon pantalon, fait glisser mon slip, prends mon pénis et lui ordonne de le prendre en bouche. Elle hésite et d'une main dirigiste, lui Insert mon pénis dans sa bouche rouge, chaude et douce. Grâce à sa chevelure, je dirige vitesse et profondeur pour mon plaisir, t'elle une esclave, elle finit par s'exécuter et m'offre une fellation gourmande. Au bout d'un moment, je prends un fouet et tout en exécutant son devoir, je lui fouette le dos, les fesses. Mon sexe en bouche, je l'entends gémir de plus en plus au rythme des va-et-viens et des lanières de cuir qui frappent sa peau. Pas de doute elle aime beaucoup, enfin elle est contrainte, utilisée, soumise, utilisée par cette Homme qui fait d'elle une chienne heureuse de servir enfin. Je finis par éjaculer sur sa poitrine et du bout d'un doigt, prendre de ma semence et lui Insert dans la bouche, une autre façon de la posséder, d'être à moi. Elle lèche mon doigt avec gourmandise. Je lui ôte les contraintes de métal sur ses poignets, ses chevilles mais laisse le collier et la laisse. Je prends celle-ci, lui ordonne de se positionner à quatre pattes et lui fait faire ainsi plusieurs tours du donjon tout en lui fouettent les fesses. Au bout d'un moment, très humiliée, un peu essoufflée, les fesses colorées, je lui ordonne de se lever et de s'installer sur le pilori. Le cou posé sur le bois, les poignets dans les trous qui leur sont réservés, je referme la planche qui vient verrouiller ceux-ci et les cliques des cadenas retentissent pour bien marquer son subconscient et ainsi comprendre qu'elle est prisonnière de ce meuble, ne fessant plus qu'un avec lui et dans l'impossibilité de s'en libérer. Mes mains parcourent la totalité de son corps ainsi offert, ses jambes écartées, dans cette position d'offrande de toute son intimité, t'elle une esclave sexuelle, je glisse une main jusqu'à une de ses chevilles, saisie celle-ci et avec une corde, immobilise cette cheville, et le mollet pour une douce sensation de contrainte forte et bien présente. Au lieu de me précipiter pour contrainte son autre cheville, son autre mollet, je fais glisser doucement ma main le long de sa jambe encordée pour, m'attarder à la porte de son intimité trempée et la stimulée ainsi presque entièrement contrainte et offerte au Maître du lieu. Sa peau vibre, la chair de poule se fait présente, les gémissements sont de plus en plus en notre compagnie, son seul membre de libre, sa jambe droite sautille comme une anguille au rythme de ses plaisirs nouveaux et intenses. Après l'avoir bien fait criée, après l'avoir bien fait mouiller, je saisis une autre corde et entrave cette dernière cheville, ce dernier mollet et la voilà, complètement contrainte, offerte, dans une position très humiliante de chienne en chaleur, prête à être possédée par tous ses orifices et comblée d'être enfin arrivée là et de devoir subir les plaisirs extrêmes d'être baissée ainsi. Je me positionne devant elle et lui Insert mon sexe dans sa bouche et, fait des va-et-vient pour lui faire comprendre, prendre conscience, qu'elle n'est plus qu'un objet à mon service mais, il est vrai, à nos plaisirs. Elle de n'être plus qu'une esclave dans l'obligation de donner des plaisirs et d'être utilisée ainsi et pour moi, quoi de meilleur que la bouche d'une Femme entravée et dans l'obligation fantasmée de sucer. Au bout d'un moment, je lui fais mouiller avec sa salive en lui introduisant dans la bouche, un crochet anal. Une fois bien humide, je lui introduis dans l'anus et fixe une corde à son anneau. Cette corde bien sûr va me servira à le faire mouvoir quand je serai à nouveau dans sa bouche, offrande dont elle raffole. Me voici en elle, tirant sur la corde pendant qu'elle me suce avec beaucoup de vitalité et de puissants gémissements qui ressemblent de plus en plus aux prémisses d'un orgasme. Comme je suis un vilain garçon, au bout d'un moment, j'ajoute à ces sensations, les douces sensations des lanières de cuir sur ce magnifique postérieur qui ne demande pas moins. Mon pénis en bouche, le crochet et sa corde, le fouet la voilà en trans, s'agitent comme un démon en cage et de se sentir fortement contrainte, utilisée lui déclenche un orgasme puissant. Je profite de ce moment pour la pénétrer d'un coup sans prévenir ni ménagement là, complètement en overdose de plaisirs intenses, un deuxième orgasme arrive. Trempée, exténuée t'elle une bête, je la laisse souffler ainsi épuisée par toute cette adrenaline. Mais très rapidement, elle me supplie encore, encore, baisez-moi Maître, je veux encore, je vous veux en moi, au plus profond de moi, je suis votre chienne, votre salope, baisez-moi. C'est curieux chez les Femmes quand elles sont excitées, comme elles peuvent s'humilier elle mêmes. Non sans idées pour lui faire connaître des plaisirs encore plus forts, je désire lui introduire dans le vagin des boules de geisha motorisées et télécommandées. Oui je sais, je ne suis pas gentil...... Je ne mets pas en route dans l'immédiat ce jouet vibrant des plus diaboliques. Je me dirige à nouveau vers sa bouche pour profiter de celle-ci qui est si accueillante qui pour moi et ce que je préfère même avant la pénétration vaginale ou anale. Une fois bien en place dans sa bouche, je fais avec la télécommande vibrer les boules. Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie et, dans une explosion de plaisirs, elle m'offre un troisième orgasme dont je ne me laisserai jamais. Je profite de ce moment de trans intense pour la prendre et la fouetter en même temps et, c'est un quatrième orgasme qui vient à la suite. Je suis heureux pour elle, d'avoir découvert, vécu, sont fantasmes de domination, de soumission, d'être une esclave utilisée comme jamais. L'heure tourne malheureusement et avant de nous séparer, un moment de partage, d'échange, gentiment assis sur le bord du lit comme deux amants qui se quittent avec regret, tout deux encore drogues par tous ces plaisirs intenses. J'espère que ce résumé vous a plu et que les photos habituelles de mes séances ne vont pas trop vous manquer. Cordialement Passions
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Par : le 12/07/15
Ma Maîtresse a une imagination débordante! Depuis le mois de Mai, nous habitons ensemble dans une maison quelle a acheté et que j’aménage pour certains jeux. Dernièrement, elle a eu une idée, qu'elle n'a pas tardé à mettre à exécution. Elle m'a ordonné d'aller dans la chambre et de m'y mettre nu. Lorsque je suis entré dans celle-ci, j'ai de suite remarqué le matériel préparé dans un coin. Elle me rejoignit, m'entrava les poignets avec des bracelets d'acier relieés par une courte chaîne. D'une poussée, elle me fit tomber à plat dos sur le lit. Là, elle me mit un «pénilex»*pour ensuite cadenasser une ceinture de chasteté à ma taille. Me disant «ainsi, je suis sûre que tu ne pourras te tripoter!» Ceci fait, elle m'entrava les chevilles de la même manière que mes poignets. Puis,elle me fit asseoir sur le bord du lit. Elle me passa un masque de nuit afin d'occulter ma vue, qu'elle doubla en deux endroits, avec un genre de «velcro», puis me passa une muselière, ainsi que le collier attenant, puis cadenassa le tout avec plusieurs cadenas, (deux pour la muselière et un pour le collier). Cela fait, elle fixa au collier une laisse de cuir et m’entraîna hors de la maison, en passant par son bureau, l'atelier et l'abri à voitures, pour ensuite me faire descendre sur l'arrière de la maison ou se trouve le cachot. Là, elle m'y fit entrer et fixa à mon collier par un autre cadenas, la chaîne scellé dans le mur. «Voilà, tu vas rester là, autant de temps que je le désirerais, comme cela tu vas pouvoir réfléchir à ta condition de soumis, tu as une bouteille d'eau, avec une paille pour te désaltérer, tu connais les lieux, tu n'aura pas de mal à la trouver!» J'entendis la porte se refermer et les deux loquets extérieur coulisser dans leur logement. Me voilà seul enchaîné dans le noir. Je connais le cachot, pour l'avoir aménager, il mesure approximativement deux mètres sur deux, en entrant, sur la droite de la porte, il y a une petite verrue de béton, sur laquelle est posé un wc chimique de caravane, afin de pouvoir satisfaire à ses besoins, pour l'instant sur le sol est jeté une vielle couette qui sert de litière. Je ne sais combien de temps ma maîtresse va me laisser ainsi enfermé. C'est les vacances. Elle a tout son temps. Au début, je m’assois, puis je marche un peu dans ma prison autant que m'en laissent les chaînes, puis, je m'allonge, je somnole, et je recommence, je m'assois, je marche, je m'allonge, je sommeille, allant même jusqu'à m'endormir à certain moment. De ce fait, je perds assez rapidement la notion du temps, puisque je n'ai aucun repère pour savoir l'heure. De plus, le fait qu'elle m'ait occulté la vue, m'empêche de voir, car la lumière pénètre dans le cachot, par des interstices. Je sais cela pour y avoir déjà été enfermé, juste le temps quelle aille faire quelques courses. Dans cet état, le moindre bruit du loquet, vous réjouit. C'est peut être enfin la délivrance, mais non, ce n'est juste qu'une visite de contrôle, pour voir si tout va bien et changer la bouteille d'eau, ou me rafraîchir grâce au tuyau d'arrosage. Lors de ses visites, ma Maîtresse en profite pour me donner quelques coups de cravache sur les fesses, les cuisses ou le dos, pour faire un peu circuler le sang me dit-elle, vu le peu d'exercice que je peux faire en ce lieu. Puis elle me renferme pour je ne sais encore combien de temps. Ma Maîtresse m'a délivré après deux jours et demi passé dans le cachot. J'avais déjà expérimenté l'enfermement, il y a quelques temps, mais dans un endroit qui ne s'y prêtait pas tant que cela. La première fois, j'avais perdu la notion du temps, mais je savais que cela ne durerait pas plus qu'une journée et que la délivrance viendrait rapidement, mais là, c'est autre chose. Ne pas savoir quand viendra la délivrance est un facteur de jouissance intérieure, en même temps qu'un stress permanent, je ne sais vraiment comment exprimer les ressentis de cette expérience. Par contre, je suis sur d'une chose, je ne changerais de Maîtresse pour rien au monde! Je sais aussi une chose: c'est qu'elle peut être capable pour me punir ou pour son plaisir personnel, de me laisser beaucoup plus longtemps dans le cachot.     * Pénilex sorte de préservatif ouvert, qui se colle à la base du sexe, muni d'un petit tube, que l'on relie normalement à une poche à urine pour l’incontinence masculine, mais qui là est relié à un petit tuyau fixé dans la ceinture de chasteté, afin de pouvoir uriner assis.
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