La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/05/25
Le général Valeri à des potes chez les viets.  A la demande de bdsm.fr, j'avais cessé de parler des exploits de ce général russe en Ukraine. A la demande d'une .....ici sur ce site, il m'a été demandé, après une mise au tonneau, de ne plus tirer à boulets rouges sur le coût exorbitant de nos administrations et de nos fonctionnaires. Alors de quoi parler. Des problèmes de couple entre Brigitte et emmanuel? Rien à foutre des différences d'âge et sincèrement,  Brigitte c'est une meuf, pas un mec, mon modeste avis sur les ragots. Ce qu'il y a de bien dans le bdsm, c'est que l'on se détache de plein de trucs et qu on en a rien à foutre de plein d'autres. Dom ou soum peu importe, je trouve que nous sommes plus libres.  C'est le cas du général Valeri, en mission secrète en Asie du sud est. Un voyage à faire en célibataire. Avec tous ces jolis petits  culs de nanas aux yeux brides, Valeri s'est promis une belle partie de chasse. Pour l'instant il donne le change dans les rues de Hanoï. Il joue au touriste autrichien, il parle fort bien allemand et traine dans tous les coins mal fames. Il se tape des putes comme on boit des bières. Le parfait touriste sexuel qui claque des dollars. Avec ses bretelles bien visibles sur sa chemise, son air satisfait, il a tout du parfait connard. La police ne lui prête plus aucune attention. Les réseaux adverses non plus. Il est dans son hôtel. Il est rentré avec une minette bombe sexuelle sur pattes. Le petit cul le plus serré des trottoirs, c'est à dire encore trop large au goût de Valeri. Il a bâillonne sa minette du soir.il l'a bien ligottee. Comme cela elle lui fout la paix. Elle a voulu protester. Quelques bonnes gifles sur son petit cul ont suffi pour la calmer. Le cul bien rouge , son bâillon sur la bouche, le sperme qui dégouline de sa chatte, elle couine presque en silence. Elle tremble un peu. c'est vrai que les fessées de Valeri font horriblement mal.  À la télé des viets, on parle discrètement de la délicate attention de Brigitte pour son mari. Valeri monte le son. La encore il passe pour le parfait touriste.  Il assemble son canon de 30mm. Portée plus de 4 km. Un bijou de technologie. Pose sur un trépied en titane,  valeri prend tout son temps. Il observe Hanoï dans la nuit avec  sa lunette spéciale. Sa cible est la, en face, à plusieurs kilomètres.  La cible ne se doute de rien. Elle sort nue de la douche et s'allonge sur son lit. Elle  allume une cigarette et sort son tel sécurisé. Valeri savoure sa vengeance . Sa cible est très belle. Normalement c'est une tâche pour un sous fifre. Mais Valeri aime régler parfois ses comptes lui même. Il monte le son  de la télé, donne une baffe sur le cul de sa pute ligotee qui se tortille. Il revient à son canon et a sa lunette. La cible est toujours là. Un plouf ! C'est fini. L'obus de 30mm a fait exploser la chambre où se trouvait la cible. Il est temps de démonter.  Il glisse des billets de cent dollars dans la raie des fesses de la pute viet.  Toi la fermer sinon moi venir te  la fermer..  Inutile de répéter, les putes connaissent le langage de la rue.  Il quitte son hôtel avec juste un gros sac de sport. Il est temps de retourner vers la Sainte Russie. 
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Par : le 27/05/25
G. Les préparatifs.  Jean démarre la voiture et aussitôt Sabine lance un appel téléphonique « Tu as pu avoir ce que je t’avais demandé ? Ok ! Tu mets tout sur l’étagère libre et tu les classes par catégorie et par taille. Vérifie que tout est en ordre dans la pièce et aussi que tout soit prêt dans la salle d’eau… Oui on est en route, on sera là dans environ ½ heure. À tout de suite ! » Jean se dit que c’était certainement Martin qui était au bout du fil. Puis dans la foulée elle appelle un autre numéro. « Oui rebonjour. J’ai réfléchi à ta demande en ce qui concerne le projet que je t’ai présenté. [………] Oui ç’est ça. Et… comment dire ? Ça te dirait d’assister au parcours depuis le début ? Ton avis me sera surement utile. […..] D’accord ? Super je t’appelle plus tard. […….] Non, mais je rentre chez moi. Je te rappellerai une fois arrivée. […..] Ok à plus ! ». Jean n’a rien compris à la conversation. De toute cela ne me regarde pas. Pensa-t-il. Une fois arrivés Sabine dit « Allez au salon, Martin doit déjà y être. Vous connaissez le chemin ! ». Pendant qu’il se dirige vers le salon elle accroche son manteau et son sac à main dans la penderie du hall d’entrée, récupère le paquet de chez Nanette, son téléphone et prend l’escalier de droite. Au premier étage il y a sa chambre qu’elle partage avec Martin, deux chambres d’amis et au fond du palier une porte qui donne sur un escalier. Elle le gravit et arrive sur un petit palier, ouvre une autre porte située à droite et entre dans un couloir dont les murs sont tapissés de velours couleur fuchsia. À gauche se trouve une penderie encastrée et juste après il y a une porte avec, au-dessus, un boitier ressemblant à ceux des issues de secours mais en plus petit. Elle prend son téléphone portable, active une application, le boitier s’éclaire en vert, elle appuie sur la poignée, la porte s’ouvre, elle la referme, pose son index sur l’écran du portable, le boitier passe au rouge, elle appuie à nouveau sur la poignée qui, cette fois, reste bloquée et il est impossible d’ouvrir la porte. Sabine loua les avantages de la domotique. Elle continue d’avancer dans le couloir, sur le mur de gauche une croix de Saint-André noire d’environ un mètre de haut, ceinturée de petites lampes à Led, éclaire la première partie du couloir. Quelques pas plus loin, sur la droite, un passage voûté permet d’entrer dans une pièce meublée d’un sofa, une table pouvant accueillir quatre à six personnes et une kitchenette, en face une fenêtre offre une belle vue sur le parc. Elle ouvre le réfrigérateur et vérifie son contenu puis retourne dans le couloir. Au fond se trouve la porte qui donne sur le donjon et entre cette porte et le passage voûté des chaînes alternées avec des guirlandes descendent le long du mur. Sabine se dirige à nouveau vers la porte où elle avait testé le système de fermeture et entre dans une petite pièce destinée à la préparation et à l’attente des soumises et des soumis, avec les murs et les portes recouverts d’un isolant phonique aux couleurs chaudes, éclairée par des lumières tamisées, comprenant un placard, deux banquettes rembourrées de cuir, en face une autre porte et au fond une troisième. Au-dessus de chacune de ces portes il y a le même type de boitier, elle teste la fermeture et l’ouverture ainsi que les lumières puis pousse la porte qui donne sur un coin toilette avec une douche multi jets et du matériel de lavage intime, vérifie qu’il ne manque rien et que tout est d’une propreté irréprochable. Malgré qu’il y ait une porte qui donne directement sur la pièce principale, elle revient dans la salle d’attente, dépose le slip en cuir acheté chez Nanette et un masque sur la banquette puis va directement dans la pièce principale. Là, c’est son domaine, un donjon aménagé avec l’aide des membres du groupe dont elle fait partie et avec qui elle continue d’apprendre. C’est une salle rectangulaire, spacieuse, aux murs revêtus de bandes de velours rouges et noires en alternance et suffisamment équipée pour un début. Croix de Saint-André, Fauteuil et table de bondage, cage, carcan et balançoire, plus tout le matériel de flagellation, de contraintes et gadgets en tous genres. Elle a commencé son véritable rôle de dominatrice ici, d’abord avec son groupe lors de l’inauguration puis seule avec Martin mais c’est la première fois qu’elle va exercer ses talents sur un non initié qui, d’ailleurs ne sait pas vraiment ce qui l’attend et c’est pour cela qu’elle a besoin de Vanessa. Ah ! Vanessa, il faut que je l’appelle, j’ai failli oublier pensa-t-elle. Elle fait le numéro et met le haut-parleur. « Allo Vanessa, je suis dans le donjon, je vérifie que tout est en ordre ! » Vanessa – « Ok. Donc tu as besoin de moi ! » Sabine – « Tu sais, c’est une première pour moi et même si je sens qu’il est mûr je ne voudrais pas faire d’erreur et qu’il n’ait plus envie de revenir, de rester sous mon emprise ! » Vanessa -  « Il faut qu’il ait les yeux bandés. D’abord pour qu’il ne sache pas que je suis présente mais surtout que tu l’amène à avoir confiance en toi-même s’il ne peut pas voir ce que tu vas lui faire avant qu’il le sente sur son corps. Au début il va être tendu et, normalement il devrait se relâcher ! » Sabine – « Ok je vois ! » Vanessa – « Tu vas commencer soft et on verra comment il réagit. On va mettre un code en place. Pouce levé, tout va bien. Sourcils froncés, tu arrêtes. Je bouge la main avec la paume vers le haut, tu peux monter en intensité. Si je bouge la main avec la paume vers le bas, tu baisses en intensité. Mais ne passe pas tout ton temps à me regarder car il pourrait se douter de quelque chose. Est-ce que Martin sera présent ? » Sabine – « Oui et Jean le sait et je crois même qu’il pense que je vais leur faire faire quelque chose ensemble ! » Vanessa – « Et Martin il en pense quoi ? » Sabine – « Sur ce point il faut aussi commencer doucement. Je te laisse voir ça avec Martin !  Par contre dès que j’aurai un signe à te faire je donnerai un coup de coude à Martin pour qu’il émette un son qui attirera ton attention vers moi. Passe-lui la consigne et entendez-vous sur le son !» Sabine – « Super, je crois que l’on a tout prévu. On va manger vers 21h00 dans la petite cuisine du donjon. Donc tu peux venir entre 19h00 et 19h30 ? » Vanessa – « Oui bien sûr, j’ai déjà prévenu Patrick que j’irai chez toi ce soir ! » Sabine – « On boira l’apéro , on parlera de notre visite au salon de l’érotisme, vers 21 h00 tu feras semblant de prendre congé et tu iras te garer dans le garage. Je t’enverrai un sms quand tu pourras monter. Martin t’attendra pendant que Jean sera dans le vestiaire et que je ma préparerais ! » Vanessa – « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi ma chérie ! » Sabine – « Tu es un amour, bisous, à tout à l’heure ! » Ensuite Sabine sort la cage de sexe de son emballage, se familiarise avec son système de fermeture, car il est un peu différent de celui de la cage qu’elle impose parfois à Martin, et la pose sur l’étagère où trônent les plugs et les godemichets. Elle se dirige vers le fond de la salle. Le mur est tapissé d’un capitonnage rouge, un canapé en cuir noir accompagné de deux fauteuils y est adossé avec au-dessus un grand miroir et vers l’angle gauche une porte également capitonnée mais en noir. Elle ouvre la porte et entre dans une petite pièce tout en longueur. Sur le mur de gauche des portants exposent de nombreuses tenues pour dominatrice mais aussi quelques-unes pour soumis et soumises. Contre le mur du fond il y a un meuble bas à tiroirs et différents modèles de bougeoirs posés dessus et à côté un petit réfrigérateur sur lequel sont rangés des plateaux en argent et des flûtes à champagne. Côté mur droit il y a l’autre face du miroir qui permet de voir ce qu’il se passe dans la salle, deux tables hautes rondes et quatre sièges de bar. De chaque côté du miroir sans tain il y a des haut-parleurs qui permettent d’entendre ce qu’il se passe dans le donjon et un petit écran plat. Sabine essaye plusieurs tenues de dominatrice et en accroche une sur une patère. Elle prend la direction des escaliers pour rejoindre Martin et Jean car Vanessa ne va pas tarder à arriver. Les deux hommes sont en train de discuter, verre à la main, lorsque Sabine entre dans la pièce. Ils sont assis chacun dans un fauteuil et elle s’installe sur le canapé qui fait face. Martin lui propose un apéritif, elle opte pour un cocktail sans alcool car elle veut garder la tête froide pour la soirée et surtout la nuit qui promet d’être longue. La sonnette retentit. « Ce doit être Vanessa. On s’est rencontrées au salon de l’érotisme cet après-midi et je l’ai invitée à boire l’apéro. Tu t’en occupes s’il te plait. » dit-elle à Martin. Il prend son téléphone portable, se connecte en visio au portail d’entrée de la propriété et voyant Vanessa il dit « Bonjour Vanessa, on est au salon, tu connais le chemin ! » et sans attendre de réponse il appuie son index sur l’écran, vérifie que le portail s’ouvre et repose son téléphone. Martin n’apprécie pas trop Vanessa car il sait qu’elle et Sabine ont une relation sexuelle mais qu’il n’a jamais pu y assister et encore moins participer, ce qui le rendait jaloux. Jean a un mal fou à détourner son regard de ces parcelles blanches qui contrastent avec le noir des cuissardes et de la jupe que porte Sabine, comme deux îles paradisiaques perdues au milieu de l’océan, prêtes à offrir l’asile au malheureux naufragé. Jean semblait parfois gêné et Martin s’en amusait. Vanessa arrive, s’assoie à côté de Sabine et ces dames commencent à détailler et comparer ce qu’elles ont vu au salon, les hommes écoutant avec intérêt leurs impressions sur telle ou telle tenue, tel ou tel objet, avec des mots et de gestes sans équivoque. Soudain, Vanessa se tourne vers Jean, le regarde avec des yeux pleins de malice et demande « Et toi petit chou ! Tu as vu des choses intéressantes ? ». Jean, très embarrassé, ne sait pas quoi répondre et bredouille « Euh oui ! ». Sournoisement et sèchement Sabine insiste sous le regard amusé de Vanessa « Soyez plus précis ! Ou faut-il vous y forcer ? On peut parler de notre passage chez Nanette !». Elle commençait à tester son emprise psychologique sur lui. Jean est devenu tout rouge et Martin faisait semblant de ne rien voir ni entendre étant plus intéressé par les glaçons qu’il faisait tinter dans son verre dont il venait de boire la dernière gorgée de whisky. Vanessa, pour souffler le chaud sur le froid, elle et Sabine qui étaient amies depuis le collège avaient l’habitude de jouer la bad girl – good girl à tour de rôle, dit « Arrête, tu vas nous le bloquer le pauvre petit chou ! » tout en pensant à ce qui allait arriver à celui qu’elle appelait « Petit chou » et déjà toute excitée en sachant qu’elle allait y assister. Tout à coup Sabine a une idée et demande « Sabine tu restes manger avec nous ? On mange à l’étage dans la petite cuisine ! » et s’adressant à Martin « les hommes vous montez en premier, on vous rejoint ! ». Une fois les hommes sortis Vanessa dit à Sabine « Ce n’est pas ce qui était prévu ! », ce à quoi Sabine répond « Eh bien, tu n’aimes plus l’imprévu ? À la fin du repas tu feras semblant de partir et je viendrai te chercher sur le palier Le moment venu ! » Bien évidemment Vanessa aime l’imprévu et ne se fait pas prier pour emboiter le pas à son amie. Pendant ce temps les deux hommes étaient arrivés à l’étage. Jean fut intrigué par l’aménagement du couloir, lui laissant entrevoir qu’il entrait dans un endroit spécial qui dépassait probablement tout ce qu’il avait pu imaginer et une certaine émotion non dénouée d’excitation commençait à l’envahir tout en se demandant à quoi peuvent bien servir ces lumières au-dessus des portes. « Tu peux me passer ton blouson s’il te plait ? » Jean sursaute « Hein ? Euh, oui ! ». Ensuite il suit Martin dans la kitchenette et ils mettent couverts, victuailles et boissons sur la table. Ces dames arrivent et au cours du repas Vanessa ne cesse pas de poser des questions à Jean. Vie personnelle, professionnelle, elle voulait tout savoir, puis prend congé et Sabine la raccompagne jusqu’au palier. Sabine dit à Vanessa en chuchotant «On fait comme on a dit. Tu mets ta voiture dans le garage, tu remontes et tu m’attends sur le palier ! ». Sabine revient et s’adressant à Jean « Bien ! Parlons du rôle maintenant ! ».
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Par : le 25/05/25
Cette nuit, j'ai continué ma transformation, la poursuite du chemin vers mon épanouissement dans la nouvelle vie à laquelle mon cœur et mes tripes aspirent. Un couple d'amis m'a fait découvrir la soirée mythique berlinoise Gegen (techno, déshinibition, libération du corps) qui s'est exportée du Kitkat Club allemand, pour une nuit, à la "Machine du Moulin Rouge" à Paris. Deux salles, une scène avec des performances, des DJ berlinois, un dress code encourageant la nudité, une back room, des espaces play réservés aux "Finta" et, surtout, du respect et de la bienveillance.   J'avais toujours voulu faire ce genre de soirées sentant bien ce qui bouillonne en moi depuis très très longtemps, ces tendances non conformistes dans ma vision de la sexualité qui s'exacerbent chaque jour un peu plus. Un ami m'a dit "quand tu vas voir des gens faire l'amour devant toi pour la première fois, tu verras, ça va te faire de sacrées sensations". __________________________ Noue pénétrons la Machine vers 2h du matin. L'ambiance est chaude, feutrée. Je longe le bar pour me diriger vers l'escalier qui mène à la piste. Je n'ai pas encore descendu les quelques marches que je croise les premiers sexes masculins profitant de l'air libre. Quinze minutes plus tard, j'entrevoie, de loin, un couple dans la pénombre ; leurs corps se meuvent dans une lumière bleutée qui permet juste de deviner ce qu'il se passe.. Ce ne sont pas de "sacrées sensations", dignes d'une vanille-citoyenne-modèle (no offense) se retrouvant dans un univers de débauche, non. Je me suis juste sentie "à ma place", là où je devais être depuis longtemps. Quelques heures plus tard, je pense à vous, chers membres de cette belle communauté, quand entre en scène un homme gigantesque, portant un masque à faire pâlir Dark Vador, accompagné d'une femme portant les attributs d'une Soumise .. le temps de poser un instant mon regard sur autre chose, qu'elle est déjà tournée, dos à nous, mains derrière la tête. L'homme sort un fouet qu'il commence à manier avec beaucoup de précision. Il poursuit avec un martinet, avec professionnalisme. Puis, son œuvre terminée, il s'approche d'elle, l'enlace d'une longue et douce étreinte. Là. Sur la scène ; comme s'ils étaient seuls au monde, parmi la foule de gens devant eux. Je m'y suis vue. Là. Mise à nue, devant ces gens.. entre les mains d'un Maître. Lassée un peu d'assister à des ébats exclusivement masculins, la soirée ayant malheureusement (du point de vue d'une femme hétéro) peiné à attirer des hétéros (et même des femmes, très peu nombreuses au final), je promène mon regard qui se lève par hasard sur le balcon du 1er étage, juste au-dessus de moi. Là, une femme, face à la ballustrade, un homme derrière elle.. elle baisse ses dessous, avec un geste trahissant une certaine impatience. J'aperçois son sexe mis à nu. L'homme la pénètre doucement puis accélère ses mouvement, les plongeant dans une danse tant sexuelle que sensuelle. Mon corps s'arrête de danser, immobile. Là, au milieu de la piste de danse. Mes yeux, en l'air ; braqués sur eux. Je n'en loupe pas une miette. L'on pourrait penser que mon côté voyeur s'exprime. Mais non.. c'est l'énergie bouillonnante au fond de moi qui commence à monter. Celle d'abord, voyant son sexe de femme, imberbe, d'imaginer ma bouche et ma langue s'y poser, pendant que l'homme s'occupe d'elle. Celle, surtout, de mes envies, l'énergie qui m'anime encore et toujours... mon corps vibre, mes yeux sont bloqués sur elle. Je veux être elle, mais entre les mains de ce Maître qui sera un jour le mien, m'exhibant, me dominant, me baisant, là, à la vue de tous. J'étais elle, au plus profond de mes chairs. Affaire à suivre.  
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Par : le 25/05/25
« Esclave du camp du bien. Tel est ton destin » Les moqueries de Microbite et Bitemicron résonnent dans ma tête comme la rengaine insupportable d’une chanson niaise. Au pilori devant l’entrée d’honneur du Ministère de la Vérité, je suis l’attraction du jour. Le camp du bien est très fier d’exposer sa prise, nue, humiliée. Deux gardes armés me protègent de la vindicte populaire, tout en se délectant des regards haineux qui m’entourent. Hier encore, j’étais libre – libre d’échapper à ce funeste destin [1]. Quelle est donc cette force étrange qui m’a poussée à franchir le seuil d’un obscur siège local des Brigades de Défense de la Démocratie, au cœur des Alpes Suisses ? La confiance ? L’espoir ? Le visage du jeune milicien de service s’est décomposé quand j’ai commencé à avouer mes crimes. Cette force de la nature semblait soudain écrasée par une affaire dont l’ampleur le dépassait. « Déshabillez-vous, je vais chercher mon chef ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire, après de multiples hésitations et bégaiements. Les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements – c’est la loi. J’avais préparé un scénario vaguement crédible pour expliquer comment je m’y étais prise pour détruire la Lune rouge de Davos [2], mais le milicien m’a à peine laissé le temps d’en esquisser les prémices. Est-ce que le chef sera plus avide de détails ? C’est un petit homme bedonnant qui fit son entrée. Dans un réflexe dérisoire je cachai ma chatte avec ma main droite. « Tsst... » fit-il, d’un air réprobateur. Pas besoin de mots… Pendant que je me résignais à adopter une attitude plus convenable, exposant ma fente épilée à tous les regards, comme la loi l’exige, un claquement sec me fit sursauter. Des émanations de fumée m’en indiquèrent l’origine : la caméra de surveillance du local venait de griller, dégageant une infâme odeur de plastique brûlé. « Nous n’avons pas beaucoup de temps, Ysideulte – Écoutez bien » me dit-il. « Quand je vous interrogerai, laissez-vous guider par mes questions. Soyez coopérative et saisissez les perches que je vous tendrai ». Je n’en croyais pas mes oreilles… Ca alors… Le pangolin fou aurait infiltré la milice ? On tambourina à la porte. « Tout va bien, chef ? La vidéo est HS. » « Oui, un court-circuit visiblement - remplacez-moi ça ». Il ne fallut que quelques minutes pour que le système soit de nouveau opérationnel. L’interrogatoire put commencer. Je ne saisis pas vraiment où le chef voulait en venir, tant ses questions paraissaient confuses, lubriques et sans intérêt, mais je m’employai à y répondre avec docilité. Toujours est-il qu’à l’issue de cet interrogatoire, je ne fus pas incarcérée en attendant mon exécution. Contre toute attente, je fus conduite à Bruxelles, au Ministère de la Vérité. Pas n’importe lequel : le Ministère fédéral, celui qui chapeaute tous les Ministères de la Vérité des nations composant la Suprême Alliance Démocratique. Le Saint des saints du narratif officiel. Le transfert des ennemies de la démocratie est toujours l’objet d’une mise en scène, pour donner l’exemple, dissuader les récalcitrants, et divertir les moutons en attisant leurs pulsions les plus malsaines. Une douzaine de femmes étaient pour l’occasion mes compagnes d’infortune. Après avoir reçu la fessée réglementaire, administrée par un Maître fesseur, c'est nues, enchaînées les unes aux autres, que nous traversâmes la moitié de la ville en file indienne, sous les huées et le regard complaisant des caméras de télévision. Autant il m'arrivait souvent d'éprouver de l'excitation lorsque j'étais fessée par mon Maître, autant je me suis sentie ridicule, profondément humiliée et blessée, d'être ainsi fessée en public comme une gamine, devant des millions de téléspectateurs. Le contexte change tout. Je pensais de surcroît à mes connaissances, mes collègues de travail, ma famille, qui seraient sans nul doute témoins un jour ou l'autre de ce spectacle dégradant, s'ils ne le suivaient pas déjà en direct, et la honte m'envahit. J’occupais la première position dans la file - un honneur lié à la gravité de mes crimes, sans nul doute. Un milicien à l’allure de racaille ouvrait fièrement la marche, tenant fermement la chaîne reliée à mon collier. En d’autres temps il aurait été dealer ou proxénète, aujourd’hui il est défenseur de la démocratie. La lourde chaîne qui reliait mon collier à celui de la suivante me passait entre les cuisses et me martyrisait la chatte à chaque fois que son pas ralentissait. C’était insupportable. « Putain ! Avance ! » lui hurlai-je à la figure en me retournant brusquement. La vue de son visage en larmes me fit immédiatement regretter mon emportement. Je ne connais rien de son histoire ni du destin qui l’attend. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, on peut connaître les pires tourments pour des raisons absurdes. Le totalitarisme progressiste ne s’embarrasse pas de logique ni d’humanité. La violente décharge d’un aiguillon électrique pour bétail me rappela à l’ordre. « Silence, femelle ! » L’arrivée sur le tarmac de l’aéroport et la montée à bord de l’Embraer 120 qui nous conduisit à Bruxelles marqua, pour un temps, la fin de notre supplice. Arrivées à destination, nous fûmes séparées. Je ne saurai sans doute jamais ce que mes compagnes d’infortune sont devenues. Pour ma part j’appris que j’avais été spécialement sélectionnée par le ministre de la Vérité et sa charmante épouse, pour devenir l’une des esclaves de leur couple. L’esclavage n’est pas officiel au sein de la Suprême Alliance Démocratique, mais les ardents défenseurs du camp du bien jouissent d’une impunité totale – jamais un journaliste ou un magistrat ne posera une question dérangeante – alors pourquoi s’en priver. Est-ce que les questions bizarres du chef avaient pour but de susciter des réponses qui attireraient l’attention de ce couple diabolique ? Est-ce dans cet objectif qu’il m’a amplement questionnée sur mon passé de femme soumise et d’esclave sexuelle, entièrement dévouée à mon Maître ? En tout cas, pour le moment cela me procure un sursis. Rien d’autre à faire que de me perdre dans mes pensées, d’occuper mon esprit, histoire de rendre plus supportable l’humiliation du pilori. Personne n’a pris la peine de m’interroger concrètement sur mon mode opératoire. L’incompétence a atteint son paroxysme. Visiblement le réel leur importe peu et seule la narration qu’ils pourront en faire a de l’importance. Le visage pervers du ministre me sort de l’évocation intérieure de ma journée d’hier. Ce type pue la perversion, à un point qui donne froid dans le dos. Ce n’est pas pour rien qu’il a été nommé ministre de la Vérité. La Suprême Alliance Démocratique met les psychopathes les plus incompétents et les plus tordus aux postes de haute responsabilité, tout en chargeant le système médiatique de les présenter comme des virtuoses dévoués au bien commun. Il me libère de mes entraves et m’aide à me redresser. Des heures au pilori, c’est terrible pour les reins. « Viens, on parle de toi à la télé » Comme toutes les personnes profondément perverses, il aime souffler le chaud et le froid, apparaître en sauveur pour résoudre des problèmes qu’il a lui-même créés. Il m’invite à m’installer dans un salon au décor atroce, aux côtés de sa charmante épouse. C’est la première fois que je la vois sans sa perruque. Elle aussi se révèle soudain mielleuse et avenante, mais je sais à quoi m’en tenir. Ce couple de pervers narcissiques transpire le mépris et les rictus fugaces sur leurs visages trahissent leur moi intérieur. La manière dont ils ont saccagé ce palais autrefois somptueux, en refaisant toute la décoration à leur goût, en dit long sur les personnages auxquels j’ai affaire. A la télévision, les journalistes sont surexcités. Il y a de quoi : on vient de capturer la responsable de la destruction de la Lune rouge de Davos. J’hallucine : les experts défilent sur le plateau pour expliquer les détails de l’incroyable enquête menée sous l’égide du ministre de la Vérité – enquête extraordinaire qui a conduit à ma capture. Tout est faux – je suis bien placée pour le savoir – mais je dois reconnaître que cette opération de communication à la gloire de Microbite est percutante. Le blabla glorificateur est entrecoupé d’interviews du ministre de la Vérité en personne – l’air grave – qui explique son combat contre les forces du mal.  Cette affaire tombe fort à propos. Bien que le Ministère de la Vérité et les hordes de censeurs et de fact checkers à sa botte lui permette de donner libre cours à son sadisme et à sa mégalomanie, il a de plus grandes ambitions. L’élection anticipée du prochain président de la Suprême Alliance Démocratique approche. Il est devenu nécessaire de remplacer la marionnette sénile dont la décrépitude mentale ne peut plus être masquée, malgré tout le zèle des journalistes. A la télévision le ministre de la Vérité profite de l’occasion pour faire son auto-promotion « Avec moi, un barrage infranchissable se dressera devant les ennemis de la démocratie. Je serai votre protecteur. Aidez-moi à faire barrage ! ». La vie démocratique est maintenant bien rodée au sein de la Suprême Alliance: l’heure venue, les castors assureront le résultat qui convient. « Merci à toi de nous aider à castoriser les pigeons, une fois de plus ! Ah ah ah ». Convaincus que je ne retrouverai jamais ma liberté, ils affichent sans complexe le mépris de leurs électeurs et jouissent ouvertement de ma contribution involontaire au succès de leur idéologie. J’espère que le pangolin fou sait ce qu’il fait, car pour l’heure j’ai le sentiment de marquer un but contre mon camp. « Il voit loin, il ne pense pas comme nous » m’avait dit mon Maître pour me rassurer. Cet intermède n’est que de courte durée. Ils appellent un gardien qui me conduit sans ménagement dans la cour intérieure du palais, au mur d’exposition contre lequel je passerai la nuit. D’autres esclaves y sont déjà exposés – de beaux gladiateurs au corps d’ébène. Certains arborent fièrement et bien malgré eux de belles bites épilées. D’autres ont été émasculés. D'autres encore ont de lourdes charges suspendues à leurs couilles, qui les étirent à un point que je n'imaginais même pas possible. Les gémissements des malheureux témoignent du supplice qu'ils subissent. Alignés en rang d’oignons, les poignets attachés au mur, au dessus de leurs têtes, ils forment un tableau vivant. Le gardien, jouissant visiblement de ma sidération, me laisse observer longuement ce tableau, tout en me laissant entendre qu’il s’agit des esclaves sexuels du couple. Ma présence déclenche quelques gonflements de bites. Cela doit faire un moment qu’ils n’ont pas vu une femme, a fortiori complètement nue. Ayant été placée en position d’honneur au milieu du tableau, je remarque une fenêtre éclairée derrière laquelle Microbite observe son cheptel. Je me risque à interroger mes voisins à voix basse, mais, visiblement terrifiés, ils ne me donnent que peu d’information. Épuisée, je finis par m’endormir, debout, malgré l’inconfort de la position. Au milieu de la nuit, des voix me réveillent. La Maîtresse des lieux, accompagnée de gardiens, est en train de sélectionner un esclave. Elle palpe les bites, soupèse les couilles, et en choisit un. « La femelle aussi ! » ordonne-t-elle aux gardiens, qui me libèrent à mon tour. Le ministre de la Vérité nous attend au salon, nu comme un vers. Un gardien me pousse si violemment que je m’étale à ses pieds. « Baise-la ! » lui ordonne son épouse. Microbite, l’air dégoûté, se résigne à obéir. C’est donc lui le soumis dans le couple. Je m’en doutais... Il ne bande pas. Les femmes, ce n’est vraiment pas son truc. Mais sa charmante épouse a la solution. Une grosse seringue et une injection massive d’Erector, directement dans la bite. Le dernier produit sûr et efficace de la Bill & Alvértos Fucking Corporation fait fureur au sein de l’élite mondialiste. Il me baise sans conviction, pressé d’en finir. « Aïe ! » hurle-t-il. « Qu’est-ce que tu m’as fait, salope ? ». Il se retire brutalement et examine sa bite avec inquiétude. Moi aussi je l’ai sentie cette douloureuse décharge électrique tout au fond de ma chatte. Une migration de zébralyvox gémellaires ? Quelle ironie, si celui qui a été un acteur zélé de l’extermination des zébralyvox contribuait maintenant contre son gré à la renaissance de l’espèce [3]. « Continue, chochotte ! ». Bitemicron est très fâchée de cette interruption qu’elle considère comme une désobéissance. Tout penaud, le ministre m’introduit à nouveau. « C’est bien » le félicite-t-elle, après qu’il m’ait baisée, et peu importe que ce fut avec un dégoût manifeste. « Maintenant tu as le droit de te faire enculer avant que je lui coupe la bite » ajoute-t-elle, en désignant le bel esclave au corps d’ébène qu’elle a choisi pour lui.  « Dans ma jeunesse, on m’appelait coupe-zizi » m’annonce-t-elle avec un rictus satanique. Obligée d’assister à ce spectacle obscène, l’espoir qu’il me restait encore est à deux doigts de se désagréger. « Tout est fichu » me dis-je. La société est profondément malade et ses « élites » dépravées et intouchables ne sont que le symptôme d’un mal profond. Il est trop tard pour redresser la barre. Incapable de supporter ce spectacle plus avant, je détourne le regard. Au loin, sur un écran d’ordinateur resté allumé, des motifs étranges apparaissent. Peu à peu, un pangolin se dessine, comme pour me donner tort. « Je ne sens rien ! »  s'écrie le ministre, affolé, pendant que l'esclave, pourtant superbement membré, l'encule vigoureusement. « C'est cette salope! Elle m'a fait quelque chose, je ne sais pas quoi ». Les zébralyvox ont déjà détourné l'influx nerveux. J'avais remarqué qu'ils étaient devenus incroyablement rapides ces derniers temps. Je m'approche discrètement du préservatif usagé, qu'il a utilisé pour me baiser et qu'il a déposé de manière dégueulasse sur le bureau. Suffisamment près pour deviner trois paires de petits trous à son extrémité. Trois paires de zébralyvox ont transpercé le préservatif simultanément... Heureusement que cet idiot est trop bête pour comprendre ce qui lui arrive et même s'il fait des examens il y a peu de risque - les zébralyvox gémellaires sont extrêmement difficiles à détecter m'avait assuré Satoshi et pour l'instant seule l'université Kitasato est équipée de têtes Doppler à couplage quantique [4]. Je réprime un sourire... Les plans du pangolin fou sont machiavéliques. à suivre   Contexte et références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) [1] Voir « Alea Jacta Est »   https://www.bdsm.fr/blog/10475/alea-jacta-est/ [2] Voir « Les Lunes de Davos »   https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/   [3] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/ [4] Voir « Attracteur étrange - l'ordre caché dans les profondeurs du chaos »,  https://www.bdsm.fr/blog/9106/Attracteur-%C3%A9trange-%E2%80%93-L%E2%80%99ordre-cach%C3%A9-dans-les-profondeurs-du-chaos/    
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Par : le 23/05/25
Cela faisait quelques semaines que nous échangions, partageant nos envies, nos fantasmes, nos curiosités. Chaque message ajoutait un peu plus à cette tension qui montait doucement, une attente pleine de promesses. Le premier rendez-vous avait été manqué, pour des raisons complexes, mais jamais il n’avait été perçu comme un échec. Il avait simplement repoussé ce qui devenait inévitable.   Un second rendez-vous fut fixé. Cette fois, tout semblait aligné. Nous savions pourquoi nous venions l’un vers l’autre : pour explorer, ressentir, et surtout respecter chaque désir, chaque limite.   Le jour J, toute la matinée, je m’affaire. Je prépare l’espace, je pense à toi, à ce que tu pourrais aimer, à ce que nous avons évoqué. L’heure approche, tu m’écris : « J’arrive dans 5 minutes ». Je t’attends, debout, devant la baie vitrée, un verre de jus d’ananas à la main. Et je te vois.   Tu traverses l’allée, une valise à la main, ton allure irrésistiblement provocante. Talons hauts, collants résille, une jupe noire très courte qui souligne tes hanches, et un décolleté léger, à peine dissimulé par ta longue veste en jean. Tu avances, confiante, consciente de l’effet que tu produis. Je t’invite à entrer. Nos yeux se croisent. Tu souris, espiègle. Je ressens aussitôt cette alchimie revenir, encore plus forte.   Je t’accueille dans mes bras, je te glisse à l’oreille : « Qu’est-ce que tu es belle… ». Tu réponds, tout sourire : « Ça y est, on y est arrivé. » Et je te réponds, sincère : « Oui, et je suis ravi que tu sois là. »   Nous montons à l’étage, les regards s’alourdissent, nos corps se cherchent déjà. L’excitation est palpable. Une fois dans la chambre, tu poses ta valise. Ton regard se pose sur un objet posé sur le lit.   « Tiens, j’avais pas vu le martinet… » me dis-tu avec un sourire malicieux.   « Une surprise. Il y en a d’autres qui t’attendent », te répondis-je, amusé par ta réaction.   Nous nous rapprochons. Mon regard s’ancre dans le tien. Je te caresse le visage, puis t’embrasse. Un baiser d’abord doux, puis plus passionné. Nos langues se cherchent, se découvrent. Je glisse mes mains dans tes cheveux, t’attirant à moi avec fermeté, te dominant doucement, ressentant ton abandon. Mes mains explorent ton corps, caressent ta poitrine, tes fesses fermes, ton dos. Tu frissonnes, ton souffle s’accélère.   Nous prenons un moment pour parler, comme convenu. Consentement, limites, envies. Ce n’est pas un simple jeu — c’est une confiance mutuelle, un espace sacré que nous construisons ensemble. Puis je t’invite à découvrir les accessoires éparpillés ici et là : une balançoire de porte, des cravaches, des menottes, des rubans… Tes yeux brillent.   Je désigne ta valise. « Et là-dedans, qu’est-ce que tu as apporté ? » te demandai-je, curieux.   Tu éclates de rire. « Je me demandais quand tu allais poser la question ! » Tu l’ouvres, lentement, comme pour faire monter la tension. Et tu me montres, un à un, les objets que tu as choisis. Un plug à queue de diable, un autre en fourrure de renarde, un harnais, et deux godemichés XXL, auxquels tu as donné des prénoms. Intrigué, je t’interroge : « Tu les utilises souvent ? »   « Je suis une nymphe qui aime beaucoup se faire du bien », dis-tu avec un clin d’œil.   Je souris. « Tant mieux. J’adore les filles un peu trop curieuses et gourmandes. Je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi. »   Ton regard me dit tout : tu es prête, avide, et profondément consentante.   Je me glisse derrière toi, mes mains reprennent leur danse sur ton corps, effleurent tes courbes, s’attardent sur ta poitrine, tes hanches. Tu te cambres contre moi, ton souffle tremble, ton corps parle un langage que je comprends. Tes tétons se durcissent sous mes caresses. Je te murmure à l’oreille des mots que seul ton corps saura interpréter. Je descends mes doigts le long de ton ventre jusqu’à ton intimité… déjà humide.   Je ris doucement : « Déjà ? »   « Oui », réponds-tu, sans honte, les yeux pleins de feu.   Je te demande de te déshabiller. Tu obéis avec grâce, te dévoilant lentement, presque théâtralement. Une fois nue, je te tends ton corset, que tu enfiles, puis je te passe un collier fin autour du cou, comme une promesse silencieuse. Je t’installe à quatre pattes sur le lit. La cravache à la main, j’admire tes fesses, ton dos cambré, cette offrande assumée.   Je commence doucement. Des claques mesurées, rythmées, suivies de caresses qui apaisent. Ton corps réagit, tu gémis, ton souffle s’alourdit. Puis je change d’instrument. Le paddle vibre plus fort sur ta peau. Ton sexe est brûlant, gonflé de désir. J’alterne entre plaisir et tension, cherchant le point d’équilibre.   Je place un bâillon à tes lèvres, j’attache des pinces sur ta poitrine. Tes yeux s’assombrissent de plaisir. Tu es là, offerte, puissante dans ta vulnérabilité.   Je prends ta chevelure, t’incline vers l’arrière, et glisse mes doigts en toi. Un, deux, trois… tu es accueillante, ouverte, et bientôt c’est ma main entière que tu reçois. Tu cries à travers le bâillon, ton corps tremble de plaisir.   Je ressens chaque pulsation, chaque contraction. Je te tiens, fermement, te soutiens. Tu jouis dans mes bras, belle, indomptable.   Tu tends alors ton jouet XXL. Je comprends. Tu en veux plus.   Je te l’introduis lentement, te regardant, attentif à chaque réaction. Ton corps l’accueille sans résistance. Je commence à bouger. Tes gémissements deviennent chants. Je frappe doucement tes fesses, leur teinte rosée me ravi.   « Je ne vais pas te prendre », te dis-je, penché à ton oreille. « Je veux juste te voir jouir… encore. »   Je t’accélère, te pousse à bout. Et puis tu exploses. Tu jouis, tu te répands, ton plaisir devient une onde liquide. Tu es une fontaine, comme tu aimes le dire, et je me régale de te voir ainsi.   Je te fais t’allonger. Ma main se pose sur ton cou, et tu poses les tiennes sur la mienne. Tu veux sentir la pression, ce juste déséquilibre entre contrôle et abandon. Et tu jouis encore, intensément, libérée. Si excitant de voir un corps si joli avec un visage d'ange se transformer en une si belle petite diablesse.    Nous nous arrêtâmes pour nous désaltérer, puis nous avons pris le temps de discuter de ce moment et d'autres. Cependant, ce n'était pas la fin de notre rendez-vous, car nous avons continué la session encore plus intensément à prendre plaisir de chaque jeux   Quand enfin le calme revient, nos corps sont tremblants. Je défais les accessoires, avec douceur, presque tendrement. Chaque geste est un mot que je ne prononce pas : respect, soin, présence. Tu souris, les traits détendus.   Nous restons là, à nous parler, à nous toucher doucement, sans but, juste pour le plaisir du contact. Il y a dans ce silence une intimité rare, née de la confiance absolue. Nous avons partagé quelque chose de fort, de brut, et de beau.   Et c’est ainsi que notre rendez-vous trouva sa plus belle fin.
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Par : le 21/05/25
J’ai été surpris. J’avais posté mon annonce depuis à peine dix minutes et un message s’est affiché. « Je suis intéressé par ce massage tantrique, on peut prendre un RDV ? ». La fiche de l’expéditeur révèle qu’il s’agit d’un homme quadra au physique agréable. Y’a pas, les abdos bien dessinés chez les hommes, c’est sexy même pour un hétéro comme moi. On tchate un moment et le rendez-vous est pris pour la fin de la semaine. Je lui donne les instructions de préparation : dîner de la veille végétarien, petit déjeuner liquide deux heures avant, hygiène parfaite, rectum vide et rincé. Le jour prévu, j’entre dans l’appartement. L’homme est chaleureux, nu sous son peignoir comme je l’avais demandé. Il rit un peu fort lors de notre conversation de préambule tandis que je m’installe, c’est normal, il est un peu stressé. En fait moi aussi. Je déroule une sorte de futon que je recouvre d’une large serviette éponge, je dispose mes outils de massage, surtout la fiole d’huile d’argan mélangée à une autre plus basique et deux ou trois huiles essentielles selon les besoins. Je demande à ce que les rideaux soient un peu tirés pour baisser la lumière. Le CD diffuse une musique discrète. Vient le moment de commencer. Ma voix est basse, presque chuchotée pour les instructions. Face à face, mes mains tenant ses mains du bout des doigts, nos yeux se regardent. C’est l’échange le plus profond, le moment où on se livre sans contrôle. Une expression d’angoisse dans ses yeux fait place peu à peu à une expression de soulagement en voyant mon regard bienveillant. Discrètement, j’ai évalué certains paramètres importants pour la suite : la longueur de son buste par rapport au mien, presque identique, qui permettra ou non en cas de trop grande différence certains gestes, la couleur du blanc de l’œil qui révèle un léger problème hépatique. Je lui indique que le moment de l’intime est venu et sans lâcher une main, je l’entraîne vers le futon. Assis en tailleur, je le fais asseoir face à moi, dans le creux de mes jambes, pubis contre pubis, dans une étreinte naturellement intime. Dans les bras l’un de l’autre, enlacés, nous restons là, immobiles et je l’encourage à se laisser aller. Sa tête se pose sur mon épaule tandis que mes mains ont recueilli l’huile et commencent à balayer le dos verticalement en alternance. La lenteur est de rigueur et je le sens qui se détend. L’abandon, le vrai, est pour plus tard. Mes lèvres effleurent les siennes, il semble accepter. Ma langue caresse de la pointe ses lèvres puis s'insinue dans sa bouche. Nous commençons une danse lente et salivaire. Lorsqu'il vient dans ma bouche à son tour, j'aspie et plaque sa langue contre mon palais, le contraignant à une immobilité. Puis je lâche et il retrouve une respiration normale. Nos fluides se sont mélangés. Je pose la main verticalement sur sa nuque et l’invite à la suivre. Il s’incline jusqu’au sol alors que son bassin reste collé au mien, en élévation à cause de mes jambes en tailleur. Je commence à masser le buste en douceur, caresse les tétons sans insister, puis encadre son phallus et ses testicules de mes deux mains et je le branle léger, juste la hampe en caressant les boules. Il gémit et bande, mes gémissements et mes soupirs se joignent à lui car je prends autant de plaisir à faire qu’il en prend à subir. Mais j’arrête au bout d’un court moment puisque le but est de faire monter l’énergie sexuelle sans aboutir. Je lève alors une des jambes qui m’encadraient et la masse sur toute sa longueur. Je fais de même avec l’autre pour ensuite la basculer du même côté tout en posant une main sur son épaule pour maintenir le buste collé au sol. Torsion lente, la jambe supérieure a été pliée presque à angle droit et je finis par lâcher le buste qui roule naturellement sur le même côté. Je masse alors les fesses et profite de la position où les parties intimes sont à découvert pour explorer l’entrejambe. Mes mains abondamment huilées coulissent entre les cuisses, retrouvent les testicules, vont jusqu’à attraper le membre tendu sans insister – tout est dans le dosage – et remontent dans le pli inter-fessier. L’anus est l’objet de caresses douces. La pulpe de mes doigts tourne autour, massant avec délicatesse cet endroit si sensible, ma voix l’encourage à s’exprimer et ses onomatopées me renseignent sur le succès de mes mouvements. Je le lèche à cet endroit et lui présente mon pouce. L’anus cède sans résistance. J’explore ainsi la cavité et caresse la prostate. Les soupirs se font profonds. Il faut à présent finir la rotation du corps pour le mettre à plat ventre. A cheval sur ses cuisses charnues, je malaxe ses fesses musclées et remonte lentement vers le dos. Je sais qu’il sent mes poils, mes couilles et mon sexe sur sa peau lorsque je me rapproche pour atteindre les épaules et balayer tout le dos. Je ne cache pas mes soupirs dus à l’effort et au plaisir du partage, l’encourageant à faire de même. Plus tard, je vais le retourner et nous commençons la danse d’amour. Je lui ai mis les bras en croix, paumes vers le ciel, à califourchon sur son visage, genoux écartés, je me suis penché jusqu’à atteindre son sexe qui s’était reposé. Je l’ai pris dans ma bouche et présenté le mien à la sienne. Commençant un doux mouvement de balancement de mon corps, j’ai balayé son visage avec mes parties génitales. Le mouvement est délicat et demande une maîtrise pour rester léger. Il a compris et a ouvert la bouche, acceptant mon sexe qui avait pris du volume. Ainsi le mouvement de balance permet que son sexe pénètre dans ma bouche tandis que le mien sort de la sienne puis les pénétrations s’inversent. C’est lent et terriblement langoureux et épuisant pour moi. Mais c’est jouissif d’aller si lentement, le désir devient puissant et c’est le but. Parfois je m’immobilise et cette station nous connecte un peu plus. Le délice, c'est de téter le gland plutôt que de sucer. Il arrive parfois qu’un spasme du phallus injecte du pré-sperme, signe d’une grande disposition à la jouissance. La phase suivante consiste pour moi à me tourner dans le même sens que lui, mes hanches sur son ventre et pendant que je masse ses côtes, soulevant un peu le buste, mon anus recule et cherche le contact de son phallus. C’est facile avec celui-là, il est tendu et ne demande qu’à servir. Toujours lentement, je le présente à mon anus lubrifié d’avance et avec ce balancement de mon corps, je commence la pénétration. Je reste à l’entrée, le gland à peine dedans. C’est le lieu de la plus grande jouissance pour lui comme pour moi. Nous gémissons sans aucune gêne, maintenant que nous sommes en harmonie. Je bascule alors sur mes pieds et lui demande de soulever ses hanches en prenant appui sur ses mains. Plus il monte, plus je monte sans perdre le sexe dans mon anus. Lorsqu’il arrive au plus haut, je laisse le phallus me pénétrer complètement. Je l’invite à descendre et maintiens le contact en laissant un décalage de hauteur pour permettre un coulissage qui va lui donner envie de remonter. Ainsi la danse d’amour, lente et sensuelle, nous rapproche du moment tant retardé. Lorsque je le sens prêt à éclater, je le plaque au sol, profondément en moi. Mes mains lient nos doigts pour le contrôler totalement, le serragge est impérieux, le maître d'oeuvre, c'est moi.. Puis je me lève un peu et en réglant la distance, je remue pour flatter uniquement son gland. Le coït sans précipitation abouti en peu de temps à l’orgasme souhaité. J’aime ce moment où l’autre est vaincu par l’explosion qui lui envahit le ventre de l’intérieur, où il perd tout contrôle avec cette expression de stupéfaction devant la puissance de son orgasme. Je me retire et le laisse haleter. De la main, je masturbe doucement le phallus encore dressé pour lui permettre de se reprendre. Un court jet de sperme me montre que c’était utile. Je peux maintenant terminer mon massage en mode léger, yin, pour l’apaiser. Notre séparation se fera avec un regard plein d’amour et de reconnaissance. Les pupilles dilatées, je franchis la porte. « Merci, tu m’as donné un grand plaisir ». J’ai simplement répondu : « je t’ai donné et tu as reçu, en recevant tu m’as donné ». La porte s’est refermée doucement, comme pour ne pas briser le lien silencieux que nous avions créé. L’effet durera trois jours. J’ai d’autres idées de façons de masser et espère vous raconter lorsqu’une femme m’aura demandé.
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Par : le 21/05/25
Bonjour madame votre rendez-vous est déjà là et attend depuis 15 min vient s'empresser de dire Océane l'adjointe de Vanessa là Directrice de l'agence auquel elle travaille . Apportez-moi un café et faites-le attendre repondit Vanessa d'un ton aussi sec que la gorge de son adjointe Toujours pas habitué à l'arrogance de sa supérieure .  Vanessa est celle qu'on envie par sa réussite et son élégance, mais celle qu'on déteste par son attitude et son mépris qu'elle rejette même dans le silence et pourtant paradoxalement Vanessa est plutôt douce et bienveillante dans son foyer et envers ses proches. Mais Vanessa a toujours cette idée qui trotte dans sa tête, cette envie, ce désir, ce fantasme ,qui en devenait une  obsession , celle de voir son mari, celui qu'elle aime, celui auquel elle a toujours été fidèle depuis leur rencontre , celui qui a toujours été fidèle envers elle également, celui qui pourrait lui décrocher 2 étoiles supplémentaires si elle lui demandait la lune ,celui que plus de 51 pourcent de la gente féminine révérait, Vanessa voulait voir son mari dans les bras d'une autre femme .  Vanessa voudrait voir son mari faire jouir une autre, cette idée la faisait jouir elle-même et continuait de la faire jouir encore et encore dans ses plaisirs secrets et solitaires à elle . La perturbation de ses fantasmes obsessionnels était à la hauteur du plaisir qu'elle ressentait , le plaisir d'imaginer vivre ce désir si particulier , Tout du moins si particulier pour elle , en effet Vanessa se sentait tellement  différente des autres, tellement de questions se bousculaient  dans sa tête. Ce n'était pas cette différence qui la tracassait , mais cette anormalité profonde qu'elle ressentait. et le pourquoi était sa grande question . Vanessa décida de se documenter , de lire des articles sur le cuckquean , de parler sur des forums. Mais en essayant de vouloir comprendre pour pouvoir peut être s'en échapper , Vanessa pénétra la sphère sans s'en apercevoir ou voulant peut être pas s'en apercevoir . Son mari ludovic grand brun trés séduisant savait les désirs de sa femme , celle-ci lui avoua pendant certains rapports sexuels ,mais Ludovic prenait ça comme un fantasme , un jeu  qui apportait néanmoins des orgasmes beaucoup plus fort a sa femme , certeins pour même être qualifier d'explosif lors de leurs jeux de rôles imaginaires concernant le fantasmes de vanessa ,et sa ludovic le remarquait , d'autant que celle-ci ramenait le sujet de plus en plus et ceux méme en dehors de leurs rapports , ludovic retrouvait  souvent  des livres et magasines sur le sujet. . Après avoir étouffé pendant quelques temps ses fantasmes qui lui criait si fort dans la tête, Vanessa et Ludovic se rendaient dans la douceur de ce jour d'été à une soirée de mariage d'un couple d'amis qui ont loué pour l'occasion un domaine immense, un domaine d'une élégance mélangé d'une simplicité naturelle faite par les jardins entourant et les hectares que l'on peut voir à perte de vue. Une centaine de personnes sont attendues, les invités sont presque tous aussi chic que le lieu auquel il se retrouve. Aprés que les esprits se soient échauffés avec l'apéro et petits fours, les invités se rendent autour des tables de 7 personnes pour entamer ce joyeux festin.  Vanessa et Ludovic se retrouve accompagné à la table de 2 couples d'amis et d'une amie prénommé Manon que ni Ludovic ni Vanessa ne connaisse, Manon est l'ami d'un des couples qui vient s'asseoir a coté de Ludovic pour le dîner  , ce brun ténébreux qui ne laisse pas indifférente ces dames. Cette soirée ou plutôt ce fameux dîner allait être l'élément déclencheur pour Vanessa en voyant Ludovic et Manon se parler comme s'ils se connaissait depuis des années , leur complicité naturelle  transpirant autant que le charme de Manon qui en joue un peu devant Ludovic qui est loin d'être indiffèrent également . Le nombre de points communs et d'éclats de rire entre eux passe complètement inaperçu avec tout ce bruit de voix provenant des multiples tables qui se mélangent et ce champagne qui coule à flot et qui fait parfois augmenter le niveau sonore des conversations, personne ne s'aperçoit de rien sauf Vanessa qui reçoit a cet instant une décharge électrique dans le cœur comme toute femme jalouse et amoureuse , son souffle se coupe , son coeur bat aussi vite qu'un joueur de poker qui bluff , ce n 'est plus une décharge électrique que reçoit Vanessa dans le bas-ventre , c 'est un coup de tonnerre, un coup de foudre équivalent a celui qu'elle vient de voir entre Manon et ludovic , un coup de foudre qui lui fait pleuvoir fortement son trésor qui est encore exlcusif a son mari.......
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Par : le 18/05/25
Vendredi, au lendemain de mon arrivée, tu me préviens que tu souhaites que je passe la nuit en cage, la toute petite nouvelle évidemment. Aussi, je profite que tu sortes une petite heure pour me lancer dans sa mise en place. On n’est jamais trop prudent pour éviter toute suggestion qui viendrait gêner son enfilage déjà complexe. Alors une pulsion soudaine de raideur imprévue serait rédhibitoire ! Par chance, ma stratégie marche et l’après-midi se termine à l’étroit mais néanmoins dans un relatif confort, certes bien contraint ! Lorsque la nuit fut venue, ce fut le tour de la nuisette noire. Depuis le temps, elle n’a toujours pas grandi. Elle couvre toujours aussi peu. Mais je reconnais qu’on y dort pas mal du tout sous la couette. Le sommeil n’est a priori pas dérangé par cet ensemble assez peu ordinaire. Il faut reconnaitre qu’une si petite cage présente un certain avantage : pas de risque de pincement nocturne soudain en cas d’érection. Et la restriction serrée ne m’empêche pas de trouver le sommeil.   Samedi matin, dès le réveil, lors de mes premiers pas en bas de l’escalier, tu fais connaissance avec cette mini-contrainte que rien ne dissimule. D’ailleurs ne devrait-on pas rebaptiser la nuisette ? « Montreuse » lui sied mieux ! Tes ongles prennent un malin plaisir à explorer ces « chairs » en tension, ainsi rendues hyper réactives, hyper sensibles. A la suite de ce plaisir des yeux, en ce qui te concerne, je suis autorisé à laisser la nuisette de côté, quant à la cage, libre à moi de décider. Etant donné qu’elle reste supportable et qu’elle n’est pas si évident à mettre en place, j’opte pour son maintien en place. Je verrai bien si j’ai présumé de mes capacités … ou pas !   Le soir venu, tu décides de réaliser les premiers tests de tes nouveaux jouets, à savoir les deux fouets en fibre optique. A dire vrai, je ne vois pas du tout le spectacle coloré qui se déroule dans mon dos. En revanche, je ressens bien le caractère électrisant des ces ultra fines « lanières », rien à voir avec un fouet. Il n’y a pas le mordant des mèches de cuir ; il n’y a pas le « poids » habituel. A priori, la prise en main et l’utilisation sont très différentes ; aussi j’ai vite fait de protéger comme je peux oreilles et visage avec mes mains. Des impacts pleuvant un peu partout. Il faut bien que tu expérimentes pour comprendre comment les manier, et manque de chance, ce n’est pas la même technique que pour ceux en cuir. Va falloir de l’entrainement pour arriver à maitriser le point d’impact ciblé… Mais je dois reconnaître que cette première dégustation est des plus encourageantes. A l’issue, tu m’invites à enfiler à nouveau la nuisette pour une nouvelle nuit, toujours encagé et serré de près.   Dimanche matin, tu immortalises ton nounours au réveil dans son « originale » tenue nocturne. Que dis-je tenue ? La preuve, tu n’as même pas besoin de la relever pour bien observer cette mini-enceinte métallique qui m’a encore tenu compagnie pour une deuxième nuit consécutive. Et c’est reparti pour une nouvelle journée à l’étroit.   Dans la soirée, tu souhaites passer aux choses sérieuses avec tes dernières acquisitions. Ma tenue ressemble étrangement à celle d’hier. Bon d’accord, elle était si minimaliste que ce n’était pas difficile. Néanmoins, tirant la leçon des premiers essais, tu me proposes la cagoule après avoir enfilé la paire de bas résilles, bien pratiques pour chausser les cuissardes. En fait, je serais simplement « vêtu » des jambes et de la tête. Même s’il m’est devenu difficile de tenir debout avec, leur port apporte toujours une certaine excitation … évidement contenue en ce week-end sous clé. Pour commencer, tu me demandes de me placer à genoux, buste droit et les bras le long du corps. Un poil contraint par la présence des cuissardes, cela me demande un peu de stratégie pour y réussir. Ceci fait, je t’offre tout mon dos. Tu choisis de débuter avec le moins long des deux fouets lumineux. Pour multiplier les sensations, ou plutôt les effets (que je découvrirai a posteriori), tu alternes les fouettées à la lumière, ou dans le noir, instants où les fibres lumineuses, aux couleurs changeantes déploient toute leur magie. Pour immortaliser cette inauguration, tu alternes aussi entre les photos, qu’il faut multiplier pour assurer d’avoir des clichés synchronisés avec les impacts et les vidéos qui captent à la fois les changements de teinte et le son si particulier de ces fouets, un sifflement différent de celui du cuir. Je retrouve l’effet électrisant déjà ressenti hier. En soi, ces fouets sont moins mordants à chaque impact. En revanche, l’accumulation de contacts finit par susciter un effet fouetté qui chauffe le dos ou les zones ciblées. Tu essaies aussi le plus long bien qu’il semble plus difficile à dompter pour avoir les effets escomptés. Petit à petit tu arrives à flatter aussi mes épaules et mes flancs. Quand une fibre traine près de la cagoule, mon oreille la plus proche siffle. Tu parviens aussi à faire quelques enroulés mais leur effet est bien plus ténu qu’avec les cousins en cuir. Après un bon moment passé à te présenter ma face postérieure, tu me demandes de me retourner et de m’étendre sur le dos, la pliure des genoux au bord du lit, et les bras serrés le long du corps à plat sur la couverture. Tu peux alors reprendre le même manège, cette fois en flattant essentiellement ma poitrine, accessoirement mes flancs. Etonnamment, mon intimité protégée par sa cuirasse semble échapper aux impacts. Quant aux sensations, elles sont très similaires à celle ressenties dans le dos. A la fin de cette inauguration qui appelle des suites, en alternance avec des fouets plus classiquement mordants, tu déposes les armes avant de me réserver une surprise. Toujours cagoulé, je ne te vois pas approcher. En revanche, mes couilles tendues et ma queue toute rabougrie dans sa cage bien étroite sont devenues hypersensibles au bout de quarante huit heures. Autant dire que le contact de tes griffes sur ces chairs me fait démarrer au quart de tour, m’arrachant quelques couinements. Je comprends quelques minutes plus tard que c’était aussi une façon de me rendre ma liberté. Il faudra bien une nuit pour que les chairs mâchées reprennent leur disposition originale.   Deux jours plus tard, dans la soirée, nous reprenons nos jeux, l’occasion pour toi de me proposer de changer de cadre. Exceptionnellement nous abandonnons la chambre au profit du salon. Pour mon plus grand plaisir tu me demandes de remettre, avec ton aide active précieuse, les cuissardes (si elles s’étaient absentées depuis un bon moment, elles font leur retour en force lors de ce séjour ; tout comme les bas résilles qui vont avec). J’ai l’impression qu’avec l’entrainement de dimanche, nous accomplissons l’enfilage plus rapidement. C’est tout de même épique, moi, assis sur le chariot, les jambes raidies par les cuissardes et toi qui tire dessus pour me faire approcher et finir le laçage, Je n’ose imaginer le spectacle de l’extérieur. Une fois terminé, tu me « repousses » littéralement. Auparavant, tu m’avais demandé d’enfiler le shorty rouge, bien visible et les bracelets aux poignets. Le collier était déjà en place depuis ce matin. Une fois paré, tu me tends la dernière touche de la tenue : toujours la cagoule en cuir que tu noues sur ma nuque. Cahin caha, j’arrive à pivoter et à me présenter devant la table basse selon tes consignes. Sauf qu’un hic se révèle. Le plan ne se déroule pas sans accroc. L’idée première de me faire pencher sur la table basse tout en restant sur le chariot se révèle  impossible à réaliser techniquement. Le chariot est trop haut pour cela. Qu’à cela ne tienne ! Nous le poussons dans un coin ; tu sors quelques coussins que tu places devant la table et je peux alors m’agenouiller « confortablement » au sol (pour autant qu’il puisse être totalement confort de se positionner ainsi avec des cuissardes !), puis placer la tête et le haut du buste appuyés sur un autre coussin posé sur le plateau. Jusque là tout allait bien, sauf que Maitresse veut m’immobiliser les poignets aux pieds de la table. Donc il faut que j’écarte les bras près des deux extrémités, vive le coussin …. et la cagoule, qui est venue me recouvrir la tête juste avant le début des nouages. A partir de là, je perds le fil des détails. Je comprends que les cordes m’enserrent. A priori, après avoir immobilisé mes bracelets aux pieds de la table, les cordes viennent contraindre mes bras avant d’encercler mon corps de plusieurs boucles. Elles poursuivent ensuite leur œuvre de contrainte à la lisière des bas, puis à celle des cuissardes avant de les serrer dans quatre nouvelles boucles. En guise de point final, tu viens lier les deux talons entre eux. Déjà privé de la plupart de mes mouvements, je ne risque plus de bouger. Désormais tu disposes d’une parfaite extension à ta table de salon, parfaite pour y reposer tes pieds sans risquer la moindre dérobade, tout en sirotant ton café, satisfaite de ta réalisation. Après l’effort, le réconfort ! Quelques minutes plus tard, après le retrait des cuissardes et des bas, tu te délectes des marques laissées sur mes jambes. Je ressemblerais presque à une tortue, arborant ce qui pourrait être assimilé à des écailles. Sans parler des petites marques rondes des œillets … Ton petit sourire de satisfaction fait plaisir à voir.   Le lendemain soir, tu me proposes le plat de résistance du séjour. Comme tu me l’avais demandé plus tôt dans la journée, je me présente à toi avec le boxer noir mi-long qui laisse apparent mes fesses en les soulignant à merveille, comme si elles appelaient les impacts. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, très certainement par habitude, les moufles posées au coin du lit ne sont pas pour moi ce soir. Très étonnant ! Tu ne m’avais pas habitué à cela. En effet, pour épargner tes mains, une fois n’est pas coutume, tu les enfiles pour une séance de fessée que tu appliques, installée à califourchon sur mon dos. La sensation est légèrement moins impactante qu’à mains nues ; c’est d’ailleurs ainsi que tu termines cette mise en bouche, avant de poursuivre à mains nues. Après avoir délesté mon corps de ta présence enserrante, je ressens la présence d’un feutre qui parcourt mon postérieur. A priori, tu restes mesurée dans tes inscriptions si j’en crois mes sensations. Je verrai bien plus tard de quoi il retournait. Des mots prémonitoires qui annonçaient la suite. Mais cela, je l’ignorais à ce moment-là. Tu me gratifies alors d’une longue session de griffes, sur l’intégralité du corps, du moins sa face accessible. J’en frémis, j’en ronronne. Malgré les années qui passent, ce pécher mignon ne me quitte pas. Je ne saurais dire comment cette addiction a commencé mais il est hors de question de tenter de la soigner. Où plutôt si, avec une ordonnance de griffes régulières ! Le contact suivant sur mon dos correspond sans aucun doute à une brosse. Pourtant, après quelques passages, je commence à avoir quelques doutes. L’effet ne correspond pas à celle que j’imagine. Une fois n’est pas coutume, je finis par te demander ce que tu viens d’utiliser. C’était donc ça : j’imaginais la toute petite, il s’agissait de sa grande sœur, aux griffures plus denses, mais générant quand même moins d’effets que des ongles acérés. En fait j’aurais dû m’en douter quand le contact métallique s’est transformé en contact plat. Tu venais de la retourner pour t’en servir de petit paddle en bois. C’est un modèle plus long qui lui succède, toujours dans la thématique des détournements qui te sont si chers. Je dois reconnaitre que cette spatule en bois convient parfaitement pour rapidement réchauffer un postérieur offert et ainsi présenté dans son écrin de vinyle … Alternant le sucré et le salé, tu le remplaces par le plumeau. J’aime beaucoup la douceur des plumes mais il ne faudrait quand même pas en abuser. Maso un jour révélé, maso toujours. Mais il est bien utile avant de reprendre de plus belle. Bon, tu ne pouvais pas t’empêcher de le retourner pour transformer son manche en baguette, légèrement plus « douce » que les grandes en bois brut. Surtout que c’est du lourd qui vient soudainement s’abattre sur chacun de mes globes fessiers. Il n’y a qu’un seul candidat dans ton arsenal susceptible d’impacter aussi fort, aussi largement, aussi lourdement. Le « 54 fillette » ! Je n’ose imaginer l’état d’un fessier après une série un peu longue de ce colosse. Sans compter que lorsque tu le retournes, ce sont les crampons qui viennent essayer de mordre. J’avais presqu’oublier l’effet qu’il pouvait générer. Précautionneuse, tu n’insistes pas plus que cela, souhaitant sûrement laisser un peu de place au reste de ton programme (ou de ton improvisation ? Peu importe !). Du paddle en cuir long et clouté, je ne me souviens même pas que les sensations aient été différentes. Et pourtant ! Mais où était mon esprit ? Mystère ! Surtout que j’ai bien discerné par la suite le passage du petit slap. Tout comme, je ne pouvais pas ne pas reconnaitre la morsure de la petite langue de dragon. Il faut dire qu’elle est caractéristique et crée très vite une sensation de chaleur. D’autant plus que, depuis le début de la soirée, tu as décidé de limiter ta zone de jeux à l’espace délimité par mon boxer. Pour aussi loin que je m’en souvienne, je ne crois pas que tu aies autant insisté sur une surface finalement aussi restreinte. Je commence à me demander si je ne vais pas le regretter quand la chaleur va se transformer plus tard dans la nuit ou encore demain quand je voudrais m’asseoir. Je verrai bien. De toute façon, il est désormais trop tard pour revenir en arrière. Pour autant que je l’aurais voulu. Tu termines hors piste avec le fouet qui, lui, ne saurait se restreindre à un simple fessier. Il préfère largement aller flageller et mordre un dos resté « vierge » ou presque.   Après cette longue série d’impacts divers et variés, tu me demandes de me placer à quatre pattes. Dans ma tête, c’était pour une dernière tournée de lanières. Cela avait le mérite d’être raccord avec tout ce qui se passait depuis le début de la soirée. Sauf que je devine que tu viens t’installer juste derrière moi. Bizarre, quel accessoire nécessiterait une telle proximité ? Puis un liquide vient couler sur mon postérieur, ou plutôt dans mon sillon. Bizarre encore, je n’ai pas entendu le son des gants qu’on enfile quand cet endroit est concerné. Puis tes mains viennent écarter mes fesses : cette fois, le doute n’est plus vraiment permis. Ton nounours va se faire enfiler ! Reste à deviner ce que tu présentes devant ma rondelle. D’ailleurs, tu te vois obligée de prendre ton temps, d’y aller petit à petit avant que je me réhabitue à ce genre d’invasion. L’entrainement se perd vite, on dirait. Néanmoins tu es patiente, et tu parviens à tes fins au bout de quelques minutes. Il rentre jusqu’à la garde. Quand je dis il, je pense à ton gode-ceinture (enfin sans la ceinture ce soir !). Pendant de longues minutes tu le fais aller et venir. Il coulisse de mieux en mieux. Je crois comprendre que je ne m’oppose pas assez à son passage, comme s’il était devenu trop étroit. Hallucination auditive ? Mystère. En tout cas j’apprécie que tu fasses durer ce moment tout en délicatesse. Comme quoi sodomie ne doit pas rimer avec sauvagerie. J’ai beau être « moins opposé », il reste bien en place lorsque tu l’abandonnes quelques instants, fiché au fond de mon intimité. Comme quoi ! Là encore, j’ai le sentiment que jamais auparavant, tu n’avais fait durer ainsi un engodage. Merciiiii. Enfin tu me libères. Limite je finissais par m’habituer à cet intrus. Il faut dire qu’on le supporte mieux que le manche de flogger que j’avais sous-estimé voilà quelques années… Finalement non, cette sodomie n’était pas un point final. Tu m’offres quelques dernières griffes pour boucler la boucle, dernier ronron, dernier sourire de satisfaction béate.   PS : contrairement à mes craintes, la nuit ne fut pas perturbée par des fesses douloureuses pas plus que je n'ai eu de soucis pour m'asseoir le lendemain.
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Par : le 16/05/25
J’ai été surpris. J’avais posté mon annonce depuis à peine dix minutes et un message s’est affiché. « Je suis intéressé par ce massage tantrique, on peut prendre un RDV ? ». La fiche de l’expéditeur révèle qu’il s’agit d’un homme quadra au physique agréable. Y’a pas, les abdos bien dessinés chez les hommes, c’est sexy même pour un hétéro comme moi. On tchate un moment et le rendez-vous est pris pour la fin de la semaine. Je lui donne les instructions de préparation : dîner de la veille végétarien, petit déjeuner liquide deux heures avant, hygiène parfaite, rectum vide et rincé. Le jour prévu, j’entre dans l’appartement. L’homme est chaleureux, nu sous son peignoir comme je l’avais demandé. Il rit un peu fort lors de notre conversation de préambule tandis que je m’installe, c’est normal, il est un peu stressé. En fait moi aussi. Je déroule une sorte de futon que je recouvre d’une large serviette éponge, je dispose mes outils de massage, surtout la fiole d’huile d’argan mélangée à une autre plus basique et deux ou trois huiles essentielles selon les besoins. Je demande à ce que les rideaux soient un peu tirés pour baisser la lumière. Le CD diffuse une musique discrète. Vient le moment de commencer. Ma voix est basse, presque chuchotée pour les instructions. Face à face, mes mains tenant ses mains du bout des doigts, nos yeux se regardent. C’est l’échange le plus profond, le moment où on se livre sans contrôle. Une expression d’angoisse dans ses yeux fait place peu à peu à une expression de soulagement en voyant mon regard bienveillant. Discrètement, j’ai évalué certains paramètres importants pour la suite : la longueur de son buste par rapport au mien, presque identique, qui permettra ou non en cas de trop grande différence certains gestes, la couleur du blanc de l’œil qui révèle un léger problème hépatique. Je lui indique que le moment de l’intime est venu et sans lâcher une main, je l’entraîne vers le futon. Assis en tailleur, je le fais asseoir face à moi, dans le creux de mes jambes, pubis contre pubis, dans une étreinte naturellement intime. Dans les bras l’un de l’autre, enlacés, nous restons là, immobiles et je l’encourage à se laisser aller. Sa tête se pose sur mon épaule tandis que mes mains ont recueilli l’huile et commencent à balayer le dos verticalement en alternance. La lenteur est de rigueur et je le sens qui se détend. L’abandon, le vrai, est pour plus tard. Je pose la main verticalement sur sa nuque et l’invite à la suivre. Il s’incline jusqu’au sol alors que son bassin reste collé au mien, en élévation à cause de mes jambes. Je commence à masser le buste en douceur, caresse les tétons sans insister, puis encadre son phallus et ses testicules de mes deux mains et je le branle léger en caressant les boules. Il gémit et bande, mes gémissements et mes soupirs se joignent à lui car je prends autant de plaisir à faire qu’il en prend à subir. Mais j’arrête au bout d’un court moment puisque le but est de faire monter l’énergie sexuelle sans aboutir. Je lève alors une des jambes qui m’encadraient et la masse sur toute sa longueur. Je fais de même avec l’autre pour ensuite la basculer du même côté tout en posant une main sur son épaule pour maintenir le buste collé au sol. Torsion lente, la jambe a été pliée presque à angle droit et je finis par lâcher le buste qui roule naturellement sur le même côté. Je masse alors les fesses et profite de la position où les parties intimes sont à découvert pour explorer l’entrejambe. Mes mains abondamment huilées coulissent entre les cuisses, retrouvent les testicules, vont jusqu’à attraper le membre tendu sans insister – tout est dans le dosage – et remontent dans le pli inter-fessier. L’anus est l’objet de caresses douces. La pulpe de mes doigts tourne autour, massant avec délicatesse cet endroit si sensible, ma voix l’encourage à s’exprimer et ses onomatopées me renseignent sur le succès de mes mouvements. Je le lèche à cet endroit et lui présente mon pouce. L’anus cède sans résistance. J’explore ainsi la cavité et caresse la prostate. Les soupirs se font profonds. Il faut à présent finir la rotation du corps pour le mettre à plat ventre. A cheval sur ses cuisses charnues, je malaxe ses fesses musclées et remonte lentement vers le dos. Je sais qu’il sent mes poils, mes couilles et mon sexe sur sa peau lorsque je me rapproche pour atteindre les épaules et balayer tout le dos. Je ne cache pas mes soupirs dus à l’effort et au plaisir du partage, l’encourageant à faire de même. Plus tard, je vais le retourner et nous commençons la danse d’amour. Je lui ai mis les bras en croix, paumes vers le ciel, à califourchon sur son visage, genoux écartés, je me suis penché jusqu’à atteindre son sexe qui s’était reposé. Je l’ai pris dans ma bouche et présenté le mien à la sienne. Commençant un doux mouvement de balancement de mon corps, j’ai balayé son visage avec mes parties génitales. Le mouvement est délicat et demande une maîtrise pour rester léger. Il a compris et a ouvert la bouche, acceptant mon sexe qui avait pris du volume. Ainsi le mouvement de balance permet que son sexe pénètre dans ma bouche tandis que le mien sort de la sienne puis les pénétrations s’inversent. C’est lent et terriblement langoureux et épuisant pour moi. Mais c’est jouissif d’aller si lentement, le désir devient puissant et c’est le but. Parfois je m’immobilise et cette station nous connecte un peu plus. Il arrive parfois qu’un spasme du phallus injecte du pré-sperme, signe d’une grande disposition à la jouissance. La phase suivante consiste pour moi à me tourner dans le même sens que lui, mes hanches sur son ventre et pendant que je masse ses côtes, soulevant un peu le buste, mon anus recule et cherche le contact de son phallus. C’est facile avec celui-là, il est tendu et ne demande qu’à servir. Toujours lentement, je le présente à mon anus lubrifié d’avance et avec ce balancement de mon corps, je commence la pénétration. Je reste à l’entrée, le gland à peine dedans. C’est le lieu de la plus grande jouissance pour lui comme pour moi. Nous gémissons sans aucune gêne, maintenant que nous sommes en harmonie. Je bascule alors sur mes pieds et lui demande de soulever ses hanches en prenant appui sur ses mains. Plus il monte, plus je monte sans perdre le sexe dans mon anus. Lorsqu’il arrive au plus haut, je laisse le phallus me pénétrer complètement. Je l’invite à descendre et maintiens le contact en laissant un décalage de hauteur pour permettre un coulissage qui va lui donner envie de remonter. Ainsi la danse d’amour, lente et sensuelle, nous rapproche du moment tant retardé. Lorsque je le sens prêt à éclater, je le plaque au sol, profondément en moi. Puis je me lève un peu et en réglant la distance, je remue pour flatter uniquement son gland. Le coït sans précipitation abouti en peu de temps à l’orgasme souhaité. J’aime ce moment où l’autre est vaincu par l’explosion qui lui envahit le ventre de l’intérieur, où il perd tout contrôle avec cette expression de stupéfaction devant la puissance de son orgasme. Je me retire et le laisse haleter. De la main, je masturbe doucement le phallus encore dressé pour lui permettre de se reprendre. Un court jet de sperme me montre que c’était utile. Je peux maintenant terminer mon massage en mode léger, yin, pour l’apaiser. Notre séparation se fera avec un regard plein d’amour et de reconnaissance. Les pupilles dilatées, je franchis la porte. « Merci, tu m’as donné un grand plaisir ». J’ai simplement répondu : « je t’ai donné et tu as reçu, en recevant tu m’as donné ». La porte s’est refermée doucement, comme pour ne pas briser le lien silencieux que nous avions créé. L’effet durera trois jours. J’ai d’autres idées de façons de masser et espère vous raconter lorsqu’une femme m’aura demandé.
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Par : le 14/05/25
Elle avait tout consenti. Chaque clause. Chaque condition. Non pas par soumission aveugle, mais par volonté lucide d’aller au bout d’elle-même. Elle ne voulait plus choisir. Elle ne voulait plus contrôler. Elle voulait céder. Cesser d’être sujet, devenir objet — au moins un temps. Une manière de fuir le vacarme du monde. De faire taire cette voix intérieure qui doutait, jugeait, exigeait. Dans l’abandon, elle cherchait la paix. Elle avait lu, longtemps, des récits de soumission, des témoignages troubles, des pages noircies de violence et de silence. Ce n’était pas tant les actes qui la fascinaient, mais ce qu’il y avait derrière : le vertige du lâcher-prise total Le reste… n’était plus qu’un jeu d’ombres. Le sac sur la tête était arrivé un soir, comme convenu, sans prévenir. Une porte fracturée, deux bras puissants qui l’avaient saisie dans son lit, un cri étouffé avant le noir. Puis le trajet. Long. Silencieux. Ligotée, secouée par les cahots d’une camionnette, nue sous le tissu rêche du sac. Quand on lui retira, elle était dans une cave. Froide. Mauvaise odeur de terre humide et de métal rouillé. Lumière blafarde d’un néon qui clignotait. Et la cage. Serrée. En fer forgé, à peine plus grande qu’un chenil. À l’intérieur, elle. Nue, en position de soumission, le regard égaré. Elle grelottait. Ils étaient trois. Masqués. Aucun ne parlait. L’un d’eux ouvrit la cage. Il l’attrapa par les cheveux, la tira violemment hors de sa prison. Elle glissa sur le sol sale, les genoux râpés, les seins ballottant, offerte malgré elle. Elle tenta un regard vers l’un d’eux, mais il répondit par une claque, brutale, qui la fit gémir. — Tais-toi. Une voix grave, rauque. Puis plus rien. Ils la forcèrent à se mettre à genoux. Une sangle serra sa gorge. Un bâillon boule fut coincé entre ses lèvres, l’ouvrant de force. Elle haletait déjà. Les hommes se déshabillèrent. Trois bites dressées. Grosse. Dure. Sale. Ils la prirent à tour de rôle. Sans ménagement. La gorge d’abord. Des coups de reins secs, violents, qui la faisaient étouffer, baver, suffoquer. Ils riaient dans leur silence. La regardaient lutter, s’habituer à l’humiliation, au goût, à la violence. Puis ce fut son sexe. Écarté de force. Deux d’entre eux la tenaient au sol, pendant que le troisième s’enfonçait en elle d’un seul coup, sans préparation, sans douceur. Elle cria, mais le cri resta enfermé derrière le bâillon. Elle se cambra. Ses ongles grattèrent la pierre. Et ils continuèrent. Longtemps. Brutalement. L’un la prenait pendant que l’autre lui pinçait les tétons jusqu’au sang. Le troisième la giflait, lui crachait au visage. Aucun répit. Aucune parole tendre. Juste des ordres : « Tends-toi. », « Ouvre. », « Ferme-la. » Quand elle croyait que c’était fini, ils recommençaient. En levrette, à genoux, suspendue à une chaîne qui lui déchirait les poignets. Parfois deux en même temps. Sa bouche et sa chatte remplies. Puis sa bouche et son cul. Ils la forçaient. Elle pleurait, bavait, jouissait malgré elle. Encore. Et encore. Ils la fixèrent à une croix de Saint-André, jambes ouvertes, sexe offert. Un vibro fut enfoncé en elle, puis un plug. Maintenus par des sangles. Ils les allumèrent à pleine puissance. Et ils la laissèrent là. Tremblante. Hurler dans le silence. Secouée d’orgasmes incontrôlés, hurlants, humiliants. Ils regardaient. Parfois, l’un revenait et lui offrait une nouvelle dose de brutalité : un doigt, une bite, un coup. Elle n’était plus qu’un trou à leur merci. Et dans la cage, à la fin, recroquevillée, couverte de sperme, de salive et de sueur, elle souriait. Elle ne savait plus l’heure, ni le jour. Le temps n’existait plus ici. Dans la cage, son corps était marqué. Sa peau portait les traces de leur passage : hématomes sur les cuisses, morsures autour des seins, griffures dans le dos. Chaque douleur était un souvenir. Chaque coup une signature. Elle n’était plus une femme. Elle n’était plus un nom. Ils l’appelaient la chienne. Et elle avait fini par l’accepter. La routine était simple : on la réveillait à coups de botte. Ils la traînaient hors de la cage par une chaîne attachée à son collier de métal. À genoux, toujours. Si elle se levait sans ordre, c’était la cravache. Un claquement sec sur les cuisses, les seins, ou directement sur sa chatte, jusqu’à ce qu’elle tombe à terre en hurlant. Ils la forçaient à lécher leurs bottes, leurs semences, parfois le sol. Elle était leur chose. Leur jouet. Leurs trous. Un jour, ils apportèrent une gamelle. Du lait. Une gamelle posée au sol, comme pour un animal. Elle hésita. Une seconde. — Tu bois, ou tu bouffes ta merde, salope. Elle plongea la tête, et but. Ce jour-là, ils comprirent qu’ils l’avaient brisée. Et ils décidèrent de la reconstruire. Ils la dressèrent. Chaque geste, chaque posture, chaque respiration devait être contrôlée. Dos cambré, poitrine offerte, bouche entrouverte. Elle apprit à garder cette position immobile pendant des heures. À sourire quand ils entraient dans la pièce. À se masturber sur commande, devant eux, yeux fixés au sol. La cage devint sa maison. Elle y dormait enchaînée, jambes écartées, parfois les chevilles reliées à des anneaux vissés au sol. Ils y plaçaient des caméras. D’autres hommes regardaient. Peut-être des maîtres, des clients, des futurs participants. Parfois, un inconnu entrait. Sans dire un mot. Il s’approchait. Déshabillé. La forçait. La prenait. Elle ne savait plus combien de bites elle avait prises. Combien d’orgasmes elle avait subis. Combien d’hommes elle avait dû lécher, sucer, avaler jusqu’à l’étouffement. Ils l’utilisaient même pendant son sommeil. Elle se réveillait parfois avec le goût du foutre encore chaud sur sa langue, la sensation d’un vibro encore actif enfoncé profondément, les jambes trempées. Une semaine passa. Peut-être deux. Elle n’avait plus de repères. Ils la rasèrent. Corps entier. Plus un poil. Pas même sur la tête. Puis marquer d’un numéro . Sur une fesse : PROPERTY Sur le bas-ventre : USE ME Chaque fois qu’un nouvel homme entrait, il la tournait, lisait les mots, et agissait en conséquence. Un jour, ils l’attachèrent à un chevalet. Les jambes totalement écartées, le corps étendu, offert. Cinq hommes, cette fois. L’un à la bouche, l’un aux seins, deux pour les trous. Le cinquième filmait, en silence. Elle était secouée de spasmes. Trop. Trop longtemps. Trop fort. Mais elle ne disait rien. Elle ne criait même plus. Juste des râles, une respiration animale, les yeux révulsés. Elle était devenue une fonction. Un outil. Un orifice. Plusieurs, même. Quand ils eurent fini, ils ne la détachèrent pas. Ils la laissèrent là, nue, ouverte, suintante, tremblante. Un seau d’eau glacée lancé sur son corps. Puis le noir. Et dans le noir, une voix douce, presque tendre, lui murmura : — Tu es prête pour la dernière étape. Elle ne savait plus parler. Pas parce qu’on lui avait interdit. Mais parce qu’elle avait oublié comment. À force de bâillons, d’ordres secs, de punitions immédiates à chaque mot prononcé sans autorisation, son esprit avait intégré la règle : le silence est la forme la plus parfaite de soumission. On l’appelait uniquement par un numéro. Zéro-sept. Ses gestes étaient codifiés. Chaque position était ancrée par la douleur. Genoux ouverts, front au sol, bras derrière le dos : position de repos. À plat ventre, cuisses écartées, les doigts écartant sa propre chair : position d’invitation. Accroupie, langue tirée, regard fixé sur une verge en érection : position de demande. Elle n’était plus une femme. Elle était leur chose. La salle de dressage était différente : plus grande, éclairée de projecteurs, équipée de crochets, de chaînes, de miroirs. Des caméras. Des sièges en gradins. Elle y fut amenée nue, en laisse, marchant à quatre pattes. Sur son dos, une plaque métallique vissée à un harnais disait : PROPERTY - 07 - LIVE USE ONLY. Ils l’avaient préparée : plug lourd enfoncé dans son anus, vibro relié à une télécommande dans son sexe, seins pincés dans des anneaux métalliques reliés à des poids. Ses lèvres avaient été cousues pour la journée — pas celles de la bouche : celles de sa chatte. Symbole de fermeture. De soumission temporaire. Bientôt, ce serait l’ouverture définitive. Devant les gradins, ils la firent monter sur une table d’exposition. Lumière crue. Regards anonymes. Une vingtaine d’hommes, peut-être plus. Aucun ne parlait. Tous observaient. Un maître s’approcha. Le seul qui parlait. Le formateur. — Zéro-sept est prête. Ce corps ne lui appartient plus. Ce corps est fonctionnel. Ce corps est docile. Ce corps est à utiliser. Il appuya sur une télécommande. Le vibro s’activa d’un coup. Fort. Brutal. Elle hurla à travers ses dents serrées. Les contractions étaient immédiates, incontrôlables. Des spasmes secouaient son bassin. Ses cuisses claquaient contre la table. Des fils de salive pendaient de sa bouche entrouverte. Les poids sur ses seins se balançaient à chaque secousse. Un premier homme s’approcha. Sans un mot. Il enleva son pantalon. L’attrapa par les hanches. Et s’enfonça en elle. Sec. Profond. Brutal. Elle se cambra. Pleura. Mais ne bougea pas. Le public regardait. D’autres se masturbaient déjà. Un deuxième homme vint derrière. Il retira le plug. Cracha dans son poing. Et força l’entrée plus étroite. Elle gémit. Gronda. Puis céda. Double pénétration. En public. Comme bétail. Elle perdit conscience quelques secondes. Revint. Suffoqua. Puis un troisième lui attrapa la gorge. Et l’embrassa. Férocement. Il s’assit sur son visage. Elle sut ce qu’on attendait. Ses narines obstruées. Elle étouffait. Mais elle léchait. Tête bloquée. Esprit noyé. Ils la retournèrent. L’étirèrent sur un cheval de bois, les jambes sanglées. Chaque spectateur put venir. Tour à tour. Sexe en bouche. Sexe en elle. Fessée. Doigts. Instruments. L’un d’eux urina sur elle. Elle resta immobile. Elle n’était plus une chose. Elle était la chose. À la fin, elle fut remise dans sa cage, trempée, marquée, vidée. Mais elle souriait. Vraiment. Ils l’avaient transformée. Et elle n’avait jamais connu un tel bonheur. Le jour de sa sortie, il n’y eut ni mots, ni promesses. Juste une clé dans une main gantée, une porte entrouverte, et un regard furtif de l’un d’eux — non pas de domination, mais de quelque chose d’autre. Un bref éclat. De respect, peut-être. Elle marcha, pieds nus sur le gravier. Son corps portait encore les marques : cicatrices, traces d’anneaux et de chaînes. Mais elle marchait droite. Calme. Dehors, la lumière était plus forte que dans ses souvenirs. Elle ferma les yeux. Inspira. Le monde n’avait pas changé. Elle, si. Elle apprit à vivre avec un corps qu’elle ne reconnaissait plus. Trop léger, trop silencieux. Chaque caresse de tissu, chaque regard, chaque geste banal dans la rue avait un poids nouveau. Elle n’évitait pas les miroirs. Elle les regardait en face, longuement. Il lui arrivait de pleurer, sans comprendre pourquoi. Elle ne parlait pas de ce qu’elle avait vécu. Pas parce que c’était honteux — mais parce que les mots étaient trop petits. Trop plats. On lui aurait dit qu’elle exagérait, ou qu’elle délirait. Et surtout : on aurait voulu comprendre, expliquer, juger. Elle ne voulait plus rien prouver. Elle avait été au fond d’elle-même. Et elle en était revenue. Parfois, la nuit, les sensations revenaient. Les postures. Les réflexes. Les ordres. Elle se réveillait haletante. En sueur. Mais elle restait couchée. Et elle murmurait : C’est fini. Non pas avec regret. Pas non plus avec soulagement. Juste avec une forme de gratitude étrange. Parce que ce chapitre l’avait traversée, consumée, révélée. Elle n’était plus une femme brisée. Ni une victime. Ni une esclave. Elle était une femme qui avait exploré l’extrême. Et qui avait décidé, un jour, de revenir. Elle reprit un travail. Modeste. Silencieux. Elle n’aimait plus les bruits forts, ni les foules. Mais elle souriait aux gens. Écoutait. Offrait une forme d’attention rare. Dans ses gestes quotidiens, il y avait une lenteur nouvelle. Une précision. Comme si chaque acte était un choix conscient. Elle avait réappris à parler. Mais elle choisissait ses mots avec soin. Elle ne comblait plus les silences. Elle avait compris, quelque part au fond, que ce qu’elle avait cherché dans l’oubli de soi, c’était une vérité. Un noyau dur. Et maintenant, elle portait cette vérité comme une cicatrice lumineuse, invisible. Elle n’appartenait à personne. Pas même à elle-même. Et dans cette pensée, il y avait — enfin — une paix.
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Par : le 12/05/25
I. Prologue Il n'est pas très long, il est épais, bien tendu avec son gland turgescent, arrogant et ses bourses bien serrées. Il ressemble au sien mais ce n'est pas le sien. Jean qui est si amoureux du sexe féminin qu'il a honoré maintes et maintes fois, comment s'est-il retrouvé avec ce sexe masculin dressé en face de son visage, qui le menace tel un sabre prêt à s'abattre sur sa proie ? il ne sait pas, il ne sait plus, son esprit se brouille, il reste figé, il a l'impression d'être fiévreux et son cœur bat la chamade. Tout à coup il ressent une douleur au niveau du dos, accompagnée d'un claquement sec et il entend derrière lui la voix d'une femme lui dire sur un ton autoritaire :"Qu'est-ce que tu attends ?". Le coup de martinet l'a fait sursauter mais il n'a pas pu se redresser et a failli s'étrangler, son cou étant harnaché d'un collier muni d'anneaux dont l'un était savamment relié à des menottes de chevilles. En un instant il s'est souvenu pourquoi il était ici dans cette situation. II. Acte 1 A. Une curieuse rencontre Jean est un homme assez solitaire mais, ayant eu une semaine difficile, il décida d'aller en discothèque. Après avoir commandé un verre au bar il est allé s'assoir sur un pouf devant lequel se trouvait une table basse déserte et en face une petite banquette vide de tout occupant. La musique ne lui plaisait pas vraiment mais il aimait bien observer les gens et cela le distrayait. Tandis qu'il s'amusait à regarder cette foule qui se dandinait, gesticulait et parfois vociférait, un homme qui tenait un verre dans chaque main lui demanda tout en désignant la banquette ;"La place est prise ?" "Non apparemment il n'y a personne !" répondit Jean. L'homme posât les verres sur la table, une femme le rejoignit aussitôt et tous deux s'assirent sur la banquette. L'homme était grand, les cheveux gris assez courts, il portait un costume et une chemise noirs et une chaîne, probablement en or, brillait autour de son cou. La femme portait une jupe noire avec un chemisier rouge un peu échancré sur sa poitrine généreuse. Elle était de taille moyenne, cheveux châtains, mi longs et bouclés. Elle paraissait plus jeune que lui mais devait avoir une cinquantaine d'années et Jean était impressionné par sa beauté. Jean se dit qu'il avait de la chance car il craignait que s'installent de jeunes gens en fin d'adolescence un peu bruyants et turbulents.  Apparemment ils n'étaient pas venus là pour danser. Ils regardaient ce qu'il se passait autour en sirotant leur cocktail et en se chuchotant à l'oreille de temps en temps. Chuchotements suivis de sourires et de hochements de tête. Puis ils ont commencé à engager la conversation avec Jean. Des banalités du genre "Vous venez souvent ici ?"…  Ils ont continué à discuter de choses et d'autres avec leurs verres à la main. Voyant que Jean était seul la femme lui demanda "Vous n'avez pas de copine ?". Jean lui répondit par la négative. Ils ont enchaîné sur une autre question "Un copain ?". Jean leur a également répondu par la négative tout en avalant de travers et dit en toussotant "Ce n'est pas ma tasse de thé !". B. L'intimité dévoilée Étonnés, ils ont cherché à en savoir plus sur lui. En fait, c'était surtout elle qui lui posait des questions et face à cette beauté il ne pouvait pas faire autrement que d'y répondre franchement. Il était comme hypnotisé. Jean se mit à leur parler un peu de sa vie. "J'ai eu plusieurs femmes dans ma vie, j'ai même été marié plusieurs fois et ai des enfants mais les circonstances de la vie ont fait qu'aujourd'hui je vis seul". Puis d'une voix presque déçue elle lui a posé la question suivante : "Donc, avec un homme vous n'avez jamais essayé ?". Tout en étant surpris et très gêné par la question, nul ne sait pour quelle raison, il finit par lui répondre par l'affirmative et lui a expliqué les circonstances. "Il y a pas mal d'années en arrière alors que j'étais représentant de commerce je dînais seul dans un restaurant de Narbonne avant de rejoindre mon hôtel. En face de moi se trouvait un autre homme et nous avons engagé la conversation. Au cours du repas j'ai compris qu'il me draguait ouvertement et comme je suis ouvert à toute expérience j'ai accepté d'aller chez lui pour boire un verre. Puis nous nous sommes retrouvés sur son lit et avons fait un soixante-neuf. Il avait un sexe si petit que j'avais l'impression de sucer un clitoris. Mais ce clitoris-là a fini par éjaculer dans ma bouche sans que je m'y attende. Finalement je suis rentré à ma chambre d'hôtel dégoûté et très déçu car je n'avais eu aucun plaisir.". Apparemment ravie de la réponse de Jean elle lui demanda "Retenteriez-vous l'expérience ?". Jean lui répondit "Non jamais, à moins de m'y forcer !". Le visage de la femme s’éclaira d’un sourire malicieux et dit : "Oh pardon ! Nous ne nous sommes pas présentés ! Martin, mon mari et moi c'est Sabine !" Ravi de ne pas passer la soirée seul dans son coin Jean répondit "Enchanté ! Moi c'est Jean !". "Enchanté également !" dit Martin tout en serrant la main de Jean. "Nous sommes ravis de vous avoir rencontré !" s'exclama Sabine  Puis elle a pris une forte respiration et sur un ton enjoué elle l'a invitée à venir boire un verre chez eux pour faire plus ample connaissance. Son mari acquiesça tout en vantant la qualité d’un cognac hors d’âge qu’il avait dans son bar. Jean accepta l'invitation. C. En route pour l'aventure Ils sont donc sortis de la discothèque et lui ont proposé de monter dans leur voiture, pour éviter qu'il se perde en route, en lui promettant de le ramener plus tard afin qu'il récupère la sienne. L'argument lui paraissant valable il est monté dans leur voiture. Jean regardait le paysage nocturne défiler tout en se demandant s'ils habitaient loin, car il commençait à trouver le temps long et qu'il régnait un grand silence dans le véhicule. Soudain, alors qu'elle conduisait, son mari assis sur le siège passager et lui à l'arrière, elle a recommencé à lui poser des questions tout en l'observant dans le rétroviseur. "Lorsque vous dîtes "à moins de m'y forcer" cela veut-il dire que vous êtes du genre soumis ?". Jean lui a répondu que dans la vie il y a des moments où l'on maîtrise une situation et des moments où l'on s'y soumet. Puis il ajouta instinctivement "j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement !". Il regretta instantanément ses paroles et se demanda pourquoi, dès que Sabine a commencé à lui poser des questions sur sa vie intime, il y répondait spontanément, sans réfléchir. Mais, finalement, cela lui faisait du bien de parler de ces besoins inassouvis, ancrés au plus profond de son être à des personnes qu’il n’avait jamais vues et qu’il ne reverra probablement jamais. Donc, peu importe leur jugement. À travers le rétroviseur il vit qu'elle esquissait un sourire et qu’ elle caressait la cuisse de son mari qui lui, restait impassible. À ce moment il a compris qu'il partait dans une aventure dont il ne connaissait pas l'issue et cela l'excitait et il commençait à sentir une chaleur bizarre monter en lui. Comme si tout le poussait à s'abandonner totalement à ce couple si cordial mais si intrigant sachant que, s'ils avaient de mauvaises intentions il était capable de se défendre. Ils ont pris une rue bordée de jolies propriétés puis sont arrivés devant un portail en fer qui s'est ouvert lorsqu'elle a actionné la télécommande et ils ont remonté une petite allée dont les graviers crissaient sous les pneus pour enfin s'arrêter devant une maison bourgeoise datant probablement de la fin du XIXème siècle. Ils sont descendus de voiture et jean les a suivis en prenant une grande bouffée d'air, pendant qu'ils montaient les quelques marches surplombées par un magnifique porte, afin de reprendre ses esprits et de rester sur ses gardes car, même s'il est toujours partant pour découvrir l'inconnu, il est toujours vigilant. Une fois à l'intérieur sa première impression s'est révélée exacte. C'est bien une maison du style victorien. Ses hôtes l'invitèrent à les accompagner dans un salon se trouvant à gauche de l'entrée. Le mobilier était moderne et confortable. Ils le prièrent de s'assoir dans un fauteuil et tandis que Sabine s'installait dans le canapé juste en face, en découvrant largement ses longues jambes fuselées, Martin lui proposait son fameux cognac. À ce moment il ne savait plus trop que penser. La finalité était peut-être une relation sexuelle. Mais laquelle ? Sabine voulait-elle se faire prendre en sandwich ou Martin était-il adepte du candaulisme ?    
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Par : le 08/05/25
Après des mois de frustration, mon envie de jouir était devenue si ardente que je n'ai pu résister de supplier mon Maître de me libérer de cette souffrance et de cette excitation. Ce sentiment paradoxe troublant ne faisait qu’accentuer l’abondance de ma mouille, qui ruisselait lentement le long de mes cuisses. Durant ces mois de silence et de tension, je luttais, tant bien que mal, contre l’élan irrépressible de glisser ma main sur ce bouton, chargé de pouvoir, de promesses, de bienfaits. Une seule caresse aurait suffi à me faire imploser. Mais mon Maître, depuis longtemps, en détenait l’autorité. Prisonnière de sa domination, mon dévouement ne cessait de croître, m’abandonnant peu à peu au supplice de ses désirs et à la cruauté exquise de son sadisme. Je me souviens… lorsque j'était à l’université, en pleine période de révisions, avoir ressenti une immense peur de l'echec m'envahir, un doute profond sur mes capacités scolaires. Le stress me consumait, j’avais besoin de l’évacuer… de m’en délivrer. Mes doigts agrippèrent le bureau avec violence, et ma concentration s’envola, venant se poser sur ce seul point d’ancrage capable de m’apaiser : ce bouton, cette zone, cette clé vers un réconfort intense. Ce fut là, pour la première fois, que je ressentis une libération aussi soudaine qu’incontrôlée : un orgasme puissant venant me câliner brusquement. Mon corps tentait de se libérer de l’emprise que mon Maitre a instaurée. Des vagues d’émotions incontrôlées venaient balancer cette autorité, ce contrôle, sans que je ne puisse résister. Cette expérience, aussi troublante qu'excitante, était revenue me titiller quelques fois dans l'année. Je me souviens avoir ressenti un grand changement lorsque j'ai reçu une magnifique explication venant d'une femme admirable : "Debora Campailla". Durant un live sur le thème de l'orgasme, nous avons abordé un point essentiel et pourtant encore trop peu abordé à mon goût : la relation que nous entretenons avec nos orgasmes. Au fur et à mesure du live, Debora nous a demandé notre frein principal concernant notre relation avec nos orgasmes, les problèmes que nous pouvions rencontrer. Alors je l'ai décrit en deux mots : "échappatoire et besoin". Puis j'ai expliqué : "Mon frein principal est le fait d'avoir une relation très forte avec mes orgasmes. C'est une échappatoire pour extérioriser les émotions trop fortes : le stress, la joie, les peurs. Et ça impacte ma relation BDSM parce que je vis très mal la frustration / le denial / l'interdiction de jouir." Elle a ensuite créé un texte à trous que nous devions compléter avec notre propre histoire, notre passé. Que je tiens à vous partager. "Je me souviens que ma première expérience liée à l'orgasme a eu lieu à l'âge de 11 ans. À ce moment-là, je me sentais curieuse et je n'avais aucune perception de l'orgasme... En grandissant, mon éducation sexuelle a été taboue et honteuse, ce qui a influencé ma perception de l'orgasme en le considérant comme quelque chose de mal et trop intime pour le vivre ou en parler. Je me rappelle particulièrement d'une expérience marquante où j'étais en situation de stress dû à des disputes à la maison entre les membres de ma famille, ce qui a affecté ma relation à l'orgasme en le considérant comme une échappatoire et un moyen d'extérioriser et de ne plus entendre les cris, seulement les vidéos porno où les personnes prenaient du plaisir. Aujourd'hui, je décrirais ma relation actuelle avec l'orgasme comme étant une addiction, un besoin, et je ressens que cela impacte ma vie quotidienne en me réfugiant constamment dans les orgasmes à la moindre émotion, alors que mes émotions peuvent se gérer autrement. Si je pouvais changer une chose dans ma relation à l'orgasme, ce serait d'avoir un peu moins d'attache, car je crois que cela me permettrait de donner plus de contrôle à mon Maître sur mon corps, ainsi lui obéir comme il se doit, comme l'esclave que je rêve de devenir." C'est à ce moment-là que j'ai compris. Mettre en lumière nos propres difficultés permet de conscientiser notre passé, ainsi éviter les échecs qui nous freinent à devenir la meilleure version de nous-mêmes et faire de nos rêves une réalité. Des larmes s'en sont suivies. Mais une explication a tout changé. Debora nous a expliqué que l'orgasme n'est pas le but à atteindre, un objectif à conquérir, une mission où la fin est plus importante que le chemin. Le plaisir, quant à lui, est ce but, cette mission, cet objectif. Le plaisir ne se trouve pas uniquement dans la destination, mais dans le parcours que nous avons. L'orgasme, tout comme notre plaisir, n'est pas une chose que l'on fait apparaître. C'est une chose qui est déjà profondément présent en nous, que nous choisissons ou non de faire ressortir. L'orgasme est intérieur, et nous avons la possibilité de l’extérioriser. Le réconfort ne se trouve plus dans le fait de l'extérioriser, mais dans le fait qu’il est déjà ancré en nous et qu'il nous accompagne partout. Depuis ce jour, je n'ai considéré mes orgasmes comme un besoin, un but, et je n'ai ressenti ce désir de jouir que très peu de fois dans le mois. Le désir se trouvait avant tout dans l'idée de glisser ma main entre mes cuisses et de sortir mes jouets pour m'amuser sous l'autorité et l'œil aiguisé de mon Maître bien-aimé.
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Par : le 08/05/25
Ce matin, le centre équestre était plutôt calme quand Juliette arriva. Dans son haras de Normandie, elle profitait d'une vie au grand air, tout en passant ses journées à enseigner l'équitation avec passion. Sitôt son Range Rover poussiéreux garé près de la barrière, elle se dirigea vers son bureau, longeant les boxes. Il lui fallut quelques minutes pour remettre la main sur son trousseau de clés, enfoui au fond des nombreuses poches de sa veste de randonnée. Elle commença par mettre en route la cafetière, rassembler des tasses et vérifier que la bouilloire était pleine. Les premiers arrivés appréciaient souvent de discuter un peu autour d'une boisson chaude avant de se mettre en selle. Soudain, deux chevaux au pré tournèrent la tête vers la barrière. Un nouveau véhicule venait d'arriver sur le parking. Comme ils se mirent en marche pour accueillir le visiteur, Juliette en déduisit qu'il s'agissait d'un habitué et continua à consulter l'emploi du temps de la semaine. Puis elle distingua des pas dans l'allée. Des bruits de sabots et de bottes en caoutchouc sur les graviers. Charlotte franchit alors la porte du bureau, le cheval restant comme d'habitude sur le pas de la porte. Sa plus fidèle cavalière, au caractère affirmé et au franc-parler connu dans les environs, se dirigea vers le bureau massif pour la saluer. Les deux jeunes femmes s'étaient rencontrées dix ans auparavant, alors qu'elles intégraient toutes deux la formation pour devenir cavalières professionnelles. Bien qu'assez différentes physiquement, elles avaient de nombreux traits de caractère semblables. Juliette était une jolie jeune femme brune, au teint hâlé par le soleil et les heures passées en extérieur, aux longs cheveux bruns nattés et aux mains restées fines malgré les travaux d'écurie. Elle savait faire preuve de réserve et de diplomatie, analysait finement le caractère de ses interlocuteurs.   Sa voix douce mettait en confiance les plus timides, aidait à surpasser les appréhensions. Mais la monitrice savait aussi faire preuve de fermeté pour conserver la sérénité de son centre. Charlotte, au contraire, avait une silhouette plus androgyne et n'avait gardé de la belle chevelure blonde de son adolescence que quelques boucles qui lui tombaient de la nuque. Sa peau claire lui donnait un air faussement fragile, vite balayé par son franc regard bleu. Les deux jeunes femmes entretenaient secrètement une relation amoureuse depuis six mois. Avant de la rencontrer, Juliette n'avait alors jamais eu d'expérience homosexuelle, mais depuis, elle n'éprouvait plus aucune répulsion à l'idée d'avoir des relations charnelles avec une femme, à plus forte raison, si elle était jeune et jolie. Dès le premier jour, Charlotte avait partagé sa vie. L'oisiveté n'était pas la règle car il fallait maintenir l'activité du centre, et s'occuper du haras. Mais entre deux reprises, elle était libre de monter à cheval, de se promener dans le parc ou de s'étendre au soleil pour se brunir. Parfois, elle restait assise, nue, sans rien dire aux pieds de Juliette. La nuit, elle se faisait caresser ou la caressait, avant de se rendormir dans leur chambre aux rideaux blancs, à demi tirés seulement, que le jour naissant colorait de doré. Charlotte disait que Juliette était aussi belle et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait qu'inlassable dans ses exigences. Il faut dire que depuis quelque temps, son amante avait pris l'ascendant sur elle au point, de ne plus se contenter de l'étreindre, mais de l'amener à merci dans la soumission, en la fouettant parfois, non pour lui faire mal, mais pour satisfaire son tempérament masochiste. Jusqu'à sa rencontre avec Juliette, il était impossible pour elle de s'imaginer dans une situation qu'elle jugeait alors scabreuse. Elle n'aurait jamais osé, à cette époque, jouer le rôle d'une soumise.   Elle s'y serait refusé, prétextant que cet état ne lui convenait pas, car il ne faisait pas partie de ses fantasmes. Son expérience avec Juliette lui avait appris que si elle était incapable de devenir une habile et authentique putain, elle acceptait avec joie de jouer ce rôle pour le plaisir de son amante. Sa fierté à sa soumission lui procurait maintenant une exaltation proche de la jouissance. Était-ce alors seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou le fait déjà de se livrer sans condition à un tabou et de le transgresser ? Ou simplement l'humiliation de se faire traiter de petite pute qui lui donnait ce plaisir et l'évasion dans un univers fascinant où elle n'aurait jamais osé pénétrer seule, sans elle ? Installée à l'ombre d'un hêtre pourpre, à l'une des tables de jardin, au bout du parc, Juliette terminait son café. La matinée avait été bien remplie, trois heures de cours et la visite du maréchal-ferrant, mais pour l'heure, le centre était désert, reprenait son souffle avant la nouvelle vague de l'après-midi. Elle appréciait ces moments où elle pouvait revenir en pensée sur les moments passés avec Charlotte. Quand elle arriva, il était deux heures de l'après-midi, le haras dormait. Elle portait une robe légère en coton bleu, dont la couleur mettait en valeur ses yeux azurés. Dessous, elle était nue, exauçant ainsi le désir de Juliette. Elle se leva et l'embrassa sur les lèvres et lui demanda d'aller dans la chambre et de se déshabiller. La pièce était fraîche, bien qu'éclairée par les rayons du soleil qui passaient au travers des rideaux. Charlotte fit glisser sa robe, et la posa sur une petite chaise devant la coiffeuse. Elle se regarda un instant dans la glace. Puis, elle ressortit lentement, éblouie par le soleil, avant de regagner l'ombre du hêtre. Juliette était toujours là, son chien à ses pieds. Ses cheveux noirs, pour une fois dénoués, brillaient comme s'ils étaient huilés. Elle était vêtue d'un jean et d'un chemisier blanc, une ceinture à la taille. Charlotte s'agenouilla, les bras croisés derrière le dos, la pointe des seins frémissante.   L'airedale terrier fit semblant de s'élancer sur elle. Juliette lui demanda de se coucher. "- Charlotte, consentirais-tu à te donner à un homme en ma présence ?- Oui, dit Charlotte. À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche et un chemisier blanc sous lequel elle était nue. Les bains de soleil avait rendu son corps intégralement bronzé. Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes nues mais des chaussures à talons hauts. Paul les attendait dans le salon plongé dans l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement, ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient sous le chemisier, Paul admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses de Juliette. Ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait, très prometteur. Juliette demanda à Charlotte de dégrafer son corsage pour faire jaillir ses seins. Elle lui prit ses mains et la força à se caresser les seins, qui frémirent sous le désir, et de se toucher le ventre, et l'anneau entre les reins. Elle obéissait en silence, et quand l'homme lui dit qu'il lui en ferait de même, elle n'eut pas un mouvement de recul. Charlotte tournait le dos à Paul légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cédant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement, Paul se reput de ce spectacle, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes.   Elle la regardait si intensément qu'elle était convaincue de récolter bientôt les fruits de sa patience. Elle ne se souciait plus d'être vue en état de tendre abandon. Paul admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions, de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile et musclé se colla au sien. Paul frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des cuisses écartées dans un gémissement de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos, cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter ses lèvres intimes. Paul, à genoux, baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun. Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Paul. Dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir, sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue, jusqu'au fond de la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée. Dans le silence, s'éleva le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Paul, lui offrit ses seins pour qu'il les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Paul était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Paul posa ses mains sur la tête de Charlotte. Il désirait se répandre dans sa bouche. Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble. Elle fit signe que oui et Paul s'abandonna. Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. Elle se redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les cuisses, et Paul, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée. Ils laissèrent Charlotte se reprendre. Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées, colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir.   Elle se blottit contre elle, haletante et grisée, respirant avec recueillement son haleine. Tout était grâce, délice, surprise venant  de cette fille admirable: même la sueur qui perlait sur sa nuque était parfumée. Paul, penché sur Juliette, lui caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes, tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Paul qui se glissait entre ses fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Paul penché sur le dos de sa soumise. Charlotte ne trichait jamais, même si le sort la condamnait plusieurs jours. Elle devait le subir jusqu'au bout. Il le comprit, lui appuya d'une main à la taille contre l'accoudoir pour qu'elle ne pût glisser, l'entrouvrant de l'autre. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise. Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais. Paul poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de Charlotte sur son sexe béant et celle-ci recommença à la sucer. Mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frôlèrent ses chairs exacerbées. Paul continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile, sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux, tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins.   Elle ne voyait personne, n'entendait rien sinon les battements de son cœur faisant écho à son désir. Avec la fluidité d'une eau, elle se laissait aller, établissant le contact avec tout son corps. Il était clair à cet instant que Juliette désirait rencontrer le regard de Charlotte. Ses yeux noirs brillants et durs fixés sur les siens, dont on ne savait pas s'ils seraient ou non indifférents, ou s'ils exprimeraient de la satisfaction, voire de l'amour. Elle décida seulement qu'une fois la nuit tombée, elle la flagellerait jusqu'au sang et la laisserait dormir seule. Paul s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples. Alors, il sodomisa la jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie. La chaleur montait à sa tête déjà chavirée. Ses mains libérées s'agrippèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Paul eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine. Paul sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il accéléra le coït dans les reins offerts. De la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus. Elle sombra dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un orgasme et sentit entre ses reins heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/05/25
  Tu attends. Debout immobile, enveloppé dans un manteau trop court pour vous protéger, le corps tremblant sous l'air de la nuit. Les yeux baissés, le cœur bat la chamade. Un coin de rue. Le rire se déverse d'un bar voisin, ainsi que des regards - certains éphémères, d'autres s'attardants.   Tu restes. Parce qu'il t'a dit de le faire.Quand il arrive, il ne dit rien. Il vous entoure comme un prédateur, silencieux. Puis, avec un geste net, il soulève le bord de votre manteau. Pas de mots. Pas de sous-vêtements. Juste toi - pris entre la peur et le désir.   - « Regarde-toi », dit-il enfin. « Ils te voient. Ils voient ce que vous êtes. »   Votre gorge est sèche, vos pensées sont floues.   — « Dis-le. Dis ce que tu ressens. Dites ce que vous êtes. »   Tu avale fort. Puis, doucement :   — « Je... J'aime ça. Être vu. Être exposé. »   Il vous étudie, expression illisible.   — « C'est ce que je pensais. »   Il ne te prend pas la main. Il n'en a pas besoin. Il marche. Et vous suivez. Chaque pas ressemble à une confession. Le vent soulève le manteau. La ville veille. Ou vous imaginez que c'est le cas.   À l'hôtel, il s'enregistre. Tu t'agenouilles à côté de lui sans un mot. Pas parce que vous devez, mais parce que vous en avez besoin. Les regards reviennent. Mais vous vous concentrez uniquement sur lui.   Dans l'ascenseur, il vous tourne pour faire face à votre reflet.   — « Regarde. C'est ce que vous êtes maintenant. »   Vous hésitez. Il tape votre menton doucement, mais fermement.   — « Pas un jouet. Pas une victime. Autre chose. Quelque chose de brut. Prêt. »   Dans la pièce, la porte se ferme derrière vous, et le monde s'estompe. Il n'y a que lui maintenant. Et toi. Et la ligne que vous franchissez ensemble.   - « Déshabiller. Lentement. »   Tu le fais. Pas pour la séduction, mais pour l'abandon. Chaque mouvement est délibéré, cérémoniel. Lorsque le manteau glisse de vos épaules, il marche autour de vous. Silencieux. Présent. Dominant.   Vous vous agenouillez sur le sol froid, la peau sur le bois, et vous sentez le changement. La perte du contrôle. Le don de quelque chose de plus profond que le corps.   Ce qui suit est intense. Difficile. Il vous guide, non seulement par la commande physique, mais aussi par les endroits à l'intérieur de vous-même que vous n'avez pas osé visiter seul. À chaque acte, il ne vous prend pas - il révèle. Retire les couches. Teste.   La douleur devient le langage. La retenue devient libération. Vous pleurez - non pas par peur ou par tristesse, mais parce que quelque chose en vous est en train d'être défait, réécrit. Et il est là pour tout ça.   Quand c'est fini - non, pas fini, mais en pause - il ne disparaît pas dans le silence. Il est là. Contre vous. Te tenir.   - « Tu respires », murmure-t-il. « Parce que je suis toujours là. Parce que tu es à moi. Et parce que je t'aime. »   Et dans cette immobilité, dans ses bras, vous découvrez une vérité non pas de soumission, mais d'être vraiment vu.   Tu t'endors. Non diminué. Mais entier.
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