La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 21 heure(s)
Depuis cette soirée folle, François n’avait jamais cessé d’écrire. « Bonjour ma femme, je pense à toi. Ton homme » « Je t’aime. » « ...Tu m’appartiens. Ne l'oublies jamais. »   Malika lisait chacun de ses messages, le cœur battant, mais ne répondait jamais. Elle voulait redevenir fidèle à Clément, être la femme qu’il méritait. Elle essayait de se convaincre que François n’était qu’un fantasme, une folie passagère...   Mais chaque message la chamboulait. Et quand François écrivit enfin : « Je sais que tu me lis. Réponds moi maintenant.» puis un autre, quelques heures plus tard : « Ne me pousse pas à me fâcher. »   elle eut un frisson.... .... et, par pur esprit de rébellion, elle choisit encore de ne pas lui répondre... Assez amusée de le savoir fâché en réalité.         Le soir même, Malika se glissa dans les bras de Clément. Il souriait, heureux comme toujours quand elle venait à lui.   Elle le regarda intensément, le cœur battant, elle gémit : « Prends-moi ! Montre-moi que je suis à toi... Dis-le-moi, répète-le-moi. »   Clément, surpris, lui caressa doucement le visage : « Tu es à moi, mon amour… Toujours. »    « Non… plus fort. Je veux que tu me prennes, Clément. Montre-moi que je suis ta femme. »    Clément rougit légèrement mais obéit aussitôt, visiblement excité par cette demande inhabituelle.     « Tu es à moi. » murmura-t-il, plusieurs fois dans son oreille, en la plaquant doucement contre le matelas, ses mains emprisonnant ses poignets.    « Dis-le encore… » gémit-elle, déjà haletante.   Excité par sa soumission inhabituelle, il déchira presque sa culotte d’un geste impatient, passa ses mains sur ses cuisses, les écartant plus largement, puis la pénétra d’un coup sec, lui arrachant un cri de surprise.   Elle agrippa ses épaules, haletante.  « Oui… prends-moi… montre-moi que je suis à toi… rien qu'à toi.»   Clément accéléra, ses mouvements plus puissants que jamais, la tenant fermement par les hanches pour l’empêcher de bouger.    « Je suis à toi, Clément, mon homme...personne d'autre. » gémit-elle, la voix tremblante. Pas à François, pensait-elle.    Il l’embrassa fougueusement, ses mains glissant sur ses seins qu’il caressait avec force, son souffle chaud dans son cou...    Elle perdit tout contrôle, s'abandonna complétement. Ses ongles se plantèrent dans son dos. Ses hanches se soulevaient pour accompagner chaque coup. « Oui… oui ! Mon homme… » cria-t-elle, avant que l’orgasme ne la traverse violemment, son corps secoué de spasmes, la laissant haletante et toute tremblante sous lui.   Après la tempête, Clément, homme fier et heureux, embrassa sa douce déesse, tendrement, ses mains encore serrées sur ses hanches comme pour ne jamais la lâcher.  "Je t'aime ma femme"   Quand Clément s’endormit, elle prit son téléphone. Un nouveau message de François : « Je te punirai de ton silence. »   Elle sourit... Amusée. Que pouvait-il faire ?  Avec mépris, elle éteint son téléphone sans répondre.         Le lendemain après-midi, on sonna à la porte. Clément sortit de son bureau et ouvrit la porte... sans se méfier.   « Bonjour ! Je suis Clara, la copine de François, tu te souviens de moi ? » dit-elle avec un grand sourire. "Je passe voir Malika."   « Oh ! Bien sûr, je me souviens de toi. Entre, entre, Malika est là-haut. Je dois retourner travailler, mais fais comme chez toi. » répondit Clément, naïf.   Malika descendit les escaliers et resta pétrifiée en voyant Clara. La blonde lui fit un petit signe de la main, un sourire joueur aux lèvres.   Clément retourna à son bureau, après avoir servi le café aux dames.     Les deux femmes restèrent seules, assises dans le salon.    Malika, le cœur battant, murmura : « Pourquoi es-tu ici ? »   Clara lui fit un clin d’œil.  « Je suis venue de la part de ton homme. »   Malika pâlit.  « Ne dis pas ça ici… »   Clara rit doucement. « Allons à l’étage, on sera tranquilles. »   Malika hésita… mais accepta. Erreur !        Une fois la porte fermée, Clara s’approcha d’elle.  « Tu sais pourquoi je suis ici, pas vrai ? »   Malika recula d’un pas.  « Je… non… »   Clara sourit, amusée. « Ton homme est fâché. Tu ne réponds pas à ses messages. Et moi… je suis là pour t’aider à te rappeler à qui tu appartiens. »    « Je ne lui appartiens pas ! » protesta Malika,... mais sa voix tremblait.   Clara s’approcha et en caressant les hanches de la jolie brune :   « Vraiment ? Alors je suppose que je peux tout raconter à Clément… »   Malika la fixa, choquée. « Non… Non, tu ne peux pas… »   Clara glissa ses mains sur sa taille, la caressant lentement, en les remontant jusqu'à sa poitrine généreuse sur laquelle s'attarda son regard...  « Alors sois gentille. » murmura-t-elle, avant de poser ses lèvres sur son cou et de les remonter, par une succession de baisers doux et chauds, jusqu'à ses lèvres. Là, elle tenta de l'embrasser..  Mais Malika voulut se débattre... Pas trop fort, de peur que Clément n’entende. Pas trop fort... sûrement excitée par l'audace de cette merdeuse, dont elle connaissait déjà certains talents.   « Chut… » souffla Clara. « Tu es si belle. Je comprends pourquoi François est fou de toi… J'avoue avoir été un peu jalouse. Au début..." Tout en parlant, ses mains se promenaient sur le corps de Malika. Ses lèvres se posaient par ci, par là, avec fougue ou avec douceur. Son regard brillant devenu fou et insistant sur ses seins gonflés de désir malgré elle...  « Arrête… » souffla Malika, trahie par son souffle court..   Clara sourit.  « Tu te rappelles comme tu as aimé l’autre soir ? »   Et sans attendre, elle poussa doucement Malika sur le lit.   Clara s’agenouilla entre ses cuisses, la regardant avec un sourire espiègle.  « Avoue que tu aimes… ou je raconte tout à Clément. »   « Non… Clara… je t’en prie… »   Mais Clara glissa déjà ses lèvres entre ses cuisses. Malika agrippa les draps, secouant la tête, haletante.   « Qu’est-ce qu’il dirait, ton Clément, s’il te voyait jouir comme ça… » souffla Clara avant de continuer, sa bouche experte devenue folle, incontrôlable..      « Arrête… oh mon Dieu… Clara… » gémit-elle, mais ses hanches bougeaient malgré elle.   Et quand l’orgasme la prit, puissant, elle se cambra et lâcha un cri étouffé, haletante, rouge de honte.   Clara releva la tête, un sourire triomphant sur les lèvres. « Tu es tellement belle quand tu jouis… »   Elle se mit alors à se toucher elle-même devant Malika, gémissant tout doucement...puis de plus en plus fort. Paniquée à l'idée que ses gémissements alertent Clément, Malika la prie d'arrêter.. Ce qui ne fit qu'augmenter l'excitation de Clara et agrandir son sourire pervers.    "Tu devrais me donner tes gros seins à téter... sinon Clément va m'entendre."   Furieuse,...mais excitée par l'audace de cette merdeuse, Malika ne résista pas longtemps. Elle libéra sa poitrine... puis elle ferma les yeux, préférant ignorer le regard pervers, fou de désir, de cette garce.  ' Clara etouffa alors ses gémissements en enfonçant sa tête fougueuse dans la poitrine offerte.  Malika détournait la tête, les yeux fermés, en colère, se sentant trahie par son propre corps qui frissonnait sous les caresses... Elle se mit à prier pour que Clara finisse vite et s'en aille aussitôt.    La blonde allumée se frottait maintenant, sans retenue, contre sa cuisse, sa hanche, et même son sexe, en continuant à lécher, téter, et mordiller les seins qu'elle portait dans ses mains comme les jouets les plus beaux et les plus amusants qu'elle ait vus.   "Humm... Que c'est bon ! Tu aimes ? Dis moi que tu aimes ? ... ou tu préfères peut être que je demande à Clément ?"   "Oh oui...oui... j'aime. Pitié."    Les frottements de Clara se firent plus intenses, plus rapides... Son visage rougi, ses yeux fous, elle saisit d'un coup le visage de sa prisonnière dans ses mains et pénétra sa langue avec force dans sa bouche.  Malika ne put retenir plus longtemps des gémissements de plaisir. Elle ne résistait plus,... s'avoua vaincue. Son bassin répondait maintenant aux frottements. Sa vulve ouverte et trempée recherchait son contact...    " Oh..Clara.. mange moi....encore...mange moi...encore.."    Triomphante, Clara sourit. "Bien !"  Sans prévenir, elle enfonça deux doigts en elle. Surprise, Malika se retint de crier.   " ...et maintenant ma beauté...dis-moi qui est ton homme."    "Oh non.. pas ça"    " Mauvaise réponse." Clara entreprit des puissants va-et-vient..., en pinçant les tétons excités avec son autre main. Malika retint encore un cri..mais elle savait qu'elle ne pourrait pas tenir encore longtemps.    " Tu veux que j'appelle Clément peut-être ? Qu'il voit comment tu jouis avec d'autres... "    " ....mon homme ..est ....François."    " Bien !... Tu vois, ce n'était pas compliqué."    Elles s'embrassèrent, encore haletantes.   " Tu es trop belle, ma douce... J'adore m'occuper de toi... Tu as beaucoup de chance... d'avoir été choisie par François. Il t'aime vraiment, tu sais ?... Clément ne vaut rien, c'est un pauvre type, tu vas vite le comprendre...crois moi.. "    Malika gémissait encore, les cuisses écartées, la vulve brûlante offerte aux caresses ... Clara, heureuse, repris les frottements, son bassin menant la danse, sous la respiration haletante de sa partenaire.    "Que tu es belle ! ... François va bien s'occuper de toi, tu verras... Dis moi que tu as envie de lui."   "Non je t'en prie.."   " Dis-le ou j'appelle Clément."   " Oh Clara... j'ai envie de lui"   "Tu as envie de qui ? "   "..... J'ai envie de François"   "Bien ! Tu as envie de sa queue hein ? Dis-le"  "...oui j'ai envie de sa queue"   "Tu es sa femme. Tu lui appartiens....ok ?" "Oui..Oui...Ouii... oh mon dieu je vais jouir" "Ton Dieu est François. C'est pour lui que tu jouis." "Oui..oui...oui..."        Un appel sur son téléphone. Clara décrocha, essoufflée, en sueur...et fière, en bonne petite chienne soumise, elle avait accompli sa mission avec brio, impatiente de tout rapporter à son maître. Satisfaire les désirs de son roi était son plus grand plaisir.  Malika, l'élue de son roi, qui semblait ignorer sa chance, avait dépassé les bornes.. Elle n'avait jamais vu son maître en colère à ce point.    « Oui, maître… Oui, elle a bien compris… Elle a joui, deux fois même… pour vous.» dit-elle en riant.   Puis elle tendit le téléphone à Malika. « Il veut te parler. »   Malika, encore toute tremblante, à peine remise de son dernier orgasme, le porta à son oreille.    « Mon amour… » La voix de François était basse, grave, pleine de satisfaction..  «... Je veillerai toujours sur toi, même quand je suis loin. Alors… tu as aimé ? »   Malika ferma les yeux, haletante, honteuse... et excitée à la fois.  « ....Oui… mon homme… » souffla-t-elle enfin.
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Par : le Hier, 16:13:49
Comprendre le paradoxe apparent Le CNC, ou Consensual Non-Consent, est une pratique BDSM qui fascine, dérange parfois, mais qui interpelle presque toujours. Son nom semble paradoxal : comment quelque chose peut-il être à la fois non consenti… et consenti ? La réponse réside dans la nuance, la maturité et la confiance absolue que cette pratique exige. Le CNC consiste à mettre en scène une situation dans laquelle le consentement semble absent, alors qu’il a été clairement exprimé, discuté et validé en amont. Cela peut prendre la forme d’un viol simulé, d’un enlèvement scénarisé, d’une prise de pouvoir brutale mais toujours dans un cadre sécurisé, consenti et maîtrisé. Cette pratique n’est ni un jeu anodin, ni une fantaisie que l’on explore à la légère. Elle s’inscrit dans les zones les plus sensibles du BDSM : le mental, l’intime, le contrôle et le lâcher-prise total. Les fondements du CNC : fantasme, confiance et cadre Pourquoi certaines personnes fantasment-elles sur le CNC ? Le CNC touche à des mécanismes psychologiques profonds : Le lâcher-prise extrême : abandonner totalement le contrôle, jusqu’à simuler l’impossibilité de dire non. La transgression maîtrisée : explorer ce qui est interdit ou tabou, dans un cadre sécurisé. Le pouvoir du dominant : accéder à une domination brute, sans filtre, dans un rôle de "prédateur consenti". La purge émotionnelle : parfois, pour certaines personnes, revivre un traumatisme dans un cadre contrôlé peut servir de catharsis. (Attention, ce n’est pas une thérapie — c’est à aborder avec prudence et discernement.) Mais surtout, le CNC repose sur une forme de confiance radicale : faire confiance à l’autre pour franchir des lignes, en sachant qu’il ne trahira jamais l’accord implicite. Le CNC en pratique : comment encadrer l’inencadrable ? 1. Le consentement : absolu, explicite, et documenté C’est un contrat invisible mais intransigeant. Il doit être : Précis : quels actes sont autorisés ? Interdits ? Quels mots sont à proscrire ? Éclairé : les deux partenaires doivent être pleinement conscients des enjeux psychologiques du CNC. Évolutif : ce qui était possible une semaine peut ne plus l’être le jour J. Le CNC doit pouvoir être annulé à tout moment, même en plein milieu de la scène. Certain·es vont jusqu’à rédiger un contrat CNC écrit, posant les limites, les attentes, les mots de sécurité, et les signes de fin de scène. 2. La communication avant la scène Avant toute scène CNC, les partenaires doivent discuter de : L’objectif du jeu (ex. : fantasme d’enlèvement, de contrainte, de sexe forcé…) Le niveau d’intensité émotionnelle et physique souhaité Les limites "dures" (hard limits) : ce qui est formellement interdit Les limites "molles" (soft limits) : ce qui peut être envisagé mais avec prudence Les déclencheurs émotionnels à éviter (triggers) Les éléments de décor, de mise en scène ou de narration Un CNC sans cette étape, c’est comme jouer au funambule sans filet. 3. Pendant la scène : intensité maîtrisée Le CNC, en apparence, brouille les repères : La personne "soumise" peut pleurer, supplier, dire "non", "arrête", "je veux rentrer". Le "dominant" continue, selon les règles établies, comme si le refus était simulé. Mais derrière cette illusion, tout est millimétré. Le "dominant" observe en permanence : Le langage corporel de son/sa partenaire. Sa respiration, ses tensions musculaires, sa voix. Et bien sûr, il reste à l’écoute d’un mot de sécurité ou d’un geste clair. 4. Le mot de sécurité : votre ligne rouge Même dans une scène CNC, un mot de sécurité reste sacré. Ce mot (ou ce geste, en cas de bâillon par exemple) permet de stopper la scène immédiatement. Il doit être : Clair : pas un mot que l’on pourrait dire dans la scène (ex. : "ambre", "ananas", ou un mot inventé). Immuable : quand il est dit, le jeu s’arrête. Point. Respecté sans délai ni débat. Ignorer un safeword, même dans un CNC, ANNULE le consentement et devient un acte réel de violence. 5. L’aftercare : réparer, réconforter, reconstruire Le CNC peut être violent, bouleversant, épuisant — même s’il était désiré. Après une scène : Le retour au calme est indispensable. Cela peut inclure des câlins, une boisson chaude, des mots doux, le silence ou des échanges. Il faut laisser le temps à la personne "soumise" de se reconnecter à elle-même, de redescendre émotionnellement. Un débrief complet doit avoir lieu quelques heures ou jours après. Parfois, des réactions arrivent en différé : anxiété, culpabilité, mal-être. Il est crucial d’être présent, rassurant, à l’écoute, sans jugement. Exemples de scènes CNC (à titre illustratif) ⚠️ Ces scénarios ne doivent jamais être improvisés. Ils nécessitent une préparation poussée, une grande confiance mutuelle, et une connaissance avancée des dynamiques BDSM. Rape play : simulation d’une agression sexuelle avec cris, résistance simulée, domination brutale. Home invasion : le "dominant" simule une entrée par effraction, surprend l’autre selon un créneau prévu. Sleeping play : interaction pendant que le/la partenaire simule le sommeil (dans un cadre convenu). Abduction : enlèvement, transport, isolement temporaire dans une pièce, privation sensorielle. Violence verbale extrême : insultes, menaces simulées, déshumanisation partielle. Pour qui est le CNC ? Le CNC n’est pas une pratique pour tout le monde. Il demande : Une expérience BDSM préalable, notamment dans la soumission ou la domination. Une relation de confiance rare entre partenaires. Une capacité émotionnelle à vivre des scènes dures, sans en ressortir brisé·e. Une maturité affective pour distinguer jeu et réalité, et savoir poser ses limites. Les dérives possibles et les signaux d’alerte Mal encadré, le CNC peut être dangereux, voire destructeur : Si un·e partenaire n’a pas compris les limites ou les ignore. Si la scène devient un prétexte pour des pulsions sadiques incontrôlées. Si l’aftercare est bâclé ou inexistant. Si une personne se sent obligée d’accepter le CNC pour "faire plaisir". Dans tous les cas, le CNC n’est jamais une obligation. Si vous ne vous sentez pas à l’aise, vous avez le droit de dire non, toujours. En résumé Le CNC, c’est le jeu du feu maîtrisé. Une exploration extrême des rapports de pouvoir, du fantasme et du lâcher-prise. Mais pour qu’il reste un jeu — intense, libérateur, profond — il doit rester dans un cadre précis, fondé sur : Le consentement clair et permanent La préparation minutieuse Le respect des signaux d’alerte Une écoute active avant, pendant, et après Aller plus loin Vous avez vécu ou imaginé une scène CNC ? Vous avez des questions, des peurs, ou souhaitez simplement échanger ? N'hésitez pas à me contacter. Le CNC est une danse sur le fil. Belle, puissante, enivrante mais elle demande à ce que chaque pas soit pesé, pensé, respecté.
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Par : le 19/07/25
Une étincelle dans le virtuel Récemment, un échange en ligne a allumé une flamme en moi. Ses mots portaient une provocation subtile, une lueur de défi qui criait « brat » sans avoir besoin de le dire explicitement. À 25 ans, j’ai assez exploré l’univers du BDSM pour reconnaître cette énergie : un mélange de rébellion et de désir d’être guidée. Elle était vive, audacieuse, et ses réponses taquines semblaient me dire : « Montre-moi ce que tu as. » Ce n’était pas qu’une simple conversation ; c’était une invitation à une danse où je devais mener, tout en sachant qu’elle testerait chacun de mes pas. Cette expérience m’a poussé à réfléchir à ce que signifie être un Dominant face à une brat, et à l’équilibre entre contrôle, jeu et connexion.   Le défi d’une brat : Un feu à canaliser Une brat, ce n’est pas une soumise comme les autres. C’est une tempête enveloppée d’un sourire espiègle, qui réclame des règles tout en les défiant. Celle-ci avait un esprit aussi aiguisé que sa langue, lançant des piques comme des défis. En tant que Dominant, j’adore ce genre d’énergie. Il ne s’agit pas d’étouffer cette rébellion, mais de la canaliser. Que ce soit par une fessée bien placée pour répondre à une provocation ou par les nœuds précis du shibari pour lui rappeler qui mène, le jeu consiste à gagner sa soumission par la confiance, pas par la force. Ce que j’aime chez les brats, c’est leur complexité. Elles ne s’agenouillent pas facilement, et c’est tout l’intérêt. Elles veulent que vous prouviez votre valeur – par un regard qui impose le silence, un mot qui ordonne, ou une scène qui les laisse sans voix. Dans nos échanges, ses taquineries m’ont poussé à affûter mes réponses, à mélanger fermeté et une pointe d’humour pour la garder sur ses gardes. C’est une partie d’échecs mentale, et chaque coup compte.   La communication : Le cœur du contrôle S’il y a une chose que j’ai apprise, c’est qu’aucune dynamique, surtout avec une brat, ne fonctionne sans une communication irréprochable. Elle a clairement exprimé son besoin d’une connexion qui va au-delà du physique ; elle voulait un espace où ses pensées, ses doutes et ses désirs pouvaient s’exprimer librement. Avant de parler de menottes, de cravaches ou du lent goutte-à-goutte de la cire chaude, nous avons posé les bases : quelles sont tes limites ? Qu’est-ce qui te fait vibrer ? Qu’est-ce qui est interdit ? Ce n’est pas juste un préliminaire, c’est le socle de la confiance qui permet à une brat de s’abandonner, même quand son instinct est de résister. Dans nos discussions, j’ai exploré ses fantasmes – peut-être une mise en scène où elle est « capturée » ou le frisson de l’edging qui la maintient au bord du gouffre. Ses réponses ne parlaient pas seulement de pratiques ; elles révélaient une femme qui voulait être vue, défiée et soutenue. Mon rôle, en tant que Dominant, est d’écouter autant que de diriger, pour que chaque pas soit à la fois sûr et exaltant.   L’art du jeu : Discipline et désir Les brats prospèrent dans le jeu du « pousser et tirer ». Une fessée bien méritée pour une remarque insolente ou une scène avec un jouet intime peut transformer une défiance en une soumission délicieuse. Mais il ne s’agit pas seulement de punition ; il s’agit de créer des moments qui font des étincelles. Je me souviens lui avoir décrit une scène de shibari – des cordes enserrant ses poignets, son corps légèrement suspendu, vulnérable mais en sécurité. L’idée seule l’a fait hésiter, son habituelle audace s’adoucissant alors qu’elle l’imaginait. C’est ça, la magie d’une brat : elle vous défie, mais quand elle cède, c’est électrisant. J’ai aussi remarqué que les brats adorent le jeu mental. Un simple « Qu’est-ce que tu viens de dire ? » envoyé par message peut changer l’ambiance, la pousser à réfléchir à deux fois avant sa prochaine provocation. Ce n’est pas une question d’être dur – il s’agit de montrer que vous avez le contrôle, même à travers un écran. Des pratiques comme le facesitting ou le pet-play, qu’elle semblait apprécier, ajoutent des couches à cette danse, mêlant pouvoir et intimité d’une manière qui captive les deux parties.   La confiance : Le lien invisible Ce qui rend la dynamique avec une brat si gratifiante, c’est la confiance qu’elle exige. Elle peut provoquer, mais elle observe si vous respecterez ses limites tout en repoussant ses frontières. Le consentement n’est pas une simple formalité ; c’est une conversation continue. Nous avons parlé de mots de sécurité, de ce que « trop loin » signifie, et de l’aftercare qui suit une scène – qu’il s’agisse d’un échange virtuel ou d’une promesse de réconfort après un moment intense. Pour une brat, savoir que vous êtes là pour elle lui permet de jouer plus fort, de pousser plus loin et de s’abandonner plus profondément. Cette connexion m’a rappelé pourquoi je suis attiré par le BDSM. Ce n’est pas seulement une question de physique – même si l’idée d’un coup de cravache bien placé est tentante. Il s’agit de construire quelque chose de réel, où chacun grandit à travers la vulnérabilité et la force. Ses provocations n’étaient pas seulement des tests ; c’étaient des invitations à prouver que je pouvais gérer son feu.   Un voyage, pas une destination Cette danse virtuelle avec une brat m’a rappelé une chose : être Dominant, c’est être présent. C’est répondre à sa défiance avec assurance, à sa curiosité avec créativité, et à sa confiance avec soin. Que nous échangions des piques pleines d’esprit ou que nous imaginions une scène qui repousse nos limites, l’excitation réside dans la connexion que nous construisons – un message, un défi, un moment à la fois.
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Par : le 19/07/25
La jeune femme aimait la compagnie de ses congénères féminins avant la rencontre avec son amante, elle perfectionna seulement sa libido avec elle et se laissa amener vers des rivages sans fin. Pour lui plaire, elle eut envie de jouer le jeu en battant des cils et en faisant tourniller son collier de perles, ras du cou, à la Jackie Kennedy. C'était facile, la féminité: il suffisait de retrouver des gestes anodins oubliés. Ses cheveux courts, châtains foncés lui donnaient un air androgyne irrésistible. Charlotte parvenait à grand concours de jogging, à posséder cette silhouette sportive qui tient lieu de beauté. Et par chance, son corps était parfait. Elle pouvait à loisir contempler dans le rétroviseur celle qui sans doute la marquerait à jamais. La vie est mal faite: on est cerné par des êtres indifférents et l'on manque toujours à quelqu'un. Elle attendait, sagement assise derrière le volant. Leurs bouches se rejoignirent à l'intersection des deux sièges selon un rituel tacitement établi depuis qu'elles se retrouvaient dans la clandestinité. Mais, en deux ans, elles avaient appris à le bousculer à tour de rôle, afin que jamais l'habitude n'entamât la passion. Elles échangèrent un long baiser, si imaginatif qu'il pouvait à lui seul dresser l'inventaire exact de tout ce qui peut advenir de poétique et de prosaïque entre deux êtres soumis à leur seul instinct, du doux effleurement à la morsure, de la tendresse à la sauvagerie. Ainsi toutes les figures de l'amour s'inscrivaient dans cette étreinte. Elle avait la mémoire de celles qui l'avaient précédée. Quand leurs bouches se reprirent enfin, elles n'étaient qu'un seul et même souffle. Anticipant sur son premier mot, Juliette posa son doigt à la verticale sur ses lèvres et, dans un sourire de connivence, entraîna Charlotte hors de la voiture. Après qu'elles eurent tout doucement refermé les portes et fait les premiers pas sur la pointe des pieds, comme si l'extrême discrétion leur était devenue une seconde nature, elle la prit par la main et l'engagea à sa suite dans une des rares stalles encore vides. À l'ardeur qu'elle y mettait, Charlotte comprit que ce jour-là, encore une fois de plus, elle dirigerait les opérations, du moins dans un premier temps. Alors une sensation inédite l'envahit, la douce volupté de se laisser mener et emmener par celle qui la traiterait à l'égal d'un objet. En s'abandonnant sous la douce pression de ses doigts, elle n'était déjà plus qu'un corps sans âme, qu'une soumission charnelle en répit. L'endroit était humide et gris. Il en aurait fallut de peu pour qu'il paraisse sordide. Ça l'était juste assez pour ajouter à leur excitation. Certains parkings peuvent être aussi borgnes que des hôtels. Un rai de lumière, provenant d'un des plafonniers formait une diagonale au mur, à l'entrée du box. Il n'était pas question de descendre le lourd rideau de fer, elles se seraient retrouvées enfermées. Charlotte s'appuya le dos contre le mur, exactement au point où le halo venait mourir, de manière à réagir à temps au cas où quelqu'un viendrait les surprendre à l'improviste. Avant même que Juliette pût l'enlacer, elle lui glissa entre les bras tout en tournant le dos, avec cette grâce aérienne qui n'appartient qu'aux danseuses, puis posa ses mains contre la paroi, un peu au-dessus de sa tête, et cambra ses reins brusquement tandis qu'elle s'agenouillait.    Depuis tant de mois qu'elles s'exploraient, pas un grain de leur peau n'avait échappé à la caresse du bout de la langue. Du nord au sud et d'est en ouest, elles en avaient investi plis et replis, ourlets et cavités. Le moindre sillon portait l'empreinte d'un souvenir. La chair déclinait leur véritable identité. Elles se reconnaissaient à leur odeur, se retrouvaient en se flairant. Tout avait valeur d'indice, sueur, salive, sang. Parfois un méli-mélo de sécrétions, parfois le sexe et les larmes. Des fusées dans la nuit pour ceux qui savent les voir, messages invisibles à ceux qui ne sauront jamais les lire. Si les humeurs du corps n'avaient plus de secret, la subtile mécanique des fluides conservait son mystère. Mais cette imprégnation mutuelle allait bien au-delà depuis qu'elles s'étaient conté leurs rêves. Tant que l'on ne connaît pas intimement les fantasmes de l'autre, on ne sait rien ou presque de lui. C'est comme si on ne l'avait jamais vraiment aimé. Mais Charlotte savait exactement ce que Juliette désirait. Se laisser prendre avant de s'entreprendre. Un geste juste, qui serait juste un geste, pouvait apparaître comme une grâce, même dans de telles circonstances, car leur silence chargeait alors de paroles le moindre de leurs mouvements. Elles n'avaient rien à dire. Demander aurait tout gâché, répondre tout autant. Elles pouvaient juste surenchérir par la crudité de leur langage, un lexique de l'intimité dont les prolongements tactiles étaient infinis, le plus indéchiffrable de tous les codes en vigueur dans la sourde clandestinité. Tandis que Charlotte ondulait encore tout en s'arc-boutant un peu plus, Juliette lui déboutonna son jean, le baissa d'un geste sec, fit glisser son string, se saisit de chacune de ses fesses comme s'il se fût agi de deux fruits murs, les écarta avec fermeté dans le fol espoir de les scinder, songeant qu'il n'était rien au monde de mieux partagé que ce cul qui pour relever du haut et non du bas du corps, était marqué du sceau de la grâce absolue. Puis elle rapprocha ses doigts du sexe, écarta les béances de la vulve et plongea ses doigts dans l'intimité moite, si brutalement que sa tête faillit heurter le mur contre lequel elle s'appuyait. Ses mains ne quittaient plus ses hanches que pour mouler ses seins. Le corps à corps dura. Là où elles étaient, le temps se trouva aboli, ou à tout le moins se ralentit.   Une femme qui dit doucement alors qu'elle cède justement avec impétuosité, c'est très excitant. Ce cri, entre rage et feulement, avait de quoi troubler la femme la plus indifférente qui fût. Toute à son ivresse, elle ne songeait même plus à étouffer ses cris. Fébrilement, au plus fort de leur bataille, Juliette tenta de la bâillonner de ses doigts. Après un spasme, elle la mordit au sang. De la pointe de la langue, elle effleura délicatement son territoire à la frontière des deux mondes, avant de s'attarder vigoureusement sur son rosebud. Un instant, elle crut qu'elle enfoncerait ses ongles dans la pierre du mur. Elle se retourna enfin et la caressa à son tour sans cesser de la fixer des yeux. Toute l'intensité de leur lien s'était réfugiée dans la puissance muette du regard. Car si Juliette l'aimait peut-être, l'aimait sans doute, Charlotte sentait que le moment n'était pas éloigné où elle allait non plus le laisser entendre, mais le lui dire, mais dans la mesure même où son amour pour elle, et son désir d'elle, allaient croissant, elle était avec elle plus longuement, plus lentement, plus minutieusement exigeante. Ainsi gardée auprès d'elle les nuits entières, où parfois elle la touchait à peine, voulant seulement être caressée d'elle, elle se prêtait à ce qu'elle lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus encore lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé d'elle, de chacun elle s'acquittait comme d'un dû. Il était étrange que Charlotte en fût comblée. Cependant, elle l'était. La voiture était vraiment le territoire secret de leur clandestinité, le lieu de toutes les transgressions. Un lieu privé en public, ouvert et clos à la fois, où elles avaient l'habitude de s'exhiber en cachette. Chacune y reprit naturellement sa place. Elle se tourna pour bavarder comme elles l'aimaient le faire, s'abandonnant aux délices de la futilité et de la médisance avec d'autant de cruauté que l'exercice était gratuit et sans danger. Elles ne pouvaient que se sentir en confiance. Scellées plutôt que liées. Charlotte était le reste de Juliette, et elle le reste d'elle. Inutile d'être dénudé pour être à nu. Tout dire à qui peut tout entendre. On ne renonce pas sans raison profonde à une telle liberté. Au delà d'une frénésie sexuelle sans entrave, d'un bonheur sensuel sans égal, d'une connivence intellectuelle sans pareille, et même au-delà de ce léger sourire qui emmène plus loin que le désir partagé, cette liberté était le sel de leur vie. Elle la prit dans ses bras et lui caressa le visage tandis qu'elle se blottissait contre sa poitrine. À l'extérieur, l'autre vie pouvait alors attendre, surtout lorsque de toute façon, l'on se quitte le lendemain.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/25
Tout à coup, je la regardais avec une sorte d'épouvante: ce qui s'était accompli dans cet être dont j'avais tant envie m'apparaissait effroyable. Ce corps fragile, ses craintes, ses imaginations, c'était tout le bonheur du monde à notre usage personnel. Son passé et le mien me faisaient peur. Mais ce qu'il y a de plus cruel dans les sentiments violents, c'est qu'on y aime ce qu'on aime pas. On y adore jusqu'aux défauts, jusqu'aux abominations, on s'y attache à ce qui fait de plus mal. Tout ce que je détestais en elle était sans prix pour moi. Et mon seul bonheur, c'était le plaisir même; le mien, le sien, tous ces plaisirs du monde, camouflés la plupart du temps sous de fugaces désirs, des amours passagères, des illusions d'un moment. Nous avions du mal à parler. Il y avait un silence entre nous, fait de nos fautes et de nos remords. L'éclatement et l'évidence des amours partagées, la simplicité qui jette les corps l'un vers les autres. Ce monde ambigu où les choses s'interprètent et où nous leur prêtons un sens qui est rarement le sens, c'était l'insoutenable légèreté du bonheur où le temps et l'espace n'étaient plus neutres dans l'amour et la soumission. Ils se chargeaient de nos espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvrait ainsi d'un réseau de signes qui lui donnait un sens parfois absurde. Si tout était là, la vérité serait à la portée de tous, à la merci d'un miracle, mais on ne peut n'allumer que la moitié d'un soleil quand le feu est aux poudres. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes, on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là. Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant la main dans ses cheveux, elle posa ses lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement avant de l'embrasser de plus en plus passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit lentement ses mains dans son dos, et la plaqua contre elle. Debout sur la terrasse, assourdies par le bruit des vagues, elles se laissèrent gagner par un désir grandissant. Charlotte s'écarta de Juliette, la prenant par la main, l'entraîna vers la chambre. Ensuite, elle s'écarta d'elle.   On avait beau souffrir comme un bœuf, l'on s'en sortait, de la douleur, elle s'atténuait, et c'était dans doute ça le pire. Comme tout le monde, on portait son poids en secret, avec le sourire. Ne restait plus qu'avec le temps qu'un léger clapotis à la surface des choses, des bulles de mémoire qui crevaient à la longue. Que les plages perdues ont toutes le même air, que la mer y est partout aussi belle, et l'horizon désirable. La lumière de l'aube inondait la pièce, jetant des ombres sur les murs. N'hésitant qu'une fraction de seconde avant de se retourner vers elle, elle commença à se déshabiller. Charlotte fit un geste pour fermer la porte de la chambre, mais elle secoua la tête. Elle voulait la voir, cette fois-ci, et elle voulait qu'elle la voit. Charlotte voulait que Juliette sache qu'elle était avec elle et non avec une autre. Lentement, très lentement, elle ôta ses vêtements. Son chemisier, son jean. Bientôt, elle fut nue. Elle ne la quittait pas des yeux, les lèvres légèrement entrouvertes. Le soleil et le sel de la mer avaient hâler son corps. Il venait d'ailleurs, de l'océan. Il émergeait des eaux profondes, tout luisant de ce sucre étrange cher à Hemingway. C'était la fleur du sel. Puis Juliette s'approcha de Charlotte et posa ses mains sur ses seins, ses épaules, ses bras, la caressant doucement comme si elle voulait graver à jamais dans sa mémoire le souvenir de sa peau. Elles firent l'amour fiévreusement, accrochées désespérément l'une à l'autre, avec une passion comme elles n'en avaient jamais connue, toutes les deux douloureusement attentive au plaisir de l'autre. Comme si elles eu avaient peur de ce que l'avenir leur réservait, elles se vouèrent à l'adoration de leurs corps avec une intensité qui marquerait à jamais leur mémoire. Elles jouirent ensemble, Charlotte renversa la tête en arrière et cria sans la moindre retenue. Puis assise sur le lit, la tête de Charlotte sur ses genoux, Juliette lui caressa les cheveux, doucement, régulièrement, en écoutant sa respiration se faire de plus en plus profonde. Soudain, les lèvres de Juliette exigèrent un maintenant plein d'abandon. La communion ne put être plus totale. Elle lui prit la tête entre ses deux mains et lui entrouvrit la bouche pour l'embrasser. Si fort elle suffoqua qu'elle aurait glissé si elle ne l'eût retenue. Elle ne comprit pas pourquoi un tel trouble, une telle angoisse lui serraient la gorge, car enfin, que pouvait-elle avoir à redouter de Juliette qu'elle n'eût déjà éprouvé ? Elle la pria de se mettre à genoux, la regarda sans un mot lui obéir. Elle avait l'habitude de son silence, comme elle avait l'habitude d'attendre les décisions de son plaisir. Désormais la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, et qu'elle avait pressenti sans même la comprendre.   Chaque pli, sur son visage, les tics parfois, dans la joue, cette moue quand elle était fatiguée, elle voulait tout, elle apprenait tout par cœur, comme si elle pressentait qu'un jour il faudrait l'oublier. Parfois, quand elle s'adressait à elle, lui posait une question, elle devait serrer les poings dans ses poches pour lui répondre avec naturel, lui cacher et dominer cette faim d'elle. Désormais, il n'y aurait plus de rémission. Puis elle prit conscience soudain que ce qu'en fait elle attendait, dans ce silence, dans cette lumière de l'aube, et ne s'avouait pas, c'est que Juliette lui fit signe et lui ordonnât de la caresser. Elle était au-dessus d'elle, un pied et de part et d'autre de sa taille, et Charlotte voyait, dans le pont que formaient ses jambes brunes, les lanières du martinet qu'elle tenait à la main. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passa de la droite à la gauche, s'arrêta et reprit aussitôt. Elle se débattit de toutes ses forces. Elle ne voulait pas supplier, elle ne voulait pas demander grâce. Mais Juliette entendait l'amener à merci. Charlotte aima le supplice pourvu qu'il fut long et surtout cruel. La façon dont elle fut fouettée, comme la posture où elle avait été liée n'avaient pas non plus d'autre but. Les gémissements de la jeune femme jaillirent maintenant assez forts et sous le coup de spasmes. Ce fut une plainte continue qui ne trahissait pas une grande douleur, qui espérait même un paroxysme où le cri devenait sauvage et délirant. Ces spasmes secouèrent tout le corps en se reproduisant de minute en minute, faisant craquer et se tendre le ventre et les cuisses de Charlotte, chaque coup, le laissant exténué après chaque attaque. Juliette écouta ces appels étrangers auxquels tout le corps de la jeune femme répondait. Elle était vide d'idées. Elle eut seulement conscience que bientôt le soir allait tomber, qu'elle était seule avec Charlotte. L'allégresse se communiqua à sa vieille passion et elle songea à sa solitude. Il lui sembla que c'était pour racheter quelque chose. Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. Cette misère sexuelle la confortait dans son choix. Le masochisme est un art, une philosophie et un espace culturel. Il lui suffisait d'un psyché. Avec humilité, elle se regarda dans le miroir, et songea qu'on ne pouvait lui apporter, si l'on ne pouvait en tirer de honte, lui offrir qu'un parterre d'hortensia, parce que leurs pétales bleus lui rappelaient un soir d'été heureux à Sauzon à Belle île en Mer. C'était son secret et il s'agissait de le conserver comme une relique sacrée. Elle vivrait désormais avec la même joie, enfant à se promener sur ce doux rivage.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/07/25
Les jours défilaient et une routine s’installa entre Bastien et Maria. Non pas une routine barbante mais une routine nécessaire constituée de moments dit «ordinaires» mais remplis de joies et de partage. Chacun vaquait à ses occupations enchaînant le travail et ponctuant çà de phases de repos comme voir des amis, aller à des concerts ou des séance de cinéma. Cette routine avait quelque chose de sain chez les deux partenaires et leur donnait une tranquillité d’esprit que chacun recherchait : moins de questions sur le futur, beaucoup de moments simples sans prise de tête à apprécier bref une normalité à laquelle ils aspiraient tous deux.  Seule inquiétude compréhensible : tous deux n’étant habitués à cette normalité redoutaient parfois l’inquiétude de voir ces moments disparaitre. Ce qui était compréhensible après tant d’années de tumulte.  Cette routine donc il n’y touchaient pas et la chérissaient. Le sujet où il s’était retrouvés et qui n’était touché par aucune routine c’était leurs activités sexuelles. Les débuts avaient été durs à accepter. Maria s’ouvrait à un monde inavoué de plaisir, de sensations à une période encore compliquée pour elle et même si Bastien était réapparu à cette période l’aidant à s’émanciper de tous ceux-ci, l’instabilité avait encore une fois eu raison de leurs rapprochements. Il leurs avait fallu plusieurs temps de pause dans leur vie pour enfin accepter leurs retrouvailles.  Leurs jeux, si il n’étaient pas guidés par leurs propres envies, étaient parfois soit déclenchés par des situations inédites soit par certains mots à double connotation mais qui réveillaient en eux systématiquement leurs désirs. Des mots comme «serré», «mouillé», «masque», «plastique», «latex», «soumis(e)», «cuir», et tout une liste dont on ne soupçonne par l’utilisation récurrente.  Alors que Bastien s’était levé assez tôt, vaquant à quelques dessins dont il se sentait inspiré, Maria apparue dans la pièce vêtue d’une nuisette et d’un peignoir, ouvrant les yeux timidement et vint l’embrasser. Bastien se leva du bureau et lui servit le café aidant la femme à trouver ses repères. C’était exactement ce genre de routine qui était plaisant. Ces petits plaisirs où l’autre répondait inconsciemment à un désir simple. Reprenant tout doucement ses esprits en trempant ses lèvres dans sa tasse chaude, elle informa Bastien qu’elle comptait démarrer cette journée ensoleillée par un bon bain. En se dirigeant vers la salle de bain elle demanda à Bastien si il avait fait faire sa promenade à son animal familier. Bastien ne comprit pas sur le moment puisqu’ils n’avaient ni chat ni chien. Elle lui répondit «bien sûr que si, réfléchis !». Bastien ne la suivait pas et ne voyait pas à quoi elle faisait référence. «Mais de quoi parles-tu ma jolie ?». Maria lui sourit en disant «allons tu as bien une petite «chienne» qui a des besoins !». «OOOOh « fit Bastien dont l’idée enfin comprise fit dresser automatiquement son sexe.  Maria enfila son masque de latex préféré qu’elle avait mis dans la poche de son peignoir devant les yeux ébahis de Bastien. Une fois enfilé, elle se frotta la chatte en lui disant qu’elle sentait la chienne «mouillée». «Ne bouge pas» lui dit il et il partit dans la chambre pour attraper quelques accessoires. Pendant qu’il réunissait ses objets de torture, Maria râla un «ommmmmmm» dans le salon. Dans un ton sensuel et alerte, elle l’appela : «Bastien vite ! j’ai fait une bêtise». Lorsqu’il revint dans le salon avec les accessoires, Maria s’était déjà faite jouir au milieu du salon laissant une flaque de liquide vaginal à ses pieds. «Je n’ai pas pu attendre mon maître». Bastien lui attacha un collier et lui lia les mains dans le dos fermement après l’avoir déshabillée complètement. Une fois sa laisse attachée, Bastien lui dit «vilaine chienne ! VILAINE ! tu mérites une punition». Maria s’en mordait déjà les lèvres lorsqu’il lui enfila un harnais qu’il serra sur le corps de son animal de compagnie. «Puisque tu as été vilaine, il va falloir te rééduquer». Soulevant les bras de Maria, Bastien, il lui fouetta les fesses vigoureusement puis tira sur le collier pour la faire s’incliner devant la flaque. «qu’est ce qui a fait çà ? hein ? qu’est qui a fait çà ?». Bastien poussa la tête de Maria désormais à genoux dans la dite flaque. «Méchante fille».  Lorsqu’il la redressa, il la bâillonna et la prise par derrière. Tenant la laisse fermement il l’a pilonna violemment jusqu’à ce que la flaque s’agrandisse. Après son propre plaisir, Maria jouissait à nouveau au rythme des aller-retour de la bite de Bastien.  Bastien qui n’avait pas encore jouie vit Maria se cambrer atteignant à nouveau un orgasme, rugissant à travers son bâillon qu’elle mordait de toutes ses forces. Bastien ne souhaitait pas en rester là. Il enfila des gants en latex qu’il couvrit de lubrifiant, inséra un puis deux puis trois doigts dans le cul de Maria qui éructait «gggrrrrr hhhhaannnn». Elle savait qu’elle pouvait compter sur ce maître pour lui rappeler les règles. S’astiquant rapidement la verge pour lui redonner sa rigueur optimale, il l’inséra dans le cul de Maria qui se cambra dans l’autre sens. «OHHHHH MMMMPH MMMPH» fit la chienne en chaleur.  Si les débuts furent difficiles, le trou du cul de Maria se décontracta pour laisser passer la verge pleine de plaisir. Alors qu’il lui défonçait son arrière train, il la cercla de ses mains pour lui titiller les tétons, ce à quoi Maria réagit vivement. «iiiiiannnnnnnnnn».Elle bougeait sa tête dans tous les sens, bavant à travers son bâillon. Lorsque Bastien sentit sa propre jouissance arriver, il se retira d’un coup sec et éjacula sur le sol mélangeant ses propres sécrétions à celle de Maria. Tels deux adversaires en fin de combat, les partenaires reprenaient leurs esprits.  Lorsque Bastien la libéra délicatement de ses contraintes mis à rude épreuve, Maria souffla un grand coup pensant que son calvaire prenait fin. Bastien lui dit «regarde moi ce chantier, tu es fière de toi ?». Maria encore sous le choc du coït qui l’avait achevé à son réveil contempla Bastien dubitative. Il se releva et tendit une tenue de servante. «Enfile moi çà et nettoie moi çà». Maria se releva également et enfila la tenue de soubrette. Bastien lui donna un seau d’eau chaude et Maria nettoya les dégâts faisant disparaître les traces de leurs aventures. Bastien la laissa terminer et sortit du salon.  La tâche accomplie, Maria parcourut le couloir et vit la salle de bain ouverte. Bastien était assis dans le bain moussant qu’elle projetait plus tôt et invita gentiment sa servante à se déshabiller pour le rejoindre. Maria était contente de cette attention et une fois le vêtement au sol, elle s’infiltra dans l’eau chaude aux effluves parfumées. Faisant face à Bastien, il lui demanda de lui tourner le dos. La baignoire n’étant pas extraordinairement grande Maria se releva pour pivoter et se rasseoir. Bastien posa ses deux mains sur ses épaules et commença à la masser tendrement tout en l’embrassant dans le cou. Maria gémit en faisant un long «mmmmmmmmmmm» et fini par s’allonger sur le torse de Bastien. Maria semblait heureuse de son épanouissement tout en conservant les meilleures qualités ordinaires de son partenaire. Ils restèrent dans le bain jusqu’en début d’après midi. «tu te souviens» dis Maria «nous sommes invités à manger ce soir chez des amis à moi». Bastien l’embrassa calmement en lui répondait qu’il le savait.…  
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Par : le 14/07/25
Bastien et Maria s’étaient endormis dans le bain. Rêveurs tous les deux, les heures avaient défilé et après un réveil dans une eau désormais sans mousse et de froide température, ils s’affairaient à ranger le désordre causé par leurs fantasmes lubriques. Le confort de vêtements amples avaient remplacé les contraintes et autres vêtements collants et luisants.  Les efforts du «réveil matinal» avait aiguisé leur faim. Bastien proposa de préparer un bon repas chaud que les deux ingurgitèrent sans retenue. Le temps de digestion se déroula sur le canapé sous un plaid chaud où les partenaires se blottissaient l’un contre l’autre. Devant la pauvreté des programmes sur les plateformes, ils s’endormirent paisiblement. Vers 17h Bastien émergea péniblement. Il réalisa qu’il était seul sur le canapé. Maria apparut. «Ah tu es tu enfin réveillé j’ai cru que tu allais faire ta nuit sous le plaid» dit elle en rigolant. «nous sommes attendus vers 18h30 chez mes amis, ce qui te laisse le temps de te préparer». Maria était déjà habillée. Ce n’était pas un repas formel mais juste un moment de partages avec des amis de longue date à qui elle tenait. Elle avait revêtu son jogging noir et portait un col roulé de même couleur. Ses sneakers blanches flamboyaient parmi sa tenue sombre. «tu peux prendre la salle de bain, je vais continuer à me préparer dans le salon. Je dois juste me maquiller et je serai prête». Bastien sauta l’étape de la douche après le bain qu’il avait pris quelques heures auparavant, chercha la tenue la plus cool et la plus confortable mais aussi chaude car le temps était maussade et les températures peu élevées. Vers 18h le binôme était prêt et se mit en route.  Après un cheminement en transports en commun, ils arrivent à destination et la joie de retrouver les amis augurait une bonne soirée à passer. Les femmes se firent des compliments sur leurs apparats et les hommes se mirent à jour sur les faits récents.  Après un apéro où les rires se multipliaient, ils furent convier de se mettre à table pour un repas copieux préparé, selon les dires, durant toute l’après midi. Tous les sujets furent partagés dans un festin pantagruélique.  Alors qu’il prenait fin et que les hommes proposèrent de fumer une cigarette en terrasse couverte, la maîtresse de maison proposa de débarrasser la table. Maria aida donc son amie pour partir dans des conversations dont seules les femmes avaient le secret. Alors que l’hôte de maison démarrait sa deuxième tige en contemplant l’horizon qui se découvrait, Bastien sentit qu’il venait de recevoir un sms. Sortant, son portable, il vit que c’était Maria qui en était l’auteur. Il jeta rapidement un coup d’œil à l’intérieur voyant qu’elle n’était plus dans la cuisine. Lorsqu’il ouvrit le sms, plusieurs photos s’affichèrent. La première montrait Maria aux toilettes en train de descendre son jogging révélant une culotte en latex noir très luisante.  Les sens de Bastien s’affolaient. Et son hôte reprenait la conversation. «un problème Bastien ?». Bastien rougissait et sentait son sexe se réveiller. «non non» dit il. «Des potes qui m’envoient encore de nouvelles sorties bd». La deuxième photo s’ouvrit et cette fois ci Maria, le jogging à ses genoux tirait sur l’entrejambe de sa culotte révélant un petit plug diamanté au creux de son cul.  La salive descendait dans la gorge de Bastien qui n’arrêtait pas de déglutir. Un message disait en dessous des deux photos : que comptes tu faire maintenant ? avec un smiley moqueur. Les yeux de Bastien s’écarquillaient au même rythme que montaient ses envies.  Alors que son hôte l’invitait à rentrer pour prendre le dessert, Bastien ferma rapidement son portable de peur que l’on aperçoive la moindre photo. Une fois rentré Maria était assise face à son amie qui avait servi le gâteau agrémenté de quelques cafés. Bastien fixa Maria qui souriait de manière coquine. Bastien s’assit à côté d’elle faisant face à l’autre couple.  Les discussions reprirent et Bastien fit un effort gargantuesque pour resté concentré sur les sujets évoqués. Son esprit n’était plus qu’un vague souvenir dans ce corps qui se tenait assis à table. Lorsque le dessert fut bouclé, le couple d’hôtes partit dans la cuisine pour à nouveau débarrasser. Moment opportun où Bastien en profita toujours assis, pour passer une main dans le dos de Maria. Main qu’il fit descendre jusqu’au creux de ses fesses tâtant l’objet dur inséré. Maria se pencha vers lui pour l’embrasser dans le cou ce qui lui donna des frissons en plus de toutes les sensations qui ressentait désormais. L’hôte revint et demanda si Bastien et Maria n’avaient pas froid car lui oui. Maria répondit que non en le suivant du regard. Alors qu’il remontait son thermostat en tournant le dos aux invités Maria descendit discrètement son col roulé révélant un petit collier de cuir de soumise aux yeux de son partenaire.  Bastien n’en pouvait plus. Il n’avait qu’une envie qui était de quitter la soirée pour profiter de sa partenaire tentatrice dans tous ses états et joueuse invétérée. Coïncidence étrange puisqu’au moment de ces pensées, les amis proposèrent de faire un jeu. La femme cria «oui un twister !». Maria regarda inquiet Bastien et répondit automatiquement «un jeu plus calme non ? Suis un peu mal fichue aujourd’hui si vous voyez ce que je veux dire». Maria avait évidemment peur qu’en se contorsionnant dans la partie le moindre accessoire puisse se révéler aux yeux de ses amis. Bastien était hilare. Si Maria contrôlait les règles de son jeu elle n’en maîtrisait point toutes les contraintes. Bastien s’écria que pendant qu’ils choisissaient le jeu en conséquence une envie pressante se faisait.  Bastien entra, transpirant dans les petits toilettes de l’appartement et en enlevant son jean, révéla sa queue toute dure et toute rouge qui ne demandait qu’à sortir après les photos de Maria qu’il regarda à nouveau. Le portable dans la main, il prit son sexe en photo qu’il envoya à Maria en indiquant qu’elle ne perdait rien pour attendre et que ses bijoux de famille en remplaceraient un autre aisément.  Bastien fit défiler quelques photos de film et autre sujets légers pour faire redescendre la pression qui occupait son entrejambe.  Lorsqu’il rejoint les convives Maria le regardait le sourire aux lèvres et le portable à la main. Elle attrapa Bastien par le bras pour l’embrasser sur la joue et lui glisser à l’oreille «je n’attends que çà mon maître».  Bastien aimait jouer sur les mots et conseilla de haute voix à Maria de s’asseoir confortablement suite à ses réflexions. Ce que le couple qui invitait prit pour de sages recommandations mais qui fit sourire Maria. Les jeux commencèrent et les fous rires furent nombreux à nouveau surtout lorsqu’il abordèrent un action-vérité. Les heures passant, Bastien et Maria forts de leurs envies souhaitaient désormais quitter les lieux mais à leur grande surprise l’heure tardive ne leurs permettaient désormais plus de pouvoirs utiliser les transports en commun. Les convives leur proposèrent alors de dormir à l’appartement dans leur chambre d’amis. Bastien était fort désappointé lui qui souhaitait rentrer pour laisser aller ses envies qu’il avait du retenir le long de la journée. Sans aucun autre choix possible il fut contraint de rester. Une fois qu’ils furent installés sur le lit gentiment prêté et la porte fermée. Maria ouvrit son sac cabas pour en sortir tonnes d’accessoires. Bastien était totalement surpris : «mais comment tu as su que…». «Shhhhh…» répondit Maria en posant son doigt sur les lèvres de Bastien. «une bonne esclave ne part jamais sans ses essentiels». Bastien retrouvait le sourire et savait que la nuit ne faisait que commencer… Alors que le silence dans les pièces voisines s’installait et que la dernière lumière en bas de porte disparu, Bastien pris Maria de dos au creux de ses bras, la serrant fort et la couvrant de baisers hardants dessinant le corps de sa partenaire des lèvres. Ses mains descendirent jusqu’au creux de ses cuisses où il sentit la culotte de latex chaude des émotions de Maria.  Maria tourna la tête pour dire au creux de l’oreille de Bastien à voix basse : enfile moi mon masque de salope, j’ai été très vilaine en jouant avec tes désirs que je sens sur mon cul. Bastien lui tira la tignasse en arrière pour lécher son cou et pressa le sexe de Maria de son autre main. «ohhhhh» fit Maria.  Bastien dans le même volume pour ne pas éveiller leurs hôtes de voisin lui répondit : «oui tu m’as fait souffrir sale traînée mais je te rappelle que tu es à moi et que je décide ce que je veux te faire quand le je veux».  Maria qui se contorsionnait sous les différentes caresses et autres pincements était en attente de sa cagoule. Elle vouait une véritable passion pour cet accessoire qui, une fois revêtu la transformait en une autre personne : l’esclave des désirs de son maître. Forcément, face à cette dévotion elle avait accumulé une collection impressionnante de cet objet.  Bastien tout en la gardant près de son torse se pencha sur le sac de Maria ouvert pour l’occasion et révélant différents modèles dont sa belle s’était pourvu. Il en tira un en caoutchouc pourvu d’une ouverture sur le bas du visage. Remontant de ses mains sur le corps de sa partenaire, il enleva le collier délicatement. «que fais tu» dit elle. «tais toi et ne fais pas de bruit». Il lui enfila le masque doucement pour ne réveiller aucun soupçon dans la chambre avoisinante. La bouche de Maria seule partie visible de son visage laissa sortir un «mmmmmmmmmmmmm» tout en se léchant les lèvres. Bastien tendit ses doigts qu’il posa sur la bouche de Maria et qui les suça langoureusement. Après avoir sucer les doigts si précieux de son maître,Bastien lui remit son collier qu’il serra assez fort pour qu’elle sache qu’il la maîtrisait mais prudemment pour qu’elle ne subisse aucune gène à respirer. Puis il replongea ses doigts dans la bouche chaude et moite de celle qui était devenu son jouet. Lorsqu’il les retira à nouveau, bien humides, il les descendit dans son bas ventre avant de s’infiltrer sous la culotte zippée pour lui octroyer un doux et ferme massage du sexe. Maria par réflexe écarta ses jambes et sentit son plaisir se décupler. «mowwwww» fit elle incapable de rester silencieuse. Bastien lui tourna la tête et l’embrassa fougueusement dans un silence entrecoupé de murmures de leur corps victime de leurs désirs. Il enleva sa main de la culotte et descendit tout doucement la fermeture éclair faisant des craquements des crans de la fermeture le seul bruit dans cette nuit illuminant la chambre. Ne laissant sortir que le clitoris et le haut des lèvres du sexe de Maria. Il allongea son esclave et fit de même sur elle posant son membre sur sa bouche. Il sentait le souffle chaud de Maria sur son sexe raide à travers son boxer. Il se pencha sur l’entrejambe de sa victime et commença à alterner entre léchages du clito et aspiration de ses lèvres dont l’odeur se mélangeait désormais au textile plastique. Dans une furie, Maria déchira le boxer de Bastien pour accueillir son chibre dans la bouche qu’elle dégusta comme la baiseuse affamée qu’elle était. «mmmmm» fit Bastien tout en opérant des va et vient dans ce trou serrant que Maria lui offrait. Au plus profond de la gorge de sa partenaire Bastien se retint de la retirer et doigta le sexe de sa belle désormais complètement à découvert. Il sentait Maria osciller de la tête à la recherche d’un peu d’air pour exprimer son plaisir. La doigtant plus vigoureusement il assistait aux mouvements du plug anal sortant et rentrant selon les respirations de sa victime. Lorsque les murmures jusque là devinrent des cris étouffés, Bastien arrêta net sa stimulation infernale en se relevant et laissant Maria exprimer un grand «ahhhhhhhhhhh» lors de sa reprise de respiration qui intervint en même temps que l’explosion de ses sécrétions. Il se remit derrière elle la serrant à nouveau. Elle murmura «ahhhhhh c’est bonnnnnnn». Il lui frictionna les bras pour atteindre ses poignets auxquels il attacha 2 bracelets de cuir sanglé. Les sangles furent attachés au collier de Maria la laissant les bras pliés au niveau de sa poitrine et joints à son cou.  «tu fais trop de bruits» lui fit il. Et il lui passa un bâillon boule de taille conséquente qui laissa Maria incapable de sortir le moindre souffle. «mmmmffffff» fit elle. Il remonta la fermeture éclair au maximum jusqu’aux reins de Maria et lui enleva délicatement son plug anal qui dans sa circonférence la plus large fit sursauter la partenaire cagoulée. Crachant dans un bruit sourd dans la main qui ne la serrait pas, il badigeonna son sexe raide qu’il fourra dans le trou du cul de sa partenaire mordant sa boule buccale. Une fois que son gland fut inséré, il fit descendre le bassin de Maria calmement mais lourdement. Maria avait de grandes respirations nasales qui faisait parfois gonfler son masque. Un grognement rauque sortit lorsque Bastien eu l’entièreté de son sexe rentré dans le rectum de Maria. Et dans une cadence lente mais assurée afin de minimiser les craquements du lit significatifs, Bastien percuta sa soumise tout en la doigtant à nouveau.  La douleur du départ laissa la place à l’excitation la plus extrême pour Maria aveuglée, perdue dans ses délices de plaisir. Bastien lui ne souffrait pas de la faible mesure de ses gestes pour repousser l’aboutissement de son effervescence sexuelle du à son sexe serré et stimulé. Lors d’un dernier claquement de fesses sur le bas ventre de Bastien la décharge électrique arriva, libérant son sperme entre les fesses de Maria qui suffoqua de plaisir aussi bien en réponse à sa chatte stimulée qu’à son cul dévasté. Bastien fit tous les efforts possibles pour contenir son cri de jouissance en serrant les dents retenant Maria de ses doigts crispés.  Avant de se retirer il détacha les poignets de sa belle qui automatiquement empoigna les jambes de son partenaire sur lequel elle était assise. Puis il détacha le baillon la laissant respirer et émettre un «ahhhhhhh « de soulagement. La prenant par le bassin Bastien remontra Maria de son sexe qui sorti naturellement face à l’épuisement de ses batteries. Maria se décala de son partenaire en lui murmurant «çà  aussi c’était très bon. Avec ce genre de punition je n’ai pas fini d’être vilaine». Bastien plein de passion l’embrassa à nouveau en la remerciant d’être encore celle qu’elle était. Après lui avoir enlevé son collier, il attrapa le masque pour en faire de même. «Laisse le moi» le retint Maria. Je ne supporterai pas la luminosité de la nuit et je préfère encore continuer à rêver de ce qui vient de sa passer.» Bastien ne s’en offusqua pas. «où est mon plug stp ?» lui dit elle. Bastien surpris attrapa le bijoux intime pour le réinsérer. «Non pas celui ci, maintenant que tu es passé, il va flotter». Bastien en conclut qu’un autre devait être présent dans son sac. Il en tira un autre en caoutchouc noir de grande taille par rapport au bijou proposé. Surpris il lui dit «tu en es sure ?». «Vite je commence à attraper froid» lui répondit elle en commençant à avoir la chair de poule. Par plusieurs à-coups il fit pénétrer l’objet dans le derrière de Maria encore humide de son sperme. «mmmmmm ouiiiii voilà» fit elle. A tâtons elle retrouva son jogging qu’elle ré-enfila pour se coucher sur le côté.  Bastien se pencha en lui disant «tu me dois un boxer ma chérie». Ce à quoi elle répondit «mmmoui on va t’en trouver un spécial dans une matière plus adéquate pour aller avec nos jouets…» puis s’endormit d’un coup.  Bastien rabattit la couette sur eux et se colla à elle tel un bulot sur un rocher. Maria ronflait déjà et il ne tarda pas à en faire de même après cette nuit qui sera de courte durée.     
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Par : le 13/07/25
Avant propos : Ce texte reprend le récit de ma Merveille Infinie d'Amour intitulé "Une semaine presque ordinaire - épisode 9" . Mais cette fois-ci narré non pas par elle, mais par moi son Maitre.  En voici la première partie. La seconde suivra très bientôt. **********************   Elle était là. Debout. Dos à la porte. Dans cet abandon volontaire que j’aime tant observer. Le silence qui emplissait notre salon amplifiait sa vulnérabilité et sa beauté. Je pouvais presque sentir ses pensées s’agiter, s’enfiévrer. Je sais désormais comment elle fonctionne. Je connais ses silences, ses hésitations, ses bouffées de désir et d’inquiétude qui jaillissent dans le vide que je crée parfois pour elle pour l’emmener plus loin, l’élever. Dans ces moments-là, elle n’est déjà plus tout à fait elle-même… elle se transcende … elle se jette dans l’inconnu … elle devient mienne, dans l’esprit, dans le corps, dans le souffle. Elle se sait être en confiance et elle devient alors ma parfaite complétude. Elle l’ignore encore, mais je suis là. Derrière elle. Je l’observe. Depuis un moment. Elle est juste magnifique. Splendide. Troublante. A la fois forte et fragile. Ses frissons me parviennent. Elle est déjà perdue entre son désir d’en savoir plus, ses craintes et ses désirs. En ces instants, impatiente et curieuse, elle laisse son esprit vagabonder. L’excitation la plonge dans ses souvenirs. Je le lis dans le léger mouvement de ses hanches pleines et de son cul rebondi… dans sa respiration que je devine plus lourde et qui soulève sa lourde poitrine ... J’ai su réveiller et développer en elle son coté lubrique et indécent. Elle l’assume désormais. Elle aime se comporter avec moi comme la petite salope qu’elle a toujours été mais n’osait s’avouer être. Elle aime aussi faire sa brat pour mieux faire surgir en moi le Loup primal, le mâle Alpha qui alors la domine et l’utilise à sa guise, juste pour son plaisir. Elle aime devenir cet objet sexuel, cette proie soumise aux perversités de son Loup. Elle y trouve un partie de son épanouissement. Mais plus encore elle a su trouver et prendre toute sa place. Plus que ma soumise, elle est ma Sublime. Une Princesse Putain, une PP, comme elle aime à le dire. Elle est bien plus que ma soumise, elle est la femme que j’aime. A la fois Déesse vénérée et soumise utilisée ; Femme aimée et femelle offerte ; Chérie adorée et chienne dévouée. Elle est mon Tout. Sans elle je ne suis rien. Je ne suis son Maitre que parce qu’elle daigne être ma soumise. Aujourd’hui encore elle m’a prouvé son amour profond, sa pleine dévotion, sa totale soumission. Pas seulement en se promenant en ville avec moi le poignet en laisse, fière d’être attachée ainsi à son Homme, son Maitre. Pas seulement en assumant avec fierté son statut de soumise découvert par la vendeuse du grand magasin. Mais plus encore en s’agenouillant devant moi. A mes pieds. En public. Dans ce restaurant étoilé où nous fêtions le 9e mois de notre vie commune. Un infini sentiment d’honneur et de fierté m’avait alors parcouru des pieds à la tête. Allant jusqu’à humidifier mon regard rempli d’amour en la voyant à mes pieds, tête posée sur ma cuisse. Perdu dans mes pensées d’amour profond et d’admiration pour elle, je la regarde encore. Elle a choisi une tenue parfaite dans le grand magasin où je l’ai laissée cet après-midi. Et elle s’est préparée de manière exquise pour notre soirée. Elle a un goût sûr. A la fois élégant et délicatement indécent et suggestif. Cette longue robe noire aux fines bretelles en chaines dorées mettant son dos à nu jusqu’à la chute de ses reins et délicieusement ouverte sur les côtés lui va à ravir. Ses escarpins à talon doré au-dessus en résille noir enlaçant sa cheville ajoute une autre touche d’élégance et cambre plus encore sa silhouette, laissant à deviner ses fesses amples et rondes. Son chignon haut dégage son cou où je vois qu’elle a choisi de porter le premier collier que je lui avais offert, alors qu’elle n’était pas encore ma soumise : un collier ras du cou en or d’où pend au centre un anneau torsadé. Un cadeau message qu’elle avait alors immédiatement compris. Je m’approche en silence. Elle ne bouge pas. Elle n’entend rien, portant les bouches-oreilles que je lui avais ordonné de mettre. Elle ne me voit pas, portant le bandeau de soie noire que je lui ai donné. Ses bras le long du corps, elle est là. Offerte. Immobile. Dans l’attente. Lorsque je passe ma main le long de son dos, je la sens frissonner. Je lui retire un des bouchons d’oreille et me penche contre son oreille et lui susurre d’une voix chaude : «  Je t’observais depuis un moment … et tu étais loin dans tes pensées ma Mia … tu es déjà excitée et tu me raconteras plus tard ce qui te captivait.  Tu es magnifique : tout ce que tu as choisi est superbe et te va à ravir ; une tenue parfaite pour te magnifier un peu plus. Nous allons commencer bientôt. Je vais te remettre le bouchon. Et je l’enlèverais une fois que Vivaldi viendra rompre le silence. Tu seras alors ma chose et tu obéiras, tu me rendras fier et honoré de te posséder. Et n’oublie pas ton safeword. Et surtout que je t’aime infiniment » A ces mots, je la sens frissonner de plus bel. Je la saisis par le cou et l’attire contre moi, renversant sa tête. Tout en serrant son cou je l’embrasse langoureusement. Amoureusement. D’un amour absolu, possessif, exigeant et animal, mais aussi respectueux, protecteur, symbiotique et sacré. Je replace le bouchon d’oreille déposant un dernier baiser sur ses lèvres et je la laisse là. Je la vois se remettre en position. Ecartant légèrement ses jambes comme je le lui avais ordonné. Dos droit. Bras le long du corps. Tête baissée. Elle est superbe. Elle ignore sans doute combien je l’admire à cet instant : sublime dans son appartenance et sa confiance en moi, en Nous. J’entends la sonnette de notre demeure carillonner et je me dirige vers l’entrée. J’ouvre la porte. Ils sont parfaitement à l’heure. Mes amis et complices Alban et Ousmane. « Bienvenu chers amis » leurs dis-je en les saluant. « Merci d’être venus ». « Merci infiniment à vous pour cet honneur, cher MJM » me lança Alban tout en me prenant dans ses bras. « Oui, nous sommes heureux d’avoir été conviés à ce moment précieux » prolongea Ousmane. Je les avais choisis pour cet instant unique. Pas au hasard. Je connaissais Alban depuis fort longtemps. C’était un homme d’une cinquantaine d’années à la présence rayonnante et écrasante. Il émanait de lui une domination naturelle, ciselée comme un gant de cuir. Homme d’une grande classe, il avait ce calme glacial des hommes de pouvoir : il ne prenait jamais… il réclamait … et le monde s’ouvrait. Tout en lui respirait la maîtrise millimétrée : le pas mesuré, le regard toujours un demi-ton en retrait, les gestes précis. Il traiterait Mia comme un objet rare : avec une froideur élégante, mais une fermeté sans appel. Et je savais, par expérience, qu’il pouvait se transformer aussi en un Loup primal froid et bestial, oubliant toutes les convenances qui le caractérisaient au quotidien. J’avais rencontré Ousmane plus récemment il y a quelques années dans une des soirées entre personnes averties que je fréquentais. Bien plus jeune – il devait avoir une petite trentaine d’années – c’était une jeune Maître noir aux muscles taillés comme une sculpture vivante. Plus jeune, plus chaud, plus direct. Il avait ce feu dans les hanches, ce magnétisme brut, une virilité que Mia ne verrait pas… mais qu’elle ressentirait dès le premier contact. Son sexe, lourd, épais, long, impressionnant même pour moi qui connaissais l’effet qu’il provoquait chez les femmes, serait pour elle un choc. Non visuel, non anticipé. Mais instinctif, viscéral. Une domination par la chair, par l’ancrage, par la densité. S’ils étaient différents et donc complémentaires, ils étaient unis par quelque chose d’essentiel : le respect. Ils savaient que Mia n’était pas un jouet de circonstance, mais une femme offerte par amour. Une soumise forgée, sculptée, guidée par moi. Ils savaient que ce qu’ils allaient faire n’était pas de l’ordre du simple plaisir, mais du rituel, de l’éducation, de la louange par l’usage. Elle, les yeux bandés, ne saurait pas (pas ce soir en tous cas) qui l’aurait prise, qui l’aurait fait trembler, qui l’aurait fait pleurer de jouissance. Mais elle porterait sur sa peau, dans son sexe, dans sa bouche, sur son corps et dans son âme la mémoire exacte de leurs contrastes. Et moi, j’allais bientôt la regarder vivre ce don. Guidée et tenue entre l’élégance de l’expérience et la force sauvage d’un Maître jeune et bien pourvu. Le tout sous ma direction, ma protection, mon ancrage et mon amour. Je les fais entrer dans le salon. Alban me prend le poignet, le regard vissé sur Mia. « Elle ne vous entend pas cher Alban. Elle a des bouchons d’oreille » lui dis-je, pour lui permettre d’exprimer ce que ses yeux me disent déjà. « Oh mon Dieu. Elle est superbe, MJM » me souffla Alban. « Quelle élégance dans sa position  ! » « On comprend mieux pourquoi vous vous faites si rare à nos soirées depuis plus d’un an » renchérit Ousmane dans un sourire. « Merci Messieurs » répondis-je dans un sourire affirmé, fier de voir la convoitise et le désir dans leurs yeux. « Elle est effectivement splendide à tous points de vue ». « Je vous sers un verre ? » continuais-je. « Un petit Dalmore de 35 ans d’âge, cher Alban ? » « Avec plaisir. Vous savez définitivement bien recevoir, cher MJM » me répondit-il tout en gardant les yeux fixés sur la croupe de ma soumise. « La même chose » dit Ousmane. « Installez-vous dans le canapé chers amis. J’arrive avec vos whisky ». Ils prennent place dans le canapé. Ils ne quittent pas Mia des yeux. Pour mon plus grand plaisir. Ma plus grande fierté. Je leurs apporte leurs verres. Sans glace comme il se doit pour déguster ce divin nectar. « Elle est encore plus excitante vue de ce côté » me lâche Alban en portant le verre à ses lèvres, tout en continuant à quasiment dénuder Mia de son regard empli de convoitise. Je souris.  « Mettez-vous à l’aise chers amis. Vous êtes ici chez vous » en leurs tendant leurs verres. « Nous allons bientôt commencer. Je vous ferai signe en temps voulu ». Sur ce, je me dirige vers l’ampli B&O du salon et y place mon smartphone. Les Quatre Saisons de Vivaldi emplissent la pièce. Et je me dirige vers Mia, toujours parfaitement immobile devant la table basse de notre salon. Elle est définitivement magnétique dans cette position d’attente. Je sens mon sexe commencer à gonfler. L’odeur enivrante de « Dévotion » , son parfum, caresse mes narines. Je me déplace elle, juste devant la table basse et je caresse sa joue. Je la vois frémir. Et je lui retire ses bouchons d’oreille. Elle reste silencieuse, mais je vois sa bouche s’ouvrir. Et un léger soupir s’en échapper. Je pose ma main sur son épaule et y applique une légère pression. Instinctivement elle se met à genoux, relevant légèrement sa robe pour pouvoir aisément se mettre en position Nadu. Par ce geste elle dévoile subrepticement le bijou absolument superbe qui orne sa cuisse : trois chaines dorées enserrent sa cuisse, reliées et fermées par une tête de loup … C’était donc cela le cadeau qu’elle voulait me faire … Sublime soumise … Ma petite louve adorée … Enchainée volontaire à son Loup … Dieu que je l’aime … Dieu que je suis fière d’elle .. Je presse de nouveau son épaule et elle comprend : elle place ses mains dans son dos, lève la tête et ouvre largement sa bouche. Offrant son cou. Bombant sa poitrine. Je vois que son corps tremble doucement. Sans doute intimidée par l’instant. Je lui caresse la joue pour la rassurer. Je me déplace et m’accroupis derrière elle. Je dépose un baiser sur son épaule. Elle tremble de plus bel ; laissant échapper un gémissement. Je sens ma queue se raidir de plus en plus dans mon pantalon de lin. Je sors de la poche de ma veste en lin un bâillon O-Ring et le place sur elle. Je la sens se contracter. Faisant des efforts pour accueillir au mieux le bâillon qui ouvre sa bouche de façon indécente. Alban et Ousmane ne perdent pas une miette de ce spectacle. Les yeux rivés sur Mia, ils caressent leur queue déjà gonflée qu’ils ont sortie de leur pantalon.   Je me relève et viens me placer devant ma soumise. Dans un geste volontairement bruyant pour qu’elle puisse anticiper l’instant, j’ouvre la boucle de ma ceinture. Je tire lentement ma ceinture et la fait glisser sur ses cuisses ouvertes. Je la vois tressaillir. Mais elle reste en position. Parfaite. Offerte. La salive monte déjà dans sa bouche. Je défais le bouton de mon pantalon, tire la fermeture éclair et laisse tomber mon pantalon à mes chevilles. Dévoilant mon sexe déjà raide d’excitation. Les notes divines de Vivaldi emplissent doucement la pièce, enveloppant l’instant d’une intensité quasi solennelle. Mia, à genoux, semble en absorber chaque vibration, chaque note, comme si la musique parlait à son corps. Je ressens l’émotion circuler en elle. Ce frémissement infime qui parcourt sa peau. Cette tension délicieuse entre l’appréhension et l’abandon. Je saisis son chignon et guide sa bouche béante vers mon chibre turgescent. Sa bouche s’offre, avide et tendre, accueillant ma présence avec une dévotion silencieuse. Je pénètre ce sanctuaire qu’elle me réserve avec une autorité fluide et assurée. Elle m’engloutit avec un mélange de docilité et de passion, ses lèvres formant un écrin vivant autour de moi. Mon mouvement est d’abord lent et mesuré. Elle salive abondamment. Sa bouche est chaude. Je sens sa langue tourner sur ma queue. Après quelques instants, plus besoin de la guider … elle vient d’elle-même insérer ma queue de sa bouche béante. Elle s’empale littéralement sur elle. L’amenant de plus en plus profondément en elle. Sa gorge s’ouvre à moi. Et je m’y glisse. Progressivement. Comme on entre dans une cathédrale faite de chair et d’extase. Elle a un art confondant de la gorge profonde… Ma queue grossit encore … Des filets de salive coulent de sa bouche … Avant de perdre pied et de lâcher les rênes de la bête qui monte en moi, je tourne la tête vers Alban et Ousmane et leur fait signe que le moment est venu. Ils s’approchent. Lentement. Solennellement. Conscients de la charge émotionnelle du moment, de cet instant sacré. Ils se placent à genoux de part et d’autre d’elle. D’un signe de la tête je confirme mon autorisation. Et ils commencent à la caresser. Au contact de ces mains sur son corps, Mia se fige. Elle a un léger mouvement de recul et laisse échapper ma queue de son fourreau buccal. Elle a compris. Le moment est venu. Ce soir elle est offerte. Je l’ai préparée à cet instant. Lentement. Patiemment. Nous en avons parlé. Nous en avons rêvé. Nous avons écrit cette scène ensemble. Ce soir, je lui offre l’accomplissement d’un abandon ultime : être honorée par d’autres, sous mon regard, sous mon autorité, sous mon amour. C’est une étape importante. Pour elle. Pour Nous. Un palier supplémentaire dans son abandon et dans la découverte de son moi. Je regarde Alban et Ousmane. Respectueux, ils ont déjà retirés leurs mains. Le temps est suspendu. Je laisse le temps nécessaire à ma Merveille Infinie d’Amour d’utiliser son safe word. De décider elle-même si elle souhaite poursuivre ou arrêter là. Mia reprend ma queue en bouche et l’enfonce en elle jusqu’à la garde. Signe sublime de son acceptation de poursuivre cet instant. Je grogne de plaisir. Je la tiens par la nuque. Fermement. Ses mains restent derrière son dos. Elle ne bouge pas. Comme rivée à ma queue. Je sens sa gorge s’adapter dans de gros efforts pour me garder en elle sans suffoquer. Je sens le souffle de sa respiration s’échappant de son nez, un souffle chaud et humide qui caresse les poils de mon pubis. Les mains d’Alban et d’Ousmane ont reprise l’exploration de son corps. Caressant ses seins au travers de sa robe. Courant sur son dos. Palpant ses fesses rebondies. Elle est magnifique dans son offrande. Elle s’offre. Entière. Abandonnée. Elle devient le prolongement de mon désir, une offrande vivante. Malgré sa vulnérabilité, elle rayonne d’un feu profond. Sa confiance me bouleverse. Je la besogne de plus en plus fort. Lui permettant de reprendre sa respiration, avant d’enfoncer de nouveau mon chibre dans sa bouche dégoulinante de salive chaude. Je lui défonce la bouche et la gorge. Prenant possession de ce qui est mien. Je rugis comme un Loup en rut, encouragé par ses propres gémissements et sa respiration saccadée. Après une dernière gorge profonde délicieuse, je me retire. Je la vois chercher ma queue comme une femelle aveugle en manque. Bougeant sa tête en avant de gauche à droite, en espérant la saisir pour l’engloutir de nouveau en elle. Elle est si belle lorsqu’elle a perdu toute pudeur ainsi. Lorsque seul son désir guide son être. Je m’agenouille devant elle. J’écarte sa robe et dévoile ses cuisses. Je reste quelques instants stupéfaits par la beauté et l’élégance du bijou lupin qui orne sa cuisse. Je glisse ma main vers sa chatte. Elle est trempée. Ouverte. « Quelle bonne chienne elle fait ! Quelle putain magnifique ! » me dis-je en moi. Heureux de constater qu’elle profite pleinement de l’instant comme en témoigne son puits d’amour dégoulinant … mais aussi les gémissements qui sortent de sa bouche alors qu’Alban et Ousmane continuent de la caresser … Je glisse deux doigts en elle. Je la pénètre avec une facilité déconcertante tant elle est ouverte. Comme un crochet je referme mes doigts contre sa paroi et la tire vers moi. Fermement. Dans un geste sans équivoque de pleine propriété. Sa tête part en arrière dans un râle rauque. Un râle de chienne soumise. Un cri d’appartenance. Un son de reconnaissance et d’acceptation de propriété envers son Maitre. Je sens sa cyprine recouvrir de plus bel ma main. Elle coule de manière indécente. Toute proche de l’explosion. Je sens qu’un sourire primal barre mon visage. « Elle est prête à être votre objet Messieurs ! » m’exclamais-je en regardant Alban et Ousmane. «  Cet ustensile lubrique m’appartient et vous l’honorerez comme il se doit. Vous avez 30 minutes » continuais-je, sachant que c’était à peu près le temps qu’il restait avant la fin des 4 saisons de Vivaldi. « Quant à toi Mia, relève-toi.  Je vais t’aider à enlever ta robe ». A ces mots je la prends par la main et l’aide à se relever. Alban et Ousmane se relèvent de même, abandonnant pour quelques instants le corps de ma soumise. Mia se tient devant moi. Superbe. Je fais glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules. La robe s’effondre dans un mouvement fluide à ses pieds. Dévoilant toute sa nudité. Elle a choisi de ne rien porter. Ses seins sont gonflés. Ses tétons pointent avec arrogance. Témoignages s’il en fallait d’autres de son état d’excitation. Je remets bien en place son bâillon O-Ring. Sa salive coule encore le long de son cou … pour s’insinuer comme un delta de fleuve sur sa poitrine … Son souffle est court … Elle est sublime d’indécence … Je dépose un doux baiser sur ses lèvres gonflées, recouverte d’un reste de gloss brillant qui les rend presque impudiques en cet instant … Elle essaie de me rendre ce baiser, mais ne le peut à cause du bâillon O-ring. Alors elle sort sa langue et me l’offre dans un abandon plein d’amour et de reconnaissance … Dieu qu’elle est merveilleuse … Alban lui prend la main. Aveuglée par le bandeau de soie qui recouvre encore ses yeux, il la guide avec bienveillance vers l’un des fauteuils de notre salon. « Monte et mets-toi à quatre pattes » lui dis-je fermement. Sentant et reconnaissant le fauteuil à tâtons, je la vois se mettre en position. Dans une démarche docile, mais encore hésitante, elle place ses bras sur les accoudoirs ; pose sa tête sur l’assise du fauteuil ; et cambre son dos pour bien offrir ses fesses, prenant soin de bien écarter ses jambes afin de ne rien cacher de son intimité. Dieu que je suis fier d’elle ! Elle a parfaitement appris à se mettre dans cette position d’une indécence totale ; d’une provocation absolue. Elle offre son intimité à nue. Offrant son cul dans une exposition, que dis-je, dans une exhibition lubrique. Sublime chienne que ma femme ! Je vois son corps trembler quelque peu. Je la connais. J’imagine qu’à cet instant elle oscille encore entre se cacher et se lâcher plus avant. Elle a tellement progressé dans son abandon depuis notre rencontre. Mais elle a encore cette pudeur qui parfois la rattrape. Mais qu’elle combat pour s’offrir chaque jour plus encore. Pour devenir cette Sublime qu’elle veut être à mes côtés. Ma Princesse Putain …  Et là en cet instant elle me rend plus fier que jamais. Si honoré d’être aimé par une telle femme. Si heureux de la posséder. Si béni d’avoir reçu en cadeau sa pleine et totale soumission. Un don d’une valeur inestimable qui fait de moi le plus heureux des hommes. En cet instant sacré je veux qu’elle découvre le plaisir d’être physiquement aimée par d’autres mains que les miennes. Que son corps découvre d’autres sensations. Que sa peau exulte sous les assauts d’autres sexes, d’autres mains. Cela n’enlève rien à notre amour exclusif. A notre lien unique. C’est un partage. Alban s’est positionné sur le coté du fauteuil. Il a retiré son pantalon. Et il bande déjà dur. Sa queue est comparable à la mienne. Plus épaisse cependant. Il saisit son chignon qui est déjà flétri par nos ébats précédents et ne tardera pas à s’effondrer pour laisser s’épanouir sur ses épaules ses superbes cheveux couler ébène. D’un geste plein de domination il positionne sa queue à l’orée de sa bouche. Je la vois l’accueillir avec docilité. Elle passe sa langue sur son chibre tendu. Le goutant. L’enrobant de sa langue rose.  Puis il glisse sa queue dans sa bouche. Avec autorité mais avec douceur pour débuter. Ousmane lui s’est positionné derrière elle. Je le vois contempler son cul. Offert. Impudique. Il caresse ses fesses. Les malaxe. Les pétris. Il écarte ses globes plantureux pour mieux découvrir sa chatte fendue et baveuse … son petit anus palpitant … Il s’est totalement déshabillé. C’est un véritable Dieu d’ébène. Il irradie de puissance. Son sexe, énorme, est tendu à l’extrême. En cette fin de journée d’été, son corps imberbe et musclé luit de toute sa puissance sous la lumière des derniers rayons du soleil qui emplissent notre salon. Superbe contraste avec la blancheur immaculée de la peau frémissante de ma soumise. Pour ma part je fais face à Alban de l’autre coté du fauteuil. Je suis en transe devant tant de beauté, d’abandon et d’abnégation de la part de ma femme, ma merveilleuse soumise. J’observe avec fierté ses seins lourds qui se balancent au rythme des coups de boutoir que lui assène désormais Alban. Je ne peux m’empêcher de les caresser. D’en pincer délicatement les tétons tendus. Je la sens répondre au contact de mes mains. Je ne doute pas qu’elle les reconnait. Elle qui aime tant que je m’occupe de ses mamelles … Elle qui vénère mes mains … Je vois les doigts d’Ousmane caressant sa chatte, faisant des va-et-vient le long de sa fente. De mon autre main je pousse sur le bas du dos de mon amour, pour qu’elle se cambre plus encore et offre une ouverture plus facile encore à Ousmane. Elle réagit immédiatement pointant son cul de manière plus indécente encore .. ; écartant un peu plus ses cuisses … Alors qu’Alban commence à pousser des gémissements de plus en rauques, répondant aux caresses buccales et à la chaleur étroite de sa gorge, j’entends le son caractéristique d’une main giflant avec force les fesses de ma Mia. Le regard de plus en plus fougueux, Ousmane venait de commencer à lui administrer de belles et lourdes fessées. D’abord surprise, je vois qu’elle tend plus fort encore ses fesses, accueillant avec grâce et envie les coups qui pleuvent et commencent à marquer de belles couleurs rose et rouge son fessier majestueux. Relâchant parfois la queue d’Alban pour reprendre son souffle, elle gémit de plus en plus fort. Son corps tremble. D’autant qu’Ousmane accompagne désormais ses fessées d’une pénétration de plus en plus profonde de la chatte de ma soumise de plusieurs des doigts de son autre main. Me décalant légèrement, abandonnant quelques instants ma soumise, je regarde cet indécent mais si beau spectacle. Mia est juste sublime. Alban la tient par les cheveux et la défonce en rythme, lui déformant la bouche et la gorge. Ousmane, quant à lui, lui marque les fesses du martinet rouge qu’il a saisi et que je lui avais tendu en me relevant ; et investit en rythme sa chatte baveuse de quatre de ses doigts, tout prêt de la fister entièrement. Le corps de ma soumise n’est plus que tremblements et gémissements. Utilisée par ses deux hommes, elle s’offre totalement. Allant au-devant de la queue d’Alban, pour mieux ensuite s’empaler sur les doigts d’Ousmane en offrant ses fesses à ses coups de martinet. Sa salive et son nectar nacré coulent en abondance de sa bouche et de chatte.  Une infinie fierté me remplit. Elle m’honore de son total abandon. De sa sublime indécence. Mais surtout je sens qu’elle y prend aussi plaisir. Qu’elle lâche prise. Qu’elle vit le moment avec intensité. Aussi pour elle. Et cela me comble de bonheur. « Putain, elle mouille grave cette salope… Elle aime se faire baiser, se faire prendre. Elle sait faire monter la pression. Je vous félicite, cher Maître, pour votre soumise si parfaite ! » s’exclame soudain Ousmane, le regard plein de remerciement et d’envie.  « Sa bouche de pute est un pur bonheur. J’ai trop envie de la baiser… Belle prise et belle femelle que vous avez là, cher hôte. » renchérit Alban, toujours enfoncé au fonds de la gorge de ma femme. S’adressant du regard à Ousmane, une lueur de convoitise dans la voix il ajoute d’un ton définitivement dominateur : « Échangeons nos places ». Puis il retire sa queue et caresse de sa main la joue de Mia, comme pour la remercier de ce don impudique, du plaisir qu’elle vient de lui donner. Je le vois recueillir la salive qui coule de sa bouche et recouvre son visage et son cou et s’en enduire la main. Comme d’une offrande.  Ousmane quant à lui retire ses doigts maculés de son nectar nacré et les lèche avec délectation, me lançant un regard complice. Quittant chacun leur place, ils laissent quelques instants ma Mia libérée de leurs jougs. Son corps n’est plus que tremblements. Elle luit de transpiration. Elle transpire de désirs et de plaisirs. Elle halète, le souffle court. Mais elle ne quitte pas sa position. Impeccable. Superbe.  Je la regarde. Fier. Bouleversé par sa puissance dans l’abandon. Et terriblement excité par le moment comme en témoigne mon sexe qui est raide à m’en faire mal. Délicieuse douleur… Je reprends ma place à ses côtés, caressant son dos et ses seins, alors qu’Alban et Ousmane prennent leur position. Instinctivement elle tourne sa tête vers moi. Oui ! Bien qu’aveugle avec ce bandeau de soie noir, elle reconnait ces mains. Celles de son Homme, de son Maitre, de son Tout. Son visage est serein. Et elle me sourit. Un sourire franc et total qui illumine son visage. Comme si elle voulait me dire en silence « Merci mon Maître. Merci mon amour ». Comme si elle voulait en silence me dire qu’elle se sentait bien. Offerte, utilisée, insultée mais sereine, heureuse, rayonnante. Fière de me rendre fier. Honorée de m’honorer de son don, de son abandon total. A sa place. Une émotion indescriptible me remplit et je sens un frisson courir le long de ma colonne vertébrale. Alban s’est positionné derrière elle. De ses mains larges et pleines il caresse ses fesses. Je repositionne un peu ma belle chienne pour qu’elle tende un plus son cul de femelle, appuyant doucement sur le bas de ses reins. Ce qu’elle fait dans l’instant. Il se décale légèrement. Et je comprends ce qu’il va faire, vieux vicieux qu’il est … Au même instant j’entends les gémissements d’Ousmane. Il a placé son énorme queue noire devant la bouche de ma femelle et elle lui lèche le gland avec dévotion de sa langue soyeuse … « Putain elle est bonne cette garce … Sa langue est comme ses fesses : un délice. J’ai hâte de goûter sa chatte » souffla-t-il entre deux gémissements, me faisant comprendre qu’il avait hâte de pouvoir l’enfiler … Alban quant à lui avait commencé son manège de pervers expérimenté. Il baisait littéralement ma Mia de ses doigts. Lui introduisant, deux.. puis trois … puis quatre doigts dans la chatte … et accélérant ses va-et-vient de manière exponentielle … Mia se mit à hurler de plaisir. Faisant rouler son cul de manière indécente comme pour mieux engloutir les doigts la fouillant. « Mon bras coule de sa mouille ! C’est une belle salope que vous allez là cher hôte » s’exclame Alban, tout en ne relâchant pas la fouille violente de l’intimité de ma soumise. « Ma soumise serait ravie de la boire » lâche alors Ousmane dans un sourire plein de perversités. Ce qui me fait sourire. Sachant qui est sa soumise. Et sachant qu’elle a aujourd’hui même été aux pieds de ma sublime … Mon esprit vagabonde … Et j’imagine Eva, la soumise officielle d’Ousmane, la bouche collée à la chatte de ma Mia … J’en bande encore plus fort. Et je ne peux me retenir de me branler en regardant ma femme ainsi offerte, hurlant de plaisir sous la main experte d’Alban. Quelle beauté ! Quelle sublime offrande ! Dieu qu’elle est superbe en cet instant ! « Je suis fière de ma soumise et sa dévotion est à la hauteur de nos perversités et de notre amour : incommensurable ! » m’exclamais-je.  « Je vous remercie Messieurs, Elle en veut toujours plus, c’est un sextoy insatiable. Alors donnez et prenez mes amis. » A ces mots, je les vois redoubler de perversités. Ousmane saisit ma Mia par les cheveux et enfonce son énorme bite dans sa bouche. Pendant qu’Alban accélère encore et réussit tout à coup à glisser sa main entière  dans la chatte déformée de ma chienne, provoquant son premier orgasme. Elle gicle comme rarement je l’ai vu gicler. Abondamment. Et elle hurle. Elle crie. Dans un mélange de douleur et de plaisir. Je saisis ses seins de mes deux mains, abandonnant momentanément ma queue. Je les malaxe et les presse comme elle aime. N’oubliant pas ses mamelons que je prends le soin de bien étirer. Elle hurle de plus bel. Et réjouit de plus bel sur et dans la bouche d’Alban qui s’est retiré de sa chatte pour mieux en déguster le nectar nacré qui en coule à foison. Son corps tremble des pieds à la tête. Elle cherche son souffle. Elle aspire l’oxygène goulument. Haletante. Elle est magnifique ! Mais Ousmane ne lui laisse aucun répit. Et il enfonce de nouveau et de plus en plus loin son chibre dans sa gorge. Pendant que je vois Alban lécher sa vulve avec délice dans un geste de gourmandise mais aussi pour apaiser le feu qui couve en elle, montrant une fois encore la profondeur de son expérience et de son respect. Saisissant un objet dans la trousse de nos objets de vices que j’avais pris le soin de déposer sur notre commode,  je laisse courir sur son dos une roue de Wartenberg … Comme à chaque fois, je vois sa peau frémir et se couvrir d’une magnifique chair de poule. Je sais que ce petit instrument l’électrise et la rend folle. Et une fois encore, cela se produit. Pour mon plus grand plaisir. Son corps se tord. Ses seins se gonflent plus encore, au bord de l’explosion. Ses mamelons sont rouges d’excitation tellement ils dardent. Quant à moi, je suis en feu. Je recueille un peu de son jus de chatte pour mieux astiquer ma queue turgescente. Et la contemple avec bonheur : offerte aux assauts d’Ousmane et coulant dans la bouche d’Alban qui lui-même n’a pu s’empêcher de commencer à se branler avec insistance. Je le vois se redresser. Enfiler un préservatif sur sa queue raide de désir. Il me regarde. Je lui fais un signe d’acquiescement de la tête. Il saisit les haches de Mia, la positionnant parfaitement. Elle se laisse guider avec une docilité qui m’émeut. Et qui m’excite plus encore. Prenant sa queue en mains, il la guide à l’entrée de la vulve de ma femme. Et dans un mouvement puissant et ample, il s’enfonce en elle jusqu’à la garde. D’un coup. Provoquant un nouvel hurlement chez ma Mia s’échappant de l’emprise d’Ousmane. Il se met à la pilonner. Il la défonce comme un vulgaire fucktoy. Il claque ses fesses au rythme de ses coups de reins. Ma femme n’est plus que gémissements, hurlements, tremblements. Ousmane s’est retiré de sa gorge pour la laisser respirer. Il lui caresse le visage d’une main, se branlant de l’autre. Spectacle absolument brûlant. Quasi infernal d’indécence. Définitivement pervers, je ne peux alors m’empêcher de pousser l’expérience encore plus loin. Je me glisse entre les jambes d’Alban. Je vois son sexe entrer et sortir de la chatte baveuse de ma belle chienne. Je sens ma queue se raidir encore plus fort à cette vue. Lentement je viens positionner le Wand que je tiens à la main sur son clitoris, un sourire plein de perversions aux lèvres. Je vis le corps de ma merveille infinie d’amour se contracter. Je l’entendis pousser un cri. Et je sentis son nectar nacré couvrir mon visage … Elle n’avait pas résisté. Jouissant pour la troisième fois sous l’effet conjugué des coups de boutoir d’Alban dans sa chatte et des vibrations du Wand sur son bouton d’amour. Je vis son corps s’effondrer sur le fauteuil au-dessus de moi. Vaincue par le plaisir. Son corps tressaillant de tremblements par intermittence. J’entendais son souffle saccadé. Interrompu de petits pleurs. Alban se retire, se défaisant de son préservatif. Je me relève. Ousmane est venu nous rejoindre. Je vois dans leurs yeux le plaisir qu’ils ont pris. Et la reconnaissance d’avoir pu être ceux qui ont eu l’honneur de « déflorer » ma Mia : lui faisant pour la première fois découvrir le bonheur d’être offerte et utilisée par plusieurs hommes sous le contrôle et la protection de son Maitre. Pour clore en beauté cet instant de pur partage, d’osmose solennelle, de quasi communion ils se branlent avec énergie. Et l’un après l’autre ils déposent en offrande leur semence sur le cul rebondi de ma sublime soumise. Comme une bénédiction. Pour ma part, je ne veux pas encore jouir. Je garde ma semence pour la suite. Pour un instant plus solennel encore. Un instant qui nous appartient. Mais là à l’instant, devant ce magnifique spectacle, je suis rempli de fierté. Et ému comme jamais je ne l’ai été auparavant dans ma vie sentimentale. Ousmane et Alban vont s’asseoir de nouveau dans le canapé. Encore haletant. Leurs corps luisant de sueur. Ils saisissent les lingettes humides mises à leur disposition sur la table basse pour essuyer leurs queues. Et se rafraichir. Ils se servent un verre d’eau. Quant à moi, après avoir saisi un verre d’eau et quelques lingettes humides, je vais couper la musique et je m’approche de ma femme. De ma Sublime. Elle n’a pas bougé. Elle tremble encore. Elle est belle à en mourir.  Je m’agenouille devant le fauteuil. Je dépose le verre d’eau au sol. Et avec les lingettes humides je commence à laver ses fesses et son dos des souillures sacrées que mes amis Maitres ont déposé en offrande sur son corps. Je lave aussi son visage, son cou et ses seins couverts de sa salive. Je passe aussi entre ses cuisses immaculées de son jus intime. Je la sens frémir. Elle pleure encore. Doucement. Par intermittence. Une fois lavée, je la prends dans mes bras. Je baise son front et ses mains avec infiniment d’amour. Je l’aide à se redresser et s’asseoir dans le fauteuil. Le sol et les bords du fauteuil sont couverts de son nectar nacré. Le dossier est trempé de sa salive. En moi je me dis que désormais ce fauteuil sera pour nous un lieu sacré. Et je souris. Je lui retire son baillon O-Ring. Et je l’embrasse avec infiniment d’amour. Je sens sa langue se coller à la mienne dans une passion mutuelle. Interrompant ce baiser, je lui mets en main le verre d'eau. Je la laisse boire tranquillement. Elle me tend le verre vide. Je le dépose au sol et je l’embrasse dans le cou et lui susurre à l’oreille : « Tout va bien ma Mia ?  Tu me rends si fier et si heureux…. «  Je sens ses bras s’attacher à mon cou et me serrer fort contre elle. « Oui mon Maître ! Et je vous remercie de m’utiliser. » me répond-elle dans un souffle. Je me recule un peu et la regarde. Elle me sourit. Elle est définitivement la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie sentimentale. Et je me sens béni des dieux.   (A suivre)   Illustration : Dessin d'Erenisch
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Par : le 13/07/25
Tina à toujours envie de baiser. Soumise et nympho. Et encore le mot nympho est insuffisant pour décrire ce volcan qu'elle a entre les jambes. Son Dom n'aime pas cela du tout. Il a acheté une belle ceinture de chasteté acier et depuis Tina doit la porter. Elle doit demander à son dom pour aller aux toilettes. Au début Tina a souffert le martyr avec cette ceinture. Impossible de baiser. Elle a vraiment souffert. Elle a supplié son dom. Tout ce qu'elle a reçu en retour ce sont de dures séances de cravache pour essayer de la calmer.  Au bout d'un mois, Tina, complètement sevrée de penetration s'est  calmée. Son Dom pensait que son traitement était efficace. Erreur. Tina avait juste compris comment se branler avec sa ceinture de chasteté acier. Cette nympho n'a pas arrêté de le faire en cachette et de retrouver un large sourire. En roublarde, elle a su donner le change. Sauf que , un jour son Dom la surprend en train de se branler le clito avec la cage de chasteté pourtant bien serrée. Il y a toujours un peu de jeu. Tina avait compris comment frotter son clito si sensible. Elle prenait même son pied. Son Dom n'a pas apprécié.  Mais comment la punir? Oui, imaginez vous à la place du Dom, que feriez vous? Des orgasmes sans permission...quelles corrections imposer?  L'excision du clitoris, la couture des petites lèvres, une horreur absolue. Non, ce Dom aime trop sa soumise. Il lui vient l'idée d'essayer l'amour tantrique. Tina est une surdouée des orgasmes,  pourquoi pas. L'obliger à jouir sans se toucher du tout. Il décide de lui enlever sa ceinture de chasteté et de la remplacer par une robe longue sans rien dessous. Tina adore ce nouveau jeu. Tout est un jeu pour elle. Les surdoués aiment jouer, c'est bien connu. Très vite, elle comprend, maîtrise et y arrive. Des orgasmes avec le premier organe sexuel, le cerveau. Elle écoute son Dom, médite en silence et jouit très fort. Finalement cela a amusé son Dom et il la baise fort après. Tina adore l'amour tantrique de cette façon.  Jouir par le cerveau d'abord et par la chatte ou l'anus après.   
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Par : le 13/07/25
Isabelle adore les bals du 14 juillet. Elle y va pour se taper des mecs. Elle ne met jamais de culotte sous sa mini raz la moule. Mais attention, c'est elle qui drague. Inutile de la désirer  c'est elle qui décide.  Isa, ce qu'elle préfère,  c'est se taper les garçons à problèmes, ceux qui restent sur les bords, ceux qui n'ont pas de nanas et qui se branlent en solitaires. Ils sont faciles à débusquer,  ce sont les garçons qui restent sur les bords, n'osent pas aborder les filles, rougissent des qu'une fille les regarde trop. Isabelle adore les draguer et les coincer dans un coin pour les baiser. Elle adore lorsqu'elle tombe sur un puceau, coincé de partout. Le bal est là, avec tous ces flons flons. Isa est splendide avec sa mini noire moulante. On voit de suite qu'elle n'a rien dessous. Ses seins fermes pointent comme des obus. Elle est éblouissante. Une bombe sexuelle.  Les mâles alpha veulent tous se la taper mais son plaisir c'est de les envoyer balader. Non, elle a horreur de se faire draguer.  C'est elle la femelle dominante et elle sait chasser. Elle a repéré Pierre,  seul dans son coin, qui regarde les autres danser et boit une pâle menthe à l'eau. La chasseuse l'observe. Elle le renifle. Un puceau.  Elle s'assoit à sa table et regarde Pierre droit dans les yeux.  -tu ne m'offres pas un verre ?  -Si, si Madame, avec plaisir. Que voulez vous boire ?  - tes levres, viens allons marcher un peu.  Et elle prend Pierre par la main. Elle le sent trembler et hésiter.   Cela l'excite. Elle coince Pierre contre un mur et lui roule une pelle. Le garçon est tétanisé. Il ne peut pas fuir. Isabelle le tient bien. Sa langue est douce. Progressivement Pierre se détend et prend du plaisir à ce baiser impetueux. Isabelle ouvre sa braguette et sort sa queue bien en erection. Elle la caresse. Pierre ejacule aussitôt. Un précoce qui ne sait pas résister. Isa aime cela. Elle goûté son sperme et embrasse le garçon qui bande encore. Elle s'embroche sur lui d'un coup. Et Pierre ejacule encore. Sa bite reste dure. Isa en profite pour bien se taper le garçon, debout contre le mur. Et Pierre se laisse faire. C'est la première fois qu'il fait l'amour et il trouve cela divin. Il bande encore plus fort, ejacule, se vide encore et encore. A présent il suce les seins somptueux d'Isa  mordille ses tetons. Et il continue ses va et viens dans la chatte en feu d'Isa. Il lâche un dois de plus son foutre. Il est vide cette fois,  rincé pour de bon. Son sexe se ramollit et pend entre ses cuisses. Isa le retourne, lui caresse les fesses puis lui flanque une série de frappes précises. Les fesses de Pierre sont vite rouges. Il n'ose rien dire. C'est charmant.  Isa est cruelle. Elle le laisse là   pantalon baissé,  cul rouge, tourne contre le mur, couilles vidées. Elle lui dit de rester comme cela et Pierre obéit. Elle est déjà repartie en chasse pour se débusquer un autre garçon à problèmes avec les filles.  Un beau 14 juillet !
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Par : le 13/07/25
Le consentement entre adultes éclairés : une boussole dans les pratiques BDSM et alternatives 1. Définition du consentement éclairé : plus qu’un simple « oui » Le consentement éclairé entre adultes ne se résume pas à une approbation verbale. Il s’agit d’un accord pleinement conscient, volontaire et informé, donné par une personne capable de le faire, sans pression, manipulation ou altération de ses capacités (alcool, drogues, état émotionnel instable, etc.). ⚠️ Le consentement éclairé implique une connaissance précise des actes envisagés, des risques potentiels, des limites personnelles et des dynamiques relationnelles dans lesquelles ces actes prennent place. Dans le cadre du BDSM, des pratiques dites extrêmes ou marginales peuvent être explorées sans danger réel parce qu’elles sont encadrées par cette boussole éthique du consentement, où chaque geste est anticipé, encadré, accepté et réversible. 2. La question de la capacité à consentir Un consentement n’a de valeur que s’il est donné par une personne capable de le formuler librement. Cela suppose : Une maturité intellectuelle et émotionnelle (âge légal, santé mentale stable…) L’absence de pressions psychologiques ou affectives (chantage émotionnel, rapport d’autorité flou…) L’absence d’altération de la conscience (prise d’alcool ou de drogues, dissociation, état de choc…) ⚠️ Même dans une relation existante ou de confiance, toute scène ou jeu doit être précédé d’un échange clair et d’un état de présence lucide des deux parties. Sinon, il ne peut y avoir de consentement valable. 3. Le rôle du fantasme dans le jeu… et sa distance d’avec la réalité Beaucoup de pratiques BDSM se fondent sur des scénarios impliquant des dynamiques interdites dans la réalité : viol (rape play), inceste simulé (age play), esclavage sexuel, humiliation, torture, privation… 🎭 Ces jeux ne sont ni une transgression réelle ni une acceptation des violences sociales, mais une mise en scène négociée, ritualisée, temporaire et réversible. Ce qui est tabou dans la société peut être mis en jeu dans un cadre clair, sain, et voulu par toutes les parties. ⚠️ Il est essentiel de ne jamais confondre la mise en scène avec la réalité : dans la vraie vie, aucune forme de contrainte, d’humiliation publique ou de possession ne saurait être tolérée hors cadre consensuel, explicite et sécurisé. 4. L’aftercare : réparer, rassurer, honorer Après une scène intense, le corps, le mental et le cœur (au sens émotionnel) peuvent être vulnérables. Le moment qui suit est crucial. L’aftercare est cet espace de soin mutuel, de retour à soi, de recentrage. Il peut inclure : Des câlins ou une présence calme Un plaid, de l’eau, du sucre Des mots rassurants Une écoute silencieuse ou bienveillante Un débriefing si désiré 💡 Le drop est une chute hormonale ou émotionnelle qui peut survenir quelques heures ou jours après une séance. Elle touche aussi bien le/la soumis·e que le/la Dom, et doit être anticipée sans honte. 5. Confidentialité et confiance Beaucoup de pratiques BDSM impliquent une grande vulnérabilité : nudité, aveuglement, exposition de fantasmes profonds, voire honteux… La confidentialité est une condition de confiance non négociable. Cela inclut : Ne rien révéler des scènes à des tiers sans accord Ne pas enregistrer, filmer ou prendre de photos sans consentement Ne pas « out-er » une personne dans un autre contexte (travail, famille, etc.) 🔐 Ce qui se joue dans le cadre D/s ou BDSM reste dans un sanctuaire de respect, même lorsque la relation se termine. 6. Jeux extrêmes : ce que la société interdit, ce que le consentement permet Le BDSM explore des zones limites, parfois sombres. Voici quelques exemples de pratiques tolérées dans le cadre du consentement éclairé, mais absolument interdites et condamnables hors de ce cadre : CNC (Consensual Non-Consent, ou simulation de viol) Age Play (jeu de rôle avec des dynamiques d’âge fictives) Esclavagisme sexuel ou possession Humiliation verbale ou physique Jeu de rôle de kidnapping ou de torture Breath Play (jeu autour de la privation d’air, très risqué) Jeu avec le sang, les aiguilles, les scarifications ou les mutilations légères Livrer son/sa soumis·e à d’autres partenaires choisis (avec consentement explicite) Jeux d’exposition, de nudité forcée en lieu privé ou codifié Bondage, Shibari, encordement long, privation sensorielle ⚠️ Ces pratiques doivent toujours être précédées d’une discussion rigoureuse, d’un accord explicite, de mots de sécurité, et ne jamais être pratiquées sous substances. 7. Protection physique et MST Le consentement ne vaut que dans un contexte sécurisé, ce qui inclut la santé physique. Toute pratique impliquant contact sexuel, sang ou fluides doit être accompagnée de protection stricte : Préservatifs (pénétrations, fellations, sex toys) Gants (fist, jeu médical) Hygiène des objets partagés 💡 Un test régulier (MST/IST) est un acte de soin mutuel, pas une marque de méfiance. C’est une forme d’amour responsable. 8. Le consentement dans la durée : dynamique et renouvelable Dans les dynamiques longues, de type D/s, 24/7 ou en lien d’engagement, il peut exister un consentement ritualisé ou étendu, mais celui-ci : N’est jamais acquis pour toujours Doit être régulièrement questionné et réaffirmé Peut être reconfiguré, arrêté, ou suspendu à tout moment Même dans un contrat D/s, la personne soumise garde son droit fondamental à dire non ou à tout remettre en question, même après des mois de pratique. 🧭 Le pouvoir donné reste une délégation, pas un abandon. 9. Éducation, communauté, et progression Personne ne devient un·e bon·ne dominant·e ou soumis·e du jour au lendemain. Il est essentiel : De lire, s’informer, participer à des ateliers, des munchs (rencontres sans jeu) De poser des questions, écouter les récits de pairs De progresser dans une communauté bienveillante 💡 L’ignorance mène aux abus. La curiosité, l’écoute, l’humilité font partie de la posture BDSM. 10. En résumé : le contrat d’un jeu librement consenti Le BDSM, et les pratiques sexuelles alternatives en général, peuvent être libératrices, puissantes, transformatrices. Mais elles le sont à condition de toujours reposer sur les piliers suivants : Consentement libre, éclairé, explicite et réversible Dialogue et ajustement constants Protection et hygiène Confidentialité absolue Soin avant, pendant, après Et surtout, la conscience que tout cela est un jeu. Un jeu parfois intense, profond, dérangeant… mais un jeu tout de même, que l’on joue ensemble, et non l’un contre l’autre. 🔑 Le pouvoir partagé, dans le BDSM, n’est pas celui de posséder l’autre. C’est celui d’oser être pleinement soi, dans un cadre sécurisé, avec une personne qui en accepte les contours, les limites, et les intensités.  
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Par : le 12/07/25
Le soleil caressait chaque parcelle de ma peau nue. Étendue sur le sable fin, sur une grande serviette en lin blanc, j’étais là, offerte au ciel, à la mer… et à Lui. C’était ma toute première fois sur une plage naturiste. Qui plus est au Cap d’Agde. Si on m’avait il y a quelques bannées qu’un jour je serais ici. Nue. Avec un homme à qui je serai fière d’être soumise, mon Maitre … J’aurais éclaté de rire ; tellement cela m’aurait semblé si loin de ce que j’étais alors. Et pourtant, j’étais bien là. Et heureuse d’y être. Moi si prude auparavant, je n’éprouvais finalement que bien peu de gêne.  Juste une conscience aiguë de mon corps. Non pas comme un objet regardé, mais comme un territoire assumé, revendiqué, aimé. J’étais à Lui. L’air salin venait danser sur ma peau échauffée. À chaque rafale légère, je frissonnais. Pas de honte. Juste ce frisson délicat, celui de la liberté nue ; ma liberté. Ma poitrine se soulevait lentement. Mes jambes, ouvertes juste ce qu’il fallait, laissaient voir ce tatouage encore jeune qui ornait désormais le haut de mon sexe : un loup… et son nom … Mon loup. Son Sceau. Notre Pacte. Il s’approcha lentement. Mon Maître. Mon homme. Il était allé nous chercher à boire. Et je sentis, avant même qu’il me touche, la fraîcheur de l’ombre qu’il projetait sur moi. Il s’accroupit. M’embrassa tendrement. Il me tendit une bouteille d’eau gazeuse délicieusement fraiche. Je le vis saisir dans ses mains le flacon d’huile solaire. Sans un mot, il versa un filet d’huile dans sa paume. J’humais avec plaisir la délicieuse et si caractéristique odeur de fleur de tiaré et à d’amande douce. Et il commença à l’étaler sur mes jambes. Doucement. Précisément. Ses gestes étaient ceux d’un peintre amoureux de sa toile. Il remonta vers mes cuisses, puis mes hanches. Et, arrivé à mon bas-ventre, il ralentit. Il s’arrêta un instant sur le tatouage. Ses doigts s’y posèrent à peine au début. Ils glissèrent autour du dessin, effleurant chaque ligne d’encre avec un soin révérencieux. Et là, les yeux fermés, le souvenir me saisit. Je revis, comme projetée hors du temps, cette soirée lumineuse, il y a quelques semaines à peine. Lorsque j’avais franchis la porte de notre demeure. Lui déjà là, attentif, prêt. La table dressée sur notre terrasse. Le champagne frais. Du Ruinart rosé, mon préféré. Vivaldi en fond sonore. Et ce regard… son regard. Quand il me vit. Quand il s’approcha de moi. Quand il me félicita pour ma tenue, pour mes ongles vert forêt. Et puis… ce moment sacré. « Montre-le-moi », avait-il murmuré. Je me souvins de mes doigts relevant lentement ma robe. De ma maladresse à retirer lentement le pansement pour découvrir le don tatoué qu’il m’avait fait. Du frisson qui m’avait saisie. De la lumière dorée du soir tombant sur ma peau. De son souffle chaud contre l’encre fraîche. De ce baiser d’amour profond qu’il avait déposé sur le tatouage comme on s’incline devant un autel. De mon sexe instamment trempé, comme une offrande évidente à celui à qui j’appartenais corps et âme. « Tu es mienne. Plus que jamais. » m’avait-il susurré … Et je m’étais sentie divinement bien. Comblée. Plus heureuse que jamais d’être là où j’étais. Dans ses mains. Librement attachée. Pleinement soumise. Possédée. Aimée. Je rouvris les yeux. Le présent revint lentement à moi. Il était là. Penché sur mon bas-ventre. Il venait de finir de me masser le reste du corps. Il était revenu sur mon tatouage. Le massant plus encore de cette huile protectrice, sachant cette zone plus sensible au soleil car récemment meurtrie. Il le regardait avec admiration et possession. Silencieux. Et son regard me réchauffa, plus encore que le soleil. Je posai ma main sur la sienne. Et dans ce simple contact, je lui disais tout. Que j’étais bien. Que j’étais heureuse. Que je me sentais libre. Belle. Aimée. Nue, oui, mais vêtue de sa marque, protégée par elle. Il vint s’agenouiller entre mes jambes, ses mains encore luisantes de l’huile qu’il venait d’étendre avec une lenteur divine sur mon corps. Le soleil, haut dans le ciel en ce début d’après-midi, tapait fort. Mais c’était autre chose qui brûlait en moi. Une chaleur plus profonde, qui prenait naissance quelque part entre mon ventre et mon esprit. Un chaleur qui irradiait lentement mais de manière irréversible, comme une marée invisible. Son regard remonta vers le mien. Il me sourit. Avec ce regard qui me fait fondre. Je le vis s’incliner. Lentement. Et mon souffle se suspendit. Le premier contact fut comme un frisson né d’un rêve. Sa bouche effleura l’intérieur de ma cuisse, si près de ma fleur qu’elle en trembla, sans encore oser s’ouvrir tout à fait. Puis, comme un peintre caressant sa toile, il laissa sa langue glisser. Une seule fois. Doucement. Mais cette caresse-là… elle me traversa comme une onde de choc … Tout mon corps s’anima. Mes reins s’enfoncèrent légèrement dans la serviette. Mes bras se tendirent de chaque côté, cherchant un point d’ancrage. Le monde autour de moi devint flou. Seuls restaient la chaleur du sable, le sel de l’air… et Lui. Je sentais sa respiration contre ma peau. Je sentais sa langue dessiner sur moi des cercles, des spirales. En ce moment, il ne me dévorait pas comme j’aime parfois qu’il le fasse, lorsqu’il laisse parler le même Alpha en lui … Non, il m’explorait. Il m’adorait. Il me lisait. Et moi… je m’offrais totalement. Je m’ouvrais. J’étais nue. Physiquement, bien sûr. Mais plus encore j’étais nue émotionnellement. Spirituellement. Offerte. Exposée.  Non dans la honte et l’indécence ; mais dans une vérité essentielle. Il m’embrassait là où personne n’avait jamais posé de regard avec autant d’amour brut. Il faisait de ma chair un autel. Il me priait. Il me vénérait. Là, sur cette plage naturiste, dans cet espace où nos corps s’exposaient aux éléments comme aux regards d’autres personnes, je ne ressentais aucune peur, aucune honte, aucune pudeur. Au contraire. L’idée même que d’autres puissent deviner, sentir, même voir peut-être, ce qu’il me faisait… me rendait plus vivante encore. Plus audacieuse. Plus vraie. Ma respiration s’emballait. Mon ventre ondulait. Mon bassin s’offrait, se cambrait, cherchant plus encore. Mon sexe, gorgé de chaleur et d’onde, vibrait sous ses baisers et ses coups de langue. Et quand il enveloppa mon bouton de plaisir de ses lèvres, puis qu’il y souffla, lentement, comme on murmure un brulant secret, je crus m’évanouir. J’étais ouverte. Je me sentais belle. Aimée. Profondément aimée. Aimée par une langue, oui. Mais surtout avec un cœur. Avec une âme. J’étais certes sa chienne lubrique, sa putain magnifique, sa salope dévergondée, son objet sexuel  … mais j’étais avant tout sa Princesse vénérée, sa Sublime adorée. Et quand mes cuisses tremblèrent … Quand mes gémissements surpassèrent le son du ressac lointain. Quand mes larmes perlèrent sur mes joues … il posa simplement sa main sur mon ventre. Pour me contenir. Pour me canaliser. Et dans cette inoubliable journée d’été, entre ciel et mer, je jouis. Longuement. Profondément. En Lui. Pour Lui. Par Lui. Je profitais quelques instants du bonheur et de la plénitude de cet orgasme. Lorsque j’ouvris les yeux il était là. Debout. Magnifique. Il me regardait avec ce calme souverain que j’aimais tant. Ses lèvres brillaient encore de moi. Son regard portait l’ombre douce d’un feu apaisé mais que je savais toujours prêt à renaître. Je me redressai à mon tour, m’agenouillant sur la serviette encore tiède. Mon corps nu frémissait sous la légère brise. Je levai les yeux vers lui. J’avais envie de lui rendre tout ce qu’il venait de m’offrir. Il le sentit et s’approcha de moi. Mes mains effleurèrent son bassin, ses hanches. J’y déposai un baiser. Puis un autre, plus bas. Je le regardai un instant, mes lèvres juste là, au bord. Nos regards s’accrochèrent. Il me caressa doucement la joue. Et j’ouvris la bouche. Ce fut comme une offrande inversée. Ma bouche devint temple. Mes lèvres, écrin. Je le pris en moi avec une lenteur absolue, m’imprégnant de chaque pulsation, de chaque frémissement. Il s’ancrait en moi, pas seulement dans la chair, mais dans l’âme. Mon rythme était celui de la mer : ondulant, profond, inlassable. Je sentais ses mains sur mes cheveux. Ses doigts glissaient jusqu’à ma nuque. Il ne guidait pas comme j’adore qu’il le fasse lorsqu’il m’utilise. Non là, il accompagnait. Il recevait. Et je donnais. Chaque mouvement de ma langue, chaque pression de mes lèvres était un mot silencieux. Un « merci ». Un « je t’aime ». Un « je suis à toi ». Il soupira, doucement. Puis plus fort. Je sentis son bassin frémir, puis se retenir. Comme toujours, il savait attendre. Me laisser le temps. Me laisser le choix. Et moi, à genoux sur le sable, le sexe de mon Maître dans ma bouche, je ne me sentais ni indécente, ni soumise à cet instant. J’étais entière. Vivante. Reliée. Et dans le creux de ma gorge, il y avait plus que son désir et sa domination totale sur moi : il y avait son amour. J’interrompis mon hommage à sa virilité et me redressai lentement. Je me tins face à lui. Mon regard accrocha le sien. Il n’y avait pas de mot. Aucun n’aurait été à la hauteur de ce que je ressentais. Je le voulais en moi. Entièrement. Là. Maintenant. Je posai mes mains sur son torse.  Je le poussai avec douceur vers l’arrière, jusqu’à ce qu’il s’assoie sur la serviette. Il s’allongea légèrement, appuyé sur ses coudes. Il écarta légèrement ses jambes. Sa virilité dressée, tendue vers moi, comme une promesse. Je m’agenouillai au-dessus de lui. Et dans ce geste si simple, si cru, si sacré, je le guidai en moi. Lentement. Très lentement. Jusqu’à ce que je sente cette brûlure douce, cette plénitude profonde. Jusqu’à ce que je sois entièrement empalée sur lui. Un gémissement m’échappa. Je ressentis cette tension délicieuse, ce mélange de soulagement et d’ivresse qui me prenait toujours quand il entrait en moi. Mais ici… ici c’était différent. Je faisais l’amour à mon Maître. En plein jour. En pleine nature. Mon sexe, mon plaisir, ma voix, tous exposés à l’air libre, au regard potentiel d’inconnus. Pour la toute première fois. Ce n’était pas du voyeurisme. Ce n’était pas un acte de provocation. C’était comme un tabou brisé. Un saut. Une offrande plus vaste. Comme si ce moment me lavait du reste du monde. Je me mis à onduler lentement. Mes mains posées sur son ventre. Mon bassin épousant ses mouvements à lui. Il ne me guidait pas. Il me regardait. Intensément. Comme s’il voulait imprimer chaque battement de mes hanches dans sa mémoire. Son regard ne quittait pas mon visage. Chaque va-et-vient réveillait en moi un cri contenu. Mon sexe, déjà gorgé de lui, s’ouvrait encore. Je sentais chaque veine de son membre souverain pulser en moi. Je le sentais partout. Contre mes parois, dans mes reins, jusque dans ma gorge … Mes seins gonflaient de plus en plus. Mes tétons me faisaient mal tant il étaient tendus. Ma poitrine fière et arrogante s’agitait doucement à chacun de mes mouvements. Il posa ses mains dessus. Les caressa. Les saisit. Les malaxa comme j’aime.  Il gémissait de plaisir et d’envie. Et moi… je me sentais Reine. Louve. Femme. Libre et totalement sienne, à la fois. Je commençai à accélérer, m’empalant chaque fois plus loin. Ma peau luisait de transpiration et de plaisir. Mon clitoris venait frotter contre sa base, et je savais que je n’en aurais plus pour longtemps à ce rythme. Mon souffle se coupa. Mes jambes tremblaient. Mes mains cherchèrent ses épaules. Je m’agrippai. Il comprit. Il se redressa brusquement, me tenant fermement par les hanches. Et d’un mouvement profond, il me força à rester empalée sur sa queue. Il m’embrassa. Fort. Viscéralement. Et dans cette étreinte, je me brisai. Littéralement. Mon orgasme me déchira. Il jaillit sans prévenir. Vaste. Sauvage. Je haletais. Je gémissais. J’avais l’impression physique de tomber. Mais il me tenait. Il me retenait. Et moi, j’inondai de mon nectar nos corps mêlés. Il ne mit pas longtemps à me suivre. Il me plaqua contre lui, enfoncé jusqu’au plus profond de mon sexe, le fourreau de sa queue sacrée. Il se lança dans des va-et-vient de plus en plus rapides, me défonçant avec ardeur. Son cri fut plus rauque, plus contenu. Mais je le sentis. Son corps se tendit. Et je le reçus. Entièrement. Comme une réponse. Comme une bénédiction. Il me sanctifiait de sa semence chaude et abondante … Nous restâmes là, en silence. Nus. Entrelacés au cœur du monde. La mer devant. Le ciel au-dessus. Et le sable chaud sous nous. Je sentais son nectar couler entre mes cuisses … Pour la première fois, j’avais fait l’amour en pleine lumière. En public. Exposée. Offerte. Et je n’avais jamais été aussi vivante qu’à cet instant.   Illustration : Image du Net libre d'accès
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