La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 2 heure(s)
Je suis dominante, et pourtant j'aime jouer à tester les limites de mon soumis. J'aime le taquiner, le provoquer. Je suis capricieuse et rebelle, à la fois rebelle et effrontée, et je l'assume. J'ai besoin d'action sinon je m’éteins. Je ne me contente pas d'un simple oui ou d'accord. J'ai besoin de vivre passionnément en profondeur. On parle très souvent des soumis(es) mais je n'ai pas trouvé (ou mal cherché, je m'en excuse) de topic sur le sujet. J'aimerais avoir des avis sur le sujet, car je me sens pour le coup un peu seule en défilant le mur, chaque jour. Je me découvre au fur et à mesure du temps qui s'écoule, et toujours la même réponse, je me sens différente d'une dominante ordinaire (si ordinaire il y a). J'ai vue une vidéo sur les brat dominant(es) mais je ne trouve pas de témoignage. Peur d'avouer ou suis-je à part ? Je suis un volcan qui naît. Ma lave s'écoule et prend feu. Je dois ordonner mes envies naissantes, mais tellement naissent avec mon Soumis et qui j'en suis fière, m'accueille dans ces flammes qui me brûlent, bienveillant. Je mets un S majuscule volontairement, car il est le pourquoi de cette flamme qui explose, il me rend tellement puissante et libre d'être enfin moi même (pour tout comprendre il faut lire mon premier chapitre). Je ne vois malheureusement pas de sujet parlant de domination qui naît, explose, s'éveille. Que des sujets sur les soumis qui se découvrent (et j'en suis heureuse pour elles, eux). Pourrions nous une fois sans critique, en bienveillance parler de ce sujet, qui je suis certaine a effleuré certain(es) qui n'osent, parler du sujet. Le post est ouvert, avec bienveillance merci.  
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Par : le Il y a 7 heure(s)
B. Premiers pas de soumis. Partie 2 « Bon, il a assez macéré, j’y retourne ! » dit Sabine. Vanessa préfère rester dans la pièce prétextant que Sabine s’en sortait très bien sans son aide et Martin retourne s’asseoir sur le canapé. Jean entend le pas cadencé de Sabine s’approcher de lui. Mais est-ce vraiment elle ? Si oui, que va t’elle inventer ? Avec quels jeux pervers elle va le tourmenter ? Il est surpris de constater que le simple fait de se poser la question fait monter en lui le désir à un tel point que cela lui procure du plaisir et est impatient de connaitre la suite. Par contre, contrairement à tout à l’heure, il ne perçoit aucun autre bruit. S’il y avait des spectateurs ils ont peut-être été déçus et sont partis. Ses interrogations sont interrompues car il sent qu’on décroche ses mains tout en lui laissant les menottes, pareillement pour les chevilles et, enfin, sa taille est libérée ce qui lui permet de respirer plus facilement. Jean ne bouge pas. Privé de toute vision il n’ose pas faire le moindre mouvement et attend qu’on le guide. Maintenant il est certain que c’est Sabine car il a reconnu son parfum. Sabine observe ce corps ruisselant de bave, elle décide de lui laisser le bâillon boule pour l’instant et, toujours sans prononcer le moindre mot, elle attrape la laisse et tire dessus pour le faire avancer. Jean parait moins tendu, elle constate qu’il la suit avec plus de facilité. Apparemment, ce moment où elle l’a laissé seul dans une position sans équivoque, lui permettant de faire face à sa condition de soumis a porté ses fruits. Elle l’amène jusqu’à un carcan sur pied, lui enlève le collier et se dirige vers le meuble où sont rangés tous les accessoires classés par catégories. C’est un meuble de couleur Chêne foncé qui fait penser aux vaisseliers d’antan. Sur la partie haute sont accrochés les fouets, martinets, cravaches, paddles, cordes et chaînes. Juste au-dessous une étagère présente des godemichets de différentes formes et tailles et encore au-dessous il y a celle des plugs. Le plateau permet  de préparer des objets ou de les déposer après utilisation et avant leur rangement. Le bas est divisé en trois parties. À droite une rangée de tiroirs dans lesquels on trouve des petits accessoires, au milieu une porte s’ouvre sur le matériel d’électro stimulation et à gauche il y a deux tiroirs dans lesquels sont fixés des sac poubelle. Le tiroir du haut pour mettre le matériel à nettoyer ou stériliser et celui du bas pour les déchets à jeter. Sabine ne voulait pas que des choses répugnantes trainent n’importe où, elle a fait faire ce meuble adapté à ses besoins par un artisan de la région. Tant-pis pour les fabricants suédois de meubles en kit. Tant pis aussi pour les aficionados de la canne et de la badine, elle n’en a pas car elle n’aime pas infliger des douleurs extrêmes. Elle se défini elle-même comme une Dominatrice romantique. Elle dépose le collier avec la laisse sur le plateau à côté de la cage de chasteté qu’elle avait mis là plus tôt, attrape une cordelette d’un mètre et retourne vers Jean qui cherche à deviner ce qu’elle mijote. Sabine se baisse et enroule la cordelette autour du scrotum en serrant assez fort, fait une boucle d’une vingtaine de centimètres sur le bas, elle regarde son travail, elle estime que les testicules sont suffisamment séparés de la verge puis tire sur la boucle qui résiste à la tension. Satisfaite elle se redresse, se place de l’autre côté du carcan, ouvre la partie haute et dit « Lève tes bras à l’horizontale et avance de deux pas ! » Il a vraiment l’impression de jouer à Colin-maillard. Elle lui attrape les deux poignets « Penche-toi en avant. N’aie pas peur ! » Elle positionne les deux poignets dans la partie basse puis le cou en appuyant sur sa tête, rabat la partie haute puis verrouille le tout. Elle termine en fixant les menottes à un piton fermé du carcan. Elle règle la hauteur du carcan afin qu’il ait le dos à plat et retourne au meuble, prend une cravache, ouvre un tiroir, hésite et se décide pour un poids de cinq cents grammes puis attrape une barre d’écartement métallique et retourne vers jean. Elle règle la barre pour un écartement de quatre-vingt centimètres, pour un début ça ira, elle pose la barre derrière les pieds de Jean, s’accroupit et ordonne « Écarte tes pieds ! », en tapant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache elle arrive à attacher les chevillières à la barre. En se relevant elle constate que le dos n’est plus à l’horizontale, donc elle règle à nouveau la hauteur du carcan, fait deux fois le tour pour vérifier le résultat et en profite pour mettre une bonne tape sur les fesses de Jean, sachant qu’avec le cuir il n’aura pas mal mais juste pour lui faire comprendre que maintenant elles sont à sa mercie. Sabine se retourne vers Martin et Vanessa qui est derrière le miroir sans tain et fait mine de s’essuyer le front pour leur faire comprendre que ça n’a pas été une sinécure. Vanessa est morte de rire mais sent la chaleur monter dans son bas ventre. Sabine ramasse le poids, l’accroche à la boucle qui dépasse sous les testicules et avec sa cravache s’amuse à faire aller le poids d’avant en arrière comme le balancier d’une horloge. Depuis le début Jean fait des efforts surhumains pour réfréner chaque début d’érection en se conditionnant psychologiquement. Il s’était transformé en simple objet et y prenait du plaisir, un plaisir différent du plaisir phallique dont il avait l’habitude mais il est encore incapable d’analyser cette nouvelle sensation. Il ne s’en rend pas compte mais un filet gluant coule de son méat. Cela n’échappe pas à Sabine qui s’exclame « Voyez-vous ça. C’est qu’il est tout excité et en plus il bave. On dirait un escargot ! »  Elle lui enlève le bâillon, enfile des gants en latex, lui essuie la bave avec du papier absorbant, va récupérer la mouille qui coule encore du sexe de Jean avec son index et son majeur puis va lui mettre les doigts dans sa bouche « Suce mes doigts. Nettoie tes cochonneries ! Tu aimes sucer mes doigts ? » Il répond par un « oui Maîtresse ! » obligatoire. Sabine retourne au meuble, prend du lubrifiant dans un des tiroirs, revient et dégrafe la partie arrière du slip qui donne accès à l’anus. « On va vérifier si c’est bien propre ! » Elle enduit ses doigts, couverts par le gant, de lubrifiant et commence par en mettre autour de l’anus de Jean puis insère son index et fait quelques va-et-vient. Elle recommence en y ajoutant son majeur et là, il pousse un petit cri. Sabine se moque de lui – « Oh la chochotte ! Tu es puceau du cul ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Bon, c’est propre mais très serré ! » Elle va chercher un plug en silicone de dix centimètres de long et deux centimètres et demi maxi de diamètre. Pour un dépucelage ce sera parfait se dit-elle. Elle lubrifie copieusement l’objet, elle exerce une pression soutenue sur le bas du dos de Jean avec sa main gauche et dit « Respire profondément et lentement, décontracte-toi ! » Elle introduit lentement le plug jusqu’à ce qu’elle sente une résistance, glisse sa main gauche vers le torse de Jean, attrape le téton, le tord très fort et en même elle pousse d’un coup sec le plug qui, cette fois, a forcé le passage du sphincter et est en place. La douleur soudaine du téton a fait que Jean s’est à peine aperçu que l’objet était entré dans son fondement jusqu’à la garde. Il sentait juste qu’il avait un corps étranger en lui et que son anus était élargi mais il n'avait pas été traumatisé. Instinctivement il s’était mis en apnée au début de l’introduction mais, maintenant il a repris une respiration normale, son cœur bat un peu vite probablement à cause de l’émotion mais curieusement il se sent bien. Vanessa qui n’a rien raté de l’opération et s’introduisait deux doigts dans sa chatte au même rythme que le plug s’introduisait dans l’anus de Jean pousse un couinement et jouit. Martin qui, lui non plus n’a rien raté du spectacle, regrette de ne pas être à la place de Jean, même si lui, il est déjà à un niveau supérieur. Sabine contrôle la position du plug et referme le slip afin que le plug ne soit pas éjecté et dit « Maintenant je vais éveiller ta conscience ! C’est-à-dire que tu vas voir où tu es et ce que je fais ! Tu vas réaliser que tu n’es pas dans un monde imaginaire mais dans un monde réel ! » Elle lui ôte le masque et, effectivement, il prend conscience de sa condition mais, compte tenu de sa position il ne voit pas grand-chose de son environnement. Coincé dans le carcan il peut juste tourner la tête de droite à gauche et seulement une vision limitée surtout que, Sabine qui a récupéré la cravache qu’elle avait posée sur le dos de son apprenti soumis vient de positionner devant lui. Sabine – « Ouvre la bouche ! » Elle lui met la cravache dans la bouche. « Tiens la bien entre tes dents et elle deviendra ta meilleure amie. Si tu la lâches elle me demandera de te punir ! » Ensuite elle décroche les chevillières de la barre d’écartement et s’amuse à tirer sur le poids qui pend toujours au bout de la corde de bondage du scrotum avant de le faire balancer. Elle déverrouille le carcan, décroche les menottes et lui permet de se relever. Elle lui remet le collier avec la laisse qu’elle prend, cette fois, par la dragonne et tire pour l’emmener au milieu de la pièce. Jean marche maladroitement, gêné par le poids qui ballotte entre ses jambes. Il voit Martin assis dans le canapé et craint que ce dernier soit invité à participer. Elle le fait stopper et lui donne l’ordre de se mettre à genoux. Elle tire à nouveau sur la laisse « Viens jusqu’à moi ! » Il avance en étant obligé de garder les cuisses légèrement écartées à cause du poids mais aussi du plug qui, depuis que Jean s’est relevé fait vraiment sentir sa présence. Elle soulève sa mini-jupe « Lèche la chatte de ta Maîtresse comme un bon toutou ! À quatre pattes ! » Sabine étant perchée sur ses talons-hauts Jean a un mal fou à lécher régulièrement. Elle s’énerve « Debout ! Puisque tu es incapable de satisfaire ta Maîtresse on va passer à autre chose ! » Elle l’emmène avec brutalité jusqu’à la croix de Saint-André, le fait mettre face vers le mur, accroche les menottes et les chevillières mais, cette fois, ne le ceinture pas à la taille. Ne voulant pas le traumatiser le premier jour elle un martinet en crin de cheval. Et dit « Pour ta faute je te condamne à dix coups de martinet ! » Le cœur de Jean s’emballe, Sabine ajoute « Après chaque coup tu devras dire pardon Maîtresse ! » Le premier coup s’abat sur le dos de Jean, il demande pardon, cela dix fois de façon métronomique avec une brève pose entre chaque coup. N’étant pas attaché par la taille le corps de Jean tressaute et ondule à chaque fois. Vanessa frissonne et jouit une deuxième fois même sans se caresser. Lorsqu’elle fouette quelqu’un ou qu’elle voit quelqu’un se faire fouetté cela lui déclenche systématiquement une forte jouissance. Cette fois Martin ne regrette pas de ne pas être à la place de Jean. Quoique, parfois il aime bien car cela le déstresse. Sabine laisse Jean reprendre ses esprits, s’approche, se colle à son corps en frottant ses seins sur son dos rougi et lui dit doucement « Tu vois ce qui arrive quand on me déçoit ! » Elle le détache, le fait se retourner face à elle, enlève le poids et la cordelette qui entoure le scrotum, les menottes, les chevillières et va poser le tout sur le plateau du meuble. Elle revient avec la cage de chasteté, décroche la laisse du collier et l’accroche au bout de la cage en fil d’acier puis fait passer les testicules et la verge dans l’anneau métallique, fait glisser la verge dans la cage et la verrouille sur l’anneau. En voyant les testicules séparés de chaque côté de la cage et bien proéminents il lui vient une idée. Elle va chercher une roulette à pics et la passe sur les testicules en appuyant légèrement. Les picotements font frissonner Jean comme s’il recevait une légère décharge électrique. Sabine se relève et dit « Il se fait tard et je suis épuisée. Il est temps que j’aille dormir ! » puis s’adressant à Martin « Cette nuit tu dors seul je vais dans la chambre rose ! » Vanessa comprend qu’elle va finir la nuit avec son amie. Elle attrape la laisse et tire légèrement par à-coups pour faire comprendre à Jean qu’il devait la suivre de près s’il ne voulait pas être émasculé. Une fois qu’ils sont partis Vanessa rejoint Martin dans le donjon. Elle sait qu’elle va dormir avec Sabine car la chambre rose est celle qui est réservée à leur intimité et que Martin en est interdit d’accès et elle lui dit « Ne t’en fait pas demain je te la rendrai, et il vaut mieux qu’elle finisse la nuit avec moi plutôt qu’avec Jean ! » « Salope ! » murmure Martin. Vanessa s’en va en disant « J’ai entendu. Mais tu sais quoi ? Tu as raison. Je suis une salope et j’en suis fière ! » Sabine a amené Jean dans la chambre où il avait déjà dormi, a décroché la laisse, enlevé le collier puis elle est sortie. Mais avant elle lui a donné l’autorisation d’enlever le plug et le slip, sachant qu’il ne pourra pas les supporter très longtemps. Jean regarde son sexe encagé et se demande s’il va pouvoir dormir avec ça. Mais le plus urgent est d’enlever le plug qui commence à se faire douloureux. Il va dans la salle de bain, enlève le slip et se débarrasse non sans mal du plug puis va se coucher et s’endort sans même avoir le temps de repenser à tout ce qui lui était arrivé durant cette longue journée er partie de nuit. Sabine et Vanessa se retrouvent dans la chambre rose.  « Alors comment c’était ?  J’ai été à la hauteur ? » demande Sabine. Vanessa – « Tu as été parfaite ma chérie. Tu sais que j’ai jouit deux fois ! » Sabine – « Ah oui ? Quand je l’ai fouetté ça j’en suis sûre, mais l’autre fois ? » Vanessa – « Quand tu lui as mis le plug. Sincèrement c’était du grand art ! » Sabine – « J’ai été à bonne école mais il est vrai que pratiquer sur un non initié dont on ne sait pas s’il est vraiment volontaire, s’il va apprécier, s’il va vouloir recommencer et surtout vouloir aller plus loin, ce n’est pas évident. Avec Martin ça a été plus simple puisque c’est lui qui était demandeur. Mais porter son dévolu sur un inconnu et faire en sorte qu’il devienne ta propriété, ta chose, c’est excitant et angoissant à la fois. C’est vraiment compliqué ! » Vanessa – « J’y suis bien arrivée avec Patrick. Alors pourquoi tu n’y arriverais pas ! » Sabine – « Patrick et toi c’est différent. Vous étiez tous les deux célibataires, c’est lui qui t’a draguée et pour te garder il a tout accepté sans même chercher à savoir pourquoi tu avais besoin de dominer que ce soit un homme ou une femme, parfois avec cruauté ! » Vanessa – « Toi, je ne te domine pas ! » Sabine – « Au collège j’étais la seule à prendre ta défense quand tous les autres se moquaient de toi. C’est pour ça que tu ne te venges pas sur moi ! Mais je me méfie quand même ! » Elles éclatent de rire puis s’embrassent fougueusement puis Sabine dit avec un sourire mutin « Grâce à moi tu as joui deux fois aujourd’hui. Moi par-contre… » Vanessa – « Ma pauvre chérie. Docteur Vanessa va te guérir ! » Elle l’embrasse Sabine dans le cou, descend vers sa poitrine suce ses tétons tout en dégrafant sa robe qui tombe sur les pieds et pousse son amie en arrière qui se retrouve à moitié allongée sur le lit. Elle se met à genou, fait glisser la robe et les escarpins sur le côté, tire sur les jambes de Sabine pour amener ses fesses au bord du lit, caresse le sexe lisse qui lui est offert puis elle écarte les grandes lèvres, avance son visage et titille le clitoris avec sa langue. Sabine se met à onduler du bassin, Vanessa alterne succion et coups de langue sur tout le sexe et parfois des mordillements. Soudain Sabine attrape la tête de Vanessa à deux mains, soulève brusquement son bassin, lance un long ouiiiiiiiiii puis retombe sur le lit, bras écartés, inerte. Les deux amantes se déshabillent et s’endorment enlacées. Martin, seul dans son grand lit, ne trouve pas le sommeil. Il espère que dans quinze jours il pourra être acteur lors de la grande réunion kink.
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Par : le 01/06/25
Parlons d’une chose que trop de personnes soumises apprennent à leurs dépens : Tous les dominants qui disent les bons mots ne sont pas ce qu’ils prétendent être. Certains sont simplement de bons comédiens, avec un excellent texte. Et d’autres ? D’autres laissent des miettes. Pas un chemin. Pas un cadre. Juste un appât. Et comme Hansel et Gretel, on suit la trace, espérant qu’elle mène à la chaleur, à l’appartenance, à la sécurité… pour finalement découvrir une maison faite pour vous dévorer. Alors comment savoir ? Comment faire la différence entre un vrai dominant et un imitateur habile ? Voici comment repérer les miettes. Et surtout, comment partir avant d’être piégée. 🎭 Ils utilisent les archétypes, mais n’ont aucune profondeur Ils disent « bonne fille » ou « bon garçon » au bon moment, citent Jung ou Nietzsche, parlent de contenance avec une voix pleine de velours. Et au premier abord, on y croit. On se sent comprise. On a l’impression d’être vue. Mais dès qu’on gratte un peu… Il n’y a pas de fondation. Ils imitent la présence. Ils rejouent la sécurité. Ils jouent à être dominant. Un vrai dominant ne connaît pas seulement les mots. Il connaît leur poids. Et ce poids, ce n’est pas votre esprit qui le sent. C’est votre système nerveux. Parce que la profondeur, la vraie, n’est pas un texte appris. C’est un état. 💨 Leur énergie vous pousse à vous abandonner trop vite Ils vont vite. Très vite. Ils font de grandes déclarations. Ils reflètent vos fantasmes. Et soudain, vous ne réfléchissez plus, vous tourbillonnez. Pas parce que vous vous sentez en sécurité, mais parce qu’ils ont déclenché votre faim. On croit que c’est de l’alchimie. Mais c’est de l’urgence. La vraie domination ne vous submerge pas. Elle vous ancre. Si quelqu’un essaie de vous emporter dans son élan, regardez bien. Pose-t-il des miettes ? Ou construit-il un sol sous vos pieds ? 🧠 Ils portent le fantasme, mais pas votre système nerveux Celui-là est plus subtil. Et plus dangereux. Ils parlent d’obéissance, de protocole, d’intensité, de dévotion. Mais dès que vous êtes déstabilisée ? Ils se figent. Ils paniquent. Ils se dérobent. Parfois même, ils vous reprochent d’avoir « cassé l’ambiance ». Car ce qu’ils dominent, c’est l’humeur. Pas la réalité. Un vrai dominant ne vous guide pas seulement quand vous êtes gracieuse. Il vous tient quand vous êtes en vrac. Il ne recule pas quand le fantasme se fissure. Il sait que c’est là que commence le vrai travail. 👑 Ils font de votre dévotion une récompense à gagner C’est là que beaucoup se perdent. On se sent si honorée d’être « enfin vue »… qu’on commence à vouloir mériter cette reconnaissance. On essaie de ne pas déranger. De ne pas avoir trop besoin. D’être la parfaite petite soumise. Et s’ils vous nourrissent à la miette ? Ils vont encourager ce comportement. Le renforcer. Non pas parce qu’ils chérissent votre dévotion, mais parce qu’elle les fait se sentir puissants. Rappel : Votre dévotion n’est pas une médaille qu’on gagne à la performance. C’est une couronne que vous offrez — librement — à celui qui a gagné votre confiance. 🖐️ Partir n’est pas un échec. Rester en vous diminuant, si. Une part de vous le sait. Sait que ce n’est pas profond. Sait que vous vous pliez en quatre pour des miettes. Mais on vous a dit que partir, c’était ne pas avoir assez essayé. Qu’une soumise, ça reste. Non. Une soumise, ça discerne. Et vous ? Vous n’avez pas peur du pouvoir. Vous avez peur de le gaspiller pour quelqu’un qui ne sait pas le porter. 🎯 Conclusion Un vrai dominant ne laisse pas de miettes. Il construit le chemin avec vous. Il ne précipite pas la connexion. Il l’enracine. Il ne reflète pas votre fantasme. Il rencontre votre réalité. Alors si quelqu’un vous attire dans l’intensité sans stabilité, dans la performance sans présence, dans l’abandon sans sécurité… Ne suivez pas les miettes. Faites confiance à ce que vous ressentez. Et partez la tête haute, comme quelqu’un qui connaît sa valeur. Car le bon dominant n’aura pas besoin de vous convaincre. Sa simple présence dira : « Ici, tu peux te reposer. Ici, tu es en sécurité. Ici, tu ne vas pas vers le feu. Tu rentres chez toi. »
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Par : le 01/06/25
Il y avait un sujet d'étonnement plus réel dans la personne de la jeune fille. Il fallut très tôt cacher ses succès. Au début, on pouvait parler en riant des premiers prix de grec, des parties de tennis enlevées en quelques jeux, du piano dont elle jouait mieux que Saint-Saëns. Puis on dut modérer ces transports et même s'inquiéter, tant il devint évident qu'il ne s'agissait pas seulement d'une adolescente bien douée. À vingt ans, Charlotte était une jeune fille frêle, d'une vitalité extrême, avec un regard pétillant et une bouche remuante sous des cheveux bruns coiffés à la garçonne. Les femmes disaient qu'elle n'était pas jolie, parce qu'elle ne sourait jamais. Mais sa froideur attirait. Elle ouvrait la bouche et le silence régnait. Des yeux noirs brillants comme des cassis mouillés, un air de malice en accord avec son comportement fantasque, on sentait sous la désinvolture de sa jeunesse le nerf tenace des résolutions. En révolte contre les siens, mais sans aller jusqu'à casser de la vaisselle, elle transgressait les tabous de son milieu autant qu'il était convenable de le faire et même souhaitable pour prouver un fier tempérament. Elle s'amusait avec pas mal d'espièglerie d'un statut qui ne lui valait rien, sauf des égards et la faveur des snobs dont elle se fichait également. C'était romanesque d'être son chevalier servant. La domination mêlée à l'amour créait une atmosphère stendhalienne qui me plaisait. Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand, me dit-elle. Je la regarde. Elle n'a pas dû beaucoup changer : elle a à présent vingt-trois ans, elle vient de réussir l'agrégation, sans doute enseignera-t-elle l'année prochaine. Mais elle a gardé un air très juvénile, ce n'est sans doute pas un hasard, elle perpétue son adolescence, les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et une peau mate: Juliette a beaucoup de charme. Elle parait épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement des veines sur les tempes, mais ce pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Nous habitions Rouen, à l'époque. Sa cathédrale, ses cent clochers, Flaubert, et le ciel de Normandie. Même quand il fait beau, sauf pour Monet, quelque chose de gris traîne toujours dans l'air, tel des draps humides et froissés, au matin. Un charme bourgeois. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi comme la veille, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude, et que je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés. Il les a ébouriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, et je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, j'avais les jambes qui flageolaient, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais un peu froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Charlotte avait trop souffert en secret pour ne pas accepter cet outrage en respirant très fort.     Elle avait découvert tristement qu'un homme peut remplacer un idéal. Il remplace tout. Les autres femmes ne mettent pas tant de religion dans leur amour. Mais, à défaut d'une union spirituelle, un breuvage physique les retient. Un corps les nourrit de sa substance blanche. Pour Charlotte, le corps de l'homme avait un rôle différent. Dans ses bras, elle pensait d'abord qu'il était là, certainement là, et que pour une heure ou deux il n'allait pas disparaître, tomber dans le désespoir. Enfin, il était solide, comme la vérité, les tables, les chaises et non cet être mobile, douloureux qu'elle connaissait. Elle voulait bien que son amant fût une idée ou un objet, pas un vivant, elle savait qu'on doit atttendre le pire, surtout au début. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à connaître et à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide. Il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était inacceptable pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglotante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip poisseux, souillé par son sperme. Je m'abandonnais à cette suave torture. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter surtout. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. J'allais franchir un nouvel échelon. "- Qu'est-ce que tu es ?", m'a-t-il demandé . "- Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui". Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Je consommais trop d'enthousiasme dans le désir.   Je l'avais longtemps supplié de m'aimer. Je l'avais laissé faire: ces mots abominables justifiaient ma punition. À présent, je tenais à lui, solidement, par tous les liens de l'habitude, de l'instinct et du dégoût de moi-même. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. J'étais devenue ce que je voulais être, un simple objet au bon plaisir de son Maître. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Ainsi, je ne m'appartenais déjà plus. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meurtrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, en se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites inattendus, l'abnégation de soi.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 31/05/25
Cela faisait plusieurs mois que nous échangions des messages. Bien que la distance t’effrayait, tu m’as perçu comme quelqu’un à part. Celui qui aurait l’honneur d’être ton Dom et Daddy, le premier à qui tu as choisi de te soumettre — corps, cœur et âme.   Il va sans dire que je me suis attaché à toi comme jamais auparavant. Nous avons partagé des moments virtuels que rien ne saurait remplacer, car notre lien allait bien au-delà d’un simple rapport Dom/soumise. Oui, je parle de sentiments, de connexion, d’amour.   On dit souvent qu’il faut se rencontrer dans un lieu public, la première fois, pour des raisons de sécurité. Mais nous n’avons pas suivi cette règle. Le désir, l’envie… tout cela ne se contrôle pas.   Nous avions longuement discuté de ce que nous attendions de cette rencontre, de ce que nous allions explorer ensemble. Et ce mardi matin, nous nous sommes enfin retrouvés, comme prévu.   Tu portais une élégante petite robe noire et des bottes. Ton visage, que je n’avais vu qu’en photo, m’est apparu dans tous ses détails : tu étais magnifique. Et terriblement sexy. Nous nous sommes salués d’une bise. Il faisait froid. Nous avons marché ensemble vers l’appartement que j’avais choisi, en secret, pour te surprendre.   À peine la porte refermée, tu es entrée les yeux bandés, en signe de la confiance totale que tu m’accordais. Je t’en remercie encore.   Sans attendre, je t’ai plaquée contre le mur. J’ai goûté tes lèvres, mordu ta langue dans un baiser intense. Puis je t’ai ôté le bandeau, pour que tu découvres ce lieu, pensé et préparé pour toi.   Nous avons partagé un petit déjeuner, même si mon appétit, je l’avoue, était tout autre : j’avais envie de te dévorer.   Consciente de tes complexes, je t’avais proposé un massage pour te détendre. Tu ne portais plus qu’une simple culotte… rapidement retirée. Rassurée, je t’ai entendue gémir de plaisir. Tu t’es offerte à moi, nue, vulnérable, sans retenue.   Je me suis déshabillé. Puis je t’ai ordonné de me faire une fellation. Excité à l’extrême, je n’ai pu tenir bien longtemps. Mais tu croyais peut-être que c’était terminé… Ce n’était que le début.   Je t’avais prévenue : je suis endurant. Et moi, j’en voulais plus. Beaucoup plus.   Après t’avoir installé des pinces sur tes seins — qui ont fini par glisser — je t’ai offert un cunnilingus, avant d’entrer en toi. Lentement. Profondément. Intensément.   Je sais que tu as eu mal. Je suis bien conscient que mon sexe n’est pas des plus discrets… Mais je t’ai laissé le temps de t’y habituer, poursuivant mes mouvements, puissants, réguliers.   Je sentais ton corps se crisper, tes paupières se fermer… Tu subissais mes assauts, la gorge serrée sous ma poigne. Je t’ai ordonné de me regarder. Tu as obéi. Et j’ai intensifié le rythme, jusqu’à ce que tu perdes pied.   Je t’ai griffée. Claquée. Possédée. Ton corps, si joliment offert à mes désirs, n’était que plaisir et abandon.   Et je me suis finalement répandu sur toi, dans un mélange de puissance et d’extase.   Nous avons ensuite pris une douche. En regardant l’heure — déjà 13h —, nous avons décidé de sortir manger. La boulangerie à côté a suffi : rapide, pratique. Nous ne voulions pas perdre une minute.   De retour à l’appartement, je t’ai déshabillée. Puis, je t’ai attachée à la croix : bras levés, jambes écartées, dos tourné. Tu étais à ma merci, incapable de bouger.   J’ai commencé à frapper tes fesses avec la cravache. Un gode inséré en toi, maintenu fermement, pour intensifier les sensations. Puis je suis passé au paddle… Puis au fouet à lanières, frappant ton sexe.   Tu encaissais, un coup après l’autre, sans un cri. Seulement des gémissements. Et ce petit sourire… révélateur du plaisir que tu prenais.   Je t’ai détachée, même si tu avais réussi à te libérer d’une attache. Je t’ai guidée sur le canapé. Et je t’ai prise, encore, jusqu’à l’épuisement.   Nous nous sommes installés, lovés l’un contre l’autre. Je caressais ton petit corps marqué de mes empreintes, écho des orgasmes intenses que tu venais de vivre.   Je t’ai proposé d’aller dîner dans un vrai restaurant. Mais encore une fois, nous avons préféré rester là. Un repas simple à l’appartement a suffi.   Puis je nous ai préparé un bain chaud, accompagné d’une bouteille de champagne. Mais la chaleur t’a vite submergée, tu n’as pas pu y rester longtemps.   Je ne compte plus le nombre de fois où je t’ai prise. Mais je me souviens de chacun de tes orgasmes. De ton corps qui se cambrait. De tes râles étouffés. De ta mouille qui coulait sur mes doigts, ta langue, ma queue.   Ce fut une journée d’une intensité rare. Une journée où tu t’es totalement abandonnée à moi. Tes gémissements, ton regard, ton corps, ton plaisir… Tout témoignait de cette confiance, de ce lien puissant entre nous.   Je t’avais promis de te faire jouir comme jamais. Et j’ai tenu promesse.   La nuit a prolongé la journée. Intense. Complète.   Tu t’es abandonnée. Tu as joui, encore et encore. Jusqu’à ne plus pouvoir articuler autre chose que “vous” entre deux soupirs. Jusqu’à ce que ton corps cède sous l’effet de la jouissance.   Et nous nous sommes endormis, l’un contre l’autre, apaisés, comblés, liés par quelque chose de plus grand que nous.   Le matin venu, nous avons partagé quelques instants charnels, puis une discussion sincère sur la suite. L’envie de nous revoir était bien là, brûlante. Nous avions déjà des projets.   Je t’ai raccompagnée à la gare. Je t’ai regardée partir, les yeux brillants du souvenir de ce que nous venions de vivre. Ce moment restera gravé, à jamais.   Mais la vie n’est pas toujours simple. Et malgré l’évidence de ce que nous vivions ensemble, tu as dû faire un choix. Un choix difficile. Ce n’était pas un choix du cœur, je le sais. C’était un choix imposé par ta situation.   Aujourd’hui, tu es toujours là. Présente. Indissociable. Amoureuse, mais dans l’ombre de ma lumière.   Cette personne que j’identifierais pas, se reconnaîtra dans ces mots.   À toi, ma belle petite chienne.  
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Par : le 31/05/25
Être soumis·e ne devrait jamais être considéré comme quelque chose de simple ou de passif. Trop souvent, aujourd’hui, je vois des personnes se revendiquant soumises, mais qui ne s’investissent pas réellement dans leur rôle. Certaines ne travaillent pas leur posture, leur expression, leur technique ou même leur compréhension des attentes d’un dominant. Pourtant, à mes yeux, être soumis·e ne se résume pas à simplement obéir sans réfléchir ni questionner. Il ne s’agit pas seulement de répondre à des ordres mécaniquement, mais bien de construire une dynamique de confiance, de dévouement, et surtout de progression. Être un·e bon·ne soumis·e, c’est avant tout apprendre à connaître son Maître ou sa Maîtresse, comprendre ses goûts, ses préférences, ses envies. Cela implique un véritable effort, parfois même une forme de discipline quotidienne. Par exemple, prendre de belles photographies ne devrait pas être vu comme un simple caprice esthétique, mais comme un acte de dévotion. Cela passe par l’apprentissage de la mise en scène, la maîtrise de son corps, voire même l’initiation à des outils de retouche ou de montage photo pour valoriser au mieux ce que l’on offre. Ce n’est pas de la superficialité, mais une forme de soin et d’attention à l’autre. Il y a aussi un aspect physique à ne pas négliger. Certaines pratiques, comme le facial abuse ou d'autres formes de domination intense, nécessitent un certain entraînement, une préparation corporelle. Il ne s'agit pas seulement d'endurance, mais aussi de souplesse, de contrôle de soi, de capacité à supporter et encaisser tout en restant présent·e et disponible. Travailler son corps, c’est aussi une manière de montrer que l’on prend son rôle au sérieux, que l’on souhaite être à la hauteur des attentes, et que l’on respecte profondément la personne à qui l’on se soumet. Bien sûr, il y aura toujours des voix pour affirmer qu’il faut rester "naturel·le", et je comprends ce point de vue. La spontanéité a effectivement sa place, et elle est même précieuse dans certaines dynamiques. Cependant, cela ne devrait pas devenir une excuse pour négliger son engagement ou pour se contenter du strict minimum. Être naturel·le, oui, mais tout en cultivant la meilleure version de soi-même pour mieux servir, mieux plaire, mieux offrir. C’est pourquoi, personnellement, j’ai choisi d’explorer les deux aspects dans ma manière de me présenter. Je réalise à la fois des photographies dites "naturelles", prises sur l’instant, sans artifice, pour montrer qui je suis vraiment dans le quotidien. Et en parallèle, je crée aussi des clichés plus travaillés, plus esthétiques, où l’éclairage, la posture, et même la retouche sont pensés pour sublimer l’image que je renvoie. Les deux approches ne s’opposent pas, elles se complètent. Et pour moi, c’est cette dualité – entre sincérité brute et perfection construite – qui incarne le mieux ce que signifie être une soumise impliquée et consciente de son rôle.
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Par : le 31/05/25
J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice. Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks. Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite. En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence. Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi. Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi. Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses. J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver. Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position. Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même. Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon. Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina. Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce. Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?' (C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil. Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi. A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié. Autour de son cou, elle portait un appareil photo. Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y" A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis. Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina. Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos. Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕 Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina., Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil) Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux. Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée. Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide. Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre. A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.😊
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Par : le 31/05/25
III. Acte 2 A. Premiers pas de soumis. Partie 1 Jean, qui est en train d’aider Martin à ranger, se retourne brusquement. Sabine se tenait debout dans l’encadrement de l’entrée voûtée, campée sur ses cuissardes aux talons aiguille et bras croisés. Il avait l’impression de voir une icône. D’un ton ferme elle dit « Assied toi ! » Interloqué Jean s’exécute. Sabine – « Tu as accepté de jouer un rôle. C’est exact ? » Jean – « Oui, c’est exact ! » répond-il surpris par ce soudain tutoiement. Sabine – « Et tu as promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! C’est bien ça ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « Je veux que tu me le dises ! » Jean – « J’ai promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! » Sabine – « As-tu une idée du rôle que tu dois assumer ? » Avant qu’il réponde elle demande à Martin de les laisser seuls et d’aller sur le palier car elle craint que sa présence bloque Jean. Elle doit lui annoncer ce qu’elle attend de lui tout en le rassurant, faire en sorte qu’il comprenne de lui-même si ce n’est déjà fait, le faire adhérer en éveillant sa curiosité et son désir malgré ses doutes et ses craintes. Elle sait que l’excitation et la peur font monter le rythme cardiaque de la même façon, comme le plaisir et la douleur peuvent apporter les mêmes frissons. Elle s’assoie en face de lui. Sabine – « J’attends ta réponse ! » Jean – « Pas vraiment. J’ai vu tellement de choses et vécu tellement de situations aujourd’hui que j’imagine tout et rien ! » Sabine – « Ok ! Mais quand tu m’as envoyé OUI par SMS c’était avant ! Pourquoi tu as répondu OUI ? » Jean – « La curiosité, l’envie d’aller vers l’inconnu ! ». Curiosité, envie, inconnu. Des mots qui confirment Sabine qu’elle a choisi le bon sujet. Sabine – « Sais-tu où nous sommes ? » Jean – « Oui chez vous ! » Sabine – énervée « bien sûr qu’on est chez moi, mais Ici à cet étage ! Imagine-tu ce qu’il y a derrière cette porte ? » Elle désigne du doigt le couloir et la porte qui mènent au donjon. Jean – « Je sais que c’est un endroit spécial. Peut-être ce qu’on appelle un donjon dans le milieu BDSM ! » Sabine – « Bien ! Et que se passe-t-il dans un donjon ? » Jean – « Il y a une personne qui prend du plaisir à faire certaines choses à une autre personne ! » Sabine – « C’est plus subtil que ça. Il y a un dominant et un dominé. Faire certaines choses, comme tu dis, c’est un moyen pas une finalité. La finalité c’est le plaisir de l’un et de l’autre, peu importe le moyen sachant que c’est toujours le dominant qui décide du moyen ! Tu comprends ? » Jean – « Je crois que j’ai compris ! » Sabine – « D’après toi, de nous deux qui est le dominant ? » Jean – « Vous ! » Sabine – « Donc quel va être ton rôle ? » Jean – « Le rôle du dominé ! » Sabine –« Le rôle de soumis. On dit soumis car tu vas te soumettre à toutes mes volontés ! Et à partir de cet instant tu t’adresses à moi en disant Maîtresse Sabine ! C’est compris ? » Il sait enfin. Cela l’inquiète et l’excite en même temps, et son cœur se met à battre très fort. Il essaie de répondre mais aucun son ne sort de sa bouche. Sabine s’impatiente et sur un ton plus haut – « C’est compris ? » Jean avale sa salive et d’une voix chevrotante – « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine – « J’ai horreur de répéter deux fois la même chose ! » Elle se lève et dit « Suis-moi ! » Il se lève aussitôt et lui emboîte le pas. Elle déverrouille et ouvre la porte de la salle de préparation, tout en lui expliquant la signification des couleurs de la lampe qui se trouve au-dessus de la porte. Vert, déverrouillé et rouge verrouillé. « Ici, tu te déshabilles et tu ranges tes habits et ta montre dans ce placard. Quand tu es nu tu vas dans la salle d’eau ! ». Elle ouvre la porte et Jean se dit que c’est une salle d’eau normale sauf que, juste à côté il y a un ce qu’on appelle un pied à sérum comme on en voit dans les hôpitaux mais, sur celui-ci est accroché un récipient gradué et une canule au bout du tuyau. Jean est surpris car il se souvient que lorsqu’il avait été hospitalisé on lui avait mis un cathéter relié à une poche de sérum accrochée au même pied sur roulette. Il le poussait pour arpenter les couloirs et prendre l’ascenseur afin d’aller fumer sa cigarette à l’extérieur. Sabine voit que cet objet intrigue Jean, donc elle précise « Un soumis ou une soumise. Peut-être qu’un jour tu auras l’occasion d’assister à l’éducation d’une soumise ou d’en partager une session ! ». Elle fait exprès d’attiser sa curiosité. « Donc, un soumis ou une soumise se doit d’être toujours d’une propreté irréprochable, y compris au plus profond de son intimité, afin de ne pas risquer de subir une punition en cas d’inspection de la Maîtresse ou du Maître ! » Elle lui explique comment utiliser cet appareil et les précautions à prendre. Ils retournent dans la petite salle. « Une fois que tu es propre tu enfiles ce slip. C’est celui que tu as essayé cet après-midi. Tu t’assoies ici et tu mets ce masque sur tes yeux. Tu ne dois plus rien voir, comme quand on joue à Colin-maillard, et tu attends ! As-tu tout compris ? » N’ayant pas envie de se faire réprimander il répond docilement « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine sourit, lui caresse le dessus de la tête et dit « Ce soir je suis la seule Maîtresse ici. Alors oui Maîtresse suffira. Économise ta salive car tu risques d’en avoir besoin ! » elle ajoute « Sois prêt dans une demie heure ! » et sort par la porte qui donne sur le couloir, la lumière passe au rouge. Jean soupire, regarde autour de lui, vérifie la couleur des lumières qui sont au-dessus des portes, elles sont toutes au rouge, sauf celle entre la petite pièce et la salle d’eau. Pas moyen de s’échapper ni même d’entrevoir ce donjon dont Sabine lui a parlé et se souvient qu’il a un temps limité pour se préparer et découvrir ce nouveau monde. Il se met à siffloter un air de cette symphonie éponyme du compositeur Antonín Dvořák pour de donner du courage et exécute les consignes que Sabine lui a données. Sabine va chercher Vanessa et Martin qui attendent sur le palier. Ils se rendent dans le donjon après que Martin ait récupéré une bouteille de champagne dans le réfrigérateur et trois flûtes. Toute excitée Vanessa demande – « Alors c’est bon il se prépare ? » Sabine – « Normalement oui mais, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas allumer l’écran et activer les caméras ! Et pendant que je me prépare tu surveilles ce qu’il fait. En même temps tu pourras me conseiller sur ma tenue ! ». Dans chaque pièce il y a une micro caméra invisible qui permet de visionner tout ce qu’il se passe. Vanessa – « Il ne verra pas ta tenue puisque tu m’as dit qu’il aura les yeux masqués ! » Sabine – « À la fin je vais le lui enlever car je veux qu’il découvre son environnement ! » Vanessa – « Mais il me verra ! » Sabine – « Non, tu retourneras dans la pièce du fond. Tu pourras regarder par la glace sans tain ! » Les deux femmes se dirigent vers cette pièce où se trouvent les tenues, l’écran qui permet de voir ce qu’il se passe dans les autres pièces et où des convives peuvent voir le donjon à travers la vitre sans tain tout en consommant des boissons fraîches ou chaudes. Vanessa démarre l’ordinateur, allume l’écran et active les caméras à partir du logiciel. Elle a la salle de préparation et la salle d’eau simultanément en double affichage. Elle voit Jean assis sur les toilettes avec la tête appuyée sur ses genoux et le tuyau de l’énéma entre ses fesses et regrette de ne pas avoir assisté au moment où il s’enfonce la canule dans l’anus. Sabine lui demande – « Tu le vois ? il en est où ? Il a intérêt à ne pas être en retard ! » Vanessa – « C’est sa première fois sois un peu indulgente ! » Sabine – « Tu as raison ! Qu’est-ce que tu penses de cette tenue ? » Escarpins rouges à talons aiguilles, corset porte-jarretelles en vinyle noir avec des bas résille et mini-jupe en cuir noir. Vanessa – « Pas de soutien-gorge ni de culotte ? » Sabine – « Non, car je veux qu’il sente le frottement de mes tétons sur sa peau et s’il est docile il sera récompensé d’un face-sitting ! » Vanessa – « C’est lui qui sera récompensé ou c’est toi ? » Sabine – « On verra ! » Vanessa reprend sa surveillance et Sabine met sa tenue. Jean sort de la douche et Vanessa s’exclame « Ouah, pas mal le mec ! » puis il s’essuie, va dans la salle de préparation, enfile le slip spécial, s’assoie et met le masque. Vanessa – « Il est prêt et il attend patiemment le petit chou ! » Sabine fait exprès de prendre son temps puis met en soupçon de parfum de chaque côté de son cou, il faut que Jean se souvienne de cette odeur toute sa vie. Vanessa va s’assoir à côté de Martin et s » assure qu’il a compris la consigne du coup de coude. Finalement Sabine sort de la pièce, choisit un collier, aujourd’hui ce sera un collier en cuir, moins agressif qu’un métallique et une laisse en chaine avec une dragonne en cuir car elle veut qu’il ressente la sensation du métal de la chaine sur sa peau. Elle déverrouille la porte et l’ouvre. Jean tourne la tête en sa direction mais ne voit rien. Sabine lui dit « Debout ! » Jean s’exécute, elle lui met le collier en faisant exprès de faire frotter la laisse métallique sur son épaule, ce qui a pour effet de le faire frissonner puis elle prend la laisse à ras du collier afin de mieux le guider et lui dit « Avance ! » Il est surpris par le froid du carrelage qui contraste avec la douceur de la moquette de la salle dans laquelle il attendait. Les talons de Sabine claquent sur le sol en rythmant les pas. Après quelques mètres elle s’arrête, se positionne derrière lui, appuie ses seins contre son dos, passe ses bras autour de son torse et commence à faire rouler les tétons de jean entre ses doigts et sur un ton apaisant lui dit « Te voilà dans le donjon. Dans MON donjon ! ». Elle pince un peu plus fort et continue à faire rouler les tétons tout en tirant dessus, Jean grimace, Sabine ajoute « Tu vas avoir l’honneur de goûter à mes jouets préférés ! Est-ce que tu te rends compte de la chance que tu as ? » Jean, perdu dans ses pensées ne répond pas. Sabine tire plus fort « Répond ! » Jean – « Aïe. Oui Maîtresse ! » Sabine – « Oui quoi ? » Jean – « J’ai de la chance ! » Elle attrape la laisse et l’emmène vers la croix de Saint-André, l’adosse contre, elle lui lève le bras gauche et menotte le poignet à la croix puis fait de même avec le bras droit. « Écarte les jambes ! Encore ! » et elle attache les chevilles à la croix puis le sangle au niveau de la taille. Jean l’entend s’éloigner puis revenir. « Baisse la tête et ouvre la bouche ! », Il obéit et sent une boule s’insérer entre ses mâchoires et être serrée à l’arrière de sa tête par des lanières qui sentent le cuir. Une main descend le long de son corps, lui caresse le bas ventre à travers le cuir du slip, dégrafe la partie amovible, sort son sexe et commence à le branler. L’érection est immédiate et soudain la main glisse vers les testicules et les serre très fort. Ne pouvant pas crier à cause du bâillon boule Jean pousse des gémissements tout en entendant Sabine lui dire « Je ne te trouve pas très obéissant. Tu ne réponds pas instantanément à mes questions et tu bandes sans mon autorisation. Je ne sais pas si tu me mérites. Je vais te laisser réfléchir un moment ! ». Vanessa a chaud et regrette de ne pas pouvoir participer à cette initiation. L’initiation c’est son péché mignon, chaque fois qu’elle éduque un soumis ou une soumise elle a l’impression de peindre un nouveau tableau qui touche par touche va devenir le paysage qu’elle avait imaginé. Martin sourit en pensant que, pour une fois, il apprécie de n’être que spectateur tout en sachant qu’il vivrait mal sans sa soumission à Sabine qui justement s’avance vers eux, leur fait signe d’aller dans la pièce du fond en mettant son index à la perpendiculaire de ses lèvres pour qu’ils restent silencieux et ils s’engouffrent tous les trois dans la pièce en refermant la porte derrière eux. À travers le miroir sans tain ils regardent Jean immobilisé sur la croix avec son sexe qui pendouille lamentablement en dehors du slip et qui commence à baver à cause du bâillon. Sabine leur demande ce qu’ils en pensent, Vanessa et Martin lui confirment que c’est un bon début. Oui, Sabine pense que d’ici quelques temps elle aura une bonne emprise psychologique et physique sur lui. De son côté Jean se sent un peu bête, son ego de mâle est en train de prendre du plomb dans l’aile. Il ne peut rien voir mais imagine sa position, immobilisé sur ce qu’il pense être une croix comme il en a vu au salon de l’érotisme et en plus petit sur le mur du couloir, avec cette boule qu’il a dans la bouche qui fait couler la bave sur son torse et qui descend lentement vers son sexe exposé aux regards. Oui, regard au pluriel car il est persuadé qu’il n’est pas seul avec Sabine. Il lui a semblé entendre plusieurs pas, car le fait de ne pas voir aiguise ses facultés auditives. Combien ? Il ne saurait dire. Martin est là, c’est certain, mais après ? Vanessa ? La vieille Nanette ? D’autres personnes ? Mais, non ! Voilà que je recommence à bander en pensant que je suis peut-être exhibé devant des gens que je ne connais pas. Qu’est-ce qui m’arrive ? Il se concentre pour refaire tomber l’excitation car il n’a pas le droit de bander sans autorisation. Me concentrer, voilà la solution, y compris pour supporter la douleur, mais ça va être compliqué. Heureusement pour lui, derrière le miroir, personne ne l’a vu car ils sont trop occupés à bavarder.
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Par : le 31/05/25
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Par : le 30/05/25
Il l’a trouvée là, silencieuse et rugueuse. Pas encore soumise, pas encore prête. Une pierre brute. Belle, mais cachée derrière des éclats désordonnés, des angles trop tranchants, trop défensifs. Elle ne savait pas encore qu’elle était précieuse.   Un bon bijoutier ne frappe jamais trop vite. Il observe. Il attend que la matière parle. Et elle a parlé — par ses silences, ses frissons, ses regards fuyants quand il posait sur elle une parole plus ferme.   Alors il a commencé.   1) L’extraction. Il a arraché ce qui ne servait à rien : les peurs inutiles, les croyances du passé, les armures qu’elle portait pour survivre. Pas d’un coup. Mais par la répétition. Par la constance. Il a exigé la vérité, pas le vernis. Et elle, à genoux, a laissé tomber ce qu’elle croyait être. Le début d’un abandon.   2) La taille. Chaque bord rugueux a été taillé. Il a imposé des règles, des silences, des punitions. Pas par caprice, par amour de l’exactitude. Il a vu ce qu’elle pouvait être, et n’a toléré que ce qui l’en rapprochait. La pierre criait parfois. Elle résistait. Elle doutait. Mais chaque trace laissée par ses ordres formait une facette nouvelle. Plus brillante. Plus docile. Plus elle.   3) Le polissage. À la rigueur a succédé la douceur. Il l’a touchée. Par les mots. Par la voix. Par l’absence aussi, parfois. Il lui a appris la patience, le silence habité, le regard baissé avec fierté. Et ses gestes sont devenus offrande. Elle n’obéissait plus par peur, mais par reconnaissance. Car sous ses exigences, elle se découvrait enfin.   4) Le sertissage. Alors, il l’a ceinturée. Pas avec de l’or ou des pierres. Mais avec un mot : mienne. Il a passé autour de son cou un collier invisible. Un symbole de transformation. De possession. D’élévation. Et elle, dans cet écrin fait de discipline et d’abandon, a trouvé sa place.   Un bijou ne naît pas rare. Il le devient par le regard de celui qui sait. Et une soumise ne naît pas parfaite. Mais entre les mains d’un Dom digne de ce nom, elle devient œuvre.   Mr Djey.
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Par : le 30/05/25
Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences. Je me suis changée en Trav dépravée  dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil. Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer. À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout. Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi. J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale. Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit. Je continuait de jouer avec Didier qui est  gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement. Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche.  Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir. Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième  gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy. Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit. Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces. La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle. Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné. Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant. Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal ! Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement. Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité. Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre. Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche. Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement. Il me pelota les seins et je lui fit vite  comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte. En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale. Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon). L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité. Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.  Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser. Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne. Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif  et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie. Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe. Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument. Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée. Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes. Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP. Merci ma sœurette. Ce fut reparti pour la saillie de la chienne. Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte. Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça. Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
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Par : le 28/05/25
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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