La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 5 heure(s)
Le journaliste avait traversé un continent et une dignité pour arriver là. New York – Tucson – frontière mexicaine – puis un taxi déglingué dont les amortisseurs geignaient à chaque nid-de-poule comme une truie qu’on étrangle. Sur des heures de piste, il s’était enfoncé dans le cœur torride de la Sonora. Le village de Tasir, s’il méritait ce nom, n’était qu’un agglomérat de taudis collés comme des croûtes de sel sur la peau sèche du désert. Juste du sable, des toits plats, des chiens faméliques, et des mômes aux yeux jaunes qui le dévisageaient comme s’il était un extraterrestre. Certains avaient ricané, en désignant cette bicoque. D’autres avaient mimé des gestes obscènes, le pouce dans le poing. Pas besoin de parler espagnol pour comprendre. Il s’arrêta devant la baraque. Une triste masure en torchis, penchée comme un vieillard trop saoul pour tomber. Une chaleur lourde suintait des murs. L’air sentait la pisse de bouc et le mazout. Et pourtant, sous la puanteur, flottait quelque chose d’autre. Un parfum entêtant. Une odeur de peau chaude, de foutre sec, de désir tourné en moisi. C’était le plus étrange bordel dont le yankee ait jamais entendu parler. Ce qu’on racontait, ça tenait du délire : des filles sublimes, offertes à tout. Des corps de rêve pour des hommes miteux, malades, puants, édentés. Et tout ça pour une poignée de pesos. Pas de bavardage. Pas de préliminaires. Des bombes sexuelles muettes qui se laissaient baiser sans un mot. Personne ne savait d’où elles venaient, nul ne les ayant jamais entendues parler. Une histoire diablement étonnante. Assez étonnante, en tout cas, pour qu’un journaleux de la grosse pomme accepte de traîner ses guêtres dans ce trou paumé. Tiré de ses réflexions par les nuages de mouches bourdonnantes, le journaliste finit par toquer à la porte, une planche mal dégrossie, se demandant s’il avait bien fait de se déplacer jusqu’à ce bouge sordide. Un raclement lui indiqua qu’on venait. La porte s’entrouvrit sur une brune. Nue sous un voile de coton trempé de sueur, collé à sa peau comme une seconde naissance. Des hanches pleines. Une bouche rouge, presque trop pulpeuse. Elle ne dit rien, lui tendit la main, l’invitant à entrer. L’américain se saisit des doigts les plus délicats qu’il ait tenus de sa vie et la suivit, subjugué. L’intérieur sentait la moiteur, l’encens bon marché et la misère. Des ventilateurs en fin de course brassaient un air chaud, lourd, chargé de mouches. Des coussins défoncés jonchaient le sol. Des draps tachés, des lampes sans abat-jour, des murs qui suintaient d’humidité. Et là… six, sept… peut-être huit filles magnifiques. Alanguies sur des banquettes déglinguées, jambes ouvertes, dos cambrés comme pour inviter une main à s’y poser. Des joyaux tombés dans la fange, taillés pour le vice. Et au centre, affalé comme un roi dans son trône de crasse : un mexicain trapu, torse velu, les bras larges, le regard sale. Ses dents ressemblaient à une nécropole. Sur ses genoux, une blonde incroyable, se laissant peloter comme une poupée. Le mexicain pressait ses seins énormes comme des fruits trop mûrs, les triturant avec des doigts boudinés, collants de sueur. La fille, elle, ne bronchait pas. Au contraire. Elle entrouvrait la bouche, les yeux mi-clos, comme si tout cela n’était qu’un prélude banal à une baise prochaine. — Tu la veux, gringo ? Deux cents pesos, et tu fais ce que tu veux avec. Sans capote si ça te fait plaisir. Fenniway grimaça. Son regard glissa malgré lui vers les courbes de la blonde. Ses jambes entrouvertes, son ventre creusé, ses tétons dressés comme deux appels au crime. — En réalité, je ne suis pas venu pour … consommer. — Ah ouais ? Et tu viens pour quoi, alors ? Pour prier ? éructa le type, émettant une sorte de braiement qui se voulait un rire. — Pour causer. Ou plutôt, vous écouter. — ¡ Es loco, amigo ! — J’aimerai savoir pourquoi des filles pareilles acceptent de se prostituer dans votre… établissement, interrogea John, sans chercher à dissimuler sa répugnance. Et aussi d’où elles viennent. Et pourquoi elles ne parlent pas. Le mac eut un rire gras. Un gargouillis entre le hoquet et l’insulte. — Et pourquoi je t’expliquerais tout ça, cabrón ? Le journaliste tira une épaisse liasse de sa veste. — Voilà cent mille pesos qui me semblent être autant de bonnes raisons. Le type haussa un sourcil. Claqua des doigts. Une rousse se leva. Presque nue. Un corps sculpté dans la luxure elle-même. Elle alla chercher un pichet et deux verres dégueulasses. — Bueno l’américain… Seulement, il faudra garder tout ça pour toi. Ni una palabra a nadie. Si tu parles, je te fais égorger comme un chien ! Fenniway hocha la tête. Le mexicain tendit un verre. Fenniway le prit, le nez envahi par l’odeur âcre d’un mezcal de contrebande. — ¡ Salud !   Le type but. Puis après avoir laissé échapper un rot satisfait, il le fixa droit dans les yeux. — Ces poupées, ce sont pas des femmes ordinaires. Ce sont des filles de rêves… John laissa échapper un rire sec. — Oui, elles sont sublimes. Mais j’ai pas fait tout ce chemin pour une formule de poète raté. — No, hombre. T’as rien pigé. Je dors, je rêve, et pouf… une fille apparaît. Vivante, Offerte. John le fixa. Un long silence. Il aurait dû rire. Dire « c’est ça », et tourner les talons. Mais il n’y arriva pas. Il regardait la rousse. Elle ondulait, nue maintenant, comme si elle dansait au ralenti, les yeux mi-clos, offerte au néant. Fenniway sentit une chaleur remonter dans son bas ventre. Quelque chose en lui voulait croire à cette absurdité. — Tu veux la preuve ? Le mac fit jaillir un long coutelas de l’étui en peau de serpent qui pendait à sa ceinture. Avant que John ait pu faire un geste, le mexicain avait tailladé le bras de la blonde. Fenniway laissa échapper un grognement, choqué par cette brutalité atroce, nauséeux à l’idée du sang qui n’allait pas tarder à pisser de la plaie béante. Justement, aucun jet sanglant ne se produisit… Au lieu de ça, une sorte de sève blanchâtre se mit à sourdre des bords de l’entaille. Laquelle ne tarda pas à se recoller sous les yeux exorbités du journaliste, comme suturée par une fermeture éclair invisible. — ¿Has visto? Es una encarnación de la fantasía … L’incarnation d’un fantasme ? Des filles issues de l’esprit pervers d’un souteneur, prenant vie par génération spontanée ? Fenniway sentit vaciller sa raison. Il palpa le bras de la fille à l’endroit même de la coupure. Rien ! Pas la moindre rougeur, la plus légère boursouflure. La peau, fabuleusement douce, était exempte de tout stigmate. — Et maintenant, tu me crois, cabrón ? Fenniway avala lentement sa salive, regardant autour de lui. Ces corps, cette chaleur, ces visages vides, ces insectes qui tournaient. Et il sut qu’il venait de poser le pied dans quelque chose de bien plus incroyable — et plus obscène — qu’il ne l’avait imaginé. — Ouais… je vous crois. Dites-moi… comment c’est arrivé ?   Alfonso resta silencieux un instant, les yeux dans le vague, un doigt grattant la touffe de poils poisseux sur son torse. Puis il hocha lentement la tête, comme s’il acceptait enfin de soulever le couvercle d’un secret trop lourd. — C’est arrivé y’a deux ans. Pendant la fête de la Virgen. Tu sais, les dévots, les cierges, les morveux en costumes. Moi, j’avais jamais foutu les pieds dans une église. Mais ce soir-là, j’avais perdu un pari débile avec des cousins, et me voilà assis sur un banc, puant le mezcal, à essayer de pas m’endormir. Il se gratta les couilles négligemment en se versant un verre. — Et là… elle est apparue. Une créature céleste. Un ange. Elle s’assied à côté de moi. À la fin, elle se penche, me glisse un truc à l’oreille – j’ai rien compris, j’étais trop occupé à bander – et puis pouf. Disparue. Il se tapa une gorgée, grimace de plaisir à l’appui. — Le lendemain matin, j’ouvre les yeux… et là, y’a une nana à poil dans mon lit. C’était pas cet ange-là, mais presque. Une brune, peau dorée, seins parfaits, cul ferme. Sauf qu’elle parlait pas. Rien. Juste un sourire et du feu dans les yeux. Il sourit, un rictus presque attendri. — On a baisé comme des chiens en rut. Trois fois de suite, dès le réveil. Elle demandait que ça. Même pas besoin de parler. Tu bandais, elle ouvrait les cuisses. Immobile, Fenniway l’écoutait, un filet de sueur coulant le long de sa tempe. — Mais après deux jours, elle a commencé à changer. Sa peau devenait… translucide. Comme une vapeur. Ses traits flottaient, bougeaient, se barraient. Et puis un matin, elle s’est évaporée. Juste là, sous mes doigts. Pop. Plus rien. Il claqua des doigts. — J’ai cru devenir taré. Mais une semaine plus tard, paf ! Une autre. Une rousse cette fois. Et plus bonne encore, si c’est possible. Même scénario. Même silence. Même nymphomanie intégrale. Il planta son regard dans celui de John. — Tu piges ? Je rêve d’une gonzesse, elle apparaît. Nue. Affamée de queue. Et elle reste, tant que je continue à la désirer. Mais elles finissent toutes par partir. Elle se dissolvent et disparaissent. Il soupira, s’essuya la bouche avec le dos de la main. — Et plus je rêvais, plus ça marchait. Plus longtemps elles restaient. Plus nombreuses aussi. Bientôt, j’en avais trois, quatre en même temps. Elles se branlaient entre elles pendant que je reprenais un peu de vigeur. Et crois-moi, j’étais essoré. Mais incapable d’arrêter. Il se passa la main sur la nuque, comme pris d’un frisson. — C’était le paradis… et l’enfer. Un enfer à te faire jouir jusqu’à l’épuisement. J’allais y laisser ma peau. Fenniway se racla la gorge, avalant difficilement sa salive. — Alors j’ai commencé à les filer à des potes, discrètement. Des gars sûrs. Pas un n’a bronché. Comment veux-tu revenir à ta femme, après ça ? Il rit. — Et puis j’ai eu l’idée. Un bordel. Pas besoin de les nourrir, seulement de les loger. Elles veulent juste baiser, peu importe avec qui. Paysan galeux, flic véreux, touriste perdu : elles ouvrent les jambes et sourient. Le silence retomba comme un drap moite.   Fenniway, blême, leva lentement la main, sortit la liasse et la tendit. Alfonso l’empocha sans cérémonie. Le journaliste se leva. Il avait la nausée, mais aussi cette excitation crue dans le bas-ventre. Une tension d’écriture. L’odeur du scoop. Il s’imaginait déjà rentrer à New York, taper à la Remington dans sa piaule de Brooklyn. Une page qui ferait trembler les lecteurs. Un Pulitzer, peut-être. Mais alors qu’il atteignait la porte, Alfonso lança d’une voix pâteuse : — ¡ Espera, amigo ! Prends Carmenita avec toi. Elle t’a à la bonne. Et il lui reste pas long à vivre. Autant qu’elle voie du pays avant. La brune se tenait là, tout près, robe à moitié tombée sur les hanches. Elle battait des cils en souriant. Elle attendait, sublime et vide. John la dévora du regard. Il pensa aux photos. À la chair qui se reforme sous la lame. À l’effet qu’aurait une image de ce genre en pleine page du New-York Times. Il pensa aussi à un vieux médecin légiste à qui il avait déjà glissé quelques biftons pour fermer les yeux. Il pensa, surtout, à ce corps. Avant la dissection. Avant les questions. Avant la disparition. — Elle vient avec moi, dit-il. — Bien, gringo. Bien. Bonne chance, souffla Alfonso en allumant un cigarillo avec un sourire de diable repu.   --ooOoo--   New York Times – 21 juin 1976 ÉDITION SPÉCIALE / FAITS DIVERS UN JOURNALISTE RETROUVÉ ÉGORGÉ À BROOKLYN Le corps sans vie de John R. Fenniway, 47 ans, journaliste indépendant, a été découvert ce samedi dans son appartement de Red Hook. Il était nu, assis devant sa machine à écrire, la gorge tranchée net. Une page encore fraîchement dactylographiée relatait un récit à forte teneur sexuelle et surnaturelle. Près du corps : un morceau de tissu féminin, ainsi que des traces de pas nus. Un témoin affirme avoir aperçu une femme d’une beauté « incroyable », qui accompagnait Fenniway deux jours avant le drame. La police lance un appel à témoins pour retrouver cette personne, la dernière à l’avoir vu vivant.
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Par : le Il y a 14 heure(s)
1er observation : les personnes que nous recevons en  séance aiment rentrer dans les bulles que nous créons pour eux.    2eme observations : la bulle sm est fine et délicate    3eme observations :  on peut manipuler n'importe qui du moment qu'on arrive à trouver les bons ressorts.    De ce petit cherry picking personnel nous sommes arrivés à la conclusion que nous pourrions déstructurer une séance, ou encore mieux faire une séance qui ne soit que destructuration.    Nous avons donc décidé de monter une séance qui sera à la fois une sorte de best of de certains de nos personnages préférés, comme kewin et Vanessa, le capitaine Kirk et le lieutenant salope, les deux fous échappés de l'asile ;  le tout déstructuré par de courtes scènes complètement absurdes.  Le but étant au début de mettre en confiance notre petit maso pour qu'il pense que nous sommes en train de lui jouer la suite de châteauvallon, qu'il se crée sa petite bulle et que nous puissions l'éclater au bout de 10 minutes maximum. Après châteauvallon nous avons prévu de faire une petite scène très dérangeante où nous mettrons des extraits du discours annonciateur du pape entrecoupé de discours du chancelier du Reich en 1936.  Ça c'est pour permettre de commencer à ramollir la cervelle de notre sujet, ensuite la scène suivante c'est un tirage de carte exécuté par ma soumise avec un jeu de 7 familles, pendant que moi je joue de l'ocarina derrière.  La scène 4 était un remix de nos personnages du capitaine Kirk et du lieutenant salope, cela dura 10 minutes pendant lesquelles nous lui avons fait des choses très douces, de la roulette en plastique qui ne fait pas mal, des plumes, des vibrations sur le corps, lui passer une éponge moussante sur le torse. Cette partie là l'a complètement terrorisé car il était dans l'attente de quelque chose d'affreux.  Pour la scène 5, nous lui avons mis devant les yeux une image de spirale sur de la musique type Goa, ma soumise dansait en arrière-plan, vêtu d'une couche et d'un masque de clown effrayant en latex. Je tenais la tête de notre soumis ainsi que le téléphone sur lequel nous avions mis la spirale et ce fut très dur pour moi de rester sérieux devant le spectacle. La scène 6, nous avons retourné notre petit soumis, nous lui avons mis le cul en l'air et au son d'une musique militaire de John Philippe soussa, nous lui avons gonflé le cul avec une pompe un cul pendant 2 minutes.  Pour la scène 7, nous avons relevé notre soumis et nous lui avons fait notre petit numéro des deux fous du village qui semblaient avoir un âge mental d'environ 4 ans. C'était un moment terrifiant pour lui et nous avons pris beaucoup de plaisir à faire les enfants odieux ; la majorité de la scène  a été composé de torture à coup de doigts et du fait que nous l'avons fait tourner comme une toupie en nous  comportant comme des enfants insupportables.  L'effet  de terreur fut largement atteint lors de cette scène.  Pour la dernière scène, nous l'avons allongé sur le ventre et sur une marche militaire, je lui ai fait des baguettes de batterie sur les fesses et les cuisses, sans aucune compassion, juste préoccupé par le sens du rythme.    Conclusion : Le but de cette séance était la déstabilisation et après discussion post séance, il est clair que la déstabilisation a bien marché et que le ratio voulu entre la terreur psychologique et la déstabilisation a été atteint dans ses grandes lignes. Nous en retenons que l'angoisse, la terreur, la déstabilisation dans le BDSM ne sont pas incompatible avec l'humour et la dérision.  De plus la constatation de base qui concernait la bulle SM a été atteinte puisque nous avons réussi à créer plusieurs bulles et à les fracturer. Il est donc intéressant de noter que lorsque l'on connaît la personne et que l'on s'intéresse vraiment à la chose, on peut assez facilement faire rentrer quelqu'un dans une bulle.  Les petites scennettes incohérentes qui nous ont servi à déstructurer la chose, à savoir le tirage de carte, les discours, le pompage de cul et la spirale n'avaient pas pour but d'être des bulles et ne l'ont pas été. Les effets de bulle sm étaient principalement recherché lors des scènes 1 et 4. Nous pensions également qu'au bout d'un moment de manipulation, sa capacité à rentrer dans les bulles serait alternée et qu'il était probable que les 2 dernières scènes malgré un certain potentiel, ne donneraient pas lieu à la même introspection que les premières. Cela fut confirmé même si en pratique, la dernière scène avec les baguettes sur les jambes fut tellement intense d'un point de vue de douleur pour lui qu'il est rentré dans une bulle de souffrance ( quand même).   Ossature de scéance : Scène 1 : Châteauvallon suite  Scène 2 : extrait disc annonciateur pape  coupé avec extrait de discours en allemand  Scène 3 : tirage de carte avec un jeu de 7 familles. karl joue de l'ocarina   Scène 4 : le capitaine et la lieutenant  Scène 5 : exposition de 2min à une fractal avec Clara en train de danser avec couche et masque de clown  Scène 6: gonflage et dégonflage de cul, musique martial de j Philip Sousa Scene 7: les deux fous du village cercle et coup de pouce, pression psychologique  Scène 8: baguette de batterie au rythme d'une pompeuse marche militaire.   Je tiens à préciser que ce sont des pratiques consenties, et notre maso est quelqu'un avec lequel nous jouons depuis 5 ans. Tout ceci n'est pas le genre de pratique pour débutant. 
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