La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/07/23
Par chance ou par sadisme tu m’as laissé du temps pour m'échapper. Je cours le plus vite possible dans la forêt. Il fait nuit et ma vue met du temps à s’adapter. Je cours à en perdre haleine. Quand je pense t’avoir échappé, je m’arrête pour reprendre mon souffle. Crack Une branche  craque pas loin de moi. Je comprends vite que c’est toi. Alors je me mets à courir comme une furie. Après une longue course je ralentit, pensant t'avoir semé. Je n'entends aucun pas derrière moi et pourtant je te sens pas loin. Je me sens comme épier. Les minutes passent, je sens tous mes sens en éveil. Je t’entend tourné autour de moi mais aussi une respiration à peine perceptible. Je sens dans celle-ci une certaine excitation. Je sens que tu prends plaisir à la situation. La situation devant oppressante je me remet à courir. J'ai fini par m’arrêter de fatigue suite à cette dernière course. Je me pose près d’un arbre. Je t’entend arriver en marchant. Ne pouvant pas courir, je vais me cacher dans un buisson. Je vois tes pieds près de moi. de peur je retiens ma respiration. Je vois que tu renifles comme pour sentir mon odeur. Puis je te vois t’éloigner de moi. Soulager, je respire enfin. Je sors de ma cachette, c'est à ce moment-là que tu bondis sur moi. Tu étais près de moi mais je ne t’ai pas senti. Je rage intérieurement. Je me débat brutalement. Je te mord griffe. Mais tu réponds par de forte morsure. Mon corps est marqué par tes dents. Tu finis par me maîtriser. J’ai la tête contre le sol et les mains dans le dos. Je tante de me débatyre c’est alors qu’avec ton pied tu me colle la tête contre le sol et les mains dans le dos. Tu arrives à m’attacher les bras le long du corps. Ainsi que mes mains. Je suis incapble de m’en libérer. Tu rajoute une couche à la situation en passant le bout de corde libre par-dessus une branche solide de l’arbre. Me voilà suspendu à cet arbre. J’ai mes pieds qui touchent à peine le sol. Je suis à ta merci. A ton sourire carnassier je vois que tu es satisfait de ma position; En me regardant tu sors un couteau. Tu peux lire dans mes yeux la terreur. Tu viens de passer la lame le long de mes jambes nue. J’en frissonne de peur mais aussi d’excitation. Je sens la lame passer sur ma peau sans me blesser. Tu remontes avec celle-ci au niveau de ma culotte que tu viens couper sans vergogne. Maintenant tu la passes sur mon ventre. Plus tu l’approches de mon visage, plus mon excitation monte. Tu as bien fait attention quand tu m’attachais de laisser sortir ma poitrine. Je sais bien pourquoi tu es fait cela. Tu passes alors le couteau sur ma poitrine. Tu laisses quelques  marques rouges. Tu passes très près de ma gorge, par peur je ne respire plus et ne bouge plus. Ta lame vient couper mon soutien gorge. Et déchirer mon haut. Mes seins sont maintenant libérés de mes vêtements. Tu y as accès comme tu le souhaites. Tu profites de cet accès pour faire danser ton couteau sur mes tétons. Je m’empêche de frissonner malgré mon envie. J’ai pas envie de te faire ce plaisir. Tu en as assez du couteau. Tu le refermes. En te regardant faire, je constate que ces préliminaire ton donner bien envie. Je vois que ton membre est dressé dans ton pantalon. Tiu retire celui ci pour enfin libérer ton sexe. Ton sexe  est droit et fière. Je vois dans tes yeux que tu n’en peux plus. Tu viens alors passer tes doigts sur mon sexe qui est à l’air libre. Tu constates que je suis tellement humide que mes cuisses sont trempées. Tu t’approches de mon oreille et me chuchote. - Alors cette course poursuite ta bien exciter à ce que je vois. A ces mots, je suis rouge de honte. Je dois bien l’avouer que d’être chasser est très plaisant. Surtout par lui. Après m’avoir chuchoter, c'est quelque mots. Tu me mord tout en plantant tes doigts dans ma chatte. Je reçois alors un électrochoc de plaisir. Je ne peux m’empêcher de crier mon plaisir. Tu ne me lâches pas le cou et viens faire des aller retour rythme avec ses doigts. Tu sais où taper pour me faire partir. Et tu y vas sans hésitation. Je monte de plus en plus dans le plaisir quand je suis au bord de l’orgasme, tu t’arrêtes. Je grogne mon mécontentement. Je me débats. Je suis un vrai animal en rut. Tu me descends de l’arbre pendant que je suis en trans.  Une fois calmer, cette fois c’est pas tes doigts qui rentrent mais ton sexe. Quand tu me pénètres. J’ai un cri de soulagement. ça faisait tant de temps que je l’attendais. Tu me tiens les jambes en l’air et tu me besogne sans vergogne. Tu me griffes, tu me mords. Je tente aussi de te mordre. Nous ne sommes que des bêtes à cet instant. Nous ne sommes plus vraiment là. Nous partons tous les deux et nous laissons place à notre bestialité. Quand tu me mord je n’arrive pas à contrôler mes orgasmes. Je n’arrive plus à les compter tellement ils sont nombreux. Le dernier de mes orgasmes provoquera le tien. On va jouir dans un énorme râle en commun. Après tout ce calme, le silence de la forêt revient. Tu es contre moi. On reprend doucement nos esprits. Tu me détaches de  mes liens. je n’ai plus de force pour marcher alors tu me portes à la voiture. Je reprends doucement mes esprits. Mon corps tout entier n’est que douleur. Je suis couverte de morsure, de griffure, et de bleu. La fatigue me gagne peu à peu avec la retombée. Alors je m’endors dans ma voiture tous contre toi. Avant de tomber de sommeil je te souffle -Merci  
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Par : le 13/04/20
Il n’a même plus besoin de m’en donner l’ordre. Le coussin sur le sol me l’intime à chacune de nos rencontres. C’est devenu un acte de soumission profonde, et capital. Depuis le début de ces séances, c’est le préliminaire indispensable, sans quoi, je pourrais rester frustrée, déconfite d’avoir été privée du goût de sa queue. Le sucer, c’est aussi un fantasme qui accompagne mes caresses avant de m’endormir, celui qui s’impose quand je reçois une de ses photos. J’aime m’activer lentement sur sa hampe pour commencer. Savourer…le temps de le faire durcir. Le prendre en entier tant que je le peux encore car plus il durcit, plus son sexe devient trop gros, trop long pour ma bouche. J’aime le faire bander même si c’est au prix de ma suffocation. Je marque des pauses avant de coulisser plus franchement. Je me focalise pour le sucer comme il le veut. Manquer d’air me rend ivre et de plus en plus avide. Je m’étrangle souvent. Laisse couler des filets de salive qui défont tout le soin que j’avais pris à me faire jolie. Mon maquillage coule avec mes larmes. C’est humiliant et j’avoue aimer ça, justement. Ça me coûte de mettre à mal mon ego et pourtant j’aime qu'il s’en foute comme si c’était normal ; d’ailleurs ça l’est devenu au fil du temps. Ça participe à son plaisir, donc au mien. Il est dur et excité maintenant. Il m’attrape par les cheveux et maintient ma tête de façon à le prendre au plus loin de mes capacités. Il me baise la gueule. Je perds le contrôle de ma nuque. Il a le contrôle et je tente de retenir ma nausée. Je m’efforce d’être ce qu'il veut : sa chose, sa poupée, un trou pour son chibre. Je bave et ressemble à une loque. J’ai le regard perdu. Bave, larmes et morve se confondent sur mon visage. Je lui suis soumise et excitée à mort. Camée, je deviens cette junkie réclamant son shoot : sa queue.
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Par : le 16/06/21
Elle lui a proposé une séance d'essai. Il a longtemps hésité avant d'accepter. Il connaît peu ce milieu dans lequel elle pratique des activités non conventionnelles. Il sait que beaucoup d'hommes se seraient empressés d'accepter mais lui, n'a pas encore passé le cap mental de ce qu'implique cette proposition. A demi mot, il lui a fait comprendre qu'il lui faut du temps pour s'autoriser à franchir cette barrière identitaire. Il a sa vie en main, il est chef de famille, il est son propre patron. Suivre cette femme dans ses délires ludiques lui fait craindre de perdre ce qui fait de lui l'homme qu'il est. Et pourtant, ce matin là, il est devant la porte d'une maison inconnue. Elle lui a donné quelques consignes de préparation avant de se présenter à l'adresse qu'elle lui a indiqué. Elle lui a dit et répété que s'il ne venait pas, elle comprendrait. Mais dès qu'il aurait franchi le seuil de la maison, elle lui a déclaré avec fermeté qu'il devrait se laisser guider et lui faire entièrement confiance. Il frappe à la porte et attend quelques minutes sans que rien ne se passe. Dans sa tête, mille questions se bousculent, est-il au bon endroit?, la bonne heure?, il se demande s'il ne devrait pas jeter un coup d'oeil à son téléphone pour vérifier. Il frappe de nouveau mais plus fort, quand soudain la porte s'ouvre. Elle lui sourit tout en le sermonant sur son impatience, et le fait entrer à l'intérieur. Elle l'invite à poser ses affaires dans le couloir. Il la complimente sur sa tenue. Elle porte une robe d'été légère et des escarpins ouverts à hauts talons qui ne le laissent pas indifférent. Sans attendre qu'elle réponde, il parle de son trajet et du lieu où il se trouve, du temps qu'il fait. Alors qu'il parle sans discontinuer, elle l'observe, avec un sourire amusé. Elle attend qu'il ait fini son monologue. Elle sait que c'est une façon de garder la maîtrise du temps et de la situation. Il finit par se taire, le silence se fait dans le couloir dans lequel ils sont restés sans qu'elle l'invite à entrer plus avant dans la maison. Il la regarde dans les yeux cherchant en elle une réaction. Une gêne commence à l'envahir. Il ne sait plus comment il doit se comporter, il n'ose plus parler se rendant compte qu'il a sans doute trop bavardé. Sans tenir compte de ses mots prononcés, elle rompt le silence. Elle : avez- vous bien respecté scrupuleusement mes consignes avant de venir ? Lui : oui, j'ai fait au mieux, tout ce que vous m'avez indiqué. Par contre, c'était compliqué de... Elle l'interrompt et sans attendre, elle lui ordonne : Parfait, nous allons voir ça. Tournez-vous face au mur, mains appuyées au mur. Reculez vos pieds Écartez vos jambes Non, ne vous retournez pas. Regardez le mur. Voilà Ne bougez plus. Maintenant, vous êtes à moi... Auteure anonyme
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Par : le 19/03/24
en savoir plus Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 14/04/19
Je suis dans mon fauteuil A renifler mes doigts sans orgueil Je pense à lui de temps en temps Je pense à lui souvent Jamais nos regards ne se sont croisés Mais sa voix en moi est ancrée Je fus sienne sans être l'unique Il fut le seul et l'unique Je viens de me caresser Alors que je suis abîmée Mes entrailles en flammes Mais en feu mon âme Parfois je rêve d'être à lui Mais je sais qu'auprès de lui Si je m'abandonne au Maître Je ne serai plus femme honnête Je devrais vivre l'inavouable Mais je me raconte des fables Je ne suis pas de celles Qui se coupent les ailes Même si j'admire parfois Ce qu'elles y mettent de foi J'ai fait gonfler mon bouton Sous mes doigts la pression Sans penser aux conséquences D'une telle séance Je me suis sentie vivante Ma bouche béante D'un soupir inachevé D'un plaisir non partagé Serais je un jour sienne ? Serais je un jour sa chienne Suis je prête à cela ? Suis je prête en moi ?
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Par : le 16/05/21
Une soirée presque parfaite I Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon... Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien. Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours... Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table. Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec. La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond. Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique. II Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard. Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi. Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose. _ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant. _Masse mes pieds, ma journée fut éreintante. Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde. _ Evidemment il faut enlever mon bas... Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe. III Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire. _ J'ai faim, ça sent bon... _ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table. Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas. _ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle. _ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement. Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir. _ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises... Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime. _ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle. _ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel. Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie! _ Vient commencer ton dessert. Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi. _ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore... Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif. _ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange... Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes. J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies... IV _ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ? Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours. Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif. _ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête. En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu. _ Tu préfères quoi ? Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant : _ … En premier je veux dire! Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours. _ Gardons le meilleur pour la fin...? Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait! Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix. _ Seulement 5 ce soir mon ange... Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi. Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge. Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5. _ Au fait tu n'as pas compté? _ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse. _ C'était une évidence. On repart donc à 0. Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence. V Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève. _ Bien passons aux choses sérieuses. Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse. _ Suce ! Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer. Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion. _ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ? _ Bah.... _ Ce n'était pas une question. _ Ah... Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur. Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel... Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai. Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Par : le 12/09/23
Une société spécialisée dans la fabrication de cages de chasteté connectées, c'est à dire contrôlables à distance via Internet, a laissé fuiter involontairement les adresses e-mail, mots de passe en clair, adresses postales, adresses IP et, dans certains cas, les coordonnées GPS de ses utilisateurs. La cause? Plusieurs failles de sécurité dans ses serveurs, comme l'a signalé un chercheur en sécurité informatiqu qui est à l'origine de la découverte des failles. Le chercheur qui préfère rester anonyme pour ne pas avoir a expliquer ce qu'il faisait sur ce site probablement ( ;) ), a déclaré être parvenu a accéder à la base de données du fabricant, qui contenait les informations personnes de plus de 10 000 utilisateurs. Cette intrusion informatique résulterait de deux vulnérabilités majeures. Dans un souci d'éthique, il a alerté la société dès le 17 juin. Devant le manque de réaction, le chercheur a même modifié la page d'accueil du site le 23 août pour alerter les utilisateurs. Moins de 24 heures après cette action, l'avertissement a été supprimé et le site remis en ligne, mais sans que les failles ne soient pour autant corrigées. Ce n'est malheureusement pas la première fois que de telles vulnérabilités sont exploitées, notamment dans le domaine des sextoys connectés. En 2021, un pirate avait pris le contrôle de cages de chasteté et avait exigé une rançon (!!!). Au fil des années, plusieurs chercheurs ont mis en lumière de nombreuses failles de sécurité concernant ces dispositifs. En 2016, une faille avait été détectée sur des boules de geishas vibrantes connectées en Bluetooth. Et en 2017, un fabricant avait dû faire face à une plainte pour avoir récolté et enregistré des données très intimes de ses utilisateurs. La securité absolue n'existe pas. Les sites gouvernements, des grands noms comme Linkedin, Facebook; Twitter ou autres subissent ponctuellement des piratages et des vols de données. Aucun site n'est à l'abri d'une intrusion, comme aucun appartement, même avec une porte blindée de compétition et un système d'alarme dernier cri n'est à l'abri d'un cambriolage. Bien que nous n'ayons jamais été piraté sur BDSM.FR, le site n'est dans l'absolu pas plus à l'abri que Facebook, Linkedin ou Twitter. Nous ne ferons donc pas "les malins". Mais, sur BDSM.FR, vous avez peut-être moins de risque qu'ailleurs, car nous ne connaissons pas vos coordonnées physiques ni ne disposons de vos coordonnées bancaires. Pour autant, certains d'entre vous utilisent l'adresse e-mail de leur fournisseur d'accès (prenom.nom@orange.fr par exemple), pour les sites BDSM (ou autres), nous vous conseillons d'utiliser plutôt une adresse créée  sur un webmail (type GMAIL ou autres) utilisant un pseudo (jolie.soumise75018@gmail.com) ;)   Conseils pour les utilisateurs de dispositifs connectés : Protégez votre identité : Utilisez des webmails comme Gmail qui ne révèlent pas votre identité complète. Mots de passe forts : Évitez les mots de passe simples et préférez les combinaisons complexes. Mise à jour régulière : Assurez-vous que vos dispositifs sont toujours à jour avec les derniers correctifs de sécurité.  
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Par : le 18/03/21
Souvenir d'un 'vieux' texte, d'il y a 3-4 ans...Quand ma vie professionnelle m'amenait à voyager aux 4 coins de la France.... Qui m'a été rappelé par une Damoiselle...qui a/compte beaucoup pour moi.... ----- Décidément, d'aventures en aventures je vogue en ce moment... De bonnes et de très mauvaises...vagues me frappent... Mais qu'importe leurs fracas, avancer est mon chemin et faire face est mon Destin... Le train, sur de longue distance, est aujourd'hui mon transport régulier le plus emprunté... De voyages depuis plus de deux ans, je vais, en ces Rails, pour me rendre régulièrement sur Paris... Hier soir, revenant de Paris en ma demeure par ce dernier train ...Une rencontre des plus plaisantes...et qui m'a ramenée près de 8 ans en arrière.... Assis à une place que deux seuls peuvent loger, je m'installe... J'y suis premier... Un homme s'assoit... Courtoisie oblige, les Bonjours échangés... Mon casque rivé sur les oreilles, écoutant la musique... Me reposant d'une journée toujours aussi harassante et ubuesque de non travail Je ne fais pas attention aux gens... Mais très vite je vois le Monsieur s'excuser .. Et une femme vint prendre place...à sa place... Je prêtes pas trop attention...Seul les "Bonjours" sont échangés Car la foule s’amasse un peu malgré l'heure tardive... Et puis, j'ai pas trop le désir de voir simplement... Et puis j'échange par mon téléphone... Entre une Amie, Elle Lumière, qui est en difficultés de sa vie Publique confrontés à ces Maux et tourments de son passé qui lui reviennent comme un Boomerang... Et une Amie, encore, avec qui d'échanges eurent lieu toute la journée...Et qui m'est plaisant dans la découverte partagée ainsi... Le train démarre quasiment tout de suite Et déjà le contrôleur passe... Je relève la tête La Damoiselle a des soucis de billets... Enfin surtout que son téléphone est plein et qu'elle ne peut accéder à ce Billet numérique... Mais elle a son billet papier...Mais pas sa carte de Grande Voyageuse.... Échange de sourire...entre nous... Elle, un peu désemparée de la situation Moi, amusé de la situation Le contrôle lui... "Vous inquiétez pas...Je vais vous trouver...car quand on veut on trouve..." Éclats de rires entre nous... "Il vous fait du rentre dedans..." lui dis-je... "Et pas qu'un peu.." rétorque le Contrôleur... Nouvelle éclats de rires...à trois cette fois... Décidément, le dernier train est d'une atmosphère toujours vraiment plus détendue... "Voilà je vous est trouvez...Aucune soucis ma p'tit Dame, bon voyage"... Échanges de sourires en cet anecdote de rencontre... "Vous avez des soucis avec votre téléphone ?" De son grand sourire elle me répondit alors "Oui, mon téléphone est plein...Je prend trop de photos..." "Vous devriez les sauvegarder..Et ainsi profiter de votre téléphone pour ses applications qui sont d'ailleurs des plus utiles surtout si vous voyagez souvent...." Et de là commença une longue discussion....Moi, qui pourtant, passe pour une personne réservé... - Aujourd'hui, en mes Maux, j'en prend un grand Pas...Mais je me sais aussi imprévisible dans biens des choses - Passionnante de fou rires, de partages de vies.. Lorsqu'elle m'évoqua la raison de son voyage...Là je fus transporté 8 ans en arrière... "Je rejoins mon ami, qui habite dans votre Région...Et cela fait 1 an et demi que je fais une fois par moi le voyage et lui le fait de temps à autre en voiture..." Mon sang ne fit qu'un tour...Me rappelant alors les Maux de n'avoir pas pris à temps le Pas de rejoindre celle qui me fut une époque.... Et pendant près de deux heures...Je lui vantais la Région et ce bonheur d'y vivre...à contrario de sa Région de l'Est... Elle m'évoquait qu'une des raisons qui la poussait à ne pas franchir le Pas eut été celle de ces Chairs et de leurs Papa...vivant aujourd'hui non loin d'Elle... Alors je lui expliquai ma situation..Qui, depuis 8 ans maintenant, est de vivre de mes Chairs loin de moi...Mais que je faisais toujours en sorte de pouvoir les voir aussi souvent que je puis...D'autant qu'aujourd'hui, les moyens pour être en contact sont des plus grand...Et que notre relation était vraiment là..et que l'amour d'un Papa envers ces Chairs et réciproquement était bien présent... Et même encore aujourd'hui, où j'ai pris demeure non loin d'une Gare, pour l'en facilité leurs venue... Je lui expliquai également que, bien que le plaisir d'un voyage pour rejoindre l’Être aimé était très plaisants... Ce cœur qui nous est battant dans ce subtile moment qui nous rapproche plus de l’Être que l'on chéri...De tout ce que l'on peut entreprendre pour que ces petits moments nous soient si enivrant...si prenant et si inoubliable....Pour que cela recommence...encore et encore... Elle souriait à chaque phrase que je sortais...Parfois elle tendait à me dissuader...Mais je lui retournais un argument qu'elle, du coup, ne pouvait que prendre dans le sens où ...J'avais raison...sourire... Mais, qu'il était temps, pour Elle, si son amour, son implication était réciproque, qu'elle fallait qu'elle entreprenne le pas de sa vie et se rapprocher de l’Être qu'elle aimait... Car on a beau dire...Loin des Yeux...Loin du cœur... Et que ce n'est pas nos Chairs qui en pâtirons de ce changement de lieu d'habitation, car un jour, ils partent...et l'on se retrouve seul.... - La distance entre deux personnes est une chose vraiment savoureuse...Mais, il ne faut cependant pas que cela dure trop longtemps...C'est surtout cela... - C'est ce que j'ai pu faire il y a 8 ans...Même si en ma Fin d'acte, il me fut désertion de la part de mon Elle Lumière.... Mais qu'importe, j'avais à l'époque trop attendue pour rendre cette distance moins grande... Et lui en fit part...Pour que cela ne lui arrive pas... Nous n'avions absolument pas vue le temps passer, plus de Trois heures de discussions, échanges, de fou rires, de plaisanteries pour tendre à ce qu'elle prenne le chemin de celui qu'elle aime.... Le train arrivait à mon terminus...Elle y descendait aussi... Les portes s'ouvrirent... Je l'aidais à descendre ces bagages... Dans notre précipitation, nous n'avions pas pris le temps de nous présenter Comble de l'ironie... Quand je lui dis mon prénom.... Elle explosa de rire.... "Vous allez rires...C'est le prénom de mon ami..." Rooo...déjà que nous avions partagé beaucoup durant ces trois heures...Et même pas nous avions faire les présentations... Elle me présenta quelques instant après son ami... Tout de suite le contact fut bon,voir même très complice... Elle lui expliqua que j'ai, tout le voyage durant, persuadé sa personne de vivre près de lui...Pas avec lui, mais bien près de lui ... Nous discutâmes un petit moment, fumant nos cigarettes tranquillement... Je pris congé d'eux...Avec ce sourire précieux d'avoir peut-être réussi à réunir deux Etres qui s'aiment d'une grande force.... Alors peut-être qu'un jour prochain je croiserai à nouveau cette Belle Demoiselle, peut-être qu'un jour elle me dira... "C'est fait, je le rejoins prochainement"... Et ce jour, j'aurai la grande satisfaction d'avoir réuni simplement deux Etre s'aimant vraiment... - - - - Alors Vous, chers Lecteurs, chères Lectrices...Vivre une vie amoureuse, qui plus est dans ce Jardin si plaisant, quand la distance est....Ne vous en soucier pas..Elle n'est certainement que le meilleur moyen de vous rendre compte de Votre Bonheur... Mais un conseil...Il faudra un jour prendre une décision... Garder cette distance ... Ou prendre ce qui vous est et la rendre simplement plus proche à porter de Main... Aujourd'hui, je sais ce que je ferai...Mais c'est le choix de chacun...Cependant l'expérience m'a apprise...qu'à un moment...Si l'entremise est des plus présente...Alors il faut foncer, qu'importe les conséquences...Mais être proche de la personne qui nous est...C'est encore plus fort.... Qu'importe le regard des autres, Qu'importe les Conséquences... En cette Acte sublime... En ce geste de rapprochement... L'amour est encore plus fou et enivrant... Et resserrez le Lien qui vous unit... Et il vaut de le vivre....Intensément... déraisonnablement... Et si de voyage vous désirez faire...Faites le à Deux.... Car A deux...La vie est beaucoup Mieux...
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Par : le 02/02/16
Comme je n'ai qu'une parole voici donc 42 points me concernant. 1- J'ai failli naître lors d'un spectacle de Fernand Raynaud (qui aurait pu être mon parrain) tellement ma mère, enceinte jusqu'aux yeux, rigolait. 2- J'ai perdu mon père lorsque j'avais 8 ans et garde très peu de souvenirs de lui. J'étais très fière lorsqu'il faisait la circulation à la sortie de l'école, nous faisait traverser et je frimais devant mes copines... je n'ai jamais pu lui dire au revoir. 3- Entre 11 et 16 ans j'ai eu à faire à un beau-père alcoolique, violent et incestueux. Pour cela que ça ne passe pas avec ceux qui ont l'alcool mauvais et qui ont cette addition. 4- J'adorais piquer et jouer avec le martinet de ma grand mère paternelle dont elle se servait pour m'impressionner afin que je reste sage mais elle n'arrivait pas à mettre la main dessus durant tous mes séjours chez elle. 5- Gamine, je jouais surtout avec les garçons que je commandais la plupart du temps. C'est surtout avec eux que je m'entendais le mieux. 6- Je n'ai jamais été très studieuse en classe et me contentais d'une moyenne générale entre 11 et 12 sans rien faire. 7- J'étais capitaine d'une équipe féminine de base-ball au collège et tenais le poste de lanceuse en défense. J'adore jouer de la batte. 8- Durant toute mon adolescence je passais mes mercredis et weekend à la patinoire. J'enfilais mes patins de hockey et me régalais de patiner sur la glace avec mes amis. On avait de très bons délires. 9- Je me suis mariée 15 jours avant mes 20 ans et le suis restée un vingtaine d'années. 10- Je suis maman à quatre reprises de merveilleux enfants que j'aime infiniment. 11- L'événement le plus fort de toute ma vie a été l'accompagnement en fin de vie chez moi d'une de mes filles qui a poussé son dernier souffle dans mes bras à l'âge de 16 mois des suites d'une tumeur cérébrale très rare. 12- J'ai appris à tirer les enseignements de mon vécu et suis dans une dynamique de vie. Ma devise : Carpe Diem. 13- Je suis dans une empathie envers mon prochain. 14- Je ne supporte pas les injustices. 15- Je ne supporte pas le mensonge 16- Je n'ai pas peur du ridicule, ni de passer pour une méchante et assume totalement. 17- Bien que j'ai le contact facile et agréable avec les gens car je n'aime pas les prises de tête, j'ai besoin de solitude pour me ressourcer. 18- Je ne suis pas en paix avec moi-même et paradoxalement j'apaise les autres. 19- J'ai un caractère très entier et suis très dure la plupart du temps. 20- Je suis joueuse et gourmande à différents niveaux. 21- J'ai un regard très expressif qui ne laisse pas indifférent et j'en joue beaucoup parfois. 22- J'adore jouer au billard. Le pool anglais plus précisément. 23- J'ai 5 tatouages et ne compte pas m'arrêter là. 24- J'adore la nourriture asiatique 25- j'adore les mojitos et la piña collada 26- j'ai adoré fêter mes 40 ans à New York avec ma fille aînée et mes amis gays. 27- Je rêve de partir au Japon. 28- Je kiffe tout ce qui se rapporte au Japon et à sa culture 29- je raffole des mangas que je regarde encore de temps en temps 30- Mon film préféré est la ligne verte 31- Mon auteur préféré est Stephen King 32- J'ai eu mon permis de conduire du premier coup en me prenant bien la tête avec l'inspecteur sur qui j'ai quand même crié dessus. 33- J'ai aidé un éboueur à battre le record du monde du plonger latéral d'un camion benne au trottoir pensant que j'allais percuter le camion j'ai fait un freinage digne de Starsky et Hutch. Au final j'étais à 20M du camion. Bon... à 6h du matin, pensant que j'étais à la bourre pour aller travailler cela peut se comprendre. J'ai eu une belle crise de fou rire le reste du trajet. 34- Je suis imprévisible et insaisissable. 35- J'ai le gros défaut d'être rancunière et de vouloir faire payer une personne qui m'aura mise en colère si je n'ai pas réglé les choses de vive voix rapidement... assez du genre la vengeance est un plat qui se mange froid. C'est mauvais pour la karma il paraît. 36- On me donne le surnom de sale gosse qui me correspond très bien. 37- Je ne juge pas les gens et suis respectueuse de leurs choix. 38- Je ne supporte pas les donneurs de leçons 39- J'adore mon travail à l'hôpital où j'ai énormément appris durant 20 ans après avoir transité par de nombreux services comme urgences, réas, services de chirurgie, bloc opératoire... mon secteur préféré, dans lequel je suis retournée, reste la psychiatrie 40- Je suis riche de mes amis et notamment certains que j'ai rencontré par le biais de ce site à qui, même si je ne leur dis pas, je les aime. 41- J'ai une très grande pensée pour un certain lapin crétin qui partage ma vie... même si c'est provisoire, je te remercie de tout ce que tu fais pour moi... ton soutien, ton sourire quand je croise ton regard même quand tu n'es pas en grande forme, ton courage, ta force d'encaisser et surmonter les choses, de me supporter (sourire) car je ne te fais pas de cadeaux... tu m'apaise et m'a faite avancer. Tu es une sacrée leçon de vie... MERCI. 41- Je te remercie cher Amroth pour ce défi que j'ai apprécié de relever et espère que tu apprécieras tout autant de le lire. Enawelle. RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ... », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça
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Par : le 01/12/23
Un bureau où nos doigts s’évidencent dans les phrases empruntées aux tiroirs de nos âmes Une cachette à secrets qui demandent à être écoutés dans la nuit invisible en murmures indélébiles Une commode bancale de doute, jaunie par les éclats de vie, rompue par les lames contreplaquées Quelques pages blanches froissées, remplies de silences résonnances, frôlées par le vent des poèmes, l’acouphène d’un bavard taché d’encres marines Là j’écris A la chaleur d’une bougie, j’écris des textes, , je ne les envoie pas, je les sème ici ou là J’écris les mots qui me bousculent, des mots qui se serrent blottis sur des lignes courbées, des bouts de phrases qui ne viennent pas, des syllabes qui font mal, des refrains qui font du bien , le vide et le trop plein, le manque et l’affluence J’écris ce que je suis, ce que je vis, ce que je ressens, ce que je comprends, ce que j’imagine, ce que je devine Pour apaiser mes nuits blanches, calmer l’avalanche des bourrasques qui m’entrainent, j’écris l’océan de mes pensées J’écris à la lenteur d’un saule pleureur, à la vitesse d’un ouragan, au rythme de mon cœur Au crayon de bois, j’écris mon équilibre précaire sur ce secrétaire Ce panneau de chêne poli par les ans,  griffé par le temps J’écris le recyclage des mots mutiques qui n’ont pas tout avoué, à court de sons que je n’ai pas soufflé, à la flamme de mes sens, mon ordinaire, mes ombres écorchées, l’inconditionnel de mes marées 16/11/23
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Par : le 24/06/19
« Ce soir, ça te dit une soirée d’un autre temps ? » « Oh oui, bien sûr, voyons » me rétorqua-t-elle… « Bien, alors ce soir…soirée en tenue, comme je l’aime et j’aime à te voir » « Bien…et quoi d’autre ?? » « Tu mettras ta jupe que j’aime bien, tu sais… celle qui remonte juste devant... » « Ah oui, je vois…Et ? » « Et le reste bien entendu, qui va avec…Cependant, ta fleur devra être à nue…Tu sais que j’aime quand tu es ainsi… » « Roooo…Heureusement que j’ai la voiture….et que quand j’arriverai, la nuit sera là …Hihi… » « Oui, cela va te faire drôle c’est sur…Bien donc 20h00 chez moi ? ça te va ? » « Mmmm 20h30 ? » me dit-elle… « Ok pas de soucis…A ce soir très chère »… Nous avions l’habitude de nous retrouver régulièrement chez moi. Vivant avec ces enfants, nous n’avions que chez moi, pour profiter réellement de Nous. Et c’était pour elle, en ma demeure, son Antre d’apaisement et de ses propres dépassements en ce Monde des sens… Même si notre vie, vivant chacun de son coté,... lorsque l’on se retrouvait était aussi des plus classique aux yeux de nos amis…Mais quand venaient ces instants particuliers…Il n’y avait plus de condescendance…mais une vraie envolée des Sens Le soir venu, repas préparé, table dressée…J’attendais son arrivée... L’heure était presque arrivée, j’entendis sa voiture se garder… La porte claquer… Elle était là…enfin… Franchissant le pas de ma porte, je l’aidais à poser ses affaires… Retirant son manteau, je pouvais admirer sa tenue …Enfin… Un corset bleu nuit et de dentelle, mettant en valeur le dessin de ses Seins… serrant sa taille fine… Sa jupe Noir, remontée comme désirée juste sur le devant, laissant l’arrière tomber bien bas…presque à terre… Ce devant laissait entrevoir le haut ses cuisses charmantes, jusqu’à la limite de la tentation de sa précieuse fleur et laissant apparaître les jarretières qui retenais de beaux bas… qui à mi-mollet laissaient place à de belles bottes d’un noir brillant… Le sourire m’était plus que présent de la voir ainsi préparée pour moi… Son sourire en disait long sur le plaisir qu’elle avait à me voir la contempler avec Désir… « Tu es sublime ma chère… » « Tu le vaux bien mon très cher » me dit-elle… Je l’invitais à entrer dans le salon et lui tendit une coupe de bulles pour commencer la soirée… Nos discussions fusèrent sur notre journée, notre vie publique…D’éclats de rires en anecdotes du jour…le temps s’écoulait lentement… Par moment, je ne pouvais m’empêcher de me plonger dans son regard si envoutant…entrecoupé, je le concède, de contre-plongées dans son sillon que formaient ses seins si bien rebondis… Elle m’en fit la remarque souriant de cela avec aise et complaisance… C’était un délice…un plaisir non restreint, que de partager ce moment à deux… en se jouant de se charmer du regard, de frôlements des mains, parfois de simples baisers échanger…à d’autres plus endiablés… « Bien.. » lui dis-je « il va falloir passer à table ».. « Oui, il commence à se faire faim quand même » me dit-elle… « Parfait, très chère, mais il y a une chose que je dois vérifier de….Vous !!! » Ce « Vous » glissé dans la conversation la fit se redresser tout net…Un sourire plus présent se dessina sur son visage…ses yeux devinrent plus brillant… « Je vous avez demandé, en plus de cette belle tenue…Une chose précise…Il m’est de vérifier »… Je sentis une certaine « angoisse » en Elle, comme si elle cherchait ce que cela était… « Mmmm, auriez-vous oubliée ..très Chère ??? ce petit Point…qui risque de vous couter très cher ?» Confuse, la tête baissée…. Mais un sourire taquin présent cependant sur son visage d’Ange… « Et bien très bien ….Très cher…Voyons voir cela…Reculez…. Encore !… Encore…! » Elle arriva, en marche arrière jusqu’à la table qui lui barrait le chemin..Elle voulut se détourner de cette obstacle.. « Tstssss !!…Stop… » Le sourire devint plus grand sur son visage…redressant la tête…fièrement, elle me dit… « Je crois que j’ai oubliée un truc…Oups…. !!»…avec un léger rire narquois… « Mmmm, Ecartez les Jambes…Je m’en vais voir cette Affront fait…que Vous allez devoir « payer ».. » Elle rit « Et en plus vous riez….Je note…Alors vous allez « Déguster » très chère… » Je me glissais rapidement entre ses jambes pour les maintenir écartés…Elle tenta de les refermer avant que j’arrive à Elle, mais je fus plus rapide… Tout proche, les yeux plongés dans son regard…ma main vint saisir son cou ..Juste l’enserrant pour sentir, de mes doigts sont cœur battre… J’avançais mon bras, de sorte qu’elle dût se pencher en arrière…en se retenant à mon bras d’une main, son autre posée sur le rebord de la table… Je souris… « Grippez !! » Elle s’assit tant bien que mal sur la table… Mon bras continuait sa course…doucement mais surement… Ses Jambes progressivement s’accrochaient à mon corps pour l’aider à ne pas tomber trop vite à la renverse sur la table… Son Dos toucha le tablier de la table…Ses jambes s’écartaient de mon corps, pour se retrouver balançant dans le vide… Ses deux mains agrippées à mon bras tandis que ma main tenait délicatement mais fermement encore son cou.. Ma main libre, remonta doucement le long de sa jambe pour s’engouffrer sous sa jupe…cherchant l’étoffe présente… Mais rien n’y était… « Voyez, mon très chère ….Je vous ai écoutée… » Elle éclata de rires .. « Ah oui !!! Je vois cela…Vous avez voulue vous jouer de Moi…Très bien ! » Elle fit une mie taquine…Fière, d’une certaine façon de m’avoir cherchée et m’avoir fait « tourner » en bourrique quelques peu… « Et bien, très chère….Vous avez voulu jouer…Alors …Jouons….à mon tour de jouer Vous….Vous l’aurez voulu »… Nos regards se croisèrent…Nos sourires échangez …En disait long de ce Jeu déclenché….Et combien on appréciait ces jeux provoqués
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Par : le 19/08/22
SAPIOSEXUALITE C'est un genre de supplice qui utilise le plaisir, la frustration, la surcharge sensorielle. Le MAÎTRE commence par bander les yeux de son soumis, voir lui imposer une cagoule ! Le Dominateur déshabille lentement le corps offert pour mieux en profiter d'abord visuellement, puis très sensuellement pour ensuite lui lier alors les mains sur la tête ou dans le dos! Une fois entravé par les poignets, Le MAÎTRE peut raser intégralement son soumis ,s'l le veut continuer à attacher le reste du corps, jusqu'à rendre tout mouvement impossible! Ainsi totalement immobilisé, Le MAÎTRE peut alors pose-imposer une cage de chasteté, tester la résistance de son soumis librement offert avec des pompes à seins, puis les pinces, les baguettes chinoises ! Ça consiste, sur un mec bien attaché de préférence, à l'exciter, le branler et le faire bander. L'amener au bord de l'orgasme. Interrompre l'excitation pour recommencer de plus belle un peu plus tard. Alterner subtilement l'excitation et le repos forcé. Et une fois son gland bien décalotté et lubrifié, le caresser avec le plat de la main, lentement et en insistant sur les zones les plus sensibles jusqu'à ce que la jouissance devienne inévitable ! Si Le MAÎTRE pratique une fellation buccale, ses mains libres peuvent s'occuper alors des seins! Et poursuivre cette alternance branle / caresses du gland jusqu'à pousser le mec à bout et qu'il n'en puisse plus. Ça fait énormément............ La domination physique n'exclut pas la sensualité, bien au contraire !!!
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