La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 29/06/21
Je vais finir par te mettre à genoux à  mes pieds et la prendre cette cravache que tu me tends... Poser ma main au-dessus de ta tête ... Appuyer doucement pour t'incliner devant moi... Doucement te faire poser les lèvres sur mes  escarpins  m' offrant ainsi une vue sur ton dos ...  T'imposer de garder cette position le temps que je ressente ton corps du bout de cette cravache que je fais remonter lentement derrière toi... De légers petits coups sur la fesse te font comprendre que je veux un accès sur tes bourses... Je glisse la tige sur ta raie et redescend le long de ta croupe que tu me tends malgré toi... Je serre les jambes ... Ta tête plaquée entre mes mollets ... Tu ne bouges plus que  tes lèvres sur mes chaussures... Je crispe mes doigts sur ton dos sans sortir mes griffes. Juste une pression qui te relie à moi pendant que la cravache t'ordonne  sans mots ajoutés  d'écarter les genoux pour t'ouvrir à moi... Hummm! j'aime sans aucun doute te voir ainsi et le plaisir de te soumettre que je désir grandit  doucement... Besoin de toucher ... Mes doigts appuient leur pression et entament le cheminement de ton corps... La cravache éprouve la fermeté de tes testicules par de petites tapes dispersées... Besoin de voir... Mon corps s'enroule lentement sur ton dos ... La cravache tombe à terre laissant ma main libre d'approcher tes couilles ... Pendant que ma seconde sort ses griffes... Arrivée sur ta fesse elle s'ancre tendant la peau de ton cul vers le haut en même temps que mon autre main empoigne tes bourses pour les tirer vers le bas... Envie de t'entendre... Je resserre plus fort... Tire plus loin... Ta bouche sur mes pieds ne sert plus qu'à traduire ce que tu ressens... J'écoute et cherche tes râles... Je ne lâcherais qu'après les avoir obtenus... C'est à cet instant que je relâche toutes  pressions et abat sur tes deux deux fesses une frappe à main plate qui claque bruyamment et donne le départ d'une pulsion... Je claque ton cul avec envie en créant une mélodie. Le son de tes fesses qui rougissent sous mes mains me fait vibrer. Je  te sens tendre ton corps pour mieux résister. Tu veux Mon plaisir et  tu le sens  monter en Moi... La fougue de mes mains... Ma respiration qui s'accélère... Mes  "Hum oui!" Qui s'échappent de ma bouche... Les"  encore " qui t'encouragent à  garder ton cul relevé vers Moi... Ta tête entre mes jambes, tu  regardes au sol cette cravache que tu me tendais  alors que je prends plaisir à te fesser. Mes mains deviennent chaudes , tes fesses écarlates se teintent de pourpre, la mélodie continue sa partition,  caresse tes bourses dans les soupirs. Effleure ta peau de notes blanches...   Oui j'aime te soumettre à Mes envies bien plus qu'à celles que tu me suggères parce j'aime laisser libre cours à Mes pulsions et là , j'ai envie du son de tes fesses sous mes mains... J'ai envie de la chaleur de ton cul contre la paume de mes mains... J'ai envie de t'emmener au bout de Mon plaisir, là où ton corps qui est Mien danse sous mes mains...  Doucement , je fais remonter mes doigts le long de ton dos jusqu'à ta nuque. Je pose une main sur ta tête ,l 'incline pour que ta joue se plaque au sol. Du pied je fais glisser la cravache devant toi, je veux que tu la vois, qu'elle t'accompagne, qu'elle reste dans ton esprit comme la source du plaisir qui s'écoule en Moi, car je vais te l' avouer au creux de l' oreille en m' accroupissant à coté de toi:  " J'aime beaucoup  quand tu me tends cette cravache et j'adore quand tu me tends bien ton cul..." Je te caresse la joue en me redressant... Te contourne pour me positionner derrière toi... Pose un genoux à terre et reprends la mélodie à deux mains qui m'emmène vers un plaisir certain...
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Par : le 16/04/20
« Tu respecteras bien évidemment le protocole habituel. » Ce dernier est simple: n’échanger aucune parole et le prendre directement en bouche. Ce jour-là, les règles changent un peu. [15:06] M:« Tu viens sans culotte. Je veux pouvoir te travailler pendant que tu avales ma queue. » [15:07] E: « Très bien. » [15:51] M: « Jusqu’à ce que j’autorise à cesser, tu me donnes du Monsieur, aujourd’hui. » Comme à chaque fois, pour dissimuler mon trouble, mon sourcil s’arque et mes lèvres s’étirent en un sourire que je veux moqueur. « Pour qui se prend-il ? » me dis-je en passant mes bas qui s’arrêtent juste en dessous de la lisière de ma jupe. [16:01] M: « Chaque minute de retard te vaudra un coup de ceinture sur tes petites fesses. » Le « La » est donné… et mes consignes aussi. Le Rituel commence alors : une fois le numéro de la chambre connu, je monte le rejoindre. J’aime cet hôtel que j’aime appeler "le nôtre". L’agent d’accueil ne me propose plus son aide : je connais les couloirs par coeur. Un dernier regard dans la glace de l’ascenseur…et puis, la porte de la chambre. Un jour, qui sait, nous les connaîtrons toutes. La suite ? Frapper trois coups et attendre qu’il m’ouvre. S’il m’arrive d’avoir des doutes sur ce qui va suivre. Le claquement de la porte les transforme en certitudes. Même si aucun mot n’est prononcé, nos yeux se les échangent : ceux du désir. Je profite, comme à chaque fois, des quelques secondes qu’il me faut pour retirer mon manteau qui dissimule ma tenue de jolie petite salope que je veux être pour lui. Je trouve à ses pieds le coussin qu’il a pris soin de déposer pour épargner mes genoux. Je rejoins ma place, en silence. Je savoure l’expression de son envie qui déforme son pantalon. Sur le jean, d’abord, puis au travers le tissu de son boxer. Je lèche toujours de bas en haut, au début. Goûtant cette peau qui m’a manqué avant de plonger et me retrouver la bouche pleine. Il est déjà dur… et très large. « Plus loin », me souffle-t-il, je sonde alors mes capacités. « Mieux que ça », il continue. « Regarde tout ce qu’il te reste » dit-il en me faisant regarder à droite : un miroir très justement posé à côté du lit. « Les hôteliers sont des pervers » pensé-je alors quand une douleur vive me saisit. Et pour cause ! M. me tord le bout des seins : « Je ne m’arrête pas tant que tu ne vas pas jusqu’au bout. » Un nouveau jeu commence. La pression exercée s’apaise au fur et à mesure de sa progression dans ma bouche. Je me surprends à enfin toucher des lèvres son bas ventre. Son membre au fond de ma gorge, ses doigts se font alors caresses sur ma poitrine. Je profite, m’enorgueillis de son soupir, avant de manquer d’air. Chaque respiration salutaire me vaut le même tarif : mes tétons mis au martyr. Parfois ses mains quittent le galbe de mes seins pour apprécier celui de mes fesses. Il me flatte, ses paumes claquent et me font rougir. Un doigt fouille l’anneau de mon cul. Son membre investit toujours ma bouche et recueille ma salive la plus épaisse ; j’en suis d’ailleurs recouverte. C’est là qu’il me fait une nouvelle fois tourner la tête (à plus d’un titre) vers ce miroir pour me dire « Regarde comme tu es jolie quand tu es comme ça, à ta place. »
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Par : le 06/03/21
Une chaude matinée d'été. Elle prend son sac de plage, ses huiles bronzantes, un roman, de l'eau. Elle ressent plein d'envies au creux de son ventre, ce matin là. Un lieu naturiste lui a été indiqué, sur les bords de Loire. Pas trop fréquenté. Personne lorsqu'elle pose sa serviette, une petite plage de galets paisible au demeurant, la Loire très basse à cet endroit sur un fond sablonneux envahissant tout le lit du fleuve. Elle s'installe, retire sa robe et sa lingerie, et s'allonge, nue. Le seul instant d'abandon total, le corps libéré accueillant la chaleur du soleil . Elle respire doucement, n'écoutant plus que le chant des oiseaux, le murmure de l'eau, le bruissement du vent dans les arbres... Elle choisit un lait solaire dont elle s'enduit délicatement, le visage, le cou, les seins, les bras, le ventre, l'intérieur des cuisses, les jambes. Son imagination l'entraine sur des sentiers de désirs, pervers à souhait, sens interdits souvent, elle ondule en rêvant de mains sur elle.... Un bruit. Un bruit de pas sur le gravier. Elle ne bouge pas mais reste attentive. Les pas s'approchent, puis une voix la saluant. Deux hommes en maillot sont près d'elle, ils cherchent un lieu tranquille où ils pourront bronzer nus. La conversation banale s'engage, ils sont avenants et plutôt séduisants. Elle s'est retournée à leur arrivée et expose ses fesses blanches et son dos au soleil. Un des hommes lui propose de protéger sa peau claire, et commence doucement à la masser de crème solaire. Ils échangent sur la tranquillité de cet endroit, l'autre homme assis près d'elle, lui pose des tas de questions sur les lieux à visiter. Elle ressent un bien-être grisant l'envahir sous les mains expertes du premier homme, qui s'applique à ne laisser aucune zone de sa peau sans protection. Il effleure, puis masse, détend ses muscles crispés, pétrissage fin et délicat d'un corps en attente. Elle répond aux questions avec plus de difficultés, sa voix s'entrecoupe de soupirs, sa respiration hésitante la trahissant de plus en plus. Les mains glissent sur ses fesses, les écartent, les rapprochent, puis descendent entre ses cuisses. Elle se laisse faire, son corps réclamant ces caresses de plus en plus intimes. Une joie profonde s'insinue en elle, un appétit charnel tend son ventre et son sexe. Elle sait qu'elle commence à mouiller, impudique aveu de ses désirs. L'homme l'incite alors à se retourner, et la sentant hésitante malgré tout, il entraine son corps dans ce mouvement. Il reprend ses massages en protégeant le visage puis la gorge, les épaules, il contourne les seins, les presse, les palpe, en étire les pointes, puis les resserre l'un contre l'autre. Une excitation sourde la saisit lorsqu'il pince ses mamelons et les roule entre le pouce et l'index. Elle gémit plus fort. Elle a refermé les yeux, offrant son corps à ces caresses, elle veut juste jouir de ces instants, elle veut prendre le plaisir comme il vient, indécent, animal, un plaisir chaud montant en elle. Elle a vu l'érection des deux hommes, mais elle ne les touche pas. Pas encore. Elle veut profiter, elle d'abord. Invitant le second à se joindre aux caresses, elle tremble sous ce contact à 4 mains. Les mains pétrissent son ventre rebondi, malaxant sa peau chaude, puis descendent sur ses cuisses qu'elle écarte aussitôt. Les doigts lissent sa légère pilosité, et pianotent sur ses lèvres humides. Ils s'en emparent, les étirent, les font rouler entre leurs doigts. Elle vit ces caresses au plus profond de son corps, les anticipe, les espère, les souhaite plus intimes encore, les appelle en gémissant et en coulant.... Son clitoris saillant est massé délicatement, puis humidifié par les gouttes de salive qu'un des hommes laisse intentionnellement tomber. Ce contact troublant l'excite plus encore. Les doigts poursuivent leur exploration, plus aucun mot n'est prononcé, juste les respirations, les soupirs, les halètements, le vent chaud..... Les doigts ouvrent sa fente, tout doucement, cueillant son abondante cyprine. Un doigt se promène sur sa fente béante, s'imprègne de ce désir trempé pour masser son entre-fesses palpitant. Le doigt appuie et force doucement l'entrée étroite, il s'insinue, trempé de mouille et d'huile solaire, il pénètre et sodomise enfin. Elle est envahie d'une chaleur indécente, elle se veut emplie, pleine, prise.... Deux doigts s'enfoncent alors dans sa fente, la possédant, la visitant, soulevant son bassin sous le plaisir provoqué. Plus encore, le contact des doigts dans son ventre à travers la fine paroi les séparant, l'excite terriblement. Une sorte de danse entre les doigts de ces hommes et son corps, elle sent le plaisir chaud monter au creux de ses cuisses tremblantes. Entre les contractions de son corps et le relâchement absolu de son ventre, elle grogne de cette jouissance bestiale qui la saisit, et hurle de ce feu en explosant sous leurs doigts. Le bassin toujours tendu, elle réclame alors le plaisir de ces hommes et leur ordonne de se masturber sur ses seins gonflés. Vite et fort. Sans aucune retenue. Elle veut les voir jouir, là maintenant, leurs doigts la branlant encore et encore, les siens pressant leurs bourses pour en ressentir toutes les contractions de vidange. Ils restèrent plusieurs minutes sans parler, sans bouger, dans cet état presque craintif de ne plus jamais revivre un tel plaisir . Le plaisir du plaisir.
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Par : le 01/12/23
Bien que nous fassions le maximum au quotidien pour vous éviter ces ecueils, la recherche de partenaires dans le BDSM peut s'avérer risquée en raison de la présence de nombreux faux profils. Ces profils, variés dans leurs types et intentions, peuvent aller de l'ennuyeux à dangereux, engendrant des déceptions et des risques plus graves. Les différents profils à problème Escroqueries sentimentales Les escroqueries sentimentales, fréquemment menées par des individus connus sous le nom de « brouteurs », sont sans doute le premier problème dans le monde des rencontres en ligne, y compris dans le domaine spécifique du BDSM. Ces escrocs, se faisant souvent passer pour des femmes, exploitent la vulnérabilité émotionnelle de leurs victimes. Leur modus operandi est assez typique : ils commencent par créer un faux profil attrayant, souvent doté de photos séduisantes et de descriptions captivantes pour attirer l'attention. Une fois le contact établi, ils tissent des liens émotionnels avec leur cible. Ces brouteurs sont des maîtres dans l'art de la manipulation émotionnelle, utilisant des techniques de séduction et de faux récits pour gagner la confiance et séduire leur victime. Ils créent une illusion de proximité et de compréhension, souvent en partageant des "expériences personnelles" qui, bien que complètement inventées, sont conçues pour crédibiliser l'arnaque. Après avoir établi une connexion émotionnelle solide, ces escrocs entament la phase d'exploitation. Ils commencent généralement par de petites demandes d'argent, souvent justifiées par des urgences fictives ou des situations désespérées. Leurs histoires sont conçues pour tirer sur les cordes sensibles, provoquant chez leur victime un désir de les aider. Les demandes d'argent peuvent devenir de plus en plus importantes au fil du temps, et malgré les sommes versées, les brouteurs trouvent toujours de nouvelles excuses pour éviter une rencontre en personne. Le piège de ces escroqueries sentimentales réside dans leur capacité à manipuler les émotions. Les victimes, souvent aveuglées par leurs sentiments, ignorent les signaux d'alarme et continuent de croire en la véracité des promesses et des sentiments exprimés par le brouteur. Cela peut conduire à des pertes financières conséquentes et à des dégâts psychologiques profonds, la victime se retrouvant confrontée à la trahison et à la manipulation après avoir investi émotionnellement et financièrement dans une relation fictive. La meilleure défense contre ces escroqueries est la prudence et une vigilance accrue. Il est essentiel de rester sceptique face aux histoires trop dramatiques ou aux demandes d'argent, surtout lorsqu'elles proviennent de personnes que l'on n'a jamais rencontrées en personne. Des vérifications approfondies, une communication prudente et une réticence à partager des informations personnelles ou financières peuvent aider à se prémunir contre ces prédateurs émotionnels. Fausses dominatrices (souvent des hommes) Dans le cadre des rencontres BDSM, une autre tromperie est fréquentes : de fausses dominatrices, souvent des hommes, qui créent des profils de femmes dominantes dans le but d'exploiter financièrement des hommes soumis. Ce type d'escroquerie repose sur l'habileté de ces individus à se faire passer pour des femmes dominantes, répondant à un désir spécifique dans la communauté BDSM. Le processus commence généralement par l'établissement d'un profil soigneusement élaboré sur les sites de rencontres BDSM (en cherchant sur Google on peut retrouver certains textes ailleurs, avec un autre pseudo, un autre age, une autre ville ...). Ces profils sont souvent dotés de photos aguichantes et de descriptions convaincantes, dépeignant une image de dominatrice expérimentée et charismatique. L'objectif est de cibler les hommes soumis qui, par leur nature, peuvent être en quête d'une figure dominante féminine pour une relation BDSM. Une fois le contact établi avec une victime potentielle, ces faux profils entament une communication régulière, et essaient assez vite d'emmener la potentielle victime sur Whatsapp ou sur Skype. Ils déploient des compétences de manipulation, se servant de la dynamique de domination et de soumission pour construire une relation de confiance et de dépendance. Ils peuvent promettre des expériences BDSM exclusives, des sessions privées, ou même une relation à long terme, alimentant ainsi les fantasmes et désirs de leur cible. À mesure que la relation se développe, ces imposteurs commencent à introduire l'idée de transferts d'argent. Les raisons invoquées varient : elles peuvent aller de la demande de cadeaux ou d'hommages financiers (offrandes), présentés comme partie intégrante de la dynamique BDSM, à des prétextes plus directs comme des urgences personnelles ou des frais liés à la rencontre. Les montants demandés peuvent augmenter progressivement, piégeant la victime dans un cycle d'exploitation financière. Ce type d'escroquerie est particulièrement insidieux car il exploite non seulement les ressources financières des victimes, mais aussi leur désir de vivre des expériences BDSM authentiques. Les victimes peuvent se retrouver dans une situation où elles se sentent obligées de payer, pensant que cela fait partie de leur rôle de soumis ou croyant qu'elles investissent dans une relation réelle. L'un des aspects les plus dangereux de ces escroqueries est qu'elles peuvent durer longtemps, avec des escrocs entretenant les illusions pour continuer à soutirer de l'argent. Les victimes, souvent honteuses ou confuses, peuvent hésiter à chercher de l'aide ou à signaler ces activités, permettant ainsi aux escrocs de poursuivre leurs agissements. La prévention contre de telles escroqueries implique une vigilance accrue. Il est essentiel de rester critique face aux profils en ligne et de se méfier des demandes d'argent, surtout si elles surviennent tôt dans la relation ou sans rencontre réelle préalable. Il est recommandé de privilégier les rencontres en personne dans un cadre sûr et public pour confirmer l'authenticité d'un profil et de s'abstenir de partager des informations financières sans une confiance bien établie. Faux dominants Le phénomène des faux dominants dans le monde BDSM est beaucoup moins fréquent mais existe néanmoins et est similaire à bien des égards à celui des fausses dominatrices. Ces hommes, se faisant passer pour des dominants authentiques, ciblent spécifiquement les femmes intéressées par des partenaires dominants dans le cadre du BDSM. Leur objectif n'est pas de nouer une véritable relation de domination et de soumission, mais plutôt d'exploiter leurs victimes, souvent à des fins financières ou sexuelles. Ces imposteurs commencent généralement par créer des profils très séduisant sur les sites de rencontres BDSM. Ces profils sont méticuleusement conçus pour séduire, avec des descriptions détaillées de leurs soi-disant expériences et compétences en tant que dominants. Ils peuvent également inclure des photos en mode mannequin et des récits de leurs prétendues sessions BDSM passées pour renforcer leur crédibilité. Une fois qu'ils ont attiré une femme dans leurs filets, ils entament une relation, souvent en ligne au début. Ils utilisent des tactiques de manipulation psychologique, exploitant les désirs et attentes de leurs victimes pour établir une relation de confiance et de dépendance. Dans ce contexte, ils peuvent promettre des expériences BDSM exceptionnelles, jouer sur l'émotion et la passion pour gagner la confiance de la victime. Cependant, l'objectif de ces faux dominants n'est pas de s'engager dans une relation BDSM saine et consensuelle. Ills cherchent plutôt à exploiter leurs victimes. Cela peut prendre plusieurs formes, allant des demandes d'argent, souvent sous des prétextes fallacieux, à la pression pour des rencontres sexuelles qui ne correspondent pas aux limites ou aux accords préalablement établis. Les faux dominants peuvent également exercer une pression émotionnelle intense, utilisant la culpabilité, la honte, ou même la menace pour contrôler leurs victimes. Par exemple, ils peuvent prétendre que le refus de se conformer à leurs demandes est un signe de manque de dévouement ou de fidélité à la dynamique BDSM. Cette manipulation peut amener les victimes à se sentir piégées, leur faisant croire qu'elles ont peu de moyens de sortir de la situation. Le danger de ces relations est qu'elles peuvent conduire à des dommages psychologiques graves, à une perte financière, et dans certains cas, à des expériences traumatisantes. Les victimes peuvent se retrouver isolées, honteuses et réticentes à demander de l'aide ou à signaler ces abus. Pour se protéger contre de tels prédateurs, il est crucial de rester vigilant, de prendre le temps de connaître une personne et d'établir la confiance mutuelle avant de s'engager dans une relation BDSM. Il est également important de fixer des limites claires et de s'en tenir à elles, et de se méfier de toute personne qui tente de les pousser au-delà de ces limites sans un consentement clair et enthousiaste. Enfin, chercher des communautés BDSM fiables et des ressources éducatives peut offrir un soutien et des informations précieuses pour naviguer en toute sécurité dans ces relations. Jeunes femmes prétendant être dominatrices Le recrudécence des jeunes femmes prétendant être des dominatrices dans le milieu du BDSM est assez récent, souvent influencé par des idées fausses et une compréhension erronée de la dynamique BDSM. Ces femmes, souvent novices dans le domaine, sont séduites par l'idée qu'elles peuvent gagner de l'argent facilement en adoptant le rôle de dominatrice, sans avoir une réelle connaissance ou l'intention de pratiquer le BDSM de manière authentique. Cette tendance peut être en partie attribuée à la manière dont le BDSM est parfois représenté dans les médias meanstream et sur Internet. Des représentations glamour et superficielles, comme celles popularisées par des films et des romans tels que "50 nuances de Grey", ont contribué à une perception erronée selon laquelle le BDSM est un moyen rapide et facile de gagner de l'argent, en particulier pour les jeunes femmes. Elles peuvent croire que montrer quelques photos d'elles en tenue suggestive ou adopter un langage "orienté BDSM" en ligne suffira pour attirer des hommes soumis prêts à payer pour de telles interactions. Cependant, cette approche ignore la complexité et la profondeur réelles des dynamiques de pouvoir dans le BDSM. La domination, on le sait tous, va bien au-delà de l'apparence physique ou des mots :elle implique une compréhension profonde des principes de consentement, de négociation, de sécurité, de limites et de besoins psychologiques. Les jeunes femmes qui se risquent dans ce genre d'escroquerie sans cette compréhension risquent non seulement de se mettre elles-mêmes en danger, mais aussi de causer un préjudice potentiel à d'autres. Ce phénomène peut également entraîner d'autres conséquences négatives, telles que la perpétuation de stéréotypes nocifs sur le BDSM et ses pratiquants. Cela peut également mener à des situations où des individus non avertis entrent dans des interactions BDSM potentiellement dangereuses sans les connaissances nécessaires pour assurer leur sécurité et celle de leurs partenaires.   Dominatrices vénales cachant leur statut Notre site se refuse d'accepter des annonces de dominatrices vénales. Chacun à la liberté de choisir sa manière d'aborder le BDSM, mais notre site étant gratuit nous nous refusons à ce qu'il soit un outil pour des business de ce type (et nous ne serions pas à l'abri que les autorités ne nous le reproche). Nous fermons les comptes affichant des intentions vénales. Ceci a hélas pour conséquence d'inciter les dominatrices vénales à ne pas avancer à visage découvert. Ces professionnelles du BDSM, abordent initialement les hommes en laissant entendre qu'elles sont intéressées par une relation personnelle ou une dynamique BDSM non commerciale. Cependant, leur objectif final est de recevoir une compensation financière pour leurs services. Ces dominatrices créent souvent des profils attrayants , présentant des images et des descriptions qui soulignent leur expérience et leur intérêt dans la pratique du BDSM. Elles peuvent engager des conversations avec des hommes, souvent ceux qui expriment un désir de soumission ou une curiosité pour le BDSM, et établir une connexion apparente. Au début, ces interactions peuvent sembler être le début d'une relation BDSM sans vénalité. Les dominatrices vénales peuvent prendre le temps de discuter des intérêts, des limites et des fantasmes de leurs cibles, créant une impression de compréhension et de compatibilité mutuelles. Pour l'homme impliqué, cela peut sembler être le début d'une relation BDSM prometteuse. Cependant, une fois qu'une certaine connexion ou dépendance émotionnelle est établie, la dominatrice révèle alors que pour que la relation continue ou pour que certaines pratiques soient réalisées, une compensation financière sera nécessaire. Cette révélation peut prendre différentes formes, allant de demandes directes de paiement à des suggestions subtiles que des cadeaux ou des hommages financiers sont attendus. Pour la personne en recherche d'une relation BDSM authentique, cette révélation peut être source de confusion et de déception. Non seulement elle remet en question la nature de la relation établie, mais elle peut aussi laisser la personne se sentir manipulée ou trompée. Dans certains cas, la personne peut se sentir obligée de payer, craignant de perdre la connexion ou l'interaction établie avec la dominatrice. Ce comportement pose plusieurs problèmes éthiques, notamment en matière de consentement et de transparence. Dans une communauté où la confiance et la communication ouverte sont essentielles, le fait de ne pas divulguer des intentions commerciales dès le départ peut entraîner une violation de la confiance et compromettre la sécurité émotionnelle des personnes impliquées. Il est important pour les personnes cherchant à explorer le BDSM de comprendre que les relations professionnelles et non professionnelles dans ce domaine ont des dynamiques différentes. La clarté et l'honnêteté concernant les intentions et les attentes de toutes les parties impliquées sont cruciales pour assurer des interactions saines et consensuelles Nous ne pouvons donc que vous conseiller de discuter ouvertement des intentions et des attentes en manière de prestations payantes dès le début des interactions, et de rester vigilants face à des changements soudains ou des demandes inattendues de compensation financière. Vous pouvez avoir vos (bonnes) raisons d'opter pour une relation avec contrepartie. Vous êtes vacinnés et peut être tatoués ;-). Mais si vous ne voulez pas, soyez donc prudents !   Soyez donc prudents ! La présence de faux profils dans les communautés BDSM en ligne peut avoir des répercussions significatives, allant bien au-delà de simples déceptions superficielles. Ces profils, souvent conçus pour tromper et manipuler, peuvent entraîner des conséquences psychologiques profondes, des problèmes familiaux et des pertes financières importantes pour les victimes. De plus, leur présence généralisée crée un climat de méfiance et d'insécurité au sein de la communauté, particulièrement préjudiciable pour les novices qui cherchent à explorer le BDSM de manière sûre et informée. Déceptions et détresse psychologique Les interactions avec des faux profils peuvent mener à des déceptions profondes, surtout lorsque les individus s'investissent émotionnellement dans une relation qu'ils croient authentique. La découverte que l'interaction était basée sur le mensonge ou la manipulation peut causer un choc émotionnel et psychologique, laissant les victimes se sentir trahies, honteuses et vulnérables. Cette expérience peut avoir des effets durables, incluant l'anxiété, une faible estime de soi, et dans certains cas, des symptômes de trouble de stress post-traumatique (TSPT). Les conséquences peuvent s'étendre à la sphère personnelle, affectant les relations familiales et sociales. Par exemple, si un membre de la famille découvre qu'un proche a été victime d'une escroquerie sentimentale ou financière, cela peut créer des tensions et des conflits, menant parfois à l'isolement ou à des ruptures familiales. Problèmes de Confiance et de Sécurité L'existance de faux profils dans les espaces de rencontres BDSM crée également un environnement où la méfiance est omniprésente. Pour les personnes qui débutent dans le BDSM, cette méfiance généralisée rend difficile l'établissement de relations de confiance. Ils peuvent se sentir incertains quant à qui faire confiance ou comment identifier les interactions authentiques, ce qui peut les dissuader de poursuivre leur exploration du BDSM ou les amener à prendre des risques inutiles. La méfiance qui découle de la présence de ces faux profils peut aussi compromettre le sentiment de sécurité au sein de la communauté. Les débutants, en particulier, peuvent avoir du mal à distinguer les pratiques BDSM saines et consensuelles des comportements abusifs ou manipulateurs. Cette confusion peut les exposer à des situations dangereuses, où ils pourraient être exploités ou abusés par des individus malintentionnés se faisant passer pour des pratiquants expérimentés et bienveillants. Pour contrer ces problèmes, nous avons mis en place des dispositfs automatiques dont nous cacherons les méthodes de détection (ben oui !) et vous avez sur les profils et les publications des boutons pour Signaler un profil à l'Administrateur. Soyez précis dans vos demandes, faites des copier coller des conversations (à envoyer à contact[at]bdsm.fr Conseils pour identifier les faux profils Convoquez votre esprit critique ! La présence de faux profils dans les communautés en ligne, notamment dans le BDSM, rend impératif l'adoption d'une posture de méfiance et d'esprit critique lors de l'interaction avec de nouveaux profils. Cette approche prudente est essentielle pour se protéger contre la manipulation et la tromperie. Ne pas prendre les informations pour argent comptant : Il est crucial de ne pas accepter aveuglément les informations présentées dans les profils en ligne. Les faux profils sont souvent bien construits avec des détails convaincants pour créer une fausse impression d'authenticité. Évaluer la crédibilité du profil : Examiner attentivement le profil pour évaluer sa crédibilité. Des éléments comme la cohérence des informations fournies (ville et région annoncées par exemple), la qualité et le type de photos publiées, et la manière dont la personne communique peuvent fournir des indices importants. Des incohérences ou des récits qui semblent trop beaux pour être vrais doivent inciter à la prudence. Recherche et vérification : Effectuer des recherches indépendantes peut aider à vérifier l'authenticité d'un profil. Cela peut inclure la vérification des images via des moteurs de recherche inversée, la recherche de références ou de commentaires d'autres membres de la communauté, ou la vérification de l'existence de la personne dans d'autres contextes en ligne ou hors ligne. Questions d'investigation : Poser des questions spécifiques et observer comment elles sont répondues peut également être révélateur. Les personnes derrière les faux profils peuvent avoir du mal à maintenir leur histoire ou à répondre de manière cohérente à des questions détaillées. Écouter votre intuition : Si quelque chose semble trop beau pour être vrai, il se peut que ce soit le cas. L'intuition joue un rôle important dans la détection des signaux d'alerte. Si un profil ou une interaction provoque un sentiment d'inconfort ou de doute, il est sage de faire confiance à son instinct et d'agir avec prudence.   Analysez les photos : L'analyse des photos est une étape cruciale lors de l'évaluation de la crédibilité des profils en ligne, particulièrement dans des contextes comme les sites de rencontres BDSM. Les photos peuvent souvent être un indicateur clé de la validité d'un profil, mais elles peuvent aussi être manipulées ou faussement représentatives. Voici comment procéder à une analyse efficace des photos : Qualité et style des photos : Des images qui semblent être de qualité professionnelle, comme des photos de mannequins ou de studio, doivent susciter des questions. Bien que certaines personnes puissent utiliser des photos professionnelles légitimes, les faux profils ont tendance à abuser de telles images pour créer une impression irréaliste de leur apparence. Uniformité des photos : Vérifiez si les photos sur un profil semblent être de la même personne. Les faux profils peuvent utiliser un mélange d'images de différentes sources, ce qui peut conduire à des incohérences dans l'apparence physique de la personne représentée. Recherche d'Images Inversée : Utilisez des outils comme Google Image ou TinEye pour effectuer une recherche par image. Cela peut révéler si une photo a été prise à partir d'une source en ligne, comme un site de modélisation, un compte de médias sociaux d'une autre personne, ou même des banques d'images. Vérifiez les résultats : Si une image apparaît sur de nombreux sites ou est associée à différents noms, cela peut indiquer que l'image a été copiée et est utilisée de manière frauduleuse. Cependant, aucune correspondance ne garantit pas non plus l'authenticité, car l'image pourrait être nouvelle ou peu répandue en ligne. Précautions Supplémentaires Demandez des photos spécifiques : Si vous avez des doutes, demander une photo dans une pose spécifique ou avec un objet particulier peut aider à vérifier l'identité de la personne. Les faux profils auront du mal à fournir de telles images spécifiques. Attention aux filigranes et signes de modification : Soyez attentif aux signes de manipulation numérique ou aux filigranes qui pourraient indiquer que l'image a été empruntée ou altérée. Analysez le contexte des photos : Parfois, l'arrière-plan ou les accessoires dans une photo peuvent donner des indices sur son origine ou sa véracité. Par exemple, des éléments anachroniques ou des détails qui ne correspondent pas au profil peuvent être révélateurs. On voit parfois aussi des prises électriques qui ne sont pas françaises ... En appliquant ces méthodes d'analyse, on peut se faire une meilleure idée de l'authenticité des profils rencontrés en ligne. Cela dit, il est important de se rappeler que même avec des photos authentiques, la prudence reste de mise concernant les autres aspects d'un profil et les intentions de la personne derrière.   Analyse des descriptions de profil Cohérence et détail : Un profil authentique tend généralement à présenter une certaine cohérence dans son contenu. Les intérêts, les préférences et le style de vie décrits doivent s'aligner logiquement. Les descriptions vagues, génériques ou contradictoires peuvent constituer un signe d'alerte. Spécificité des envies BDSM : Dans le cadre du BDSM, les pratiquants sérieux partagent souvent des détails spécifiques sur leurs pratiques, limites et expériences. Les profils qui utilisent un langage stéréotypé ou qui semblent trop axés sur les fantasmespeuvent indiquer un manque de véritable expérience ou d'engagement. Langage et ton : Le ton et le style d'écriture peuvent également donner des indices. Par exemple, un langage excessivement agressif ou soumis pourrait être exagéré pour attirer une certaine audience. De même, une utilisation excessive de jargon ou de termes inappropriés pourrait suggérer un manque de familiarité réelle avec la communauté BDSM.   Évaluation des interventions sur le site Consistance et engagement : Les commentaires et réponses d'un utilisateur sur le forum ou sur les murs et groupes peuvent révéler leur niveau d'engagement et de compréhension du BDSM. Les contributions réfléchies et informées sont souvent le signe d'une personne authentiquement impliquée dans la communauté. Interactions avec d'autres membres : Observez comment l'individu interagit avec d'autres membres. Les personnes authentiques ont tendance à établir des dialogues respectueux et constructifs. Les comportements agressifs, manipulateurs ou inappropriés dans les interactions peuvent être révélateurs. Consistance avec le profil : Vérifiez si les interventions en ligne sont cohérentes avec les informations fournies dans le profil. Les incohérences entre ce qu'une personne dit dans les forums et ce qu'elle prétend dans son profil peuvent indiquer une fausse représentation.     Vous pouvez aider la communauté Si un profil vous détecter un profil manifestement déloyal, signalez-le par les boutons "Signaler" disponibles sur les profils et sur les publications. Les signalements font l'objet d'alerte immédiate auprès des administrateurs.  Une action est menée si les faits sont avérés (d'où les mentions "###PROFIL BANNI###" que vous voyez parfois). Par contre, la tendance du moment est de voir des "faux profils" partout. Notamment quand les dames refusent les avances des monsieurs, nous avons de plus en plus de signalements sans aucune précision "Fake", "Fantasmeuse". Sans rien de plus. Aucune sanction ne sera prise sans un minimum d'éléments descriptifs du problèmes. Nous ne traitons plus ces signalements avec juste un "Fantasmeuse" "Faux profil" comme argument. Expliquez un minimum la raison de votre signalement, faites des captures d'écran (pour envoyer par mail à contact[at]bdsm.fr. Merci d'avance.
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Par : le 13/04/20
morsure de ceinture ! Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures. Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur. Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture. Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude Autour de nous, toujours le silence, la quiétude Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris Ma respiration s’altère, ma raison aussi. Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis. « Et présente-moi donc ton petit cul » Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois. L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses. Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre. « Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il « Oui, Monsieur. » « Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il « Vous m’enculez, Monsieur » « Comment ? » il m’interrompt « Comme une chienne. », je réponds. Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne. Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir. « Répète.» « Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? » « Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Par : le 25/03/20
Juste avant que la décision ne tombe (tu en étais informé en amont) et que nous soyons tenus de nous  confiner, tu m’as proposé de venir m’installer chez toi, pour, selon tes mots, que j’assure la «continuité du service sexuel que je te dois ». Jusqu’ici, nous nous étions toujours refusés à vivre ensemble, choisissant de conserver chacun notre appartement, même si, aux yeux des autres, de nos familles, de nos amis, nous étions, nous sommes « ensemble ». Ce choix, nous l’avions fait d’un commun accord. Ce n’était ni le tien, ni le mien mais bien le nôtre. Parce que nous nous pensions tous deux trop libres, trop indépendants pour supporter une cohabitation au quotidien, une vie de couple « normal», craignant malgré tout ce que nous avons construit ensemble de finir par nous lasser l’un de l’autre, et de nous perdre l’un l’autre. Malgré mon appréhension, j’ai accepté, sachant que le confinement était inévitable et je me suis installée chez toi. Nous en sommes désormais à notre deuxième semaine de cohabitation forcée, « télé-travaillant » tous deux, passant l’essentiel de nos journées « confinés », même si, toi comme moi, de par nos métiers respectifs, nous pourrions continuer de nous déplacer comme avant pour vaquer à nos occupations respectives. Ce n’est pas le choix que nous avons fait. Par civisme, respect des autres sans doute davantage que des consignes, pour ne pas courir ou faire courir de risque à autrui. D’entrée de jeu, tu m’as proposé de m’installer à ma guise. Je t’ai laissé ton bureau et j’ai choisi d’envahir le salon, installant mon pc, mon portable, mes dossiers. Et nous, qui jusqu’alors passions notre temps à courir après le temps, nous avons appris à vivre selon un rythme différent. Ensemble. Cette cohabitation, cette intrusion de chacun dans le quotidien de l’autre, qui jusqu’ici me faisait peur, non seulement je ne la crains plus, mais j’y prend goût chaque jour davantage. Nous continuons de travailler, nos journée sont bien occupées, entre courriels, téléphone et visioconférences, mais j’apprécie de te savoir tout proche, à mes côtés et moi aux tiens, qu’à tout moment tu peux venir me rejoindre, m’apporter un café, un thé, échanger, parler, vivre. Ni pour toi ni pour moi, télétravail ne signifie laisser aller. Nous nous respectons trop l’un l’autre pour cela. Même confinés, je m’habille comme si j’allais au cabinet et de ton côté la seule liberté que tu t’es offerte c’est de renoncer au port de la cravate. Ta femme de ménage ne venant plus, tu m’as proposé de partager les tâches ménagères. J’ai refusé. Non que j’adhère à la vision traditionnelle des rôles respectifs de l’homme et de la femme. Tu sais combien je hais les machos imbéciles pour qui la femme n’a d’utilité qu’au lit et comme domestique. Mais, même si je demeure femme, je suis aussi ton esclave, et j’ai voulu te le prouver, au quotidien, en prenant à ma charge toutes ces tâches ingrates que bien souvent les femmes n’ont d’autre choix que d’assumer, n’ayant pas la chance d’avoir comme conjoint ou partenaire un mec comme toi. Moi qui normalement emploie également quelqu’un pour ces « tâches subalterne », j’ai appris à faire les poussières, à passer l’aspirateur, à laver les sols, les toilettes, la salle de bains, à me servir du lave vaisselle et du lave linge, à repasser tes chemises, tes caleçons... Et puisque j’accomplis ces tâches en tant qu’ «esclave », je me met nue pour ce faire. Ce qui te permet aussi, si tu en as l’envie (fréquemment, ce qui n’est pas pour me déplaire !) de m’utiliser autrement, toujours comme « esclave » mais à d’autres fins. Nous cuisinons ensemble. Ni toi ni moi ne sommes très doués (enfin toi encore moins que moi ????). Mais j’aime ces moments partagés, nos rires, ce plaisir simple, aux résultats parfois surprenants quand tu t’essaies à des recettes élaborées et que nous finissons devant un plat surgelé compte tenu du produit final auquel tu es parvenu. Le reste du temps, nous parlons, nous lisons, nous échangeons, nous confrontons nos points de vue. C’était déjà le cas avant, mais désormais que le temps s’écoule autrement, nous en avons davantage pour « nous ». Surtout, même si j’avais le sentiment de bien te connaître déjà, j’ai appris à te connaitre différemment, dans ton environnement quotidien, ta manière d’être, de réagir, de te comporter. Et puis il y a nos nuits. Le bonheur de partager ta couche, corps et désirs entremêlés, ta violence et ta tendresse, cette envie qui nous habite de vivre, de profiter de ce temps que nous avons pour nous, de jouir l’un de l’autre, dans tous les sens de ce mot. Je croyais te connaître, pourtant grâce à ce confinement imposé, je continue de te découvrir, avec des aspects de ta personnalité que je ne connaissais pas et d’explorer avec toi, grâce à toi des territoires inconnus. Je ne sais pas ce qu’il adviendra demain. En tout cas, au terme de cette période étrange, de ce temps comme suspendu, je ne porterai plus le même regard sur la vie. Et je n’aurai plus peur.
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Par : le 02/02/21
Je vous attends, à genoux, mains posées, paumes ouvertes, bandeau sur les yeux. Je suis face à la porte que j'ai ouverte peu de temps avant l'heure de notre rendez vous. Mon coeur bas la chamade par l'excitation de vous rencontrer enfin. Par l'envie de vous servir et de vous sentir. Sentir votre puissance sur moi, sur mon corps. Je vous entends vous garer, la portière claquer, et franchir la porte d'entrée. Je me redresse pour mieux vous offrir mes seins. Vous êtes face à moi, j'entends votre souffle, vous m'observez je le sens. Vous vérifiez que tout soit en place et à disposition. Puis enfin vous vous approchez de moi. Vous vous saisissez des pinces tétons que j'ai posées à côté de moi. Vous prenez un premier tétons en main pour le faire davantage durcir. Ils le sont déjà par l'excitation. Vous posez la première pince et serrez jusqu'à ce que je réagisse... vous mettez ensuite la deuxième pince de la même façon. Mes tétons me brûlent, que c'est bon. J'avais perdu le goût de cette sensation. "Ouvres la bouche !" Je m'exécute et vous passez votre sexe sur mes lèvres et me le faite sentir, puis vous me pénétrez violemment la bouche avec. J'en étouffe presque. Puis vous me baisez la bouche ainsi quelques minutes. Vous stoppez au fond de ma gorge que vous forcez petit à petit, jusqu'à mettre tout au fond votre sexe durcit encore par l'excitation. Vous me laissez ainsi, suffocant, sans respiration et vous retirez. Je prends une grande inspiration sonore, puis petit à petit je retrouve mon souffle. Vous saisissez ma laisse et me faites marcher à 4 pattes dans le salon où nous nous trouvons. Vous savez que je déteste ça, peu importe... Vous me ramenez face à la porte, me faites monter sur un pouf à disposition. Vous me posez le baillon boule que j'ai laissé à porté de main. J'adore cet accessoire que j'ai longtemps abhorré. Vous faites le tour de mon corps et vous m'administrez une fessée puissante, claquante, vibrante ! Je manque de tomber du pouf. Vous malmenez ainsi mon fessié pendant quelques minutes, alternant vos mains, la cravache et le martinet. Je gueule de douleur mais ne peut pas prononcer pas le safeword, que je n'aurai de toute façon pas prononcé, tellement le plaisir est intense. Vous me laissez ainsi, le souffle court, et vous installez dans le fauteuil. J'ai mis à disposition votre boisson préférée. "Viens me masser les pieds Chienne" Je descends de mon pouf, me sachant la vue entravée, j'avais mis tous ce dont nous aurions besoin près de moi. Vous me retirez le baillon couvert de ma bave. Je saisi l'huile de massage et avant de commencer, je baise les pieds de Monsieur, mon mâle à vénérer... Je prends mon temps pour faire en sorte d'apporter à Monsieur le bien être qui lui convient. Je masse ses pieds consciencieusement, en appuyant bien sur la plante pour un meilleur effet. J'attends que vous me donniez un nouvel ordre avant d'arrêter. Vous vous levez et vous approchez de mon visage pour me faire sentir votre sexe, le frotter sur mon visage pour me faire sentir votre puissante virilité. Vous saisissez ma laisse pour à nouveau me faire marcher, cette fois jusqu'à la chambre, dont je vous avais indiqué la place dans la maison. Vous vous étiez saisi de l'huile de massage en quittant le salon. "Tu vas me masser le corps maintenant Esclave" "Oui Monsieur" En disant cela, je vous entends vous allonger sur le lit, je sens que vous mettez entre mes mains l'huile. Je m'approche du lit à taton. Je m'aperçois que vous êtes sur le ventre. Je me positionne à vos côtés et commence à vous masser le dos, je dois appuyer fort pour satisfaire ce corps musclé et puissant. Je m'attache à votre dos d'abord, avant de descendre au niveau de vos jolies fesses. Je sens sous mes mains un cul ferme, bombé, musclé, comme je les aime. Je prends le temps de vous caresser plus que vous masser, je profite un peu de cet instant... puis je viens écarter doucement vos fesses et y fourre mon nez à l'intérieur. Je viens humer l'odeur intime de votre sillon. Après m'en être imprégnée, je viens glisser ma langue sur votre rose, doucement. Je vous sens vous contracter et je donne des petits coups de langue afin de vous ouvrir petit à petit. Une fois suffisamment ouvert, je m'insère intimement en vous, et vos gémissements de plaisir me comblent de bonheur. Vous vous retournez sur le dos, et par ce geste votre sexe dur vient taper sur ma joue. Vous répétez ce geste manuellement. Vous posez votre sexe sur mes lèvres afin que je le sente. Que je sente toute votre virilité en cet instant. Je sens que vous vous délectez de cette situation. Je sens l'excitation battre dans votre magnifique queue. Je n'ose bouger. J'attends, à ma place. Vous vous assoupissez un peu. Je sens que vous vous relâchez et un sourire se dessine sur mes lèvres. L'instant n'a duré que quelques secondes, un moment de grâce pour moi. Il me saisit la tête "Ouvres la bouche" Je m'exécute et je sens votre tige envahir ma bouche. Vous vous levez, m'attrapez fermement et me positionnez en levrette au bord du lit, de façon à ce que nous soyons face au miroir qui se trouve dans ma chambre, à cet effet. Vous tapez sur mes fesses avec votre sexe dur. Vous le passez sur la chair tendre de mon sexe, sur ma rose, vous semblez hésiter mais il n'en est rien. Vous testez ma résistance à l'envie d'être remplie de votre chair. Après vous être frotté à moi, vous m'ordonnez de me lever. "Fais moi à manger et sers moi" Vous m'amenez dans la cuisine et m'enlevez mon bandeau. Je lève les yeux pour vous admirer, je vous savais grand mais en ma présence, votre taille et votre corpulence d'athlète sont encore plus impressionnantes. Je me reprends rapidement et prépare rapidement de quoi vous restaurer, selon vos consignes. Je viens vous servir dans le salon, où vous vous êtes installé. Je déjeune à vos pieds. Vous me faites signe de débarrasser et me rejoignez pour me mettre à nouveau le bandeau sur les yeux. Vous en profitez pour arracher les pinces tétons. Je laisse échapper un cri de douleur autant que de surprise. Pour faire durer la douleur, vous frappez à plusieurs reprises mes tétons, après avoir pris chaque sein en main pour en faire ressortir davantage l'objet de torture. La douleur est vive, intense, et tellement jouissive. Vous empoignez fermement ma laisse et m'emmenez, debout cette fois ci, dans la chambre. Là, vous vous allongez sur le dos et m'ordonnez de venir sur le lit avec vous. Je m'exécute avec plaisir, et ayant compris ce que vous attendez de moi, je m'approche doucement de votre corps. Je me place à vos côtés pour venir renifler vos aisselles. Je mets mon nez le long de cet endroit d'odeur masculine et virile par excellence. Je renifle chaque centimètre carré de cette première aisselle jusqu'à ce que vous me demandiez d'en faire de même pour l'autre. À taton, je descends du lit pour en faire le tour, venir me placer à vos côtés et renouveler mon action. Une fois satisfait de moi, vous insérez votre sexe dans ma bouche pour la baiser. Je bave de plus en plus sous les assauts de cette grosse queue dure. Je manque de vomir à plusieurs reprises, mais j'arrive à tout ravaler à chaque fois. A ce moment là, vous m'autorisez à venir m'empaler sur votre sexe en rute. Je me rapproche, passe une jambe de l'autre côté de votre corps et je viens prendre en moi, en entier, cette magnifique tige, tout en expirant un soupir de plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour branler mon clitoris, alors que vous passez une main sous mon collier, autour de mon cou, afin de m'étouffer au rythme de mon plaisir qui monte. Les mouvements de mon corps sur votre queue, ma main entre mes lèvres et mon souffle coupé, je monte petit à petit à l'orgasme mais me retiens en attendant votre ordre. Je sais que je ne dois pas jouir tant que je n'en ai pas reçu l'autorisation de votre part. Je commence à perdre toute capacité respiratoire et mon clito est si dur entre mes doigts, vous sentez ma chatte comprimer votre sexe de plus en plus, et tout en relâchant ma gorge, vous m'ordonnez de jouir : "Vas y !" Un torrent électrique parcoure mon corps et dans la reprise de mon souffle, mon clito opère la contraction ultime qui fait que mon corps entier est secoué de spasmes violents de plaisir, au milieu de mes cris de femelles. Cet orgasme va durer quelques minutes, mon corps tressautant à chaque caresse de mon bouton, et mes cris de bêtes devenant peu à peu des soupirs d'apaisement. Avant même la fin de cet explosif orgasme, vous me basculez sur le dos, me relevez les jambes et insérez violemment votre sexe dans ma chatte. Vos coups de reins font taper le lit contre le mur dans un bruit répétitif. Votre puissance de mâle s'exerce pleinement sur mon corps, vous tenez mes jambes écartées et prenez appuie sur elles pour me maintenir dans cette position et me dominer de tout votre corps. Alors que vous sentez votre semence monter, vous accélérez vos coups de boutoir pour vous retirer en vitesse afin de m'arroser de votre semence. Le jet est si puissant qu'il vient jusqu'à mon visage. Je ne bouge pas. Vous savez que cela est tabou pour moi, mais je reçois ce jus sans bouger, je sais votre plaisir à l'instant...
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Par : le 15/11/22
Ma Domina... Ma Domina est la plus dur. Elle m'a apprit la perte, le chagrin, la peine, la tristesse, le deuil, le renoncement, la douleurs psychique et physique, la déception, le désespoir, la mélancolie, l'oublie, le dénie, la colère, la rage, le silence, la solitude, le manque, le vide, la chute, la honte, la souillure, les plaies, les cicatrices, l'absence... Elle me domine sans repos. Elle me mets à genoux la face contre terre. Elle me piétine, me gifles, me griffe, me mord, m'écrase, m'étouffe... Elle ne tolère pas de safe word elle n'a pas de limite et ne respecte pas celle de ceux qui lui appartiennent. Elle fait comme bon lui semble elle peut être douce elle offre aussi de beaux moment de beaux souvenirs elle peu sublimé illuminé et tout reprendre. Elle soumet tout le monde. Ma Domina c'est .....La vie
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Par : le 16/06/20
Presque 24h, un peu moins. Un timing plus que serré. Plein d'envies et de désirs, alors je ne perds aucune de ces heures, je fonce. Je teste une nouvelle cravache, elle claque,mais marque trop légèrement. A peine dévêtu, encore sous le coup des kilomètres et d'une fin de conduite pluvieuse. Je ne lui laisse pas de repos. Il sait. Il désire mais sans l'avouer, il provoque, recule, approche puis obéit. Je veux poser une de mes empreintes : tout de suite, ne pas lui laisser le temps de réfléchir, le cueillir à froid pour le réchauffer et m'échauffer avant les prochaines heures. Il sait. Le stick claque sans bruit. Un long gémissement pourtant. Main droite, main gauche, stricte application au centre de ses fesses, je frappe pour obtenir cette marque particulière lorsque l'extrémité vient éroder la peau de sa cuisse, de son ventre ou de sa queue. Une marque rouge, douloureuse, quelques centimètres seulement, une résonance vive. J'aime. Terriblement. Il le sait. D'autres gémissements, une attitude de protection. Inutile. Nouveaux claquements, comme pour équilibrer. Fin de nos retrouvailles immédiates. L'heure avance, nous rejoignons un domicile ami. Un garage. Aménagé. Fabuleusement aménagé. De nouveaux désirs en frôlant certains instruments cinglants, brûlants, piquants. "Déshabille toi. Retire tout" Gêne. Son cerveau en ébullition face à nos amis. Je l'installe sur une banc à fessées, le ventre sur le cuir rouge, genoux repliés. Je fixe les attaches : j'aime cet instant précis où je le sangle serré, en le pinçant parfois. Pas grave. Il sait. Pas de bandeau, je veux qu'il voit. Je lui glisse à l'oreille : "tu as une pose d'une grande indécence" Puis, je redis cette phrase à nos hôtes. Mon amie domina commente d'un ton badin : "Hmmm, intéressante cette pose, elle permet d'imaginer des tas de gestes " Il rit mais n'en mène pas large. Je le chauffe en le fessant : j'aime ce contact, doux, sensuel, j'aime le bruit de mes mains sur son cul tentant. Je joue. Sérieusement. Je reprends possession de son corps. Il me l'offre, il grince des dents, gémit, crie, se cambre, tente d'éviter. Les liens enserrent ses bras, ses mollets et ne lui permettent que peu de liberté. Je joue toujours. Fouets rapides, vifs, irradiants. Fouets lourds : ses préférés, coups répétés, cadence élevée. Poings serrés, paupières closes, sourcils froncés. Il gémit de plus en plus et de plus en plus fort. Je ralentis puis cesse. Je le regarde, je touche sa peau, sa chaleur, sa transpiration, ses boursouflures . Question : "je poursuis ? " Murmure assuré : "Oui, ma Lady" Je cingle ses fesses, zone de frappe non érogène pour lui, il se concentre pour accepter cette douleur. Je suis attirée par son cul tendu Il sait. Je reprends mais en le détachant et en le faisant lever. Un instrument m'attire terriblement. Deux longues griffes sur une bague. Je strie son corps entier, je dessine, je compose Je trace de longs traits rouges puis je coupe leur trajectoire en retraversant de l'autre coté. Son corps devient damier. Il aime mes griffures. Il geint et il aime De nouveau sur le banc, je griffe sa queue et ses couilles. Délicatement. Il a peur. J'aime sa peur. Terriblement. Il sait. 1 heure pleine de contacts appuyés, zébrant sa peau, la chauffant de plus en plus. Il aime mais sans l'avouer. Je frôle les marques, pose mes doigts sur les traits larges du fouet bifide, masse légèrement ce corps bouleversé mais pas assez travaillé encore. Pas assez repossédé. Je le relève, l'observe, le contrôle, le surveille, le cajole. Il ne lâche pas prise facilement. Il contrôle aussi, sans se laisser aller totalement : alors, je saisis un couteau. Il sait, recule et me fixe. Muet, il dit non. Je lui conseille juste de ne pas bouger. Je passe la lame sur ses joues, sur ses yeux fermés, sur ses lèvres gémissantes. Je descends la lame sur sa gorge, je reste en appui sur sa peau si fine. Il tremble mais accepte. Ma main est sûre, ne tremble pas : une des différences entre le soumis et la domme. Merci à toi, pour ces émotions Merci à eux de nous avoir reçus et accompagnés Et merci à vous si vous en êtes arrivés là
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Par : le 31/01/16
1.Fille unique, je n'ai manqué de rien sur le plan matériel mais j'ai subi l'étouffement et la dépression de mes parents 2.A l'école, on me traitait de serpent à lunettes et de conne, je le croyais et ne savais pas me défendre 3.J'ai embrassais pour la 1 iere fois à 15 ans, mais il n'a pas mis que sa langue dans ma bouche 4.Je suis partie de chez moi à 20 ans pour gagner ma liberté 5.J'aime le chocolat mais mon corps ne l'aime pas 6.Je déteste la souffrance mais j'aime la soulager, j'en ai fais mon métier 7.J'ai pleuré en regardant Candy et Rémi sans famille 8.J'aime aimer 9.J'ai 2 beaux enfants avec l'homme de ma vie 10.A la naissance de l'un d'eux, le handicap est entré dans notre vie, l'avenir de mon enfant est mon combat 11.J'ai adopté une coupe de cheveux de plus en plus courte au fur et à mesure des étapes de mon combat 12.Je haie l'injustice et ai poussé mon 1ier cri au scandale à 12 ans à ma prof de math 13.J'ai coupé toutes les roses du jardin de ma grand-mère pour en faire du parfum 14.Je suis fière de ce que mon mari et moi avons construit 15.L'humour,l'autodérision sont salvateurs pour moi 16.Je suis fidèle en amour et en amitié 17.Je suis douée de conneries sans alcool 18.Je suis libertine mais pas une catin 19.Envie de voyager loin et en même temps pas trop loin non plus 20.J'aime les autres pour ce qu'ils sont et pas pour ce qu'ils ont 21.J'espère être une bonne mère et bonne épouse 22.J'ai toujours mes boucles d'oreilles assorties à mes vêtements et les ongles manucurés 23.J'adore faire la fête, danser, rire et voir les autres danser et rire 24.Je peux avoir l'apparence d'une femme froide mais c'est juste pour pas me faire embêter 25.Je ne suis blasée de rien 26.Adolescente acnéique, ma chambre était remplie de posters des New kids on the block, j'écoutais "step by step", et je rêvais de Tom Cruise 27.J'ai des seins d'une gamine de 12 ans et je l'ai assume depuis peu 28.Je ne parle jamais de ma vie, je préfére écouter celle des autres 29.Je suis une femme tigresse, une femme enfant, une femme sexuelle, une femme amoureuse, une femme mère 30.Une dernière pour vous dire que j'ai aimé réaliser cet exercice pour vous, je l'ai fais sérieusement mais il m'a été difficile d'écrire certains passages. RAPPEL DES REGLES DU JEU : ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Adéléa" 3)le publier dans la section " articles" 4)me le faire savoir Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : le 22/12/19
Je suis consciente du risque que je prends en publiant ces lignes. Elles me vaudront sans doute d’être clouée au pilori par tous les bien pensants de tout poil et de tout sexe les féministes en tout genre qui veulent à tout prix que chacun(e) rentre dans leurs schémas prédéfinis. Peu importe. Pour moi, le bdsm c’est d’abord la liberté de choisir ce que l’on veut être, pour soi-même, et dans mon cas, pour celui qui me possède. Depuis l'adolescence, je suis accro au sexe et au Mâle. J'assume ce que je suis, une chienne, une salope, soumise, nympho, capable de se lâcher complètement lors de ses plans cul. En même temps, je suis d'un tempérament plutôt réservé, pudique. Avant de connaître Maxime, mes échanges avec les mecs qui me baisaient se limitaient à cadrer nos jeux, ce que nous allions faire, les limites à respecter pour celui auquel je donnais l’illusion de me dominer. La seule chose qu’ils connaissaient de moi c’était un prénom qui n'était pas le mien et un numéro de portable, où me joindre pour un plan cul. Hormis cela, je ne leur parlais jamais de mes désirs, des mes fantasmes, de mes craintes, limitant mon expression au dialogue des corps. En même temps, je n'en éprouvais pas le besoin. Mon rapport aux hommes était purement utilitaire, je ne me donnais à eux que pour jouir d'eux, le temps de nos ébats. Et il n'était pas question pour moi de leur offrir autre chose que mon corps et mes trous, puisque je n'attendais rien d'autre d'eux que leur sexe et du plaisir.   C'est Maxime qui le premier a voulu et su m'apprivoiser, voulant tout savoir, tout connaître de moi, avant même notre première rencontre. J'ai appris avec lui à parler de sexe, à lui confesser mes envies, mes désirs, mes craintes, parfois jusqu’au bout de la nuit, m'obligeant à exprimer ce que je n'avais jamais su dire. Et ce n'est que lorsqu’il a jugé en savoir assez de moi, qu'enfin il a accepté de me rencontrer. Grâce à lui j'ai compris la nécessité pour le Maître, de tout connaître de son esclave, de ses sentiments, de ses désirs, de ses doutes aussi. Parce que le pouvoir passe par la connaissance de l'autre, de ses rouages, de ses motivations intimes. Dominer une femme, au delà de la possession physique, c'est aussi pouvoir la manipuler, jouer de ses désirs, de ses frustrations, dans l'intérêt de celui qui la possède et in fine le sien. J’ai compris que mon Maitre avait besoin de tout savoir de moi, pour lui d’abord, pour tirer de moi le maximum de plaisir pour lui. Mais aussi pour moi, pour que dans l’usage qu’il ferait de son esclave il sache jusqu’où pouvoir aller trop loin. N’en déplaise aux bien pensants, une relation bdsm n’a rien à voir avec l’égalité des sexes. C’est un jeu de pouvoir, de manipulation et de séduction, dans lequel le Mâle recherche d’abord son plaisir, grâce auquel la soumise jouit de ce qu’elle est pour lui.
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Par : le 28/09/21
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs. Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience". Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience". Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions. Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi." Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux. J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc." On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique. Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc." Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence. Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple : "J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie." "La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions". On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;) C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer. Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance. Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire. Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;) Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : le 09/12/19
J’aime ton sexe, ta queue, tes couilles, ton gland, et ce qui s’en écoule, ta mouille, ta semence. Je me prosterne devant lui pour l’adorer, le vénérer. J’aime sentir ses effluves, ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse, de foutre qui caractérise le Mâle. J’aime te montrer le désir qu’il m’inspire, en le caressant, l’embrassant, le léchant. J’aime te prendre en bouche, te sucer longuement. Faire durcir, se tendre ta virilité et faire monter en toi le désir de t’en servir pour me posséder et jouir de moi. J’aime le moment où tout bascule quand ton désir de Mâle en rut l’emporte sur tout le reste. Lorsque tu me prends la tête entre tes mains Pour me pilonner, me défoncer la gorge. Jusqu’au moment où tu ne n’en peux plus de te retenir. Et que le foutre jaillit, à longs traits saccadés, que je déguste au fur et à mesure que tu le répands en moi. Puis, lorsque tu t’es libéré, que la tension est retombée, que tu m’as comblée de ta semence, j’aime nettoyer ton sexe, ton gland avec ma langue pour ne gaspiller aucune goutte de ta liqueur sacrée. J'aime te sucer. Dans les lieux les plus insolites, dans ta voiture, un parking, les toilettes d'un restaurant, dans un ascenseur à l'arrêt, sur une aire d'autoroute. J'aime te sucer. Dans toutes les positions, à genoux devant toi, couchée sous toi, accroupie sur toi, allongée à tes côtés. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle. Parce que tu es mon Maitre et que je jouis de te faire jouir.
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Par : le 02/06/21
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille Une journée  pas comme les autres écrite à quatre mains Beau souvenir Nous devons nous voir avec Miss Pestouille     Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff,  Je ne suis pas étonnée,  elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!! Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant. Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....  Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses?  mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p Elle :  cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande?   et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà . je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur! -après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!!  ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!).  j'étais toute excitée moi. Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :) ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur. l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!) je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^! Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame. En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante! Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...   Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la). - Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser! nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout!  je suis, je n'ose La contredire.  Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...  - Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^ Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ... - Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait. j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..  Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage... Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....   Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres......... Elle :  j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.  Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça).... Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante.  Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!   Moi  : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ... Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau. Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...  Moi : Il  faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !)  Je frôle sa douce peau... Hum, Je serre fort le cordon.... - Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)  Moi :  Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...  Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S.  Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^ Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle,  normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent .. Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^ Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ... Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte... quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui .. nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place  Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!!  MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!!  Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela! Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame... Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L. notre vengeance sera terrible... Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en  ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille ..  qui a eu les yeux qui brillaient!  Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin. Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^ Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il. la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports! Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^   Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^ Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes.. Lady H et MissPestouille ...
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Par : le 18/11/19
Pour moi, bdsm et sexe sont inséparables. J’ai besoin de sexe, je suis accro, sex addict. D’aucun(e)s pourront me qualifier de nympho, de salope, de pute, je m’en fous. Chez un homme, une forte libido est considérée comme un signe de virilité. Alors pourquoi devrait-elle être stigmatisée chez une femme? Peu importe la manière dont Maxime me prend. J’aime quand il me fait l’amour, tendrement, se préoccupe de mon plaisir. Mais je jouis tout autant (voire davantage) lorsqu’il me baise de façon bestiale, utilisant n’importe lequel de mes trous, ma chatte, ma gorge, mon cul, en laissant libre cours à son besoin de me posséder. J’aime quand il me prend dans des endroits improbables, un ascenseur à l’arrêt, une voiture, un parking, dans les toilettes d’un restaurant, sous la douche, sur une table. Peu importe la position qu’il m’impose, allongée, cuisses écartées, à genoux, la croupe tendue ou encore debout, accrochée à lui. Le sexe est magique quand mon Maitre me baise.
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Par : le 04/05/20
Mes mains, ma bouche, ma chatte et mon cul : tous occupés. Branleuse. Suceuse. Baiseuse. Je suis son projet de chair, éduquée salope comme il aime. Chaque soupir échappé est un hymne à notre relation. Les queues qui jutent dans mes paumes sont sans équivoque : Voilà une salope formée par son professeur. Une chienne avérée. J’arrête mes caresses. Mes mains sont pleines de foutre. Je me sens presque gauche de ne plus avoir de chibre à branler. Je l’interroge du regard, il retire doucement sa queue de ma bouche et approche un foulard. Ses sourcils froncés sont la dernière chose que je vois. Mes genoux rencontrent une surface de cuir, puis des jambes d’homme. Je ne sais pas qui je baise. « Tout doucement. Tu fais comme j’aime. Baise-toi comme une grande-fille » me murmure-t-il Alors je masse ce membre, contracte ma chatte tout autour, impose à l’inconnu un rythme lancinant « Putain ! » Je ne peux qu’entendre et sentir. Le qualificatif qui tonne. Le claquement de mes fesses sur ses cuisses. Et la bite qui s’enfonce. Loin. Et fort. Ce qui se passe autour ? Je ne peux que l’imaginer. Les peaux se mélangent. Les bouches lèchent et sucent. Ça nique dans tous les coins. Je ne sens plus M. près de moi. Et je panique. Juste à côté, des gémissements de femme. Un corps que l’on secoue. Et des râles de pâmoisons que je ne reconnais que trop. Déchirée. L’inconnu continue d’aller-et-venir en moi sans s’occuper de mes atermoiements. Il m’utilise. Je veux partir mais d’autres mains me retiennent. Combien ? Je ne sais pas. Mes seins sont empoignés. On serre ma gorge. Mon corps ne m’appartient plus. Ma voisine a joui. En jappant de petits cris aigus. La même qui a présent me retire le plug, écarte les globes de mes fesses, et crache en leur centre. Une queue s’enfonce. Sèchement. Elle me fait mal. Forcément : l’autre me comprime déjà. Mon cri s’étouffe dans une poigne. « Inspire... Fort » m’intime-t-elle. L’odeur distinctive du poppers envahit mes narines. J’ai chaud et la tête me tourne subitement. Mon corps vibre et mon cul s’ouvre. Puis je me rappelle. Je me rappelle pourquoi je pourrais passer des heures à me faire enculer. Pourquoi il a fait de moi sa salope anale. Pour ça : ce kiffe d’être remplie jusqu’aux entrailles. Me baiser du cul jusqu’à la tête : que mes pensées ne soient que foutre, bite, queue, sperme, mouille. Un travail consciencieux et méthodique pour me rendre addict. Ça monte. « À qui est ton cul ? » On le sait tous les deux et c’est clair comme de l’eau de roche. « À vous Monsieur » -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Récit complet : Partie I : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu.html Partie II : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-ii.html Partie III : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-iii.html
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Par : le 28/09/19
Je la connaissais bien, la bougresse, et j'entretenais une relation exécrable avec elle. Il faut dire que je n'avais que des mauvais souvenirs en sa compagnie. Je la trouvais laide, impitoyable, fondamentalement détestable. Je la haïssais avec passion, la chienne... Et puis un jour, sans prévenir, je l'ai embrassée. Nul récit saphique ici, celle dont je parle aujourd'hui se nomme la Douleur. Un grand mot, pour de grands maux. J'ai passé 20 ans à ses côtés, sans la connaître vraiment. À tenter de la repousser, de l'annihiler, et à défaut, de la museler. Et puis, un beau jour, tout a changé. Je n'étais alors coutumière que des fessées raisonnables, de celles qui mettent du piment dans un couple, mais ne laissent de trace ni sur le corps ni sur l'esprit. Mais ce jour-là, allez savoir pourquoi, il a mis plus de cœur à l'ouvrage. La sensation de brûlure s'est faite plus franche, plus nette. La Douleur est arrivée sur son cheval noir, désagréable, cinglante, et pour finir violente. J'ai décidé de tenir bon, serré les dents et enduré, pour ne pas capituler devant Elle. Et c'est là que le miracle s'est produit... Il y a eu un basculement dans ma tête, dans mon être. Un lâcher-prise salvateur. Tout à coup, j'ai cessé de lutter contre la Douleur. Je l'ai regardée, droit dans la noirceur de ses yeux, et je l'ai acceptée. Le prochain coup sur ma fesse rougie aurait dû être insupportable. Il l'a été. Mais la seconde d'après, la Douleur s'est faite douce, aguicheuse, et terriblement excitante. Il a senti le changement dans mon souffle, dans ma posture, et a porté un nouveau coup, plus fort. Encore cette brûlure intolérable, suivie immédiatement par un plaisir galopant, plus franc, plus sucré. Qui ne cessait de s'élever plus haut de seconde en seconde. Mon corps se fit alors plus chaud, plus dense, gorgé de sève. Je redoutais le prochain coup dans une attente fébrile, inquiète et impatiente à la fois. Deux nouveaux coups, très rapprochés. La Douleur, immense, éclatante, a pris toute la place. Je n'ai pu retenir un cri, suivi de près par des gémissements, d'abord ténus, puis de plus en plus vibrants. Le plaisir s'élevait en vagues puissantes, divinement ravageuses. J'ai creusé davantage les reins, offrant mon cul affamé, réclamé plus, encore. Plus fort ! Je n'étais plus que désir brûlant... Les coups se sont succédé, mordants, cruels. Les pauses se sont espacées, pour finir par disparaître, la cadence devenant somptueusement diabolique. Je ne supportais plus que ça s'arrête... Je priais, implorais, pour que les coups pleuvent. Je n'avais jamais tant perdu le contrôle de moi-même. La morsure dans ma chair était intolérable, mes cris, emplis de sanglots, se faisaient déchirants. La Douleur était omniprésente, immense, superbe, elle m'aveuglait de sa force et annihilait ma volonté. Le plaisir, incandescent, dévastateur, prenait tant de place que c'était à la limite du supportable. Mes gémissements s'étaient mués en râles, longs, profonds, suppliants, remontant des tréfonds de mon être. Jamais je n'avais ressenti une telle montée de plaisir, aussi entière, étendue, étourdissante. Plus rien d'autre n'existait que les coups et la Douleur. Et mon plaisir, toujours plus fort, au-delà de ce que je pensais possible. L'orgasme, salvateur, est enfin venu m'en libérer. Long, très long, démesurément fort, ne ressemblant en rien à tout ce que je connaissais jusque-là. Une sensation pure, nouvelle, presque trop puissante pour être supportée. Les coups ne cessèrent qu'après que mon corps, agité par de violents mouvements incontrôlables, ne finisse par s'effondrer. Je ne faisais plus un bruit, je ne bougeais plus, je ne respirais même plus. Je n'étais plus. C'est lui qui, inquiet, m'a ramené doucement à lui par la voix, me rappelant qu'il y avait un monde, dans lequel j'existais. Il m'a fallu un long moment pour reprendre pied, revenir à la réalité. Je planais... Haut, très haut. Je ressentais une sérénité pleine, absolue, comme je n'en avais jamais connue. Tous mes doutes, toutes mes peurs, toutes mes angoisses, tous mes regrets, tout s'était envolé, loin, très loin. L'abandon, la plénitude... La sensation d'avoir trouvé ce que je recherchais depuis toujours sans le savoir. D'avoir touché du doigt le Beau, le Sacré, la Vie. Je me sentais bien. Je me sentais moi. Il m'a fallu du temps pour me remettre du choc. J'ai mis longtemps à accepter ce qu'il s'était produit. Et ce que ça faisait de moi... Mais rien n'aurait pu m'arracher à ça. Ce que la Douleur m'a fait vivre, ce jour-là, transcendait tout. Les codes, la honte, les préjugés, rien ne pouvait faire le poids face à ça. J'avais regardé la Douleur en face, et je l'avais embrassée. Je l'avais aimée... Et dire que je la détestais tant ! Elle était belle, désormais, sur son cheval noir. Grande, puissante, redoutable... Une Reine. Je la respectais. Bien sûr, nous avons toujours nos différends, j'ai parfois du mal à supporter sa présence, mais je sais que lorsque je fais appel à elle, c'est une alliée incomparable. Elle est toujours mon fardeau, mais est devenue mon amie, mon amante... Mon amour secret.
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Par : le 18/09/16
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique ______________________________________________ Enfances (Récit pathétique) Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite. J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer. Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer. Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé. Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux. Invariablement, l’autre est hostile. Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement... ...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit. Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ? Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise… Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif. ________
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Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
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Par : le 21/10/23
Il paraît Il paraît qu'une soumise doit laisser libre cours à son animalité. Il paraît qu’une soumise qui ne veut pas renoncer à ses enfants, sa vie sociale et professionnelle, fait passer son Maitre au troisième plan. Il paraît qu’une soumise n’a pas le droit de dire non. Il paraît que le consentement est primordial. Il paraît qu’une soumise devrait adopter les valeurs de son Maitre et les faire siennes, sinon elle a le droit de reprendre sa liberté. Il paraît qu’une soumise doit être au service de son Maitre. Il paraît qu’une soumise doit toujours satisfaire son Maitre. Il paraît que les sentiments sont des freins à une construction BDSM, Ds. Il paraît que le protocole est fastidieux. Il paraît que le masochisme est important. Il paraît qu’il faut se méfier des dom qui ne vont pas en Munch. Il paraît qu’une soumise doit se dépasser quitte à s’oublier . Il paraît qu’une soumise doit toujours être apprêtée. Il paraît qu’une soumise doit toujours être disponible pour son Maitre. Il paraît que je suis moi et qu'une relation se construit à deux à partir de ce que chacun est. Et c’est cela qui me paraît le plus important et seulement cela !
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Par : le 06/02/20
Je suis à toi. Je l’ai été tout ce week-end. Je me suis donnée à toi, j’ai joui de toi. J’aime ta tendresse, ta bestialité, cette violence que tu portes en toi quand tu me baises. J'ai choisi ce que je suis désormais, ta femme, ton esclave. Je l'ai voulu. Je t’ai voulu. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle, mon Seigneur et mon Maître. Même si c’était hier, j’ai le sentiment que cela fait longtemps que j'ai renoncé à ce que j'étais avant, une femme soumise, vivant sa soumission en toute liberté, avec qui elle voulait, comme elle le voulait. Tu m'as imposé tes règles. Je t'ai offert l'exclusivité de mon corps. J'ai renoncé aux amants de passage, pour me consacrer uniquement à toi. J'ai appris la frustration, parce que c'est toi qui décide quand tu me baises, la jalousie, parce que je n'ai aucun droit sur toi, mais aussi le désir de toi, le plaisir d’être avec toi, pour toi. la jouissance d'être à toi. C’est si bon d’être ta femme, d’être ton esclave. Merci pour ce week-end passé ensemble. Merci Maxime, merci Maître.
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Par : le 13/04/20
Il n’a même plus besoin de m’en donner l’ordre. Le coussin sur le sol me l’intime à chacune de nos rencontres. C’est devenu un acte de soumission profonde, et capital. Depuis le début de ces séances, c’est le préliminaire indispensable, sans quoi, je pourrais rester frustrée, déconfite d’avoir été privée du goût de sa queue. Le sucer, c’est aussi un fantasme qui accompagne mes caresses avant de m’endormir, celui qui s’impose quand je reçois une de ses photos. J’aime m’activer lentement sur sa hampe pour commencer. Savourer…le temps de le faire durcir. Le prendre en entier tant que je le peux encore car plus il durcit, plus son sexe devient trop gros, trop long pour ma bouche. J’aime le faire bander même si c’est au prix de ma suffocation. Je marque des pauses avant de coulisser plus franchement. Je me focalise pour le sucer comme il le veut. Manquer d’air me rend ivre et de plus en plus avide. Je m’étrangle souvent. Laisse couler des filets de salive qui défont tout le soin que j’avais pris à me faire jolie. Mon maquillage coule avec mes larmes. C’est humiliant et j’avoue aimer ça, justement. Ça me coûte de mettre à mal mon ego et pourtant j’aime qu'il s’en foute comme si c’était normal ; d’ailleurs ça l’est devenu au fil du temps. Ça participe à son plaisir, donc au mien. Il est dur et excité maintenant. Il m’attrape par les cheveux et maintient ma tête de façon à le prendre au plus loin de mes capacités. Il me baise la gueule. Je perds le contrôle de ma nuque. Il a le contrôle et je tente de retenir ma nausée. Je m’efforce d’être ce qu'il veut : sa chose, sa poupée, un trou pour son chibre. Je bave et ressemble à une loque. J’ai le regard perdu. Bave, larmes et morve se confondent sur mon visage. Je lui suis soumise et excitée à mort. Camée, je deviens cette junkie réclamant son shoot : sa queue.
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Par : le 19/04/23
Je lui ôte ses menottes afin de finir de la dévêtir. D’un pas, elle enjambe sa jupe au sol, son chemisier tombe à son tour. Elle cherche machinalement à deviner ce lieu que ses lentilles opaques l’empêchent de voir. Je verrouille sur ses poignets de larges bracelets d’acier, puis à ses chevilles. Ses bas noirs font ressortir le brillant de l’acier, je suis aux anges. La prenant fermement par la nuque, je la pousse vers le salon. J’en profite pour observer son corps nu que je possède pour la première fois. Elle est belle. Elle n’a rien d’extraordinaire mais son corps dégage une douceur, une sensualité incroyable. Les talons très hauts de ses escarpins imposent à ce corps une délicieuse cambrure qui exacerbe sa féminité incroyable. Nous y sommes, je la retourne et la fais s’assoir sur la table basse du salon que j’avais préparée. Je la fais s’allonger et passe ses jambes de part et d’autre de la table. Avec la chaine que j’avais disposée, je relie les bracelets de ses chevilles. Je fais de même avec ses poignets les fixant au-dessus de sa tête aux pieds de la table. Une dernière chaine vient s’arrimer à son collier pour lui interdire de se redresser. Enfin, un beau bâillon gag en cuir noir vient la réduire au silence. La position de ses jambes, maintenues écartées par la table basse offre son sexe au regard. Sa fine toison est ornée de perles de rosée, son excitation est manifeste. Lors de notre repas, la semaine dernière, elle m’avait indiqué qu’il fallait en prévision de ce soir qu’elle se rase le sexe, chose qu’elle avait négligé depuis un certain temps, ce que je lui ai formellement interdit sans plus d’explication. Quelle plus belle façon de s’approprier ce corps que de le faire moi-même. J’attrape une petite tondeuse que j’utilise pour ma barbe et entame délicatement le travail. Très vite, la voilà à nue. Un peu de gel et un rasoir permettent d’obtenir enfin la douceur attendue. Nous y sommes, elle est prête. Elle est restée parfaitement immobile tout ce temps. J’ai pourtant envie de la voir se contorsionner dans ses entraves, se débattre, tenter en vain de se soustraire. J’attrape un vibro énergique et commence à caresser ses lèvres puis à approfondir les choses. Des gémissements se font vite entendre, elle gigotte et tend ses chaines. Ses poings se ferment, des vagues la font onduler. Enfin, une grande contraction de tout son corps et un hurlement de bonheur, étouffé par son bâillon, marquent la délivrance. Mes mains caressent son corps et finissent par vérifier avec attention le travail que je viens d’achever. L’excitation est totale. Ses chaines otées, je me pose sur le canapé et la tire vers moi. A tâtons, elle cherche mon corps et s’agenouille spontanément devant moi. Maladroitement à cause de sa cécité elle défait mon pantalon. Il y a des initiatives agréables qu’il faut savoir encourager. Je la caresse avec tendresse alors qu’elle me met à nu. Il devient urgent de lui oter ce bâillon qu’elle frotte tendrement sur mon sexe. Ses lèvres sont douces, tendres et fermes à la fois. Puis elle m’honore de sa langue et la douce chaleur de sa bouche. Le plaisir est total. Elle arbore maintenant un sourire incroyable, la fierté du travail accompli, du plaisir donné.  Je la hisse sur le canapé. Machinalement, elle vient se blottir dans mes bras, elle semble tellement paisible, heureuse, je suis bouleversé. Comme nous n’étions pas là pour passer du temps à table et faire un repas gastronomique, nous avions convenu de nous commander un repas par livreur. Je passe un coup de fil et nous attendons le livreur enlacés sur le canapé à papoter et prendre soin l’un de l’autre. Le livreur sonne. J’enfile rapidement mon pantalon et reviens avec notre repas. La logique voudrait que je lui enlève ses lentilles opaques mais je n’arrive pas à m’y résoudre. J’aime trop cette dépendance et la douceur que l’hésitation donne à ses mouvements. Nous mangeons l’un contre l’autre. Entre deux bouchées, je la nourrie, telle la personne dépendante qu’elle est.  Notre repas fini, nous allons dans la chambre. Notre soirée ne fût que jeux et tendresse. Elle n’avait que peu d’expérience, nous avons donc testé plein de choses… Menottes, armbinder, baillons et harnais en tout genre, camisole de cuir,… J’affectionne particulièrement ma camisole de cuir. Elle offre une contrainte absolue et le contact de cuir est d’une sensualité incroyable. Par chance, elle a adoré également. Je pense que la camisole n’aura pas l’occasion de prendre la poussière. La nuit avançant, nous arrêtons nos jeux pour ce soir. Je lui laisse ses lentilles et les bracelets d’acier qui ornent ses chevilles et poignets. Elle blottie dans mes bras, nous nous endormons. Le réveil fut bien agréable. Je fus étonné que ses lentilles résistent à une nuit de sommeil mais elle était toujours aveugle. Comme il fallait qu’elle parte tôt pour un repas de famille, je lui propose de commencer par une douche. Je la conduis sous la douche avec ses bracelets et la nettoie avec de grandes caresses savonneuses. Elle me demande le savon me tendant la main et s’occupe à son tour de moi.  Sa cécité donne une infinie douceur à ses gestes, parcourant mon corps à tâtons. Ses caresses sont divines.   Une fois propre et sèche elle me demanda si elle pouvait revenir ce soir, après son déjeuner en famille. Comment refuser un tel plaisir ? Du coup, une vilaine idée me traversa l’esprit. « Oui, il n’y a aucun problème mais je vais mettre un peu de piment à ton repas de famille ». Je la ramena sur le lit et attacha ses poignets et chevilles aux chaines des quatre coins du lit. Un bâillon la priva ensuite de toute possibilité de protestation. Je pris un sac dans le placard et alla chercher quelques outils. Ensuite, je pris un moment à régler à sa taille une ceinture de chasteté. Une fois suffisamment ajustée, je la verrouilla. Même loin de moi, elle restera mienne. Une fois ainsi « vêtue », je la détache, lui enlève bracelets et enfin ses lentilles. Elle découvre enfin les lieux. Voyant le grand miroir de la chambre, elle se lève et va observer ce que je viens de fixer sur son corps. Elle n’ose rien dire mais je sens bien ce mélange de plaisir et de crainte que cela se voit. Il est certain que si elle passe la journée avec la jupe courte et légère qu’elle avait hier, il faudra pas qu’elle se penche ou qu’il y ait du vent. Nous descendons prendre le petit déjeuner, nus. Elle passe machinalement ses mains de façon régulière sur sa ceinture. Une fois terminé, nous nous habillons puis, après une tendre dernière embrassade, elle me quitte pour renter chez elle. Que les heures vont être longues en attendant son retour
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Par : le 23/07/23
Par chance ou par sadisme tu m’as laissé du temps pour m'échapper. Je cours le plus vite possible dans la forêt. Il fait nuit et ma vue met du temps à s’adapter. Je cours à en perdre haleine. Quand je pense t’avoir échappé, je m’arrête pour reprendre mon souffle. Crack Une branche  craque pas loin de moi. Je comprends vite que c’est toi. Alors je me mets à courir comme une furie. Après une longue course je ralentit, pensant t'avoir semé. Je n'entends aucun pas derrière moi et pourtant je te sens pas loin. Je me sens comme épier. Les minutes passent, je sens tous mes sens en éveil. Je t’entend tourné autour de moi mais aussi une respiration à peine perceptible. Je sens dans celle-ci une certaine excitation. Je sens que tu prends plaisir à la situation. La situation devant oppressante je me remet à courir. J'ai fini par m’arrêter de fatigue suite à cette dernière course. Je me pose près d’un arbre. Je t’entend arriver en marchant. Ne pouvant pas courir, je vais me cacher dans un buisson. Je vois tes pieds près de moi. de peur je retiens ma respiration. Je vois que tu renifles comme pour sentir mon odeur. Puis je te vois t’éloigner de moi. Soulager, je respire enfin. Je sors de ma cachette, c'est à ce moment-là que tu bondis sur moi. Tu étais près de moi mais je ne t’ai pas senti. Je rage intérieurement. Je me débat brutalement. Je te mord griffe. Mais tu réponds par de forte morsure. Mon corps est marqué par tes dents. Tu finis par me maîtriser. J’ai la tête contre le sol et les mains dans le dos. Je tante de me débatyre c’est alors qu’avec ton pied tu me colle la tête contre le sol et les mains dans le dos. Tu arrives à m’attacher les bras le long du corps. Ainsi que mes mains. Je suis incapble de m’en libérer. Tu rajoute une couche à la situation en passant le bout de corde libre par-dessus une branche solide de l’arbre. Me voilà suspendu à cet arbre. J’ai mes pieds qui touchent à peine le sol. Je suis à ta merci. A ton sourire carnassier je vois que tu es satisfait de ma position; En me regardant tu sors un couteau. Tu peux lire dans mes yeux la terreur. Tu viens de passer la lame le long de mes jambes nue. J’en frissonne de peur mais aussi d’excitation. Je sens la lame passer sur ma peau sans me blesser. Tu remontes avec celle-ci au niveau de ma culotte que tu viens couper sans vergogne. Maintenant tu la passes sur mon ventre. Plus tu l’approches de mon visage, plus mon excitation monte. Tu as bien fait attention quand tu m’attachais de laisser sortir ma poitrine. Je sais bien pourquoi tu es fait cela. Tu passes alors le couteau sur ma poitrine. Tu laisses quelques  marques rouges. Tu passes très près de ma gorge, par peur je ne respire plus et ne bouge plus. Ta lame vient couper mon soutien gorge. Et déchirer mon haut. Mes seins sont maintenant libérés de mes vêtements. Tu y as accès comme tu le souhaites. Tu profites de cet accès pour faire danser ton couteau sur mes tétons. Je m’empêche de frissonner malgré mon envie. J’ai pas envie de te faire ce plaisir. Tu en as assez du couteau. Tu le refermes. En te regardant faire, je constate que ces préliminaire ton donner bien envie. Je vois que ton membre est dressé dans ton pantalon. Tiu retire celui ci pour enfin libérer ton sexe. Ton sexe  est droit et fière. Je vois dans tes yeux que tu n’en peux plus. Tu viens alors passer tes doigts sur mon sexe qui est à l’air libre. Tu constates que je suis tellement humide que mes cuisses sont trempées. Tu t’approches de mon oreille et me chuchote. - Alors cette course poursuite ta bien exciter à ce que je vois. A ces mots, je suis rouge de honte. Je dois bien l’avouer que d’être chasser est très plaisant. Surtout par lui. Après m’avoir chuchoter, c'est quelque mots. Tu me mord tout en plantant tes doigts dans ma chatte. Je reçois alors un électrochoc de plaisir. Je ne peux m’empêcher de crier mon plaisir. Tu ne me lâches pas le cou et viens faire des aller retour rythme avec ses doigts. Tu sais où taper pour me faire partir. Et tu y vas sans hésitation. Je monte de plus en plus dans le plaisir quand je suis au bord de l’orgasme, tu t’arrêtes. Je grogne mon mécontentement. Je me débats. Je suis un vrai animal en rut. Tu me descends de l’arbre pendant que je suis en trans.  Une fois calmer, cette fois c’est pas tes doigts qui rentrent mais ton sexe. Quand tu me pénètres. J’ai un cri de soulagement. ça faisait tant de temps que je l’attendais. Tu me tiens les jambes en l’air et tu me besogne sans vergogne. Tu me griffes, tu me mords. Je tente aussi de te mordre. Nous ne sommes que des bêtes à cet instant. Nous ne sommes plus vraiment là. Nous partons tous les deux et nous laissons place à notre bestialité. Quand tu me mord je n’arrive pas à contrôler mes orgasmes. Je n’arrive plus à les compter tellement ils sont nombreux. Le dernier de mes orgasmes provoquera le tien. On va jouir dans un énorme râle en commun. Après tout ce calme, le silence de la forêt revient. Tu es contre moi. On reprend doucement nos esprits. Tu me détaches de  mes liens. je n’ai plus de force pour marcher alors tu me portes à la voiture. Je reprends doucement mes esprits. Mon corps tout entier n’est que douleur. Je suis couverte de morsure, de griffure, et de bleu. La fatigue me gagne peu à peu avec la retombée. Alors je m’endors dans ma voiture tous contre toi. Avant de tomber de sommeil je te souffle -Merci  
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