La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/08/20
Vous avez une envie de pimenter la soirée en dominant Monsieur mais voilà, vous ne savez pas par ou commencer et sans aller jusqu’aux extrêmes (BDSM) Voici quelques petits conseils. Introduction : Votre mari a-t-il des désirs cachés de soumission ? Une séance de domination est une période, plus ou moins longue, où votre mari devient votre serviteur corps et âme. Il doit oublier ses besoins et ses désirs pour se concentrer sur les vôtres. Il doit obéir sans discuter à vos ordres et si possible anticiper vos envies. Toute désobéissance doit être punie moralement ou physiquement. Votre soumis doit accepter sa punition comme une chose normale qui lui permet de progresser dans son rôle de soumis afin de mieux vous servir. Au début, les périodes ou votre mari acceptera d’être dominé seront sans doute limitées à l’acte sexuel. Le but étant de faire durée de plus en plus longtemps ces périodes. La chose la plus importante et de doser le dressage, selon l’humeur de votre mari. Si vous le sentez disponible à être dominé profitez-en pour avancer dans votre dressage, mais si vous le sentez, réfractaire, lâchez du leste… Vous ne transformerez jamais un homme en soumis sans son consentement. S’il montre des envies de se soumettre à vous Le plus facile est de commencer la période de soumission avant l’acte sexuel. Un mari excité est un mari obéissant ! Au fil du temps, vous arriverez à faire en sorte que votre mari ne jouisse pas pendant vos jeux sexuels. Vous pourrez ainsi très facilement faire durer les périodes de soumission en dehors de votre chambre à coucher. Votre mari sera soumis en permanence, pourvu que vous gériez bien sa libido et qu’il soit frustré sexuellement. Mais souvenez-vous que cela prendra sans doute beaucoup de temps pour en arriver là. Il y aura des progrès fulgurants et des périodes où il n’en fera qu’à sa tête, ne lâchez pas prise, relâchez simplement un peu votre domination pour la reprendre un peu plus tard. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine/       Voir également : Soumettre un homme Chasteté et contrôle d'orgasme Candaulisme BDSM en Couple
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Par : le 17/01/14
Avant toutes choses, sachez que vous pourrez liker sans crainte mais aussi partir si cela vous déplait... Voici donc 50 citations diverses et variés... 1. Les aigles ne volent pas avec les pigeons... 2. Chienne en chaleur… Mais taureau en rut!!!! 3. La chaleur du lit ne fait pas bouillir la marmite 4. Qui pisse contre le vent… Se rince les dents! 5. Qui loupe le trou … Fait des gouttes partout 6. Les seins, c'est comme les trains électriques, c'est fait pour les enfants mais c'est papa qui joue avec. 7. Après l'orgasme, 5% des hommes s'arrêtent, 5% continuent et 90% ferment leur ordinateur. 8. Quand y a trop de poils, je vois pubiens. 9. On ne doit pas de se masturber pour deux raisons. La première, c'est que cela fait perdre la mémoire. La seconde... J'ai oublié. 10.Faut pas pousser mémé dans une orgie! 11. Marre des faux-culs. Où sont les vrais culs ? 12. Quand chatte mouille, jamais bite ne rouille. 13. Qui fait le malin, privé de vagin, qui fait la maline, privée de pine. 14. Je suis pas venu ici déguisé en laitue pour me faire brouter le cul par des lapins. 15. Si mon cerveau réagissait comme mon sexe, j'aurais souvent de grandes idées. 16. L'égalité des sexes est un mythe, car leur longueur varie beaucoup. 17. la beauté est éphémère, la laideur est éternel… Ou presque. 18. La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit. (Coluche) 19. On dit toujours qu'on peut pas être et avoir été. Eh ben, j'en connais un, dis donc, il a été con et il l'est encore ! (coluche) 20. Une masturbation intellectuel qui devient ainsi bien stérile… 21. Les enfants… C'est comme les pets… On supporte surtout les siens 22. Tous égaux devant la mort et les impôts… Ou presque... La encore... 23. Bonbon et trou du cul… Les deux se sucent mais non pas le même gout 24. A force de se faire sodomiser par le gouvernement, le peuple s’appellera désormais la raie publique. 25. La police municipale vous conseille de ne pas téléphoner au volant. En effet des études ont démontré que le volant ne répondait jamais. 26. Si l'alcool vous gène au travail… Changer de travail… 27. Ne buvez pas au volant… Vous pourriez en renverser… 28. Fumer tue… Peter pue… 29. Le masochisme est une perversion absurde qui consiste à se faire du mal à soi-même, alors qu'il y a les autres pour cela. de Georges-Armand Masson 30. L'optimiste est un masochiste malgré lui. Paul carvel 31. L'oeuvre d'art ne s'obtient que par contrainte et par la soumission du réalisme à l'idée de beauté préconçue. André Gide 32. Le pape est une idole à qui on lie les mains et à qui on baise les pieds.de Voltaire 33. Je courrais toujours pour aller partout, mais je ne pensais pas pour autant que ça allait me mener quelque part. de Forrest Gump, dans Forrest Gump. 34. Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible. Dans Alice au pays des merveilles, le chapelier fou. 35. Rien ne coûte plus cher à un marchand d’arme que la paix.”Lord Of War 36. Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. (Robin Williams dans Le cercle des poètes disparus, de Peter Weir) 37. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. (Tom Hanks dans Forrest Gump, de Robert Zemeckis) 38. Payer ses dettes, enrichit soi même... Merci SB 39. Le trou : premier passage, dernière destination. 40. Sachez maîtriser quatre choses: l'estomac, le sommeil, la sexualité et l'emportement - Pythagore 41. Rien ne nous trompe autant que notre jugement. Un certain Leonard 42. La simplicité est la sophistication suprême. Toujours le Leonard 43. Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. Nait de la confusion!? 44. De quoi vivrait l'Eglise, si ce n'est du péché de ses fidèles ? Triste quand on sait de qui cela vient 45. Sur une durée suffisamment longue, l’espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro." 46. Il ne suffit pas de se mettre une plume dans le cul pour ressembler a un coq. 47. Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime: mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. 48. Les objets que nous possédons finissent par nous posséder (T.Durden) 49. On aura tous le temps de se reposer au moment de la mort. 50. Vivait maintenant votre vie et arrêter de lire mes conneries… Merci pour ce temps que vous m'avez accordé. Vous pouvez toutefois continuer à enrichir en ajoutant vos commentaires.
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Par : le 02/08/21
J'ai raconté ici ma première expérience avec Stéphanie, ma première domina. Une grande femme d'1m85, blonde, cheveux aux carré, dotée d'un corps magnifique. Depuis, nous avons joué de temps en temps et nous restons en contact. Mais depuis 2 mois, je vis une relation extrêmement troublande avec Claudia (Claude de son vrai nom). C'est un trans opéré en haut et en bas. Notre rencontre fût assez glauque, une plage échangiste de la région où elle m'a abordé au millieu des pins "pour me sucer". Claudia, ma trans domina, est un homme à la base de 38 ans. Il y a 10 ans elle s'est fait opérée et est devenue la femme d'aujourd'hui, sublime transsexuelle. C'est un petit bout de femme d'1m65, la poitrine "généreuse", un corps de Betty Boop, de belles fesses féminines, mais les hanches ne sont pas dessinées, ça reste un corps d'homme. L'ensemble reste trés féminin, c'est à s'y méprendre. Une jolie petite femme cheveux mi longs chatain clair aux yeux bleux et un visage d'ange, hyper féminin. Depuis 2 mois, nous nous voyons régullièrement, passons des semaines ensemble . Sexuellement, le seul problème, c'est sa chatte. Visuellement on est trés proche d'une chatte réelle, sauf qu'il n'y a aucune lubrification. Comme je suis un grand amateur du cunnilingus, il me manque ce goût unique qui fait mon bonheur, celui de la cyprine. Nectar ultime de la femme qui m'emporte telle une drogue quand mon visage s'innonde de ce met délicieux. Je suis bouleversé par Claudia, car nous avons des sentiments mutuels et partagés. Je ne me sens pas homo quand je lui fais l'amour ou quand je lui dit "je t'aime". A mes yeux , c'est une femme. Elle est pleine de tendresse, d'affection, d'intensité sexuelle ...bref, c'est pour moi la femme parfaite, mais c'est un homme. Et c'est ce qui la bouleverse à elle aussi. Elle me confiait que j'étais le premier homme à ne voir que la femme en elle. Le fait de la tenir par la main ou par la taille en public, elle se sent femme. Je l'ai présenté à mes amis, à ma famille, personne ne se doute de sa véritable identité. Je l'ai présenté à des collègues de travail (milieu trés masculin, brutal, plein de testostérone), et ça m'a fait sourire les commentaires aprés la première rencontre "elle est super bonne, tu dois bien t'amuser"..si ils savaient..LOL !. Sexuellement, avec Claudia, ma domina trans, c'est du "VANILLE, PLUS PLUS". Comme elle connaît parfaitement le corps de l'homme, autant dire que ce ne sont pas des fellations mais bel et bien l'hymne à l'amour d'une bouche sur le sexe d'un homme. Jamais rien connu de comparable. Des orgasmes de folies qu'elle m'offre à chaque fois. "je te suce comme je t'aime" voilà ses mots, et c'est grandiose. Parfois elle vient titiller ma prostate avec ses doigts de fée . Et comme elle est dotée d'une prostate aussi, elle sait me carresser comme aucune domina ne l'a jamais fait, un paradis. Je ne compte pas les orgasmes que j'ai connu rien qu'avec ses doigts, sans me toucher le sexe...pure folie. Mais Claudia n'a jamais voulu utiliser un gode ceinture avec moi . "je suis devenue une femme, c'est pour me comporter comme une femme, pas pour sodomiser un homme". Ce sont ses mots, et je les ai compris et acceptés. Il y a peu, Stephanie m'a recontacté, ma première Domina. J'en avais parlé à Claudia, je lui avais dit que je pratiquai le SM. Claudia a voulue rencontrer Stéphanie. Ce fût fait, elles se sont trés bien entendue, et elles connaissent toutes deux la réalité sur l'autre. Le jour de mon anniversaire, Claudia m'a organisé une soirée, avec Stéphanie, sans me prévenir. Nous étions en train de prendre l'apéritif, le soir avec Claudia, et la sonnerie a retentie. "Voilà ma surprise", et elle a ouvert la porte. Stéphanie est entrée, toujours aussi phénoménale physiquement, et elle portait la jolie robe moulante qu'elle avait lors de notre premier rendez vous. J'ai compris que j'allais être mangé tout cru par ces deux femmes. On a pris un apéritif, et elles m'ont annoncé la couleur. Comme je ne pratique plus la soumissions depuis que j'ai rencontré Claudia, elles m'ont annoncé que je serais " l'homme objet" de la soirée, qu'elles allaient s'occuper de moi . Pas de fouets, pas de violences, mais au programme, pince à tétons, pinces sur le corps, et beaucoup, beaucoup de tendresse. J'ai eu du mal à comprendre comment elles allaient procéder, mais je me suis laissé porté. Sur le canapé, je fût envahi de caresses, des gestes tendres, mais sans équivoque. l'une passait parfois derrière le canapé, me serrant doucement par le coup pour m'embrasser, pendant que l'autre me caressait le sexe à travers le pantalon. Plus d'une heure de ce petit jeu, puis Claudia bascula le canapé en lit. Là ce fût le début de l'aphotéose. Elles me déshabillèrent avec douceur, me prodiguant carresses et baisers pendant que l'autre me mettait les pinces à tétons. Elles échangèrent leurs places plusieurs fois, l'une dans la douceur pendant que l'autre me mettait des pinces sur tout le corps, chacune leur tour. J'étais à leur merci, l'homme objet parfait, complètement passif, je me laissais porter par le désir de ces deux femmes. Puis elle m'attachèrent les mains au canapé, j'étais sur le dos, je devenais le jouet . Là, Stéphanie s'assis sur mon visage. Claudia me dit "je t'offre ce breuvage, lêche la jusqu'à ce quelle jouisse, nourrit toi mon amour". Ce fût un vrai bonheur, Stéphanie frottait son hymen sur mon visage pendant que ma langue cherchait à s'abreuver de chaque goutte de sa cyprine délicieuse. En même temps, elle tirait sur les pinces un peu partout sur mon corps. Brûlures délicieuses qui faisaient tendre mon sexe avec une intensité peu commune. Puis j'ai senti les doigts de ma petite fée s'offrir la voie de mon anus. J'étais complètement déboussolé. Je me délectais de la chatte et de l'anus de Stéphanie, pendant que Claudia me pénétrait avec ses doigts pour me carresser ma prostate. Je n'ai pas tenu plus d'une minute, ce fût l'explosion, l'orgasme de folie. J'en avais mal à la tête tellement c'était puissant. Elle me détachèrent, et se sont collées contre moi, nue toutes les deux. Un vrai bonheur. Elles m'enlevaient les pinces en tirant un peu dessus... histoire de bien me faire monter en pression, mais m'innondaient de carresses et de baisers en même temps... A ma grande surprise, une deuxième érection arriva au bout de 15 mn de ce doux suplice. Elle se sont redressée toutes deux , se sont regardées d'un air malicieux et Claudia a dit " on recommence", elles ont éclatées de rires, se sont embrassées, se sont caressées leur poitrines et m'ont rattaché. Claudia a demandé à Stéphanie de se mettre sur moi, de se faire pénétrer pour qu'elle mouille sur mon sexe, elle voulait se faire pénetrer elle aussi aprés, connaître cette sensation de la cyprine sur ma bite dans sa chatte. Alors Stéphanie s'assis sur mon sexe, elle bougeait dans tout les sens. Sensation que j'avais oublié d'une chatte chaude et humide, un vrai délice. Pendant ce temps, Claudia me titillait la prostate avec douceur et fermeté. Puis Stéphanie se coucha complètement sur moi, cambrant ses fesses et demanda à Claudia de s'occuper aussi de son anus. Elle s'éxécuta avec plaisir. Je sentais Stéphanie apprécier la carresse anale. Sensation folle de prendre une femme et de sentir nos anus se faire carresser par une autre. Instant doux et délicieux. Je sentais la cyprine couler sur ma verge, j'avais oublié cette sensation merveilleuse. Stéphanie se releva doucement, elle se retourna vers Claudia et dit "à toi maintenant". Là, Claudia s'empalla sur mon sexe, et j'avoue que ce fût une sensation unique et trés agréable. Ce sexe qui d'habitude doit être lubrifié artificiellement, c'est empallé avec une naturelle douceur. Magnifique. Stépanie, pendant ce temps, s'est équipée d'un straponme. la fête allait commencer. Elle est revenue avec du lubrifiant. J'étais allongé, attaché par les mains, elle me releva les jambes, me mis du lubrifiant dans l'anus, et commença à me pénétrer. Ce ne fut pas trés facile car mon anus s'est un peu refermé depuis 2 mois de non pénétration, mais elle y arriva rapidement. Là mon souffle commençait à accélérer. J'avais un peu mal, mais j'ai connu bien pire (LOL). Stéphanie carressa l'anus de Claudia, lui mis du lubrifiant à elle aussi, et elle la pris par l'anus à elle aussi. La scène m'exitait tellement, voir la complicité entre les deux, que j'allais exploser. Mais j'ai réussi à contrôler à ma grande surprise. Claudia ne tardit pas à jouir (oui, elle ne jouit que par l'anus, ça ne surprendra personne). Elle s'écroula sur moi, en sueur, les yeux pleins d'extase, me serra contre elle , m'embrassa. Je sentais ses mains glisser entre ses cuisses. Elle repoussa le gode ceinture pour introduire mon sexe dans son anus; Elle demanda à Stéphanie de venir en moi avec le gode ceinture; Là ce fût terrible pour moi. Première fois que je sodomisais une femme (enfin disons ça comme ça) tout en me faisant sodomiser par une autre femme. ça n'a pas duré trés longtemps, tout au plus quelques minutes. l'orgasme fût tel que j'ai crié. Malgré ma réaction, elles ont continué à me pénétrer doucement, Claudia faisant de grand mouvement avec son bassin de manière à ce que mon gland soit complètement écrasé dans son anus, je n'en pouvais plus . A ce petit jeu qui n'a pas dû durer plus de trente secondes, j'ai eu un deuxième orgasme sans pour autant avoir éjaculé. Mon corps était raidit comme une planche, mes jambes tremblaient , comme tétanisées. Elles se sont retirées toutes les deux, m'ont détaché, essuyé mon corps plein de sueur. Elles m'ont essuyé le sexe avec des lingettes, j'étais complètement KO. je ne pouvais plus bouger, je voulais juste me mettre sur le coté et dormir tellement j'étais épuisé, tétanisé. Elles sont allé se doucher toutes les deux. J'entendais leur fou rires, et elles se carresaient sous la douche, mais je ne pouvais plus bouger. Au bout de 20 Mn elles sont revenues, toutes fraîches, m'ont pris par la main et m'ont mis sous la douche. j'ai eu droit à une douche à 4 mains, des caresses toutes douces, des baisers, beaucoup de tendresse. Nous avons repris un apéritif ensemble , avons mangé et discuté. Nous avons passé la nuit ensemble, à 3 dans le même lit. Ce fût magique. Depuis, je sais une chose. Au delà du fait que Claudia soit un trans, c'est une femme extraordinaire. Nous savons que notre relation ne durera pas. mais les sentiments sont vrais, réels, et nous nous apportons chacun quelque chose qui nous sera utile dans notre vie future. J'ai adoré être un homme objet, et je sais aujourd'hui que je ne serais plus jamais un soumis. C'est terminé pour moi les domina, par contre j'offrirai encore mon anus, ça c'est certain. Mais à une femme, pas une domina; Par contre, je dominerai encore, mais d'une manière plus douce, plus intense dans les carresses, ça je continuerai...Merci la vie , merci pour les rencontres que j'ai faites, merci pour cette rencontre bouleversante d'une femme-homme qui a plus de féminité en elle que la majorité des femmes que j'ai rencontré dans le passé.                
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Par : le 29/04/19
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues) . Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".   Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.   Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante. Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.   A quoi reconnait-on une "Brat" ? -----------------------------------------   Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues... Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation. Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.   Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement. Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.   Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé. La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer. Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence. Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu. Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience. Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.     Par quoi une "Brat" est elle attirée ? -------------------------------------------   Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci. Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger. Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.   La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :   - Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face. - Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne. - L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.     Que fait fuir une "Brat" ? -------------------------------   Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite, comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant. Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.     L'excitation compulsive d'une "Brat" ---------------------------------------------   Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée. Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.   Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ? Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.   Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.   La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.     En conclusion ? --------------------   Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.   Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004) marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille. L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.   https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I   (Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")     A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat". Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.   Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.   Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles. Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...   Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice. Cette liberté qui n'aura jamais de destination.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 26/06/23
Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM. - Allo - Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte. - Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ? - Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ? - Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres. - On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ? - Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle. - C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ? - Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  - J’ai encore une question ? - Je vous en prie ! - Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ? - La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes. - Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places. - Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ? - Oui c’est ça ! - A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location. Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM. Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client. Pauvre Damien.... Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.   Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence.... A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».    Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres) A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage. - Cela vous plait ? Demande Damien    - Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier ! - Au gîte fétichistes ! - C’est assez surprenant répond Master Paul. - Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider ! Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou. Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting. Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien. Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.   Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit. Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques. Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky. Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony. - La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter. Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain. - Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier ! - Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ? - Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ? - Non jamais ! - Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter. Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ». Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout. Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.      Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.   Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour. Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^. N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir... Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive. Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné. - Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices. Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain. Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage. - Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café. Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui. La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes. Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner. C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max. - Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir. C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Par : le 06/02/20
Je suis à toi. Je l’ai été tout ce week-end. Je me suis donnée à toi, j’ai joui de toi. J’aime ta tendresse, ta bestialité, cette violence que tu portes en toi quand tu me baises. J'ai choisi ce que je suis désormais, ta femme, ton esclave. Je l'ai voulu. Je t’ai voulu. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle, mon Seigneur et mon Maître. Même si c’était hier, j’ai le sentiment que cela fait longtemps que j'ai renoncé à ce que j'étais avant, une femme soumise, vivant sa soumission en toute liberté, avec qui elle voulait, comme elle le voulait. Tu m'as imposé tes règles. Je t'ai offert l'exclusivité de mon corps. J'ai renoncé aux amants de passage, pour me consacrer uniquement à toi. J'ai appris la frustration, parce que c'est toi qui décide quand tu me baises, la jalousie, parce que je n'ai aucun droit sur toi, mais aussi le désir de toi, le plaisir d’être avec toi, pour toi. la jouissance d'être à toi. C’est si bon d’être ta femme, d’être ton esclave. Merci pour ce week-end passé ensemble. Merci Maxime, merci Maître.
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Par : le 22/12/19
Je suis consciente du risque que je prends en publiant ces lignes. Elles me vaudront sans doute d’être clouée au pilori par tous les bien pensants de tout poil et de tout sexe les féministes en tout genre qui veulent à tout prix que chacun(e) rentre dans leurs schémas prédéfinis. Peu importe. Pour moi, le bdsm c’est d’abord la liberté de choisir ce que l’on veut être, pour soi-même, et dans mon cas, pour celui qui me possède. Depuis l'adolescence, je suis accro au sexe et au Mâle. J'assume ce que je suis, une chienne, une salope, soumise, nympho, capable de se lâcher complètement lors de ses plans cul. En même temps, je suis d'un tempérament plutôt réservé, pudique. Avant de connaître Maxime, mes échanges avec les mecs qui me baisaient se limitaient à cadrer nos jeux, ce que nous allions faire, les limites à respecter pour celui auquel je donnais l’illusion de me dominer. La seule chose qu’ils connaissaient de moi c’était un prénom qui n'était pas le mien et un numéro de portable, où me joindre pour un plan cul. Hormis cela, je ne leur parlais jamais de mes désirs, des mes fantasmes, de mes craintes, limitant mon expression au dialogue des corps. En même temps, je n'en éprouvais pas le besoin. Mon rapport aux hommes était purement utilitaire, je ne me donnais à eux que pour jouir d'eux, le temps de nos ébats. Et il n'était pas question pour moi de leur offrir autre chose que mon corps et mes trous, puisque je n'attendais rien d'autre d'eux que leur sexe et du plaisir.   C'est Maxime qui le premier a voulu et su m'apprivoiser, voulant tout savoir, tout connaître de moi, avant même notre première rencontre. J'ai appris avec lui à parler de sexe, à lui confesser mes envies, mes désirs, mes craintes, parfois jusqu’au bout de la nuit, m'obligeant à exprimer ce que je n'avais jamais su dire. Et ce n'est que lorsqu’il a jugé en savoir assez de moi, qu'enfin il a accepté de me rencontrer. Grâce à lui j'ai compris la nécessité pour le Maître, de tout connaître de son esclave, de ses sentiments, de ses désirs, de ses doutes aussi. Parce que le pouvoir passe par la connaissance de l'autre, de ses rouages, de ses motivations intimes. Dominer une femme, au delà de la possession physique, c'est aussi pouvoir la manipuler, jouer de ses désirs, de ses frustrations, dans l'intérêt de celui qui la possède et in fine le sien. J’ai compris que mon Maitre avait besoin de tout savoir de moi, pour lui d’abord, pour tirer de moi le maximum de plaisir pour lui. Mais aussi pour moi, pour que dans l’usage qu’il ferait de son esclave il sache jusqu’où pouvoir aller trop loin. N’en déplaise aux bien pensants, une relation bdsm n’a rien à voir avec l’égalité des sexes. C’est un jeu de pouvoir, de manipulation et de séduction, dans lequel le Mâle recherche d’abord son plaisir, grâce auquel la soumise jouit de ce qu’elle est pour lui.
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Par : le 27/08/14
James Franco propose un documentaire sur l'un des principaux site de vidéo BDSM : KINK. Si vous ne connaissez pas ce site vous pouvez le visiter en cliquant ici James Franco, célèbre acteur américain a pu accéder aux coulisses des tournages du mythique site Kink, qui est spécialisé dans le contenu SM, le shibari et les fétichismes divers, autant hétérosexuels qu'homosexuels. Mettre en place ce documentaire n'a pas été chose facile : les promoteurs du site Kink était d'abord plutôt rétissant à donner accès à leurs studios. Ce film dont la réalisation a été confiée à Christina Voros, donne la parole aux réalisateurs et aux acteurs et actrices de films orienté BDSM. On y découvre l'intensité de ce que vive les acteurs et les actrices et leur accès au "subspace". Non, ils ne font pas semblants. Le site KINK : cliquez ici
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Par : le 18/10/12
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins). Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article. Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre : Cinquante nuances de Grey Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey (à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ). Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage. On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ? Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).  ...
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Par : le 09/12/19
J’aime ton sexe, ta queue, tes couilles, ton gland, et ce qui s’en écoule, ta mouille, ta semence. Je me prosterne devant lui pour l’adorer, le vénérer. J’aime sentir ses effluves, ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse, de foutre qui caractérise le Mâle. J’aime te montrer le désir qu’il m’inspire, en le caressant, l’embrassant, le léchant. J’aime te prendre en bouche, te sucer longuement. Faire durcir, se tendre ta virilité et faire monter en toi le désir de t’en servir pour me posséder et jouir de moi. J’aime le moment où tout bascule quand ton désir de Mâle en rut l’emporte sur tout le reste. Lorsque tu me prends la tête entre tes mains Pour me pilonner, me défoncer la gorge. Jusqu’au moment où tu ne n’en peux plus de te retenir. Et que le foutre jaillit, à longs traits saccadés, que je déguste au fur et à mesure que tu le répands en moi. Puis, lorsque tu t’es libéré, que la tension est retombée, que tu m’as comblée de ta semence, j’aime nettoyer ton sexe, ton gland avec ma langue pour ne gaspiller aucune goutte de ta liqueur sacrée. J'aime te sucer. Dans les lieux les plus insolites, dans ta voiture, un parking, les toilettes d'un restaurant, dans un ascenseur à l'arrêt, sur une aire d'autoroute. J'aime te sucer. Dans toutes les positions, à genoux devant toi, couchée sous toi, accroupie sur toi, allongée à tes côtés. Parce que tu es l'Homme, le Mec, le Mâle. Parce que tu es mon Maitre et que je jouis de te faire jouir.
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Par : le 10/01/14
1- Nous avons monté le site BDSM.FR par hasard, parce que nous avons découvert un jour que le nom de domaine était libre 2- Certains d'entre nous sommes à l'initiative de www.charnelleattitude.com 3- Les mêmes sont tout en rondeurs ou amateurs de femme ronde 4- La plupart des membres de l'équipe ont une expérience du BDSM plus ou moins poussée 5- Dans l'équipe, il y a une personne ayant connaissance de la soumission 6- Dans l'équipe, il y un switch 7- Dans l'équipe, il y a une domina 8- Dans l'équipe, il y a un couple dom 9- L'un de nous a un doctorat de sciences 10- Un ou deux vont tous les ans aux Festival des Vieilles Charrues à Carhaix (qui promet une superbe édition 2014) 11- Nous manquons de temps pour faire tout ce que nous souhaiterions pour le site 12- La plus vieille rencontre en ligne "sexuelle" faite par un membre de l'équipe date de 1990 (Minitel) 13- L'un de nous est électricien 14- Qu'on nous accuse de lire les MP dès gens est la pire insulte qu'on puisse nous faire ... 15- ... car quitte à être voyeur, on préfère l'être en vrai 16- On a voulu faire un site gratuit par idéologie et militantisme 17- ... et c'était encore plus vrai pour CharnelleAttitude 18- Notre site BDSM payant préféré est SensationSM 19- On met de la publicité sur le site pour payer les deux serveurs qui font tourner le site 20- Quand le serveur plante, on est plusieurs a recevoir des SMS pour réparer, ca nous reveille (ou pas) parfois à 3h du matin 21- On a envie de foutre des baffes à ceux qui agissent ou réagissent comme des clients/consommateurs 22- On vire parfois des membres qu'on appréciait mais qui enfreignent les règles, dura lex, sed lex 23- On supporte au quotidien des membres qui nous insupportent, on aimerait tant qu'ils transgressent les règles, mais dura lex bis repetitae 24- Gérer une communauté, c'est comme travailler dans un restaurant toute la journée, ça donne pas envie de faire la bouffe 25- ... et oui, la modération entame plus ou moins la libido 26- Comme ce n'est pas une activité alimentaire, on veut pas trop s'emmerder non plus ... 27- ... on fait les choses par instinct, par conviction, pas par intérêt 28- on ne doit rien à personne. 29- On ne sait pas à quel prix on accepterait de vendre le site si on nous le demandait 30- ... mais comme tout bébé, le prix qu'on demanderait serait sans doute suffisamment déraisonnable pour qu'en fait ca ne se fasse pas 31- Nous sommes propriétaires d'un autre joli nom de domaine orienté BDSM qui mériterait un site ... mais pas le temps ! 32- Il y a deux modérateurs principaux 33- D'autres font de la technique, du brainstorming, du cheerleading ... 34- Il nous arrive de tomber sous le charme d'un(e) membre, et que cela nourisse le fantasme 35- ... mais nous n'avons jamais fait de rencontre sur notre propre site (voir 24-) 36- Certains membres de l'équipe sont bisexuel(le)s 37- Nos outrances "kinky" sont malgré tout surtout derrière nous 38- Deux d'entre nous voulait devenir journalistes mais ont fait autre chose 39- Nous sommes très attachés à la liberté d'expression, y compris pour raconter des énormités. Chacun prend ses risques... 40- ... mais à condition que cela ne blesse pas son prochain de manière directe et personnelle 41- La modération a déjà été faite sur un portable à partir de 3 continents différents 42- Quand on nous menace de procès, on rigole. On sait ce qu'on fait. Même pas peur. 43- 0% des lettres recommandées et des assignations en justice qu'on nous a promis n'est parvenue. Grandes gueules, pipeau ! 44- Le jour où on en aura marre, on est du genre à tout envoyé chier plutôt que de vendre le site 45- Un membre de l'équipe a une maladie chronique incurable (Sclérose en plaques) mais ça va quand même pour le moment 46- Certains membres de la communauté nous touchent dans leurs écrits 47- Une plume élégante nous rend parfois d'une indulgence excessive ("O" tempora, "O" mores) 48- Pour avoir une plus belle communauté, il faudrait que les membres en parlent à leurs amis pour qu'ils nous rejoignent, mais on ne veut pas saouler les gens avec ca, donc on laisse les choses se faire naturellement (sauf là ) 49- On aime Cavanna : "La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne." 50- ... et Maupassant, qui terminait son roman "Une Vie" par la phrase suivante : "La vie, voyez-vous, ca n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croît ..." ---- Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Oplum », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire, ---
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Par : le 02/11/19
(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues) . Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent. Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise. La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein. Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre. Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o", avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées. Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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