La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 4 heure(s)
Avant-propos Ce second chapitre s’inscrit dans la continuité du premier. Il prolonge l’exploration d’une soumission totale, sans fard et sans compromis, où chaque scène se déploie comme un rituel. Ici encore, la honte et la fierté se mêlent, la cruauté et l’extase se confondent, jusqu’à faire de chaque geste une offrande. Rien n’est adouci, tout est offert tel quel : cru, décadent, fascinant. Je vous invite à découvrir la première partie avant de poursuivre : Lire la première partie. Vos impressions comptent : est-ce que cette suite vous a captivé, dérangé, hypnotisé ? Le style vous semble-t-il à la hauteur, assez immersif et puissant ? Dites-moi ce qui vous a marqué, ce qui vous manque, ce qui vous brûle encore. Vos retours sincères guideront l’intensité des prochains chapitres. ================================================================================ Le murmure des conversations reprit, ponctué de rires feutrés. Puis peu à peu le silence se fit, et le repas débuta dans une atmosphère presque solennelle. La table, longue et éclatante, était dressée d’une argenterie polie au point d’aveugler la lumière des chandeliers. Cristal taillé, nappes immaculées, plats raffinés aux senteurs délicates… Chaque détail respirait le faste aristocratique. Et pourtant, au centre, c’était ma soumise qui dominait la scène. Nue, agenouillée, dos cambré, offerte, elle était l’ornement le plus précieux de cette table. Chaque frisson qui parcourait sa peau, chaque respiration plus appuyée, captait l’attention des convives mieux qu’aucune coupe de champagne. De ma place, je ne la quittais pas des yeux. Sa nuque allongée, la ligne parfaite de son dos, ses mains posées sagement sur ses cuisses. Je voyais les tremblements infimes, je les lisais comme une langue secrète. Et dans ce langage silencieux, elle me disait tout : sa pudeur, son trouble, mais aussi sa fierté d’être là, ma fierté incarnée. Elle savait que je la regardais, même sans la voir. Avant que le silence ne soit rompu, des convives se détachèrent peu à peu de la table, happés par l’aimant qu’était devenue ma soumise. L’air vibrait d’un mélange de curiosité et de convoitise. Un homme aux tempes grisonnantes s’approcha le premier : sa main se posa sur sa nuque, glissa le long de sa colonne, et il leva brièvement les yeux vers moi en un remerciement silencieux. Derrière lui, plus jeune, le sourire insolent, un convive fit courir ses paumes sur son dos cambré, descendit jusqu’aux flancs puis pinça son téton avec une cruauté légère. Il me lança à mi-voix, comme une confidence : « Quelle merveille… » ma soumise frissonna. Sa poitrine se soulevait plus vite, ses joues s’empourpraient, mais elle demeurait figée, docile. Une femme, drapée de sombre, se pencha alors, inspira sa peau comme on respire un parfum rare, puis baisa son épaule avant de mordre doucement la naissance de sa poitrine. Le geste arracha à ma soumise un sursaut incontrôlé. « Délicieuse, » souffla-t-elle, ses yeux brillants tournés vers moi comme pour valider son verdict. Un quatrième convive s’agenouilla sans un mot. Ses lèvres s’approchèrent de l’intérieur des cuisses de ma soumise, si près que son souffle chaud fit vibrer sa peau. Il s’interrompit volontairement, savourant la force de son immobilité contrainte. D’autres mains se joignirent, caressant ses flancs, effleurant la ligne de sa gorge, chacun prenant sa part du trésor. Elle était palpée, respirée, effleurée de toutes parts, centre d’un rituel muet où chaque caresse était un hommage rendu à moi à travers elle. Je la regardais. Elle tremblait, honteuse et fière tout à la fois. Les convives me lançaient parfois un regard bref, comme pour me remercier du présent ou me témoigner leur approbation. ma soumise était devenue un objet sacré, une offrande vivante dont je buvais la soumission avec une fierté souveraine. ma soumise tremblait, sa poitrine se soulevait dans un rythme irrégulier, ses joues brûlaient d’une honte délicieuse. Pourtant, elle ne rompit pas la posture inculquée. Offerte et parfaite, elle demeurait l’épicentre du désir et de la cruauté raffinée de l’assemblée, objet sacré autour duquel gravitait toute l’attention — et que moi, son Maître, j’offrais avec fierté. La dame en rouge brisa alors le silence. « Que les esclaves s’avancent. » Les esclaves, déjà présents dans la pièce, se détachèrent de l’ombre et s’avancèrent. L’un, massif, taillé dans une musculature lourde et disciplinée ; l’autre, plus élancé, traits fins, presque androgynes, ses yeux brillant d’un éclat fébrile. Tous deux progressaient d’un pas mesuré, cages d’acier enserrant leurs sexes soumis. Leur présence imposait un contraste vibrant avec la fragilité timide de ma soumise. La dame en rouge invita d’un geste lent les deux esclaves à prendre place. Ils s’avancèrent jusqu’au centre de la table et se tinrent de part et d’autre de ma soumise, immobiles, attendant leur heure comme des statues vivantes. Alors seulement, la maîtresse de cérémonie sortit deux clefs qu’elle fit tinter doucement avant de les tendre à ma soumise. « Délivre-les, ma belle. » Ma soumise se figea. Son souffle se coupa, ses épaules tressaillirent. Elle chercha à lever les yeux vers moi, mais de dos, elle ne pouvait rencontrer mon regard. Ce flottement, cette hésitation, firent naître une tension délicieuse dans la salle. Puis, docile, elle tendit la main, prit les clefs et, d’un geste lent, libéra un premier sexe, puis l’autre. Le cliquetis des cadenas résonna comme une sentence. Les esclaves, déjà en position, se redressèrent à peine, leurs cages désormais ouvertes, face à la fragilité offerte de ma soumise. Le contraste était saisissant : elle, nue et tremblante, agenouillée, eux, dressés et silencieux, attendant que la cérémonie se poursuive. Je vis ses joues rosir, son trouble éclater en silence. Elle obéissait, mais je savais que chaque mouvement était une offrande, un acte qu’elle accomplissait pour moi, pour nous. J’étais fier d’elle. La dame en rouge claqua des doigts. « Approchez. Montrez-lui, et montrez-nous. Offrez à mes invités le spectacle qu’ils méritent. » Les deux esclaves s’avancèrent et prirent place autour de ma soumise, comme deux prédateurs encerclant une proie sacrée. Le plus massif glissa ses mains larges sur sa taille, caressant lentement la courbe de ses hanches, avant de se pencher pour déposer ses lèvres contre son cou. Sa bouche traça une ligne ardente de baisers jusqu’à son épaule, mordillant la peau délicate. L’autre, agenouillé, s’installa entre ses cuisses et la goûta d’un geste tendre, sa langue effleurant déjà sa chair intime avec une lenteur étudiée. Ma soumise laissa échapper un souffle tremblant, son corps vibrant d’un plaisir timide, ses joues rouges, ses lèvres entrouvertes. Elle ne bougeait pas, mais chaque frisson parlait pour elle. Elle était vivante, offerte, vulnérable. Leurs gestes se déployèrent comme une chorégraphie fiévreuse. Le plus massif remonta ses mains vers ses seins, les empoigna fermement, fit rouler ses tétons entre ses doigts avant de les pincer sans ménagement. Ma soumise se cambra légèrement sous la morsure, un gémissement étouffé franchissant ses lèvres. Ses cheveux glissèrent en cascade sur son visage, qu’il repoussa d’un geste brusque pour découvrir ses yeux baissés. D’un mouvement sec, il força son menton à se relever, goûtant la douceur de sa bouche dans un baiser dur, envahissant. En bas, l’esclave agenouillé redoubla de ferveur. Sa langue alternait entre des coups lents et profonds, puis des effleurements rapides sur son bouton sensible. Son compagnon, debout derrière elle, glissa une main dans sa nuque et la maintint fermement, comme pour la clouer dans cette posture d’offrande. Leurs souffles se croisèrent, et dans un élan fiévreux, leurs bouches se cherchèrent aussi, au-dessus de son corps cambré. Ils s’embrassèrent longuement, échangeant sa saveur, la salive et la moiteur de son sexe encore sur leurs lèvres. Ma soumise gémit faiblement, prise entre ces deux élans contraires, aspirée dans une spirale de sensations. Ses seins furent mordillés, sa gorge embrassée, ses cuisses maintenues grandes ouvertes. Elle se cambra plus fort malgré elle, son dos arqué en une offrande involontaire. Ses respirations saccadées emplissaient l’air, chaque souffle court devenant une prière silencieuse adressée à moi. Elle osa un regard de côté, timide, suppliant presque, vers ma place. J’y répondis d’un sourire lent, une approbation muette, et elle sut qu’elle restait à moi même au cœur de cette débauche. Le ballet s’intensifia encore. L’homme agenouillé se redressa un instant pour capturer les lèvres de son compagnon dans un baiser ardent, ses mains toujours posées sur les cuisses de ma soumise. Leurs langues s’entremêlaient, échangeant la moiteur de son intimité. Mais bientôt, le plus jeune laissa glisser sa bouche plus bas, abandonnant les lèvres pour descendre le long du torse musclé de son compagnon. Ses baisers marquèrent la peau ferme de son ventre, puis il saisit son sexe durci et l’enveloppa de ses lèvres. Lentement, il le prit dans sa bouche, s’appliquant à chaque mouvement comme s’il s’agissait d’un rite sacré. Ma soumise, offerte entre eux, assistait à ce spectacle brûlant, son souffle se coupant sous l’intensité. Elle entendait les gémissements étouffés de l’un, le souffle lourd de l’autre, et chaque vibration se répercutait dans son propre corps. L’homme debout agrippa la chevelure de son compagnon, guidant le rythme, tandis que sa main libre revenait s’écraser sur la poitrine de ma soumise pour rappeler à tous que ce corps restait l’épicentre du rituel. La tension était électrique : deux hommes s’embrassant, se possédant, et l’utilisant comme pont charnel entre eux. Le spectacle était magnifique, décadent, d’une sensualité rare. Puis, comme mus par le même désir, ils revinrent à elle, la couvrant de baisers, de morsures et de caresses. L’un suçait ses tétons jusqu’à les rendre douloureux, l’autre s’acharnait sur son sexe, alternant lèvres et doigts pour la faire frémir. Ma soumise se cambra davantage, ses épaules tremblaient, son souffle devenait incontrôlable. Elle restait pourtant immobile, docile, prisonnière volontaire de ce rituel. Autour de la table, les convives retenaient leurs voix. Fascinés, hypnotisés, certains avaient cessé de manger, d’autres resserraient leur coupe de vin comme pour s’ancrer dans le réel. Une femme se mordait la lèvre inférieure, un homme effleurait distraitement son entrejambe sous la nappe, une autre convive caressait du bout des doigts le pied de son voisin. La salle vibrait d’un désir collectif, entretenu par la complicité silencieuse entre moi et ma soumise, et par le ballet charnel qui se déployait au centre. La dame en rouge leva la main. Le jeu cessa aussitôt. Les convives retinrent leur souffle, comme suspendus dans l’attente. Elle esquissa un sourire lent, cruel. « Apportez le raisin. » Un plateau fut apporté, chargé de grappes noires et charnues, luisant sous la flamme des chandelles. La dame en rouge ne s’en saisit pas immédiatement : elle laissa ce silence peser, puis désigna ma soumise d’un geste souverain. « Mets-toi à quatre pattes. Rehausse bien ton cul. Ecarte les fesses. » Ma soumise obéit sans un mot. Ses mains vinrent s’ancrer au sol, ses genoux écartés, le dos cambré, le cul offert à l’assemblée. Sa peau frissonnait sous les regards, ses joues rouges brûlaient d’une honte assumée. Les murmures s’élevèrent autour de la table : « Sublime… » « Voyez comme elle tremble… » Un homme ricana doucement : « Quelle offrande. » La dame en rouge prit le premier raisin, le fit rouler entre ses doigts, puis le pressa contre l’anus contracté de ma soumise sans l’introduire. Elle joua longuement, le faisant glisser sur la peau tendue, comme pour tester sa résistance. La lenteur était sadique, calculée, chaque seconde étirée en une éternité. Enfin, d’un mouvement infime, le fruit s’enfonça, arrachant un frisson visible au corps cambré de ma soumise. Elle leva alors les yeux vers moi, ses lèvres étirées en un sourire carnassier. « Maître… à vous. » Je pris le deuxième raisin. Ma main frôla volontairement la courbe de ses fesses avant de poser le fruit contre son intimité. Elle tenta de lever la tête, en quête de mon regard, mais je la maintins dans sa posture par une pression ferme. Lentement, je l’insérai. Son souffle se coupa, ses épaules se raidirent. Je sentis, même sans ses yeux, la fierté qu’elle me livrait dans cet abandon. Un troisième convive fut invité. Son doigt fit d’abord rouler le fruit en cercles lents, écartant un peu plus son orifice, arrachant à ma soumise un soupir étranglé. « Magnifique… regardez comme elle s’ouvre, » chuchota-t-il avec un sourire. Puis il poussa le raisin en elle, savourant le spectacle de cette chair docile qui se refermait aussitôt. Raisin après raisin, le rituel se poursuivit. Dix perles sombres disparurent ainsi, une à une, dans son intimité. Chacun fut introduit avec un soin cruel, chaque insertion précédée d’une caresse, d’une attente, d’un silence chargé de tension. Les convives se penchaient, leurs regards brillants d’avidité, certains se léchant les lèvres, d’autres retenant un souffle haletant. Ma soumise restait immobile, le dos cambré, les fesses offertes, sa respiration brisée en soupirs courts, mais sa posture demeurait parfaite. Honte et fierté mêlées, elle incarnait la soumission dans toute sa splendeur. La dame en rouge rompit enfin le silence. « Fais-les sortir, ma belle. Montre-nous. » Ma soumise inspira profondément, puis contracta doucement ses muscles. Lentement, le premier raisin glissa, roula hors de son corps et tomba avec un bruit feutré sur le plateau tendu. Elle resta immobile un instant, hésitante, puis se redressa avec une lenteur calculée, comme si chaque geste lui pesait de honte et de fierté mêlées. Ses cheveux dissimulaient partiellement son visage rougi, et elle n’osa pas lever les yeux vers les convives, accablée par le poids des regards. Mais dans sa posture cambrée, dans la droiture de son dos, éclatait toute la beauté de sa soumission, fragile et sublime. Un murmure parcourut la salle. Alors, avec une grâce contenue, elle se redressa légèrement sur ses bras, cambrant davantage son dos pour accompagner l’effort. La beauté de sa soumission éclatait dans ce simple geste : ses cheveux retombaient en rideau, sa nuque s’offrait, ses reins se creusaient. Chaque mouvement la sublimait, à la fois vulnérable et souveraine dans son abandon. Elle continua, un à un, chaque fruit expulsé avec une lenteur calculée, certains roulant le long de sa cuisse avant d’être ramassés. Ses fesses s’écartaient sous la tension, puis se refermaient dans un frisson, comme une fleur qui s’ouvre et se ferme au rythme d’un souffle invisible. Le spectacle était hypnotisant : le rouge de sa peau, le noir brillant des fruits, la moiteur qui les faisait luire. Chaque sortie semblait plus intime que l’insertion elle-même, et sa posture parfaite, son dos cambré, ajoutait à l’impression d’assister à une offrande vivante. Lorsque le dernier raisin fut expulsé, la dame en rouge les recueillit et les présenta aux deux esclaves. Ils s’en emparèrent avec avidité, les portant à leurs lèvres comme s’ils goûtaient un nectar interdit. Leurs bouches se mouillèrent, leurs gorges avalèrent lentement chaque fruit imprégné de l’intimité de ma soumise. Ils se léchaient les doigts, échangeaient même parfois un baiser pour savourer ensemble la trace qu’elle avait laissée. Enfin, la dame prit un des raisins encore humides et le porta aux lèvres de ma soumise. Elle hésita, son souffle saccadé, ses yeux fuyant, mais ses joues rouges témoignaient de sa honte ardente. Elle finit par ouvrir la bouche. Le fruit s’y glissa. Elle le mâcha lentement, sous le regard de tous, puis l’avala, rougissante mais digne, accomplissant ainsi l’ultime étape du rituel. Un silence dense enveloppa la salle, rompu seulement par le souffle des convives. Ma soumise tremblait, mais son dos restait droit, cambré, fier malgré l’humiliation. Elle incarnait ce paradoxe sublime : humiliée, mais transcendée. La dame en rouge claqua des doigts une nouvelle fois. Aussitôt, les domestiques déposèrent les desserts : assiettes ornées de fruits rouges luisants, nappés de chocolat sombre, dégoulinant comme une chair éclatée. L’image était limpide, un miroir cruel et raffiné de ce qu’ils venaient de savourer à travers ma soumise. Je la contemplai. Nue, tremblante, souillée et magnifiée à la fois, elle me donnait tout. Et moi, en silence, je buvais sa soumission comme le plus précieux des vins. La dame en rouge leva son verre. « À présent, mes amis… au donjon. »
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Par : le Il y a 7 heure(s)
5- Jean se lève du sofa, enlève son pantalon et le plie avec soin pour le déposer sur le dossier de la chaise. Attrapant par les cheveux Chantal il baisse le caleçon sort son membre et l'introduit sans tendresse dabs la bouche dégoulinante  de foutre et comme il dirige la maneuvre Chantal manque de s'étoufer et hoquette jusqu'à vomir son champ et des reliefs de petits fours. Le maître la gifle et lui remet en bouche cette belle queue dont l'anneau brille malgre la faible lumière à présent que la nuit est installée. Un nouveau claquement de doigt interromp cette violence phallocrate. Shona coule encore et se répends en un jus collant depuis ses belle cuisses halées. Eveline lui prend la main s'avance vers la table roulante, boit au goulot de la bouteille de champ. Puis pose à terre le magnum de Piper Heidsick. Elle dirige Shona pour qu'elle s'empale doucement sur ce gode improvisé. Shona descend doucement sur ces talon qui limitent cette pénetration au haut de l'étiquette. Elle soupire puis se relève d'autant, prend du recul ; Eveline comprend que le goulot est à présent dans la petite rosette offerte et lubrifiée par tant de caresses bien placées. Shona est totalement enchristée sur ce magnum et se branle avec furie le clito en s'enfonceant quelques doigts dans le sexe qui coule encore et encore de ciprine et d'urine mélangés. Ses yeux sont révulsés  elle grogne comme une truie qu'on égorgerait. Chantal s'est agrippée au caleçon du maître et fini de vomir le sperme et la nourriture. Elle spasme mais ne s'exprime pas à la vue du gode géant qu'Eve lui amène. Elle relève la pantelante Chantal qui vibre encore de ses reflux lui passe une main experte entre les cuisses et lui extirpe le sein gauche pour mordre son téton. Jean se glisse sous la jupe et commence à gamahucher l'intimité d'Eveline en se branlant la queue et proférant cris et mots étranges. Peut-être des injures ou des cris d'amour, là n'est pas l'important.   
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Par : le Il y a 15 heure(s)
3- Shona va ouvrir et acceuille Eveline et Chantal , elles s'embrassent fougueusement et semblent très liées. Ces 2 invitées vont saluer Jean au salon pendant que Shona passe en cuisine ranger ses courses et prepare des glaçons pour le seau à champagne les verres, les petits fours, et dispose le tout sur la table roulante, mets le champ à rafraîchir puis l'amène au salon. Bruit de verres car le plancher n'est pas régulier. Jean débouche le champ se sert et laisse le service  : chacun se sert. Il se rassois son verre à la main.  4- Shona se lève puis part dans la chambre jouxtant la salle de bain. Eve la suit avec sa coupe de champ. Shona est nue dans la salle de bain elle va prendre un douche. Sous la pluie fine elle fait mousser le gel douche, se caresse tendrement. Eve lui tend le peignoir d'une main et de l'autre s'atarde sur l'entre jambe offert et masturbe vigoureusement Shona qui s'ouvre les fesses : Eve lui enfonce presque la main. Shona fini par uriner en tendant sa bouche pour y recevoir un langoureux baiser d'amour saphique. Shona se branle à nouveau mais Eve la giffle puis lui passe le peignoir. Elle lui frotte la poitrine, attache la ceinture du peignoir, la pousse contre le mur et reviens lui caresser le pubis totalement glabre, puis la branle de nouveau et l'embrassant. Eve à la main bien trempée pourtant la douche est éteinte. Shona n'a rien dit quand bien même le sol est mouillée de sa ciprine, de son urine et du reste de la douche. Pendant ce temps Chantal à sorti la belle verge de Jean qui a un prince Albert de belle taille, rendant la fellation plutôt malaisée. Les doigts experts de Chantal sont tout de même venus à bout de ce gros sexe car elle étale le jus sur la hampe, s'essuie la main sur le caleçon et d'un revers de la main enlève le trop bu de sa bouche pulpeuse. Son chemisier est totalement ouvert sur un soutif à balconnet trop grand pour cette modeste poitrine bien flasque. Normal Chantal a plus de 80 hivers. Mais comme elle doit savoir que le beau Jean ne peut pas la sodomiser, rapport au prince Albert, elle ne peut que le sucer, le branler et le boire sans un mot é changer... Bien sur Chantal branle de la main droite son mâle du soir,  mais sa gauche s'affaire furieusement sur sa vulve et son anus. Elle espère cette nuit un gode de Shona, le noir et blanc un super modèle pour zoophile équestre. Pourtant Chantal se contante de son grand amour avec Sultan resté garder fidèlement l'apartement à la Courneuve. Avec lui pas besoin de capote, juste lui mettre des chausettes car il ne faudra pas rayer mamandamour. Le jus de Jean semble moins salé que son Sultan raison pour laquelle la coupe de champ est à  demi consommée ou bien qu'elle était trop pressée d'engloutir ce gros phallus en ce début de soirée. Jean a bien juté et il n'a pas quitté pour autant ses Rayban. La nuit est tombée. Shona a été habillée d'une robe de dentelle noire et bleu. Le plastron est ouvert en V du col collier au nombril, depuis le bassin fendue jusqu'au talon. Pas de culotte et en guise de soutien gorge une belle chaîne d'or reliant les bouts de seins dejà turgescents car Eve s'est chargée de les sucer avec application. Il est vrai que Shona rempli ses bonnets DD et qu'en belle libanaise ses aréoles sont foncées limite indis et qu'à force de succion lesbiennes ses bouts se dressent en toute occasion : chaud, froid, émotion, pleurs, envies pressantes, orgasmes, la liste est longue. Chantal et Jean ont semble-t-il transformé le salon. Le piano est contre le mur, la table roulante dans l'enfilade du grand fauteuil la table basse est disposée à l'envers à gauche du sofa et la banquette du piano est au milieu de la piéce sur le tapis rond et bleu de cochinchine. Inhabituel chez Jean qui passe pour un maniaque, lui n'est pas que rigide dans son caleçon... Shona fait son entrée au salon suivie d' Eve qui pour l'occasion à defait son beau chignon fauve-roux-feux. Chantal se lève lui prend la main et la conduit à la banquette du piano au cuir noir trop brillant. Chantal allume le petit lampadaire et étends le central. Shona demande : Maître puis-je m'assoir. Un claquement de doigts Shona relève sa robe comme un  salut , une courbette jusqu'à terre et s'assied. Le cuir est froid et sa vulve et son anus encore mouillés semblent embrasser ce siège.  Chantal vient de quitter sa jupe plissée rose et reste en chemisier, bas couture et porte- jaretelles bleu sur des petits escarpins roses à boucle dorée. La jupe trône au beau milieu de la pièce. Elle prend place à terre écartant le jambes de Shona, enlaceant de ses bras sa taille pour l'attirer à ses lèvres, la langue chantalienne tourne déjà autour du petit bouton rose et o n perçoit le bruit de succion fait par la mouille de Shona, l'avide Chantal la tette avec une application methodique de vieille goudou. Jean ne dit mot mais tourne la tête afin sans doute de mieux entendre ? Eve se rapproche de la banquette et prends place afin que Shonna s'appuie le dos sur ses longues jambes. Ainsi installée Shona s'abandonne aux bonnes lapées chantaliennes, coule encore et encore. Son sexe s'ouvre sa rosette en fait autant et son sein droit est dans la main de Eve qui du pouce et de l'index presse sur son téton à présent plus dur et gonflé de plaisir. Un claquement de doigt du Maître interromp cette envolée chantalienne et la prise en mai evelienne. Chantal s'extirpe de sa position d'accueuil en langue et aspirente. Eve continue ses caresses et passe ses longs doigts sur l'aréole du sein ganche tout en pressant le teton droit. Shona goutte à goutte elle soupire en douceur, sort de la torpeur du décollage initialisé aux bonnes pratiques de Chantal. Comme on le subodore le protocole a été défini par Jean Eve et Chantal. Shona est allongée sur la banquette de cuir. Chantal reprends son rôle mais ainsi placée le tronc de Shona est étendu, les jambes écartées Eve déboutonne sa robe longue, pose sa vulve sur la langue demandeuse de Shona qui pilonne ses grandes lèvres. Eve complexe depuis la petite enfance d'être doté d'un pareil vestibule. Certaines de ses conquêtes lui on  fait remarqué  la taille "anormale" de ses petites et grandes lèvres qui plus est sont bruyantes à la branlette mais sucent mieux que la bouche tout objet oblong ou turgescent qui en dehors d'un cuni exceptionnel ajoutent au plaisir masculin et participent à l'accompgnement d'un coït. Eve s'acharne sur les tétons et Chantal vient de glisser quatre doigts dans la rosette offerte et lui aspire son beau clitoris dans un mouvement synchrone de trio rompu à l'exib et aux plaisirs sans taboo.  
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Par : le Il y a 18 heure(s)
- « Alors comme ça on boude? »   C’est marrant la frustration non ? Comme une connasse qui pointe son nez certains jours, déguisée derrière son pote désir alors qu’on l’avait pas invitée. - « Tu fais la gamine A.? Toi la femme qui n’est plus une morveuse depuis toujours et même avant? Tu veux que je te rappelle les 42 balais que tu te traines au cul? Tu morves déjà assez quand je te baise la gorge tu crois pas? ».   La soirée promettait d’être dingue, un peu comme une soirée qu’on arrose avec beaucoup de tout. Du champagne, de la pisse et tant pis si on mélange. «Jaune sur blanc, tout fout… ». Tout fout voilà ! Un truc comme ça. Tant qu’on peut foutre quelque chose dans quelqu’une. Bref, un putain de tapage de salope nocturne en perspective et de la baise bien meilleure que la meilleure des baises. - « Ton silence m’excite. Regarde. Veines saillantes, couilles en ébullition… ça ruisselle même de rosée en quantité tu vois.»   La squatteuse avec son déguisement reste jusqu’au bout de l’ennui sinon c’est pas drôle. L’autre ami, celui qu’on attendait lui est comateux. Fallait pas boire dans ce verre sombre con! Silence, ça tourne.   - « Je t’utiliserai quand tu seras calmée Salope. Tu seras belle et je te rendrai dégueulasse et honteuse. Tu seras sublime tu verras.»   Elle vient de temps en temps chez moi, « nature peinture » comme dit ma coiffeuse. Avec son pote désir qui cause et cause t’entêtant. Je l’accueille comme on le fait avec les amis de longue date, ceux avec qui on s’engueule mais c’est pas grave. C’est pervers et salissant à mort. Et on construit du pire pour les prochaines soirées, ils m’entrainent au bout de la nuit…   Fais chier… j’ai la chanson en tête.   - « File à ta couche ».  
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