La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Hier, 17:53:57
Après de nombreux échanges pour rédiger le contrat de soumission (les pratiques, les limites, les safewords, ...). Les échanges furent rapides et intenses, et une rencontre est prévue lors d’un petit séjour pour une nuit dans une “love room” ambiance BDSM (table de massage/torture, balançoire, différentes attaches et contraintes, barre d’écartement, collier, laisse, bâillon, … ainsi que 2 lieux de détente : jacuzzi et sauna). Rien qu'au téléphone, la connexion cérébrale était déjà présente et intense tant mon corps l’exprime. Ma petite nouille était souvent dure et mouillée.   Arrive le jour J, je suis arrivé en premier (vers 17 h 30). Les règles étaient claires, je devais attendre à genoux sur le pas de l’entrée ainsi que la tête baissée. Je me posais 1000 questions : « Est-ce qu’elle va arriver ? », « Dans combien de temps ma Maîtresse va arriver ? », « Est-ce que je vais être à la hauteur ? », « Est-ce que j’ai bien fait de m’aventurer là-dedans ? ». Plein de questions qui trottaient dans ma tête, sans réponse à l’instant T, mais j’allais vite le découvrir. Soudain, j’entendis une voiture entrer dans la cour au bout de (15-20 minutes) à genoux : « Ça y est, ma Maîtresse est arrivée. » Ce fut un soulagement d'entendre ma Maîtresse arriver avec des pas déterminés et ses bottes à talons qui claquent le sol à chaque pas. J’ai l’impression de l’entendre à des kilomètres, telle sa prestance est immense. Après avoir déchargé tous les bagages de ma Maîtresse, j’ai dû donner ma clé de voiture, mon portefeuille, mon téléphone. Je lui donne clairement ma vie, mon identité, ma liberté, et je ne peux plus faire machine en arrière, je suis dorénavant sien, ne pouvant pas m’échapper aux risques d’être nu et sans papiers sur la voie publique. L’entrée en matière fut directe et très humiliante, mais j’avais confiance en ma Maîtresse. Sous son ordre, je me mets complètement nu pour que ma Maîtresse contrôle l’entièreté de mon corps, les différentes épilations demandées, mais aussi l’hygiène de mon corps de la tête aux pieds. Puis cette douche avec de l’eau froide fut si éprouvante que mon corps en tremble encore. De plus, ce lavage de mon petit trou à de nombreuses reprises (lavement anal) me vide totalement. Mais j’ai cette impression que ma Maîtresse me possède et m’avait déjà pris en main de nombreuses fois et que mon corps à l’intérieur de moi est totalement nettoyé et à ELLE. Prêt à subir tous les ordres et désirs que ma Maitresse s’apprête à me faire vivre dans ce séjour. Mon cul est dilaté d’entrée, prêt à travailler pour ELLE. C’est même sa priorité, puisque c’est la première pratique qu’elle exerce sur mon petit trou anal vierge. Maîtresse y va en douceur avec ses doigts de fées, mes gémissements montrent que j’ai énormément de travail à effectuer dans ce domaine pour pouvoir accueillir ses 5 doigts entiers dans mon cul. Les va-et-vient avec ses doigts, j’adore cela : c'est à la fois excitant pour le plaisir prostatique (1 doigt ça va) mais également douloureux à encaisser pour mon petit trou (2 ça tire fort déjà). Contraint à 4 pattes, attaché aux mains et pieds par une barre d’écartement qui m’empêche de resserrer mes jambes et offre mon trou. Mes bourses sont à disposition, ma Maîtresse en profite pour donner quelques coups de pieds et mains pour tester ma résistance au ballbusting. Je vous le dis, c’est dur de recevoir ces impacts sur cette partie fragile du corps... Ensuite, je suis mis sur la table de massage (ou plutôt de torture), totalement contraint et attaché de A à Z sur le dos par une longue corde avec mon sexe, mes tétons, mon visage à sa disposition. Mais avec la vue totalement masquée (je ne vois rien, je suis dans le noir), ce qui décuple les sensations de l’ouïe et de l’odorat, entendre son souffle, ses bruits de pas, me demander à quelle sauce je vais être mangé... Être touché par ELLE, sentir sa peau, sa voix, sa respiration, je suis clairement au 7ᵉ ciel. Mais cela est de courte durée, car ma Maîtresse est sadique et la torture de mes tétons est un de ses grands plaisirs. De plus, je suis fragile et très sensible de cette partie là, et elle le sait, je souffre déjà... Elle s’attaque à mon sexe également qui est en érection depuis de longues heures où ma maîtresse le malmène sans ménagement (même sans le toucher) et l’excite avec désir et frustration, un mélange explosif. J’ai envie de "balancer la sauce", mais j’en ai l’interdiction sans l’autorisation de ma Maîtresse. C’est dur, c’est tellement dur que mon corps refuse qu’elle me touche et je tente de me tortiller pour éviter qu’elle me touche. Mais je n’y arrive pas, elle utilise même tout son corps pour jouer sur moi et me contraindre un peu plus. Je sens son fessier, ainsi que sa culotte mouillée. Elle me bâillonne même avec sa culotte trempée. Après de longues minutes à me battre contre l’idée de jouir, elle retire mon bandeau ; ses seins sont juste au-dessus de mes yeux, j’ai enfin l’autorisation de jouir. Quelle récompense, mais d’une courte durée, car c’est un orgasme ruiné suivi d’une masturbation post-orgasme. Une vraie torture où je bouge comme une anguille prise au piège hors de l’eau. Je suis détaché, le bandeau remis, et je perds de nouveau la vue. Amené avec la laisse près d’un fauteuil, elle m’ordonna de lui prodiguer un cunnilingus pour tester mes capacités à lui servir de sex-toy, et tester ma langue et mon niveau de pratique. Après quelques minutes, ma maîtresse me repoussa brutalement de son sexe et prit son jouet pour se faire plaisir et obtenir un orgasme. J’ai tout de suite compris que je n’étais pas à la hauteur de ses espérances dans cette pratique là. Je suis NUL et MAUVAIS, je me sentis comme un moins que rien et pas capable de donner du plaisir à ma Maîtresse, je suis humilié, j’ai honte de moi. Après avoir obtenu sa jouissance avec un vrai jouet de qualité, elle me tira par les cheveux pour que je lèche et nettoie son orgasme, son nectar, qu’il n’y reste aucune goutte. Suite à ce désastre, ma Maîtresse eut envie de se délasser dans le spa et de prendre du bon temps pour elle. Pendant que j’étais contraint au sol par un humbler avec les couilles et mon sexe tiré vers l’arrière de mon fessier. J’ai dû clairement faire la statue au musée du Louvre, car chaque mouvement me faisait terriblement mal. Après ce moment de détente pour ma Maîtresse et ce long moment d’attente en mode « ne pas bouger » pour ma part. Ma Maîtresse testa mes qualités de masseur. À ce moment-là, je me suis dit : « Il faut que je me rattrape, je ne peux être que meilleur que lors de la pratique d’un cunni ; en tout cas, on ne peut pas faire pire, du moins. » Donc j'ai tout donné pour lui prodiguer un bon massage, afin qu’elle soit fière de son soumis. Elle s’allongea sur la table de massage sur le ventre avec une serviette qui remontait jusqu’à son bas du dos pour ne pas avoir froid. Je me croyais masseur professionnel tellement l’endroit correspondait avec l’ambiance des jeux de lumière tamisée (rouge), la table de massage ainsi que l’huile parfumée. Elle était sur le ventre, j’ai donc à disposition son dos, ses épaules, ses bras à masser dans un premier temps. Je pris l’huile de massage et l'ai frotté entre mes mains pour la faire chauffer. Je m’applique à passer sur tous ses membres avec force, énergie et dextérité, en passant à de multiples reprises et en appuyant plus ou moins fort pour détendre les muscles du corps de ma Maîtresse. Je sens que Maîtresse est plutôt détendue, qu’elle apprécie ce moment et qu’elle est satisfaite de ce massage. Et elle me l’exprime que « je suis meilleur (ou moins pire) en qualité de masseur que pour faire des cunnilingus ». Après avoir effectué le dos, les épaules, les bras et les mains de ma Maîtresse. Elle se retourne et j’ai eu la chance d’apercevoir et de prodiguer un massage sur sa poitrine et son ventre. Et autant vous dire que ses seins, c’est la partie préférée que j’admire chez ma Maîtresse, avec ses doigts de fées qui arrivent en second. Ma Maîtresse a 2 magnifiques obus qui auraient pu mettre fin à de nombreuses guerres, tellement les soldats auraient été éblouis et la rétine complètement transpercée par cette vue magnifique. Je prends le temps de contempler, toucher, masser, malaxer sa poitrine qui est si moelleuse et agréable au contact. Après ce moment de massage auprès de ma Maîtresse, j’ai eu la chance qu’elle m’autorise à l’accompagner dans le jacuzzi pour un moment de détente assez sensuel. Ce fut un moment inoubliable avec une première partie où ma maitresse joue de ses pieds pour toucher et exciter mon sexe avec plus ou moins de pression de sa part pendant que je prodigue un massage à son deuxième pied. Puis nous sommes amenées à discuter, à échanger, et je lui fais part d’une envie et de mon attrait pour le water bondage. Et ce n’est pas tomber dans l’oreille d’une sourde. Maîtresse prit une corde et m’attacha le haut du corps, bras et mains liés dans le dos en "shibari". Ce fut un moment suspendu dans le temps, où la complicité et le jeu étaient présents. Je tentai de me révolter un petit peu, mais c’était sans compter la pression et la force de ma Maîtresse qui me plongea dans l’eau, où ma respiration était coupée. Je devais me retenir, me concentrer et résister sous l’eau pour ne pas boire la tasse, et quand j’avais le souffle court, je tentai de remonter à la surface, mais ELLE jouait de cela pour me contraindre encore quelques secondes dans l’eau. C’était clairement mon moment préféré, ce moment de complicité, de jeu, mais aussi de proximité avec le corps de ma Maîtresse. C’était clairement un moment qui était magique durant ce séjour. Après ce moment intense et inoubliable, il était temps de prendre une douche et d’aller se coucher, car il se faisait très tard, même si je n’avais aucune notion du temps et de l’heure (j’ai su après qu’il était dans les 5 h du matin). J’ai eu l’occasion de dormir aux côtés de ma Maîtresse et c’était agréable de sentir sa présence, son corps, de la toucher avec son autorisation, mais aussi de la masser pour s’endormir. La nuit fut courte, puisque nous devions rendre le logement le matin même (avant 11 h). Mais le réveil était agréable avec ce réveil en douceur peau à peau avec la tendresse auprès d’ELLE. Mais tout d’un coup ma Maîtresse eut une envie de jouer avec moi et mon corps dès le réveil en m’attachant sur ce lit avec les membres aux extrémités en étoile de mer avec les attaches de lit. Je n’avais point le droit de jouir et ma maîtresse jouait de mon sexe et me fit découvrir une nouvelle sensation, la wand sur mon sexe. Quelle incroyable sensation de sentir les vibrations, mais quelle torture quand on n’a pas le droit d’éjaculer. Heureusement pour moi et pour cette éjaculation qui n’a point eu lieu puisque je n’ai pas eu l’autorisation de ma Maîtresse, hélas c’est l’heure de partir et nous devions ranger et quitter les lieux. Ce fut un moment triste, car je devais déjà quitter ma Maîtresse. Je fais le rangement et le ménage, elle charge sa voiture, et elle me rend ma liberté avec la remise de mon portefeuille, de mon téléphone et ma clé de voiture... Ce séjour fut très court, trop court, mais c’était une rencontre intense et excitante qui laissera surement place à d’autres séjours BDSM avec ma Maîtresse. A suivre... NB : Récit écrit à ma demande par mon soumis SMD96
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Par : le 04/06/25
Assis sur ce banc, je regarde tous ces avions se poser ou décoller vers des destinations inconnues ; gribouillant des silhouettes sur mon petit sketchbook, avec mon petit crayon déjà bien entamé. Voir tous ces gens marcher avec le sourire, courant de portes en portes pour s'envoler et découvrir, de nouveaux lieux, de nouvelles cultures, parfois retrouver des amis, que sais-je, retourner dans un lieu qui nous a touché... Chaque voyage est unique, il nous marque, nous fabrique, car bien souvent cela change notre perception du monde.   J'ai voyagé, de Montréal a Tchang Maï, passant par Bombay ou Goa quand j'étais jeune, de Barcelone à Essaouira, sans oublier Newcastle... J'ai pris le temps, de m'imprégner de ces lieux vivants... du musée des civilisations, de ces plats qu'on oublie pas comme le Khao Soï, ou encore l'impressionnante Sagrada Familia qui sera sans doute pas fini de mon vivant ou ces kilomètres de plage a Sidi Kaouki ou y'a personne avec cette vue vers l'infini.   Mais aujourd'hui, c'est d'un autre voyage dont j'ai envie, celui que bien souvent les gens oublient... la découverte de l'être humain, bien sur au féminin. Je me souviens de ces heures, ou l'on refaisait le monde, ou l'on se racontait de jolies mensonges, se disant que si l'on était riche on s'envolerai au pays des songes. Mais la richesse en vérité, c'est de se donner le droit de rêver.   Il y a les mots, il y a les actes, comme lorsqu'on se rencontre, qu'on se regarde, que l'on raconte, ou l'on découvre l'âme de l'autre, avec son histoire qui nous touche, qui nous fait sourire, qu'on a envie de la blottir contre soi, parfois simplement la faire rire, ca suffira. La suite, le temps nous le dira, si un lien s'est construit ou pas, mais pas la peine de se précipiter, même si parfois le temps vient à manquer.   Je ne dis pas que j'ai besoin d'exister a travers l'autre, car ce serait un poids que j'imposerai, mais c'est plutôt partager et construire ensemble, cette bulle qui nous ressemble et nous assemble, dans cet univers si particulier du BDSM. Et quand ca fonctionne, on se sent tous les deux a notre place. Ce n'est pas une question de pouvoir, mais plutot d'évidences...   Il fait nuit noire, il est temps pour moi de me lever, de sortir du coté obscur, pour des lieux un peu plus clairs, car finalement la vie est un jeu d'ombres et de lumières.   ClairObscur.
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Par : le 04/06/25
Je me souviens de la première fois où j’ai passé la bride au cou d’une Femme. J’étais, je le reconnais, plus jeune, moins expérimenté et surtout beaucoup moins confiant. Cependant j’avais apporté un soin particulier au choix de l’article. Une bride en cuir épais, de qualité, comme celle qu’on monte sur les gros chiens, avec un anneau large ou passer plusieurs doigts etait possible. J’y avait adjoint une laisse optionnelle en acier lourd, à gros maillon, mais courte pour rester agile dans le maniement. Un très bel ensemble assorti d’une sangle en cuir ferme du même tenant permettant une prise ferme et sans défaut.   Celle-ci m’a depuis apporté beaucoup de plaisir. Autant dans l’apprentissage de l’art de son maniement que dans la variété des pratiques que celle-ci nous aura permis avec ces Dames.   A mon sens, une bride doit être entièrement assumée. Sans aucun détours ni ambiguïté. C’est un symbole et celui-ci doit être puissant et sans équivoque s’il veut inspirer une emprise rassurante. Toute dissimulation, hésitation  ou atermoient créera un climat de suspicion prompt à rompre l’harmonie Maître / Soumise.   En effet,  Mesdames, j’entends tout à fait votre volonté de ne pas vous laisser contraindre de la sorte par quiconque sans avoir atteint un certain seuil de confiance. Autant dans la personne elle-même que dans sa maîtrise de l’objet. Mais je fais confiance à votre jugement et à votre sensibilité pour savoir confondre un Maître malveillant ou malhabile.   Les vilaines laisses toutes fines pour petits lapins roses n’ont pas droit de citer dans mon vocabulaire. Au-delà de leur aspect cheap, de leur inconfort et de leur capacité à tourner ces Dames en ridicule; elles ne reflètent pas le contrôle et l’emprise que celles-ci attendent de l’objet. Et encore moins l’autorité que celui-ci confère à celui qui l’opère. Une bride respectable doit pouvoir devenir un objet de désir et de convoitise  pour ces Dames. Un de ceux qui font mouiller les lèvres et tourner les têtes.   Je reconnais par ailleurs avoir un faible tout particulier pour le harnais en cuir avec mordant. Même si celui-ci est moins versatile dans ses pratiques, il apporte certaines notes de transgression délicieuses qui résonnent en moi.    En effet, beaucoup moins confortable: le maintien du visage se faisant par la contrainte de la mâchoire. Souvent doté de lanières et d’anneaux latéraux (en metal dans mon cas) qui vont également compresser les plus fins minois. Son esthétique singulière confère, par anthropomorphisme, un côté cru et animal à ces Dames. Non pas un animal de compagnie qu’on identifie par un sobriquet et chérit comme son propre enfant; mais bel et bien un animal sauvage et libre dans toute sa splendeur. Et qu’il est, à l’évidence, fort agréable pour nous de dresser.    Ce côté légèrement plus kink de l’objet permettra à une Femme aguerrie une distanciation plus prononcée de sa propre psyché. Aussi, si celle-ci apprécie (car ça n’est évidement pas du goût de toutes), elle en fera un objet de libération fort, et qu’elle pourra même, parfois, de son propre chef, venir proposer à son Maître lorsqu’elle aura envie d’être apprivoisée.   Notez enfin que j’ai une tendresse particulière pour un mords en cuir assorti, permettant à ces Dames de punir à foison l’objet. Tout particulièrement quand encaisser une pratique devient physiquement plus difficile. Et ceci sans jamais abîmer leur précieuse bouche.  Il permet aussi Maître expérimenté de jauger les seuils d’inconfort et de les adapter pour faire durer le plaisir de l’un, comme de l’autre.  A noter que celui-ci autorise même l’emploi d’un safe word rassurant dans les cas extrêmes.  Et, comble de la sophistication, une longe de cuir longue et de bonne facture permettra accessoirement de cravacher cuisses, fesses et seins saillants pour redonner de l’entrain à la promenade, puis de la fougue au galop.   En résume j’invite donc ces Messieurs qui voudraient s’y essayer à choisir savamment une bride adaptée à leur maîtrise de l’objet et, par-dessus tout, j’invite ces Dames à apporter le plus grand soin au choix de ces Messieurs …
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Par : le 03/06/25
Je suis dominante, et pourtant j'aime jouer à tester les limites de mon soumis. J'aime le taquiner, le provoquer. Je suis capricieuse et rebelle, à la fois rebelle et effrontée, et je l'assume. J'ai besoin d'action sinon je m’éteins. Je ne me contente pas d'un simple oui ou d'accord. J'ai besoin de vivre passionnément en profondeur. On parle très souvent des soumis(es) mais je n'ai pas trouvé (ou mal cherché, je m'en excuse) de topic sur le sujet. J'aimerais avoir des avis sur le sujet, car je me sens pour le coup un peu seule en défilant le mur, chaque jour. Je me découvre au fur et à mesure du temps qui s'écoule, et toujours la même réponse, je me sens différente d'une dominante ordinaire (si ordinaire il y a). J'ai vue une vidéo sur les brat dominant(es) mais je ne trouve pas de témoignage. Peur d'avouer ou suis-je à part ? Je suis un volcan qui naît. Ma lave s'écoule et prend feu. Je dois ordonner mes envies naissantes, mais tellement naissent avec mon Soumis et qui j'en suis fière, m'accueille dans ces flammes qui me brûlent, bienveillant. Je mets un S majuscule volontairement, car il est le pourquoi de cette flamme qui explose, il me rend tellement puissante et libre d'être enfin moi même (pour tout comprendre il faut lire mon premier chapitre). Je ne vois malheureusement pas de sujet parlant de domination qui naît, explose, s'éveille. Que des sujets sur les soumis qui se découvrent (et j'en suis heureuse pour elles, eux). Pourrions nous une fois sans critique, en bienveillance parler de ce sujet, qui je suis certaine a effleuré certain(es) qui n'osent, parler du sujet. Le post est ouvert, avec bienveillance merci.  
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Par : le 03/06/25
B. Premiers pas de soumis. Partie 2 « Bon, il a assez macéré, j’y retourne ! » dit Sabine. Vanessa préfère rester dans la pièce prétextant que Sabine s’en sortait très bien sans son aide et Martin retourne s’asseoir sur le canapé. Jean entend le pas cadencé de Sabine s’approcher de lui. Mais est-ce vraiment elle ? Si oui, que va t’elle inventer ? Avec quels jeux pervers elle va le tourmenter ? Il est surpris de constater que le simple fait de se poser la question fait monter en lui le désir à un tel point que cela lui procure du plaisir et est impatient de connaitre la suite. Par contre, contrairement à tout à l’heure, il ne perçoit aucun autre bruit. S’il y avait des spectateurs ils ont peut-être été déçus et sont partis. Ses interrogations sont interrompues car il sent qu’on décroche ses mains tout en lui laissant les menottes, pareillement pour les chevilles et, enfin, sa taille est libérée ce qui lui permet de respirer plus facilement. Jean ne bouge pas. Privé de toute vision il n’ose pas faire le moindre mouvement et attend qu’on le guide. Maintenant il est certain que c’est Sabine car il a reconnu son parfum. Sabine observe ce corps ruisselant de bave, elle décide de lui laisser le bâillon boule pour l’instant et, toujours sans prononcer le moindre mot, elle attrape la laisse et tire dessus pour le faire avancer. Jean parait moins tendu, elle constate qu’il la suit avec plus de facilité. Apparemment, ce moment où elle l’a laissé seul dans une position sans équivoque, lui permettant de faire face à sa condition de soumis a porté ses fruits. Elle l’amène jusqu’à un carcan sur pied, lui enlève le collier et se dirige vers le meuble où sont rangés tous les accessoires classés par catégories. C’est un meuble de couleur Chêne foncé qui fait penser aux vaisseliers d’antan. Sur la partie haute sont accrochés les fouets, martinets, cravaches, paddles, cordes et chaînes. Juste au-dessous une étagère présente des godemichets de différentes formes et tailles et encore au-dessous il y a celle des plugs. Le plateau permet  de préparer des objets ou de les déposer après utilisation et avant leur rangement. Le bas est divisé en trois parties. À droite une rangée de tiroirs dans lesquels on trouve des petits accessoires, au milieu une porte s’ouvre sur le matériel d’électro stimulation et à gauche il y a deux tiroirs dans lesquels sont fixés des sac poubelle. Le tiroir du haut pour mettre le matériel à nettoyer ou stériliser et celui du bas pour les déchets à jeter. Sabine ne voulait pas que des choses répugnantes trainent n’importe où, elle a fait faire ce meuble adapté à ses besoins par un artisan de la région. Tant-pis pour les fabricants suédois de meubles en kit. Tant pis aussi pour les aficionados de la canne et de la badine, elle n’en a pas car elle n’aime pas infliger des douleurs extrêmes. Elle se défini elle-même comme une Dominatrice romantique. Elle dépose le collier avec la laisse sur le plateau à côté de la cage de chasteté qu’elle avait mis là plus tôt, attrape une cordelette d’un mètre et retourne vers Jean qui cherche à deviner ce qu’elle mijote. Sabine se baisse et enroule la cordelette autour du scrotum en serrant assez fort, fait une boucle d’une vingtaine de centimètres sur le bas, elle regarde son travail, elle estime que les testicules sont suffisamment séparés de la verge puis tire sur la boucle qui résiste à la tension. Satisfaite elle se redresse, se place de l’autre côté du carcan, ouvre la partie haute et dit « Lève tes bras à l’horizontale et avance de deux pas ! » Il a vraiment l’impression de jouer à Colin-maillard. Elle lui attrape les deux poignets « Penche-toi en avant. N’aie pas peur ! » Elle positionne les deux poignets dans la partie basse puis le cou en appuyant sur sa tête, rabat la partie haute puis verrouille le tout. Elle termine en fixant les menottes à un piton fermé du carcan. Elle règle la hauteur du carcan afin qu’il ait le dos à plat et retourne au meuble, prend une cravache, ouvre un tiroir, hésite et se décide pour un poids de cinq cents grammes puis attrape une barre d’écartement métallique et retourne vers jean. Elle règle la barre pour un écartement de quatre-vingt centimètres, pour un début ça ira, elle pose la barre derrière les pieds de Jean, s’accroupit et ordonne « Écarte tes pieds ! », en tapant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache elle arrive à attacher les chevillières à la barre. En se relevant elle constate que le dos n’est plus à l’horizontale, donc elle règle à nouveau la hauteur du carcan, fait deux fois le tour pour vérifier le résultat et en profite pour mettre une bonne tape sur les fesses de Jean, sachant qu’avec le cuir il n’aura pas mal mais juste pour lui faire comprendre que maintenant elles sont à sa mercie. Sabine se retourne vers Martin et Vanessa qui est derrière le miroir sans tain et fait mine de s’essuyer le front pour leur faire comprendre que ça n’a pas été une sinécure. Vanessa est morte de rire mais sent la chaleur monter dans son bas ventre. Sabine ramasse le poids, l’accroche à la boucle qui dépasse sous les testicules et avec sa cravache s’amuse à faire aller le poids d’avant en arrière comme le balancier d’une horloge. Depuis le début Jean fait des efforts surhumains pour réfréner chaque début d’érection en se conditionnant psychologiquement. Il s’était transformé en simple objet et y prenait du plaisir, un plaisir différent du plaisir phallique dont il avait l’habitude mais il est encore incapable d’analyser cette nouvelle sensation. Il ne s’en rend pas compte mais un filet gluant coule de son méat. Cela n’échappe pas à Sabine qui s’exclame « Voyez-vous ça. C’est qu’il est tout excité et en plus il bave. On dirait un escargot ! »  Elle lui enlève le bâillon, enfile des gants en latex, lui essuie la bave avec du papier absorbant, va récupérer la mouille qui coule encore du sexe de Jean avec son index et son majeur puis va lui mettre les doigts dans sa bouche « Suce mes doigts. Nettoie tes cochonneries ! Tu aimes sucer mes doigts ? » Il répond par un « oui Maîtresse ! » obligatoire. Sabine retourne au meuble, prend du lubrifiant dans un des tiroirs, revient et dégrafe la partie arrière du slip qui donne accès à l’anus. « On va vérifier si c’est bien propre ! » Elle enduit ses doigts, couverts par le gant, de lubrifiant et commence par en mettre autour de l’anus de Jean puis insère son index et fait quelques va-et-vient. Elle recommence en y ajoutant son majeur et là, il pousse un petit cri. Sabine se moque de lui – « Oh la chochotte ! Tu es puceau du cul ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Bon, c’est propre mais très serré ! » Elle va chercher un plug en silicone de dix centimètres de long et deux centimètres et demi maxi de diamètre. Pour un dépucelage ce sera parfait se dit-elle. Elle lubrifie copieusement l’objet, elle exerce une pression soutenue sur le bas du dos de Jean avec sa main gauche et dit « Respire profondément et lentement, décontracte-toi ! » Elle introduit lentement le plug jusqu’à ce qu’elle sente une résistance, glisse sa main gauche vers le torse de Jean, attrape le téton, le tord très fort et en même elle pousse d’un coup sec le plug qui, cette fois, a forcé le passage du sphincter et est en place. La douleur soudaine du téton a fait que Jean s’est à peine aperçu que l’objet était entré dans son fondement jusqu’à la garde. Il sentait juste qu’il avait un corps étranger en lui et que son anus était élargi mais il n'avait pas été traumatisé. Instinctivement il s’était mis en apnée au début de l’introduction mais, maintenant il a repris une respiration normale, son cœur bat un peu vite probablement à cause de l’émotion mais curieusement il se sent bien. Vanessa qui n’a rien raté de l’opération et s’introduisait deux doigts dans sa chatte au même rythme que le plug s’introduisait dans l’anus de Jean pousse un couinement et jouit. Martin qui, lui non plus n’a rien raté du spectacle, regrette de ne pas être à la place de Jean, même si lui, il est déjà à un niveau supérieur. Sabine contrôle la position du plug et referme le slip afin que le plug ne soit pas éjecté et dit « Maintenant je vais éveiller ta conscience ! C’est-à-dire que tu vas voir où tu es et ce que je fais ! Tu vas réaliser que tu n’es pas dans un monde imaginaire mais dans un monde réel ! » Elle lui ôte le masque et, effectivement, il prend conscience de sa condition mais, compte tenu de sa position il ne voit pas grand-chose de son environnement. Coincé dans le carcan il peut juste tourner la tête de droite à gauche et seulement une vision limitée surtout que, Sabine qui a récupéré la cravache qu’elle avait posée sur le dos de son apprenti soumis vient de positionner devant lui. Sabine – « Ouvre la bouche ! » Elle lui met la cravache dans la bouche. « Tiens la bien entre tes dents et elle deviendra ta meilleure amie. Si tu la lâches elle me demandera de te punir ! » Ensuite elle décroche les chevillières de la barre d’écartement et s’amuse à tirer sur le poids qui pend toujours au bout de la corde de bondage du scrotum avant de le faire balancer. Elle déverrouille le carcan, décroche les menottes et lui permet de se relever. Elle lui remet le collier avec la laisse qu’elle prend, cette fois, par la dragonne et tire pour l’emmener au milieu de la pièce. Jean marche maladroitement, gêné par le poids qui ballotte entre ses jambes. Il voit Martin assis dans le canapé et craint que ce dernier soit invité à participer. Elle le fait stopper et lui donne l’ordre de se mettre à genoux. Elle tire à nouveau sur la laisse « Viens jusqu’à moi ! » Il avance en étant obligé de garder les cuisses légèrement écartées à cause du poids mais aussi du plug qui, depuis que Jean s’est relevé fait vraiment sentir sa présence. Elle soulève sa mini-jupe « Lèche la chatte de ta Maîtresse comme un bon toutou ! À quatre pattes ! » Sabine étant perchée sur ses talons-hauts Jean a un mal fou à lécher régulièrement. Elle s’énerve « Debout ! Puisque tu es incapable de satisfaire ta Maîtresse on va passer à autre chose ! » Elle l’emmène avec brutalité jusqu’à la croix de Saint-André, le fait mettre face vers le mur, accroche les menottes et les chevillières mais, cette fois, ne le ceinture pas à la taille. Ne voulant pas le traumatiser le premier jour elle un martinet en crin de cheval. Et dit « Pour ta faute je te condamne à dix coups de martinet ! » Le cœur de Jean s’emballe, Sabine ajoute « Après chaque coup tu devras dire pardon Maîtresse ! » Le premier coup s’abat sur le dos de Jean, il demande pardon, cela dix fois de façon métronomique avec une brève pose entre chaque coup. N’étant pas attaché par la taille le corps de Jean tressaute et ondule à chaque fois. Vanessa frissonne et jouit une deuxième fois même sans se caresser. Lorsqu’elle fouette quelqu’un ou qu’elle voit quelqu’un se faire fouetté cela lui déclenche systématiquement une forte jouissance. Cette fois Martin ne regrette pas de ne pas être à la place de Jean. Quoique, parfois il aime bien car cela le déstresse. Sabine laisse Jean reprendre ses esprits, s’approche, se colle à son corps en frottant ses seins sur son dos rougi et lui dit doucement « Tu vois ce qui arrive quand on me déçoit ! » Elle le détache, le fait se retourner face à elle, enlève le poids et la cordelette qui entoure le scrotum, les menottes, les chevillières et va poser le tout sur le plateau du meuble. Elle revient avec la cage de chasteté, décroche la laisse du collier et l’accroche au bout de la cage en fil d’acier puis fait passer les testicules et la verge dans l’anneau métallique, fait glisser la verge dans la cage et la verrouille sur l’anneau. En voyant les testicules séparés de chaque côté de la cage et bien proéminents il lui vient une idée. Elle va chercher une roulette à pics et la passe sur les testicules en appuyant légèrement. Les picotements font frissonner Jean comme s’il recevait une légère décharge électrique. Sabine se relève et dit « Il se fait tard et je suis épuisée. Il est temps que j’aille dormir ! » puis s’adressant à Martin « Cette nuit tu dors seul je vais dans la chambre rose ! » Vanessa comprend qu’elle va finir la nuit avec son amie. Elle attrape la laisse et tire légèrement par à-coups pour faire comprendre à Jean qu’il devait la suivre de près s’il ne voulait pas être émasculé. Une fois qu’ils sont partis Vanessa rejoint Martin dans le donjon. Elle sait qu’elle va dormir avec Sabine car la chambre rose est celle qui est réservée à leur intimité et que Martin en est interdit d’accès et elle lui dit « Ne t’en fait pas demain je te la rendrai, et il vaut mieux qu’elle finisse la nuit avec moi plutôt qu’avec Jean ! » « Salope ! » murmure Martin. Vanessa s’en va en disant « J’ai entendu. Mais tu sais quoi ? Tu as raison. Je suis une salope et j’en suis fière ! » Sabine a amené Jean dans la chambre où il avait déjà dormi, a décroché la laisse, enlevé le collier puis elle est sortie. Mais avant elle lui a donné l’autorisation d’enlever le plug et le slip, sachant qu’il ne pourra pas les supporter très longtemps. Jean regarde son sexe encagé et se demande s’il va pouvoir dormir avec ça. Mais le plus urgent est d’enlever le plug qui commence à se faire douloureux. Il va dans la salle de bain, enlève le slip et se débarrasse non sans mal du plug puis va se coucher et s’endort sans même avoir le temps de repenser à tout ce qui lui était arrivé durant cette longue journée er partie de nuit. Sabine et Vanessa se retrouvent dans la chambre rose.  « Alors comment c’était ?  J’ai été à la hauteur ? » demande Sabine. Vanessa – « Tu as été parfaite ma chérie. Tu sais que j’ai jouit deux fois ! » Sabine – « Ah oui ? Quand je l’ai fouetté ça j’en suis sûre, mais l’autre fois ? » Vanessa – « Quand tu lui as mis le plug. Sincèrement c’était du grand art ! » Sabine – « J’ai été à bonne école mais il est vrai que pratiquer sur un non initié dont on ne sait pas s’il est vraiment volontaire, s’il va apprécier, s’il va vouloir recommencer et surtout vouloir aller plus loin, ce n’est pas évident. Avec Martin ça a été plus simple puisque c’est lui qui était demandeur. Mais porter son dévolu sur un inconnu et faire en sorte qu’il devienne ta propriété, ta chose, c’est excitant et angoissant à la fois. C’est vraiment compliqué ! » Vanessa – « J’y suis bien arrivée avec Patrick. Alors pourquoi tu n’y arriverais pas ! » Sabine – « Patrick et toi c’est différent. Vous étiez tous les deux célibataires, c’est lui qui t’a draguée et pour te garder il a tout accepté sans même chercher à savoir pourquoi tu avais besoin de dominer que ce soit un homme ou une femme, parfois avec cruauté ! » Vanessa – « Toi, je ne te domine pas ! » Sabine – « Au collège j’étais la seule à prendre ta défense quand tous les autres se moquaient de toi. C’est pour ça que tu ne te venges pas sur moi ! Mais je me méfie quand même ! » Elles éclatent de rire puis s’embrassent fougueusement puis Sabine dit avec un sourire mutin « Grâce à moi tu as joui deux fois aujourd’hui. Moi par-contre… » Vanessa – « Ma pauvre chérie. Docteur Vanessa va te guérir ! » Elle l’embrasse Sabine dans le cou, descend vers sa poitrine suce ses tétons tout en dégrafant sa robe qui tombe sur les pieds et pousse son amie en arrière qui se retrouve à moitié allongée sur le lit. Elle se met à genou, fait glisser la robe et les escarpins sur le côté, tire sur les jambes de Sabine pour amener ses fesses au bord du lit, caresse le sexe lisse qui lui est offert puis elle écarte les grandes lèvres, avance son visage et titille le clitoris avec sa langue. Sabine se met à onduler du bassin, Vanessa alterne succion et coups de langue sur tout le sexe et parfois des mordillements. Soudain Sabine attrape la tête de Vanessa à deux mains, soulève brusquement son bassin, lance un long ouiiiiiiiiii puis retombe sur le lit, bras écartés, inerte. Les deux amantes se déshabillent et s’endorment enlacées. Martin, seul dans son grand lit, ne trouve pas le sommeil. Il espère que dans quinze jours il pourra être acteur lors de la grande réunion kink.
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Par : le 02/06/25
Aujourd'hui j'ai très très mal au bide . Ça était encore en journée mais là ça tape fort . Je me sens un peu comme dans mon enfance quand j'avais fait une connerie et eu grave peur que mon père va me ruger de nouveau... ou comme un gros noeud qui restera scotché au fond de mes tripes.. ça fouille et ne veut pas se défaire. C'est bizarre, hier soir je me suis faite encore jouir en pensant à celui qui me maltraitait souvent mentalement au lieu de me rapporter du bonheur. Ce n'est pas de sa faute , il ne se rendait pas compte je crois . Il faut être une vraie dingue  de garder ces souvenirs en bonne mémoire . Je croyais être une petite maso car j'avais trouvé du plaisir aux traitements mentaux qui te font souffrir mais mieux vaut arrêter avec cela . Laissons cela pour les "pro" ! Suis pas conne du tout , ni une naïve, au contraire, ne confondons pas mais actuellement ou toujours perdue dans ce monde de bdsm. Entre séances d'électrostimulation ou autres, une relation d/s avec des on/ off... je n'ai toujours pas trouvé mon bonheur . Ou dit- on sa place? J'en ai vécu un peu, de temps à autre. Deux pas en avant , rejettée trois en arrière. Coup brusque, dur! Je l'appelle de l'expérience vécue. Sans plus . Je me plains pas, juste je m'exprime. Toujours eu un énorme besoin de m'exprimer d'ailleurs ... Une chose que j'ai appris depuis. Le faire! Ouvertement. Comme la littérature française, la poésie , l'art ... tout cela  m'intéresse beaucoup depuis. J'ai appris à m'ouvrir ici, écrire ce qui me démange. C'est une façon de lâcher prise aussi . Et parfois les derniers temps, il y'a lui, celui qui pique . Lire quelques lignes de lui me suffisent. Par moment cela fait juste du bien . En lisant ses quelques mots, sans plus . Cela me fait rigoler ou simplement remonter le moral, m'accompagne en journée. Je ne demande rien , juste j'apprécie, je prends, aussi note et essaye de respirer pour du nouveau. N'importe où le chemin me ramène. Un jour, oui  . 
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Par : le 31/05/25
Cela faisait plusieurs mois que nous échangions des messages. Bien que la distance t’effrayait, tu m’as perçu comme quelqu’un à part. Celui qui aurait l’honneur d’être ton Dom et Daddy, le premier à qui tu as choisi de te soumettre — corps, cœur et âme.   Il va sans dire que je me suis attaché à toi comme jamais auparavant. Nous avons partagé des moments virtuels que rien ne saurait remplacer, car notre lien allait bien au-delà d’un simple rapport Dom/soumise. Oui, je parle de sentiments, de connexion, d’amour.   On dit souvent qu’il faut se rencontrer dans un lieu public, la première fois, pour des raisons de sécurité. Mais nous n’avons pas suivi cette règle. Le désir, l’envie… tout cela ne se contrôle pas.   Nous avions longuement discuté de ce que nous attendions de cette rencontre, de ce que nous allions explorer ensemble. Et ce mardi matin, nous nous sommes enfin retrouvés, comme prévu.   Tu portais une élégante petite robe noire et des bottes. Ton visage, que je n’avais vu qu’en photo, m’est apparu dans tous ses détails : tu étais magnifique. Et terriblement sexy. Nous nous sommes salués d’une bise. Il faisait froid. Nous avons marché ensemble vers l’appartement que j’avais choisi, en secret, pour te surprendre.   À peine la porte refermée, tu es entrée les yeux bandés, en signe de la confiance totale que tu m’accordais. Je t’en remercie encore.   Sans attendre, je t’ai plaquée contre le mur. J’ai goûté tes lèvres, mordu ta langue dans un baiser intense. Puis je t’ai ôté le bandeau, pour que tu découvres ce lieu, pensé et préparé pour toi.   Nous avons partagé un petit déjeuner, même si mon appétit, je l’avoue, était tout autre : j’avais envie de te dévorer.   Consciente de tes complexes, je t’avais proposé un massage pour te détendre. Tu ne portais plus qu’une simple culotte… rapidement retirée. Rassurée, je t’ai entendue gémir de plaisir. Tu t’es offerte à moi, nue, vulnérable, sans retenue.   Je me suis déshabillé. Puis je t’ai ordonné de me faire une fellation. Excité à l’extrême, je n’ai pu tenir bien longtemps. Mais tu croyais peut-être que c’était terminé… Ce n’était que le début.   Je t’avais prévenue : je suis endurant. Et moi, j’en voulais plus. Beaucoup plus.   Après t’avoir installé des pinces sur tes seins — qui ont fini par glisser — je t’ai offert un cunnilingus, avant d’entrer en toi. Lentement. Profondément. Intensément.   Je sais que tu as eu mal. Je suis bien conscient que mon sexe n’est pas des plus discrets… Mais je t’ai laissé le temps de t’y habituer, poursuivant mes mouvements, puissants, réguliers.   Je sentais ton corps se crisper, tes paupières se fermer… Tu subissais mes assauts, la gorge serrée sous ma poigne. Je t’ai ordonné de me regarder. Tu as obéi. Et j’ai intensifié le rythme, jusqu’à ce que tu perdes pied.   Je t’ai griffée. Claquée. Possédée. Ton corps, si joliment offert à mes désirs, n’était que plaisir et abandon.   Et je me suis finalement répandu sur toi, dans un mélange de puissance et d’extase.   Nous avons ensuite pris une douche. En regardant l’heure — déjà 13h —, nous avons décidé de sortir manger. La boulangerie à côté a suffi : rapide, pratique. Nous ne voulions pas perdre une minute.   De retour à l’appartement, je t’ai déshabillée. Puis, je t’ai attachée à la croix : bras levés, jambes écartées, dos tourné. Tu étais à ma merci, incapable de bouger.   J’ai commencé à frapper tes fesses avec la cravache. Un gode inséré en toi, maintenu fermement, pour intensifier les sensations. Puis je suis passé au paddle… Puis au fouet à lanières, frappant ton sexe.   Tu encaissais, un coup après l’autre, sans un cri. Seulement des gémissements. Et ce petit sourire… révélateur du plaisir que tu prenais.   Je t’ai détachée, même si tu avais réussi à te libérer d’une attache. Je t’ai guidée sur le canapé. Et je t’ai prise, encore, jusqu’à l’épuisement.   Nous nous sommes installés, lovés l’un contre l’autre. Je caressais ton petit corps marqué de mes empreintes, écho des orgasmes intenses que tu venais de vivre.   Je t’ai proposé d’aller dîner dans un vrai restaurant. Mais encore une fois, nous avons préféré rester là. Un repas simple à l’appartement a suffi.   Puis je nous ai préparé un bain chaud, accompagné d’une bouteille de champagne. Mais la chaleur t’a vite submergée, tu n’as pas pu y rester longtemps.   Je ne compte plus le nombre de fois où je t’ai prise. Mais je me souviens de chacun de tes orgasmes. De ton corps qui se cambrait. De tes râles étouffés. De ta mouille qui coulait sur mes doigts, ta langue, ma queue.   Ce fut une journée d’une intensité rare. Une journée où tu t’es totalement abandonnée à moi. Tes gémissements, ton regard, ton corps, ton plaisir… Tout témoignait de cette confiance, de ce lien puissant entre nous.   Je t’avais promis de te faire jouir comme jamais. Et j’ai tenu promesse.   La nuit a prolongé la journée. Intense. Complète.   Tu t’es abandonnée. Tu as joui, encore et encore. Jusqu’à ne plus pouvoir articuler autre chose que “vous” entre deux soupirs. Jusqu’à ce que ton corps cède sous l’effet de la jouissance.   Et nous nous sommes endormis, l’un contre l’autre, apaisés, comblés, liés par quelque chose de plus grand que nous.   Le matin venu, nous avons partagé quelques instants charnels, puis une discussion sincère sur la suite. L’envie de nous revoir était bien là, brûlante. Nous avions déjà des projets.   Je t’ai raccompagnée à la gare. Je t’ai regardée partir, les yeux brillants du souvenir de ce que nous venions de vivre. Ce moment restera gravé, à jamais.   Mais la vie n’est pas toujours simple. Et malgré l’évidence de ce que nous vivions ensemble, tu as dû faire un choix. Un choix difficile. Ce n’était pas un choix du cœur, je le sais. C’était un choix imposé par ta situation.   Aujourd’hui, tu es toujours là. Présente. Indissociable. Amoureuse, mais dans l’ombre de ma lumière.   Cette personne que j’identifierais pas, se reconnaîtra dans ces mots.   À toi, ma belle petite chienne.  
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Par : le 31/05/25
Être soumis·e ne devrait jamais être considéré comme quelque chose de simple ou de passif. Trop souvent, aujourd’hui, je vois des personnes se revendiquant soumises, mais qui ne s’investissent pas réellement dans leur rôle. Certaines ne travaillent pas leur posture, leur expression, leur technique ou même leur compréhension des attentes d’un dominant. Pourtant, à mes yeux, être soumis·e ne se résume pas à simplement obéir sans réfléchir ni questionner. Il ne s’agit pas seulement de répondre à des ordres mécaniquement, mais bien de construire une dynamique de confiance, de dévouement, et surtout de progression. Être un·e bon·ne soumis·e, c’est avant tout apprendre à connaître son Maître ou sa Maîtresse, comprendre ses goûts, ses préférences, ses envies. Cela implique un véritable effort, parfois même une forme de discipline quotidienne. Par exemple, prendre de belles photographies ne devrait pas être vu comme un simple caprice esthétique, mais comme un acte de dévotion. Cela passe par l’apprentissage de la mise en scène, la maîtrise de son corps, voire même l’initiation à des outils de retouche ou de montage photo pour valoriser au mieux ce que l’on offre. Ce n’est pas de la superficialité, mais une forme de soin et d’attention à l’autre. Il y a aussi un aspect physique à ne pas négliger. Certaines pratiques, comme le facial abuse ou d'autres formes de domination intense, nécessitent un certain entraînement, une préparation corporelle. Il ne s'agit pas seulement d'endurance, mais aussi de souplesse, de contrôle de soi, de capacité à supporter et encaisser tout en restant présent·e et disponible. Travailler son corps, c’est aussi une manière de montrer que l’on prend son rôle au sérieux, que l’on souhaite être à la hauteur des attentes, et que l’on respecte profondément la personne à qui l’on se soumet. Bien sûr, il y aura toujours des voix pour affirmer qu’il faut rester "naturel·le", et je comprends ce point de vue. La spontanéité a effectivement sa place, et elle est même précieuse dans certaines dynamiques. Cependant, cela ne devrait pas devenir une excuse pour négliger son engagement ou pour se contenter du strict minimum. Être naturel·le, oui, mais tout en cultivant la meilleure version de soi-même pour mieux servir, mieux plaire, mieux offrir. C’est pourquoi, personnellement, j’ai choisi d’explorer les deux aspects dans ma manière de me présenter. Je réalise à la fois des photographies dites "naturelles", prises sur l’instant, sans artifice, pour montrer qui je suis vraiment dans le quotidien. Et en parallèle, je crée aussi des clichés plus travaillés, plus esthétiques, où l’éclairage, la posture, et même la retouche sont pensés pour sublimer l’image que je renvoie. Les deux approches ne s’opposent pas, elles se complètent. Et pour moi, c’est cette dualité – entre sincérité brute et perfection construite – qui incarne le mieux ce que signifie être une soumise impliquée et consciente de son rôle.
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Par : le 31/05/25
J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice. Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks. Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite. En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence. Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi. Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi. Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses. J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver. Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position. Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même. Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon. Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina. Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce. Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?' (C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil. Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi. A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié. Autour de son cou, elle portait un appareil photo. Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y" A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis. Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina. Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos. Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕 Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina., Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil) Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux. Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée. Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide. Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre. A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.😊
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Par : le 31/05/25
III. Acte 2 A. Premiers pas de soumis. Partie 1 Jean, qui est en train d’aider Martin à ranger, se retourne brusquement. Sabine se tenait debout dans l’encadrement de l’entrée voûtée, campée sur ses cuissardes aux talons aiguille et bras croisés. Il avait l’impression de voir une icône. D’un ton ferme elle dit « Assied toi ! » Interloqué Jean s’exécute. Sabine – « Tu as accepté de jouer un rôle. C’est exact ? » Jean – « Oui, c’est exact ! » répond-il surpris par ce soudain tutoiement. Sabine – « Et tu as promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! C’est bien ça ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « Je veux que tu me le dises ! » Jean – « J’ai promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! » Sabine – « As-tu une idée du rôle que tu dois assumer ? » Avant qu’il réponde elle demande à Martin de les laisser seuls et d’aller sur le palier car elle craint que sa présence bloque Jean. Elle doit lui annoncer ce qu’elle attend de lui tout en le rassurant, faire en sorte qu’il comprenne de lui-même si ce n’est déjà fait, le faire adhérer en éveillant sa curiosité et son désir malgré ses doutes et ses craintes. Elle sait que l’excitation et la peur font monter le rythme cardiaque de la même façon, comme le plaisir et la douleur peuvent apporter les mêmes frissons. Elle s’assoie en face de lui. Sabine – « J’attends ta réponse ! » Jean – « Pas vraiment. J’ai vu tellement de choses et vécu tellement de situations aujourd’hui que j’imagine tout et rien ! » Sabine – « Ok ! Mais quand tu m’as envoyé OUI par SMS c’était avant ! Pourquoi tu as répondu OUI ? » Jean – « La curiosité, l’envie d’aller vers l’inconnu ! ». Curiosité, envie, inconnu. Des mots qui confirment Sabine qu’elle a choisi le bon sujet. Sabine – « Sais-tu où nous sommes ? » Jean – « Oui chez vous ! » Sabine – énervée « bien sûr qu’on est chez moi, mais Ici à cet étage ! Imagine-tu ce qu’il y a derrière cette porte ? » Elle désigne du doigt le couloir et la porte qui mènent au donjon. Jean – « Je sais que c’est un endroit spécial. Peut-être ce qu’on appelle un donjon dans le milieu BDSM ! » Sabine – « Bien ! Et que se passe-t-il dans un donjon ? » Jean – « Il y a une personne qui prend du plaisir à faire certaines choses à une autre personne ! » Sabine – « C’est plus subtil que ça. Il y a un dominant et un dominé. Faire certaines choses, comme tu dis, c’est un moyen pas une finalité. La finalité c’est le plaisir de l’un et de l’autre, peu importe le moyen sachant que c’est toujours le dominant qui décide du moyen ! Tu comprends ? » Jean – « Je crois que j’ai compris ! » Sabine – « D’après toi, de nous deux qui est le dominant ? » Jean – « Vous ! » Sabine – « Donc quel va être ton rôle ? » Jean – « Le rôle du dominé ! » Sabine – « Le rôle de soumis. On dit soumis car tu vas te soumettre à toutes mes volontés ! Et à partir de cet instant tu t’adresses à moi en disant Maîtresse Sabine ! C’est compris ? » Il sait enfin. Cela l’inquiète et l’excite en même temps, et son cœur se met à battre très fort. Il essaie de répondre mais aucun son ne sort de sa bouche. Sabine s’impatiente et sur un ton plus haut – « C’est compris ? » Jean avale sa salive et d’une voix chevrotante – « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine – « J’ai horreur de répéter deux fois la même chose ! » Elle se lève et dit « Suis-moi ! » Il se lève aussitôt et lui emboîte le pas. Elle déverrouille et ouvre la porte de la salle de préparation, tout en lui expliquant la signification des couleurs de la lampe qui se trouve au-dessus de la porte. Vert, déverrouillé et rouge verrouillé. « Ici, tu te déshabilles et tu ranges tes habits et ta montre dans ce placard. Quand tu es nu tu vas dans la salle d’eau ! ». Elle ouvre la porte et Jean se dit que c’est une salle d’eau normale sauf que, juste à côté il y a un ce qu’on appelle un pied à sérum comme on en voit dans les hôpitaux mais, sur celui-ci est accroché un récipient gradué et une canule au bout du tuyau. Jean est surpris car il se souvient que lorsqu’il avait été hospitalisé on lui avait mis un cathéter relié à une poche de sérum accrochée au même pied sur roulette. Il le poussait pour arpenter les couloirs et prendre l’ascenseur afin d’aller fumer sa cigarette à l’extérieur. Sabine voit que cet objet intrigue Jean, donc elle précise « Un soumis ou une soumise. Peut-être qu’un jour tu auras l’occasion d’assister à l’éducation d’une soumise ou d’en partager une session ! ». Elle fait exprès d’attiser sa curiosité. « Donc, un soumis ou une soumise se doit d’être toujours d’une propreté irréprochable, y compris au plus profond de son intimité, afin de ne pas risquer de subir une punition en cas d’inspection de la Maîtresse ou du Maître ! » Elle lui explique comment utiliser cet appareil et les précautions à prendre. Ils retournent dans la petite salle. « Une fois que tu es propre tu enfiles ce slip. C’est celui que tu as essayé cet après-midi. Tu t’assoies ici et tu mets ce masque sur tes yeux. Tu ne dois plus rien voir, comme quand on joue à Colin-maillard, et tu attends ! As-tu tout compris ? » N’ayant pas envie de se faire réprimander il répond docilement « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine sourit, lui caresse le dessus de la tête et dit « Ce soir je suis la seule Maîtresse ici. Alors oui Maîtresse suffira. Économise ta salive car tu risques d’en avoir besoin ! » elle ajoute « Sois prêt dans une demie heure ! » et sort par la porte qui donne sur le couloir, la lumière passe au rouge. Jean soupire, regarde autour de lui, vérifie la couleur des lumières qui sont au-dessus des portes, elles sont toutes au rouge, sauf celle entre la petite pièce et la salle d’eau. Pas moyen de s’échapper ni même d’entrevoir ce donjon dont Sabine lui a parlé et se souvient qu’il a un temps limité pour se préparer et découvrir ce nouveau monde. Il se met à siffloter un air de cette symphonie éponyme du compositeur Antonín Dvořák pour de donner du courage et exécute les consignes que Sabine lui a données. Sabine va chercher Vanessa et Martin qui attendent sur le palier. Ils se rendent dans le donjon après que Martin ait récupéré une bouteille de champagne dans le réfrigérateur et trois flûtes. Toute excitée Vanessa demande – « Alors c’est bon il se prépare ? » Sabine – « Normalement oui mais, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas allumer l’écran et activer les caméras ! Et pendant que je me prépare tu surveilles ce qu’il fait. En même temps tu pourras me conseiller sur ma tenue ! ». Dans chaque pièce il y a une micro caméra invisible qui permet de visionner tout ce qu’il se passe. Vanessa – « Il ne verra pas ta tenue puisque tu m’as dit qu’il aura les yeux masqués ! » Sabine – « À la fin je vais le lui enlever car je veux qu’il découvre son environnement ! » Vanessa – « Mais il me verra ! » Sabine – « Non, tu retourneras dans la pièce du fond. Tu pourras regarder par la glace sans tain ! » Les deux femmes se dirigent vers cette pièce où se trouvent les tenues, l’écran qui permet de voir ce qu’il se passe dans les autres pièces et où des convives peuvent voir le donjon à travers la vitre sans tain tout en consommant des boissons fraîches ou chaudes. Vanessa démarre l’ordinateur, allume l’écran et active les caméras à partir du logiciel. Elle a la salle de préparation et la salle d’eau simultanément en double affichage. Elle voit Jean assis sur les toilettes avec la tête appuyée sur ses genoux et le tuyau de l’énéma entre ses fesses et regrette de ne pas avoir assisté au moment où il s’enfonce la canule dans l’anus. Sabine lui demande – « Tu le vois ? il en est où ? Il a intérêt à ne pas être en retard ! » Vanessa – « C’est sa première fois sois un peu indulgente ! » Sabine – « Tu as raison ! Qu’est-ce que tu penses de cette tenue ? » Escarpins rouges à talons aiguilles, corset porte-jarretelles en vinyle noir avec des bas résille et mini-jupe en cuir noir. Vanessa – « Pas de soutien-gorge ni de culotte ? » Sabine – « Non, car je veux qu’il sente le frottement de mes tétons sur sa peau et s’il est docile il sera récompensé d’un face-sitting ! » Vanessa – « C’est lui qui sera récompensé ou c’est toi ? » Sabine – « On verra ! » Vanessa reprend sa surveillance et Sabine met sa tenue. Jean sort de la douche et Vanessa s’exclame « Ouah, pas mal le mec ! » puis il s’essuie, va dans la salle de préparation, enfile le slip spécial, s’assoit et met le masque. Vanessa – « Il est prêt et il attend patiemment le petit chou ! » Sabine fait exprès de prendre son temps puis met en soupçon de parfum de chaque côté de son cou, il faut que Jean se souvienne de cette odeur toute sa vie. Vanessa va s’asseoir à côté de Martin et s » assure qu’il a compris la consigne du coup de coude. Finalement Sabine sort de la pièce, choisit un collier, aujourd’hui ce sera un collier en cuir, moins agressif qu’un métallique et une laisse en chaine avec une dragonne en cuir car elle veut qu’il ressente la sensation du métal de la chaine sur sa peau. Elle déverrouille la porte et l’ouvre. Jean tourne la tête en sa direction mais ne voit rien. Sabine lui dit « Debout ! » Jean s’exécute, elle lui met le collier en faisant exprès de faire frotter la laisse métallique sur son épaule, ce qui a pour effet de le faire frissonner puis elle prend la laisse à ras du collier afin de mieux le guider et lui dit « Avance ! » Il est surpris par le froid du carrelage qui contraste avec la douceur de la moquette de la salle dans laquelle il attendait. Les talons de Sabine claquent sur le sol en rythmant les pas. Après quelques mètres elle s’arrête, se positionne derrière lui, appuie ses seins contre son dos, passe ses bras autour de son torse et commence à faire rouler les tétons de jean entre ses doigts et sur un ton apaisant lui dit « Te voilà dans le donjon. Dans MON donjon ! ». Elle pince un peu plus fort et continue à faire rouler les tétons tout en tirant dessus, Jean grimace, Sabine ajoute « Tu vas avoir l’honneur de goûter à mes jouets préférés ! Est-ce que tu te rends compte de la chance que tu as ? » Jean, perdu dans ses pensées ne répond pas. Sabine tire plus fort « Répond ! » Jean – « Aïe. Oui Maîtresse ! » Sabine – « Oui quoi ? » Jean – « J’ai de la chance ! » Elle attrape la laisse et l’emmène vers la croix de Saint-André, l’adosse contre, elle lui lève le bras gauche et menotte le poignet à la croix puis fait de même avec le bras droit. « Écarte les jambes ! Encore ! » et elle attache les chevilles à la croix puis le sangle au niveau de la taille. Jean l’entend s’éloigner puis revenir. « Baisse la tête et ouvre la bouche ! », Il obéit et sent une boule s’insérer entre ses mâchoires et être serrée à l’arrière de sa tête par des lanières qui sentent le cuir. Une main descend le long de son corps, lui caresse le bas ventre à travers le cuir du slip, dégrafe la partie amovible, sort son sexe et commence à le branler. L’érection est immédiate et soudain la main glisse vers les testicules et les serre très fort. Ne pouvant pas crier à cause du bâillon boule Jean pousse des gémissements tout en entendant Sabine lui dire « Je ne te trouve pas très obéissant. Tu ne réponds pas instantanément à mes questions et tu bandes sans mon autorisation. Je ne sais pas si tu me mérites. Je vais te laisser réfléchir un moment ! ». Vanessa a chaud et regrette de ne pas pouvoir participer à cette initiation. L’initiation c’est son péché mignon, chaque fois qu’elle éduque un soumis ou une soumise elle a l’impression de peindre un nouveau tableau qui touche par touche va devenir le paysage qu’elle avait imaginé. Martin sourit en pensant que, pour une fois, il apprécie de n’être que spectateur tout en sachant qu’il vivrait mal sans sa soumission à Sabine qui justement s’avance vers eux, leur fait signe d’aller dans la pièce du fond en mettant son index à la perpendiculaire de ses lèvres pour qu’ils restent silencieux et ils s’engouffrent tous les trois dans la pièce en refermant la porte derrière eux. À travers le miroir sans tain ils regardent Jean immobilisé sur la croix avec son sexe qui pendouille lamentablement en dehors du slip et qui commence à baver à cause du bâillon. Sabine leur demande ce qu’ils en pensent, Vanessa et Martin lui confirment que c’est un bon début. Oui, Sabine pense que d’ici quelques temps elle aura une bonne emprise psychologique et physique sur lui. De son côté Jean se sent un peu bête, son ego de mâle est en train de prendre du plomb dans l’aile. Il ne peut rien voir mais imagine sa position, immobilisé sur ce qu’il pense être une croix comme il en a vu au salon de l’érotisme et en plus petit sur le mur du couloir, avec cette boule qu’il a dans la bouche qui fait couler la bave sur son torse et qui descend lentement vers son sexe exposé aux regards. Oui, regard au pluriel car il est persuadé qu’il n’est pas seul avec Sabine. Il lui a semblé entendre plusieurs pas, car le fait de ne pas voir aiguise ses facultés auditives. Combien ? Il ne saurait dire. Martin est là, c’est certain, mais après ? Vanessa ? La vieille Nanette ? D’autres personnes ? Mais, non ! Voilà que je recommence à bander en pensant que je suis peut-être exhibé devant des gens que je ne connais pas. Qu’est-ce qui m’arrive ? Il se concentre pour refaire tomber l’excitation car il n’a pas le droit de bander sans autorisation. Me concentrer, voilà la solution, y compris pour supporter la douleur, mais ça va être compliqué. Heureusement pour lui, derrière le miroir, personne ne l’a vu car ils sont trop occupés à bavarder.
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Par : le 31/05/25
(Ce récit est une invention, j'espère qu'il vous plaira)   Le jour J est arrivé... On avait longuement échangé, durant de nombreuses semaines, chaque jour instaurant davantage un lien de confiance entre nous. Et pour autant, je me sentais stressé... Il m'avait invité chez lui de façon tellement spontanée que sur le coup je n'avais pas su trop quoi répondre... Il m'avait demandé : "est ce que ça te dirait de venir prendre l'apéro à la maison ?" Et ce fameux "oui" était sorti... Faiblement, doucement, à la fois plein d'appréhension et de curiosité. Après tout, ce n'était qu'un apéro ! Mais non... C'était bien davantage... C'était notre première rencontre en réel ! Et ça, ce n'était pas rien. C'était le franchissement d'une nouvelle étape.   Ces derniers temps on avait parlé de tout et de rien. On s'était présenté. Lui, Timothée, Tim ou Timmy pour les intimes. Grand, bruns aux yeux verts, silhouette athlétique, la trentaine, docteur en médecine. Moi, Thomas, Tom ou Tomy pour les intimes. Pas très musclé mais pas enrobé non plus, châtain aux yeux marrons clairs, la trentaine également, étudiant en Ressources Humaines.   On s'était découvert un peu par hasard, sur un site dédié au BDSM/fétichisme et le courant était passé instantanément. Il faut dire que Tim avait cette façon là de mettre les gens à l'aise, même en distanciel. Il ne s'imposait pas, il avait une écoute attentive, un regard lucide sur les choses et un respect de l'autre hors du commun. Il n'avait pas peur de poser des questions, même les plus intimes, mais toujours en gardant une barrière de sécurité, me laissant libre d'en parler ou non. Comme il aimait à le dire : "il n'y a pas de questions idiotes et plus on apprendra à se connaître plus on pourra aller loin ! Mais sache que je respecterai toujours tes limites. C'est donc ta responsabilité de me dire si tu ne souhaites pas aborder telle chose ou telle pratique. S'il ne faudra plus jamais en parler ou si il te faut un peu de temps pour l'appréhender". Et je respectais cela.   C'est ainsi que je m'étais confié à lui petit à petit. Mon ressenti de ne pas me sentir de ce monde bien que je sois dans le monde. Mon souhait de m'abandonner totalement à un "grand" à travers un désir de régression, comme un "bébé". Le fait que j'étais très cérébral ce qui m'empêchait de faire des choses que j'aurais aimé faire et que je pensais être "pour mon bien". Mon fétichisme pour les matières matelassées. Mon souhait de pouvoir être utile à quelque chose.... Pourquoi pas à quelqu'un ou même à la science... Et j'aimais à plaisanter en lui disant "tu sais Tim, un bébé ce serait un statut parfait pour moi ha ha. Surcouvert pour ne pas risquer de prendre froid, immobilisé solidement pour ne pas risquer de se blesser, air restreint car un bébé respire moins d'air qu'un grand et p'tit bout - c'est comme ça que j'appelais mon sexe - en libre service pour toutes tortures et expériences que jugeront nécessaires les grands. Après tout un bébé n'a pas d'utilité à en posséder un !". Et j'en riais de bon coeur et on partait sur un autre sujet.   On parlait longuement à la fois de nos vies respectives, de nos joies, de nos peines, de nos doutes. On se prenait souvent la tête, souvent pour des queues de poire. Ce n'était pas agréable sur le coup, mais d'un autre côté, ça nous rassurait, car si l'orage grondait, la relation qu'on avait fondée était bien plus forte ! On parlait aussi beaucoup de ce qui pourrait m'arriver si je décidais de me lancer plus sérieusement dans notre univers parallèle. De ce qu'impliquerait la mise en place d'une appartenance. De ce qui adviendrait si un lavage de cerveau régulier était instauré. Tim connaissait mes limites et il les entendait, comme tout Domi qui se respecte. Il savait que le sexe ne serait pas possible, mais ça ne le dérangeait pas car ce n'est pas ce qu'il recherchait et s'il le désirait il pouvait l'obtenir par ailleurs. Il connaissait aussi les autres limites... Mais cela n'allait jamais plus loin. On papotait, on rigolait, c'était sympa, mais sans plus.... Jusqu'à cette invitation et mon fameux "oui" !   Et le jour J est arrivé... Il m'a donné son adresse et demandé de porter une doudoune freegun grise, celle avec la fermeture qui se zippe jusqu'en haut de la capuche. C'est le début de la belle saison et il fait chaud. Je transpire déjà beaucoup... Fort heureusement, mon stress d'être vu aussi chaudement couvert par d'autres personnes, par ce temps estival, s'est estompé rapidement quand je suis arrivé chez lui. Il habite une très jolie maison, isolée, à environ 2 km de la première habitation visible. Sa résidence est entourée d'un joli bosquet d'arbres. L'endroit est magnifique.   Et me voici. Tremblant et transpirant devant sa porte d'entrée. Conformément à sa demande, je zippe la capuche jusqu'en haut et je tâtonne le mur à ma droite, cherchant la sonnette que j'ai aperçu avant de perdre la vue. Je finis par la trouver.... La capuche s'appuie doucement sur mon visage à chaque inspiration, augmentant la chaleur et l'étouffement. Je sonne... Quelques secondes après, qui me parurent une éternité, j'entends le bruit d'une serrure et la porte qui s'ouvre. Une voix profonde, chaude, vibrante se fait entendre : "bienvenue Tom ! Tu es magnifique ainsi. Je sens que je pourrais te laisser ainsi toute ta vie ha ha. Allez entre, je vais te guider !". Il me fait entrer, referme la porte derrière moi et me parle doucement : "laisse toi faire. Je sens que tu es tendu et c'est normal. Mais je ne souhaite pas que tu vois la totalité de mon chez moi. Je te libérerai le visage une fois qu'on sera prêt à prendre l'apéro. Tu comprends ?". Je fais un hochement de tête affirmatif. Il me dit "Bien !".   J'entends qu'il ferme une autre porte derrière moi et il me fait asseoir. Je sens son ton amusé : "as tu pris ce que je t'avais demandé ?". Je répondis par un nouveau hochement de tête, ouvrit la poche droite de ma doudoune et en sortit une petite cage de chasteté. Il sourit : "comme j'ai dit, je te libérerai le visage quand tu seras prêt à prendre l'apéro !". Il me fit baisser mon pantalon, mon caleçon et m'installa doucement la cage : "et bah ! Le p'tit bout n'est pas si petit que ça ! On va vite arranger ça !!". La cage fut positionnée puis cadenassée. Il ne me remit ni le caleçon ni le pantalon : "un bébé ne remet pas ses vêtements tout seul, tu le sais ! Tu vas rester avec accroché à tes chevilles pour l'apéro". Je sens qu'il prend du plaisir à me narguer gentiment. Et moi sous ma capuche, je transpire de plus en plus et je me sens à la fois excité, frustré et humilié. C'est alors qu'il m'ouvrit la capuche....   Il fait assez frais et ça me fait du bien. Je regarde autour de moi et je vois Tim. Il me regarde, me sourit et va s'asseoir en face de moi. Il est exactement comme sur les photos qu'on s'était échangé. Peut être même mieux ! Je regarde autour de moi. La pièce est nue, ronde, il n'y a rien qui ressorte à part la peinture blanche. Au centre, entre nous deux, une table en bois. Et dessus je vois deux coupes de champagne, des petits fours et quelques gâteaux. Ça me marque car je me dis qu'il n'y a de la nourriture que pour une personne, au niveau de la quantité, mais je n'ose rien dire, j'ai déjà un grand privilège d'être invité... Et mon regard est alors attiré par des papiers et un crayon disposés devant moi...   Intrigué, je regarde Tim qui, voyant ma mine étonnée se mit à rire franchement. "Je comprends ton étonnement, je vais t'expliquer ! Je voulais t'en faire la surprise, mais ce qui se trouve devant toi c'est un contrat d'appartenance. Si tu es d'accord tu as juste à signer. Bien évidemment prends le temps de le lire et que tu signes ou non, on prendra l'apéro juste après". Je n'en reviens pas... Je suis à la fois excité et effrayé. Je ne m'y attendais pas. "Mais, Tim, ça veut dire que tu accepterais d'être mon éducateur ?" lui demandai-je fébrilement. Il rit à nouveau et avec sa voix chaleureuse me répondit "oui, tout à fait ! On discute depuis un certain temps déjà et je me sens prêt à prendre en charge ton éducation. Alors si tu es prêt toi aussi à franchir le cap, alors tu n'as qu'à signer. Mais sache que tu n'es pas obligé de le faire maintenant. Cette responsabilité te revient. Ce qui en découlera ne dépend que de toi, sache le. Donc si tu ne te sens pas prêt, ne signe pas !". Sur cette dernière phrase, sa voix s'était faite très grave et je percevais la profondeur de ce qu'il me disait....   Je lui dis alors "mais je ne suis pas aussi musclé que toi, je ne suis pas forcément aussi beau,...". Il ne me laissa pas terminer ma phrase : "Écoute moi bien, car je ne te le redirai pas ! Tu n'as pas à te dénigrer ! Tu es parfait comme tu es ! Et si on veut plaisanter un peu, dans ton cas, le physique n'a que peu d'importance puisque tu ne quitterai jamais ton cocon de chaleur". Ça me fit rire et il rit avec moi. Et en même temps, l'adrénaline qui me faisait transpirer davantage me fit comprendre que ce n'était absolument pas faux... Et puis après tout, on se connaissait, et j'avais envie de lui faire confiance. Aussi, je ne lus que la partie consacrée aux limites et voyant que ça respectait bien ce qu'on s'était dit, je finis par signer. Sa signature étant déjà présente sur le document.   Son visage s'éclaircit et il me dit "Félicitations bébé, désormais tu es mien ! Tiens, buvons pour fêter ça ! Et profites en car un bébé n'est pas censé boire de l'alcool !". Il me tendit une coupe alors que ses mots résonnaient en moi, provoquant un effet excitant. Il le vit et m'en fit la remarque "on dirait que ton p'tit bout se réjouit aussi de ta décision ! Tu sais bien que quand il tire c'est qu'inconsciemment tu aimes ce qui t'arrive ! Allez, à ta santé ! Bois vite, tu es en train de tremper mon sol tellement tu as chaud ha ha".   Tout gêné, mon p'tit bout étiré dans sa cage, transpirant fortement avec la doudoune, je bus ma coupe en quelques gorgées seulement... Je sentis alors un léger étourdissement... Je crus que c'était l'alcool... Mais j'avais le sentiment que mes paupières se fermaient doucement... Je cherche Tim des yeux. Il vient de se lever. Il s'approche de moi alors que je lutte pour ne pas sombrer. Il me prend la coupe des mains, la pose sur la table. Il me dit doucement"laisse toi aller, tout va bien". Puis il remonte doucement le zip de la capuche. J'essaie de me débattre, mais je n'en ai plus la force. J'entendis alors sa voix "tu te souviens... Tu m'as dit que tu es très cérébral... Et que tu ne te laisserais pas faire sans contraintes solides... Qu'il faudrait te forcer mais que tu savais que ce serait pour ton bien... Et bien nous y voilà... Tu as signé... Et tu es mien... Ton éducation commence aujourd'hui mon p'tit bébé !".   Mes yeux se fermèrent alors et je perdis connaissance...
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Par : le 31/05/25
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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