La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle s’éxécute, gravit prestement les marches, réajuste son maquillage de seins comme exigé. Puis elle s’installe sur le plancher, à quatre pattes, le cul en l’air, tête baissée, les mains posées bien à plat de chaque côté de sa tête, à genoux les cuisses bien écartées et la croupe cambrée, elle prend sa position de soumise, celle qu’elle aime qui précède des plaisirs intenses, qui rappelle sa condition de petite chienne. Rapidement, elle commence à s’impatienter, l’attente est interminable. Quand va-t-il monter pour enfin la rejoindre? Néanmoins, elle ne modifie pas sa posture de peur de lui déplaire et d’être forcément sanctionnée. Elle sait que son plug va décorer son petit trou et scintiller de mille feux à la lumière. Cette petite coquetterie l’excite un peu plus. Elle attend, le maître est toujours absent. L’absence est trop longue, peuplée d’angoisses et de désirs inavoués. Que va-t-il faire en arrivant? La féliciter de sa docilité ou seulement la chevaucher et l’enfiler de force juste pour vider ses couilles tout en l’inondant de sa semence poisseuse qu’elle devra recueillir avec ses doigts pour finir par la boire. Non, il ne peut se contenter de si peu. Il va jouir d’elle pour son unique plaisir à lui et lui faire subir les pires sévices qu’elle ne peut même pas imaginer encore.   Tara perçoit indistinctement ses pas, il approche, il est là enfin. Il lui tourne autour et de la pointe de sa cravage caresse cette croupe qu‘il ne trouve pas à son goût, trop relâchée. Il lui frappe violemment le bas des reins. Tara se cambre immédiatement sous la semonce. Elle le connait, il est sans concession et exige la perfection. Cette position le comble, Tara est à sa merci, mais pas suffisamment à son goût. Elle sait qu’il va vérifier les ajustement demandés. Elle pense ne rien avoir oublié. Il lui intime l’ordre de se lever et inspecte de nouveau chaque partie de son corps. Tara aime cette introspection et est fière de s’être apprêtée avec tant de minutie pour lui. Il commence par le haut : le maquillage de son visage semble à sa convenance, Il lui introduit deux doigts dans la bouche qu’elle suce goulûment et avec application. Puis il descend, titille le bout de ses seins qui pointent et dont les mamelons sont réhaussés de son collier. Il semble qu’il soit plutôt satisfait de son nouveau maquillage. Il descend toujours, en caressant son ventre et arrive sur sa chatte. Elle a pris soin de la tailler à la perfection comme il aime. De la distinction avant tout. Il enfile vigoureusement deux doigts dans son orifice intime afin d’en verifier l’état. Elle mouille bien sûr, tous ses préparatifs ont éveillé ses désirs. Il saisit une fesse d’une main ferme et la fait pivoter, elle exerce alors un léger déhanchement puis se penche en avant en exibant son derrière, fière de lui montrer son plug orné de sa pierre rouge qui scintille. Là encore il lui introduit deux doigts après lui avoir retiré son bijou de cul. Tara tressaille sous la douleur mais n’en laisse rien paraître. Soumise elle est, soumise elle reste pour l’unique plaisir de son Maître. Il prend soin de remplacer son plug par son crochet anal qu’il relie par un ruban à son collier, ce qui l’oblige à se cambrer un peu plus. Il saisit ensuite son collier de chienne et y accroche la laisse. Elle ne sait pas encore à quoi il veut jouer. Elle cherche par sa posture à déjouer ses desseins qu’elle devine funestes. Chienne, elle se doit de l’être. - A quatre pattes, - Oui Maître, à votre convenance. Elle obtempère, et endosse son rôle de chienne ; ce titre fait tressaillir tout son corps, elle subit cette humiliation dégradante, mais au fond d’elle, elle adore. Elle tire la langue, la passe avec gourmandise sur ses lèvres rouges, gémit, envahie par le désir de lècher une queue, de l’emboucher, l’aspirer, de la mordiller, de l’avaler jusqu’à la garde. Elle agite son corps en tout sens. Elle est rapidemment ramenée à son obligation d’obéissance lorsque la voix grave de son Maître associée à une tension sur la laisse lui intime l’ordre d’avancer. Ce dernier geste la fera se trémousser pour un petit plaisir anal conjugué à son oeuf de jade confiné dans son intimité. - Jappe comme un petit toutou et tortille des fesses. Oubliant toute dignité, elle s’exécute docilement. Il tire de nouveau sur la laisse tout en donnant un petit coup de cravache sur ses fesses afin de faire quelques mètres, elle se sent flattée par cette attention. Une petite tension sur la laisse, - Stop! - Lèche moi les pieds, suce mes orteils Elle s’éxécute, un peu réticente, mais respecte ces dernières consignes. Elle aspire consciencieusement chacun de ses doigts de pieds. - Lèche mes jambes et mes cuisses. Elle remonte lentement. Sa langue est un peu sèche. - Broute moi les couilles et ne touche pas à ma queue. Elle s’applique dans cette tâche plus qu’humiliante. Peut être y trouve-t-elle un plaisir indicible… Elle lui avale ses couilles, gourmande, les caresse de sa langue et les aspire avec douceur. Elle connait bien l’extrême sensibilité de ces jumelles. Elle regarde sa queue qui pointe fièrement au dessus, frustrée de ne pas avoir le droit de la flatter. Car elle l’aime ce pieu qui sait si bien la pilonner au plus profond de son intimité. Elle a mal parfois, mais cette douleur l’exalte aussi. Et puis l’avaler jusqu’au fond de la gorge à s’en étouffer,. Elle adore cette pratique jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche et l’inonde de sa semence. Ensuite tout avaler avec délectation. Tout en poursuivant son labeur, elle se permet de rêver. Allait-il l’honnorer ce soir ou alors la délaisser toute pantelante, ignorant ses désirs les plus profonds? Elle sait qu’il en est capable pour marquer un peu plus sa domination en la laissant inassouvie. “Tara cesse de penser et applique-toi”. - Lèche moi le cul à présent et rentre bien ta langue dans mon petit trou. Il fait volte face et elle se retrouve collée à ses deux fesses musclées. Elle les écarte et cherche sa voie. Elle trouve rapidement sa cible et d’une langue agile s’y enfonce le plus possible. Elle y trouve des goûts un peu forts mais néanmoins subtils, comme des fragrances de rut. Elle travaille de son mieux mais il se lasse vite de ce petit jeu. - C’est bien, va t’asseoir sur le lit, je n’en ai pas fini avec toi. Pose ton cadenas sur tes anneaux, je suis le seul détenteur de la clé qui le déverrouille, tu le sais. - Oui Maître, tout de suite.
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Par : le 11/03/24
Je suis à ses ordres !  L’homme qui découvre ses désirs de soumission.... Un désir de se laisser porter par l’envie de se faire dominer.  "J'aime quand tu me prends le sexe et que tu le serres entre tes mains.  Tes claques sur mes testicules, ce désir de t’appartenir de me laisser faire.  J’aime beaucoup cette sensation d’être à toi mon amour, ma maîtresse, et comme tu me l'as demandé de t'appeler : Madame."  Elle décide de passer une étape, de passer un niveau  - Elle : tu es à moi, quand je te donne un ordre, tu fais ce que je te dis de faire, compris ?  - Moi : oui Madame  Elle quitte la pièce et revient 2 minutes plus tard.  -Elle fièrement : maintenant tu es ma salope!  - Moi : Oui madame.  Je suis nu, les mains menottées dans le dos. Une cagoule qui m’empêche de voir autour de moi juste respirer. Je suis debout, j’attends ses ordres, elle me parle d’une voix autoritaire et m’ordonne de me mettre à genoux; j’obéis.  Mais, je ne vais pas assez vite pour elle, alors je reçois une belle claque bien méritée sur les fesses, avec une voix sèche, ma maîtresse m'ordonne : tu es ma salope, ne t'avise pas de l’oublier.  Résultat : j’ai la fesse qui brûle et j’essaye de soulager le picotement avec ma main, mais je reprends un coup de fouet sur le sexe, qu’elle avait bien pris soin de décalotter.  La douleur est extrêmement forte.  - Elle : je ne le répéterai pas, tu es à moi et j'ai tout pouvoir sur toi ma salope.  Je me reprends une quinzaine de coups de martinet sur tout le corps. Fesses, sexe, tétons ... Elle prend un malin plaisir à m’humilier.  J’ai envie de lui dire d’arrêter, mais ce n’est pas possible, elle sera encore plus dominatrice. Puis, un silence.  Je l’entends bouger dans la pièce avec ses talons, elle fait du bruit, j’entends sa respiration qui devient de plus en plus proche.  Elle décide de m’attacher les testicules avec une corde ou un élastique, je ne parviens pas à faire la différence. Ca serre, je ne dis pas un mot, ça prend un certain temps.  Ensuite, elle enchaîne sur mes tétons, je crois sentir une pince à linge et j’ai l’impression de ressentir les mêmes sensations qu'elle m'avait déjà fait goûter. Elle a vite fait de me les mettre.  Pendant un petit moment, elle me fait mijoter, elle sait que je vais avoir des râles de douleur, elle n'attend que ça. Je tiens plus.  -Elle … tais toi salope!  Elle me détache les bras, que je détends le long de mon corps, mais ça ne lui convient pas, elle me dit de les garder dans le dos et de rester bien droit un moment.  - Moi : je m'excuse et répond bien "oui madame."  - Elle : allonge-toi sur le dos, allez plus vite salope et écarte les jambes, plus vite !!! Maintenant, tes mains dernière la tête, elle s’énerve je reprends des coups de fouet en retour, avec plus de violence que la première fois, je râle, gémis, mais elle continue.  Les coups pleuvent sur tout mon corps, même mes testicules.  Je ne sais plus combien cela dure... Et d’un coup plus rien.  Ma respiration est forte, puis je me calme.  - Elle : tu comprends bien maintenant qui te dirige salope?  - Moi … oui madame  - Elle, d’un ton sec : lève toi !  - Moi : oui madame.  Elle me rattache les mains dans le dos et retourne chercher quelques affaires sur la table du moins, c'est ce que je pense. Moi j’ai toujours la cagoule aveugle, ma maîtresse revient me caresser les fesses rougies de ses ardeurs.  - Elle : tu vas reprendre cher ma salope.  Puis, elle continue les caresses et me demande : j’ai rien entendu salope ?  - Moi ... oui Madame, merci Madame.  Sa voix devient plus douce, elle continue à me caresser longuement et se met derrière moi, dans mon dos, ses mains sur mon cul, mon sexe, mon torse.  Puis, sur mes tétons en tirant doucement sur les pinces à linge, sans les enlever.  Cette sensation est incroyable de douleur et de douceur, d’amour.  Je sens, j'entends sa respiration derrière moi, qui s'accélère, quand la mienne augmente aussi.  - Elle : je t’aime  - Moi : moi aussi je t’aime  - Elle : tu ne comprends toujours pas ! Moi c’est Madame compris salope ?  - Moi : oui mada... Alors que je n’ai pas fini ma réponse, je me reprends des claques sur le sexe. elle m’attrape par les testicules d’une main et de l’autre me serre les pinces à linge en alternant sur chaque téton.  Elle m’embrasse avec passion sur la bouche.  Je ne sais plus où je suis, avec la cagoule, j'ai juste l’espace pour ma bouche.  - Elle : penche toi et reste comme ça quelque temps.  Tout d'un coup, je sens un liquide me couler entre la raie des fesses, qu’elle applique avec ses doigts autour de mon petit trou, elle le fait avec délicatesse, mais je sais qu’elle va me doigter.  J'ai compté, 1.2.3 doigts. Elle a mis un gant en latex et commence à trifouiller mon trou du cul  - Elle : ça ira comme ça.  Elle me libère les mains et me fait me mettre à genoux.  A genoux, je sens quelque chose entre les fesses.  Elle m'ordonne de m'enfoncer sur un gode à ventouse qu'elle a mis au sol. j’ai du mal à le faire pénétrer, mais gentiment ça rentre ! Je ne bouge plus, je sens quelque chose autour de ma bouche.  Je suis accroupi par terre avec un gros gode dans le cul.  - Elle : lèche-moi la chatte salope!  Je lui lèche la chatte et même le son trou du cul.  Elle gémit de plus en plus fort et moi je continue à m’empaler sur le gode, avec des va et vient, j’aime ça et moi aussi je gémit à mon tour.  Ma maîtresse prend de plus en plus de plaisir. le temps s’est arrêté.  Elle se redresse et viens me chuchoter à l’oreille "continue à te faire enculer ma petite salope".  J'aime ça et je continue seul.  Au bout d’un moment, elle revient et me dit a l’oreille "mon amour, maintenant tu vas t’occuper de ma chatte et surtout de mon cul mon homme. Je t’aime James, prends ton temps je suis dans la chambre à ton tour, abuse de moi mon amour je suis à toi". histoire à moitié vécu 
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Par : le 10/03/24
Ce récit je l'avais écrit avant l'an 2000 et je l'ai retrouvé au fonds d'un vieux tiroir ... NATHALIE LA DOUCE INGÉNUE   CHAPITRE 1  L’ECOLE DE MADEMOISELLE PINBAL   Bien qu’âgée de 40 ans, Mademoiselle Pinbal ressemblait, jusqu’à la caricature, à une vieille fille sévère. Elle dirigeait d’une main de fer l’école BURAXE, qui selon les brochures publicitaires formait les secrétaires, assistantes de direction idéales. Ce jour là, Mademoiselle Pinbal m’avait convoquée dans son bureau pour me parler de mon avenir. Nerveuse, je bougeais sans cesse sur ma chaise, attendant qu’elle ait fini de feuilleter mon dossier et qu’elle daigne m’adresser la parole. « Et bien Nathalie, commencer un BTS en alternance à 23 ans ce n’est pas facile, il faut beaucoup de chances pour trouver un employeur qui accepte de payer 30% plus cher une débutante ».   En disant ces mots elle me fixa de son regard perçant et je me retrouvais telle une petite fille prise en faute. Je me sentis rougir et je baissais la tête. C’était plutôt désespérant ce type de réaction, mais j’avais beau essayer de me contrôler rien n’y faisait. D’une voix timide je répondis que je le savais. Elle aussi d’ailleurs, pensais-je, qui avait accepté de m’inscrire dans son école, quelques semaines auparavant. Mais je me gardais bien de lui en faire la remarque. Lors de notre première rencontre, elle m’avait longuement fait expliquer les raisons qui me poussaient à choisir cette profession. Suspicieuse, elle m’avait interrogé sur l’étrange cursus qui m’avait fait passer d’un poste d’agent des services hospitaliers, un doux euphémisme qui désignait un poste ingrat et corvéable de fille de salle, à un retour à une scolarité normale sanctionnée par un bac G1. Elle avait d'ailleurs admiré la volonté dont j'avais fait preuve pour reprendre ma scolarité. « Concernant votre caractère, il va vous falloir apprendre à composer. Sous votre apparente timidité, se cache une fierté et un orgueil que n’apprécient guère les chefs d’entreprise. Vous êtes trop entière, trop idéaliste. Quant à votre accoutrement, une secrétaire ne s’habille pas comme une étudiante des beaux-arts. » Ces remarques avaient été prononcées d’une voix calme et sans chaleur. Un constat d’une évidence certaine, asséné comme si elle parlait d’une personne absente. Mais c’était bien de moi qu’il s’agissait, et malgré moi je sentis des larmes me monter aux yeux. « Alors c’est inutile que je continue à suivre les cours ? »  Dis-je d’une petite voix  fluette au bord du désespoir.   « Je n’ai pas dit cela mais il va falloir vous accrocher. Le voulez-vous ? »   « Oui Mademoiselle, je suivrai vos conseils à la lettre ». Dubitative, elle réfléchit intensément pendant quelques secondes qui me parurent des heures Je l’observais à la dérobée. Vêtue d’un tailleur strict, elle se tenait droite et hautaine dans son fauteuil de direction, et sans être belle je dois reconnaître qu’elle n’était pas dépourvue de charme et de classe. Elle reprit soudain.   « Eventuellement, j’ai peut être un employeur qui pourrait accepter de vous embaucher. Mais il est exigeant, très exigeant. De plus c’est un ami. Alors si vous le décevez c’est moi que vous mettrez dans l’embarras. Comprenez-vous ? »   Je comprenais et la peur s’empara de moi, car ces mots, et l’expression de son visage, exprimaient une menace à peine voilée.   « Oh ! Merci Mademoiselle, je suis sûre que vous pouvez me faire confiance ».   Mon hypocrisie et le sourire que je lui adressais d’un air ingénu me surprit moi-même.   Satisfaite, elle empoigna le téléphone, composa le numéro et demanda à son interlocuteur quand il pourrait me recevoir.  Elle me nota l’adresse sur une carte de visite. Puis après m’avoir bien recommandé d’être ponctuelle, elle m’expédia en cours. « Alors, raconte comment cela s’est passé ? » La jolie brunette qui m’interrogeait c’était Valérie ma meilleure amie. Agée de 20 ans, une nature gaie et enjouée. Toujours prête à rendre service. En classe on était inséparables. Assises l’une à côté de l’autre en train de comploter et de partager de petits secrets. Elle adorait rire et s’amuser. Du haut de mes 23 ans, j’étais plus réservée, timide même. Méfiante je fuyais les regards trop appuyés des hommes et je ne souriais jamais aux inconnus. Cela me donnait une réputation d’une fille froide, distante. Valérie, elle adorait allumer et provoquer. Elancée, des formes parfaites et une bouche mutine qui en enflammaient plus d’un. Elle aimait plaire. Quant à moi s’il m’arrivait d’aimer mon visage, encadré de cheveux blonds avec deux yeux bleus expressifs et mon corps mince, je regrettais mon manque d’assurance et mon allure un peu gauche. Je ne faisais rien pour séduire, et je voulais que les garçons s’intéressent à mon intelligence avant de penser à mon corps.   « Bien, cela s’est bien passé, j’ai un rendez-vous chez un patron demain, mais il paraît que c’est un enquiquineur et que c’est son ami »   « Ouaah ! d’ici à ce qu’elle t’ait envoyée chez son amant. Tu vois le tableau, t’auras intérêt à faire gaffe à ce que tu dis… » et Valérie éclata de rire. Toute la classe tourna la tête vers nous. « Il ne faudrait pas vous gêner Valérie » la voix du professeur d’informatique venait d’interrompre son fou rire. « Puisque vous avez tant envie de parler, parlez-nous d’Internet, dîtes-nous donc ce que signifie le sigle AOL» Le visage de Valérie devint grave « Euh… » Le professeur reprit « America on Line premier service en lignes d’accès à Internet. Soyez plus attentive ou je serais obligé de vous donner une retenue. » Il n’était guère facile de faire classe à 20 jeunes filles juste sorties de l’adolescence, qui ne rêvaient que de liberté et de garçons. La sanction suprême restait la convocation dans le bureau de la directrice. Et toutes les filles de la classe savaient qu’il valait mieux ne pas se faire un ennemi de Mademoiselle Pinbal. Heureusement la cloche se mit à sonner et c’est dans un joli brouhaha que toutes les filles se précipitèrent à l’extérieur. L’heure de la sortie. Je quittais l’école en compagnie de Valérie. « Dire qu’il va falloir supporter cela pendant deux ans, on n’est plus des gamines… » Son visage exprimait la colère mais je savais bien que cela ne durait pas. « Et quand as-tu rendez-vous avec ce délicieux personnage ? » Son ton était ironique. « Demain matin à 10 heures. » « Tu te fringueras comment ? » « Aucune idée ». Contrairement à la plupart des filles de la classe je n’étais pas une obsédée de fringues. Evidemment après la remarque de la directrice, j’avais intérêt à compléter rapidement ma garde robe. Mais je détestais être en jupe et je me sentais fagotée dès que je quittais ma tenue préférée : le jeans-basket. En rentrant chez moi ce soir là, j’avais la certitude que ma vie était en train de prendre une nouvelle direction  
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Par : le 09/03/24
Apprenant que son maître passait une nuit au camping municipal de La R**, elle s'est précipitée pour le rencontrer, juste le jour où elle aurait dû fêter son anniversaire en famille. Connaissant ses goûts, elle s'est présentée nue sous sa robe, la taille corsetée par une large ceinture serrée au maximum, et prête à assouvir tous ses désirs (et les siens). Il avait préparé ses cordes, ses menottes, ses baillons, ses fouets, tous les accessoires qu'elle craignait et espérait secrètement. Elle s'est fait délicieusement violée sous la tente mais tous deux en voulaient plus, et dans un lieu plus discret. Il lui a proposé de la ramener chez elle. Elle a dit oui, la maison devant être déserte. Pour corser le trajet en auto, il a exigé qu'elle soit nue, les mains liées derrière le dos et les seins étroitement ligotés à leur base, de façon à ce qu'ils s'érigent de façon indécente, les pointes dardées et tuméfiées. Il lui a uniquement accordé un bout de couverture pour se protéger de la vue des passants. Arrivés près de chez elle, elle l'a supplié de garer la voiture à l'arrière et de rentrer discrètement par le jardin. Arrivés dans la cuisine, il lui a annoncé que, à cause de cette demande stupide, elle serait immédiatement fouettée. Elle a été obligée de se placer face à la double porte qui ferme l'accès entre la cuisine et la salle à manger pendant qu'il vissait quatre crochets dans les parois latérales pour l'attacher, les bras et les jambes en croix, toujours nue et entravée, de plus en plus excitée. Vas-y, cria-t-elle, je n'en peux plus de désir. C'est à ce moment précis que la double porte s'est ouverte largement, qu'une éclatante lumière s'est allumée et que toute la foule de ses amies et amis présents dans la salle s'est mise à chanter "bon anniversaire" à tue-tête.   Va-t-elle mourir de honte ou jouir comme une folle ?  
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Par : le 08/03/24
A chacun de mes pas, le plug enfoncé dans mes fesses me rappelle sa présence invasive, me contraint à la conscience permanente d’être dilatée et occupée. Les pinces, bien serrées sur mes seins et dissimulées sous mon manteau tendent ma poitrine. Elles la sensibilisent au moindre frottement du tissu sur mes tétons nus. La chaîne qui relie les pinces se balade le long de mon bras, dans ma manche, de manière à ce que mon Maître n’ai qu’à simuler de me prendre la main pour intensifier toute la tension que je ressens. Il suffirait qu’il tire un tout petit peu pour m’arracher une plainte ou un gémissement. Je redoute qu’il décide de le faire. Tout comme je redoute que le plug ne tombe, si je devais avoir envie d’éternuer par exemple. Les néons de la grande surface me piquent les yeux et je dois concentrer tous mes efforts pour conserver mon air impassible, masquer le désir insatiable qui m’étreint, passer pour une cliente lambda. Heureusement, l’hypermarché n’est pas bondé en ce début d’après-midi et les clients qui m’effleurent en passant sont plutôt rares. Mon Maître me tire de ma bulle : « Comme je te le disais tout à l’heure, nous allons recevoir des invités ce soir, ainsi que tous les autres soirs de la semaine pendant les sept prochains jours. » Je déglutis, Maître avait effectivement indiqué que nous aurions des invités ce soir, mais j’ignorais que cela allait se répéter pendant toute une semaine. Maître poursuit, toujours aussi calme : « J’ai pensé que le plus simple pour profiter de nos invités serait d’organiser des apéritifs dînatoires. Nous allons prendre ce qu’il faut, et tu t’occuperas de tout préparer une fois rentrés. » Un silence s’installe. Je sais qu’il attend de moi une réponse mais je suis trop nerveuse. Il est vrai que je lui ai exprimé mon désir de voir sa domination se faire plus présente dans notre quotidien, mais je suis tétanisée par la peur que l’on m’entende prononcer ces mots. « Tu as perdu ta langue ? » s’impatiente-t-il. Une vague d’adrénaline me traverse alors que je balbutie : « N… non, pardon… » Son regard se durcit face à ma réaction. Sa main attrape discrètement mais fermement la chaîne que je cachais dans ma manche et tire : « Pardon qui ? » La tension sur mon sein droit est trop grande, la douleur prend le pas sur l’excitation et je gémis sans pouvoir me contrôler. « P…pardon Maître. Cela me semble être une b…bonne idée. » Maître relâche sa prise sur la chaîne ce qui a pour effet de me soutirer un nouveau gémissement. Je regarde frénétiquement partout autour de moi pour m’assurer que personne n’a rien remarqué. Au fond de l’allée, une dame âgée ne nous lâche pas de son regard réprobateur. Je pique un fard et baisse les yeux. Maître lui, lui adresse un signe de tête assorti d’un sourire assuré et poli. La vieille dame retourne à ses courses. En caisse, je range les courses dans les sacs pendant que Maître cherche sa carte bancaire dans son portefeuille. L’hôtesse de caisse me dévisage, je dois être soit cramoisie, soit livide. Si elle savait à quel point ma culotte est inondée… Cette pensée me fait sourire alors que mon égo se gonfle de la satisfaction de mon audace. Elle me tend le ticket et je lui réponds machinalement : « Merci. » Maître se tourne immédiatement vers moi, de manière à ce que je sois la seule à croiser son regard noir. « Merci… qui ? » Ma respiration a un raté alors que ma culotte doit en retenir encore davantage en silence. Je prends un instant pour relancer une inspiration avant de prononcer les mots attendus d’une voix éteinte : « Merci, Madame. » « J’aime mieux ça. » Siffle-t-il avant de reprendre son air poli pour s’adresser lui aussi à la caissière : « Veuillez excuser ma chienne, elle est encore en phase d’éducation ». Silence. La caissière nous regarde alternativement pour tenter de mesurer la situation. Je suis abasourdie et honteuse, mon regard ne quitte plus mes mains qui s’accrochent au ticket de caisse comme à une croix face à l’apparition du diable. Le plug, les pinces, ma culotte détrempée et maintenant ça… Je suis envahie d’une foule d’émotions contradictoires et un vertige m’envahit. Je me retiens discrètement sur le bord du cadis. Un sourire entendu de Maître oriente la caissière vers la supposition d’une simple plaisanterie et nous la laissons là-dessus.
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Par : le 07/03/24
Avant de continuer il faut que vous sachiez que toute ma vie j'avais rêvé de vivre un tel instant. J'avais vécu des expériences D/s auparavant mais elles se limitaient à des fessées timides et autres délicatesses de ce genre. Et c'est donc pour cela que lorsque Madame Cécile m'ordonna d'enfiler cette tenue ridicule je la passai sans réfléchir un seul instant,  comme un réflexe, comme un geste répété des centaines de fois dans ma tête. La tenue était très inconfortable car trop petite, les chaussures à talons hauts inconfortables m'obligeaient à faire des petits pas mais curieusement je ressentais un bien être jamais égalé et qui fut décuplé quand je me presentai ainsi devant Madame Cécile les joue rouges de honte. Et donc Elle me glissa juste un "c'est bien" et "au travail" Elle me fit visiter sa maison qui était vaste mais dans un état lamentable car elle n'avait plus eu de femme de ménage depuis plusieurs semaine et Elle n'était pas du genre à lever les manches pour nettoyer sa demeure. Elle me dit alors : "voici les tâches à effectuer dans l'ordre de priorité et je ne le répéterai pas deux fois sinon c'est la porte : vaisselle cuisine, salle de bains et toilettes du haut, salle de bain et toilettes du bas, lavage du linge à la main et étendage, rangement des 4 chambres, lavage du sol, préparation du repas que tu me serviras sur le canapé et massage et lechage de mes pieds pendant que je dinerai. Je cru défaillir et je me surpris à avoir une érection incontrôlée  Madame Cécile le vit immédiatement et me donna une claque sèche sur les fesses en me disant "je ne veux plus jamais assister à ça" et elle sortit d'un tiroir une cage pour mon sexe qu'elle me fixa après que j'eus débandé. Je suais de stress mais je jouissais intérieurement. Elle me mis une autre claque bien appuyée sur les fesses et me dit "allez ma belle, au travail " Je couru desequilibré par mes talons hauts comme une petite pute effarouchée vers la cuisine pour ma première tâche...la vaisselle non nettoyée depuis plusieurs semaine...la tâche s'avérait dure... A suivre...
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Par : le 07/03/24
Je (monsieur) viens de subir une conversation sur discord avec un aspirant daddy qui critiquait ma vision pragmatique du DDLG, que mes diverses expériences ont forgé avec le temps... Je suis bien sur très positif sur cette art de vivre,  mais la prolifération des images très idéalistes et très théoriques n'aide, à mon avis, pas les nouveaux daddys qui arrivent ! D'où l'idée de narrer mes beaux plantages de daddy, jadis, de donner un peu d'incarnation à cette pratique! Bien sur : ce sont les mauvaises expériences...bien sur que il y en eu de meilleures!!! "Idee reçue 1 : le sexe n'a pas ou peu sa place dans le ddlg" Oui je le pensais mais : j ai été daddy d'une adorable little pendant 5 mois, pas de sexe entre nous et à aucun moment d'ailleurs je n en ai éprouvé le désir avec elle . Elle était poly amoureuse, elle allait chercher combler ailleurs ses envies de femme. Moi je n étais pas poly...je n étais pas non plus capable mentalement d'avoir une autre relation et de cacher ma relation ddlg. Sachant que mes amis connaissait ma little. Et que je gardais toutes les affaires chez moi.... J ai du arrêter car bien ne voulant rien faire avec elle, je ne pouvais vivre une vie intime d'homme.  Il me semble téméraire donc, en n'étant pas poly, d'affirmer une position ferme sur le sujet. "Idee reçue 2 : daddy est la patience incarnée et doit toujours être à l'ecoute" Oui sur le concept. Après j ai vécu avec une little , avec un éloignement géographique. Elle m envoyait des sms toutes les minutes, au boulot notamment,  taper des crises que je devais calmer tout en gérant mes réunions...de 7 à 23h je ne faisais que répondre par SMS. Bien sur que je dis plusieurs fois stop, mais : pleurs, chantage de ne plus se revoir... la aussi rupture car on était rentré dans une spirale infernale. "Idée recue 3 le daddy fixe des limites et punit pour le bien de sa little" Oui...sauf que certaines littles sont masochistes au sens premier du terme. J étais avec une little avec qui ça n a pas duré,  car elle voulait réellement se faire crier dessus, pas seulement être dans un jeu. Elle se mettait physiquement en danger par exemple! Tout pour pousser le daddy hors de ses limites. Elle était consciente et s en excusant, elle recherchait à être mal mentalement,  à pleurer réellement,  à être sûre que c était la fin avec son daddy...pour au final être pardonnée et reconfortee.    Ma petite conclusion! Le ddlg se présente comme un jeu mais la régression est réelle... avec ce qu il y a de beau et parfois ce qui échappe à notre contrôle. Un daddy doit apprendre à se connaître, notamment ses propres limites et ne pas se voir tel un surhomme qui gérera tout. Et avancer pas à pas plutôt que de projeter une situation rêvée! Et oui, quand on rencontre la bonne personne, on n est plus tout à fait loin du rêve...même si la vie vous envoie toujours quelque chose de différent!      
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Par : le 05/03/24
Je voudrais vous faire part ici de la rencontre avec ma dernière Maîtresse en date que j'ai eu l'honneur de servir durant 9 mois environ (je reviendrai plus tard sur les détails) Régulièrement avant de rencontrer ma Maîtresse citée plus haut, j'avais pris l'habitude d'aller dans un sex-shop (appelons les choses par leurs noms même si ce magasin était assez luxueux et ressemblait plus à un musée qu'à un sex-shop) Mon budget ne me le permettant pas je n'achetais pas souvent des articles mais je jetais toujours un œil sur les nouveautés. Ce jour là une Dame d'environ la soixantaine à mes yeux, d'une grande classe et vêtue avec très bon goût, tournait également dans les rayons et remplissait son panier contrairement à moi. Puis elle se dirigea vers la caisse et, pendant qu'elle se faisait encaisser, discuta avec la vendeuse. Je me rapprochai avec une oreille quelque peu indiscrète et je l'entendis se plaindre qu'elle n'avait plus de femme de ménage depuis plus d'une semaine. Cela semblait la contrarier terriblement car elle ne devait pas avoir l'habitude de vaquer à ses tâches ménagères vu son standing apparent. Mon cerveau de mâle acquis à la cause gynarchique réagit alors instantanément. Je m'approchai avec prudence et respect de ces deux Dames et je prononçai avec prudence quelques mots presque inaudibles en m'excusant platement de les déranger dans leur discussion. Je dis alors la tête basse sans regarder personne que j'étais prêt à effectuer toutes ses tâches ménagères à titre gratuit pour satisfaire cette Dame en détresse. Elle cru rêver et me fit répéter mes mots et quand elle fut certaine de ce qu'elle entendit, regarda la vendeuse et éclata d'un fou rire très élégant en disant : " c'est la providence qui m'a envoyée ici" Elle me dit alors que la tâche serait rude et astregnante et je lui répondis qu'elle ne risquait rien à me prendre à l'essai si ce n'est de perdre un peu de son temps précieux. Elle rit à nouveau en disant qu'elle pensait plutôt à une femme de ménage mais dit alors : "pourquoi pas, après tout je prendrais un malin plaisir à voir une mâle (selon ses termes) être à mon service. Elle ne discuta pas plus que ça, puis écrit sur un morceau de papier son adresse et l'heure à laquelle elle voulait me voir. Elle rajouta alors : "Et surtout sois à l'heure, ni trop tôt ni trop tard je suis intransigeante sur les horaires et sur le reste aussi d'ailleurs !!" Puis elle sortit en saluant la vendeuse et en faisant comme si je n'existais plus.... (A suivre si ça vous intéresse...)
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Le BDSM ne s’arrête t’il qu’à un plaisir court et intense pendant une durée limité ? Je ne penses pas du moins ce n’est pas vision des choses. Je penses que en tant que soumise mais aussi esclave je le dois de faire les tâches ménagères de mon maître, mais aussi de lui préparer un bon repas. Il est nécessaire que tout sois fait parfaitement pour que monsieur n’est rien à faire. Confessions: Le bien être de monsieur passe avant tout, je rêve d’un monde où je suis esclave de celui que j’admire, disponible 24h/24 et 7j/7. Que mon Maître puisse me réduire en esclavage complet et contrôle l’entièreté de ce que je fait et de qui je suis.   Être une Chienne vivant à la demeure de monsieur sera un accomplissement total pour salope que je suis, lui appartenir, mon corps comme mon image, qu’il me poste humilié à quatre patte… me balade en laisse… être attaché sans pouvoir me débattre… être un sex toys.. une salope sans dignité… un trou à remplir… Seulement j’ai plus l’impression que c’est un rêve, un fantasme irréalisable… trop d’incohérences et de difficultés à mettre en œuvre cela est bien dommage… une sorte de rêve inaccessible...
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Par : le 03/03/24
Il est 8h30, je vais passer à la douche. Dans la salle de bains, j'ai rendez-vous avec J. et J; c'est le surnom que j'ai donné à deux plugs qui chaque jour, par la volonté de mon dom virtuel, visitent mon anus et m'entraînent à la sodomie. L'un est en silicone noir avec une bille à l'intérieur; il est orné d'un cristal rose; le second est en verre un peu plus gros que le premier, il est transparent ce qui permet lorsqu'il est en place de voir l'intérieur de l'anus ouvert... c'est assez troublant de s'exposer ainsi. Depuis un mois environ, mon dom virtuel me demande de m'entraîner à la sodomie régulièrement chaque jour; je ne sais pas comment cela est venu, j'étais auparavant soumis à la sodomie de temps en temps mais c'est devenu maintenant un entrainement régulier que je dois faire chaque jour en vue d'être plus "salope" ou "garage à bites" comme dirait mon dom en langage fleuri, en tous les cas le but de l'opération est que je sois prêt et entraîné à être sodomisé à n'importe quel moment. J'avoue que je ne pensais pas réussir cet entrainement car j'imaginais qu'il serait trop douloureux pour moi, surtout en le répétant chaque jour. J'ai commencé, les premiers jours, avec un troisième plug, moins large que les deux autres mais plus long, en verre permettant un coté très visuel qui me plait beaucoup. J'envoyais chaque jour des photos à mon dom virtuel qui m'encourageait à continuer. Je suis ensuite passé au plug noir, et je me fixais des petits défis personnels comme le rentrer en une seule fois, à la première poussée, ou encore le faire entrer et sortir plusieurs fois le plus librement possible comme si je recevais des coups de bite. Pour faire cela, je dois me forcer à m'ouvrir pour accueillir le visiteur et la sensation de s'ouvrir est très troublante. J'y prends goût. Je suis ensuite passé au troisième plug, le plus large, et là il faut vraiment que je m'ouvre pour le laisser passer. C'est un peu douloureux mais tellement jouissif cérébralement de réaliser cet exercice pour mon dom, me sentir devenir de plus en plus "salope"... accepter d'être appelé ainsi: salope. Cet étrange plaisir d'être soumis. Je continue vaillament l'exercice journalier. Mon dom aimerait que je m'entraîne autrement qu'avec mes plugs, en trouvant un(e) partenaire régulier(e); je vais parfois, de façon très épisodique, au sauna gay où j'arrive pluggé et encagé... il faut que je sois très excité pour me forcer à faire cela et sur place je rencontre diverses fortunes pour satisfaire les demandes sodomites de mon dom virtuel. En attendant  je continue l'entrainement :) A suivre...  
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Par : le 02/03/24
Dans deux jours, ma Douce Soumise débutera une période de frustration de 15 jours, pendant laquelle elle sera privée de toute jouissance. Avant d'expliquer l'importance cruciale de cette étape, laissez-moi évoquer les raisons qui me poussent à lui imposer cette forme de chasteté. Tout juste âgée de 41 ans, ma Douce Soumise est en proie au doute. Depuis qu'elle a commencé à explorer sa soumission à l'âge de 40 ans, elle ne se sent plus désirable et se considère comme "périmée". Mon objectif a toujours été de la guider en douceur dans l'exploration de ses fantasmes, de la pousser à repousser ses limites et de l'aider à devenir la soumise qu'elle aspire à être. Jusqu'à présent, nous avons déjà franchi certaines de ces limites bien au-delà de ce que nous avions imaginé. Il y a moins d'un an, ma Douce Soumise pratiquait très rarement la sodomie ; aujourd'hui, elle est capable d'endurer un fist anal et d'y prendre plaisir. Elle n'avait également jamais avalé de sperme de sa vie, et maintenant, elle le réclame et ouvre grand la bouche pour recevoir mon nectar. Sans parler de l'uro, qu'elle ne connaissait même pas auparavant. En résumé, en l'espace de 8 mois, j'ai réussi à transformer ma femme "vanille" en une véritable soumise épanouie, obéissante et prête à se soumettre totalement à mes désirs. Un matin, dès son réveil, je lui ai demandé de s'inscrire sur Tinder et de créer un profil. Calmement, je lui ai annoncé que pour les 15 prochains jours, je souhaitais qu'elle rencontre un homme tous les deux jours. Parmi ces hommes, il devait y en avoir un dont elle n'aimait pas du tout le physique, ainsi qu'un homme de plus de 65 ans. Elle devait également coucher avec deux hommes lors d'une même journée. Ses consignes étaient claires : se rendre dans leur hôtel et les baiser comme une vraie pute, sans compromis. Pas de préliminaires, pas de rendez-vous avant ou après, juste du sexe brut. Dans la chambre d'hôtel, elle devait laisser son téléphone allumé pour que je puisse écouter. Après ces 15 jours de rencontres coquines, elle devrait subir 15 jours de frustration, plus deux jours supplémentaires pour chaque homme qu'elle n'aurait pas couché. Cette demande l'a choquée. Ma Douce Soumise n'imaginait pas que je serais capable de lui demander une telle chose. Au début, elle a protesté, affirmant qu'il lui était impossible de coucher avec d'autres hommes puisque nous étions mariés, et que cela n'était pas envisageable. Il faut dire que ma Douce Soumise est jalouse, tandis que moi, je ne le suis pas du tout. Pour moi, il y a une différence entre faire l'amour et simplement baiser. De plus, depuis toujours, l'un de ses fantasmes était de se faire prendre par un inconnu dans une chambre d'hôtel. J'étais en train de lui offrir son fantasme sur un plateau d'argent. Elle a fini par accepter, et son défi a commencé le jour même. En quelques heures, elle avait son premier rendez-vous avec un Canadien de 33 ans. Il faut dire que pour une femme, c'est extrêmement facile de rencontrer des hommes juste pour coucher. Elle s'est préparée à ce rendez-vous, s'est maquillée, coiffée, et a enfilé sa belle robe noire moulante. Elle était nerveuse ; en 14 ans de mariage, ma Douce Soumise n'avait jamais posé les mains sur un autre homme que moi. Je l'ai encouragée, ai trouvé les mots pour qu'elle ait le courage de franchir la porte. Je l'ai déposée à la réception de l'hôtel, puis je l'ai appelée pour pouvoir écouter tout ce qui se passait. C'était parti. Je l'ai entendue frapper à la porte, un hello nerveux. Ça y est, elle était dans la chambre d'hôtel, avec ce Canadien de 33 ans, musclé et vraiment bien foutu. Il faut dire que là où nous vivons, les touristes sont vraiment canons et musclés, pour la plupart ils viennent pour s’entraîner au Muay Thai de manière professionnelle. Je les ai entendus discuter un moment, lui prenant une bière, et  après quelques minutes, les voix ont été remplacées par des bruits de bouche. Ils s'embrassaient, j'étais terriblement excité, excité de voir ma Soumise rester dans cette chambre, excité de savoir qu'elle réalisait un fantasme tout en dépassant ses limites grâce à moi. Les respirations ont augmenté en intensité et déjà j'entendais les premiers gémissements de ma Douce Soumise. J'arrivais à deviner ce qu'il lui faisait juste par les bruits. Il est en train de la doigter, je reconnais le bruit très distinct de ma Soumise quand elle mouille et qu'elle est excitée. Ça y est, il la pénètre, ses gémissements ne trompent pas, elle prend son pied. Malheureusement pour elle, le jeune homme a succombé trop rapidement à son charme. Il part prendre sa douche, je reçois un message. "Maître, c'était trop rapide, puis-je rester un peu pour un deuxième round ?" Ma Douce Soumise avait succombé au charme de l'adultère consentant. Je lui accorde et le deuxième round fut bien plus intense... Pendant ces 15 jours, ma Douce Soumise n'a pas failli une seule fois. Parmi les hommes qu'elle a baisés, il y en avait quatre qui avaient du mal à la satisfaire : un Maître dominant expérimenté, dont je vous raconterai la soirée dans un autre récit, un homme de 64 ans, et un homme expert en libertinage qui a décidé de m'appeler en visio pour que je les regarde baiser. Ces 15 jours ont été vraiment très intenses. Ma Douce Soumise a vraiment repoussé ses limites. De plus, chaque fois qu'elle revenait d'un rendez-vous, je la baisais sans qu'elle ait le droit de se laver. Elle est passée par tout un tas d'émotions. Elle s'est sentie pute, désirable, sale, excitée, fatiguée, enjouée. Toutes ces émotions décuplées à 100% par l'adrénaline. Sa soumission n'a jamais été aussi parfaite. Je suis tellement fier de ma Douce Soumise...
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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