La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/11/23
Episode 1: Relaxant Onsen Depuis les temps anciens, les Japonais profitent des bienfaits relaxants et thérapeutiques des sources thermales. D'après le Nihon shoki (日本書紀), l'une des rares sources écrites sur les origines du Japon, achevé en 720, le premier Onsen aurait  été créé en 631. De nos jours, plus de 3000 stations thermales sont aménagées. Beaucoup d'hôtels possèdent leur propre Onsen, soit naturel, soit artificiel. Depuis que le Japon s'est ouvert à l'Occident, la mixité qui était la règle à l'origine a quasiment disparu. C'est le cas dans notre hôtel, qui dispose d’espaces de baignade strictement séparés pour les hommes et les femmes. Par pudeur probablement, les guides touristiques sont avares de détails, mettant l'accent sur les bienfaits des eaux chaudes fortement minéralisées, et oubliant les aspects pratiques. Car dans un Onsen on doit se baigner entièrement nu et respecter un certain rituel. Après s'être dévêtu dans l'espace vestiaire, on rejoint un espace dans lequel on doit se doucher assis sur un petit tabouret, puis éliminer soigneusement toute trace de savon car polluer l'eau du bain est un sacrilège. Les Onsens n’échappent pas à la fameuse politesse japonaise: ce sont des lieux de repos et de détente -  adopter un comportement discret et silencieux dans l'espace de baignade est la règle, néanmoins parfois mise à mal dans les régions touristiques. L'accès aux personnes tatouées est en principe interdit, les tatouages évoquant le crime organisé dans ce pays. Pas d'autre choix que d'enlever le symbole Kef, tatoué en haut de ma cuisse gauche. Quel dommage! Je venais juste de refaire ce tatouage temporaire. Solution de fortune, la lotion démaquillante en est venue à bout, mais non sans mal. J'ai lu qu'ici un sexe épilé rappelle les films pornographiques ou la prostitution et c'est donc très mal vu. En effet, pour échapper aux lois de censure qui interdisaient de montrer toute pilosité pubienne, l'industrie du film pornographique a eu recours à l'épilation. J'ignore si cette association est la vraie raison, mais force est de constater que je suis la seule à avoir la chatte intégralement épilée. Les japonaises sont bien foutues – question d’alimentation probablement – et je pense que mon Maître apprécierait d’être à ma place. Je l’imagine du côté homme, entouré d’hommes nus. Lui qui est 100% hétéro, le pauvre… Et je m’efforce de réprimer le fou rire que je sens arriver, histoire de ne pas me faire remarquer. Après un moment bien relaxant dans ces eaux très chaudes, je retrouve par hasard mon Maître dans l'ascenseur. Lui aussi vient juste de quitter l’Onsen. Quelle synchronisation ! Nous sommes vraiment faits pour être ensemble. - "Vous avez pu mater de belles bites, Maître ?" Je n'ai pas pu m'empêcher de le charrier... Et je suis prise d'un fou rire. - "Pfff... Tu es bête", me répond-il, ne pouvant néanmoins réprimer un sourire.   Episode 2 : Le sens de l’accueil A peine la porte de notre chambre ouverte, la télévision s'allume automatiquement, avec un niveau sonore particulièrement agressif, et bascule sur une chaîne française. L’ouverture de la porte déclenche la mise sous tension et le choix de la chaîne est préréglé en fonctions de nationalité des clients. Cela part certainement d’une bonne intention – faire en sorte que le client se sente comme chez lui – mais qu’est-ce que c’est agaçant ! La nudité intégrale en présence de mon Maître est la règle, hormis dans les espaces publics bien sûr. Pendant que je me déshabille, mon Maître se bat avec la télécommande dont toutes les touches sont gravées en japonais. Un médecin de plateau vante les mérites de la zébralisation (*). La journaliste en rajoute une couche, en fustigeant les ignorants, fascistes, anti-science, qui sont encore réticents à se rendre dans leur centre de zébralysation. - "Putain! Mais comment est-ce qu’on arrête ce bazar!" Il est très rare que mon Maître, si philosophe habituellement, montre des signes d'agacement. - "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi faire" C'est toujours utile d'avoir une soumise sous la main, prête à rendre service ! Voilà mon téléphone qui sonne maintenant. C'est mon médecin traitant. - "Je vois que vous n'êtes pas encore zébralysée. J'ai pu vous obtenir un rendez-vous dans le centre de zébralysation pour mardi à 10h". Technique commerciale bien connue: mettre l'interlocuteur devant le fait accompli et dans une situation dans laquelle il se sentira mal à l'aise, voire honteux, de refuser. "Mais c'est du harcèlement!" me dis-je. Par chance, j'ai une bonne excuse cette fois: je suis à plus de 10 000 km du centre de zébralysation. - "D'accord" répond-il, sur le ton agacé du vendeur qui a raté son affaire. "Mais il ne faudra pas tarder à vous mettre en règle - d'ailleurs ce sera bientôt obligatoire sous peine d'amende". J'entends mon Maître ironiser à voix basse pendant que j'assure que j’y pense et que je ferai le nécessaire – histoire de mettre un terme à la conversation. - "Menteuse..." - "Une bonne fessée et la bite dans la cul, voilà ce que tu mérites" Sacrée fessée en effet ! Visiblement, les eaux minérales de l'Onsen l'ont bien revigoré. J'imagine la tête de mon médecin s'il apprenait que je suis déjà doublement zébralysée, qui plus est avec les derniers spécimens naturels. Malheureusement, l'espèce s'éteindra en moi. Je ne crois plus guère que la reproduction, dans laquelle nous avions mis tant d’espoirs, réussira, et je me sens responsable de cet échec. Episode 3: Chienne esseulée devant l’Hôtel Riz-Carbone Je ne fais pas la fière, assise seule sur ce banc, un peu en retrait de l'entrée du prestigieux Hôtel Riz-Carbone. - "Je dois rencontrer un membre du personnel", m'a dit mon Maître pendant qu'il attachait ma laisse à l'accoudoir et me déboutonnait le chemisier jusqu'au nombril, prenant bien soin de l'ouvrir un peu au delà des limites de la décence, laissant apparaître une bonne moitié de chaque téton. Moi qui ai souvent regretté d'avoir les tétons trop clairs et qui aimerait les avoir bien sombres, je me rends compte que cela a aussi un avantage. C'est plus discret... C'est dans cet hôtel de luxe, sur les hauteurs de Nikkō, qu'un échantillon des princes qui nous gouvernent se sont rencontrés en marge du sommet du G7, en juin 2023. "G7 ministerial meeting on gender equality and women's empowerment" : l'égalité des genres et le féminisme idéologique sont des thèmes porteurs et fort utiles pour masquer des objectifs bien moins avouables. Surplombant le lac Chūzenji, l'hôtel bénéficie d'un cadre idyllique. Les rives du lac étaient très populaires au siècle dernier comme en témoignent de nombreux bâtiments bien préservés, parmi lesquels l'ancienne ambassade de France et de somptueuses résidences secondaires de diplomates. Yeux baissés par timidité, mais cuisses écartées par obligation, je tente néanmoins de me faire la plus discrète possible. C'était sans compter ce gros touriste américain, qui, à peine sorti de l'hôtel, ne manque pas de me remarquer. "Hi guys! Are you on a leash?" me dit-il bruyamment. Je marmonne une réponse incompréhensible, tout en rougissant. Franchement, est-ce que j'ai une tête (des têtes?) de "guys" ? Il se plante devant moi et me raconte une histoire à la con qui se veut drôle. Pitié… Mais faites-le taire ! Un puissant instinct me pousse à resserrer les cuisses et à me reboutonner, mais je mets un point d'honneur à respecter les ordres du Maître, y compris, et peut-être encore plus, quand il n'est pas là pour me contrôler. Alors, je mets toute ma force de volonté pour résister à cette réaction instinctive. Ouf ! Le vulgaire personnage n'insiste pas et s'éloigne, sans doute refroidi par mon peu d'enthousiasme à lui répondre et à rire de son histoire sans queue ni tête.   Mes cuisses doivent être maintenues ouvertes en toutes circonstances et le fait que les sous-vêtements me soient interdits n'y change rien. C'est la règle. C'est Sa Loi. Le temps semble toujours s'écouler à une vitesse d'escargot dans certaines circonstances et comme par hasard surtout quand on voudrait qu’il accélère. Mais que fait mon Maître ? J'ai l'impression qu'il y passe des heures dans cet hôtel. Eh ben ! Il en a mis du temps ! - "Mets-toi ça dans la chatte, c'est plus prudent. Sonia sera comblée par ce qu'il y a là dedans", me dit-il en me tendant une boule mémoire - version moderne des anciennes clés USB. C'est vrai que l'on n'est jamais à l’abri d'une mauvaise rencontre avec une patrouille de défenseurs de la démocratie. Les miliciens peuvent être très zélés et sont habilités à contrôler nos effets personnels, mais il est peu probable qu'ils aillent jusqu'à une fouille intime - du moins tant que l'on n'attire pas trop l'attention. - "Ca te dit de dormir ici la nuit prochaine ?" 700 à 6000 dollars la chambre, voilà qui n'est guère raisonnable... Eh oui ! On paye à présent en dollars au sein de la Suprême Alliance Démocratique. Les monnaies locales ont disparu. C’est le résultat d’un arrangement entre la Chine et les USA : pour l’une, en tant que berceau de la démocratie moderne, le privilège d’accueillir le siège du pouvoir fédéral, pour l’autre le contrôle de la monnaie. J'ai parfois du mal à savoir si mon Maître est sérieux ou me fait marcher. - "Malheureusement, nous n'avons pas la chance d'être logés aux frais du contribuable..." rajoute-t-il. Dommage... C'est tenue en laisse, jupe retroussée, qu’il me conduit sur le petit sentier, heureusement peu fréquenté, qui relie le luxueux hôtel aux chutes Kegon. Avec ses 97 mètres de haut, la grande cascade Kegon est l'une des plus hautes du Japon. Un petit plateau d'observation, équipé de bancs publics, permet d'avoir une belle vue sur les chutes. C'est sur l'un de ces bancs, assise aux côtés de mon Maître, toujours tenue en laisse, que j'observe la cascade, comme hypnotisée par le spectacle. Une petite tape sur le sein gauche, puis sur le bas de ma jupe, me sort de ma contemplation. Oui, bien sûr, le banc est au bord de la plateforme, personne ne peut passer devant nous, alors... J'ai encore du mal à bien analyser chaque situation et à prendre de moi-même les bonnes initiatives. Je m'empresse d'ouvrir plus largement mon chemisier déboutonné, pour dégager entièrement mes mamelles et de remonter ma jupe pour exposer ma fente. Me voilà exhibée pour le plaisir de la déesse de la montagne... et pour celui de mon Maître ! Pas un mot n'est prononcé. Quoi de mieux que le silence pour apprécier les bruits de la nature, apprécier le bonheur de me trouver là, au bout de la laisse tenue par l'homme que j'aime. Est-ce qu'il a en ce moment des pensées similaires aux miennes? Est-il satisfait de sa chienne? Je l'espère. Mais il serait déplacé de lui demander. On dirait que la cascade s’est mise en conformité avec les règles de politesse à la japonaise : pas de vacarme assourdissant mais un bruit agréable, presque relaxant. Comme si elle voulait rester discrète et respectueuse des visiteurs. Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et il est déjà temps de reprendre le bus pour Nikkō. Je garde mon collier d’esclave, mais, soulagement, la laisse m’est retirée. Je ne vais quand même pas prendre le bus tenue en laisse ! Episode 4: Retrouvailles inattendues sur le pont Shinkyo   Le bus descend à toute vitesse vers Nikkō, enchaînant les virages à 180 degrés. Je tente de filmer la spectaculaire descente sur cette vertigineuse route en lacets, mais j'ai très vite le tournis. Mon Maître prend le relais. Pour me rassurer, il me dit que le chauffeur a certainement fait ce trajet des centaines de fois. Certes ! - Mais... - "Quand nous serons de retour à Tokyo, je te placerai pendant une journée dans un établissement spécialisé, pour y sucer des bites et donner du plaisir. Cela te fera du bien." Est-ce qu'il me fait marcher? Je pose néanmoins des questions. - "Ils ont un mur de bites, style glory hole. Tu y seras à l'œuvre toute la journée et si un client n'est pas satisfait, tu seras fouettée." Je pense à 99% qu'il me fait marcher, mais il me reste 1% de doutes... - "On va descendre au pont Shinkyo. Nous pourrons poursuivre jusqu'à l'hôtel à pied". Le pont sacré Shinkyo marque l’entrée du sanctuaire shintoïste de Nikkō. Durant l’époque Edo (1603-1868), seuls le shogun et les messagers de la cour impériale étaient autorisés à l’emprunter. Le pont en lui-même est modeste, mais la vue, avec la brume et la montagne en arrière-plan est tout simplement magnifique. Je suis affairée à prendre des photos de mon Maître sur le pont pour immortaliser notre passage en ce lieu historique, quand une voix dans mon dos me fait sursauter. - "Streptomyces Avermitilis Inari !" Je reconnais la voix du Professeur et le ton euphorique du scientifique qui vient de faire une immense découverte. Je me retourne instantanément et m’incline respectueusement. - "Bonjour Monsieur le Professeur. Euh, pardon, bonjour Satoshi. Que faites-vous là?" J'ai décidément du mal à l'appeler par son prénom, comme il me l'a demandé. - "Je les ai baptisés Streptomyces Avermitilis Inari, en hommage à la déesse de la montagne. Il y en avait des quantités dans les prélèvements. C'est incroyable !"   à suivre   Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  
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Par : le 13/11/23
Voilà c'est mon histoire, quand la réalité dépasse les fantasmes. Mon histoire ; Je suis née avec le spina bifida, et je me déplace soit en fauteuil roulant soit avec des attelles. De tous temps, j’avais l’impression de ne pas être vraiment ce que je suis, homme, mais pas au point de me sentir femme et j’ai toujours eu un sentiment de soumission. Je vivais seul malgré mon handicap, j’ai erré pour chercher un maître et finalement je suis tombé sur un couple. Homme femme dominants Le feeling est passé tout de suite et peu à peu je m’installais chez eux dans leur grande maison, jusqu’à finalement déménager. Nos jeux devenaient de plus en plus hard. Ils m’avaient fait des allusions à la castration, que ce serait mieux pour moi. J’étais de plus en plus féminisée, mais pas prêt à être castré. Lors d’une séance, j’étais attaché, portant mon masque de cuir et les trous pour la vue fermés. Ils m’avaient fait prendre un tranquillisant, mais j’ai senti des piqures dans mes boules, ensuite ça m’a brûlé. J’ai cru à un nouveau jeu.Ils ont recommencé quelques jours plus tard. Sur le moment ils ne m’ont rien dit, mais j’avais mal aux boules. Les semaines suivantes, ma libido à baissé, après deux mois j’étais devenu un eunuque avec des boules atrophiées. Ils m’ont avoué m’avoir castré avec du Neutersol, une substance qui s’injecte dans les boules pour castrer les animaux.. La suite une autre fois  
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Par : le 10/11/23
Il fait chaud en cette fin de septembre. Seule dans mon nouveau kot d’étudiante, je m’ennuie et le soleil ne se décide pas à se coucher. Allongée sur mon lit, je n’ai conservé que mon petit top mais je languis, toute moite de transpiration. Je rêve… que faire pour me distraire ? Je vais tripoter dans mes armoires. Ah oui, il y a cette ceinture en cuir que m’ont rapportée mes parents quand ils sont revenus d’Espagne. Elle n’est pas mal, assez haute, avec des trous tout autour, elle sent bon le cuir sauvage, je vais l’essayer. Je la glisse autour de ma taille. Troublant ce contact sur la peau nue… Je la fixe fermement et vais me regarder dans la glace. Bien, mais on pourrait serrer un peu plus. Un trou de gagné et ma silhouette s’améliore. Allez, encore un trou et je deviens aguichante tandis qu’un délicieux trouble commence à m’envahir. Encore un trou ? ça devient dur mais des sensations nouvelles me pénètrent. Je me vois prisonnière, offerte à un Prince cruel qui me traîne ainsi derrière son char. Je serais nue, la taille entravée, les seins offerts, les bras et les poignets ligotés dans le dos. L’image me poursuit et maintenant, ce n’est plus de la sueur qui me coule entre les jambes.  Encore un trou ? Non, plus moyen, j’ai beau tirer, m’escrimer sur la lanière, serrer les dents, rien à faire. La frustration me gagne, il faut que j’y arrive. Idée ! J’entrouvre ma fenêtre, je cale le bout de la ceinture dans le vantail et je referme : le bout de la lanière est fermement attaché. Allez, tant pis pour la douleur, je me lance en avant, je tire comme une forcenée, le cuir glisse légèrement le long de la boucle, je vais gagner le trou suivant… Ouiii, l’ardillon passe dans le trou, la ceinture se bloque, gagné ! Le souffle court, je savoure la victoire, mais aussi la contrainte. C’est dur, mais quelles sensations ! Je débloque la fenêtre et fais quelques pas dans ma chambre. Je suis belle et désirable. Mon esprit tourne à cent à l’heure. Que faire encore ? Une autre ceinture, plus fine. Je me la passe autour des poignets, je la boucle avec mes dents, me voilà doublement prisonnière. Et si je me mettais les poignets dans le dos ? Pas facile, mais faisable. Je me courbe (aïe ma taille), je passe mes poignets attachés par dessus mes pieds et je me redresse. Dernier obstacle, mes fesses, qui se laissent finalement franchir dans un vigoureux effort. Ça y est, je suis la parfaite demoiselle en détresse attendant le sacrifice. Je jouis de me voir ainsi offerte dans la contrainte, mon sexe me brûle, je…   Tout à coup, une sonnerie retentit et un haut-parleur se met à hurler : alerte à la bombe, il faut évacuer d’urgence, quittez vite vos chambres. Affolée, j’essaie de me libérer les poignets. Impossible. Je veux les faire repasser par devant. Pas moyen, dans ce sens, mes fesses s’y refusent absolument. Je panique, je tombe sur mon lit en essayant désespérément de trouver une échappatoire, mon cœur bat comme un fou, je suis vraiment prisonnière et cruellement torturée par mes liens.   On frappe à ma porte. Ouvrez, ou nous forçons la serrure !   (à suivre ?)  
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Par : le 05/11/23
Vous étes  la comme prévue, vous m attendez au bord du trottoir , vétus d une courte jupe noire qui moule vos jolies fesses, ce n est pas vulgaire juste sexy . Une chemise blanche laissant deviner la pointe de vos seins l accompagne .Vos chaussure sont rouge à talons haut comme demandé. Je m arréte a votre auteur et vous fait signe de monter. Nous roulons depuis quelque minutes je pose ma main sur votre genoux et vous ecarte les cuisses votre jupe remonte presque a votre vulve,je ne regarde pas je veux la decouvrir lorsque nous serons arrivé au hangar. Ma main vous caresse lentement ,doucement , vous mouillez et vous commencez a gemir vos hanche ondulent je stop ma caresse nous voila arrivé.                                                                                                                                                                                                                               A l interieur du hangar vous decouvrez un peut inquiete un fauteuil,la table sur laquelle ce trouve un rouleau de corde, la cravache, un bandeau.  A coté du fauteuil il y a un peitit coussin pour vous. Je vous met à genoux sur le coussin et m installe confortablement dans le fauteuil                                                                                                                                                                                                                                                                   A suivre      
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Par : le 04/11/23
15/10/2022 Je met ce rapport qui date un peu pour V/vous faire attendre l'arrivée de mes prochains rapports. J'espere que cela V/vous plaira.   J'ai fait ma demande vendredi 14/10/2022 après une journée ou c'était compliqué, beaucoup de remises en questions, beaucoup de pleurs mais j'ai arrêté de réfléchir et j'ai fini par me laisser porter, donc je l'ai fait. Il m'a donné un baiser puis il m'a embrassé avec la langue longuement plusieurs fois. A ce moment là mon cerveau vrille, je n'arrivais plus à penser, je me sent juste bien, légère, heureuse. L reviens de son pipi et moi j'essayais de reprendre mes esprits, essayer de penser à ce qui venais de se passer avec Maitre. Peu après il part faire pipi, et moi je souhaitais aller au lit. Il sort des toilettes et la chambre où j'allais dormir étant juste devant les toilettes, il me vois et viens discuter avec moi, l'on discute de cette journée qui fut remplie en émotions et elle n'était pas finie encore. Nous avons joué ensemble, il commence d'abord par me masturber tout en me posant des questions afin que je puisse comprendre que mon sexe lui appartiens et que pour faire quoi que ce soit avec, c'est a Maître qu'il faut demander et que Maître c'est lui qui contrôle. Il m'a faite basculer sur le dos et continue de jouer avec mon sexe, malaxant mes testicules et mon sexe dans sa globalité. Je me sent comme paralysée entre ses mains, le regardant dans les yeux et prenant du plaisir à être sienne. Nous avons joué ainsi une trentaine de minutes, puis comme nous étions extrêmement fatigués, nous sommes partis dormir chacuns de notre côté.  Le lendemain nous nous préparons toutes a l'arrivée d'une personne qui n'étais pas calculé, on pars vers 14h et dans la voiture c'était un peu compliqué, de rester 5h sur la banquette arrière, au millieu, comme je suis la plus fine de nous 4, au millieu j'ai retiré mes chaussures comme mes pieds s'engourdissaient a la fin. Sur la route on a discuté un peu de tout et de n'importe quoi, on a pas trop discuté avec F, l'arrivante car elle était fatiguée, elle avais fait plusieurs heures de train avant. Sur la route je pense a plein de choses, je calcule énormément tout ce qu'il peux se passer et je pense même au fait que je puisse me faire kidnapper ou séquestrer mais c'est rapidement écarté, c'est juste que je pense trop. Au fur et à mesure des kilomètres, les pensées s'apaisent, et a chaque fois que je ferme les yeux, j'ai une décharge de dopamine et je me souviens de ma demande, des baisers que Maître m'a offert, et de la séance de jeu juste après. Nous arrivons vers 19h-19h30 dans un village dans les montagnes a proximité de Lyon. C'est une vieille bâtisse devant laquelle nous nous garons. On sort et on se met près de Maître qui parle avec un Monsieur, le propriétaire de cette bâtisse. Je prends les glacières pour les poser la ou le Monsieur le souhaites et je fais très attention, je reste patiente, sage et a l'écoute, je n'ai pas envie de faire une bêtise et que l'on pense que Maître éduque mal ses soumises, même si c'est mon premier jour d'appartenance et la première fois que je vais en donjon. Je pose les glacières puis je rejoinds Maître et les filles sur la terrasse. On commence à discuter de notre côté et un peu a "critiquer" les tenues des gens mais sans volonté de blesser, mais A, parle très fort et a ce moment là, elle critiquait a voix haute, L l'a grondée directement, car cela doit rester entre nous, que ça n'aille pas blesser les gens. On viens a rentrer dans une salle qui fais office de salon a ce moment là, Maître s'asseois sur les vieux canapés en cuir et nous le suivons. On patiente ainsi sagement durant une dizaine de minutes jusqu'à ce que le Monsieur arrive et demande si il y a des gens, des petites soumises ou petits soumis qui veulent faire le service et faire rentrer les gens pour le repas. Je regarde Maître, n'ayant pas vraiment envie et n'ayant pas les connaissances pour bien servir et bien faire, mais ça va, Maître n'a rien dit. Je surveille beaucoup autour de moi, ce qu'il se passe, et je fais aussi très attention aux sacs qui sont toujours sur la terrasse. Il y a vraiment tout type de personnes, A qui est en little, des punks, une kitten, une personne qui est habillé en paysan avec une tétine en guise de pendentif. Le Monsieur reviens pour nous dire que l'on peux monter à l'étage avec Maître, alors nous le suivons. Nous ressortons sur la terrasse, prenons les sacs et l'on rentre par l'entrée principale pour directement prendre les escaliers. Les marches grincent et sont assez petites, marcher en talon dessus ce n'est pas la joie. On monte au premier étage et l'on nous montre une pièce presque vide, un trône et quelques matelas sont placés dedans et on nous dit que c'est là où l'on vas se changer. La porte grande ouverte nous laissais a la vue de tous et toutes, c'était intimidant mais Maître sauras s'occuper des choses si cela déborde. Je change la robe noire avec les petits boutons dorés que je portais pour un corset bien serré et une petite jupette en tissu avec mes talons hauts. Comme ce n'est pas encore l'heure et que nous sommes en tenues, nous faisons des tours dans la maison, et Maître sort fumer. Nous rencontrons a ce moment là Maîtresse M, une Dame toute souriante et sympathique d'une cinquantaine d'années qui discute avec nous et qui nous raconte les histoires de son doudou qui a 10 ans je crois. Nous continuons à faire des visites avec Maître qui a son fouet en main puis viens l'heure du repas. C'est une grande salle qui est juste en face des escaliers pour aller au premier étage et plusieurs tables ainsi que des bancs sont placés là pour former une sorte de banquet. Avec Maître et mes soeurs nous nous installons vers le centre, ainsi nous sommes bien placés pour tout voir et être bien servis. Sur la table il y a déjà des entrées, des toasts au thons et salade de tomates avec du poulet ainsi qu'un liquide jaunâtre qui d'après Maître, serais du jus de pommes. Je regarde, j'observe les personnes qui passent et qui s'installent et face a moi, un couple, une Dame Dominante et son soumis, ils étaient venus s'habiller avec nous également, je les avais déjà remarqués. Maître commence par se servir dans les entrées puis se sert du "jus de pommes", j'attends qu'il finisse pour se servir puis je propose a la Dame si elle en veux, elle dit oui alors je vais pour lui donner la bouteille puis L, qui est assise à côté de moi me dit a l'oreille :"C'est une Dominante, tu dois la servir", alors je m'exécute et je la sert ainsi que son soumis tout en ayant un peu honte et un peu peur d'avoir fait honte à Maître. Je repose la bouteille entre Maître et nous 4, ses soumises puis je prends une gorgée de "jus de pomme" qui n'avais pas du tout le goût de jus de pommes comme c'était du vin blanc ! Maître et L rigole et afin de pouvoir me servir autre chose je bois mon verre assez rapidement, ce qui les choques. Le fait de ne pas avoir su qu'il fallait que je serve la personne Dominante ma poursuivie le reste de la soirée, je me sentais assez bête de ne pas avoir su cela, même si je n'avais aucune chance de le savoir avant que ça n'arrive mais bon... La soirée continue, je reste assez calme, sage et a l'écoute. Après le repas les filles et Maître sortent pour fumer, moi je pars seule avec Maître afin de lui parler seule a seule, lui posant des questions sur ma manière de faire, et lui parler du fait que je ne savais pas que je devais servir la Dame, et il m'a dit que ce n'était pas grave. On remonte assez rapidement et les gens partent assez rapidement aussi pour partir jouer au grenier et dans la cave. Nous on reste et on discute entre nous 5, parfois avec le couple qui est a côté de nous, nous discutons pendant bien 30-40 minutes avant de partir à notre tour pour faire un tour et trouver un bon endroit afin que l'on joue avec Maître. L'on descend dans la cave en repassant dans le salon et on se retrouve dans une sorte d'écuries avec un haut plafond de 5 mètres de haut, et des petits box en pierre, de la terre battue au sol. Quelques croix de saint André sont placés dans les box ou même au millieu du passage principal. Les personnes avaient déjà commencé à jouer, les fouets sifflaient dans l'air accompagné de cris. Maîtresse M avais attaché une personne travestie a une toile d'araignée en chaînes et qui la fouettais en l'insultant de salope et de connasse. On observe plus ou moins et F elle stressais beaucoup, alors je l'ai prise par la main un petit moment en passant mes doigts entre les siens pour essayer de la rassurer. Après un petit moment, on remonte puis l'on vas dans le grenier, avec de la chance, une personne était avec nous sur la croix de saint André et se prépare à partir, alors nous on se prépare, on enlève nos corsets, on se dénude pour Maître. La première a passer c'est A, elle se fait fouetter un peu au dessus de ses vêtements, ne pouvant pas enlever son body blanc car elle a ses règles et elle n'a pas écouté L, se retrouvant avec l'entrejambe taché de sang. S'en suit de F, qui avais peur des martinets. Avec L on regarde, et on ressent ce qui se dégage du moment entre F et Maître, avec L qui fait des petits commentaires sur ce qui se passe, que F se sent en confiance et bien, c'était un beau moment. Je pensais que ça allais être au tour de L mais elle en a décidé autrement... Je defais lentement mon corset avec le stress qui monte. Pendant la soirée, Maître jouais avec son fouet et ça faisais quand même assez peur, le son que ça provoquait et la vitesse c'était flippant, et les marques sur F également. je garde ma jupette mais je me retrouve la poitrine a l'air. Il m'ordonne de me pencher sur le chevalet ce que je fais puis le stress continue de monter. Je tourne ma tête doucement puis je vois qu'il prends le paddle. Il commence les coups sur le dos, puis sur les fesses. Ma peau commence à se réchauffer, la douleur a augmenter et je commence à vraiment avoir très mal. Maître me dit de me détendre pour que je puisse avoir moins mal, plus simple a dire qu'à faire, mais j'essaie tout simplement de me concentrer sur ma respiration et a ma position, venant même fermer les yeux, cela fonctionne et ça m'apaise légèrement. Il continue de me faire chauffer le dos avec la paddle et cela viens même a me brûler. Après une bonne cinquantaine de coups de paddle, il passe a son martinet spécial pour continuer de faire chauffer mon dos, il est plus simple a encaisser que la paddle, mais aussi je suis bien plus apaisée et détendue qu'avec le martinet. Il me donne une bonne vingtaine de coups de martinets puis il passe au clou du spectacle. Je l'entends marcher et fouiller dans le sac de jeu, je reste en position, je reste concentrée. J'entends ses pas revenirs vers moi, puis le fouet claque a ma droite, puis a ma gauche, puis au dessus de moi, et finallement, dernière moi. Il prends ses marques et continue ses coups de repérage jusqu'à me toucher les premières fois. Les premiers coups sont assez simples a encaisser comme ils me frôlent a peine, mais dès que ça touche bien, c'est plus compliqué... Des gros coups de jus, c'est la sensation que chaque coups me fait. Une grosse douleur me prends a chaque coups et la concentration et la détente deviens impossible et donc je me contracte, ce qui fait que la douleurs augmente. Les coups deviennent plus forts, ma peau brûle, la douleurs deviens insoutenable et je me met à pleurer a la fin de la séance. Maître viens caresser mon dos, et il me regarde, me disant que c'est fini. Je me retourne doucement, je vais voir F et je tombe a genoux face a elle puis elle me fait un câlin. La douleur s'estompe rapidement, les larmes arrêtent de couler, je me calme doucement et puis j'écoute L qui viens vers F et moi. Elle dit qu'elle est fière, car j'ai réussi à tenir jusqu'à ce que Maître a décidé que ce soit fini pour ma première fois, que j'ai réussi à encaisser tout cela pour ma première fois. On prends du temps, pour discuter et on regarde une autre personne qui se prends des coups de fouets, j'en profite pour discuter et me relaxer. Maître n'a pas pu jouer avec L car son poignet avait trop travaillé alors on se met a ranger les affaires dans le sac de jeu puis on se prépare au départ. On continue de discuter, on discute de nos marques que l'on auras demain, l'on parle de ce qui s'est passé, on partage ce que l'on a ressenti en rangeant tout. Pour la suite il ne s'est pas passé grand chose. Le lendemain, les marques étaient bien plus visibles, et surtout une grosse sur la fesse gauche qui vas durer, et finallement j'ai adoré cette soirée, ces moments avec mes soeurs et Maître. Lorsque je suis rentrée dimanche soir, j'étais vraiment euphorique pendant une petite heure, a me remémorer de tout, je souriais un peu bêtement, je rigolais sans raison, j'étais très heureuse, heureuse d'être la soumise de Maître, heureuse d'avoir passé du temps dans ce donjon.
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Par : le 03/11/23
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.    Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.    Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.    Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café -Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.  Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt. Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.  -Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac -Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore   Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.  Toujours avec un large sourire, il dit:  -Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.  Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.    Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:  -C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.   -Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…   Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.    Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro. A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier. -Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.    Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.    -Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il -Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.    Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie: -Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?   Gaspard hésita et répondit:  -Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.    Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti   Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.    La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans: -Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait. Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.    -Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer -J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier -Non mai…, commença Léa  -Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.    Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.    Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.  -Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle -Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable   Elle hésita quelques instants et dit:  -Une seule soirée et tu effaces?  -Exactement, dit-il -D’accord…, répondit-elle à contre-coeur -Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire   Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.  -A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire   Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées. 17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive. Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.    Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.    Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;  -C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête. Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…   Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.  -Debout, dit-il fermement Il se plaça alors face à elle et dit:  -Maintenant après une journée de travail,  tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.  La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:  -Déshabille moi   Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.  Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:  -Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.    Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle   Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas. Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla. -Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou. Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit: -Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie… Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos -Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes. Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.    Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire Un récit par Monsieur N.  
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Par : le 03/11/23
Un texte reçu par une femme que j'ai rencontrée, les précédents échanges écrits m'avait montré sa qualité d'écriture, je lui est donc demandé de me raconter notre rencontre, en première partie son premier essai, en deuxième partie le complément suite à mes réactions à son écrit. Elle se reconnaitra peut être ici! ------------------------------------------------------------ Je ne sais pas si tu préfères que je te vouvoie ou tutoie, j’emploierais donc la formule qui me vient le plus naturellement. Tu rectifieras ou non. Voici comme promis le récit de notre rendez-vous d’hier. En premier lieu, je voudrais te/vous dire que j’ai apprécié ton respect et ta gentillesse : le fait que tu n’aies pas oublié mon heure d’arrivée exacte à la gare, que tu me préviennes par sms de ta présence sur place, que tu m’attendes dans la gare et non pas à ton véhicule, que tu me mettes toi-même le casque, que tu m’ouvres la porte, que tu m’embrasses dehors…Toutes ces petites attentions auxquelles je suis très sensible et qui ont contribué à rendre cette après-midi très agréable à vivre en ta compagnie. Lorsque je rentre chez toi, je suis un peu inquiète mais quelque chose dans la décoration de la maison me rassure. Un petit côté vieillot peut-être…:) Je te sentais pas loin derrière moi et je me demandais à quel moment tu allais me toucher. Tu as enfin posé tes mains sur moi et dès le début j’ai adoré ce contact. Ta corpulence me rassure. En même temps que le plaisir de sentir tes mains sur mon corps, me masser, me caresser, m’écraser, la douleur sur mes seins que j’ai supporté je me demande encore comment. Puis lorsque tu nous a tourné vers la glace afin de vérifier notre harmonie, je n’ai pas eu peur de mon reflet, je n’ai pas été dégoûtée non plus comme la plupart du temps lorsque je me regarde. Je nous ais  trouvé « raccort » tous les deux. J’ai aimé la façon dont tu m’as déshabillée, peu à peu, tout en continuant de me malmener et de me toucher. Le fait que je n’ai le droit de rien faire, sinon te laisser faire est quelque chose de vraiment très agréable, de très sensuel et en même temps cela m’a fait ressentir totalement ta domination. Tu m’as posé un bandeau, tu m’as demandé de finir de me déshabiller, tu m’as mis des pinces sur les tétons, puis tu m’as fait poser les deux mains sur la table, en position la « croupe » offerte. Tu m’as laissé ainsi pendant que tu allais fermer les volets et nous préparer un café que tu m’as fait boire les yeux bandés. Ensuite tu m’as assené quelques claques bien senties sur les fesses, m’a pincé les seins de plus en plus fortement, cherchant à explorer mes limites de douleur. J’ai passé le premier test… Alors tu es passé aux cordes, tu as créé un soutien gorge autour de mes seins, puis tu as contraint légèrement mes bras. Tout en continuant à manier les douceurs et les douleurs, tu m’as fait allonger, tu as lié mes pieds en tailleurs, m’as bloquée pliée en deux dans cette position, puis tu as usé tant et plus de mon clitoris, de mon vagin avec douceur et force, pendant ce qu’il m’a semblé être des heures. Même si je n’ai pas réussi à trouver le chemin de la jouissance (je t’avais dis que j’étais assez longue), j’ai pris beaucoup de plaisir à ces manipulations (même si ce matin, c’est un peu douloureux) et je regrette de ne pas avoir pu t’offrir cette jouissance que tu as tant cherché à me donner. Puis le moment est venu de décompresser et nus tous les deux sur le tapis, nous nous sommes touchés, caressés. J’ai adoré ce moment de détente, de câlins, de caresses, de baisers. J’aurais aimé jouer un peu plus avec ta queue, il me semble que tu avais l’air d’aimer le peu de contact que j’ai eu avec elle… Puis l’alarme a sonné la fin de notre jeu. Pour autant, il a continué pour mon plus grand plaisir sous la douche et j’ai vu que tu maniais le jet avec dextérité… Je n’ai pas résisté, j’ai joui sous la pression de l’eau sur mon clitoris, merci ! Ce fut vraiment très très agréable. J’ai apprécié le fait que nous nous lavions mutuellement, que nous passions tout ce temps sous la douche… Cela fait vraiment parti des plaisirs des « post-liminaires » qui font toute la différence entre une relation basique de cul et une relation de respect et d’attention. Tu es resté le même avant et après. C’est un truc que j’ai adoré. Tu as gardé ce respect de ma personne, ces attentions touchantes et pour cela, je te remercie mille fois. Tu n’as pas eu peur de m’embrasser en public, d’être tendre même une fois nos ébats terminés… tu est quelqu’un de bien et j’espère que tu nous allons continuer à cheminer ensemble quelques temps. ------------------------------------------------ Lui : « Je m’attendais à un mail plus personnel, il partait bien ensuite cela devient un comte rendu. » Elle : « IL est vrai que le passage avec les cordes est assez neutre. Mais je pense que mes sensations à ce moment précis sont mélangées : la peur de me laisser aller, de te laisser le contrôle, sans compter le fait que je n’ai pas joui et que j’avais peur que tu le prennes mal. Je me souviens des gouttes de sueur qui perlaient de ton front sur mon visage, de ton corps trempé par l’effort, de ta volonté de me faire du bien, de tes yeux centrés sur mon regard, attentif à mes signes corporels… C’est rare que l’on s’occupe de moi avec autant d’attention et de vouloir que cela m’a mis la pression. J’avais très envie de te faire honneur en t’offrant ce plaisir que tu voulais me faire atteindre de toutes tes forces. Et je n’ai pas réussi. En fait j’avais peur que tu prennes cela pour un échec alors que pour moi, le plaisir de ces instants valent mille jouissances. Le passage où tu poses le plateau sur mon dos comme si j’étais un meuble est aussi passé à la trappe. En fait, je ne m’en suis souvenue que bien plus tard. Je pense que c’est parce que c’est la chose la plus humiliante que tu m’ais fait faire cet après-midi là. J’aime que tu attendes le meilleurs de moi-même. Cela m’oblige à rester vigilante ». —————————- Lui : « J’avais remarqué le passage du café, alors que je l’avais trouvé assez fort. Peux tu essayer de le détailler un peu plus? La sueur est toujours assez présente et j’essaie de gérer les gouttes, mais pas toujours. Il n’y a pas de sentiment d’échec de ma part, car j’aime aussi beaucoup le plaisir, mais je ne voulais pas que tu regrettes de na pas avoir joui. J’essaie de sentir, de chercher à aller au bout de toi. J’aime aussi surprendre, dérouter. Peux tu me faire un récit ou ses divers sentiment sont exprimés s’ils existent et ce qu’ils ont entrainé comme ressenti. Pour moi la domination est bien s’occuper à 100% de la soumise, ce n’est pas le cas pour tout le monde? » Elle : « Le passage du café…. J’ai été très surprise lorsque tu as posé le plateau sur mon dos. D’ailleurs je n’ai pas compris tout de suite ce qu’il en était. Ce n’est que lorsque tu as pris ta tasse et que je t’ai entendu boire que j’ai su que j’étais en train de te servir de meuble. Je me suis vraiment sentie ridicule mais en même temps je savais que je ne bougerais pas d’un poil de la position humiliante dans laquelle tu m’avais mise, c’était un défi que je devais relever si je voulais te garder. Heureusement, cela n’a pas duré longtemps…:) Lorsqu’enfin tu as posé l’ensemble devant moi afin que je me serve avec les yeux bandés, j’ai trouvé que l’enjeu devenait plus sensuel. Cela m’a fait penser (je ne sais pas pourquoi) aux geishas et à l’art du thé… En fait, les actes les plus communs deviennent vite compliqués avec un bandeau et cela révèle encore le côté soumission car on devient vulnérable, dépendant de celui qui veille. Tes attouchements pendant que je buvais le café avaient plus de saveur encore et je me demandais à chaque instant si j’allais renverser et ce que tu me ferais si je renversais…C’était excitant. Ta sueur ne m’a pas dérangé. Elle m’a culpabilisé…Tu suais pour me faire plaisir et je n’étais pas capable de te donner ce que tu souhaitais. La première surprise fut lorsque tu m’as posé toi-même le casque de moto et me l’a attaché. je me suis sentie démunie et étrangement heureuse. Je me suis alors demandé si dès l’entrée de ta maison, tu allais me priver de toute liberté de mouvement afin de me faire ressentir au plus profond de moi ton absolue domination. Ce qui fut plus ou moins le cas puisque tu as guidé chacun de mes gestes par la suite. La seconde surprise fut lorsque tu t’es mis à me pincer les seins si fort dès le  début. Je ne m’attendais pas à ce que tu me fasses aussi mal d’entrée de jeu et je suis la première surprise à avoir résisté à l’envie de t’arrêter. Mais je savais, j’étais persuadée que si je tentais quoi que ce soit, la douleur suivante serait encore plus forte. Pour cette raison, j’ai apprécié que tu me félicites (je suis plutôt douillette). Le passage du café fut pour la première partie, une vraie humiliation à laquelle je ne m’attendais pas non plus et pour la seconde partie, une découverte dans la sensualité. Ce fut quelque chose de déroutant, oui…mais diablement bon ! La façon de m’attacher en tailleur était en soi humiliante (j’ai adoré !) Tu as d’ailleurs pu constater mon manque de souplesse (seconde humiliation)… Et je n’ai pas oublié la phrase que tu m’as dite au moment où tu me frappais sur les grandes lèvres : -« plus tu as mal, plus tu dois t’offrir (ou t’ouvrir, je ne sais plus) ». Cette phrase m’a marqué car je me suis rendue compte de tout le chemin que j’avais encore à parcourir…. Je suis surprise que mon anus n’ait pas fait les frais de tes recherches approfondies voire même légèrement frustrée car à plusieurs reprises tu as fait mine de t’en approcher sans aller plus loin. Mais peut-être était-ce voulu ? A vrai dire, nous n’avons pas abordé le sujet de la sodomie et des ses effets secondaires quelquefois pas agréables du tout…hum… Surprise aussi par ton obstination à vouloir me faire jouir (mais je te l’ai déjà dis). Là où d’autres hommes auraient laissé tomber en moins de dix minutes, tu a passé un temps incroyable à essayer de me faire jouir et jusqu’au bout ! Jusque sous la douche ! Tu ne te rends pas compte que c’est extrêmement rare chez un amant « vanille » et peut-être même chez un dom (je n’ai pas assez d’expérience en la matière). Surprise par ton regard qui guettait le mien. Que cherchais-tu ? Que voyais-tu ? Que voulais-tu voir ? C’était à la fois gênant et…romantique ? J’aurais aimé que tu m’empêche de fermer les yeux, que même tu m’empêches de jouir. Peut-être alors la pression serait-elle descendu et l’instinct de contradiction, m’aurait poussé à te désobéir et à prendre mon pied tout en te regardant dans les yeux…comme une vilaine fille que je suis…:) J’ai été étonnée aussi que tu me laisses te toucher le pénis car tu avais sous-entendu que tu ne m’en laisserais pas l’usage. Du coup, je ne savais pas vraiment si je devais le toucher ou non. Mais tu avais l’air d’apprécier et je regrette maintenant de ne t’avoir pas excité sous la douche avec ma bouche… Mais là  encore, le temps ne nous permettait plus guère de continuer. Le coup du jet m’a tout simplement épaté ! Sais-tu que tu es le premier homme qui m’ait fait jouir de cette façon ? J’ai trouvé ça tout simplement fabuleux ! Par contre, je ne pensais pas que ce serait aussi douloureux sur la pointe des seins… Je suis aussi très très surprise de constater à quel point la douleur me fait mouiller. Je ne me trompe pas n’est-ce pas ? tu l’as bien remarqué toi-même ? Il me semble que dès que j’étais un peu sèche, tu me pinçais les seins pour me faire mouiller. Il y a quelque fois aussi où tu provoquais la douleur en appuyant d’une certaine façon à l’intérieur de mon vagin, mais je crois que là aussi, j’aimais cela. Surprise aussi lorsque tu appuyais sur ma vessie tout en m’investissant le vagin. Ces deux attouchements réunis augmentaient le plaisir, c’était plutôt fort comme sensation. En même temps très agréable et flippant (la peur de me lâcher car j’avais une petite envie de faire pipi). Voilà, je pense que c’est assez complet ? Qu’en penses-tu ? Manque-t-il quelque chose dont tu aurais aimé que je te parle ? C’est fort possible, je pense qu’au bout d’un certain temps, mon cerveau a pu mélanger des choses, ou en oublier…  ------------------------------------------------------------------------------------------------------ Peut être une suite ------------------------------------------------------------------
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Par : le 01/11/23
L'autre ne se fit pas prier, et la projeta dans le rectangle d'un mètre sur trois tête la première. Il n'y avait que soixante centimètres d'eau, mais totalement surprise, Laura commença par boire la tasse avant de tenter de sortir sa tête de l'eau. Menottée dans le dos, ce n'était pas si facile ! Elle pédala dans l'eau jusqu'à appuyer sa tête au muret, et par des mouvements de frottement arriva à sortir son menton pour respirer. Alors de ses mains calleuses, Alfonso lui frotta le visage avec de l'eau, arrangea grossièrement ses cheveux, et la tira hors de la flotte. Tout le monde riait aux éclats devant le spectacle de la fille dans ses habits trempés, et Robeco le premier : - C'est-y pas mieux comme ça ? C'est dégeulasse une fille qui pue... Et les rires de repartir de plus belle. Mais dans l'aventure, Laura n'avait pas eu le temps de se désaltérer. Comme elle se souvenait de la leçon, c'est humblement qu'elle se tourna vers lui : - Señor Robeco, s'il vous plaît, j'ai encore soif... - Encore soif ! Vous entendez ça, les gars ? (risées...) Eh bien vas-y, ne te gêne pas. Elle fléchit les jambes pour appuyer son torse sur la margelle, et pencha la tête jusqu'à ce que ses lèvres effleurent la surface de l'eau qu'elle commença à aspirer avec délices. - Pompe bien, ma grande, parce qu'il n'y aura pas d'arrêt-buffet, dit Robeco. Surtout que pomper... il paraît que tu es experte ! (esclaffements redoublés...) Laura se releva et se tint debout au milieu d'une flaque d'eau qui commençait à s'élargir. Elle n'avait jamais été aussi humiliée de sa vie, et elle commençait à avoir froid dans ses vêtements trempés : s'ils mettaient la clim' dans la voiture, ce serait la pneumonie assurée... - Assez perdu de temps, on y va, ordonna Robeco en défaisant une menotte pour ramener ses mains devant elle et la réentraver immédiatement. - S'il vous plaît, ôtez-moi les menottes, implora Laura d'une voix plaintive. Je n'ai aucune intention de m'enfuir : je dormirai sagement à l'arrière de la voiture. Je ne demande qu'à m'entretenir au plus vite avec Juan Ortiz pour m'expliquer. - Mais tu en auras bientôt tout le loisir, répondit Robeco en allant chercher la pelle sur le toit de la 4x4. Il la prit à deux mains près de son extrémité, la leva haut dans les airs et l'abattit de toutes ses forces sur le bord de l'abreuvoir en béton : le manche cassa net près du fer. Il restait un bon mètre de manche de bois, que Robeco enfila à la saignée du coude droit de Laura, puis horizontalement derrière son dos, et enfin dans la saignée du coude gauche. Ainsi la chaîne des menottes était presque plaquée à son ventre. - Mais qu'est-ce que vous faites ? Je ne tiendrai jamais dans la voiture avec ce truc-là... Ôtez-moi ça ! - Je crois que tu n'as pas très bien compris, dit Alfonso en lui nouant le bout d'une corde d'une dizaine de mètres autour de la taille. On rentre à Ciudad Real, bien sûr, mais toi... tu rentres à pied ! - Ce n'est pas possible ! s'exclama Laura abasourdie. - Tu crois ça ? C'est bien dommage pour toi, mais les instructions du colonel Ortiz ont été très précises... - Mais il y a presque cent kilomètres ! - On s'en fout, on n'est pas pressé... Ortiz est parti pour deux jours à Cuba avec el presidente, histoire de renforcer les liens. Tu crois qu'il n'a qu'une salope comme toi à s'occuper ? D'ailleurs nous, on t'emmène juste à Mariposa, une petite trentaine de kilomètres... Là, une autre équipe s'occupera de toi. Tout en parlant, il attachait le bout libre de la corde à la boule d'amarrage du pare-choc arrière. Robeco avait déjà mis le moteur en marche. Alfonso monta côté passager et la voiture commença à avancer. Laura n'attendit pas que la corde se tende pour faire ses premiers pas : elle avait compris qu'entravée comme elle l'était, une chute serait douloureuse. - Buen viaje... hasta la vista, lancèrent les paysans. La longue randonnée de Laura commença. Ses vêtements trempés alourdissaient sa marche, sans parler des baskets alourdies par l'eau qui faisaient un bruit de tomate écrasée à chaque pas. Mais le pire était son périnée mal remis des sévices de la nuit. Si elle voulait garder l'allure, elle ne pouvait plus écarter les jambes pour soulager la douleur : elle dut adopter rapidement une démarche quasi normale, mais qui soumettaient les chairs tuméfiées à des frottements insupportables. Parfois ils croisaient de petits groupes de paysans allant aux champs, étonnés par le spectacle, auquel Alfonso lançait : - Ne vous en faites pas, c'est une salope de contre-révolutionnaire qu'on emmène en promenade... Et les paysans rigolaient. C'était des âmes simples...
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Par : le 31/10/23
Exposition Privée N°6 Seins. Je ne connais rien de plus excitant que de pouvoir commencer une séance BDSM par le travail de mes deux seins ! Bien sur après  la pose préalable d'un bandeau ou d'une cagoule ! Bien sur avant le travail de mes deux seins, il sera plus facile de poser une cage de chasteté, tant l'excitation du travail de mes seins me procure une réelle excitation bien facile à vérifier un peu plus bas ! En réalité, ce ne sont pas les pinces ou les baguettes chinoises, ou mêmes de grosses pompes d'aspiration qui font mal, qui sont douloureuses, mais plutôt lorsque Mon Maître les enlèvent : alors la circulation sanguine revient avec un forte augmentation de la sensibilité et donc de la douleur ! On peut garder assez longtemps les pinces ou les baguettes, il suffit juste de bien vérifier que les pointes ainsi serrées ne deviennent pas bleues ! Pour les pompes, un préalable évident est de fortement lubrifier toute la partie autour des seins qui vont être aspirés, voir même l'intérieur des pompes: cela facilitera et augmentera réellement l'aspiration qui peut devenir impressionnante ! Il m'est arrivé de devoir garder une bonne demi-heure de grosses pompes, ensuite il sera bien délicat de pouvoir dormir sur le ventre et cela pour plusieurs nuits consécutives ! Il est vrai qu'un bon massage après un travail des seins, un massage très sensuel peut soulager la douleur, voir même une belle aspiration buccale! Dans tous les cas, il sera important de bien les laisser au repos après un intense travail. Je ne connaissais pas cette sensualité jusqu'à ce  qu'un Maître Varois m'initie bien agréablement à s'occuper de mes deux seins !   Je Vous souhaite bien sur si tel n'était pas le cas de pouvoir trouver un Maître qui saurait Vous initier à la pratique du travail des seins! En attendant, Vous pouvez toujours Vous entrainer en célibataire avec l'avantage de bien mesurer Votre capacité  de résistance à cette douleur bien particulière ! Mes pinces préférées sont bien sur celles à serrage réglable qui peuvent être utilisées simultanément avec les baguettes chinoises pour en augmenter encore un plus leur efficacité !
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Par : le 31/10/23
C'est le chant du coq qui la tira d'un sommeil profond comme les abysses, malgré sa position incommode. Un rectangle de soleil découpé par le soupirail diffusait un peu de lumière. Tout son corps était endolori comme si elle avait été tabassée méthodiquement. Sa pommette gauche – croûtée de sperme sèché comme tout son visage - avait un peu dégonflé, mais ses poignets montraient deux traits de derme à vif. Elle glissa sa main libre entre ses cuisses pour évaluer les dégâts : les chairs avaient doublé de volume comme pour compenser leur interminable compression, et certaines zones semblaient privées de sensibilité. Sans doute certains nerfs avaient-ils été trop longtemps privés de sang. Elle aurait aimé pouvoir écarter aussi sa jambe droite, mais les menottes l'en empêchaient. Plus pour longtemps probablement, puisque bientôt elle serait ramenée à Ciudad Real, une ville civilisée, et loin de ces paysans puants : son calvaire allait prendre fin. Bien sûr, elle serait sans doute interrogée, le journal fermé ou nationalisé, et elle-même probablement assignée à résidence en attendant que les choses se tassent. A trente ans et avec son bagage, elle avait tout l'avenir devant elle. Les U.S.A. peut-être... Elle y avait des amis dans le métier, et ils avaient toujours besoin de professionnels bons connaisseurs de l'Amérique latine. Et les frontières seraient sûrement rouvertes dans peu de temps. Le bruit de la serrure la tira des ses rêveries : Robeco et Alfonso firent leur entrée, rigolards. - Alors, la pute capitaliste, on a bien dormi ? Mais que vois-je : le jambon est décroché... Ah oui, Pablo m'a raconté qu'il n'avait pas supporté de te voir sur cette petite chaise de mon invention : c'est un sensible ! T'as de la chance : moi je t'aurais laissée là jusqu'à ce que ta chatte et ton trou du cul ne fasse plus qu'un, et qu'on puisse y rentrer les deux poings... - Vous n'avez aucun droit de me traiter comme ça. Vous avez ordre ne me ramener à la capitale, et pas de me torturer. Juan Ortiz sera informé de tout cela, et croyez-moi, vous le regretterez ! La baffe de Robeco réveilla la douleur de sa joue. - Qu'est-ce tu connais des ordres, marrana ? Où tu te crois ? Dans un épisode de "Dallas" ? Je vais faire comprendre ta place, moi... Un objet brilla dans sa main, produisant un claquement sec : un couteau à cran d'arrêt ! "Ca y est : il va me tuer" s'affola Laura en reculant autant elle pouvait avec une main et un pied, vers l'angle du cellier où elle se roula en boule. Mais Robeco s'empara simplement de l'extrémité d'un tuyau d'arrosage qu'il coupa d'environ un mètre. Se ruant sur elle, il se mis à abattre des coups de tuyau partout où il pouvait. Laura criait comme une folle tandis qu'Alfonso souriait les bras croisés. Au bout d'une minute qui parut interminable à Laura, les coups cessèrent. - Alors t'as compris, puta, qui commande ici...? dit-il en lui tirant les cheveux pour voir son visage. Alors tu vas t'excuser poliment, et me demander pardon, tout de suite ! Laura ne bougea pas. - Tu ne dis rien ? Alfonso, tiens là, elle n'a encore rien pris par devant... L'homme de main s'accroupi derrière Laura, pris sa main libre pour la ramener dans son dos par un clé au bras, et cravata son cou de l'autre main. Une poussée du genou dans le dos suffit à faire saillir la poitine de Laura. - C'est bon, tu peux y aller. Robeco prit un peu de recul, calcula bien sa trajectoire, et balança horizontalement le tuyau sur les sommets des dômes. Le hurlement de Laura s'entendit jusqu'au bout du village. - Celui-là, c'était pour la mise au point. Le prochain, c'est juste pour le plaisir... Le caoutchouc flexible s'abattit presque au même endroit, provoquant un autre cri d'agonie. - Alors ? On dirait que tu aimes vraiment ça, perra... - Stop, arrêtez, je vous en supplie... - Alors tu sais ce que tu as à dire... ne me fais pas attendre trop longtemps, ou je t'éclate les mamelles, vaca ! Laura était matée. Lentement, elle prononça les mots exigés : - Pardonnez mes paroles. C'est vous qui commandez. - Vous "qui" ? insista-t-il en lui soulevant le menton pour la regarder droit les yeux. - C'est vous qui commandez, señor Robeco ... - A la bonne heure, comme ça les choses sont claires, pas vrai ? Allez, assez perdu de temps, faut y aller. Alfonso, détache son pied. L'autre s'exécuta, puis aida non sans peine la chiffe molle étendue à ses pieds à se relever. Enfin il lui referma la menotte sur le poignet droit, dans le dos. Le petit groupe remonta à la lumière et sortit sur l'esplanade, mais dès ses premiers pas, Laura avait compris qu'elle aurait du mal à marcher : les chairs tuméfiées de son entrejambe ne supportaient pas le moindre frottement, ce qu'elle tentait d'éviter en adoptant une démarche curieusement balancée, les pieds écartés de soixante centimètres. Quelques peones attirés par la rumeur, et qui faisaient le pied de grue sur la plazza déserte, s'esclaffèrent devant son allure de robot mal réglé. Détournant le regard de ces imbéciles, elle reconnut la 4x4 qu'elle avait soustraite à l'organisation humanitaire garée seule à une cinquantaine de mètres, juste après l'abreuvoir communal, probablement réparée par son dénonciateur. Le véhicule était surmonté d'une galerie avec une deuxième roue de secours, des plaques à sable et une pelle : en été, on s'ensablait facilement au San Teodoros, mais en hiver, on s'embourbait ! Ses gardiens avaient sans doute reçu l'ordre de ramener aussi la voiture. En voyant le rectangle de béton plein d'eau destinée à abreuver les animaux, Laura réalisa qu'elle était morte de soif. C'est qu'elle avait bien dû transpirer deux litres dans cette cave infâme ! Comme par une transmission de pensée, le petit édifice donna aussi une idée à Robeco: - Tu sais que tu pues le foutre, la pisse et la sueur, ma garce ? Une petite toilette te fera du bien... Et si tu veux boire, aussi, c'est le moment, parce qu'ensuite on y va. Il était vrai qu'après ces heures d'exercices forcés, Laura n'était plus de première fraîcheur, d'autant que pendant la nuit, elle n'avait eu d'autre choix – chevauchant sa niche - que d'uriner dans son pantalon. C'était sans doute pour cela aussi qu'une sensation de cuisson intense irradiait son périnée au moindre pas. Le soleil n'était qu'à mi-hauteur, mais sous ces latitudes, il la chauffait déjà fort sous le blouson en synthétique au sigle des World Doctors et son tee-shirt de coton. Même si la 4x4 était climatisée, quelques ablutions lui feraient du bien. - Vas-y Alfonso, balance-là, dit Robeco.
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Par : le 30/10/23
Bien qu'elle ne sente plus ses mains, et que ses cuisses lui semblaient gainées de plomb en fusion, son cerveau arrivait quand même à produire de brèves phases de sommeil agités de souvenirs. Son esprit divagua jusqu'au campus califormien où elle avait fait ses études de journalisme, irradiées par son premier "vrai" amant, un Français qui y était professeur de littérature comptemporaine. Dans son rêve, elle sentait ses mains sur sa poitrine, son corps, puis descendant vers le renflement de son pubis où elles se firent plus insistantes, pesantes, pinçantes, de plus en plus vulnérantes... jusqu'à ce que sortant de sa torpeur, elle réalise que son rêve venait de fusionner avec le supplice qu'elle était en train d'endurer... Et de nouveau l'épouvantable douleur de la traction pour soulager le feu irradiant de son périnée, les dents serrées, une sueur froide inondant son visage, jusqu'à la plongée suivante dans le demi sommeil. Maintenant elle est dans la salle de rédaction de la Prensa, le journal de son père, après les heures de travail dans l'immeuble désert. C'est le moment qu'elle préfère, celui où enfin seule, juste éclairée par une faible lampe d'architecte, elle trouve les mots qui feront mouche pour alerter l'opinion sur le danger imminent de totalitarisme qui menace le pays. La pénombre aide à sa concentration : au moment précis où l'expression forte qu'elle cherchait lui vient à l'esprit, une lumière intense jaillit dans la salle de rédaction. Non, ce n'est pas la salle de rédaction : c'est la cave infâme dans laquelle elle endure son calvaire depuis trop longtemps, et où elle vient d'être tirée de son assoupissement par la lumière allumée par Pablo l'homme de main. - Alors Princesse, on est bien installée ? Robeco m'a demandé de veiller un peu sur toi... - Arrêtez, pitié, sortez-moi de là, je ne vous ai rien fait, hoqueta Laura. - Pas encore, c'est vrai, répondit Pablo en pelotant sans retenue le corps offert à travers les vêtements, mais ça va venir. Je ne suis pas comme ce maricon de Robeco : j'aime les femmes, moi. Lui, sa femme, c'est Alfonso... tu te rends compte... les puercos ! Mais moi, quand j'ai un jambon comme ça pendu dans la cave, dit-il en pinçant méchamment le téton gauche de Laura, je m'en taille une tranche... - Pitié, arrêtez ça, laissez-moi me reposer... - C'est à voir. Mais ce serait assez risqué pour moi. Il me faudrait... comment dirais-je... une petite compensation. C'est normal, non ? Laura restait silencieuse et haletante. - Pas d'idée ? C'est bête, parce que vais devoir te laisser... Tu sais qu'il n'est que minuit ? A peine trois heures que tu es là... Moi, ce que j'en disais... Et il se dirigea vers la porte. Trois heures ! Seulement ? Non, ce n'était pas possible : il semblait à Laura que son périnée était en lambeaux depuis la moitié de sa vie... - Attendez, attendez, non, restez, ne me laissez pas ! - Ah ! j'aime mieux ça. Je suis sûr qu'on va pouvoir s'entendre... Pour commencer je vais te présenter un vieil ami, dit-il en défaisant sa braguette. Je suis certain que vous allez vous apprécier mutuellement. Il fit quelques pas vers un tas de vieux parpaings qui traînaient, en empila deux devant l'entrée de la niche et monta dessus : son entrejambe était juste au niveau du front de Laura dont la tête pendait en avant. Il extirpa une verge à demi érigée. - Allez, embrassez-vous, on est en famille ! Laura avait encore un peu de résistance : - Non, pas comme ça, descendez-moi d'abord de là, et je ferai ce que vous voudrez. - Ta ta ta... pas question... je connais les pouffiasses de la haute dans ton genre : elles prétendent faire une pipe, et elles font les trois quarts du boulot avec les mains ! Mais je veux voir ce que tu es capable de faire avec ta bouche seule... avec tes lèvres, ta langue, ta gorge... Je veux que tu me pompes à en avoir la sensation que tu me vides comme un poulet, c'est clair ? Laura ne bougeait pas. Lever la tête de quelques centimètres suffisait à lui envoyer des langues de feu par tout le corps. La baffe de Pablo la prit au dépourvu, et l'onde de choc fit exploser un paroxysme de douleur aux endroits les plus sensibles. - Alors salope, tu te décides ? Vaincue, Laura leva lentement la tête, et la verge de son tourmenteur balaya successivement son front, son nez, avant de s'immobiliser devant ses lèvres, qu'elle entrouvrit pour happer le prépuce fétide. Assurément, l'hygiène n'était pas une préocupation pour Pablo. Du fait de l'érection débutante, ses lèvres eurent du mal à décalotter le gland, jusqu'à découvrir le sillon cerné de smegma. Elle se retint difficilement de vomir... Puis, décidée à en finir le plus vite possible, elle prit une cadence accélérée en essayant d'oublier la douleur que chaque coup de piston réveillait dans son cou. - Oh là, pas si vite, ma grande, on a tout notre temps, dit-il en la prenant aux oreilles pour lui inculquer le lent tempo qu'il souhaitait. Laura obtempéra et commença à pomper régulièrement. Le temps passait mais Pablo semblait inusable... Il reprit. - Tu sais, j'étais tellement excité à l'idée de venir te voir... j'avais peur que ça aille trop vite. Alors je me suis masturbé avant de descendre... comme ça, on reste plus longtemps ensemble ! Tiens, regarde, c'est pas des blagues... Il sortit de sa poche un petit sac en plastic grossièrement noué, qu'il ouvrit pour en montrer le contenu gluant à Laura. - Tu vois l'effet que tu me fait : il ne m'a pas fallu deux minutes ! Tiens, c'est pour toi, dit-il en étalant la matière visqueuse sur le visage de Laura. Allez, continue... Cela n'en finissait plus. Laura était dans un état second, glacée par endroits, brûlante à d'autres, tout les muscles noués comme des cordes, la sueur dégoulinant de son visage et se mêlant au sperme de son bourreau. A un moment, le sadisme de Pablo lui inspira l'idée de reculer un peu son marchepied improvisé, pour forcer Laura à avancer la tête, et lui parler comme à un chien. - Venga, venga perrita ! Bien sûr, il savait qu'en obligeant la fille à se pencher en avant pour engouffrer son pénis, il la forçait aussi à écraser une région clitoridienne qu'elle avait jusqu'à présent réussi à épargner relativement. Mais oedématiée et gorgée de sang à cause de la compression voisine, la zone était ultra-sensible... Enfin au bout d'un temps qui sembla interminable à Laura, il gicla faiblement au fond de sa gorge. C'était fini... enfin ! Pablo descendit de ses parpaings et se rajusta. - Alors, comment tu as trouvé ? C'était bon, non ? Elle n'avait plus la force de répondre. Bon prince, l'homme défit la menotte gauche, Laura s'effondrant comme une marionnette dont on aurait coupé les fils. Il la rattrappa juste à temps pour ne pas qu'elle se blesse, et la posa au sol. Puis il referma la menotte libre sur son pied droit, et sortit de la pièce. Malgré cette position croisée peu confortable, Laura s'endormit presque instantanément.
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Par : le 29/10/23
Après le récit de la gouvernante et Laura consignée dans sa chambre, Felipe de Aranjuez-Pondragon pris le temps de la réflexion. Que faire ? Remettre officiellement Juan à la police pour viol sur mineure ? Le scandale serait énorme... Après tout, rien de bien irrémédiable ne semblait avoir été commis ; et à part Christina, il n'y avait aucun témoin. Ne valait-il pas mieux laver ce linge sale "en famille" (les Ortiz étaient employés sur l'exploitation depuis trois générations.) Felipe fit signifier aux Ortiz qu'ils leur donnait la nuit pour faire leurs paquets, et qu'à à l'aube ils devaient avoir quitté leur logement. Il fit aussi appeler ses trois plus fidèles chefs d'équipes pour leur donner des instructions plus confidentielles... Laura pris le téléphone de la main de Robeco et le porta devant son oreille du côté de sa joue valide : - Allo ? - Laura ! quelle joie de t'entendre... nous étions si inquiets de ta disparition. Pas de doute : même quinze ans plus tard, c'était bien la même voix ! - Juan... ça fait tout drôle de t'entendre après si longtemps. Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi m'a-t-on arrêtée ? Je n'y comprends rien... - Laura, ma petite Laura... ne nous prend pas pour des imbéciles. Tu ne sais pas qu'il y eu une petite révolution dans ce pays ? Que le commandant suprême m'a nommé chef du SSR, le service de sécurité de la Révolution ? Et toi, tu n'es plus la journaliste officielle de l'ancien régime, tu es une ennemie du peuple, recherchée et en fuite... - Mais pourquoi ? Juan, tu sais bien que je n'ai jamais porté la main sur personne ! Il n'y a aucune raison de m'arrêter. Juan, au nom de notre vieille amitié, laisse-moi partir... - C'est vrai que tu n'était pas la plus coupable dans cette affaire. Mais ton père ne t'as sans doute pas tout dit. Cette fameuse nuit, il m'a envoyé ses trois plus fidèles larbins avec des manches de pioches ! Il m'ont cassé le nez, l'avant bras gauche, et m'ont explosé un testicule. Je ne suis même plus sûr de pouvoir encore faire des enfants... - Oh ! Juan je suis désolée... je croyais qu'il s'était contenté de vous expulser. - Et encore, ce n'est pas le plus grave : quinze jours plus tard mon père s'est pendu de honte ! Ma mère a dû faire des ménages depuis toutes ces années pour élever mes frères et sœurs... Et moi, j'ai commencé à m'engager pour que de telles choses ne se reproduisent plus. - Juan, je ne sais pas quoi dire, c'est trop affreux ! Sincèrement je compatis, mais je ne suis pas responsable de ce désastre, ce sont les circonstances... - Et elles ont changé, coupa Juan. Tu comprendras aussi que la révolution ne peut pas se permettre de laisser dans la nature une adversaire politique aussi médiatique, surtout si elle décidait de se répandre dans la presse étrangère. Nous aurons donc le plaisir de nous revoir sous peu. Repasse-moi Robeco. - Mais Juan... - Repasse-moi Robeco, je te dis ! Effondrée et vaincue, Laura tendit l'appareil au tondu qui écouta longuement son chef, répondant quelquefois par monosyllabes, et terminant par "A vos ordres, señor colonel. Oui, je vous la repasse". Laura reprit le combiné pour écouter Juan à nouveau : - Et surtout ne t'inquiète pas, ma petite Laura, je ferai mon possible pour que les choses se passent bien. Ton père m'a beaucoup appris là-dessus ! La conversation était terminée. Laura raccrocha. Robeco la regardait avec un sourire mauvais : - Bon, c'est pas le tout, il va falloir aller se coucher parce que demain, la journée sera longue. Nous n'avons pas encore pu équiper de chambre d'ami, dit- il sur un ton moqueur, mais nous allons bien vous trouver quelque chose pour passer confortablement vos dernières heures en notre compagnie, dit-il avec un clin d'œil vers ses deux acolytes. Tout le monde descendit à la cave où un couloir déservait plusieurs portes. Les trois hommes firent leur choix sur une petite pièce très basse de plafond, encombrée de tout un bric-à-brac poussiéreux au milieu duquel ils se frayèrent un chemin. L'un des argousins sortit des menottes de sa poche et les tendit à Robeco. Celui-ci referma un anneau sur le poignet droit de Laura, puis la tira sous un tuyau d'évacuation d'eau qui traversait la pièce de part en part un peu sous le plafond. Il leva le bras emprisonné vers le tuyau pour faire passer le deuxième anneau par-dessus, tandis qu'un acolyte tirait la main gauche de Laura en l'air pour refermer la deuxième menotte autour du poignet gracile. - Vous n'allez quand même pas me laisser comme ça toute la nuit ! s'offusqua Laura qui, malgré ses bras levés, pouvait néanmoins reposer les pieds à plat sur le sol. - Bien sûr que non : vous êtes une personne importante, on va vous chercher quelque chose de beaucoup plus confortable. Il parcouru le capharnaüm du regard, et avisa dans un coin une vieille niche à chien en forme de maison mignature, d'un peu moins d'un mètre de haut. Une lueur mauvaise passa dans ses yeux. Il traîna péniblement le lourd objet vers Laura en demandant à ses hommes d'écarter les jambes de la fille. Il fallut la soulever un peu pour insérer le toit aigu de la niche dans le "V" inversé de ses cuisses, puis les hommes la lâchèrent : ses pieds ne touchaient plus le sol, et tout son poids reposait sur son pubis appuyé sur le faîte du petit bâtiment de bois ! Heureusement, ses vêtements offraient une légère protection. - Aië ! enlevez moi ça, c'est horrible... glapit Laura. - Mais c'est toi qui a demandé qu'on modifie ta position, rétorqua Robeco, goguenard. Peut-être qu'au bout d'un moment, ce sera un peu dur. Mais j'ai une idée qui te permettra de te soulager de temps en temps. Alfonso, attrape le fil de fer, là-bas. Et toi Pablo, remonte-lui bien les pieds. Les deux hommes s'exécutèrent. Avec une boucle de fil de fer, Robeco encercla la tige montante de chaque converse de Laura, avant de relier les deux boucles par une troisième passée en pont de part et d'autre du faîte de la niche. - Et voilà, si la position devient trop pénible, tire un peu sur les mains et les pieds : ça te fera du bien, et surtout repose-toi... on a de la route demain. Bonne nuit. Sur ces paroles, les trois hommes sortirent en éteignant la lumière. Commença pour Laura la pire nuit de son existence. En serrant les cuisses, elle put d'abord limiter un peu la pression sur la zone tendre. Mais au bout de quelques minutes, la calvaire de ses adducteurs devint tel qu'elle relâcha insensiblement son ciseau, augmentant la pesée de son corps sur l'arête de quatre centimètres. Douleur tolérable un temps, progressivement intense puis insupportablement vrillante. Alors pendant quelques secondes, elle trouvait le courage (au prix de quelle douleur dans ses poignets !) de tirer sur ses menottes, de contracter ses quadriceps en feu, de changer un peu son point d'appui et de serrer les cuisses le plus fort possible pour prolonger le soulagement. Terribles efforts pour gagner deux ou trois centimètres... Mais inéluctablement ses muscles finissaient par se tétaniser, perdre toute force, et relâcher tout le poids de son corps sur les chairs meurtries de son entrejambe, jusqu'à nécessiter un autre mouvement de traction, encore... et encore... et encore...
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