La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/09/23
 À travers une histoire d'amour non conventionnelle, Lena Gott nous invite à une réflexion profonde sur la structure de notre société, la dynamique des pouvoirs et la possibilité d'une émergence gynarchiquee, où les femmes détiennent le pouvoir suprême. L'histoire d'un désir Au cœur de l'intrigue, Nara, une femme énergique et déterminée dans ses convictions gynarchistes. Sa rencontre avec un homme qui aspire à être modelé et possédé par elle est le catalyseur d'un bouleversement profond dans la dynamique traditionnelle du pouvoir. Cette relation, bien que basée sur un modèle Maîtresse/esclave, est loin d'être un simple jeu de domination. Il s'agit d'une quête mutuelle de réalisation, où chacun trouve sa place idéale dans le tissu de la société. Refonte de la société En approfondissant cette relation, Lena Gott révèle une idée audacieuse (utopique ?!?) : la possibilité d'une société qui embrasse la gynarchie non pas comme une contrainte, mais comme une libération. La mise en avant de l'autorité féminine n'est pas présentée comme une inversion autoritaire du patriarcat, mais comme une évolution naturelle vers une harmonie sociale. La gynarchie devient une force qui calme les tempêtes, qui apaise et qui conduit à des interactions sociales plus douces et équilibrées. Dépasser les idées reçues La force de l'ouvrage réside dans sa capacité à remettre en question les idées reçues sur le pouvoir, la domination et la soumission. Lena Gott n'aspire pas à instaurer une dictature féminine, mais à souligner les bienfaits potentiels d'une société où les femmes ont le dernier mot. Elle pousse les lecteurs à se questionner : quels pourraient être les avantages d'une telle société ? Comment cela pourrait-il changer nos interactions quotidiennes, nos aspirations et nos rêves ? "Nara, l'apothéose de la gynarchie" est bien plus qu'une simple histoire d'amour. C'est un manifeste pour une nouvelle vision du monde, une invitation à repenser nos structures sociétales. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut): Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 12/09/23
Anne Lezdomme, auteure émérite, nous plonge dans un monde fascinant où la Gynarchie devient le point central de sa nouvelle œuvre intitulée "Le Triangle Gynarchique". Ce livre ambitieux offre une vision audacieuse de la société, de la sexualité et des relations humaines à travers le prisme de la domination féminine. C'est à la fois un essai psycho-sexuel, un pamphlet socio-politique, un guide pratique et un recueil d'expériences, qui invite le lecteur à réfléchir sur les rapports de pouvoir entre les sexes. Un essai polyvalent "Le Triangle Gynarchique" s'articule autour de multiples facettes de la Gynarchie moderne. Il commence par évoquer un nouvel art de vivre, une philosophie qui propose une alternative aux schémas traditionnels de la société patriarcale. L'auteure explore également le concept de la cellule familiale, offrant une perspective novatrice sur la façon dont les relations familiales pourraient être redéfinies dans un monde dominé par les femmes. Un guide pour les femmes Anne Lezdomme s'adresse directement aux femmes, mariées ou non, qui aspirent à se libérer du joug masculin. Elle offre des conseils et des réflexions sur la manière dont elles peuvent trouver leur propre voie dans cette nouvelle réalité gynarchique. L'ouvrage encourage les femmes à embrasser leur pouvoir et à redéfinir leur identité dans un monde où la domination féminine est le maître-mot. Exploration de la dynamique lesbienne Le livre ne se limite pas à la seule perspective hétérosexuelle. Il explore également la dynamique lesbienne dans le contexte de la Gynarchie. L'auteure examine comment les lesbiennes peuvent jouer un rôle central dans cette nouvelle organisation sociale, que ce soit en conquérant des femmes mariées ou en établissant des relations durables au sein de couples lesbiens. Cette approche inclusive fait de "Le Triangle Gynarchique" un ouvrage novateur qui considère toutes les facettes de la Gynarchie moderne. Le masochisme et la soumission masculine Anne Lezdomme va plus loin en analysant le désir masochiste des hommes de se soumettre à la femme. Selon elle, cette tendance est compatible avec l'aspiration saphique commune à toutes les femmes. Elle examine la place des hommes dans cette nouvelle organisation sociale, tout en reconnaissant que leur rôle est radicalement différent de ce que la société traditionnelle leur a assigné. Une continuation de la théorie de la gynarchie Les critiques comparent Anne Lezdomme à Aline d'Arbrant, une théoricienne de la Gynarchie bien connue. "Le Triangle Gynarchique" est le premier volet d'une trilogie, ce qui suggère une exploration approfondie de ce sujet fascinant. L'auteure semble être la digne fille spirituelle d'Aline d'Arbrant, poursuivant la réflexion et l'expérimentation sur la Gynarchie. Des analyses justes et pertinentes Les lecteurs qui ont découvert "Le Triangle Gynarchique" louent l'ouvrage pour ses analyses d'une justesse fantastique. Il semble toucher un public qui se reconnaît dans les idées de l'auteure. Certaines personnes ont même témoigné que leurs épouses étaient de plus en plus intéressées par le mode de vie gynarchique après avoir lu le livre. Cela témoigne de l'impact puissant de cette œuvre sur la réflexion individuelle et les relations personnelles. "Le Triangle Gynarchique" d'Anne Lezdomme est un livre qui bouscule les normes établies et invite le lecteur à repenser la société, la sexualité et les relations de genre. C'est un ouvrage audacieux qui offre une perspective intrigante sur la Gynarchie moderne et qui continuera probablement à susciter des débats et à inspirer des réflexions profondes sur les rôles des femmes et des hommes dans notre monde en constante évolution. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut): Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.        
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Par : le 06/09/23
Simon Purcell, auteur reconnu pour ses œuvres axé sur les principes gynarchiques, nous offre avec "Le prisonnier de Gynarchie" une histoire à la fois douce et intense, qui explore les nuances de la domination et de la soumission dans un monde où la Gynarchie règne en maître. L'histoire se déroule dans un contexte post-apocalyptique, après la chute de l'Empire Ertien. Antonius, un jeune conscrit de l'armée déchue, est capturé et placé dans un camp de prisonniers sous le contrôle des forces Gynarches. Bien que les conditions de vie soient relativement clémentes, la privation de liberté et la surveillance constante des geôlières rappellent sans cesse aux prisonniers leur statut de soumis. Les chasticapes et colliers traceurs sont des symboles puissants de cette domination, tout comme les punitions corporelles infligées en cas de désobéissance. Mais c'est la rencontre entre Antonius et Madame Alba qui donne une dimension particulière à cette histoire. Madame Alba, représentante de la Gynarchie, est chargée de "dresser" les prisonniers selon les préceptes de ce nouveau régime. Sa relation avec Antonius est complexe, mêlant domination, désir et peut-être même affection. Cette dynamique entre les deux personnages est le cœur du roman, et Purcell la manie avec une habileté remarquable. Ce qui frappe dans "Le prisonnier de Gynarchie", c'est la douceur avec laquelle Simon Purcell traite le sujet de la domination. Contrairement à ses œuvres précédentes, souvent plus plus crues, ici l'auteur opte pour une approche plus romantique, sans pour autant sacrifier l'intensité et la complexité de l'intrigue. Simon Purcell a le don de jouer avec les mots, de les dominer pour mieux les mettre au service de son récit. Sa plume est à la fois élégante et puissante, et il parvient à nous immerger totalement dans son univers. Que l'on soit familier ou non avec le concept de Gynarchie, ce roman saura captiver le lecteur de la première à la dernière page. "Le prisonnier de Gynarchie" est une œuvre à la fois délicate et profonde, qui explore avec finesse les thèmes de la domination et de la soumission. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut): Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 29/08/23
La gynarchie et la domination féminine La gynarchie, du grec "gyné" signifiant femme et "archie" signifiant règne, est un système social, politique ou familial où les femmes détiennent le pouvoir principal. Dans le contexte du couple, cela se traduit par une domination féminine, où la femme prend des décisions majeures et guide la dynamique relationnelle. Cette domination peut s'exprimer de différentes manières, allant de la gestion des finances à la prise de décision en matière de sexualité. La cage de chasteté : un outil de transformation Le livre de Sylvia Labiche introduit la cage de chasteté comme un instrument symbolique et physique de la domination féminine. En détenant la clé de cette cage, la femme assume un rôle d'autorité, contrôlant la sexualité de son partenaire. Mais l'impact de cet accessoire va bien au-delà de la simple restriction physique. Il s'agit d'une méthode pour remodeler la psyché masculine, renforçant l'attachement et la dévotion de l'homme envers sa compagne. Les bénéfices de la chasteté masculine contrôlée (CMC) Selon Sylvie Labiche, la CMC offre plusieurs avantages tangibles pour le couple : Renforcement de l'attachement : L'homme devient plus amoureux, dévoué et attentif à sa partenaire. Élimination des comportements indésirables : Les traits machistes et les sentiments de jalousie sont réduits, voire éliminés. Revitalisation de la passion : La dynamique du couple est ravivée, rappelant les premiers jours de leur relation. L'empowerment féminin à travers la Gynarchie La Gynarchie conjugale, telle que décrite par Sylvia Labiche, n'est pas seulement une pratique pour le plaisir ou la curiosité. Elle est présentée comme un moyen pour les femmes de reprendre le pouvoir, d'affirmer leur autorité et de gagner en confiance. En contrôlant la sexualité de leur partenaire, elles peuvent également guider d'autres aspects de la relation, créant un équilibre qui leur est favorable. Contenu du guide Le livre de Sylvia Labiche est un guide complet pour ceux qui souhaitent explorer la CMC et la Gynarchie conjugale. Il est enrichi d'illustrations, de conseils pratiques, d'exercices à réaliser en couple et de témoignages de personnes ayant adopté cette pratique. Ces éléments permettent aux lecteurs de comprendre les nuances de la CMC et de la mettre en œuvre de manière éclairée.   "Guide pratique de la chasteté masculine contrôlée et de la Gynarchie conjugale" est plus qu'un simple manuel sur un accessoire érotique. Il s'agit d'une exploration profonde de la dynamique du pouvoir dans les relations, offrant aux femmes un moyen d'affirmer leur autorité tout en renforçant l'attachement et la dévotion de leur partenaire. Pour ceux qui sont curieux ou qui cherchent à revitaliser leur relation, ce guide de Sylvia Labiche pourrait bien être la clé.   A acheter chez votre libraire (de préférence) ou à acheter en ligne (à défaut)   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 27/07/23
Enfin ! Mademoiselle Akira vient de reperer bigjhon, le policier privé qui l'a dépucelée, lors d'un controle appuyé. Il est au café, à l'étage, dans ce gigantesque aeroport. Le vol pour Miami est pour dans une heure. elle fait sagement la queue, en avance comme toujours, cuisse serrées et toujours aussi stricte et conformiste dans ses tenues. Pourtant elle bout à l'intérieur. Bigjhon lui a procuré son premier orgasme et depuis il feint l'ignorer! Elle quite la queue et monte vers le café. Bigjhon est tout rouge. Elle se plante devant lui et ne dit rien. Bigjhon ne peut soutenir son regard franc, droit dans ses yeux à lui. Il baisse la tête.  Aussitôt mademoiselle Akira se sent prise d'une audace qu'elle ne soupçonnait pas. -Alors bigjhon, on offre pas un café à sa femme.  Big jhon est encore plus rouge. Il suffoque. Pourtant il se lève et va chercher un café. Akira s'assoit, déplie les jambes et écarte les cuisses. Elle sent toute la supériorité de son petit clito sur le gros sexe de bigjhon qu'elle n'a encore jamais vu. ce dernier s'assoit et n'ose plus la regarder.  -Tu sais, il va falloir que tu m'épouses maintenant. Tu n'as pas le choix. Tu m'a dépucellée la première fois avec ton gant en latex et ensuite tu m'as fait jouir.  -Excusez moi madame, je n'ai fait que mon travail la première fois. Ensuite oui, je l'avoue, j'ai eu besoin de vous toucher, de vous caresser. -c'est normal, je suis ta femme.  Bigjhon ne comprend rien à ce qui lui arrive pourtant il sent qu'Akira a raison; il est complètement fou d'elle et en gros manque. Moche comme il est, qu'une femme aussi jolie puisse s'interresser à lui,. il croit rêver!  Trois mois plus tard, ils sont enfin mariés et bigjhon est venu habiter chez sa femme avec ses chats. Ils font sans arret l'amour. Bien sur bigjhon est trop massif et donc c'est Akira qui le monte et il adore cela, lui laisser le contrôle de l'acte, le controle de sa jouissance.  Et puis Akira a sorti des cordes japonaises et a voulu le ligotter. Au début il croyait que c'etait une lubie, un jeu. Pas du tout. les seances ont duré de plus en plus longtemps et il ne pouvait absolument plus bouger. Il a commencé à obeir totalement à son épouse experte en cordes et noeuds.  Le bonheur total est arrivé lorsqu'elle a sorti les fines canes de bambou. des douleurs incroyables sur ses grosses fesses et son dos. Et puis le plaisir de souffrir. recevoir la cane le fait toujours bander très fort.  Un jour, Maitresse Akira, c'est ainsi qu'il doit l'appeler désormais,  lui a apporté son collier et son pannier de gros chien.. Il a du filer tout droit dans son pannier, tout nu, fier d'obeir en tout et pour tout. Un bon labrador docile et très heureux de porter son collier avec un gros anneau acier. Maitresse Akira l'a tatoué de son nom, comme un bon animal de compagnie. De cela aussi il est très heureux. désormais elle l'appele Bibi, vous savez, comme Benjamin, le premier ministre israelien.  -Tu sais Bibi, tu n'as pas interet à regarder les autres femelles, sans quoi je te ferais castrer. Après tout, tu sais très bien me faire jouir avec des gants de latex.  Bibi a baissé la tête. Tout rouge de bonheur.    
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Par : le 29/03/23
C'est l'époque où  écharpes et bonnet  sont entre l'utile et le pratique...   L'époque où la cave devient complice de Mes envies.   C'est le tant qui déborde de désir et le enfin qui déshabille Ma soumise...    C'est le temps qui ralentit pour que profite l' instant .   C'est son cou qui se tend pour atteindre mes lèvres tandis que l'écharpe fermement  la maintient contre le mur rugueux ..      C'est son souffle que Je neutralise à en faire vibrer les sens.   Le chaud froid d'une cave qui gémit en silence quand de l'autre côté du mur résonnent les bruits des gens qui passent.   C'est  le plaisir qui coule entre ses jambes à moitié dénudées.   C'est le goût de ses seins sur ma langue, de ses tétons mordillés.   C'est le temps que Je prends  à me nourrir de son corps;    L'époque d'un désir tant attendu, d'un manque inavouable de sa chair entre mes mains.   C'est la chaleur d'un désir ardent de glisser mes griffes sur sa peau, de la marquer de mes dents...   Humm! C'est un tout! Un tant ! Un encore au présent.Un moment où elle est l'outil de tous mes désirs...     C'est le chaud froid d'une cave.   Des moments  uniques et torides entre elle et Moi...
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Par : le 17/10/22
Cette semaine a été assez stressante pour toi, mon Monsieur. Je savais que quand ça irait mieux tu auras besoin que je m'occupe de toi. Et je me suis pas trompés. Un matin, après s'être réveiller. Nous nous sommes fait un câlin. D'humeur joueuse je commence à te provoquer. Je te maintien les bras, te pince. Tu riposte et me dit que c'est toi qui domine. On continue alors se jeux. Et petit à petit tu te laisse faire. Et tu me laisse jouer avec toi. Alors je commence à te mordre et à te griffer. Tu gémit sous mon joug. J'ai bien envie de te frustrer. Je viens te bander les yeux. Et tu a bien sûr interdictions de me toucher. Je caresses ton corps en évitant soigneusement ton sexe. Je le frôle. J'approche ma bouche pour que tu puisses sentir mon souffle sur ton sexe. Du pré sperme coule le long de ton sexe ce qui montre ton excitation. Je positionnement mon doigt juste au dessus de ton pénis. Tu essaye comme tu peux d'atteindre mon doigt que j'éloigne un peu plus à chaque fois. Après t'avoir bien frustré. J'ai bien envie de te torturé physiquement. D'une main je caresses ton corps et de l'autre j'assène des petits coups à tes couilles. Je vais crescendo et tes cris aussi. Quand je sens que je vais juste à la limite j'arrête pour venir caresser et apaisé ta douleur. Une fois redescendue je sert fort tes couilles . Puis je recommence les coups. De temps en temps mon autre main vient t'étrangler pour te faire taire. Tu essaye de crier mais tu ne peux même pas respirer. Que je te vois partir alors je m'arrête pour venir te caresser et t'apaiser. Je décide ensuite de jouer avec mes pieds. Alors je me lève sur le lit. Je m'appuis contre le mur puis vient caresser ton corps avec mes pieds. Ta respiration se fait haletante. Tu attends avec impatience ce que je vais faire. Je lève mon pied pour ensuite le positionner au niveau de ton cou. J'appuie juste légèrement pour te montrer ma position supérieur. Ensuite je retire mon pied et je m'élance pour te mettre un coup dans les couilles. Tu émets un cris de surprise et de douleur. Puis je t'assène plein de petits coups rapides. Ta respiration se fait de plus en plus rapide. L'envie monte de plus en plus en toi. Puis soudain j'arrête. Pour venir caresser tes couilles. Je sens que tu n'attends qu'une chose c'est que je joue avec toi Je t'observe avec envie. J'ai envie de te manger. Tu es totalement détendu. Tu as entièrement confiance en moi. Je viens effleuré son corps. Je pars de ta joue pour aller à son sexe. Tu me supplie de te faire du bien. Tu l'a mériter alors je viens doucement caresser son sexe. Tu souffle de plaisir. Puis j'empoigne fermement ton sexe pour ensuite faire des aller retour. J'augmente le rythme et quand je sens que tu monte j'arrête. Tu geins et me supplie de continuer. Mais moi j'ai pas finie de jouer. J'enduis mon doigt de lubrifiant. Et je viens jouer avec tes fesses. Tu me dit que tu ne souhaite pas être pénétrer mais que je peux jouer avec ton œillets. Alors je viens doucement le caresser tout en caressant ton sexe. Je te dit "tu es tellement excité que ton cul est ouvert comme une salope". Tu rougis de honte. Je viens te claquer les cuisses puis caresser tes couilles. Pour ensuite te branler. Je fait monter ton plaisir pour à nouveau arrêter. Je retire ma main de tes fesses et je prend ta main pour te montrer mon désir pour toi. Je mouille tellement que ma culotte est trempé. Je retire ma culotte. Puis j'utilise ta main comme d'un sex-toy. Je me branle avec tes doigts. Je joue avec eux jusqu'à avoir un orgasme sur ceux-ci. Alors je retire ta main. Tu me soupir que tu veux me prendre. Mais tu ne l'as pas encore mériter. Je monte sur toi pour frotter mon sexe contre le tien. Je commence à être moi aussi bien frustré de ne pas me faire baisser. Je rentre ton sexe juste à l'entrée. Tu continue de me supplier de te laisser faire. Alors je te retire ton bandeau et je viens à ton oreille lui chuchote "Je te laisse faire" tout en pénétrant sa bite a l'intérieur de moi. Tu soupir de plaisir et tu te laisse faire. Je te dit " bha alors on a plus envie de me prendre ?" C'est alors que tu pose tes mains sur mon bassin pour imposer ton rythme. J'essaye de te reprendre le contrôle en te prenant les mains. C'est alors que tu me dit " trop tard. C'est à moi de jouer." Tu te retire. Me retourne et me prend a 4 patte. Pour ensuite jouir en moi. Nous nous écroulons tous les deux sur le lit heureux
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Par : le 06/09/22
Nous sommes en route pour rentrer à la maison. Nous sommes sorti pour voir des amis. Je suis habillée de ma robe rouge et de mon colier d'appartenance noir. Sur le chemin, il y a un homme qui fait du stop. Il va en direction de notre maison. Nous arrêtons sur le bord de la route pour lui proposer de monter. -On peut vous enmener non loin d'où vous voulez aller. Dis-je après avoir ouvert ma fenêtre. Il me regarde et s'attarde sur mon colier. Il hésite puis me dit -Avec plaisir Il monte derrière. -Merci de vous être arrêté, dit notre passager, je m'appelle Alex et vous? - Moi je m'appelle Jessica et le monsieur d'à côté s'appelle Nicolas. Tu fais quoi dans la vie? - Je suis ingénieur dans une grande boîte, me répondit Alex Au cours de la discussion Alex nous confie que son travail lui met beaucoup de pression. Et qu'en ce moment il fait du stop pour voyager et rencontrer de nouvelles personnes. Au fil de la discussion Alex nous pose cette question. -J'ai vue ton collier et je me demandais s'il avait une signification particulière. A ses mots je rougis -Vas y je t'en pris répond lui, dit mon Maître sans lâcher la route des yeux. -Il a un sens pour nous oui, c'est un colier d'appartenance. lui répondis- je timidement. Je prend la main de mon Maitre. Et je complète en disant. - Il signifie que j'appartiens à mon Maître. -Tu es alors soumise comme moi, dit Alex avec un grand sourire. Je suis surprise de sa réponse mais je lui réponds avec un sourire sadique. - Pas exactement je suis plutôt Switch Nous continuons alors la discussion sur le sujet. Le feeling passe bien avec lui. - J'aimerais bien le soumettre, dis-je à voix basse à mon Maître Mon Maître dit alors à Alex -Souhaite tu passer à la maison boire un coup? -Allez pourquoi pas, répondit Alex après avoir hésité. Nous arrivons à la maison. Nous le faisons rentrer -Souhaite tu qu'on te montre la maison, lui dit-je. Nous lui montrons le salon, la salle de bain et enfin notre chambre qui nous sert de donjon. Au mur est accroché une cravache, un paddle, un martinet et plein d'autre instruments de torture. Dans la pièce sont disposés divers sextoys. Ça va du lapin au wand. Il y a aussi des plugs qui sont avec une queue ou un bijoux et qui sont de diverses taille. Il a l'air émerveillé en voyant nos jouets. Il regarde ensuite la cage qui se trouve au pied du lit. -on l'utilise pour garder nos prisonniers captif On voit ces yeux briller avec envie Maître et moi on se regarde avec complicité. On se dit qu'on a trouvé notre nouveau jouet. On a déjà discuté avec Maître de mon envie d'avoir un homme sous mon jout Je me dis que c'est peut être l'occasion. Nous lui proposons à boire sans alcool car nous voulons qu'il soit lucide pour accepter ou non notre proposition. Nous discutons un peu puis une fois que l'atmosphère est détendue mon Maître lui dit. - Ma soumise a une question à te poser Alors je me lance et lui demande - Accepterais-tu de faire une séance avec nous. C'est moi qui te dominerait sous l'obéissance de Maître Il nous regarde en hésitant. Maître prend la parole - On t'a vu regarder la cage avec envie tout a l'heure. A ces mots, il baisse la tête de honte et acquiesce. - Il faut que tu le verbalises. répondis Maître - J'accepte de faire un séance avec vous. Répondis Alex. - Très bien. Nous allons alors discuter de tes envies et de tes limites. Maître et lui discute. J'écoute avec attention mais aussi avec envie. Après cette grande discussion Maître nous demande à Alex et à moi de nous déshabiller et de nous mettre à genoux. Lui hésite, moi j'obéis immédiatement. Maître lui redonne l'ordre de façon plus ferme. Alors il me regarde et il me voit à genoux nue alors Alex fait de même. Je le trouve beau et encore plus beau à genoux. J'ai hâte que mon Maître m'autorise à le torturer - Je reviens ne bougez pas. Dit Maître avant de.partir dans la chambre. Il n'est plus dans mon champs de vision. Alors j'écoute chaque bruit. J'imagine ce que je vais lui faire. Ma respiration s'accélère d'excitation Soudain j'entend un claquement ce qui me fait sortir de ma torpeur. Maître a apporté une ceinture. Mon jouet favori. Et il le sait au vue de tous nos jeux Il demande à notre invité de se mettre à 4 pattes. Il obéit. -Lève toi ma sluty. Je te donne cette ceinture. Et je t'offre cet homme en jouets. Fais en ce que tu veux. Je prend la ceinture. J'ai mon grand sourire sadique. J'ai hâte de l'entendre crier de plaisir et de douleur mélangé. Je ne vois pas son visage mais j'imagine bien sa crainte. Je tend la ceinture, la première claque tombe sur ses fesses. Il crie de surprise. Puis ensuite de nouveau coup tombe. Pour ne pas l'épuiser, j'alterne entre coups et caresses. Il crie de douleur à chaque coup mais soupire de soulagement à chaque carresses. Sa respiration se fait plus allaitante. Ses fesses se tendent à chaque coups. Il crit de douleur mais en demande encore et encore. Je prend mon pied à le torturé ainsi Ses fesses rougissent sous mes coups. Quand Monsieur trouve cela satisfaisant, il me demande de lui donner la ceinture. Je la lui rend. N/notre soumis reprend alors sa respiration. Monsieur me dit -Je t'en pris continue à jouer avec ton jouet. Et il me confie, j'aime te voir prendre autant de plaisir - Merci, Monsieur. Je t'en suis reconnaissante. Je me dirige alors vers sa tête. Je lui présente mes pieds et lui demande de les embrasser. Je fais cela en connaissant son fétichisme de pied. Mon jouet se baisse puis embrasse mes pieds. Je prends plaisir à l'humilier ainsi. - C'est bien ma chienne. Le felicitais-je en retournant derrière lui. Je lui carresse les couilles gentillement. Puis, je lui assène un coup dans le couilles. Il crit et se tord de douleur. D'un ton sec je lui dit -replace toi bien Il se remet alors vite en place malgré la douleur - bon garçon, lui dit-je en lui caressant son dos. Je lui carresses les couilles avec mon pied pour ensuite lui asséné un nouveau coup. Il crit mais ne bouge pas cette fois. Je lui carresses le dos pour le récompenser. Je constate qu'il bande. - Maitre regarde il bande, la salope aime ce que je lui ai fait. Rigolais-je avec Maître - ahah je vois ça, répondit Maître. A nos mot il baisse la tête et rougis. - Monsieur, tu pense que je peux le faire jouir ainsi? - Demandons à N/notre salope. Tu penses que tu peux? Dit il a notre soumis. -Je, je ne sais pas, bégaie t-il Je lui donne une fessée et tous de suite son sexe réagie. Sa respiration c'est accélérer. - Et maintenant tu sais ? Lui Répète Maître. - Oui, je pense pouvoir, répondit-il timidement. - Allonge- toi sur le dos. Il suit les ordre de Maître sans broncher. Le voilà allongé sur le dos avec son sexe lever. Je lui écarte les jambes pour avoir accès à ses couilles. Je commence à griffer son corps. Il se tord sous mes griffures. Sa respiration est rapide et forte. Je lui bloque ensuite sa respiration en mettant la main sur son nez et sa bouche. Avec mon pied je viens lui taper les couilles. Son sexe réagie à chaque coup. J'aime le voir souffrir mais surtout que cela lui plaît. Je sens ma mouille couler de plaisir le long de ma jambe. Mes coups s'accélèrent, je lui laisse de moins de temps pour respirer. Je le sens monter en pression. Et là sans prévenir, je le griffe. Alors il n'arrive pas à ce retenir et éjacule sur son ventre. Il tombe ensuite de fatigue. Je viens placer sa tête sur mes jambes et je lui carresse la tête et le corps. Je carresses ses blessures. Il est totalement détendu. Nous attendons qu'il redescende. Une fois qu'il est descendu, Maître nous demande de nous mettre à genoux devant lui. Je lui obéit. Il nous met une laisse. Il nous fait marcher à 4 pattes jusqu'à la chambre. - Met toi sur le tapis, met toi à genoux et n'en bouge pas, dit il à notre soumis. Docilement il va s'installer. - Tu va me voir baiser ta Maîtresse du soir. Je veux que que tu comprenne ta place se soir, lui dit Maître Il me fait monter sur le lit. Il me met à 4 pattes de façon à ce que notre soumis ne loupe pas une miette. On peut voir ma mouille couler le long de ma jambe. Maître touche à peine mon sexe que je bouge dans ton les sens. Mon sexe est comme électrifier. Les préliminaires sont inutiles. Alors il me plaque la tête contre le matelas. - A toi aussi je vais te montrer ta place, dit Maître avec une voix féroce. Il me fesse puis sans prévenir il entre sont sexe en moi. Je cris de supprise et de plaisir Il me baise avec force. Il me bloque, je suis incapable de bouger. Je crie mon plaisir. Être ainsi à sa merci m'excite tellement. - Ma belle se soir tu n'as pas le droit de jouir. Tu as déjà eu ton plaisir. Je vais juste me faire plaisir en t'utilisant, me grogne mon Maître Il se retire. Et sans prévenir il pénètre mon anus. Je cri de douleur et de surprise à son entrée. Il me possède totalement. Soudain je le sens se contracter et il jouit en moi. Nous nous écronlons tous les deux de plaisir. Notre soumis n'a rien loupé de la scène. Il bande à nouveau. Je suis contente de l'effet qu'on lui produits. Maître le regarde et dit. - Ce soir tu vas dormir sur le tapis au sol. Demain nous discuterons de ce qui c'est passé. Lui dit mon Maître. Nous ne sommes tous endormie dans un bonheur certain. Le lendemain nous prime le petit déjeuner ensemble. Il nous dit avous avoir pris son pied . Et qu'il n'avait jamais connu autant de plaisir. Il nous en remercie. Et nous dis qu'il souhaite renouveler l'expérience et qu'il aimerait dans le future devenir notre soumis. Nous lui répondit, qu'on a nous aussi beaucoup aimer nos jeux et que nous aimerions aussi qu'il devienne notre soumis. Nous le ramenons chez lui avec le sourire aux oreilles. Une fois déposée, on se dit à très vite.
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Par : le 02/09/22
Abus des sens. Envie d’abuser … Tumulte de mes pulsions… plus envie de gérer… Mettre en place cette envie de dominer… Attendre… Vivre l’instant présent… Jouir du mal absolu… Peut-être un peu trop bu… ----------------------------------------------------------------------------------------- Un vent d'amour s'est levé ... L'orage s'éclate! La tempête vit. La nuit est belle... ----------------------------------------------------------------------------------------- Petite nuit une fois l’heureux orage passé. La tête dans un bien être, Je vaque à mes occupations, c’est la rentrée… Peu d’occasions de me poser aujourd'hui, mais qu’importe, les lendemains de mes tumultueuses pulsions sont , pour Moi, source de légèreté d’esprit. Je repense à là où la foudre est tombée avec intensité… Instant violent et ardent… En tout point jouissif… Aboutissement d’une belle journée… C’est la rentrée… Heureuse d’être et d’avoir, Je veux jouir avec fracas… Jouir à travers l’un des Miens… Prendre ce qui m’appartient et l’emmener sans mégarde au cœur d’un somptueux orage… Là où mon amour fait rage. Oui ça gronde, il fait sombre et rude … Les impacts foudroyants déchaînent mes sens… Juste le temps d’enfiler ma tenue de pluie et d'accrocher mes bas… Ô fabuleux orage! Que J’aime tout emporter sur mon passage. Bien amarrer Mon tendre soumis et l’introduire sous ce temps qui claque. Le faire hurler en ordonnant le silence. Lui faire goûter à ma rage d’aimer et prendre tout ce qu’il a à me donner. Perdu au milieu d’un monde nouveau , là, à sa place, dans Mon Antre, découvrant la force d’une tempête d'amour aux milles éclats… Oui, ce n’est que de l’amour. Un tumultueux et ô combien diabolique amour… Marquant à souhait, corps et âme. Aux frontières d'insupportables douleurs , Je prends mon dû de jouissance... Je puise à outrance... J'abuse en toute conscience à grands Coups de tonnerre et éclairs... Jusqu'à ce que le vent s'apaise... Que l'amour tournoyant retrouve sa sérénité... Une pluie dorée calme les dernières bourrasques... Les griffes se rétractent... Je desserre les liens de ma pute et laisse éclater ses sanglots en pluie fine...
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Par : le 20/04/22
Bonjour Voici le chapitre 8 de mon histoire. J'attends vos retours avec impatience ! —————————————————————————————— Nous sommes 3 semaines après cette folle expérience. Je me réveille avec l'envie de reprendre une séance. La menace de Maitresse Lucy est toujours présente mais je ne peux résister à l'idée d'y retourner. Je me connecte de nouveau sur le site et réserve une nouvelle séance. Apres m'avoir authentifié, je remarque que je ne peux prendre qu'une séance de 1jour/1nuit. Je me demande pourquoi la séance est aussi longue. Une demande importante sans doute. Le jour venu, je me rend au château, comme la première fois. A l'entrée, Maitresse Sylvie ne me jete qu'un rapide coup d'oeil avant d'ajouter : -"Tu connais le processus. A poil, en cage, Maintenant". Bonne ambiance. Sagement, je m'exécute et me déshabille complètement, enfile ma cage de chasteté et me met à genoux en attendant Maitresse Sylvie. - "Tu as été une vraie pute la dernière fois. Tu as as désobéi à une maitresse volontairement. Il va falloir qu'on règle ça." Je veux répondre que je n'avais pas fait exprès et que j'étais prêt à obéir mais je me retint. Pas la peine de provoquer Maitresse Sylvie. Elle me passe un collier au cou, y accroche une laisse et ajoute : - " Maintenant, tu n'es plus qu'un puceau soumis, une petite pute a dresser, un chien de merde à éduquer. A 4 pattes !" J'obéit immédiatement. Elle me met un baillon en forme d'os dans la bouche et me tire dans le même couloir que la première fois mais s'arrête avant la cellule collective. Je comprend où je vais aller. La fameuse pièce "Animaux de compagnie". Maitresse Sylvie ouvre la porte. La pièce est noire. Elle me tire à l'interieur et allume la lumière. A suivre...
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Par : le 16/03/22
Cette jouissance par les pieds, Je l'obtiens  quand Je te sens  si appliqué à la faire monter... Cette progression dans ta cavité buccale si chaude et humide, me procure des sensations  qui remontent le long de ma jambe ... Tes lèvres  suçotant  mes orteils un à un  avant  de s'ouvrir pour laisser ta bouche aspirer mon pied... Je le sens te prendre... Te remplir... Je ressens ton dépassement, ta dévotion, ton envie de tout me donner jusqu'au fin fond de toi...   Mon pied devient ainsi Mon membre phallique qui te baise, t'écarte, et te prend avec un plaisir ardent. Entre douceur des gestes précis et mesurés et sadisme de t'en faire avoir des hauts le cœur... Sensualité de ma jambe suspendue au-dessus et tes mains qui la guident en  ton intérieur ... Bestialité d' une émotion qui me fait m' agripper avec force et volupté à la rambarde de l' escalier... De mon pied dans ta bouche, mes lèvres s'engorgent à en doubler de volume... Tu le vois , le ressens, tu l' entends même dans mes râles ... Alors tu t'ouvres encore plus grand. Je plonge encore plus loin... La salive de ta bouche sur ma peau... Le fond de ta gorge sur mes doigts... L'intensité de cet instant précis est comme une vague de tsunami qui remonte ma jambe, défiant toute logique, à une vitesse qui m' en coupe le souffle et vient  se fracasser sur mon entre jambe. J'en jouis d'un orgasme presque douloureux tant mon sexe est gonflé...   Je te libère alors de mon emprise, me décroche de la rampe que Je tenais si fort pour ne pas que la vague m' emporte et Je descends te rejoindre pour soulager mes lèvres...  Je me sers encore un peu de ta bouche , encore un peu de ton corps... Juste le temps de m'en  faire jouir encore... 
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Par : le 25/01/22
Elle m'a détaché rapidement et m'a appuyé sur la tête pour me forcer à lécher mon foutre sur ses chaussures. Sans réfléchir, je me suis allongé et commencé à lécher mon propre sperme. - "Nettoie bien, il faut que ça brille, petite salope" Je m'appliquais du mieux que je pouvais. - "Maintenant, dégage, je ne veux plus te voir ! " Tête baissée, je me suis dirigé vers un coin de la pièce. -" Je ne t'ai pas dit d'aller au coin, espèce de puceau de merde. Je t'ai dit de dégager ! Dehors ! Reprend tes affaires et dégage ! Et si je te revois, je te promets que tu vas le regretter". Ouch, je ne m'attendais pas à ça. Tout penaud, je me suis levé et me suis dirigé vers la porte. De l'autre côté, Maitresse Sylvie semblait m'attendre. Comment pouvait-elle savoir ? Sans un mot, elle m'a ramené au casier où j'avais laisser les affaires. Je tentais de ma rhabiller mais Maitresse Sylvie me pressait et me frappait de son fouet pour que je me dépêche. Elle m'a poussé dehors et a claqué la porte derrière moi. J'étais donc en caleçon, dans la nuit, à 2h de chez moi. Je terminais de m'habiller à la hâte et rentrais chez moi en repassant dans mon esprit cette étrange soirée. De nombreux sentiments se mélangeaient dans ma tête. D'abord la joie d'avoir réussi à dépasser mes craintes, la satisfaction des punitions que j'ai reçu mais aussi l'incompréhension face à la réaction de Maitresse Lucy et la crainte de représailles comme l'interdiction definitive de revenir. Car mine de rien, j'avais beaucoup apprécié cette soirée même si les marques que j'avais reçu me faisaient encore mal. Je suis arrivé vers 2h du matin chez moi. Sitôt arrivé, je me suis effondré sur mon lit et me suis endormi assez vite tout en repensant à cette nouvelle expérience... Fin de la partie 1 --------------------‐---------------------------------------------------------------- Ce chapitre est le dernier de la partie 1. J'attends impatiament vos retours et commentaires sur cette partie. Voulez vous la partie 2 ? Qu'aimeriez vous y lire ? Des idées à me proposer ?
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Par : le 28/12/20
Retour du travail Dimanche 14 septembre 2014, 3h du matin. Je rentre après une longue journée de travail, commencée le samedi à midi. A travers la porte de l'appartement, j'entend encore des voix : Maîtresse n'est pas seule. Sa meilleure amie, M., est venu souper et passer une soirée entre filles. Un bon repas, quelques verres de blanc, papotage, ragots. Rien de bien inhabituel dans mon esprit légèrement embrumé, après mes 14h de boulot. Je franchis la porte : « Coucou chérie. » Je L'embrasse sur la bouche. Quand du monde est présent chez N/nous, je n'ai pas l'obligation de mettre mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles une fois entré dans l'appartement, de me mettre nu, puis de venir à quatre pattes devant Elle et Lui embrasser les pieds ; rituel obligatoire si Elle se trouve seule, ou si je rentre avant Elle, pour que Son chien soit prêt à L'accueillir. « Ca va bien, et toi ? Ca a été ? » « Oui oui, très bien. Salut M., tu vas bien ? » Trois bises, salutations classiques de deux amis qui se retrouvent. Je ne savais pas encore à ce moment là ce qui m'attendais plus tard dans la soirée. Je file dans la chambre me changer, enfiler quelque chose de plus confortable. Détour par la salle de bain. J'en sors au bout de 10 minutes, me sert un verre, et trinque avec les demoiselles. « Je vais sur le balcon fumer une cigarette ; je reviens. » « Prend ton temps, chéri », dit-Elle, avec Son sourire en coin, qui n'avait pas pour moi, à cet instant précis, de signification spécifique. Je n'imaginais pas encore ce qu'Elle avait prévu pour moi. Je prend mon temps à fumer ma clope, tout en voyageant dans mes pensées, par cette douce nuit de fin d'été. Un message sur WhatsApp : « Tu ne rentres pas avant que je ne t'en donne la permission. » « Bien, Maîtresse. » Du coup, je me rallume une deuxième cigarette. Mon téléphone en main, je vais faire un tour sur les réseaux sociaux, « like » quelques publications, vagabonde de pages en profils. Dix minutes passent. Nouveau message : « Rentre, tout de suite. » Je franchis la porte-fenêtre, et rentre dans le salon. Je fais quelques pas, commence à me diriger vers le canapé où sont assises les filles, quand Maîtresse se tourne vers moi avec Son regard strict, Ces yeux que je connais par coeur, ceux qui ne laissent aucune place au doute, et me dit d'une voix ferme : « A poil, maintenant ! » Le tournant inattendu Je reste figé. M., Sa meilleure amie, est bien là, assise sur le canapé, je ne suis pas fou ? Est-ce que mon esprit me joue des tours ? M. n'est en réalité pas là ? Ou j'ai mal entendu ce que Maîtresse m'a dis ? « Tu attends quoi ? A poil, j'ai dis ! » Apparement j'ai bien entendu. Je me décompose lentement. Il se passe une ou deux secondes, qui me semblent être une éternité, pendant lesquelles je me pose mille questions. Je n'ai pas le temps de répondre à la moindre de ces questions que je vois Maîtresse se lever, tandis que je La regarde toujours béatement, et se diriger vers moi. Elle me colle une gifle plus humiliante que douloureuse, sous le regard et le petit sourire amusé de M., que je perçois du coin de l'oeil, et m'attrape par les cheveux : « Troisième fois : met toi à poil ! Il n'y aura pas de quatrième, ce sera directement la cravache. Réfléchis vite, tu as trois secondes. » Elle me relâche les cheveux. Je dois tenter de sauver les meubles ; je viens de me faire gifler devant M. De toute évidence, le peu d'estime qu'elle avait pour le « mec » de sa meilleure amie vient de s'évaporer en une fraction de secondes. Alors je m'exécute. Automatiquement. A cet instant, je ne réfléchis plus. Je suis un robot. Mon cerveau d'humain à laissé place au cerveau du chien de Maîtresse que je suis. Je retire mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt : « Garde ton string. » Mon string. Avec tout ça, je l'avais oublié, celui là. Au moins, je ne suis pas totalement nu. Le peu de dignité qu'il me reste va être sauf. Maîtresse m'interdisais de porter caleçons ou boxers. Uniquement strings masculins, slips qui laissent les fesses apparentes, ou jockstrap. D'un autre coté, ça empêche le bruit du cadenas qui tape contre le plastique ou le métal de ma cage de chasteté. Il faut toujours essayer de positiver les épreuves imposées par sa Maîtresse. Pendant le strip-tease imposé que j'exécute tout tremblotant, Maîtresse s'est rassise sur le canapé à côté de M. ; toutes deux m'observent, se délectant du spectacle. Une fois uniquement vêtu du bout de tissu qui me sert de sous-vêtements, Maîtresse me regarde fixement sans mot dire. Quelques secondes passent : « Tu attends quoi pour me saluer comme tu dois le faire ? » A ce moment précis, je comprend que rien ne me sera épargné, ce soir. Je suis donc le rituel : je me met à genoux, puis à quatre pattes, et j'embrasse Ses divins pieds, posés sur le tapis du salon : « Bonsoir, Maîtresse. » Le mot est lâché. Je me suis dévoilé devant M. La promesse d'une correction à la cravache a retiré tout amour propre en moi. Je la déteste de m'avoir fait ça. Mais bon sang, qu'est ce que je l'aime de m'avoir fait ça ! M., je l'aime pas, alors je m'en fiche qu'elle soit au courant. En fait si, je l'aime bien, alors c'est bien qu'elle sache pour N/nous. Une nuée de sentiments ambivalents me rongent l'esprit, tandis que je suis toujours front à terre, attendant la permission de me redresser : « A genoux. » J'obtempère, je me remet sur mes genoux. Maîtresse, s'adressant à M. : « Tu vois, je t'avais dis. » « Faut le voir pour le croire. J'aurais jamais imaginé ça de lui. Et encore moins de toi. Et il fait tout ce que tu lui demandes ? Tu donnes des ordres, et lui, il obéit ? » M. parle de moi à la troisième personne. Je ne suis devenu en quelques minutes qu'un objet à ses yeux. « Tout, oui. Et attend, tu n'as pas encore tout vu. » C'aurait été trop simple si ça s'était arrêté là. Au moment-même ou Maîtresse prononce la phrase, je me dis « non, pas ça, pitié » : « Baisse ton string. » Automate que je suis devenu, j'obéis. M. Découvre, effarée, qu'un tube de plastique enferme complètement mon pénis, retenu par un anneau, et fermé d'un cadenas sur le dessus : « Mais c'est quoi, ça ? », dit-elle dans un éclat de rire non dissimulé. « Sa cage de chasteté. Son pénis est ma propriété, il n'a plus le droit d'en avoir l'usage d'aucune manière que ce soit, sans mon autorisation, ou un ordre de ma part. Tu fermes bien ta maison quand tu sors ? Moi, je ferme mon pénis quand je n'en ai pas l'usage. » Eclats de rire de M. et de Maîtresse. J'entend tout ça comme si je n'étais pas là. J'ai les yeux au sol ; quand je suis à genoux, j'ai interdiction de regarder Maîtresse quand Elle ne s'adresse pas à moi. Revue de matériel et de comportement « Retire complètement ton string, et va nous resservir un verre. Et tu peux t'en prendre un. Par contre, tu vas et tu reviens à quatre pattes. Tu ramènes les verres un par un. » Un peu d'exercice ne peut pas faire de mal. Puis heureusement, le frigo est tout proche du canapé. J'amène le verre à M. - les invités d'abord -, puis à Maîtresse, et je fini par le mien. J'ai la permission de m'assoir par terre. Maîtresse prend soin de moi et de mes pauvres petits genoux, qui ne tiennent plus aussi longtemps qu'avant. J'écoute la conversation entre Maîtresse et M., tout en essayant par moment de réaliser ce qui m'arrive ce soir. Et je regarde aussi. Quand je suis assis par terre, j'ai la permission de regarder devant moi, ainsi que les interlocuteurs. Maîtresse répond aux nombreuses questions de M. Tout y passe : mes obligations de soumis, mes quelques droits et limites acceptées par Maîtresse, mon quotidien pour La servir, Ses nombreux avantages, comment je vis le fait d'être enfermé dans ma cage de chasteté... « Je pourrais te le prêter pour ton ménage, si tu as besoin, et si tu veux voir un mec récurer ta maison habillé seulement d'un collier et d'entraves aux poignets et aux chevilles. Et s'il ne va pas assez vite à ton goût, tu auras la cravache qu'il amènera avec lui ». Et Elle l'a fait : Maîtresse m'a prêté à M. pour un après-midi. Mais ça, c'est une autre histoire. Puis je suis interrogé, comme à chaque fois avec des non-initiés aux pratiques D/s, sur le plaisir que j'en retire. Comment expliquer à une novice que me prendre une gifle, et me faire rabaisser de la sorte devant des gens, me met dans un état au delà de l'orgasme psychique ? Et pourtant, M. Est une fille visiblement très ouverte, et le comprend parfaitement. Comme à Son habitude, Maîtresse sait choisir Son public. Une vingtaine de minutes se passe. Verres terminés, liste de questions achevée, Maîtresse et M. Se lèvent : « Maintenant, je vais te montrer la panoplie de dressage pour transformer ton homme en bon soumis obeissant. » Je me morfond de trouille ; là, M. va voir les instruments qui servent à m'éduquer. « Suis moi, chien. » De ma position assise, je me met à quatre pattes, et je La suis jusqu'à la chambre. « La caisse, sur le lit. » Je la précède, je sors la caisse de sous le lit, pour la mettre dessus, puis m'écarte d'un demi-mètre pour L/leur laisser la place : « Tu restes au pied », me lance-t-Elle, en claquant des doigts. Je me réavance donc au pied de Maîtresse, soupçonnant que ce n'était pas sans raison. Maîtresse commence l'inventaire par le collier. Bingo ! « Quand il est à la maison, dès qu'il franchit la porte, il doit se mettre nu, et enfiler son collier, et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Je veux pouvoir l'attacher à n'importe quel moment, si je dois le punir, ou juste si j'en ai envie. » Elle lui précise, si besoin était, que les chaînes qui descendent de la poutre au plafond sont juste à bonne hauteur pour que je sois suffisamment tendu, mais pas trop pour que ce ne soit pas trop inconfortable pour de la longue durée. C'est ce moment que Maîtresse choisi pour ajouter : « D'ailleurs, tu n'as pas encore tes entraves ce soir, du coup », et me passe le collier de cuir autour du cou, ainsi que les 4 bracelets. Aussitôt, Elle attrape la laisse, et l'accroche au gros anneau qui orne le collier. M. d'ajouter : « Pourquoi tu le tiens en laisse ? Tu as peur qu'il se sauve ? » Phrase maintes fois entendue, mais toujours aussi cinglante. « Non, c'est juste pour l'humilier un peu plus. Et un chien, ça se tient en laisse, c'est obligatoire. » Nouvel éclat de rire simultané de mes tortionnaires. Le passage en revue continue avec les instruments de dressage et de discipline : cravache, martinet, badine, et paddles. « Pourquoi de dressage ? C'est une forme de punition ? » « Non, quand il désobéit, ou qu'il commet une erreur, je le puni, durement, pour qu'il ai mal, et qu'il ne recommence pas son erreur. Mais une ou deux fois par semaine, je lui fait une piqure de rappel, pour qu'il se souvienne qui commande. Puis une bonne correction une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. » Eclats de rire. Puis Elle passe aux objets « insérables » : « Ah, c'est un de tes godes ? » « Non, c'est un plug anal, pour lui. Plusieurs fois par semaine, il doit le mettre 1 ou 2 heures ; je veux qu'il tienne son cul prêt à recevoir mon gode-ceinture. » Nouveau regard à la fois surpris et intéressé de M., devant ce harnais, complété d'un long et large gode. « Mais ca sert à quoi ? Tu aimes ça, toi ? », demande M. « Oui bien sur que j'aime. Et c'est moi qui commande dans le couple ; normal que ce soit moi qui le prenne en levrette. Parfois en missionnaire, pour que je puisse voir son regard pendant que je l'encule. », répond Maîtresse, me regardant avec un large sourire. Même dans l'humiliation la plus totale, Maîtresse sait comment me faire rester complètement excité, pour que je vive ce moment de la manière la plus intense possible. Continuant de souffler le chaud et le froid, Elle continue Son descriptif de N/notre vie intime, et ajoute, pour mettre un coup de grâce à cette phase d'humiliation : « De temps en temps, je lui dis qu'il va être libéré de sa cage, et qu'on va faire l'amour ; mais à la place, je lui fait enfiler le gode-ceinture, et il doit me faire l'amour avec le gode, tout en restant enfermé en cage. C'est la frustration ultime pour lui, alors que je prend presque autant mon pied que quand on fait l'amour de manière classique, juste en voyant son air dépité ! » Je ne peux bien sûr qu’acquiescer. Et c'est reparti pour de grands éclats de rire. Puis vient le tour du baillon-gode, lui aussi classé dans le top 3 des instruments de frustration du soumis moyen. Puis les baillons classiques, les cagoules, et autres moyens de faire perdre un ou plusieurs de nos 5 sens. La démonstration se termine avec deux allers-retours, tel un mannequin dans un défilé de mode, paré des menottes aux poignets, des fers aux chevilles, le tout relié par une longue chaine qui part de mon collier pour descendre jusqu'à mes chevilles, en passant par la chainette des menottes, entravé comme un prisonnier dans une série policière américaine. Le point final reviendra aux chaines accrochées aux barreaux du lit, cachées jusqu'à présent par la couette, qui permettent de m'attacher au lit, des fois que je décide de me sauver en pleine nuit ; sait-on jamais. C'est à ce moment que se termine la séance de présentation de l'attirail de dressage du soumis. Une fois libéré de mes chaines, retour au salon, à quatre pattes pour moi, Maîtresse sur mon dos, M. qui nous suit, non sans un ricanement bien audible, Maîtresse montant fièrement son fidèle destrier. Arrivé vers le canapé, Maîtresse descend de mon dos, et s'assoit, suivi de M. Il est déjà presque 6 heures du matin « Ca nous ferait pas de mal, des croissants. J'ai un peu faim », dit Maîtresse. « Ah oui bonne idée. On va chercher ça à la boulangerie ? » « Non, IL va aller nous chercher ça à la boulangerie. » « Ah mais oui, tu as cette chance, toi », lance M., non sans un nouveau rictus, mêlé à un air d'envie. « Va t'habiller. » Je m'exécute. Je reviens au salon, me met à quatre pattes pour suivre le protocole, en déposant un baiser sur chaque pied de Maîtresse. Elle me dit alors, en me montrant M. du doigt : « Embrasse ses pieds, et file ! Tu as 15 minutes. »   Je suis dans un état second. Je suis proche du subspace. J'aime tellement cet état. Et Maîtresse le sait. Elle m'a poussé à me dépasser, ce soir : Elle sait jouer avec mon esprit, Elle a repoussé mes limites à l'extrême. Elle savait que cette humiliation extrême me ferait passer une des plus belles soirées de ma vie de soumis. Elle me connait, Elle à tout prévu. Je sais qu'Elle s'est assuré que ma réputation personnelle et professionnelle soient en sécurité avec Sa meilleure amie ; que tout ce qui se passe ce soir ne franchira pas les portes de N/notre appartement.
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Par : le 23/11/20
Ce soir tu  es là à  4 pattes à te faire prendre,  collier au cou, les fesses encore bien teintées d'un rouge violacé par les lanières du fouets de la dernière séance .  Je t'ai  fait  lécher le gode ceinture que J' ai enfilé par-dessus ma lingerie pour finalement te  le mettre à nouveau  profond pour te le limer . Ton anus se dilate et mouille. Je  te  griffe le dos pour que tu te  cambres davantage ... Là je vois que   tu te  branles la queue en même temps  . J' ai alors envie de te  retourner pour te voir faire pendant que Je te baise ; les cuisses bien écartées  comme une chienne;   bien saisit par les jambes en te disant:     "VAS Y SALOPE  BRANLE TOI BIEN!"    J'ai plaisir à t'assaillir ,  te démonter ta rondelle de mâle  à grands coups de reins.  Tu couines  et J'aime ça. Mes râles   envahissent la pièce au fur et à mesure que Je prends mon pied à te sodomiser  ainsi.   Au plus profond de toi, totalement dilaté . J'entre et ressors  et rentre encore. J'entre jusqu'au bout et te baise encore et encore . Mes ongles se plantent dans tes cuisses tellement Je  les  serre contre moi.   " BRANLE TOI ENCORE! ... PLUS FORT!  ...PLUS VITE! "     Hum! Je sens monter en moi la jouissance ,mon rythme s’accélère... Je  jouis si fort que ça résonne à travers les murs. Tu cries en te branlant frénétiquement. Tu attends que Je t'autorise de jouir aussi , mais Je ne te le dis pas...    Je ne peux te lâcher; J' en veux encore... Je me redresse au-dessus de toi en te laissant sur le dos pour venir te présenter ma queue de silicone  toute fraîchement sortie de ton cul humide de chienne dilatée. J'ote le préservatif et Je viens te l' enfiler dans la bouche. Doucement pour commencer . Enfin; pas trop doucement non plus car J'aime t'en faire baver...  "   Hum! Bonne salope! Tu m' as bien fait jouir... Ton cul était trop bon... Suce la bien cette queue!  Tu l' as aimé dans ton cul, hein,  dis Moi?..."    Je  la retire de ta bouche pour te frapper le visage avec.  Tu me réponds tant bien que mal... Ma queue dégoulinante de salive , J' entre et  sors encore et encore... Tape tes joues... Branle contre ta langue et  enfonce plus profondément  ma queue baveuse ... Je baise ta bouche  comme J'ai baiser ton cul  ET FAIS DE TOI MA SALOPE!  Tu as des hauts le cœur... Les yeux qui pleurent... Ça fait longtemps que tu as perdu pied... Ta main en oublie de branler ta  queue toujours raide...   Je te maintiens la tête en arrière d'une main ferme et défonce ta p' tite gueule à grand coup de bite,   ressors pour  voir ta langue en redemander et Je te l' enfonce de plus belle pour ressortir aussitôt et jouer ainsi de toi jusqu'à ce que  tu dégoulines de bave ... Puis,Je te bouche les narines de la paume de la main,  et te pénètre plus violemment encore...  Je  me retire d'un coup,  dégage le harnais et pose ma chatte sur ton visage  : LECHE MOI!    Tantôt Je me plaque sur ta bouche, tantôt Je m' éloigne  t'obligeant à soulever la tête .    " BRANLE TA QUEUE! " Tu exécutes sans réfléchir...    D'une enjambée ,Je fais volte face;  te voilà face contre cul,  ta langue entre ma lingerie pour lécher mon anus pendant que Je crache sur ta queue . J' en profite pour attraper tes tétons,  les pince, les tourne. Tu gémis tout en continuant de lécher entre mes fesses.   " BRANLE TOI ! ...  LECHE MOI SALOPE! "   Tu es pris par tous les fronts.  Arrives tu à gérer ? Mon cul qui cherche à t' étouffer? Mes doigts qui te pincent?   Mes ordres sur ta queue?              C'est si bon de te posséder ainsi!   D'un coup Je me redresse!  Ça te surprend,  tu restes là sur le dos,  queue en main,   haletant.  Je suis   droite au-dessus de toi,  jambes écartées .  Je tire mon shorty sur le côté pour en dégager mes lèvres gorgées de plaisir.   Tu as la vue sur mon sexe gonflé  que Je dirige en arriéré pour te pisser  dessus  toute la jouissance que J' ai accumulée ...   De ta bouche à ta queue...  Tu essaies d'en boire...  De ta queue à ta bouche....  Tu en as de partout...  Je me lâche sur toi...  Mélange de foutre et d'urine...   C'est chaud à souhait...   Je fini le dernier jet en redescendant  pour que tu boives les  toutes dernières  gouttes...   Pleinement satisfaite , sans rien dire  ni ordonner, Je te souris   en ré-ajustant mes dessous et m' en vais  me doucher... 
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