La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 26/08/24
J’ignore combien de temps s’est écoulé depuis l’éruption explosive de ma colère. Je ne sais même pas où je suis. Tout ce que je sais, c’est que c’est calme et que je suis allongée sur une surface moelleuse et confortable. Mon lit ? Je relève péniblement la tête, c’est bien mon lit. Je suis seule dans la chambre et il fait nuit. Combien de temps est-ce que j’ai dormi ? Je me remets sur mes pieds précautionneusement et je regarde mon visage dans le miroir de l’armoire. Mon maquillage a coulé abondamment et mes cheveux se rebellent. J’entends de la vaisselle tinter dans la cuisine. Timidement, je me décide à sortir de la pénombre et je passe la tête dans l’entrebâillement de la porte. Maître est là, en train de débarrasser. Il se tourne vers moi : « Comment te sens-tu ? » Mon regard se porte sur la trace de maquillage que j’ai laissé sur sa chemise blanche. Je baisse les yeux. « Ça va. Je crois. Je suis désolée pour ta… Stop. Assis. » m’interrompt-il en désignant une chaise. J’obtempère et m’assoit. Son ton est calme, et je redoute que cela ne change. « Je suis fier de toi ma belle. Merci de t’être ouverte. » De nouveau, ses bras m’étreignent. Je ne comprends pas. N’avais-je pas tout gâché avec notre invité ? Maître me sert une assiette de fromage et de charcuterie. Il l’accompagne d’un grand verre de soda. « Est-ce que tu veux toujours continuer ? demande-t-il doucement. Continuer ? Notre invité est toujours là. Il patiente au salon. Te sens-tu capable de continuer ? Je… Oui. Oui… qui ? Oui Maître. Parfait ! Alors reprends des forces, fait en sorte d’être de nouveau présentable, et quand tu seras prête, rejoins-nous. » Avant de s’éclipser vers le séjour, Maître m’embrasse tendrement. J’ai du mal à comprendre qu’il ne soit pas fâché. Mais ce dont je suis sûre, c’est que j’ai faim ! Après avoir englouti mon repas et rafraichi mon visage, je prends quelques secondes pour me regarder dans le miroir. J’ai l’impression que quelque chose a changé. Je me sens plus détendue, et plus joyeuse. Bien que je n’arrive pas à expliquer pourquoi. Il me semble que mon visage se veut moins dur. Ragaillardie, je vais pour me présenter à l’entrée du salon quand je me souviens que je suis censée être une chienne, et donc me déplacer à quatre pattes. Je pousse avec la tête la porte entrouverte et m’engage dans le séjour. Dan et Maître me regardent arriver avec un grand sourire. Je suis intimidée, mais je leur rends leur sourire. Je me surprend moi-même ! « Regarde qui est de retour après une bonne sieste et un bon repas ! s’enthousiasme Maître. Une belle petite chienne bien reposée et prête à être éduquée ? » Dan a retrouvé son sourire goguenard. Le sourire de quelqu’un qui a de la suite dans les idées et qui prends plaisir à le laisser deviner. Pour toute réponse, je m’avance vers eux. Maître me fait signe de venir jusqu’à lui. Alors que je passe devant Dan pour le rejoindre, je sens sa main qui caresse ma tête, descends le long de ma colonne avant de terminer sa course sur ma croupe. Le contact est surprenant mais agréable. Maître réattache la laisse à mon collier avant de me diriger vers Dan. Ce dernier se lève, retire son pantalon et son caleçon pour laisser apparaître un sexe turgescent. Mon cœur s’accélère. Je m’attends à ce que Maître m’ordonne de satisfaire notre invité avec ma gueule, mais au lieu de ça il tire la laisse vers le haut, m’obligeant à me redresser. Entre temps, Dan se rassoit dans le canapé. « Monte. » Je suis guidée pour m’installer à genoux sur le canapé, de part et d’autre des cuisses de notre invité. Dan écarte légèrement les jambes, m’obligeant ainsi à écarter également les miennes. Je sens l’air qui passe entre mes lèvres qui déjà s’humidifient. Pour garder mon équilibre dans cette position, je dois me pencher en avant et prendre appui avec mes mains sur le dossier du canapé. Je suis exposée et dans une proximité intimidante avec notre invité. Je peux sentir le souffle de Dan près de mon visage. Son regard perçant et amusé me sonde. Maître me repasse le bandeau sur les yeux. « Pas bouger. » Des mains soulignent la courbure de ma mâchoire, s’attardent agréablement dans mes cheveux avant de dessiner le galbe de mes seins encore cachés par ma robe. Ces mains caressent, enveloppent, empoignent et s’amusent à faire glisser le tissu sur mes tétons de plus en plus sensibles. J’ai toujours beaucoup aimé les caresses aux seins, j’apprécie, même si j’ignore qui de Maître ou de Dan m’offre ces douces sensations. Deux autres mains viennent rejoindre les premières, sur mon ventre. Cette fois je comprends que Maître est debout derrière moi et que c’est lui qui presse ses mains sous ma robe. Robe qu’il ne tarde pas à soulever et me retirer. Je frissonne d’un mélange d’appréhension, d’excitation, et de contentement à sentir ces quatre mains sur ma peau. Dan continue de caresser mes seins, Maître parcourt mes cuisses qui font déjà les frais de mon excitation. « Regarde moi cette bonne chienne déjà prête à être saillie ! » Les deux hommes rient. J’essaie de faire fit et de rester concentrée sur les sensations agréables de ces mains sur mon corps. Dan réajuste légèrement sa position sur le canapé. Je crois qu’il s’affaisse un peu. Je ne comprends pas pourquoi. Ses mains glissent le long de ma taille et de mes hanches jusqu’à mes fesses. Ce sont les mains de Maître qui prennent le relais sur mes seins. Mes tétons sont érigés et quémandeurs. Maître palpe, roule, pince plus ou moins fort, m’arrachant de premiers gémissements accompagnés de gesticulations du bassin. Aveuglée, mes autres sens sont aux abois. Je ressens et je vois avec ma peau. Chaque contact, chaque caresse, vise clairement à attiser mon désir qui couve et menace de s’embraser. Mes fesses sont effleurées, redessinées, empoignées et parfois frappées d’un plat de main affamé. L’alternance entre les claques sur mes fesses ou mes cuisses, les caresses, les pincements, les effleurements ; tout m’emporte dans une danse du yin et du yang qui liquéfie mon ventre et rythme les notes de plaisirs ou de douleurs en une enivrante partition. J’oublie qui je suis. Ou je suis. Mon mental s’éteint. Je deviens pure sensation. J’ignore combien de minutes s’écoulent dans cet état de grâce où je savoure d’être ainsi palpée, impudiquement. Je ne me rends pas compte des mouvements instinctifs de mon corps qui réclame plus. Je ne calcule pas d’éventuels gémissements. Je laisse mon corps prendre les commandes. De nouveau, mon bandeau m’est retiré. Il me faut plus de temps cette fois pour accepter la lumière et réactiver ce sens dont il n’est finalement pas si terrible de se priver, occasionnellement. Je me retrouve face au visage de Dan. Son regard intense et joueur est fixé sur moi. Un grand sourire fend son visage. Je rougis. Une de ses mains est apposée contre ma fesse. Comme pour assurer ma position, m’empêcher de m’échapper. La seconde entame l’exploration de ma vulve ouverte, et trempée. Il prend son temps, découvre d’abord mon pubis, mes grandes lèvres. J’entrouvre la bouche, ma respiration s’entrecoupe, mon rythme cardiaque s’emballe. Chacune de mes réactions est passée au crible, je le sais. Notre invité semble particulièrement satisfait de mon expressivité. Je peux lire sur son visage sa délectation. Maître, qui avait disparu quelques instants, reviens dans mon dos et entreprends de suspendre deux pinces décorées chacune d’un petit poids à mes tétons déjà vibrants. La sensation de morsure suivie de traction lorsque Maître laisse mes seins porter les poids m’arrache un nouveau gémissement. Je sens le sexe de mon Maître tressaillir et durcir dans mon dos en m’entendant geindre ainsi. J’ai tellement envie qu’il me prenne ! Maître m’oblige ensuite à me redresser. Je dois bander les muscles de mes fessiers, de mes cuisses et ma ceinture abdominale pour tenir la position. Il m’attache les mains dans le dos à l’aide de deux bracelets puis me maintient contre lui, une main pressant mon ventre pour me retenir, l’autre sur ma gorge pour mieux lui appartenir. Je me sens tenue, c’est le cas de le dire. Les doigts de Dan s’immiscent entre mes grandes lèvres à la rencontre de mon clitoris gorgé de sang et sensible. La sensation est divine et je ne cherche plus à contenir mes gémissements. Je suis à genoux au-dessus de cet homme, mon plaisir et mon corps offerts par mon Maître à notre invité, et j’adore ça. Je crois que Dan et Maître rient de moi mais je m’en fiche, je ne les écoute pas. Qu’importe si je suis une salope, une chienne ou quoi que ce soit d’autre pourvu que l’on me touche et me remplisse.
799 vues 16 aime
Par : le 25/08/24
Maître et Dan se sont engagés dans une conversation interminable sur l’éducation canine. J’essaie de ne plus les écouter, c’est trop frustrant de les entendre parler de moi comme ça. J’ai envie de répliquer, de me rebiffer et je dois utiliser toute mon énergie pour rester « à ma place ». Mon Maître ne voit pas mon visage, je ne sais pas s’il a conscience de mon niveau d’agacement. « Et que penses-tu du fait d’autoriser les chiennes à monter sur le canapé ? Tu es pour ou contre ? Ça dépends. Si tu as une chienne bien obéissante qui ne rechigne pas et que tu as envie de la laisser monter sur le canapé pour la récompenser, pourquoi pas ? Le tout étant qu’elle intègre bien que sa place n’est pas sur le canapé et qu’y monter est un privilège que tu lui autorises parce que c’est ton désir. Je vois. Si, comme je le crois dans le cas présent, ta chienne a du mal à intégrer qui elle est et être bien obéissante, alors je te déconseille de la laisser accéder au canapé ou même au lit. » Mon égo se hérisse encore plus à ces mots. Comment ça « même au lit » ?! Cette fois c’est trop, je ne peux m’empêcher de grommeler. Aussitôt le son échappé de ma gorge, je le regrette, mais c’est trop tard. La main de mon Maître s’abat avec force sur mon séant à demi-découvert. « Ça, c’est non ! » Je suis choquée, et vexée. Mes yeux s’embuent légèrement mais je ne dis rien. J’ai envie d’exploser, c’est de plus en plus dur de me retenir. Je tremble de rage. Je m’attends à une réprimande supplémentaire, je m’attends à ce que Maître enchaîne, mais j’ai l’impression que Dan le stoppe dans son élan d’un geste silencieux. La laisse tendue qui tire ma tête en arrière et l’à-coups qui a accompagné le « non » me laissent deviner toute la contrariété de Maître. Bruit de tissu en provenance du canapé, la tension de la laisse revient à la normale et je sens des mains délicates qui retirent le bandeau sur mes yeux. Il me faut quelques secondes pour m’habituer à la lumière. Les larmes contenues se sont mélangées à mon mascara et me brulent les yeux avant de couler en deux traits noirs diffus le long de mes joues. Une main passe sous mon menton et m’oblige à lever les yeux. J’ai envie de mordre, mais… la profondeur du regard sibyllin qui me fixe avec intensité m’arrête. Dan m’oblige à conserver le contact visuel. Je distingue ses lèvres fines, ses cheveux blonds en bataille, son sourire un tantinet goguenard. Il n’a pas l’air très grand, mais il dégage une assurance déstabilisante. Malgré moi, mon regard de défiance s’évanouit et je fini par baisser les yeux. J’entends Maître se lever et partir à la cuisine, sans doute pour aller chercher de quoi se sustenter. Dan se lève et, sans que sa main ne quitte mon menton, s’accroupit devant moi. « Bonne fille. » Je ne dis rien, j’essaie de garder le contrôle du volcan qui menace de tout brûler en moi. Les secondes passent, il ne me lâche pas, il ne bouge pas, mais que veut-il bordel ?! La colère commence à laisser place à l’appréhension. Il est très calme. Il semble déterminé. Déterminé à quoi ? Je prends conscience de mon cœur qui bat dans ma poitrine, vite, et fort. Je risque un regard vers le sien et à nouveau j’ai l’impression d’être aspirée. « Tu veux être une bonne chienne et faire plaisir à ton Maître, n’est-ce pas ? » Sa voix est douce, enveloppante. Une nouvelle vague de larmes se présente aux bords de mes yeux. Oui j’ai envie de lui faire plaisir, de le rendre fier. Mais je suis aussi indignée, en colère. Aucun son ne sort de ma bouche, je me contente de hocher légèrement la tête dans sa main en détournant les yeux. « Alors laisse-moi t’aider. Je ne suis pas ton ennemi. » Son sourire a disparu, il semble très sérieux tout à coup. Comme s’il avait compris quelque chose. Quelque chose que je n’ai peut-être moi-même pas compris encore. Il se rassoit et tapote sur son genou pour m’inviter à m’approcher. J’hésite un instant. Maître n’est pas dans la pièce. J’ai peur. Et en même temps je me dis que Maître voudrait que je sois sage et que j’obéisse à notre invité. Il lui fait suffisamment confiance pour me laisser seule dans la même pièce avec lui. Finalement j’obtempère. Je me sens maladroite pour contourner l’angle de la table basse. « Assis. La tête sur ma cuisse. » Je me sens paniquée d’obéir à cet inconnu. Mais j’ai aussi besoin de me sentir guidée et tenue pour ne pas me laisser déborder par un flot d’émotions qui ne demande qu’à surgir et m’emporter. Cette idée me terrifie encore plus, j’obéis. Sa cuisse est chaude. Son parfum chaleureux et enivrant. Je suis assise sur le tapis, encadrée par ses jambes, et étrangement je me sens bien. En sécurité. Sa main vient caresser mes cheveux et je me surprends à me laisser aller, un peu. Je perds la notion du temps, Maître est de retour avec les plateaux dans les mains. Il pose tout sur la table. Je n’ose pas lever le regard vers lui. Je l’entends se rassoir. Il reste silencieux. Je suppose qu’il m’observe. Je me sens honteuse, j’ai l’impression d’avoir tout gâché. Pendant ce temps, Dan continue de caresser mes cheveux. Il me fait sentir qu’il est là pour moi. C’est une sensation étrange. Ma colère redescend doucement. « Parle-moi des problèmes de comportement de ta chienne. » Mes « problèmes de comportement » ? C’est pour ça que Maître a choisi un éducateur canin ? Je pose tant de « problèmes » que ça ? Mon corps trahit mon envie de disparaitre, je m’affaisse légèrement, je garde les yeux braqués sur le sol. Maître prend le temps de réfléchir avant de répondre. Leur discussion semble avoir un pris une tournure désagréablement sérieuse. « L’obéissance est difficile. » finit-il par lâcher. « J’ai l’impression qu’une part d’elle reste sans cesse sur ses gardes, ne me fait pas confiance. » Ces mots me blessent, une boule se créée dans mon ventre. Bien-sûr que je lui fais confiance ! C’est donc le sentiment que je lui donne ? Je suis abattue. « Et ça finit par se traduire par une attitude de révolte, un refus d’obéir, une provocation. » Plus Maître s’exprime, et plus je me sens rapetisser. L’ai-je déçu ? La main qui me caressait les cheveux glisse le long de ma joue humide pour me gratter sous le menton. Dan s’est penché en avant pour mieux marquer sa présence et son autre main s’est posée sur mon épaule. Je ne réagis pas. « Que sais-tu de l’histoire de ta chienne ? De son passé ? Avec les hommes notamment. » Dan marque une pause. Maître est silencieux. Il réfléchit. Se refait le fil de nos discussions du début dans sa tête. « Tu as un animal blessé. Voilà tout. Une chienne qui a un passé. Et qui a conservé en elle une grande colère et une grande amertume en lien avec ce passé. » La voix de Dan est douce, tendre. Il est dans la compassion. Comme il le serait avec un animal battu. Ses paroles résonnent douloureusement en moi. C’est vrai, je suis en colère contre les hommes. Une part de moi les hait, les déteste. Et j’ai envie de le détester lui. Comment ose-t-il dévoiler ma douleur et ma colère la plus intime ? Je ne veux pas ! Je ne veux pas aller dans cet endroit, je ne veux pas contacter cette douleur. C’est insupportable ! Pourquoi ? Pourquoi me faire ça ? La colère gronde en moi comme une tempête, j’ai la tête qui tourne, j’ai peur de perdre le contrôle. J’ai des fourmis dans le ventre et dans les jambes. Je veux juste que ça s’arrête ! Maître descend de son fauteuil, il se met à genoux, à ma hauteur et me prends dans ses bras. Il m’enlace, tendrement et fermement à la fois, comme pour m’offrir un cocon protecteur. « Je te demande pardon de ne pas avoir compris. Je suis avec toi. Crie s’il le faut. Hurle. Sers-moi, griffe-moi, mais arrête de garder cette colère à l’intérieur de toi. » Ce que je redoutais le plus se produit : la vague de mes émotions remonte du tréfonds de mes entrailles et m’emporte. Je hurle, de toute mes forces, jusqu’à en perdre le souffle. Des sanglots saccadés prennent le relais à ce cri de déchirement. Des images envahissent ma tête. Je revois mon père, ivre mort, me gifler car je m’interposais entre lui et ma mère. Puis plus rien, un vertige, le noir, et le silence. Que ça fait du bien…
712 vues 13 aime
Par : le 25/08/24
-J'ai appris , que le général Valeri et sa milice de malades mentaux Stalin étaient venus vous violer ici même à Kiev. Comment est ce possible ?  -C'est pas ton problème petit chien. Un dom comme le général Valeri qui sodomise une Maîtresse, c'est de l'amour vanille. Et puis qui a vraiment baise l'autre....on verra au final.  - Oui, mais tout de même, une tournante russe dans les quartiers généraux de la CIA  cela la fout très mal.  -C est pas ton problème petit chien. Ta Maitresse fait ce qu'elle veut de son cul. Et j'adore faire la pute, surtout quand c'est le boulot. J'ai maintenant un canal non officiel en Russie qui remonte très très haut. -Jusqu'au Président ?  -Lui même et Vladimir m'appelle même souvent. On ne parle jamais de la guerre ou de choses sérieuses, juste des blablas et plaisanteries, comme entre de très vieux amis. - A ce point ? Je croyais que les services se faisaient une guerre impitoyable.  - Avec Vladimir on parle sport, vacances , cul et j'en passe. Rien de sérieux. Il aime parler avec moi.  -je pourrais passer par vous Maîtresse Mary, si j'ai besoin ? -Non petit chien,  tu restes à ta place et tu obéis. C'est moi qui te siffle si j'ai besoin et tu viens vite, la queue entre les jambes.  -Oui Maîtresse Mary. -Tu dis oui par devant et après tu n'en fait qu'à ta tête.. T'es vraiment un petit chien qui mérite une bonne séance de cravache. J'ai pas aimé du tout que tu fasses le con avec ton offensive vers Koursk. T'es débile ou quoi. Les russes n'attendaient que cela. - Oui mais j'ai demandé l'aval au Président Joe et à Joseph Borel. Et ils ont accepté.  - Et tu ne demandes pas l'avis de ta Maîtresse d'abord.  - Vous auriez refusé.  - Et comment ! Ta démarche est une insulte à Napoléon.  Même s'il la eu profond dans le cul contre Koutouzof, au moins il était moins con que toi. J'ai même eu envie de venir te botter le cul à la batte de base Ball tellement tu m'as mise en rogne. -Excusez moi Maîtresse Mary.   ,-Je me fous de tes excuses, petit chien. J'ai juste de la peine pour toi. La vie des soldats c'est précieux. Elle vaut bien mieux que des champs de patates remplis de moustiques. Espérons que les mères des soldats que tu sacrifies pour rien, ne viendrons pas t'emascluer avec les dents à la fin de La guerre. -Vous êtes bien noire aujourd'hui Maîtresse Mary. Nous allons gagner cette guerre. -Allez, je te laisse petit chien. Non seulement t'es pas doué en stratégie militaire mais en plus tu rêves debout. J'ai Vladimir qui veut me joindre sur une autre ligne. Bisous petit chien.     
378 vues 3 aime
Par : le 24/08/24
J’avance à quatre pattes à la suite de mon Maître. Je me demande s’il observe attentivement ma démarche ou s’il se contente d’avancer sans se préoccuper de moi. J’ai peu de doutes en revanche quant au regard de notre invité qui pèse sans aucun doute sur ma croupe malhabile de bipède en régression. Chaque « pas » me faire sentir à quel point mon sexe et mes cuisses sont humides, sensation fraichement velourée qui m’écartèle entre honte et délice. Maître s’installe dans un fauteuil et invite Dan à se mettre à l’aise sur le canapé. J’attends, toujours à quatre pattes, que l’on me dise ce que je dois faire, mais ça ne vient pas. Je sens que Maître tiens toujours la laisse dont la chainette est secouée de petits à-coups lorsque ses mains accompagnent ses mots dans leur discussion. Il sert un verre à son invité avant de se servir lui-même et de se réinstaller au fond de son fauteuil. Il n’a pas un mot pour moi, pas un geste. Que suis-je censée faire ? Je sens le stress monter. Aucun d’eux ne semble prêter attention à ma présence. Je me sens d’abord piquée dans mon égo, je me sens en colère, vexée. J’ai envie de provoquer mon Maître, de lui mordre la cheville pour lui exprimer mon mécontentement. Si nous n'avions été que tous les deux, je n’aurais pas hésité ! Mais là nous avons un invité et je me sens plus intimidée que je le voudrais. Il me semble que je m’agite et je me sens me renfermer dans ma frustration. Silence. Mes sens se réactivent aussitôt dans un élan d’hypervigilance. « Ne fais pas attention à elle, elle va trouver sa place. » s’enquit Dan avec calme et assurance. Trouver ma place ? On attend donc bien quelque chose de moi ? Je ne comprends pas ce qu’il veut dire, ni ce que je serais censée faire. Pendant que je m’interroge, leur discussion reprends : « Donc ce métier d’éducateur, tu fais ça depuis combien de temps ? Ça fait quelques années maintenant. Six ? Sept ? réponds Dan en réfléchissant. Tu faisais quoi avant ? J’étais dans les ressources humaines. Et tu sais quoi ? Ce n’est pas si différent finalement ! » Les deux hommes éclatent de rire. Notre invité, un éducateur ? Educateur de quoi ? Maître reprend ses questions : « Et comment ça se passe ? Tu fais de l’individuel, du collectif ? Tu as un club ? Essentiellement des séances individuelles. Ce qui m’intéresse c’est de voir et corriger les attitudes du propriétaire qui vont influer négativement sur le comportement du chien. Le collectif peut servir aussi pour ça. Notamment concernant les problématiques de sociabilisation ou pour détecter les appréhensions de l’humain qui vont causer des troubles de comportement. Ton chien réagit à qui tu es, à tes émotions, ta gestuelle, ton attitude générale face aux évènements et à la vie. Il suffit d’observer ce que fait l’humain et tout devient logique. Passionnant ! Quelle chance de t’avoir rencontré, je suis sûr sur nous allons beaucoup apprendre ce soir. » Oh ! Notre invité est donc éducateur canin ? En tout cas, Maître est enthousiaste. Et je commence à comprendre un peu mieux… J’ai souhaité devenir sa chienne. Et nous y sommes, je vais être traitée comme telle. Je me sens légèrement humiliée qu’il ait choisi un éducateur canin comme premier invité. Et j’en déduis qu’il s’agit ici de veiller à canaliser mes écarts de conduite. « C’est une logique à acquérir. Regarde, nouvelle situation, nouvel environnement, nouvelles sensations, nouvelles odeurs, ta petite chienne est toute perturbée et c’est bien normal. C’est toi qui tiens la laisse, tu es son cadre de référence. Si elle te sent relaxé et à l’aise, alors elle se détendra tout simplement.  Effectivement, ça reste un chien après tout… » Maître réfléchit aux mots de son invité. Et moi aussi. Je me sens de plus en plus agacée d’être comparée à un chien, par un éducateur canin en plus ! Mais je me contrôle. Je serre les mâchoires. Je ne l’aime pas. D’abord il envoute mes sens, et ensuite il me rabaisse. J’ai envie de lui rentrer dedans. Je baisse la tête, mes doigts se contractent sur le tapis du salon. Leur discussion se poursuit. Je ne l’entends pas, je suis trop contrariée. Au fond, je sais que si je suis aussi énervée, c’est parce qu’il n’a pas totalement tort. Je suis stressée. C’est une situation nouvelle pour moi. Mes sens sont exacerbés par la situation et par ma vue entravée. Je suis tendue. Je commence à comprendre que c’est peut-être cela qu’on attend de moi : que je me détende. Je me concentre quelques secondes sur ma respiration, et quand je sens que je suis un peu moins en colère, je me couche aux pieds de mon Maître, la tête posée sur sa chaussure. L’odeur du cuir envahit mes narines. Je ne suis pas si mal, par terre à ses pieds… « Tu vois, elle se pose toute seule. Moins tu parles, plus elle doit se concentrer sur toi pour faire ce que tu attends d’elle, plus elle sera attentive et obéissante. Intéressant.  Tu peux la récompenser pour lui faire comprendre que c’est le bon comportement. » Je sens la main chaude de mon Maître me caresser la tête, ce geste me réconforte un peu, même si les mots de Dan m’irritent au plus haut point. Un biscuit est placé contre mes lèvres et je comprends que c’est « ma récompense » et que je dois manger. Je ne résiste pas, j’ouvre ma bouche et mange le gâteau. Mais je boue intérieurement. La soirée va être longue !
976 vues 12 aime
Par : le 21/08/24
Chaque fois qu'Elon voit Kamala à la télé, il fulmine, profere mille insultes pornos et à envie de casser le poste à coups de poings.  -Putain, c'est pas possible. Elle est plus redoutable que Joe l'endormi. Si cette folle passe, adieu les années grasses.  Il n'arrive pas à garder son calme lorsqu'il l'entend avec son sourire colgate carnassier annoncer son programme. Non mais ça va pas! Piquer le pognon des milliardaires. Rien que d'y penser il en pique une crise. Il a convoqué sa sublime hôtesse scandinave, celle qui fait le service à bord de son jet privé et pas que.  Elle a un cul d'enfer.  Pourtant s'il écoute Kamala, cela le fait debander sec.  -Même pour cela, elle est bonne à rien. Une femme qui veut être présidente et qui ne fait pas bander les hommes,  cela ne vaut rien. Son hôtesse essaie de le calmer comme elle peut.  Elle lui offre son cul  sa bouche, sa chatte, mais rien à faire, Elon est un autiste.  Quand il est en boule, il est en boule. Alors bosser, et encore bosser. Il fait la campagne de Donald sur X. Mais colère est mauvaise conseillère.   L'hôtesse scandinave a vu les images de Tekla en train de pratiquer la domination hard dans la capsule dragon. -Peut être devrais tu demander à ta femme si experte en coups de fouet de faire une séance avec toi. Cela pourrait te faire du bien. Elon a regardé son hôtesse. Il a senti son sexe durcir dans son pantalon.  -Tu as peut être raison. Cela peut me faire du bien. Et il a bande encore plus fort. 
371 vues 3 aime
Par : le 21/08/24
Tekla est retournée en Russie continuer ses formations comme ingenieure dans plusieurs disciplines. Elle vient de réussir un doctorat de mécanique à l'université de Moscou. Une surdouée phénoménale. Elon a ouvert la bourse pour elle, une de ses femmes devant l'éternel. Elle possède un superbe appartement au dessus de la Moskova pour étudier au calme. Elle fait aussi beaucoup de sport et commence à piloter des jets. Un soir, son Elon chéri,  elle lui est totalement fidèle,, comme le lui ordonne sa religion, l'appele en visio 3d. C'est comme s'il était là ou presque.  - Ça te dirais un petit tour dans l'espace ?  -Rien ne me ferait plus plaisir. Avec toi ?  - Non, j'ai trop de travail. Un vol privé avec des gens très riches qui peuvent s'offrir ce rêve.  Une semaine autour de la terre. Tu seras la passagère X. Aucune photos ou images de toi. Discrétion totale.  Quelques jours plus tard, Tekla se retrouve dans une capsule dragon au bout d'une fusee falcon prête à décoller.  Elon à parlé aux quatre autres passagers de la présence de cette spationaute X, en formation pour des missions lointaines.  La fusée décolle en automatique. L'espace est vite là, avec l'état d' apesanteur. Il est temps de se mettre à l'aise et d'ôter les combinaisons. Quatre hommes multimillionnaires et plus et une jeune femme superbe.  Ils sont époustouflés par sa beauté et son intelligence. Tous ont des idées en tête.  -N'y pensez même pas dit Tekla pour bien cadrer tout le monde dans l'espace réduit de la capsule, où je vous les coupe net. Elle montre son couteau arabe. Un cadeau de son défunt père. Cela calme les quatre hommes d'un coup. Puis elle rajoute de façon malicieuse avec son regard diamant noir:  -Par contre  je veux bien être votre domina, histoire de rendre ce vol plus excitant encore.  Tous ont immédiatement compris ce font il s'agissait et ont accepté avec plaisir. Ils se sont retrouvés entièrement nus pour le reste du vol. Ils ont subit des séances de fouet avec des câbles électriques, des ligotages en apesanteur. Un a du servir de sissy pour permettre aux autres de se vider. Tekla est toujours resté couverte des poignets aux chevilles, avec un voile spécial autour de ses cheveux pour les cacher. Souvent elle gardait même le foulard devant sa bouche pour ne montrer que ses yeux. Une domina impitoyable. Les multimillionnaires ont adoré et beaucoup ont jouit tres fort sous les coups amers.  Elon a suivi tout cela  à distance et il a beaucoup aimé. Il ne connaissait ce don pour la domination chez sa femme. Qui sait peut être quelques séances pour lui en privé ? D'y penser, il s'est mis à bander très dur ....c'est ainsi que l'on reconnaît les soumis dans les pratiques bdsm....    
417 vues 4 aime
Par : le 12/08/24
-Hi, Elon? Here Valéri ! -Connards, vous venez de baiser Mary! Vous pouviez pas éviter de la violer?  -Boulot. On a pas touché à sa chatte. Par le cul cela compte pas et elle s'est mise à table. Tu devrais me l'envoyer pour un stage. Je lui ferais cadenasser la chatte et tu auras seul la clé.  Elle est nulle pour sa sécurité.  Hyper intelligente mais nulle. J'ai une bonne garde du corps irlandaise pour elle. Une lesbienne qui adore sodomiser avec un feeldoe. Tu seras plus tranquille comme cela. -Ok.  -Bon, on s'en occupe. Je t'ai trouvé une perle incroyable au Mali grâce à nos potes de Wagner. Une orpheline, vierge, et phénoménale.  Je t'envoie la photo. -Elle est vraiment superbe et très racée.  - C'est une mystique. Tu devras l'épouser suivant un rituel religieux si tu veux la baiser. -Ok. -En ce moment elle est dans notre base près de Sotchi. Elle parle déjà russe et anglais, suit de façon accélérée des cours d'ingénieur dans plusieurs disciplines. Elle va suivre une formation de pilote de chasse et d'hélicoptères. Ensuite elle ira à la cité des étoiles.  J'ai pensé à toi pour Mars. Elle semble parfaite pour aller la bas.  Un cadeau de ma part et du Président Vladimir.  -Ok. J'ai hâte de la rencontrer.  -Cest une mystique. Prières cinq fois par jours. Très propre.  Très respectueuse.  Je lui ai dit que tu étais le mari que j'avais trouvé pour elle. Elle te trouve très bien. Elle sait que tu as plein de femmes mais dans sa religion c'est permis, donc pas de problèmes avec cela. Très obéissante en tout à son  époux, c'est dans sa religion. -Super.  - Elle est vraiment extraordinaire. Un QI incroyable. Personne pour la battre aux échecs sur ma base. Elle vient du pur désert du Sahara. Elle sera parfaite pour Mars. -Oui, j'ai très envie de l'épouser suivant son rite et de lui faire un beau bébé la haut avec mon sperme congelé exprès.  On devrait être prêt dans quelques années. Cela avance vite avec le starhip.  -Bonne chance à  toi. Vladimir te salue aussi. A plus mon pote.  -A bientôt.  Je t'envoie Mary a Chypre. Tu la récupèreras la bas. A plus.       
440 vues 3 aime
Par : le 08/08/24
Comme a chaque fois que je parle de domination, je parle de méthodes coercitive pour prendre l'autorité sur une personne, et cela, en opposition avec la soumission qui est plus un effort de la partie soumise vers un maître. La domination couplé à la discipline et une essence bdsm très présente dans notre société, à tous les niveaux, école, travail, justice ...etc. Elle est malheureusement comme dans tous les pays qui ont encore beaucoup à évoluer (quand on a une vision humaniste de l'homme), un des ciment de l'éducation dans notre pays. Quel que soit l'endroit où elle sera utilisée, que ce soit dans le cadre d'un jeu consensuel extrême ou dans une entreprise, le schéma est toujours le même et il est composé de 2 étapes que beaucoup de gens vont reconnaître amèrement:   I- Épuiser sa victime pour lui faire accepter des concession le dominant peut utiliser la discipline comme outils pour arriver a ses fins. Il va s'agir de fatiguer sa victime pour qu'elle accepte de plus en plus de concession. En gros, il va punir a chaque fois que sa proie va s'éloigner de ce qu'il veut qu'elle fasse. Notons qu'il peut aussi récompenser quand elle va dans le bon sens. Pour faire simple, une punition c'est quelque chose de désagréable et une récompense quelque chose d'agréable. Ça peut aller d'un mauvais regard ou une privation ou à de la torture pure et simple. Pareil pour la récompense, ça peut être un compliment, une caresse jusqu'à un titre honorifique, des biens, la réalisation d'un rêve, un grand moment planifié etc...   II- Le remodelage Une fois que le dominant a contraint sa victime, la relation devient une relation de discipline pure et là, beaucoup plus de choses deviennent possibles. Dès lors que chaque règle est accepté, on peut totalement remodeler une personne en choisissant les bonnes règles. On peut lui donner de nouvelles qualités (mais aussi de nouveau défauts attention), on peut même changer ses goût, sa personnalité, la façon dont elle se perçoit elle-même, ses habitudes ...etc. Avec un peu d'ingéniosité on peut vraiment tout faire. On se rendra compte cependant qu'en fonction du tempérament et du passé de la personne, certaines choses sont plus faciles à obtenir que d'autres et certaines sont à éviter car elles mettent la personne dans une situation ingérable qui peut la pousser a la schizophrénie ou a des troubles névrotiques. Bref, attention, c'est puissant.
380 vues 1 like
Par : le 31/07/24
La domination, c'est imposer son autorité par la contrainte et le bondage restreindre les sens et les mouvement. Ces deux art se combinent donc très naturellement. I- La mise en état de vulnérabilité Évidement, un(e) soumis(e) attaché ou enchaîné de façon a ne pas pouvoir fuir ou esquiver n'aura pas d'autre chois que d'accepter tout ce qu'on lui fera subir. On peut donc l'obliger a accepter tout ce qu'on veut et le désensibiliser à résister à tous ces procédé et finir par les considérer comme normale. Évidement, il ne s'agit que de discipline de surface car aucune de ces actions n'a été accepté sans contrainte et c'est encore plus vrais ici. Cette pratique est présente dans la société, ce sont les grillages, les barricades et autres qui nous habitue à ne pas aller a certain endroit et a accepter que notre liberté de circulation soit constamment remise en question, nos papiers vérifié, notre argent pris aux péage etc... II- La mise dans un état de dépendance Si la personne est entravée, elle ne peut pas faire un certain nombre de chose toute seule et va avoir besoin de l'aide de son maître. Ainsi, elle s'habitue a avoir besoin de lui et a devoir lui plaire en toute circonstance pour pouvoir continuer a subvenir a ses besoin. L'exemple en société, c'est l'argent et la centralisation des moyens de production. Vous devez tous plaire au système pour pouvoir manger, etc... III- La destruction de la fierté Certains état fixé par le bondage sont humiliant et peuvent réduire l'estime que la personne a d'elle même (on voit ça dans les prisons aussi). Ainsi, attaché pendant que les autres sont libre, elle devra accepté l'idée qu'elle est moins qu'eux et sera plus prompte a se soumettre a toutes les injonctions qu'on lui donnera.
498 vues 2 aime
Par : le 25/07/24
Une balade à vélo une belle journée de printemps, c’est agréable, sportif et ça détends. Nous sommes tous d’accord. Imaginez que vous décidiez de pimenter votre sortie de façon un peu plus sexe ? Ou votre Dom décide de vous mettre dans une épreuve ? C’est en relisant un BD de Manara que j’ai pensé à cela et je me suis dit « pourquoi pas ? » Une selle de vélo est en contact direct avec nos intimités alors il est logique que l’on détourne cela de façon amusante. Parfois, une idée de jeu peut arriver n'importe comment. Certes, d'autres y ont déjà pensés mais je ne retrouve que peu d'idée de jeu sur le sujet alors, j'ai décider de l'ajouter à ma collection de jeux pour couple. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeu-pour-couple-le-velorgasme/  
378 vues 0 aime
Par : le 14/07/24
Errance aux côtés du Diable. Amis lecteurs, cette histoire n’est qu’une chimère le fruit de mon imaginaire.   Chapitre 1        Bérangère progresse prudemment sur la modeste route départementale à travers la Haute Provence s’élevant progressivement vers le plateau reculé. Elle serpente à travers la forêt de chênes verts dans la pénombre de cette fin de journée. Soudain, la pluie, le ciel se couvre brusquement, annonçant l’arrivée d’un violent orage. Les éclairs bleutés zèbrent le paysage, illuminant les arbres, ainsi que les feuilles mouillées. Le vent, en rafales furieuses, fait danser les feuilles sur la chaussée. À travers le pare-brise embué, les essuie-glaces peinent à suivre le rythme. Bérangère tente de deviner le tracé de la route. Chaque virage est une énigme, chaque bosquet une cachette où se cachent les secrets de la forêt. Dans cette obscurité mouvante, elle se sent à la fois perdue et fascinée, comme si les arbres eux-mêmes murmuraient des histoires anciennes. Tandis que la pluie martèle le toit de la voiture, Bérangère se demande si elle trouvera sa destination ou si elle continuera à errer dans cette forêt mystérieuse.     Bérangère ressent un mélange d’émotions intenses alors qu’elle continue sa route dans cette garrigue sombre. La peur s’insinue en elle, amplifiée par les éclairs qui illuminent brusquement les arbres. Chaque coup de vent sur sa voiture la fait frissonner. Elle se sent vulnérable face à la puissance de la nature en colère. Mais en même temps, il y a une fascination inexplicable qui la retient. La beauté sauvage de la forêt, les secrets qu’elle cache, tout cela la captive. Bérangère est à la fois perdue et intriguée, elle pénètre dans un monde obscur où les éléments se déchaînent. Elle ne peut pas s’empêcher de se demander ce qui l’attend au prochain virage derrière chaque bosquet. C’est un mélange d’angoisse et d’émerveillement, une danse entre la terreur et la curiosité qui la pousse à continuer sa route. Rien ne va l’arrêter, quelque chose de plus profond dans cette forêt en furie l’attire comme un aimant.     La route se termine par une sorte de parking, moitié terrain vague.     — Où je me trouve, où est ce foutu panneau ?      Avec sa voiture elle balaye avec le faisceau de ses phares à la recherche d’une indication. *******       Bérangère échange avec cet homme sur ce forum catholique depuis un an, elle est captivée par le monde qu’il lui dévoile quotidiennement à travers ses mots. Il a réussi à déverrouiller la boîte de Pandore de Bérangère, à savoir l’univers de ses fantasmes.      Elle est devenue au fil du temps ange et démon. Il faut dire qu’elle a été élevée dans une famille catholique est pratiquante. Son éducation est rigoureuse, et stricte, elle a des principes, des tabous. Mais cet homme, au fur et à mesure de ses mails, a fait basculer ses convictions.      Bérangère est face à un dilemme, elle ressent de la confusion, de l’ambivalence et peut-être même de la peur quant à la direction que prennent ses croyances et sa vie. Le conflit entre sa formation rigoureuse et les nouvelles idées qu’elle découvre la plonge dans un tourbillon émotionnel intense.       Comme chaque jour, pendant la journée, elle reçoit sur son IPhone une notification d’un e-mail arrivé sur le forum. Elle sait qui l’a envoyé, cependant, elle ne peut le lire, il y a une règle. Le soir, après le repas avec ses parents, dans l’intimité de sa chambre, elle s’isole. Sa première action, remplie d’impatience, consiste à allumer son ordinateur. Mais avant d’ouvrir ce mail elle doit appliquer cette fameuse règle, se mettre nue. Comme chaque soir, le message est là. Dans sa nudité elle prend le temps de savourer l’écriture de cet homme. Il réveille à chaque mail ses démons, elle ne peut résister, la honte est là, sous le regard inquisiteur du Christ avec son laurier au-dessus de son lit.      Elle se trouve confrontée à la tentation, rongée par la culpabilité et la honte. Après chaque lecture de ses mails, un combat intérieur s’engage entre les désirs naissants dans le creux de son ventre et les principes de sa conscience et de sa foi. Bien que la bataille soit acharnée, le résultat est invariable : elle cède, le plaisir et le délice de la honte l’emportent, rendant les normes sociales et religieuses qu’elle a intégrées complètement dénuées de sens.      Après avoir parcouru le mail et rédigé sa réponse concernant les émotions qui l’ont accompagnées tout au long de sa journée, ainsi que les conflits intérieurs liés à ses valeurs. Tard dans la soirée, elle finit par se coucher. Son esprit est enveloppé d’un brouillard, une douceur sourde au creux de son ventre qui ne fait que s’intensifier, comme c’est le cas chaque soir après la lecture des écrits de cet homme.      Dans sa nudité, lové au fond de ses draps dans la pénombre de la nuit, sa main a exploré son intimité. Ses doigts effleurent son mont de Vénus à travers sa toison, glissant lentement entre ses lèvres charnues pour trouver son bouton de plaisir. Une onde de jouissance s'éveille délicatement en elle, l'orgasme imminent. Les mots de cet homme abolissent ses inhibitions morales, défiant ses tabous. Un orgasme fulgurant dont elle ne peut résister, tel une explosion nocturne, la submerge.      Après avoir succombé à ce plaisir interdit, en contradiction avec ses principes de vie catholique, l'homme lui a imposé une règle. Elle doit se mortifier. Dissimulée sous son lit, elle extrait une petite boîte en bois fermée par une serrure, elle l'ouvre, à l’intérieur une chaîne.     En prenant cette chaîne, elle se remémore le souvenir confus dans une grande surface de bricolage.  A la caisse sur le tapis le caissier a pris la chaîne dans ses mains et les différents accessoires pour les scanner. Quand elle a croisé son regard, pouvait-il imaginer l’utilité de cette chaine entre les mains de cette jeune femme.      C’est elle-même qui a confectionné sa chaîne d’après les instructions de l’homme afin de faire travailler son humiliation. Après plusieurs tentatives dans l’intimité de sa chambre, elle est arrivée au résultat attendu. Elle doit enrouler la chaîne autour de sa taille, une autre chaîne fixée à celle de sa taille pends dans le creux de ses reins. De ses mains elle doit la récupérer la faire passer dans son entrecuisse elle remonte à travers son intimité, puis sur son ventre, mais comme prévu la chaine et courte elle lui cisaille douloureusement son entre-jambe, son sexe. Elle grimace de douleur mais finit par la relier à la chaîne de sa taille et la condamne sur son ventre à l’aide d’un cadenas. La clef finie dans le tiroir de sa table de chevet.      Elle s’enfonce dans ses draps moelleux pour la nuit, mêlant souffrance et repentance, son corps frémissant sous les marques de la passion de ce plaisir interdit. Son intimité, tourmentée par la chaîne, elle fait l’offrande de sa douleur à cet homme.      Son sommeil comme chaque nuit s’annonce comme une épreuve intense chargée d’émotions.       Elle se laisse emporter par l’emprise de ses désirs et de ses tourments. Dans ses songes les images de son intimité tourmentée par cette chaîne prennent forme, symbolisant le lien complexe et douloureux qu’elle entretient avec cet homme. Au plus profond de ses nuits elle lui offre sa douleur, elle se livre à un rituel cathartique où la souffrance et le plaisir s'entremêlent dans une danse troublante et passionnée. *******  Bérangère est une jeune fille de 22 ans étudiante, elle a été élevée dans les principes de la religion catholique avec des règles, des tabous.  Elle est loyale envers sa foi, ses valeurs morales, sa discipline est issue de son éducation stricte de par sa croyance religieuse. Elle a toujours gardé une certaine réserve ou prudence envers les autres jeunes gens de son âge à la fac. Dans sa famille on n’est éduqué consciencieusement, pour respecter les traditions, les autorités religieuses, et peut-être même un brin conservateur dans ses opinions et son choix de vie.       Avec une éducation aussi restrictive, sa vie sexuelle entravée par ses tabous profonds, la laisse dans une situation d'une banalité décourageante. À 22 ans, elle demeure vierge malgré sa beauté et ses atouts physiques. Bien qu'elle soit séduisante, dès qu'un prétendant se rapproche, ses valeurs strictes refont surface, elle se montre très défensive."   Chapitre 2        Comme d’habitude je suis nue, quand j’ouvre ma boîte mail, le message que j’attendais depuis longtemps est là. A sa lecture il me demande d’être disponible semaine 43 du vendredi soir au lundi matin. Je continue la lecture il me donne des détails complémentaires notamment l’horaire du rendez-vous : 18h30.  L’adresse du lieu me sera communiquée la veille de mon départ.       Cette fois j’y suis, d’un seul coup tout s’emballent dans ma tête. Mon cœur bat la chamade, il va devoir ne pas trembler plus de possibilité de faire marche arrière sinon je perds tout.  C’est ma voie, mon destin, je fonce maintenant à tombeau ouvert vers le néant.       J’essaie de me raisonner, c’est de la folie, que cache cet homme à travers ses écrits. A travers ses mots je me suis fait prendre au piège.  Ses écrits m’hypnotisent je suis comme un animale face aux faisceaux de phares de voiture, je reste immobile je ne contrôle plus rien. Je suis face à ma réalité, je prends conscience d’un seul coup que je ne suis plus dans un jeu. Il va falloir sauter dans le vide.         Il me faut expliquer cette absence à mes parents, même si à mon âge je suis libre de mes mouvements. Par principe, les informer est important, je vais inventer une adresse pour justifier mon absence. Lors du dîner en famille, je leur annonce que je vais m'engager dans une semaine de retraite pour réfléchir sur le sens de ma vie et approfondir ma foi. Ils reconnaissent l'adresse que je leur ai donnée, ayant eux-mêmes déjà participé à des retraites dans ce même lieu. Connaissant la discrétion qu’il règne dans ce monastère et le caractère temporaire des visiteurs cela ne servira à rien de me joindre ils n’auront pas de réponse. Voilà la raison du choix de cette adresse. Ils acceptent avec bienveillance cette absence.          La veille de mon départ, le mail final était là. J’ai été surprise quand j’ai reçu l’adresse, elle me rassure, mais elle a quand même un côté mystérieux, elle n’est pas dans ma logique. C’est dans les détails que se cache le diable. *******      Dans l'obscurité oppressante de ce foutue parking désert, isolé de tout en pleine nature, aucun véhicule en vue, je me retrouve seule prisonnière de ma voiture, prise au piège au cœur de cet orage déchaîné. Le tonnerre gronde, résonnant comme un avertissement sinistre. Chaque éclair bleuté déchire le ciel, révélant des rideaux d'eau qui semblent danser malicieusement autour de moi. La lueur fantomatique des phares projette des ombres inquiétantes, accentuant mon sentiment d'isolement et d'incertitude. À la recherche fébrile de ce panneau salvateur, chaque seconde qui s'écoule dans cette nuit sinistre semble prolonger mon angoisse, comme si les éléments eux-mêmes conspiraient contre moi.         Dans ce cauchemar, je perds progressivement toute notion de direction, jusqu'à ce qu'un éclat surgisse soudainement dans la lumière des phares. Je guide ma voiture vers lui, entre deux balayages d’essuie-glaces, ce maudit panneau apparaît, il est et là, il m'attend. Il confirme l’adresse : Abbaye de Saint-Eutrope à 500 mètres. Zut ! Deux imposants blocs de pierre bloquent l'accès aux véhicules. Je vais devoir terminer le trajet à pied sous cet orage en pleine nuit à travers cette forêt lugubre. C'est impensable. Atteindre cette adresse relève d'un véritable calvaire, peut-être que je le mérite. Heureusement, je suis légèrement en avance. Et cette pluie qui ne cesse de tomber.      Dans un état d'angoisse croissant et emplie de questions, je coupe brusquement le moteur, j’éteins les phares. Plongé dans l'obscurité de l'habitacle, le fracas du déluge résonne sur la carrosserie ne fait qu'exacerber ma terreur, tandis que les rafales secouent violemment la voiture. Heureusement, j'ai ma grosse parka qui me procurera un semblant de protection contre la pluie battante. Le sol détrempé annonce la fin prochaine de mes Converses. Sur ce chemin transformé en torrent, les éclairs se reflètent par instants dans les flaques d'eau, créant une vision apocalyptique de ce monde en colère. Mon angoisse grandit, la peur de me perdre m'envahit, aucun point lumineux ne perce cette obscurité oppressante pour me diriger sur ce sentier. Je regarde mon portable, zut !!!! aucune barrette, je suis en zone blanche. Tel un marin désorienté au cœur des récifs, privé de tout phare pour le guider, je me trouve perdu, tiraillé par l'incertitude quant à la décision à prendre. Mon instinct de survie me crie d'attendre, mais une règle implacable m'oblige à être ponctuel, à l’heure dite devant cette porte.       Les minutes s’égrènent, l’orage ne faiblit pas, il va falloir prendre une décision, je me jette dans l’inconnue il faut y aller. Je sors de la voiture, c’est une furie je suis surprise par le bruit des bourrasques de vent dans le feuillage, les éclairs, le tonnerre, la pluie, c’est l’apocalypse une impression de fin du monde. La led de mon portable m’aide à me diriger sur ce sentier entre les feuillus. J’avance dans le néant toujours pas une lumière en vue, je suis terrorisé. D’un seul coup, un éclair puissant illumine la forêt d’un bleu métallique, en quelques secondes les arbres deviennent des ombres mouvantes brillantes, une fraction de seconde après le tonnerre, la puissance et la rapidité de l’onde de choc fait vibrer tout mon corps. Pour me protéger par réflexe je me suis accroupie est recroquevillé sur moi-même. Mon cœur bat la chamade. Je me mets à prier, je suis là, seule, c’est la main de dieu qui me fait payer mes dérives. Descendre en enfer semble être une sentence inévitable dans cette tourmente terrifiante.     Doucement je reprends mes esprits, il faut continuer à avancer, je reprends ma marche sur ce sentier boueux, mes Converse ne sont plus que des éponges, je commence à avoir froid, dans quel état je vais arriver devant cette porte. Au détour du chemin, au loin une lumière, un signe de salut. C’est le paradis, c’est l’enfer, mes soucis et mes tourments s’évanouissent, plus rien ne compte. Cette lumière représente l’accomplissement de ma destination. Un rayon d’espoir dans l’obscurité qui m’entoure.      Je continue à avancer vers cette lueur qui m’attire irrésistiblement c’est mon seul but. Je presse le pas malgré la pluie et les bourrasques de vent.  Quelle apparence je vais avoir quand je vais arriver devant cette porte ? Il faut que je m’échappe de cet enfer, cette lumière est ma protection. Parvenue sur l’esplanade de l’abbaye dans l’obscurité, la façade peine à se dévoiler. Je devine un style d’art roman. Une imposante porte à double battant en chêne massif barre l’accès, tandis qu’un judas muni d’une grille me défie.  Sous le porche, je tente de me protéger de la pluie. Un heurtoir devient mon unique lien avec le monde protecteur qui se cache derrière cette porte.      Je saisis le heurtoir et frappe frénétiquement pour signaler ma présence, le bruit résonne sinistrement à travers la porte. Dans l'attente, les secondes s'étirent, un silence oppressant règne, seulement perturbé par le grondement menaçant de l'orage et les bourrasques de vent qui s'engouffrent à travers les feuillages. Soudain, un doute lancinant m'étreint : est-ce qu'il y a réellement quelqu'un derrière cette porte ? Est-ce qu'elle va s'ouvrir ? En tentant de forcer l'ouverture, la résistance de la porte confirme qu'elle est fermée à double tour. L'idée de passer la nuit-là, au pied de cette porte, ou de rebrousser chemin vers ma voiture, me glace d'effroi. Même si l'enfer semble se tapir derrière cette porte, il me faut impérativement la franchir.       Je ressaisis fermement ce heurtoir et je frappe comme une damnée sur cette porte avec toute l’énergie du désespoir. Après quelques instants le portillon s’ouvre à travers la grille du judas Une voix divine s’adresse à moi. — Bonsoir !!! c’est pourquoi ? — Je suis Bérangère !!!! — Ah parfait nous vous attendions !!!! Soulagement, j’ai la sensation de me jeter dans les bras du diable, mais avec un délicieux bonheur. Après de multiples cliquetis de serrures et grincement de barre de métal, la porte finit par s’entrouvrir. Je me précipite dans l’entrebâillement de ce sésame comme si j’étais poursuivie par une meute de loups. Quelle n'est pas ma surprise lorsque je me retrouve face à un moine ! Son visage et son regard sont empreints d'une douceur apaisante, comme un rayon de soleil perçant les nuages de l’apocalypse que je viens de traverser. Ses petites lunettes rondes lui confèrent un air bienveillant, tandis que sa tête est ornée d'une tonsure, tel un halo sacré. Sa chasuble brune l'enveloppe comme un cocon protecteur, autour de sa taille, une corde blanche fait office de ceinture, trois nœuds pendants sur le côté évoquant une symbolique mystique. Il semble presque étonné comme moi, de me trouver là, son expression reflétant une sérénité presque surnaturelle. — Vous êtes complètement mouillée, venez-vous réchauffer, je vais vous donner une soupe chaude pour vous réconforter. — Merci, c'est très gentil, répondis-je avec gratitude. Avec un grincement sourd, la massive porte de chêne se referme derrière moi. Je l'observe actionner une à une les lourdes serrures, chacune claque dans un bruit métallique est résonne dans la nef. Puis, il saisit la barre de fer massive et la fait coulisser dans les anneaux, condamnant définitivement l'entrée. Je ne peux m'empêcher d'être impressionné par la solidité de cette porte de chêne, véritable rempart contre le monde extérieur. Cette tâche terminée, il m'invite à le suivre à travers un dédale de couloirs. Sa voix douce me réconforte. Je lui confie mes peurs sur le chemin menant à l'abbaye. Avec un sourire bienveillant, il me comprend et compatit. Il m'invite dans une petite salle sobrement meublée de quatre chaises et d'une table en formica. Il me propose de m'asseoir et de patienter pendant qu'il me prépare un bouillon chaud pour me revigorer. Après m'avoir laissée seule, je patiente dans un silence total, observant la pièce. La seule source de réconfort est le Christ en hauteur sur le mur, avec sa branche d'olivier. J'essaie de clarifier mes pensées et de comprendre la présence de ce moine et le lieu énigmatique où je me trouve. Mon éducation me pousse à remettre en question la logique de cet endroit et la raison de ma présence. Mon esprit s’évade, je suis d’un seul coup submergé par une profonde angoisse. Pourquoi suis-je ici, loin de mes proches ? Que fais-je dans cet endroit inconnu ? L'absence de repères familiaux pour me rassurer me laisse avec un sentiment de confusion et de détresse, ma gorge se noue, je me retiens de sangloter. Après quelques minutes, il revient avec un grand bol fumant, m'invitant à savourer lentement cette soupe pour me réchauffer avant ma rencontre avec le frère Thomas.  M’annonce-t-il !!! L'appellation "Frère Thomas" attire mon attention, car lors de nos échanges, il signait simplement "Thomas". De cela, j’en conclus que je vais également avoir affaire avec un moine, ce qui me laisse dubitative. Ma soupe terminée, son apparition inattendue me fait sursauter. Je le détail du regard, captivée par sa silhouette imposante qui se découpe dans l'encadrement. Son entrée solennelle et son regard perçant me laissent interdite, comme happée par sa seule présence.   Le Frère Thomas se présente, je suis surprise par son attitude. C'est un grand homme, qui porte une chasuble brune. Son visage est anguleux, avec des yeux marrons dissimulés derrière de petites lunettes rondes. Sa tonsure lui confère un air austère. Son regard impose l'autorité. Il dégage une aura de sévérité et de commandement. Lorsqu'il s'adresse à moi, sa voix est ferme et grave, ne laissant aucune place à la familiarité. Tout en lui inspire le respect et la soumission. Sa posture droite et son maintien rigide reflètent une discipline de fer. Je sens que cet homme n'acceptera aucune remise en question de son autorité. Son attitude m'intimide et me fait sentir que je suis une simple soumise face à lui. Je ne suis plus rien, ma jeunesse ne vaut pas grand-chose devant cet homme. Cette rencontre inattendue me plonge dans une terreur profonde. Je suis prise au dépourvu, sans échappatoire. Un frisson d'effroi parcourt mon être, m'envahissant d'une angoisse glaciale.  Il va me falloir affronter l'inconnu, même si cela signifie aller jusqu'au bout de mes décisions, dans un état de crainte et d'incertitude palpable. Il m'invite à le suivre, avec ses grandes enjambées, il se met à marcher d'un pas rapide dans ses sandales bibliques. Je dois presque courir pour parvenir à le suivre, peinant à garder son rythme effréné. Il trace sa route sans se soucier de moi, m’obligeant à le rattraper tant bien que mal. Je me demande avec inquiétude où il m’emmène ainsi. Arrivé devant une porte, il l'ouvre avec une clé. Il m'invite à entrer, je pénètre dans ce qui semble être son bureau. Au centre trône un imposant bureau en chêne, donnant à la pièce une atmosphère austère. Seul élément de modernité, un écran d'ordinateur brise la sobriété ambiante. J’en conclus rapidement que c'est de cet écran que tout a commencé il y un an. La pièce est plongée dans la pénombre, éclairée seulement par la lampe de bureau. Des vitraux en hauteur filtrent les éclairs de l'orage. Contre le mur, toujours présent, ce maudit Christ cloué avec sa feuille d’olivier semble me défier. Je me surprends en mon intérieur à blasphémer. Il s'installe dans son large fauteuil derrière son bureau, ne me proposant pas même la politesse de m'asseoir. Je reste debout, immobile face à lui, dans un silence pesant et oppressant. Il ne s'est même pas soucié de savoir si j'avais fait bon voyage pour venir, ni des difficultés que j'ai eues à rejoindre l'Abbaye à pied. Ma conscience me dit de prendre mes jambes à coup d’échapper à cet homme, de fuir ce lieu. Mais je reste là, immobile comme une prévenue face à son juge attendant la sentence. J’ai toujours ma parka mouillée sur moi, mes Converses trempées, je ne sais à quoi je ressemble et quelle attitude prendre. Je suis résignée à subir, incapable de me soustraire à son pouvoir. Je perçois un profond sentiment de culpabilité, je me sens fautive de me retrouver face à cet homme. Je n’ai pas résisté à ses échanges, mes pulsions avec le temps, elles ont pris le dessus. Il ne correspond pas du tout à l’image que je m’étais faite de lui, mais il y a quelque chose en lui qui m’hypnotise. Je perds tout sentiment de révolte, je subis. Sa prestance et son charisme m'impressionnent. Assis derrière son bureau il m’observe, je n’ose croiser son regard, je ne sais que faire de mes mains. J’ai un sentiment de culpabilité et de fascination. Je ressens un profond malaise, doucement je perds le contrôle de la situation. Je ne veux pas l’admettre, mais lui sait pourquoi je suis là !! Je me perds dans les méandres de mon esprit, je m’abandonne doucement à lui alors que je perds totalement le sens des réalités, de mes convictions. Telle une souris entre les pattes d’un chat, je suis l’objet de son jeu pervers, dont lui seul connaît l’issue fatale. Il me demande d’un ton autoritaire et sans appel : ‘’Déshabille-toi’’ !!!!! Ne laissant aucune place à la contradiction. Je reste immobile, réalisant soudain que je ne suis plus dans le cocon familier de ma chambre devant mon écran d’ordinateur. Je suis face à la dure réalité, ce n’est plus un jeu. Je suis face à mon prédateur. Je l’observe médusée. Je ne sais quelle décision prendre, m’enfuir vue la prestance à laquelle il se déplace mes chances seraient dérisoires. Il revient à la charge de façon plus autoritaire. — Je t’ai demandé de te déshabiller !!!!!!! Surprise et terrorisée, je n’ai d’autre choix que de baisser les armes, de me résigner, incapable de lui résister. Je commence à enlever la parka et la pose sur la chaise qui se trouve à côté de moi. C’est la première fois que je me déshabille devant un homme. Avec un sentiment de résignation, les mains tremblantes, je commence à me dévêtir lentement. Mes gestes sont hésitants, empreints d’une certaine pudeur face à cet homme qui m’observe. Je retire mon pull, puis je déboutonne avec précaution ma chemise, laissant peu à peu apparaître la peau de mon torse. Une sensation de vulnérabilité m’envahit à mesure que je me dévoile. Je pose le chemisier également sur dossier de la chaise. Les doigts tremblants je défais les lacets de mes Converses, je ressens le contact froid du carrelage sous mes pieds. Je défais ma ceinture, je fais glisser mon jean le long de mes jambes, me retrouvant bientôt en sous-vêtements devant lui. Je ne peux m’empêcher de croiser les bras sur ma poitrine, dans un geste instinctif de protection. Il me détail de son regard froid assis confortablement derrière son bureau. Malgré mon malaise, il ne montre aucune compassion ou compréhension. Au contraire, à son attitude, il doit se délecter d’une jouissance perverse face à ma soumission. Je suis là immobile en soutien-gorge et petite culote de jeune fille, impudique devant ce moine, au milieu de ce bureau et toujours ce Christ avec son laurier qui m’observe d’un regard inquisiteur. Ma honte est à son comble. Doucement au fond de mon bas ventre, une douceur est en train de naître. Je suis là, j’attends.  Quoi ? je ne sais pas. Voyant que je tarde à m'exécuter, il me rappelle à l'ordre d'un ton sec et autoritaire. — Je t'ai demandé de te déshabiller, c’est entièrement nue que je te veux !!!!!!! lance-t-il avec un ton qui ne souffre d’aucune contradiction. Avec toute l’énergie du désespoir je tante ma dernière chance. — Mais !!!!! Il ne me laisse pas le temps de terminer ma phrase. Il se lève en furie de derrière son bureau, de peur, j’ai un mouvement de recul. De sa taille imposante auréolée de sa chasuble, son regard perçant me transperce, me glace d'effroi. Son attitude dominatrice ne laisse aucune place à la négociation ou à la résistance de ma part. Face à son insistance autoritaire, je comprends que je n'ai d'autre choix que de capituler. En quelques mots, il me porte l’estocade. — TU LE SAIS POUQUOI TU ES ICI !!!!!!!!! En une fraction de seconde, j’ai compris la leçon, c’est le "coup de grâce", brisant définitivement toute volonté de m'opposer. Terrorisée, je baisse les armes, n'ayant d'autre issue que de me soumettre à ses exigences. Son ton et son regard ne me laissent aucune échappatoire. Ma gorge se noue, des sanglots commencent à remonter. Avec des gestes tremblants, je porte les mains à l'attache de mon soutien-gorge. Mes doigts hésitent un instant, avant de le détacher lentement. Le vêtement glisse le long de mes épaules, dévoilant progressivement la rondeur de mes seins nus face à son regard insistant. Une vague de pudeur et de vulnérabilité m'envahit alors que je me retrouve ainsi exposée devant lui. Malgré mon malaise, je poursuis mon déshabillage, faisant délicatement glisser ma culotte le long de mes jambes. Je me tiens maintenant complètement nue, mon intimité dévoilée à ses yeux avides. Mon corps frissonne sous le regard de ce moine, tandis que je me sens de plus en plus soumise à son emprise. Je ne peux m'empêcher de poser un bras sur ma poitrine, dans un geste instinctif de pudeur, une main sur mon pubis, mais cela ne fait que renforcer mon sentiment de vulnérabilité face à lui. J'ai l'impression d'être une proie face à son regard de prédateur, incapable de me soustraire à son emprise. Mon cœur bat la chamade, tandis que je me résigne à subir cette situation, n'ayant d'autre choix que de me soumettre à sa volonté. Frère Thomas, m’observe. *** Le visage de Bérangère est encadré par une chevelure blonde, qui contraste avec ses yeux d'un bleu limpide. Cette combinaison de couleurs lui confère une beauté douce et angélique. Ses traits fins et délicats lui donnent un côté femme-enfant qui accentue sa fragilité et son innocence. Ses grands yeux bleus reflètent une certaine naïveté. Sa bouche aux lèvres pleines semble hésiter entre l'expression de la peur et celle du désir naissant. Frère Thomas décèle une certaine vulnérabilité dont il se délecte, mais aussi une sensualité encore contenue. Son front lisse et son nez fin achèvent de dessiner les lignes harmonieuses de son visage, lui conférant une beauté pure et presque éthérée. Cette apparence juvénile et délicate tranche avec la situation dans laquelle elle est plongée face à Frère Thomas, renforçant son sentiment de fragilité. Son visage reflète ainsi un mélange de candeur et de sensualité naissante, accentuant son aura de vulnérabilité et de soumission. Frère Thomas croise les yeux bleus limpides de Bérangère, ils reflètent une profonde appréhension tandis qu’elle se trouve nue devant lui.       Sa silhouette élancée, d’environ un mètre soixante-dix, se dévoile dans toute sa fragilité. Ses seins ronds et fermes se soulèvent au rythme de sa respiration saccadée, ses tétons rosés pointant légèrement. Sa peau laiteuse frissonne sous le regard insistant de Frère Thomas, révélant la délicatesse de ses courbes. Sa taille fine se courbe gracieusement avant de s'élargir sur des hanches généreuses. Ses longues jambes fuselées se terminent par des pieds délicats, achevant de dessiner les lignes harmonieuses de son corps de jeune femme. Une légère toison blonde dissimule à peine son intimité, ajoutant à sa vulnérabilité face à lui. Malgré sa pudeur évidente Bérangère se tient là, offerte incapable de dissimuler davantage sa nudité. *** Il prend son temps, m'observe avec attention. Puis, il revient à la charge, d'un ton autoritaire. — Tes bagues et bracelets, tu les retires, tu les poses sur le bureau !!!!     Je suis surprise par cette exigence, mais j'obéis docilement, retirant mes bijoux pour les déposer sur le meuble comme il me l'a ordonné. — Ta chaîne aussi !!!! ajoute-t-il en la désignant d'un doigt autoritaire. Un moment de stupeur me saisit alors. Cette chaîne avec la médaille de la Vierge m'a été offerte le jour de ma première communion par mes parents, je ne la quitte jamais. Elle a une grande valeur sentimentale à mes yeux. Malgré mon hésitation, je porte les mains derrière ma nuque pour la détacher. Poitrine offerte, je la retire avec lenteur, avant de la poser sur le bureau, rejoignant mes autres bijoux. Un sentiment profond d'abandon m'envahit alors. Retirer cette chaîne, c'est comme perdre une part de mes valeurs, de mon identité, de ma foi. Je me sens dépossédée, vulnérable face à son exigence. Je ressens de sa part aucune compassion. Il maintient son attitude autoritaire et inflexible. Il semble tirer une forme de satisfaction de me voir me soumettre à ses ordres, malgré mon trouble évident. Son regard posé sur moi, face à lui, je suis perdue. Si un malheur m'arrivait, personne ne saurait où je me trouve. Il revient à la charge — Tes mains sur la tête !!!!!! — Comme un pantin, je lui obéis docilement. C'est lui désormais qui tire les ficelles. Il s'approche de moi, ma poitrine lui est offerte, palpitante d'appréhension. Je n'ose croiser son regard, car jamais un homme auparavant ne m'a touchée de façon aussi intime. Je sens ses mains se rapprocher, jusqu'à saisir fermement mes seins. À ce contact à la fois ferme et doux, tout semble exploser dans ma tête en un instant. Mes valeurs, mes tabous, tout vole en éclats. C'est mon corps qui décide à ma place, je perds le contrôle. Je n'ai plus de volonté propre, c'est mon corps à présent qui mène la danse. Cette découverte de ma sensualité et de l'éveil de mon désir me déstabilise. Je me sens envahie par des émotions contradictoires, à la fois gênée et curieuse, effrayée et fascinée par ces nouvelles sensations. Lorsqu'il caresse délicatement mes tétons, je les sens s'éveiller, se durcir sous ses doigts. Je ressens une montée progressive du désir, comme si mon corps tout entier était en train de fondre sous ses caresses expertes. A chaque effleurement de ses doigts cela éveille en moi une excitation de plus en plus grandissante. Doucement, avec volupté, je m'abandonne à ses caresses. Mais dès que je me laisse aller, il me le fait payer cher. D'un geste brusque, il saisit le bout de mes tétons entre ses doigts, les pince violemment, les tire vers le haut. Une vive douleur me traverse, par réflexe, je cherche à protéger mes seins de mes mains. — Tes mains sur la tête !!!! Me rappelle-t-il avec violence, tout en serrant mes tétons plus fort et en accentuant la traction vers le haut. Soumise, j'obéis, remettant mes mains sur la tête. Je grimace de douleur, essayant en vain de soulager cette traction en me hissant sur la pointe des pieds. Il joue avec mes seins, alternant les tractions douloureuses et les caresses de plaisir. Je suis complètement perdue, ballottée entre ma souffrance et ma sensualité, ne sachant plus où donner de la tête. Je me retrouve prise dans un jeu de domination ou la douleur et le plaisir se mélangent me laissant dans un état de confusion et de soumission. Abandonnant mes seins, sa main glisse lentement sur mon ventre, poursuivant sa descente vers mon pubis. Bien que je sois apeurée, redoute ce contact, mon corps semble le réclamer avec ardeur. Sa main s'enfouit dans ma toison pubienne, elle enveloppe délicatement ma vulve. Ses doigts s'insinuent entre mes grandes et petites lèvres, cherche à débusquer mon clitoris. Bien que cette main autoritaire me terrorise, je ne peux le nier elle décuple mon plaisir au centuple. Lorsque je me caresse moi-même, j'éprouve du plaisir, mais cette caresse experte semble le démultiplier, me laisse dans l'incertitude de ma réaction. Je suis partagée entre la peur et l'excitation, mon corps réagit avec une sensualité que je ne me connaissais pas. Je me sens submergée par ces sensations nouvelles, ne sachant comment y faire face. Ses doigts caressent délicatement mon clitoris, envoyant une décharge de pur plaisir à travers tout mon corps. Mains sur la tête comme il me l'a ordonné, j'ai du mal à garder l'équilibre, tant les sensations m'enveloppent. — Tiens-toi droite !!!!" me rappelle-t-il d'un ton autoritaire. Je reprends la position, complètement submergée par les méandres du plaisir qui m'emportent dans un flot tumultueux. Il joue avec mon clitoris, le faisant rouler entre ses doigts experts. Je plonge mon regard bleu dans ses yeux sombres, je suis égarée, ne pouvant que lui implorer d'accepter mon pardon, de ne pas m'abandonner ainsi. Mais il n'en a que faire, il continue de jongler avec mon plaisir. Dès que je m'affaisse sous l'effet du plaisir, il relâche son étreinte, me forçe à reprendre pied tant bien que mal. Je suis complètement submergée, incapable de résister à cette vague de jouissance qui me submerge. Son contrôle absolu sur mon corps et mes réactions me laisse dans un état de confusion et de vulnérabilité totale. Hors du temps, je suis emportée dans un tourbillon de plaisir, comme un ressac qui ne cesse de me submerger. Doucement je me noie, je perds pied, happée par un flot continue de sensations agréables. Il me rappel à l’ordre d’une voix dure — Tiens toi droite !!!!! J’obéis, complètement sonnée, je suis dans un nuage de coton mais jambes chancellent Ses doigts caressent mon clitoris, mon corps est traversé par une décharge de plaisir. Les mains sur la tête, j’ai du mal à maintenir sur mes jambes, elles fléchissent, il me rappelle à l’ordre de son ton autoritaire. — Tien toi droite !!!!! Je reprends la position, je suis perdu dans les méandres du plaisir, celui-ci m’emporte dans un flot tumultueux. Il joue avec mon clitoris, il le fait rouler entre ses doigts. De mes yeux bleus, je croise encore son regard noir, j’ai perdu mon âme, je lui implore à nouveau d’accepter son pardon de m’abandonner ainsi. Mais il en n’a cure, il continue de jongler avec mon plaisir, dès que je m’affaisse, il relâche son étreinte. Et moi comme un pantin j’en redemande. Je n’ai plus de morale. Il recommence à jouer avec mon plaisir, intensifiant ses caresses. Je me sens prise au piège, incapable de résister à l'orgasme qui approche. Depuis le plus profond de mon être, une vague de sensations dévastatrices déferle à travers mon corps, tel un tsunami. Je ne tiens plus sur mes jambes. Je m’effondre au sol, il ne me lâche pas. Il tient ma vulve à pleine main. Il fait rouler mon clitoris entre mes lèvres. L’orgasme ne s’arrête pas. Il l’entretien, je serre les cuisses pour garder sa main en moi. — Je suis ton maître !!!! — Oui, vous êtes mon maître !!!! — Tu es ma soumise, mon esclave !!!! — Oui je suis votre soumise, votre esclave !!! — Tu es ma chienne !!!! — Oui je suis votre chienne !!!!!! J’accepte tout, même le plus abjecte, ces paroles ne font qu’amplifier mon orgasme, il me lamine je ne suis plus rien, j’explose comme un big-bang intérieur, je me volatilise, je n’existe plus !!!! Il me lâche, doucement l’orgasme me quitte en douceur, couchée sur le sol en chien de fusil, je reprends doucement mes esprits. Il me tend la main, avec dévotion, je me mets à lécher ses doigts recouverts de mon essence intime. Un sentiment de plénitude m'envahit. J'ai compris, au plus profond de mon être, que mon seul but désormais sera de retrouver la force et l'intensité de cet orgasme, quoi qu'il m'en coûte. Un rempart vient de s’effondrer, je suis prête à trahir toutes mes valeurs, mes tabous pour ce plaisir. Je suis allongée au sol, dans l'attente, n'osant sortir de mon univers de jouissance et de bonheur. Après quelques minutes, un ordre fuse soudain : — Remets-toi debout, mains sur la tête !!!! domptée, je m'exécute docilement, me positionnant face au bureau. Je le vois alors sortir du tiroir une poche en toile de jute. Il la pose sur le meuble, le bruit évoque celui de pièces métalliques à l'intérieur. Il plonge sa main dans le sac en toile, il sort à ma grande surprise un collier de métal, tel un symbole d'esclavage. — Relève ta chevelure et dégage ta nuque.  M'ordonne-t-il. J'obéis docilement, offrant ma nuque découverte. A ma grande surprise je ressens un délicieux sentiment de soumission m'envahir, je m'abandonne complètement à cet homme, à sa volonté. Il ouvre le collier et le passe autour de mon cou. Je sens le contact froid du métal, le poids de cette servitude qui s'abat sur moi. Il referme le collier sur mon cou avec une sorte de clef, j’entends le clic de la serrure qui confirme mon asservissement. Pendant quelque seconde j’ai un sursaut de réalisme cela provoque en moi un profond malaise spirituel et psychologique le contraire de mes valeurs chrétienne, mais mon choix est fait le désire de me soumettre et le plus fort, j’accepte avec délice le port de ce collier. Je fais le grand saut de l’ange, je plonge avec bonheur dans les ténèbres de l’enfer. Il me pose également des bracelets aux poignets et aux chevilles. A mon grand étonnement, j’ai comme un ressentiment de fierté, un sentiment de liberté, mon corps est libre de vivre ses propres désirs comme il le souhaite. Je me sens libérée du carcan religieux. — Mets-toi genoux !!!! Je m’exécute et je m’agenouille à ses pieds. Il me tend son pied chaussé de sa sandale biblique. Je me prosterne humblement, je prends délicatement son pied entre mes mains. Je me mets à le lécher avec dévotion, je réalise que plus rien ne m'appartient désormais. Je suis entièrement vouée à cet homme, je suis prête à me dissoudre dans le sol. Soudain, je sens la pression d’une pique sur ma nuque. Il me force alors à rester prostrée à ses pieds, une sensation de soumission totale m'enveloppe. Je reste là immobile dans toute ma nudité, une joue posée sur ses pieds, je suis heureuse et sereine de lui offrir ma soumission. — Debout, mains sur la tête !!!! Ordonne-t-il soudain. J'obéis aussitôt, prenant la position exigée. C'est alors que je découvre qu'il tient dans sa main une sorte de baguette fine et souple, dont je sentais la pointe sur ma nuque. — Tête droite ! m'intime-t-il. Je sens la baguette glisser sous mon menton pour redresser ma posture. Soudain, la baguette s'abat avec force sur ma poitrine, provoquant une vive douleur, comme une lame de rasoir. " — AAAÏÏÏE !!!! je m'exclame, Je reculant par réflexe pour éviter un nouveau coup. — Reviens ici, à mes pieds !!!! me menace-t-il, brandissant sa baguette. Apeurée, je m'exécute. Je réalise alors avec effroi une compagne de ma soumission, que j’avais oublié, celle de la douleur !!!! Je décèle dans son regard et sur ses lèvres une expression empreinte de sadisme, trahissant son plaisir à me voir souffrir. Je vois arriver un second coup de baguette, cette fois sur mon ventre. Je contracte instinctivement mes abdominaux pour tenter d'encaisser le choc. Mais la douleur est vive, telle une lame de rasoir qui me cisaille l'estomac. — AAAAARGH !!!!! Je hurle submergée par la souffrance. — Rentre le ventre !!!!! m’ordonne-t-il. Malgré la douleur lancinante, je m'efforce d'obéir, sentant les sanglots monter dans ma gorge. Je suis perdu dans mes contradictions, m’infliger de la douleur, je l’acceptais, mais la subir me fait peur. Celle-là, je ne l’ai pas vu venir, un coup de baguette plus fort et bien plaquée sur mes cuisses me rappelle à l’ordre. La douleur est cuisante. — Tes cuisses écartée !!!!! Me demande-t-il d’un ton dur. J’obéis, de mes yeux bleus je lui implore un peu de clémence. — Parfait c’est la position que tu devras avoir chaque fois que l’on te demande d’avoir les mains sur la tête. — Oui maître !!!! apeuré je lui réponds. Dans ma tête dans un mélange d’émotion contradictoire tout s’entrechoque, le plaisir de ma soumission et cette douleur, dans quel enfer veut-il m’amener ? Je le vois prendre un morceau de papier sur le bureau, il dégage mon front, il le plaque sur mon front, et appuis fermement je sens plusieurs fois la pression de ses doigts sur mon crâne et il retire le papier. Je me demande ce qu’il peut bien y avoir sur ce papier. — Voilà, maintenant tu n’es plus Bérangère, tu es le numéro 27 !!!!!! Retiens bien ce numéro !!!! Quand il m’annonce ce nombre écrit sur mon front, j’ai comme un sentiment d’être dépouillée de mon individualité d’être réduite à un simple numéro qui me déshumanise. Cela suscite chez moi un sentiment d’isolement, de séquestration, d’inquiétude et d’incertitude sur ce qui m’attend pour la semaine avenir. — Tourne toi, tu poses tes mes mains sur tes chevilles !!!!!! Je le regarde, les mains toujours sur la tête, ébahie et je ne comprends pas ce qu’il veut. Je me prends un violent coup de baguette sur les cuisses — AAAAARGH !!!!! — Je t’ai dit de tourner et de poser tes mains sur les chevilles !!!! Je réalise l'étendue de ma dégradation, je m'incline, le visage brûlant de honte, exposant à son regard les zones les plus intimes de mon intimité. Comment ai-je pu me résoudre à une telle soumission, moi qui ai suivi avec assiduité l'enseignement du catéchisme ? Jamais je n'aurais cru me retrouver un jour dans une position si crue et offerte, face à un homme d'Église. Je suis au plus profond de mon humiliation, je lutte mais mon corps aime ça, pour moi la partie est perdue d’avance. Mon corps attend cette main qui viendra fouiller mon intimité. J’attends, il ne se passe rien, il doit se repaître du spectacle que je lui offre. Une douleur violente et cuisante vient me cisailler mon entre jambe, je ne l’attendais vraiment pas celle-là. De douleur, les larmes aux yeux je me relève, protège mon sexe de mes mains. Je le regarde surprise des larmes coule long de mes joues. — Tes mains sur la tête, numéro 27, tu as pris du plaisir. Ici rien n’est gratuit ici en retour il va falloir en payer le prix fort. Une peur m'envahit. Je croise son regard, qui laisse transparaître de la méchanceté, de la cruauté, un plaisir malsain à me faire souffrir. Je me demande où je me suis fourvoyé, que vais-je subir. Il me passe une chaîne à mon collier et avec mes bracelets, me lie les mains dans le dos. Il donne un coup de téléphone. — Nous arrivons ! J’en conclus que des personnes m’attendent. Que va-t-il m’arriver ? Il tire sur ma chaine, nous sortons de son bureau, il m’entraine dans un dédale de couloir. J’ai toujours du mal à le suivre. La chaîne se tend, le collier me cisaille la nuque. Il en n’a cure, de l’autre main il tient cette baguette qui me fait peur. Je sens la fraîcheur du sol sous mes pieds nus, le vent frais caresse ma nudité, tandis que mes seins tressautent au rythme de mes pas. Il ouvre une porte, et me force à le suivre. L’endroit ressemble à une vaste chapelle, mais la faible luminosité rend difficile définir la limite entre la nef et le chœur. Deux moines nous attendent et me placent au centre du cœur qui domine la nef. J’ai le sentiment, là nue, avec mon numéro sur le front devant ces deux moines d’être fautive. Ils m’observent de leurs yeux suspicieux. Les mains attachées dans le dos, je ne peux cacher ma nudité. Un des moines s’adresse à frère Thomas, m’ignorant totalement. — On lui attache les mains devant ? — Oui parfait. Je me laisse faire prête à subir mon calvaire. Ils font descendre une corde du plafond. Je les observe incrédule. Ils attachent cette corde à mes bracelets et commencent tous les deux à tirer sur la corde avec énergie. Je ne peux empêcher cette traction, mes bras remontent au-dessus ma tête. Que vont-ils me faire subir ? De par leurs gestes et leur regard, ils n'ont aucune compassion pour moi. Je commence à sentir la traction sur mes articulations. — Pitié ne fait pas de mal !!!!! Ils ne se soucient guère de mes plaintes. Je sens les secousses des tractions à travers mon corps, les menottes à mes poignets me font souffrir. Mes pieds ne touchent plus le sol. Leurs robes de bure brune se balancent comme s'ils sonnaient les cloches de l'angélus. J'ai le sentiment de me comporter comme une martyre dans ma plus simple nudité, je pends au bout de cette corde, je me laisse aller, j’ai la sensation sournoise de leur offrir ma souffrance. Résignée, je m’abandonne à mes bourreaux. Quelque chose roule dans mon dos, les deux moines écartent mes jambes. Cette chose se positionne sous mon entrecuisse. Je baisse la tête, ma surprise est grande quand je vois un cheval d’arçon cubique mais positionné sur l’angle. Le moine relâche la corde et mon intimité vient se fendre sur cette arête. La douleur se répand dans mon bas ventre, je grimace de douleur. Chaque moine remonte mes chevilles en arrière et les fixent, je peux plus déplier mes jambes. Ma douleur et plus grande c’est une torture. Tout le poids de mon corps est sur cette arête.  J’ai l’impression que mon corps va se fendre en deux. Des larmes coulent le long de mes joues. — AAAAARGH !!!!! Il me laisse là seul, sans s'intéresser à mes plaintes, suppliciée au cœur de cette chapelle. La chapelle s’éclaire en totalité, et je découvre devant moi de longues tables des bancs, et sur les tables des couverts. En définitive c’est le réfectoire.   J’essaie de prendre appui sur mes chevilles pour soulager mon entre-jambe. Mais les crampes dans mes cuisses arrivent vite. De l’autre côté, je tire avec mes mains sur la corde pour me soulever, mais c’est mes bras qui finissent par me lâcher ? Je souffre le martyre, mes poignets sont douloureux par le métal qui les cisaille. Je suis en enfer, je subis ma torture avec abnégation. Je puise dans mes forces intérieures pour continuer à supporter cette douleur lancinante. Personne de ma famille, de mes amis, n’a connaissance du lieu où je me trouve, ni les épreuves que je traverse. Je suis seule face à ma souffrance. Dans un élan de lucidité, je m'imagine la réaction de ma mère si elle me découvrait dans cette posture, nue et soumise à cette torture. Loin de la honte, j'en serais fière. Je la défierais du regard, car je suis vivante et déterminée à vivre jusqu'au bout mes désirs, mes pulsions. Dans les méandres de ma solitude, ma résilience ne fait que s’amplifier face à cette adversité qui m’accable. Il y encore trois heures, jamais je n’aurais imaginé subir un tel supplice et en n’être le sujet de ce spectacle.   Les moines entrent dans la pièce en discutant entre eux, plaisantent, ils s'installent à leur table, indifférents à mon supplice, à ma souffrance. À travers mes larmes et la douleur de plus en plus vive dans le bas de mon ventre. Je remarque avec surprise la présence de plusieurs femmes nues, avec un numéro inscrit sur le front, un collier et des bracelets. Je comprends leurs rôles, elles servent le repas aux moines. Je remarque à table la présence du frère Thomas, de ses deux assistants, et également du frère qui m’a accueilli.   Une femme nue devant un pupitre lit à voix haute plusieurs chapitre de la bible pendant qu’ils prennent leur repas. Je me demande dans quelle bacchanale je me suis fourvoyée.   A suivre peut-être. 😉
634 vues 11 aime
Par : le 07/07/24
Bonne nuit Ou bon matin, qui le sait ... Posée entre la nuit et le jour Je reste à vaciller Dans cet entre deux Ni la nuit ni le jour La nuit et le jour à la fois Volets fermés Hors du temps Vous me parlez le jour Je vous réponds la nuit Je suis dans votre coeur le jour Vous êtes dans ma tête la nuit Ou l'inverse C'est l'un, l'autre L'Une et l'Un L'Un pour l'Autre Chacun avec l'Autre , son Autre Et l'inverse Balancier jour-nuit inexorable Je suis à Vous Vous êtes pour moi Effrayée Patient Ou l'inverse Équilibre des jours, des nuits Subtile exploration d'une rencontre Bouleversante Échange des coeurs Balance des âmes Et l'inverse Comment définir un équilibre... Une suspension. ... Je Vous appartiens Tout en légèreté Vous me tenez Sans me lâcher Votre coeur pris dans mes câbles d'acier Mon âme soutenue dans Vos fins fils d'araignée Et l'inverse Équilibre fragile Qui reste à penser À panser A respirer Puis à danser Inspirer expirer Respirer Cycle du corps Parcours de l'âme Chemin du coeur Jour, Nuit, L'Une, l'Autre, Vous, Moi Nous
404 vues 5 aime
Par : le 24/05/24
Helena, la pire vipère de l'immense Sibérie, siffle entre ses dents. Une pure salope qui sait vider les couilles d'un homme et le rendre exsangue pour des heures. Le général Bilal, dort les poings fermés,  il ronfle comme un buffle. Le colosse est terrassé. Helena ne paye pas de mine avec son corps d'ado, ses petits seins, sa chatte epilee et étroite, et. pourtant, elle sait arracher les orgasmes en cascade à un homme, l'epuiser, le conduire à l'orgasme final qui se termine presque en coma.  Valeri sait choisir ses espionnes. Bilal ne s'est pas méfié. Il pensait à un coup facile, sans risques, 10 mn douche comprise. Il ronfle...Helena ne perd pas de temps, elle communique avec son équipe et cracke les codes de l'ordi et du téléphone de Bilal. Tout est aspiré en peu de temps. Des virus indetectables sont implantés. Elle a fini son job. Mais elle n'a pas jouit, juste simulé, en bonne salope. Alors avant de partir, elle approche sa chatte de la bouche de Bilal. - Mange moi le clito, gros con, dit elle en russe. Et sans attendre elle se branle sur les grosses lèvres charnues de Bilal. Ce dernier grogne en dormant. Elle jouit et lui injecte sa cyprine dans sa gorge.  Elle marque son territoire. Bilal va finir amoureux fou d'elle et elle sait qu'elle finira par le faire marcher à la baguette.  Les avions cargos et les navires russes débarquent hommes et armes à Tobrouk, pour l' Africa Corp , le nom de leur nouvelle milice wagner. Bilal laisse faire et obéit bien. Joe l'endormi et Anthony Bliken  fulminent et menacent la Russie, sur Fox News. Emmanuel joue à l'autruche. Mali, Burkina, Niger,  à présent Lybie, bientôt Tunisie,  la Russie avance partout en Afrique sur le dos de la France et des USA. L'occident est en train de se faire mettre profond et il a mal au cul.  Bilal est devenu raide dingue d'Helena et de sa chatte étroite si jouissive. Un soir, alors qu'il ronfle de nouveau, complètement vidé, Helena le retourne et l'attache solidement au lit par les poignets et les chevilles. Elle sort une fine cane anglaise et commence à frapper. Bilal hurle. Helena lui fourre sa petite culotte dans la bouche. -ferme la gros porc. Tu vas morfler. Et elle frappe Bilal jusqu au sang. Il ne pourra plus s'asseoir pendant des jours et des jours. Bilal pleure de douleur. Il croit avoir affaire à une folle. Il tremble. Son cul saigne et Helena qui continue. Il tombe dans les pommes.  Au réveil, Helena est toujours là ! Cette fois il est vraiment mort de trouille.  Et cette folle qui commence à frapper la plante de ses pieds. Des douleurs terribles lui grillent le cerveau.  Allez savoir pourquoi, il se met à bander et ejacule.   Helena s'en aperçoit. Elle glisse sa main et broie le sexe de Bilal. Les yeux de ce dernier se révulsent.   - On ne jouit pas sans la permission de sa Maîtresse.  Elle fait pleuvoir les coups sur le dos de Bilal. Des douleurs terribles.  Il ne sait pas quand va se terminer son supplice. Il est en présence d'une sadique impitoyable, plus glacée et insensible que le grand iceberg qui coula le Titanic. Il sait que malgré sa taille de colosse, il ne fait pas le poids, face à cette furie.  Il regarde la petite chatte serrée d Helena. Il sait qu elle est devenue sa Maitresse absolue. Il sait qu'il est vaincu et brisé et pourtant il jouit de cela.  Il sait qu il aime lui obéir en tout et pour tout. Et de nouveau il se met à bander. Il ejacule, regarde sa Maîtresse d'un œil peureux.  Un éclair de folie dans les yeux d'Helena.  Elle s'accroupi au dessus des fesses en sang de Bilal et lui pisse dessus. Elle marque de nouveau son territoire...            
773 vues 6 aime
Par : le 23/05/24
J’ai envie de les voir Les yeux noirs Noirs de jais Je les imagine, les savoure à l’avance Le moment où je vais sentir ce regard qui devient plus profond Plus présent, plus intense Disparu le petit air amusé Envolé le sourire Cette lave liquide Ces deux lacs, puits sans fond Qui peuvent ordonner, me faire plier Me frustrer ….. et recommencer Ces deux lacs qui me regardent Sans rien me dire Juste me regarder Sur le grill Comme ils savent faire Laidy Sienne, tous droits réservés – Ne pas reproduire sans mon autorisation
280 vues 6 aime
Par : le 23/04/24
  Dans la masse des romans érotiques, "Pour me baiser, demandez-lui !" d'Edouard Offershare sort du lot son audace et son authenticité. Le livre plonge les lecteurs dans la vie intime de Lola et de son partenaire, explorant les thèmes du candaulisme, de la domination, et de lasoumission féminine avec une sincérité troublante. D'emblée, le livre interpelle par son titre provocateur et son contenu qui reflète les nuances complexes d'un couple qui explore des pratiques sexuelles hors normes. Le récit est se fait vrai et intense, c'est un témoignage qui oscille entre la fiction romancée et la réalité crue. Cette dualité captive et invite à la réflexion sur la nature des relations et des désirs humains. La prose d'Offershare est directe, parfois crue, parfois tendre. Elle peut être saluée pour son absence de clichés et sa capacité à immerger complètement le lecteur dans l'expérience des protagonistes. Le récit est un mélange d'introspections profondes et de descriptions explicites qui ne manquent pas de provoquer des réactions variées. Un autre lecteur souligne que le livre se "lit facilement sans marquer les esprits", ce qui pourrait suggérer une accessibilité qui peut soit plaire soit décevoir selon les attentes en matière de littérature érotique. Ce livre illustre également un amour peut-être inconditionnel, où voir son partenaire avec d'autres est perçu comme un acte d'amour ultime et sublime. Le candaulisme est traité non pas comme un simple fantasme, mais comme un véritable mode de vie qui défie les conventions sociales et personnelles. Avec "Pour me baiser, demandez-lui !", Offershare ne se contente pas de raconter une histoire; il invite ses lecteurs à questionner leurs propres perceptions de la fidélité, de l'amour et du désir. Ce roman, véritable fenêtre ouverte sur le monde souvent méconnu : le candaulisme, est un incontournable pour quiconque s'intéresse à l'évolution des relations amoureuses et des pratiques sexuelles dans la littérature contemporaine. (Livre découvert grace à Mme Angie)
427 vues 3 aime
Par : le 09/04/24
Jerry et Fred étaient deux amis de 24 et 25 ans. Leur amitié durait depuis longtemps et ils passaient énormément de temps ensemble. Malgré leur affection l’un pour l’autre, leur relation était surtout marquée par la compétition et la rivalité. Tout était bon pour se mesurer l’un à l’autre : le sport, la carrière, mais surtout les filles…. Ces deux-là étaient obsédés par la gente féminine et tentaient toujours de surpasser l’autre en terme de conquêtes féminines. Dans une soirée typique, les deux amis se préparaient avec soin, et une fois arrivés dans un bar animé, ils repèrent rapidement un groupe de filles et s’approchent vers elles. A partir de là démarrait une véritable bataille de séduction. Chacun cherche à surpasser l’autre à chaque étape. A chaque sourire ou baiser obtenu, ils se lancent des regards plein de défi et de rivalité. Chacun tente de prouver sa supériorité. Un jour, les deux amis jetèrent leur dévolu sur la même fille, une dénommée Kelly. Ils tombèrent tous les deux sous le charme, bavant comme deux porcs à chacune de ses apparitions. Une lutte acharnée démarra, jusqu’au jour où elle les invita tous les deux dans son appartement. Incapable de choisir entre ses deux prétendants, elle leur lança un défi : "Puisque vous aimez vous mesurer l’un à l’autre, vous aller être départagés au bras de fer ! Le gagnant sera mon petit ami, et le perdant sera notre esclave, et devra nous masser les pieds. » Dans l’esprit des deux jeunes hommes, cela a fait l’effet d’une bombe : chacun désire se rapprocher de Kelly mais surtout, chacun espère assoir une bonne fois pour toute sa supériorité sur l’autre. Commence alors le bras de fer. Fred, pourtant sûr de sa victoire et même ayant nargué son ami sur sa certitude de gagner, perd finalement le duel. Le pauvre ne comprend pas ce qui lui arrive et se trouve humilié devant Kelly. Dans un élan de désespoir, il tombe à quatre pattes devant le couple nouvellement formé. « Je…je ne comprends pas ce qui m’arrive…j’étais pourtant sûr de gagner… » « et oui, c’est dur d’être un loser !! ha ha » lui répondit Jerry avec un rire victorieux. Après sa défaite, Fred, contraint par l'accord qu'ils avaient passé, se retrouve à devoir obéir à Jerry et à Kelly. Sa première tâche consiste à leur masser les pieds, un geste d'humiliation supplémentaire qui lui rappelle sa défaite cuisante. Avec réticence et amertume, Fred s'exécute, réalisant que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette situation dégradante. Voilà Fred, pourtant fier et orgueilleux, à genoux devant son ancien rival, abandonnant toute dignité. En observant la façon dont Fred se soumet et exécute ses tâches, elle commence à ressentir du dégoût envers lui. Sa soumission totale et son comportement servile la font réaliser qu'il n'est pas l'homme qu'elle recherche. Elle se rend compte que sa compétition avec Jerry l'a conduit à un comportement pitoyable et dégradant. Dégoûtée, elle réalise que Fred n'est pas à la hauteur de ce qu'elle recherche chez un partenaire. Déçue par le comportement de Fred et impressionnée par la détermination et la force de caractère de Jerry, Kelly finit par tomber amoureuse de Jerry, le gagnant du duel. Jerry, ayant remporté la compétition et conquis son cœur, trouve un nouveau lien avec elle, basé sur le respect mutuel et la compréhension. Pendant ce temps, Fred, désormais soumis à Jerry et à Kelly, les vénère avec une dévotion presque fanatique. Il se laisse emporter par son adoration pour eux, espérant peut-être retrouver une once de dignité dans leur approbation. Fred supplie Jerry de lui laisser une seconde chance. « Je t’en supplie ! On recommence le bras de fer ! Je sais que je peux gagner !!! » Mais Jerry refuse. Désemparé et désespéré, Fred, réalisant la futilité de sa situation, tombe à genoux devant Jerry et lui embrasse les pieds, suppliant pour une seconde chance. Cependant, Jerry, impitoyable dans sa victoire, refuse catégoriquement. Il lui rappelle leur accord initial et la décision prise par Kelly. Malgré les supplications de Fred et son geste d'humiliation, Jerry reste inflexible, déterminé à maintenir sa position de pouvoir et de domination. C'est un moment de vérité pour Fred, qui réalise qu'il a perdu plus que la compétition, il a perdu son amitié avec Jerry et son respect de soi. Lorsqu'il est temps de servir à boire à Jerry, Fred s'incline humblement devant lui, le regard empli de soumission, et lui offre le verre en le désignant comme "maître", un mot chargé de symbolisme et d'humiliation pour lui. Ce geste marque un nouveau niveau de sa soumission, et Fred réalise qu'il est désormais relégué au rôle d'esclave, servant ceux qu'il avait autrefois considérés comme ses égaux. C'est un moment de vérité amer pour lui, confronté à la dure réalité de sa défaite et de sa condition de serviteur. Dans un acte ultime de soumission, Fred se retrouve contraint de servir de repose-pieds à Jerry et à Kelly. Il s'agenouille devant eux, incline sa tête et place son dos au niveau de leurs pieds, offrant ainsi un support pour qu'ils puissent y reposer leurs jambes. Fref réalise que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation, et il se résigne à son sort, sachant qu'il est désormais relégué au rang de simple objet, utilisé à leur convenance. Avec un mélange de résignation et de soumission, Fred s'incline devant Jerry et, d'une voix tremblante, l'appelle "maître". Ce mot, chargé de connotations de servitude et de respect absolu, marque un point de non-retour dans leur relation, symbolisant la domination totale de Jerry sur Fred. Jerry savoure sa victoire et son pouvoir sur son ancien rival. Jerry ordonne à Fred de lécher non seulement ses pieds mais aussi ceux de Kelly. Contraint par son statut d'esclave et l'autorité incontestable de Jerry, Fred se résigne à exécuter cet ordre dégradant. Avec répugnance et humiliation, Fred s'agenouille devant Jerry et Kelly, et commence à lécher leurs pieds, chaque coup de langue représentant une autre couche de son propre déshonneur. Dans cette situation, Fred se retrouve alors dans un état de confusion émotionnelle intense. Bien qu'il soit humilié et dégradé par l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une excitation inexplicable. Cette excitation peut provenir de divers facteurs, tels que le sentiment de soumission totale, le pouvoir que Jerry exerce sur lui, ou même une forme de masochisme latent. C'est une réaction complexe et troublante pour Fred, qui se trouve pris entre la honte de ses actions et la stimulation de ses propres désirs les plus profonds. Kelly embrasse son nouveau compagnon à pleine bouche avant de prendre congés. Elle ne jette même pas un regard à Fred, son ancien prétendant, désormais relégué au rang de larve. Malgré la honte et la dégradation ressenties lors de l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une stimulation physique intense qui se manifeste par une érection. Quand Jerry s’en aperçois, c’est pour lui la victoire ultime, l’occasion d’humilier un peu plus son ancien ami. « Mais !?...c’est qu’il prend du plaisir, le pourri ! T’es vraiment un déchet, Fred. Être en train de lécher des pieds et bander comme un porc…la déchéance, ha ha » « je…je ne sais pas ce qui m’arrive… », répond Fred, tête baissé. Dans un moment de clarté, Fred réalise pleinement son infériorité dans cette situation. Il prend conscience de sa position de soumission totale à Jerry, reconnaissant qu'il est désormais relégué au rang d'esclave, sans aucun pouvoir ni contrôle sur sa propre vie. Cette prise de conscience est un moment poignant pour Fred, car il réalise à quel point sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation. Le lendemain, Jerry arrive chez Fred. « Salut esclave ! Bien dormi ? » Fred, humilié mais toujours excité de cette nouvelle situation, se met humblement à genoux devant son maître. Fred lui annonce alors sa nouvelle "rouvaille " :  il a décidé de prêter son esclave à ses potes pour qu'il leur lèche les pieds ! Dans un acte de domination supplémentaire, Jerry décide de prêter Fred à ses amis, afin qu'il leur lèche les pieds également. Cette décision renforce davantage la position de pouvoir de Jerry sur Fred, en le plaçant dans une situation de soumission non seulement envers lui, mais aussi envers ses amis. Pour Fred, cela représente un nouveau niveau d'humiliation et de dégradation, étant contraint de se plier aux désirs non seulement de Jerry, mais aussi de ses amis. Le nouveau quotidien de Fred ressemble à un cauchemar éveillé, mais bizarrement celui-ci en éprouve un plaisir sexuel grandissant. Dans une journée typique, il se trouve contraint de lécher les pieds de Jerry à plusieurs reprises. Il passe des heures à genoux devant lui, se soumettant à ses désirs et à sa domination. Pour Fred, chaque coup de langue est un rappel douloureux de sa défaite et de son statut d'esclave. Malgré la honte et le dégoût qu'il ressent, il continue à obéir, y trouvant une étrange satisfaction.  Fred ressent une excitation inexplicable en léchant les pieds de Jerry. Malgré la honte et le dégoût qu'il éprouve, il est également stimulé par le sentiment de soumission totale et le pouvoir exercé sur lui par Jerry. Un après-midi, Fred était à quatre pattes devant son maître, en train de lui lécher les pieds, quand soudain, dans une intensité émotionnelle et physique extrême, il ressent une telle excitation qu'il finit par éjaculer dans son pantalon. C'est un moment de honte et de gêne supplémentaire pour lui, qui réalise l'ampleur de son humiliation et de son contrôle par Jerry et sa petite amie. La sensation du liquide chaud sur sa cuisse, ainsi que la tache visible sur son pantalon beige finit de le convaincre de son statut d’inférieur. Il s’écrie : « je…je suis désolé maître, je ne suis qu’un porc…. » « ça on est d’accord… Quand je pense que je perdais mon temps à me mesurer à un déchet comme toi….tu es pathétique Fred ! » Jerry jubile secrètement. Pour lui, l'éjaculation accidentelle de Fred est une validation ultime de son pouvoir et de sa domination sur lui. Ayant abandonné toute dignité, Fred, Fred se rend compte de son acte et s'adresse à Jerry, son maître, avec une voix tremblante. Il exprime ses excuses sincères pour son manque de contrôle et son comportement inapproprié, reconnaissant sa faute et sa soumission totale à Jerry. Dans un acte de domination cruelle, Jerry se moque de Fred, le traitant de déchet et de larve. « Tu me dégoutes, espèce de déchet ! » « Je sais maître, je ne suis qu’une larve. Je suis excité par le fait de vous servir ! » Ses mots sont acérés et blessants, soulignant la supériorité de Jerry sur Fred et renforçant encore plus le contrôle qu'il exerce sur lui. Pour Fred, ces insultes sont comme des os à ronger, exacerbant sa honte et son excitation. Il continue à se soumettre, acceptant sa punition méritée pour sa défaite et sa soumission totale. Dans un acte de soumission totale et de désespoir, Fred se retrouve à aboyer, exprimant sa dévotion et son obéissance à Jerry, son maître. Cet aboiement symbolise sa volonté de se conformer à toutes les exigences de Jerry, même s'il se sent humilié et dégradé. C'est un geste de soumission extrême de la part de Fred, qui cherche à apaiser Jerry et à lui montrer sa loyauté sans réserve. Fred se plie aux désirs de Jerry et exécute un comportement de chien, comme "faire le beau" et tirer la langue. Ce gestes, bien que dégradants, sont un moyen pour lui de témoigner son obéissance totale à Jerry et de chercher à apaiser son maître. Fred se trouve contraint d'agir de manière dégradante pour satisfaire les désirs de celui qui détient le pouvoir sur lui. En faisant le beau, Fred montre sa soumission totale à Jerry et accepte son statut d'esclave sans réserve. Malgré tout, tombant toujours plus bas, Fred continuer d’avoir des érections. Jerry ne manque pas de torturer son rival : « mais regardez moi ce porc ! Pire qu’un chien en chaleur ! » ha ha Les érections que Fred ressent dans ces moments de soumission peuvent être dues à un mélange complexe d'émotions et de stimuli. Malgré la nature dégradante des situations dans lesquelles il se trouve, l'excitation et la stimulation physique peuvent survenir en raison du mélange de soumission, de contrôle et d'émotions intenses. Le lendrmain matin, lorsque Fred lèche les pieds de Jerry pour le réveiller en douceur, il est à quatre pattes au sol. Jerry le regarde, d’un air supérieur. C’est alors que Fred se contorsionne et pousse des gémissements, avant d’éjaculer lamentablement sur le sol. Fred se sent honteux et embarrassé par son manque de maîtrise, et tente maladroitement de s'excuser tandis que Jerry, tente de le rassurer. "Ce n'est pas grave, déchet. C'est juste une preuve supplémentaire de ton dévouement total envers moi. Nettoie ça et reprends-toi." C’est un jour de juillet que Fred, malgré sa servilité, trouve suffisamment de force pour essayer de se libérer de son emprise. « S’il te plait Jerry, laisse moi partir. Depuis que tu m’as soumis à ton pouvoir, je ne suis plus capable de vivre normalement ! » « Qu’est-ce qui t’arrive, déchet ? Tu ne veux plus être mon toutou ? » rétorque Jerry, amusé. « non Jerry, je veux ma liberté ! » Jerry soupire, agacé par la détermination de Fred à se rebeller. « Tres bien, Fred. Si c'est ainsi que tu veux jouer... mais sache que tu ne seras jamais libre de moi. Tu es à moi, corps et âme. Et tu le resteras pour toujours. » Fred se redresse, un feu déterminé dans les yeux, prêt à affronter les défis qui l'attendent. « Peut-être, Jerry. Mais je suis prêt à tout pour retrouver mon humanité. Même s'il me faut lutter seul contre toi, je suis prêt à le faire. Adieu » Sur ces mots, Fred se lève et quitte la pièce, laissant Jerry seul avec ses pensées et sa propre cruauté. C’est alors que Fred, toujours aussi soumis malgré son comportement, sent une ejaculation monter en lui, au moment ou il quitte la pièce. « oh non !...non, pas encore ! » La puissance de son plaisir le fait tomber à quatre pattes. Jerry, profitant de l’occasion, se place victorieusement devant lui : « Tu es mon esclave, Fred. Tu ne peux pas y échapper ! » Fred, abandonnant définitivement toute idée de liberté, est obligé de reconnaître que son corps a choisi de se soumettre à jamais. Il se jette sur les pieds de Jerry et les couvre de baisers : « Pardon maître ! Je sais que j’ai essayé de partir, mais je ne suis qu’un porc, un déchet ! Pitié, reprenez moi ! » La sentence est cruelle et implacable : Fred est condamné à passer sa vie à lécher les pieds de Jerry, soumis à son autorité et à sa domination pour l'éternité. C'est une existence de servitude perpétuelle, où Fred est réduit au rôle d'esclave, sans espoir de liberté ou de rédemption. Pour Fred, c'est un châtiment impitoyable, condamné à une vie de dégradation et d'humiliation constante, lui rappelant chaque jour sa défaite et sa soumission totale à celui qu'il avait autrefois considéré comme un ami.
1.7000 vues 2 aime
Par : le 02/04/24
Ton souffle s’accélère, ton corps se tend, tu es y presque. Tu me demandes “Est-ce que je peux jouir?”. “Pas tout de suite” je réponds, tout en continuant les va-et-vients qui sont en train de te faire décoller. Après quelques dizaines de secondes, je plonge mon regard dans le tien et je te lâches “Tu veux un orgasme?”. Evidemment que tu veux… Je m’interromps brutalement, j’attrape tes cheveux et tourne ta tête vers le coin de la pièce. “Si tu en as autant envie, alors montre le moi. Va te mettre dans ce coin, face au mur, et fais toi jouir toute seule”. Tu me regardes incrédule, alors je t’encourage “allez!”. Tu m’as longuement dit ce besoin de te faire humilier, alors aujourd’hui j’en joue. Cela fait déjà plusieurs fois que je te pousse au dernier moment à te donner toi même la libération, telle une droguée qui a besoin de son shoot, celui que tu as tant de mal à obtenir avec la personne qui partage ta vie “civile”. Alors toujours à quatre pattes, tu descends du lit, tu rejoins le coin de la pièce, et tu t’accroupis. J’ai du mal à distinguer maintenant, mais je vois que tu t’actives, et puis très vite, je l’entends. Ton souffle s’accélère de nouveau, ta main remue furieusement. Tu manques de perdre ton équilibre. Alors je décide de porter l’estocade qui va, je le sais, t’emporter: “Allez dépêche toi, montre moi comme tu es une bonne chienne en chaleur”. Ta main accélère, ta tête bascule en arrière, et le long râle qui accompagne toujours ton plaisir commence à monter dans la pièce. Le râle retombe, puis haletante, au bout de plusieurs minutes, tu reviens sur terre. Tu réalises ce que j’ai fait de toi un court instant: un animal conditionné à son propre plaisir. Des larmes montent à tes yeux, des larmes de honte, d’en être réduite à cet état de dépendance, auquel tu ne cède pas d'habitude, mais aussi des larmes de joie, d’avoir su t’abandonner, quitter le rôle de la mère de famille propre sur elle. Celle qui ne doit pas craquer. Sous aucun prétexte. Ici ce n’est pas toi qui t’occupe des autres, c’est moi qui m’occupe de toi. Alors je ne te laisse pas longtemps dans cet état, je te prends dans mes bras, tu t’accroches à mon cou, et nous restons là longtemps, savourant le moment que nous venons de nous offrir hors du monde... (image du net)
716 vues 14 aime
Par : le 19/03/24
Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
915 vues 13 aime
Par : le 11/03/24
Dans la quête de compréhension et d'acceptation des diverses expressions de la sexualité humaine, le BDSM occupe une place à part, qui si elle a l'attrait du mystère a à souffrir aussi de bien des préjugés. Historiquement marginalisées et mal interprétées, les pratiques  BDSM  ont longtemps été bien mal considérées (dans tous les sens du terme). Pourtant, au-delà des apparences et des idées reçues, ces pratiques révèlent une complexité et une profondeur qui méritent d'être explorées et comprises dans leur intégralité. Le BDSM, dans son essence, est un échange de pouvoir consensuel, où les participants négocient des dynamiques de domination et de soumission dans un cadre sécurisé et respectueux. Cette négociation repose sur une communication ouverte, le consentement éclairé et une confiance mutuelle, éléments fondamentaux pour une expérience satisfaisante et enrichissante pour toutes les parties impliquées. Contrairement aux perceptions courantes, le BDSM n'est pas uniquement axé sur la douleur ou la domination, mais sur l'exploration des limites physiques, émotionnelles et psychologiques, dans le but de renforcer les liens entre partenaires et de favoriser une plus grande intimité. Cette exploration des limites et de la dynamique de pouvoir nécessite une compréhension approfondie des besoins, désirs, et limites de chacun. Elle demande également une capacité à naviguer dans ces espaces avec soin, éthique et responsabilité. C'est dans ce contexte que "L'art de dominer" de Dossie Easton prend toute son importance. L'ouvrage propose un cadre réfléchi et éclairé pour aborder les relations de pouvoir érotiques, en mettant en lumière les nuances et les complexités du BDSM. Il s'adresse à ceux qui sont curieux de cette pratique, ainsi qu'à ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances et à affiner leurs compétences dans l'art de la domination et de la soumission. L'art de dominer" de Dossie Easton constitue une excellente approche. L'auteure ne se contente pas de tracer les contours d'une pratique  ; elle plonge au cœur de la complexité et de la beauté inhérente aux relations de domination et de soumission, offrant aux lecteurs un guide à la fois philosophique et pratique. Ce premier volet est destiné entièrement à à la domination (le second ouvrage "L'art de se soumettre" est lui, ça alors, dédié à la soumission)  Le livre dépasse les stéréotypes et les simplifications excessives. Easton démystifie l'idée réductrice selon laquelle la domination serait synonyme de tyrannie ou la soumission de faiblesse. Au contraire, elle révèle comment ces rôles peuvent être source d'empowerment et de croissance personnelle, soulignant la distinction cruciale entre "prendre" le pouvoir et "se voir confier" le pouvoir dans un cadre de confiance et de respect mutuel. Au fil des pages, "L'art de dominer" aborde avec clarté et profondeur les différents aspects qui constituent la base d'une relation BDSM saine : la communication, le consentement, la négociation des limites, et l'importance du debriefing après les sessions. Easton insiste sur le fait que ces éléments ne sont pas seulement des prérequis à une pratique sécuritaire du BDSM, mais qu'ils sont également fondamentaux pour renforcer la connexion émotionnelle et psychologique entre les partenaires. L'ouvrage se distingue par son approche pédagogique, guidant les novices à travers les premiers pas dans l'univers du BDSM, tout en offrant aux adeptes plus expérimentés des réflexions et des techniques avancées pour enrichir leur pratique. Que ce soit à travers la discussion des jeux de rôle, des scénarios de domination et soumission, ou encore de l'importance des aftercare, "L'art de dominer" se révèle être une ressource précieuse, soulignant la diversité et la richesse des expériences que le BDSM peut offrir. Enfin, l'auteure ne néglige pas les aspects éthiques et moraux inhérents au BDSM, confrontant les lecteurs aux questions de responsabilité, d'éthique du consentement et du respect des limites. Ce faisant, elle positionne "L'art de dominer" non seulement comme un guide pratique mais aussi comme une réflexion morale sur la nature du pouvoir, de l'amour et de la confiance dans les relations humaines. Avec "L'art de dominer", Dossie Easton livre donc bien plus qu'un simple manuel ; elle offre une invitation à repenser la manière dont nous comprenons et engageons les relations de pouvoir dans un contexte érotique, en mettant en lumière le potentiel de croissance, de découverte et d'intimité qu'elles recèlent. C'est un ouvrage indispensable pour tous ceux qui aspirent à explorer les profondeurs de leurs désirs et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants avec leurs partenaires. Après une lecture approfondie, il est manifeste que cet ouvrage se démarque car il se fait véritable ressource pour quiconque s'intéresse à la dynamique de la domination et de la soumission dans le cadre du BDSM. À travers ses pages, Dossie Easton transcende la simple explication des pratiques BDSM pour toucher à l'essence même des relations humaines, enrichies par un échange de pouvoir consensuel et réfléchi. L'auteur parvient à déconstruire les mythes et préjugés qui entourent souvent le BDSM, le présentant non pas comme un ensemble de pratiques marginales ou déviantes, mais comme une forme riche et variée d'expression relationnelle et érotique. Sa capacité à rendre ces concepts accessibles sans jamais simplifier à l'excès témoigne d'une réelle maîtrise du sujet. Un aspect particulièrement appréciable de l'ouvrage est d'insister sur l'importance du consentement, de la communication et du respect mutuel. L'auteure souligne régulièrement par l'exemple que ces principes ne sont pas uniquement cruciaux pour la sécurité et le bien-être des participants, mais qu'ils constituent également le fondement d'une relation BDSM épanouissante. En mettant l'accent sur le consentement éclairé et la négociation des limites, l'auteure encourage une pratique du BDSM qui est non seulement sûre mais aussi profondément connectée aux besoins et désirs de chaque partenaire. Le livre brille également par son approche inclusive, reconnaissant la diversité des expériences et des identités au sein de la communauté BDSM. L'auteure parvient à ne pas sombrer dans  une vision monolithique de la domination ou de la soumission, mais explore plutôt la richesse et la variabilité des rôles, des pratiques et des désirs qui caractérisent la communauté. Cette approche permettra à bien des lecteurs de se retroiuver dans les mots de l'autrice, qu'ils soient novices curieux ou pratiquants expérimentés cherchant à approfondir leur compréhension.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
494 vues 5 aime
Par : le 03/09/23
C'est un peu par hasard que nous sommes tombés sur un article concernant le Free use. On s'est rendu compte que la manière de percevoir le freeuse variait pas mal d'une personne à l'autre, et que la pornographie était assez réductrice quant à cette pratique. Le freeuse repose sur une séparation entre un partenaire utilisateur et un partenaire objet. Les videos pornos mettent souvent en scène des femmes qui servent les hommes, souvent dans des relations où la pluralité improbable. On essaie dans cet article de vous proposer une synthèse de ce que nous semble être la pratique du Freeuse en synthétisant ce que l'on a pu lire sur le sujet. Mais on ne détient pas la vérité. C'est une vision parmi d'autres. N'hésitez pas à commenter pour partager votre perception différente, si vous en avez une. Bonne lecture !!! :) --- Le terme "freeuse" (l'espace entre les deux a fini sur certains sites par disparaitre aboutissant à créer un mot presqu'à part !)  a récemment gagné en popularité dans les alcoves comme dans les médias, suscitant à la fois curiosité, débat voire controverses (notamment sur certains réseaux sociaux).. Mais qu'est-ce que le freeuse exactement ? Et comment se positionne-t-il par rapport à d'autres pratiques ( est-ce du BDSM ? du fétichisme ?) ou ce que beaucoup considèrent comme le sexe "normal" ? Vous avez dit "freeuse" ?!? Le terme "free use" provient de l'anglais, on pourrait le traduire littéralement par "usage libre", ou en se rapprochant de la réalité de la pratique "en livre service". Dans le contexte sexuel, il fait référence à une dynamique où un ou une partenaire est disponible pour l'autre à des fins sexuelles, souvent sur pulsion de la première (la personne "utilisatrice") et sans nécessité de séduction ou de préliminaires prolongés pour entamer la relation. C'est toujours plutôt bestial. Cette disponibilité de la personne "objet" est basée sur un consentement préalable, où le/la partenaire "utilisé(e)" accepte d'être disponible pour l'autre. Il est crucial de noter que, bien que cette dynamique puisse sembler unilatérale, elle repose sur le consentement mutuel et une communication ouverte entre les partenaires. Le freeuse peut prendre différente formes, allant de simples attouchements ou caresses à des actes sexuels plus hardcore. La clé est que le partenaire "utilisé" a accepté cette dynamique et est d'accord pour être "utilisé" de cette manière. Au cours des dernières années, le concept de "freeuse" a gagné en visibilité, notamment du sait de sa mise en lumière par Internet et les médias sociaux. Des forums de discussion aux plateformes de partage de vidéos, en passant par des récits érotiques, le freeuse est devenu un sujet de curiosité pour beaucoup et d'attirance parfois.. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette montée en popularité. Tout d'abord, la nature même du freeuse, qui joue avec les dynamiques de pouvoir et les tabous, peut être intrinsèquement intrigante pour certains couples. Dans une société où la sexualité est de plus en plus débattue ouvertement, de nouvelles formes d'expression sexuelle émergent et sont explorées. Cependant, il est important de noter que, comme pour toute tendance ou phénomène culturel, ce qui est représenté dans les médias ne reflète pas toujours la réalité ou la complexité des relations réelles basées sur le freeuse. Les représentations dans les vidéos (du genre Youporn/Pornhub) peuvent souvent être exagérées ou scénarisées pour l'effet "dramatique". Pour comprendre le "freeuse" et l'intégrer dans vos pratique, il est essentiel de bien distinguer la fiction de la réalité. Le free use, avec sa dynamique unique de consentement et d'utilisation, soulève de nombreuses questions quant à sa classification dans le vaste spectre des pratiques sexuelles. Est-ce une forme de BDSM, compte tenu de ses évidentes dynamiques de pouvoir ? Peut-on le considérer comme un fétichisme, étant donné que l'acte d'"utiliser" un partenaire peut être attirant et source d'excitation ? Ou est-ce simplement une autre facette de ce que l'on pourrait qualifier de sexe "normal", une variante parmi tant d'autres dans la diversité des relations intimes ? Ces questions ne sont pas seulement académiques ou théoriques. Elles ont des implications réelles pour ceux qui envisage de pratiquer le freeuse ou ont deja franchi le pas. Comprendre où se situe le freeuse peut aider à décomplexer r la pratique, à établir des limites claires et à assurer une expérience positive et consensuelle pour toutes les parties impliquées. En fait, le "freeuse" peut prospérer dans un cadre le BDSM, dans le fétichisme ou tout simplement dans le sexe vanille, et dans la pratique, explorer l'une ou l'autre de ces facettes, ou un peu toute.   Comprendre le concept de "freeuse" Le concept de "freeuse", bien que relativement récent comme on l'a vu, trouve ses racines dans des dynamiques plus anciennes de relations et de sexualité. Pour comprendre pleinement son émergence, il est essentiel de retracer son histoire et ses origines. Précurseurs historiques À travers les âges, différentes cultures et sociétés ont eu des pratiques où un partenaire était à la disposition de l'autre, souvent dans des contextes de hiérarchie ou de pouvoir. Bien que ces situations ne soient pas directement comparables au freeuse moderne basé sur le consentement, elles montrent que l'idée d'une disponibilité sexuelle n'est pas nouvelle. Dans nos sociétés patriarchales, il s'agissait surtout d'une mise à disposition du corps de la femme pour le mâle dominant. Émergence dans la culture érotique Avec l'avènement d'Internet et la démocratisation de la pornographie et de la littérature érotique, de nouveaux genres et niches ont vu le jour. Le free use, en tant que concept, a commencé à gagner en popularité dans ces cercles, souvent présenté comme une pratique où un partenaire est constamment (dans des intervalles de temps convenus, tout de même) disponible pour l'autre. Apparition du mot "freeuse" Le terme "freeuse" lui-même semble avoir émergé au début des années 2010, principalement sur des forums et des plateformes de partage de contenus pour adultes. Sa popularité a augmenté à mesure que la pratique gagnait en visibilité (en s'invitant dans la presse grand public) et que les discussions autour de celui-ci se multipliaient Le rôle et l'influence des réseaux sociaux Avec l'essor des médias sociaux, le freeuse a trouvé une plateforme pour une discussion plus large. Des communautés dédiées ont vu le jour, permettant aux adeptes d'échanger des expériences, des conseils et des réflexions, contribuant ainsi à façonner et à définir davantage le concept. Le freeuse et le BDSM Free use et BDSM ont des points communs À première vue, le freeuse et le BDSM peuvent sembler partager de nombreuses similitudes. Freeuse et BDSM ont des différences Bien que le freeuse et le BDSM partagent donc certaines similitudes, ils diffèrent également à plusieurs égards. Ces différences se manifestent principalement dans les objectifs poursuivis, les pratiques spécifiques et les limites établies. Le free use et le fétichisme Le fétichisme est un terme qui englobe une vaste gamme de fanstames sexuels. Pour certains, il s'agit d'une fascination pour un objet spécifique (example, fétichisme des escarpins), pour d'autres, d'une partie du corps (fétichisme du pied par exemple), et pour d'autres encore, d'une situation ou d'un scénario particulier (fantasme de l'infirmière par exempleà. Mais comment le freeuse s'inscrit-il dans le cadre du fétichisme ? Définition du fétichisme Dynamiques de pouvoir : Au cœur du BDSM et du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir. Dans le BDSM, cela peut se manifester par la domination et la soumission, tandis que dans le freeuse, cela se traduit par la disponibilité d'un partenaire pour l'autre. Dans les deux cas, un partenaire assume un rôle plus "actif" ou "dominant", tandis que l'autre adopte un rôle plus "passif" ou "soumis". Consentement : Le consentement est fondamental dans les deux pratiques. Sans consentement, ni le BDSM ni le freeuse ne sont considérés comme acceptable. Dans le BDSM, le consentement est souvent formalisé à travers des discussions préalables, des contrats et des safewords (mots de sécurité). Dans le freeuse, bien que les modalités puissent varier, le consentement est tout aussi crucial, garantissant que les deux parties sont à l'aise avec la dynamique, et revêtir, là encore, une formalisation..   Négociation : Avant d'explorer le BDSM ou une relation basée sur le freeuse, une négociation est souvent nécessaire. Cela permet aux partenaires de définir leurs limites, leurs désirs et leurs préoccupations. La négociation assure que les deux parties sont sur la même longueur d'onde et qu'elles ont une compréhension claire de ce à quoi s'attendre. Dans le freeuse, cela pourrait inclure des discussions sur quand et comment la "disponibilité" s'applique, ou quelles sont les limites à ne pas franchir. Objectifs : BDSM : Les adeptes du BDSM cherchent souvent à explorer des dynamiques de pouvoir, à repousser leurs limites physiques ou émotionnelles, ou à vivre des scénarios spécifiques. Il peut s'agir d'une exploration profonde de soi, d'une catharsis émotionnelle ou d'un jeu de rôle. Freeuse : L'objectif principal du freeuse est la disponibilité constante d'un partenaire pour l'autre. Il s'agit moins d'une exploration des limites que d'une immersion dans une dynamique spécifique de disponibilité et d'utilisation. Pratiques : BDSM : Le BDSM englobe une vaste gamme de pratiques, allant du bondage à la discipline, en passant par la douleur, la domination et la soumission. Ces activités peuvent nécessiter des outils, des équipements et une formation spécifique. Freeuse : Le freeuse est généralement plus centré sur l'acte sexuel lui-même, sans nécessiter d'équipement ou de préparation spécifique. Il s'agit davantage d'une disponibilité spontanée que d'une mise en scène élaborée. Limites : BDSM : Dans le BDSM, les limites sont souvent clairement définies avant une session. Les partenaires peuvent utiliser des "safewords" pour signaler leur inconfort ou leur désir d'arrêter. Les limites peuvent concerner des actes spécifiques, des zones du corps ou des scénarios. Freeuse : Bien que le consentement soit toujours primordial, les limites du freeuse peuvent être plus fluides. Par exemple, la disponibilité peut être constante, mais avec des exceptions spécifiques. Les limites peuvent également évoluer avec le temps, en fonction du niveau de confort des partenaires. Bien que parfois contractualiser, le freeuse est plus "souple" dans sa pratique. Le fétichisme se réfère à une attirance sexuelle intense pour un objet non vivant, une partie du corps non génitale, ou une situation spécifique qui n'est pas typiquement considérée comme sexuellement stimulante pour la majorité des individus. Cette attirance peut être si intense qu'elle est nécessaire pour la satisfaction sexuelle de l'individu.   Le free use comme fétichisme Objetification : Au cœur du freeuse se trouve l'idée d'objetification consensuelle. Un(e) partenaire est "utilisé" par l'autre, souvent sans les préliminaires ou la phase de séduction traditionnelle. Cette objetification peut être perçue comme un fétichisme en soi, où l'acte d'utiliser ou d'être utilisé est la principale source d'excitation. Le rôle : Dans le freeuse, les rôles sont clairement définis : un partenaire est l'utilisateur, l'autre est celui qui est utilisé. Pour certains pratiquants, c'est cette dynamique de rôle qui est la principale source d'excitation. De la même manière que certains fétichistes peuvent être attirés par des rôles spécifiques, les adeptes du freeuse peuvent être attirés par le rôle d'utilisateur ou d'utilisé. La situation : Le free use est souvent basé sur des situations spécifiques : un partenaire est toujours disponible pour l'autre, quelles que soient les circonstances. Cette constante disponibilité, et les situations qui en découlent, peut être le fétiche en soi. Que ce soit la spontanéité, l'absence de préliminaires, ou la nature "à la demande" du freeuse, la situation elle-même peut être la principale source d'excitation. Le fétichisme est-il toujours présent dans le freeuse Le freeuse, avec sa dynamique unique d'utilisation et de disponibilité, peut certainement présenter des éléments qui rappellent le fétichisme. Cependant, tous les actes ou relations basés sur le freeuse ne sont pas nécessairement fétichistes : Diversité des motivations : Tandis que certains peuvent être attirés par le freeuse en raison d'un fétichisme spécifique (comme l'objetification ou une certaine dynamique de pouvoir comme on vient de le voir), d'autres peuvent être attirés par le freeuse pour des raisons complètement différentes. Par exemple, certains peuvent voir le freeuse comme une expression de confiance et d'intimité profonde, sans nécessairement avoir une fixation fétichiste. La centralité de l'attirance : Dans le fétichisme, l'objet, la partie du corps ou la situation spécifique est souvent central pour l'excitation ou la satisfaction sexuelle de l'individu. Dans le freeuse, bien que la dynamique d'utilisation soit centrale, elle n'est pas toujours la principale source d'excitation. Pour certains, le freeuse peut être une partie d'une relation sexuelle plus vaste, et non la seule source d'intérêt. Fluidité des rôles : Alors que le fétichisme peut souvent être centré sur un intérêt ou une fixation spécifique, le freeuse peut être plus fluide. Par exemple, bien que le freeuse puisse souvent impliquer une dynamique unilatérale, les rôles peuvent parfois être inversés ou adaptés en fonction des désirs et des besoins des partenaires. Contexte culturel et social : Il est également important de reconnaître que la perception du freeuse comme fétichisme peut être influencée par des contextes culturels et sociaux. Dans certaines cultures ou communautés, le freeuse peut être vu comme une pratique marginale ou fétichiste, tandis que dans d'autres, il peut être perçu comme une expression normale et acceptable de la sexualité. Et si le "freeuse" était en fait l'antichambre de la Domination/soumission ? Le freeuse, avec sa dynamique d'utilisation et de disponibilité, a souvent été comparé à d'autres pratiques sexuelles, notamment le BDSM. Mais pourrait-on aller plus loin et suggérer que le freeuse est en réalité une introduction, ou une "antichambre", à la Domination ? Ou du D/s light. Le freeuse : une initiation aux dynamiques de pouvoir Au cœur du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir claire : un partenaire est disponible pour l'autre, souvent à la demande. Cette disponibilité, basée sur le consentement, introduit une asymétrie dans la relation. Pour certains, cette première expérience de dynamique de pouvoir peut éveiller un intérêt pour des jeux de domination/smoussion plus poussés.   Des rôles clairement définis Tout comme dans la Domination, le freeuse repose sur des rôles clairement définis. L'utilisateur/utilisatrice et l'utilisé(e) ont des responsabilités et des attentes spécifiques. Cette clarté peut préparer le terrain à des rôles plus élaborés, comme ceux de dominant(e) et de soumis(e), présents dans les relations BDSM.   La communication et le consentement comme fondements Le freeuse, lorsqu'il est pratiqué de manière éthique, repose sur une communication ouverte et un consentement mutuel. Ces compétences sont essentielles dans toute relation de domination. Ainsi, le freeuse peut servir de terrain d'entraînement pour développer ces compétences cruciales.   Limites et exploration : Le freeuse encourage les partenaires à définir leurs limites et à les communiquer clairement. Cette exploration des limites peut naturellement évoluer vers une exploration plus approfondie des désirs, des dantasmes et des dynamiques de pouvoir, conduisant potentiellement à la Domination. Les 7 obligations sexuels de la "personne objet" dans une relation "freeuse" Disponibilité : Être prêt et disponible pour des activités sexuelles selon les termes convenus, cela peut aller d'être réceptif à tout moment ou seulement pendant des périodes spécifiées à l'avance (exemple : pas durant le sommeil). Réceptivité : Répondre aux avances de la personne utilisatrice avec volontarisme et entrain,, en se conformant aux désirs et aux scénarios préalablement convenus. Préparation : Selon les préférences du couple, cela peut signifier s'assurer que le corps est propre, rasé, ou préparé d'une manière spécifique pour l'acte. Utilisation de protections : Si nécessaire, s'assurer que des protections comme des préservatifs ou d'autres méthodes contraceptives sont utilisées pour garantir la sécurité des deux partenaires. Participation active : Même si la personne "objet" est dans un rôle plus "passif", elle doit s'assurer de participer activement pour le plaisir de l'utilisateur, que cela signifie répondre aux stimulations Respect des scénarios : Si un scénario spécifique a été convenu (par exemple, jouer un rôle particulier ou adopter une certaine attitude), la personne "objet" doit s'y conformer. Utilisation de jouets ou d'accessoires : Si cela fait partie de l'accord, être prêt à utiliser ou à être utilisé avec des jouets ou des accessoires sexuels. Les 5 droits fondamentaux de la "personne utilisatrice" sur la "personne objet" Dans le cadre du freeuse, la personne "utilisatrice" est encouragée à embrasser pleinement son rôle, profitant de la dynamique unique offerte par cette relation. Ces droits, toujours basés sur le consentement mutuel, sont conçus pour maximiser le plaisir et l'expérience de l'utilisateur. Voici une liste incitative des droits de l'utilisateur, spécifiquement axée sur la dimension sexuelle de la relation. Droit à l'initiative : En tant qu'utilisateur, vous avez le droit de guider l'interaction sexuelle selon vos désirs, sans vous poser de questions sur le consentement (puisqu'il a été établi en amont). C'est où vous voulez, quand vous voulez, à la fréquence que vous voulez (plusieurs fois par jour, ou deux fois par an, c'est vous qui décidez). Droit à la disponibilité : Votre partenaire "objet" est là pour votre plaisir. Aucune autre considération ne compte. Vous avez le droit de vous attendre à ce qu'il/elle soit prêt(e) et réceptif/ve à vos avances, dans les limites que vous avez définies ensemble en amont. Exemple : Si une envie vous prend en pleine nuit, votre "objet" devrait être prêt à faire ce que vous lui demandez pour satisfaire pleinement vos désirs. Droit à l'exploration : Vous avez le droit d'explorer vos fantasmes et vos désirs, en utilisant votre partenaire "objet" comme instrument de votre plaisir. Droit à la satisfaction : Votre plaisir est au cœur de cette relation. Vous avez le droit de chercher à être pleinement satisfait à chaque interaction. Exemple : Si vous n'avez pas atteint l'orgasme, vous êtes en droit de guider votre "objet" jusqu'à ce que vous y parveniez, y compris en lui indiquant en quoi il/elle s'y prend mal.. Droit à la communication : Bien que vous soyez dans le rôle dominant, vous avez le droit d'exprimer vos besoins, vos désirs et vos limites clairement. Vous avez le droit d'arrêter un rapport en plein milieu si vous avez changez d'avis ,sans justification.  
3.1000 vues 26 aime
Par : le 03/09/23
Pour les pressés : Accepter de se faire hypnotiser prouve une grande confiance en l'hypnotiseur. Ce dernier ne peut pas vous faire de mal mais peut vous donner les moyens de vous dépasser. Cela fait longtemps que j'hypnotise des gens pour plein de raisons différentes. Ne l'ayant pas inscrit sur mon front et n'en ayant pas fait ma profession, j'ai souvent droit au mêmes réactions : je ne te crois pas, de toute façon ça marche pas sur moi, ou encore, j'ai trop peur de ce que tu pourrais faire, etc. Poutant la plupart des gens finissent par se laisser hypnotiser et en ressortent toujours, soit satisfaits, soit persuadés que ça n'a pas marché. Pour les seconds, c'est très marrant de voir leur tête quand je leur fais écouter l'enregistrement audio de la séance. Car l'hypnose ça marche ! Et en ce qui nous concerne, c'est un puissant levier dans les relations basées sur la domination puisque la soumise commence par donner son consentement à l'hypnotiseur. Et ça c'est le début de toute relation D/s. Explication. L'hypnose, c'est quoi et comment ça marche ? Oubliez tout de suite les films américains et les séries télé. L'hypnose ce n'est pas un pouvoir magique digne de Harry Potter. C'est un état de conscience modifié très bien documenté et enseigné à l'université, au profit des professions médicales, car il permet de mieux gérer la douleur et les traumatismes. C'est logique quand on sait que l'un des pionners de l'hypnose est James Esdaile, un chirurgien écossais qui opérait ses patients sous hypnose en Inde. À l'époque, le chloroforme n'avait pas encore été découvert et une opération consistait souvent à amputer un membre. Et oui, James Esdaile découpait les jambes de ses patients après les avoir hypnotisés pour supporter la douleur. Effectivement, on pourrait croire que c'est de la magie mais c'est beaucoup plus simple que ça : c'est une suggestion qui fait du bien et donc on l'accepte. L'hypnose ce n'est rien d'autre que des suggestions que l'hypnotisé accepte ou pas en fonction de sa conception du monde (éducation, croyances, etc.). On dit que l'idée est congruente avec son système de valeiurs.  En pratique, on commence par "hypnotiser" ou plutôt induire la personne dans cet état de conscience modiifé. C'est un état entre rêve et conscience, celui-là même que l'on ressent quand on se laisse aller et qu'on fait un rêve éveillé. Souvent, le praticien commence par vous inviter à vous relaxer et à vous laisser aller, presque vous endormir. Félicitations, vous venez d'expérimenter votre premier phénomène hypnotique ! L'hypnose est une série de suggestions, il n'y a pas besoin de vous "endormir" pour cela. C'est juste que c'est rassurant pour les gens et ça les persuade qu'ils sont sous hypnose et rend la suite plus facile. Car au fond "vos paupières sont lourdes, vous êtes de plus en plus relaxés, etc." ce sont des suggestions que vous acceptez parce que c'est plus agréable d'être relaxé que tendu comme un string. L'hypnose, ça commence au moment où vous acceptez ce que l'hypnotiseur vous dit. Vous savez, la phrase après bonjour : "Asseyez-vous" ou "Alongez-vous"... Et ça s'arrête à l'instant où l'hypnotiseur dit quelque chose qui vous perturbe. Car si c'est facile de créer un environnement propice aux suggestions positives, il est encore plus facile de briser cette dynamique par une suggestion ratée comme : "vous flottez sur un nuage" à quelqu'un qui souffre de vertige ou "vous nagez dans un océan de douceur" à quelqu'un qui ne sait pas nager. Donc oui, l'hypnose c'est facilement réalisable mais c'est un équilibre très fragile. Et ça Hollywood l'a complètement oublié. La notion de consentement face à l'impossible Comme je viens de l'expliquer, pour hypnotiser quelqu'un il faut son consentement. Et ça va même plus loin, il faut son consentement conscient et inconscient. Avec l'hypnose, on va explorer ce que veut réellement la personne hypnotisée. Il n'y a pas de triche possible. La moindre incohérence ou mauvaise intention va gêner l'hypnotisée et la faire sortir de cette dynamique. Mais alors comment font les hypnotiseurs de spectacle pour vous faire oublier votre prénom ou faire le canard ? Parce que c'est ce que veut la personne hypnotisée. Dans une salle de 300 spectateurs, il y en a toujours une vingtaine qui aimerait bien être sur scène, être le centre d'attention, la star du moment ! Et la volonté de se donner en spectacle est plus forte que la peur du ridicule. Parce qu'après tout, durant un spectacle, il ne peut rien vous arriver de grave et tout le monde le sait. Même s'il vous fait sauter dans le vide, vous savez pertinemment que c'est sans danger et que vous allez atterrir sur un matelas ou être retenu par un elastique. C'est cette notion de sécurité absolue qui sera prédominante et permettra à l'hypnotiseur de faire tout ce qu'il veut avec vous. Ou plutôt, ce que vous lui autorisez à vous faire faire. Car quoi qu'on en pense, on ne cède jamais le contrôle absolu. L'instinct de survie et de protection veille au grain. Mais alors, comment s'envoyer en l'air sur un petit nuage sous hypnose ? Mon inconscient sait bien que ce n'est pas possible ? En effet, tout le monde sait qu'on ne peut s'allonger sur un nuage, sans risquer une chute vertigineuse et d'un gros boum. Mais l'idée de pouvoir le faire est séduisante. Elle ne dérange en rien mon instinct de survie. Elle n'est pas néfaste. Et elle est surtout super agréable ! Alors à la suggestion "imaginez vous flotter sur un nuage..." la plupart des gens vont se dire "ah ouais... c'est bien..." et voilà comment l'impossible devient possible. Voyager à Tokyo en moins de temps qu'il n'en faut pour réserver un billet d'avion, c'est possible. Retrouver la vigueur de ses vingt ans, c'est possible. Ressentir plus de plaisir que jamais... ça s'appelle l'hypnose érotique ! L'hypnose ne va pas changer le monde qui vous entoure mais guider votre imagination là où vous le voulez. Par contre, si vous voulez aller Tokyo, les élans et les pancakes au sirop d'érable ça ne va pas fonctionner. Le consentement et la congruence sont les clés de tout ! Même de l'impossible. L'hypnose et le dépassement de soi Depuis le début de cet article, j'insiste sur l'importance du consentement qu'il soit conscient ou insconscient. Et c'est ce même mécanisme qui définit la relation D/s : la soumise donne sa soumission et donc son consentement à son Maître. Elle accepte de lui obéir en échange de la possibilité de se laisser aller en toute confiance, de pouvoir s'en remettre complètement et totallement à Lui. Et grâce à l'hypnose son Maître peut créer l'environnement parfait pour la faire évoluer. Il peut guider son imagination dans le plus beau des donjons. Transformer le clic clac d'une chambre de bonne en un palais vénitien qui embaume le plaisir et la luxure. Le remplir de personnages célèbres et lui faire croiser le Divin Marquis en plein débat avec Pauline Réage. Juste en distillant quelques suggestions que la soumise va faire grandir, telle que "des nombreux auteurs d'oeuvres érotiques fréquentent ce donjon". Tout est dans sa tête et elle cherchera ce qui est le plus en adéquation avec sa conception du monde. Attention, cela ne signifie pas forcément quelque chose d'agréable. Une masochiste aime la douleur et acceptera la souffrance sans aucun problème sous hypnose. Mais peut-être pas notre soumise... Et si on ne peut faire que des choses que l'on accepte sous hypnose, comment se dépasser ? C'est là que vont intervenir le savoir-faire et le talent de l'hypnotiseur. Comme dans le monde réel, il va faire progresser sa soumise petit-à-petit. En s'armant de patience et d'attention. Sauf que sous hypnose, le temps est relatif. Avancer ou reculer dans le temps c'est comme faire un pas devant ou derrière car l'imagination n'a pas de limite. Ainsi, on peut facilement suggérer un futur dans lequel la soumise a déjà largement dépassé une certaine limite.Lui montrer à quel point elle est heureuse dans ce futur. Et  qu'elle est la fierté de son Maître qui ne parle que de sa soumise capable de faire ce qu'elle cherche à réaliser dans le présent. Que pensez-vous qu'il se passe quand la soumise revient à la réalité avec le sentiment de déjà-vu quand on lui demande de faire cette chose qui lui était jusque-là impossible ? Et les possibilités sont infinies. Elles n'ont comme limite que l'imagination de l'hypnotiseur  Avec l'hypnose, le Maître détient un outil supplémentaire pour dominer sa soumise. L'hypnose a trois avantages majeurs : elle n'est pas dangereuse ; il n'a aucun effet si elle est incongrue ; et pourtant c'est l'un des outils les plus puissant de tous. En conclusion, l'hypnose est une technique qui permet de suggérer des idées et de les faire germer et grandir en un temps record dans l'esprit d'une soumise. Cependant, par la nature même d'une idée, elle sera rejetée immédiatement si elle ne s'accorde pas avec le système de valeurs de la personne hypnotisée. Ce mécanisme inconscient d'auto-défense permet d'offrir la plus parfaite des protections pour la soumise qui peut avoir l'assurance qu'elle peut se laisser aller complètement. Et c'est en toute sécurité qu'on peut lui ouvrir les portes des possibilités infinies de l'imagination et les mettre au profit d'une soumission bien réelle. Car comme le dit mon profil : "Les plus belles chaînes sont dans la tête..."
817 vues 4 aime
Par : le 16/08/23
Pénis, mon beau Pénis ! Dresse toi et deviens dur et fort.  Pénis, mon beau Pénis ! Honore la femme! Retiens ta semence et fais moi jouir! Ce sont les paroles que j'ai apprises à  Clara pour se servir de la superbe verge de Maso. Il a les yeux bandes, les mains liées dans le dos, son gros penis au gland bien rouge et gonflé de désirs pointe bien droit devant. Clara est en manque. Comme toutes les femmes trop belles et trop intelligentes, elle vit seule. Elle a du mal à  se trouver un homme pour vivre avec. Alors comme elle souhaité devenir mon esclave, je lui prête Maso comme je lui prêterais un sex toy.  Maso est debout, il ne peut rien voir. Clara appuie ses coudes sur la table du salon et offre son superbe fessier. Elle mouille et dégouline, la chatte en feu. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas fait l'amour.  La quarantaine, pas d'enfants. Tout pour sa carrière de militaire et son job qu'elle adore. Elle sent bon la cyprine.  Je lui ecarte ses petites lèvres et attire le splendide penis de Maso. Lui aussi, cela fait longtemps qu'il n'a plus pénétré une femme  depuis que je refuse de faire l'amour avec lui. Je suis sa Domina, plus du tout son amante.  Son gros gland a un peu de mal à  entrer tellement Clara est étroite.  Voilà  ça y est! Il est bien au fond. Le vagin serré doit être incroyablement jouissif pour les deux. Une vague de plaisir semble les tétaniser. Penis  mon beau Pénis,  jouissance tu n'auras que lorsque je te l' ordonnerai ! Je les laisse à  présent. Clara sait ce qui lui reste à  faire pour arriver aux orgadmes à répétition. C'est elle qui mène le jeu et les va et viens comme elle en a envie. Je vais me servir un verre et ferme la porte pour les laisser seuls.  ....un récit que je vais continuer. Il n'est pas fini. En attendant la suite  un petit rappel sur la fête du Penis au Japon.  Au Japon, Kanamara Matsuri est un festival annuel organisé dans la ville de Kawasaki Kanamara Matsuri se traduit littéralement par "Festival du pénis d'acier en érection".Il s'agit d'une tradition exprimant la reconnaissance pour le don de la création de cet organe corporel important Après cette parenthèse,  reprenons ce récit. Une demi heure après, j'ouvre la porte du Salon. Maso et Clara sont toujours en train de forniquer. Le carrelage, sous eux, est couvert de sécrétions vaginales et autres et de sperme. Maso n'a pas pu se retenir. La chatte étroite et qui a peu servi doit être incroyablement jouissive. Maso s'excuse aussitôt.  Il est trop tard. Un ordre non respecté mérite la plus sévère correction. Je les prends par l'oreille tous les deux, pince très fort et les mène ainsi à la salle de torture. Ils ont très peur de moi à présent. Même Clara n'en mène pas large. Je les attache à  côté  l'un de l'autre sur le chevalet. Deux belles paires de fesses bien offertes. Je prend un outil de frappe en bois que j'ai fait faire par un ébéniste. Un fort bel objet, avec une surface de frappe très large qui couvre tout le fessier. Cela fait horriblement mal. Au bout de trois frappes la douleur est insupportable.  Maso en prend cinq d'entrée. Il n'a pas le droit de hurler sa douleur. Il est tétanisé et débranche.  C'est au tour de Clara. A la troisième frappe elle supplie. L'erreur a ne pas faire avec moi. - tu veux être mon esclave alors tu la fermes et tu assures. Et elle prend trois frappes de plus. Elle débranche à son tour. j'éteins la lumière et les laisse récupérer dans le noir. Une heure après, je viens les libérer. D'un geste  sans un mot  je leur fait comprendre d'aller nettoyer le salon. Mzso le fait avec la langue. Clara l' imite. J'ai toujours mon terrible instrument de torture à la main. Cela a intérêt de briller.  Je saisi Clara par les cheveux et lui flanque deux gifles hallucinantes de jet kune do. Les gifles à la Bruce Lee. Clara ne s'étendait pas à  une telle douleur. Maso à fait une faute, il paie. Il sait pourquoi. Toi c'est pour le plaisir.  -Maîtresse  je vous aime.   -Veux tu m'épouser ? -Oui, je le veux Je tire ses cheveux en arrière et l'embrasse à pleine bouche. La langue de Clara est si douce.  -Ok, tu repères ton engagement devant mon témoin et toi le tien, qui choisi tu?  Clara répond Maso sans hésiter.  Ce dernier en est tout fier. Il n'ose pas lever la tête. Pourtant je sens qu'il est complètement détendu, parfaitement bien  comme un homme après avoir fait l'amour. Je devine qu'il doit être devenu complètement dingue de la chatte si étroite et si jouissive de Clara.  -on fera cette cérémonie ce soir. En attendant je vais aller faire un jogging en forêt. J'ai besoin de prendre l'air. Toi Clara  tu files t'acheter ce qu'il faut pour être toute en blanc ce soir. Et pas de chichis et frous frous. Du très simple et classe. Et toi Maso tu files préparer les anneaux. Il en faut trois. Tu sais pourquoi.   
931 vues 4 aime
Par : le 14/08/23
Une voiture de gendarmerie se gare devant chez moi. Une superbe femme en sort, athletique, bronzée, en tenue civile, élégante et pleine de charme. Surprise, je reconnais mon adjudante préférée, celle qui aime me contrôler chaque fois que je la croise et qui s'amuse avec mes papiers où il est marqué "sexe masculin", ce qui ne correspondant pas du tout à ce que je suis, une femme trans. Elle tape. Maso est tout nu, il fait le ménage. Je l'envoi ouvrir la porte. L'adjudante rit en le voyant. Maso baisse les yeux et la fait entrer.  -Bonjour, fait l'adjudante. Alors vous m'adressez des bisous de la main au carrefour. Cela la fout mal devant mes hommes. J'apprécie pas beaucoup.  -Bienvenue, vous prendrez bien un thé ou un café. Veuillez m'excuser, mais c'est plus fort que moi lorsque je vous vois.  Je vous trouve si belle. J'ai adressé un bisou à la vie. Comment vous appelez vous? Moi c'est Toinette pour les intimes.  -Clara. J'accepte volontiers un café. J'ai eu une rude journée.  Nous papotons comme deux amies. Maso fait le service, toujours tout nu. Clara s'en amuse de plus en plus, surtout qu'il n'a pas le droit de regarder plus haut que nos genoux. Un service impeccable. Je l'envoie au piquet, mains sur la tête. Il nous montre ses superbes fesses bien musclées.  -Je suis domina Clara. C'est mon homme qui a voulu cela. Au debut j'ai fait cela pour lui faire plaisir et maintenant c'est notre quotidien.  Clara me regarde troublée. Elle est vraiment très belle, avec de tres belles formes. Je croyais que c'était une femme phallique. Non, pas du tout, sans son uniforme, c'est une femme tout court. Je devine qu'elle est celibataire et en manque de calins. Ce doit pas etre facile de diriger une brigade. Beaucoup de stress, des heures et des heures de boulot.  -Tu as envie de te détendre et d'essayer.  Clara est de plus en plus troublée. elle écarte doucement les jambes. Je lui empoigne les cheveux et je l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres sont si douces. Mes mains descendent sur ses beaux seins biens lourds. Elle se déshabille. Elle est encore plus belle nue. Je lui ecarte les jambes  et lui empiogne ses belles fesses charnues. Sa chatte est offerte. Je lui mange le clitoris. Elle jouit très fort dans ma bouche plusieurs fois. Je masse ses seins.  Et puis voilà, l'instinct de la domination ressort. Je la retourne et commence à lui claquer les fesses. Je sais faire très très mal. elle gémit. -plus fort, c'est trop bon. -une gourmande je vois. Allez zou, à coté de Maso et mains sur la tête.  Je vais chercher un tube de pvc. Un truc que m'a montré mon amant, Mael, et qui fait horriblement mal sans laisser de traces. Une vraie torture ce truc.  J'attache clara sur la table de la cuisine. Je devine que Maso est hyper excité de tout ce qu'il entend. Je vais donc le voir et lui flanque quelques coups de tube. il se contorsione aussitôt sous la douleur. -On ne bande pas quand Maitresse reçoit ! compris !.  Cela rassure Clara que Maso ne puisse pas la voir,  ni etre en erection pour elle. Elle n'est pas lesbienne, juste célibataire en manque.  -Tu n'aimes pas trop les hommes, je vois et tu trouves les femmes casse couilles. Je me trompe. -Non Maitresse. -Tu as des fesses superbes tu sais. Je vais bien te faire circuler le sang. Mais avant un baillon car tu vas hurler. Ici, il faut hurler en silence et pas me demander d'arreter. Tu es toujours ok, Clara. Elle tend les fesses. Elle meurt d'envie. Je commence par la caresser. Sa chatte dégouiline de douce cyprine qui sent très bon. Les coups pleuvent à présent. Clara se tord de douleur. C'est dingue ce truc de Mael pour faire si mal sans marquer. Juste de superbes rougeurs. Clara pleure. Larmes ou plaisir ? Ca y est, elle est prête pour la deconnection, lorsque le cerveau débranche pour ne plus sentir la douleur. Je vais toujours au bout. inutile de m'implorer. c'est ce moment là que je guette.  J'arrete enfin et laisse Clara récupérer. Elle tremble. elle est secouée de vagues ou douleurs et plaisirs s'emmelent. Une maso. et moi qui ne voulait plus prendre de nouveau partenaire de jeu. Je suis très fidele. Je ne cherche pas d'aventures. Mais là, comment refuser cette femme si belle et qui s'offre d'elle même. Je vais voir Maso. -Tu vois, avec une femme c'est pas te tromper. Avec mon unique amant non plus. Allez tu vas nous servir des rafraichissements. De bons jus de fruits ou de légumes. Zou ! Je détache Clara qui se love aussitôt dans mes bras. je lui caresse la nuque. Elle se rhabille. Nous papotons à nouveau comme de vielles amies en dégustant de délicieuses boissons, très vegan, très saines.  Je propose à Clara de rester pour dîner. Elle accepte. Maso fait le service, nu, debout derrière nous,  très heureux de son sort. C'est un excellent cuisinier. Un bip. Clara décroche. Elle doit partir. Son boulot et son devoir qui l'appele.  Je la racompagne  à sa voiture. -repasse quand tu veux ma chérie. tu seras toujours la bienvenue chez nous.  Elle doit repartir, très préssée, les yeux humides. Je souris en pensant qu'elle va avoir mal aux fesses toute la nuit. -ok, plus de bisous de la main au carrefour. Discrétion totale de rigueur à présent.  Clara apprécie beaucoup ma remarque. Je la sens heureuse et en confiance. Il n'y a pas de mal à prendre son pied dans les douleurs bien cuisantes.  Je garde mon bisou dans ma main.       
1.7000 vues 12 aime
Par : le 11/08/23
Premier contact   Il m'avait répondu si rapidement... Après dix années de vie commune, interrompues par ce qui est devenu la fatalité, j'avais proposé de partager le quotidien et les fantasmes d'un senior qui m'accueillerait durablement. Tout de suite, j'ai eu l'impression d'être considéré, ce qui m'était devenu étranger, occupé à des tâches de plus en plus fastidieuses au fil de la dégradation de mon conjoint. Je n'avais jamais utilisé de webcam, ce fut fait naturellement comme lors de mes rares séances bdsm, je me déshabillai dès qu'il le demanda et me laissai examiner longuement, découvrant mon gland, écartant les fesses, me pinçant les seins. Bien que déjà âgé, mon physique n'est pas déplaisant sinon une peau ingrate qui ne lui disconvint pas. Dès le lendemain, il est venu me chercher et le sentiment de confiance ne m'avait pas quitté. Ne connaissant pas beaucoup la ville, je ne sais pas exactement où se situait le garage au sous-sol d'un pavillon que j'entrevis à peine. Il ne parlait pas, moi aussi étant de nature taiseux. Arrivés à l'étage, il me fit signe de me déshabiller, ce que je fis aussitôt, puis je le suivis en espadrilles, dans l'escalier. Dans une pièce ressemblant à une salle de sport, il m'attacha avec des menottes à une poutre et m'entrava les pieds avec une barre. Puis il partit. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. Il passait de temps à autre, me donnait de légères tapes, excitait ma verge puis repartait. À un moment, il l'enduisit d'un liquide qui accentua l'érection. Il revint vêtu d'une culotte en cuir qui mettait en valeur son corps harmonieux et musclé, équipé d'un martinet qu'il utilisa avec parcimonie me faisant apprécier et désirer ces légères brûlures, il me cingla ensuite avec une baguette souple. Sentant mon excitation, il entreprit ensuite de me tâter en me pinçant tout le long du corps particulièrement entre les jambes. Et je sentis sa main enduire mon anus d'un liquide visqueux avant de procéder à ce qui ressemblait à un examen de la prostate. Il me couvrit d'une capuche de pénitent descendant sur les épaules et légèrement resserrée au niveau du cou, avec l'unique ouverture ovale au niveau de la bouche, et reprit l'usage du martinet et de la baguette y compris sur la verge. Le plaisir m'envahit de ne pouvoir prévoir ses gestes. Quand il me détacha les bras, je m'appuyai sur un meuble bas, une table d'examen, devant moi ce qui lui permit de me sodomiser immédiatement me semble-t-il avec un gode. Moment de jouissance indescriptible. Il me fit m'agenouiller malgré la barre qui maintenait mes pieds et je le suçai avec avidité, sa capote sentait l'orange... Et me sodomisa directement avec force et intensité. Ma verge étant toujours dressée, il me rattacha à la poutre. Ne voyant toujours rien, je me sentais rempli d'une chaleur intense. Je ne sais au bout de combien de temps, il revint pour me masturber jusqu'à l'éjaculation, mais était-il parti ? Mon érection n'ayant pas cessé, il recommença plus tard. Quand il me détacha, j'éprouvai du regret mais aussi une immense gratitude. Puis il parla.   L'installation   "Voici ta chambre." Dans une pièce à côté, un lit une place, un petit bureau, une armoire. Dans celle-ci une série de shorts courts colorés et transparents, des chemisettes à pressions très faciles à retirer, ainsi que quelques nuisettes. Pas de sous-vêtements. "Tu me donneras tes affaires actuelles en attendant que tu en aies besoin." Comme précédemment, je ne pose aucune question. Sur le bureau, un ordinateur "qui ne sera connecté à internet qu'à certaines heures et sous surveillance directe comme l'ensemble de la maison". Dans la salle d'eau attenante, un WC, une douche, un lavabo. Aucune possibilité de fermer les portes à clé, "je contrôle tout à distance". "Tu devras faire le ménage complet de cet étage. À mon étage, un robot nettoie les sols, tu t'occuperas du reste". Découvrant l'équipement électroménager, je me rends compte que cela ne sera pas fastidieux. "Les appareils étant connectés, un livreur vient deux fois par semaine apporter les commandes directement dans le réfrigérateur et le congélateur. Tu ne te montreras pas." "Tu porteras toujours cette montre, tu seras ainsi averti de mes messages et je surveillerai tes déplacements et tes constantes. Pas d'utilisation du téléphone sans mon autorisation. Pas de télévision. Tu peux écouter ces CD de musique classique". Cela ne me gêne pas, je suis si solitaire... "Tu recevras sans être prévenu des visites de personnes qui s'occuperont de toi en mon absence, ce qui sera fréquent." Je n'ai posé aucune question et je n'ai jamais cherché à connaître la nature de ses activités ni les motifs de ses déplacements. Un jour où je gémissais, il me confia (ce qui était extrêmement rare) faire partie d'un groupe d'hommes très visibles médiatiquement qui pour décompresser de la pression constante et de leurs responsabilités exigeaient des pratiques de plus en plus hard. En ce qui me concerne, je pense qu'il tenait compte de mon âge. Étant manifestement très expérimenté, il m'utilisait comme un homme de compagnie, un robot qu'il fallait garder en bon état de fonctionnement. Sa jouissance était de parvenir à me contrôler, à me rendre complètement dépendant sans violence physique ou morale, ce que je ne pouvais qu'apprécier. Deux jours après, j'arrivais dans ce logis avec mes deux valises qui comme convenu, restèrent dans un placard.   Le médicastre   Le premier à venir me surprendre, celui que j'appelle le médicastre, était certainement un (ancien) médecin tant il m'a paru professionnel, un médecin qui se permettait des pratiques bien singulières. Il est arrivé derrière moi sans que je l'entende, alors que j'époussetais, non sans trouble, l'impressionnante collection d'Apollon de mon maître. Sans parler, il m'a fait signe de monter dans ce que je nommais maintenant le donjon, m'a enlevé la chemisette pour attacher mes mains puis mon short pour entraver les pieds, toujours bien écarté. Après s'être connecté à mes relevés de pouls qu'il consultait sur sa tablette, il passa une sorte de stylo sur mon corps même aux endroits très sensibles, ce qui déclenchait des décharges fort désagréables et lui permettait de voir les variations de mes constantes. J'éprouvais une réelle souffrance et mon érection commença. Il m'examina ensuite sous toutes les coutures et corrigea certaines imperfections sans ménagement. Pour ensuite m'asperger de ce qui m'a semblé être un antiseptique. Il enduisit ensuite mon gland bien décalotté et mon anus d'une crème qui me chauffa terriblement. Puis il pinça mes tétons jusqu'à ce que je bouge pour tenter de lui échapper. Détaché, je dus m'allonger sur la table d'examen où il procéda à un examen approfondi de mon anus. Il me délaça pour me retourner et m'attacher à nouveau sur le dos, les jambes ballantes, pendant qu'il me palpait particulièrement sur le ventre, il me posa des questions sur mes pratiques sexuelles, étonné par le peu de réponses que je pouvais lui apporter. Enfin il me branla avec brutalité jusqu'à ce que mon sperme jaillit, il en recueillit sur son gant et le sentit. Ce médicastre est revenu pratiquement chaque semaine toujours en me surprenant. Je n'ai jamais su s'il ressentait de l'animosité envers moi ou s'il me considérait comme un animal de laboratoire. Cela me fait penser à la médecine, il n'y a pas si longtemps, qui considérait la souffrance comme nécessaire à la guérison.   Le délaideur   La première fois, il me surprit quand je marchais sur le tapis pour mon exercice quotidien. Il sentit ma sueur et devina ma fatigue passagère. Je ne savais pas pourquoi il était là. Il commença par s'assoir, me fit signe de venir et de me placer sur ses genoux, évidemment pour une fessée que par la suite je compris pour s'assurer de ma soumission. Il frappa d'abord lègèrement, abaissa le short, tritura mes fesses et mes cuisses, puis commença à asséner des frappes de plus en plus fortes avec une telle régularité que je sentais mes fesses rougir. Puis accoudé sur la table d'examen, je dus subir le martinet qui me fit gémir. Le rasage intégral qui s'en suivit alors que j'étais à nouveau entravé, fut renouvelé chaque semaine, alors que je commençais à peine à m'habituer au duvet qui réapparaissait. C'est avec la peau à vif qu'il me conduisit à la douche où je dus garder les mains sur la tête. Après avoir bien amplifié les irritations avec l'eau, il prit un gant jetable et me frotta de la tête au pied jusqu'à ce que je sois couvert de mousse. Évidemment, il insista sur la verge puis profondément sur l'anus. Après m'avoir abondamment rincé, il me reconduisit sans m'essuyer pour m'entraver comme j'en avais maintenant l'habitude. Il revint avec une préparation verte (de l'argile ?) dont il me couvrit une bonne partie du corps. Avant de me laisser avec cette boue qui commençait à sécher, il m'attacha le pénis à la table d'examen pour m'empêcher de bouger. Après un long temps, il réapparut avec un appareil, détacha mes pieds pour les poser sur la table d'examen et me sodomisa avec le gode vibrateur. Complètement vaincu, je le laissai m'entraîner vers la douche pour un décapage au jet d'eau. Ce délaideur est venu plusieurs fois chaque semaine toujours d'une manière imprévisible.   Le vidoyeur   Je découvris très vite que le vidoyeur venait me préparer. Il me suspendit les bras à une poutre et les pieds à l'endroit habituel pour les mains. Mon sexe étant alors à sa disposition, il l'équipa de la pompe à sperme ce qui après quelques instants et des coups de baguette sur les fesses provoqua son gonflement. J'étais à son entière disposition. Il me stimula sur tout le corps par des caresses et des pincements provoquant une extase au bord de l'évanouissement et ne fut satisfait que lorsque j'éjaculai abondamment. De retour sur la table d'examen, il sortit une pompe à lavement cette fois qu'il utilisa plusieurs fois m'obligeant à de grands efforts pour ne pas me laisser aller jusqu'à ce qu'il m'ordonne d'utiliser le seau à moitié rempli d'eau pour m'assouvir. Bien éprouvé, je me remis sur le dos, jambes ballantes, mes mains étant aussitôt attachées. La canule que je découvris alors, je ne l'avais jamais subie, il la glissa avec ses mains expertes dans mon pénis où je ressentis la progression jusqu'à ce qu'un jet d'urine jaillisse. Ce fut une nouvelle sensation inimaginable jusqu'alors. Enfin satisfait, il m'ordonna de tout nettoyer, me conduisit à la douche pour un lavage à grandes eaux. Il veilla à ce que je me rince bien la bouche avant de procéder au brossage. L'interdiction de manger le soir m'intrigua mais je m'assoupis après de telles épreuves.   Première soirée   Le maître vint me réveiller alors que j'avais la sensation d'avoir peu dormi, m'enfila la capuche de pénitent pour seul vêtement et me fis descendre sans difficulté car j'étais maintenant accoutumé aux lieux. Les conversations étaient, elles, inhabituelles, peu de personnes venant le soir, et portaient sur la situation économique. Elles ne cessèrent pas quand je me sentis palpé comme on juge de la qualité d'un animal sur une foire. Je me laissai guider de main en main, la verge fermement tenue puis les fesses écartées pendant qu'une partie de poker commençait déclenchant des gestes plus nerveux et des pincements au fur et à mesure des enjeux. Je devinai qu'il ne s'agissait pas d'argent mais que j'en étais l'enjeu. À un moment, on m'appuya sur la tête pour me pousser sous la table et je me retrouvai coincé entre les jambes d'un joueur qui sortit son sexe et me le mit dans la bouche pour que je le suce pendant qu'il appuyait sur ma tête. Quand ce joueur attint une bandaison qu'il jugeait satisfaisante, il me poussa entre les jambes du joueur suivant. Je découvris alors qu'ils étaient trois. L'exclamation montra que la partie était terminée, on me poussa à coups de pied en dehors de la table. Deux joueurs me saisirent par les bras pour m'appuyer sur la table pendant que le troisième lubrifiait déjà mon anus puis s'excita en me frappant sèchement sur les fesses jusqu'à ce que la douleur me fit gémir. Il s'empara alors de moi avec sauvagerie et puissance pendant de longues minutes pendant que j'étais fermement maintenu. Cette pénétration fut reproduite par les autres joueurs. Je fus alors amené à l'extérieur et attaché à une palissade où je restai seul. De nombreuses sensations me titillèrent. Était-ce des insectes, des courants d'air, un animal ? Peut-être une heure après, je sentis qu'on crémait ma verge qui durcit comme à la première rencontre et restai avec un besoin impérieux mais inassouvi. Finissant quand même par m'assoupir, je fus réveillé par quelqu'un qui utilisait mon braquemard entre ses fesses alors que je ne pouvais que subir. Au petit matin, mon maître vint me détacher sans un mot et tout reprit son cours.
952 vues 8 aime
Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
5.8000 vues 1 like
Par : le 01/08/23
Je me souviens d’une réflexion dont tu m’as fait part juste avant de partir lors d’une soirée conviviale : « je me demande qu’elle est la plus grande frustration ? Le clito ou le vagin ». Bien sûr je me sens d’humeur clémente et veux te faire vivre la réponse à ta question. Les premières lumières dominicales sont là, on entend le vent par la fenêtre donnant sur le jardin. Et toi, nue, allongée sur le ventre dans notre lit, l’huile de massage chaude coulante entre tes omoplates. Mes mains caressent le haut de ton dos pour étaler ce premier liquide chaud. Assis sur le bas de tes fesses, je commence à délasser tes épaules. Tes premiers gémissements viennent de mes mains qui soulagent ces omoplates endoloris par la fatigue. Comme tous bons massages, celui-ci fait autant plaisir à celui qui le reçoit que celui qui le donne. A force d’être caressé par ton séant, mon troisième membre s’introduit progressivement entre tes lèvres. Ton humidité déjà bien accueillante, te voilà massée en toute synchronisation de l’extérieur comme de l’intérieur. Rapidement, tes gémissements proviennent principalement du bas de ton être. Tes bras écartés le long de ton corps, mes mains te plaquent contre le matelas. Une contre ton visage exprimant ton plaisir et l’autre contraignant ton bras. Les va et vient continuent de masser ton intérieur sans que tu ne puisses t’échapper. Je sens ton vagin se contracter contre moi, il s’apprête à jouir et je le laisse venir. Seulement, je me retire et te vois te contorsionner de frustration, d’un plaisir que je t’ai seulement laissé apercevoir. Le supplice de ta privation amène mon plaisir. L’impact de ma première giclée sur la peau de ton dos te fait gémir. Je suis assouvi… contrairement à toi. Sans ma queue, tu sens encore les va et viens dans ton sexe. Sensation de ce moment inachevé. « Dorénavant, tu m’exprimera ta gratitude pour chaque frustration. Alors, qu’est-ce qu’on dit petite chienne ? ». Après une fraction de seconde à ravaler ta contestation, tu me réponds « Merci Monsieur ». Après nous être assoupi, je recommence à caresser ta vulve. Quel plaisir de jouer avec ton sexe frustré et trempé ! Mon terrain de jeu oscillera entre ton urètre et ton clito. A peine je pose mon doigt sur ton gland que tu te cambres et pousse un fort gémissement. Je tourne autour, je le fait durcir progressivement sous mon doigt. J’écarte tes lèvres avec mon autre main pour appuyer plus fortement sur la surface de ton gland. Une fois bien bandé, je passe mon doigt sur le tout bout de ton bouton. Ces changements de rythme te rendent folle ! Je descends le long de ta vulve pour retrouver ton tout petit orifice, la source de ton jus abondant. Je joue avec, l’excite. Tu n’arrêtes plus de gémir, tu es sur le point de jouir mais tu ne peux pas car je remonte sur ton gland pour redescendre ensuite. En remontant une dernière fois sur ton clito, j’y reste et te pousse. Tu sais si bien m’obéir et jouir sous mon ordre, je te l’ordonne : « Jouis ! ». Quelle fierté j’ai en te voyant braver tes doutes de savoir si je vais te laisser jouir, tu ouvres l’accès à ton orgasme. Une convulsion naissante envahit ton corps. C’est là que je retire mon doigt de ton être et te laisse te battre avec cette vague intense de frustration. Je profite du spectacle. Les larmes perlent aux coins de tes yeux. Je viens te prendre dans mes bras pour profiter au maximum de ta dépossession de plaisir. Tu plantes tes griffes dans mon ventre pour espérer gérer ta frustration. Dépouillée de ton plaisir, il te faut quelques minutes pour pouvoir reparler et me dire « Merci Monsieur ». L’orgasme masculin est bien fade face au plaisir que j’éprouve à te voir. Ton supplice ne fait que commencer car mon projet n’est pas de te laisser dans cet état mais bien de le pousser à bout. Un total de cinq « Merci Monsieur » rythme ta journée aux moments où tu n’y attends aucunement pas. Tu m’as supplié tout le long de la journée de te libérer de tes envies, de te faire jouir. Tu n’es plus que vices et chienne quand je te retrouve pendant ta sieste. En me couchant près de toi, ma main se glisse dans ta culotte trempée de la journée. Et je recommence cette dance entre ton clito et ton urètre. Connaissant ton attirance pour le plaisir saphique, je laisse gémir des femmes sur mon portable. Ton vagin se contracte à en faire exploser ta vessie. Tu les vois se répandre, ton envie les rejoint en te vidant sur ma main. Tu exploses, tu t’abandonnes et mets par terre toutes barrières sociétales à ton plaisir. Ta récompense approche, je veux te faire jouir, tu n’as pas besoin de me le demander cette fois-ci, je te libère et tu hurles ton plaisir. Satisfaite de découverte, tu me confies la réponse à ta question.
535 vues 3 aime
Par : le 16/07/23
Confortablement assi dans son jet privé, le dernier falcon de Dassault aviation, copieusement subventionné par son ami, le Président Vladimir, le général Valeri, qui ne lesigne plus sur les moyens, consulte le dossier en sirotant un excellent cognac du Causase. Il a un peu de mal a  se concentrer. Il pense au délicieux depucelage de Valentina, sa seconde épouse, à son cul de rêve et à sa chatte anale de sportive bien serrée. Un délice. Il serait bien reste une semaine de plus, chez lui, à  s'envoyer en l'air avec ses deux femmes. Il vient juste de les quitter et c'est déjà si loin. Une mission hard et très  dangereuse. Exfiltrer un connard d'oligarque russe qui pensait faire de juteuses affaires au Soudan dans le dos du Président Vladimir. Ce con est à  présent retenu comme otage par un groupe d'enrages armes jusqu'aux dents. Pas facile. Et comme toujours le danger donne envie de baiser. A ses côtés, Xian, la terrifiante tueuse manchoue semble dormir. Rien à  foutre. Valeri la retourne, lui baisse son pantalon, pas de culotte, et s'enfonce dans son anus serré. La manchoue se laisse faire. Elle a l'habitude avec Valéri. C'est son seul homme. Aucune aventure. Elle n'aime pas le sexe. Pourtant elle jouit chaque fois. Valeri lui caresse son délicat clitotis de la main pendant qu'il la pilonne. Ils jouissent tous les deux en même temps. C'est une de ses concubines  attitrée et cela va très bien pour Xian qui ne supporterait pas d'avoir un homme à la maison en permanence. Il faut dire qu elle a été violée par un oncle lorsqu'elle était gamine et que le traumatisme est toujours là. Les hommes qui s'approchent trop près  elle les castre et pas seulement psychologiquement. Avec Valeri c'est pas pareil, elle accepte ce rôle de soumise sexuelle totale. Il peut la prendre comme il veut et il est bien le seul. Et puis le sexe permet à ces deux tueurs de ne faire plus qu'un dans l'action.  -putain de merdier que le Soudan, lâche Valeri. Un bon terrain pour nos milices et faire de bons plans.  Xian ne dit rien. Elle médite. De toute façon Xian ne dit jamais rien. C'est à se demander si elle a une langue. Elle adore les missions avec Valeri. Elle prend plus de plaisir à "nettoyer" qu'à baiser. Surtout que cette fois ils vont tester les nouvelles armes expédiées par Kim qui a pris un contrôle quasi total sur le milliardaire chinois Lio et son épouse. Drones électriques ultra-légèrs et furtifs, fusils à  tirs corrigés par intelligence artificielle et bien d'autres choses encore. Elle a hâte d'essayer ce nouveau matos, ce qui se fait de mieux dans le monde.  L'emplacement où l'oligarque russe est retenu est vite repéré et observé. Avec les fusils de très haute précision, Valeri et Xian font un carnage à distance. Plus personne n'ose pionter le bout de son nez. Il partent finir le reste au couteau. Deux ombres qui se glissent dans la nuit. Un autre carnage. Ils coincent le chef et ses trois femmes dans une pièce. Xian ne peut résister au plaisir de l'emasculer avant de le liquider. Ils retrouvent l'oligarque dans une pièce verrouillée,  tout piteux et sale, avec des doigts en moins,  sans doute pour le faire parler.  Valeri l'embarque dans un pic up des rebelles avec les trois femmes, les seules survivantes du carnage. Il compte les offrir en récompense aux policiers corrompus qui ont aidé pour faire le job. Elles sont superbes. Ils vont apprécier, même si une femme vaut moins qu'un bon chameau.  Retour dans le jet avec l'oligarque qui est menotte sur son siège. - tu as des comptes à  rendre  connard.   Pendant le vol retour  Valeri à besoin d'évacuer le stress de la mission. Les jolies petites fesses de Xian sont là pour cela. Mais cette fois il préfère sa petite chatte si délicate. Xian jouit très fort, mais en silence. Elle aussi a besoin.de se détendre un peu.  Valeri ne pense déjà plus qu'à la chatte de Roxana et au cul serré de Valentina. Il s'endort d'un coup au dessus de l'océan. Encore une mission réussie.   
520 vues 5 aime
Par : le 10/07/23
Au début le milliardaire chinois lio avait souri. Il pensait faire une belle séance au pied de sa sublime maîtresse, la nord coréenne Kim. Lio, la cinquantaine, bien marié, bon père de famille, riche à milliards  avait cru au début à une simple aventure. C'est Kim qui l'avait viole dans son bureau. Un rdv qu'il croyait facile avec une militaire qui voulait lui acheter pour une milice privée russe des drones dernière generation. D'habitude c'est lui qui violait la fille avant toute discussion. Le vagin plein de sperme facilitait les négociations. Mais là, il n'avait rien pu faire. Kim l'avait neutralise comme s'il n'était qu une mince feuille de papier et l'avait broyé.  Elle l'avait ensuite empale sur un énorme god ceinture. Il n'avait même pas pu hurler. Kim savait agir sur ses points vitaux pour le paralyser. Et lio avait jouit du cul comme jamais il n'aurait pensé cela possible. Des orgasmes de la prostate à répétition. Son sperme avait coule et Il avait du tout nettoyer.  Depuis cette salope de Kim le tenait par les couilles. Il était devenu accro complet de cette folle qui le battait, le giflait, l'humiliait sans cesse, le fouettant jusqu'au sang. Après elle le baisait et il jouissait toujours très fort, très vite et en cascades. Cette salope de Kim l'avait cocufie en allant sauter sa femme devant lui. Depuis il portait et les cornes et une cage de chasteté.   Il ne s'était pas méfié ce jour là.  Un énorme gode en porcelaine. Avec comme des tores toujours plus gros jusqu'à la base. Et Kim l'avait empale dessus. Les premiers tores étaient rentrés faciles. Il avait jouit fort. Mais à présent il avait peur. Et cette folle de Kim qui semblait l'ignorer.  Il voudrait hurler. La peur cela ouvre le cul, c'est bien connu. Un tore de plus!!! Largeur ballon de rugby 🏉.  Le prochain c'est largeur ballon de football ⚽️.  Une horreur. Il a le cul tellement ouvert à présent que cela se déchire à  l'intérieur.  Et celle folle de Kim qui l'ignore. Il voudrait hurler. Maudit points vitaux bloqués par cette salope. La trouille terrible est la. La peur de mourir.  Et zou le ballon de foot est entre.  Kim s'approche et lui tire une paire de baffes bien sonores. - Non, tu vas pas mourir connard. Mais tu vas racker des milliards. Notre chef Valeri en réclame. On va juste te mettre à contribution. Tu veux bien faire plaisir à ta maîtresse et dire merci ?  Lio a dit oui des yeux. Cela l'a fait jouir. Et merde...un tore de plus dans le cul. Kim l'arnache avec des cordes pour stopper l'empalement.  Cette salope va le laisser comme cela longtemps. Elle eteind la lumière et le laisse dans le noir avec son cul explose et defonce.  -A demain, connard. Je file au resto avec ta femme et je vais bien la baiser après. Un de ces jours on mangera tes couilles grillées devant toi.  Une folle!!! Et rien que d'y penser lio a encore jouit très fort. 
885 vues 5 aime
Par : le 30/06/23
Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi. Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer. À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend. J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale. Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.  Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence. Elle est ma terre, mon socle, mon terreau, Je serai la chair, Patrocle, un héros, Lumière surgit, m'ôtant le bandeau, Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
424 vues 1 like
Par : le 23/06/23
À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.  Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés. Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.  Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.  La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie. Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler... "- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés. - Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ? - Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi." Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes. Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda. Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
255 vues 3 aime
Par : le 03/05/23
On a tous une première fois, je pensais déjà avoir eu la mienne, mais là je revivais une première fois. Première fois que j’allais pénétrer une femme, enfin pénétrer avec un gode, pas mon propre corps bien sûr. Le sexe de Madame semblait bouillonner d’excitation autant que le mien. Je voyais ce gros sexe rigide mais qui pendait s’approcher de son entrejambe, j’étais un peu perdue et tentais de me rappeler comment faisaient mes partenaires. D’une main je vins caresser son sexe, non seulement pour l’exciter encore plus, mais pour récupérer sa mouille aussi. Le gode en fut recouvert, luisant à présent. Je posais une main contre son aine, de l’autre je saisi le gode, mon cerveau tentais de comprendre, et le dirigeait vers cette fente qui semblait n’attendre que ça. Plus il s’approchait, plus j’avais des flashs de ce que j’étais habituée à voir et il me semblait être un avatar d’un jeu. Il glissa lentement en elle, son corps semblait se tendre, peut-être la fraîcheur de l’objet, et un gémissement de plaisir accompagnait ce mouvement. Mon bassin vint s’appuyer contre le sien. Une fois au fond, comme si c’était naturel, mon bassin se cambra en arrière, ressortant une partie du gode. Mais mains saisirent ses hanches et j’enfonçai d’un coup sec le gode, la prenant par surprise et la faisant plus crier que gémir. Je commençais à sourire, prenant un certain plaisir à avoir ce rôle opposé à celui que je connaissais jusque-là. Tout en la tenant, je continuais mes aller-retours, lentement, plus rapidement. Et je commençais à gémir aussi, je me rappelais d’un coup. Mon gode-ceinture était bien muni de deux godes interne et le tout bougeait lors des mes aller-retours. Je me baisais en même temps que je la baisai. Cela me fit redoubler d’ardeur et réveilla une sorte de bête assoiffée de sexe du plus profond de moi. Je me couchais sur elle, continuant de la pénétrer, jouait avec ses seins offerts, les embrassaient, léchaient, claquaient. Mes mains allaient faire rougir ses cuisses également, ma bouche embrassait son bâillon plus que ses lèvres. Je vins la saisir à la gorge, pendant que je m’appliquais à donner de violent coup de butoir. Je voyais ses bras se tendre, entre le manque d’air et la jouissance, tout son corps également restait crispé. Je la lâchais, elle reprit de grandes bouffées d’air, comme elle le pouvait. Qu’est-ce qu’on dit ? Elle continuait de reprendre ses esprits et sa respiration. Je n’ai pas entendu, qu’est-ce qu’on dit ? Puis à ma plus grande surprise, je vins la claquer. Un moi Dominatrice, semblait s’être réveillé, un moi inconnu que je découvrais en même temps qu’elle. Heri Adahe Je préfère Et collant à nouveau mon bassin à elle, tout en la pénétrant, nos seins s’écrasèrent les uns contre les autres. Je me saisis de sa tête et tout en douceur je la caressai, l’embrassai sur le front, le bâillon. Elle semblait revenir d’un bel orgasme, respirait fortement. J’étais essoufflée, de part l’exercice que je venais de faire, mais aussi l’excitation constante et grandissante que je ressentais. Mes yeux devaient pétiller, plus rien autour de nous n’existait. Son corps semblait être un petit nuage où je m’évadais, nous sommes restées ainsi jusqu’à ce que : C’est bon stop, en position.
615 vues 5 aime
Par : le 24/04/23
Azhara a lancé il y a quelques semaines une discussion sur le forum qui interrogeait la communauté : dominer est-ce manipuler ? Comme chacun sait, la domination et la soumission sont deux piliers essentiels du BDSM. Les pratiques sexuelles et érotiques consensuelles impliquent une dynamique de pouvoir, où l'un des partenaires assume le rôle de dominant et l'autre celui de soumis. Toutefois, la question de savoir si la domination implique la manipulation a donc été soulevée dans dans cette discussion du forum (dans la continuitié d'un échange sur le Mur Général). Certains membres du forum estiment que la domination peut facilement se transformer en manipulation si l'on utilise son pouvoir pour son propre bénéfice sans prendre en compte le consentement de l'autre. Pour ces personnes, la frontière entre la domination et la manipulation est mince, et il est facile de tomber dans la manipulation lorsqu'on exerce un pouvoir sur l'autre. D'autres membres, en revanche, affirment que la domination et la manipulation sont deux concepts différents. Selon eux, la domination est un échange mutuel de pouvoir et de contrôle qui est décidé à l'avance, tandis que la manipulation est l'utilisation délibérée et trompeuse de l'influence pour obtenir quelque chose de l'autre. Faut-il le rappeler, la domination dans le BDSM ne doit jamais être abusive ou violente. Elle doit être exercée de manière responsable et éthique, avec le consentement de l'autre partie. La domination peut être une pratique saine et consensuelle dans le BDSM si elle est faite dans le respect des limites et des besoins de l'autre. La communication est un élément clé dans toute relation BDSM, et la domination ne fait pas exception. Les partenaires doivent discuter de leurs limites, de leurs désirs et de leurs besoins avant de s'engager dans toute pratique BDSM. Il est également important que les partenaires comprennent clairement ce que la domination implique pour eux et comment cela peut affecter leur relation. Les membres du forum ont également souligné que la manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM. La manipulation peut être nocive et abusive, et elle n'est pas une pratique consensuelle. Dans une relation BDSM, la communication doit être claire et les partenaires doivent être respectueux les uns envers les autres. En fin de compte, la domination peut être une pratique saine et éthique dans le BDSM si elle est faite dans le respect du consentement et de la communication claire. Les partenaires doivent comprendre les limites de chacun et être conscients de leurs propres besoins et désirs. La manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM, et il est important que les partenaires soient respectueux les uns envers les autres à tout moment. Cliquez ici pour relire l'intégralité de la conversation du forum (ce résumé peut être perfectible !) et participez au débat !
535 vues 10 aime
Par : le 11/04/23
Monsieur me saisi la tête et me l’enfonça à nouveau entre les jambes de Madame. Ma langue recommençait à s’occuper de l’entrejambe. Je n’osai enlever mes bras croisés dans le dos et m’appliquais au mieux. La pression sur ma tête se relâcha, cependant je continuais à m’occuper de ce succulent entrejambe. Il me délia les bras, je compris que j’en avais à nouveau l’usage, je me saisi des hanches et me plaqua encore plus contre. Monsieur fit le tour, à la réaction de Madame elle ne l’avait pas encore vu. Passé le moment de surprise elle semblait sourire à nouveau, semblant tenter de le charmer. La laisse fut libérée et Monsieur s’installa face à elle, ses jambes de part et d’autre. Vu qu’elle se redressait, je devais modifier mon angle d’attaque, inconfortable pendant un moment. Au bruit Monsieur devait jouer avec la chaîne entre ses seins et embrasser je ne sais quoi en même temps. Un temps calme et je devinais Monsieur enlever son pantalon et à voir la scène devait lui faire de l’effet. Madame repartie en avant et englouti ce membre, elle était bien obligée, la bouche tenue ouverte. Leurs gémissements s’unirent, me redonnant une nouvelle ardeur dans mon exploration, à la langue et aux doigts. Mon autre main partie vers mon entrejambe, mais ne tomba que sur l’anneau métallique et la ceinture de cuir. Cela dura un moment, Madame fut redressée, à ma plus grande surprise. Je fus obligée de m’interrompre, il y avait juste mes mains l’enlaçant et m’occupant du haut de ses grandes lèvres. Monsieur se leva, se saisi de la laisse et partit en direction de la porte avec Madame, qui marchait difficilement avec la barre d’écartement. Je restais à genoux à côté du lit et me remis les bras dans le dos en attendant d’autre instructions. Reste là je reviens. Oui Monsieur La porte se referma et les bruits de pas s’éloignèrent. Je redescendais de mon nuage de Domination, me surprenant de ma manière d’agir, je ne me reconnaissais pas. Mais qu’est-ce que j’avais aimé ça et cela devait être encore mieux avec la pleine jouissance de son corps. Devant moi restai la tache de bave laissé par Madame sur ma couette, je la devinais encore là à genou. Je ne sais combien de temps j’étais là à l’attendre, quand la porte s’ouvrit à nouveau il y avait juste Monsieur. Il me saisi par l’anneau du collier, et me faisant me relever m’emmena en direction d’une pièce déjà visitée, j’en frémi. Lorsque la porte s’ouvrit je reconnu cette planche où il avait voulu m’attacher pour ma première nuit, cette planche où j’utilisai mon Safeword de panique. Mais cette planche n’était pas vide. Dessus se trouvait Madame, attachée, sans défense, toujours bâillonnée un bandeau sur les yeux en plus. Monsieur en fit le tour, jusqu’à se trouver derrière sa tête, laissant glisser sa main sur son corps, elle frémit d’abord puis soupira ou gémit de plaisir. Apparemment cette planche n’avait pas le même effet sur elle que sur moi. Il me fit signe d’approcher, me pointant l’espace entre ses jambes écartées. J’approchais, il se tourna pris un objet et se rapprocha de moi. Mes yeux s’écarquillèrent quand je reconnu un gode d’une belle taille. Sans trop de difficulté il me l’installa à l’anneau métallique, comme s’il faisait ça souvent. Les préliminaires sont déjà bien entamés, passons à l’étape suivante. Et d’après ce qu’elle m’a dit, tu te débrouilles très bien dans ce rôle. Euh.. Merci Monsieur, comme vous le voudrez. Je voyais cet appendice, rouge translucide suivait mes mouvements, balançant si je bougeais trop rapidement. Alors que j’étais obnubilé par ce jouet je reçu un coup de cravache sur les fesses. Monsieur me regardait sévèrement. Je ne devais pas faire attendre ses ordres. M’approchant de Madame je vis son sexe dégoulinant. Fais comme si je n’étais pas là.
678 vues 7 aime
Par : le 10/04/23
De sa position je ne l’entendais que gémir, gémissement étouffé par la couette. Bien entendu je faisais attention si elle essayait de dire « Sunstone » ou la réaction de son corps. Plus ça allait, plus je me rendais compte que de Dominer n’était pas juste jouer avec l’autre, c’était prêter attention à lui, prendre soin de sa personne, être à l’écoute de ses réactions involontaire et volontaire. Bref ce n’est pas de tout repos. Comprenant que tout allait bien pour elle, je pris le martinet et commençais à le faire glisser le long de ses fesses ainsi misent en valeur. Elle comprit rapidement de quoi il s’agissait, son petit rire me fit comprendre qu’elle ne craignait pas sa morsure. Je commençais par des frappes légère et de plus en plus forte sur une fesse. Voir la peau se chauffer et virer au rouge était magnifique et impressionnant. Je fis de même avec l’autre, voilà 2 belles demi-lune bien rouge et chaude pour moi. Mes mains les caressèrent et effectivement elles chauffaient bien. Je les embrassaient lentement, les serrant l’une contre l’autre, les écartant. Je faisais bien attention de ne pas partir dans le sillon, c’était trop tôt. Quand je vis que mes doigts laissaient des marques blanches à leurs passages je souris de plus belle. Le bout de mes doigts laissa la place aux ongles et griffèrent légèrement cette peau à vif. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle commença à se dandiner sous mes doigts, gémir de plus belle. Je l’avais en mon pouvoir, ne pouvant me retenir je vins lui mordre une fesse, assez pour y laisser la marque de mes dents, sans lui arracher de peau bien sûr. Elle cria de plus belle, entre la surprise et la douleur. Mes dents la lâchèrent et laissèrent la place à un baiser au même endroit. Reprenant le martinet, je donnais un nouveau coup de chauffe à ce fessier qui s’était légèrement refroidit. Elle se dandina encore plus fort, gémissant de plus belle. A la fin de ces jeux de frappes, je me couchais à ses côtés la regardant. Malgré le bâillon, je devinais un sourire, malgré les yeux humides de larmes. Découvrant son visage des cheveux venu s’y collé, je lui embrassais la tempe et plongeant mon regard dans le sien je fis un petit oui de la tête, qu’elle me rendit. Elle était prête à continuer. Je m’arrangeai pour lui tirer le bassin en arrière, afin d’avoir un bel accès à ses fesses, sans que le lit ou la barre ne me gêne. Je laissai glisse mon indexe le long de son sillon, elle gémit de plaisir. Je jouais à passer d’un trou à l’autre, juste en surface, en caresse, en douceur. Elle ondulait son bassin, gémissant de plus en plus fort, commençant à haleter. Je continuais à l’exciter et la frustrer, ne la pénétrant jamais. Plus ça allait, plus je sentais qu’elle en demandait plus, cherchant à donner des coups de fesses sur mon doigt au moment opportun. Au bout d’un bon quart d’heure, je m’arrêtai sans prévenir et donna une belle claque sur chacune de ses fesses, ce qui calma ses ardeurs. Je l’aidais à se déplacer sur le lit, pour me permettre de m’asseoir sur ses jambes. Ainsi en place, je faisais dos à la porte, ne m’occupant que de ma soumise du jour. Lui écartant les fesses, je plongeai mon visage dedans, me servant de ma langue pour l’exciter à nouveau. Mes mains laissèrent son postérieur et partirent le long de son corps, la caresser, découvrir sa douce peau. Et finalement elles arrivèrent aux seins, toujours tenu par les pinces. Je récupérai la chaine et commençait à jouer avec, mêlant plaisir et douleur. Cela semblait décupler ses gémissements. Pendant qu’une main jouait avec la chaîne, l’autre était retournée à son entrejambe et jouait avec son clitoris. La zone était humide, entre ma bave et sa cyprine. Je me délectais de ce moment, de cette position de donner du plaisir par mon choix de la manière dont je voulais. J’arrive au bon moment j’ai l’impression. Monsieur S. je ne l’avais pas entendu rentrer, mais depuis quand était-il là ? Ne sachant que faire, je décidais de rester sur le lit et me mettre en position, abandonnant toute stimulation sur Madame. Ne l’ayant peut-être pas entendu, elle gémit de plainte, prenant cet arrêt juste pour une de mes facéties.
550 vues 6 aime
Par : le 09/04/23
Mes doigts parcoururent l’ensemble de son corps, passant d’une partie recouverte de latex à de la peau nue. Je soupesais ses seins, volumineux, lourds, ses aréoles finirent rapidement entres mes doigts. Je m’excitais toute seule à découvrir et jouer avec, comme une gamine, c’était ma poupée à moi. Elle ne disait rien, gémissait au pire des cas, mais ne bougeait pas. Je me saisi de sa tête, la redressa et vint l’embrasser sur la bouche. Le baiser continuât, de plus en plus intense et profond. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, les malaxaient, la collant à moi, écrasant sa poitrine contre la mienne, situation des plus excitante. Puis je la lâchais, la repoussa dans son coin, jubilant de ce pouvoir. Me tournant je partis vers la commode, les talons me faisaient déjà onduler des fesses, mais je prenais un réel plaisir à amplifier la chose. Je me sentais belle, supérieur, désirable. Dans les tiroirs, laisses, menottes, mousquetons, martinets, bâillons, une belle collection de jouets mais rien pour pénétrer ou faire jouir. J’allais devoir m’occuper de cet aspect de façon artisanal. De retour vers ma soumise, je lui accrochai la laisse et la tira d’un coup sec en direction de la table, j’avais faim moi. Ses poignets furent attachés ensemble tout comme les bracelets qu’elle portait aux biceps, tendant sa poitrine vers l’avant. Avant d’aller m’asseoir de l’autre coté de la table, une tension sur la laisse la mit à genoux. En m’asseyant je senti les godes, à l’intérieur de ma ceinture, bouger et venir encor plus profondément. C’était surprenant et bon, je jouais à onduler du bassin sur ma chaise, pour amplifier le mouvement. Je voyais juste ses yeux me fixant, se demandant ce que j’allais faire d’elle. Je fini par récupérer la laisse sous la table et la tirai vers moi, l’obligeant à avancer à genou de manière maladroite. Quand elle fut à mon niveau je lui attachai des pinces à seins, reliée par une chaine, à ses grimaces cela lui faisait de l’effet. Lui relevant la tête, je fis quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire, une chose que j’avais vu sur le net, je lui crachais à la figure. A sa réaction cela la surprit, mais sans savoir pourquoi je jubilais encore plus. Cette secrétaire, hyper sexy, sure d’elle, sans doute Dominatrice à ses heures aussi, était là à ma merci. Faisant passer la laisse sous mon pied je l’obligeais à se pencher près de celui-ci. Embrasse et lèche, chaussure et pied. C’est tout ce que tu auras comme repas. Oui Madame. Je l’avoue c’était une pure revanche par rapport à son arrivée. Mais le « Oui Madame », me prit par surprise et me fit bien plus d’effet que tout le reste. Ne pouvant me toucher, j’ondulais encore plus fort sur ma chaise. C’était bon, je mangeai plus lentement qu’à l’accoutumée, tellement j’étais prise par des sensation nouvelles et étranges. Ses coups de langues et baiser occupaient tout mon esprit au début, mais plus le temps passait, moins j’y prêtais attention. Une fois fini de manger, je me relevais, elle ne bougeait pas à genoux sous la table, pliée en deux. J’en fis le tour, son postérieur était magnifique ainsi présenté. Debout et va te mettre dans la même position sur le lit, jambes encore plus écartées. Bien Madame Pendant qu’elle se déplaçait, j’observait à nouveau le contenu des tiroirs, pire qu’une gamine à Noël. Je fis mon choix dans les jouets et vins les poser à ses côtés. La barre d’écartement, fut rapidement installée entre ses chevilles, l’obligeant à les maintenir bien ouverte. Tirant sur le collier elle fut obligée de se redresser, je pu facilement lui installer le bâillon-O, l’obligeant à garder la bouche grande ouverte et disponible. Je l’embrassais sur le coins et lèvres et la repoussais sans ménagement elle s’écrasa sur le lit, dans un cri gémissement le temps de sa chute. Faisans le tour du lit, j’attachais la laisse à une des attaches qui m’avait maintenue cette nuit, impossible pour elle de se relever. Elle était tout à moi, offerte sans défense, j’allais pouvoir commencer à m’amuser. Chose étrange dans cette situation, c’était la soumise qui pouvait jouir, tandis que moi j’étais toujours interdite d’accès à mon entrejambe.
546 vues 7 aime
Par : le 07/04/23
Je ne sais combien de temps s’est écoulé, surtout que la lumière fût éteinte lors de leur sortie de la cave. Entre la fatigue des émotions et de la positions j’avais beaucoup de mal à tenir cette position d’étoile contre le mur. Je somnolais, sentant mon poids qui tirait sur mes épaules, ma tête pendait en avant sans énergie. Lorsque j’ouvris les yeux j’était dans les bras de Monsieur, étais-ce un rêve ou la réalité, je n’avais rien sentis. Lorsque nos 2 regards se croisèrent il me sourit et m’embrassa sur le front. Chhhhh, rendors toi, tu as tenu bien plus longtemps que je ne le pensais tu mérite de te reposer dans ton lit un moment. Et tu es si belle quand tu dors. Je souris à mon tour, c’était la réalité, je devais dormir tellement profondément que je n’avais rien senti. Mais dans ce bref instant de lucidité je sentais quelque chose d’étrange entre mes jambes, m’aurait-il remis la ceinture de chasteté ? Au moins je pourrais me reposer convenablement, c’était déjà ça. Je percevais la douceur et le moelleux du lit, la chaleur de la couette qui était installée sur moi, sans plus réfléchir je repartais dans les bras de Morphée. A mon réveil, la lumière du jour commençait à se faire de plus en plus faible et je semblais ne pas me reconnaître. La cagoule était toujours présente, me transformant en quelque sorte, les bracelets aux poignets et chevilles aussi, me rappelant ma condition. Ces chaussures solidement attachée et … mais qu’est-ce que j’avais à l’entrejambe ? Je me levais et découvrais une autre ceinture, plus large sur le devant munie d’un anneau métallique, bien serrée et également cadenassée. Et d’après ce que je ressentais elle était munie de 2 godes, depuis tout ce temps j’était pleine sans m’en rendre compte la fatigue sûrement. Alors que j’explorais cette ceinture la porte s’ouvrit. Je me mis rapidement en position, Madame rentra avec un plateau. Son attitude était différente, moins sur d’elle, regard fuyant, tête basse, étrange. Elle posa le plateau sur une table et recula, regardant ses pieds, s’arrêta dans un coin et se mit dans la même position que moi. J’aime jouer avec les rôles et rappeler que chez moi, il n’y a qu’un seul Maître. Monsieur rentrait en prononçant ces paroles, en ignorant Madame. Je ne comprenais plus rien, je n’osai bouger, attendant un ordre, une autorisation. Monsieur s’approcha du plateau, pris un morceau de gâteau, qui semblait être une sorte de goûter. Dès à présent et jusqu’à ce que je le décide tu peux disposer de ta soumise comme il te souhaite. Elle est à toi. Cependant vous devrez rester dans cette pièce, examine les tiroirs tu as de quoi t’amuser rassure toi. J’étais encore plus perdue, je passai du rang de soumise à Dominatrice. Je pouvais diriger une autre femme, une grande première pour moi, même Dominer était une nouveauté, je sentais comme une pointe de stress monter. Je pris une grande inspiration, ferma les yeux. Merci Monsieur Tu n’as pas perdu les bons reflexe, sache que son SafeWord est Sunstone et que je ne suis pas loin non plus. Je vous laisse vous amuser entre fille. Partant il fermât la porte et d’après le bruit ce fût à clef. Je regardais Madame, qui n’avait pas bougé. D’un pas lent je m’approchait d’elle et profitais pour l’examiner encore mieux, son habillement n’avait pas changé et c’était vraiment une magnifique femme, de longues jambes, poitrine volumineuse. Je pense que je vais m’amuser.
560 vues 5 aime