La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 14 heure(s)
Comme il est bon de trouver sa pute attachée en entrant chez elle. Le nuage Νεφέλη ne peut plus s’échapper. Elle n’a plus de nom commun, ne s’appelle plus Léa, Mélissa, Nadia ou Daphnée, mais "Νεφέλη". Bientôt, elle n’aura plus ce nom-là, plus de nom humain. Elle ne sera plus que chose. Puis, petite chose. Ma petite chose. Un réceptacle à foutre, et ceci après avoir été le trou idéel, puis idéal pour... ma queue. Il n'est pas facile d'attraper un nuage, quand bien même celui-ci est fait de mouille évaporée. À la voir comme ça : poignets attachés par un scotch rouge outrancier, dégueulasse, bras sur le côté de son corps et comprimant ses seins tellement gonflés, je nous félicite intérieurement. Elle est en porte-jarretelles, bas noirs classiques. Culotte noire. Sur sa poitrine est écrit de ma main "La pute de mes rêves", et sur son ventre, en grande partie effacé : "chienne sans collier". Quelle réussite... Dire que c'est elle qui est venue me trouver, initialement, par ces paroles trop simples pour ne pas être sincères : "Tu es bel homme". Ni bonjour, ni merde. Exactement comme je le fais habituellement sur les chats. Voici comment le chasseur fut chassé. J'ai été amusé, et flatté, bien entendu. Son pseudo était adapté à une telle manifestation de sa personnalité : _lilith_. Ses poignets sont attachés, ses chevilles également, mais rien de plus. En réalité, son corps est libre. Mieux : elle aurait tout à fait pu détacher la bande de scotch de cinq centimètres de large à ses chevilles avec ses doigts libres. J'ai même poussé "le vice" jusqu'à laisser ostensiblement une paire de ciseaux sur son lit, à deux mètres d'elle environ. Pour passer le temps, elle avait un livre de contes bien connu : les Milles et une nuits, et la consigne de se caresser la vulve toutes les 10 min maximum, et ce sans jamais se faire jouir. Elle est maquillée. Belle. Très, très, très belle. Brune, cheveux coupés au carré, les yeux noirs au dessus d'une bouche aux lèvres gonflées, de courbes et d'angles aigus. C'est une bouche à queue.      - Tu as tenu ton engagement ou tu as fauté ?      - J'ai joui. Il y a 20 min environ...      - Donc tu ne t'es plus caressée depuis...      - Non... Sa petite voix est toute contorsionnée, vaguement plaintive, désolée, très légèrement provocatrice et terriblement bandante. Je lui souris. Je défais ma veste que je pose sur la seule chaise dont dispose la grande pièce remplie seulement par son lit, un bureau et une chaise.      - Je comprends, dis-je en m'approchant lentement d'elle, mes yeux nous reliant comme un file que je remonte. Mon visage est à 2 cm du sien, nos nez sont presque en contact. Je lui crache au visage, deux fois, une fois sur chaque oeil. Je recule ma face pour contempler la sienne. Elle exprime l'humiliation mal vécue. Une gifle vient cingler son visage de putain fautive.
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Par : le 17/08/25
Ce dimanche, nous nous levons très tôt, mon Maître et moi, car nous allons partir au lac Saint Cassien . Je commence par lécher l’anus de mon Maître pour son plaisir puis le suce jusqu’à le faire jouir sur mes seins. Après que j’aie préparé et apporté son petit déjeuner à mon Maître, nue avec collier et bracelets aux poignets et aux chevilles, il m’annonce que nous ferions du kayak. J’avais la vessie pleine car il m’était interdit d’uriner avant midi. Comme le lac était désert, je pourrai être totalement nue sans que personne ne le voit. Je préparais donc les affaires et les mis dans la voiture à l’arrière. En effet, le coffre m’était destinée. Je pourrai ainsi voyager nue. Mon Maître me fit allonger dans le coffre après m’avoir attaché les poignets aux genoux afin que je ne puisse pas me mastuber.   C’est ainsi saucissonnée que nous nous mîmes en route. Les cahots de la voiture me donnaient une envie pressante mais je devais me retenir. Si je salissais le coffre d’une seule goutte d’urine, je serai sévèrement punie. Quand nous arrivons, mon Maître me fait sortir du coffre et me détache. Il me fait enfiler un maillot de bain très petit au cas où nous croiserions des personnes. Mon maillot est bleu clair composé de trois triangles de 8 cm de côté. Deux attaches le maintiennent. Mon Maître m’ordonne de m’agenouiller sur le chemin de terre. Il branche la pompe electrique et gonfle le kayak. J’ai pour ordre de le regarder faire, sans bouger.   Quand le kayak est prêt, c’est moi qui pagaie, seule. Je n’avais pas le droit de parler. Mon Maître m’encourage à pagayer. Le kayak n’avance pas très rapidement mais il apprécie contempler le paysage. Après vingt minutes, il pointe du doigt une crique isolée et me demande d’accoster. Je descends du kayak. L’eau était tiède sur mes jambes nues alors que je tirai le kayak sur la grève. Mon Maître descend à son tour, sans un mot.    Il m’amène ensuite dans un coin, comme il est midi, puis m’ordonne d’uriner et de déféquer devant lui, accroupie et cuisses bien écartées. J’ai un peu de mal à le faire devant lui et quelques secondes s’écoulent, mais l’envie est la plus forte et je finis par uriner longuement, m’éclaboussant les jambes. Puis je défèque comme une chienne et mets mes déjections dans un sac à chien pour les jeter.   Mon Maître m’ordonne d’aller me nettoyer dans le lac. Il me rejoint au bout de quelques instants dans l’eau et me caresse les seins et le sexe et m’embrasse. J’aime ce moment de tendresse et de douceur.  Ensuite, nous rejoignons le bord et lentement, il sort une corde de son sac étanche. Il me lie les poignets puis me fait agenouiller sur les cailloux, les genoux écartés, la tête baissée. Il fait doucement glisser les attaches de mon maillot. Mes seins nus frissonnent sous la brise. Il les caresse, doucement d’abord, puis plus fort. Il les gifle ensuite, sans prévenir ce qui me fait gémir. Un bruit me fait alors sursauter. Mon Maître a sorti une pince à téton de son sac. Puis une autre. Il me pince les tétons et me met les pinces, ce qui me fait pousser un gémissement de douleur. Puis il m’ôte complètement mon maillot et je me retrouve nue, vulnérable. Il me fait pencher en avant, les fesses bien hautes, et il baisse son propre short et me gifle la vulve du plat de la main. Je sursaute, crie à moitié. Il recommence. Une, deux, trois claques, puis il enfile deux doigts en moi. Il me pénètre brutalement, ses doigts dégoulinent de ma mouille. Puis, sans un mot, il sort ses doigts de mon intimité et me les fait lécher. Ensuite, il les remplace par sa queue dans mon sexe, sans douceur, sans préliminaire. Il me prend comme un animal, dans le silence de la nature, brisé uniquement par ses coups de reins, mes gémissements étouffés, et le bruit mouillé de son sexe contre le mien. Il attrape alors mes cheveux, me forçant à garder la tête levée. Il frappe mes fesses, de plus en plus fort, les faisant rougir. Puis il éjacule en moi. Il se retire, et son sperme coule sur mes cuisses. Mon Maître détache mes poignets et m’ordonne de me rincer dans le lac, dont l’eau est bien fraîche. Puis je devrai le sucer. Il pose une laisse sur mon collier. Il me demande de ramper pour venir le sucer. Je le fais, me sentant bien dans ma peau de soumise aux pieds de son Maître ainsi. Je commence par doucement lui caresser le sexe. Je lui mets de petits coups de langue. Je le prends ensuite en bouche et je commence par faire de lents va et viens. Je sens son sexe grossir et durcir dans ma bouche. Puis, je l'enfonce de plus en plus profondément dans ma gorge en accélérant le mouvement. J'alterne de temps en temps avec de petits coups de langue sur ses couilles. Mon Maître m’ordonne de le sucer et le masturber plus rapidement. À l’aide d’un jonc qu’il a ramassé, il me flagelle les fesses afin que j’accélère le mouvement. Je poursuis jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche et j’avale son sperme comme il me l’a ordonné. Puis je le lèche afin de nettoyer son sexe. Mes cuisses sont douloureuses. Mon dos est couvert de terre et de petits cailloux qui s’accrochent. Mes seins sont marqués par les pinces. Comme je n’ai pas été assez rapide pour le sucer, mon Maître me punit. Il m’attache à une branche en extension haute, les bras et les chevilles tendus et il me flagelle avec le jonc en m’ordonnant de compter les coups. Il me frappe 40 coups sur tout le corps : mollets, cuisses, sexe, fesses, dos, ventre et seins. Je gémis de douleur tout en comptant. Il me détache ensuite et me fait ramper pour ramasser le bois pour le soir, me forçant à ramper dans les ronces, les genoux écorchés. Il me fait ensuite installer la tente puis préparer le pique nique. Je m’agenouille devant lui et le regarde manger. Ce n’est qu’une fois que mon Maître a terminé qu’il m’autorise à manger les restes, en silence. Puis il m’attache à un tronc d’arbre avec deux sangles en cuir, bras au-dessus de la tête. Il me fait jouir rien qu’avec ses doigts trois fois. Il me donne ensuite quelques coups de ceinture sur les seins et le sexe pour faire redescendre l’excitation avant de me détacher. Il me fait alors m’allonger sur le ventre. Il écarte mes jambes avec ses genoux. Il pose un doigt sur mon anus. Il fait couler du lubrifiant entre mes fesses en prenant son temps. Il enfonce un doigt puis deux dans mon petit trou, faisant des va et vient rapides. Puis il enfonce brutalement son sexe entre mes fesses et me donne de solides coups de boutoirs. Je gémis, visage dans la terre, les mains enfoncées dans la terre. Il m’attache ensuite le reste de l’après midi à un arbre, jambes bien écartées et bras en l’air. Quand le soir arrive, après avoir allumé un feu, il me détache et prend son repas. Je dois rester à le regarder, sans manger. Il a envie de me pénétrer avant d’aller dormir. Il me fait mettre à quatre pattes. Puis sans préambule, il me pénètre d’un coup sec. Il accélère ses mouvements. Je sens son souffle se raccourcir. Il est tout contre moi maintenant, agrippé à mes hanches. Son sexe me claque au plus profond, mes cuisses tremblent. Et il éjacule en moi. La lune est déjà haute dans le ciel. Il joue alors avec mes cheveux comme si j’étais une poupée. Il me fait boire à la bouteille comme un animal, en me tenant le menton. Mais je n’ai pas le droit de manger, juste boire l’eau qu’il me donne. Ensuite, nous nous préparons à dormir, lui dans la tente, et moi à l’extérieur, sur une légère couverture. À l’aube, il me réveille et il me laisse me laver dans le lac dont l'eau semble plus fraîche avec la nuit, nue et seule. Quand je reviens, il me tend une serviette puis m’ordonne de ranger le campement. Pour le retour, je devrai à nouveau pagayer en silence après lui avoir longuement léché l'anus et le sexe pour lui faire sa toilette du matin.
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Par : le 24/07/25
Voilà,  je rentre dans ton histoire "esclave à Syracuse" . Magie des mots, des écritures automatiques. Je te vois près des bateaux en train de te laver les jambes. Tu es si belle, les marins te sifflent, j'enrage.  Tu es vraiment une salope de Syracusaine,  belle et fière  toujours le dos bien droit et ce défi permanent et très provocateur. Du style ;  Tu causes où tu me baises ?  C'est mon ressenti, ce côté libre chez toi. Tu es mon esclave, mon butin de guerre et pourtant tu me défies en permanence. Et cela m'excite et me fait bander. Tu mérites une bonne baffe pour te faire baisser les yeux et courber l'échine. Tu me résistes. Les marins se moquent de moi.  -Sort le fouet.  Ces syracusaines sont toutes des salopes. Il faut les dresser au fouet.  Je déteste te donner le fouet. Tu le sais, tu le sens. Tu sais aussi que je suis tombé amoureux. Tu es vraiment une belle salope. Cela t'amuse et tu t'en sert contre moi. Pas facile de t'imposer mon autorité. Et toujours cette envie de te troncher. Je te mène par les cheveux dans ma tente. La lutte commence. Tu résistes mais tu ne fait pas le poids. Je t'immobilise et remonte ta tunique. Quel beau cul tu as. Bombé, musclé, serré.  Je t'empale d'un coup. J'ai trop envie de toi. Je sens que tu te cabre, que je te fais mal. J'aime forcer tes reins, ma façon de te marquer. Je ne bouge plus. Je t'écrase de tout mon poids. Tu te défends, tu gemis. La douleur passe. Je commence à te troncher de toute ma puissance. Je sens que tu prend du plaisir. Mais tu ne veux pas me l'avouer. Ta chatte est complètement fermée.  Peut être une anomalie de naissance. Par contre ton petit clito est hyper sensible. Je passe ma grosse main sous toi et je le caresse doucement pendant que je t 'empale.  Tu jouis encore et encore. Tu enrage parce que tu jouis et que tu ne peux pas résister à ces vagues de plaisir qui te secouent et te submergent. Tu lâches enfin prise. Tu sens si bon la femme quand tu jouis. J'explose à mon tour dans ton cul. Je lâche tout. J'hurle un violent orgasme. Les autres soldats rigolent dehors près de la tente.  J'ai faim. Baiser me donne toujours très faim. Tu me prépares un bon repas. Tu me sers et reste debout derrière moi. Je mange avec plaisir. Le vin de Sicile est très bon. Je te laisse finir les restes.  Tu as très faim aussi. J'aime te voir manger. Tu respires la vitalité et la vie. Tu vas survivre à cette guerre. C'est un ressenti étrange. On sent qui va s'en sortir et qui va y rester. Je sais que je vais y rester. Il me reste si peu de temps à vivre. Tu sens mon inquiétude. Tu me proposes d'aller marcher. Je te prend par la main. Tu n'es plus mon esclave mais ma compagne. Oui, je sens que je t'aime très fort.  Parfois tu prend ma main et pose des baisers dessus. Tu n'es pas domptée,  je te sens toujours si fière et rebelle à toute autorité.  Nous nous asseyons. Tu viens entre mes jambes et tu te te loves dans mes bras.  Nous parlons de tout et de rien. Je sens combien nous sommes proches en esprit. Nous faisons bien partie du même groupe d’âmes.  Il n'est pas besoin de mots pour nous comprendre. Je te respire. J'aime ton odeur. Il est temps de rentrer. Nous avons fait l'amour tard dans la nuit. Comme si je voulais garder ta mémoire.  Au petit jour, je suis parti sans un bruit. Je me suis équipé dehors pour ne pas te réveiller. Adieu belle Syracusaine.  Je sens que c'est mon dernier jour. Une si belle journée pourtant. Le ciel se couvre de rose et de safran. Il me faut rejoindre les premières lignes, la bas, sur les epipoles. Les rangs sont formés.  En face les syracusains sont déjà alignés. Gylippe les passe en revue.  Ce général spartiate n'est pas du genre locace, c'est plutôt un adepte du bâton. Il est redoutable. Un soldat mal aligné et son bâton le frappe avec une  violence  incroyable.  Les Syracusains ont visiblement très peur de son bâton.   La bataille commence. Les Syracusains veulent nous empêcher de terminer notre mur pour encercler leur ville. Une bataille à mort. Surtout ne pas fléchir et perdre la ligne. Le choc est voilent. Boucliers contre boucliers.  Tuer ou être tué   Gylippe a repéré notre point faible. Il envoie ses meilleurs soldats à cet endroit là.  Notre stratège ne réagit pas assez vite. La ligne commence à se disloguer.  Nous reculons. Je n'ai pas vu la mort venir. Un coup de lance dans ma gorge, juste au dessus du bouclier. Je suis tombé avec fracas. Mes seules pensées,  ...ton si joli cul , tes yeux  de braise et ton odeur. Adieu...et qui sait dans une autre vie.  .../....   Mon ressenti après cet essai...je fais bien partie de ton groupe d'âmes. C'est pour cela que je peux entrer dans ta régression.   
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Par : le 21/07/25
C'est l'heure de la sieste.  C'est agréable la sieste, au frais, volets tirés. J'ai horreur des clims. Je somnole...je me retrouve sur une plage. C'est agité,  bruyant. De superbes bateaux de guerre, tout en bois, avec des rames. Des triremes.Des voiles aux couleurs vives. Des marins, des soldats en armes. Une régression...je viens de glisser dans une régression. Je touche mon sexe. Je suis une jeune femme. Je porte une tunique courte. Les hommes me regardent. Je lave mes jambes dans la mer. De très jolies jambes. Un marin me siffle de façon grivoise.  Qu'est ce que je fais ici?  Un soldat puissant s'approche. Il me prend par les cheveux et veut me coller une baffe. Je bloque son bras. Je le défie du regard.   - Salope, qu'est ce que tu fous là à montrer ton cul. File dans ma tente et bouge ou je te bastonne. Je vais te dresser esclave.  Il est visiblement très colère et jaloux. C'est un bel homme. Esclave ? J'ai régressé dans une vie où j'étais esclave? Il me traine jusqu'à sa tente. D'autres soldats se marrent.  -botte lui le cul, et baise là.  Cette salope de Syracuse ne mérite que cela.  A peine dans la tente,  j'ai morflé grave. Je ne fais pas le poids face à  ce guerrier qui cogne dur. Je me défend comme je peux.  - salope de rebelle, je vais t'enculer.  Tu feras moins la maline. Tu es mon esclave. Tu dois m'obeir.  - A part la violence tu n'es bon à rien. C'est moi qui vais t'enculer.  Obéir,  jamais.  Il se jette sur moi.  Il bande comme un malade. Plus je lui résiste et plus il me désire. J'ai beau lutter, je ne fais pas le poids.  Il me perfore.  Journée de douleur. Les soldats dehors éclatent de rire et font des commentaires salaces.  Le soldat jouit en moi. Ce salaud prend son pied. Je touche ma chatte. Elle est complètement fermée.  Il ne pourra jamais me violer par là.  Toujours vierge.    Il grogne sur moi. Il me caresse les seins.  - tu me violes et après tu cherches du réconfort. T'es vraiment minable.  -ta gueule esclave ! Je te viole quand je veux. Tu es à moi et t'as rien à dire. Alors ferme la ou je te donne le fouet devant les soldats dehors.  je la ferme. Inutile de résister. Je sens qu'il est amoureux et qu'il me désire. C'est ma seule arme contre lui.  - prépare moi un bon repas avec du bon vin, salope de Syracusaine.  je m'exécute. De toute façon j'ai faim moi aussi. Esclave dans le camp des Athèniens à Syracuse ? Je prépare une sorte de brouet  avec du porc, quelques légumes, de l'orge. Il mange d'abord, je finis les restes. Parfois je surprend son regard sur mes jambes, mon cul. Je sais qu'il me trouve jolie, que je le fais bander.  Syracuse....une régression étrange. Esclave dans le camp des Atheniens. Esclave d'un beau guerrier amoureux.  Le soir tombe. Demain mon guerrier doit repartir vers les premières lignes.  -Allons marcher un peu sur la plage.  il accepte. Je sens qu'il est inquiet. Un nouveau général venu de Sparte commande la garnison de Syracuse. Le fameux Gylippe. Je sens que les jours de mon beau guerrier sont désormais comptés.  Il ne reverra jamais Athènes.  Il va mourir ici bientôt,  dans cette expédition risquée.  Je prend sa main.  Il est surpris. Je dépose une bise sur ses doigts.  -viens rentrons, j'ai encore envie de toi.   Je vais encore prendre cher... la régression se termine. Dehors le chant des cigales.  Maso aussi fait la sieste tout nu. C'est un bel homme. J'aime le voir dormir. Syracuse est loin...qui sait, y aller un jour en vacances pour voir si je retrouve les lieux de ma régression? J'en parlerai à Maso. Je prend mon tel et regarde des images de cette côte.  Oui, c'est bien cela. Les constructions sur la côte ne sont pas un obstacle pour retrouver la plage. C'est vraiment étrange ces regressions. Faire comme si tout cela n'existait pas. Je sens l'odeur du guerrier grec. Je l'ai en mémoire...comme c'est étrange.  Nouvelle régression, cela ne prévient pas. Je suis de nouveau dans le camp des Atheniens. Mon beau guerrier est mort au combat. Son corps a été brûlé.  Ses biens obtenus lors de cette expédition ont été redistribués.  Je fais partie du butin. J'ai été donné à un autre guerrier pour lui servir d'esclave.  Heureusement, il me regarde à peine. Le moral n'y est plus. Gylippe est redoutable et rusé.  Les stratèges atheniens ne font pas le poids. Des esclaves et serviteurs me proposent de m'enfuir avec eux. J'accepte malgré les risques. Le plan réussit. Le camps des atheniens est désormais loin. Nous avons marché toute la nuit. Notre but est de rejoindre une cité alliée de Syracuse.. Après trois jours de marche, nous arrivons enfin. Nous ne parlons pas de notre fuite du camp des Athèniens.  Je ne parle pas de ma captivité.  J'explique que je souhaite rentrer chez moi après la guerre....je revois ma maison pas très loin du camp des Athèniens . J'ai tout perdu. Dans cette petite cité à l'intérieur des terres, on ne voit pas la mer. La Sicile est si belle. Le temps passe. Cette régression est comme un accélère d'images.  Gylippe a écrasé les Athèniens. Nous avons danse ce soir là. J'ai bu du vin. Je retrouve ma maison. Tout est saccagé.  Je suis seule. Il va me falloir tout reconstruire. Et si je prenais un esclave Athènien en train de pourrir dans les latomies.  Ma famille est connue à Syracuse. Cela m'est accordé.   Lorsque je reçois mon esclave, il est en piteux état. Il fait partie des rares survivants du corps expéditionnaire. Aussitôt je me surprend à être une dominatrice très exigeante. Mon esclave se remplume et bosse bien. Il a peur de moi. J'ai le fouet facile. Il obéit d'autant mieux qu'il semble très amoureux de moi. Finalement j'en fais mon compagnon pour ma couche le soir. Il est bel homme et bon amant. Je préfère avoir un esclave à mon service qu'un époux. Cela jase à Syracuse. J'entends parfois des quolibets du genre, les Athèniens l'ont eu dans le cul à Syracuse et pourtant ils continuent de baiser nos plus belles femmes. Je ne réponds jamais. J'ai la chatte fermée.  Il n'est pas possible de me pénétrer. Je ne peux pas avoir d'enfants.  Je serais vite cataloguée comme mauvaise épouse. Alors autant rester paisible avec mon esclave qui m'obeit en tout  et pour tout. Parfois je le fouette par pur plaisir. Je l'ai marqué au fer rouge et j'ai percé ses oreilles. C'est vraiment ma propriété.      
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Par : le 08/07/25
Va nous faire réchauffer les cafés Vanessa, ils doivent être froids, arrivera à dire Manon entre 2 râles de plaisir sur son apollo.n qui avait les mains sur son fessier pour le dirigé, mais aussi pour montrer a Vanessa une meilleure vue du vaisseau qui les emmenait dans les airs . En effet, Ludovic écartait légèrement les paumes des fesses de Manon, aidé par le déhanchement de celle-ci ,qui se cambrait bien pour que Vanessa ne loupe rien du spectacle, de son spectacle. " Les cafés Vanessa " insista Manon d'un ordre direct ce coup-ci , et agacée dans de si bons moments de devoir se répéter à celle-ci, toujours à genoux et qui comptait visiblement y rester.  Car ce soir Vanessa franchit barrière après barrière et descend marche après marche, elle n'est plus assise derrière Manon, mais à genoux.  Face à cette insistance de Manon, Vanessa se relève pour prendre le plateau ou était posée les cafés pour aller les faire réchauffer, sans y aller à reculons, et se dirigea vers la cuisine, une cuisine a l'Américaine qui donnait vue sur le salon, une vue pour Vanessa qui allait laisser les cafés froids encore un moment. Vanessa apercevait cette fleur qui était nue, s'abandonnant de plus en plus a son mari, un début de transpiration commençait à apparaître dans la cambrure de ses reins, ce qui la rendait encore plus sexy, enfin plus Manon, car ce soir, elle transpire pour Ludovic, mais pour Vanessa, a cette distance elle brille. On sent que Ludovic et Manon se découvre, ils veulent s'apprécier, l'arracheuse de chemise est devenu carresseuse de torse à bisous tendre, elle déguste son cadeau imprévu, essayant tout de même de le séduire avec tout les atouts qu'une hollywoodienne peut avoir. Ses joues rougis, ses yeux si particulier et sa chevelure châtain qu'elle sait si bien balancer, auront raison de Ludovic qui aura un orgasme en même temps que Manon, qui jouira d'une façon bruyante et intense, et s'en rajouter ce coup-ci, après tant d'excitation accumulé . Après que Manon ait planter son drapeau, et soit redescendu de la ou les Américains on planter le leur, Vanessa elle plane toujours, ramenant docilement les cafés aussi brûlant que l'ambiance, regardant Manon, toujours sur Ludovic reprendre son souffle et ses esprits, la tête posée sur l'épaule de ce dernier qui lui caressait les cheveux, mettant  sa joue contre son front en lui donnant quelques baisers parfois. Au bout d'une dizaine de minutes et les pulsations retombées, Manon se retire de Ludovic telle une cavalière dynastique qui descend de son cheval, retire le préservatif de son bel étalon, et le tend à Vanessa. " Tiens Vanessa, tu en fais ce que tu veux, sois tu le jettes, sois tu le gardes en souvenir ", dit elle sans un rire de la façon la plus sarcastique et moqueuse, tout en fixant celle-ci dans le silence comme attendant sa réponse. Mais Vanessa ne réfléchit plus, ou ne veut plus réfléchir à cette situation, pas maintenant, son shoot d'adrénaline est trop fort, pourquoi penserait elle a l'effet d'après en pleine euphorie.  Vanessa se lève sans un mot, prend l'arme du crime encore chaud dans les mains, fait quelques pas pour aller le jeter quand Manon la rappelle aussitôt." Tu sais Vanessa, hormis ton impolitesse, c'est ton ingratitude qui me dérange", dit cette dernière en allumant une cigarette et buvant quelques petites gorgées de son café, toujours nu et excitée, mais surtout  toujours piquante.  Vanessa se tenait debout devant Manon, le préservatif dans le creux de sa main, ne sachant quoi répondre. " Tu m'as bien demandé de coucher avec ton mari " , insista cette fleur à 2 cotés," oui Manon " répondit Vanessa d'un ton franc et audible, " c'est bien ce que je viens de faire, tu en as la preuve dans ta main que je me suis bien occupée de ton chéri ", continua celle-ci," oui Manon " répondit machinalement Vanessa, qui avait repris sa posture pathétiquement drôle, une main tendue et l'autre dans le dos, les yeux baissés. " Alors ne penses-tu pas que la moindre des choses est de me dire merci " continua la fleur, comme si la douceur donner à Ludovic lui avait épaissi et rallonger ses épines, piquant plus fort et plus profond, et pourtant Vanessa ressent peu de douleur, anesthésié par son excitation . Un secrètement psychique, mélanger au vagues océanique de plus en plus régulière dans la pauvre la culotte de celle-ci, et cela devient un cocktail anéstesiant puissant pour Vanessa , un cocktail qualifié de drogue dure dans le milieu muti goûts, mais strictement interdit dans le monde sucré, sans sel, pour cause d'effets secondaires indésirables, voir de dépendance. " Je vous remercie Manon d'avoir couché avec mon mari ce soir ", dira elle sans bafouiller, comme une bonne élève qui a bien retenu la leçon , ou comme une bonne soumise qui s'applique à faire ses devoirs. Après avoir écrasé sa cigarette, finit son café et ranger ses épines  en voyant Vanessa revenir une main moite plus que l'autre, la fleur a 2 cotés , et même a 2 effets, n'en a pas fini avec Ludovic, certes elle pique Vanessa, mais elle enivre ce dernier.  Et puis Manon n'est pas la fille d'un soir habituellement, alors encore moins le coup de 10 min pris entre 2 en-cas dit vulgairement parlant, c'est même tout le contraire, l'en-cas c'est elle-même , bien décidé de faire goûter le menu à Ludovic tout en faisant payer l'addition à Vanessa . Pendant que cette dernière buvait son café sans sucre, Manon était assise sur les genoux de Ludovic, tous les 2 nus , Elle lui passait la main autour de son cou et l'autre sur son torse , Vanessa pouvait apercevoir sa main vermiller d'un blanc discret  parcourir le corps de son mari, qui se faisait recouvrir le visage et le coup de baisers tendrement venimeux de la fleur qui avait différentes façons de piquer. Manon était assise sur Ludovic , lui chuchotant des mots a l'oreille,des mots que Vanessa n'entendait pas, des mots que Ludovic n'écoutait plus, ces mots étaient des frissons que Manon leur offrait  , des frissons décuplés par les lèvres douces de l'actrice qui ne jouait plus. Manon parcourait de baisers le torse de Ludovic , descendant lentement, entrecoupé par petit coup de langue, jusqu'à  venir lécher les tablettes chocolatées de son pilote de ligne. Voyant Manon à genoux écartant les jambes de son mari, Vanessa qui buvait maintenant son café froid, et non-fumeuse , resserra les siennes comme pour faire barrage aux rouleaux qui venaient s'échouer sur un tissu qu'il est déjà bien trop tard de protéger. La fleur continuait de jouer de sa langue et de ses lèvres sur le sexe de son pilote, redevenu aussi dur et épais que lors de leur premier décollage,   absorber cette fois-ci par la bouche, plus velours que gourmande de Manon,qui s'appliquait a tourner délicatement sa langue salivante autour de la fusée de Ludovic , s'assurant tout de même de ne pas vider le kérosène du réservoir qu'elle caressait . La bouche de Manon redoublait de douceurs, elle regardait Ludovic dans les yeux entre 2 va-et-vient, comme pour y laisser une trace , autre que celle de son rouge à lèvres . Une fois le sexe tendu de Ludovic et la langue bien humide de Manon , cette dernière se releva, pris la main de Ludovic qui se releva également et dit a Vanessa , " nous nous absentons quelque temps, hésite pas à mettre la télé si tu le souhaite " , dis elle machinalement et visiblement pressée d'aller revérifier si le drapeau américain ne s'était pas envolé," tu viens mon chéri " insista elle en emmenant Ludovic vers sa chambre. Car la fleur a plus d'une épine a sa rose, mais aussi plus d'une flèche a son arc, a l'entente de ce mot si intime, Vanessa jusque la aneshtésier des épines qui la piquaient, ne le fut pas par cette flèche pointue qu'elle reçoit, une flèche faite pour toucher le cœur , pas pour faire couler le bas-ventre .
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Par : le 27/05/25
Aprés avoir choisi sa place, celle qui lui convenait le mieux, celle ou elle voulait être, Vanessa était elle vraiment consciente que le train qui était en marche, ou plutôt l'avion qui était en vol dans un voyage ou elle ne voulait plus redescendre, ou elle ne pouvait plus redescendre à cette altitude-là, n'était pas sans risques. Même avec un bon pilote, l'atterrissage peut être parfois brutal  lui disait sa dernière petite voix raisonnable encore présente, cette dernière petite voix qui vous parle , que vous écoutez  , mais auquel vous savez déjà que vous ne serez pas d'accord . Sur le chemin du retour, Ludovic et Manon étaient plus seuls au monde, ils étaient seuls, mais dans leur monde . ils  riaient de certaines anecdotes de la soirée, ce genre de rire naturelle et généreux, contraire a celui dont on se force par politesse ou par séduction. Leurs fous rires complices pouvaient durer de longues secondes pour Vanessa qui n'existait plus pendant  ces moments-là,se faisant très discrète à l'arrière de la voiture, admirant le spectacle romantique parsemé d'humour de ceux qu'elle avait jetés dans les bras l'un de l'autre. Au bout d'une dizaine de kilomètres parcouru, un silence s'installa , un silence gênant pour Vanessa qui préférait encore les voir rire à gorge déployée que d'affronter celui ci . En effet face à lui, face à cette atmosphère silencieuse Vanessa, n'osa plus bouger, et encore moins parler, arriverait elle à s'exprimer d'ailleurs . Aprés ce silence pesant pour Vanessa, mais loin de l'être pour Ludovic et Manon qui eux sont parfaitement à l'aise, cette dernière d'un geste toujours aussi gracieux, posa sa main qui ne l'était pas moins sur la nuque de Ludovic  pendant qu'il conduisait, le caressait comme pour lui dire qu 'elle voulait qu'il soit à elle ce soir, passant sa main dans ses cheveux comme le ferais un couple de longue date qui filerait encore le parfait amour . Ce dernier caressait la cuisse de Manon entre deux changements de vitesse, remontant parfois Jusqu'à son indicateur rose et mouiller pour évaluer son degré d'excitation qui augmentait au même rythme que les kilomètres qui défilaient . Une fois joué de sa sensualité et voyant la fin du trajet arriver, Manon malgré son désir et son excitation pour ce beau brun , voulait quand même avoir la confirmation de Vanessa et de celui ci également, après tout elle ne les connait que depuis peu .  Manon se retourne vers vanessa la regarde et se concentre à la mettre le plus mal à l'aise possible, elle veut pas seulement le corps de Ludovic elle veut aussi le cérébral de vanessa. Car elle aussi ce soir a pris beaucoup de plaisir à dominer et a humilié celle-ci , elle aussi ressent couler un cours d'eau entre son entrejambe, certes loin de l'océan de Vanessa , mais un joli fleuve tout de même. " Que veux-tu Vanessa "  Posa Manon comme question a celle-ci aprés l'avoir fait transpirez de partout avec son regard d'actrice d'Hollywood , qui avait cependant changé de rôle . Face à cette question , ou plutôt cette ambiance, cette atmosphère de plus en plus chaude pour tout le monde,l'attitude de Vanessa ne frôle plus le pathétique, elle l'est à cet instant, à la voir, on pourrait la croire à la barre d'un tribunal et qui a peur de donner la mauvaise réponse à la méchante juge Manon. " Que veux-tu Vanessa  " insiste Manon, qui n'a rien de méchant et rien d'un juge non plus,tu veux que je couche avec ton mari c 'est bien ça lui dit elle sans même lui laisser le temps de répondre , en mettant une main sur le torse de Ludovic à travers sa chemise qui venait de garer la voiture devant la maison de celle-ci. " Oui, je le veux " dit Vanessa ,  " oui qui "rétorqua aussitôt Manon d'une voix une peu plus autoritaire.  " oui Manon pardon " reprit vanessa  " Oui, quoi "  insista manon .  " oui je veux que tu que vous  pardon avec mon....  ' Vanessa bégaye , bug, elle est touchée, sa rivale est plus forte , plus subtile , sa rivale a eu ce qu'elle voulait , la rendre pitoyable devant son mari ,  ce qui l'excite fortement .  " Oui je veux que vous couchiez avec mon mari s'il vous plaît Manon " arrivera à dire Vanessa après avoir repris ses esprits et sa respiration. Devant cette situation , Manon et Ludovic se regardent un instant dans les yeux, toujours aussi complice, et rétiaire un nouveau fou rire, 2 rires communicatifs qui se mélangent, 2 rires qui feront comprendre définitivement a Vanessa devant cette nouvelle humiliation, et le siège arrière encore intacte, heureusement protéger par la robe de celle-ci, que c'est bien ça qu'elle était venu chercher. Elle ne s'est pas trompé de destination, c'est bien de ce voyage-là que lui ont tant parler ses voix et ses pulsions obsessionnelles . Vanessa ne veut pas seulement voir son mari couché avec Manon , elle veut aussi lui être soumise, elle aime être humilié et rabaisser par celle-ci, elle le sait, elle le sent, a cet instant même elle le veut. Suite à cette confirmation et cette demande ridiculement courtoise de Vanessa, Manon cesse son fou rire, regarde Ludovic de ses yeux plissé et ravageur tel un jour de casting, rapproche son visage au plus près du sien, et de sa voix la plus allumeusement douce, dit a Ludovic , " et vous mon chère monsieur voulez vous  bien être à moi ce soir " , a quoi Ludovic répondra d'un baiser tendre, d'un baiser tendrement langoureux  pendant une trentaine de secondes, peut être 1 minute, ou alors peut être 2 , Vanessa ne sait plus, Vanessa ne veut plus savoir,  elle c 'est conditionner a seulement y assister. Mais ou est cette Vanessa  si élégante et charismatique au quotidien, cette Vanessa si dominante et arrogante dans le cadre professionnel , visiblement, est n'est pas là , existera elle a aprés , existe elle toujours d'ailleurs .Arrivé chez Manon , l'adrénaline et l'excitation augmentaient pour chacun, mais l'ambiance restait la même, Ludovic et Manon était toujours aussi complices et festifs  pendant que Vanessa continuait de rester discrète , honteuse et mouillé. Manon leur faisait visiter le salon de sa maison, une jolie maison donnant sur un jardin au décor assez propre à elle . Un jardin auquel on pouvait apercevoir de magnifiques fleurs pures, arborées de différentes couleurs, entourées de roses épineuses tout aussi particulières. Après avoir fait le tour de la décoration aussi élégante que sa propriétaire, Vanessa et Ludovic s'installent sur le canapé pendant que Manon mets une musique d'ambiance après avoir allumé la cafetière et s'absente quelques minutes. Ludovic se retrouvant seul avec Vanessa, regarde celle ci avec les mêmes yeux qu'un homme loyal a forte épaule peut avoir pour la rassurer,  et lui mets la main délicatement , mais légèrement ferme  entre son entre-jambe . A cet instant Ludovic comprend , regarde sa femme en essayant de lui parler sans mot quand Manon revient dans une tenue beaucoup plus aisé, mais pas moins raffiné. Manon est l'ennemie de l'inélégance, le contraire de la vulgarité, même dans un rôle de chienne, elle serait chic . En voyant ce petit bonbon revenir , le pouls cardiaque de Vanessa augmente autant que la testostérone de ludovic. Aprés avoir augmenté la tension de chacun, Manon parcourt la pièce , viens s'asseoir sur les genoux de Ludovic, et dit a Vanessa d'aller dans la cuisine cherchez le café pour leur servir d'une façon enfantine que Manon c 'est si bien faire  avec elle . Quand Vanessa reviens pour apporter les cafés , sans se bruler , et sans faire de tache sur le tapis  beige de Manon devant ce qu'elle voit  , elle comprend que plus personne ne joue, ou plutôt que le jeu est parti. La douceur de Manon avais fait place à sa bestialité  , la fleur pure se transformait en rose épineuse . Ludovic et elle  n'avaient plus aucune retenue, surtout elle , la chemise de celui ci  n 'était plus qu'un joli souvenir, préférant lui-même enlever son jean pour ne pas rentrer sans ceinture. Manon était sur Ludovic  , sans culotte mouillé ce coup-ci , qui lui même était sans jean et sans caleçon . Manon frottait son bouton de plaisir et les lèvres de son trésor , en se déhanchant légèrement , sur le sexe tendu de Ludovic et en faisant ressortir ses courbes parfaites . Les mains de Ludovic parcouraient le bas du dos de Manon jusqu'a son fessier , qu 'il dirigeait au rythme des mouvements de cette dernière . Vanessa regardait, ou plutôt fixait comme un film qu 'elle avait attendu toute sa vie, mais un film bien réel, un film tourné en directe  ,un film ou elle en était elle même la réalisatrice, mais sans maîtriser  le scénario . Manon et Ludovic mélangeaient leurs corps, leurs odeurs, leur salive, leurs excitations. Vanessa ne voyait plus sa posture si ridicule ou voulait peut être plus la voir, elle ne pensait qu'à ne pas se toucher pour éviter l'orgasme incontrôlé . Manon arrêta un instant son léger déhanché sur la fusée qui était sur le point de la faire décoller, les joues rougis, mais  pas à cause de la honte contrairement a ceux de vanessa , inclina légèrement la téte en arrière , les yeux pas encore révulser , et dit a celle-ci .  " Vanessa peux tu regarder dans mon sac et prendre ton parfum préféré si tu ne veux pas que ton chéri  me fasse une mini Manon " dit cette dernière d'un fou rire franc toujours aussi ironique , car évidemment Manon prend la pilule  , mais Manon ce soir est la fleur pure de Ludovic, très douce, et la rose épineuse de Vanessa , elle pique . Aprés avoir choisi un parfum qui n'était pas vanille , Vanessa tend à Manon ce qui lui garantit que cette dernière n 'aura pas de nausées dans les mois à venir, quand Manon lui dit , façon prof d'école botanique, " voyons Vanessa enfin nous allons pas tout faire tout seul , aide nous un peu, nous allons pas tout te dire, c 'est ton souhait , c 'est toi qui le veut , nous te faisons plaisir , alors fait un effort s'il te plait  , mets toi à genoux et protège ton mari "finira elle par dire don ton amusé et d'un rire étouffé . Vanessa se mit à genoux, prit le sexe dure de son mari , lui mit le préservatif  les mains tremblantes  , le visage a quelques centimètres du fessier de Manon  et de sa source au liquide commun , qui d'ailleurs coulait autant l'une que l'autre ,, le dirigea contre l'entre-jambes en ébullition de celle ci , frotta quelques instants le sexe de son mari contre celui de Manon , avant de le voir disparaître  dans un cris de plaisir fusionnel , absorber par la volcan de le fleur pure.....a épines.  
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Par : le 22/05/25
Ludovic voyait l'état de sa femme et savait parfaitement ce que se disait cette dernière, la fête et l'alcool aidant Ludovic en jouait et en rigolait sans vouloir franchir la limite, tout du moins c 'est ce que se disait Vanessa . A la fin du repas et continuant leur conversation très peu de fois couper pendant ce délicieux dîner, voyant les invités de plus en plus distrait par l'ambiance et la musique, Manon s'approcha de l'oreille de Ludovic et lui murmura de son souffle chaud et frissonnant une phrase que Ludovic entendit à peine et pas à cause de la forte sonorité, mais qu'il compris au mot cigarette. Nous allons assouvir notre vice du tabagisme dit Ludovic d'un air blagueur en quittant la table et en regardant d'un air complice Vanessa qui devenait de plus en plus rouge et transpirante comme si la température de la salle augmentait au gré de son excitation, vanessa avait de plus en plus de mal à parler, à réfléchir , à faire bonne contenance devant les invités, mais elle s'y forçait bien que son esprit soit si loin. Une quinzaine de minutes interminables plus tard pour Vanessa , celle-ci aperçoit son mari revenir à la table sans Manon parti sur la piste de dance,elle est rassurée de voir  Ludovic regagner sa place à la table. Une fois assis seul avec Vanessa a la table désertée par les invités pour quelques instants, ils se regardèrent avec un regard qui en dit beaucoup, ils se connaissent et s'aiment, c'est tout du moins ce qui en ressort de leurs conversations oculaires a cet instant. S'approchant de Vanessa d'une manière douce et rassurante, lui remettant la mèche de ses cheveux derrière l'oreille, lui déposa un bisou très furtif sur les lèvres et  posa la question droit dans les yeux de sa femme de la manière la plus sérieuse qu'il soit. Tu es sûr que c 'est ce que tu veux vraiment mon amour, tu en es bien certaine, réfléchis bien, tu sais cette femme me plaît beaucoup et nous avons l'air de très bien nous entendre elle et moi, donc je te le répète c 'est vraiment cela que tu veux, que je couche avec . A cet instant la bouche de Vanessa n'émet aucun son, voilà ce que l'on va faire repris ludovic , je te laisse réfléchir et m'envoyer la réponse au cours de la soirée sur mon téléphone portable, un oui et je serai que je pourrais là faire jouir longuement et m'occuper de cette jolie beauté, a l'entente de ses mots la ce ne sont plus des gouttes qui tombe sur la dentelle préférée de Vanessa , c 'est une rivière qui coule, et si c 'est un non nous continuerons la soirée normalement . Mais attention continua Ludovic, tu pourras toujours arrêter pendant si tu ne le supporte pas, mais dans ce cas-là, je voudrais plus jamais entendre parler de cela hormis nos rapports parfois, ce à quoi Vanessa répondit très rapidement, oui mon chéri c 'est parfaitement clair. Ok je retourne sur la piste de danse voir où est cette jolie Manon lança Ludovic avec un sourire complice et malicieux  à sa femme . Vanessa avait besoin de prendre l'air et de réfléchir au chemin à prendre , quel choix faire,  allait- elle franchir ce saut dans l'inconnu et répondre à ses pulsions, briserait elle ses barrières mentales ou allait- elle rester au niveau du fantasme . Vers 23h la fête bat son plein, l'ambiance est très festive, mais également très chaleureuse, Manon et Ludovic se sont retirer dans un coin plutôt discret sans être Suspect non plus aux yeux des autres, d'ailleurs pas grand monde n'y passe voir personne quand Ludovic entend une sonnerie de sms qu'il vient de recevoir. Oui mon chéri, je le veux, j'en suis sur je le veux, je t'aime et j'ai confiance en toi auquel Ludovic répondra, ok retrouve nous dans 15 min a l'endroit indiquer . Et revoilà Vanessa repartie pour 15 min encore plus interminables que celle de tout à l'heure, le temps d'un petit remontant, elle en a bien besoin . Après ce laps de temps et se rendant sur le lieu indiqué par Ludovic, Vanessa aperçu au loin et de plus en plus près et au fur et à mesure de ses pas, son mari enlaçant Manon dans ses bras par-derrière admirant le ciel étoilé, la joue contre la sienne, on dirait un parfait petit couple pour quiconque qui ne les connaîtrait pas . A cette vue que découvre Vanessa, les émotions sont trop nombreuses à se mélanger, sa jalousie lui donne un hypercut dans le cœur, mais son excitation remplace sa rivière par un océan, Vanessa n 'est pas décontenancé ni perturber, a ce stade elle ne l'est plus , Vanessa est dans un état presque Semi-hypnotique, rêve elle ? est ce la réalité ? se demandait son corps cérébral. Arrivant les jambes tremblantes et la culotte inondée, Vanessa baissa instinctivement les yeux et n'osa pas regarder Manon quand celle-ci et Ludovic se retournent après avoir tracé la grande ourse et prédit le temps ensoleillé de demain , un long silence s'installa ce qui déstabilisa encore plus Vanessa , en effet pourquoi Manon est si sur d'elle et décontracté dans les bras de son mari a la vue de la femme de celui-ci , était elle au courant, Ludovic l'avait elle mise au courant de ses envies , tellement de questions se posait elle  . Mais vanessa savait ce qu'elle voulait au fond d'elle-même , et depuis trop longtemps , elle savait ce qu'elle était venu chercher , elle était venu chercher ce genre d'humiliation même, cette humiliation qu'elle ressent a cette instant, rouge de honte, les yeux baissés , incapable de sortir le moindre mot de ses cordes vocales , parfois observer , parfois devisager par manon qui fait ressortir un multitude d'expression les plus moqueurs et sarcastique venant de ses magnifiques yeux marron vert si particulier auquel ludovic a été séduit . Vanessa c 'est bien ca lui posa comme question manon d'une facon la plus normal possible , un oui inaudible presque muet essaya d'emettre vanessa , pardon je n'entend pas insista manon , oui je m'appel vanessa , trés bien la coupa aussitot manon d'une voix calme et sur d'elle . Vanessa tu vas allez surveillez quelques instant au cas ou quelqu'un nous voit , tu voudrais quand meme pas qu'ont surprenne ton mari en train d'embrasser une autre dit elle en rigolant elle et Ludovic déjà visiblement complice, mais attention nous te voulons quand même dans notre champ de vision insista Manon  . Sans même se poser de question, Vanessa exécuta l'ordre dès l'instant, partis quelques mètres plus loin surveiller les alentours, sans entendre ce que pouvait se dire Manon et son mari a cette distance-là, elle pouvait simplement les voir s'embrasser, se goûter, se déguster même, leurs désirs était flagrant, leurs baiser de plus en plus fougueux, pendant que l'excitation de cette humiliation en donnait mal au bas-ventre de Vanessa, elle les entendait rire en là regardant , se moquait-il  , probablement se disait elle , voyant Manon sur les genoux de son mari assis sur le banc avec sa jupe cachant à peine sa dentelle rose qui masquait son intimité . Au bout d'une trentaine de minutes à surveiller les alentours ou plutôt à observer ce que faisait  Manon et son mari , Vanessa fut appelé au loin d'un geste de la main par Manon , une fois arrivé a leur hauteur du banc ou les 2 presque inséparables depuis quelques heures maintenant, semblait seul au monde . Vanessa, tu vas aller nous chercher 2 coupes de champagne pour fêter cette magnifique soirée dit Manon de la façon dont elle sait si bien faire,ironique et douce mais surtout subtil et fine, à l'inverse de Vanessa au travail qui elle est, sec cassante et arrogante , Manon elle est tout le contraire mais pas moins dur et surtout beaucoup plus humiliante , elle commençait à comprendre ce que voulait  vanessa ,le genre d'humiliation mental, cérébral qu'elle Recherchait . A ce nouvel ordre et sans dire un mot  vanessa tourna les talons instantanément pour aller chercher les 2 coupes de champagnes quand Manon la rappela aussi sec , avec un ton de plus en plus sur d'elle . Dis-moi Vanessa dit Manon comme si elle s'adressait à une adolescente timide, viens t'asseoir a coté de nous continua Manon , ce que fit Vanessa exactement comme une adolescente timide , sait tu que quand quelqu'un s'adresse à toi il est impoli de ne pas lui répondre poursuivi Manon .  Ce n 'est plus comme à une adolescente que s'adresse Manon mais comme à une petite fille à laquelle on éduque à apprendre la politesse . Devant cette humiliation grandissante au fil du temps qui s'écoule, Vanessa n 'est plus dans un état semi-hypnotique , mais presque hypnotisé, ces fantasmes, ces envies, ces désirs , ces pulsions, cette obsession constante qui lui parcourt son corps et sa boîte crânienne depuis tant de temps sont plus fort qu'elle , l'émotion corporelle l'emporte sur sa raison , a ce stade elle ne pense plus, ne réfléchis plus , son entre jambes  coulant tel une fontaine depuis le début de la soirée lui a fait comprendre qu'elle avait déjà perdu la parti face à sa conscience. Après cette remontrance enfantine de Manon et les excuses de Vanessa du même niveau, l'élégance de celle-ci a totalement disparu, sa docilité et son obéissance en Frôlerait même le pathétique en la voyant aller chercher d'un pas vif voir presque courir pour rapporter les remontants demandés par sa rivale . Que se passait-il dans la tête de Vanessa se demandait Ludovic , celui-ci savait les désirs profonds d'adultère de sa femme , il savait que Vanessa aimait être soumise Parfois  dans l'intimité, mais fut quand même surpris par la docilité et l'obéissance de celle-ci envers Manon . Était ce l'alcool, l'excitation d 'assouvir son fantasme , l'humiliation d'obéir a Manon , sûrement tout ce cocktail se disait il . Quand Vanessa revient une dizaine de minutes plus tard tenant les coupes de champagne a la main de façon machinal et toujours aussi docile, ce qu'elle voit pourrait presque lui faire tomber quelques gouttes de millésime qu'elle tient entre les mains, elle a comme une impression d'assister a un début de scène érotique, manon est à califourchon sur Ludovic , l'atmosphère est légèrement plus animalières , ils ne se dégustent plus , ils se dévorent, Ludovic remonte la jupe de manon de la main gauche pour caresser la cambrure de son fessier presque parfait il faut le dire  , qui d'ailleurs en joue bien et en rajoute plus qu'il en faut devant Vanessa , pendant que la main droite lui caressait l'entre-jambe , seulement 2 doigts avaient franchi la frontière protéger pas un tissu mouillé, les 2 doigts qui auraient probablement fait jouir à ce moment la Vanessa devant ce qu'elle voyait, Manon poussait des petits gémissements en embrassant Ludovic cette fois-ci plus langoureusement, parcourant parfois par petit coup de langue les lèvres de Ludovic comme le ferait une actrice chic et sexy d'Hollywood jouant le rôle d'une femme fatalement douce  . Pendant un instant Vanessa se demanda s'ils n 'allaient pas arriver ce qu'elle a tant de fois imaginer dans sa tête ici devant elle , mais ne voulant pas jouer avec le feu , ludovic et manon ineterrompu leur voyage auquel il était parti , demandairent les coupes a vanessa qu'elle tenait depuis aumoins 5 bonnes minutes et lui dit d'allez continuer  surveillez , ce que fit vanessa presque contente d'allez surveillez par sécurtié , mais presque tout aussi decu de ne pas assister a la suite des évements , qui sera fera toutefois avec beaucoup moins d'ardeur. Manon et Ludovic sirote leur grand cru accompagné d'une cigarette , rigolant se touchant s'embrassant comme un petit couple auquel vanessa les a trouver tout a l'heure sous les étoiles .Une trentaine de minutes plus tard , l'aiguille de la montre défilant toujours trop rapidement dans ce genre de situations, sauf peut- être pour Vanessa qui contente de revoir son mari mais également Manon marché de façon  normale pour regagner la soirée. Au fait mon amour dit Ludovic a Vanessa , qui a l'entente de ce mot reçoit un peu de réconfort dans cette épreuve volontaire ,Manon habite à une vingtaine de minutes de chez nous, je pense que cela ne te dérange pas que nous la raccompagnons ce soir  poursuivi Ludovic , ce qu'accepta Vanessa d'une manière de peur de décevoir son mari et Manon étrangement, en fait Vanessa se découvrait elle même , elle ne fuyait pas cette situation , au contraire, l'attirance d'allez plus loin était une nouvelle fois plus forte qu'elle . Après avoir dit au revoir a certains invités, Ludovic prit Vanessa  à part seul ,et d'un geste toujours aussi rassurant, carressant de sa main la joue de sa femme comme un mari aimant , pose une nouvelle fois la question a vanessa . Et tu sur que c 'est vraiment ce que tu veux mon amour , elle m'attire beaucoup , elle me fait beaucoup d'effet et nous avons l'air d'avoir beaucoup de points communs , es tu sur des conséquences mon amour si je passe la nuit avec elle , elle  peut etre dominante et humiliante avec toi tu l'as bien vu je suppose ,si c 'est cela que tu veux , je le veux bien aussi,  mais je te demande de reflechir une derniere fois  , alors quand nous irons à la voiture pour ramener Manon , si tu prends la place de devant cela voudra dire que  l'on arrête et nous raccompagnerons Manon de façon normal et courtoise ,si tu t'assois derrière cela voudra dire que je ferai l'amour ce soir a Manon , je la baiserais fort peut être , je ferais tout pour la faire jouir je veux que tu le sache mon amour .A ces dernières mises en garde de Ludovic , le cerveau de Vanessa était en ébullition et son bas- ventre une bombe à retardement . Ce fut une soirée ravissante et un joli mariage se réjouit Ludovic pendant la marche qui les ramena a la voiture Manon sa femme et lui , ho je dirais même encore mieux rajouta Manon d'un rire étouffé, et toi Vanessa qu'en pense tu demanda manon une fois arriver à la hauteur de la  voiture , dans un dernier gloussement et d'émotions nombreuses, Vanessa répondit , oui cela était une très bonne soirée mais  j'ai peut être un peut trop bu ce soir  , je vais  laisser la place de devant a Manon car j'ai peur d'être malade , je vais m'asseoir a la place de derrière dit vanessa a ludovic , tu es sûr que ça vas allez répondit Manon ,  sur  quoi Vanessa confirma ,  oui oui ne vous inquiétez pas Manon ça va allez  j' en suis sur , je vous en prie prenez la place  devant installez- vous..... 
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Par : le 21/05/25
Bonjour madame votre rendez-vous est déjà là et attend depuis 15 min vient s'empresser de dire Océane l'adjointe de Vanessa là Directrice de l'agence auquel elle travaille . Apportez-moi un café et faites-le attendre repondit Vanessa d'un ton aussi sec que la gorge de son adjointe Toujours pas habitué à l'arrogance de sa supérieure .  Vanessa est celle qu'on envie par sa réussite et son élégance, mais celle qu'on déteste par son attitude et son mépris qu'elle rejette même dans le silence et pourtant paradoxalement Vanessa est plutôt douce et bienveillante dans son foyer et envers ses proches. Mais Vanessa a toujours cette idée qui trotte dans sa tête, cette envie, ce désir, ce fantasme ,qui en devenait une  obsession , celle de voir son mari, celui qu'elle aime, celui auquel elle a toujours été fidèle depuis leur rencontre , celui qui a toujours été fidèle envers elle également, celui qui pourrait lui décrocher 2 étoiles supplémentaires si elle lui demandait la lune ,celui que plus de 51 pourcent de la gente féminine révérait, Vanessa voulait voir son mari dans les bras d'une autre femme .  Vanessa voudrait voir son mari faire jouir une autre, cette idée la faisait jouir elle-même et continuait de la faire jouir encore et encore dans ses plaisirs secrets et solitaires à elle . La perturbation de ses fantasmes obsessionnels était à la hauteur du plaisir qu'elle ressentait , le plaisir d'imaginer vivre ce désir si particulier , Tout du moins si particulier pour elle , en effet Vanessa se sentait tellement  différente des autres, tellement de questions se bousculaient  dans sa tête. Ce n'était pas cette différence qui la tracassait , mais cette anormalité profonde qu'elle ressentait. et le pourquoi était sa grande question . Vanessa décida de se documenter , de lire des articles sur le cuckquean , de parler sur des forums. Mais en essayant de vouloir comprendre pour pouvoir peut être s'en échapper , Vanessa pénétra la sphère sans s'en apercevoir ou voulant peut être pas s'en apercevoir . Son mari ludovic grand brun trés séduisant savait les désirs de sa femme , celle-ci lui avoua pendant certains rapports sexuels ,mais Ludovic prenait ça comme un fantasme , un jeu  qui apportait néanmoins des orgasmes beaucoup plus fort a sa femme , certeins pour même être qualifier d'explosif lors de leurs jeux de rôles imaginaires concernant le fantasmes de vanessa ,et sa ludovic le remarquait , d'autant que celle-ci ramenait le sujet de plus en plus et ceux méme en dehors de leurs rapports , ludovic retrouvait  souvent  des livres et magasines sur le sujet. . Après avoir étouffé pendant quelques temps ses fantasmes qui lui criait si fort dans la tête, Vanessa et Ludovic se rendaient dans la douceur de ce jour d'été à une soirée de mariage d'un couple d'amis qui ont loué pour l'occasion un domaine immense, un domaine d'une élégance mélangé d'une simplicité naturelle faite par les jardins entourant et les hectares que l'on peut voir à perte de vue. Une centaine de personnes sont attendues, les invités sont presque tous aussi chic que le lieu auquel il se retrouve. Aprés que les esprits se soient échauffés avec l'apéro et petits fours, les invités se rendent autour des tables de 7 personnes pour entamer ce joyeux festin.  Vanessa et Ludovic se retrouve accompagné à la table de 2 couples d'amis et d'une amie prénommé Manon que ni Ludovic ni Vanessa ne connaisse, Manon est l'ami d'un des couples qui vient s'asseoir a coté de Ludovic pour le dîner  , ce brun ténébreux qui ne laisse pas indifférente ces dames. Cette soirée ou plutôt ce fameux dîner allait être l'élément déclencheur pour Vanessa en voyant Ludovic et Manon se parler comme s'ils se connaissait depuis des années , leur complicité naturelle  transpirant autant que le charme de Manon qui en joue un peu devant Ludovic qui est loin d'être indiffèrent également . Le nombre de points communs et d'éclats de rire entre eux passe complètement inaperçu avec tout ce bruit de voix provenant des multiples tables qui se mélangent et ce champagne qui coule à flot et qui fait parfois augmenter le niveau sonore des conversations, personne ne s'aperçoit de rien sauf Vanessa qui reçoit a cet instant une décharge électrique dans le cœur comme toute femme jalouse et amoureuse , son souffle se coupe , son coeur bat aussi vite qu'un joueur de poker qui bluff , ce n 'est plus une décharge électrique que reçoit Vanessa dans le bas-ventre , c 'est un coup de tonnerre, un coup de foudre équivalent a celui qu'elle vient de voir entre Manon et ludovic , un coup de foudre qui lui fait pleuvoir fortement son trésor qui est encore exlcusif a son mari.......
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Par : le 27/04/25
Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood - Nouvelle une" -Attention, ce texte raconte une scène de non-consentement. "Quand elle revint dans la salle de réception, les deux hommes s’interrompirent. Elle disposa les biscuits sur la table et retourna silencieusement à sa place. Disponible, près de la fenêtre. — Mes recherches sur l’hystérie féminine progressent admirablement, poursuivit le docteur. J’ai développé de nouveaux traitements et je suis sûr que nous aurons bientôt l’occasion d’en faire l’expérience ensemble. Rose paniquait intérieurement. De quelles « expériences » parlaient-ils ? — J’ai noté, poursuivit le docteur, que les femmes aux formes généreuses comme ta nouvelle servante répondent particulièrement bien à mes techniques. Il tourna la tête vers elle.  Rose s’efforça de garder une expression neutre. Pourtant, à l’intérieur, son cœur battait à tout rompre. Le docteur but une gorgée de brandy, tout en continuant à la dévisager. — Rose, dit-il, combien pèses-tu ? Rose ouvrit la bouche, prise au dépourvu par cette question directe et indécente. — Je… je… Elle baissa les yeux. — Je ne sais pas, docteur. Je n’ai jamais eu l’occasion de me peser… Le docteur se tourna vers Lord Blackwood, un air libidineux sur le visage. — Edmund, me laisserais-tu faire une « préinspection » de ta jolie servante ? Tu peux bien m’offrir ce plaisir. La servante écarquilla les yeux. Ne comprenant pas bien ce qui se passait. — Rose, appela Lord Blackwood. Approche. Le cœur de Rose se remit à palpiter. Elle était figée par la peur. — Rose ! s’écria le Lord. Sa voix dure la ramena à la réalité, mais la crainte la tenait toujours par la gorge. Qu’est-ce qui allait lui arriver ? pouvait-elle s’échapper ? devait-elle s’échapper ? Elle vit la mine de son maître se contrarier. Elle s’approcha alors. À pas lourds et lents, jusqu’à se retrouver à côté des deux hommes. Soudain, le lord lui claqua les fesses à travers son uniforme. Rose devint écarlate. Son visage était rougi. Lord Blackwood leva une main pour la désigner. — Amuse-toi, dit-il à son compagnon. Le visage du docteur reprit aussitôt cet air pervers qui mettait Rose si mal à l’aise. Il approcha lentement sa main de la jeune servante. Il commença par caresser ses cuisses à travers ses bas de soie, puis, très lentement, sensuellement, il remonta sa main jusqu’à ses hanches. Lorsqu’il agrippa ses fesses, Rose ne put réfréner un gémissement. Elle ferma aussitôt les yeux, baissant la tête. Le docteur, sans aucune gêne, examina son fessier pendant de longues secondes. Le massant et le malaxant avec douceur. Rose avait le souffle court. Immobilisée tant par la peur que par le sentiment de honte qui l’habitait. Elle aurait voulu disparaître. Devenir de plus en plus petite jusqu’à se volatiliser. Mais les caresses expertes du docteur lui déclenchaient des sensations intimes. Et c’était ça le plus douloureux. Si son cerveau essayait de faire le vide, son corps, lui, acceptait ce plaisir malsain. L’humiliation profonde semblait décupler ses sens et la rendre plus sensible. Chacun des mouvements du docteur faisait frissonner sa peau et déclenchait des vagues de chaleur entre ses cuisses. L’invité quitta ses fesses et engouffra lentement sa main entre les jambes de la servante. Il tapota ses cuisses mais elle ne réagit pas. — Écarte les cuisses ! ordonna Lord Blackwood. Le son strict de sa voix n’appelait aucune contestation. Rose, se mordant les lèvres, s’exécuta la boule au ventre. Le docteur fit remonter ses doigts avec douceur et, montant… montant… il atteignit enfin son sexe à travers la culotte fendue de leur uniforme. Il s’affaira à caresser ses parties intimes. Refusant de gémir, de s’offrir en spectacle, Rose se mordit les lèvres jusqu’à s’en faire une déchirure. Le docteur retira enfin sa main. — Rose, appela-t-il. La jeune femme ouvrit les yeux. Avec effroi, elle vit le docteur se lécher lentement les doigts. — Elle est humide, dit-il en regardant le Lord. Ce dernier eut un sourire amusé. Rose, elle, était horrifiée. Déchirée par la honte. — Approche, Rose. À ce stade-là, Rose avait perdu toute force de contestation. Elle s’exécuta donc, soumise. Le lord glissa à son tour ses mains entre les cuisses de la servante. Il les sortit, les huma et, l’air amusé, joua avec ses doigts humidifiés. — Tu es humide, Rose ? Rose, rouge de honte, resta muette. Mais Lord Blackwood semblait perdre patience. — Tu es humide, Rose ? gronda-t-il. Rose baissa les yeux. — Oui, Maître. Le lord se leva brusquement. Il lui saisit le menton et releva sa tête. Rose avait peur, si peur. Ses pupilles tremblaient et elle peinait à regarder son maître. — Oui, quoi ? demanda ce dernier, le ton menaçant. Rose détourna le regard. — Oui, Maître… je suis humide… Maître, geignit-elle. Lord Blackwood sourit alors. Un sourire radieux et satisfait. De sa main droite, il lui caressa la joue avec affection. Il s’approcha lentement de son oreille et lui chuchota :  — Bonne fille. Rose se sentit électrisée. Fouettée par une décharge d’une émotion étrange. Apeurante et reposante à la fois. Quelque chose qui semblait dire « c’est fini maintenant ». Et juste au moment où elle pensa cela, le Lord s’assit et lui dit :  — Rose, va demander à Violet de préparer la calèche du docteur. Elle s’inclina et quitta à toute vitesse la pièce. L’esprit troublé par ce qui venait de se produire. Par ces deux hommes sans pitié ni décence, qui avaient abusé d’elle et de sa position. Par cette profonde humiliation. Impitoyable et violente qui, pourtant, avait mis son corps entier à fleur de peau et avait éveillé des sensations jamais ressenties auparavant. Et puis, à ces derniers mots... À ce « bonne fille », que lui avait déjà susurré Violet plus tôt ce matin. Ces mots troublants qui semblaient avoir le pouvoir magique de la calmer. La faire redescendre. Peut-être même la rendre… fière ? Alors c’était ça le manoir Blackwood ? C’était ce qui se produisait entre ces murs ? Les servantes étant abusées par des hommes puissants et, à chaque fois qu’elles se laissaient faire, qu’elles se soumettaient, leur récompense était un « bonne fille » ? Les larmes aux yeux, elle trouva Violet dans la buanderie. Cette dernière pliait des draps fraîchement repassés. Mais quand elle la vit, elle ne parla pas directement, encore secouée. — Rose ? Tout va bien ? — Le… le docteur s’apprête à partir, annonça-t-elle. Le Maître demande que sa calèche soit prête. Violet hocha la tête et posa son ouvrage.  — Je m’en occupe. Comment s’est passée sa visite ? Rose hésita. Devait-elle partager ce qu’elle venait de vivre ? Pouvait-elle même le partager ? Elle ne s’en sentait pas capable. De plus, elle craignait une réaction disproportionnée et sévère du Lord. Elle ne savait plus quoi faire. Elle ne savait plus où elle en était. Alors qu’elle était tourmentée par ses pensées, Violet lui dit simplement : –Tu t’habitueras. Et elle traversa la porte dans l’autre sens. Lorsque Rose revint dans la salle de réception, le docteur avait remis son manteau et ses gants. Les deux hommes se tenaient près de la porte, conversant à voix basse. —...la réception de la semaine prochaine, disait Lord Blackwood. Plusieurs de nos amis seront présents. Le juge Thornfield, le colonel Hastings... Tu seras des nôtres ? — Je ne manquerais cela pour rien au monde, répondit le docteur. J’ai hâte de voir ta nouvelle fleur à l’œuvre. Rose comprit qu’elle était le sujet. Le docteur passa près d’elle. Elle frissonna.  — Chère Rose, ce fut un plaisir. Nous aurons l’occasion de nous découvrir plus en détail. Les deux hommes quittèrent la pièce et se dirigèrent vers l’entrée principale. Rose resta en arrière, rangeant les verres et l’assiette de biscuits sur le plateau. Alors qu’elle s’affairait, elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir, puis les voix des deux hommes s’éloigner jusqu’à disparaître."
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Par : le 02/07/24
La lourde porte s’ouvre lentement, me laissant entrevoir un homme dans la bonne trentaine, à l’air méfiant. Son visage s’illumine soudainement. « Bonjour Ysideulte. Quel plaisir de te revoir ! » « … Bonjour Monsieur » Te revoir ? Voilà qui me laisse perplexe. Je n’ai pas le souvenir de l’avoir déjà rencontré. Il me fait entrer et me présente un grand brun viril qui se lève promptement pour me saluer. « Christophe. Mon compagnon » « Bonjour Ysideulte. Thierry m’a souvent parlé de vous » « Euh… Bonjour Monsieur » Mais qui sont ces hommes ? « Je vais vous laisser profiter de vos retrouvailles. Tu m’appelleras quand ce sera fini ?» « Bien sûr » répond Thierry, en l’embrassant tendrement. Ces deux-là sont en couple, pas de doute. « Mais ne reste pas debout, Ysideulte !» me dit-il en me désignant un fauteuil. « Est-ce que je peux t’offrir un thé ou un café avant de commencer ? » Avant de commencer quoi ? Voilà qui me laisse encore plus perplexe. « Un café, s’il vous plait… Monsieur» « Monsieur… » répond-il d’un air amusé. Comme si ma façon de m’exprimer était décalée. Puis, comme s’il venait de comprendre quelque chose : « Tu ne me reconnais pas ? » « Je suis désolée, mais je ne vois vraiment pas ». « Nous étions ensemble au lycée. Thierry D. » « Ah oui ! Quelle idiote ! » M’exclame-je en rougissant. « Vraiment désolée, je n’ai pas percuté » Nous évoquons de nombreux souvenirs. Moment agréable où les images du passé resurgissent. C’est étonnant comme des moments que l’on croyait oubliés reviennent à la surface avec force détails quand quelqu’un les évoque avec nous. Je remarque qu’il sélectionne soigneusement les moments positifs. Car je doute que cette période ait été très agréable pour lui. Timide, un peu asocial, il n’a jamais été intégré au groupe et fut victime de sous-entendus dévalorisants, parfois humiliants.  La difficulté d’intégration réside dans le fait que la plupart des règles sociales sont tacites et non écrites : il faut savoir décoder ce que le groupe attend de nous. Certains ont le décodeur intégré, d’autres non, et là le stress et la souffrance commencent. Nous aurions pu nous entraider entre asociaux, moi la fille effacée, au prénom qui n’existe pas, lui le garçon timide. Mais j’ai été au dessous de tout et je n’en suis pas fière. On dirait qu’il ne m’en veut pas, heureusement. Evoquera-t-il le jour où, n’osant pas me le dire de vive voix, il m’a donné une longue lettre dans laquelle il m’avouait son attirance pour moi ? J’aurais dû en être flattée, j’aurais dû le remercier. Mais non, j’ai montré la lettre à Sandrine, cette pouffiasse prétentieuse qui menait le groupe, et qui l’a faite circuler, suscitant de nombreuses moqueries. Qu’espérais-je en agissant ainsi ? Être mieux intégrée ? Dans un groupe dont je ne partageais pas les idées, dont je détestais les attitudes ? A quoi bon ? Je dois bien me rendre à l’évidence qu’il n’y avait aucune logique à mon comportement. Dois-je prendre l’initiative d’aborder le sujet avec lui ? N’est-ce pas le moment ou jamais de lui présenter mes excuses ? Mais il continue son évocation de moments positifs et je ne sais pas comment en parler. « Tu peux me tutoyer, tu sais, et tu n’es pas obligée de m’appeler Monsieur » me dit-il après avoir maintes fois souri quand je plaçais un « Monsieur » dans une phrase. Voilà le moment gênant que je redoutais et que j’ai déjà rencontré à d’autres occasions. Comment lui expliquer que, non, je ne peux pas ? Mon Maître m’a dressée en femelle et je me dois d’être respectueuse devant un homme – fût-il un ancien camarade d’école. Par chance il n’insiste pas et change de sujet. « Tu as trouvé ton bonheur » me dit-il en désignant mon collier d’esclave et les lourds bracelets métalliques que je porte aux poignets et aux chevilles. Mon Maître adore m’obliger à sortir comme ça quand les circonstances le permettent.  « Je suis heureux pour toi » Visiblement il a compris ce que ce collier signifie. Je suppose que je n’ai pas besoin de lui expliquer. « Oui, j’ai eu beaucoup de chance. C’est un homme que j’admire » « Je te comprends. Moi aussi je l’apprécie » Alors ça ! Si je m’y attendais… « Mais… Euh… Vous connaissez mon Maître ?? » « Je l’ai rencontré trois fois. C’est lui qui m’a contacté » Je me demande à quoi joue mon Maître. Comment a-t-il retrouvé ce camarade de lycée ? Pourquoi ? Dans quel but ? Petit moment de silence… Je ne sais plus quoi dire tant les questions tourbillonnent dans ma tête. « Vous aussi, vous avez trouvé votre bonheur à ce que je vois », lui dis-je en pensant à son compagnon qui vient de sortir. « Oui, un coup de chance. Mais à l’époque j’imaginais ma vie avec toi, tu sais » Nous y voilà… Oui, bien sûr, je sais qu’il avait le béguin pour moi. Je sais qu’il était également attiré par les hommes – du moins ce sont les rumeurs qui circulaient. Il se cherchait, sans doute. « J’en ai beaucoup souffert. Mais bon, c’est la vie. On finit toujours par se reconstruire» Ces mots me transpercent comme un poignard. Ce qui me semblait pas très glorieux, mais sans grandes conséquences, a donc été une épreuve longue et douloureuse pour lui. On ne se met jamais assez à la place des autres, on n’essaie jamais assez de comprendre comment nos actes, nos paroles, sont perçus de leur point de vue. Je n’ai même pas le temps de lui répondre et de commencer à lui présenter mes plates excuses qu’il se lève promptement et m’invite à en faire autant. « Bon, on y va ? » « Euh… Oui Monsieur » On y va où ? Je suis de plus en plus perplexe. Mon maître ne m’a donné aucune consigne, aucune information, si ce n’est d’aller sonner à cette adresse, d’être très respectueuse et d’obéir si on me demande quelque chose. Étrangement, il m’a demandé de porter des sous-vêtements, ce qui d’habitude m’est interdit. Mon hôte me conduit à l’extérieur, jusqu’à un grand abri de jardin dont il ouvre lentement la porte grinçante. A gauche de la porte, une signalétique sans ambiguïté annonce la couleur:   En d'autres circonstances, je me serais peut-être exclamée "Ah Ah! Très drôle!". En d'autres circonstances... J’arrive, péniblement, à dégrafer mon soutien-gorge sans retirer mon haut, et je le suspends à un crochet visiblement disposé à cet effet près du panneau. Je crois deviner ce qui va se passer. Mon Maître m’a donc conduite ici pour être baisée ? Ou alors c’est autre chose ? Mais quoi ?  « Est-ce que tu peux me confirmer que tu as bien tes règles en ce moment ? » « Euh… Oui Monsieur » Comment le sait-il ? Visiblement mon Maître l’a bien renseigné. « Désolée, Monsieur, je ne savais pas que je venais ici pour être baisée, sinon je serais passée un autre jour » A peine les mots sont-ils sortis de ma bouche que je me rends compte de l’absurdité de mes paroles… C’est mon Maître qui m’a ordonné de venir aujourd’hui, ce n’est pas moi qui ai choisi.  « Mais depuis que je lui appartiens, mon Maître travaille mon anus pour que je sois agréable à la sodomie, donc c’est possible de cette manière. Si cela vous convient bien sûr » Je m’enfonce… Qu’est-ce qui me prouve qu’être pénétrée est l’objectif de cette rencontre ? « Ne t’inquiètes pas pour ça. Tu utilises tampons ou serviettes ? » Qu’est-ce que c’est que ces questions ? Je rougis, embarrassée par la tournure très bizarre que prennent ces retrouvailles. « Des tampons habituellement, mais aujourd’hui une serviette – ordre de mon Maître » « Tu peux la clouer ici, à côté de ton soutien-gorge. Garde seulement ta culotte » J’hésite, un peu perdue, ne sachant plus si je dois rougir de honte ou sourire de ces demandes très bizarres. Mais mon Maître m’a dit d’être respectueuse et d’obéir. Je la retire en essayant de ne pas trop baisser ma culotte, comme si la pudeur avait encore un sens, puis à l’aide des clous et du marteau qu’il me tend, j’entreprends d’aller jusqu’au bout de sa demande. « Non, non ! Dans l’autre sens » Visiblement je suis là pour me faire humilier. La honte… Je me demande ce que pensera son compagnon quand il rentrera et qu’il verra mes effets personnels intimes ainsi exposés à l’entrée de l’abri de jardin. A moins que ce ne soit un signe ? Ne pas déranger, salope en cours d’utilisation… Il me conduit jusqu’à un large établi, très propre. Tout l’intérieur de l’abri est parfaitement rangé. Nickel ! Je reconnais-là son côté maniaque, son obsession compulsive de l’ordre, qui déjà à l’époque sautait aux yeux et lui valait bien des moqueries. « Mets ta main ici », me dit-il en me désignant un étau disposé sur le côté gauche de l’établi « Dedans ? » dis-je sur un ton par très rassuré, pour être sûre d’avoir bien compris. « Oui, dedans. Seulement les doigts » Il resserre lentement l’étau, qui m’immobilise les doigts. « Aïe aïe aïe ! » Je me mets à hurler en partie à cause de la douleur, mais surtout à cause de la terreur d’avoir les doigts broyés s’il continue. « Ne crie pas ! Il y a des voisins » « L’autre ! » Il me désigne un étau similaire, fixé à droite de l’établi. Sa voix est devenue plus dure. J’obéis sans discuter malgré la crainte. Je me retrouve penchée sur l’établi, les mains immobilisées. Une position vraiment pas confortable. Il relève ma jupe et baisse ma culotte d’un coup sec, la laissant au niveau de mes chevilles. Je comprends pourquoi mon Maître m’a demandé d’en porter une. Certainement pour lui offrir le plaisir de baisser la culotte de la connasse que j’ai été. La vengeance est un plat qui se mange froid. Au bout de quelques secondes, ma jupe redescend naturellement. « Penche-toi davantage » me dit-il tout en relevant ma jupe à nouveau, « Cambre-toi correctement, sinon elle ne tiendra pas ». Je l’entends s’éloigner et refermer la porte à clé. Me voilà seule, dans le silence. Un éclairage intense me fait presque mal aux yeux. J’aurais préféré qu’il éteigne. Seule, immobilisée, … Rien à faire à part cogiter. Je prends garde à rester bien penchée, pour éviter que la jupe redescende. Je remarque soudainement deux caméras sur trépieds. Je ne les avais pas encore remarquées car elles sont à contre-jour. Les questions tournent dans ma tête et je finis par oublier de maintenir la position. Zut ! Impossible de relever ma jupe avec les mains immobilisées. Est-ce un enregistrement ou une transmission ? Qui est derrière l’écran ? Un cerveau humain ou électronique ? C’est long… Je suis à moitié assoupie quand la porte s’ouvre. « Oh mais, tu exagères Ysideulte ! Cambre-toi. Ce n’est quand même pas si compliqué » me dit-il, en constatant que la jupe couvre à nouveau mes fesses et que ma position laisse à désirer. Il doit, une fois de plus, la retrousser, et je sens un début d’agacement dans sa voix. « Passe-moi ta culotte » Je suppose qu’il veut que je la remonte jusqu’à son niveau, en relevant une jambe avec la culotte autour de la cheville. Je m’y emploie péniblement, avec pas mal de contorsions et frôlant la crampe. « Avec la culotte dans la bouche, tu crieras moins fort » me dit-il, joignant immédiatement le geste à la parole. Un large ruban adhésif achève de me bâillonner. Il resserre légèrement l’étau gauche, puis le droit, puis le gauche, puis le droit, … Seulement une fraction de tour à chaque fois. Je sais que je ne dois pas crier, mais je finis par craquer et hurler, terrifiée. Oui, bien que la douleur soit intense, je crois que c’est surtout la peur qui m’a submergée. Malgré l’atténuation procurée par le bâillon, mes cris sont tout à fait audibles. Bien trop audibles ! Il me gifle pour que je me calme, et continue son affaire. J’ai l’impression que mes os vont céder et ça fait un mal de chien. Que font les zébralyvox ? J’espère qu’ils ne sont pas morts. Pourquoi n’interviennent-ils pas ? Pas le temps de réfléchir. Une violente douleur aux fesses m’irradie tout le corps. Puis une autre. Mais avec quoi est-ce qu’il me frappe ? J’ai la sensation que chaque coup me déchire la peau. Est-ce un fouet à clous ? J’ai l’impression qu’un liquide coule sur mes fesses, mais je n’en suis pas sûre. Du sang ? Ne pas voir l’instrument et l’effet de ses impacts est angoissant car on imagine le pire. Je me rassure en me disant que mes fesses ne sont sans doute pas aussi entaillées que ce que j’imagine. Seulement dix coups, mais quelle souffrance ! J’ai crié. C’était impossible de rester silencieuse. Il me caresse la joue, comme pour me réconforter (ou me féliciter ?), puis desserre lentement, très lentement les étaux. La réduction de compression produit une sensation presque plus douloureuse que la compression elle-même. Je finis, enfin, par pouvoir libérer mes mains. J’observe mes doigts, inquiète. Ca va, ils semblent intacts. Ouf ! « Tu peux te redresser » A peine redressée, je sens un liquide qui se met à couler à l’intérieur de mes cuisses. Je ne devrais pas me sentir gênée – après tout c’est lui qui a voulu me recevoir pendant mes règles. Et pourtant… Je pique un fard. Je reste debout, immobile, ne sachant pas ce que je dois faire. Il m’observe, souriant.  « J’ai si souvent rêvé de faire cela quand nous étions au lycée » ajoute-t-il, en entreprenant de me débarrasser des vêtements qui me restent. J’ai toujours été inquiète la première fois que je me suis retrouvée nue face à un homme. Entre ce qu’il a pu imaginer et ce qu’il voit, n’y a-t-il pas un écart ? Lorsque le fantasme se réalise, la déception est parfois dure, d’autant plus dure que le fantasme m’a idéalisée. J’ai un terrible besoin d’être rassurée. « Tu es jolie » me dit-il, retrouvant la voix hésitante d’il y a une vingtaine d’années. Est-ce qu’il a ressenti ce besoin ? N’y résistant plus, je prend l’initiative de me retourner pour me rassurer sur l’état de mes fesses. Aïe. Elles ont morflé et pour ce que je peux voir, elles sont bien entaillées. J’aurais dû m’en douter car ça me brûle terriblement. « Ne t’inquiètes pas – juste un mauvais moment à passer ». Il me badigeonne avec un produit qui me brûle encore plus dans un premier temps, puis m’apaise. Il me retire le bâillon sans ménagement. « Va clouer ta culotte de salope à l'extérieur, en veillant à ce que l'entrejambe soit bien exposée. Face intérieure, bien sûr. » Je sors seule, nue, et la retire de ma bouche. J'essaye de la clouer du mieux possible pour respecter ses consignes. J'étais tellement concentrée sur le respect des consignes que je n'avais pas immédiatement remarqué un agrandissement de ma carte d'identité, placardé au dessus de ma serviette hygiénique. C'est donc cela qu'il est allé faire quand il s'est absenté. Fouiller dans mon sac à main et faire une photocopie format A4. Il a écrit "salope" sous ma photo. Je frappe timidement à la porte. « C'est fait. Est-ce que je peux entrer, Monsieur? » C'est lui qui sort, histoire d'inspecter le travail. Il semble satisfait. Quelle humiliation ! « Viens, je vais t’aider à t’installer » me dit-il en me prenant la main, m'attirant à nouveau à l'intérieur. M’installer où ? J’ai très vite la réponse. « Grimpe là-dessus » me dit-il, en me montrant un chevalet. N’ayant pas bien compris ce qu’il attend de moi – peut-être suis-je un peu cruche, j’hésite un peu, attendant qu’il me guide et m’aide. « Comme sur un cheval, charmante cavalière !» ajoute-t-il. Une fois en « selle » je me rends compte que de multiples pointes de clous dépassent très légèrement de la barre horizontale, visiblement destinées à me torturer la chatte. Je me tiens sur la pointe des pieds pour ne pas trop ressentir leur effet. « Je risque de tacher votre chevalet » dis-je penaude, comme pour m’excuser d’avoir mes règles. Cela le fait sourire. « Tu es adorable » dit-il pendant que je rougis une fois de plus. Mes bracelets de poignets sont fixés à une chaîne qui pend du plafond. Il a tout prévu… Sans doute que mon Maître est passé par là. Et puis, ce que je redoutais. Il remonte mes chevilles en arrière et les relie par une chaîne, passant par-dessus le chevalet. Je ne peux plus déplier les jambes. J’essaie de soulager, malgré tout, le poids portant sur ma chatte, mais très vite je tétanise, les muscles de mes cuisses étant pris de terribles crampes. Je dois me faire une raison : je suis là pour souffrir et je n’ai pas d’échappatoire. Thierry déplace les caméras pour un meilleur angle de vue. Il s’assoit sur une chaise et observe avec délectation mon supplice, certainement heureux de savourer ainsi sa vengeance. Le supplice est interminable. Je n’en peux plus. Mes gémissements reviennent à mes oreilles avec une tonalité étrange. On dirait les gémissements d’un animal terrassé. « Salope ! » me dit-il. « Tu as ce que tu mérites ! » Puis, se reprenant immédiatement : « Excuse-moi, Ysideulte. Je ne le pensais pas ». Et pourtant il a raison. J’ai ce que je mérite… Les zébralyvox sont aux abonnés absents, une fois de plus. Cela m’inquiète un peu. Est-ce qu’ils sont devenus sensibles à mon état d’esprit ? Est-ce que le fait qu’au fond de moi je sois consciente d’avoir mérité ce que je suis en train de vivre a pu jouer ? Je vois soudain des scintillements bleu-jaunâtre qui semblent venir de la fenêtre, puis qui emplissent rapidement la totalité de mon champ visuel, gagnant en intensité. Manquait plus que cela… Cette couleur impossible me donne le mal de mer et fermer les yeux ne change rien. Elle est dans ma tête, pas à l’extérieur. « Excusez-moi, Monsieur, je crois que je vais vomir » Il déniche une bassine et me la place sous la bouche juste à temps. La honte… Les scintillements ont disparu. « Je vais te libérer » me dit-il, un peu inquiet. « Ca va aller maintenant. Excusez-moi Monsieur » « Tu es sûre ? » « Oui, ça m’arrive parfois. Je ne sais pas ce qui me fait ça, mais c’est sans rapport avec la douleur ». Enfin, si, je sais, ou bien je crois savoir. Cela pourrait être le moyen par lequel les zébralyvox tentent de communiquer avec ma conscience. Mais que viennent-ils de chercher à me dire ? Je n’ai pas le décodeur. Je ne tarde pas à avoir un indice. Des voix graveleuses se font entendre malgré mes gémissements de douleur. Elles viennent d'assez loin. Probablement sont-ils en train de sonner à l'entrée de la maison. « Attends, je vais voir » Je distingue à peine la conversation, mais je devine qu’il s’agit d’une patrouille de défenseurs de la démocratie. S’ils découvrent que je suis attachée, nue, dans l’abri de jardin, sans Fucking Pass, nous allons être arrêtés tous les deux. « Quels connards ! » me dit-il en revenant. « Il paraît qu’un voisin a entendu des cris suspects. »  Dénoncer ses voisins est devenu un sport national depuis les campagnes incitant à dénoncer ceux qui baisent sans Fucking Pass. Maintenant le moindre prétexte est bon pour dénoncer et nul n’est à l’abri. Le summum du progressisme… « Je leur ai dit que je me suis coupé » me dit-il, en me montrant la main sanglante, qu’il s’est lui-même entaillée. Que ne faut-il pas faire pour donner le change et éviter un contrôle… « Je me demande qui nous débarrassera de cette vermine… » ajoute-t-il, n’y croyant visiblement plus, résigné à subir les règles de plus en plus absurdes du totalitarisme progressiste aux apparences démocratiques. Le pangolin fou, peut-être ? me dis-je intérieurement. Mais je ne peux rien lui révéler. Je doute que mon Maître l’ait informé de nos activités illégales. Visiblement cette interruption lui a coupé l’appétit. Il entreprend de mettre fin à mon supplice. En sortant je jette un coup d’œil à mes effets intimes, exposés à côté de mon identité. Visiblement, il n'est pas question que je les récupère. Le soutien-gorge, je m'en fiche, mais dans mon état la culotte m'aurait été bien utile. Mais je ne dis rien. Demander la permission de la récupérer serait complètement déplacé et impoli dans le contexte. C'est une évidence. Je le suis dans le jardin, jusqu'à la maison, complètement nue, comme une chienne docile, sans un mot. Il tient ma jupe et mon haut à la main. Je suppose qu'il me les rendra plus tard. A peine la porte d'entrée franchie, il m'attrape par les cheveux sans ménagement et me traîne jusqu'à la salle de bain, m'accordant un instant pour me refaire une beauté. « Ne traîne pas! » précise-t-il, sur un ton qui ne donne pas envie de désobéir. Je fais aussi vite que je peux, mais je prends néanmoins le temps d'inspecter mes fesses dans le grand miroir qui donne de la profondeur à cette salle de bain magnifiquement agencée. Il n'y a pas à dire, les homos sont doués en agencement d'intérieur - ce n'est pas juste un cliché. Cela s'avère finalement pire que ce que j'avais imaginé. Je me demande avec quoi il m'a frappée pour me déchirer la peau ainsi. Il va en falloir du temps pour que les lacérations disparaissent! Je crois entendre une conversation, puis un hurlement me fait sursauter: « Qu'est-ce que tu fabriques, femelle ! ». Je m'empresse de sortir de la pièce avec une serviette de bain autour du corps et puis je me ravise, consciente qu'il pourrait très mal prendre ce genre d'initiative, alors je laisse la serviette et me dirige nue vers le salon. Comme je le craignais, Christophe vient de rentrer. Confortablement installé dans un fauteuil, un peu dans la pénombre, je crois qu'il m'adresse un sourire bienveillant et compatissant. Paradoxalement, ce signe de soutien me fait fondre en larmes. Trop d'émotions, d'humiliation et de peur accumulées. Trop de culpabilité remontée à la surface. Je craque. Mais je me ressaisis très rapidement, les implore d'excuser ma réaction déplacée, et rassemble toutes mes forces pour subir dignement la suite de ma punition, dont j'ignore totalement la nature. Une double pénétration anale, peut être? Mon Maître me travaille le cul sans relâche depuis que je lui appartiens, mais je n'ai jamais vécu cela et je ne crois pas être capable de le supporter. Une multitude de possibles plus inquiétants les uns que les autres me traverse l'esprit en une fraction de seconde. Thierry me tend un mouchoir pour essuyer mes larmes, prononce à voix basse quelques mots rassurants à mon oreille, puis palpe et soupèse mes mamelles, avec un sourire un peu moqueur - à moins que ce soit moi qui y vois une moquerie qui en réalité n'existe pas. « Pas mal - mais je les avais imaginées plus développées à l'époque » me dit-il, sur un ton plus gentil que moqueur. Il invite son compagnon à venir évaluer mes mamelles par lui-même. « Très agréables au toucher » me dit Christophe, comme pour me rassurer. Avant de retourner s'assoir, il jette un coup d'oeil intrigué à mon entrejambe. « Est-ce qu'elle est réglée? » demande-t-il. « Oui, j'y tenais absolument et son Maître a aimé l'idée » J'avais presque tout envisagé, sauf que Thierry me rendrait subitement ma jupe et mon haut, sans explication, et me congédierait de manière abrupte. J’ignore pourquoi il agit ainsi. Trois gifles en guise d'au revoir. La troisième me fait presque tomber par terre. « Merci Monsieur » dis-je, penaude, les joues en feu, avant de m'éloigner. Je ne sais pas de quoi je le remercie, mais cela m'est venu instinctivement. C'est un merci profondément sincère venant du fond du coeur - je le sens - je le sais. La lourde porte se referme brutalement, avec un bruit qui me fait sursauter, comme s'il voulait me montrer qu'il me claque la porte au nez. Sur le chemin de halage qui mène à proximité du quartier de la gare, je me perds dans mes pensées. Beaucoup de questions restent sans réponse. Mais je crois que j’ai apprécié cette punition humiliante. Que valent des excuses ? Ce ne sont que des mots. Alors que là j’ai le sentiment que l’on m’a offert une opportunité de rédemption. Je me sens bien. Une étrange sensation de bien être similaire à celle que j’ai parfois ressentie après un effort sportif intense. Pourtant, la manière froide et brutale dont il m'a congédiée me laisse un goût d'inachevé. Cela contraste si étrangement avec le sourire avec lequel il m'a accueillie. Peut-être est-ce une manière de prolonger ma punition en me laissant vivre avec une subsistance de doute. Le bruit de cette porte qui claque hantera mes cauchemars. Arrivée à la gare, j’attends mon Maître, comme convenu. Nous devons prendre le train ensemble. Qu’a-t-il fait pendant ma punition ? Mystère. Il me laisse souvent dans l’incertitude. Mais c’est son choix et je n’ai pas mon mot à dire. Je reste debout. M'assoir sur mes fesses profondément lacérées serait insupportable. Je crois que je devrai rester debout dans le train ce qui n'annonce pas un voyage très plaisant. Dans ce hall de gare sans âme, j'ai trouvé un coin tranquille dans lequel je peux m'essuyer discrètement la chatte quand je sens que cela devient nécessaire, sans trop me faire remarquer. Heureusement que j'ai une bonne réserve de mouchoirs en papier dans mon sac à main. J'ai des tampons dans mon sac, mais mon Maître m'en a interdit l'utilisation ce jour. Putain de condition de femelle ! Ca m'énerve. Mais les ordres sont les ordres... Désœuvrée, je consulte mon historique de crédit social. Les chiffres semblent pris de folie, leurs contours ondulant bizarrement. Je me demande si c’est une migraine ophtalmique qui démarre. Mais cela semble bien réel. Peu à peu, ils se morcellent comme un kaléidoscope, et se recomposent, formant peu à peu un motif qui ressemble à un pangolin. « Il va falloir être courageuse et ne pas perdre espoir » indique un message qui vient d’apparaître en bas de l’historique. Qu’est-ce que c’est que ça encore ? Est-ce que l’Intelligence Artificielle joue avec moi ? Que suis-je supposée comprendre ? Est-ce que l’on cherche à me prévenir de lendemains difficiles ? L’attente est longue et j'ai terriblement mal à la chatte - réminiscence de la torture sur le chevalet. J'aurais bien acheté un livre de poche pour m'occuper l'esprit, mais je sais que je n'arriverai pas à me concentrer sur ma lecture. Je souffre trop et les zébralyvox n'ont visiblement aucune intention d'appaiser ma souffrance cette fois. Voilà enfin mon Maître. Je vais lui montrer mon historique de crédit social et lui demander ce qu’il en pense. Mais quand je me reconnecte le message a disparu et tout est revenu à la normale. Parfois je me demande si ce n’est pas moi qui perds la boule. N’est-ce pas l’une des ficelles du totalitarisme que de détruire tous les repères au point de rendre les gens dingos, encore plus réceptifs au narratif absurde du pouvoir ? « Merci de m’avoir offert cette possibilité de rédemption, Maître » « Est-ce que cela t’a fait du bien ? » « Je me sens comme libérée d’un poids. Puis-je vous demander comment vous avez retrouvé mon camarade d’école et comment vous avez eu connaissance de ce qui s’était passé il y a une vingtaine d’années ? » « Je n’y suis pour rien. J’ai reçu ses coordonnées sur ma boîte mail, accompagnées d’une multitude d’informations. Cela m’a incité à le contacter » A suivre   Contexte et notes personnelles Bien que le contexte soit ici moins important que dans mes articles précédents, il est utile de préciser que l’histoire d’Ysideulte se situe dans la seconde moitié de notre décennie, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). L’occasion de faire connaissance avec le zébralyvox gémellaire, et tout un tas de joyeusetés telles que le Fucking Pass, la Bill & Alvértos Fucking Corporation et les redoutables Brigades de Défense de la Démocratie. Je dédie ce texte aux hommes que j’ai pu blesser par une parole maladroite, que j’ai pu décevoir en n'étant pas à la hauteur des espoirs qu’ils avaient mis en moi. Je le dédie aussi, tout particulièrement, à mon premier Maître qui m’a tant appris et que j’ai certainement beaucoup déçu. Et je n'oublie pas, bien entendu, mon Maître actuel qui  mériterait une médaille pour la patience dont il fait preuve face à une esclave pas toujours à la hauteur de ce qu’il serait en droit d’attendre.  Malgré les apparences, ceci n’est pas une note négative : je sais que la condition humaine est ainsi faite - on fait tous des erreurs, on commet tous des maladresses que l'on regrette amèrement, moi la première, ..., et on ne peut pas revenir dans le temps pour les corriger. Il faut faire avec, ne pas trop culpabiliser, positiver et aller de l’avant. Mais j’ai eu envie d’évoquer ce sujet. C’est en quelque sorte un chemin détourné que j’ai eu envie d’emprunter. Un chemin à l’issue duquel l’histoire reprendra son cours principal. En conséquence, j’ai tenté d’écrire plus spécifiquement pour un public masculin… si tant est que le style d’écriture et le contenu d’un récit puisse être adapté à un genre – spéculation douteuse, je l’admets. Mais j’espère que les femmes apprécieront aussi. J’en profite pour remercier masque_gris (https://www.bdsm.fr/blog/4733/Une-pénitenceinitatique!/) et julesverne (https://www.bdsm.fr/blog/9802/Errance-aux-cot%C3%A9s-du-Diable/), dont la lecture, un peu par hasard, de textes personnels, m’a inspirée, directement ou indirectement, pour évoquer ce sujet qui me trottait dans la tête depuis quelque temps. Enfin, bien entendu (est-il besoin de le préciser), concernant les doigts dans l’étau : ne faites pas ça chez vous à moins de maîtriser parfaitement ce que vous faites !  
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Par : le 16/06/24
Je reviens en tenant à 2 mains un bol en inox qui ressemble à ceux destinés à la nourriture des animaux mais portant la mention CHIENNE en lettres capitales. Il est rempli de ce faux sperme (maïzena, sucre concentré, eau) dont j'aime te recouvrir et que j'aime te voir lécher. Je pose le bol devant toi mais hors de portée. - Je vous remercie par avance Maître ! Je m'avance devant la cage. - Baise mes pieds ! Ce n'est pas quelque chose auquel je t'ai habitué et, devant ton hésitation, même si elle ne dure que quelques secondes, je perds mon sang-froid et hurle - Baise mes pieds sale chienne ! Et ta tête se baisse, tu te soumets et je te vois baiser mes chaussures. Après quelques instants, je vois ta tête bouger de haut en bas et je sais que tu es en train de les lécher. Je sais que tu commences à avoir envie de manger mais je sais que c'est la soumission qui parle, ton dressage bien plus que la faim. Je profite un peu plus de la vue de mon esclave le cul remonté, la tête sur mes chaussures et je me dis qu'il est temps de passer au modèle supérieur de plug. Je ne peux pas m'empêcher de fesser ton joli cul avant et après avoir enlevé le plug. Je te fais lécher et sucer le modèle plus gros et je l'enfile dans ton cul ce à quoi répond un léger râle qui me ravit. J'enlève chaussures et chaussettes et je reviens devant toi. Tu commences à baiser mes pieds, l'un après l'autre. Ta tête passe à travers l'ouverture à l'avant de la cage. Puis je sens ta langue qui commence à les lécher doucement. Puis de plus en plus goulûment jusqu'à ce que tu lèves la tête pour me regarder - Puis-je les mettre dans ma bouche Maître ? - Tu peux mais tu n'auras rien à y gagner - J'aurai à y gagner le plaisir de mon Maître ! Tu passes tes bras entre les barreaux de la cage pour saisir mon premier pied et tu commences à le prendre dans ta bouche. D'abord en le prenant en biais puis en le prenant en entier, la bouche grande ouverte. Tu le fais rentrer et sortir. La largeur te force à faire des allers et retours lents. Tu commences à baver. Et cette simple vue de ta salive qui rejoint le sol déclenche, comme à chaque fois, l'envie de toujours plus. Je pousse mon pied un peu plus au fond et je le maintiens plus longuement. Je le fais une dizaine de fois et je te vois, à chaque fois, récupérer ton souffle en laissant s'échapper toujours plus de salive. - Qu'est-ce que tu as fait à mon sol ? Lèche-moi ce que tu as fait ! - Oui Maître. Pardon Maître. Tu te penches et commence à lécher le sol. Je suis complètement raide en imaginant que c'est mon sperme que tu lèches comme une chienne en chaleur. - Ça suffit. Et je te tends le bol en m'accroupissant à côté. - Tu as faim, mange ! Tu tends la tête, tu ouvres la bouche et la langue pour tenter de laper le mélange. - Pas facile, hein, même pour une chienne comme toi. Je regarde, à 20 centimètres tes efforts pour essayer de manger et je prends un réel plaisir à me moquer. - Tu vas avoir très faim ce week-end si tu n'arrives même pas à manger correctement. Tu commences à plonger la tête dans la gamelle et tu ressors avec du faux sperme sur le menton et le nez. Je me relève et je presse ta tête dans la gamelle. - Mange salope ! Quand je te laisse relever la tête, ta gamelle est presque vide et ton visage est recouvert de blanc. Ça te va si bien que je ne peux m'empêcher de sourire. - Allonge-toi dans ta cage, sur le dos, les coudes au sol pour surélever ton buste. Je récupère une grande bouteille et je vide lentement un litre de cette substance blanche, très ressemblante. Je vise à travers la grille ton visage, d'abord, puis ton cou, tes seins et ton ventre. Jusqu'à ton sexe. Et je regarde le blanc couler partout. Et, en même temps que tu me remercies avec gratitude, tu commences à en récupérer sur ton corps pour lécher tes doigts. - Lèche aussi la grille du haut. C'est ta cage, je veux qu'elle soit propre. Je te regarde de longs moments. J'adore quand tu me regardes en léchant tes doigts. Je reviendrai dans une demi-heure. Je veux que tout soit nickel ou tu auras des gros ennuis. Et je sais que tu as envie, autant que moi, d'avoir de gros ennuis ... Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage Partie 6: Un set de plugs
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Par : le 19/05/24
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Vendredi soir ! Enfin le week-end et un week-end qui s'annonce spécial pour toi. Tu es à quatre pattes à l'entrée de notre pièce. Ton collier autour de ton cou. Laisse attachée. Lingerie noire. Mais cette fois, tu ne rentreras pas comme d'habiture. Tu ne rentreras pas seule pour venir me retrouver, comme la parfaite chienne soumise que tu es en train de devenir, chienne qui désire tout ce qui va lui arriver. Cette fois, je t'ai bandé les yeux et je tiens la laisse. Je te force à marcher derrière moi. Suffisamment vite pour que ça soit inconfortable pour toi. On s'arrête. Ne bouge plus ! Je t'enlève ta laisse. je t'ordonne d'avancer de 30 centimètres. Et je donne le signal en faisant résonner sur ton cul une immense claque. - Lève bien les mains et les genoux en avançant - C'est bon. Immobile ! J'enlève ton bandeau et tu t'aperçois que tu es à l'intérieur d'une belle cage en acier. Une cage plus longue que haute qui t'oblige à te tenir couchée ou assise, la seconde option étant beaucoup moins confortable. La cage vient avec beaucoup d'options que tu vas découvrir tout ce week-end. Première surprise, l'avant de la cage s'ouvre pour que tu puisses passer la tête et se referme pour la bloquer à n'importe quelle hauteur. Le haut de la cage s'entrouvre et je peux attraper par les cheveux, te faire avancer de force et coincer ta tête tout en bas de la cage, front collé au sol. Je place une barre en travers de la cage pour maintenir ton cul en hauteur, offert. La position est aussi humiliante qu'elle semble inconfortable. Tu ne peux rien voir. - ça va être un week-end particulier. Il n'y aura pas un nouveau jouet mais un chaque session si je veux. Et surtout, surtout, tu vas rester enfermé tout le week-end. Et tu devras supplier mais surtout payer pour tout ce dont tu pourrais avoir besoin. La nourriture, tu devras la payer. L'eau aussi bien sûr. Un esclave doit gagner tout ce dont elle a besoin. L'accès aux toilettes. Evidemment que ça sera très cher. À tout à l'heure. Je te laisse bien réfléchir à ce que tu vas devoir subir, penser à qui tu es. Mon esclave mais aussi un simple objet pour mon plaisir. Dont je peux disposer à ma guise. Je vais te laisser quelque temps mais avant laisse moi prendre quelques photos pour les poster sur internet. Je veux que tout le monde sache quelle salope tu es ! Et pendant que je te dis ça, je me rapproche par derrière toi et je vérifie ce que je sais déjà. Tu es complètement trempée. Le week-end s'annonce sous les meilleurs auspices.
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