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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le corse qui se prétend empereur vient de me convoquer sous sa tente de campagne. Je ne le supporte plus. Je le trouve nul comme stratège. Il ne gagne que parce qu'en face ils sont plus incompétents encore que lui. Depuis que je me réincarne et toujours pour des vies très aventureuses et dangereuses, j'en ai vu passer des commandants en chef d'armées qu'ils conduisent aux désastres. Chaque fois j'ai un mauvais goût en bouche. Et ce matin je pue carrément de la gueule pour aller voir l'empereur des franzozens.
- Capitaine Harer, nous avons gagné hier à Borodino, mais ce matin mes généraux m'informent que les russes nous laissent la route libre pour Moscou. Ils se sont retirés avec les débris de leur armée je ne sais où. C'est votre mission, partez sur leurs traces et faites moi un rapport complet sur ce qui reste de l'armée russe, de ses réserves, de ses localisations. Je compte sur vous.
Il m'a tiré l'oreille ce con d'empereur que comme autrichien je déteste. Mais j'ai fermé ma gueule. Je suis un officier du renseignement militaire. Mentir, dissimuler, c'est une partie de mon métier. J'ai fait le salut avec la courbette. Ma gueule devait puer encore plus fort après cette entrevue.
J'ai rejoint ma lieutenante, la superbe Lise, avec son cul somptueux. Elle prenait son bain sous sa tente. Je n'ai pas pu résister. Je me suis déshabillé et j'ai pointé mon gros sexe en erection.
-Pas de suite, m'a dit Lise avec un beau sourire. Lave toi d'abord. Tu pues ton horrible tabac des Amériques. Et lave toi bien le sexe. Non plutôt viens, je vais le faire.
Lise m'a bien astique la bite puis l'a prise profond dans sa chatte et à jouit très fort. Je me suis fini dans son cul de rêve. Quelle superbe salope cette Lise. J'adore bosser avec elle.
- Bon faut qu'on se fringue comme des russes. On va se comporter comme un couple marié. L'empereur de .... nous demande d'aller voir où sont passés les ruskofs. Koutouzof est un sacré roublard.
Et nous sommes partis par les bois, les vallons, les champs vers cette armée en retraite.
J'ai toujours eu l'instinct.
-Là, regarde, ils sont là....
-ils sont loin d'être vaincus m'a dit Lise en se collant contre moi. Ils prennent la direction de Kalouga...koutouzof veut reconstituer ses forces et attendre les français.
-Ouais tu as raison...on dirait bien que c'est lui le chasseur.
- viens et baise moi. De toute façon on s'en fout, l'empereur corse n'écoutera pas ton rapport.
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Jadore ces jeux de recherches sur des vies anterieures.
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-J'ai appris , que le général Valeri et sa milice de malades mentaux Stalin étaient venus vous violer ici même à Kiev. Comment est ce possible ?
-C'est pas ton problème petit chien. Un dom comme le général Valeri qui sodomise une Maîtresse, c'est de l'amour vanille. Et puis qui a vraiment baise l'autre....on verra au final.
- Oui, mais tout de même, une tournante russe dans les quartiers généraux de la CIA cela la fout très mal.
-C est pas ton problème petit chien. Ta Maitresse fait ce qu'elle veut de son cul. Et j'adore faire la pute, surtout quand c'est le boulot. J'ai maintenant un canal non officiel en Russie qui remonte très très haut.
-Jusqu'au Président ?
-Lui même et Vladimir m'appelle même souvent. On ne parle jamais de la guerre ou de choses sérieuses, juste des blablas et plaisanteries, comme entre de très vieux amis.
- A ce point ? Je croyais que les services se faisaient une guerre impitoyable.
- Avec Vladimir on parle sport, vacances , cul et j'en passe. Rien de sérieux. Il aime parler avec moi.
-je pourrais passer par vous Maîtresse Mary, si j'ai besoin ?
-Non petit chien, tu restes à ta place et tu obéis. C'est moi qui te siffle si j'ai besoin et tu viens vite, la queue entre les jambes.
-Oui Maîtresse Mary.
-Tu dis oui par devant et après tu n'en fait qu'à ta tête.. T'es vraiment un petit chien qui mérite une bonne séance de cravache. J'ai pas aimé du tout que tu fasses le con avec ton offensive vers Koursk. T'es débile ou quoi. Les russes n'attendaient que cela.
- Oui mais j'ai demandé l'aval au Président Joe et à Joseph Borel. Et ils ont accepté.
- Et tu ne demandes pas l'avis de ta Maîtresse d'abord.
- Vous auriez refusé.
- Et comment ! Ta démarche est une insulte à Napoléon. Même s'il la eu profond dans le cul contre Koutouzof, au moins il était moins con que toi. J'ai même eu envie de venir te botter le cul à la batte de base Ball tellement tu m'as mise en rogne.
-Excusez moi Maîtresse Mary.
,-Je me fous de tes excuses, petit chien. J'ai juste de la peine pour toi. La vie des soldats c'est précieux. Elle vaut bien mieux que des champs de patates remplis de moustiques. Espérons que les mères des soldats que tu sacrifies pour rien, ne viendrons pas t'emascluer avec les dents à la fin de La guerre.
-Vous êtes bien noire aujourd'hui Maîtresse Mary. Nous allons gagner cette guerre.
-Allez, je te laisse petit chien. Non seulement t'es pas doué en stratégie militaire mais en plus tu rêves debout. J'ai Vladimir qui veut me joindre sur une autre ligne. Bisous petit chien.
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Awena est une championne de MMA, c'est ainsi qu'elle a été repérée et recrutée par la redoutable milice privé Stalin du Général Valeri. Pas de place pour les mauviettes chez ces mercenaires.
Le job lui a de suite plu, sans compter qu'il est très bien payé. La politique, Mawena s'en fout. Aucun état d'âme, juste faire les jobs de façon efficace et pro. Elle est habituée aux combats de rue, aux castagne dans les bas fond de Dublin. Elle a très vite appris à se servir de toutes les armes de guerre de façon précise. Une championne la aussi.
Elle adore partir en missions. Elle se sent bien avec tous ces mercenaires qui ont leur code d'honneur bien à eux. C'est une lesbienne qui adore sodomiser d'autres femmes. C'est pour cette raison que Valeri a pensé à elle pour Mary, la femme qui possède une puce quantique greffée dans son cerveau. Un cadeau de son amant, le celebrissime Elon, l'homme le plus riche et le plus inventif au monde.
- Tu files à Chypre et tu vas devenir le mari d'une femme au cul vraiment superbe. Tu pourras la sodomiser tant que tu voudras. Elle adore jouir par là depuis que nous lui avons depucele le cul.
-Ok mon Général.
- Tu trouveras toutes les instructions dans cette pochette. Prend en bien soin. C'est la chef de la CIA, pour toute l' Ukraine.
Mawena est partie pour Chypre dans un des jets privés de la milice Stalin, qui dispose d'énormes moyens. Elle a récupéré son colis, la très belle Mary, à l'aéroport de Larnaca. Un coup de foudre immédiat. L'intuition du Général Valéri était très juste. Une envie de baiser immédiate entre les deux.
Mary aime donner son cul à son mari. Elle est sexuellement entièrement soumise à Mawena qui adore la defoncer avec son feeldoe. L'amour entre ces deux femmes est là, aussi irrésistible que leur envie permanente de baiser.
Dans les instructions, figure le fait que Mawena ne doit absolument pas prendre la chatte de Mary. C'est la propriété exclusive d'Elon. Ce dernier veut lui faire de beaux gamins. C'est son truc. Chaque multimilliardaire a ses lubies.
Valeri à prévu de faire poser des anneaux et un cadenas sur cette chatte réservée. Toutes les instructions et le matos sont aussi dans la pochette. Mawena se fait un plaisir de réaliser cela.
- T'es toute belle ma chérie avec ton cadenas de chasteté vaginale. Tu donneras les clés à ton Elon, lui seul pourras te prendre la chatte. Par contre c'est parfait, ton cul est exclusivement à moi.
-J'ai envie de me marier avec toi. Je n'ai aucun mal pour te créer une nouvelle identité comme homme avec un look andro. Comme cela on pourra élever ensemble les enfants d'Elon qui deviendront les nôtres.
- Super. Allez tournes toi. J'ai une grosse envie.
-Moi aussi. Je mouille déjà.
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Mary suit la progression des troupes d'élite du général en chef Syrskyi sur ses écrans. 4 satellites américains suivent cela avec une précision phénoménale. Une intelligence artificielle analyse toutes les images, toutes les conversations, toutes les informations avec une puissance de calcul qui dépasse l'entendement. Les missiles et obus tombent au mètre près pour détruire les positions russes. Ces derniers ne sont pas en reste pour répliquer. Une opération de la dernière chance. Le front est en train de s'effondrer plus au sud. Cela fait penser à l'offensive allemande dans les Ardennes, fin 1944. Le général Syrskyi veut refaire le coup de l'offensive du Tet au Vietnam en 1968, créer un choc psychologique. Pas certain que cela marche avec les russes qui sont très résilients. C'est même fort peu probable et cela risque de tourner au desastre en cas d'échec. Les meilleures troupes auront été brûlées en vain.
Mary en est ainsi dans ses réflexions devant ses écrans dans son bunker ultra sécurisé de la CIA dans la banlieue de Kiev. Elle se croit à l'abri et fume comme à son habitude un gros havane. C'est son seul défaut. Une addiction complète à la nicotine des feuilles de tabac pur.
Elle n'a rien entendu, rien vu venir. Aucune alarme ne s'est déclenchée. Une main puissante lui ferme d'un coup la bouche et l'autre l'immobilise avec une clé qui lui fait très mal à l'épaule.
-Bouge pas ma cocotte. Je vais t'enculer et cela va te faire jouir.
Mary a tout de suite reconnu la voix du général Valéri. Comment ce monstre sanguinaire a-t-il fait pour arriver jusqu'à elle? Tout à coup elle a très peur. Une asiatique lourdement armée la regarde de façon bizarre, comme un serpent qui regarde une souris. C'est tout un commando de la milice Stalin qui vient de neutraliser son bunker ultra sécurisé, comme de rien, sans même tirer un coup de feu. Tous ses gardes ont du être éliminés à la main ou au couteau. Elle est seule face à des tueurs sans états d'âme, des monstres froids.
Valeri la plaque sur son bureau et remonte sa jupe. Elle n'a pas mis de culotte ce matin. Il découvre un fessier somptueux. Il encule Mary d'un coup de rein violent. Cette dernière hurle de douleur. C'est la première fois qu'elle se fait prendre par l'anus. Son Elon n'aime pas passer par la. C'est terrible cette douleur. Cela lui vrille le cerveau. Valeri s'en fout. Il la pistone à présent sans le moindre ménagement. Mary sent son anus se détendre et la douleur se dissiper. C'est con, mais elle commence à mouiller de la chatte.
- Tu vois que cela te plaît, grosse salope. Et en même temps qu'il la viole par le cul, il lui frappe les fesses de plus en plus fort. Mary s'est mise à bramer devant la tueuse asiatique avec un fin rictus de dégoût sur les lèvres. Cette vision déclenche le premier orgasmes de Mary. Violent, soudain, incontrôlable. Elle se tetanise et tremble. Elle jouit par le cul et sa chatte ruisselle à présent. Son clito dressé pointe à travers les poils soyeux de sa chatte trempée de cyprine.
-Tu vois que t'aime cela, ma jolie. T'as un gros cul de rêve. Putain que c'est bon.
Et Mary est repartie à bramer et à jouir, encore et encore. Lorsque Valeri à vidé son sperme en elle, une vague de plaisir et de chaleur l'a inondée. Mais ce n'était pas fini. Tout le commando a voulu venir l'engrosser dans son splendide gros cul. C'est pas tous les jours que l'on baise une chef d'agence de la CIA. Et pour finir, les fesses ruisselantes de sperme, Mary a du à quatre pattes bouffer la chatte de l'asiatique et lui sucer le clito pour lui donner un orgasme. Une lesbienne, cette tueuse asiatique.
-Bon, les prestations faites, sers nous un whisky avant qu'on reparte et rallume ton havane, on a à discuter tous les deux.
Une souris entre les griffes d'une bande de gros matous et d'une chatte dominante aux griffes acérées. Mary s'est mise à obéir. Une tournante dans son bunker. Comment a t'elle pu être aussi nulle pour sa propre sécurité et celle de ses hommes ou femmes face à ces tueurs et soudards de la milice Stalin.
Mary s'est mise à table, brisée par le viol collectif qu'elle a du subir et où, honte suprême, elle a joui en cascade.
- Bon on sait ce que l'on veut savoir. Tu vas faire la sieste à présent. Quand tu te réveilleras nous serons déjà très loin, en train de siroter une vodka glacée, dans notre base en Russie. Alors relax, ma cocotte et fait pas chier, sinon la prochaine fois nous viendrons pour t'empaler au dessus d'un missile de 120 mm.
Et Mary est partie dans les pommes. Personne n'avait touché à sa chatte. L'honneur était sauf. Elon pourra toujours la prendre par là pour lui faire un enfant. Un viol par les fesses, cela ne compte pas. Ses dernières pensées avant le plongeon dans un long sommeil.
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La puce implantée dans son cerveau par son Maître et amant, le célèbre Elon, l'homme le plus riche du monde, est une pure merveille. Une puce expérimentale top secrète....sauf pour les lecteurs de bdsm.fr...rires, et qui utilise des technologies quantiques. Un saut dans l'inconnu ! Avec des capacités phénoménales insoupçonnées. Elon sait s'entourer et recruter les meilleurs savants et ingénieurs du monde.
Mary découvre peu à peu les possibilités immenses qui lui sont offertes. Manipuler un smartphone ou un ordi, accéder à des bases de données, tout cela par la pensée, c'est gadget pour elle. Non, elle se rend compte qu'elle peut aller vers toujours plus de complexité et voir la réalité autrement. Dans ses moments de détente , lorsque l'administration des agences de la CIA en Ukraine lui en laisse le temps c'est à dire peu, vu le bourbier sur un front de plusieurs milliers de kilomètres, elle aime se divertir en lisant Homere, la Bible, le Coran. Étrange non?
En fait sa puce lui ouvre des portes. Elle comprend le sens caché des histoires qu'elle lit. Elle est en mesure de fait le lien entre des événements en apparence insignifiants et les événements historiques majeurs.
Mary s'intéresse a la France depuis qu'elle a compris que c'est le maillon faible en Occident. Ben Laden, s'intéressait aussi à la France pour la faire chuter. Il a été flingué avant. Les russes traitent le président français de cinglé. Vu sa dissolution ratée, ils n'ont peut etre pas complètement tord.
Pourquoi la France est elle au bord du gouffre? Une dette abyssale qui l'oblige sans cesse à emprunter toujours plus. Jusqu'où ?
Mary, se demande comment ce desastre qui s'annonce a pu arriver dans un pays aussi beau et aussi riche. Un petit détail...mais où?
Oui où ont ils fait la connerie fatale. Elle se souvient des rudes spartiates ou des superstitieux romains qui parfois, alors même qu'ils étaient invincibles au temps de leur grandeur, avaient peur d'une simple bourgade ou d'un ermite dérangé. Pourquoi avait ils peur? De quoi ? Ils se mefiaient comme de la peste des pieges tendus par les Dieux. Derrière cette bourgade insignifiante ou ce cet humain farfelu pouvait se cacher un dieu inconnu. facilement de raser cette bourgade, facile d'éliminer le non conforme, le différent. Un détail....des conséquences insoupçonnables, des phénomènes d'une ampleur incroyable.
Pour décrire une évènement historique, Tolstoi comparait cela à un train. Quelle est la cause du mouvement de ce train? Les rails, le vent, la vache qui le regarde passer, les roues d'acier, la force de la vapeur, le conducteur qui fume la pipe, ....? Mary, se sert un whisky glacé, enleve sa culotte, se déchausse, mes ses pieds sur le bureau. Elle allume un gros havane et fume paisiblement.
Oui, où les français ont ils fait la connerie, ce petit détail insignifiant en apparence qui conduit au desastre car derrière il y avait autre chose que personne n'avait vu ?
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Lorsque Mary débarque à Kiev en ce début d'été, elle a comme un vague ressenti. Quelque chose lui rappelle la débâcle américaine à Saigon. La majorité des ukrainiens ne veut plus de cette guerre pour le compte de l'occident. Les jeunes ne veulent pas aller se faire tuer sur le front. Les bombes planantes aussi précises que les prédictions de Paco Rabane sur la chute de Mir, font des ravages. La technique russe du pilonnage pour tout écraser. Bref, Mary, va se retrouver dans une galère, à la tête de la CIA en Ukraine. Cela ne l'effraie pas, bien au contraire. Elle adore la difficulté. C'est une surdouée, une prodigieuse, une insondable tant son cerveau déborde de neurones et de synapses. Elle sourit. Ce con de Zelinski devra bientôt venir lui bouffer la chatte à quatre pattes sous son bureau, s'il veut sauver sa tête.
Mary prend possession de son bureau. Une vaste salle climatisée, insonorisée, doublée de deux cages de faraday et de toutes sortes de systèmes pour l'isoler complètement de toute intrusion extérieure. Toutes....pas tout à fait. Les technologies dérivées de la mécanique quantique on fait des progrès. Certaines ondes cérébrales peuvent tout traverser. Heureusement très très peu d'humains savent se servir de ces ondes et fréquences. Elle ôte ses chaussures, se sert un whisky glace et allume un énorme havane. La sécurité s'affole des les premières volutes.
-faites pas chier les tafioles de service et que personne ne vienne m'emmerder. Je fume mon cigare! Et c'est un bon !
Les sécurités et alarmes se taisent. Mary remonte sa jupe et enleve sa culotte, dégriffé son sous tif. Là, elle est bien. Il est temps pour elle de tester sa puce neuralink.
Mary, fille de bonne famille faisait ses études au collège de son patelin. Une surdouée cela se fait vite repérer surtout lorsque c'est une phénoménale. Bénéficiaire d'une bourse spéciale, elle a eu accès au meilleur du savoir. Une véritable éponge, un.cerveau sans fond qui peut tout engloutir.
La puce neuralink branchée sur les neurones de son cerveau, c'est un cadeau de son amant, le célèbre Elon, l'homme le plus riche du monde. Certains offrent des bijoux, des résidences de luxe, Mary a eu droit à une puce dernière génération. Elle se pensait moche, avec ses taches de rousseur, son gros cul, ses hanches larges, ses gros seins, ses cheveux crépus de rousse. C'est Elon qui a craqué pour elle. Un homme à femmes qui a besoin d'elles, d'aimer, de baiser pour stimuler sa créativité. Mary fait partie de son harem et elle s'en fout, elle n'est pas jalouse, ne veut pas se marier. Un enfant, pourquoi pas?
Première observation, avec sa puce dans le cerveau, elle peut appeler son amant et maître quand elle veut. Une ligne directe. Plus besoin de clavier. Avec les images et le son. Et donc, le chemin inverse existe, son Maître peut venir en elle quand il veut. Elle aime cela, sentir qu'elle est à lui, entièrement, complètement.
Certaines personnes ont des crises d'épilepsie, c'est toujours impressionnant. Mary, elle, à des crises d'orgasmie. Ses neurones partent en flash. Elle jouit de façon incroyable sans rien faire. Une sorte d'explosion mentale. Cela intéresse au plus haut point Elon. La crise vient. Elle le sent. Elle tire quelques bouffées de son cigare, détend ses jambes. Elle se tétanise et deconnecte d'un coup. Un flash de lumière jaune...un premier orgasme violent...elle tremble et le second est déjà la. Sa chatte coule, son clito se dresse et ejacule. Elle a le souffle coupé et le troisième provoque l'état de transe. Cela se fait seul. Une anomalie cérébrale? En tout cas elle jouit avec son cerveau. Elle se détend enfin, la crise orgasmique est passée. Elon à suivi cela à distance. Il la rejoint dans sa tête, lui parle, la caresse. Elle ressent son envie de baiser.
La puce marche d'enfer. Elle peut consulter toutes les bases de données de l'agence y compris les plus confidentielles. En apparence, elle fout rien. Elle fume son cigare et boit son whisky avec les pieds sur son bureau, jupe relevée chatte à l'air pour être à l'aise. Elle consulte les dossiers sur le général Valeri. Ses joues deviennent rose de rage. Elle veut se faire ce tueur russe. Oui mais comment? Ce général et sa milice privé Stalin ont résiste à tout et réussi beaucoup de coups tordus. Il lui vient une idée....
.../...
A suivre dans un prochain article
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Helena, la pire vipère de l'immense Sibérie, siffle entre ses dents. Une pure salope qui sait vider les couilles d'un homme et le rendre exsangue pour des heures. Le général Bilal, dort les poings fermés, il ronfle comme un buffle. Le colosse est terrassé. Helena ne paye pas de mine avec son corps d'ado, ses petits seins, sa chatte epilee et étroite, et. pourtant, elle sait arracher les orgasmes en cascade à un homme, l'epuiser, le conduire à l'orgasme final qui se termine presque en coma. Valeri sait choisir ses espionnes.
Bilal ne s'est pas méfié. Il pensait à un coup facile, sans risques, 10 mn douche comprise. Il ronfle...Helena ne perd pas de temps, elle communique avec son équipe et cracke les codes de l'ordi et du téléphone de Bilal. Tout est aspiré en peu de temps. Des virus indetectables sont implantés. Elle a fini son job. Mais elle n'a pas jouit, juste simulé, en bonne salope. Alors avant de partir, elle approche sa chatte de la bouche de Bilal.
- Mange moi le clito, gros con, dit elle en russe. Et sans attendre elle se branle sur les grosses lèvres charnues de Bilal.
Ce dernier grogne en dormant. Elle jouit et lui injecte sa cyprine dans sa gorge. Elle marque son territoire. Bilal va finir amoureux fou d'elle et elle sait qu'elle finira par le faire marcher à la baguette.
Les avions cargos et les navires russes débarquent hommes et armes à Tobrouk, pour l' Africa Corp , le nom de leur nouvelle milice wagner. Bilal laisse faire et obéit bien.
Joe l'endormi et Anthony Bliken fulminent et menacent la Russie, sur Fox News. Emmanuel joue à l'autruche. Mali, Burkina, Niger, à présent Lybie, bientôt Tunisie, la Russie avance partout en Afrique sur le dos de la France et des USA. L'occident est en train de se faire mettre profond et il a mal au cul.
Bilal est devenu raide dingue d'Helena et de sa chatte étroite si jouissive. Un soir, alors qu'il ronfle de nouveau, complètement vidé, Helena le retourne et l'attache solidement au lit par les poignets et les chevilles. Elle sort une fine cane anglaise et commence à frapper.
Bilal hurle. Helena lui fourre sa petite culotte dans la bouche.
-ferme la gros porc. Tu vas morfler.
Et elle frappe Bilal jusqu au sang. Il ne pourra plus s'asseoir pendant des jours et des jours.
Bilal pleure de douleur. Il croit avoir affaire à une folle. Il tremble. Son cul saigne et Helena qui continue. Il tombe dans les pommes.
Au réveil, Helena est toujours là ! Cette fois il est vraiment mort de trouille. Et cette folle qui commence à frapper la plante de ses pieds. Des douleurs terribles lui grillent le cerveau. Allez savoir pourquoi, il se met à bander et ejacule.
Helena s'en aperçoit. Elle glisse sa main et broie le sexe de Bilal. Les yeux de ce dernier se révulsent.
- On ne jouit pas sans la permission de sa Maîtresse.
Elle fait pleuvoir les coups sur le dos de Bilal. Des douleurs terribles. Il ne sait pas quand va se terminer son supplice. Il est en présence d'une sadique impitoyable, plus glacée et insensible que le grand iceberg qui coula le Titanic. Il sait que malgré sa taille de colosse, il ne fait pas le poids, face à cette furie.
Il regarde la petite chatte serrée d Helena. Il sait qu elle est devenue sa Maitresse absolue. Il sait qu'il est vaincu et brisé et pourtant il jouit de cela. Il sait qu il aime lui obéir en tout et pour tout. Et de nouveau il se met à bander. Il ejacule, regarde sa Maîtresse d'un œil peureux.
Un éclair de folie dans les yeux d'Helena. Elle s'accroupi au dessus des fesses en sang de Bilal et lui pisse dessus. Elle marque de nouveau son territoire...
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Le général Valeri n'a pas pu s'empêcher d'aller en première ligne avec un commando d'élite de sa milice privée Stalin. Il a besoin d'action. Il aime entendre siffler les balles au dessus de sa tête. Il aime sentir l'adrénaline couler dans ses veines chaque fois qu'un obus éclate à proximité. Le danger lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Certains prennent du viagra ou des drogues, lui pas besoin, savoir qu'il vit peut être ses derniers instants, le met en érection. Et les hommes et les femmes de son commandos sont comme lui, ils adorent la guerre.
De toute façon, nous sommes des mortels. La caste des guerriers ne craint pas la mort, non, elle craint la peur, la lâcheté, les couilles ou les ovaires molles. La caste des guerriers ne craint pas les blessures ou la douleur, non elle craint les pleurs dus à la trouille. Et pour cette caste il n'est plus grand plaisir que de vaincre sa peur.
Encore un obus qui vient d'éclater tout près. Juste eu le temps de se coucher. La terre sale projetée par l'explosion retombe sur Valeri. Cela sent la poudre et le cramé. Devant lui le joli cul bombé de Lena. Il se rapproche et se couche sur elle, comme s'il voulait la protéger. Mais aucun des deux n'est dupe. Lena aussi a une furieuse envie de baiser. Elle embrasse Valéri à pleine bouche. Leur langues se mêlent, les braguettes s'ouvrent et la jeune capitaine entame une fellation sur son général. Ce dernier n'en peut plus. Il retourne Lena, lui baisse son pantalon trempee de cyprine et la sodomise d'un coup de rein violent. Il ejacule vite dans ce si joli cul bien serré de sportive de haut niveau. Putain que c'est jouissif avec toutes ces balles qui sifflent.
Ils reprennent leurs esprits. Valeri rallume un de ses cigares usagés qui trainent dans ses poches. Ils les fume en plusieurs fois, suivant les envies. Fumer tue...cela le fait toujours rire.
- Tu as vu Lena, 150m à gauche, un bunker. Encore des occidentaux avec un uniforme ukrainien. On va les nettoyer.
- il me reste une grenade spéciale. Je vais les flamber. J'espère que c'est des macdo ou de rosbeef....ils sentent meilleur bien grillés.
Lena place la grenade au bout de son fusil. Un tir précis. Le bunker planqué dans une grange flambe. On entend des cris. Valeri arrose la position.
Ils se remettent en route. Valeti et Lena adorent la guerre à pied, sans chars, ni autre. Qui sait, dans le bois plus loin, peut etre un sniper bien dissimulé? La mort rode partout, mais c'est étrange, elle sent bon.
Le soir tombe. Ils trouvent un abri sous un grand arbre. Lena se love dans les bras de Valeri, leurs lèvres se trouvent. La nuit va être longue. La nuit c'est fait pour les grands fauves. Deux ombres se glissent dans le noir à la recherche de proies endormies.....
Lena est ravissante avec son maquillage camouflage. Elle se retourne et regarde Valeri de ses splendides yeux de panthère. Un sourire illumine ses belles lèvres si douces.
- à Paris, dit elle, à Paris !
En 44, la glorieuse armée rouge, disait: à Berlin! à Berlin!
Valeri embrasse Lena à pleine bouche et rit de bon cœur.
-oui, à Paris! A Paris ! Comme en 1814, après la raclée infligee à leur Napoléon.
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-Bravo Général Valeri, la mise sous contrôle de Donald est une totale réussite.
-une opération très amusante. Et qui pourra servir de modèle, camarade Président.
-elle m'a beaucoup fait rire, il est vrai. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.
L'opération "une chatte pour Donald" à pris du temps. Comment sélectionner une bonne espionne? D'abord, il faut une fidélité et loyauté à toute épreuve. Rien de mieux qu un conditionnement extrême sur mode bdsm. Au bout de quelque mois, l'espionne n'obéira plus qu'à son Maître qui pourra tout lui demander. Ce n'est toutefois pas le plus important. Ce qui compte c'est de réussir et donc d'alpaguer si fort la cible qu'elle passera sous contrôle.
Donald s'est vanté de choper les femmes par la chatte. Valeri a donc fait en sorte de lui en fournir une qui le rende fou.
Comment savoir si une femme est vraiment bandante. Ce n'est pas nécessaire qu'elle soit sublimement belle, non, c'est autre chose. Valeri, en bon militaire a voulu tester. Il a sélectionné des hommes de la façon la plus variée possible et les à mis par groupes de douze, nus, dans une pièce, avec une grande baie vitrée et une glace spéciale pour qu'ils puissent voir sans être vus. Interdiction de se toucher le sexe. Les filles devaient attendre une par une, une dizaine de minute, dans la pièce en face, avec une simple chaise pour s'assoir et rien d'autre et vêtues comme elles avaient l'habitude de l'être dans la vie courante.
Aux hommes de choisir. Pour chaque fille un numero et un vote de zéro à dix. Cela n'était en fait qu'une sorte de leure ou de mise en condition. Les hommes nus étaient observés sans qu'ils le sachent, et plus. Les votes n'avaient de fait aucune importance. La seule chose prise en compte était le désir réel.
Ne fait pas bander qui veut. Et c'est de la sorte que la milice privé Stalin recruta ses meilleures espionnes pour ces missions très spéciales reposant sur le sexe. Laura fut vite repérée comme la championne toute catégorie. Sa seule présence faisait lever les bites comme des régiments levent les baillonettes. Aucun raison, aucune explication. Laura fait bander un homme par sa seule présence et ensuite par le souvenir.
Des que Donald a vu Laura, il a voulu la chopper par la chatte et pas que. Il en est devenu raide dingue.
Et donc, fini les aides à l'Ukraine, fini les ambiguïtés. Pour avoir sa drogue quotidienne, une bonne baise avec Laura, il a du obéir.
En conclusion la bite est elle le véritable cerveau de l'homme ?
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Roxana est parfaitement au courant de toutes les aventures de son époux le Général Valeri, devenu richissime avec sa milice privée Stalin, spécialisée en coups bien tordus pour ses commanditaires et dont le premier d'entre eux est le camarade Président Vladimir. Il ne cache rien à sa sublime compagne. Il est amoureux fou d'elle, une Perse, adoratrice du feu sacré, et de très noble origine. Grâce à ses relations, il compte aussi parmi ses très puissants clients, les mollahs du régime islamiste de Téhéran.
Pour ces fêtes de fin d'année, Valeri et Roxana se sont offert de superbes vacances au Yémen, du côté des rebelles Houtis qui lancent des missiles en Mer Rouge pour bien énerver les occidentaux et perturber le commerce maritime.
Ils habitent une luxueuse résidence bien protégée dans les colines brûlées de soleil. De là, on peut admirer la mer majestueuse au bleu lumineux. En cette terre d'islam, Roxana se plie aux coutumes locales et porte sagement le voile. Mais dessous un océan de sensualité et de raffinement perse bouillone. Les adoratrices du feu sacré l'ont aussi dans le bas ventre. Ce sont des expertes en amour, avec ce mélange étrange de soumission totale au mâle et de volcan en éruption au niveau du sexe. Et Valeri adore sa femme, il aime lui faire l'amour partout, dans l'intimité si douce de leur résidence. Islam oblige, il faut respecter les convenances à l'extérieur, ne montrer qu'une apparence bien sage, d'un couple marié qui sait bien se tenir. Mais dès que la porte de la chambre est franchie, ce ne sont plus que deux fauves qui se jettent l'un sur l'autre, deux corps brûlants qui s'enlacent et se dévorent. La panthère Roxana aime être soumise avec les dents, adore être dressée au fouet, et explose les orgasmes lorsqu'elle est sodomisée sauvagement. Les délices d'une vie conjugale faite avant tout de passion.
Le Général Valeri ne prend jamais de vacances. Son job est pour lui en permanence un plaisir. Il a toujours besoin d'action. Avec les Houtis, il participe à la mise en place d'un système mobile de missiles low cost, montés sur des 4 x4 insaisissables. Il sait très bien que si sa présence venait à être détectée au Yémen, il aurait droit à un bon Tomawak explosif sur sa résidence. La mort peut venir à tout moment et il connaît parfaitement les capacités du renseignement militaire américain pour savoir que la mort peut venir du ciel en quelques instants.
Le danger l'a toujours fait bander. Et Roxana si incroyablement belle, si sage et si excitante sous son voile! Il adore lui voler dans les plumes et simuler le viol carnassier, l'attacher solidement avec des cordes, la suspendre , lui rougir les fesses avec sa terrible cravache cosaque et ensuite la prendre sans le moindre ménagement. Et Roxana a toujours du mal à retenir ses hurlements de panthère lorsqu'elle jouit.
Le plan marche. Les compagnies maritimes évitent désormais de passer devant les cotes du Yémen. Cela porte un coup au commerce de l'occident via la Mer Rouge et le canal de Suez. Les américains sont furieux. Un commando de la milice Stalin forme les rebelles Houtis à l'usage des armes ultramodernes qui sont venues d'Iran et de Russie. Si les ricains veulent débarquer, ils seront bien reçus comme à Madagiscio dont ils gardent un souvenir cuisant.
Pendant ce temps, la milice Stalin continue la prise de contrôle du Niger et de ses fabuleuses richesses. Les Français ont du partir et même fermer leur ambassade. Un coup de Maître de plus.
Les vacances se terminent. Valeri inspecte une dernière fois le dispositif mis en place. Il est temps de rejoindre la base de la milice près de Sotchi. Le président Vladimir a invité pour le Noël orthodoxe Valeri et sa sublime épouse, pour quelques jours de détente, et préparer les nouvelles opérations. 2024 devrait être une très belle année.
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-Sergent No, j'ai une mission pour toi. Deux chasseuses de primes yankees, sont arrivées à Odessa, dans le but de me couper les couilles. Elles ont prévu de débarquer ici près de Sotchi après un périple discret en Mer Noire. Je te charge de les accueillir comme il se doit. Ne les massacre pas. Conduit les sans les amocher à la base. On va s'occuper d'elles comme il se doit. Fais gaffe, elles manient très bien les fusils à longue distance.
-à vos ordres Général Valeri !
Et le colosse de zemble s'est mis en chasse. Il étudie soigneusement la côte. Cherche tous les coins ou un accostage discret peut avoir lieu de nuit. No a un instinct redoutable. Il a l'habitude de chasser les ours polaires sur les banquises glacées de Zemble. Ce n'est pas ces deux tueuses pros qui vont l'intimiter. Le sergent No se leche les babines.
Traquer et capturer des femelles. Comme d'habitude le général Valeri laisse toute latitude pour mener à bien une mission. Ne pas les tuer ou les tabasser, ce sont les seuls ordres. Ne pas les amocher non plus. De penser à ces femelles....lui donne l'intuition exacte du lieu où elles vont débarquer. Comment il sait cela? Il n'en sait rien sauf qu'il est certain de cela. C'est comme s'il voyait presque le futur proche. C'est un chasseur. Il met donc en place ses pieges. Des seringues hypodermiques feront le reste.
Il fait le guet dans un abri invisible végétal. Pas besoin de lunettes à vision nocturne. L'ours de zemble est comme un prédateur, il sait, il sent, il devine. Et les deux tueuses se sont fait prendre à peine débarquées. Elles n'ont rien vu venir. C'est pas dans les manuels d'instructions militaires que l'on apprend à se battre contre le monstre de zemble.
Il décide de les amener dans sa cabane dans les bois pour s'amuser un peu avant de les livrer à Valeri. Pour l'instant elles roupillent dur à causes des piqûres dues aux seringues tirées au fusil. Des doses légères mais suffisantes pour endormir un ours.
Il les fout à poil toutes les deux et les attache par les mains à une poutre de sa cabane. Leurs pieds ne touchent pas le sol. On dirait deux belles dindes. Il les réveille à coup de baffes.
-Alors mes cocottes. Il paraît que vous voulez toucher la cagnotte pour les couilles de notre général ?
Les deux chasseuses de primes ne répondent pas. Elles sont juste impressionnees par la taille du colosse de zemble. C'est peut etre pas un humain ce géant fruste et très poilu. Elles devinent vite qu'il est monté comme aucun homme ne peut l'être. Peut être les conséquences des essais nucléaires à zemble à l'époque de L'URSS ? Et ce monstre qui leur doigte la chatte et respire leurs odeurs intimes.
-Mais vous êtes deux lesbiennes, je vois, dit le sergent No. C'est pour cela que vous êtes au courant pour la cagnotte. Combien déjà? 20 millions de $. Cela fait cher pour des burnes.
-Nous voulons être livrées à la police. Pouvoir contacter notre ambassadeur !
-Vous allez pas bien les filles. Vous n'existez plus. Je peux vous découper en rondelles et vous manger crues si je veux. Alors fermez la et arrêtez de dire des conneries.
No passe par derrière et commence par leur donner une bonne fessée. Il commence doucement. Il caresse ces deux très jolis culs bien bombes de sportives. Il tapotte au début. Pour faire peur. Puis il claque et les deux filles hurlent. Des frappes pareilles, c'est inconcevable. Leurs culs deviennent rouge vif. Elles hurlent encore.
Le sergent No s'amuse. Il caresse doigte les culs et les chattes, masse les seins et frappe. Un coup suffit pour déclencher une douleur insoutenable.
-arrete ! T'es trop con. Tu fais trop mal. Baises nous si tu veux mais arrête de nous tabasser le cul. C'est intenable.
- Ben je peux pas mes mignones. Regardez. Mon sexe est trop gros. J'ai jamais pu pénétrer une femme. C'est impossible à rentrer.
Les deux chasseuses de primes regardent avec horreur le tronc d'arbre qui lui tient de sexe avec pour gland comme un champignon atomique difforme et monstrueux.
-mais tu te laves jamais? Tu pue le macaque et encore c'est une insulte pour les macaques. Allez libére nous on pourra te sucer.
-écoutez les femelles. Il faut arrêter votre cinéma d'allumeuses, sans quoi je vais frapper vos chattes de gouines.
No prend sa hache et part dans la forêt couper de bonnes branches. Il les taille et en fait des carcans pour la tête et les mains, pour les chevilles aussi. Satisfait de son travail il rentre avec le sourire.
-Écoutez bien les filles. J'ai dressé des ours et des loups sur mon île du grand Nord, c'est pas vous qui allez me les briser longtemps.
Il les place toutes les deux sous carcans, solidement liés et un nœud fait par No, seul No peut le défaire.
-Voilà vous êtes mes esclaves et vous devez obéir pour tout. Allez ouste, à la niche. Et il les mène nues dehors, dans le froid, et les attache devant sa porte comme deux chiennes de garde. Il les laisse ainsi toutes la nuit. Lorsqu'elles gémissement trop fort, il sort et leur tire des baffes bien sonores.
Le matin les deux tueuses sont brisées, elles ont peur des que No approche et tremblent. Une semaine passe sans jamais ôter les carcans. C'est ainsi que les mongols dressaient les esclaves. Les filles gardent désormais et les yeux baisses et ne disent plus rien.
No les nourrit bien les lave à l'eau glacée, les frotte rudement avec de la paille et des orties. Elles sont magnifiques même si elles ont en permanence un cul bien rouge sous les claques. Elles obéissent en tout avec diligence. Elles ont peur en permanence de No. Il est imprévisible et il a la baffe facile. Encore une semaine et il les détache des chevilles. Le carcan du haut leur fait horriblement mal.
La troisième semaine il peut commencer à les détacher, une à la fois seulement, toujours nues et elles doivent faire les corvées. Puis de nouveau carcan et garde dehors devant la porte. Il ne les considère plus comme des femmes mais à peine comme des chiennes.
Au bout d'un mois, ce sont devenues de vraies esclaves, bien dressées et obeissantes en tout. Il est temps de les présenter à Valeri.
Ce dernier leur jette à peine un regard.
-Tu as fait du bon travail sergent No. A présent on va les rendre contre paiement. Mais je doute fort que cela puisse se faire. En attendant, mets les à dispositions de tous ceux qui dans la base voudront les utiliser sexuellement.
Effectivement, les américaines furent abandonnées. Personne ne voulu payer pour des chasseuses de primes en free lance.
Chose étrange, ces deux filles commencèrent à accepter leur sort et même à prendre du plaisir. De temps en temps, No passait les recycler. Gardes nues dehors, carcans, fessées, baffes, humiliations. Cela commençait à les faire jouir. Deux chiennes devenues fidèles à leur maître dans une obéissance totale.
Elles prenaient aussi plaisir à se faire prendre, à être sodomisees sans le moindre préliminaire, à devoir sucer des bites ou des chattes. cela devenait jouissif d'être traitées de la sorte.
Les chasseuses de prime ne furent plus que deux très jolies chiennes. Elles furent marquées au fer rouge et déclarées comme appartenant totalement au sergent No. Elles trouvèrent la paix et le bonheur à être ses deux femelles.
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-Bonjour camarade général Valeri. Merci d'avoir pu vous libérer pour cet entretien. J'ai une mission spéciale pour vous.
-Pas de problème camarade Président. Toujours partant, vous le savez bien. De quoi s'agit il?
- Nos troupes poussent de partout sur la ligne de front de l'opération spéciale. Rien ne presse, le piège fonctionne bien.
-C'est tout de même dommage que nos cousins ukrainiens soient tombés dans les griffes de la CIA et qu'ils soient envoyés par dizaines de milliers se faire massacrer sous nos obus.
-c'est leur problème s'ils croient la propagande occidentale.
-Justement, c'est cela votre mission. Liquider des agents de la CIA et de l'OTAN derrière les lignes. Nous en avons localisé une dizaine de plus, ci joint les dossiers et instructions. Faites de votre mieux comme d'habitude.
Valeri quitte Moscou dans le jet privé de sa milice Stalin. Il allume un bon havane et consulte tous les dossiers. Il réfléchit. Il a envie de s'amuser. Il ne veut pas seulement liquider ces agents, cela c'est routine, il veut aussi terroriser.
Le cas de l'agent Brian, cet agent spécial de la CIA retient son attention. Un très bon agent , qui a cause beaucoup de dégâts. Un redoutable, toujours sur ses gardes, très efficace. Peu de défauts. Il appele la capitaine Lena.
-bonjour Capitaine, j'ai une mission pour vous. Je vous donne les détails et on monte l'opération des mon arrivée à la base. A tout à l'heure.
L'avion se pose et Lena accueille avec un beau sourire son général. C'est une russe blonde aux yeux bleus acier, vraiment époustouflante de beauté. Avec humour elle écarte légèrement les cuisses et claque des talons pour saluer. Elle adore prendre cher avec Valeri. C'est électrique, direct, sans la moindre barrière, comme toujours avec ceux qui risquent très souvent leur vie au combat. Plus rien à foutre . Chaque instant est précieux. Lena n'a même pas mis de petite culotte et c'est une sage décision car avant toute chose, elle se fait violer et sodomiser dans le véhicule qui conduit aux bureaux. Valeri ne perd jamais de temps.
Lena écarte les cuisses et se masse la chatte, les pieds poses sur le tableau de bord.
-putain que c'est bon de se faire violer. Cela donne les idées claires.
Valeri lui caresse ses cuisses musclées. Lena sent bon la femme russe.
-Tu feras gaffe cette fois. J'ai pas envie de te perdre.
Lena ne dit rien. C'est pas coutumier que Valeri tienne de tels propos. Cela va être hard...
-Bon je te confie le sergent No, pour t'aider dans cette mission.
-l'ours Blanc de Zemble? Le colosse qui peut faire éclater un crane d'un simple coup de poing?
La capitaine Lena se met de suite au boulot et décide de rendre visite à la tanière du sergent No. Une cabane dans une dense forêt de sapin et de bouleaux. Il faut marcher pour y arriver. Pas de route et un vague sentier. Elle devine qu'elle est observée. Alors en bonne salope, elle retrousse sa jupe et pisse au pied d'un arbre. Elle prend bien soin de montrer sa chatte et son cul somptueux. Histoire non pas de montrer patte blanche, mais chatte ouverte.
Elle trouve enfin la cabane. Le sergent No l'attend, l'œil brillant. Il en a toujours pincé pour cette superbe salope de Lena. Son pantalon fait une grosse bosse.
Lena se plante devant lui et écarte les jambes.
- Bon tu me baises bien d'abord. On se boit une vodka et après on étudie cette mission .
Une femme qui sait commander les hommes. Elle ouvre le pantalon du monstre de zemble et dégage non pas un sexe mais un tronc d'arbre. Cette salope de Lena en a vu des queues mais comme celle la....Elle a tout à coup un doute, elle craint la perforation. Trop tard .
Le monstre de zemble l'a déjà placée au dessus de son gland en forme de champignon atomique. Il soulève Lena comme de rien et veut se l'enfiler droit, direct. Elle a beau avoir été élargie par bien des bites, mouiller facilement, impossible de faire rentrer un membre pareil. Les deux sont frustrés. Lena lui propose de le sucer.
Des les premiers coups de langue elle recoit des litres de foutre amer sur son beau visage. Du foutre qui pue le fauve en décomposition. Mais en bonne salope Lena s'en délecte. Elle prend bien soin de vider le monstre de zemble. Elle adore de toute façon le sperme. Peu importe le trou pour se l'injecter à fortes doses.
Elle se sent en pleine forme.
-Putain ton sperme pue la mort aux rats mais il est excellent, c'est même le meilleur. Il fait un bien fou dans le gosier. Ce sera déjà ça pour cette mission.
Deux jours plus tard, Lena et le monstre de Zemble franchissent les lignes ukrainiennes comme de rien. Deux ombres qui glissent dans la nuit et filent vers Kramatorsk.
La ville est fortifiée et sert de centre de commandement, et de réserve pour les troupes , les munitions, le matériel. C'est un vrai nid de scorpions pour les deux agents russes. Heureusement cette ville est composée à très grande majorité de population russophone et les soutiens parmi les civils ne manquent pas, même s'ils n'osent pas se montrer par peur des représailles. Lena et No vont être hébergé par mam Denisova, une vieille femme qui comme beaucoup ici, a perdu son mari trop tôt à cause de la vodka, le fléau du grand Nord et du grand Est. Mam Denisova adopte de suite le monstre de zemble et se prend même d'affection pour ce colosse dont nul ne sait vraiment la force. C'est à se demander s'il ne pourrait pas tordre un canon de panzer avec ses seules mains velues. Mam Desnisova le cajole, lui prépare du thé et des petits gâteaux. Une bonne mission pour le sergent No.
-Je comprend que tu sois célibataire mon petit. Tu dois avoir un sexe monstrueux. Aucune femme ne peut le recevoir entre les jambes.
-Et son sperme pue pire qu un troupeau de boucs des Carpates qui n'ont pas saute des chèvres pendant des mois. Une odeur horrible. C'est con, mais j'adore. Son sperme fait un bien fou. On devrait le vendre en petite fioles pour les japonaises ou les chinoises comme aphrodisiaque. Tu as de l'or dans les burnes, rajoute lena en souriant.
-Profitez, riez, faites l'amour....vous ne savez pas si tout à l'heure vous serez encore en vie. Encore un peu de thé mes enfants ?
- Vous avez raison mam, avec nos cons d'artilleurs qui sont souvent saouls comme des barriques dès 6 h du matin, ce que nous risquons le plus ici , c'est un obus russe. Allez à la santé de nos crétins d'artilleurs! Rajoute Lena qui reluque la bosse du pantalon du sergent No. Elle se demande s'il ne faudrait pas rajouter un peu de sperme mort au rats dans son thé....
Quelques jours ont passé. No reste planqué. Avec sa masse de colosse il est aussi visible qu'un éléphant dans un couloir. Et donc pour lui, c'est thé et petit gâteaux, en compagnie de mam Denisova. Par contre la couverture de Lena s'est mise en place. Elle a trouvé un job de pute de luxe dans le meilleur bar hôtel bordel de kramatorsk. Un lupanar douillet pour les officiers et officiels.
Elle se fait passer pour une jeune veuve qui vient de perdre son mari sur le front et qui veut se faire de la tune pour élever ses deux gamins. Il faut dire que les mafias russes et ukrainiennes ne sont pas du tout en guerre. Elles s'entendent même fort bien. Les guerres ont toujours été des périodes bénies pour les mafias. Et là, russes et ukrainiens savent se gaver main dans la main. Entre les subventions colossales des occidentaux, les budgets militaires russes qui explosent, les matériels sophistiqués qui disparaissent, les trafics de tout, y compris d'humains, la criminalité de l'ombre est florissante. Et les marches sont si juteux qu'une guerre entre mafia russe et ukrainienne ne servirait à rien, autant s'entendre et se partager les gâteaux. Lena n'a eu aucun mal à se faire recruter comme pute pour un bordel à l'arrière. Ce n'est qu une partie des activités de ces mafias et les russes font de même de leur côté pour siphonner les soldes des soldats en manque.
Pute, un métier qui plairait bien à Lena. Parfois elle regrette presque sa passion pour les armes, les combats, les coups tordus des services. Alors elle est aux anges. Pute et militaire choc. Rien que d'y penser elle jouit presque. Il suffit qu'elle se touche un peu et c'est des orgasmes en série garantis. Et une femme qui pue le sexe et l'amour comme Lena, cela excite au plus au point les militaires en manque de câlins. Les mâles sont attirés par cette bombe sexuelle qui pue les hormones de femme en chaleur, degoulinante de cyprine bien odorante. Ils sont comme les chats qui font des kilomètres pour baiser. Lena avec son cul de rêve à vite mis le feu à kramatorsk.
Mais c'est là, qu'elle va montrer qu'elle est une parfaite salope. Au lieu d'enchaîner les passes, ce dont elle meurt d'envie, elle préfére se retenir complètement pour devenir une pute domina de luxe. C'est la seule façon d'attirer la mouche Brian dans sa toile d'araignée pour le flinguer. Son seul point faible sur sa fiche. Il aime les femmes dominatrices. Il n'est pas soumis, ne pratique pas le bdsm, mais il aime les domina racées. C'est ainsi. Et l'araignée Lena tend patiemment sa toile.
Elle n'a eu aucun mal à convaincre son gang de souteneurs que son talent c'était de faire la pute dominatrice. Cela gagne bien plus. Bon, pour se laisser convaincre, les malfrats ont d'abord voulu se faire lena pour voir si elle connaissait bien le job de pute. Visiblement elle a gagné facilement ce premier round. Le patron du bordel de luxe a vite compris qu'il pouvait se garder la chatte si jouissive de Lena pour lui seul. Interdiction pour les clients de baiser Lena. On ne couche pas avec une dominatrice. C'est elle qui encule les clients et les fait raquer cher pour cela.
A présent il nous faut parler du gode bien spécial qu'utilise la capitaine Lena pour provoquer des orgasmes prostatiques à répétitions chez ses clients qui en deviennent vite hyper addicts. Il s'agit d'une sorte de gros feeldo ou gode sans ceinture. La partie qui rentre dans la chatte de Lena à été moulée directement dans son vagin pour bien tenir et lui procurer beaucoup de plaisir en pressant délicatement son point g. Pour lena s'est jouissif rien que de porter son gode. La partie saillante reproduit un beau sexe mâle avec des parties bien arrondies pour faciliter la penetration anale. A sa base, là ou ce gode va toucher la prostate, se trouve un dispositif spécial de massage de cette dernière. Un coup de maître des services bricolages divers qui existent dans toutes les agences de renseignement. Le gode sans ceinture qu'utilise la sublime Lena est sans équivalent sur le marché des sextoys. Le massage prostatique et les orgasmes qui vont avec sont garantis. Et cette parfaite salope de Lena n'a pas eu besoin de lire la notice pour apprendre à faire jouir comme des petasses en chaleur les culs des males. Et comme elle prend son pied elle aussi de l'intérieur, c'est vite devenue une maniaque de ce god sans harnais. Sa réputation d'enculeuse experte a vite dépassé les bordels de kramatorsk.
Le câble de Langley est arrivé en urgence dans le bureau de Brian.
"Attention. Cette pute du dossier prioritaire est la capitaine Lena Boriztsov de la milice privé Stalin qui appartient au général Valeri. Celui qui a neutralisé la générale Jennifer et détruit deux systèmes himars au passage. Nous vous conseillons de l'arrêter et de la faire parler. "
Brian prend le temps de réfléchir. Il se sert d'abord un bon whisky et allume une clope. Arrêter cette salope....oui, c'est la facilité. Rien ne presse. Pourquoi pas essayer de choper le général Valeri. Sa bite est mise à prix et la cagnotte dépasse les 20 millions de $. Jennifer était une lesbienne notoire et ses amies ont jure d'émasculer Valeri à vif et de bouffer ses couilles devant lui avant de l'empaler. Ah la vengeance ! Cette cagnotte c'est tentant. Il décide de se rendre au bordel pour voir d'abord la tronche de Lena.
Erreur fatale, il ignore que de chasseur il devient chassé. Il est venu sans ses gardes du corps. Il s'assoit, commande un bourbon glacé et allume une autre clope. Les filles de la salle commencent à lui tourner autour. Toutes sauf une, Lena. Brian chasse la nuée des voltigeuses en mal de sexe et de dollars. Il fait semblant de rien. Pauvre Brian, il ignore qu'il n'est plus qu'une mouche qui s'approche d'un filet mortel. Chaque regard qu'il lance vers Lena fait monter son désir dans ses reins. Quelle superbe femme, cette capitaine, plusieurs fois décorée pour haute bravoure! Ce n'est pas une pute comme les autres, Lena respire la classe. Merde tout ce qu'il aime chez une femme. La beauté, l'intelligence, l'autorité, la classe. Et son désir qui gonfle de plus en plus.
Il n'en peut plus. Il s'approche du comptoir ou Lena boit un thé, jambes sagement croisées. Tenue de domina impeccable.
Pauvre mouche qui se rapproche de trop près....
-Bonjour, moi c'est Brian, je peux louer une heure vos services simplement pour parler avec vous?
-300 $ cash et 50 pour le taulier du comptoir.
-Cela fait cher la causette.
- Si t'as pas les moyens tu dégages, minable, ou je te fais dégager.
- Si si , j'ai les moyens, voilà 500. Brian pense mettre cela sur la note de frais pour Langley. La mouche ignore qu'elle n'aura pas le temps.
- Ok allonge la tune. De quoi veux tu parler le yankee.
- Du général Valeri. Je suis journaliste au Washington Post. Je voudrais une interview exclusive.
- T'es débile ou quoi le yankee? T'es pas plus journaliste que moi je suis pute . Montons dans ma chambre pour causer au calme. Donne 100$ au taulier au passage.
Brian hésite. Mais sa bite est dure en présence de Lena. Il n'y peut rien. Toutes ses barrières de défense ont saute d'un coup. Pauvre mouche.
Brian la suit et admire ses longues jambes fuselées et comme moulées à la perfection. Au moins il emportera ce rêve dans la mort. C'est vraiment con une mouche.
Dans la chambre, Lena se déshabille et se montre entièrement nue. Bryan suffoque. Il n'a jamais vu une femme aussi belle. Il sait bien que c'est une salope. Que Valeri la tronche, qu'elle adore le sexe. Pour lui c'est comme si elle était vierge. Même nue, Lena est une sainte à ses yeux. L'amour ne rend ni fou ni aveugle, non, c'est bien pire, c'est un licol couvert de sang.
Tout est allé très vite Bryan n'a pas vu la mort venir. Une frappe directe lui a écrasé la gorge. Il ne peut plus respirer. Il suffoque. Lena s'approche et l'embrasse à pleine bouche.
-adieu mon amour.
Voilà Bryan est mort. Une mouche de plus dans la toile de l'araignée impitoyable de la milice Stalin.
Il est temps de démonter et de rentrer.
Sur le chemin du retour, Lena repense au goût du dernier baiser de Bryan.
- Tu sais No, c'est vraiment con un homme amoureux. Allez baisse ton froc et donne moi ta bite qui pue l'ours qui sort d'hibernation. Donne moi ton sperme. Je veux me nettoyer la bouche et rincer mon gosier de mante religieuse qui tue ses amoureux.
-Oui , Maitresse Capitaine, voilà!
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Valeri et Xian rentrent à la base de la milice Stalin sur les bords de la Mer Noire, avec son petit aérodrome privé, ses bâtiments pour les entraînements et les préparations d'opérations spéciales. Une base discrète, qui ressemble plus à une petite station balnéaire qu'à un camp militaire.
Un coup de fil urgent.
- Salut Valeri, il faut que tu démontés l'opération Prigojine. Je te fais suivre toutes les instructions.
- ce sera fait camarade Président.
Valeri attire contre lui Xian, sa pire tueuse, une manchoue emasculeuse. Il a encore envie d'elle.
Xian comprend de suite. Elle baisse son pantalon et offre son superbe fessier sur le bureau de Valeri. Un petit cul très serré et incroyablement jouissif. Valeri est son seul homme, celui qui l'a depucelee Elle le laisse s'enfoncer sans le moindre ménagement dans sa chatte aussi tonique et serrée que son anus. C'est presque un viol à chaque fois. Valeri en a une grosse et n'aime pas les preliminaires. De toute façon, une fois passée la douleur, Xian adore cela. C'est une tigresse. Son mâle doit la prendre de force et lui faire mal, sans quoi ce n'est pas son mâle.
Elle hurle et jouit. Valeri grogne son orgasme. Xian est vraiment jouissive. Rassasié de sexe, il allume un cigare et réfléchi. Xian ne se rhabille pas. Elle montre sa chatte qui dégouline de sperme. Elle se masse son clito et se fait encore jouir devant son maître.
Valeri lit le dossier secret reçu via le canal sécurisé. Un coup facile cette fois.
- Rhabille toi Xian. Tu pars dans trente minutes. Tu te souviens du faux Prigojine et du faux coup d'état, de la substitution dans la station? Il faut tout démonter. Bonne chance. Tu as tout la dedans. Un bon 100xe fera l'affaire. Allez file.
Xian ne dit pas un mot. Elle ne parle jamais de toute façon. Une femme d'une fidélité et loyauté à toute épreuve.
Le soir Valeri regarde Russie one. On parle en boucle du crash d'un avion avec Prigojine et son état major à bord. Il s'allume un cigare et se sert un excellent cognac de Géorgie. Il boit à la santé du camarade Président. Et un autre verre à la santé du joli cul serré de Xian.
La base dort. Il fait une nuit d'encre sur la Mer Noire. Il est temps de rentrer à la maison. Roxana et Valentina doivent l'attendre. Il sourit. Elles en sont aux tours de chauffe. Une femme et une trans dans le même lit, elles ont de quoi faire quand il n'est pas là. Encore une mission réussie. Et chaque fois, il a une forte envie de baiser.
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-Valéri, la balance entre vos espionnes trans pour calmer le général Anko et les valises de $$$, pèse désormais du côté des valises.
-Nous l'avons retenu un temps. Assez pour envoyer ce qu'il faut à Niamey. Si les occidentaux veulent un nouveau front, ils vont l'avoir.
-Ce serait bien de dégommer discrètement quelques drones américains dans le désert avec nos nouveaux canons électromagnétiques surpuissants. Histoire de bien les rendre fous de rage et de bien étudier leurs technologies.
-Cela devrait pouvoir se faire. Nous avons des contacts dans leur base. Cela risque de vraiment les foutre en rogne si on leur pique leurs bijoux. Il risque de faire encore plus chaud à Niamey dans pas longtemps. J'envoie une dernière espionne au général Anko pour le remercier d'avoir patienté. Il pourra la garder. Sur ces fesses j'ai fait écrire " bon baisers de Russie".
- il faudra aussi vous méfier des Français, ils l'ont déjà bien mauvaise eux aussi.
Valéri convoque une petite équipe de tueurs pros de sa milice privée Staline. Une milice redoutable spécialisée en coups de main audacieux, sans respect de rien, sans limites.
- Bon , cela vous dit, un peu de vacances en Afrique? La maison sera généreuse comme toujours. Et discrétion absolue. Aucune concurrence avec Wagner. Ils ne doivent même pas savoir pourquoi vous serez là bas. Donc prudence, ils ont la gâchette facile et ils ne demanderont pas si vous êtes russes ou pas. Voici vos nouveaux outils pour cette mission. De superbes fusils dernière generation à ondes electro. Je vous laisse quelques jours pour vous entraîner avec. Bonne chance à tous.
Valeri aimerait bien partir avec eux. Impossible. Sa milice a trop d'actions engagées un peu partout. Il appele Xian, sa première concubine, la pire tueuse de toute sa milice.
- Viens, on va faire un tour.
Xian comprend de suite ce dont il s'agit. Le général Valeri à besoin de prendre l'air, de réfléchir. En 4×4 ils rejoignent une petite crique isolée sur les bords de la mer noire. Ils se baignent nus. XIan est une femme superbe. Elle s'allonge près de Valeri sur le ventre, fesses bien bombées. La position de la soumise manchoue offerte.
Valeri ne résiste pas. Il la prend d'un coup. Xian se laisse faire. Valeri est son seul homme. Les autres, elle les emascule tous s'ils s'approchent trop près. Elle jouit comme une tigresse des neiges lorsqu'elle se fait sauter. Valeri lui grogne sa jouissance comme un ours polaire sur la banquise.
Diable que le petit cul bien serré de Xian est jouissif. Rassasié de sexe, il allume un bon havane. Il pense aux gisements d'uranium du Niger. Une fois français et ricains virés, il veut sa part du gâteau. Xian pose sa tête sur son épaule et le remercie d'un baiser. Elle n'a pas dit un seul mot depuis le matin. Son baiser délicat est donc comme tout un roman.
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Kim a été conduite menottee à la prison spéciale de Fanzou. Première baston. Elle refuse de se foutre à poil et d'enfiler la combinaison orange. Elle massacre à coup de poings une dizaine de soldats. Elle est matee avec une seringue hypodermique tirée de loin, attachée, bâillonnee et finalement violée. Les soldats copieusement rosses veulent la revanche des faibles. Revenue à elle, dégoulinante de sperme, Kim leur crache dessus.
Elle est interrogée par le général Ping, une sorte de crapeau baveux à lunettes. Il commence par la sodomiser sur son bureau. Attachée Kim ne peut rien faire. De toute façon ce n'est que la petite nouille d'un immonde. Elle a été formée à tout subir et donc ne pas répondre. Ping est un sadique, il a tout son temps. Il fait peur à tout le monde avec son regard froid qui dégouline presque derrière ses lunettes.
Xian et Valentina sont arrivées à Beijing comme deux touristes lesbiennes, main dans la main, par un vol régulier où elles ont pris soin de becotter pour donner le change. Personne ne se méfie.
Le soir Xian penetre seule dans le bureau de Ping qui se tape sa secrétaire apeurée. Le droit de cuissage doit être une seconde nature dans son cerveau de bactracien. Tout va très vite. La secrétaire est dans les pommes pour longtemps. Xian emascule Ping et lui enfonce son sexe devenu flasque dans la gorge. Il pisse le sang. Un petit extra avant de le liquider. Les clés. Elles sont dans la poche du crapeau qui des qu'il a envie descend violer Kim.
Xian la retrouve ligottee, dans une cellule minuscule, chatte et cul plein de sperme. Elle sert visiblement de vide couilles pour la briser. Elle est toute heureuse de retrouver Xian mais pas surprise. Elle sait que le général Valeri n'abandonne jamais un des seins.
Valentina entre à son tour avec deux kinjals dans les mains. Elle en jette un à Kim qui sourit. Xian n'a pas besoin d'armes. Les trois femmes partent faire un carnage dans cette prison speciale sordide. Elles emasculent d'abord d'un coup plongeant vers l'entrejambe et decapitent ensuite. Une horreur destinée à faire passer le message.
Puis elles sortent comme si de rien n'était. Une voiture. Valentina conduit. C'est sa première mission. Impossible de se retenir. C'est trop jouissif. Elle bande. Cela fait bien rire xian et Kim. Un. Hélico discret, un petit avion de tourisme au dessus des champs, un container sur la route de la soie, les trois femmes dejouent tous les barrages et contrôles. Elles baisent sans arrêt dans le container scellé. Si la police chinoise les choppe, elle seront exécutées sur place. Donc autant profiter de la vie.
Arrivees à Sotchi, elles sont radieuses, trois lesbiennes en vacances sexuelles. Valeri qui tient la sublime Roxana dans ses bras est très heureux en les voyant.
=Merci d'avoir ramené la deuxième concubine. Kim a désormais compris où était sa place dans le harem de Valeri. Cela lui convient parfaitement.
Valeri prend la seconde épouse par la main. Il a une furieuse envie de la faire jouir et chanter par sa chatte anale.
=il paraît que tu es en manque Valentina? Que tu bandes pendant une mission ?
Valentina rougit. Elle sent sa chatte anale se détendre et s'humidifier. Une furieuse envie d'être prise, pour évacuer tout le stress de la mission. Sa première mission ! Elle sent son gland couler de plaisir.
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Confortablement assi dans son jet privé, le dernier falcon de Dassault aviation, copieusement subventionné par son ami, le Président Vladimir, le général Valeri, qui ne lesigne plus sur les moyens, consulte le dossier en sirotant un excellent cognac du Causase. Il a un peu de mal a se concentrer. Il pense au délicieux depucelage de Valentina, sa seconde épouse, à son cul de rêve et à sa chatte anale de sportive bien serrée. Un délice. Il serait bien reste une semaine de plus, chez lui, à s'envoyer en l'air avec ses deux femmes. Il vient juste de les quitter et c'est déjà si loin. Une mission hard et très dangereuse. Exfiltrer un connard d'oligarque russe qui pensait faire de juteuses affaires au Soudan dans le dos du Président Vladimir. Ce con est à présent retenu comme otage par un groupe d'enrages armes jusqu'aux dents. Pas facile. Et comme toujours le danger donne envie de baiser.
A ses côtés, Xian, la terrifiante tueuse manchoue semble dormir. Rien à foutre. Valeri la retourne, lui baisse son pantalon, pas de culotte, et s'enfonce dans son anus serré. La manchoue se laisse faire. Elle a l'habitude avec Valéri. C'est son seul homme. Aucune aventure. Elle n'aime pas le sexe. Pourtant elle jouit chaque fois. Valeri lui caresse son délicat clitotis de la main pendant qu'il la pilonne. Ils jouissent tous les deux en même temps. C'est une de ses concubines attitrée et cela va très bien pour Xian qui ne supporterait pas d'avoir un homme à la maison en permanence. Il faut dire qu elle a été violée par un oncle lorsqu'elle était gamine et que le traumatisme est toujours là. Les hommes qui s'approchent trop près elle les castre et pas seulement psychologiquement. Avec Valeri c'est pas pareil, elle accepte ce rôle de soumise sexuelle totale. Il peut la prendre comme il veut et il est bien le seul. Et puis le sexe permet à ces deux tueurs de ne faire plus qu'un dans l'action.
-putain de merdier que le Soudan, lâche Valeri. Un bon terrain pour nos milices et faire de bons plans.
Xian ne dit rien. Elle médite. De toute façon Xian ne dit jamais rien. C'est à se demander si elle a une langue. Elle adore les missions avec Valeri. Elle prend plus de plaisir à "nettoyer" qu'à baiser. Surtout que cette fois ils vont tester les nouvelles armes expédiées par Kim qui a pris un contrôle quasi total sur le milliardaire chinois Lio et son épouse. Drones électriques ultra-légèrs et furtifs, fusils à tirs corrigés par intelligence artificielle et bien d'autres choses encore. Elle a hâte d'essayer ce nouveau matos, ce qui se fait de mieux dans le monde.
L'emplacement où l'oligarque russe est retenu est vite repéré et observé. Avec les fusils de très haute précision, Valeri et Xian font un carnage à distance. Plus personne n'ose pionter le bout de son nez. Il partent finir le reste au couteau. Deux ombres qui se glissent dans la nuit. Un autre carnage. Ils coincent le chef et ses trois femmes dans une pièce. Xian ne peut résister au plaisir de l'emasculer avant de le liquider. Ils retrouvent l'oligarque dans une pièce verrouillée, tout piteux et sale, avec des doigts en moins, sans doute pour le faire parler.
Valeri l'embarque dans un pic up des rebelles avec les trois femmes, les seules survivantes du carnage. Il compte les offrir en récompense aux policiers corrompus qui ont aidé pour faire le job. Elles sont superbes. Ils vont apprécier, même si une femme vaut moins qu'un bon chameau.
Retour dans le jet avec l'oligarque qui est menotte sur son siège.
- tu as des comptes à rendre connard.
Pendant le vol retour Valeri à besoin d'évacuer le stress de la mission. Les jolies petites fesses de Xian sont là pour cela. Mais cette fois il préfère sa petite chatte si délicate. Xian jouit très fort, mais en silence. Elle aussi a besoin.de se détendre un peu.
Valeri ne pense déjà plus qu'à la chatte de Roxana et au cul serré de Valentina. Il s'endort d'un coup au dessus de l'océan. Encore une mission réussie.
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Valentina est née garcon, pour la plus grande joie de son père au début, le sévère général Rostov et son plus grand desespoir ensuite. Un garçon unique. Le père rêvait d'une grande carrière militaire pour son fils. Mais dès le début Valentina s'est habillée en fille, peut etre née du profond désir de sa mère, la belle Anastasia, d'avoir une fille. Tout était en double. Elle devait être garçon pour le père, et fille pour elle même, ce qu'elle savait être sa veritable nature et identite. Elle a adopté très vite le style garçonne pour plaire au père et donc pas du tout efféminée mais style bagareuse.
Très vite elle a aimé la baston à l'ecole puis dans les classes secondaires. Voyant cela son père qui pensait toujours avoir affaire à un garcon, l'inscrivit très tôt à toutes sortes d'arts martiaux, pensant que ce serait bon pour sa carrière militaire future. Une championne ! Personne pour lui résister sur un tatami. Par contre, seule le soir dans sa chambre, elle passait une jupe et vivait en fille. Sa mère venait la voir et comprenait, toute heureuse de pouvoir discuter avec sa fille.
Arrivée à la puberté, ses petits seins avaient poussé, oh, pas comme ceux d'une fille cisgenre, mais plus que les pectoraux des garçons. Elle avait pris des fesses aussi et très peu de poils, de longs cils. Comme garçon elle ne passait plus. Alors un jour, elle est allée à l'école en fille. Une révolution dans cette école de préparation militaire. Le père a été convoqué. Sa fille était très belle. Adieu le petit Valentin! Elle a refusé tout net de continuer à s'habiller en garçon. Une rupture définitive. Grace aux puissantes relations de sa mère et à son talent de persuasion, elle a pu continuer les cours, désormais inscrite comme Valentina. Sa mère avait entamé les démarches pour cette transition, mais dans la Fédération de Russie, ce n'est pas la loi qu'il faut suivre mais les passe-droit et surtout les "dons" généreux. Anastasia avait les moyens.
Finalement le général Rostov accepta d'avoir une fille un peu spéciale et compris que la seule unité qui pouvait l'intégrer c'était le GRU. Ce dernier refusa et recommanda la milice privée du général Valéri, réputé pour ne sinteresser qu'aux compétences réelles.
La première recontre avec Valeri se passe très mal. Ce dernier lui demande de se foutre à poil et Valentina refuse. Valeri lui propose un combat et s'il gagne elle devra se foutre à poil. Non mais, cest pas cette fille qui va faire sa loi ! Valentina a beau être une championne, elle ne fait pas le poids contre le pire tueur de Russie, formé par un Grand Maître Nord Coréen, expert en techniques secrètes. Elle doit tomber la robe, sa culotte et montrer son joli cul. Valentina est fort belle, elle a pris quelques hormones de transition et sa poitrine est bien formée. Son pénis est imposant.
-tu es vierge?
-oui, je n'ai connu ni homme ni femme.
-Veux tu devenir ma deuxième épouse?
Valentina rougit et se demande si elle n'est pas tombée avec le pire fou de Russie.Pourtant, elle est troublée par le magnétisme animal que dégage Valeri. Elle sent son anus s'humidifier. Elle rougit encore plus.
-Bon remet ta culotte et ta jupe et allons diner. Je ne vais pas te violer et il faut d'abord que ma première épouse t'accepte. C'est elle qui va décider au final.
Valentina pense que le pire fou de Russie ne doute de rien. Pourtant troublée, elle accepte. Le soir même, ils partent en avion pour Sotchi ou Roxana est en vacances dans la luxueuse résidence offerte par le Président Vladimir pour services rendus.
La rencontre avec la première épouse est plus délicate qu'avec Valéri, le loup de l'Oural. Valentina se sent de suite à l'aise avec cette femme de la haute noblesse perse, toute en culture et raffinements. Elle regarde Valeri autrement et finalement elle sent l'émoi au fond de son coeur. Le soir, lors du repas, elle donne sa réponse:
-J'accepte de devenir la deuxième épouse.
Roxana la regarde, les yeux brillants comme des diamands noirs, lui prend la main.
-Tu es sûre de cela? tu ne pourras plus faire marche arrière. seul Valeri aurait droit de te répudier et sous certaines conditions. Tu devra lui obéir et te donner à lui. Tu devras m'obéir aussi.
-Oui Maitresse Roxana, je le veux.
-le mariage est le seul sacrement que l'on se donne soi même, je te prend comme deuxième épouse, dit Valeri.
Et comme il ne traine jamais en rien, il l'emmene aussitôt pour consomer et sceller le mariage et la depucelle. Valentina découvre le sexe et les joies incroyables des orgasmes par sa chatte anale. Valeri rassasié laisse sa place dans la couche à Roxana et sort fumer un havane face à la Mer Noire. Il laisse les deux femmes faire l'amour entre elles comme bon leur semble. Valentina se dépucelle une deuxième fois lorsqu'elle enfonce son pénis dans le vagin brulant de sa Maitresse. Une véritable extase.
Valeri recoit un appel sur son téléphone securisé.
-Salut Valeri, J'ai une mission urgente pour toi au Soudan, une exfiltration. Un hélico est en route pour venir te chercher. Il sera là dans 30 mn environ. Emmene ta Xian, ta manchoue si redoutable, tu risques d'en avoir besoin. Tu auras toutes les instructions dans l'Hélico. Bonne chance.
-Ok camarade Président. Un peu d'action me fera du bien.
-Je viens d'apprendre pour ta deuxième épouse. Je te souhaite plein de bonheur. Valentina est exceptionnelle. Sois discret c'est tout.
-Les murs de ma résidence ont des oreilles je vois. Après tout, je m'en fous.
-Tu es trop précieux Valéri ! Longue vie à toi !
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-Bonjour Valeri, j'ai un cadeau pour vous. Voici vos étoiles de général de brigade de 1er classe et la medaille de diamant de la Croix de Saint Georges.
-Vous savez bien Président Vladimir que je me fous des titres et décorations.
-C'est pas pour vous Valeri, mais je suis bien renseigné, c'est pour votre épouse, Roxana, cette noble perse, qui adore les grades, médailles et décorations.
-Si c'est pour elle, alors OK. C'est vrai qu'elle veut toujours faire l'amour lorsque je suis en uniforme de cérémonie.
-Une femme remarquable et qui nous rend bien des services pour conduire les drones vers des cibles militaires. Mais je ne vous ai pas convoqué pour cela. Le camarade Prigojine a pété un cable. il braille comme un chien enragé. Il faut lui clouer le bec.
-définitivement camarade Président ?
-oui, par substitution d'un sosie. Nous en avons fabriqué un qui fera parfaitement l'affaire. Voici les détails de la manip.
Valéri les examine rapidement, assi sur le bureau de Vladimir, pose des questions.
-C'est Ok, j'ai la tueuse qu'il nous faut. Xian, une manchoue redoutable.
-Bon, vous avez les directives. A vous de jouer, mais sans droit à l'erreur, comme d'habitude.
-Bien ce sera fait suivant vos plans. Par contre, si Roxana aime les médailles, moi j'aimerai bien avoir une résidence pres de Stochi, pour les vacances et faire du ski en hélico dans le Caucase.
-Pas de problèmes, vous serez récompensé comme il se doit, et vous aurez même une médaille de plus pour faire plaisir à Roxana.
Valeri n'a pas perdu de temps. il a convoqué Xian, la tueuse manchoue. Avant de lui expliquer quoi que ce soit, il a commencé par bien la sauter. C'est sa façon de faire avec son effectif feminin. Cela permet des echanges en profondeur par mélange de fluide. Xian sait cela et elle est arrivée sans culotte, histoire de ne pas perdre de temps avec la bagatelle. C'est une tueuse pro. Baiser c'est pas son truc. Par contre, cette fois Valeri veut lui forcer les reins.
-Non, pas par la, j'ai l'anus trop serré et votre pénis est bien trop gros.
Valeri n'a même pas écouté. Il s'est empalé d'un coup. Xian n'a plus rien dit. Dans ce petit cul de manchoue, Valeri a vite joui. Il a senti Xian se détendre et finalement aimer cela. Ils discutent à présent de l'opération en buvant un thé. Après l'amour c'est plus détendu. Une espionne doit savoir baiser, même si c'est pas son truc, c'est du moins la doctrine de Valeri.
La colone de véhicules et blindés légers fonce sur Moscou. Le Prigojine est tombé dans le piège et il ne se doute de rien. Depuis Rostov, le trajet est long et une halte est prévue pour satisfaire à des besoins et se ravitailler. C'est là ou se trouve le piège, dans cette aire d'autoroute pour refaire les pleins et se sustenter.
Prigojine a voulu aller pisser. Avec son pistolet et une balle dans le canon, il croit ne rien risquer. Son garde du corps l'attend devant la porte. Il baisse son pantalon. Tout est allé très vite. Un plouf, et le garde du corps s'est effondré. Xian est entrée comme une ombre. Trois frappes très précises sur des points vitaux secrets et Prigo ne pouvait plus ni bouger, ni parler.
Xian sort un fin couteau manchou et émascule d'un coup le Prigo. Elle arrose la plaie de gel d'azote liquide pour empecher le sang de couler. elle jette les organes de Prigo dans la cuvette et tire la chasse. Un extra qu'elle a rajouté au plan. Prigo n'a pas mal à cause de son bas ventre gelé à l'azote. Pourtant ses yeux expriment toute sa terreur. C'est fini pour lui. Deux frappes simultanées avec les pouces pliées sur ses tempes. un éclair dans son cerveau. il a déjà rejoint le territoire des ombres.
Le faux Prigojine sort de sa cachette. Tout est nettoyé. Plus aucune trace de l'élimination. Le faux Prigojine rejoint le restaurant, même démarche, même voix, même gouaille. Ses hommes n'y voient que du feu.
Quelques heures plus tard, le faux Prigo annonce sa redition. La manip a parfaitement réussi.
Valeri decouvre sa nouvelle résidence sur les bords majestueux de la Mer noire. Il a passé son bel uniforme de gala avec ses étoiles et ses décorations. A ses bras Roxana est rayonnante. Valeri devine que la culotte de sa femme est trempée de délicate cyprine parfumée. Il ne perd pas de temps à visiter. Il a une furieuse envie de baiser lui aussi. Il la viole presque sur une peau d'ours de siberie dans le salon. Roxana est insassiable ce jour là. Elle a envie d'etre fouéttée et sodomisée.
Pas de problème pour Valéri. Il enfonce sa petite culotte dans la bouche de sa femme aux anges. il la ligote et sort son fouet de chasseur de loups. il fouette les fesses sublimes de son épouse et une fois qu'elles sont bien rouges et brulantes, il la sodomise d'un coup. Elle se cabre puis se détend. Roxana jouit mieux lorsqu'elle est prise par les reins. Une vrai chatte perse. Ses yeux sont révulsés. elle explose les orgasmes. Valeri prend tout son temps.
Après l'amour, il allume un bon havane et se sert un excellent cognac local. Roxana, nue, le dos zébré de longues marques rouges vient le rejoindre et ses love dans ses bras.
-Toi tu sais parler aux femmes.
-c'est de l'humour perse? Tu sais bien que je ne cause pas pendant l'acte et même avant.
Roxana n'a pas répondu. Elle est au courant de toutes les infidelités de son époux. Elle n'en est pas jalouse, au contraire , elle en est fière. En Perse, les hommes riches se doivent d'avoir femmes, concubines et aventures. Seule l'épouse doit rester totalement soumise et fidèle.
-j'aimerai bien que tu prennes une deuxième épouse. Je pense que je l'aimerai beaucoup moi aussi. Pourquoi pas cette manchoue si redoutable.
-Non pas elle, elle est froide comme un iceberg. Mais promis je vais en chercher une qui te plaise à toi aussi.
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:anger: Ce récit est une fiction tirée de mes aventures virtuelles dans un jeu vidéo du nom de Star Citizen. Vous pouvez en apprendre plus en suivant ce lien : https://robertsspaceindustries.com/orgs/SPYTOU.
Si vous souhaitez me soutenir et m'y rejoindre, vous pouvez utiliser mon code de parrainage : STAR-5BJP-3ZZ9.
Je V/vous souhaite une agréable lecture.
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12/04/2950 (années terrestres)
À bord du /// CENSURE ///
Système stellaire Stanton, quelque part dans le Halo d’Aaron
Joséphine Baker était une femme svelte de taille moyenne. Allongée dans son grand lit deux places, seule, elle ouvrait doucement ses yeux verts émeraude. Connue sous le pseudonyme J0s3ph1n3 8ak3r, elle ne cachait pas franchement sa véritable identité, bien que directrice d’une petite entreprise privée du renseignement, l’Agence Spytou. Ce matin commençait comme tous les autres, et ce malgré le grand changement apparu dans sa vie la veille. Le bras gauche dénudé de Joséphine sortait doucement de sa couette, et ses doigts fins aux ongles drapés d’un vernis brillant d’une magnifique couleur lilas s’emparèrent de sa mobiGlas. Son second bras s’évada à son tour de cette couette en soie pourpre recouvrant son corps et le cachant à hauteur de sa poitrine désormais. À son poignet droit vint, d’un geste élégant, s’attacher cette montre futuriste qui connecte les femmes et les hommes de cet univers entre eux et à leur environnement. Une longue série de messages, rédigés par ses agents actifs, venaient peu à peu remplir son esprit encore endormi. Devant son regard perçant, les rapports se succédaient mais rien ce matin ne venait particulièrement troubler son habituelle quiétude. Après quelques minutes à éplucher les nouvelles en provenance de la galaxie, Joséphine décida finalement de se lever.
- Bonjour, timonier ! Demanda la belle femme au travers sa mobiGlas, en s’adressant à cet homme au travers de sa fonction.
- Bonjour, Madame la Directrice, lui répondit-il après un bref instant, d’un ton révérencieux. Vous souhaitez que j’avertisse les hommes de votre levé, et plus particulièrement John pour qu’il vous fasse servir un café ?
À bord du /// CENSURE ///, Tim le timonier servait de second à Joséphine. Il lui était probablement son plus loyal et plus fidèle serviteur. Ancien agent de Spytou, il avait gravi les échelons jusqu’à pouvoir avoir l’honneur de conduire et organiser la vie quotidienne de celle qu’il considérait comme sa véritable Maîtresse.
- Pas de service au lit ce matin, Tim. Dites à John de nous servir un café, pour moi ainsi que pour vous. Et rejoignez moi à la grande table du salon.
Quelque peu étonné par la proposition de sa Directrice, qui n’était pas habituée à partager son seul vrai moment habituel de détente de la journée qu’était le petit déjeuner, Tim acquiesça et commença à se diriger vers les couchettes du personnel de bord pour réveiller John afin que celui-ci s’exécute. Joséphine prit encore un peu son temps pour sortir de sa chambre. Cette chambre double, la seule à bord du /// CENSURE ///, donnait immédiatement dans la grande pièce de vie. Face à sa porte, un jacuzzi. Véritable pièce maîtresse de ce vaisseau, il fut le lieu de nombreuses trahisons et fuites d’informations, provoquées par des moyens plus ou moins osés employés par la Directrice pour les obtenir. Joséphine ria bien fort en repensant à sa dernière conquête, ce qui fit sursauter Tim et John qui la regardaient depuis l’arrière du bar. Ce bar était placé tout à fait à l’autre bout de la grande pièce de vie par rapport à la chambre. On pouvait y trouver sur ses étagères, en plus d’une somptueuse machine à café, boisson préférée de la Directrice, tout un tas d’alcools divers qui avaient la principale fonction d’adoucir les invités souvent victimes de la femme fatale possédant les lieux. Devant le bar sur la gauche se tenait une magnifique table en verre. C’était globalement à cette table que Joséphine passait le plus clair de son temps. La magnifique baie vitrée inondant la pièce de sa lumière donnait une vue époustouflante de l’espace environnant. Sur la droite du bar, un espace salon avec téléviseur dernier cri venait compléter le luxe de ce navire. Joséphine fit signe à Tim de s’asseoir à table, auprès d’elle. John compris sans même un mot que la Directrice souhaitait qu’il prenne congé aussitôt les boissons servies. Il ne se fit pas prier et quitta discrètement la pièce. Tim était très impressionné de partager ce moment avec cette femme. Impressionné, et peut-être même inquiet. Il avait en effet perçu son changement de comportement depuis sa rencontre d’hier avec cet inconnu richement vêtu, qu’elle avait pour une fois décidé de ne pas prendre pour cible …
- Nous allons discuter de votre rencontre d’hier avec ce diplomate ? osa-t-il après quelques secondes d’un silence pesant …
- Je ne savais pas que tu posais les questions, Tim …
Le timonier se racla la gorge …
- Veuillez accepter mes excuses, Madame …
Joséphine, qui se jouait parfaitement de l’homme, posa sur la table d’un geste assuré le martinet qu’elle avait soigneusement mis à sa ceinture en s’habillant. Tim eut un haut le cœur … Il en avait vu d’autres goûter du fouet de sa Directrice, et certains ne s’en étaient jamais relevés … Il était là, assis sur cette chaise, et ne pouvait plus bouger. Cette situation n’était pas logique. Que s’était-il passé pour que Joséphine veuille s’en prendre à lui ce matin ? Joséphine fit glisser ses longs doigts le long des lanières de son instrument de torture …
- Personne mieux que vous à bord de ce vaisseau ne me connaît, Tim …
L’homme, toujours très mal à l’aise de la situation, resta silencieux. Ses yeux, qui ne pouvaient s’empêcher de voir en coin la silhouette très aguichante de son bourreau, s’échappaient à fixer quelques astéroïdes flottant au dehors.
- Vous me connaissez mieux que personne, Tim. Et j’ai besoin de vous plus que jamais désormais.
De sa main droite, Joséphine rangea le fouet qu’elle venait de poser sur la table pour s’amuser. Elle glissa ensuite sa main dans ses cheveux, puis tenta d’attraper le regard fuyant de son confident du matin … Tim en fut une fois de plus désarçonné. Il connaissait le personnage depuis des années, mais jamais elle ne lui avait fait vivre un ascenseur émotionnel tel que celui-ci.
- En quoi puis-je vous être utile, Madame ? bredouilla-t-il tant bien que mal, le regard toujours fuyant …
- Regardez-moi. De la tête aux pieds. Joséphine fit bien attention d’insister sur chacun des mots qu’elle venait de prononcer.
Tim croisa enfin le regard de la Directrice. Il ne vit plus de l’amusement dans ses yeux. Il voyait désormais une forme d’assurance et de confiance dans son regard. Joséphine hocha la tête, et il commença alors à déplacer ses yeux sur les épaules dénudées de la femme. Elle était absolument ravissante dans cette robe qui mettait parfaitement en valeur ses petites formes. Les brassières en croix de la robe, qui recouvraient suffisamment sa poitrine tout en mettant ses épaules et son ventre à nu, la rendait encore plus désirable qu’à l’habitude sans pour autant la rendre vulgaire. Il aurait à ce moment là pu dire qu’il la trouvait absolument resplendissante, mais il n’en fit rien. Joséphine poussait sa chaise en arrière et se recula lentement de la table. Elle relança l’homme :
- De la tête … aux pieds, Tim.
Du nombril, le regard du timonier s’arrêta sur les hanches superbement mises en valeur par le vêtement. Puis il glissa finalement jusqu’au pied de sa directrice, contemplant au passage de fines jambes laissées volontairement au regard embué de sa victime.
- Relevez les yeux, Tim … Son ton prenait désormais un air de défi et l’homme s’exécuta. Qu’avez-vous vu ?
L’homme savait que la Directrice lui faisait passer une épreuve. Il savait qu’il se devait à la fois d’être honnête, tout en respectant la place qu’il avait à ses côtés.
- Beaucoup de grâce, Madame …
- De la grâce, seulement de la grâce ? Ne voyez-vous pas autre chose ? Le ton de Joséphine devenait plus incisif désormais. Elle voulait qu’il le dise pour mettre en place sa démonstration.
- Un corps très … désirable, Madame … lâcha le timonier sans trop comprendre ce qui le poussa à si peu de retenue …
Joséphine sourit. Elle pouvait désormais faire étale de son argumentaire.
- Crois-tu que c’est ce qui m’anime au plus profond de mon être, toi qui me connais si bien, Tim ? Crois-tu qu’être désirable est ce que je recherche ? Regarde ce tas de chairs … Crois-tu qu’il restera si attirant lorsque les années se seront jouées de moi ?
- Non, Madame … souffla Tim. Il ne savait pas pourquoi il se permettait tant d’honnêteté à cet instant, mais il savait que c’était ce qu’attendait de lui sa Directrice. Je crois que ce qui vous anime, c’est de laisser votre trace. Sur nos corps comme sur l’univers …
- Vous me connaissez mieux que quiconque, Tim … Et j’ai pleine confiance en vous. Vous comprenez quelle est votre place, vous comprenez mes actes et vous me rendez fière en ce jour. Vous êtes un ami, Tim. Ce corps, vous savez que vous ne le toucherez jamais, et pourtant vous me restez fidèle. Pourquoi ?
Tim ne savait que répondre immédiatement. Que pouvait-il répondre à cette femme après tout ? Cette femme était devenue le centre de son existence. Pour elle, il avait abandonné tout libre arbitre. Il se rendit pleinement compte à cet instant qu’il suivait aveuglément une femme qu’il ne pourrait posséder. Il se rendit pleinement compte à cet instant de son état de soumission. Des larmes lui montèrent aux yeux.
- Je vous aime, Madame ! Pour votre corps mais aussi pour la force que vous m’inspirez, finit-il par lâcher.
- Relève-toi, lui ordonna d’un air satisfait Joséphine.
Sans s’en rendre compte, Tim s’était retrouvé à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Accompagné du doigt de sa Directrice posé sous son menton, celui-ci se releva, tremblant des pieds à la tête. Lorsqu’il fut pleinement relevé, Joséphine se hissa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur les lèvres de sa victime.
- Je t’aime aussi, Tim. Et crois-moi, nous allons laisser notre empreinte sur cette galaxie.
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Lana est assurément la pire salope à l'ouest de Vladivostok, et peut être même de la galaxie. Non, non, je n'exagère en rien. Laissez donc moi vous conter un peu son histoire et vous pourrez vous faire une idée.
L'empire bâti par le "camarade" Stalin et son arme secrète, la terrifiante Maria, venait de s'effondrer. Les héritiers n'étaient que de piteux fonctionnaires inaptes. Kroutchev et Gorbi, des incapables, Brejnev, une coquille vide, Eltsine une barrique de vodka, non, personne n'avait été à la hauteur. Le KGB devenu FSB avait du reprendre les choses en main et placer son meilleur élément, Vladimir, à la tête de ce qui restait de l'Empire, bien moins que ce que possédaient les Tsars. Mais Vladimir est un teigneux rusé et patient, il avance à coups sûrs.
Vladimir ne pouvait ignorer l'histoire de Maria, nom de code Katiousha. Mais voilà, impossible de retrouver un élément aussi exeptionnel, plus efficace que bien des bombes atomiques. Vous croyez là encore que j'exagère? Mais regardez bien ce qu'avait réussi à faire le "camarade" Stalin, le véritable vainqueur de World War II, la façon dont il avait écrasé toutes les armées allemandes sur le front de l'Est. Comment? Grâce à Maria et son incroyable don de mind control à distance. Dès 1941, Adolph était passé sous les ordres et il ne prenait plus que des décisions imbéciles, toutes en faveur de l'armée rouge. L'offensive de décembre 1941, contre Moscou, l'immobilisation de ses troupes à Leningrad, le piège mortel de Stalingrad, la suicidaire opération citadelle et la défaite de Koursk. Même Von Paulus était tellement passé sous mind contrôl qu'il n'hésita pas à trahir et à sacrifier la VIe armée.
Stalin offrit même le crâne d'Adoph récupéré dans Berlin en ruine à Maria. Il trônait sur son bureau dans sa datcha, pendant que Stalin se moquait et faisait croire qu'Adolph s'était enfui, histoire de faire tourner l'occident en bourrique.
Mais Maria et Stalin étaient morts à leur tour, emportant bien des secrets et quelques décennies plus tard, l'héritage avait été dilapidé. Vladimir voulu se retrouver une autre Maria, mais il ne trouva pas un tel phénomène, non, il découvrit une autre surdouée dans les pouvoirs étranges, la sublime Lana, la pire salope à l'ouest de Vladivostok.
Lana, le mind contrôl, elle sait faire, mais pas que...Elle n'a jamais eu la prétention d'égaler Maria. Mais elle a placé une grande photo de cette dernière dans son bureau, devant elle, pour s'en inspirer. Le truc de lana, c'est les photos. Elle arrive à "rentrer " dedans. C'est fou tout ce qu'elle peut lire dans une simple photo. Un autre truc de Lana, ce sont les voyages en ondes psy. Elle peut aller presque partout. Les blindages, brouillages, cages de Faraday ont du mal à la stopper. C'est une intrusive particulièrement coriace.
Avec Vladimir, elle rigole bien. Comme Maria, dont elle a hérité et du poste et de la datcha, elle est hors cadre et invisible. Personne ne la connait à part Vladimir et quelques experts du FSB. Toutefois si Maria était complètement asexuée, Lana elle est une hypersexuée et le mot est faible. Elle a besoin de sexe pour que ses dons deviennent excellents. C'est une assoiffée de belles bites, de chattes bien poilues et de jolis petits culs. Plus elle s'envoie en l'air et meilleure elle est dans son boulot si spécial. Ses esclaves sexuels, ne savent pas avec qui ils font l'amour, mais ils savent qu'ils n'ont pas d'autre choix que de satisfaire cette "dingue" et de se plier à tous ses fantasmes. Cela amuse beaucoup Vladimir, qui ne participe jamais. Ce que préfère Lana, c'est les pilotes de chasse, les tankistes, les bien membrés des forces spéciales. Elle a assez de choix avec les militaires, hommes ou femmes et tous tenus au devoir de réserve. Et bien satisfaire la sublime Lana est....un ordre spécial du FSB. Il est préférable de bien obéir à ces ordres là, surtout avec cette salope de Lana qui donne des notes. Une bonne note peut vous faire monter en grade où vous octroyer une belle permission sur les rives ensoleillées de la Mer Noire; une mauvaise et c'est la Sibérie et ses moustiques.
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