La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/03/23
Le repas fut bon et rassasiant. Je me remet de mes émotions et retrouve mes esprits. Je sens un mouvement supplémentaire au-dessus de ma tête, j’explore et découvre que la queue de cheval à été passée dans un trou de la cagoule. Je dois avoir un look étrange, juste la bouche et le menton visible et la queue de cheval sortant au-dessus. Le cuir de la cagoule est épais, odorant, il crisse quelque peu suivant mes mouvement, que c’est excitant. Des pas se rapproche, j’arrête de bouger, la porte s’ouvre, on me saisit par l’anneau et me lève violemment. Tiens prend ça ! Et je sens la chaîne entre mes pieds tirée et posée dans mes mains. L’anneau est tiré, je suis le mouvement comme je peux. Je fais un bruit terrible en me déplaçant, je manque de tomber plusieurs fois. Les escaliers sont montés maladroitement, je ne peux que faire confiance à celui qui me tient l’anneau. Des bruits de discussions au loin qui s’intensifie. Ahhhhh voilà le dessert ! Et des éclats de rire de tous ceux présent. Je ne reconnais pas cette voix, ni le nombre de personnes présente. Je sens la boule au ventre apparaître de nouveau, je stress et je me retrouve livrée à moi-même quand l’anneau est lâché. J’ai l’impression d’être une proie sans aucune défense au milieu d’une meute de loup. Il me semble sentir des déplacement autour de moi, on me hume, je sens des regards me scrutant telle une pièce de boucherie. Soudain j’ai l’image de moi, nue, enchaînée, aveuglée au milieu d’hommes. Je suis toujours entre l’effroi et l’excitation. Je veux bien présenter, je me redresse comme je peux, tire mes épaules en arrière, tend légèrement mon cul en arrière. Je veux montrer que je n’ai pas peur, que je sais rester forte, en fait cela m’aide plus moi à me rassurer et me sentir moins offerte. Avance ! Il me faut bien 2 secondes pour réaliser que je dois avancer dans une pièce inconnue entièrement nue. Je décide de faire confiance à S. et avance timidement, utilisant mes pieds pour tâter où je vais. Je fini par arriver contre un meuble je m’arrête. Une main viens se poser contre ma nuque et la sert, je n’ose bouger. Un souffle chaud sur mon épaule, un baiser tendrement posé. Tu sais que tu m’a impressionnée ainsi que les autres présent ? Merci Monsieur. Passons à la suite. C’est S. je me détend légèrement, encore plus quand il déposa un tendre baiser dans le creux de ma nuque. Mes poignets sont saisis, la chaîne surélevée puis accrochée, me voilà les bras tendus en l’air. On me décroche une cheville puis la raccroche rapidement, j’essaie de bouger mais la chaîne semble être passée autour d’un axe ou poteau, peut-être ce que j’ai touché avant. Durant ce temps, je sentais la main de S. qui était toujours posée sur moi, les deux par moment, plus dans l’esprit de me rassurer que de m’exciter. Puis sa main glissa de ma nuque à mes fesses, glissa dans le sillon et titilla ma rondelle. Je tendis immédiatement mon cul en arrière le plus possible. Elle se retira et une claque s’abattit sur mes fesses tendue, un petit cri m’échappa et des rires parvinrent tout autour de moi. Messieurs, le dessert est servi. Régalez-vous.
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Par : le 07/03/23
Je me sens balancée d’un coté à l’autre, le métal est froid, je lutte pour ne pas le toucher. A ce que j’estime être un feu rouge, j’essaye de me remettre correctement et surtout vérifier l’état de mon entrejambe que je sens en feu. A ma grande surprise les chaîne sont courte, impossible de me toucher l’entrejambe ou même l’épaule. Je suis privé de tout mouvement. Et je sens la voiture redémarrer et continuer son chemin sur une durée indéterminée. Du coffre il me semble entendre un changement de bruit sous les pneus. La voitures roule plus doucement, puis fini par s’arrêter. Je sens le stress monter d’un coup quand j’entends la portière s’ouvrir et se fermer. Quelques secondes, bien plus qu’il n’en faut pour venir au coffre, va-t-il me laisser là ? Je commence à paniquer, mais sans que je comprenne pourquoi cela m’excite encore plus. J’hésite à crier « orange » mais je me retiens, est-ce là un premier test pour voir comment je me comporte ? Le coffre fini par s’ouvrir, j’entends plus distinctement plusieurs voix masculine. Comment ça, on ne sera pas seul ? Je serai offerte à plusieurs homme que je ne connais pas et verrais peut-être pas ? Pourquoi ces chaînes sont si courtes, je dois calmer l’excitation qui monte et je l’espère ce stress lié. La porte de la cage s’ouvre, je suis tétanisée, ne bouge plus, mon cerveau s’est comme mis en mode sans échec, ne retenant que les informations essentiel. Un léger courant d’air frais, me fait frissonner et donne la chair de poule. Elle est jolie en effet. Pour combien de temps tu l’as ? Jusqu’à ce dimanche soir et elle semble très docile, aucune plainte durant le trajet. Tu vas te régaler, merci de nous avoir inviter en tout cas. Ces phrases résonnent dans ma tête, je ne sais plus quoi penser. Mais j’avais raison, c’était bien une sorte de premier test. Je sursaute presque quand je sens des mains frôler mes poignets. Les cadenas s’ouvrent, les bracelets également. Je ne bouge pas j’attends, est-ce que la cagoule me sera aussi retirée, mais aussi parce que je suis toujours tétanisée. Ah oui belle petite esclave, qui attends les ordres. J’ai été très clair là-dessus dans nos échanges et je suis ravis de les voir si bien respectés. Bien plus que la dernière en tout cas, peut-être est-ce le graal ? Tous éclate de rire, mes bras commencent à me faire mal et mes muscles ne demandent qu’à se reposer. Bien viens, sort ! Je ne me fais pas prier et sort, des mains m’aident, elles ne se ballades pas, elles sont juste là pour m’aider. Comme expliqué dans ses mails, je reste debout les bras croisé dans le dos. Une laisse m’est accrochée au collier et nous avançons, les graviers au sol sont désagréable pour marcher pieds nus, mais je me tais. Nous descendons des escaliers, l’air devient plus frais, presque humide. Puis je sens des lourd bracelets en métal posé, au bruits ils ont aussi des chaînes. Un bruit de porte métallique qui se ferme. Je viendrais plus tard pour le repas, repose-toi en attendant. Et les bruit de pas s’éloignent dans l’escalier. Je ne bouge pas, fatiguée et ne comprenant pas tout. Après un temps indéfini, je me décide à bouger et explorer ce qui m’entoure, tout d’abord mes attaches, puis-je me déplacer ? Les bracelet en métal lourd sont relié entre eux, idem pour ceux aux chevilles. Je peux donc me déplacer, à l’aveugle. J’avance à quatre pattes, le sol est de la pierre brut, froide, rugueuse, je dois faire attention à ne pas me blesser les genoux. Il me semble aller tout droit et arrive à un mur, tout aussi brut, je me relève m’appuyant contre. Le bruit de mes chaînes résonne dans cette pièce. Le mur est tout aussi dangereux que le sol, mieux vaut ne pas tomber dessus. J’explore à l’aveugle, je tombe sur un anneau accroché au mur environ à la hauteur de ma taille, un autre plus loin. Je me déplace, et arrive à la fin du mur. De me doigts je tâtonne l’air et tombe sur une barre de fer verticale. Je comprends, je dois être dans une cellule au sous-sol, d’où le bruit de porte métallique. Je fini le tour de ma cellule, elle semble vide à part ces anneaux accroché au mur. Mon excitation n’est pas redescendue, mon sexe demande toujours une jouissance. Mais je n’en ai pas reçu l’autorisation, je ne sais pas si on peut me voir. J’hésite, puis d’un doigt je vais vérifier son état, rapidement je sens qu’elle est très humide, c’est si bon de pouvoir se toucher. Je continue ou pas ? Ce n’est pas l’envie qui manque. J’arrive à me retenir, à contrecœur, mais je préfère. Je reviens me placer en face des barreaux et m’assied et j’attends. Je somnole, tant d’émotions en si peu de temps mon cerveau est lessivé. Je sursaute quand j’entends un trousseau de clef tinter proche de moi, la porte s’ouvre. Combien de temps est passé ? J’ai dormis ? En tout cas je n’ai pas entendu la personne arriver. Debout et tourne toi ! Je m’exécute, il me semble que je suis donc face au mur. Ma tête bouge, on m’ôte la cagoule, j’entrevois ce qui m’entoure, il y a peu de lumière du coup je ne suis pas éblouis. Des murs en pierre apparente, style château, du mortier blanc entre les pierres, je n’ose bouger la tête et examiner ce qui m’entoure. Je ne bouge pas, je sens une main, puis une brosse dans mes cheveux, on me coiffe ? Ca y est une queue de cheval, je suis encore plus perdue. Puis je sens une cagoule, mes cheveux sont tirés, la cagoule est placée, je sens et entrevois qu’elle est ouverte au niveau de la bouche, mais m’aveugle toujours autant. Les lacets sont tiré et noué, le collier serré et cadenassé, la liberté a été de courte durée. Mange tu vas avoir besoin de force pour après. J’entends un assiette ou plateau ripé sur le sol. Je m’agenouille, cherche en estimant d’où venait le bruit. Mes mains touchent un plateau, je découvre du pain, fromages et charcuteries. Repas simple, mais nourrissant. Une gourde fermée est également posée, je m’empresse de boire. Mais je n’ai pas entendu de bruits de départ ou de porte qui se referme. Il est toujours là, à la voix c’était S. j’hésite, je relève la tête vers sa position estimée. Merci Monsieur. Je ne l’attendais plus, je n’aurais pas tant de patience, ni mes autres invité, fait attention. Oui, pardonnez-moi Monsieur Ça ira pour cette fois, mange je viendrais te chercher en temps voulu. Je mange et bois maladroitement, avez-vous déjà essayé de manger les yeux fermé ? Essayez.
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Par : le 06/03/23
Le train ralentit, s’arrête. C’est un peu la cohue dans le couloir du wagon, les gens se bousculent pour prendre leur valise, passer. Moi j’attends, j’assiste à ce spectacle presque en ricanant, pourquoi être si pressé après tout. J’en profite pour réfléchir à ce qui m’attends, j’en frissonne, je sens mon entrejambe s’humidifier d’impatience même. Je dois vite penser à autre chose, n’ayant rien pour retenir cette humidité le siège et ma robe allaient avoir des marques. La tempête du débarquement est passé, je me lève, prend mon mini sac à main et descend. Le quai s’est bien vidé, je peux marcher à mon aise, je sens quelque regard se fixer sur moi, me suivre. Si seulement il savait que je ne porte rien dessous, j’hésite à relever ma robe pour leur faire voir et observer leur réaction. Seraient-ils gêné, encore excité ou simplement surpris. J’arrive enfin dans le hall et S. m’attends, comme promis, chemise, pantalon noir, bref simple et classe. Je me rapproche de lui, il me prend dans ses bras, mes instructions sont claires, à partir de maintenant je ne dois prendre aucune initiative sans lui demander la permission. Je le sers aussi, ses mains examine mon dos, pas d’attache de soutien-gorge, elles descendent vers mes hanches, pas de culotte. Tout en me prenant par les hanches il me décolle légèrement : Tu as fait bon voyage ? Oui, Monsieur, je n’ai pu m’arrêter de penser à ce que vous m’avez écrit. C’est bien, mais ce ne sera peut-être pas tout. En tout cas les instructions du voyage ont été respectée à la lettre, je te félicite de ça. Est-tu prête à suivre mes autres instruction ? Oui Monsieur. Et si cela va trop loin ou que tu es mal à l’aise que dois-tu faire ? Utiliser le SafeWord « Tracteur » et sinon le code couleur orange. Bien, alors suis-moi allons prendre la voiture. Et sans attendre ma réponse il part en direction des ascenseurs. Troisième sous-sol, la gare ne semblait pas être aussi pleine pourtant. Et en effet, l’étage est presque vide, seules quelques voitures et personne. Nous nous dirigeons vers un coins, les clignotants d’un gros 4x4 s’allume, il ouvre le coffre. Je reste étonnée de ce que je vois, comme une cage de transport pour les chiens, mais là pas de barreaux, des parois métallique rivetée qui semble lourde en plus. Bien, pour commencer tu vas enlever ta robe et la ranger ainsi que ton sac dans ce coffre, dont tu choisiras le code. Il me montre un petit coffre-fort comme dans les hôtels. Je rougis immédiatement, regarde autours, personne, regarde le plafond, pas de caméra, du moins me semble-t-il. Je pose mon sac, timidement enlève ma robe et la pose à côté. Rapidement je choisi un code et ferme le coffre. Je suis nue dans un parking, sans moyen de partir si ce n’est avec S. Allez monte ! Il ouvre la « cage » je monte sans me faire prier, au moins je serais cachée. Et là je sens des bracelets attachés à mes poignets et chevilles, je les examines, ils sont rattaché par des chaînes à la cage. Puis le noir, une cagoule avec uniquement des trous pour les narines m’est installée, fermée par un collier. Des *clic* m’indiquent la fermeture de cadenas, je suis tout à lui. Evidemment je mouille encore plus. Le coffre est refermé, la portière aussi et la voiture démarre.
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Par : le 01/03/23
*Arrivée en gare dans 5 minutes* Ça y est, c’est le début d’une nouvelle aventure pour moi, 1 week-end avec lui, un week-end oui mais pas habituel m’a-t-il dis. Au fait je me nomme Susie et laissez-moi vous raconter comment je suis arrivé à ce point de ma vie. Il y a plusieurs mois de cela j’ai été à un munch, un rendez-vous pour les amoureux du BDSM pour pouvoir discuter librement de tout et de rien et faire des rencontres. C’était une première pour moi, non pas le monde du BDSM mais rencontrer des pratiquants de ma région à visage découvert. Je voulais passer une étape, oser faire des choses en réel et avec quelqu’un. C’est lors de ce munch que j’ai rencontré S. un homme grand, brun de beau, yeux brun foncé. Il se présente comme étant un Maître ou Dominateur, habitant à plusieurs heure d’ici. Devant ma surprise de le voir ici, il m’explique que cela fait longtemps qu’il fait des munchs et du coup connait du monde un peu partout et c’est un moyen de les revoir. Bref le feeling est passé assez naturellement et on a commencé à bien discuter, nos vie, nos désirs et expérience, sur ce point il en avait bien plus à dire que moi. Le temps passe, et nous devons rentrer, avant de se quitter on s’échange nos numéro. Sur le trajet du retour je ne sais pas pourquoi je me sens étrange, comme si je venais de sortir d’un moment hors du temps. Parler avec un inconnu de mes envies, pratiques et expériences sexuelles et cela tout naturellement au milieu d’autres personnes, n’était pas normal pour moi. Et ce S. avait quelque chose de rassurant et attirant, et apparemment il était connu de certains présent donc il ne m’avait pas menti. Le temps passe, les messages et appels échangé aussi, on a eu quelques rencontre en chambres d’hôtels pour des jeux plus intime. Ma première impression était la bonne, un réel feeling existe entre nous, les moments intense sont entrecoupé de franche rigolade. Même attachée à sa disposition, je ressent de la bienveillance de sa part, de la douceur même quand ses mains claquent sur mon corps. Et enfin cet appel, il me demandait si je voulais venir chez lui passer des vacances inhabituelles. En lui demandant ce qu’elles auraient d’inhabituelles, je ne me doutait pas de sa réponse. D’abord surprise et presque choquée, je sentais cette envie intérieure et cette excitation monter en moi. Après quelques jours de réflexion je lui envoyait ce message « Ok pour moi » et les instructions qui m’ont amenées à cette gare ont suivies. Je ne vais pas vous dire tous les détails de ce qu’il m’a raconté, seulement que les instruction pour venir étaient clair, robe légère d’été, sans sous-vêtements, pas de valise, seul un petit sac à main pour les papiers et l’argents. Alors prêt à me suivre pour ces vacances inhabituelles ?
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Par : le 28/02/23
En route pour le restaurant, je ne sais pas pourquoi je te sens excité. Nous avons un peu de route et j’espère avoir une occasion d’en découvrir la raison. J’ai mis une belle robe longue noir, une petite jaquette sur mes genoux pour le retour, des sandales à talons haut et à ton ordre aucun sous-vêtements. Un maquillage léger, mes cheveux lissés me tombent jusqu’aux omoplates. J’ai également un petit sac à main vide à ta demande. Toi dans un beau complet noir, chemise blanche et cravate rouge. Arrivé sur l’autoroute tu souris de plus belle, me caresse la cuisse, me pose un rapide baiser sur la bouche. Ta main remonte et vérifie que je ne porte rien et que je suis déjà excitée. Lorsque tu retires la main dans un large sourire tu me dis : « Ouvre le vide poche, tu sauras quoi faire avec ce qu’il y a dedans. » Je ne réponds rien, intriguée et ouvre. Mes yeux s’écarquillent devant le contenu. Bâillon, menotte, Lush, collier fin en cuir de soumise et un masque type chirurgical. Je vous regarde : « Merci Monsieur » Je comprends votre excitation et ma place pour cette soirée. Et je comprends que je dois vous faire une entière confiance, mais allons-nous réellement au restaurant ? Je commence par prendre le collier : « Ai-je le droit de me l’installer Monsieur ? » « Très bonne question et réflexe. Pour cette fois-ci oui. Et par la suite plus un mot. » Je le saisi, l’installe presque fébrilement, une première pour moi. Je le sert assez pour qu’il ressemble à un tour de cou en espérant qu’il soit assez discret. Mes doigts le suive en revenant devant, joue un peu avec le petit anneau, automatiquement je me mords la lèvre inférieure, mon feu intérieur augmente de plus belle. Je sens des coups d’œil rapide de votre part, entre fierté et excitation. Le Lush est mon choix suivant, vous avez pensé à un petit flacon de lubrifiant. Quelques gouttes et il rejoint mon entrejambe, qu’il pénètre sans souci. « Allume-le ! » Sa petite vibration me surprend, comme toujours, et je retiens un petit cri de surprise. Le bâillon boule vient se loger dans ma bouche, il n’est pas énorme, mais juste ce qu’il faut pour être gênant. Je l’attache et prend bien soin de faire passer mes cheveux par-dessus, j’essaie d’être discret quand même. Le masque bien placé s’occupe de cacher le bâillon en lui-même. Dans le petit miroir du pare soleil je vérifie qu’il est bien invisible. Enfin les menottes, ce qui me fait le plus peur, car le plus visible. Je passe mes deux bras sous la ceinture et m’attache les poignets. Je sens toute liberté partie et entièrement mise à votre disposition. Vous placez ma jaquette sur mes poignets pour les camoufler et me placer mon sac dans la main. Je suis comme honteuse, le regard baissé. Vous m’observez, prenez ma tête et embrasser ma tempe. Me voilà soulagée et rassurée. Peu de temps cependant, nous sortons de l’autoroute et allons-nous garer devant le restaurant. Vous m’ouvrez la porte, m’aidez à me lever et me prennez par la taille pour rentrer. Il se trouve à la base d’un grand immeuble, dans une zone commerciale. Pas beaucoup d’habitants, mais de passage, entre les restaurants, bars et night-club la zone et plus vivante la nuit que la journée. Je sentais le stress monter, menottée, bâillonnée un collier de soumise, tout était caché, mais je me sentais comme à nue. Vous me guidez d’un pas sûr, je n’ai d’autre choix que d’avancer. A l’entrée vous déclinez notre identité pour connaître la table nous étant attitrée. Le Maître d’hôtel nous guidait, slalomant entre les tables, je craignais que ma jaquette tombe, heureusement en plus de cacher les menottes elle empêchait la chaîne de faire du bruit. Nous voilà devant notre table, proche des fenêtres, loin de l’entrée. Le Maître d’hôtel se proposa pour me soulager de ma jaquette, vous intervenez rapidement le remerciant d’un billet. J’ai eu la peur de ma vie, me trouvant paralysée quelques secondes par la peur. Vous me tirez la chaise, m’aidez à m’installer. Ce n’est qu’une fois les mains sous la table que vous installez ma jaquette sur la chaise. Assis en face de moi, vos yeux me transpercent, votre sourire est entre la joie et l’excitation. D’une main leste vous allez chercher un objet dans la poche révolver de votre veston. Vous me tendez une petite clef argentée, je l’associe immédiatement à mes menottes, que vous poussez au bord de la table devant moi : « Tu peux te libérer, mais en silence on est en public. » Le plus discrètement possible je récupère la clef, regardant autour de moi, que mes bracelets argentés, n’attirent pas l’attention. Soudain je dois retenir un gémissement, le Lush se met à vibrer, je vous vois l’air nonchalant sur votre téléphone. Je me concentre, entre retenir mon excitation, réussir à déverrouiller une menotte. Mon souffle augmente, je sens la bave commencer à bien humidifier mon masque, de petits gémissements s’échappe de temps à autre. J’arrive à me libérer d’une menotte, puis l’autre, je les sert contre moi ne sachant où les mettre : « Dans ton sac » Comme si vous aviez réussi à lire dans mes pensées. Fébrile entre les vibrations qui continue et ma situation de quasi-exhibition je les ranges le plus discrètement possible. Mais comment faire pour enlever le bâillon discrètement ? Je fais tout mon possible pour avaler ma salive silencieusement. Je vous regarde implorant « Oui tu peux aller te rafraîchir aux toilettes, il n’y a pas de souci. » Je suis soulagé, dans votre bonté vous me donnez la solution. Je me lève, prend mon sac et part me retenant car vous contrôlez toujours mon Lush. Tout s’arrête, je suis hors de portée, un instant de répit. Je vais dans une cabine, ôte rapidement le masque et le bâillon, range les 2 dans mon sac. J’en profite pour me soulager et remettre en place le Lush. Dans le miroir je me remaquille, vérifie qu’il n’y a pas de marque de bâillon sur mes joues, aucune parfait. Je reviens vers vous, marchant d’un pas plus assuré, fixant mes yeux dans les vôtres et soudain toute mon assurance s’évanouie, le Lush revibre. Je m’installe face à vous, vous me prenez une main, les vibrations sont aux maximums. Puis tout s’arrête, le serveur arrive avec les menus, vous posez votre téléphone. La soirée s’annonce belle.
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Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
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Par : le 09/01/23
Qu’y-a-t’il au bout des fils ? Des soumis évidemment Tous calmes et bien tranquilles Padrona est le tourment Fils de laine Gulliver ADN Uni-vers Pourquoi cela ? Nul ne le sait Pas tant que ça ELLE, elle sait Hommes sages Femme soumise L’émotion Est de mise
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Par : le 04/01/23
Au pays de l’émotion....   Il y a des gens, du soleil, des canapés, de la perversion, des vraies âmes. On part, on revient, toujours accompagné d'un sourire, pour partir comme pour revenir. Il y a aussi des rires, des larmes de joie, de révélation, d'éblouissement. Bruit des fouets, des cris et des pleurs, musique hypnotique aux lumières des bougies, transe et danse accompagnant deux femmes sublimes. Spectacle unique, magique, un privilège. Odeurs des bougies, du feu, et des pins. Saveurs......   Au pays de l'émotion, je suis allée. Et je ne veux pas rentrer chez moi...... Texte personnel, ne pas diffuser. 
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Par : le 18/10/22
Madame Wolf lui dit : — Si je peux vous donner un conseil, cher ami, c'est de garder Summer. Sans elle, cette fille fait n'importe quoi. Non mais, de quoi elle se mêle ? Je lui dis : — Dites, Madame... — Oui ? Tout le monde me regarde, je rougis. Et Sara, sa petite chérie, me dit : — Si tu laissais parler les grandes personnes ? Comme sur le toit du building ! Oh, celle-là, je vais la... et puis non, je m'en fous. Je murmure : — Sale garce ! Je me lève et je me dirige vers la porte. J'en ai marre ! Monsieur Sam dit : — Summer, intervient ! Aussitôt, elle vient vers moi, pour me prendre fermement par l'aisselle et l'épaule, comme elle a l'habitude de le faire. Elle me pousse contre un mur, puis elle approche son visage à deux centimètres du mien en disant : — Arrête de faire la gamine, sinon je te corrige devant tout le monde ! Elle a parlé assez bas heureusement. Je réponds : — Mais, je... je suis perdue... Je ne comprends même pas ce qu'on me veut. Est-ce que tout ça est vrai ? Je ne sais pas si je dois accepter. Qu'est-ce que je dois faire ? — Tu acceptes et tu demandes deux choses, d'abord moi, et ensuite de continuer à habiter dans la maison de Malibu. — Mais... Elle me serre méchamment le bras en disant : — Non, Ashley, pas de mais. La seule chose que tu as le droit de dire c'est "Oui Summer". Vas-y. — Oui... Summer... Un "mais" me brûle la langue, mais... je me tais et je me frotte le bras. Summer ajoute : — Va t'excuser. Elle m'amène devant le groupe qui discute. On nous regarde et je dis : — Excusez-moi, mais... tout ça est tellement inattendu et... Summer me dit : — Excuse-toi poliment auprès de Sara. C'est la deuxième fois que je m'excuserai ! Je lui dis : — Excusez-moi, Mademoiselle, je suis un peu perdue et... Elle a un petit geste désinvolte comme pour chasser un insecte. Monsieur Sam s'adresse au Président : — Vous voyez, Summer est indispensable. — D'accord, on l'engage. Et là, je surprends un échange de regard entre Monsieur Sam et Summer... Je crois qu'ils savent très bien ce qu'ils font : Summer, Monsieur Sam, Madame Wolf, Sara... Ils veulent que le Président engage Summer... pour quelle raison ? Je ne sais pas, mais, moi, ça m'arrange. Je dois avouer que même quand Summer m'oblige à faire quelque chose, ça me plaît. Je ne parle pas du saut à l'élastique ! Ils parlent encore de choses et d'autres, moi je colle Summer, comme à mon habitude. Le Président me dit à nouveau : — Alors Ashley, on se marie ? — Oui, avec plaisir... mais il y a deux choses que je voudrais : Summer et pouvoir continuer à aller dans la maison de Malibu. — Summer, je viens de l'engager, quant à la maison... Il se tourne vers Sam qui lui dit : — C'est la maison de Leyssens, on y a été ensemble. Il est en Thaïlande. — Ah oui, je m'arrangerai avec lui. C'est d'accord pour que tu habites là quand tu n'es pas à la Maison-Blanche. Je me lève pour aller l'embrasser. Monsieur Sam me dit : — Il y a quelques documents que tu devrais signer. C'est l'homme grisonnant qui me les apporte. Je les signe sans les lire. Je fais confiance à Monsieur Sam. Depuis que j'ai assisté à la punition des filles, j'ai un peu le feu au cul,  comme on dit, dans ma campagne. Je voudrais Summer ou un mec costaud et hétéro (non, pas le Président). Justement, il me dit : — On va aller dans la chambre, il y a une petite surprise pour toi. Quoi ? Un yacht, un brillant ? On monte et dans la chambre, il y a Tex, mon beau Texan. On s'embrasse et je dis au Président : — Juste ce qu'il me fallait après avoir vu les filles fouettées. John rit et nous dit : — Je vous laisse, j'ai du travail. Je viendrai vous chercher pour le petit déjeuner, demain matin. Là, je veux quand même une explication. Je lui demande : — John, voulez-vous bien venir trois minutes sur la terrasse? — Oui, bien sûr. On sort et je lui dis : — S'il vous plaît, expliquez-moi. — J'aime les femmes volages, surtout s'il s'agit de ma future femme. Je suis excité à l'idée que ma femme se fait trousser dans la chambre à côté de la mienne. Tu comprends ? — Oui. Non, mais ça ne fait rien, tant que je peux m'envoyer en l'air avec Tex. Il m'embrasse... sur la joue et il sort de la chambre en disant : — Bonne nuit, les amoureux J'enlève ma robe... Tex me dit : — C'est dingue, tu vas devenir la première dame. — Il paraît, mais je n'ai pas envie que tu me baises comme si j'étais la future femme du Président. Il comprend ce que je veux dire. Il me donne une bonne claque sur les fesses en disant : — À poil, petite salope ! Ouiii, c'est ça... J'enlève ma robe... On s'enlace, on s'embrasse, on se renifle, on se lèche. Il me dit : — Mets-toi à 4 pattes, je vais te monter. — Oh ouiii !  Après avoir baisé et joui, on s'endort dans les bras l'un de l'autre... *** Le lendemain, je me réveille et dans la pénombre, je vois le Président assis dans un fauteuil. Il me sourit et dit : — Bonjour Ashley. Ton Texan t'a bien baisée ? — Comme une reine ou plutôt comme une pute. Il rit. Je fais rire le Président des États-Unis... Tex se réveille et se lève. Il salue le Président, la bite à l'air, puis il va ouvrir les volets. Je me lève, on est tous les deux nus. J'embrasse Tex en disant : — Bonjour mon chéri. Oui, j'ai compris que c'était ce qu'il voulait, le Président ! On s'enlace... mais sans s'embrasser, ce sera après le lavage des dents. Le Président semble fasciné par le spectacle de sa future femme nue dans les bras d'un autre homme. Summer lui dirait "ferme la bouche, on va déjeuner". Je vais lui faire comprendre : j'enfile ma robe et je lui dis : — J'ai faim... — Oui, moi aussi, on descend... Tex me prend par la taille, tandis que le Président marche derrière nous. Franchement, cette situation est tellement bizarre que j'ai encore un doute. Qu'il soit le vrai, c'est sûr. Personne ne ferait une blague aussi énorme... C'est plutôt que je doute qu'il m'épouse... Bah, j'aurai pris du bon temps ! Dès qu'on arrive dans la salle du petit déjeuner, des hommes viennent à notre rencontre. Certainement des gardes du corps. Ils sont suivis par une jolie femme dans la trentaine. Elle nous dit : — Bonjour Monsieur le Président, bonjour Mademoiselle. Le Président me dit : — Voici Madame Conway, elle sera... ta secrétaire. On se serre la main. Qu'est-ce que je vais faire avec une secrétaire, moi ? Elle est jolie, c'est une brune aux yeux clairs, mais bon, j'ai ce qu'il faut à la maison. On va s'asseoir à une table. Des serveuses apportent du café, des crêpes et pour moi, des oeufs aux lards avec des patates. Ils sont vachement bien renseignés sur mes goûts. Monsieur Sam a dû leur en parler. Le Président me dit : — Madame Conway te mettra au courant. Puis à elle : — Comme je vous l'ai dit, je vais épouser Mademoiselle Stirland. — Toutes mes félicitations, Monsieur le Président. Elle est très belle. Peut-être vêtue d'une façon un peu révélatrice pour une première dame... On rit... C'est vrai, je suis nue sous ma robe transparente de sex shop.  Il répond : — Oui, c'est exceptionnel. Je dois y aller. Termine ton petit déjeuner, Ashley. Madame Conway te déposera où tu veux. Il m'embrasse sur la joue et s'en va, suivi de ses gardes du corps. Je mange mes oeufs et, entre deux bouchées, je dis à la femme : — Vous savez, je continue à me demander pourquoi le Président m'a choisie. — Oui, je comprends que vous soyez un peu perdue. Il a besoin d'une très jolie épouse pour faire taire les rumeurs sur ses... moeurs. Et aussi pour ses voyages à l'étranger. Paris, Tokyo... Je vous expliquerai tout ça. Fin de la troisième partie. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages, 81 dessins + « Les vacances de Mia » 35 pages, 14 dessins de Bruce. Vous allez passer de super moments pour 10 € via paypal à : leslivresdemia@gmail.com Vous les recevrez directement sur votre mail.
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Par : le 18/10/22
Dans le sport, être traité d’amateur n’est pas un compliment, dans le milieu du travail non plus. Pourtant, il y a un domaine où je trouve que les amateurs ont plus de valeur que les pros, c’est le BDSM. Pour ma part, je n’ai eu de contacts qu’avec des pros et cela me frustre au plus haut point de ne pas avoir connu de relation avec une dominatrice non vénale. Croiser le chemin d’une femme dominatrice qui ne fait ça que pour son propre plaisir, c’est pour moi, le GRAAL absolu. Attention, je ne critique pas les pros, bien au contraire. Sur toutes celles que j’ai rencontré, beaucoup m’en ont donné largement pour mon argent. Pas toutes, mais la plupart. Pratiquer en confiance et en sécurité est un vrai luxe car il permet de se lâcher vraiment. C’est toute la valeur des pros. Elles connaissent très bien leur métier et savent parfaitement s’arrêter quand cela va trop loin. Le fait qu’elles ne soient pas sous l’emprise de leurs pulsions, qu’elles travaillent justement pour l’argent, leur donne le recul nécessaire pour pratiquer en conscience et en sécurité. Tant mieux pour nous, car parfois, la passion pourrait nous faire dépasser nos limites. Mais la pro ne remplacera jamais la rencontre avec la vraie amatrice de BDSM. Amatrice au sens noble du terme, qui, comme le dit mon dico, « cultive un art, une science, pour son seul plaisir ». Cette rencontre entre « amateurs » n’est évidemment pas aisée à provoquer pour les pratiquants, en tout cas pour moi, alors je me dis que cette quête fait partie intégrante du BDSM. Il faut prendre ça comme une partie du jeu, avec la souffrance et la frustration que cela provoque. Une chose est sûre, c’est peut-être le jeu le plus douloureux qui soit dans le BDSM !! Je me demande si nous sommes nombreux à chercher le GRAAL sans le trouver ?
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Par : le 14/08/22
Je suis reconduit dans la salle des animaux de compagnie. En entrant, je remarque que la cage que j'avais occupé est déjà prise. Maitresse Julia observe les cages vides et m'en désigne une en bas de la pyramide. - "Là". J'obéit et rentre dans la cage désignée à 4 pattes. Maitresse Julia me dit de me retourner pour pouvoir la voir. Tant bien que mal, je me tortille pour me retourner. Elle me demande de m'approcher et referme la cage sur ma tête. Je me retrouve donc à 4 pattes avec ma tête qui dépasse de la cage sans aucune possibilité de mouvement. -" Voilà, je te dis a demain. Passe une bonne nuit." Sur ces paroles, Maitresse Julia sort de la piece en me laissant dans cette position inconfortable. La nuit qui suit est très difficile. Je ne peux pas bouger, encore moins dormir. J'ai froid et je suis affamé. Durant la nuit, (ou dans la soirée, je ne sais pas), je sens soudain un liquide me couler sur le dos. Je comprends en quelques secondes que la soumise enfermée au dessus de moi s'est soulagée dans sa cage, et donc sur moi. Intérieurement, je la remercie de s'être contentée d'uriner... Au milieu de la nuit, une dom équipée d'un gode ceinture entre pour chercher la soumise pisseuse. Avant de la faire sortir de sa cage, elle approche son gode de ma bouche et me força à lui faire une fellation en gorge profonde. Apres quoi, elle sort sa prisonnière de sa cage et s'en va sans un mot. Ce fut le seul événement de la nuit. Au matin, Maitresse Sylvia vient me chercher, me libére de mes contraintes et m'accompagne dans la pièce d'accueil. -" Votre séance de soumission est terminée. J'espère que vous l'avez apprécié. Avant de partir, nous vous avons préparé une chambre pour vous reposer et manger un peu. Montez par ici, et allez à la chambre 12. Reposez vous. Vous avez accès à la chambre pour 3h maximum. Nous espérons vous revoir bientôt". Elle me rend mes affaires, je peux enfin m'habiller et me réchauffer. En arrivant dans la chambre, je vois un petit lit avec couverture et une table avec 2 sandwichs triangle. C'est sommaire mais largement suffisant. J'engloutit les sandwichs et tombe épuisé sur le lit, ne pensant même pas à fermer la porte de la chambre. Je me dis que je reviendrais sûrement ici mais comme dom cette fois-ci. Je n'ai pas le temps de réfléchir plus longtemps, je tombe dans un sommeil réparateur bien mérité. FIN Ce chapitre termine cette histoire débutée il y a presque un an maintenant. J'espère que vous l'avez appréciée. Je n'ai pas une belle plume, (je suis très mauvais en rédaction), je n'écrirais donc pas de suite. Mais si l'un ou l'une d'entre vous souhaite poursuivre mon histoire, je vous laisse totalement libre dessus, et je la lirais avec plaisir. Merci pour vos commentaires durant ces 16 chapitres !
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Par : le 04/07/22
Soudain, Maitresse Julia me tire la tête en arrière. Je vais lui demander la raison de cet acte inattendu juste avant que l'autre soumis ne m'éjacule dessus. Grâce à la réactivité de Maitresse Julia, j'évite de justesse l'éjaculation bucale que je redoutais. Je reçois donc du sperme sur le menton, le cou et le haut du torse. Rassuré mais un peu dégoûté par le liquide chaud qui me coule dessus, je recule de quelques pas. Maitresse Julia me regarde quelques instants, puis comme elle semble satisfaite, elle fait un signe de tête au maître et me tire hors de la piece. Une fois dehors, elle me dit sans me regarder : - "Ca suffit pour aujourd'hui. Je t'emmène faire ta toilette puis je te montrerais ton dortoir pour la nuit". C'est à ce moment là que je me rend compte que je n'ai toujours pas mangé depuis que je suis arrivé dans ce lieu. Elle m'entraîne dans le couloir vers une nouvelle porte sur laquelle est écrit : "Salle de bain". Elle me pousse à l'intérieur et se dirige vers le coin de la pièce. C'est une pièce comme les autres, assez sombre, dénué de mobilier avec une ampoule et fils apparents pour tout éclairage. Maitresse Julia m'enleve les bracelets qui entravaient mes poignets et mes chevilles mais me laisse le collier au cou. Elle prend un tuyau d'arrosage qu'elle utilise pour m'asperger tout le corps. Le froid de l'eau me gèle les os et la pression du jet me plaque au mur. Après m'avoir bien aspergé partout, Maitresse Julia arrête l'eau. Je m'attend à ce qu'elle me donne une serviette mais elle se contente de rattacher la laisse à mon collier et une cage de chasteté à mon pénis qui à retrouvé sa taille d'origine. - " Maintenant, je vais te ramener dans ta cage pour la nuit et demain tu pourra partir". -" J'ai très faim, serait il possible d'avoir quelque chose à manger ?" - "Je ne sais pas si tu le mérites". -" S'il vous plaît Maitresse. J'ai subi toutes vos tortures sans rien dire" - "Ose me dire que tu n'as pas aimé" Je ne répondis pas. -"C'est bien ce que je pensais. Maintenant, tu vas rentrer là jusqu'à demain" A suivre...
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Par : le 20/06/22
Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte. - " Entrez" répond une voix d'homme. Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début. Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête. J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi  : - "Suce le" Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement. -" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire. Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter : -" Toi aussi !" Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre. Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul. - "c'est à toi que je parle, petite lopette." En même temps, je sens que Maitresse  me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse. A suivre...
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Par : le 10/06/22
Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques ! Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris : - "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors  vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche. - "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus". Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche. Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent. - "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises". Encore au sol, je répond à voix basse : -" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie". -" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens". Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ? A suivre...
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Par : le 02/06/22
Je n'imaginais pas que se faire sucer par une femme était aussi agréable ! Cette séance de fellation a duré environ 15 minutes. Une fois la séance de plaisir terminée, Maitresse Julia me fait descendre de la table et m'emmène vers un autre bout de la pièce. Toujours aveuglé par mon bandeau sur mes yeux, je butte contre une barre de fer. - "Monte dessus" m'ordonna Maitresse Julia. A tâtons, en tendant les mains devant moi à l'aveugle, je monte sur une sorte de structure en fer. Maitresse Julia  positionne mes jambes et mes bras de la meilleure façon. Elle me plaçe à 4 pattes et m'immobilise avec des lanières aux genoux, aux chevilles, aux bras et aux poignets. Maitresse Julia me laisse seul un moment. Puis, je l'entend revenir et s'approcher de moi. Je sens qu'elle manipule mon sexe et y accroche deux bracelets en cuir : l'un à la base du scrotum et l'autre autour du pénis. Je me dis qu'elle les utilisera pour tirer un peu dessus pour m'exiter... Ah, si seulement j'avais eu raison ! Maitresse Julia tourne autour de moi et me caresse les fesses. - "C'est qu'il a un joli petit cul en plus ! Mais je le trouve un peu pâle, je vais devoir corriger ça". Incapable de bouger, je ne sais pas ce qu'elle prépare. Je sens seulement un coup de fouet sur mes fesses. En quelques coups, la douleur est déjà forte. Je me retiens pour ne pas crier car je ne veux pas montrer que je souffre. Sans doute, parce que je veux que ça continue. Lorsque les coups s'arrêtent, je suis soulagé intérieurement. J'avais très mal mais je ne voulais paraître faible à supplier ma Maitresse. Cela lui aurait fait trop plaisir. Je n'ai malheureusement pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car je sens que Maitresse Julia s'est mise à me sodomiser avec un gode-ceinture. Rapidement, j'ai autant mal sur le cul que dedans. Mais qu'est ce que c'est bon ! A suivre...
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Par : le 20/05/22
J'entends Maitresse Julia s'éloigner, puis revenir vers moi. Je sens alors une cravache partir de ma nuque et descendre le long de mon dos. Je suis surpris de cette caresse, mais en arrivant au niveau de mes fesses, Maitresse Julia me frappe violemment. Je ne peux retenir un cri de surprise. -" Ça t'as surpris ? Parfait. À partir de maintenant, tu vas compter les coups. T'en aura 10 pour commencer." Le premier coup tombe. - 1... - 2... - 3... Les coups de cravache se succèdent et la douleur s'intensifie à chaque nouveau coup. Je commençe à sentir les larmes monter. J'ai de plus en plus mal et Maitresse Julia doit s'en apercevoir car elle commence à espacer les coups. Après le dixième coup, Maitresse Julia s'arrête et me laisse respirer un instant. - "Tu as aimé ?" me demande t elle - " Oui maitresse. Merci maitresse." répondis-je entre deux sanglots. - "Très bien. Tu as été sage jusqu'à maintenant. Je vais t'accorder une petite récompense. Après, on reprendra la punition". J'entend Maitresse Julia donner un coup de cravache dans la table. Quelques instants plus tard, je sens quelque chose me caresser le sexe. Il y a quelque chose sous la table ! - "J'ai oublié de te dire que nous n'étions pas seul. Il y a sous la table une autre petite pute comme toi qui n'a pas été sage. Tu fais partie de sa punition. SUCE !" Je sens alors les caresses s'intensifier. Il me faut quelques secondes pour ordonner mes idees et mettre des mots sur ce qu'il m'arrive. Je ne m'en était pas aperçu mais mon sexe n'avait pas été écrasé contre la table lorsque j'ai été installé dessus. Il y avait un trou dans la table afin que mon sexe pende sous la table. Pour résumer la situation, je suis nu, attaché sur une table, le cul rouge comme une tomate, à me faire sucer la bite par une personne que je connais pas ! C'est une situation particulière mais j'avoue que j'aime ça ! A suivre...
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Par : le 28/04/22
Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé. Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau. - "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu." Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote : - Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ? N'obtenant aucune réponse, je répète ma question : - "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu". Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond : - il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros" - "Mais il fait noir ici". - "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là". Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre... A suivre...
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Par : le 21/03/22
Et si vous tentiez le Edging ? Encore un mot anglais à ajouter a votre vocabulaire sexuel. Prenons la définition de Monsieur Wiki : (anglicisme) (sexualité) Technique sexuelle consistant à s’approcher de l’orgasme puis à ralentir pour maintenir cet état de plaisir intense un certain temps avant d’accélérer et de procurer un orgasme plus fort Je pense que cette définition est assez compréhensible non ? Le but est simple, vous excitez votre partenaire jusqu’au point ou l’orgasme se pointe, mais vous stoppez ou ralentissez afin que l’excitation redescende, mais pas trop !Le/la maintenant ainsi dans un état de plaisir pour qu’il/elle en profite. Un état d’excitation extrême. Puis vous ré-attaquez pour qu’au moment de l’orgasme, la sensation de plaisir soit multiplié. Tout un programme, n’est-ce pas ? Le edging peut avoir différents noms : Peaking, surfing, orgasm training ou orgasm denial. Malgré ses nombreuses appellations, la pratique est la même et est valable pour homme et femme. Ne pas confondre avec le Milking dont je parlerai prochainement. En théorie, ça à l’air super, mais ce n’est pas si facile de se retenir quand on est dans cet état de transition entre plaisir et l’envie de se laisser aller. D’autant plus quand on y joue à deux. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeu-pour-couple-le-edging/
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Par : le 19/02/22
Bonjour. Après de nombreux jours d'hésitation timide et de lecture du site de manière furtive, j'ai décidé de me lancer et de prendre la plume. J'ai envie de partager avec vous mes histoires, qu'elles soient fantasmées ou non, et j'ai hâte d'avoir vos avis sur cette toute première publication, première partie d'un récit qui je l'espère en comptera beaucoup. Bonne lecture et à vos plumes. ********************************************************************************************************************************************* Il est 18heures. Tu rentres du travail, ta journée était fatigante mais tu as hâte de retrouver ton homme. Les enfants sont chez leurs grands parents et tu sais que vous aurez le champ libre. Tu t'appelles Amandine, tu mesures 1m50 pour 50 kilos, et ton décolleté avantageux fait souvent baisser le regard des hommes qui admirent ce 95D en le convoitant sans même se cacher et qui finissent par se retourner après ton passage pour reluquer ton cul bien sculpté qui se balance de droite à gauche. L'excitation que tu lis dans les yeux de ces inconnus est la même que celle que tu lis dans le regard de ton mari. Tu fais tout pour lui plaire et aujourd'hui tu as sorti le grand jeu. Tu as mis les bottes en cuir noir qu'il aime tant par dessus les bas qu'il t'a offert. Sous ta jupe, un porte-jarretelle et un string sont assortis et tes seins protégés par un mince bout de dentelle, noire également. Ton chemisier est négligemment plus ouvert que d'habitude au moment ou tu franchis la porte de la maison. Tu t'arrêtes un instant, fixe l'escalier puis referme la porte. A double tour. La maison est plongée dans le noir, hormis l'escalier éclairé par des bougies à l’extrémité de chaque marche. Tu suis le chemin qu'elles dessinent, t'emmenant au salon au milieu duquel un lit a été installé. La pièce est silencieuse. Tu ne vois personne. Tu t'avances jusqu'au lit et y découvres un petit mot sur lequel est écrit : "Je t'ordonne de m'attendre à quatre pattes sur le lit vêtue uniquement de tes dessous et de ce bandeau". Ton regard, qui commence à s'habituer à la pénombre, remarque alors le bandeau posé sur le lit, et avant même de te déshabiller, tu t'en saisis et le place sur tes yeux. Tu sais que ton homme va faire de toi sa chose et le désir commence à s'installer au creux de ton ventre. Après avoir jeté au sol ta jupe et ton chemisier, tu te débarrasses de ton string mais garde tes bottes. Tu sais que ton homme apprécie quand tu es offerte et accessible, et que la vue de tes pieds ainsi apprêtés le rend fou. Tu t'installes à tâtons sur le lit, à quatre pattes, en prenant bien soin de cambre ton dos et exposer tes orifices au maximum. Tu sais qu'il est là, qu'il t'observe. Tu n'as l'as pas vu mais tu sais que la vision de sa chose dans cette tenue, cette position, ont déclenché chez lui une érection puissante que tu te languis de découvrir. Tu l'imagines, en jean noir près du corps, avec une chemise dont le dernier bouton rend le haut de sa poitrine accessible. Tu imagines ses bras musclés, qui, du haut de ses 1.80 t enserrent et te soulèvent. Tu imagines surtout sa queue, dure, longue, et tout ce que tu as envie de lui faire. Le désir a basculé du creux de ton ventre vers tes extrémités et tu sens que le moindre contact pourrait déclencher chez toi une jouissance insoupçonnée. Après des minutes qui te semblent interminables, plongée au cœur de tes rêveries aussi douces que brutales et puissantes, tu finis par entendre des bruits de pas. Tu l’entends prendre son temps. Il fait le tour du lit, t’observe, te scrute et tu imagines son regard, fort et intense quand tu lui appartiens. Tu n’as qu’une envie : être à lui. Pleinement, entièrement. Tu as envie qu’il s’occupe de toi, de tout ton corps, tes sentiments se mêlent et tu sais qu’il peut se montrer le plus doux des maris comme le plus inflexible des maitres, pour ton plus grand plaisir. Il prend son temps pour t’observer puis soudain, les pas cessent …
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Par : le 13/02/22
Texte personnel, ne pas diffuser sans mon autorisation. Photo @Dame Sweet  ***************************************************************************** Monsieur gère mon emploi du temps. Nous sommes mardi, tous les mardis Il m'élargit, me sodomise. Profondément, avec force, sans oublier une certaine technique. Il arrive, immense dans l'encadrement de ma porte, descend les quelques marches S'installe dans le fauteuil Regarde la tenue qu'Il a souhaité que je porte Sans un mot, Il ouvre son zip et je le prends en bouche : c'est notre rituel. Rien ne se passe, pas un mot, pas une caresse, pas une salutation, avant ce moment précis. "Bonjour pute" dit-il. Vas-tu bien ce mardi ? Son sexe en bouche, je hoche la tête pour dire oui. Je savoure ce moment où je ne sers qu'à ça, à Lui. Un objet. Fonctionnel. Je me concentre sur Lui, Le prendre, arrondir les lèvres, pour Lui, que pour Lui. "Arrête, pute, c'est assez maintenant" Je me redresse, un filet de bave descend sur mon menton. Je ne sais pas quoi faire, que va-t’ Il décider pour la prochaine minute ? Un câlin, enfin. Qui fait du bien. Un contact humain, qui me nourrit. "Monte l'escalier devant moi, arrête-toi sur la première marche." Je m'arrête, Il écarte mes jambes avec son pied. Me fouille, installe Ses longs doigts dans mon sexe, mes orifices, tous mes orifices. Plusieurs doigts. "C'est bien, monte maintenant" Et je monte ainsi l'escalier, tenue bien fermement par mon intimité. Plusieurs doigts. Déjà un peu pleine de Lui. Cette prise étroite et profond me rassure, m'apaise. Et Il le sait. Il me dirige par le sexe, avec ses doigts, me fait arrêter sur le palier après quelques marches. "Bras sur le mur" Je m'exécute, évidemment. Il est en moi, avec ses doigts, preuve évidente de mon appartenance. Et je trouve ça normal, vu que mes orifices sont à Lui. Il me travaille avec ses doigts, encore et encore, entre et sort. "Jouis pour moi, pute, quand je te dirais" Bien Monsieur Que faire d'autre ? Echevelée, hypnotisée par ce qui se passe, par cette perversion que je vis, je suis stupéfiée de moi, d'aimer cette dépravation, cette souillure, cette luxure. "Jouis. Maintenant", dit-Il en accélérant le rythme Je hurle et jouis, je coule sur le sol en une flaque, témoignage de mon plaisir. Comment faire autrement ? Dès qu'Il passe la porte, j'ai envie de ça, de m'oublier et devenir cette part sombre de moi-même.
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Par : le 25/01/22
Elle m'a détaché rapidement et m'a appuyé sur la tête pour me forcer à lécher mon foutre sur ses chaussures. Sans réfléchir, je me suis allongé et commencé à lécher mon propre sperme. - "Nettoie bien, il faut que ça brille, petite salope" Je m'appliquais du mieux que je pouvais. - "Maintenant, dégage, je ne veux plus te voir ! " Tête baissée, je me suis dirigé vers un coin de la pièce. -" Je ne t'ai pas dit d'aller au coin, espèce de puceau de merde. Je t'ai dit de dégager ! Dehors ! Reprend tes affaires et dégage ! Et si je te revois, je te promets que tu vas le regretter". Ouch, je ne m'attendais pas à ça. Tout penaud, je me suis levé et me suis dirigé vers la porte. De l'autre côté, Maitresse Sylvie semblait m'attendre. Comment pouvait-elle savoir ? Sans un mot, elle m'a ramené au casier où j'avais laisser les affaires. Je tentais de ma rhabiller mais Maitresse Sylvie me pressait et me frappait de son fouet pour que je me dépêche. Elle m'a poussé dehors et a claqué la porte derrière moi. J'étais donc en caleçon, dans la nuit, à 2h de chez moi. Je terminais de m'habiller à la hâte et rentrais chez moi en repassant dans mon esprit cette étrange soirée. De nombreux sentiments se mélangeaient dans ma tête. D'abord la joie d'avoir réussi à dépasser mes craintes, la satisfaction des punitions que j'ai reçu mais aussi l'incompréhension face à la réaction de Maitresse Lucy et la crainte de représailles comme l'interdiction definitive de revenir. Car mine de rien, j'avais beaucoup apprécié cette soirée même si les marques que j'avais reçu me faisaient encore mal. Je suis arrivé vers 2h du matin chez moi. Sitôt arrivé, je me suis effondré sur mon lit et me suis endormi assez vite tout en repensant à cette nouvelle expérience... Fin de la partie 1 --------------------‐---------------------------------------------------------------- Ce chapitre est le dernier de la partie 1. J'attends impatiament vos retours et commentaires sur cette partie. Voulez vous la partie 2 ? Qu'aimeriez vous y lire ? Des idées à me proposer ?
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Par : le 26/12/21
Maitresse Lucy m'a désigné une croix de Saint Andre. Je m'en suis rapproché. Elle m'a retiré les menottes aux poignets et les a attaché à la croix. J'étais donc le ventre contre la croix à offrir mon dos et mes fesses au premier venu. Après m'avoir bien attaché, Maitresse Lucy est partie dans mon dos de facon à ce que je ne puisse plus la voir. Je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver. - " Tu es novice, je crois, donc je vais y aller doucement pour commencer" - "Merci Maitresse" Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je commençais à être excité quand même. Un premier coup de fouet s'est abattu sur mon dos : mélange de surprise et de douleur. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Tu aimes bien ?" - "Oui maitresse" - "Très bien, continuons". Les coups ont continué de pleuvoir sur mon dos pendant plusieures longues minutes. La douleur était de plus en plus forte et le plaisir aussi. Je sentais mon sexe se redresser mais la cage empêchait toute érection. Au bout d'un moment, Maitresse Lucy m'a délivré et m'a poussé vers un autre coin de la pièce. Elle m'a désigné un morceau de bois suspendu au plafond. - "Met ta tête et tes mains ici" Je me suis executé sans discuter. Maitresse Lucy a posé un autre morceau de bois au dessus de ma tête, m'immobilisant complètement. - "J'ai commencé gentiment, maintenant on va passer à la vitesse superieure". - "Comme vous voulez, maitresse" - "Dis donc, tu es très poli, c'est bien" - "Merci maitresse" - " Mais ça ne va pas durer" Immobilisé dans le carcan, je ne pouvais pas bouger. J'ai senti alors un liquide froid dans le bas de dos, vers mon anus. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Ne t'inquiètes pas" m'a dit Maitresse Lucy. C'est pour que tu es moins mal. A suivre..
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Par : le 12/11/21
Maitresse Sylvie m'a conduit vers une grande porte. Elle l'a ouverte et m'a forcé à entrer. Dans cette pièce se trouvait, contre le mur, une grande cage, comme une cellule, toute en longueur. Elle devait bien faire 7 mètres de long mais seulement 2 mètres de large. A l'intérieur se trouvaient plusieurs personnes, debout, nues pour la plupart. Maitresse Sylvie me tira vers la porte de cette cage collective. - "Rentre là dedans !" m'a-t-elle ordonné en décrochant la laisse du collier et me poussant à l'interieur. "Ici, interdiction de s'asseoir ou de parler à qui que ce soit. Baisse la tête et attends qu'on vienne te chercher." Elle a refermé la porte derrière moi et s'en ai aller sans se retourner. Je me suis retrouvé donc dans cette cage avec d'autres personnes. Je pris un moment pour observer mes compagnons de cellule. Il y a avait des hommes et femmes nus, en harnais noir pour certains, en combinaison latex pour d'autres. Ils regardaient tous le sol sans prêter attention à mon arrivée. J'avançais lentement dans la cellule, mes menottes me gênaient et faisaient du bruit à chaque mouvement. Au fond de la cellule se trouvait une soumise menottée aux barreaux, le dos rouge, marqué par de nombreuses marques sans doutes faites par un outil particulièrement douloureux. Je me suis collé contre le mur en me demandant comment j'avais pu en arriver là et surtout ce qui allait arriver ensuite... A suivre...
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Par : le 30/10/21
Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler. Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune. - Bonjour, ais-je dis timidement. -Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle  répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ? - Xavier -Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie. Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte. - Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes. J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation. Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi. La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite. Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc. Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue. - C'est bien, vous êtes efficace à ce que je  vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête. Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté : - Allez ! Plus vite que ça ! Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles. - Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné. Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse. D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques". - Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis. - Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ? C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte... A suivre...
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