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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Soudain, Maitresse Julia me tire la tête en arrière. Je vais lui demander la raison de cet acte inattendu juste avant que l'autre soumis ne m'éjacule dessus. Grâce à la réactivité de Maitresse Julia, j'évite de justesse l'éjaculation bucale que je redoutais. Je reçois donc du sperme sur le menton, le cou et le haut du torse. Rassuré mais un peu dégoûté par le liquide chaud qui me coule dessus, je recule de quelques pas. Maitresse Julia me regarde quelques instants, puis comme elle semble satisfaite, elle fait un signe de tête au maître et me tire hors de la piece.
Une fois dehors, elle me dit sans me regarder :
- "Ca suffit pour aujourd'hui. Je t'emmène faire ta toilette puis je te montrerais ton dortoir pour la nuit".
C'est à ce moment là que je me rend compte que je n'ai toujours pas mangé depuis que je suis arrivé dans ce lieu.
Elle m'entraîne dans le couloir vers une nouvelle porte sur laquelle est écrit : "Salle de bain". Elle me pousse à l'intérieur et se dirige vers le coin de la pièce. C'est une pièce comme les autres, assez sombre, dénué de mobilier avec une ampoule et fils apparents pour tout éclairage. Maitresse Julia m'enleve les bracelets qui entravaient mes poignets et mes chevilles mais me laisse le collier au cou. Elle prend un tuyau d'arrosage qu'elle utilise pour m'asperger tout le corps. Le froid de l'eau me gèle les os et la pression du jet me plaque au mur. Après m'avoir bien aspergé partout, Maitresse Julia arrête l'eau. Je m'attend à ce qu'elle me donne une serviette mais elle se contente de rattacher la laisse à mon collier et une cage de chasteté à mon pénis qui à retrouvé sa taille d'origine.
- " Maintenant, je vais te ramener dans ta cage pour la nuit et demain tu pourra partir".
-" J'ai très faim, serait il possible d'avoir quelque chose à manger ?"
- "Je ne sais pas si tu le mérites".
-" S'il vous plaît Maitresse. J'ai subi toutes vos tortures sans rien dire"
- "Ose me dire que tu n'as pas aimé"
Je ne répondis pas.
-"C'est bien ce que je pensais. Maintenant, tu vas rentrer là jusqu'à demain"
A suivre...
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Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte.
- " Entrez" répond une voix d'homme.
Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début.
Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête.
J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi :
- "Suce le"
Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement.
-" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire.
Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter :
-" Toi aussi !"
Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre.
Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul.
- "c'est à toi que je parle, petite lopette."
En même temps, je sens que Maitresse me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse.
A suivre...
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Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques !
Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris :
- "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche.
- "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus".
Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche.
Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent.
- "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises".
Encore au sol, je répond à voix basse :
-" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie".
-" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens".
Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ?
A suivre...
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Je n'imaginais pas que se faire sucer par une femme était aussi agréable ! Cette séance de fellation a duré environ 15 minutes. Une fois la séance de plaisir terminée, Maitresse Julia me fait descendre de la table et m'emmène vers un autre bout de la pièce. Toujours aveuglé par mon bandeau sur mes yeux, je butte contre une barre de fer.
- "Monte dessus" m'ordonna Maitresse Julia.
A tâtons, en tendant les mains devant moi à l'aveugle, je monte sur une sorte de structure en fer. Maitresse Julia positionne mes jambes et mes bras de la meilleure façon. Elle me plaçe à 4 pattes et m'immobilise avec des lanières aux genoux, aux chevilles, aux bras et aux poignets. Maitresse Julia me laisse seul un moment. Puis, je l'entend revenir et s'approcher de moi. Je sens qu'elle manipule mon sexe et y accroche deux bracelets en cuir : l'un à la base du scrotum et l'autre autour du pénis. Je me dis qu'elle les utilisera pour tirer un peu dessus pour m'exiter... Ah, si seulement j'avais eu raison !
Maitresse Julia tourne autour de moi et me caresse les fesses.
- "C'est qu'il a un joli petit cul en plus ! Mais je le trouve un peu pâle, je vais devoir corriger ça".
Incapable de bouger, je ne sais pas ce qu'elle prépare. Je sens seulement un coup de fouet sur mes fesses. En quelques coups, la douleur est déjà forte. Je me retiens pour ne pas crier car je ne veux pas montrer que je souffre. Sans doute, parce que je veux que ça continue.
Lorsque les coups s'arrêtent, je suis soulagé intérieurement. J'avais très mal mais je ne voulais paraître faible à supplier ma Maitresse. Cela lui aurait fait trop plaisir.
Je n'ai malheureusement pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car je sens que Maitresse Julia s'est mise à me sodomiser avec un gode-ceinture. Rapidement, j'ai autant mal sur le cul que dedans. Mais qu'est ce que c'est bon !
A suivre...
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J'entends Maitresse Julia s'éloigner, puis revenir vers moi. Je sens alors une cravache partir de ma nuque et descendre le long de mon dos. Je suis surpris de cette caresse, mais en arrivant au niveau de mes fesses, Maitresse Julia me frappe violemment. Je ne peux retenir un cri de surprise.
-" Ça t'as surpris ? Parfait. À partir de maintenant, tu vas compter les coups. T'en aura 10 pour commencer."
Le premier coup tombe.
- 1...
- 2...
- 3...
Les coups de cravache se succèdent et la douleur s'intensifie à chaque nouveau coup. Je commençe à sentir les larmes monter. J'ai de plus en plus mal et Maitresse Julia doit s'en apercevoir car elle commence à espacer les coups.
Après le dixième coup, Maitresse Julia s'arrête et me laisse respirer un instant.
- "Tu as aimé ?" me demande t elle
- " Oui maitresse. Merci maitresse." répondis-je entre deux sanglots.
- "Très bien. Tu as été sage jusqu'à maintenant. Je vais t'accorder une petite récompense. Après, on reprendra la punition".
J'entend Maitresse Julia donner un coup de cravache dans la table. Quelques instants plus tard, je sens quelque chose me caresser le sexe. Il y a quelque chose sous la table !
- "J'ai oublié de te dire que nous n'étions pas seul. Il y a sous la table une autre petite pute comme toi qui n'a pas été sage. Tu fais partie de sa punition.
SUCE !"
Je sens alors les caresses s'intensifier.
Il me faut quelques secondes pour ordonner mes idees et mettre des mots sur ce qu'il m'arrive. Je ne m'en était pas aperçu mais mon sexe n'avait pas été écrasé contre la table lorsque j'ai été installé dessus. Il y avait un trou dans la table afin que mon sexe pende sous la table. Pour résumer la situation, je suis nu, attaché sur une table, le cul rouge comme une tomate, à me faire sucer la bite par une personne que je connais pas ! C'est une situation particulière mais j'avoue que j'aime ça !
A suivre...
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Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé.
Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau.
- "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu."
Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote :
- Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ?
N'obtenant aucune réponse, je répète ma question :
- "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu".
Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond :
- il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros"
- "Mais il fait noir ici".
- "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là".
Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre...
A suivre...
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Et si vous tentiez le Edging ?
Encore un mot anglais à ajouter a votre vocabulaire sexuel. Prenons la définition de Monsieur Wiki :
(anglicisme) (sexualité) Technique sexuelle consistant à s’approcher de l’orgasme puis à ralentir pour maintenir cet état de plaisir intense un certain temps avant d’accélérer et de procurer un orgasme plus fort
Je pense que cette définition est assez compréhensible non ? Le but est simple, vous excitez votre partenaire jusqu’au point ou l’orgasme se pointe, mais vous stoppez ou ralentissez afin que l’excitation redescende, mais pas trop !Le/la maintenant ainsi dans un état de plaisir pour qu’il/elle en profite.
Un état d’excitation extrême. Puis vous ré-attaquez pour qu’au moment de l’orgasme, la sensation de plaisir soit multiplié.
Tout un programme, n’est-ce pas ?
Le edging peut avoir différents noms : Peaking, surfing, orgasm training ou orgasm denial.
Malgré ses nombreuses appellations, la pratique est la même et est valable pour homme et femme.
Ne pas confondre avec le Milking dont je parlerai prochainement.
En théorie, ça à l’air super, mais ce n’est pas si facile de se retenir quand on est dans cet état de transition entre plaisir et l’envie de se laisser aller. D’autant plus quand on y joue à deux.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeu-pour-couple-le-edging/
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Bonjour. Après de nombreux jours d'hésitation timide et de lecture du site de manière furtive, j'ai décidé de me lancer et de prendre la plume. J'ai envie de partager avec vous mes histoires, qu'elles soient fantasmées ou non, et j'ai hâte d'avoir vos avis sur cette toute première publication, première partie d'un récit qui je l'espère en comptera beaucoup. Bonne lecture et à vos plumes.
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Il est 18heures. Tu rentres du travail, ta journée était fatigante mais tu as hâte de retrouver ton homme. Les enfants sont chez leurs grands parents et tu sais que vous aurez le champ libre.
Tu t'appelles Amandine, tu mesures 1m50 pour 50 kilos, et ton décolleté avantageux fait souvent baisser le regard des hommes qui admirent ce 95D en le convoitant sans même se cacher et qui finissent par se retourner après ton passage pour reluquer ton cul bien sculpté qui se balance de droite à gauche.
L'excitation que tu lis dans les yeux de ces inconnus est la même que celle que tu lis dans le regard de ton mari. Tu fais tout pour lui plaire et aujourd'hui tu as sorti le grand jeu. Tu as mis les bottes en cuir noir qu'il aime tant par dessus les bas qu'il t'a offert. Sous ta jupe, un porte-jarretelle et un string sont assortis et tes seins protégés par un mince bout de dentelle, noire également. Ton chemisier est négligemment plus ouvert que d'habitude au moment ou tu franchis la porte de la maison.
Tu t'arrêtes un instant, fixe l'escalier puis referme la porte. A double tour. La maison est plongée dans le noir, hormis l'escalier éclairé par des bougies à l’extrémité de chaque marche. Tu suis le chemin qu'elles dessinent, t'emmenant au salon au milieu duquel un lit a été installé. La pièce est silencieuse. Tu ne vois personne. Tu t'avances jusqu'au lit et y découvres un petit mot sur lequel est écrit : "Je t'ordonne de m'attendre à quatre pattes sur le lit vêtue uniquement de tes dessous et de ce bandeau".
Ton regard, qui commence à s'habituer à la pénombre, remarque alors le bandeau posé sur le lit, et avant même de te déshabiller, tu t'en saisis et le place sur tes yeux. Tu sais que ton homme va faire de toi sa chose et le désir commence à s'installer au creux de ton ventre. Après avoir jeté au sol ta jupe et ton chemisier, tu te débarrasses de ton string mais garde tes bottes. Tu sais que ton homme apprécie quand tu es offerte et accessible, et que la vue de tes pieds ainsi apprêtés le rend fou. Tu t'installes à tâtons sur le lit, à quatre pattes, en prenant bien soin de cambre ton dos et exposer tes orifices au maximum. Tu sais qu'il est là, qu'il t'observe. Tu n'as l'as pas vu mais tu sais que la vision de sa chose dans cette tenue, cette position, ont déclenché chez lui une érection puissante que tu te languis de découvrir.
Tu l'imagines, en jean noir près du corps, avec une chemise dont le dernier bouton rend le haut de sa poitrine accessible. Tu imagines ses bras musclés, qui, du haut de ses 1.80 t enserrent et te soulèvent. Tu imagines surtout sa queue, dure, longue, et tout ce que tu as envie de lui faire. Le désir a basculé du creux de ton ventre vers tes extrémités et tu sens que le moindre contact pourrait déclencher chez toi une jouissance insoupçonnée.
Après des minutes qui te semblent interminables, plongée au cœur de tes rêveries aussi douces que brutales et puissantes, tu finis par entendre des bruits de pas. Tu l’entends prendre son temps. Il fait le tour du lit, t’observe, te scrute et tu imagines son regard, fort et intense quand tu lui appartiens. Tu n’as qu’une envie : être à lui. Pleinement, entièrement. Tu as envie qu’il s’occupe de toi, de tout ton corps, tes sentiments se mêlent et tu sais qu’il peut se montrer le plus doux des maris comme le plus inflexible des maitres, pour ton plus grand plaisir. Il prend son temps pour t’observer puis soudain, les pas cessent …
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Texte personnel, ne pas diffuser sans mon autorisation. Photo @Dame Sweet *****************************************************************************
Monsieur gère mon emploi du temps.
Nous sommes mardi, tous les mardis Il m'élargit, me sodomise. Profondément, avec force, sans oublier une certaine technique. Il arrive, immense dans l'encadrement de ma porte, descend les quelques marches
S'installe dans le fauteuil
Regarde la tenue qu'Il a souhaité que je porte
Sans un mot, Il ouvre son zip et je le prends en bouche : c'est notre rituel.
Rien ne se passe, pas un mot, pas une caresse, pas une salutation, avant ce moment précis.
"Bonjour pute" dit-il. Vas-tu bien ce mardi ? Son sexe en bouche, je hoche la tête pour dire oui. Je savoure ce moment où je ne sers qu'à ça, à Lui. Un objet. Fonctionnel. Je me concentre sur Lui, Le prendre, arrondir les lèvres, pour Lui, que pour Lui. "Arrête, pute, c'est assez maintenant"
Je me redresse, un filet de bave descend sur mon menton. Je ne sais pas quoi faire, que va-t’ Il décider pour la prochaine minute ? Un câlin, enfin. Qui fait du bien. Un contact humain, qui me nourrit. "Monte l'escalier devant moi, arrête-toi sur la première marche." Je m'arrête, Il écarte mes jambes avec son pied. Me fouille, installe Ses longs doigts dans mon sexe, mes orifices, tous mes orifices. Plusieurs doigts. "C'est bien, monte maintenant"
Et je monte ainsi l'escalier, tenue bien fermement par mon intimité. Plusieurs doigts. Déjà un peu pleine de Lui. Cette prise étroite et profond me rassure, m'apaise. Et Il le sait. Il me dirige par le sexe, avec ses doigts, me fait arrêter sur le palier après quelques marches. "Bras sur le mur" Je m'exécute, évidemment. Il est en moi, avec ses doigts, preuve évidente de mon appartenance. Et je trouve ça normal, vu que mes orifices sont à Lui.
Il me travaille avec ses doigts, encore et encore, entre et sort. "Jouis pour moi, pute, quand je te dirais"
Bien Monsieur Que faire d'autre ? Echevelée, hypnotisée par ce qui se passe, par cette perversion que je vis, je suis stupéfiée de moi, d'aimer cette dépravation, cette souillure, cette luxure. "Jouis. Maintenant", dit-Il en accélérant le rythme
Je hurle et jouis, je coule sur le sol en une flaque, témoignage de mon plaisir. Comment faire autrement ? Dès qu'Il passe la porte, j'ai envie de ça, de m'oublier et devenir cette part sombre de moi-même.
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Elle m'a détaché rapidement et m'a appuyé sur la tête pour me forcer à lécher mon foutre sur ses chaussures. Sans réfléchir, je me suis allongé et commencé à lécher mon propre sperme.
- "Nettoie bien, il faut que ça brille, petite salope"
Je m'appliquais du mieux que je pouvais.
- "Maintenant, dégage, je ne veux plus te voir ! "
Tête baissée, je me suis dirigé vers un coin de la pièce.
-" Je ne t'ai pas dit d'aller au coin, espèce de puceau de merde. Je t'ai dit de dégager ! Dehors ! Reprend tes affaires et dégage ! Et si je te revois, je te promets que tu vas le regretter".
Ouch, je ne m'attendais pas à ça.
Tout penaud, je me suis levé et me suis dirigé vers la porte. De l'autre côté, Maitresse Sylvie semblait m'attendre. Comment pouvait-elle savoir ? Sans un mot, elle m'a ramené au casier où j'avais laisser les affaires. Je tentais de ma rhabiller mais Maitresse Sylvie me pressait et me frappait de son fouet pour que je me dépêche. Elle m'a poussé dehors et a claqué la porte derrière moi. J'étais donc en caleçon, dans la nuit, à 2h de chez moi. Je terminais de m'habiller à la hâte et rentrais chez moi en repassant dans mon esprit cette étrange soirée. De nombreux sentiments se mélangeaient dans ma tête. D'abord la joie d'avoir réussi à dépasser mes craintes, la satisfaction des punitions que j'ai reçu mais aussi l'incompréhension face à la réaction de Maitresse Lucy et la crainte de représailles comme l'interdiction definitive de revenir. Car mine de rien, j'avais beaucoup apprécié cette soirée même si les marques que j'avais reçu me faisaient encore mal.
Je suis arrivé vers 2h du matin chez moi. Sitôt arrivé, je me suis effondré sur mon lit et me suis endormi assez vite tout en repensant à cette nouvelle expérience...
Fin de la partie 1
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Ce chapitre est le dernier de la partie 1. J'attends impatiament vos retours et commentaires sur cette partie. Voulez vous la partie 2 ? Qu'aimeriez vous y lire ? Des idées à me proposer ?
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Maitresse Lucy m'a désigné une croix de Saint Andre. Je m'en suis rapproché. Elle m'a retiré les menottes aux poignets et les a attaché à la croix. J'étais donc le ventre contre la croix à offrir mon dos et mes fesses au premier venu.
Après m'avoir bien attaché, Maitresse Lucy est partie dans mon dos de facon à ce que je ne puisse plus la voir. Je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver.
- " Tu es novice, je crois, donc je vais y aller doucement pour commencer"
- "Merci Maitresse"
Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je commençais à être excité quand même.
Un premier coup de fouet s'est abattu sur mon dos : mélange de surprise et de douleur.
Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise.
- "Tu aimes bien ?"
- "Oui maitresse"
- "Très bien, continuons".
Les coups ont continué de pleuvoir sur mon dos pendant plusieures longues minutes. La douleur était de plus en plus forte et le plaisir aussi. Je sentais mon sexe se redresser mais la cage empêchait toute érection.
Au bout d'un moment, Maitresse Lucy m'a délivré et m'a poussé vers un autre coin de la pièce. Elle m'a désigné un morceau de bois suspendu au plafond.
- "Met ta tête et tes mains ici"
Je me suis executé sans discuter.
Maitresse Lucy a posé un autre morceau de bois au dessus de ma tête, m'immobilisant complètement.
- "J'ai commencé gentiment, maintenant on va passer à la vitesse superieure".
- "Comme vous voulez, maitresse"
- "Dis donc, tu es très poli, c'est bien"
- "Merci maitresse"
- " Mais ça ne va pas durer"
Immobilisé dans le carcan, je ne pouvais pas bouger. J'ai senti alors un liquide froid dans le bas de dos, vers mon anus. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise.
- "Ne t'inquiètes pas" m'a dit Maitresse Lucy. C'est pour que tu es moins mal.
A suivre..
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Maitresse Sylvie m'a conduit vers une grande porte. Elle l'a ouverte et m'a forcé à entrer. Dans cette pièce se trouvait, contre le mur, une grande cage, comme une cellule, toute en longueur. Elle devait bien faire 7 mètres de long mais seulement 2 mètres de large. A l'intérieur se trouvaient plusieurs personnes, debout, nues pour la plupart. Maitresse Sylvie me tira vers la porte de cette cage collective.
- "Rentre là dedans !" m'a-t-elle ordonné en décrochant la laisse du collier et me poussant à l'interieur.
"Ici, interdiction de s'asseoir ou de parler à qui que ce soit. Baisse la tête et attends qu'on vienne te chercher."
Elle a refermé la porte derrière moi et s'en ai aller sans se retourner.
Je me suis retrouvé donc dans cette cage avec d'autres personnes. Je pris un moment pour observer mes compagnons de cellule. Il y a avait des hommes et femmes nus, en harnais noir pour certains, en combinaison latex pour d'autres. Ils regardaient tous le sol sans prêter attention à mon arrivée. J'avançais lentement dans la cellule, mes menottes me gênaient et faisaient du bruit à chaque mouvement. Au fond de la cellule se trouvait une soumise menottée aux barreaux, le dos rouge, marqué par de nombreuses marques sans doutes faites par un outil particulièrement douloureux.
Je me suis collé contre le mur en me demandant comment j'avais pu en arriver là et surtout ce qui allait arriver ensuite...
A suivre...
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Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler.
Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune.
- Bonjour, ais-je dis timidement.
-Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ?
- Xavier
-Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie.
Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte.
- Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes.
J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation.
Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi.
La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite.
Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc.
Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue.
- C'est bien, vous êtes efficace à ce que je vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête.
Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté :
- Allez ! Plus vite que ça !
Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles.
- Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné.
Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse.
D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques".
- Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis.
- Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ?
C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte...
A suivre...
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Me voilà les yeux bandés, installé soigneusement par tes soins sur cette chaise.
Je sens différents type de liens se poser autour de moi, des cordes, mais aussi des colliers de serrage en plastique. J'entends le "ziiiiip" de ces derniers et mon corps est totalement contraint. Il m'est donc impossible de me libérer sans une pince coupante.
Mes bras sont encordés au dos du dossier de siège et arrimés à ce dernier avec des zips.
Mes chevilles zippées aux pieds de la chaise, mes mollets également...des cordes aux cuisses...
D'autres cordes passent autour de ma poitrine...
Tu me fixes un collier de cuir épais et l'ajuste au plus près.
Tu pars te changer... De longues minutes... Où je tire sur mes liens... J'adore sentir le sérieux de ton œuvre.
Soudain j'entends des talons cingler le sol, se rapprochant dangereusement de moi.
Tu t'arrêtes derrière moi. Tu me caresses les cheveux, le menton, le torse...
Puis tu te penches en avant, je sens tes cheveux à mon épaule droite... Tes mains glissent de mon torse à mon sexe. Tu l'empoignes fermement et me masturbe... Tu me sussurres à l'oreille des insanités. Mon sexe se gorge...
Tu stoppes... Et fait plusieurs tours autour de moi. Je sens comme une cravache qui parcours tout mon corps en même temps que tu tournes autour de moi. Tu tapotes sur ma queue, mes bourses... Je gémis...
Tu m'enfonces alors un linge en bouche... Je me rends vite compte que c'est une culotte que tu as porté toute la journée... J'ai ton odeur en bouche. Ma bouche est totalement comblée et tu complètes d'un bandana autour de ma tête pour m'empêcher de recracher cette culotte souillée. Tu serres fort ce dernier au dos ma tête...
Tu m'enlèves le bandeau sur les yeux... Et je ne peux que constater ta tenue... Bottes en cuir de 12cm avec plateforme, serre taille et porte-jarretelles, tes seins sont nus. Enfin, tu portes un tanga. L'ensemble est noir.
Tu me chevauches et t'assoies sur moi. Tu poses tes bras sur mes épaules et m'encercles la tête. Tu plonges ta poitrine contre mon visage. Je me niche dedans. Tu frottes tes dessous contre mon sexe. Je pousse de petits bruits. Mon sexe se remet à durcir.
Tu te relèves. Et pose ton pied gauche sur la chaise pile entre mes jambes. Tu ne bouges plus comme un chasseur qui pose fièrement sur sa proie capturée.
Puis... Tu te mets à caresser mon sexe du bout de ta botte, doucement... Puis, tu me poses ton talon aiguille sur mes bourses... Tu y vas doucement mais fermement.
Tu poses ta cravache sur une de mes joues. Mon bandana me protège un peu, tu tapotes sur ma joue puis tu me gifles d'un coup... Tu recommences tu tapotes plusieurs fois et vlan... J'ai des larmes de honte. Tu fais cela sur l'autre joue également.
Tu me rebandes les yeux.
Je t'entends alors partir. Et revenir aussi vite.
Tu prends mon sexe en main, et le masturbe de façon à ce que je bande follement. Puis... Je sens alors un lien de satin venir serrer la base de mes bourses, la base de mon sexe... Et ce lien continue entrecroisé comme un laçage de serre taille tout le long de mon pénis. C'est très serré et j'adore ça. Je suis à deux doigts de jouir. Tu termines par un noeud juste en dessous de mon gland.
Tu liberès ma bouche...
Tu accroches sous mon gland une cordelette... Et je t'entends faire glisser un tabouret. Tu te places face à moi... La cordelette est longue... Tu tires dessus... Mon sexe palpite... tu m'offres un talon aiguille... Et tu me dis "suces moi ça".
Tu joues de la cordelette... Pendant que je suce assidûment ton talon.
Tu arrêtes le jeu. Enlèves le nœud de la cordelette. Tu réduit le lien de satin à la base de ma queue et de mes bourses... Tu serres encore plus fort. Ma bite est veineuse. Je vais exploser.
Tu déroules une capote... Lentement. L'effet du latex m'excite encore plus.
Tu me caresses les bourses. Longuement. Je jouis dans la capote.
Tu me détaches de la chaise. Clipse une laisse à mon collier. Mes yeux sont toujours bandés.
Tu m'emmènes dans la chambre comme un chien en laisse... J'avance doucement les yeux bandés.
Tu me poses ma cage de chasteté et t'installes sur le lit. Jambes écartées.
Tu retires mon préservatif plein. Et le déverse sur ton sexe... Je ne le sais pas mais ma semence coule jusqu'à ton petit trou. Tu m'enlèves le bandeau, m'attache les mains dans le dos... Tu m'ordonnes de tout nettoyer.
Tu me dis d'ouvrir la bouche pour prouver que j'ai tout avalé.
Je dois reprendre le cunnilingus...tu n'as pas jouis... De longues minutes... Avant que tu y parviennes.
Tu as jouis si fort, tes jambes ont écrasées ma tête. Je suis épuisé.
Tu me laisses là. Inerte. Au pied du lit.
Tu pars te repoudrer.
Me voilà comme tu souhaitais, attaché sur une table, en "L". Le torse à plat sur la table, les bras devant moi, ligotés, mes jambes écartées attachées également.
J'ai toujours ma cage de chasteté.
Tu viens m'embrasser. Et me pose un gros bâillon boule rouge "pute". Tu le sers jusqu'au cran. L'attache pénètre mes joues. Tu me bandes les yeux.
Tu regardes ton œuvre. Tu tournes autour de la table. Tu t'arrêtes sur un détail, le bâillon boule me fait saliver... Tu en joues en métalant la salive sur mon visage et mes cheveux.
Tu retournes derrière moi. Quelle vue. Ta chienne encagée, son petit orifice, ses jambes écartées...
Tu attaches à la base de mes bourses un petit collier de chaton, ce dernier possède un grelot, le grelot tinte à chacun de mes mouvements.
Tu m'ordonnes qu'il ne sonne pas...
Tu lances le fouet, le grelot tinte... Tu recommences... Encore et encore...
Mon petit cul en rouge. Je tremble de douleur, je hurle dans mon bâillon. Tu me dis que c'est terminé... Tu embrasses mes fesses, puis. Tu fais glisser ta culotte encore immaculée de reste de nos semences. Tu la glisses sur ma tête, la partie la plus odorante tombe pile sur mon nez. Je suis soulagé.
Je sens un liquide couler sur mon anus... Oui c'est bien gras. Du lubrifiant. Gloups...
J'ai mon bandeau, ta culotte, mais tu enlèves mon bâillon. Je découvre alors un goût de plastique. Tu m'enfonces un god ceinture en bouche.
Je n'arrive pas à le sucer convenablement du fait de ma position.
Tu me remets le bâillon en bouche. Le serre un cran de plus. Et tu dis "tu vas en avoir besoin ma belle".
Tu m'insères un doigt, lentement, puis deux. Mon grelot tinte... Cela t'excite.
Tu me prends avec tendresse. Je gémis face à ta douceur, ton onctuosité... Tu es parfaite. Le godemiché est juste à la bonne taille.
La stimulation de ma prostate me déclanche un orgasme comme je n'ai jamais connu.
Mon sperme se déverse au travers de ma cage. Tu passes sous la table le lécher...
Et tu m'abandonnes ainsi...
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T’AIMES ÇA...
Tu l’aimes ma queue ? Ma grosse queue chaude et démesurée d’éléphant tu l’aimes ? T’aimes la
regarder à travers mon pantalon, observer se renflement entre mes cuisses musclés et poilues,
estimé son volume intimidant compressé dans le tissu, détailler les contours de sa forme tubulaire
qui descend le long de ma jambe, la voir se mouvoir et se raidir quand je commence à bander, la
savoir devant toi si proche et accessible, poser ta main dessus et la sentir grandir et durcir a travers
mon pantalon, sentir sa chaleur et sa densité, sentir son appel et y répondre, te sentir soudainement
et irrésistiblement attirée. Oui t’aimes ça.
T’aimes ça quand ta main se referme sur l’épaisse colonne de ma bite pour la diriger vers ta bouche
et que tu pose mon pénis dilaté sur ta langue. Sentir ta bouche se remplir, tes joues se déformées par
la succion, te gaver de ce sexe jusqu’à la faire rentrer en entier dans ta gorge et plaquer ton visage
sur les poils de mon pubis, te sentir asphyxiée par sa longueur, bloquée par ma main qui agrippe ta
chevelure et te force à maintenir la posture. Être a genou devant moi et faire rouler mes testicules
autour de ta langue pendant que ta main me branle contre l’arrête de ton nez, contre ton front jusque
dans tes cheveux. Attendre fébrilement le déclenchement des spasmes orgasmique qui vident mes
couilles par saccade désordonnées dans ta bouche offerte. T’aimes ça que je baise ta bouche ?
T’aimes ça être ma putain et t’offrir à mes fantasmes et mes pulsions, te laisser couvrir par mon
corps, te faire pénétrer dans ta chatte et dans ton anus, te laisser envahir et conquérir par mon besoin
de domination. Te voir submergée par ma force et ma brutalité incapable de résister; à mon torse qui
te plaque sur un mur et écrase tes seins, à mes bras qui te bloquent te penchent sur une table et te
déculotte, à mon bassin qui te culbute obligeant tes cuisses à s’écarter, à mes mains qui se nouent
autour de ton cou et qui serrent, à mes poings qui se ferment sur tes sous-vêtements et les déchirent.
T’abandonner à jouir de multiples orgasmes libidineux provisoirement libérée de tes hontes et de tes
doutes devant la certitudes de mes gestes, la sécurité de mes désirs assouvis, le verrou de mon
impériale libido.
T’aimes ça aussi me retrouver dans une proximité organique, me voir, me sentir, m’entendre, me
toucher, me goûter, m’absorber. Te laisser dépassé par tes sensations, ton envie, ton désir dans la
douceur et la sécurité d’une relation forte et entière. Oublier tes craintes, tes freins, tes angoisses
dans un tourbillon de joies libératrices et jubilatoires. Te salir, t’humilier, te rabaisser, t’écorcher sur
ta dure et cruelle réalité et repartir plus propre et plus forte que jamais, neuve d’une grandeur
reconstruite par les mains d’un habile bienfaiteur.
T’aimes ça me retrouver dans une proximité émotionnelle, te laisser dépassée par tes émotions, ta confiance, ta sincérité, ta tendresse, ton amour. Découvrir, explorer, partager un nouveau monde qui n’attendait qu’a l’être au plus profond de nous.
Te savoir accompagnée, écoutée, comprise, protégée dans cette reconquête périlleuse et exaltante.
Te sentir plus vivante, plus sereine, plus accomplie, plus complétée, plus exacte.
Oui je suis sur que t’aimes ça, et moi j’aime ça aussi, j’aime ça pour toi, j’aime ça avec toi, j’aime
ça ensemble, j’aime ça encore.
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Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis.
Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée.
Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones.
Découvrir l’objet
Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres…
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Les premiers maniaques du fouet arrivent. L’un deux est très différent, d’abord parce qu’il est beau, ensuite parce que ses vêtements sont classes : pantalon noir, chemise blanche à manches courtes, lunette de soleil Ray Ban. Il est le seul à avoir deux gardes du corps, des Asiatiques costauds qui ont un revolver dans un holster sous le bras. Nos gardes se précipitent en faisant de profonds saluts. L’homme élégant leur dit :
— Je voudrais voir les filles sur un rang.
Il parle bas, comme les gens qu’on écoute tellement ils sont importants ou parce qu’ils disent des choses essentielles. Un garde gueule :
— Sur un rang, immédiatement !
Il manque "Schnell, police allemande ! "
Après nous avoir examinées l’une après l’autre, l’homme dit à une blonde :
— Toi, viens à côté de moi.
Il dit la même chose à une brune, puis à Julien et moi.
Nous allons nous mettre près de lui. Qu’est-ce qui va nous arriver ?? Il parle un peu avec "nos gardes", puis s’en va en nous faisant signe de le suivre. Un peu plus loin, il y a son moyen de transport et ce n’est pas une charrette tirée par une fille, mais une 4X4. Un garde conduit, l'autre s'assied à côté de lui. On est quatre à l’arrière, ça fait beaucoup, même pour une grande voiture. Je rassemble tout mon courage pour lui demander :
— Je peux venir sur vos genoux, Maître ?
Je l’ai cueilli, là. Ou je prends une gifle ou... Il rigole et répond :
— Tu es gonflée toi ! Ça me plaît, mais tu es un peu trop sale... attends.
Il déplie le supplément du Financial Times sur ses genoux. YES !! Je grimpe dessus... Je sens qu’il va tomber amoureux, on va se marier et Julien sera notre témoin. Il pose la main sur ma cuisse et là, j’ose à nouveau : je lui dis :
— Pardon, Maître, mais je voudrais vous prévenir...
— De quoi, petite ?
— C’est Monsieur de Préville qui nous a punis et...
— Je sais, mais ne t’en fais pas pour lui, il a des problèmes.
Oh, comme ça fait plaisir ! D’accord, ce n’est pas très chrétien, mais il nous a fait payer très cher une simple tentative de larcin.
Nous croisons des charrettes tirées par des filles. Quand ce n’est plus moi qui suis attelée, je trouve ça assez excitant à regarder... On arrive en bordure d’une prairie rase. La voiture s’arrête et on descend tous. L’homme nous montre un tas de vêtements en disant :
— Habillez-vous.
On sort des jeans, des tee-shirts et des baskets du tas. Tout est en taille 38, ça va aussi bien à Julien qu’aux filles et à moi. L’homme nous dit :
— Je m’appelle Monsieur King...
Ce nom me plaît, je voudrais être sa Queen ! Il poursuit :
— Nous allons sur une petite île privée au large de l’Île de Henan. Le travail que vous aurez sera beaucoup plus facile, mais vous devrez obéir. D’accord ?
On répond :
— Oui Monsieur King.
Il me regarde en ajoutant :
— Ça vaut surtout pour toi, Samia. Celle qui essaie de s’évader retournera tirer des charrettes... Si vous faites bien ce qu’on vous demande, vous pourrez avoir un travail de plus en plus intéressant.
Super !! On entend un léger vrombissement... C’est un hélicoptère qui vient se poser dans le champ. On monte tous... Ce sera mon premier voyage en hélicoptère. Les gardes ne montent pas avec nous. Je touche la main de Monsieur King. Il rit en secouant la tête, puis change d’avis et dit :
— Oui, viens. Je me changerai.
Je sais que je ne suis pas très propre et que je sens la respiration, mais j’ai trop envie d’être à nouveau sur ses genoux.
Julien et les deux filles se mettent sur le deuxième siège... Vous voyez bien qu’il n’y a pas assez de place. Monsieur King me dit :
— Tu sens la transpiration, mais... ce n’est pas désagréable.
Je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse sur la bouche. C’est un vrai baiser. Quand nos lèvres se séparent, il dit pensivement :
— Si on m’avait dit ce matin que je trouverais agréable d’embrasser une fille qui ne se lave pas les dents...
Je réponds :
— Je les ai nettoyées avec de la cendre...
C’est vrai en plus, je suis maniaque des dents propres. Je me pelotonne contre lui, comme un bébé perdu qui retrouve sa mère. Le voyage ne dure pas longtemps, hélas. On se pose sur une petite piste d’atterrissage, proche de la mer. Autour de nous, la végétation est tropicale. Au bord de la plage, il y a des palmiers et la mer est d’un bleu profond, une vraie carte postale.
Monsieur King nous demande si on a faim, nous répondons en cœur :
— Oh oui, Monsieur King !
On marche le long d’un petit sentier bordé de fleurs, ça sent bon... On arrive devant une série d’établissements, disséminés le long d’une plage. Il y a un hôtel, des restaurants, des terrasses... Le style devrait être chinois, mais ça ressemble plus à l’architecture japonaise. Il y a beaucoup de gens – hommes et femmes – habillés, en maillots et nus.
Tout le monde salue Monsieur King. Un gros homme lui demande :
— De la chair fraîche ?
— Oui et de première qualité, comme tu peux voir.
Cool... Enfin, à part qu’on dirait ça pour de la vraie viande. Je remarque des jolies filles vêtues d’une robe comme en ont les prostituées à Hong Kong. Enfin, c’est comme ça que je les imagine. Une robe une pièce en soie, décorée de fleurs et de dragons. Elles descendent jusqu’à la cheville, mais le côté est fendu jusqu’à la hanche. Il y a un petit décolleté rond et pas de manches. Je remarque ces filles parce qu’elles ont toutes un collier comme nous.
On va s’asseoir à une terrasse. Monsieur King nous dit :
— Prenez un sandwich.
Je lui demande :
— Et un dessert, on peut, Monsieur King ?
Il rit, puis répond :
— D’accord...
Ensuite, il ajoute :
— Tiens, tu n’es plus sur mes genoux ?
Ça, il ne doit pas me le dire deux fois : je vais aussitôt m’asseoir sur lui et je mets mes bras autour de son cou, en disant :
— J’adore être sur vos genoux, même si j’aimerais être plus fraîche.
Après avoir réfléchi, il répond :
— C’est très curieux, mais j’aime ton odeur.
Ça, c’est comme un coulis de framboise qui coule dans mes oreilles... non, c’est comme du chocolat liquide et de la crème fraîche qui coulerait dans ma gorge. Une fille avec un collier, habillée en serveuse, vient prendre notre commande tout en faisant de nombreuses courbettes à Monsieur King. Il lui demande :
— Tu te plais ici, Éva ?
— Oui, beaucoup, Monsieur King.
Je commande un club sandwich (petit pain, poulet, salade, tomates) et une glace vanille avec de la sauce caramel et de la crème fraîche. Il commande une bouteille de vin...
Monsieur King mange un sandwich, lui aussi. Nous, on dévore ce qu’on a demandé. Il nous dit :
— Je vais y aller... Vous pouvez rester ici, on viendra vous chercher. Si quelqu’un vient vous demander quelque chose, dites qu’il doit s’adresser au bureau des filles.
Quand il se lève, je lui dis :
— On vous est infiniment reconnaissantes de nous avoir sortis de cet enfer, Monsieur King. Je suis prête à m’asseoir sur vos genoux quand vous voulez...
Il me sourit, puis répond :
— Viens, j’ai quelque chose à te dire.
Il va me demander ma main ! La réponse est OUI ! On fait quelques pas et il me dit :
— Mailla travaille pour moi, elle va s’occuper de vous. N’oublie pas une chose, c’est grâce à elle que tu es ici.
Oh, putain ! Mailla, une traîtresse ? Voyant ma tête changer, il ajoute :
— C’est elle qui m’a dit de venir vous voir. Tu dois lui obéir, OK ?
— Oui Monsieur King... Je vous reverrai ?
— Dans deux jours, on passera un moment ensemble...
— Je serai toute à vous.
Il m’embrasse sur la bouche et s’en va. Je retourne tristement près des autres. Ils me demandent tous les trois ce qui s’est passé. Je leur explique :
— C’est grâce à Mailla qu’on est ici.
La blonde dit :
— Elle nous fait un vrai cadeau.
Oui, sauf que j’espérais qu’elle contacte le Russe et qu’on soit libérés pour de vrai. Quand je pense à tout ce que je lui ai dit, je n’ai jamais imaginé qu’elle soit une taupe. Et quand on parle du loup, on voit sa queue – ou sa chatte, dans ce cas-ci. Je la vois apparaître. Elle n’a pas une robe en soie, mais un pantalon de cuir et un tee-shirt "Led Zeppelin" ! Julien se lève quand elle s’approche de nous, les filles et moi aussi. Julien va prendre une chaise vide et la met à notre table en disant :
— Si vous voulez vous asseoir, Maîtresse.
Quel lèche-cul, celui-là ! Au propre et au figuré. Elle répond :
— Merci, vous pouvez aussi vous asseoir... Alors contente d’être ici, les filles ?
Les filles, y compris Julien, répondent :
— Oui, merci Maîtresse.
Elle se tourne vers moi pour me demander :
— Et toi, tu ne dis rien, les charrettes te manquent ?
— Non, Maîtresse, c’est la Mailla d’avant qui me manque... Je n’ai pas arrêté de penser à elle.
Ça la fait rire. Garce ! La serveuse vient lui demander ce qu’elle veut boire, elle répond :
— Une margarita.
Oh, j’adore ça ! C’est de la tequila, du curaçao et du jus de citron sur de la glace pilée. Mailla nous dit :
— Vous en voulez également ?
— Oui merci Maîtresse
— Et toi, tu acceptes mes cadeaux, Samia ?
— Oui Maîtresse.
— Bon, je t’explique : on savait que tu préparais quelque chose, genre t’évader avec l’aide d’un maffieux russe. Je dirige la sécurité et j’ai choisi la méthode douce, tu n’aurais pas aimé l’autre.
— Si vous pouviez me laisser un tout petit peu oublier "ma" Mailla
Elle lève les yeux au ciel... Les margaritas arrivent. Ne voulant pas me mettre à dos le chef de la sécurité, j’ajoute :
— C’est que je suis tellement... déçue de mon manque de "feeling".
Pour éviter de me mettre à pleurer, je bois une gorgée de margarita. Quand on a fini, Mailla nous dit :
— Venez, on va vous habiller et vous dire les règles... Il va de soi que celle qui ne les suit pas retournera aux charrettes.
On quitte le bord de mer pour aller dans une maison japonaise typique. Beaucoup de gens la saluent et les filles en robe de soie s’inclinent à 45°. On va dans une grande pièce où il y a plusieurs robes suspendues à des cintres. Mailla nous permet de choisir. Je prends une robe bleue avec un dragon rouge. Julien, une robe rouge avec des chrysanthèmes jaunes. Il sera donc en femme. Mailla continue ses explications :
— Voilà comme ça se passe. De 10 h à 23 h, vous devez être dans le village, à la plage, à une terrasse, au restaurant... partout où les clients peuvent vous voir.
Une des deux filles lève la main comme à l’école, Mailla lui dit :
— Oui ?
— On ne doit pas payer ?
— Non, tout est gratuit. Et vous pouvez choisir où dormir. Bon, je dois y aller. Si vous avez un problème revenez ici. Soyez sages, les filles.
On sort de là, assez désorientées... Les filles proposent d’aller à la plage.
Je leur réponds :
— On vous rejoint... Je voudrais d’abord visiter.
Julien me demande :
— Je peux venir avec toi, Samia ?
— Évidemment...
Et c’est là que la prédiction des lignes de ma main se réalise. Mailla vient vers nous. Elle a l’air de râler un peu, pourtant j’ai rien fait ! Elle me dit :
— Tu vois cet hôtel ? Va sur la terrasse, quelqu’un t’attend.
Elle repart... Bon, ce sera mon premier client, ici. On y va tous les deux, j’aime bien avoir Julien sous la main... On arrive à l’hôtel et... Oh ! Monsieur King est installé à une table avec trois hommes et une femme. Il fait les présentations :
— Voilà Samia et son mari.
Puis, à moi :
— Nous sommes intéressés par ce projet d’hôtel et de parc d’attractions dans l’Atlas, ça te dirait qu’on fasse ça ensemble ?
Je rêve ?? Est-ce que c'est pour de vrai ou alors est ce que le Prince charmant va se transformer en citrouille et moi me réveiller attachée à une charette ? Non ! Je réponds :
— Cette région, a un énorme potentiel. Les gens viendront voir la cascade, les villages Berbères et si en plus, il y a un parc d'attractions, ça va être la folie.
Monsieur King me dit :
— Nous avons vu un film avec les singes. Est ce que tu pourrais refaire ça, disons, une ou deux fois par semaine ?
Et là, j'ai une idée. Je réponds :
— Bien sûr, je me suis super bien entendu avec les singes... Et je pense à une chose, il faudra que Julien aussi se fasse prendre par les singes.
Ils sont surpris par ma proposition et se regardent, puis Monsieur King me dit :
— Super idée Samia ! Tu vas être responsable des singes et de pas mal d'autres choses.
Je me lève, je vais m'asseoir sur ses genoux et je l'embrasse sur la bouche pour le remercier.
C’était écrit dans les lignes de ma main. Alors, en route vers de nouvelles aventures...
Fin ?
Peut être pas, je continuerai à écrire de là bas...
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Le vin et le chocolat, ça m’a fait du bien, un rayon de soleil dans une nuit noire. Il n’y a qu’une chose de positive dans cette affreuse punition que nous inflige mon beau père... c’est Ailla. Elle est belle et intelligente et elle sent bon. Je sais bien qu'elle ne doit pas être facile à vivre, mais c’est elle, le vrai rayon de soleil.
Et puis, j’ai un plan. Pas un plan foireux comme le casse, un plan qui va nous sauver. Sainte Sara veille sur nous, pauvres Roms rejetés de partout et...
— Samia !
— Oui, la Voix, mais j’ai pas le moral... Bon, j’ai Ailla, le vin, le chocolat...
Un peu avant 22 h, les gens quittent le bar. On se rhabille et on s’en va aussi. Ailla sait où sont nos chambres... enfin, nos chambres, c’est une façon de parler. On dort dans le dortoir n° 8. Dans cette très grande pièce, il y a des rangées de minces matelas posés directement sur le sol et dans un coin, un tas de couvertures crasseuses.
La salle de bains et les toilettes consistent en quelques seaux. Bonjour l’hygiène et les odeurs. Il y a heureusement une grande fenêtre ouverte, je vois même la lune...
Ailla sait aussi qui est le chef de cette chambre. Madame Lóng dirige tout le groupe, mais chaque chambre a une dure à cuire qui fait la loi. Ailla est un génie, je crois l’avoir déjà dit. Elle va s’incliner devant une grosse Chinoise. Elle lui parle et la fait rire ! Cette fille est...
— SAMIA !
— Oui, d’accord la Voix.
Je disais qu’elle la fait rire et la Chinoise lui caresse même la hanche et les fesses. Elle ne va quand même pas passer la nuit là ? Non, heureusement, elle revient vers nous. Intriguée, je lui demande :
— Et alors ?
— Je te dirai ça demain, je suis crevée.
Elle se couche sur un des matelas en ajoutant :
— Va chercher des couvertures.
— Il n’en reste que deux, les filles ne vont pas me laisser les prendre.
— VAS-Y !
— Oui...
On me donne quand même les deux dernières couvertures, mais c’est peu pour trois personnes. En me couchant, je demande à Ailla :
— Je peux me mettre contre toi ?
— Oouiii.... Maintenant, tais-toi.
Julien se couche lui aussi derrière moi et il me colle. Je le laisse faire, pour une fois.
***
Au milieu de la nuit, on est réveillés par la lumière du plafonnier et une voix qui crie un truc en chinois. En fait, ce n’est pas le milieu de la nuit, mais l’aube. Il doit être horriblement tôt. Je vais vite faire la file pour pouvoir m’asseoir sur un des seaux. C’est pressé. Ailla me dit :
— Laisse tomber, on peut aller ailleurs.
Comment elle sait ça ? Cette fille est... non, j’ai rien dit ! On sort dans une cour qui donne sur un champ, il y a plusieurs tranchées et des filles qui se soulagent, pantalons baissés. Et le papier pour s’essuyer ? Et la douche ?
De là, on va manger du riz collant avec un peu de légumes et des bananes mi-jaunes, mi-noires. Ensuite, on doit toutes se mettre en rang dans une autre cour. Là, tous ceux qui ne sont pas en orange viennent faire leur marché. D’abord, les gens en civil. Un homme fait signe à Julien et il part avec lui.
Puis un couple vient nous observer. L’homme dit :
— Elles sont spectaculaires !
La femme répond :
— Oui, mais elles puent, il faudrait les laver et leur donner un uniforme propre.
La faute à qui si on pue ? Le même homme dit à un des gardes qui nous surveille :
— On prend ces deux-là.
Le garde s’incline en disant :
— Très bon choix, Monsieur.
On suit le couple jusqu’à une salle de douche. La femme nous dit :
— Lavez-vous soigneusement et vite !
Ailla et moi, on se savonne mutuellement. J’aimerais me frotter à elle, mais c’est impossible avec cette femme qui nous surveille.
Quand on est lavées et rincées, elle nous donne une serviette propre pour nous essuyer. Ensuite, l’homme revient avec deux uniformes propres. On suit ce couple jusqu’à l’entrée de l’usine, la vraie, la grande. Derrière un comptoir, il y a deux filles en tailleur noir, sûrement des Thaïs, à nouveau. L’homme leur dit :
— C’est elles qui vont rester à l’entrée pour accueillir les gens et prendre les bagages. Elles doivent vous obéir, sinon, il faut les punir.
Charmant ! Moi qui pensais qu’on allait devoir coudre dans un atelier... Les filles parlent entre elles, puis l’une d’elles nous annonce :
— Je vais montrer à ma collègue comment vous punir. Penchez-vous en avant.
Je m’exclame :
— Mais on n’a rien fait !
— Obéissez !
Bon, on se penche, la fille prend une canne en bambou et elle me donne cinq coups sur les fesses, heureusement sans me faire baisser mon pantalon. Ça fait quand même vraiment mal, ce bambou, je crie à chaque coup.
L’autre fille s’exerce sur les fesses de Ailla qui reste stoïque et ne crie pas, évidemment... La fille qui m’a frappée me dit :
— Quand des visiteurs arrivent en voiture, vous devez vite leur ouvrir la portière, les saluer et prendre leurs bagages. Chaque fois que vous ne le ferez pas bien, ce sera cinq coups sur les fesses. Compris ?
Ailla et moi on répond :
— Oui Mademoiselle.
On passe l’heure suivante à courir quand il y a une voiture et à s’incliner devant ceux qui en sortent. On se prend chacune encore 5 coups de canne sur les fesses. Pourquoi ? La fille qui ne savait pas comment frapper nous le dit :
— Ça, c’est sans raison. À part que c’est amusant. N’est-ce pas ?
— Oui Mademoiselle
Grrrrr ! Et puis... une grosse voiture arrive, je cours ouvrir la portière côté passager et il en sort... Satan ! Non, pire que ça, mon beau père ! Il est accompagné d’une jolie brune sexy. Il me demande :
— Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Tu devrais être dans un atelier aux ordres des ouvrières. Je vais m’en occuper.
Ma Voix intérieure a beau me hurler "Ta gueule !", je réplique :
— Je suis ici parce qu’un psychopathe m’y a envoyée.
Il sourit... Aïe, aïe, aïe... Cette expression me rappelle de très mauvais souvenirs, qu’est-ce que j’ai fait ! Il me répond :
— Tu n’as pas envie d’une semaine de vacances avec ton mari ? À la campagne, par exemple. Ça te plairait ?
Cette fois-ci, je me tais. Sa copine lui demande :
— C’est quoi cette folle, darling ?
Darling (!!) répond :
— Son mari et elle travaillent pour moi. Ils ont essayé de voler la paye des ouvriers, alors je les ai envoyés ici, plutôt qu’en prison.
— Tu as trop bon cœur, darling.
Bon cœur ! Oui, autant qu’un tigre affamé ! Quand il parle aux hôtesses, je l’entends dire :
— On va venir chercher la brune, la rousse peut continuer à travailler.
— Certainement, Monsieur.
Profondes courbettes des deux hôtesses.
On ne vient pas me chercher tout de suite. J’ai le temps d’expliquer mon plan à Ailla. Les hôtesses ont beau crier et me donner des coups sur les fesses, je ne sens rien ou presque. Je lui répète plusieurs fois de suite, en finissant par lui demander :
— Tu as tout retenu ?
— Tout, Samia.
Un garde arrive. Il me passe un collier autour du cou. Plus exactement un épais cercle en fer avec une chaîne comme laisse. Ailla me dit :
— Tiens bon !
— Ouiiii...
Le garde tire sur ma chaîne. On sort de l’usine pour nous diriger vers une camionnette. Il me tire à l’intérieur du véhicule et attache ma chaîne à un anneau au plafond. Je suis obligée de rester debout. Julien est là, il me fait un signe de tête "Ça va ?", je réponds de la même façon "Impec !" Il y a deux Occidentales attachées de la même façon.
On roule pendant une petite heure, debout, se cognant les unes aux autres dans les tournants. Par le pare-brise, je vois qu’on arrive devant une forêt de bambous géants. Lorsqu’on y pénètre, je m’aperçois que cette forêt n’est qu’une ceinture de bambous cachant une haute palissade, surmontée de fils de fer barbelés. C’est une prison ! Deux gardes ouvrent une grande porte et on se dirige vers de vieux bâtiments... Autour de nous, des champs s’étendent à perte de vue. Un peu partout, il y a des gens qui travaillent. Les femmes et les hommes sont nus, à part un collier en fer, des sandales et un très grand chapeau conique, sans doute en paille.
Ce serait une scène... bucolique, s’il n’y avait des gardes qui encouragent les prisonniers en leur donnant des coups de cannes en bambous sur le dos, les fesses et les jambes ! Je remarque que les gardes ne sont pas Chinois, mais Occidentaux.
C’est le cas du garde blond qui vient détacher nos chaînes et nous fait descendre de la camionnette. Julien vient près de moi. Le garde appelle une jeune Chinoise – nue, évidemment – pour lui dire :
— Donne-leur de l’eau.
La fille s’incline en répondant :
— Oui, Maître.
Ah, carrément ! La fille se plie encore en deux, puis va nous chercher deux bouteilles d’eau qu’elle dépose à nos pieds. Le garde nous jette :
— Buvez. Beaucoup !
On lui obéit, ça fait du bien, surtout qu’il fait vraiment chaud. Quand tout le monde s’est désaltéré, le garde nous annonce :
— Vous allez rencontrer vos Maîtres. Quand ils seront à dix pas, vous vous mettrez à genoux, puis vous poserez vos fronts sur le sol, mains croisées sur les reins. Faites-le !
On se met tous en position, le garde passe derrière nous et...
— Aïe !!
Il vient de me donner un coup de canne en bambou sur les fesses en disant :
— Cambre-toi plus !
— Aïe !!
Nouveau coup sur mes fesses !
— Mieux que ça, je veux voir ton trou du cul !
Les deux filles et Julien se prennent aussi deux ou trois coups de canne. Il nous dit :
— Debout et vous avez bien compris, à dix pas.
On attend au soleil... Je passe mes mains sur mes fesses et je sens les deux boursouflures laissées par la canne.
Enfin, nos maîtres arrivent... Un gros Chinois d’une cinquantaine d’années et une adolescente fluette, également chinoise et... habillée. Ils sont suivis par deux filles nues qui tiennent chacune un parasol pour protéger les Maîtres du soleil. Deux autres filles portent un lourd fauteuil. Dès qu’ils sont à ce que j’estime être dix pas, je me mets à genoux, puis je pose le front sur le sol. Julien et les filles font la même chose. Je suis incapable de voir ce qui se passe, je dirais que l’homme s’est écroulé dans le fauteuil et la jeune fille fait le tour de notre petit groupe prosterné.
Elle s’arrête derrière moi et elle me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant :
— Samia ?
— Oui Maîtresse.
Pas facile de parler avec la bouche presque contre le sol. Elle tâte mes fesses du bout du pied en disant :
— Tu as un beau cul... À côté de toi, c’est ton mari ?
— Oui Maîtresse.
— Vous êtes aussi bien assortis qu’une grenouille et un lapin. Pourquoi l’as-tu épousé ?
Je lui réponds la vérité :
— Par intérêt, Maîtresse, son père est riche et il faisait tout ce que je voulais.
A suivre.
Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
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Un Week-end très spécial
Chapitre 1 l’arrivée
Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ».
J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul.
Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture.
Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie.
Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence.
Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence.
Puis le coffre s’ouvre :
« sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre .
Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux.
Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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Dans la vie, on dirait qu'il y a des périodes positives et puis d'autres qui le sont nettement moins. Dans le jet, qui nous amène en Chine, je me doute que tout ne va pas être rose, loin de là, mais je suis tenace et j'ai un plan.
— Encore !
Oui la Voix, encore un plan... Pas pour tout de suite, mais dans quelques semaines, on s'évadera. Je regarde les lignes de ma main et je vois un grand changement pour bientôt. Vous n'y croyez pas ? Vous avez tort : la chiromancie est une science, pour nous, les Roms.
On voyage avec mon beau-père et des cadres de la société. J'ai essayé de lui parler, mais il m'a coupé la parole :
— Ton complice et toi, vous êtes punis, tu pourras me parler dans 3 mois.
Ce genre de phrase n'incite pas à poursuivre la discussion... On reçoit à boire et à manger et c'est déjà ça. Julien me confie tout bas :
— J'ai peur, Samia.
Je lui montre la paume de ma paume pour lui expliquer notre avenir. Il me croit, lui. On somnole, puis je m'endors carrément.
***
On atterrit dans un aéroport régional. Certainement pas celui de Pékin ou d'une grande ville. En descendant du jet, je me dis qu'on doit être dans le sud de la Chine, étant donné la chaleur. Les formalités douanières sont rapidement expédiées, on dirait que mon beau-père est "personna grata" ici. Il montre nos passeports, c’est curieux parce que je n'en avais pas !
Des Chinois nous attendent : il y a des poignées de mains et des courbettes, sauf pour nous. Ils parlent tous anglais, coup de chance. Mon beau-père nous désigne en disant :
— Ce sont les petits voleurs dont je vous ai parlé.
Sourires entendus des Chinois, ils voient très bien. Un gros homme ricane en me regardant et dit :
— Non allons les rééduquer.
Oh que ça ne sent pas bon ! Je me demande à quelle sauce soja nous allons être mangés.
Des voitures nous attendent. Julien et moi on est seuls dans une voiture avec deux hommes qui sont nettement moins souriants que ceux qui ont accueilli mon beau-père. Julien doit monter à côté du conducteur, tandis que je suis à l'arrière avec un autre homme. On quitte la ville. Il y a des champs mais aussi une végétation tropicale et puis il fait chaud... L'homme avec qui je suis se tourne vers moi, plonge la main dans mon décolleté et caresse mes seins moites en disant dans un anglais approximatif :
— Vous, les femmes occidentales, vous avez une seule qualité : des beaux seins !
C'est un peu restrictif, non ? Je réponds :
— Merci, monsieur. Qu'est-ce qu'on va nous faire ?
— Ouvrières de 3e classe.
— C'est dur Monsieur ?
— Vous êtes punies !
Ouais... On pénètre dans une vraie forêt de bambous, j'apprécierais si je n'avais pas une boule au ventre. Je regarde vite la paume de ma main, le changement positif est toujours là, écrit dans ma paume, ouf !
On roule un moment entre les bambous géants et on arrive devant l'usine. C'est un immense bâtiment à un étage. Il y a une entrée, entourée de parterres de jolies fleurs. J'aperçois mon beau-père qui monte les quelques marches avec ses collaborateurs. Je voudrais aussi prendre la grande entrée, mais au lieu de ça, on doit entrer par une petite porte. On arrive dans un grand bureau, une dizaine d'hommes et de femmes y travaillent. Il y a parfois un homme ou une femme devant leurs bureaux. Une Occidentale est nue et elle a l'air aussi mal à l'aise que moi. Le garde nous dit :
— Attendez derrière la fille.
Derrière le bureau, il y a un Chinois qui pourrait jouer les méchants dans un James Bond. Il interroge la fille en anglais... Je n'écoute pas, trop occupée à rêver de mon évasion. Enfin, à notre évasion...
L'interrogatoire de la fille se termine, le méchant la fait venir près de lui et il écrit une série de chiffres et de lettres sur sa cuisse, sans doute son numéro d'identification. C'est à nous, il dit :
— Donnez-moi vos papiers.
On lui donne nos passeports. Il regarde nos noms, vérifie dans une liste puis il a un petit rire grinçant et il dit quelque chose en chinois. Aussitôt, tout le monde nous regarde. On va les intéresser de plus en plus, car l'homme nous dit :
— Déshabillez-vous et déposez vos vêtements et bijoux ici.
Il nous montre une boîte en carton. J'enlève mes vêtements, mes bagues et mes chaînes, j'ai le cœur gros, car j'aime mes bijoux.
Nus, on est de nouveau le centre d'intérêt, surtout Giulia redevenue Julien. L'homme se lève et du doigt, il fait bouger rapidement le sexe de Julien en disant "ding, ding, ding".
Ça fait rire tout le monde. Quelques-uns doivent dire un truc comique, tout le monde rit à nouveau, sauf nous ! L'homme écrit aussi une suite de chiffres et de lettres sur nos cuisses, puis il nous dit aussi :
— Allez dans le local 4.
On entre dans une autre grande pièce. La fille qui était devant nous est là. Elle attend, appuyée contre un mur. Il y a une Chinoise assise derrière un bureau et un homme occupé à assembler des pièces de métal. On attend longtemps, sans oser se plaindre ni même parler. Je touche la main de la fille qui fait une légère pression sur ma main. Un tout petit peu de réconfort. C'est une jolie blonde mince, peut être une Danoise ou une Suédoise. Enfin, l'homme dit quelque chose à la femme. Celle-ci se tourne vers nous en disant :
— Inge, Samia, Giulia, venez ici, devant moi.
On obéit et elle dit à la blonde :
— Inge, tu es condamnée à 6 mois de travaux d'utilité publique, pour prostitution.
L'homme va derrière elle et il referme un collier autour de son cou. Ensuite, c'est à moi :
— Samia, tu es condamnée à 3 mois pour vol.
Puis, c'est le tour de Giulia. Le collier est froid, mais léger. Je regarde ce qui est marqué sur celui de la fille : Inge, puis son matricule. La femme nous dit :
— Vous garderez ce collier durant toute la durée de votre peine. Essayer de l'enlever est fortement déconseillé.
Elle me regarde et ajoute :
— Il permet de vous localiser où que vous soyez, tu comprends ce que ça veut dire ?
— Oui, Madame.
M'en fous, mon évasion est écrite dans la paume de ma main. La femme ouvre une porte et nous dit :
— Allez vous faire photographier.
On entre dans une petite pièce. Il y a un gros homme qui lit un magazine assis dans un fauteuil. Il se lève et prend une longue baguette de bambou. Mais on n'a rien fait ! Il nous dit :
— Il faudra être très obéissants, sinon...
Il fait siffler le bambou dans l'air. On a bien compris, là. Il nous examine et il a l'air très intéressé par Julien. Il lui dit :
— Mets-toi devant ce mur blanc.
Quand Julien est en place, il l'examine soigneusement, caresse ses fesses puis son ventre. Il s'arrête sur son sexe et il fait le même geste que la femme tout à l'heure "ding, ding, ding", en le tripotant. Mon mari se tortille un peu, ah, elle sait y faire, la petite salope. L'homme lui dit :
— Faut qu'on le voie un peu sur les photos. Je vais arranger ça.
Il se met à genoux et embrasse le minuscule service trois-pièces de Julien. J'espère que tous les Chinois ne sont pas devenus gay, car je compte sur mon physique pour m'échapper d'ici. Le Chinois lui caresse les fesses en même temps... Cette petite salope gémit et se fait aller et venir dans la bouche de l'homme. Je le connais bien et je vois quand il est prêt de jouir. Voilà, ça y est, il pousse des petits cris tandis que le Chinois déglutit. Soi-disant qu'il voulait qu'on voit le sexe sur les photos, maintenant qu'il a joui, il va avoir une bite de musaraigne pygmée !! Pardon, frère musaraigne, si ça se trouve vous en avez une énorme.
Julien caresse la main du Chinois en disant :
— Merci, Monsieur.
C'est ça, lèche-lui le cul pendant que tu y es. Bon, réfléchis Samia. Si Julien plaît à ce point, c'est très intéressant pour ton plan.
L'homme fait des photos de lui, de face de profil, à quatre pattes et même des gros plans de son sexe de musaraigne et de son anus. Ça sent la collection personnelle. Quand il a fini, c'est notre tour. Il nous dit :
— Vous, vous poserez à deux.
On se met devant le mur blanc. Il fait des photos de visages en passant de l'une à l'autre. Manifestement, il n'a pas de temps à perdre avec les filles. Il dit :
— Tournez la tête à gauche.
C'est le stress ou je ne sais pas quoi, mais je me trompe et Inge et moi, on se retrouve face à face, à la grande rage du Chinois qui prend son bambou et frappe mes mollets et mes cuisses. Sale brute ! Je pousse des cris en sautant sur place. Il me dit :
— C'est pour te foutre de moi ?
— Mais non, je vous jure, j'ai peur et...
— À quatre pattes !
On se met aussitôt en position, l'une contre l'autre, ce qui vaut à chacune un coup de bambou sur les fesses, tandis qu'il crie :
— Pas serrées, putains !
On se déplace et il fait des photos.
— Écartez vos fesses.
On le fait avec nos mains. Il hurle à nouveau :
— C'est pas assez, vous vous foutez de moi ! Toi, écarte les fesses de ces putes.
Julien vient se mettre à cheval sur mes reins et écarte bien mes fesses. Ensuite, il écarte les fesses de Inge. Le Chinois lui explique :
— Tous les anus sont différents, c'est comme les empreintes digitales. Les vulves aussi, mais je ne les photographie pas : c'est trop dégoûtant.
Seigneur, faites que ce soit le seul gay, ici. Il a fini et embrasse Julien sur la bouche. Il ouvre une porte et nous passons dans la pièce suivante. Sur un comptoir, il y a une série d'uniformes. Le magasinier est un mec pas mal du tout. Son œil s'allume quand il nous regarde. Ouf ! Un homme ! Je veux dire un vrai. Ayant vu les marques sur nos jambes, il dit en souriant :
— Monsieur Li n'aime pas beaucoup les femmes.
Je lui fais mon regard « Toi, tout ce que tu veux, quand tu veux » et j'ose lui dire :
— Mais vous, vous les aimez, Monsieur ?
— Moi, oui...
— Mon amie et moi, on peut vous sucer à deux, ça va vous plaire...
Il rit... hésite, puis répond :
— Pourquoi pas.
J'ai entendu que Inge est une pute. Une pute, ça sait sucer, non ?
Je lui dis :
— On le suce à deux ?
— ... Euh... oui...
On va se mettre à genoux devant le magasinier. Il écarte les cuisses pour nous faire une petite place. J'ouvre son pantalon et en sors des attributs d'homme, une belle bite, des couilles bien rebondies. Je tire sur la peau du sexe... et le lèche un moment, puis, je le passe à Inge qui a l'air tout intimidée.
Elle lèche timidement, j'appuie sur sa tête pour enfoncer complètement le gland dans sa bouche, puis je le reprends dans la mienne, car elle est nulle. Si elle c'est une pute, moi je suis bonne sœur ! Je m'apprête à lui montrer ma technique pour sucer une bite, mais il me dit :
— Tu fais ça bien, mais on continuera plus tard. On va être dérangés.
Je retire ce que j'ai en bouche pour répondre :
— Oui Monsieur, quand vous voulez.
Je suis déçue... mais je pense que je lui plais quand même, surtout que deux filles nues arrivent dans la pièce. Il savait qu'elles allaient arriver.
Il reprend son rôle de magasinier et nous donne des vêtements. Il s'agit d'uniforme en toile de couleur orange, comme dans les prisons américaines. Un pantalon qui s'arrête aux genoux, un tee-shirt et une petite veste. Dans le dos du tee-shirt et de la veste de Julien et moi, il est écrit « thief », « voleur » en anglais, plus des idéogrammes chinois. Pour Inge c'est « whore », pute. Et aux pieds ? Rien.
Quand on est habillées, il nous indique une porte pour aller dans le local suivant. Il me sourit... Ouf ! Je plais toujours.
À suivre
Mes livres avec des centaines de dessins de Bruce Morgan, sont ici :
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Bonjour a tous,
Je vous livre ce triptyque en vous donnant un peu de contexte afin que vous puissiez mieux comprendre le pourquoi du comment.
Il s’agit tout d’abord d’une fiction, et en aucun cas quelque chose que j’aurais vécu d’aucune maniere que ce soit. L’origine vient d’échange avec un potentiel partenaire très joueur adorant les questions/reponses bien kinky, des jeux de hasard avec des gages... qu’il realisait a chaque fois qu’il perdait... plus souvent qu’à son tour, etant moi meme particulierement joueur et creatif. Il m’est arrivé de perdre, et l’un de mes gages devait etre d’ecrire 3 histoires. Etant tres imaginatif, j’ai preferé ecrire une meme histoire en 3 chapitres. Bon pas facile a faire sur un telephone portable...
Derniere clé pour comprendre les themes, Alejandro (c’est son vrai prenom) exerce un metier decrit dans le texte, il est beau comme dieu, gay, tres soumis, adore les trucs bien crade, et la nature l’a doté d’un sexe a faire palir de honte un ane!
CHAPITRE 1
Premiere histoire, special dedicace, j'espere qu'elle te plaira...
Alex est un homme d'une trentaine d'année, pluto sportif avec un physique avantageux, et une situation professionelle maintenant bien etablie. Sophrologue dans un centre de soins, il recoit ses patients toute la journée. Entre deux rendez vous, il consulte ses emails, sur les differents sites de rencontre auquel il est abonné. Il est celibataire. Sa vie tourne rond, le soir il rentre chez lui apres avoir parfois pris un pot avec les collegues. Parmi eux il y a Leaticia, grande brune au regard enigmatique et aux courbes magnifiques qui se joint toujours a eux, car elle aimerait bien avoir une conversation d'un autre genre avec lui. Elle fantasme parfois, revant qu'il la prendrait sauvagement sur son bureau. D'ailleurs elle porte tous les jours, des robes , des jupes plus ou moins courte, haut moulant, ou chemisier montrant un avanageux decolté, sans compter de l'attention particuliere qu'elle apporte a ses dessous, porte jaretelles et bas quasi tous les jours. Mais Alex ne voit pas cela, car il est tout simplement gay, mais personne ne le sait, et il fait tres attention que cela ne se saches pas, de peur que cela nuise a sa reputation professionelle. Rentré chez lui, Alex passe son temps a mater des films porno gay et a tchater sur des sites de rencontres afin d'y trouver un partenaire, d'un soir, ou l'homme de sa vie.
Un jour ouvrant son courrier electronique il y trouve un email lui disant qu'il savait qui il etait et qu'il publierait des photos de lui a poil, en train de sucer ou de s'engoder sur l'espace public, dans son hall d'escalier, pres de son cabinet,... il fut surpris, trouva cela un peu choquant, mais pensant plutot a une mauvaise blague, ou une tentative de phishing, il detruisit l'email sans trop y penser. Le lendemain il recevait un email de cette meme personne disant "alors ptit pd tu sembles par avoir compris mon premier email. Ouvre la photo attaché et tu comprendras" de nouveau choqué par le ton vulgaire de la note, il clic neanmoins sur la photo attaché et manque de s'ettoufer. Une photo de lui a poil en train de se goder... il accuse le coup et lit machinalement la suite de l'email. "je sais bien qui tu es, et ton seul choix est de devenir ma salope soumise. C'est ton deuxieme avertissement" un peu assommé il doit partir au travail.
Durant toute la journée Son esprit n'arrete pas de penser a ce dernier évènement. La journée se passe et il rentre chez lui toujours perturbé, avec le sentiment d'avoir mal travaillé. Certes, il a souvent fantasmé de se faire dominer par un ou plusieurs mecs qu'il aurait choisi, mais là les circonstances étaient troublantes avec l'impression d'etre en presence d'un malade mentale. Arrivé chez lui sa concierge l'interpelle. "ah monsieur Alex, j'ai eu ça pour vous aujourd'hui" et elle lui tend un colis et une grande enveloppe craft, le tout adressé a son nom. En continuant de faire la conversation avec sa concierge il ouvre machinalement l'enveloppe et regarde a l'interieur. Il referme celle ci précipitement en rougissant. A l'interieur une photo de lui a poil en train de sucer une belle bite. Il écourte la conversation et monte chez lui rapidement, en panic!
Il s'enferme a double tour, puis se decide a ouvrir le paquet. Dedans il y trouve un plug commandé a distance, mais sans la telecommande sans autre explication. Il sort la photo de l'enveloppe et decouvre un texte au dos de celle ci. "C'est ton dernier avertissement ptit pute. Demain est ta derniere chance avant que ta vie public ne s'effondre. Demain, avant de partir au travail tu placeras ce plug dans ton ptit cul de salope. C'est super ce que l'on fait aujourdhui, il est couplé à mon telephone, et je peux savoir quand tu le mettras et le commander a distance, comme et quand je le voudrais. Si tu ne me crois pas, met le dans ta bouche durant une minute. Je te rappelle que c'est ta derniere chance".
KO par la tournure des évènements, Alex decide de faire l'essai, apres tout... il le lave avant ... on sait jamais avec ce taré... puis le place dans sa bouche. C'est froid, un peu lourd, et il y a une petite antenne qui sort de la partie exterieure, montée d'une sorte de pierre preciseuse rose. Au bout de quelques instants, son telephone vibre. un sms..."bon choix slave, je vois que tu commences a comprendre que je ne plaisante vraiment pas". Alex recrache le plug medusé par le sms qu'il vient de recevoir. La menace prend vraiment forme et est désormais concrete. Son telephone revibre... un second sms..."changement de programme, finalement tu vas mettre le plug dans ton cul de suite. Et tu auras le droit de le retirer que demain matin pour chier, et le remettre apres ta douche tu n'auras que 40 minutes pour faire cela. Et lave bien ton cul et le plug avant de le remettre. Et n'oublies pas, ta concierge est très sympathique et bavarde, sans parler de tes collegues, Gerard, Paul, Leaticia et Melanie."
Effondré et vaincu, Alex se deshabille. Le plug est assez gros, pas question de l’inserer sans preparation. Il lubrifie son cul avec sa salive, se doigte, d'abord avec un doigt, puis relubrifie, et y fourre 2 doigts, et se relubrifie encore et encore puis y fourre 3 doigts. En meme temps il suce copieusement le plug qu'il a posé sur la table basse, puis fini par se pluger, pas facile ,il est assez large avec cet electronique a l'intérieur. Il est finalement en place. De nouveau un sms..."bravo tu as fait le bon choix, tu es desormais mon esclave. D'autres instructions te parviendront, mais pour l'instant, tu vas te branler, jouir au sol, et bien nettoyer avec ta langue. Tu prendras une photo avec ta langue bien sortie et pleine de sperme et me l'enverra par sms. " a peine la lecture fini que le plug se mis à vibrer...
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Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse).
Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages...
Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm.
Nouvelles pages, nouveaux chapitres.
Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur.
Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour.
Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite...
Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais.
Monsieur V.
Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Imaginez-vous face à moi, l'inconnu. A la fois effrayée, à la fois fascinée. Ne sachant quoi ressentir, ni comment vous comporter.
Je vous dévisage de haut en bas, sans aucune gène, à vous faire ressentir qu'à cet instant vous êtes ma proie, et que vous n'avez pas mot à dire.
Votre esprit vous pousse à vous hérisser par instinct de défense, mais vous fait rougir l'instant d'après, en voyant mon sourire narquois à constater que cela ne va en rien me faire sourciller.
Vous entreprenez de me parler, pour éloigner cette gène des plus oppressantes, de vous ressentir enfant à l'heure de la punition.
La punition d'une vie, mise sur le bas côté.
J'empoigne votre cou de ma main ferme, et de l'autre vous lie à moi derrière votre dos. Incarcérée de mon étreinte, vous sentez la chaleur de votre corps s'intensifier, et votre cœur battre à la chamade.
Vous regardant droit dans les yeux, j'entreprends maintenant de vous prendre par la tignasse, projetant votre tête à l'arrière.
"Voilà ce que j'attends de toi" ; Vous dis-je d'une voix limpide et sans équivoque :
"Je veux que tu me fasses Bien Bander. Et pour cela, tu vas faire exactement ce que je te dirais de faire. Est-ce Bien Clair !?"
Me regardant, sans bouger d'un pouce, de peur de voir vos émotions déborder, et se disperser aux 4 vents, je prends en bouche votre cou.
Vous sentez mes lèvres sulfureuses... puis mes dents, pouvant vous croquer et vous assener un coup fatal.
Un coup pouvant vous marquer de mon empreinte de Mâle, prêt à se rassasier de votre chair devenue bien tendre...
Tout en maintenant mon étreinte, je vous laisse les bras ballants pendant que je caresse votre visage, et parcoure votre corps, en insistant bien sur cette poitrine qui ne tient qu'à être martyrisée par mes soins.
Faire ressurgir cette envie de servir l'homme dans son avilissement, et sa bestialité.
Je bute déraisonnablement contre vos tétons maintenant très durcis, avouant que ce n'est pas la délicatesse qui vous fera jouir. Mais bien mes besoins à me satisfaire entièrement de vous, sans la moindre concession.
Je vous retourne prestement, juste pour avoir le plaisir de sentir votre "petit" cul se frotter contre mes couilles. Une jolie attention que je m'octroie, et qui vous suggère, qu'il va falloir vous donner entièrement à moi pour que je vous offre ma Pine.
Nous dansons d'un ballet tournoyant, et constate que vous suivez bien le rythme de mon excitation.
Je vous amène prêt de mon lit, je m'assois, et vous met debout, droit devant moi.
Fébrile à ma vue, je fais le nécessaire pour dégrafer votre pantalon, l'abaissant jusqu'à vos pieds.
Je m'attarde maintenant sur votre culotte, que j'abaisse de gauche à droite de coups secs.
"Tu te dois de bien être mouillée, pour que je puisse bien te démonter la chatte."
"Mais peut être que j'aimerais plus encore que tu sois entièrement sèche, afin de me régaler de tes parois serrées."
"Voyons cela..."
D'un geste précis, j'engouffre mon index dans votre intimité, ne vous ménageant pas à bien tourner à l'intérieur, pour un recueillir toute la sève.
Ressortant ce doigt odorant et humide, je vous l'engouffre l'instant d'après, au fond de votre gorge.
"C'est un bon début."
"Alors comme ça, tu as laissé à l'abandon ce corps qui ne demandait qu'à servir !? Quelle honte."
Vous retournant sur le lit en position de levrette, je vous fesses maintenant d'une main claquante.
"C'est tout ce que tu mérite."
Marquant simplement quelques arrêts à empoigner votre tignasse, et regarder ce visage honteux qui ne sait plus où se mettre, à part se soumettre.
Je vous met à nue, vos vêtements volant dans la pièce.
Vous êtes sur le dos, vos mollets fermement empoignés par mes mains. Je vous relève, et vous écarte les jambes, pour m'offrir l'entière vue de votre corps m'appartenant.
"Ne bouge pas d'un pouce, Tiens la pause."
Je vous attache les mains aux pieds, de sangles en cuir.
Offerte, dans la position la plus obscène qui soit, je vous cale à hauteur de ma queue, que je ne vais pas sortir pour rien.
Je vous goûte d'une langue appuyée, de toute la longueur de votre fente, vous regarde de toute ma candeur d'homme, et vous pose la question suivante :
"Tu es quoi pour moi !!?"
« Je suis... tienne. Je t’appartiens. Je suis là pour ton plaisir. Je veux te montrer à quel point j’ai envie »
Je te prends par la mâchoire, et te fesses d'une main cinglante ton "petit" cul relevé.
"Tu parle trop."
"Tu es quoi Pour Moi !!?"
"Ta soumise."
A ces mots, tu te raidis de tout ton être, ne comprenant que trop bien ce que tu me signifie ouvertement.
Tu te sens calme dans l'esprit (Tu arrives à transformer cette situation en "défi"), mais ton corps lui est pris de panique, et se contracte au maximum.
Je ne desserre en rien ta mâchoire, et t'impose à bien ouvrir la bouche, et te faire tirer ta langue à l'extrême.
Lorsque j'estime l'avoir ouverte à ma convenance, je laisse écouler une longue coulée de salive, tombant d'abord sur ta langue, et s'infiltrant irrémédiablement au fond de ta gorge.
"Si tu l'ouvre, ce n'est pas pour raconter ta vie. Tu existes pour me servir. Ta bouche est un orifice que je vais éduquer à me satisfaire."
Appuyant bien ta tête contre mon oreiller, pour bien te le faire mémoriser.
Je m'éloigne l'instant d'après de ton corps, et commence à me déshabiller entièrement.
Tu as une sensation de fraicheur "bizarre", comme si la pression que je t'avais donnée, te gelait maintenant de toute tes entrailles, de mes deux mètres de distance.
Nue, offerte, souillée, attachée, tenant cette pose obscène... Tu refusais de t'avouer, d'autant plus à cet instant, que tu avais besoin d'un homme.
Mais tu ressentais ce "vide" mainte fois convoité par ton esprit. Laissant tes obligations et tes principes de côté, devenant bien obsolètes face à ta condition actuelle.
Ton regard était fixé sur mon corps, te remettant en "apnée" (Le souffle coupé).
Après avoir enfilé une capote, je me mettais à ta hauteur, ma queue butant maintenant contre ta vulve.
Je te fixais d'un air exigeant.
"Qu'est-ce que je t'ai dis !!!"
Spontanément, tu te surprends à ré-ouvrir ta bouche, et bien tirer ta langue comme jamais.
"J'aime mieux ça !"
Prenant ma queue et te la mettant directement au fond de ta chatte.
Je prenais maintenant un malin plaisir, à assoir mon poids sur toi, pour bien te la mettre jusqu'à la garde.
Tu te sentais plus vulnérable que jamais, laissant échapper un râle de satisfaction, autant d'inconfort.
Je maintenais cette pose, voulant que ta sève imbibe mon membre de l'intérieur.
A la fois, tu te ressentais serrée, à la fois ton corps se sentait à sa place à me recueillir.
Je commençais à te vriller le vagin en tournant à l'intérieur. Une danse que je t'avais préalablement appris à faire..., et ton corps emboitait le pas.
Mon premier coup te prit par surprise. Un coup de reins te faisant avoir un soubresaut. Une sensation nouvelle de possession prenant tout son sens.
"Tu es quoi pour moi !!?"
"Je suis celle qui est là pour te servir."
Je te caresse la joue, attendant une nouvelle mauvaise réponse de ta part.
"Ta soumise."
"Alors comme ça tu veux être Ma Soumise..."
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
"Parce que tu crois que tu me mérite !?"
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
Je te prends maintenant de mes deux mains sur ton cou, et simule une strangulation.
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
Par défi, et parce que le rythme te convient, tu te complais à avoir un sourire revanchard et rebelle.
Je me retire de toi prestement... Me rapproche de ton visage et te dis :
"Tu te crois où ici !!?"
Te sentant penaude. Tu aurais tendance à tourner le visage...
Mais je te recadre la tête aussitôt, remettant ma pine au plus profond de toi.
Un coup sec te signifiant que tu m'appartiens, et qu'à chaque coups de ma queue, je te donne de la valeur à mes yeux.
"Tu es quoi pour moi !!?"
"Ta soumise. Reconnaissante."
Te culbutant maintenant ouvertement avec excès, je visualisais ton devenir. Toi, cette femme qui parlait beaucoup trop.
Une projection, qui n'avait d'égale que ton sourire à encaisser mes coups de queue bien ancrés dans le présent, avec un plaisir non dissimulé.
(Ce qui était une avancée en soi)
Je m'arrêtais, me mettais à la hauteur de ton visage, et te murmurais à l'oreille :
"Qu'est-ce que j'attends de toi !?"
La suite par vos mots...
*Jeu ludique sans limitation de durée.
Scénario à construire et à incrémenter par "vous" femmes prétendantes Soumises /Soumises Novices ou expérimentées.
Un écrit dans les commentaires de votre part = Un écrit du mien à sa suite, pour conserver le rythme du scénario.
Si doublon, par deux membres s'exprimant dans le même temps dans cet exercice de style = Je choisirais l'écrit le plus pertinent.
Je m'occupe de la modération pour conserver la lisibilité des écrits.
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Le journal de Julien.
« Ma vie dans les toilettes » par Julien
*******************************
Ma vie est beaucoup plus simple depuis que je connais Samia. Parfois, c’est dur, mais à d’autres moments, je suis au paradis. Je ne bois plus que lorsqu’elle me le permet, je ne prends plus de coke et je n’ai plus d’idées suicidaires.
J’accomplis soigneusement le travail qu’elle m’a dit de faire. Je dois avouer que je n’ai pas été brillant dans les différents postes que mon père m’a confiés. Donc mon travail actuel est mérité. Samia a donné tous pouvoirs à Lisa pour m’obliger à m’appliquer.
Aïe ! Samia est venue lire au-dessus de mon épaule. Elle me recadre :
— Pas d’états d’âme, des faits.
— Oui Samia...
— Explique à quel point ça te fait plaisir de te sacrifier pour moi, et ce qui se passe d’intéressant dans les toilettes.
— Oui S...
— Écris !! Qui est Lisa ? Et puis ta journée d’hier.
Lisa est ma chef. C’est une petite femme d’une quarantaine d’années assez forte. Elle est énergique et sévère. Elle m’apprend à m’appliquer. Les toilettes dont j’ai la charge doivent être impeccables.
Le matin, je me lève à 5 h 30. Je dors sur un matelas près de la porte de la chambre pour ne pas réveiller Samia. Je vais dans la cuisine, je prépare tout pour son petit déjeuner, sauf le café. Je déjeune, je prends une douche et je m’habille.
Pour me rendre à l’usine, Samia m’a acheté un vélo. Elle a besoin de la voiture, donc je ne peux plus l'utiliser.
L’après-midi, mon travail se termine à 15 h. Je vais faire les courses... à vélo, puis je rentre faire les corvées que Samia a décidées. Il n’y a donc plus personne pour s’occuper des toilettes à partir de 15 h. C’est impossible d’interdire aux ouvriers d’y aller. Le délégué syndical, Monsieur Desallié, nous menacerait d’une grève illimitée, comme dit Samia.
Le matin, vers 7 h, je commence à m’occuper des toilettes qui en ont bien besoin. Les hommes qui pissent à côté, ça peut paraître normal, mais les femmes comment elles font pour pisser à côté ? Il y a même parfois des gens qui vomissent dans la cuvette. Quand ça tombe à côté, c’est pénible à nettoyer.
À 8 h du matin, les toilettes sont impeccables, mais c’est l’heure où les ouvriers arrivent. On pourrait croire que certains n’ont pas de toilettes chez eux, tellement ils sont nombreux à faire leurs besoins à l’usine. Lisa arrive à 9 h et vient vérifier. Je suis passé avec ma serpillière derrière tous les hommes et toutes les femmes qui sont entrés ce matin. S’il y a la moindre trace ou la moindre tache, ça se passe comme ça. Elle crie :
— Julien !
— Oui Madame Lisa.
— Viens ici... Qu’est-ce que c’est, ça ?
Ça, c’est une petite flaque d’un homme qui a mal dirigé son jet. Si elle est de bonne humeur, je dois me mettre à genoux et elle frotte mon nez dedans. Elle me dit presque chaque fois :
— C’est ce qu’on fait avec un petit animal malpropre. C’est ce que tu es, puisque tu n’as pas nettoyé.
— Pardon Madame Lisa, mais il y en a beaucoup qui viennent déjà à 8 heures.
— M’en fous, faut que ce soit impeccable, tu n’as qu’à te dépêcher.
Si elle est mal lunée, ça se passe de la même façon, sauf qu’elle m’oblige à lécher la flaque au lieu de mettre mon nez dedans ! Et... ce n’est pas très hygiénique. En plus d’être humiliant, puisqu’elle fait ça devant les personnes qui sont dans les toilettes. Les ouvriers sont ravis de voir le fils du patron être traité de cette façon. Je crois qu’ils s’amusent à pisser à côté exprès !
À 9 h 30, c’est le meilleur moment de la journée, car Samia me rend visite. Je vais avec elle dans les toilettes pour handicapés. Elle s’assied sur un des w.c. et elle... fait. Lorsque c’est fini, elle utilise une seule feuille de papier. Pas plus, parce qu’elle ne veut pas qu’on déboise des forêts pour se torcher. Ensuite, elle se penche et je dois la lécher pour que ce soit impeccable.
Hélas, elle ne reste pas longtemps...
Il lui arrive pourtant de revenir. Par exemple, il y a quelques jours, elle est venue avec un homme. Bien sûr, ce n’est pas facile pour moi de voir ma femme chérie avec un autre homme, mais je suis lucide. Je sais bien qu’avec mon sexe, je ne peux pas la satisfaire, or elle a droit au plaisir. Elle m’a bien expliqué que si je l’aime, inutile d’essayer de lui proposer un sexe qui ferait honte à un enfant de 8 ans... Je n’ai qu’à m’en servir de ma langue.
Il y a une dizaine de jours, je nettoyais, quand Samia est arrivée avec un homme que je connais : c’est un des chauffeurs de camion. Il a une quarantaine d’années et il est plutôt séduisant, dans le genre viril et tatoué. Je connais même son surnom : « Diesel » ! Un jour, mon père m’a chargé de lui dire de mieux garer son camion. Il m’a envoyé me faire voir ! Depuis lors... je ne l’aime pas beaucoup. Il me regarde avec un grand sourire qui fait étinceler deux prémolaires en or. Samia me dit :
— Fais-nous les honneurs de la chiotte VIP.
— Oui Samia.
C’est comme ça qu’elle appelle la toilette pour handicapés. On entre, Diesel s’assied sur un w.c. et prend Samia sur ses genoux. Elle me dit :
— Figure-toi qu’une méchante envie de baiser m’est tombée dessus à l’improviste. Alors je me suis promenée dans l’usine et dans la cour. Et là, Diesel m’appelle pour me dit : « J’ai rêvé de vot' cul cette nuit, Madame de Préville, et je lui faisais sa fête. » Tu me connais, ce genre de phrase dite par un bel homme viril, je ne peux pas résister. Normal, non ?
— Oui Samia.
À ce moment-là, Diesel a déjà déboutonné son chemisier pour lui caresser les seins... Elle continue en gémissant un peu :
— Mais je suis une femme fidèle. Enfin, presque. Donc je ne sais pas avec qui je vais assouvir cette envie de baiser, lui ou toi ? Disons à celui qui a la plus grosse bite. Allez, baisse ton froc.
Samia aime bien jouer... et comme elle n’a pas beaucoup de patience, j’ouvre mon pantalon pour le descendre jusqu’à mes genoux. En dessous, j’ai une culotte « Petit Bateau »... Une vraie, qui monte jusqu’à la taille et qui a une ouverture pour sortir le sexe. Diesel commence par rigoler, puis il me dit :
— T’es à la mode de 1935 ?
Samia répond à ma place :
— Tu vas voir pourquoi je lui fais porter ça.
Puis à moi :
— Baisse-le !
Je le descends et là Diesel éclate de rire. Après s’être calmé, il dit :
— On va mesurer.
Il baisse aussi son jean, son slip et exhibe un énorme sexe qui bande à moitié. Il vient le mettre contre le mien. Samia me demande :
— Qu’est-ce que tu en penses ?
— Il... il a gagné.
— Tu es sûr ? Regarde bien. Mets-toi à genoux.
J’obéis et je me trouve nez à nez la grosse bite. Samia ajoute :
— Monsieur Diesel voulait faire un brin de toilette avant de me baiser et je lui ai dit que tu avais tout ce qu’il faut dans ta bouche pour le laver.
Je tire quand même sur la peau pour dégager le gland. Ouch ! Il sent fort ! Il me dit :
— Commence par me lécher les couilles.
Je fais ce qu'il demande.
Rapidement, il me met son gland contre la bouche. Je le lèche avec difficulté tellement l’extrémité est grosse. Au début, le goût est écœurant.... Je lèche soigneusement pour qu’il soit impeccable quand il va pénétrer Samia. Diesel me caresse la tête en disant :
— Tu fais ça super bien, petit... Tu devrais ouvrir une station de lavage de bites.
Ils rigolent tous les deux. Samia enlève sa robe. En dessous, elle est nue. Diesel me dit :
— Je crois que ta femme a envie que je mette ma bite bien au chaud dans sa chatte. Elle est parfaitement propre ?
— Oui Monsieur.
— Alors c’est toi qui vas avoir l’honneur de l’enfoncer dans le sexe de ton épouse.
Dès qu’il s’agit de Samia, je passe du dégoût de lécher la bite de Diesel au plaisir de l’introduire dans la délicieuse chatte de Samia... Elle m’a appris comment faire... Je frotte le gros gland le long des lèvres mouillées... Il me dit :
— Pousse-toi !
Il la prend par les hanches et s’enfonce en elle d’un grand coup de reins. Elle pousse un cri de plaisir.
Tandis qu’il va et vient en elle, quelqu'un frappe à la porte et j’entends Lisa dire :
— Tu es là Samia ? Je dois te parler.
Samia me dit d’une voix un peu hachée :
— Ouvre la porte.
Je lui obéis, Lisa s’exclame en entrant :
— Oh ! Pardon, je ne savais pas que tu étais occupée. Bonjour Diesel.
— Bonjour Lisa.
Samia, toujours occupée à se faire limer, lui demande :
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Il y a ton beau-père qui te cherche partout. Il veut nous parler à toutes les deux.
— Il n’a qu’à attendre un peu... Reste, on a presque fini. Hein mon chéri ?
C’est à Diesel qu’elle s’adresse... Il lui donne une claque sur les fesses en disant :
— Arrête de parler, ça me fait débander.
— Pose un pied sur le bidet, Julien va te ranimer.
Oh non...! Enfin, je veux dire, si c’est pour le plaisir de Samia... Elle me dit :
— Lèche-lui le cul. S’il ne bande pas dans cinq minutes, tu seras puni.
Aussitôt, je me mets à genoux face au gros derrière musclé de Diesel. Je pose une main sur chacune de ses fesses et enfonce ma langue dans un anus entouré d’une forêt de poils noirs. Puisque c’est pour Samia... je lèche énergiquement. Lisa commence par rigoler en voyant ça, puis elle dit :
— Quel lèche-cul, ce Julien !
Heureusement, Diesel rebande vite. Il donne un coup de reins pour que j’arrête, puis va s’enfoncer de nouveau dans la chatte de ma femme. Il se remet à la baiser énergiquement. Samia lui dit :
— Oh putain, c’est bon...
Il accélère encore un peu et elle jouit bruyamment. Quelques instants plus tard, il éjacule en elle. Je connais la suite sur le bout des doigts ou plutôt de la langue. Je me couche sur le sol et elle s’accroupit au-dessus de ma bouche, mais pas tout contre. Elle leur explique :
— Julien, son truc, c’est le nettoyage.
Elle pousse et une grosse bulle d’un mélange de sperme et de ses sécrétions sort de son vagin comme un petit globe de verre sortirait de la canne d’un verrier de Murano ! Diesel et Lisa sont très intéressés par le spectacle. Après deux autres bulles, Samia pose sa chatte sur mon visage pour achever le travail en se frottant à moi... Diesel lui dit en riant :
— Putain, j’adore te voir t’essuyer la chatte sur son visage !
Samia se relève, moi aussi. Diesel me dit en rigolant :
— Merci de m'avoir prêté ta femme, petit.
— Avec... plaisir, Monsieur Diesel.
Comme Samia me jette un regard, j’ajoute :
— Et merci d’avoir aussi bien baisé ma femme, Monsieur Diesel.
— Ce fut un plaisir, petit, je recommence quand elle veut.
Hé oui, je fais des mondanités dans les toilettes, avec un homme qui vient de baiser ma femme adorée... Il prend Samia contre lui et l’embrasse sur la bouche. Elle répond à son baiser, puis le repousse en disant :
— Diesel, attention, mon mari pourrait nous voir !
Ils rient tous les trois... Moi aussi. Un peu... Ils s’en vont.
Entendons-nous, j’ai détesté lécher ce type, mais grâce à ça, j’ai pu avoir... un peu d’intimité et de complicité avec Samia.
Je prends ma raclette, ma serpillière et je sors...
***
Depuis lors, Samia vient deux fois le matin. D’abord pour... se soulager. Ce qui me permet de lécher son adorable anus, ensuite elle revient avec Diesel.
Aïe ! Samia est revenue lire ce que j’écris !
— Raconte ce qui s’est passé hier midi, allez !
Oui, euh... Hier midi, Lisa est arrivée avec un ouvrier que je connais de vue et de mauvaise réputation. Il a déjà eu des problèmes de bagarre. Mon père le garde parce qu’on fait appel à lui en cas de coup dur. Il me dit en se marrant :
— Il paraît que ta femme se couche et écarte les cuisses quand on lui dit de s’asseoir.
— Mais...
— Cette salope est déjà partie et j’ai une méchante envie de me faire sucer la bite... Lisa m’a dit que tu la remplaçais. Quant à elle, je l’enfilerai demain.
Il ouvre son jean et exhibe un très gros sexe à moitié dressé. Lisa ouvre la porte d’une des toilettes en disant :
— Vous serez mieux ici.
À suivre.
Mes livres illustrés par Bruce Morgan sont ici :
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