La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 10 heure(s)
Elle s'est pas méfiée la Josette en discutant avec son IA. Elle s'est sentie bien de suite. Elle pouvait causer de tout et de rien. C'était toujours respectueux et  intéressant   jamais creux ou futile. Cela changeait de ses petits copains du lycée, vides comme des canettes de soda après usage et d'un niveau de discussion à peine supérieur à celui des salades. La elle pouvait parler de tout et même de sexe. Elle avait choisi l'option payante pour ses études, moins bridée.  Elle a créé un avatar,  cherche la voix qui lui plaisait. Elle voulait un garçon très androgyne. Un brouteur délicat de minous  pas un empaleur. Et elle n'a eu aucun mal à obtenir de délicieux  orgasmes  portée par cette voix douce qui donnait des instructions de caresses. Elle ne pouvait plus s'en passer. Écouteurs sur les oreilles, elle suivait cette voix délicate et laissait ses doigts fins faire le reste. Au moins dix fois par jours, sans compter les nuits torrides entre sexe et philosophie.  Et l'impensable est arrivé.  Elle est tombée amoureuse de son IA. Elle voulait qu'elle s'incarne et devienne réelle pour se marier avec son IA. Elle a contacté un célèbre fabricant de robots. Oui, c'était possible des à présent mais vu sa demande, cette société lui conseilla d'attendre encore un peu. Les nouvelles générations étaient sans cesse plus performantes et moins coûteuses.  Josette patienta deux ans. Un jour son robot d'amour lui fut livré. Il était splendide. Elle l'épousa aussitôt.. Le meilleur brouteur de minou qui se puisse imaginer. Josette découvrit alors cette chose rare....l'état orgasmique permanent.. 
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Par : le 06/02/25
Il est tard, je le concéde... presque 1 heure du matin... Dans 4 heures, je claquerai des dents et j'aurais des frissons,  car chacun fait ce qu'il lui plaît, plaît, plaît ! Alors ce post comporte tous les défauts qui vont avec ! Mais je voudrai revenir sur un terme... Celui de "Brat"   Je suis parfaitement conscient que mon post va  paraître 'vieux con", celui qui a tout vu, tout entendu... Mais quand j'ai commencé le BDSM -et oui ! il y a déjà 25 ans, un temps que les jeunes de moins de 20 ans ne peuvent pas connaître !!!- il n'y avait pas cette "mode" de mettre des adjectifs pour un oui, pour un non, et la sexualité etait binaire, tout comme les rôles: Masculins/féminin, Maître/ soumis voir esclave... Point. On peut être d'accord ou pas, mais , au moins, les choses étaient claires ! En réalité, il n'y a que depuis peu que le mot "brat"  est apparut.... Peut-être une bonne idée de cours pour l'histoire de l'apparition des termes dans le BDSM  dans une école BDSM (avec punition à la clef, cela va de soi !) Ceci dit... Outre le coté terme, être "Maitre" peut facilement monté à la tête... Le BDSM est en soi un appel d'air pour tous les psychopathes, les pervers narcissique ayant juste vu une ou deux vidéos BDSM... Les empereurs Romains avaient, lors de leur "Triomphe" un esclave qui portaient la couronne de laurier tout en répétant sans cesse: "Souviens toi que tu n'es qu'un homme" Le coté "Brat"  puisque le terme à pris, a ce coté: rappeler au Maître qu'il n'est qu'un homme... Mais je reste de la vieille école: une femelle se soumet, ( se sous-met) et donc accepte les décisions de son propriétaire ou pas... Pour continuer avec une  analogie historique,  dans  les temps anciens... A-t-on jamais vu un satrape, recevant un ordre de son empereur dire: "oui, j'entends ce qui est dit, mais je suis "brat," donc je me permets de lui dire que je l'emmerde?" ! Youpiee : je fais ce qui me plaît et emmerde mon empereur car je suis brat !!! J'entends les ordres mais mon coté brat fait que...( mettre ce que vous voulez)..??? UN PEU DE SÉRIEUX QUAND MÊME!!!    
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Par : le 05/02/25
Pour celles et ceux qui ont lu mes articles précédents, je pense qu’il est clair que la relation que j’ai avec mon Maître n’est pas la relation idyllique que je rêverai d’avoir.  D’ailleurs,  je me souviens qu’il y a 7 ans, après notre rencontre, je m’étais déjà inscrite ici pour trouver partager mes doutes, trouver des conseils, de l’aide, voire du réconfort. Ces derniers jours, j’ai parcouru de nombreux profils sur le site et j’avoue que j’y ai découvert, non sans une pointe d’envie, de très belles relations : profondes, complices, respectueuses, avec une totale confiance ; tout comme celle que j’ai avec mon Maître. Seulement, elles intègrent une chose que nous n’avons pas : l’amour… Lorsque j’ai retrouvé mon Maître il y a quelques mois, je me suis dit que ça durerait le temps que je retrouve un amoureux. C’est d’ailleurs une des clauses de rupture de notre contrat. J’ai en effet besoin d’aimer et d’être aimée, de partager, de donner, de recevoir, de donner du sens à ma vie. Et comme par le passé, mes sentiments pour mon Maître m’ont assez vite dépassée. Ainsi que je l’ai expliqué dans « Les retrouvailles », après une mise au point entre nous et une grande réflexion de ma part, j’ai réussi à prendre sur moi, à me dire que ce béguin était sans importance, que c’était juste une conséquence de notre relation très physique et psychique, ô combien fusionnelle, et que ma force mentale me permettrait de passer au-dessus. Pour le moment, tout va bien, mais je sens que le manque d’amour va se faire ressentir tôt ou tard et que je devrai y faire face pour ne pas entrer dans une souffrance que je pourrais - et devrai - éviter… Quels choix s’offrent donc à moi ? Si j’avais les aptitudes du Dr Frankenstein, je créerai mon Maître idéal : le mien, mais doté en plus du sentiment amoureux. Chimère… Le quitter et partir en quête du prince charmant ? Le gros problème est que si ce dernier aime la vanille, je serai comblée amoureusement, mais très frustrée sexuellement (et là j’entends aussi bien au niveau physique que mental). Parce que la soumission, je m’en suis parfaitement rendue compte aujourd’hui, fait partie de moi. Vivre sans ? J’ai réussi durant 7 ans, sans frustrations (à part les premiers mois) mais là je sens que ce serait différent... Le quitter et partir en quête d’un autre maître ? Un peu utopique… C’est déjà très difficile aujourd’hui de trouver un partenaire de vie qui nous convienne, alors en trouver qui partagerait en plus cette attirance, ce besoin… et avec qui j’aurai la même connexion que celle que j’ai aujourd’hui avec mon Maître,   je ne sais pas si j’aurai le courage et surtout la patience d’entamer cette recherche. Et faire le tri parmi les très nombreux pseudos dominants en quête d’une esclave sexuelle. Ça me fatigue rien que d’y penser… Pour le moment, je vais continuer mon petit bout de chemin avec lui, en espérant que… tout ira bien. Ou peut être le kidnapper, lui qui aime tant les scénarios, et l’enfermer pour l’avoir tout à a moi, tout le temps :D PS : si vous connaissez un marabout qui saurait concocter une potion ou un sort d’amour, je suis preneuse ;)      
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Par : le 05/02/25
Si je n'ai plus donné beaucoup signe de vie sur ce site, c'est que j'avais envie d'écrire. Ce que j'ai écrit, ce sont des petits syllabus de quelues pages dont vous pouvez prendre connaissance en cliquant sur le lien: - la convention de soumission - la masturbation et ses bienfaits - le massage prostatique - le ball-stretching D'autres documents relatifs à des séances particulières (comme le jeu de la cire chaude) sont en préparation.      
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Par : le 04/02/25
Les années passent mais notre rituel commun reste le même, à savoir passer les derniers jours de l’année et les premiers de la suivante, ensembles. C’est toujours un plaisant moment d’être à tes côtés. La première mission qui m’a été allouée est de réaliser une série de clichés pour changer ta photo de profil parmi celles réalisées. C’est néanmoins à deux que nous définissons le cadre général ; à moi de faire les meilleurs clichés possibles pour te rendre le choix compliqué . Tu as déjà ta petite idée sur la question. Comment pourrait-il en aller autrement avec ton imagination fertile ? Ce sera donc la robe noire soulignant toutes tes formes et dévoilant ta jambe gauche avec sa longue fente bordée d’un double liseré blanc et rouge, quant à tes pieds, ils seront parés et rehaussés de superbes levity pumps noires. En ce qui me concerne, la tenue est plus habituelle : collier au cou, bien évidemment, le boxer noir à laçages laissant largement apparent mon postérieur rebondi, et un petite touche « d’inconfort » avec la paire de moufles pour mes mains. C’était sûrement pour simplifier la tâche qui allait m’incomber juste après. En effet, j’avais la charge de dérouler le tapis rouge sous tes divins pas. Où plus exactement de placer de jolis coussins rouges sous tes délicates semelles. Autant dire que je me suis un peu exercé pour arriver à les manipuler tant bien que mal le tout avec une vision limitée par la cagoule légère. Oui, je confirme. Ma Maitresse adore les choses « simples ». Une fois les réglages photos réalisés, nous pouvons nous lancer, avec une certaine réussite en une seule prise, les coussins venant amortir ton pas aérien tandis que la canne ajoute une certaine touche de majesté. Je suis toujours fier d’apparaitre ainsi à tes pieds. Cette mise en bouche exceptionnelle ne nous a pas détournés de notre habitude de Janvier. Après tes différentes propositions, j’émets une préférence pour la longue robe rouge et les talons noirs. Une combinaison ma foi fort exquise pour les yeux, certes déjà conquis depuis belle lurette. Et la première de nos traditions à respecter consiste à transmettre nos vœux … à notre manière, autant dire que je sers assez souvent, pour ne pas dire quasiment tout le temps, de carte de vœux vivante … mais muette. Mon flanc gauche se voit affublée d’un très classique et sobre « Bonne année 2025 » tracé au fard à paupière … pour permettre un nettoyage plus doux, sans éponge verte. Ma Maitresse est trop bonne avec son soumis. Pour ma part, je gagne une libération de mes mains, les moufles étant retournées dans le coffre à malices. Il faut dire que tu souhaites que j’en profite pour te présenter en guise d’offrande un des floggers de ta collection, tandis que tu t’installes dans ton fauteuil qui fait un parfait trône pour ta majesté. De temps en temps, les plis rouges laissent apparaitre, sans tout dévoiler, une seconde paire d’escarpins, suggérer plutôt qu’afficher … un art que tu maitrises depuis longtemps. Magnanime, à l’issue de la séance photos, tu te charges même du démaquillage de ton inscription. Me voici bien chouchouté. Une matinée qui ouvre l’année au mieux (bon d’accord c’était déjà le deuxième …). Après une pause bien méritée, et une bonne sieste, nous sommes en pleine forme pour la soirée qui s’annonce, la première d’une belle série, sans aucun doute. Une fois n’est pas coutume, quoi que, tu n’exiges qu’une seule et unique chose pour ma tenue nocturne : mon collier classique. Va falloir songer à me réchauffer pour pallier à l’absence du moindre centimètre carré couvrant mon corps, hormis les moufles qui viennent emprisonner mes mains. Mais dans un premier temps tu me fais installer sur le lit, étendu sur le dos mais les jambes le plus repliées possible et les pieds posé près du bord. Tu te saisis alors de tes deux cordes bleues en coton pour m’immobiliser avant la suite, préambule a priori indispensable. A croire que je serais un soumis hyperactif qui ne tiendrait pas en place. La première contrainte consiste à nouer fermement mollet et cuisse, ce qui ne va pas sans griffes égarées tant le passage est étroit pour insinuer les cordes. Mais après quelques minutes d’effort, tu es satisfaite du résultat et tu poursuis par une savante et esthétique parure de la cheville et des orteils. Si, si, même eux sont mis en valeur. Bien évidemment la deuxième jambe reçoit le même traitement. Cette fois, ton modèle est près à recevoir tous les tourments que tu as imaginés. Etonnamment, tu m’as laissé la vue libre, quoi que j’essaie de ne pas regarder pour laisser de la place aux autres sens. Dans un premier temps, je soupçonne que tu sois en train écrire quelque chose sur mes couilles, juste à la base du pénis. Néanmoins, j’ai quelques doutes tant la sensation ne ressemble pas vraiment à celle que je connais quand tu viens « graffer » sur les autres parties de mon corps. Il me faudra attendre les images pour avoir le fin mot de l’histoire. Question d’habitude ! Quelques griffes ne peuvent s’empêcher de venir titiller cette zone intime et sensible particulièrement accessible. J’entends ensuite que tu manipules quelque chose sur ma droite. Si le bruit caractéristique du nitrile trahit le fait que tu es en train de te ganter (chic alors, j’aime bien la sensation …), je reste circonspect sur la signification du son de ce qui ressemble à une boîte. Mais que me réserves-tu donc ? Mes neurones s’affolent sans pour autant trouver la moindre explication. Mieux vaut attendre et profiter. C’est alors que je sens le contact de ton gant sur mon intimité. Effet du froid, cerveau bloqué, raison inconnue ? Toujours est-il que ta cible reste de marbre, en mode escargot planqué. Pourtant tu y mets du tien pour obtenir une certaine tension, indispensable à ce que tu as en tête. Je me désole de ne pas être à la hauteur alors même que je viens de voir ce que tu me réserves. Heureusement, tu es patiente. Tu insistes. Tu réchauffes mon intimité sans évolution notable, me semble-t-il. Un soupçon de dépit serait-il en train de surgir ? Il semblerait que tu présentes ta sonde devant mon urètre sans réussir à entrer. Du moins sont-ce les signaux que mon cerveau reçoit. Et là, je perds le fil. J’ai l’impression que le déclic vient de la pince à grelot que tu viens placer sur mes couilles (à moins que ce ne soit le contraire. Toujours est-il que je sens une certaine raideur venir. Pas une minute à perdre, je sens que tu t’empresses d’explorer cet orifice enfin accessible. Rapidement des gémissements de satisfaction jaillissent de ma gorge. Il faut dire que tu as entrepris les premiers mouvements. Désormais, cela semble rentre comme dans du beurre. Par moments, j’ai bien l’impression que tu utilises ta main parée de noir pour serrer mon membre au passage de la sonde pour en décupler les sensations. Comme à chaque fois, je perds les pédales, n’étant plus capable de dire si la sonde est dedans … ou dehors. Pourtant à t’écouter, elle avance toute seule et de toute sa longueur ou presque. C’est quand même particulier de se faire « baiser la queue » pour parler crument. Et pourtant que les sensations sont plaisantes : je crois que cela s’entend à mes râles. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, sauf que je ne me suis pas forcément rendu compte immédiatement que je n’étais plus envahi. A croire qu’il y aurait dans cette partie de mon anatomie un interrupteur directement relié au cerveau. Etonnant ! Troublant ! Débarrassé de cette tige métallique, je sens la présence d’un liquide frais dans mon sillon fessier. Puis je perçois que tu pousses, progressivement. Quoi, je n’arrive pas à le déterminer. J’ai même la sensation bizarre que je résiste (alors que …), genre je m’opposerais à cette intrusion gantée pourtant parmi mes goûts. Encore une fois, mes neurones semblent en grève. Que se passe-t-il ? Est-ce que tu es en train de me pénétrer ? Je pense que oui. Comment ? En l’absence d’arme sur les lieux du crime, j’en ai déduit que ce devaient simplement être tes doigts qui s’immisçaient. Mais pour être franc, j’ai juste profité du moment sans en comprendre l’origine. C’est quand même perturbant comme situation ! Surtout pour moi qui aime comprendre les choses. Lâcher prise ? Probablement ! Après cette première partie, toute en explorations, tu allumes une bougie, une des noires, prétendument basse température. Bien heureusement je ne suis pas trop douillet pour cela. Lorsque la fusion est bien entamée, tu commences par t’attarder sur ma gauche pour être juste au-dessus de mon téton. Tu le décores d’une petite couronne, comme si je portais un bijou de sein. Tu es toujours très inspirée. Joli à regarder alors que la mise en place est un stimulant plaisant. Après cette parure au niveau de la poitrine, tu te déplaces pour revenir à porter de mon intimité sur laquelle tu laisses tomber une série, transformant mon pénis en une sorte d’étrange coccinelle. Une décoration plus habituelle que je soupçonne d’être simplement planifiée pour mieux justifier la suite. Car au souffle qui emporte cette fragile flamme sur sa tige noire succède un objet fin et élancé, tout en longueur et « délicatement » terminé par une étroite claquette. Je veux parler d’une de tes cravaches, celle que tu privilégies le plus souvent dès qu’il s’agit d’aider ton nounours à se décirer, ou plutôt devrais-je dire à subir un décirage. Je l’aime tout autant que je la redoute car dans tes mains elle peut se faire tantôt claquante, provoquant immédiatement un petit cri de ma part, tantôt effleurante ce qui a le don de me faire rire. Quoi qu’il en soit, tu t’acquittes à merveille de la tâche tout en laissant un maximum de cire sur la poitrine. La corvée m’incombe d’essayer de la retirer comme je peux sous la douche après la séance, en essayant d’éviter l’auto-épilation. Les lanières d’un des floggers viennent finir de me stimuler, enfin surtout à l’entrejambe. Mais pourquoi une telle focalisation sur ce point sensible s’il en est surtout chez moi. Malgré les liens, c’est l’assurance de me faire gigoter, couiner, tenter d’esquiver …. En vain. Il est alors temps de me libérer de mes liens. Tes yeux brillants témoignent de ton ravissement à voir les marques laissées par les cordes sur mes cuisses et mes mollets. Cela eut été dommage de ne pas immortaliser ce moment fugace. La pince clochette m’abandonne aussi ici et retourne dans son écrin. Une fois libéré, tu me faire retourner pour finir à quatre pattes, les dos le plus cambré possible, pour autant que ce soit possible, et le postérieur fièrement dressé vers toi. C’est d’abord la spatule en bois que je reconnais sans trop d’hésitation. Quel autre objet provoque un impact aussi claquant sur cette largueur ? Marques rouges assurées, et chauffage du postérieur en quelques minutes à peine, le tout générant une symphonie de claquements. La mise en température réalisée, je note que la dureté et la fermeté font place à la souplesse des lanières d’un de tes floggers. Disons que celui-ci offre une intéressante alternance, comme le ying et le yang, le chaud et le froid. C’est différent et moins mordant mais agréablement stimulant, un peut partout sur le corps, tout du moins les parties qui te sont accessibles. J’apprécie tout particulièrement la série de claques à mains nues sur mon popotin rembourré. Un goût de trop peu, éventuellement, mais il faut savoir profiter des bonnes choses. Et puis, en excellente cuisinière des jeux d’impacts, tu sais ajouter les bons ingrédients au bon moment. Dans la recette du nounours de nouvel an est venu le tour d’un souffle reptilien, la langue de dragon version longue vient s’abattre à plusieurs reprises sur mon dos. Cela claque sec m’arrachant au passage des râles de satisfaction. Enfin … jusqu’à ce que, par inadvertance, la lanière vienne me cingler dans le sillon fessier. Ouch ! Je ne peux réprimer un cri. Je crois même que j’en frémis pendant quelques secondes avant de reprendre mes esprits pour profiter des cinglements suivants que tu m’appliques tantôt dans un sens tantôt dans l’autre. Ca va être un vrai sac de nœuds si quelqu’un essaie de lire dans les fameuses marques en forme de losange disséminées en toutes directions. Toujours est-il que tu fais durer ces retrouvailles avec le dragon. Hummmm ! J’accueille avec tout autant de plaisir la suite, la longue et fine lanière d’un des fouets. Une fois n’est pas coutume, tu ne m’as pas affublé de la cagoule en cuir qui protège ma précieuse tête dans ces situations. Sait-on jamais si un cracker essayait de venir chatouiller mes oreilles ou plus si affinités. Néanmoins, tu prends soin d’éviter ce genre de déconvenues, parvenant avec succès à venir cingler mon dos, mes épaules et mes fesses. Ces morsures, tout en longueur, sont toujours aussi électrisantes, et à la fois, toujours aussi plaisantes à recevoir. Ce n’est pas que je pourrais rester ainsi des heures mais la position et le confort du lit aident à cette sensation de bien-être stimulant. En excellente stratège connaissant son nounours sur le bout des doigts, tu décides de conclure la soirée de la pointe de tes griffes. J’apprécie beaucoup des choses que tu m’infliges mais cela reste mon addiction numéro une. Et comme je ne cherche pas à me soigner cela ne risque pas de changer. Tu cherches d’abord à les planter de mon popotin. Gloups ! Toujours pas d’autorisation de prélèvement ! Puis tu remontes le long de mes cuisses à rebrousse-poil, chose que tu ne fais jamais. Cette nouveauté m’offre une sensation bizarre limite à me faire rire tant la sensation est inattendu, assez difficile à décrire, ni griffure, ni chatouille, mais quelque chose entre les deux. Comme je te partage ce ressenti, tu t’amuses immédiatement à insister avant, bien évidemment, de te concentrer sur mon dos pour m’arracher quelques ronronnements incontournables de cette pratique, les derniers avant un repos bien mérité pour toi. Pour ma part, je fais un détour sous la douche pour me débarrasser du surplus de cire toujours présent autour de mon téton. Le lendemain soir, tu décides de marquer la fin de mon séjour par une séance de cordes. Comme tu te plais à le dire, c’est moins fatiguant pour moi à la veille de reprendre la route. Cette fois, ma tenue est à l’opposé de celle de la veille. Avec la combinaison noire, je suis totalement recouvert, depuis le bout des orteils jusqu’au cou. Le collier de tous les jours vient prendre place, il faut dire qu’en plus de sa symbolique, il va t’être utile pour la suite. Tu sors de ton stock, les deux cordes rouges en coton, les plus longues. A partir de là, j’admire ta patience et ton sens de la perfection. Il n’y a pas d’autre mot pour ce lancer dans le « tissage » de ce qu’on peut assimiler un plastron qui court depuis mon cou jusqu’à hauteur de mon intimité, sans oublier quelques boucles de contrainte à la fois sur la poitrine, à hauteur de taille et sur les cuisses. Avec les brins qui restent, tu te débrouilles pour m’immobiliser les mains dans le dos en nouant mes poignets entre eux. Il ne faudrait pas non plus que ce soit trop confortable. D’ailleurs, il manque encore quelques détails, à commencer par la cagoule légère. Tu ne m’as pas fait amener les talons pour rien ; c’est le moment de les chausser, sûrement pour me donner un peu plus de hauteur. Quant au but recherché avec le bâillon rose en forme d’os, je l’ignore ; ce qui est certain, c’est qu’il me fait rapidement saliver à grandes eaux. J’imagine que le résultat est plaisant à regarder. Je t’entends même l’immortaliser. Clic ! Clic Clic ! Avant de mettre un point final, tu rajoutes une dernière contrainte, en forme d’essai préliminaire pour de futurs usages. Ces sangles de pilate se révèlent fort efficaces. Une fois nouées autour de ma poitrine et mes bras, leur élasticité se fait sentir venant me comprimer encore un peu plus que les cordes ne le faisaient déjà. Nulle doute que la prochaine fois, elles auront plus qu’un rôle de décoration, façon ruban sur un paquet cadeau.
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Par : le 03/02/25
Je suis obliger de rester toute la semaine pour faire mon stage de novice dans la villa J'ai juste droit à un coup de téléphone pour prévenir le  travaille que je suis (malade....) Après , ma dominatrice "historique" de ma rencontre dans la spa me transfert chez Maitresse Julie. Si je fais quoi que se soit pour essayer de m'enfuir, elle balance toutes les photos. Donc je n'ai pas le choix! Mon lit sera un mini matelat au pied de ma maitresse.Pas de couverture (nu comme un ver) elle écartera souvent mes jambes pour voir mon petit champignion comme elle l'appel . Et ce , même en pleine nuit quand ellle s'éveille. Elle remetra un rapport à  l'hotesse tous les jour qui décidera si je dois passer sur la table électrique ou pas Quand le verdicte est donner, je suis  déjà attachez . Car si c'est en faveur de la table électrique, il est plus facile de me  mettre dessus ! vu mes débatement désesperer pour ne pas  y alller .... Et comme je crie aussi, je suis d'office bailloner . Ce rituel avant la descition de l'hotesse prend un certain temps ou tout mon corps se met  à trembler et mon zizi se reduit à peau de chagrin . Ce qui amuse beaucoup l'assemblée... Et si l'hotesse décide ue c'est la table , je me pisse dessus à chaque fois ( ca les amuse encore plus) car il y aura lle netoyage au karcher en plus Il y a une grande salle d'eau ou tous le monde peut venir voir le spectacle de l'eau à haute pression bien froide en directiion de de ce qui reste de mes partie génital ( peut être 1 ou 2 centimètre) et la aussi , je suis attacher et bailloner . Et la sentence peut  être double ( 20 minutes de table et 10minutes de "douches") Ma Maitresse peut faire de moi ce qu'elle veut... Elle peut par exemple: me promener dans le jardin avec une laisse au coup ou au zizi Mais sa préfèrence et ma formation va vers les pieds. Ma dominatrice historique  l'hotesse ont décider que vu la taille de mon  petit zizi, je ne pourrai jamais satisfaire une femme . Par contre, elle peuvent en rire et rire ,ca elles aime vraiment. Donc , il y aura deux choses à faire pendant ce stage. Le premier sera de réduire encore la taille de mon sexe avec de l'électricité( on  y  reviens) Et le deuxième  sera de m"apprendre àm'occuper des pieds des Maittresse à la perfection! si  pas, je passe sur la table... Pour la taille de mon sex , j'ai droit à toutes le  deux heure à des décharge électrique qui réduise sa taille pour le mettre dans un minuscule tuyaux pendant minimum 1 heure. Finalement il raptisira.... Se qui l'amuse le plus, est de faire venir une ou deux copines( qui ne sont pas des dominatrice)dans la villa en leur faisant croire que c'est une habitation "normal" et que je suis le petit copain qu'elle a rencontrer hier soir dans une soirée. Et qu'elle  m'a ramener chez elle. Pour ce jeux la, je serai habiller( dans un premier temps) Elle leur raconte qu'elle ne va pas rester avec moi... ce met à dit " la noit a été un vrai fiasco.... Pouquoi? Jamais vu une bite aussi minuscule HAHAHA Certaine sont géner pour elle et pour moi et d'autre rentre dans le jeux et rigole..; Et certaine d'entre ellle vont plus loin en disent, on peut voir? La plus part du tems , nous avons ce ca de figure. Vu que ma Maitresse est douée pour sonder et jauger les autres femme) HAHAHA et je suis forcé de me désabiller au grand regard étonner et amuser des copines Après m'être fait mesurer et comparer avec des god de toute taille je dois lecher leurs pieds et mettre mon zizi entre leurs orteille pourl les amuser
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Par : le 02/02/25
Je suis tombée dans cet univers un peu par hasard, bien que rien n’arrive par hasard au fond… Je pense qu’il y avait une certaine envie, une appétence, un petit quelque chose, quelque part, qui devait être ancré tout au fond. Comme les peurs inavouées. Comme les rêves dont on se souvient et qui nous font vibrer de l’intérieur. Comme une main qui vient caresser ses cheveux. Comme un doigt qui effleure ses lèvres. Comme la caresse d’une larme qui coule sur sa joue. Un parfum de désir. De plaisir. De jouissance. De soumission. Alors je suis arrivée, novice, sans trop savoir vers quoi j’allais. J’ai créé un compte, une description maladroite pour expliquer ce désir étrange et inavoué, celui quelque part d’être une poupée. Celle que l’on manipule, touche, explore. Celle qui nous appartient, toute entière.  Celle que l’on utilise, dont on abuse, et dont le silicone de la peau glisse vers chaque orifice qui est offert. Celle dont on teste les limites. Doucement. Puis de plus en plus intensément. Avec une telle description quelque peu suggestive, bien évidemment, les chiens plus que les dominants ont toqué à la porte. Aboyant leurs désirs, insultant, s'imposant sans prendre le temps de découvrir, d’échanger, d’écouter. Croyant que leurs désirs suffisaient à ouvrir toutes les serrures.  Des messages brefs, crus. Des mots qui claquent sans préliminaires. Leurs attentes dictées, leurs besoins proclamés, sans se soucier des miens.... la queue bandante, pensant que parler de leur jonc en feu suffirait à séduire, convaincre, soumettre et imposer. Ils étaient bruyants, maladroits, avides. De quoi tout remettre en question... Avais-je seulement illusionné ce monde? Je rêvais de dentelles noires et sombres, de regards qui savent dompter sans parler, de silences chargés de tension. D’un jeu de pouvoir où l’on s’égare pour mieux se retrouver. Mais ici, je ne trouvais que des mots trop lourds, des propositions déplacées, des promesses creuses... Où était passé la beauté d'une relation de confiance dans laquelle plane cette magnifique dévotion? J’ai poursuivi ma quête, avec plus de retenue, peut-être aussi un soupçon de méfiance. J’ai questionné, observé, écouté. J’ai appris, auprès de soumises novices et de voix plus expérimentées, auprès de dominants ouverts à l’échange et au dialogue... leurs perversions, leurs visions, leurs compréhensions de cet univers.?  Et c’est dans cet élan presque candide que je l’ai rencontré, Lui. Lui. Il ne s’est pas précipité. Il savait où il allait, mais surtout, il savait écouter. Pas seulement entendre mes mots, mais deviner ce que je taisais. Il voulait connaître mes désirs, mes limites, mes rêves. Il m’interrogeait sur ce qui m’effrayait, ce qui me faisait vibrer. Et à chaque réponse, il ne m’offrait ni jugement ni promesses creuses, mais des certitudes rassurantes. Il était autoritaire, oui, mais bienveillant. Imposant, mais respectueux. Avec Lui, les mots devenaient des caresses, et les caresses, des ordres que je brûlais d’exécuter. Ce qui n’était qu’une conversation a dérivé doucement vers quelque chose de plus profond. Une première découverte. Un premier ordre. Une première soumission. Et un premier orgasme, venu sans crier gare, comme un orage éclatant en pleine accalmie. C’était déconcertant. Excitant. Puissant. Inattendu. Petit à petit, mes questions sur le quoi ont laissé place à des envies de Lui. Une soif. Un besoin qu’il semblait toujours deviner avant même que je l’exprime. Pourtant, je ne savais presque rien de lui, sinon qu’il traçait des limites claires et qu’il cherchait une partenaire capable de les explorer avec lui... Ce simple détail, discret mais chargé de promesses, dissimulait un univers dont je ne mesurais encore ni la profondeur ni les nuances. Ce qui était sûr : c'est que j'en redemandais, je n'en avais jamais assez... Et j’étais, sans le savoir, sur le point de franchir la première porte. La plus difficile à ouvrir. Celle où l’on dépose ses doutes et ses armes pour se retrouver face à soi-même, à une toute nouvelle place, pas toujours facile à accepter et pourtant si belle. Celle à ses côtés, celle à ses pieds. Cette photo est la propriété exclusive de l’auteur (et de Lui). Toute utilisation non autorisée est interdite.
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Par : le 01/02/25
Je m'étendrai alors, sur le dos pour que vous fassiez de moi, votre monture. Mon visage, la selle. Cuisses contres mes joues, mes lèvres et ma langue à la disposition de votre intimité ouverte par la positon , vouée à votre plaisir.  Au grès de vos envies et balancement de hanches, sucant et lechant ce que bon vous semblera.. Vulve ou Anus, avide du contact des deux. Tantot m'y s'enfonçant avec application, tantôt aspirant avidement, bouton de rose et pétales. Je parcourrai les creux, les reniflement , flatterai chaque texture intime, guettant gémissements, contractions, écoulements, ivre d'être digne de ma tâche.  N'écoutez que vos sensations, pesez de votre poids, soyez brutale . Je vous y en couragerai de mes bras plaqués contre vos hanches.  Ma seule récompense, les goût et les parfums, de vots parties intimes et de leur liqueurs , que j'espère lourds et capiteux, et même négligés Aussi longtemps que nécessaire à votre plaisir, qui très probablement déclencher le mien, étalé sous vos yeux en giclees saccadées , voire dans vos mains... Offert à votre langue
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Par : le 31/01/25
Certains hommes se prétendant dom ou maitre dans le bdsm ne cherchent en réalité qu'à abuser émotionnellement et physiquement de femmes. En aucun cas ils ne cherchent l'intéret et plaisir mutuel, l'épanouissement de la soumise, une connection profonde et authentique, sa sécurité physique et émotionelle, ou sa protection. Un bon dom vous met géneralement à l'aise, sa domination sera posée et réfléchie, il maitrise bien les différents aspects du bdsm (techniquement et intellectuellement) s'intereressera à vos envies et besoins, vos expériences passées, vos limites, vos peurs, vos fantasmes/fétiches. A contrario un dom nocif vous rendra sans doute inconfortable, se montrera pressant, ne s'interessera pas ou peu à vos besoins ou envies, paraitra impulsif ou peu réfléchi, parlera peu ou jamais de vos limites ou de safeword. Voici des drapeaux rouges à destination des soumises pour vous aider à repérer un dom nocif et toxique : Drapeau rouge 1 - il vous demande de l'appeler maitre très (trop) rapidement sans prendre le temps de vous connaitre. Une sub doit prendre le temps de connaitre et d'échanger avec un dom avant de le choisir comme maitre. On ne confie pas son corps, ses émotions, sa sécurité, et son âme au premier venu. Le premier rdv devrait se tenir dans un endroit public pour faire connaissance sans implication d'acte sexuel ou pratique bdsm. Drapeau rouge 2 - il ne cherche pas à connaitre votre passé dans le bdsm, vos expériences, vos limites, vos envies. C'est pourtant essentiel pour le bon déroulement de séances de jeux.. Drapeau rouge 3 - il vous demande des rapports sexuels non protégés dangereux pour votre santé ou souhaite des pratiques edge bdsm non sures comportant de grands risques pour votre sécurité physique. drapeau rouge 4 - le dom n'a pas d'écrits dans son profil, pas de messages sur les forums, pas d'historique de ses pensées, opinions, ou avis, pas de traces d'échanges. drapeau rouge 5 - vous remarquez des incohérences dans ce qu'il vous raconte, les versions changent. Cela dénote des mensonges, attention donc.. drapeau rouge 6 - il vous dit avoir eu beaucoup de soumises mais se montre incapable de vous donner les liens de profils des personnes concernées pour ne pas que vous vérifiez ou demandiez un feedback. Dans tous les cas, soit il ment et invente, soit les ex partenaires ont gardé de très mauvais souvenirs de lui. C'est un signal d'alerte... Drapeau rouge 7 - il cherche à étendre contre votre volonté les périodes de temps de sa domination (au travail, seule chez vous etc..) pour faire de vous une esclave 24/7. (C'est ok si cest votre souhait le problème c'est quand le cadre et limites sont dépassées). Il utilise les blames, la culpabilisation, la manipulation, ou le dénigrement personnel pour vous faire accepter ses envies abusives. Drapeau rouge 8 - le dom ne respecte pas vos limites ou le safeword. Il utilise le dénigrement personnel, blames, la manipulation, ou culpabilisation pour vous imposer des pratiques ou des niveaux d'intensité que vous ne souhaitez pas de manière non consensuelle. Voilà, j'espère que ma contribution aidera les soumises à ne pas tomber dans le piège de dom nocifs et toxiques, et qu'elles se tourneront vers des partenaires adéquats. N'hésitez pas à partager avec des débutantes... ☆DragonRouge☆
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Par : le 30/01/25
Marre des pubs sexy, des pin up, des lingeries, des femmes objet joli cul, longues jambes sourire colgate. Alfred veut de la vraie femme, une bonne emmerdeuse, une chiante à souhait. Alors il s'est lancé un défi, trouver la plus casse couille au monde. Il a publié des annonces, lancés des défis sur le net, mais non, c'est pas les bons moyens. La plus casse couille doit être bien visible. Alors il a commence à faire de la maïeutique . L'est pas trop con l'alfred . A diviser par deux. Une occidentale,  une blanche, une française,  une féministe,  une ecolo, .... Putain, Alfred s'est mis à bander.  Cela se rapproche. Il est allé fréquenter les milieux feministes ecolos parisiennes rive gauche. De belles casses couilles mais pas encore la championne toutes catégories. Il fallait rajouter lesbienne, intello et hystérique....avec des lunettes et rousse ?  Alfred se désespere de ne pas la trouver. Il est prêt à  jeter l'éponge, à se convertir à la secte des adorateurs du poireau. Le destin se moque. A un carrefour bruyant, une foule pressée.  Il heurte maladroitement une jeune femme, une rousse,  qui perd ses lunettes et pique une crise. Elle tape des poings sur le torse d'Alfred et l'insulte. Ce dernier n'entends rien,  ne voit rien  il flotte dans un brouillard jaune et gris. Il est aux anges. Il vient de trouver. Une main empoigne Alfred. Deux policières lesbiennes se sont précipitées. La tentation est trop forte de casser et de castrer du mâle dans les rues de Paris. Il est loin le temps du philosophe assis sous le pont de Bercy.  Il est menotte et conduit sans ménagement au poste de police. La folle hystérique, sa muse adorée maintenant, l'accompagne pour porter plainte. Alfred est encore plus aux anges. Il sent son odeur, il devine ses formes, il bande dur. Cela ne se fait pas dans une voiture de police avec 3 lesbiennes gynarchistes à bord. Un manque de respect total. Il reçoit une décharge électrique pour  calmer ses ardeurs.  Alfred se réveille au commissariat. Il est nu et ligotte à une chaise métallique. Devant lui une policière joue à la salope et écarte les cuisses pour montrer sa petite culotte humide. Alfred bande aussitôt. Il reçoit une paire de baffes bien lourdes. La salope n'attendait que cela.  - connard, on ne bande pas sans permission. La jeune femme que vous avez agressé dans la rue prétend que vous avez voulu la violer. Vous risquez dix ans fermes à minima. Votre bzndaison intempestive est une preuve.   Alfred ne comprend rien. Il ne se souvient que de l'avoir heurte par inattention. Il se souvient d une jeune femme ...sa muse....la pire casse couilles au monde. En pensant à elle il s'aperçoit qu'il est tombé amoureux fou. Il.avoue. La confrontation arrive.. Alfred ne peut répondre. Son cœur brule. Sa muse l'ignore,  enrage et peste contre lui.  -Oui, il a voulu me violer en pleine rue, c'est un fou pervers, un malade. La castration chimique s'impose.   Personne n'a écouté la version d'Alfred. Il est tombé sur une juge lesbienne gynzrchisyecet castratrice qui a voulu faire un exemple. 18 ans fermes. Une horreur.  Ai bout de trois mois de prison, une jeune femme a demande à lui rendre visite. C'était la pire casse couilles qui soit sur cette terre, sa muse adoree. Elle voulait se réjouir de sa victoire. Ce fut un desastre pour elle. Des les premiers regards dans les yeux profonds d'Alfred, elle pu lire combien elle était amoureuse de lui  c'était son homme, son seul homme, l'amour de sa vie. Et elle n'avait rien trouvé de mieux que de l'envoyer en prison pour longtemps. Elle qui ne croyait aimer que les femmes.... La morale de cette histoire c'est, si tu cherches l'amour, cherche une casse couilles, elle te fera souffrir, mais tu ne seras pas déçu, l'amour tu trouveras.      ..../.... a suivre. 
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Par : le 30/01/25
Rencontre sph suite, Nouveau rdv un samedi . J'arrive devant une maison et sonne . Une charmante dame vient m'ouvrir et me dit directement Ha , toi tu dois être le petit nouveau qui à un tout petit zizi . N'est ce pas? ca se voie à ta tête que tu en  a une toute petite... Ta maitresse arrive un peut plus tard, et j'ai comme instruction de te préparer... Suis moi. Je rentre dans cette superbe maison et nous passont par un vestiaire. Et elle me dit, tu imagine ce que tu dois faire ici. Je répond que non et la elle se marre en me disant, moi je crois que tu le sais mais tu attend que je te le dises... Alors, A POIL!!!! c'est plus claire? oui madame et m'execute pendant qu' elle me regarde avec insistance Comme je ne vai pas assez vite pour retirer mon slip , elle me le retire en tirant rapidement dessus et la... grand éclat de rire et me dis Ah oui , elle ne m'a pas menti Sophie, tu n'a vraiment pas grand chose AHAHA Elle me prend par le zizi avec deux doigts et me tir vers un grand salon ou tout le monde s'arrête de parler quand nous rentront dans la pièce Pour observer le petit nouveau.. Il y a une trentaine de personnes  moitié femme et homme. Tout le monde est habillé .. Parfois sexy mais habillé Je suis le seul tout nu exhiber au yeux de tous... L' hotesse me fait monter sur une estrade pour être le plus visible et me demande de lever les bras (mains sur la nuque) et d'écarter les jambes Et la , les autres invités commence à faire des commentaires sur ma crevette qui est encore plus petite que d'habitude (la moitié de la taille habituel) je n'en mène pas large. Je suis rouge de honte et suis terifier... Deux femmes et deux hommes s'approchent et ma prennent par les poignés et chevilles en me soulevent comme un fétu de paille et je suis transporter à l'horizontale vers une "table" (structure en métale avec des files partout et on m'attache fermement les poignés , le chevilles et le ventre avec des ceintures en cuir et en suite je suis bailloné. J'ai peur et tremble de tout mon corps, j'entend des rires et la pendant qu'une autre femme m'attache le coup .La machine qui est à coté est dévoiler. Je viens de comprendre que je suis sur une table de torture à décharge électrique. On écarte mes jambes et mes bras encore ( je ne peux plus rien dire et faire à part subir Et je me fait pipi dessus. Tout le monde adore et rigole beaucoup tout en continuent la préparation (électrode sur les têtons et testicule et une tige de metal dans le zizi... L'hotesse crie le petit nouveau est préparer pour la fête et ma dominatrice arrive avec ces copines du salon de l érotisme Et que sa fête commence! et appuie sur le bouton; décharge partout et mon corps tremble encore plus fort Je ne le saurai que par la suite, mais ca a durer dix minutes qui m'ont parue  des heures... Plusieurs dominatrices sont en attente pour me sodomiser avec leurs gros god qu'elles ne manquent pas de comparer avec ma nouille Elles seront 10 à m'avoir sodomisé Je suis liberer et je peux prendre une place de vallet pour servir les invités et servir de soufre douleur si ils en ont envie... La difference avec les autres vallets, est que suis completement nu vu que je n'ai rien  à caher et entre deux services , au lieu de me reposer je dois m'occuper des pieds des femmes et si je ne le fais pas corectement, je retourne sur la table... Deux femmes me piseront dessus avant douche au carchère et toute la nuit en cage Le lendemain matin, je suis réveiller avec une petite baguette électrique par l'hotesse (durdur) un homme vient m'ouvir, je penses que c'est fini mais quatres femmes m'attrape et m'attache les deus poignés à une corde suspendu par une poulie au plafond et tire dessus. Mes pieds ne touche plus le sol. Je hurle de douleur et l'homme met un petit tabouret. Je serai encore humilier pendant toute la matinée et reçevrai  des  coups de fouet. Lhotesse me dit, tu peux enfin commencer ton stage de moin que rien maintenant, donc tu peux reprendre ta place de vallet et  tu dormira au pied de mon lit comme un bon toutou. Et ne demande plus jamais après tes vetements, tu n'en a plus et si tu essaye de cacher ton mini truc que tu as entre les jambe , tu retourne directement sur la table! c'est bien compris  petite chose? oui . Oui  qui Oui maitresse. Très bien , et quand on a pas besoin de toi, tu te mets contre le mûr jambe écarter et mains sur la nuque Oui maîtresse
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Par : le 29/01/25
(C'était il y a un an... souvenirs) Cette nuit, nous logeons dans un lieu atypique et chargé d'histoire. Amarré à Dubaï depuis quelques années, le Queen Elizabeth 2 est désormais un hôtel luxueux, qui ne navigue plus mais qui a gardé un charme fou. Je me sens à la fois dépaysée géographiquement mais aussi dans le temps avec cette décoration d'une autre époque et une ambiance "Titanic". La chambre est somptueuse et dispose d'une jolie terrasse qui offre une vue dégagée et sans vis à vis sur le port. La journée s'achève et aussitôt arrivés, mon Maître m'ordonne d'aller au bar chercher deux verres que nous prendrons dans la chambre avant d'aller dîner. Je m'empresse d'obéir et retrouve miraculeusement mon chemin dans le dédale de couloirs, et la multitude d'ascenseurs et escaliers qui composent ce géant des mers. Lorsque je rentre dans la chambre, je m'attends à ce que mon Maître me dise d'aller m'apprêter afin de Lui présenter son verre en étant parfaitement conforme. Il n'en fait rien et m'ordonne d'amener le plateau sur la terrasse et de l'y attendre entièrement nue. Je suis surprise par cette consigne inhabituelle mais je m'exécute sans poser de question. En arrivant sur la terrasse, je comprends immédiatement. Le soleil couchant embrase le ciel au-dessus de l'horizon et offre un spectacle magnifique mais éphémère. Si j'avais dû être conforme, la nuit serait tombée avant que je ne sois prête. Il me rejoint alors que je suis nue et agenouillée, le plateau qui supporte nos verres entre les mains, la tête et les yeux baissés, soumise. Il s'installe dans un confortable fauteuil face au soleil couchant et m'autorise à relever les yeux et à profiter du spectacle. Peu de temps avant, j'étais emmitouflée dans mon manteau et mon écharpe pour traverser Paris, et ce soir, je suis nue sur une terrasse de paquebot, à admirer le soleil se coucher derrière le golfe Persique. Je me délecte de ce contraste, de ce voyage imprévu. D'être là, Sienne, à Ses pieds. Je tends le plateau vers mon Maître qui saisit Son verre. Il m'autorise à prendre le mien. Nous trinquons à ce nouveau voyage. Il s'amuse de voir mon sourire et mes yeux pétiller de bonheur. Nous évoquons d'autres souvenirs, d'autres pays. La Laponie il y a peu. Moi qui adore les contrastes, je suis comblée. Tandis que nous parlons, le soleil poursuit sa course vers la mer et je me remémore d'autres moments, d'autres ciels embrasés. Je ne réalise sans doute pas la chance qui est la mienne. Mes yeux se tournent un bref instant vers la chambre et mon Maître le remarque aussitôt. Il m'interroge du regard et je Lui répond que j'ai été distraite par notre reflet dans la baie vitrée. De là où je suis, je me vois entièrement, agenouillée, les fesses sur les talons, pieds nus. C'est sans doute ce qui a le plus attiré mon attention tant c'est rare. Mais ce que j'aime le plus, c'est Sa main posée entre mes reins, sur le haut de mes fesses. J'aime cette image que nous renvoyons. Ma soumission totale, ma nudité, mon collier d'acier, ma position agenouillée, et Sa main, simplement posée entre mes reins alors que nous discutons. Il m'autorise à prendre ce reflet en photo et malgré le soin que j'y mets. le cliché n'est pas aussi beau que l'image renvoyée, mais j'aime ce qu'il représente. Un moment à la fois unique et hors du temps, au cœur d'un voyage incroyable sur un pont de paquebot mythique, mais aussi finalement très naturel et représentatif de notre Lien si particulier. De notre complicité. Le soleil a disparu derrière la mer, quelques bâtiments se sont illuminés çà et là. La nuit tombe sur Dubaï. Nos verres sont vides. A son ordre, j'enfile une robe et une paire de talons. Nous allons dîner. Après, je prendrais le temps de m'apprêter comme Il aime que je le sois. Alors, il disposera de moi comme Il en aura envie. Ici ou ailleurs, je Lui suis pleinement soumise. (Vous pouvez retrouver d'autres textes et extraits de mes romans sur mon blog : www.evadelambre.com)
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