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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...)
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— La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant.
— De quoi parles-tu ?
J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille.
Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange.
Je repris mon explication après un court instant de silence.
— Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ?
— Dis-moi...
— En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes.
— Ma vie ?
— Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre.
— Ma liberté ?
— Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique.
— Et si je ne choisis rien.
— C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien.
— Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout.
— J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total.
— Comment ça ?
— Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai.
— Pourquoi y prendrais-je du plaisir ?
— Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler.
— Tu vas penser à ma place ?
— Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance.
— Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ?
— Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage.
— Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur.
— Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même.
— Alors on va s'aimer ?
— Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir.
— Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte.
Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir.
— Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance.
— Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme.
— Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire.
— Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non
Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle.
Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier.
— Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites.
— Un acte de création ou un acte d'amour ?
— Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses.
— Ça va prendre du temps de s'aimer ?
— Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela.
— Que faudra-t-il alors ?
— Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi.
— Quel genre d'expériences ?
— Tu le découvriras bien assez tôt.
— Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement.
— Si et à la fin tu m'appartiendras.
— Je t’appartiendrai ?
Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative.
— Oui tu seras totalement mienne.
— Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe.
— Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire.
— Je n’appartiens à personne, je suis libre.
Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre.
— Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi.
— Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ?
— Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette.
— J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision.
— Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une
énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras
spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre.
— Ça ressemble à de l'amour.
— C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup.
— Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ?
— Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous.
— Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ?
— Tu le sauras bientôt.
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Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis.
Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée.
Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones.
Découvrir l’objet
Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres…
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Un jour nos chemins se sont croisés.
Tu m'as regardée.
Et tu as fait le premier pas.
Qui m'a donné envie de te rejoindre.
Au fur et à mesure que je m'avançais vers toi
je me débarrassais de tous ces oripeaux qui m'encombraient.
De ce que j'avais été, de mes doutes, du passé.
Pour être comme tu voulais que je sois
quand je m'offrirai à toi.
Provocante, fière, nue, libre.
C'est ainsi que je me suis donnée à toi.
Alors, après m'avoir prise,
tu m'as fait me retourner.
Pour que nous continuions d'avancer.
En ayant l'élégance d'adapter ton pas au mien,
le temps que je m'habitue au tien,
pour que nous apprenions à marcher de concert.
Pas l'un devant, l'autre derrière.
Mais ensemble.
Moi, à tes côtés.
Ce chemin, désormais c'est le nôtre.
Et ton rythme, le mien.
Alors, merci à toi, Maxime.
D'être ce que tu es.
Et d’avoir été là pour m’aider à m’assumer moi.
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Emma, la plus sublime descendante des vikings est une génie en mathématiques. Son cerveau étrange ne calcule rien, il voit les solutions et nage comme les orques carnassières dans le glacial océans des équations, des symboles, des nombres. C'est ainsi depuis toute petite, elle atomise les cours de maths. Son père l'a élevée seule. Un éboueur de Stockholm imbibé en permanence de vodka russe de contrebande frelatée. C'est simple il ne dessoule jamais. Il a recueilli Emma, bébé, dans une poubelle. Il n'a rien dit à personne et la prise chez lui et l'a sauvée en lui donnant des biberons de lait comme il aurait fait avec un petit chat ou un petit chien abandonné. Emma adore son père adoptif, qui ne parle pas mais grogne, ronchonne ou parle avec des mots d'une seule syllabe. Un jour, elle devait avoir quatre ans, son père lui ramène un carton qui contient un système de jeu vidéo complet, récupéré dans un poubelle du quartier et sans doute cassé par un caprice de jeune qui n'a pas été capable de s'en servir. Emma a su très vite le réparer et elle est vite devenue une championne en toucher de commandes et de consoles. Elle a vite su comment pirater des lignes téléphoniques pour se relier à internet et de là, comment apprendre seule à la maison. Son père ne l'a jamais déclarée, de toute façon, les formalités administratives et son taux d'alcoolémie sont incompatibles. A seize ans, Emma est une fille d'une beauté scandinave rare, de longs cheveux blonds qui lui descendent jusque dans les reins, d'interminables jambes fines et musclées, un corps très souple et tonique, une top canon modèle. C'est à ce moment là qu'elle a rencontré le gros Peter. Son père adoré vient de mourir, même son cercueil pue la mauvaise vodka frelatée. les autorités suédoises découvrent l'existence de cette jeune femme incroyablement belle, qui a vécu caché jusque là dans cette tanière d'ivrogne en marge de la grande ville. L'affaire est vite étouffée mais à des milliers de kilomètres de là, dans une secte mormone très stricte, qui délire à vouloir baptiser tout le monde, le gros Peter, avec ses grosses lunettes derrière son clavier a vite su l'existence de cette Emma trouvée dans une poubelle.
Le gros Peter est à l'informatique ce qu'Emma est aux mathématiques, ce sont deux génies. Ils n'ont pas besoin de se perdre en d'interminables réflexions, ils savent de suite voir les solutions se matérialiser dans leurs esprits. Dès les premiers échanges, ils savent qu'ils sont faits l'un pour l'autre et le gros Peter a de suite pris un billet d'avion pour la froide Suède et venir chercher la femme de sa vie. Ce spécialiste du piratage informatique a su bidouiller tous les fichiers administratifs pour "régulariser" Emma, l'épouser sans aucune cérémonie et lui obtenir un passeport. Emma s'est de suite sentie bien avec Peter, ce gros nounours à lunette, très timide qui comme elle adore jouer avec des consoles. Elle s'est de suite donnée entièrement à lui et surprise son époux, complètement inexpérimenté et puceau est monté comme un âne avec un énorme pieu de 30 cm entre les jambes. un héritage de son père polygame dans cette secte mormone. Après s'etre occupée de son père ivrogne, Emma a su prendre les manettes en douceur dans son couple et conduire le gros Peter au nirvana. Quelle chance incroyable pour lui, le puceau à grosses lunettes, se taper une des plus belles femmes du monde et l'aimer à la folie et comble de tout cela être aimé et chéri en retour.
C'est ainsi que tous deux ont rejoint la mission lunaire de ce milliardaire qui veut conquérir les étoiles. Ce dernier ne recrute que les meilleurs et gros Peter et Emma sont bien les meilleurs dans leur domaines respectifs. Comme le milliardaire, peut être un E.T. incarné, ne veut plus dépendre de ces gouffres d'incompétence et de dilapidation des impôts que sont toutes les administrations du monde, il faut financer cette mission lunaire de façon honnête, pas en volant les contribuables. Il existera bien l'exploitation des ressources minières sur les corps célestes, mais en attendant, l'idée c'est de faire de la téléréalité dans l'espace, de faire de l'audience et de vendre de la pub, histoire de gagner de l'argent pour payer des impôts. La mission lunaire ne doit pas couter, elle doit rapporter. C'est toute la différence entre le public et le privé. Et gros Peter et sa femme Emma sont en charge de cela, cette téléréalité dans l'espace, avec tout ce qu'il faut pour captiver des milliards de followers sur Terre. Et pas de programmes nuls à chier comme ceux des missions Apollo, non, des trucs qui donnent envie de rester scotchés devant un écran et de ne vouloir manquer aucun épisode.
Le commandant Besov réuni tout l'équipage dans son bureau. Là se trouvent Anna, le gros Peter et Emma, Erika et son épouse la sissy encagée définitivement Mat devenue Mattie. Il commence par foutre une bonne fessée à Mattie et à la mettre au piquet, cul nu, brûlant et d'un beau rouge tomate avec interdiction de se retourner. Ensuite il sodomise sans ménagement Erika, Emma et Anna dans cet ordre et il demande à Peter de faire de même. Les présentations ainsi faites, il oblige Mattie à nettoyer les femmes avec sa langue à genoux. Après cela, Erika empoigne son gros god pour lesbiennes sans harnais, enfile une partie dans sa chatte et défonce avec l'autre Mattie qui se met à hurler de plaisir et couler en abondance. Tout est allé très vite comme toujours avec le commandant Besov et personne n'a moufté un mot.
-Voilà, les présentations sont faites. A présent: objectif Lune !
Vous aurez compris que cette histoire de téléréalité et de pubs dans l'espace ne sont que des illusions, des façades pour duper toutes les administrations du monde et ce, même si cela cartonne. Tous les états de la planète ou presque sont en quasi état de faillite permanente avec leurs fonctionnaires pléthoriques et toutes ces règlementations pour justifier des emplois qui ne servent à rien ou presque. De plus toute liberté réelle a disparu, c'est le monde de la surveillance au motif de la sécurité. Pour faire tourner cela, les rotatives de planches à billets tournent en permanence. Un argent illusoire coule à flots. L'extraterrestre, je blague, le pdg des big fucking rockets a vite compris comment l'aspirer avec les cryptomonnaies. Il a su tout créer de façon invisible, mais chut...
Emma avec ses talents de mathématicienne de génie est vite devenue multimilliardaire et peut être même la femme la plus riche du monde, un comble pour une fille abandonnée à la naissance dans une poubelle. Le monde des cryptomonnaies n'a plus de secrets pour elle. Une incroyable siphonneuse. Elle fait profiter de ses talents tout l'équipage et le commandant Besov sait comment la remercier, avec une copieuse fessée devant tout le monde, cul nu sur ses genoux. Elle adore cela, être bien punie lorsqu'elle fait tout bien. La morale de cette histoire c'est que tout travail mérite un bon salaire.
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Les premiers maniaques du fouet arrivent. L’un deux est très différent, d’abord parce qu’il est beau, ensuite parce que ses vêtements sont classes : pantalon noir, chemise blanche à manches courtes, lunette de soleil Ray Ban. Il est le seul à avoir deux gardes du corps, des Asiatiques costauds qui ont un revolver dans un holster sous le bras. Nos gardes se précipitent en faisant de profonds saluts. L’homme élégant leur dit :
— Je voudrais voir les filles sur un rang.
Il parle bas, comme les gens qu’on écoute tellement ils sont importants ou parce qu’ils disent des choses essentielles. Un garde gueule :
— Sur un rang, immédiatement !
Il manque "Schnell, police allemande ! "
Après nous avoir examinées l’une après l’autre, l’homme dit à une blonde :
— Toi, viens à côté de moi.
Il dit la même chose à une brune, puis à Julien et moi.
Nous allons nous mettre près de lui. Qu’est-ce qui va nous arriver ?? Il parle un peu avec "nos gardes", puis s’en va en nous faisant signe de le suivre. Un peu plus loin, il y a son moyen de transport et ce n’est pas une charrette tirée par une fille, mais une 4X4. Un garde conduit, l'autre s'assied à côté de lui. On est quatre à l’arrière, ça fait beaucoup, même pour une grande voiture. Je rassemble tout mon courage pour lui demander :
— Je peux venir sur vos genoux, Maître ?
Je l’ai cueilli, là. Ou je prends une gifle ou... Il rigole et répond :
— Tu es gonflée toi ! Ça me plaît, mais tu es un peu trop sale... attends.
Il déplie le supplément du Financial Times sur ses genoux. YES !! Je grimpe dessus... Je sens qu’il va tomber amoureux, on va se marier et Julien sera notre témoin. Il pose la main sur ma cuisse et là, j’ose à nouveau : je lui dis :
— Pardon, Maître, mais je voudrais vous prévenir...
— De quoi, petite ?
— C’est Monsieur de Préville qui nous a punis et...
— Je sais, mais ne t’en fais pas pour lui, il a des problèmes.
Oh, comme ça fait plaisir ! D’accord, ce n’est pas très chrétien, mais il nous a fait payer très cher une simple tentative de larcin.
Nous croisons des charrettes tirées par des filles. Quand ce n’est plus moi qui suis attelée, je trouve ça assez excitant à regarder... On arrive en bordure d’une prairie rase. La voiture s’arrête et on descend tous. L’homme nous montre un tas de vêtements en disant :
— Habillez-vous.
On sort des jeans, des tee-shirts et des baskets du tas. Tout est en taille 38, ça va aussi bien à Julien qu’aux filles et à moi. L’homme nous dit :
— Je m’appelle Monsieur King...
Ce nom me plaît, je voudrais être sa Queen ! Il poursuit :
— Nous allons sur une petite île privée au large de l’Île de Henan. Le travail que vous aurez sera beaucoup plus facile, mais vous devrez obéir. D’accord ?
On répond :
— Oui Monsieur King.
Il me regarde en ajoutant :
— Ça vaut surtout pour toi, Samia. Celle qui essaie de s’évader retournera tirer des charrettes... Si vous faites bien ce qu’on vous demande, vous pourrez avoir un travail de plus en plus intéressant.
Super !! On entend un léger vrombissement... C’est un hélicoptère qui vient se poser dans le champ. On monte tous... Ce sera mon premier voyage en hélicoptère. Les gardes ne montent pas avec nous. Je touche la main de Monsieur King. Il rit en secouant la tête, puis change d’avis et dit :
— Oui, viens. Je me changerai.
Je sais que je ne suis pas très propre et que je sens la respiration, mais j’ai trop envie d’être à nouveau sur ses genoux.
Julien et les deux filles se mettent sur le deuxième siège... Vous voyez bien qu’il n’y a pas assez de place. Monsieur King me dit :
— Tu sens la transpiration, mais... ce n’est pas désagréable.
Je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse sur la bouche. C’est un vrai baiser. Quand nos lèvres se séparent, il dit pensivement :
— Si on m’avait dit ce matin que je trouverais agréable d’embrasser une fille qui ne se lave pas les dents...
Je réponds :
— Je les ai nettoyées avec de la cendre...
C’est vrai en plus, je suis maniaque des dents propres. Je me pelotonne contre lui, comme un bébé perdu qui retrouve sa mère. Le voyage ne dure pas longtemps, hélas. On se pose sur une petite piste d’atterrissage, proche de la mer. Autour de nous, la végétation est tropicale. Au bord de la plage, il y a des palmiers et la mer est d’un bleu profond, une vraie carte postale.
Monsieur King nous demande si on a faim, nous répondons en cœur :
— Oh oui, Monsieur King !
On marche le long d’un petit sentier bordé de fleurs, ça sent bon... On arrive devant une série d’établissements, disséminés le long d’une plage. Il y a un hôtel, des restaurants, des terrasses... Le style devrait être chinois, mais ça ressemble plus à l’architecture japonaise. Il y a beaucoup de gens – hommes et femmes – habillés, en maillots et nus.
Tout le monde salue Monsieur King. Un gros homme lui demande :
— De la chair fraîche ?
— Oui et de première qualité, comme tu peux voir.
Cool... Enfin, à part qu’on dirait ça pour de la vraie viande. Je remarque des jolies filles vêtues d’une robe comme en ont les prostituées à Hong Kong. Enfin, c’est comme ça que je les imagine. Une robe une pièce en soie, décorée de fleurs et de dragons. Elles descendent jusqu’à la cheville, mais le côté est fendu jusqu’à la hanche. Il y a un petit décolleté rond et pas de manches. Je remarque ces filles parce qu’elles ont toutes un collier comme nous.
On va s’asseoir à une terrasse. Monsieur King nous dit :
— Prenez un sandwich.
Je lui demande :
— Et un dessert, on peut, Monsieur King ?
Il rit, puis répond :
— D’accord...
Ensuite, il ajoute :
— Tiens, tu n’es plus sur mes genoux ?
Ça, il ne doit pas me le dire deux fois : je vais aussitôt m’asseoir sur lui et je mets mes bras autour de son cou, en disant :
— J’adore être sur vos genoux, même si j’aimerais être plus fraîche.
Après avoir réfléchi, il répond :
— C’est très curieux, mais j’aime ton odeur.
Ça, c’est comme un coulis de framboise qui coule dans mes oreilles... non, c’est comme du chocolat liquide et de la crème fraîche qui coulerait dans ma gorge. Une fille avec un collier, habillée en serveuse, vient prendre notre commande tout en faisant de nombreuses courbettes à Monsieur King. Il lui demande :
— Tu te plais ici, Éva ?
— Oui, beaucoup, Monsieur King.
Je commande un club sandwich (petit pain, poulet, salade, tomates) et une glace vanille avec de la sauce caramel et de la crème fraîche. Il commande une bouteille de vin...
Monsieur King mange un sandwich, lui aussi. Nous, on dévore ce qu’on a demandé. Il nous dit :
— Je vais y aller... Vous pouvez rester ici, on viendra vous chercher. Si quelqu’un vient vous demander quelque chose, dites qu’il doit s’adresser au bureau des filles.
Quand il se lève, je lui dis :
— On vous est infiniment reconnaissantes de nous avoir sortis de cet enfer, Monsieur King. Je suis prête à m’asseoir sur vos genoux quand vous voulez...
Il me sourit, puis répond :
— Viens, j’ai quelque chose à te dire.
Il va me demander ma main ! La réponse est OUI ! On fait quelques pas et il me dit :
— Mailla travaille pour moi, elle va s’occuper de vous. N’oublie pas une chose, c’est grâce à elle que tu es ici.
Oh, putain ! Mailla, une traîtresse ? Voyant ma tête changer, il ajoute :
— C’est elle qui m’a dit de venir vous voir. Tu dois lui obéir, OK ?
— Oui Monsieur King... Je vous reverrai ?
— Dans deux jours, on passera un moment ensemble...
— Je serai toute à vous.
Il m’embrasse sur la bouche et s’en va. Je retourne tristement près des autres. Ils me demandent tous les trois ce qui s’est passé. Je leur explique :
— C’est grâce à Mailla qu’on est ici.
La blonde dit :
— Elle nous fait un vrai cadeau.
Oui, sauf que j’espérais qu’elle contacte le Russe et qu’on soit libérés pour de vrai. Quand je pense à tout ce que je lui ai dit, je n’ai jamais imaginé qu’elle soit une taupe. Et quand on parle du loup, on voit sa queue – ou sa chatte, dans ce cas-ci. Je la vois apparaître. Elle n’a pas une robe en soie, mais un pantalon de cuir et un tee-shirt "Led Zeppelin" ! Julien se lève quand elle s’approche de nous, les filles et moi aussi. Julien va prendre une chaise vide et la met à notre table en disant :
— Si vous voulez vous asseoir, Maîtresse.
Quel lèche-cul, celui-là ! Au propre et au figuré. Elle répond :
— Merci, vous pouvez aussi vous asseoir... Alors contente d’être ici, les filles ?
Les filles, y compris Julien, répondent :
— Oui, merci Maîtresse.
Elle se tourne vers moi pour me demander :
— Et toi, tu ne dis rien, les charrettes te manquent ?
— Non, Maîtresse, c’est la Mailla d’avant qui me manque... Je n’ai pas arrêté de penser à elle.
Ça la fait rire. Garce ! La serveuse vient lui demander ce qu’elle veut boire, elle répond :
— Une margarita.
Oh, j’adore ça ! C’est de la tequila, du curaçao et du jus de citron sur de la glace pilée. Mailla nous dit :
— Vous en voulez également ?
— Oui merci Maîtresse
— Et toi, tu acceptes mes cadeaux, Samia ?
— Oui Maîtresse.
— Bon, je t’explique : on savait que tu préparais quelque chose, genre t’évader avec l’aide d’un maffieux russe. Je dirige la sécurité et j’ai choisi la méthode douce, tu n’aurais pas aimé l’autre.
— Si vous pouviez me laisser un tout petit peu oublier "ma" Mailla
Elle lève les yeux au ciel... Les margaritas arrivent. Ne voulant pas me mettre à dos le chef de la sécurité, j’ajoute :
— C’est que je suis tellement... déçue de mon manque de "feeling".
Pour éviter de me mettre à pleurer, je bois une gorgée de margarita. Quand on a fini, Mailla nous dit :
— Venez, on va vous habiller et vous dire les règles... Il va de soi que celle qui ne les suit pas retournera aux charrettes.
On quitte le bord de mer pour aller dans une maison japonaise typique. Beaucoup de gens la saluent et les filles en robe de soie s’inclinent à 45°. On va dans une grande pièce où il y a plusieurs robes suspendues à des cintres. Mailla nous permet de choisir. Je prends une robe bleue avec un dragon rouge. Julien, une robe rouge avec des chrysanthèmes jaunes. Il sera donc en femme. Mailla continue ses explications :
— Voilà comme ça se passe. De 10 h à 23 h, vous devez être dans le village, à la plage, à une terrasse, au restaurant... partout où les clients peuvent vous voir.
Une des deux filles lève la main comme à l’école, Mailla lui dit :
— Oui ?
— On ne doit pas payer ?
— Non, tout est gratuit. Et vous pouvez choisir où dormir. Bon, je dois y aller. Si vous avez un problème revenez ici. Soyez sages, les filles.
On sort de là, assez désorientées... Les filles proposent d’aller à la plage.
Je leur réponds :
— On vous rejoint... Je voudrais d’abord visiter.
Julien me demande :
— Je peux venir avec toi, Samia ?
— Évidemment...
Et c’est là que la prédiction des lignes de ma main se réalise. Mailla vient vers nous. Elle a l’air de râler un peu, pourtant j’ai rien fait ! Elle me dit :
— Tu vois cet hôtel ? Va sur la terrasse, quelqu’un t’attend.
Elle repart... Bon, ce sera mon premier client, ici. On y va tous les deux, j’aime bien avoir Julien sous la main... On arrive à l’hôtel et... Oh ! Monsieur King est installé à une table avec trois hommes et une femme. Il fait les présentations :
— Voilà Samia et son mari.
Puis, à moi :
— Nous sommes intéressés par ce projet d’hôtel et de parc d’attractions dans l’Atlas, ça te dirait qu’on fasse ça ensemble ?
Je rêve ?? Est-ce que c'est pour de vrai ou alors est ce que le Prince charmant va se transformer en citrouille et moi me réveiller attachée à une charette ? Non ! Je réponds :
— Cette région, a un énorme potentiel. Les gens viendront voir la cascade, les villages Berbères et si en plus, il y a un parc d'attractions, ça va être la folie.
Monsieur King me dit :
— Nous avons vu un film avec les singes. Est ce que tu pourrais refaire ça, disons, une ou deux fois par semaine ?
Et là, j'ai une idée. Je réponds :
— Bien sûr, je me suis super bien entendu avec les singes... Et je pense à une chose, il faudra que Julien aussi se fasse prendre par les singes.
Ils sont surpris par ma proposition et se regardent, puis Monsieur King me dit :
— Super idée Samia ! Tu vas être responsable des singes et de pas mal d'autres choses.
Je me lève, je vais m'asseoir sur ses genoux et je l'embrasse sur la bouche pour le remercier.
C’était écrit dans les lignes de ma main. Alors, en route vers de nouvelles aventures...
Fin ?
Peut être pas, je continuerai à écrire de là bas...
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Tourbillon de la vie, Vous êtes comme un cyclone.
A nos cœurs en liesse, nos battements qui résonnent.
Et les voilà en phase et tout devient synchrone.
Prenant le même chemin et s’adonnent.
S’adonnent à vouloir croire que tout est possible.
Tout le sera, je Vous sais, Vous êtes crédible.
Comme Vous, je rêve et la réalité sera compatible.
Deux êtres, deux âmes, deux cœurs, insubmersibles.
Insubmersibles, les corps en accord, les peaux qui frissonnent.
Je sais que de mon côté, j’idéalise, j’ambitionne.
Je rêve d’une histoire, alors j’écris et ma plume sillonne.
Vous voilà dans ma vie, et mon imagination façonne.
Façonne, construit. Je m'abandonne dans Votre regard, invincible.
J'ai repris goût à la soumission, je suis une hypersensible.
Mais voulant être là pour Vous, et nous rendre indestructibles.
Prête à franchir avec Vous bien des barrières, imprévisibles.
Imprévisibles et possibles, chaque instant avec Vous, je me donne.
Avec bienveillance, Vous m'offrez les joyaux de Votre couronne.
Je suis moi, sans artifice, entière, une âme qui fusionne.
Vous êtes en moi, Vous m'avez touché au coeur, je rayonne.
LE 20 07 2021
Un cyclone qui m'a bouleversé, tout balayé de ma soumission d'avant, Vous la page blanche .
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Résumé : Un tour d'horizon du thème de la bestialité des origines à nos jours, illustré par plus de 250 photos et dessins. Des témoignages étonnants ( procès entre autres ) et une bibliographie très complète. Sommaire : Histoire de la bestialité = La fabuleuse antiquité, Les animaux diaboliques, Sylphes, faunes et satyres, Un monstrueux bestiaire, Aspects contemporains. Les procès de bestialité = Procédures d’excommunication. Il a été tiré de cet ouvrage 350 exemplaires hors-commerce numérotés de 1 à 350, Couverture cuir bourgogne avec dorures. Ornés d'une suite de reproductions inédites.
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Le commandant Besov est un mélange génétique entre un grizzly du Yellowstone, un ours polaire du Spitzberg et un mammouth laineux de Sibérie. Il est de ces hommes dont la seule présence fait peur. Il faut dire que c'est un tueur professionnel. Colonel et pilote d'essai dans l'armée de l'air russe, il s'est vite ennuyé. Besov aime le risque et le combat. Il a demandé à rejoindre le service des actions spéciales et il a été affecté à l'ambassade de Russie en Corée du Nord. C'est là qu'il a tout appris, auprès des pires assassins et experts en arts martiaux interdits de la planète. C'est dans ce froid petit pays que se trouve les plus grands maitres, ceux qui terrorisent les dirigeants les plus puissants de la planète et n'hésitent pas à les faire chanter, à les mettre à l'amende, comme de simples putes de trottoirs. Même le Roi Soleil, Louis XIV, avait du payer pour ne pas être assassiné, et ce n'est pas son fameux d'Artagnan qui aurait pu le protéger. Comme le milliardaire américain qui construit les Big Fucking Rocket, cherche toujours les meilleurs en tout et pour tout, c'est ainsi qu'il a été engagé pour commander cette mission lunaire privé, celle qui ouvre la conquête du système solaire. Et toutes les portes se sont ouvertes devant le milliardaire américain pour réaliser ce projet fou, et ce grâce aux talents de "négociateur" du commandant Besov. Ce dernier a en outre été chargé de recruter l'équipage pour cette première mission test, très périlleuse. Un saut dans l'inconnu, même avec l'assistance des meilleurs ingénieurs du monde.
C'est ainsi qu'il a désiré s'adjoindre la collaboration d'Anna, une superbe italienne, très racée, de la plus haute bourgeoisie de Milan. Une tronche cette Anna, trois doctorats, un en médecine, un en physique et un en robotique. Une femme d'une intelligence exceptionnelle et pour ne rien gâcher, toujours célibataire et vierge. Les mecs, c'est pas son truc, du moins elle le croyait avant de rencontrer ce timbré de Besov. Elle travaille dans une grande industrie familiale et son bureau est bien gardé. Pourtant, un jour, Besov est là devant elle et un frisson de peur l'envahit aussitôt. Comment est il entré? Elle ignore tout des techniques secrètes apprises en Corée du Nord. Elle veut crier mais elle sent une force qui la paralyse. Elle ne peut plus bouger. Elle est parfaitement consciente et elle sait aussitôt que ce tueur qui est devant elle va la violer. Besov la plaque sur son bureau, la trousse, lui arrache sa culotte et la sodomise d'un coup violent. Elle veut hurler sa douleur mais aucun son ne peut sortir de sa bouche. elle est terrifiée. Et ce timbré de Besov lui empoigne les poils de sa chatte et les tire à lui faire très mal par devant aussi. Il prend son temps, la pilonne en cadence. Et tout à coup Anna sent l'orgasme monter, son premier. C'est si violent qu'elle se met à pisser sur la grosse main qui lui empoigne la chatte. Elle jouit encore et encore, elle est en proie à une sorte de crise d'extase. Comment avait elle pu se passer de cela, pendant toutes ces années d'études. Et ce barge de Besov se répand dans son cul désormais tout ouvert et même offert. Anna jouit de nouveau, tétanisée, empalée, embrochée comme une oie sur une rôtissoire. C'est divin! Besov, se retire, la retourne et l'embrasse. Elle aime ses lèvres chaudes, sa langue qui caresse la sienne. Elle sent qu'elle est la femme de ce malade mental, qu'elle est devenue sienne pour toujours.
Besov la demande en mariage et c'est folie, elle accepte aussitôt d'épouser son violeur. Sa famille, de richissimes industriels milanais s'y oppose catégoriquement. Alors elle plie bagage et part se marier avec lui à Las Vegas, là ou les formalités sont simplifiées. Besov , la bête de Sibérie se révèle d'une grande douceur. Il prend son temps pour la dépuceler. Son original de mari l'emmène camper dans le Wyoming pour leur voyage de noces. Ils passent leur temps à faire l'amour et Anna, la sublime et chic bourgeoise se révèle vite être une bombe sexuelle. Elle a envie partout et tout le temps. C'est aussi une femme fontaine, généreuse en cyprine odorante. Besov, s'il peut être tendre aime aussi dominer sa femme. Parfois il la prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée et il sait faire très mal. Après, il l'attache à un arbre et la laisse méditer. C'est un fou. il adore la suspendre nue à des branches pendant qu'il fait rôtir des viandes près du feu de camp. Cela fait longtemps qu'Anna a compris qu'elle devait lâcher prise et obéir en tout et pour tout à son homme. C'est ce qui la rend le plus heureuse. Elle est la totale propriété de son Maître.
Anna a vitre trouvé sa place dans l'équipage. Elle est le médecin et la navigatrice. C'est déjà beaucoup. Et pour une mission de six mois, il faut savoir tout faire à bord du gigantesque vaisseau d'acier, le Starship. Anna déteste les combinaisons spatiales et ne renonce pas au chic de jolie bourge milanaise, aux bas de soie fine, aux robes élégantes, à la lingerie qui rend fou d'elle son primate d'époux caverneux. Besov l'aime en jupe. il adore voir ses longues et si belles jambes, alors elle lui fait plaisir et aime se faire belle pour lui. Même en apesanteur, elle se maquille légèrement et cela rend dingue d'amour tous ceux qui sur Terre suivent cette téléréalité dans l'espace, retransmise plusieurs fois par jour. La beauté d'Anna est sidérale. Pendant le vol vers la lune, elle adore se lover dans les bras de son homme, sentir son érection contre ses reins, flotter dans la cabine, être bien, ne penser à rien. Avec son dom de mari elle se sent en totale sécurité. C'est comme cela, il est des hommes qui savent se sortir de toutes les situations dangereuses et les femelles se sentent toujours bien avec eux. Peut être parce qu'ils sont plus calmes et sereins, d'un courage en acier trempé. Besov n'a pas besoin de commander, c'est naturel chez lui. Il ordonne et tout le monde obéit. Et chaque fois qu'Anna obéit à son homme, elle mouille. Recevoir des ordres est un plaisir, cela la repose. Lorsque son époux la corrige, ce n'est jamais pour asseoir son autorité, il n'en a pas besoin. Non, c'est juste par plaisir. Ils aiment faire cela tous les deux. Besov ne se sert que des ses mains puissantes, il n'a besoin d'aucun artifice et il sait faire très mal. Anna aime sentir la douleur devenir plaisir. Elle coule facilement, une vraie fontaine. C'est à ce moment là qu'elle adore se faire empaler sans ménagement. Cela glisse tout seul en elle. Le grand fauve de Sibérie peut la dévorer toute crue dans les grands vides de l'espace. Elle se donne complètement. Elle est sienne pour toujours.
La morale de cette histoire, c'est que pour soumettre une femme, et le Marquis de Sade a raison sur ce point, il faut d'abord la sodomiser.
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Avant toute chose je ne saurais que trop bien vous conseiller de lire mon premier article sinon vous aurez une moins bonne compréhension de celui ci. ( et un peu d’auto pub au passage sa ne fait jamais de mal ^^ , non plus sérieusement je conseillerais au moins de relire ne serais ce que le 4) si vous n’avez pas apprécier mon article précédent, juste parce que sa vous remettra un peu dans le contexte et vous repérerez peut être plus facilement certaines choses. )
Avant toutes choses quelques lignes pour situer le contexte et un petit mots aux soumises et soumis qui liront ces mots. Sa devait faire quelques jours tout au plus que j’ai parler pour la première fois avec cette domina, j’apprendrais par la suite que le virtuel ne l’intéressait pas vraiment et pourtant un petit quelque chose a fait que dans notre relation, au moins au début elle a déroger à ses habitudes. Pourquoi cela ? Je ne sais pas, peut être qu’elle avait apprécier cette soumise la plus qu’une autre, allez savoir.
Bien maintenant le petit mot à mes consœurs et confrères. Ne baisser pas les bras ! Je sais que c’est très dur de trouver un Maître ou une Maîtresse digne d’intérêt, je sais à quel point cela peut être usant et à quel point chaque échec, chaque message resté sans réponse nous décourage un peu plus et nous fait tendre toujours d’avantage vers une léthargie sans fin. J’y suis passée, repassée et j’y passerais peut être encore. Mais n’oubliez pas une chose, c’est bien le/la soumis(e) qui choisit son/sa Maître(sse) et non l’inverse. Si je n’avait pas persévérer dans mes efforts et dans ma recherche je n’aurais jamais rencontrée cette personne. Ceci étant dit bonne lecture.
Je ne saurais plus dire exactement quel jour c’était, peut être un mercredi mais je n’en suis plus sûr. Tout ce que je sais c’est qu’il était un peu avant midi quand mon train arrivait en gare.
Ce n’est pas très loin de chez moi et pourtant c’est la première fois que j’arrivais dans cette vile par le train. J’arrive dans le hall d’entrée, je sors et cherche un parking, je ne sais pas exactement ou je dois aller et nous n’avions par parler de sa plus précisément. Je vois des places de parking en sortant et commence à l’attendre. Le temps passe et dépasse l’heure prévue. Je commence, à ma poser des questions, vous savez ce court instant ou on se pose des milliers de questions, où on a l’impression de commencer à devenir parano. « Est ce qu’elle a oublier ? Est-elle retenue ? Est ce que tout sa n’était finalement qu’une mauvaise plaisanterie ? »
La sonnerie de mon portable me tire à mes pensées, c’est elle.
Elle me demande de m’avancer un peut, de descendre une ou deux rues plus bas, je m’exécute.
Arrivée sur place je la cherche du regard, scrute les voitures à sa recherche.
Soudain je vois une rousse me faire un signe de la main, je comprends que c’est elle.
On se fait rapidement la bise, elle met mes affaires dans le coffre de la voiture puis nous partons.
Durant tout le trajet je parle avec une petite voie de soumise timide, c’est la première fois que je vouvoie une domina, sa me fait tout drôle, je n’arrive pas à sortir de ce rôle dans le quel je me suis moi même enfermée, je sens que je suis coincée et crispée, mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à me détendre. Elle m’explique qu’elle dois finir encore un travail puis nous irons faire des courses. J’acquiesce, pas vraiment ce à quoi je m’attendais, enfin pour être franche je ne m’attendais pas vraiment à quoi que ce soit, je ne savais pas trop à quelle sauce j’allais être mangée, j’étais légèrement… bon d’accord, totalement stressée durant tout le trajet, elle s’en est sans doute rendue compte et je pense que sa la faisait bien rire intérieurement.
Elle revint un peu plus tard et remonta dans la voiture. « On va faire quelques courses pour le repas du midi » a t’elle dit. Quelques minutes plus tard nous arrivons devant le magasin d’une grande chaîne assez connue. Nous entrons, sans même prendre un panier, il n’y en a que pour quelques articles. Elle prends des myrtilles, quand je voie sa je comprends instantanément pourquoi.
Elle règle les achats puis nous repartons direction son appartement.
« Ne fait pas attention au désordre je ne suis pas beaucoup chez moi ces temps ci. »
Si tôt rentrée elle se met à cuisiner.Je lui demande si elle veux un peu d’aide, elle me réponds que non. « Cette fois-ci profite, c’est moi qui fait à manger, tu m’aideras la prochaine fois. »
Je m’assoie donc et la regarde faire, nous en profitons pour commencer à discuter un peu.
Quelques minutes plus tard je met la table, le repas est servie.
Son plat est délicieux, simple mais très bon, du riz avec du poulet à la crème et aux champignons.
Sa me rassure, depuis des amis chez qui j’étais aller manger et ou j’avais fait un très mauvais repas, mangeant uniquement afin de reprendre des forces pour les cours de l’après midi j’ai toujours une légère appréhension quand je dois manger chez quelqu’un dont je ne connais pas la cuisine.
Je suis contente du repas et le fais savoir. Je laisse une assiette propre.
Après avoir fini de manger et discuter, nous décidâmes de passer à coté.
Je passe devant et la vois suivre un peu plus tard, un bol rempli de myrtilles à la main.
Elle pose le bol sur le rebord de fenêtre. « Met toi en tenue » Me dit-elle d’un coup, je m’exécute sans délai, sors les affaires que j’avais apporter avec moi. Je me saisit de la tail plug, met un peu de lubrifiant sur le bout du plug et joue un peu avec jusqu’à le faire rentrer. J’enfile la suite des affaires à savoir les oreilles, des bottes en fourrure et des patounes. Elle me regarde l’air d’apprécier ma tenue. S’en vient la suite, ma partie préférée et la plus drôle pour moi, l’apprivoisement.
J’aime bien faire la timide lors de la première rencontre, après tout un animal ne se laisse pas facilement apprivoiser, surtout une renarde qui plus est.
Elle reste prudente et patiente, soulève le drap du lit et s’installe en se calant bien dans le fond du lit. Elle me fait signe de venir en me tendant la main pour que je puisse sentir son odeur.
Je viens renifler timidement, m’approchant de manière craintive. Finalement je me décide à venir me rouler en boule près d’elle. Elle pose sa main sur mon dos et commence à me caresser tout doucement. En un instant je suis passée d’un état anxieuse, à un état de calme et de sérénité le lus total. Elle en profite pour me mettre mon collier sans que j’oppose la moindre résistance puis lance le film. Je reconnais très vite le film qu’elle a mis, « Ame et Yuki les enfants loups »c’est un très beau film, je l’avais déjà vue mais sa ne me dérange pas de le revoir.
Je me sens bien, c’est tellement agréable de se faire caresser en pet pendant le film.
2 heures plus tard le film se termine, elle pleure, apparemment sa a réussi à l’atteindre.
Je me remet à 4 pattes et m’étire comme font les chats.
Je peut ressentir sa frustration, elle aurais aimer faire plus mais ne peut pas.
Et pourtant j’ai déjà bien apprécier ce petit après midi passer en sa compagnie.
J’ai déjà eu des séances très intenses avec un dom s’amusant à me pousser jusqu’à l’orgasme pendant des heures jusqu’à ce que je ne contrôle plus mes réactions.
Et pourtant j’ai trouver la quelque chose que je n’avais encore jamais connu auparavant, le plaisir simple de passer un peu de temps à regarder un film dans les bras d’une domina qu’on peu apprécier.
Je sais que je vais devoir repartir dans peu de temps si je ne veux pas rentrer trop tard.
Mais avant sa elle souhaite quand même me laisser un petit souvenir.
Elle me demande de me mettre couchée sur le ventre, je m’exécute sans trop comprendre pourquoi.
Puis, elle me donne une grande claque sur la fesse gauche et prends une photo du résultat.
Je lui demande si c’était une punition. Elle feint l’incompréhension puis me réponds, « non c’était juste comme sa parce que j’avais envie »
« ho.. » C’était la première fois que je prenais de l’impact, j’avais mal, le douleur était vive, et pourtant, quelques temps plus tard je prenais mes premiers coups de fouet.
Quand je suis rentrée chez moi elle m’a envoyer 2 photos, la première était le bol dans lequel étaient restées les myrtilles, intactes, nous étions tellement bien dans l’instant présent que nous en avions totalement oublier tout le reste. Sa m’a fait sourire.
La seconde était la photo de ma fesse bien rouge sur laquelle on pouvait voir la trace de sa main.
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Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts.
Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un.
C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse.
Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir.
La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune.
Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour.
@+
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Il y a peu je suis tombé sur l’article de @pmision concernant les différents types de soumises.
Je me suis alors demander si le même type d’article avait été fait sur le doms car ayant moi même envie d’apporter ma pierre à l’édifice.
Après une rapide recherche je me suis alors vite rendue compte qu’un article similaire sur les doms avait été fait même s’il ne reprenait pas exactement les mêmes codes.
Etant moi même soumise et bien que n’étant pas extrêmement expérimentée je souhaite donc me livrée à cet exercice ayant tout de même déjà eu l’occasion de faire la connaissance d’un large panel de doms, je reprendrait donc sensiblement la même liste point par point.
1) Le curieux/novice : Rien de mal à cela en soit il faut bien commencer un jour et quand on voit ce qu’on met dans la tête des gens de nos jours de part la culture cinématographique ou littéraire érotique sa n’est pas forcément très étonnant que la plupart des personnes qui débutent ai une vision au mieux faussée, au pire totalement erronée de ce qu’est le BDSM. Cependant si la soumise novice peut être en danger parce qu’elle sera avide de nouvelles expériences et ne saura pas bien ou se situe la frontière entre ce qu’il est ‘’normal’’ d’accepter pour son Maître et les choses aux quelles il vaut mieux réfléchir à deux fois de par le fait de son inexpérience et de sa méconnaissance du sujet justement. Ce type de dom peut également être dangereux car il peut ne pas avoir forcément toujours conscience de ce qu’il demande, emmené sa soumise aux devants de graves dangers s’il ne fait pas attention à ce qu’il fait et même la blesser que ce soit physiquement ou psychologiquement et cela même sans s’en rendre compte. Aussi j’aimerais en profiter pour faire un petit disclaimer à l’attention de toutes les soumises et soumis, faites attention ! N’acceptez pas tous sans la moindre réserve et écoutez cette petite voie de la raison qui vous fera vous demandez si ce que vous êtes entrain de faire ne va pas trop loin si vous commencez à être mal à l’aise. Oui la relation D/s est la négation totale de soit au profit de l’autre mais on ne s’abandonne pleinement qu’à une personne que l’on connaît, pas au premier inconnu venu et cela suppose que la personne en face de vous fasse la même chose pas qu’il pense lui uniquement à son petit plaisir et vous voit comme un moyen de satisfaire tous ses fantasmes.
2) L’affabulateur/ le fantasmeur : Ce genre de personne va venir vous voir en disant correspondre en tout point à ce que vous recherchez, il va vous faire de grands et beaux discours, s’enflammer énormément les 2-3 premiers jours, puis… plus rien, sa lui sera passer aussi vite que sa lui sera venu. J’avoue avoir du mal à comprendre ce genre d’énergumène. Sans doute a t’il cru que j’étais de son espèce ou peut être est-il juste de passage parce qu’il s’ennuie un petit peu avec bobonne à la maison et avait-il alors envie de ce changer les idées. Car souvent c’est ce que ceux la recherchent, une relation « discrète » comme ils disent si bien parce que dans le fond ils sont quand même attachés à leurs petite routine quotidienne et ne veulent pas vraiment en changer pour autant, ils veulent juste mettre un peut de « piment » dans leur vie. Sauf qu’ils ne comprennent pas une chose … c’est que moi sa n’est pas mon cas et je ne cherche pas des parties de jambes l’air un peu kinky à répétition, mais bien à bâtir une relation basée sur la confiance et vivre mon Maître. Je ne cherche pas à être une soumise « discrète », d’ailleurs sa n’existe pas tout comme il n’y a pas de doms discrets, mais bien à porter fièrement un collier que j’aurais mérité au fil du temps par ma patience et mes efforts, aussi bien dans l’intimité qu’en public car je ne souhaite pas me cachée car je suis fière d’être une soumise, pour moi il n’y ai pas de sentiment plus beau.
3) Celui qui a une idée précise en tête de ce qu’il recherche, trop précise même peut être et ne souhaite en rien déroger à cela. Celui la est dangereux car votre sécurité ne sera absolument pas sa priorité voir même pour certains le cadet de ses soucis. Pour lui une « bonne soumise » ( ha vraiment je vous jure j’adore cette notion de «bonne soumise » sa veux dire qu’il doit y en avoir une mauvaise aussi dans ce cas je serais curieuse d’entendre leur vision d’une mauvaise soumise ) doit être prête à consentir à absolument tout ce qui peut lui faire plaisir, peu importe que sa vous plaise, vous effraye, vous rebute, vous traumatise même peut être ou non. Parce que pour lui vous êtes de toute manière sensé trouvé votre plaisir uniquement à satisfaire tous ces désirs les plus inimaginables parce que, parlons franchement, pour lui vous êtes sa chose, son objet, mais pas dans le bon sens comme certains peuvent faire mais bien dans le sens ou pour lui vous ne serez rien et il ne vous reconnaîtra aucune valeur pas même celle d’être sa soumise « exemplaire » qu’il a toujours voulu.
Mention spéciale à ceux ( et ils sont plutôt nombreux malheureusement ) qui ne se donnent tout simplement pas la peine de lire votre profil et viennent alors vous voir et vous redemandent tout ce qui était déjà clairement énoncé dès l’entrée et ceci est souvent un point commun aux 3 premiers que je viens de citer même si ce n’est souvent pas pour les mêmes raisons. Alors je veux bien qu’il faillent trouver un moyen d’engager la conversation mais quand je passe les 3 premières heures de la conversation à réciter tout ce qui était écrit noir sur blanc s’ils avaient alors effectuer un petit effort de lecture...
4)Enfin et vous vous en doutez le meilleur pour la fin, la perle. Celui la vous emmènera la ou nul autre auparavant n’aura su vous amener, vous progresserez sûrement plus avec lui en quelques mois qu’avec des dizaines et des dizaines d’autres en des années. Pourquoi cela ? Pourquoi une telle différence ? Il n’y a pas de secrets, tout simplement parce qu’il sera à l’écoute, parce qu’il aura compris qu’être un dom n’est pas uniquement faire preuve de fermeté de manière continu mais qu’il faut également beaucoup de douceur et d’accompagnement pour qu’une soumise puisse se dépasser et passer au-delà de certaines peurs, craintes, appréhensions, phobies même des fois. Que cela ne se fait pas en forçant la personne mais au contraire en étant la pour elle est en l’accompagnant et alors vous verrez, vous passerez outre tout cela et des fois sans même y réfléchir parce que vous aurez une confiance aveugle, totale et indéfectible envers lui. C’est ce que le numéro 3 n’as jamais compris en continuant a chercher éternellement sa soumise parfaite qui accepte tout d’emblé sans cesse qu’il ne trouvera jamais.
Pour ce Maître ( le numéro 4 hein pas le 3 ne vous y perdez pas ^^ ) vous serez prête à accepter des choses que vous n’auriez jamais accepter avant, que vous auriez refuser d’emblée auparavant ou aux quelles vous n’auriez jamais songer. Mais à la différence du précédent type de dom, pas parce que lui vous y aura contraint, forcer ou obliger non. Mais parce qu’il aura prit tout le temps nécessaire pour vous expliquer les choses, qu’il vous accompagnera dans l’épreuve et sera la pour vous si jamais les choses devaient mal se passées et vous le saurez, c’est pour cela que vous serez prête à accepter tout ce qu’il vous demandera, parce que d’une part vous voudrez satisfaire tous ses désirs pour lui faire plaisir et le remercier de prendre soin de vous et de l’autre parce qu’il ne vous demandera que des choses dont il vous sait capable et qui n’iront pas à l’encontre de ce que vous souhaitez et ainsi vous irez et avancerez sereinement sur ce chemin avec lui, ne remettant jamais en cause votre dévotion inflexible à son égard. Et il vous verra comme son bien le plus précieux, il pourrait tout perdre en ce bas monde, tant qu’il vous aura vous rien d’autre n’aura d’importance à ses yeux.
Celui la je lui donnerais tout, de mon corps tout entier à ma dévotion la plus totale. J’accepterais pour lui des choses que je n’aurais accepter pour aucun autre et lui offrirais ce que je peux avoir de plus précieux sans même réfléchir un instant car pour moi se sera une évidence. Que je ne voudrais qu’une seule chose, passer les reste de ma vie à ses pieds.
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Nouveau sur ce site, je suis réveur, de voir ma compagne (17 ans de vie commune) dans un plan à trois avec un homme.
Sa préférence HHF ou FFH ? HHF me dit -elle. C'est une réponse à laquelle j'ai adhéré et fantasmé ... je me plierais à ton choix si tu le veux.
Un ami masculin est intéressé, ma femme lui plait depuis un moment.
Je ne prète pas lui dis-je, je partage, preuve d'amour, partager est plus beau.
Osons, un petit apéro tous les trois, il arrive dans notre petit nid, une heure avant mon arrivée.
Je l'ai 'autorise à la courtiser, la séduire. Lui m'a proposé de l'embrasser, la caresser.
"Ch'suis pas très chaud derrière mon dos, mais bon, j'ai joué après tout..."
Quelle ne fut ma surprise, pas question de plan à trois, pas de calin entre eux, Il a réussit à la convaincre que j'étais un soumis. Leur complicité m'excitait, surtout losqu'ils discutaient et riaient après m'avoir invité à sortir de la pièce.
D'un commun accord, j'ai du préparer le repas, me taire, les servir, obéir, pour finir par me retrouver en fin de repas vétu d'une culotte de Madame et être finalement, en fin de soirée, fouetté gentiment, chacun leur tour.
ça fait déjà un mois et ma compagne ne veut plus d'intervenant, s'amuser tous les deux, ok, mais seulement dans notre nid, et pas tous les jours, Alors tous les jours je m'efforce, mais c 'est très difficile voire déprimant, car cette journée est l'une des trois plus belle vécue avec ma compagne en 17 ans de vie commune.
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L'URTICATION, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les, pratiques sexuelles, l'urtication est probablement l’une des plus méconnues mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. Urtication : bdsm & orties Utiliser l'ortie pour la fessée et le plaisir L'urtication (urtica : ortie) fait référence à ceux qui utilisent des orties pour stimuler la peau pour les jeux sexuels, tels que la fessée et les pratiques BDSM. Les ingrédients actifs de l'ortie ne se propagent pas à d'autres zones mais sont limités où la plante entre en contact. Les orties peuvent être appliquées de diverses manières. Certains allongent les tiges et enfoncent les poils dans la peau, d'autres les tiennent en grappe et les tapotent contre la zone choisie, ou les mettent dans un sous-vêtement. Les hommes qui portent des préservatifs ont découvert qu'appliquer brièvement des orties sur le pénis avant de mettre le préservatif peut compenser la sensation perdue par la barrière de latex.Le pourtour des vésicules rougit, s’enflamme et devient le siège d’une chaleur mordicante, puis, au bout d’un certain temps l’irritation se dissipe et la peau revient peu à peu à son état naturel. Si l’urtication fut, de tout temps, employée pour favoriser certaines éruptions cutanées, elle fut encore plus généralement dirigée contre l’impuissance pour cause d’atonie des organes génitaux. Elle s’applique directement sur les parties sexuelles ce qui ne pourrait se faire de la flagellation, à cause de la délicatesse et de la grande sensibilité de ces parties. A peine l’organe a-t-il été urtiqué, que le sang y afflue en abondance, il s’échauffe, entre en turgescence et devient propre à consommer l’acte auquel la nature l’a destiné. L’urtication se fait avec des orties vertes fortes et vigoureuses, on choisit, de préférence, l’ortie grièche ou petite ortie, parce qu’elle offre des poils plus nombreux, plus acérés et des glandes contenant un liquide plus âcre. On frappe vivement et en tous sens sur la partie, jusqu’à ce qu’une cuisson brûlante s’y développe, on cesse alors et on attend le résultat. Il est rare que cette opération bien faite ne produise point une érection passagère, et si l’on a soin de la renouveler de temps à autre, elle dilate les corps caverneux par le sang qu’elle y amène et finit par restituer la fonction érectile qui était perdue. Histoire et effet des orties L'article Organic S&M fournit de nombreuses informations utiles sur les orties et pour cause : Derrière la pratique : Les Romains battaient les hommes « sous le nombril », selon l'Encyclopédie des herbes de Rodale, pour améliorer la virilité. Chez les druides, c'était une herbe sacrée, tandis que les soldats romains portaient des morceaux de la plante avec eux au combat pour leur donner du courage. L'ortie était utilisée par les Amérindiens du nord-ouest pour rester éveillés lors de longs voyages en canoë. Par les herbivores anglais pour « encourager » les taureaux de prix pendant la saison des amours, et par les maîtresses anglaises dans le même but. Et les orties étaient aussi courantes dans l'érotisme de l'ère victorienne que les figuages, les bouleaux et la bastonnade. Et voici ce qu'ils font : Les orties provoquent des sensations de brûlure intenses dans la peau lorsqu'elles sont appliquées, très similaires à la douleur aiguë d'un fouet. En fait, la classification familiale Urtica vient du latin uro, signifiant « brûler ». Mais alors qu'un coup de fouet s'estompe relativement rapidement (en une heure au moins, avec quelques douleurs de plus), la brûlure chaude et intense d'une ortie peut durer jusqu'à 24 heures ! La sensation met beaucoup de temps à se refroidir et vous en êtes conscient tout le temps en raison du picotement presque électrique à travers la zone affectée. C'est merveilleux pour les scènes D/s à long terme ou les jeux verbaux et légers en public. En plus de cette brûlure intense à long terme, l'urtication peut également transformer même les fonds de ferles plus blasés en chatons miaulant. La sensibilité à toutes les sensations augmente considérablement, et selon les mots de Maître Conrad Hodson "une plume peut ressembler à un pinceau, une légère fessée ressemble à une sangle, une sangle légère ou un fouet leur épate". Historique L'ortie était bien connue des Grecs et des Romains. Les premiers, qui l'appelaient Alkalyphe, s'en servaient pour soigner la toux, la tuberculose, l'arthrite ainsi que pour stimuler la pousse des cheveux. La pratique de la flagellation thérapeutique avec des tiges d'orties remonte également à l'Antiquité. On la dit salutaire contre les rhumatismes. Nicholas Culpeper, célèbre médecin anglais de la première moitié du XVIIe siècle, la recommandait pour soigner les maladies des vaisseaux sanguins et des voies respiratoires. En Europe, on la consomme volontiers en potage ou en salade, et il fut même une époque où son infusion était fort appréciée dans les salons mondains. Avec les feuilles de pissenlit et d'autres verdures printanières, les jeunes pousses d'ortie faisaient partie des « cures du printemps » qui ont été jadis si populaires. Notez que le pouvoir urticant des poils d'ortie est inactivé par la cuisson et le séchage ainsi que par le procédé d'extraction qui permet la fabrication de suppléments. En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l’Inde), on emploie l’ortie en association avec d’autres plantes pour traiter les hémorragies utérines, les saignements de nez, les éruptions cutanées et l’eczéma. Les Amérindiens s’en servent pour soulager les douleurs rhumatismales, ainsi que pour soutenir les femmes durant l’accouchement. Au Maroc, on utilise l’ortie pour traiter l’hypertension. En raison de sa haute teneur en chlorophylle, on a utilisé l'ortie comme colorant vert naturel dans les conserves de légumes. Tout comme celle du lin, la fibre d'ortie a servi à la fabrication de tissus et de papier. Les bons jardiniers connaissent, pour leur part, les vertus du purin d'ortie comme engrais naturel. Traditionnellement, ce sont les parties aériennes qu'on a utilisées comme agent médicinal; l'emploi de la racine pour traiter l'hyperplasie bénigne de la prostate n'est apparu qu'au début des années 1980. Précautions Contre-indications Par ce que l'ortie pourrait avoir un effet abortif, elle est contre-indiquée en cas de grossesse, bien qu'aucun cas n'ait été signalé chez l'être humain et qu'elle était traditionnellement donnée comme tonique aux femmes enceintes ou qui allaitaient. Effets indésirables Les feuilles fraîches causent sur la peau une vive sensation de piqûre, généralement passagère et sans conséquences sérieuses. On rapporte un cas d’oedème grave de la langue chez une patiente de 32 ans ayant sucé une feuille fraîche d’ortie (Urtica urens). Il est possible que l’oedème ait été aggravé par l’acide acétylsalicylique (aspirine) que la patiente avait prise pour calmer la douleur. Les parties aériennes sont virtuellement sans effets indésirables. Quant aux racines, une étude ayant porté sur plus de 4 000 sujets qu'on a suivis durant six mois a permis d'établir que des troubles intestinaux bénins pouvaient se manifester dans tout au plus 1 % des cas. On voit, d’après cela, qu’entre la flagellation et l’urtication il existe cette différence, que la première agit extérieurement et que l’afflux du sang à la peau est déterminer par la percussion, qui va souvent jusqu’à la meurtrissure, et quelquefois jusqu’à l’attrition de la partie, tandis que l’urtication agit intérieurement par l’irritation que produit dans le tissu cutané la liqueur âcre des poils de l’ortie cette irritation est d’autant plus vive qu’il y a eu plus de poils d ‘orties brisés et de liqueur versée dans l’épaisseur de la peau.
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J'ai 32 ans, et pas mal d'heures de vol déjà.
Il m'a pourtant fallu du temps pour oser prendre mon envol.
Parce que pour voler, il faut avoir en confiance en soi.
Alors, bien que j'aie essayé d'apprendre avec de nombreux autres avant toi,
j’avais du mal à franchir le pas.
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C'est avec toi que j'ai appris à voler.
Co-pilote, pilote parfois aussi, désormais, mais toujours avec toi.
_______________
Et maintenant que nous volons ensemble,
c'est toi que j'aime le plus souvent laisser piloter.
Le soir, la nuit.
Après que tu aies veillé que je sois bien attachée,
que je me sente à l'aise,
pour que tu puisses t’essayer à tous types d'acrobaties,
tous ces jeux pervers auxquels j’aime que tu te livres sur moi.
Avec toi, j’ai oublié mes peurs.
J’ai toujours eu confiance en toi.
En ta maîtrise de l’appareil, des instruments, du ciel.
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C'est le matin que tu me laisses le plus volontiers prendre le manche.
Et maintenant que j’ai appris à bien le manier
tu as pris goût quand tu me le confies
à te laisser entraîner là où je veux t’emmener.
Alors co-pilote ou pilote, peu importe au final le siège que tu m’assignes
puisque le ciel nous appartient.
_______________
Oui, j’aime voler avec toi.
M'envoler vers l'azur avec toi.
Me sentir libre avec toi.
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Charlotte se planta devant la glace de la salle de bain. Son visage était gracieux. Ses courts cheveux bruns et ses
cils retroussés lui donnaient du charme. Elle était grande, mince avec des hanches étroites, des seins qui n'étaient
pas imposants mais qui comblaient les mains d'un homme. Elle affleura les mamelons. Le mystère de leur épaisseur
par rapport aux aréoles étroites l'intriguait depuis l'adolescence, mais ne lui causait aucun complexe. Leur sensibilité
exacerbée était la source de bien des plaisirs. Ses mains étaient attirées par son ventre bombé. Elle ne résista pas,
frôlant le nombril au passage. Du bout des doigts, elle lissa sa fine toison cuivrée avant de s'arrêter sur les lèvres de
son sexe. Comme les mamelons, elles étaient longues et surtout épaisses, très sensibles aussi. Il s'agissait d'une
caractéristique des hypersexuelles. Elle ne se considérait pas comme une nymphomane, mais comme une fille très
sensuelle. Elle ne courait pas après tous les hommes qui passaient à portée. Elle parvenait sans grande difficulté à se
satisfaire toute seule quand elle en avait envie. D'ailleurs, la dernière fois où elle avait baisé remontait déjà à une
semaine. Elle amena ses mains sur ses cuisses fines, mais que la pratique de l'équitation avaient musclées. Elle se
retourna, se tordit le cou en arrière pour examiner son cul dans la glace. Il était petit, mais rond et ferme. Il plaisait
aux garçons. Juliette s'était certainement fait déjà enculer, alors qu'elle-même n'avait jamais essayé. Est-ce que cela
lui plairait ? Probablement, mais elle n'osait pas tenter l'expérience. On disait que ça faisait mal la première fois.
Elle se mit de nouveau face à la glace. Qu'attendait d'elle au juste l'homme d'affaires si elle acceptait sa proposition ?
Qu'elle se comporte comme une pute, d'accord mais de quelle manière ? En traversant le VIIème arrondissement, le
soir, elle voyait les voitures des filles qui tapinaient à la sortie des bureaux. Ce n'était sûrement pas ça qu'il voulait.
Une telle pratique était bien trop vulgaire pour honorer la mémoire de son ancêtre courtisane. Elle songea qu'il lui avait
raconté une belle histoire, mais qu'au fond elle ne savait pas si cela était vrai. Pourtant, son instinct lui souffla que
l'homme était sincère. Charlotte se détourna du miroir. Elle inspira un grand coup. Ensuite, elle se dirigea vers la table
de nuit pour prendre dans son sac à main son portable et la carte de visite qu'il lui avait remise. Elle commettait peut-
être une bêtise, mais au moins celle-ci serait grandiose. Elle se demandait comment s'habiller pour se rendre chez lui.
Après réflexion, elle opta pour un tailleur classique. Elle ne savait rien de ses goûts, mais il devait avoir l'habitude des
secrétaires en tenue stricte. Quand elle arriva devant l'immeuble, elle eut un léger pincement au creux du ventre. C'était
maintenant que tout se jouait: ou elle entrait, et son avenir était tracé, ou elle repartait et continuait sa vie comme avant.
Elle fut tentée de faire demi-tour, mais elle se maîtrisa. Elle n'avait jamais reculé. Il y avait un interphone. Le samedi
précédant, l'homme ne s'en était pas servi, mais lui avait la clef, elle non. Cependant, il devait y avoir aussi une caméra
quelque part parce que quelques secondes à peine après qu'elle eut sonné, il y eut un déclic et aussitôt la porte pivota.
L'appartement de l'homme d'affaires était un triplex, les chambres se trouvaient au second étage. Les tapis, la décoration,
le revêtement capitonné des murs, tout était luxueux. Charlotte eut l'impression d'avoir mis les pieds dans une cage aux
barreaux dorés. Une jeune fille les attendait dans la suite. La pièce devait faire quatre ou cinq fois la superficie de son
modeste studio. Elle comportait en plus une salle de bain attenante. Après s'être inclinée, la jeune esclave ouvrit la grande
armoire laquée. Les étagères étaient remplies de vêtements et de lingerie. Tous deux fixaient Charlotte qui eut le sentiment
d'être une poupée aux prises avec deux êtres vicieux. Mais à sa propre surprise, ce n'était pas une sensation désagréable.
Elle examinait les habits rangés dans l'armoire. Il y en avait trop, elle ne savait quoi choisir. Au hasard, elle prit un string,
un soutien-gorge, un porte-jarretelle et une paire de bas noirs. Elle laissa la jeune fille la déshabiller. Elle savait depuis très
longtemps que se déshabiller avec élégance et sensualité était un art. Elle ne soupçonnait pas que cela pouvait être vrai
aussi quand il s'agissait de se faire déshabiller par quelqu'un d'autre. Les mains fines de la jeune esclave voltigeaient avec
grâce. Elles semblaient l'effleurer à peine. Bientôt Charlotte se retrouva nue. Ce fut l'occasion d'apprendre les rudiments
du massage. Doucement, la jeune fille appuya sur ses épaules pour l'obliger à s'allonger à plat dos sur le lit. Les caresses
tenaient plus de l'attouchement que d'autre chose. Charlotte sentait déjà une chaleur voluptueuse remonter le long de ses
cuisses pour atteindre le ventre. Elle décolla ses fesses du lit. Les doigts de l'esclave avançaient lentement, mais sûrement.
Ils avaient atteint les genoux. Leurs caresses le long des cuisses affolèrent la jeune femme qui crut jouir avant qu'ils arrivent
à son sexe. Le plaisir, à ce stade-là se rapprocha de la souffrance. Arrivée à l'entrejambe, l'esclave marqua une pause pour
examiner de près le sexe de Charlotte. Elle paraissait intriguée par les lèvres très développées et la grosseur du clitoris.
Charlotte ne résista pas quand la jeune fille lui prit la main, la lui posa sur le sexe. Honteuse mais incapable de se retenir,
elle pinça son clitoris entre pouce et index et l'étira. Ce qui mit l'homme d'affaires en joie. Le plaisir montait dans son ventre,
irrésistible. Elle cria, son corps tendu en arc de cercle reposant sur la nuque et les talons, avant de retomber sur le lit, molle
comme une poupée de chiffon. Elle ne pouvait le nier, Charlotte avait passé une excellente nuit dans sa nouvelle chambre.
Malgré tout, elle ne se sentait pas encore à l'aise. Que la jeune esclave lui apporte le petit déjeuner au lit, passe encore,
mais qu'elle insiste pour l'aider à faire sa toilette intime, c'était autre chose. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, elle
s'était toujours lavée seule. Cependant, elle dut céder à l'insistance de la jeune esclave. Elle devait admettre qu'en quelques
semaines, sa vie avait beaucoup changé. Cette nouvelle existence ne manquait pas d'avantage. Outre le confort matériel,
elle lui assurait une complicité avec des personnes partageant son intérêt pour le sexe. Une nuit, elle se leva pour aller
voir ce que contenait dans le bureau de l'homme d'affaires une mystérieuse boîte. Elle aperçut à l'intérieur un martinet au
manche incrusté de nacre. Elle ne pouvait le nier, la flagellation et le bondage exacerbaient dorénavant son imagination.
Cependant, elle considérait que ça dépassait de loin la fessée à main nue. Mais la jeune esclave qui l'avait suivie dans la
pénombre se plaça derrière elle. Charlotte s'efforça de se rappeler le détail des images, quand elle sentit le martinet se
lever. Le premier coup claqua en travers de ses fesses. Charlotte eut un soubresaut et laissa échapper un soupir. La jeune
fille avait mesuré sa force, mais frappé assez fort pour laisser des marques rouges sur la peau bronzée des fesses. Elle
savait que mieux valait ne pas tricher avec celle-ci et son mentor. Alors, elle croisa le second coup. Une suite d'images lui
revenait en arrière. Elle savait qu'il ne fallait pas frapper toujours au même endroit, mais cingler tantôt à droite, tantôt à
gauche, tantôt en haut, tantôt en bas. L'essentiel était de bien rougir toute la surface des fesses pour qu'alors celles-ci
s'échauffent en totalité. Le plaisir, à la fin, devait surpasser la douleur. Elle s'appliquait, consciente que l'homme d'affaires
les surveillait grâce à une caméra. Progressivement, les fesses de Charlotte prenaient une teinte homard cuit. Elle remuait
lascivement son fessier, laissant échapper des soupirs qui n'avaient rien à voir avec une plainte de souffrance. Encouragée,
la jeune esclave, désormais nue, passa à l'étape suivante en frappant tantôt le haut, tantôt à l'intérieur des cuisses, juste
sous la vulve, là où la chair est la plus tendre. Au premier coup, Charlotte avait poussé un petit cri, mais sans doute plus de
surprise que de douleur car elle gigotait de plus belle. N'en pouvant plus, elle se laissa aller sur le bureau et demanda à la
jeune fille de la baiser. Interdite, l'esclave en sueur, cessa de frapper, ne sachant que faire. Charlotte lui désigna le manche
du martinet. Elle s'en voulut de ne pas y avoir pensé. Retournant la tige, elle la glissa entre les cuisses de Charlotte, qui se
cambra s'efforçant de s'empaler. L'esclave fit aller et venir le manche le long du périnée entre les lèvres béantes du sexe.
Puis Charlotte se mit à quatre pattes en courbant ses reins au maximum, et l'esclave enfonça le manche dans son anus.
La jeune fille, lui pinça un mamelon. Charlotte poussa un gémissement, repoussa sa main, et se remit debout. Elle n'avait
jamais imaginé un instant dans sa vie que ce serait une femme qui la forcerait dans la voie la plus étroite de son intimité.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La fille du gros Chinois me répond :
— Voilà qui a le mérite d’être franc. Tu dis toujours la vérité ?
— Non, Maîtresse.
— Alors explique-toi.
— Je crois que vous êtes au courant de tout ce qui nous concerne, Maîtresse.
Elle a un rire aigu et musical... assez crispant, pour tout dire. Je ne suis pas dupe, bien sûr, qu’elle sait tout.
Quand elle bouge, son "esclave parasol", le bras tendu, bouge aussi pour la protéger du soleil. C’est peut-être une vampire !
Le gros Chinois a l’air de sommeiller dans son fauteuil, mais il observe tout, les paupières mi-closes, comme un crapaud prêt à lancer sa langue pour gober le papillon qui passerait à sa portée. Lui aussi, il est abrité du soleil par une esclave parasol. Ce sont deux vampires ! Elle dit à son père :
— Monsieur Norman a pris un pass VIP, on pourrait lui donner ces deux-là.
— Oui, bonne idée.
Le gros homme s’adresse à une de ses "esclaves fauteuil", à genoux près de lui :
— Norman, bungalow 22. Va chercher !
— Oui, Maître.
La fille détale à toute allure... Le Chinois se lève souplement, c’est peut-être un faux gros ! Il vient tourner autour de nous et il observe le visage de Julien en disant :
— Tu ne ressembles pas du tout à ton père.
— Non Maître.
— Qu’est-ce que tu en penses, Sen ?
— Sa mère a la réputation d’écarter les cuisses pour tout le monde, il n'est sûrement pas le fils de son père.
Julien ne dit rien, d'autant plus que la fille a raison : sa mère, c’est la reine des salopes ! L’esclave fauteuil revient accompagnée d’un homme d’une cinquantaine d’années, vêtu d’un costume léger. La jeune Chinoise lui dit :
— Cher Monsieur Norman, voici un petit couple, mari et femme, qui devrait vous plaire. On vous en a parlé, c’est la fille du Français.
— Ah, oui, je vois. Ils me conviennent parfaitement.
Ce type a l’air d’un homme d’affaires prospère, vaguement asiatique. Ça fait un moment que j’ai compris que les gens venaient ici pour réaliser leurs fantasmes. Le gros Chinois lui annonce :
— Ma fille vous accompagnera jusqu’au dépôt. Amusez-vous bien, cher ami. À ce soir, au club...
Il s’en va avec son esclave parasol, suivi par ses esclaves fauteuil. Il ne lui manque qu’une esclave éventail... Monsieur Norman s’adresse à Sen :
— J’me taperais bien le gamin, pour commencer.
Qu’est-ce qu’ils ont tous avec Julien ? Pas que je souhaite faire la moindre chose avec ce type. Sen répond :
— Pas de problème, j’ai le temps.
L'homme dit à Julien :
— Viens me sucer...
D’accord, l’homme n’est pas appétissant, mais Julien est bien dressé : il s’empresse de se mettre à genoux pour embrasser et lécher le sexe.
Dès qu’il est assez excité, l’homme se déshabille et lui dit :
— Mets-toi à quatre pattes.
Quand Julien est en position, il me dit :
— Mets toi-même ma bite dans le cul de ton mari.
Ouais, la routine, quoi... Dès que j’ai placé le gland contre l’anus de Julien, il le prend par les hanches et l’encule jusqu’aux couilles. Julien pousse un petit cri ridicule, genre "yyyiiip", mi-douleur, mi-plaisir. C’est des vacances pour lui : puisqu’il suce des bites et il se fait enculer !
La fille du gros Chinois baille. Elle ne regarde pas le spectacle.
Dès que l’homme a envoyé quelques centilitres de sperme dans les entrailles de Julien, il se retire en disant :
— Très agréable à enculer, ce petit. Bon, on peut y aller, mais avant nettoie-moi.
Quand je vous disais : la routine. Julien remet le sexe en bouche en faisant la grimace, qui salit, nettoie !
Ensuite, il se rhabille et on prend une petite route en direction d’un entrepôt caché par des arbres. J’ai une folle envie de m’enfuir... mais ma dernière tentative dans l’usine me fait réfléchir. Il y a d’autres moyens de disparaître.
Dans l’entrepôt, on voit trois filles attachées par une corde passée dans l'anneau de leur collier. Il y a aussi une dizaine de charrettes. Sen appelle un jeune homme et lui parle dans sa langue. L’homme nous prend par le bras, Julien et moi, pour nous conduire devant une charrette à trois montants. Ces pièces de bois permettent d’atteler des animaux de trait côte à côte. L’homme nous pose des anneaux de fer aux poignets, pour pouvoir nous enchaîner aux montants. On est solidement attaché à la charrette. Ensuite il nous enfonce un mors en plastique rigide dans la bouche. Le mors est relié à des sangles qu’il passe derrière nos têtes. Des longues lanières vont servir à nous diriger, en tirant à gauche ou à droite. Je n’y connais rien en mors, mais ça me semble quand même curieux d'en mettre à Julien et moi !
Nous sommes attachés aux montants et quasiment muselés, alors fouette cocher ! Ou plutôt, fouette Samia et Julien... On commence à tirer la charrette, tant bien que mal. Le gros salopard de conducteur crie :
— Allez, un peu de nerf !
S’en suivent quelques coups de fouet. Heureusement, ces coups manquent de puissance, car notre cocher est gêné par les lanières des mors. Mais on les sent bien quand même. On n’a pas du tout envie de traîner !
Il tire sur une de mes rênes et je prends le chemin de gauche. Ça monte légèrement vers un plateau. Il crie :
— Vos pas doivent être synchrone, sales bêtes !
Je fais attention de partir de la même patte que Julien. On doit bander nos muscles au maximum pour arriver à faire avancer cette saloperie de charrette ! Arrivés sur la hauteur, il nous dirige vers un endroit où des filles amènent des sacs de plantes diverses. Elles chargent notre charrette. Quand c’est terminé, il crie :
— Hue ! Bourriques !
On s’arc-boute pour faire bouger le chariot, il pèse une tonne avec tous ces sacs ! Heureusement, le chemin est légèrement en pente, sinon on n’y serait jamais arrivés. Je prie : "Seigneur, fasse que ce type ait un AVC foudroyant" ! Hélas, c’est le genre de prière que le Seigneur n’a pas l’habitude d’exaucer.
On se dirige vers un hangar où d’autres filles déchargent les sacs. Puis on recommence. Tout cela pendant des heures ! C’est nous qui sommes au bord de l’AVC...
On remonte très péniblement vers le plateau, mais soudain, il tire sur mon mors pour nous faire prendre un autre chemin. De la musique se fait entendre et, derrière une haie d’arbres, on se retrouve devant un genre d’auberge. Il y a des gens assis autour de petites tables. Des hommes et des femmes, principalement, des Occidentaux. Il y a aussi des filles qui font le service, ou sont en faction, debout, derrière leurs Maîtres et leurs Maîtresses.
Il y a un endroit où sont parquées les pony-girls. Elles sont à quatre pattes, des deux côtés d’une barre de bois à laquelle est attachée une laisse elle-même fixée à leurs colliers. Ce n’est pas tout : plusieurs hommes sont à genoux derrière ces jeunes femmes, qu’ils baisent en rigolant entre eux.
Norman descend de la charrette et, aussitôt, deux filles arrivent en lui faisant des courbettes. Il va rejoindre des hommes qui lui ont fait signe. Les filles nous détachent des montants de la charrette et enlèvent les mors. J’ai les commissures des lèvres toutes meurtries, et le reste du corps aussi : les fesses et les cuisses à cause des coups de fouet, les jambes et le dos à force de tirer la charrette.
Les filles attachent une chaîne à notre collier et nous indiquent deux emplacements, entre d’autres filles. On se met à quatre pattes. Bonne nouvelle, si je puis dire, il y a une espèce d’abreuvoir entre les deux rangées de filles. On boit en aspirant et en lapant. Cette eau est tiède et pas propre, mais on a trop soif. Une des filles vient déposer une pomme coupée en quatre devant nous. Je veux prendre un morceau en main, mais la fille tire sur ma chaîne en faisant "non" de la tête : on doit manger comme des bêtes. C’est d’ailleurs tout à fait ce qu’on est devenu ici.
Nous entendons les hommes qui grognent en baisant les filles. En fait, c’est eux, les bêtes. Deux hommes s’approchent. Ils rient en voyant Julien, le seul homme... non, je veux dire, le seul gamin parmi les filles.
Il ne faut pas longtemps pour qu’ils s’agenouillent et nous pénètrent tous les deux. Ouch ! Je suis sèche et il est entré brutalement. Dès qu’ils ont fini, d’autres les remplacent. Ici, ils ne sont pas dégoûtés de boire dans le verre du voisin ou de s’enfoncer dans un vagin plein du sperme du voisin.
Soudain, je reconnais la voix de mon ordure de beau-père... Après nous avoir examinés, il dit à l’homme à côté de lui :
— Tu les as traités gentiment.
Il me prend par une oreille et la tire brutalement. Je m’exclame :
— Aïe !! Vous me faites mal !
— Tu sais pourquoi je t’ai punie ?
— Parce que j’ai essayé de vous voler.
— Tu recommenceras ?
— Plus jamais, Maître, je vous le jure !
Il me lâche et je lui dis, "Par contre, si je pouvais tirer six balles explosives dans ta grosse panse, ce serait avec un immense plaisir." Mais... tout bas.
Il repart, indemne, hélas. Quelques hommes viennent encore nous baiser. Je pense à Mailla... Elle va faire quelque chose, j’en suis sûre. C’est marqué dans ma paume. Norman dit aux filles :
— Je repars.
Elles nous remettent nos mors et nous attachent à nouveau aux montants de la charrette. On repart et on se prend plusieurs coups de fouet, sous prétexte qu'on ne va pas assez vite. Je suis dans un état second, mes oreilles bourdonnent et ma vue se brouille. J’ai peur de me trouver mal... à moins que je ne le souhaite ! Impossible de tenir une semaine comme ça... Et Julien est largement dans le même état que moi.
On arrive enfin dans l’entrepôt où se trouvent les charrettes. Norman descend et s’en va, content de lui. Il ne voit pas qu’il y a un précipice et se retrouve en 36 morceaux, 150 mètres plus bas ! Enfin... c’est ce qui devrait arriver. Oui, j’ai furieusement envie de supprimer tous ces salopards !
Deux gardes viennent enlever nos mors et nous détacher. Mais ils nous remettent une autre chaîne et nous conduisent dans notre chambre, ou plutôt la cage qui nous sert de chambre. Un des deux fait remarquer :
— Il y a déjà dix filles dans cette cage.
— Bah ! Elles n’auront qu’à se mettre l’une sur l’autre.
Eux, je leur collerais bien un bâton de dynamite allumé dans le cul ! Ils nous tirent jusqu’au groupe de filles assises devant cette cage. Dès qu’ils apparaissent, elles se mettent toutes à genoux. Un garde nous prévient :
— Ne vous éloignez pas de plus de 10 mètres de votre cage.
Je regarde les filles... ce sont toutes des Occidentales. Une belle brune me demande :
— C’est votre premier jour ?
— Ouiii !
— C'est dur, hein ?
— Oh oui !
— Il y a une casserole avec du riz et des bananes si vous avez faim.
— Merci beaucoup.
On crève de faim et de soif, malgré l’épuisement. Pipi, non... j’ai fait en tirant la charrette, comme une bête ! Comme il n’y a pas de couverts, on prend du riz collant avec les doigts, ainsi que des légumes et un peu de viande... C’est bon, enfin, surtout parce qu'on est affamés. Après le riz, on mange des bananes trop mûres mais bien sucrées et enfin, on peut boire. Les filles parlent entre elles... La brune me demande encore :
— Qu’est ce que vous avez fait pour vous retrouver ici ?
Je lui raconte, enfin, en partie... Je deviens la maîtresse d’un PDG. Mon mari et moi, on a essayé de le voler et c’est notre punition. La brune me dit :
— Si vous voulez, vous pouvez aller vous étendre.
— Oh oui, merci... Bonsoir à toutes.
Julien et moi, on va se mettre dans un coin de la cage. Je m’endors, mais d’un mauvais sommeil peuplé de cauchemars.
***
Le lendemain matin, je suis réveillée par un garde qui crie :
— Dehors, toutes !
J’ai mal aux jambes, au dos et aux reins et dire qu’il va falloir recommencer à tirer cette putain de charrette sous les coups de fouet... Les autres filles se lèvent péniblement, elles aussi. On va toutes dehors, où se trouvent les toilettes. Heureusement qu’on est en plein air, parce que l’odeur est forte. Après s’être accroupis, on... fait dans une tranchée. Ensuite, on déjeune : riz comme hier et bananes encore plus noires... On boit... La brune m’avertit :
— Quand quelqu’un te désigne, tu dois tout faire toi-même : donner le fouet à celui qui t’a choisie, mettre le mors dans ta bouche et t’attacher aux montants. OK ?
— Oui...
Elle se tourne vers Julien :
— Toi aussi, tu as compris ?
— Oui, merci...
La paume de la main me chatouille. Je la regarde et j'ai l’impression que ma ligne de vie palpite : le changement est pour très bientôt !
À suivre.
Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Vendredi
Après une idée totalement loufoque de détournement de mes cravates, tu souhaitais revenir à quelque chose de plus « sérieux ». Parce qu’à la base, ces accessoires vestimentaires sont tout de même destinés à être noués. Et qui dit nœud et soumis, dit il y a certainement matière à contraindre ! Tu fais donc ton choix dans le prolifique stock que j’ai apporté dans mes bagages. A priori, ce sera une soirée « bleue ». C’est la dernière chose que je distingue avant d’être étendu à plat ventre sur mon inséparable nouvel ami. Chevilles et base des cuisses pour le bas, poignets et biceps pour le haut : il n’en faut pas plus pour m’immobiliser. A part de rouler, je ne risque pas d’aller bien loin, des fois que l’envie m’en prendrait, ce qui reste hautement improbable !
Tout compte fait, tu as besoin d’avoir accès à mes fesses. Qu’à cela ne tienne, il suffit de renouer mes bras au-dessus de ma tête : en plus, la cravate permet de dissimuler mon visage. Ces cravates sont multi-fonctions.
Tu peux désormais utiliser tes feutres. Une fois n’est pas coutume, j’arrive à suivre une partie des lettres que tu es en train de tracer : il faut dire que tu avais levé le voile sur une petite partie de ton message. Mais pour le reste, résultat de l’inspiration du moment, je reste bredouille. Il faut que j’attende de voir les photos pour savoir ce que tu as encore pu inventer à mon propos.
Soudain, je sens comme une pression sur mon dos. Tu viens de t’y installer à califourchon pour être à portée afin de m’infliger une bonne fessée. Par instants, je pourrais presque croire que tu as été percussionniste dans une autre vie. Les mains restent quand même une excellente alternative à tous les accessoires de ta collection, tout en offrant une sensation bien spécifique que j’apprécie particulièrement. Petit à petit, la température monte.
Quelques griffes s’égarent sur mon échine : des premiers frissons mais pas de quoi me refroidir ! Surtout que tu sembles décidée à poursuivre sur la même thématique. Ta nouvelle spatule fait déjà son retour. Qu’est ce qu’elle est électrisante, surtout quand tu l’utilises du côté bombé. Etonnante cette différence de sensation entre pile et face : encore matière à varier les plaisirs (ou les sévices selon de quel côté du manche on se trouve). Derrière un traitement aussi mordant, la pauvre mini-tapette de poche fait bien pâle figure. D’ailleurs, tu n’insistes pas bien longtemps. Mon dos n’y réagit même pas.
Du coup, tu préfères te saisir de ta main « artificielle » : celle en cuir noir. Avec elle, les impacts sont bien plus marquants. Il semblerait même que ton surcroit d’énergie ait raison de son intégrité : nous sommes bons pour la recoller avant une prochaine utilisation. :-).
Par abandon de la main à la troisième reprise, tu n’as pas d’autre choix que de passer à autre chose. Ce fin mais ô combien électrisant contact aurait presque l’effet de me réveiller, quand bien même je ne dormais pas. Difficile d’identifier laquelle tu as saisie, mais ce dont je suis certain, c’est qu’il s’agit d’une des dernières baguettes. La morsure est particulièrement intense mais heureusement de courte durée, laissant rapidement place à de belles marques rouges bien rectilignes. Une fois n’est pas coutume, tu t’aventures bien au-delà du bas des fesses que je pensais déjà bien sensibles : les mollets le sont tout autant voir plus … C’est quand même contradictoire d’apprécier une morsure pourtant si intense !
La suite égare un tantinet mes sens. Ce lourd contact sur mon épaule gauche me laisse penser que c’est le gros flogger. Il n’en est rien : seulement un des martinets à lanières noires qui essaierait de se faire passer pour plus massif qu’il n’est ! Voici de quoi finir d’attendrir mes chairs.
Tous ces préliminaires viennent de te révéler que je semble être dans une soirée propice aux marques. Il ne faut pas perdre une minute : vite, la langue de dragon. Il faut tout de même que tu insistes particulièrement sur mes épaules et le haut du dos mais je comprends que tu parviens à tes fins. A priori, les V de ta victoire ont dû finir par apparaitre. Mais c’est désormais l’appareil photo qui semble rechigner : je sens que tu t’agites avant que je retrouve mes couleurs d’origine. Ce serait bêta !
Pour conclure cette série chauffante et impactante, tu as choisi ce qui est peut-être ma gourmandise préférée, que dis-je ma drogue dure, dont je suis depuis bien longtemps totalement accro. Tu m’avais promis une séance de griffes intégrale et tu tiens promesse : des chevilles jusqu’aux bras, tu les fais courir. Comme d’habitude, je n’y résiste pas, je frissonne de plaisir, je ronronne de satisfaction … elle n’est pas belle la vie entre tes mains ? Je suis si bien que je reste encore de longues minutes, seul sur mon drap violet, redescendant progressivement sur terre. Cela me laisse aussi le temps de m’en déventouser : c’est sympa le vinyle mais on finit par y resté scotché.
Samedi
Apothéose de ces deux merveilleuses semaines à tes côtés, tu as opté pour une dernière contrainte avant que nous nous séparions … provisoirement. C’est une mise en scène qui murissait depuis plusieurs mois déjà. Effectivement, elle laisse assez peu accessible la victime une fois réalisée.
La première étape est probablement la plus compliquée. Si les bas résilles s’enfilent bien (avec les années, j’ai pris le coup), il en va différemment avec les cuissardes. Heureusement, tu viens à ma rescousse pour lacer la seconde. Jusque-là, ça va encore, je suis assis. Une fois debout, je constate que je suis toujours aussi malhabile ainsi perché. Tu trouves pourtant que j’ai fait quelques progrès. Soit ! Je n’en suis pas encore à me déplacer seul en toute sécurité.
Direction ton antre où tu as déjà mis en place mon meilleur compagnon de vacances. Ouf, enfin posé, je ne risque plus rien. Au pire je vais subir tes contraintes ….. il se trouve que j’aime cela. Merci pour le coussin qui va assurer mon confort pour la suite. Il est bienvenu avant que je m’installe, non sans mal, à plat ventre : pas pratiques ces gaines de cuir serrées sur mes jambes. Rapidement tu m’enfiles un manchon à chaque bras. Tant que l’accès est encore possible, tu insères le crochet anal à boules dans mon fondement. Une corde vient le relier à mon collier. Je n’ai désormais plus la moindre marge de manœuvre de ce côté-là. Et il ne risque pas de s’échapper. Puis tu reviens aux bras. J’ignore encore comment mais je sens que tu les relies l’un à l’autre, le plus serré possible. Je ne peux plus guère que les lever légèrement vers le haut. Tu termines l’immobilisation en nouant bien serré mes cuissardes, des chevilles jusqu’au bout des talons aiguilles. Bien évidemment, par la même occasion tu m’as fait relevé les jambes vers le haut jusqu’à les relier au crochet. Belle réussite, je ne peux plus bouger le moins du monde. En revanche, tu te régales à immortaliser ta réalisation sous tous les angles. A la fois pénétré et contraint, quel sympathique mélange ! Et quel chouette point final à ce séjour.
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Je vous ai laissé en m’endormant très vite après ma journée en cage. Le matelas était le bienvenu et c’est Allan qui me réveille pour la préparation du jour.
-«Nouvelle Maîtresse pour toi aujourd’hui alors je vais te refaire une beauté surtout qu’elle te veut féminisé, alors on se dépêche»
Je n’échappe pas à la douche d’eau froide mais cette fois-ci, il me tend une serviette pour m’essuyer.
-«Tu trouveras sur le lit tous ce que tu dois mettre avant de recevoir ta Maîtresse et après tu reviens dans la salle de bains»
Je retrouve mes bracelets qui m’avaient été retirés, un plug de bonne taille, une paire de bas noir avec un porte-jarretelle, un string, une jupe courte en simili noir, un soutien-gorge et un chemisier dos nu noir, une perruque brune et des escarpins avec de hauts talons. Je me presse de m’habiller au mieux et je retourne à la salle de bains où je retrouve Allan qui me réajuste un peu tout pour que je sois présentable.
Il m’assoit sur un tabouret et me maquille comme une star mais je ressemble quand même plus à une fille de joie !
C’est avec la laisse qu’il m’entraîne dans la pièce principale où il me lie les mains et m’attache à un anneau au plafond par une corde qui me tend les bras vers le plafond. Mes chevilles sont écartées par une barre et je suis bien incapable de bouger dans cette position.
Comme d’habitude, Allan s’éclipse discrètement avant l’arrivée de cette Maîtresse.
Je n’aurais pas longtemps à attendre. Je vois arriver ma nouvelle Maîtresse. Elle est assez grande, habillée d’un body en cuir rouge, sur des talons immense mais le plus étonnant sont ces longs cheveux rouges. Maquillée discrètement, elle en impose avec sa cravache en main qu’elle triture comme impatiente de l’assouplir.
-«Bonjour Soumis, il faudra que tu me prouves que tu es capable d’être dévoué corps et âme»
-«Bonjour Maîtresse, je ferais le maximum pour que vous ne soyez pas déçu»
Sur ces quelques mots, elle m’impose le silence et tourne lentement autour de moi, sa cravache vient me caresser comme si elle aussi voulait me découvrir.
Maîtresse me soulève ma jupe et lance un «bien, il y a de quoi s’amuser» . Toujours en tournoyant, elle continue à me découvrir écartant mon chemisier pour faire apparaître mes dessous. Sur le dos, le contact est plus dur. Il faut dire que le dos nu attire la cravache qui me cingle quelques fois mais sans insister.
Maîtresse me détache poignets, chevilles et me tire vers un divan où elle s’assoit élégamment. Avec la laisse et la cravache, sans un mot, elle m’agenouille devant elle. Jambe croisée, elle me fait comprendre de lécher ces escarpins. Je lèche avec enthousiasme et le cuir brille de ma salive. M’intimant de le lui retirer, j’essaye de lui enlever avec douceur. Malheureusement, je ne suis pas très doué et je reçois vite un gros crachat en pleine figure comme signal de sa réprobation. C’est humiliant et je réussis à adoucir mes gestes.
Je met sa chaussure de côté pour lui tendre la main où elle déposera une noisette de crème de massage. Je lui masse délicatement toute la cheville et le pied, puis les orteils un par un en les étirant pour les faire craquer légèrement. J’ai la tête basse mais je crois qu’elle apprécie. La preuve puisqu’elle me tend le deuxième pied pour un nouveau nettoyage de chaussure. Je réussis à lui retirer sa chaussure plus délicatement et j’entame un nouveau massage pour lequel je suis beaucoup plus doué.
Maîtresse ne semble pas pressée et elle passe tranquillement quelques appels téléphonique à ses amies.
Je commence à faiblir. Sans doute l’a-t-elle senti car je reçois l’ordre de la rechausser délicatement bien sûr comme je sais faire sous humiliation.
Elle se relève et me fait faire le tour de la pièce à quatre pattes sans doute pour voir mon allure. Je reçois d’amples coups de cravache sur les fesses pour me faire avancer plus lestement.
Satisfaite, elle me ramène au centre de la pièces pour s’asseoir sur mon dos. Je ne peux voir ce que Maîtresse fait mais je m’attache à rester immobile comme un vrai tabouret.
Elle se relève prestement et me pousse avec son pied me retrouvant ainsi étalé sur le sol. Elle m’entraîne sur le ventre avec ces talons et grimpe sur mon dos en marchant tranquillement depuis mes épaules jusqu’à mes fesses. Je souffre car ces talons fins me rentrent dans les chairs, Je serre des dents mais je ne peux m’empêcher de gémir, la contrariant suffisamment pour qu’elle descende de mon dos pour aller chercher un bâillon boule qu’elle me met prestement en serrant fort la lanière. Elle refait quelques aller-retour sur mon dos avant de me retourner comme une crêpe et me monter sur le ventre. C’est largement aussi douloureux que l’autre face mais le bâillon boule fait son effet et je garde le silence.
Finalement, elle redescend de son strapontin vivant et sors d’une armoire à supplice, un boîtier d’électro-simulation et les accessoires adéquats. Je n’en avais jamais vu de si imposant avec autant d’électrodes. Maîtresse me raccroche à l’anneau au plafond et me remet ma barre d’écartement. Je suis à sa merci.
Elle me remplace le gros plug par un plug électro. Puis, elle dégage mon chemisier pour pincer des électrodes sur mes tétons relève ma jupe pour me sangler ma bite avec un autre accessoire. Une fois, toutes les électrodes raccordées, Maîtresse commence à s’amuser avec les différentes électrodes en passant du plug à mes tétons, puis mon sexe. Je me tord de douleur malgré que l’intensité ne soit pas excessive. Ah mince, elle m’a sans doute entendu car les frémissements augmentent. Mes tétons sont douloureux, puis mon anus, et je ne maîtrise plus rien. La douleur va de l’un à l’autre et même simultanément sur deux, voir les trois en même temps.
Je suis à bout mais Maîtresse s’emballe et je finis par pendre lamentablement sur ma corde complètement vidé.
Elle me détache et je m’étale au sol. Pas sûr que je puissent enchaîner d’autres misères, ce que Maîtresse a compris.
Elle me libère de mes électrodes et fait appel à Allan qui me ramène à ma cellule complètement pantelant.
Maîtresse s’est éclipsée sans avoir oublié de me rassurer sur cette première journée à ces pieds.
-«Tu as été résistant mais demain, il faudra faire mieux et je te réserve une belle surprise. Alors repose toi bien, tu en auras besoin»
A suivre ….
Merci à Ma Maîtresse de m'autoriser à publier ces fictions.
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Le début de matinée est consacré à la réalisation d’une surprenante idée. Comment en est on arrivé là, j’aimerais bien le savoir. Tu m’avais demandé d’apporter toutes les cravates que j’avais en stock (cela fait une sacrée quantité tout de même, presque une quarantaine). Tout cela avait pour but de me confectionner une jupe de cravates. Il n’y a que toi pour imaginer une chose pareille. Des fois, je me dis que c’est une bonne chose que tu ne partages pas tes loufoqueries ; je pourrais finir par m’inquiéter. Nous nous y mettons à deux pour les longs préparatifs nécessaires à me transformer en cravat_hitienne. Je me sens obligé d’onduler du croupion pour faire honneur à tous ces efforts créatifs.
Après une pause bien méritée, et surtout indispensable à la survie de ma Maitresse (a minima un café…), c’est le retour du corset noir et de son string. On dirait qu’il te plait autant qu’à moi ;-) C’est l’écrin que tu m’as choisi pour user de ta langue de dragon : je suis plutôt étonné par les effets qu’elle produit. Elle se révèle être très progressive, d’abord relativement douce aux premiers impacts avant de virer au plus mordant. Mais il me semble qu’elle m’électrise uniquement en bordure de la langue. Elle ne donne pas l’impression de claquer de toute sa surface comme le font les fouets à langue de dragon. Cela offre des sensations différentes, selon les goûts et inspirations du moment.
Changement de parure pour poursuivre l’après-midi. Ce mot est peut-être un peu excessif. De légèrement vêtu, je suis passé à simplement encordé, très légèrement même. Avec la corde rouge, tu me réalises un harnais de bassin et un second de torse. Finalement, c’est sûrement ma tête qui est la plus « couverte » : d’abord une culotte noire roulée en boule qui vient se loger dans ma bouche (comme quoi on se complique parfois la vie pour trouver des bâillons ;-) ) et ensuite une rouge posée sur mon visage en guise de masque (il faut bien changer de la cagoule, certes bien pratique). Je te l’ai déjà dit, et je te le redirai encore : tu trouves toujours la bonne combinaison pour parer au mieux ton nounours.
Tu te réessaies à la langue de dragon, au cas où je remarquerais à nouveau, sur un malentendu. Décidément, je suis bien difficile à prévoir sur ce sujet Hormis quelques légères marques rosées sur mon épaule, mon dos persiste à conserver sa couleur naturelle. Du coup, tu me fais étendre à plat ventre sur le lit. Nous allons finir par devenir inséparables, le drap en vinyle et moi !
L’autre jour, en rentrant des courses, tu m’as demandé de monter une nouvelle spatule en bois directement à l’étage. Il fallait bien vérifier qu’elle méritait de rejoindre ton arsenal. Rien à dire, bien au contraire. Elle mord allégrement les chairs rebondies de mon postérieur : à chaque contact, je suis électrisé. Si seulement la ménagère de moins de cinquante ans savait tout ce que peuvent produire certains de ces ustensiles de cuisine. Toi, il y a bien longtemps que tu as franchi le pas.
Partisane du détournement à tout va, tu me fais tester ensuite une brosse de douche en plastique avec option massage à picots. Est-ce parce qu’il faut trouver la technique la plus appropriée ou parce qu’elle vient après la très efficace spatule ? Toujours est-il qu’elle me laisse une certaine impression de fadeur. Certes, l’impact est là mais il manquerait un effet de claquement.
Mieux vaut revenir aux classiques aux résultats garantis. Sans hésitation j’associe immédiatement le lourd et mordant contact qui vient de s’abattre à ton paddle à clous. Tu le fais retentir et claquer sur presque l’intégralité de mon dos, depuis les épaules jusqu’au creux des cuisses, là où c’est le plus sensible. Ma température de surface commence à monter sérieusement. Vive le bâillon-culotte, je peux y mordre allègrement dedans, y gémir, marmonner même, sans déranger tes oreilles !
Le courant d’air qui survient juste après, à proximité immédiate de mes fesses, ne peut venir que de ta longue cravache. Légers effleurements de ma peau ici et là, parfois sur les cuisses. Mais pour la version impactante, tu te saisis du modèle court qui claque à merveille : moins lourd mais tout aussi efficace que le paddle.
Dans tes bagages, de retour de notre escapade de la semaine dernière, tu as aussi ramené deux baguettes, une de noisetier, une de bambou. A priori, je n’ai pas su les différencier : toutes mordent énormément. Je devine déjà que mes fesses et que le haut de mes cuisses se strient à vue d’œil. C’est bien un des rares accessoires de ta panoplie qui est prévisible aussi vite dans l’action. Si j’aime bien le résultat bien rectiligne, n’empêche que ces petites choses toutes fines se font bien sentir là où elles flagellent. Etonnamment, pendant ton concert de percussions avec les deux à la fois, les morsures se volatilisent, laissant place à un agréable, presque délicat, martèlement.
Je reconnais immédiatement le lourd contact du flogger qui commence à flatter mes épaules avant de poursuivre lentement son œuvre. C’est une sensation bien différente que j’apprécie volontiers en alternance avec des contacts plus mordants et électrisants, tout est une question d’équilibre, que tu gères à merveille. D’ailleurs, tu n’allais pas rester sur une touche trop « douce » ; ce n’est pas vraiment ton genre. Place à tes préférés, enfin non, il faut rester raisonnable, un seul d’entre eux. C’est parti pour une séance de fouet. Mes épaules sont les premières à recevoir son douloureux « baiser ». Du fait que je sois étendu sur le ventre, tu réussis à me strier jusqu’au creux du genou. Ouille, c’est encore plus sensible à cet endroit-là ! Et en plus, tu m’affirmes que tu n’y as pas touché. Heureusement que j’ai des photos comme preuve pour dépôt de plainte auprès des fouetteuses abusives ;-). Parce que je ne peux rien exprimer : il y a comme une boule d’étoffe qui m’en empêche toujours … A croire que tu essaies de laisser une marque sur la plus grande longueur possible !
Retour les pieds sur terre pour continuer cet après-midi déjà placée sous les meilleures auspices. Je savoure à fond ton regain d’énergie : cela me ravit pour de multiples raisons.
Depuis longtemps maintenant, il était question de détourner une paire de collants. Il eut été trop simple de les utiliser de manière classique. D’autant plus que cela aurait été contraire à tes principes : je serais alors moins accessible ! Tu extrais non sans mal la culotte noire qui était fourrée dans ma bouche : elle en ressort gluante ……. de salive. Oups ! Ce en quoi, c’est la preuve qu’elle a parfaitement joué son rôle. Limite j’aurais presque soif. Mais ma bouche ne reste pas bien longtemps ouverte. Un nœud au milieu des collants et le tour est joué : le nouveau bâillon est tout aussi efficace. En plus, il peut être arrimé à ma tête en divers points pour une sécurité optimale. Ceci fait, la culotte rouge reprend vite sa place. J’adore que tu détournes ainsi tout ce qui te passe sous la main. Sur ce coup-là, tu en as même plusieurs en tête. Tu veux aussi vérifier si des collants peuvent avantageusement cohabiter avec la cagoule : c’est le cas. Une fois enfilés sur la tête, ils réduisent encore plus ma vision tout en te fournissant deux liens, juste à la bonne hauteur pour immobiliser mes poignets. Plus la journée avance, plus j’ai le sentiment d’être un pantin. Certes consentant et ravi, mais pantin tout de même. Comme si je devenais la cible soudaine de toute une série d’idées « bizarres ». Et ce n’est pas fini. Tu me transformes ensuite en porte-jouets. Un échantillon représentatif de tout ce que ta panoplie compte de lanières se retrouve suspendu à ton présentoir vivant. Je dois reconnaître que le résultat est visuellement sympa. De mon côté, j’essaie de rester le plus immobile possible. Heureusement, tu es restée raisonnable : tu ne m’as pas surchargé avec la totalité de tes « armes » ; sinon, j’aurais fini par crouler.
Soudain tu te souviens que j’ai oublié une tâche hier. Qu’à cela ne tienne, même si je n’ai plus ma tenue de bonne soubrette, je n’échappe pas au lavage à la main de tes dessous, le tout sous ton contrôle strict et attentif. Je reconnais qu’il y a bien pire comme corvée pour un soumis ! Il ne faudrait pas que j’abîme quoi que ce soit. A priori, je me suis bien sorti de ma mission.
Sinon, je n’aurais pas fini en composition florale.
Quelle très belle journée ! Tu m’as comblé.
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La Sublimation
"Freud définit la sublimation pour la première fois en 1905 dans Trois essais sur la théorie sexuelle1,2 pour rendre compte d'un type particulier d'activité humaine (la création littéraire, artistique et intellectuelle) sans rapport apparent avec la sexualité mais tirant sa force de la pulsion sexuelle en tant qu'elle se déplace vers un but non sexuel en investissant des objets socialement valorisés.
Autrement dit, il s'agit du processus de transformation de l’énergie sexuelle (libido) en la faisant dériver vers d’autres domaines, notamment les activités artistiques"
(Source wikip)
Longtemps j’ai culpabilisé de mes attirances vers le BDSM.
Basiquement, il est évident que cette pratique à contre-courant n’invitant à rechercher un épanouissement sexuel vers des plaisirs que la morale réprouve ou que la société moderne condamne, m’empêchait d'assouvir mes plaisirs avec sérénité.
Cette définition de la sublimation m’ouvre un début de réponse et quelque part, me rassure et me conduit un peu plus vers la découverte de moi-même.
Pourquoi cette attirance ? Mais demande-t-on à un peintre pourquoi il peint ? demande-t-on à un musicien pourquoi il joue ? demande-t-on à un écrivain pourquoi il écrit ? Non, on lui demande pourquoi son style, quel message a-t-il voulu exprimer, quelles étaient ses influences etc. Mais pourquoi le fait-il, non, on ne lui demande peu ou pas. Peut-être est-ce juste la nécessité de ne pas s’éteindre à petit feu, rechercher coûte que coûte à expulser, expirer avant de reprendre cet immense bol d’air qui nous soulage tant.
Et si mon BDSM était ainsi ?
Une simple démarche artistique me permettant d’assouvir, avec mes humbles moyens, cette quête permanente vers la plénitude.
Je me suis beaucoup interrogée sur le cliché réalisé qui accompagne cet article. Pourquoi cette mise en scène ? Après réflexions, derrière un cliché qui peut… heurter, j’y ai vu la mise en image de ce que mon BDSM m’apporte comme :
Avoir les pieds sur terre, même si cette terre se révèle être des petits cailloux aux bords acérés.
Ne pas baisser les bras, même si le découragement ou le relâchement seraient des solutions bien plus confortables.
Garder la tête haute, même si certaines situations ou certaines personnes vous conduisent à vous sentir comme une moins que rien.
Derrière ces expressions, derrière une première lecture que la morale réprouverait à coup sûr, se cachent les fondements de ma sexualité…
J’ai cherché à comprendre mon BDSM, j’ai expérimenté différentes facettes mais si finalement il n’était que ma part artistique enfin exprimée ?
Peu-importe sa forme, l’essentiel restant de la laisser s’exprimer, s’épanouir, jouir et me réjouir.
"Le Martyre est une sublimation, sublimation corrosive. C’est une torture qui sacre"
V.H
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