La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/10/23
Préambule: Merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'êtes pas à l'aise avec l'idée de sexe non-consenti. C'est une histoire et si ça n'en était pas une, bien sûr que ce fantasme aurait été discuté au préalable et que l'idée aurait été acceptée.     Mon Maître m'a offert ce collier de jour et, transportée par la joie, j'ai bien évidemment accepté ce cadeau venant de Lui. Il me l'a immédiatement attaché autour du cou. Je l'ai senti au ras de mon cou toute la journée et, à chaque fois, j'ai ressenti une dose d'excitation. Malheureusement Il m'a interdit de me toucher depuis le début de la semaine. C'est donc avec une excitation non dissimulable que je l'accompagne à l'aéroport, direction quelques jours dans le sud de la France. Il m'a ordonné de porter des talons hauts, un haut relativement décolleté et une jupe volante que je n'ai pas le droit de tirer malgré sa longueur qui pose problème car je n'ai, bien sûr, pas le droit de porter de sous-vêtements. Il a raison, je suis une salope. Aucune raison de le nier. Mais je suis Sa salope. Nous prenons un café juste assez de temps pour que mon Maître m'ordonne d'écarter les jambes suffisamment pour que le couple en face de nous profite de ma chatte parfaitement épilée. Je suis trempée déjà mais je sais que j'aurai très certainement le droit de me toucher devant mon Maître ce soir. Ça m'aide à tenir. J'ai envie de lui offrir un orgasme en le regardant droit dans les yeux s'il me le permet. Ma valise me semble relativement lourde mais Il s'en est occupé donc rien d'alarmant. Plus alarmant, par contre, est ce portique de sécurité qui se profile. Je Le regarde et son sourire, que je qualifierais volontiers de pervers faute de meilleur mot, m'indique qu'il n'a aucune intention de me permettre d'enlever le collier de soumission. C'est bientôt à moi. J'ai posé ma valise sur le tapis. Mon coeur s'emballe. Je dois essayer d'enlever le collier. Il ne verra peut-être pas ou Il me le pardonnera. Pour une fois. J'ai beau essayé de défaire le mécanisme mais rien n'y fait. Manque de temps, stress ou mécanisme volontairement inviolable, je n'y arrive pas. Je sens mon Maître derrière moi qui me force à avancer au lieu de m'aider. Je ne comprends pas ce qui se passe. Je ne crois pas avoir rêvé. Il m'a poussé et le portique s'est mis à bipper. C'est moi ou l'homme devant moi a un grand sourire et regarde derrière moi ? Je me retourne pour Le vois arborer, lui aussi, un très grand sourire. Madame, veuillez enlever votre collier et repasser le portique. Je balbutie mais je ne peux pas l'enlever, je n'y arrive pas. Dans ce cas, merci de bien vouloir me suivre en prenant votre bagage avec vous. Tout s'est passé très vite. Trop vite en fait. L'agent de sécurité me fait entrer dans une salle sans fenêtre qui ressemble à une salle d'interrogatoire avec une grande table et quelques chaises et pose la valise dessus. Je reviens. Ne bougez pas. Je n'ai pas le droit de vous fouiller Madame. Je suis un peu rassuré mais mon coeur s'emballe quand je vois arriver deux femmes dans la salle et qu'elles laissent également entrer mon Maître. Elles se tournent vers lui comme pour demander une confirmation et je l'entends très clairement dire que je suis, maintenant, à leur disposition. Madame vous avez refusé d'enlever votre collier et nous allons devoir vous fouiller. Je ne comprends pas très bien et je commence à avoir peur. Je suis au bord des larmes en imaginant que je suis habillée comme une pute ou plus exactement comme une salope en chaleur. Madame posez les deux mains sur la table s'il vous plaît et écartez les jambes. Je m'exécute et je sens mon Maître sourire tellement fort que je crois l'entendre. Je suis appuyée sur la table, le corps légèrement penché en avant. Je sens que la première agent appuie quelque chose contre ma jambe pour me les faire écarter. Je me retourne légèrement pour voir qu'elle pousse avec la matraque qu'elle a sorti pour que j'écarte les jambes. J'écarte les jambes en demandant si c'est vraiment nécessaire d'en arriver là. Les deux femmes se mettent de chaque côté de moi. Je sens la première qui passe sous mon haut et je sens qu'elle commence à palper mes seins. Hé, qu'est-ce que vous faîtes. Et en même temps que je proteste l'autre s'aventure sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses. Elle n'a pas de soutien-gorge. Ni de culotte non plus. Ok c'est une chienne mais elle ne cache rien sur elle. Mais je ne vous permets pas. Et aussitôt que j'ai prononcé ses mots, Mon Maître me gifle. Tu ne leur réponds pas, esclave. Tu vas les laisser faire leur boulot. Et même ce qu'elles voudront faire de toi, c'est compris ? oui Maître. Comme si elle n'avait rien écouté, j'entends l'agent continuer. Ok rien sur elle. Empêche la de bouger, je vais fouiller sa valise. Et je sens un genou appuyer contre mes reins. Je suis plaqué contre l'arrête de la table et je sens ses mains continuer à palper mes seins sans aucun ménagement. En même temps que la valise arrive sur la table et s'ouvre en grand, je sens une douleur sourde envahir mes seins. Cette salope vient de me pincer les tétons si fort que je ne peux pas m'empêcher de crier. Va chercher du scotch qu'on l'empêche de faire un esclandre dans l'aéroport. Mais aussitôt l'autre lui répond victorieuse. J'ai mieux et en agitant le baillon boule qu'elle a trouvé dans mes affaires. 10 secondes après je l'ai dans la bouche. Elle repart examiner la valise et j'entends une exclamation, un OH sonore qui retentit dans la pièce. Je l'aperçois se saisir de quelque chose et elle se ramène devant moi et je vois une espèce de reveil en plastique. Un jouet d'éveil fait pour les 3-6 ans. Un détonateur ! Un putain de détonateur ! Quoi [enfin quoi si je n'avais pas le baillon dans la bouche]. Mais elles sont folles. Et je Le vois rigoler. Ce n'est plus un sourire mais un rire franc et massif. J'ai été piégée. Je lui avais parlé de ma fantaisie de me retrouver à la merci d'autres personnes qui feraient ce qu'elles voudraient de moi. ça se confirme et je me sens curieusement rassurée. Et aussi complètement trempée malgré la douleur que je continue à ressentir. Ok on a affaire à une terroriste je pense. Hereusement que j'ai trouvé ces menottes dans sa valise. On va lui attacher les mains dans le dos. Enlève-lui son haut d'abord. ça sera plus sûr. Bah enlève lui tout. Laisse lui ses talons, je trouve que ça lui va bien. Et une minute plus tard, je suis penchée sur la table, mains attachées dans le dos avec un baillon dans la bouche. Un début de week-end pas tout à fait banal. Le contenu de ma valise est renversé sur la table. Je comprends qu'elle était lourde. S'y trouve tous mes jeux habituels ainsi que quelques dildos supplémentaires dont la taille me semble terrifiante. Oh mais quelle pute, sérieux ! Une pute-terroriste, ça existe tu crois ? On dirait en tout cas. Va chercher un miroir. On va essayer ces jouets sur elle et je veux qu'elle nous voit faire. Prends la caméra aussi qu'on reste dans la loi en enregistrant. Bon on a pas d'avocats mais préviens peut-être les autres agents que ça pourrait intéresser. Je secoue la tête, je ne suis pas prête pour ça. Mais le temps qu'elle revienne, j'ai prix un plug dans le cul et des clamps descendent de mes seins et je vois les lests les tendre. Je sens une douleur bien plus forte que d'habitude. Mon Maître a visiblement fait du shopping spécialement pour ce week-end. Quand la première agente revient, elle va mettre en place le miroir afin que je ne puisse pas perdre une miette de ce qu'il se passe et commence à ranger les dildos du plus petit au plus gros. Je ne vois que les 2 femmes et mon Maître. Pas de renfort et je suis soulagée. Je sens qu'on tire mes cheveux et qu'on me force à me tirer. C'est la brune, plus grande, plus costaude. On va tous les essayer un par un. Et en même temps elle me touche. Mais elle est trempée cette chienne. Complètement trempée. Elle me crache au visage et me remet sur la table. S'ensuivent des très très longues minutes pendant lesquelles elles vont m'insérer dans la chatte et le cul tous mes jouets anciens et les nouveaux qui ont, visiblement, rejoint ma collection aujourd'hui. Elles prennent leur temps, elles rigolent et n'hésitent jamais à m'humilier en me faisant remarquer à quel point je suis trempée. Je perds la notion du temps mais durant ce qui me semble être une heure, la pièce se remplit petit à petit. Elles finissent par me susurrer chacune à une oreille. Allez c'est bientôt fini. On ba te faire exploser. Tu dois bien ça au public et après tu les remercieras. J'étais distraite et je n'avais pas vu que ledit public se composait maintenant de 8 hommes. Quelques-uns le pantalon sur les chevilles ou carrément enlevé. Grimpe sur la table salope. A quatre pattes. Écarte bien les genoux. Je regarde dans le miroir et je les vois chacune avec leur matraque. Je sens la première s'enfoncer dans mon cul et j'ai envie de hurler malgré le gag. Les dildos m'ont préparé mais la douleur est forte quand je sens l'autre matraque s'enfoncer dans mon sexe. Elles me hurlent d'exploser. Me traitent de chienne. je regarde autour de moi. Je me regarde dans le miroir. La vérité est que j'ai envie d'exploser. Besoin d'exploser. Mon sexe commence à papillonner. Je vois ma salve faire une longue traînée qui coule depuis le gag jusqu'à la table. Je ne veux pas leur obéir. Mais le mouvement de leurs bâtons ne me laisse pas le choix. J'ai l'impression d'exploser, de hurler comme une possédée. Une vague inouïe de plaisir me parcourt. Je regarde mon Maître qui doit lire la gratitude dans mes yeux. Je lis dans les siens que ce n'est pas fini. Il me saisit par les cheveux en me disant que je l'humilie devant tout le monde. Il me fait descendre par terre. A genoux. Face aux hommes. Mes cheveux me font mal mais il lâche prise. Je l'entends dans mon dos et, quand il revient, il m'enlève le baillon. À la place, il m'enfile une cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens qu'il n'est pas facile de respirer mais je sens que ma bouche est libre. Messieurs, merci de baiser ma soumise. Je suis au regret de vous demander, pour des raisons de fatigue de ces autres trous, de bien vouloir la prendre par la bouche. En attendant votre tour, elle a 2 mains bien sûr et sait très bien s'en servir. Merci de bien vouloir lui faire savoir quand vous êtes sur le point d'exploser afin qu'elle puisse ouvrir grand sa bouche pour avaler tout ce qui ne finira pas sur la cagoule ou sur ses seins. Et je vais passer le quart d'heure suivant à branler et sucer férocement toutes les queues qui se présentent à moi. Je veux rendre mon Maître fier de son esclave. Il sait que je fais ça pour lui, pour lui montrer qu'il peut tout me demander. Huit, ça y est. Il a explosé longtemps et m'a fait léché sa queue pour ne rien perdre. Tu peux enlever ta cagoule et la poser sur le sol. C'est la voix d'une des deux femmes. Je sens qu'elle me prend les mains pour les rattacher dans le dos. Tu as une minute pour qu'il n'y ait plus aucune trace de blanc sur cette cagoule. Si tu y arrives, nous considèrerons que tu as fait preuve de bonne volonté et que tu ne présentes pas une menace pour la sécurité. J'entends le décompte final 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1 À zéro, je suis tiré violemment en arrière. Je vois la fierté dans les yeux de mon Maître. La cagoule est brillante de salive mais elle est entièrement noire.  
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Par : le 01/10/23
"Le champagne est le seul vin qu'une femme élevée peut boire sans s'enlaidir. Après nous, le déluge !". Fleury la dressa au métier de reine. Elle s'y plia, sans avoir le goût, parce qu'elle y voyait le seul moyen de s'imposer. Elle devint  la gardienne des usages, plus tatillone sur l'étiquette que ne l'aurait été une reine sûre d'elle-même. Et sa piété profonde et sincère acheva de la rendre conforme à l'archétype de la la bonne reine, discrète, charitable, telle que l'aimait l'imagination populaire. Elle incarna la tradition. Madame de Pompadour ne laisserait à la postérité qu'un peu de cendre, avait alors prophétisé Diderot. Comme il se trompait. La célèbre favorite de Louis XV, au-delà de son goût pour la porcelaine de Sèvres, l'orientalisme et les turquoiseries, a laissé une empreinte vive sur le dernier siècle de l'Ancien Régime. Et elle est devenue l'icône française d'un charme féminin ineffable. Chez Madame de Pompadour, rien n'est simple ni limpide, son existence dépasse en complexité et en rebondissements la trame du roman historique le mieux agencé. Cette femme fine et intelligente cultive le mystère et l'ambiguïté. Derrière sa mobilité incessante, y compris de ses traits, elle garde un masque impénétrable. Petite-fille d'un paysan et d'un entrepreneur de boucherie, fille d'un aventurier né bâtard et d'une femme réputée galante, Jeanne-Antoinette Poisson est élevée comme une courtisane de haut vol afin de séduire le roi. Et elle y parvient. Jolie roturière anoblie par un mariage désargenté, elle devient maîtresse et favorite officielle du roi durant près de deux décennies, même si, vers 1749-1750, elle passe de l'amour à l'amitié tout en restant favorite. Marquise puis duchesse de Pompadour, elle s'installe ainsi, jusqu'à sa mort en 1764, au sommet de la pyramide de la cour auprès du roi Louis XV. "Ayant reçu le paquet décacheté aux Délices, où il vivait depuis quatre ans, Voltaire de vives alarmes. Il connaissait la vigilance de la Poste et des services de police qui lui étaient attachés. Le soupçon de trahison risquait de peser sur lui, s'il ne se défendait pas. La marquise n’aura hélas pas beau temps pour son voyage". Des nombreuses favorites de Louis XV, l'Histoire a retenu le nom de Madame de Pompadour. Née Jeanne- Antoinette Poisson, la future marquise est la fille d'une femme de petite noblesse et, d'un escroc condamné à l'exil pour faux et usage de faux. La mère de Jeanne-Antoinette, ruinée par les frasques de son mari, prend pour amant un très riche fermier général, Monsieur le Normant de Tournehem. Il remarque vite les dispositions de la fille de sa maîtresse. Il la sort du couvent et veille à ce qu'elle reçoive une éducation de grande qualité. Puis il la propose en mariage à son neveu, lequel n'espérait pas épouser si adorable et séduisante créature. À la beauté s'ajoute désormais la richesse, mais cela ne suffira pas à contenter Jeanne-Antoinette. Depuis sa plus tendre enfance, elle a entendu sa mère lui dire qu'elle était "un morceau de roi." Et aussi, ce qui résonne comme un un conseil prémonitoire. "Si je devais tromper mon mari, ce ne serait qu'avec le roi." Le roi, c'est Jeanne-Antoinette qui va le rencontrer. L'évènement se produit dans la forêt de Sénart. De retour d'une partie de chasse, Louis XV croise dans une calèche, à la fenêtre de laquelle se penche la délicieuse Madame d'Étiolles. Pur fruit du hasard ou doux piège ourdi par la mère de Jeanne-Antoinette Poisson ? "Tout homme aurait voulu avoir pour maîtresse Madame Le Normant d'Etiolles, que reçoit secrètement Louis XV dans ses petits cabinets. Et personne, enfin presque personne ne connaît encore leur secret". En 1745, Louis XV est à un tournant de sa vie. Vingt ans plus tôt, à quinze ans, il s'est marié avec Marie Leszczynka, de sept ans son aînée, fille du roi détrôné de Pologne, Stanislas Ier. Malgré l'écart d'âge, Le jeune roi vécut d'abord des années heureuses aux côtés de cette femme au physique pas très avenant mais qui lui est sincèrement dévouée au point de supporter avec abnégation des grossesses à répétition. Mais en 1734, la reine se plaint des infidélités du roi. Louis tombe successivement amoureux de quatre des cinq sœurs de Mailly, les filles du marquis de Nesle. En 1744, quand la troisième sœur, la duchesse de Châteauroux meurt, probablement empoisonnée, le roi est inconsolable. La quatrième, Adélaïde, tente en vain de sortir le roi de la neurasthénie qui l'accable, mais Louis demeure inconsolable.   D'une nature inquiète, Louis XV est un grand dépressif. Cette mélancolie remonte à son enfance, quand il a vu disparaître tous les membres de sa famille. Tradition contre modernité. La cour la toléra, par force, mais ne l'adoptera jamais. On ne cessera de comploter pour la faire chasser, en dépit de ses efforts pour se démarquer de ses origines et se conformer au modèle régnant. Depuis son élévation au rang de maîtresse déclarée, Jeanne-Antoinette se faisait un devoir de protéger les gens de lettres. Mais comment exercer un mécénat littéraire avec un roi qui s'intéressait peu aux livres et se méfiait des écrivains ? Toute-puissante à Versailles, Mme de Pompadour avait la nostalgie de Paris. Elle voulait pouvoir s'y promener incognito, faire ses achats dans les magasins de luxe comme toute grande dame de son temps, et aller voir Alexandrine au couvent de l'Assomption. L'appartement que le roi mettait à sa disposition à l'hôtel des Ambassadeurs ne lui suffisait plus. Il n’y a au monde qu’une chose de grave et d’inguérissable, c’est la mort, tout le reste se guérit, même l’amour le plus vrai, le plus profond, comme celui que vous éprouvez". Mais la future marquise de Pompadour surgit dans la vie de Louis. Entre cette beauté de vingt-trois ans et le roi qui en a trente-quatre se noue une liaison passionnée. Tout d'abord clandestin, cet amour va rapidement se révéler aux yeux de tous. La cour bruisse de rumeurs. On épie au petit matin les retours du carrosse royal. Cela jusqu'à un événement demeuré célèbre, "le bal des ifs", ainsi nommé car le roi avait choisi de se déguiser en if, ainsi que sept gentilshommes de sa suite. Quand un des arbustes s'éclipsa avec Madame d'Étiolles, on comprit qu'il s'agissait du roi et que la jeune femme était bien la nouvelle favorite. La nouvelle fit scandale. Comment une femme aussi mal née que cette Poisson pouvait-elle prétendre entrer dans le cercle très fermé de la cour ? Sans rang ni titre, flanquée, tant du coté paternel que du coté maternel d'une généalogie aussi peu reluisante, la nouvelle élue ne pouvait qu'être rejetée par ces aristocrates qui méprisaient tout ce qu'elle représentait. Les favorites sont rarement populaires. Le peuple les accuse volontiers de troubler la famille royale, de ruiner la monarchie, de distraire le souverain de son métier de roi. La cour en accepte l’existence, toutes les grandes familles aspirent alors à un tel honneur, mais les intrigues des différentes factions sont redoutables, et c’est souvent d’elles que viennent les épigrammes les plus cruelles, voire, les accusations les plus noires. "Pour l’humanité dans son ensemble, l’amour est une forme de l’égoïsme. Un homme aime une femme. Cela veut dire qu’il la désire. Il en souhaite la possession. Il veut absolument que cette femme soit à lui et non à d’autres. Si elle est vénale, il l’achète comme un marbre, un objet de luxe quelconque. Si elle est honnête, il s’efforce alors de lui prouver qu’elle doit lui appartenir volontairement. Voilà votre Majesté, tout le dilemme". Issue de la bourgeoisie, Mme de Pompadour née Poisson ne fut pas épargnée. On inventa les "poissonnades" comme il y avait eu les "mazarinades", souvent injustes, parfois drôles, toujours méchantes. Mais la jeune femme a un atout dont sont dépourvues beaucoup de femmes à la cour, sa bonne éducation. Elle a beaucoup lu, et sa conversation est plaisante. Bientôt avec l'aval de la vieille duchesse de Conti, voilà la marquise logée dans les appartements du roi, presque mitoyens avec ceux de la reine. Finalement, les deux femmes sont assez fines pour renoncer à toute querelle. Peu à peu, la marquise se fait accepter par la cour et reçoit les personnages les plus influents du royaume qui se pressent le matin à sa toilette, bientôt beaucoup plus courue que celle de la reine. "Jeanne-Antoinette n’était pas ce qu’on appelle un caractère contemplatif. C’était un esprit éminemment actif. Or, l’activité de l’esprit, c’est de la curiosité sans cesse en éveil. Avant même de posséder, elle aimait décorer". L'ascension de la marquise se poursuit. En 1752, elle est faite duchesse, un titre auquel est associé le privilège de rester assise en présence du roi. Mais il lui faut de plus en plus d'argent. Elle aurait dépensé l'équivalent de cent millions d'euros pour pouvoir tenir son rang et accueillir le roi et sa suite dans des conditions fastueuses. Cette fortune se dilapide en châteaux décorés et meublés avec raffinement. Ses propriétés se comptent par dizaines. Le château de Menars, l'ermitage de Fontainebleau, ceux de Compiègne et de Versailles, l'hôtel des Réservoirs. Et surtout Bellevue, construit sur la colline de Meudon. En 1753, à Paris, elle acquiert l'hôtel d'Évreux, rebaptisé par la suite Palais de L'Élysée, où elle donne de fastueuses réceptions. C'est là qu'est reçu le jeune Mozart, lors de son passage à Paris, en 1764. Ainsi, pour agrandir le jardin, la marquise fait abattre les arbres des Champs- Élysées sans se soucier de l'avis des Parisiens qui profitaient de leur ombrage. En devenant la maîtresse du roi, la duchesse de Pompadour, est-elle vraiment consciente des difficultés de sa position ? Probablement. Belle, éduquée, cultivée, elle est aussi prodigieusement intelligente. Et ambitieuse. Mais pour une femme d’une telle condition physique, la tâche est quasi surhumaine. Parmi les "poissonnades" écrites contre elle, on compte celles de Maurepas, ministre du roi et langue de vipère. Il le divertissait, jusqu'au jour où l'amuseur dépassa les bornes et reçut une lettre de cachet. D'autres ministres deviennent des ennemis féroces. Parmi eux, le duc de Richelieu. "C’est avec une prodigieuse facilité qu’elle s’assimilait les sensations les plus subtiles. Mais elle était trop confiante". Au sein d’une Cour qui la dénigre, la surnomme avec méchanceté la "Caillette" et raille ses origines bourgeoises, la duchesse vit un combat de chaque instant. Elle doit sans cesse trouver de nouveaux amusements pour son amant, rester la magicienne qui enchante sa vie quotidienne. Soucieuse d’entraîner Louis XV dans un tourbillon de plaisir qu’elle semble capable de renouveler à l’infini, Madame de Pompadour n’a pas le droit de se reposer un seul instant. Elle connaît la précarité de la situation de favorite et elle n’a pas le doit à l’erreur. Or Jeanne-Antoinette est, depuis sa plus tendre enfance, de santé très fragile. Enfant, on craint plusieurs fois pour sa vie. Ses bronches ne supportent par le froid et les courants d’air, innombrables à Versailles. De violentes migraines et des étourdissements la clouent au lit fréquemment. Le remède ? Des saignées, qui ne font que l’affaiblir chaque jour davantage. Depuis qu’elle est la maîtresse du roi, à la constitution fragile de Mme de Pompadour s’ajoutent des troubles d’ordre gynécologique à répétition. Il semble bien qu’elle ait fait, entre avril 1746 et avril 1749, trois fausses couches. Elle souffre notamment d’une leucorrhée qui doit rendre douloureux les rapports sexuels. Ses ennuis intimes, elle s’efforce tant bien que mal de les dissimuler. Mais tout se sait dans le monde clos et médisant qu’est alors Versailles. Les "gênes" de la maîtresse du roi sont de notoriété publique. Profondément humiliant et blessant pour Madame de Pompadour. "Il y avait en elle une sorte de besoin de bataille qui s’était longtemps traduit par un véritable emportement à tout apprendre: musique, peinture, gravure, littérature, rien ne lui était indifférent ou étranger, à la cour, cela plaisait". Mais à la longue, la marquise a l'intelligence de comprendre qu'elle ne suffit plus les désirs du roi et abandonne le rôle de maîtresse pour celui d'amie nécessaire. Craignant de se voir supplanter par d'autres jeunes femmes, elle organise les plaisirs du roi. Elle recrute des jouvencelles qui ne risquent pas, à cause de leur jeune âge, de devenir des favorites en titre. Ce système dit "du Parc-aux-cerfs" du nom du domaine versaillais qui abritait les amours du roi, finira par faire scandale. Après 1750, on commence à dire, de Madame de Pompadour, qu'elle fait figure de plus joli premier ministre de Louis XV. Un de ses mérites a été de faire entrer un peu de l'air du temps et des idées nouvelles dans l'entourage du roi. Parmi les hommes qu'elle fréquente, partisans d'une monarchie à l'anglaise, se distingue un libéral, Choiseul qui va se retrouver aux affaires étrangères. Madame de Pompadour, à la culture place son propre frère, le marquis de Marigny, à qui l'on doit, avec l'architecte Gabriel, la place Louis XV, aujourd'hui place de la Concorde. Par choix et par goût, elle est également à l'origine d'une institution promise à une grande réussite, la Manufacture de porcelaines de Sèvres. Mais hors de Versailles se manifeste une opposition de plus en plus vive. Celle du clergé, mais aussi celle des parlements qui dans les provinces, sont résolus à disputer au pouvoir royal son caractère absolutiste. La situation de la France se dégrade lentement mais inexorablement.   "Un roi désordonné, vicieux, c’est le malheur d’un royaume, ce sont les folles dépenses, ce sont les levées d’impôts, ce sont les émeutes, ce sont les guerres pour conquérir l’or nécessaire à satisfaire les maîtresses". En janvier 1757, c'est à la personne physique du roi que l'on porte atteinte. Un homme se jette sur lui et le poignarde. La blessure est sans gravité mais cette tentative de régicide resserre les rangs des dévots qui se précipitent au chevet du roi. Ils réussissent à éloigner Madame de Pompadour, qui reçoit l'ordre de faire ses bagages et de se retirer. Alors que des femmes du grand monde se pâment, la marquise de Pompadour ignore-t-elle la montée de ces périls ? Occupée tantôt à des affaires d'État, tantôt à des futilités, elle poursuit cette vie de parade qui la voit consacrer un soin extrême à ses toilettes, en tant qu'ambassadrice du luxe. Mais ses tenues somptueuses peu à peu s'assagissent car Madame de Pompadour s'emploie maintenant à donner un tout autre visage en se tournant vers la religion. À la cour, certains médisants considèrent ce revirement comme sa dernière mise en scène. Car la marquise souffre déjà de cette affection pulmonaire qui l'emportera dans sa quarante-troisième année et la mort de sa fille unique, Alexandrine, âgée de dix ans, a entamé définitivement sa vitalité et sa joie de vivre. La marquise fut-elle un simple pion dans les mains de son royal amant, le plongeant dans un bourbier d'immoralité, ou à l'inverse fut-elle une femme des Lumières, visionnaire à sa façon mais qui ne sut pas, alors hélas, pousser le roi vers une monarchie plus libérale. Louis XV ne sut pas évoluer, et c'est peut-être là son erreur politique majeure. Une erreur qui engage sa responsabilité dans les prémices bouillonnantes conduisant la France à la Révolution de 1789. "Une petite pluie fine tombait sur Paris. Mais malgré cette sorte de brouillard froid qui pénétrait et faisait grelotter les gens, la place de l’Hôtel de Ville était noire de peuple. De tout temps, une des grandes distractions du peuple a été de regarder les riches s’amuser. La véritable catastrophe est de ne pas être aimé de celle que l'on aime !". Elle meurt d'une congestion pulmonaire, le quinze avril 1764, à Versailles, âgée seulement de quarante-deux ans. Madame de Pompadour, qui croyait toujours aider son amant, avait-elle conscience de nuire parfois à la bonne marche des affaires ? La gloire est une chose, mais savait-elle faire la différence entre la fermeté et la témérité, l’audace et l’imprudence ? Profondément attachée au roi, elle avait tendance à croire que tout le monde éprouvait les mêmes sentiments qu’elle envers le monarque. Elle se trompa lourdement sur Choiseul, qui n’éprouvait que du mépris pour un roi qu’il servait par pur intérêt personnel. Elle soutint avec fougue la poursuite de la guerre, malgré les judicieux conseils de Bernis, ami de longue date qu’elle n’hésita d’ailleurs pas à sacrifier lorsque ses vues divergèrent des siennes. Louis XV aurait du écouter les conseils de l’abbé, stopper la guerre et, surtout, prendre un premier ministre. Le dix mai 1774, le roi succomba à la petite vérole dont il avait été atteint en avril. Le "Bien- Aimé" était tombé dans une telle impopularité que c'est de nuit, par peur des manifestations, que son cercueil fut emmené à Saint-Denis. Jeanne-Antoinette, quant à elle, fut enterrée à Paris, dans la chapelle du couvent des Capucines, au côté de sa mère Madeleine de La Motte et de sa fille Alexandrine décédée le quinze juin 1754.     Bibliographie et références:   - Cécile Berly, "Les femmes de Louis XV" - Simone Bertière, "La reine et la favorite" - Edmond de Goncourt et Jules de Goncourt, "Madame de Pompadour" - Pierre de Nolhac, "Louis XV et Madame de Pompadour" - Henri Pigaillem, "Dictionnaire des favorites" - Benedetta Craveri, "Reines et favorites" - Michel de Decker, "La Marquise des plaisirs" - Évelyne Lever, "Madame de Pompadour" - Xavier Salmon, "Madame de Pompadour et les arts" - René de la Croix, duc de Castries, "La Pompadour" - Émile Campardon, "Madame de Pompadour et la cour de Louis XV" - Marcelle Tinayre, "Madame de Pompadour"   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/09/23
La douleur est insupportable. Je crois que je me suis fracturée l’épaule quand deux miliciens m’ont brutalement plaquée au sol dans ma fuite. Une dizaine de défenseurs de la démocratie m’entourent déjà, m’interdisant tout échappatoire. Ils me rouent de coups et déchirent ma robe. La sensation équivalente à un poignard dans l’épaule m’a ôté toute velléité de résistance. Je suis passée en mode automatique, en mode survie. Je me protège tant bien que mal des coups de pied et des coups de matraque. Ils m’obligent à m’agenouiller, malgré mes hurlements de douleur et sortent leurs bites. Je n’entends que leurs éclats de rire. Les gifles pleuvent, me faisant comprendre ce qu’ils attendent de moi. Je suce les bites qui m’entourent, passant rapidement de l’une à l’autre pour ne pas faire de jaloux, le visage tuméfié par les gifles et les coups. Les miliciens ont sorti des tondeuses et entreprennent de faire disparaître peu à peu ma chevelure pendant que ma bouche passe d’une bite à l’autre. Chacun y va de sa petite touche. Les rires et les moqueries redoublent d’intensité. Dans une pathétique tentative de sauvegarde, je m’efforce de repousser les tondeuses à l’aide de mon bras encore fonctionnel, ce qui déclenche une avalanche de coups jusqu’à ce que je me tienne tranquille. La douleur à l’épaule s’atténue soudainement, me permettant de reprendre un peu mes esprits. Les zébralyvox gémellaires sont déjà à l’œuvre. Quelle efficacité ! Les éjaculations s’enchaînent, de manière presque synchronisée. C’est un bukkake en bonne et due forme. Je ne tarde pas à avoir le visage et le crâne couverts de sperme. C’est nue, tondue et couverte de sperme que je suis promenée dans le parc d’Ueno. Aucune humiliation n’est trop sévère pour les ennemies de la démocratie. 民主主義を守る旅団 est tatoué sur les joues des miliciens qui m’ont capturée [1]. Ce sont les plus fanatiques parmi les défenseurs de la démocratie. Ils sont si fiers d’appartenir aux Brigades de Défense de la Démocratie qu’ils l’arborent sur leurs visages. Au lieu de se délecter de ce spectacle, les passants détournent le regard, feignant l’indifférence. Résistance passive ? Ce peuple réputé soumis à l’autorité se révèle à sa manière bien plus réfractaire que les peuples Européens. Nous empruntons la rue Dobutsuen qui longe l’étang de Shinobazu. Les miliciens rient et plaisantent bruyamment, très fiers de l’humiliation imposée à la proie qu’ils viennent de capturer. L’étang est recouvert de lotus et à travers les larmes et le sperme qui embrouillent ma vision, j’entrevois des scintillements bleu jaunâtres devenant de plus en plus intenses, comme à Fushimi Inari. Je ne sais pas si c’est un signe ou le délire de mon imagination, mais je ne réfléchis pas. Ma situation est tellement désespérée, qu’ais-je à perdre ? Je profite d’une seconde d’inattention de mes geôliers pour mettre toutes les forces qui me restent dans un sprint en direction de l’étang. Ces idiots, tellement sûrs de leur supériorité, n’ont pas pris la peine de me menotter. Ils ne tardent pas à hurler et à me poursuivre en courant. Je m’enfonce dans la vaste étendue de lotus. La boue se solidifie sous mes pieds m’offrant un appui inespéré dans ma fuite. « Pan ! » Elle n’est pas passée loin cette balle ! Instinctivement, je me couche au sol, comme si les feuilles de lotus pouvaient m’apporter une quelconque protection. C’est fichu. Dans quelques secondes ils vont me cueillir. 助けて! 助けて! 助けて! Les poignants appels au secours des miliciens m’incitent à lever la tête, juste à temps pour les voir disparaître dans le marécage, engloutis dans les eaux boueuses, comme dévorés par les lotus. « Ysideulte ! » La voix de mon Maître ! J’ouvre les yeux, terrifiée, au bord de la tachycardie. « Ce n’est rien. Tu as fait un cauchemar » me dit-il d’une voix apaisante. Il me faut un bon moment pour me calmer et revenir à la réalité. « Ecarte les cuisses, Ysideulte » me dit-il avec gentillesse pendant que je lui raconte mon cauchemar. Décidément, je fais une bien piètre soumise, obligeant mon Maître à me rappeler à l’ordre une fois de plus. En d’autres circonstances il m’aurait giflée, mais pas cette fois. Il a compris que ce cauchemar m’a terrifiée et qu’à cet instant son indulgence et sa voix apaisante me font un bien fou. Ysideulte… J’aime quand mon Maître m’appelle par mon prénom. Un prénom qui n’existe pas pour une fille qui n’existe pas ? Pendant longtemps, j’ai eu le sentiment de traverser ce monde sans vraiment en faire partie. Effacée, invisible. Et puis le destin a voulu que je le rencontre. Mon Maître. Celui qui a changé ma vie, qui m’a donné confiance en moi. Dès qu’il détourne le regard, je l’observe, emplie d’admiration, et je m’empresse de baisser les yeux dès qu’il s’en rend compte. Il ne me réprimande pas. Nous sommes à bord du Spacia X. Vue panoramique, grand confort. Ce superbe train qui relie le trépidant quartier d’Asakusa à la bucolique Nikkō été mis en service le 15 juillet 2023. Ici le confort et le plaisir du voyage ont été privilégiés sur la vitesse. A tel point que je me suis endormie, ce qui ne m’était jamais arrivée dans un train. « S’il vous plaît, Maître, est-ce que vous avez compris ce que le Professeur voulait dire à propos de la tubuline ? » « Pas plus que toi, Ysideulte. Mais pourquoi ne lui as-tu pas posé la question ? » « J’ai eu peur de passer pour une idiote… » « Il t’aurait sans doute dit qu’il n’y a pas de question idiote. » Petit moment de silence. Le paysage défile. J’aime ce train et je suis reconnaissante au Professeur de nous l’avoir conseillé. J’ai hâte de le revoir. Dans une semaine. J’ai encore tant de questions à lui poser. Et puis, je trépigne de savoir ce qu’ont donné les analyses des prélèvements. Les idées tournent dans ma tête jusqu’à l’obsession. Je ne changerai pas…  « N’y avait-il pas un article à ce sujet dans la base de données que Sonia t’a confiée ? » « Vous pensez, Maître ? Je n’en ai pas le souvenir. Mais je n’en ai consulté qu’une infime partie »  Mais je dois en avoir le cœur net. Je demande à mon Maître la permission de sortir mon PC portable et d’activer la carte. Dans le cadre de la politique de lutte contre la désinformation, mise en place par la Suprême Alliance Démocratique, les articles scientifiques doivent à présent être visés avant publication par les conseils scientifiques de la fédération. Ces conseils, placés sous l’égide des ministères de la vérité, sont chargés de s’assurer que toute publication respecte le « consensus scientifique ». Plusieurs articles antérieurs à la promulgation de la loi ont été censurés, car jugés non conformes au consensus, et détruits de tous les supports numériques et matériels. Tous, sauf ceux qui ont pu être préservés dans la base de données illégale du pangolin fou… J’active la carte que Sonia m’avait confiée en la glissant dans ma fente humide, faisant pour l’occasion office de lecteur de carte. Comme à chaque fois que je l’active j’ai une pensée pour l’ingénieur pervers qui a imaginé ce mode d’activation. La Magna Carta Libertatum, avec le pangolin fou en filigrane, ne tarde pas à apparaître sur la surface, signifiant que le PC peut pendant un court laps de temps accéder aux données subversives qu’elle contient. Sonia avait raison. Cette image me permet de garder espoir quand tout semble perdu. Elle n’est rien et pourtant elle représente des idées qui font trembler les hautes sphères de notre démocratie. Les idées sont à l’épreuve des balles disait V. C’est pour cela qu’elles sont dangereuses pour les tyrans. Je tente une recherche par mots clés dans l’immense base de données. Plusieurs articles mentionnent la tubuline, protéine structurale des microtubules, constituants du cytosquelette, mais je ne vois pas ce qu’ils apportent à mon questionnement. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi ils ont été censurés. Les « experts » sélectionnés par les ministères de la vérité font preuve d’un excès de zèle déconcertant. Mon Maître tente de rassembler ses souvenirs pour m’aider à affiner ma recherche. Un article de Sir Roger pourrait être en lien avec la remarque du Professeur [2]. Mais comment l’interpréter ? L’intrication des ondes de spin parcourant la structure hexagonale des microtubules comme support de la conscience ? « Et si les symbiotes tentaient de communiquer avec ta conscience en intriquant leurs microtubules avec les tiens ? » Hautement spéculative la suggestion de mon Maître, et pourtant… Comment expliquer mes « hallucinations » à Fushimi Inari ? Seul le Professeur pourra nous éclairer. En attendant, nous voici déjà arrivés à Nikkō. Je n’ai pas vu le temps passer. A la sortie de la gare les libellules sont partout. Il y en a des milliers. Heureusement qu’elles sont inoffensives. Joli village sur fond de montagnes. Nous avons embarqué dans la grouillante gare d’Asakusa, nous nous retrouvons à la campagne. Le contraste est saisissant. Au loin, la brume sur les montagnes, la lumière presque surréaliste. C’est beau ! On dirait une estampe japonaise. Et puis, il est là. Mon propriétaire. J’ai le privilège d’être la chienne qui va l’accompagner pendant ce séjour à Nikkō, qui lui tenait tant à cœur. Celle qui lui servira de vide-couilles, celle qui veillera à son plaisir physique et intellectuel. Quel bonheur ! Pendant quelques secondes, j’ose croiser son regard de mes yeux admiratifs, prenant le risque de recevoir une gifle carabinée. C’est plus fort que moi.   à suivre   *** Contexte et références ***   [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).   [2] Stuart Hameroff & Roger Penrose, “Consciousness in the universe: A review of the ‘Orch OR’ theory”, Physics of Life Reviews, Volume 11, Issue 1, March 2014, Pages 39-78 https://doi.org/10.1016/j.plrev.2013.08.002    
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Par : le 29/09/23
Hier après-midi je suis allé tapiner (gratuitement) au sex-shop où j’ai mes habitudes. Dès que j’arrive, je file me changer. Cette fois ci, c’était serre taille en vinyle noir mini jupe à pression en vinyle rouge et escarpins à bride chromés. J’étais allé chez l’esthéticienne 3 jours avant pas besoin de bascar j’étais doux comme un bébé. Ce fut une après-midi bien bonne. Certes je n'ai pas battu des records en nombre, mais 5 pipes dont 2 éjacs, 2 sodos (dont une suivie d'une pipe) et un très bon fist, ont fait ma journée. La qualité était au rendez vous. Des mecs assez bien avec de bonnes bites. Le 1er était très charmant et c'était la 1ere fois qu'il venait dans un truc comme ça. Il n'a eu que des partenaires féminines. Quand il a vu ce que je lui faisais avec ma bouche il était fou. Il n'avait jamais ressenti autant de plaisir et il n’arrêtait pas de me dire que j'avais une bouche formidable. Il avait une bite de taille raisonnable voire modeste au repos, que j'ai su réveiller pour avoir un très bel engin. Les autres gars avaient un peu des bites dans le même genre, à l'exception d'un colosse. Quand je l'ai vu je me suis dit Whaouh il doit avoir un engin de fou! Ben en fait il avait la plus petite de l'après midi. Il a voulu me sodomiser mais bon, c'était juste pour y faire plaisir, car de mon coté, je n'ai pas senti grand chose. Le gars qui m'a fisté en avait une bien bonne pas très épaisse mais assez longue. Pendant que je le suçais, il me caressait l'anus, il était émerveillé de voir que sous ses caresses, mon petit trou s'ouvrait comme une fleur. Vu que j'étais si accueillant, d'un doigt il est passé à 2, 3 puis 4 et il voulait aller plus loin. Je lui ai proposé un gant avec un peu de lubrifiant. Il a repris son exploration et sa main est rentrée comme dans du beurre jusqu'au 1er tiers de son avant bras. Il n’arrêtait pas d’avoir des expressions d’étonnement tellement que son introduction avait été facile et agréable. Pour moi c’était le bonheur, à travers ma cage de longs filets de liquide séminal s’écoulaient comme une fontaine, j’en avais la jambe toute gluante. L’après midi s’est passée tranquilou. A un moment un couple d’un peu moins de la soixantaine est venu, la dame était très gourmande, elle n’était pas venue là pour compter fleurette mais plutôt pour dérouler des kilomètres de bite. Elle m’a vue et n’était pas du tout intéressée et est partie s’amuser un peu plus loin. Son gars est revenu discuter un peu avec moi, mais j’ai su après qu’il était plus là en passif. Comme la petite dame « monopolisait » toute l’attention, plutôt que de rester seul je suis allé voir un peu ce qu’elle se prenait. Je suis arrivé au moment où mon fisteur essayait de la prendre, mais les mots un peu crus de la petite dame ont eu raison de son érection. Dans toute sa délicatesse la dame lui a sorti « mais tu n’es pas fichu de me baiser ». Il a été un peu vexé car il y avait d’autres males autour. Il s’est retiré et nous sommes partis dans un coin isolé, afin que je lui remonte le moral (on peut appeler ça comme ça aussi). Sa bite a retrouvée une bonne forme et il m’a sodomisé avec plaisir. Je sentais son long sexe aller et venir en moi tout en douceur, Il n’y avait pas besoin de mettre du lubrifiant, j’avais encore la rondelle toute baveuse. Ce n’a pas été aussi intense que le fist qu’il m’avait fait quelques temps auparavant mais j’ai beaucoup aimé et lui aussi. Il s’est retiré, a enlevé son préservatif et je l’ai sucé jusqu'à avoir son jus. L’après-midi finissant, il n’a pas hésité à se lâcher et m’a inondé le fond de la gorge et tout est parti directement dans l’œsophage. Il en restait encore un peu et je lui ai nettoyé le gland avec ma langue, il est ressorti de ma bouche tout propre comme un sou neuf. Il n’avait peut-être pas réussi à baiser la petite dame, mais en tout cas il m’a bien baisé et nous avons pris beaucoup plus de plaisir ensemble. Nous nous sommes quittés car il devait rentrer, mais il a bien noté mes jours de présence, en comptant bien me revoir prochainement. Pour finir l’après-midi j’ai déambulé un peu dans l’espace ciné et la petite dame était dans la petite salle de cinéma où j’y attend les gars interessés. Elle cherchait en vain un étalon qui la défonce, mais le pauvre gars à qui elle a demandé ses faveurs n’était pas au mieux de sa forme car il avait déjà répandu à deux reprises sa semence. Me voyant à l’embrasure de la porte, elle m’a demandé d’approcher. Je lui ai dit qu’elle allait être déçue car elle ne pouvait pas voir ma cage qui était sous ma mini jupe. Elle n’avait pas tout saisi d’où sa surprise quand elle a envoyé sa main sur mon sexe. Elle a relevé ma jupe en me demandant qu’est ce que c’était. Apparemment elle n’avait jamais vu de pénis encagé. Je lui ai expliqué que c’est ma femme qui était détentrice de la clé car c’est une dominatrice, que nous avions une énorme complicité et qu’elle me laissait quelques libertés qu’à condition que je sois sous clé. Elle a trouvé notre démarche formidable et m’a félicité à de nombreuses reprises d’être soumis à ma femme. Je suis descendu pour récupérer mes habits de garçon et je suis allé me changer dans les toilettes du bas. En ressortant, j’ai vu le couple qui était en train de regarder les tenues sexy qui étaient exposées. Je me suis approché d’eux et j’ai dit à la petite dame « Voilà le carrosse s’est transformé en citrouille ». Elle m’a regardé d’un air interrogatif et ne comprenait pas ce que je lui disais. Son compagnon a percuté un plus vite qu’elle et quand je lui ai expliqué elle ne me croyait pas. Pour lui prouver mes dire, j’ai saisi sa main, l‘ai portée à mon sexe encagé sous mon pantalon et son visage a affiché une grande stupéfaction. Elle n’en revenait pas de la métamorphose et n’avait que d’éloges à mon égard. Voilà encore une bonne après-midi passée au X center de Plan de Campagne, dont je félicite le personnel qui est très pro et discrets.  
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Par : le 28/09/23
Mon maitre dit alors avez-vous compris ce qu’on vous offre, la foule répondit d’un oui commun. C’est à ce moment-là que les portes de la salle s’ouvrirent, l’homme qui se tenait dans l’encadrement de la porte dit à mes Maitres que tout était prêt. Alors ma Maitresse annonça que pour officialiser ma mise en esclavage, j’allais être marqué au fer rouge devant tout le monde. D’un pour que je prenne conscience que ma vie d’homme était définitivement finie, et de 2 pour que le village prenne conscience qu’ils avaient maintenant un défouloir. Ce marquage, était important pour moi car j’en rêvai depuis de nombreuses années et j’allai enfin être un esclave sans nom sans passé et qui ne manquera à personne. Bien sur le fait de sentir la chaleur du fer près de ma peau me fit paniquer et stressé, jusqu’au dernier moment je me demandai si mon choix de vie était le bon et si je ne devais pas tout arrêter avant que cela ne soit irréversible. Et puis mon Maitre me regarda et me demanda du regard si j’étais prêt, et j’acquiesça des yeux, et je senti le fer sur ma fesse gauche bruler ma peau. J’ai failli perdre connaissance mais je tiens bon, ma Maitresse me félicita d’un baiser. Mon ancienne vie disparue par l’apposition de cette marque. La femme que le chauffagiste avait trouvée, fini en disant que non ça ne la choque pas et que au contraire cela fit un bien fou au village complet et elle affirma qu’il y avait moins de problème depuis mon arrivé. Il eut un regard d’étonnement, elle s’expliqua en disant qu’avant mon arrivée si un problème surgissait entre voisin par exemple cela prenait des proportions énormes car personne n’osait dire réellement ce qu’il pensait et qu’il ruminait pendant des mois voire des années. Maintenant dès qu’un villageois est en colère, il vient ici et martyrise l’esclave. L’ouvrier compris et demanda si j’avais un nom. Elle répondit que non et que même mon ancien prénom il ne l’avait jamais entendu. Il me désignait tous par la chose ou la sous merde du village. Il lui demanda ce qu’il avait le droit de me faire réellement, elle le regarda, se tourna vers moi, tout en lui disant que ce midi elle était venue se défouler mais que sa colère n’était toujours pas redescendue, m’envoya son poing dans la figure. Elle lui déclara on peut tout lui faire, même écraser une cigarette sur son corps. Le chauffagiste un peu gêné lui demanda et pour le sexe. La encore, elle lui montra ma cage de chasteté, et lui déclara, lui ne peux plus se servir de sa bite, mais il as un anus qu’on peux prendre sans souci, d’ailleurs il porte toujours un plug afin d’être prêt à accueillir quiconque voudrait en profiter. Alors sans demander son reste il sorti sa bite et me fit mettre à 4 pattes et retira le plug, la femme lui pris des mains et le posa dans un endroit propre en attendant qu’on puisse me le remettre. Il m’encula à sec dans l’allée elle, elle m’ordonna de ne pas bouger et continua de ma faire mal. Ce furent des claques, le tirage de des pinces, l’écrasement des couilles, monta sur mon dos pendant qu’il continuait à ravager mon cul. Je fus utilisé pendant 10 min, je pensais qu’il jouir en moi mais, la dame lui suggéra de plutôt éjaculer sur mon visage, car je n’ai pas le droit de me nettoyer avant que mes Maitres rentre du travail. Ce qu’il fit et il se marrèrent à la vue de mon visage plein de foutre. Il reprit le plug et le remis en place en force sans ce préoccupé s’il me faisait mal, de tout façon je ne mérite que la méthode forte et je dois le remercier pour sa violence. Il partit, la femme aussi, mais avant elle me fis mettre sur le trottoir et de me donna l’ordre de rester à genou pendant 5 min avant de refermer le portail. Avec cet interlude je me savais en retard sur mes taches et que si je ne suis pas à jours quand mes Maitres rentre je serais puni et privé de nourriture encore aujourd’hui (cela fait 3 jours que je n’ai pas le droit de manger). Une fois les 5 minutes passées, je me relevai, ferma le portail, et accéléra pour finir ce que je devais faire. Le fait de bouger plus vite afin de finir à temps mes pinces sur mes tétons se mouvaient de plus en plus ce qui faisait naitre en moi un désir ardent qui fut retenu très vite par ma cage et me perturba pour finir ce que je faisais. Par chance, j’ai réussi à tout réaliser avant d’accueillir mes Maitres. A 17H25 j’ouvris le portail et patienta jusqu’à l’arrivée des voitures. Le Maire passa à ce moment-là, il avait l’air joyeux, me dépassa sans se soucier de moi, et soudain il opère un demi-tour, me dit bonjour je lui fais une révérence, et il éteignit sa cigarette sur mes tétons et de son autre main, il me mettait des petites claques justes pour son plaisir. Il vit les voitures de mes Maitres arrivé et arrêta son jeu, et rentra chez lui. Je refermai les grilles et débarrassa mes Maitres de leurs affaires, ils s’installèrent dans le salon et je leur portai leur café. Quand mon Maitre finit son café il me demanda si j’avais enfin travaillé correctement aujourd’hui, je lui fis signe de la tête. Il se leva et me dit de le suivre, il allait contrôler si mon travail était bien fait. On commença par la cuisine, la vaisselle faite et ranger ok, le sol propre ok les poubelles vidées ok. On continua comme ça jusqu’à la fin de la liste. Il en parla à sa femme et lui annonça que pour une fois j’avais bien travaillé et que je pourrai enfin manger. Je leur servi le repas vers 20H, vers 20H45 ils avaient fini, moi je m’occupai de la vaisselle et de ranger la cuisine. J’entendis une petite cloche signe qu’on avait besoin de moi. Je me précipitai dans le salon, ils étaient sur le canapé, ma maitresse me demanda un massage des pieds, que je fis pendant 20 minutes. Je leur servi de repose jambes le temps du film. Avant d’aller se coucher, ma Maitresse me guida jusqu’à ma cellule dans la cave, me donna du pain dur et de l’eau. J’attendis qu’elle me dise de manger et j’englouti le tout en moins de 5 minute tellement j’avais faim. Une fois le repas fini on me retira le plug, on m’emmena dans le jardin pour que je puisse faire mes besoins comme un chien. Et on me rapporta à mon cachot pour m’attacher pour la nuit. Ma Maitresse pris une poche à lavement et enfonça la canule dans mon anus ouvrit le robinet et me laissa comme ça pour la nuit. Les lumières s’éteignirent, et je sentais doucement mon cul se remplir de liquide, je n’allai pas dormi beaucoup cette nuit à cause de ce lavement, mais bon je n’ai pas le droit de me plaindre. Je dois plutôt les remercier de s’occuper si bien de moi.   Voici comment j’imagine une de mes journées si j’étais devenu un esclave. Bien sur tout cela n’est que pure utopie et que la réalité serait toute autre, je ne sais pas de quoi serait fait mon quotidien. J’espères que cela vous aura plu.
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Par : le 28/09/23
Je vais vous conter comment j’imagine vivre une journée si j’étais enfin un esclave. Ce récit est bien sur hypothétique et n’est en aucun cas réel, il sera en 2 parties . Je pars sur le principe que mes Maitres travaillent de journée. Ma journée commencerait à 6H du matin, ou le système qui me maintient enchainé au mur me libère et me réveille en m’arrosant d’eau froide afin que je puisse me laver. Oui étant donné ma condition d’esclave je n’aurai pas le luxe de pouvoir bénéficier d’un vieux matelas, qui sont réservé aux soumis. Une fois lavé, je m’équiperais en liant mes chevilles avec une chaine, idem pour mes mains, je me mettrais un bâillon, et pour finir un plug dans l’anus dont la taille varie en fonction aléatoire venant du système.                Je devrai me rendre en cuisine, afin de préparer de le petit déjeuner de mes esclavagistes. Moi évidemment, je n’ai pas le droit de mange, des caméras sont installées partout dans la maison afin de me surveiller. Une fois le repas prêt je dois aller réveiller mes Maitres, pour cela je dois sucer Monsieur tout en doigtant Madame, une fois les 2 bien réveillés et chaud je dois les regarder faire l’amour. Tout cela a pour but de bien me rappeler ma condition d’esclave et que plus jamais je ne pourrai pénétrer une femme, un être supérieur, du fait que je suis encagé pour le reste de ma vie. Dès que leur jouissance est terminée, je dois les douchés et les raser si besoin. Une fois habillé je leur porte le petit déjeuner dans la salle à manger et je me place dans un coin de la pièce en attendant qu’ils aient fini. Je débarrasse la table, et lave la vaisselle, pendant qu’ils vaquent à leurs occupations. Quand la cuisine est redevenue propre, je dois me rendre dans l’entrée pour les attendre pour leur passer leurs vestes. Et je dois sortir avec eux pour leur ouvrir le portail, évidemment je suis nu et enchainé, les gens qui passent dans la rue me dévisage comme si j’étais un moins que rien et ils n’ont pas tort. Mais en tant qu’esclave, avoir de la rancœur envers eux m’est interdit. Une fois mes Maitres partis je referme le portail, et je vais exécuter mes taches, le matin c’est ménage de la maison, le tout à 4 pattes. Vers 11H30, préparation du repas.12H30 je dois ré ouvrir le portail et les attendre non pas dans l’allée, mais sur le trottoir afin de m’humilier encore plus. Mes Maitres avaient prévenu les gens du petit hameau où ils vivent, qu’ils avaient fait l’acquisition d’un esclave, et que si l’envie le leur en prenait et quand j’étais sur le trottoir, ils pouvaient me martyriser avec les divers accessoires que mes Maitres avaient mis à disposition dans une boite sur le trottoir. Au début, j’étais insulté, on me crachait dessus, puis les gens se sont habitués. Il a fallu 4 mois avant que je reçoive mon premier coup de fouet, d’un passant. Ce midi une femme s’était disputé avec son copain, et pour se défouler elle est venue jusqu’à moi, me mis un coup de genou dans les couilles, ce qui me plia en 2. Elle prit la cravache et m’en rouste le cul d’une vingtaine de coups. Elle s’est arrêtée car ma Maitresse arrivée. Mon maitre arriva 30 secondes après, je me relevai referma le portail et les débarrassa de leur veste. Je leur servi le repas et comme le matin j’attends dans un coin qu’ils aient fini. Ce midi, ma Maitresse m’informe qu’un chauffagiste doit passer pour réviser la chaudière, et qu’il est au courant pour moi et que je dois lui obéir comme si c’était mon Maitre. 13h30, mes Tortionnaires repartent travailler. Une fois le portail fermé, je file m’occuper de la cuisine. Une fois propre, je vais passer un coup de balai dans l’allé de garage. 14H30 je reçois une décharge électrique de mon collier, cela signifie que quelqu’un à sonner au portail. Je vais ouvrir et bien que le chauffagiste soit prévenu, il était choqué de me voir ainsi. Je lui fis signe de me suivre vu que je ne pouvais pas parler, et le guida jusqu’à la chaudière. Je restai à ses coté le temps de son intervention, quand il eut fini, il me demanda si ma condition me plaisait je répondis par un oui de la tête, et m’interrogea s’il avait vraiment le droit de me faire tout ce qui voulait. Je refis un signe de tête positif. Alors il attrapa la chaine de mes pinces à tétons et la tira en l’air je du me mettre sur la pointe des pieds afin de soulager la douleur. Ce qui le fit rire, il regarda sa montre et dit tout haut qu’il lui restait 30 min avant son prochain rdv. Je compris que j’allais être utilisé comme bon lui semble, et il ne tarda pas. Il reprit la chaine des pinces et me força à le suivre à un rythme très rapide jusqu’à dehors. Cela me parut bizarre mais comme je suis un esclave et que je ne dois pas penser, je le laissa faire. Il me fit agenouiller dans l’allée de garage et ouvrit le portail, il regarda s’il y avait du monde. Il partit quelques minutes en me laissant seul à genou à la vue de tous, mais cela ne me gêna plus. Il revint avec la femme de ce midi, qui n’avait pas décolérer malgré le petit passage à tabac que j’ai subi. Il lui demanda devant moi, si je la choqué du fait de ma condition. Elle répondit que lorsque Mes Maitres avaient fait l’annonce de mon arrivée, ils avaient tous cru à une blague. Et que quand je suis rentré dans la salle. Nu et enchainé, ils ont tous eu pitié de moi. Je me souviens aussi qu’avant de devenir totalement leur esclave je du vivre 1 semaine en tant que soumis le temps qu’on me fasse passer un test psychologique pour être sûr que cette volonté d’être esclave était bien de moi et non un chantage. Et quand le psy rendit son verdict et qu’il affirmait que c’est moi qui aie demandé à être réduit en esclavage, mes Maitres pour me punir et montrer que je suis bien l’initiateur de ma condition, ils me firent mettre à nu devant tout le monde, je m’exécutai aussitôt, et la salle eut un mouvement de recul, car entre la première fois qu’ils m’ont vue et là, il y a eu beaucoup de changement. Effectivement, mes fers étaient scellés définitivement (par des boulons soudés) à mes membres, idem pour ma cage de chasteté elle n’avait plus de cadenas mais elle fut soudée elle aussi. Des piercings orné mes tétons et des pinces passer par-dessus. Un tatouage au-dessus du pubis représentant 2 piques avec R et D à l’intérieur. Afin de bien se faire comprendre mon maitre demanda le silence du public encore sous le choc, et annonça que je suis devenu leur esclave, que je n’existe plus en tant qu’humain, que je ne suis plus qu’une sous merde, et que n’importe qui du village, pouvait me torsionner. Je frissonnai lors de cette annonce, alors le maire pris la parole et demanda ce que mon maitre voulait dire. Ma Maitresse pris la parole, et annonça que n’importe qui habitant dans le village, s’il est en colère, il peut venir se défouler sur moi, et me faire subir ce qu’ils veulent. Une femme demanda ce qu’elle pouvait me faire. Alors ma Maitresse lui demanda de venir près de moi, et lui poser la question si elle aller bien. La dame lui répondit que non car elle avait perdu son portefeuille. Ma Maitresse s’approcha de son oreille, et lui murmura quelque chose, dans la seconde qui suivi je m’écroulai à terre tellement le choc reçu à mes bourses furent violent. Mon Maitre m’ordonna de me relever tout de suite, ce que je fis immédiatement de peur de recevoir une punition. fin de la partie 1
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Par : le 28/09/23
       Après discussion sur un site BDSM avec un soumis qui me voulait sous ses ordres, j’ai réalisé que je ne souhaitais pas être soumis mais plutôt esclave.        En fait ce soumis se disait curieux de ma position, le fait que je sois marié, bi et désireux d’être soumis. Notamment sur le fait d’être bi il me demandait ce qui m’attiré chez un homme. Et ma réponse me perturba quelque peu, en fait il n’y a rien qui m’attire chez un homme, la seule chose que je peux jalouser ce sont les abdos et encore.        Du coup comment je peux être bi sans attirance vers les hommes. Et la réponse m’est venu bêtement, je suis un bi forcé. Je m’explique, je ne vais pas chercher, et ce n’est pas un besoin vital pour moi, à sucer un pénis ou me faire sodomiser, mais du fait de ma position de soumis (d’ailleurs on reviendra sur cette position après) je ne peux pas refuser, une fellation ou une sodomie, je suis un être inferieur donc je n’ai pas le droit de refuser. C’est aussi simple que cela pour moi.          Maintenant je voudrais revenir sur ma position de soumis. Pour moi un soumis ou soumise bien sur est le vrai dominateur dans une relation D/S. En effet la relation se base sur les interdits du soumis et de ses limites, le bon dominateur lui doit s’adapter et faire en sorte de ne jamais aller dans les interdits de son soumis. Bien en réel c’est différant mais c’est ma vision d’une relation D/S. Et il peut mettre fin à sa relation s’il n’est plus en harmonie avec son dominateur.         Alors que pour moi un esclave, lui n’a pas le droit à des interdits ou limites. Il n’a aucun pouvoir de recul ou de refuser une action même si pour lui c’est un interdits. Il doit exécuter les ordres c’est tout, pas le droit de parlementer. Par exemple on lui demande d’aller chercher le courrier alors qu’il est nu avec chaine au pieds et aux mains, il n’a pas le droit de dire maitre non on va me voir. Il obéi point barre. Même si on peut le voir. De plus il ne peut pas partir ou arrêter cette relation Maitre/esclave, en revanche il peut être vendu où céder à un autre Maitre. En gros il n’a plus le pouvoir de décision, il ne lui reste que le pouvoir d’obéissance.       On en arrive donc au pourquoi après réflexion je souhaite être esclave plutôt que soumis. J’ai cette nouvelle vision depuis quelque temps maintenant, en effet dans ma vie j’ai toujours « été l’homme fort qui doit prendre les décisions pour les autres » notamment au travail, mais même dans ma vie perso on se repose à 95% sur moi. Et en fait bah j’en ai marre et cela fait bientôt 20 ans que j’ai cette sensation. 20 ans que j’ai envie de tout plaquer et d’appartenir à une personne et qui fasse ce qu’il veut de moi, sans que je puisse dire quoique ce soit, ni même non.        Voici comment j’imagine cette vie que j’ai tellement envie de vivre. Ma vraie vie.           On commencerait déjà par vendre tout mes biens (voiture, maison), donner mes animaux. L’argent récolter servira en parti, à ma préparation physique, et le reste serait en quelque sorte ma dote envers mes Maitres. On effacerait toute trace de moi à l’administration française (je sais ce n’est pas faisable), ou alors on me déclare mort, ma famille ne sera pas mise dans la confidence, pour eux je serai mort. Ainsi, Moi telle que je suis actuellement n’existe plus aux yeux du monde, j’aurais disparu(mort) et naitra l’esclave que tout le monde profite.         Donc oui tout à l’heure je parlai de préparation physique, car mes Maitres auraient carte blanche pour me transformer à leur guise, par exemple : épilation intégrale au lase, implantation de prothèse mammaire, me faire retirer mon pénis, ou l’enfermer dans une cage de chasteté permanente (fermé par rivet, ou même souder pour n’être plus jamais retirer) de toute façon un esclave n’a pas le droit de pouvoir prétendre à pénétré une femme. Apposition de fers aux mains, aux pieds et au cou. Je serais marqué comme du bétail (tatouage, marque aux fers rouges ou les deux ensembles). Port d’un bâillon, et d’un plug de chasteté.          Pour prétendre à manger je devrais être irréprochable, exécution parfaite des ordres reçu, pas de rébellion, ne pas me faire remarquer. Lors de repas, ou tout autre évènement je serais le cuistot, le serveur, en somme l’homme à tout faire, habillé ou pas. Je serais envoyé aux courses comme bon voudra mes Maitres, (nu, travesti, portant des chaines aux fers, ou toute autre envie qui viendrait en tête de mes tortionnaires). Voici comment je vois ma vraie vie, moi un être inferieur, mieux même une sous merde, ou même la vie du plus insignifiant insecte et plus précieuse que la mienne. J’ai la sensation d’être né uniquement pour être esclave.         Je servirai de jouet sexuel, devant sucer, être sodomiser, n’importe quand, à n’importe quelle heure de la journée.      Mes Maitres pourront me faire faire la pute afin de rapporter de l’argent, et ainsi gagné ma pitance de nourriture, qui serai servi dans une gamelle ou à même le sol.         Il m’est même arrivé d’imaginer que je suis un esclave mais même au sein de mon entreprise, ou quand je prends mes fonctions, je dois me mettre nu et me rendre au centre névralgique du bâtiment et d’y être attaché en attendant qu’on est besoin de moi. Bien sur je suis encagé je serais pieds et mains liées, on vient me détacher pour effectuer ma tache et une fois finie on me ramène à mon poste d’attente. Ou on pourra me fouetter me faire sucer des phallus, ou lécher des clitos. Ou tout autre chose.         Un esclave qui n’a aucun droit sauf celui d’obéir. Il n’existe même pas aux yeux de la loi.         Pour finir, je ressens vraiment cette sensation ce n’est pas un fantasme, je souhaite réellement vivre comme esclave. Malheureusement, cette vie je ne pourrai jamais la connaitre, d’un qui serait prêt à faire de moi un vrai esclave, de deux je tiens à famille et ma femme et je ne veux pas leur faire de peine.
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Par : le 27/09/23
Non ni en levrette ni en cuillère, prends-moi en face à face Je veux voir ton regard quand tu me pénètres, observer ton plaisir oculaire quand de tes assauts mes piercings remuent et dansent Admirer tes muscles bandés saillants dans mes cuisses relevées Voir tes dents, ta langue cueillir mes tétons, ta bouche embrasser mes seins Sentir ton souffle avide se répandre de mon front à ma jugulaire impulsive Croiser nos regards affamés, noyés dans un océan de sens Nos yeux rieurs et nos gestes éberlués se chercher au profond de nos âmes Laisser jaillir ta salive en salves aquatiques Lire tous ces mots crus et tendres que ta voix me déverse mouillant nos draps Sourire à l’approche de tes lèvres exploratrices qui fusionnent ma bouche Me délecter de te voir me voir encore jouir Foutrement voyeuse joyeuse Et te regarder Te regarder dans ton râle orgasmique nous envoyer en l’air Dans nos vagues subversives Et t’accueillir là dans le creux de mes bras Rideau !
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Par : le 25/09/23
Prières pour une séance BDSM. Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, combien je voudrais en ce moment, m’approcher de votre lit, plein (e) de confiance, non en mes propres mérites, mais pour votre infinie lubricité. Comme je voudrais retourner vers Vous, vers ma cage, être meurtrie par Vous, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, Vous qui êtes, mon maton. Vous qui fûtes cette nuit, mon bourreau. Je vous adore Ô Mon Maître / Ma Maîtresse. Souvenez-vous de votre esclave. Je me prosterne devant Vous pour obéir à votre sainte volonté. Au nom du B du D du S et du M… Ainsi soit-il. Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, qui par votre grâce toute-puissante me fortifiez contre les hésitations de mon âme et de mon corps, faites que bientôt crasseux (se) de coups et de souillures, j’aie le bonheur de vous recevoir dans tous mes trous et dans mon tabernacle. Je vous y adore avec le plus profond respect, et je vous prie de me battre et de me bénir. Ainsi soit-il. Ô vous qui me violez, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, écoutez-moi je vous implore. Que vos désirs soient mes désirs. Donnez-moi la force de les écouter, et de les interpréter, pour Vous. Poufiasse, Baby-doll ou jument, donnez-moi la force de Vous satisfaire. Que vos plaisirs soient mes plaisirs. Vous avez vos desseins pour moi, dites-les moi bien, et donnez-moi de les suivre. Pute, esclave ou captive, que vos vices soient mes vices, jusqu’à ce que, par votre grâce la damnation de mon âme soit assurée. Qu’indifférent au monde et ne voulant que Vous, j’adore les fureurs, les sévices et le pire de Vous. Ainsi soit-il.
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Par : le 25/09/23
CNC. Merci de ne pas lire plus loin si l'idée de sexe consenti non consenti, de simulation de viol vous rebute. Pour les autres, bonne lecture et sachez que je suis preneur d'un commentaire. Idéalement pour dire que cette lecture vous a emoustillée mais tout autre commentaire, même critique bienveillante me poussera à oser vous proposer ma prose. Tu ouvres la porte. Aussitôt je te pousse violemment et  la referme derrière moi. [note pour les exhibitionnistes, merci de considérer que la porte reste ouverte [pas la peine de me remercier, ça me fait plaisir]] Ma main s'est enroulée autour de ton cou et je te pousse quelques mètres jusqu'à te plaquer contre le mur. La surprise semble toujours présente. Est-ce ton Maître, tout de noir vétu. Celui même qui devait s'absenter pour un imprévu. L'excitation se lit dans tes yeux quand j'arrache ton chemisier de ma main disponible. Je voulais ne pas me trahir mais trop dur de ne pas parler. Je vais te forcer à jouir salope. Je m'introduis chez toi. Tu ne fais rien pour m'arrêter. Tu es déjà offerte. Je vais te violer et tu vas exploser comme la pute que tu es. Ma main passe sous ta jupe pour découvrir que ton string est déjà complètement trempée. Je te l'arrache. Ouvre la bouche. Je sais que tu ne vas pas crier. Enfin pas pour alerter qui que ce soit mais tu es bien plus bandante avec quelque chose dans la bouche. Et aujourd'hui ça sera ton string. Je saisis le vibro que j'ai amené et je te le carre contre le sexe. Sois une gentille fille, tiens-le pendant que je joue avec toi. Interdiction de l'écarter sous peine de représailles giflesques. Un semblant de oui Monsieur semble s'échapper de ta bouche mais dur de comprendre avec le string qui rend ta prononciation hésitante. Je te demande en chuchotant. Mais quelle chienne fait ça ? Laisser rentrer un visiteur, se fait arracher ses vêtements et prendre le vibro pour se branler avec ? Sérieusement quelle genre de chienne en chaleur fait ça ? Une grosse salope je crois. Une énorme salope en chaleur. En même temps je te presse contre le mur cette fois en saisissant tes seins. Je pince et tire très fort les pointes jusqu'à voir apparaîtres les prémisses de larmes. Continue de te branler ! Je veux que tu exploses, que tu sois tellement trempée que tes cuisses soient luisantes. J'enlève le baillon de fortune. Ouvre la bouche, je vais te la fister. Un rapide oui Monsieur et ta bouche s'ouvre en grand et mon poing commence à aller et venir. D'avord doucement puis de plus en plus vite. Les larmes dans tes yeux commencent à couler quand je décide de laisser ma main à l'intérieur de ta bouche. Je crois qu'il n'y a rien de plus beau que le visage d'une soumise ruiné par son mascara. [note pour plus tard ou pour les commentaires: est-ce plus ou moins beau qu'un visage couvert de sperme ?] Je sens que tu es sur le point de squirter (come on dit an ardéchois ou en drômois) et je m'approche de ton oreille pour t'ordonner dans un murmure: "vas-y explose salope". Il est trop tard, de toute façon. Mais je sais que la permission de ton Maître te fera exploser encore plus fort. Et c'est le cas. Explosion après explosion, tu giclais sans pouvoir t'arrêter. Après avoir enfin fini, tu t'es naturellement mise à genoux, appuyé ta tête contre le mur et gémi Baise ma bouche contre ce mur. Explose-la Maître. Je t'en supplie. Et peins-moi en blanc    
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Par : le 25/09/23
La question se pose : naissons-nous avec des tendances plus ou moins prononcées pour la domination ou la soumission ? La réponse me semble évidente et se résume en un seul mot : oui. Sauf que ce oui, selon moi, ne va pas sans un ’’mais’’. Vous conviendrez comme moi, enfin je l’espère, que l’homo sapiens est né il y a entre 150 000 et 200 000 ans. Certains parlent même de 300 000 ans… L’homo sapiens, c’est vous, c’est moi, c’est nous : son crâne et son cerveau ont la même forme que la nôtre… et donc, par définition, les mêmes aptitudes que celles que nous avons. La seule vraie nuance, c’est que cette humanité naissante a d’autres priorités… Se nourrir et survivre dans un milieu hostile. Alors oui, il y a de la domination et de la soumission mais elle est la même que celle que l’on voit encore de nos jours dans le monde animal : un mâle qui cherche à avoir la main mise sur toutes les femelles. L’humanité avance… et arrive dans le Néolithique. C’est la naissance des civilisations. Une autre hiérarchie s’installe, s’instaure : un ’’chef’’ unique, tout en haut de la pyramide, accompagné d’une poignée de ’’fidèles’’ juste en dessous, tandis que le reste de la structure est soutenue par un peuple qui subit plus ou moins, en fonction du statut de chacun, les décisions prises par le meneur. Cette pyramide est toujours d’actualité, même si elle a été maquillée à la fin du 19ème siècle. En effet, ce siècle de l’industrialisation naissante apporte son lot de problèmes aux meneurs et à leurs sbires : ils ne vont plus pouvoir tout cacher car on permet au petit peuple de s’informer, chose à laquelle il n’était pas invité jusque là. Ils optent alors pour des solutions qui sont celles que nous connaissons de nos jours. Pour bien comprendre mes propos et les associer au BDSM, je vais reprendre mes explications de la naissance des civilisations jusqu’à cette fin du 19ème siècle. Le petit peuple, donc la grande majorité de l’humanité, a d’autres choses à penser qu’à attacher, impacter ou toute autre pratique liée aux images que nous avons d’une relation entre une personne dominante et une personne dominée. L’idée première est de faire des enfants pour avoir de la main d’œuvre en sachant que, à cause de la famine ou encore des maladies et épidémies, cette main d’œuvre est précaire. Ce n’est donc que dans les hautes sphères que des personnes s’adonnent à des pratiques autres que la simple procréation utile voire essentielle. Plus que tout, ceux qui dirigent mettent aussi une pression supplémentaire en jouant avec la religion : si vous péchez, vous irez en enfer. Ainsi, dans sa grande majorité, le petit peuple obéit tandis que les dirigeants, grâce à leur pouvoir, leurs moyens démesurés comme à leur lassitude après avoir fait le tour du ’’classique’’, baignent alors dans l’homosexualité, la domination sexuelle ou autre, la pédophilie, etc... Les seuls récits que nous avons de telles pratiques, depuis l’aube de l’humanité, concernent seulement les dirigeants et non les dirigés alors que, bizarrement (ou pas) on trouve des récits plus ordinaires sur les dirigés, au fil de cette période… Ceci expliquant (peut-être) cela. Je reviens donc à l’aube du 20ème siècle, quand ceux qui tiennent les rênes comprennent qu’il va falloir lâcher du lest pour, au final, avoir encore plus d’emprise. Et voici ce qu’ils se disent : donnons-leur l’illusion qu’ils sont nos égaux. Donnons-leur la possibilité de dépenser, d’emprunter à outrance… Cela nous enrichira d’autant plus. Arrivent par exemple les congés payés qui, à bien y réfléchir, obligent à dépenser… et de vivre alors à crédit, la plupart du temps. Et n’oublions pas les divers autres crédits, ceux à la consommation notamment… et qui permettront, entre autres, d’acheter du matériel, des vêtements BDSM. J’ai conscience que vous qui lisez ceci, comme moi qui l’écris, sommes nés à une époque où nous avons eu ces informations… alors que nous avons, pour en revenir à l’Homo sapiens, le même cerveau quand lui n’avait aucune pensée BDSM. C’est donc bien l’information, celle voulue par ces dirigeants, qui a fait que nous nous sommes intéressés à cette pratique. Prenez ces peuples aborigènes ou indigènes (Brésil, Australie, etc...) qui sont de notre monde, de notre époque… Pas de BDSM chez eux. Parce qu’ils n’ont pas l’information… et je serais même curieux de savoir ce qu’ils pourraient voire sauraient en faire. Ces mot que j’écris le sont parce que j’en ai la possibilité. Mais, à l’échelle de l’humanité, il suffirait d’un tout petit bond en arrière pour que cela ne soit pas faisable, pour que vous et moi ayons d’autres pensées que celles qui nous motivent actuellement. Tout ça pour dire que, non, nous ne naissons pas avec des aptitudes à être des personnes dominantes ou soumises dans un esprit BDSM. Seule l’information, ce que l’on nous a permis de savoir fait que nous gravitons dans cet univers qui, qu’on le veuille ou non, reste l’apanage de ceux qui nous dirigent. Ceci dit, n’ayant comme vous qu’une vie, je fais avec mon temps… mais j’essaie au mieux de créer ma bulle dans ce monde qui nous trompe et qui n’a pas changé : les petits resteront petits et les grands toujours plus grands.
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Par : le 23/09/23
Bien que je l’ai recherchée pendant plusieurs mois, le début de notre relation était un jeu dangereux, une bataille constante pour le contrôle. Ne m’étant pas totalement débarrassée de mes mécanismes de défense, notre rapport ressemblait parfois à une guerre silencieuse qui prenait la forme d’une lutte pour la suprématie émotionnelle. La rébellion qui coulait dans mes veines me poussait à la confrontation, à m’opposer à l’idée même de me soumettre alors qu’il n’avait jamais été question d’avancer dans le sens opposé, ce n’était pas non plus ce que je désirais. Cela relevait davantage des réflexes ancrés que d’une quelconque réflexion de ma part. Comme des automatismes, nécessaires à une époque et devenus confortables car ils étaient les garants de ma stabilité affective. Malgré mes nombreuses relations, presque toutes exploratoires, mes seules expériences allaient toutes dans le sens d’une domination complète de l’autre afin de m’assurer de mon confort émotionnel. Cette fois mon désir était de parvenir à lâcher prise, à accepter la domination de l’autre, j’adorais cette idée, le fait d’y songer me donnait des papillons dans le bas du ventre, mais pourtant, ce domaine encore inexploré et parfaitement inconnu me faisait terriblement peur. Lentement, mais sûrement, Il a tissé un lien, une toile subtile de domination, qui m'enveloppait de manière presque imperceptible. Au départ, ma nature rebelle et insoumise avait résisté, se débattant contre cet étau invisible. Chaque pas vers la soumission était une lutte intérieure, un affrontement silencieux entre ma peur de perdre le contrôle et mon désir de sécurité émotionnelle. Il avait compris ma réticence, ma tendance à ériger des barrières pour me protéger. Mais au lieu de briser ces murs, Il avait choisi une approche plus subtile. Son charisme naturel et Sa patience inébranlable m'avaient peu à peu conquise. Il avait créé un espace où je me sentais en sécurité, où mes peurs étaient apaisées, où ma rébellion trouvait un refuge. Chaque geste, chaque mot étaient empreints d'une bienveillance profonde, d'un désir sincère de me protéger. Il avait gagné ma confiance, une confiance que je n'aurais jamais cru possible de donner. C'était comme si je m'étais laissée emporter par un courant tranquille, abandonnant mes résistances au fil du temps. Dans Ses bras, je me sentais enfin libre de lâcher prise, de laisser mes émotions s'exprimer sans crainte du jugement. Il m'avait appris que la vulnérabilité n'était pas une faiblesse, mais une force. La domination qu'Il exerçait était douce, empreinte de respect et de compréhension. Il avait su créer un équilibre où je pouvais être moi-même, sans peur ni retenue. Mes sentiments avaient fleuri, une connexion profonde et authentique qui ne cessait de grandir. Nous étions devenus complices, partenaires dans cette aventure. Mon voile de pudeur avait non seulement disparu définitivement, mais il avait été remplacé par une transparence totale. Je pouvais me livrer corps et âme, sachant que mon cœur était entre de bonnes mains. C’est le moment qu’Il a choisi pour m’offrir mon premier collier et faire de moi Sa soumise. Ce voyage, du conflit initial à l'harmonie actuelle, avait été une révélation. J'avais découvert qu'il était possible de trouver la sécurité émotionnelle dans la soumission consentie, que la domination pouvait être une danse délicate entre deux âmes qui se complétaient. J'avais appris à aimer et à être aimée d'une manière que je n'aurais jamais imaginée, grâce à l'homme qui avait su conquérir mon cœur, ma confiance et me révéler telle que j’étais véritablement. Au fur et à mesure que notre relation évoluait, ma soumission devenait de plus en plus profonde. Je me laissais volontiers guider par Ses désirs, embrassant cette nouvelle réalité avec un mélange de révérence et d'excitation. L'exercice de Son pouvoir sur moi était à la fois un délice et un défi, une danse sensuelle où nous nous perdions l'un dans l'autre. Ses directives devenaient des ordres que je m'empressais de suivre, car je savais qu'Il avait toujours mon bien-être à cœur. Sa domination était empreinte d'une tendresse infinie, chaque acte de contrôle était une démonstration de Son amour et de Sa dévotion envers moi. L’utilisation du terme « dévotion » peut sembler déconnectée du sujet car il est souvent utilisé unilatéralement pour qualifier l’adoration des personnes soumises à l’égard de leurs Maîtres. Pourtant, je considérais, et considère toujours, que les rapports d’autorité sont à l’équilibre lorsque la dévotion est réciproque, seules les interactions diffèrent d’un côté et de l’autre de la laisse. J'acceptais de m'abandonner totalement à Lui, en confiance totale, sachant qu'Il ne me mènerait jamais sur un chemin dangereux. Le plaisir que je ressentais dans ma soumission était indescriptible. C'était comme une libération de toutes mes inhibitions, une plongée au plus profond de moi-même. Chaque limite que je repoussais grâce à Lui, chaque frontière qu’Il me faisait franchir, était une étape vers une intimité plus profonde. C'était un voyage où la satisfaction était aussi bien mentale que physique, une émulsion d'émotions qui m’enveloppait. Pourtant, il subsistait aussi des moments où ma soumission me confrontait à mes propres peurs et incertitudes. La vulnérabilité que j'acceptais de montrer n'était pas toujours facile à supporter, et il m'arrivait de ressentir de l'anxiété face à cette exposition totale. Mais c'était précisément dans ces moments-là qu'Il se montrait le plus attentionné, me rappelant à quel point Il tenait à moi, me rassurant avec des gestes tendres et des mots doux. J’apprenais à connaitre ma place. Notre connexion avait atteint des profondeurs inexplorées, une fusion d'âmes et de corps qui transcendaient les limites de l'ordinaire. Dans cette union, je trouvais une plénitude que je n'avais jamais connue auparavant, une sensation d'être complète et comblée. Notre histoire s'épanouissait dans cette dualité exquise de pouvoir et de vulnérabilité, de contrôle et de liberté. Chaque jour, je découvrais davantage la profondeur de mon amour pour lui, tandis que ma soumission devenait la clé de notre connexion unique. Dans ses bras, je trouvais non seulement la sécurité émotionnelle que j'avais tant recherchée, mais aussi une passion ardente et un amour inconditionnel qui illuminait chaque aspect de ma vie. Ma soumission était devenue ma force, mon pouvoir résidait dans ma capacité à me livrer sans réserve. J’en désirais toujours davantage, j’avais besoin d’aller plus loin, de ressentir cette emprise au quotidien et de m’épanouir dans ce rapport quotidiennement. J’ai proposé à mon Maître d’entrer dans une relation TPE à temps plein, durant une année complète, faisant ainsi de moi : Sa propriété.
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