Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
C'est bien bdsm.fr, c'est là que je viens piocher des idées pour renouveller mes jeux avec Maso. C'est mon homme, celui avec lequel je vis. Nous nous connaissons depuis si longtemps. C'est lui qui m'a aidé, épaulé, pour ma transition. C'est lui qui a fait de moi sa femme. Au début c'était très vanille, et puis nous avons doucement glissé vers les jeux pour pigmenter notre relation. C'est ainsi que j'ai découvert que j'étais une domina impitoyable et lui un pur maso. Je l'appele ainsi désormais.
Je suis toujours en recherche de nouvelles pratiques pour lui donner ce qu'il recherche, du plaisir dans la souffrance. C'est très sain, je trouve, d'aller à la découverte de ce que l'on est vraiment, et de le vivre. C'est bien le couple, car c'est appaisé. Depuis que j'ai basculé dans le hard, je n'ai plus du tout envie de faire l'amour avec lui, d'etre prise par lui, je veux dire, car faire l'amour c'est bien plus complexe que cela. Pour qu'il ne soit pas en manque, je le libère après chaque séance, et même la nuit. Je contrôle totalement sa jouissance et sans moi, il n'a droit à rien et surtout pas se toucher pour se donner du plaisir. Je ne le domine pas en dehors des séances, à par ce contrôle total de sa sexualité. Et pas besoin d'une cage de chasteté, il obéit parfaitement. Pour mes désirs à moi j'ai eu des aventures au début et à present je me comporte en bourgeoise sage avec un amant unique. Une petite vie en apparence tranquille de femme à la maison avec son homme. Ceci c'est pour le coté Jekill.
Reste le coté Hyde. C'est mon amant, avec qui je n'ai qu'une relation vanille, et qui est aussi sur bdsm.fr, qui m'a suggéré ce nouveau jeu à faire avec mon maso. Il est dominant, mais il n'assiste jamais et ne pratique jamais dans mes séances avec Maso. c'est bien pour tout le monde lorsque les choses sont claires. Mon amant a beaucoup d'imagination. Hier, après avoir fait l'amour, en fumant son cigare, il m'a expliqué "Spirit of Ecstasy". Vous savez, l'emblème des Roll Royce, ces superbes voitures de grand luxe. Cela m'a donné envie d'essayer.
Maso ne sait jamais ce que je vais faire lors d'une seance. Je parle le moins possible. J'adopte des gestes très lents et je porte toujours des gants blancs comme une japonaise. je commande par gestes le plus souvent. Et Maso comprend de suite. Ce rituel, c'est un rituel pour faire peur. et il marche très bien.
Maso est nu. Je lui attache les mains dans le dos. Il se met à genoux. J'attache ses chevilles au sol. Nous avons bricolé notre pièce de torture dans la maison, avec tout ce qu'il faut, anneaux acier, poulies, barres, croix,, et autres. C'est très bien pour s'amuser en sécurité. J'attache ses mains dans le dos à une corde qui passe par une poulie au plafond, puis je l'oblige à se baisser en avant. Il se retrouve dans la position "Spirit of Ecstasy". Superbe! je lui donne un mors à macher que j'attache aussi à ses mains dans le dos. Il est complètement à ma merci. je lui caresse doucement les fesses. il bande dur. Je ne le sodomise jamais. Pas même un doigt pour lui masser la prostate. Non, son plaisir c'est la souffrance.
Je lui montre une latte en bois, une belle latte de sommier. Les coups commencent. Je le sens se cabrer mais il ne peut fuir. Il oscille dans cette position. Cela donne la mesure. Les coups sont de plus en plus forts. Précision. Ne pas le marquer, juste le rougir. Il bande encore plus fort. Son gland est bien rouge et gonflé.
Je passe par devant, lui enlève le mors. C'est la séance des giffles. C'est redoutable une giffle bien faite. Il faut bien relacher le bras, laisser la main prendre beaucoup de vitesse et presque s'arreter à l'impact. Cela claque comme un fouet. L'onde lui monte au cerveau. Rien n'est pire qu'une seance de gifles. Rien n'est plus humiliant. Il bande encore plus, prêt à éjaculer. Du geste je lui dit : NON ! Et cela marche, son désir est coupé net.
Je sors les florentines. il faut faire des huit pour eviter les mains, comme dans le symbole de l'infini. Très vite la douleur devient insuportable. Il hurle. J'arrête. Quelques bonnes baffes. Et du geste je lui indique qu'il doit hurler en silence, garder ses cris à l'intérieur. Et de nouveau les florentines. Il se tétanise, il tremble. J'ai plaisir à le voir se tordre de douleur.
Il est au bord de l'évanouissement, ce moment ou le cerveau disjoncte, seule façon pour lui de supporter la douleur. je le laisse récupérer. De toute façon c'est assez pour ce soir. Je le laisse seul dans le noir.
Lorsque je reviens, il est bien, détendu, incroyablement paisible. Je glisse ma main vers son entrejambe. Son pénis redevenu mou se met aussitot à gonfler et devenir très dur. Je le caresse très doucement. Lorsque je sens qu'il va exploser, je pince le gland. cela coupe tout. Et je recommence. Un veritable supplice que ces orgasmes qui montent et ne peuvent se libérer. Il me supplie des yeux. Je ne suis pas préssée. Enfin, je le laisse aller au bout. Je recupère sa semence dans mes gants blancs et il doit tout lecher; Je le laisse encore récuiperer dans le noir. Je vais prendre un verre en attendant.
Lorsque je le libère enfin, il est tout tremblant mais je sens qu'il baigne dans une immense paix intérieure. Je le laisse venir se lover à mes pieds pendant que je finis mon verre. Il les embrasse pour me remercier.
Finalement "Spirit of Ecstasy" est une position qui me plait beaucoup. Je cherche déjà des idées pour la prochaine séance. Bon je file, j'ai un rendez vous avec mon amant. Puis retour à la maison où Maso m'aura surement préparé un bon repas qu'il me servira nu, debout derrière moi. Pas de baffes ou de fouet en dehors des seances, il est parfaitement dressé et très heureux de son sort. Il aime me servir et m'obéir.
902 vues
5 aime
Je suis la propriétaire de deux soumis 2440 et 2118 , Domina sadique, je ne suis pas adepte du virtuel, Cependant , très joueuse, quand j'ai été contactée par soumis 8968, j'ai accepté de le prendre dans mon cheptel en virtuel cette servitude vas durer 11 jours 😜
Je vais partager avec vous son journal de soumis ( sans aucune retouche)
Bonne lecture
jour 7
Maitresse a été plus que comprehensive concernant mon coup de deprime du au boulot
on a echangé longuement a ce sujet avant que je comprenne qu'elle a un un gros problème de santé
j'espere surtout que c'est pas le crabe !
ce soir je pense que l'on etait carrement dans l'experimental pour tout les deux: lavement coca et savon liquide !
ca ete un carnage pour le sol de la sdb, meme bouché les chiottes avec le sopalin ....
demain c'est sans sous vetements et elle veut que je lui raconte les esssais de pantalons,
Je me demande si elle ne lit pas mon journal en cachette.
En tous cas elle prends bien soin de son jouet, comme elle aime m'appeler, je sens qu'elle ne veut pas le casser et en profiter longtemps.
Ce matin motivation pour le boulot a moins 300% le seul truc qui fait que je vais y aller(très en retard) c'est que je serai cul nul dans mon jean pour ma Maîtresse et que j'espère plusieurs inspections.
J'ai quand même eu le droit a 2
Inspections mais Maîtresse devait travailler aujourd'hui, dont une en retard qui me vaudra une punition (au gros sel ?)
Je dois faire visiter en cage et plug et prévenir d'arrivée et depart
Maîtresse veut que je commande un plug plus gros, elle est d'
accord sur un modèle
500 vues
6 aime
Lina numéro 1
Enfant j'ai eu un chien qui s'appelait Lina, une chienne, une jolie petite caniche naine et noire. Bien plus tard, je suis à la plage avec une nouvelle chienne que j'ai décidé d'appeler aussi Lina. Cela m'aide à la considérer comme une canidée. En effet la plage est interdite aux chiens, pourtant Lina est là, à côté de mon siège couchée sur le côté en rond, comme je lui ai appris et comme je lui ai demandé de le faire sur la plage, lorsqu'il y a du monde elle peut s'étendre sur le ventre ou le dos.
C'est le matin à Cannes sur les plages du midi, l'eau est claire et calme, il n'y a pas de vagues, il fait chaud. J'ai mis Lina à l'ombre d'un parasol qu'elle m'a aidé à apporter de la voiture. Elle installe: parasols, serviettes, mon siège, mon sac, les vêtements que je viens d'enlever pour piquer une tête. Quand elle a fini elle m'attend au soleil en position "kneel" assise à genoux sur le sable, mais les paumes de mains sur les genoux. Elle me surveille et garde les affaires. Si je ne lui fais pas signe de me rejoindre dans l'eau, ce qu'elle adore, elle attend que je revienne.
Je lui susurre en prenant place dans mon fauteuil : "à ta place" accompagné d'un regard discret qui lui montre sa serviette. Il m'arrive de lui dire "ici" pour la mettre à ma droite dans le sable au soleil quand je ne l'a trouve pas assez bronzée. Elle porte un bas de maillot de bain, un string noir en lycra et des petits anneaux aux seins. Un fin ruban de lycra noir autour de son cou.
Elle doit le maintenir en place cette année car je souhaite une bande blanche sur son cou à l'emplacement de son collier de chien, elle peut aussi se transformer en: esclave, soumise, servante, mobilier ou vanille et cela sur: demande, geste, regard, claquement de doigt, habitude, rituel ou consignes pérennes. Du doigt je peux lui montrer la surface côté de mes pieds ou tapoter sur ma cuisse pour qu'elle y dépose sa tête. Elle sait que nous sommes en public et que je souhaite d'une manière générale qu'elle ait un comportement vanille.
Elle ne porte toute l'année que des robes de plage sans bretelles en tissus extensibles, éventuellement un gilet et dehors un manteau doudoune resserré à la taille. Tous ces gestes de domination envers Lina et demandes sont exécutés dans une discrétion totale. Les voisins nous regardent du coin de l'œil sans manifester d'hostilité. Je m'attache à ce que Lina n'ai que le présent à vivre. Elle n'a de raison de vivre que de veiller à mon bien-être et mes besoins. Elle me suit comme un chien et n'a d'yeux que pour mon moindre besoin, qui ne s'exprime que par ma communication non verbale. Cela demande beaucoup d'observation, en effet assouvir le désir du dominant est simple, il suffit d'ecouter.
Elle me regarde très souvent et détourne les yeux quand je la regarde… C'est un confort pour moi immense, c'est le résultats d'un travail de 7 ans non pas de dressage, mais de mise en condition ou de mise en situation. En équitation on ne "dresse" pas un cheval, on le met. C'est l'apanage des grands mammifères, je pense, comme les orques, les dauphins, les chevaux ou les soumis. Lina est si bien "mise", qu'elle force mon amour, j'ai peur de l'aimer. J'en suis à être effrayé qu'elle me quitte. Je l'ai éduquée à coups de fouets, cordes, pinces, poids, anneaux, et autres oiseaux de mauvaise augure… Elle nage, elle court, elle grimpe, elle saute, elle me fait la lecture au lit, je suis légèrement dyslexique, j'en ai fait mon héroïne, c'est ma cam à moi, ma drogue, elle m'enivre… Je me sens faible, alors que je dois être son mentor son maître. J'ai peur qu'elle le ressente et trouve nul de m'obéir, de me servir, de m'observer, de disparaître dans mon ombre, d'avoir mal, d'avoir un mâle pour son bien.
Je me ressaisi, la réveille… Elle dort par fractions, comme en voile ou sur un voilier en transatlantique. Elle tient des quarts. Elle dort par petits bouts comme l'impose toute veille. Elle doit rester à mon service humain et sexuel. Son rôle, me veiller. Elle me regarde, m'observe afin de devancer mes souhaits exprimes par mes attitudes ou mes comportements. Quand elle ne devine pas ce que je veux, elle me lèche, me caresse avec ses joues ou son front, elle se love. On est toujours sur la plage. Elle me sent bouger, elle se sort de sa torpeur. Elle m'observe. Je cherche dans mon sac un objet gonflable qui ressemble à un mini ou mico zodiac avec un drapeau qui signale un plongeur aux bateaux à moteur. Ce mini zodiac de 50 centimètres. Permet de transporter un tas d'objet et permet de s'y reposer et de retrouver son souffle après une apnée en profondeur. Ce tout petit bateau permet de tirer une personne lorsqu'elle peut plus nager. Surtout elle nous balise si nous sommes à la limite de la zone de baignade qui va va jusqu'à 300m des côtes ou si nous allons nager dans les calanques de l'Estérel ou ailleurs dans le monde. Lina le trouve pour moi et le gonfle.
Elle se retrouve hyper ventilée avec la tête qui tourne, j'adore la voire avec la tête qui tourne, je lui interdis l'alcool. Je veux qu'elle soit toujours en possession de ses moyens pour pouvoir utiliser son safe word qui est "bouillabaise". Je lui fais enfin un signe de se mettre à l'eau et la commence un rituel qui a pris plusieurs étés d'apprentissage. Elle se mouille, plonge dans la vague où s'immerge totalement dans la mer calme. L'eau à la taille elle retire son string et le place comme "chouchou" dans ses cheveux en me regardant. J'aime voir ses anneaux de sein vibrer sous les gestes des ses mains s'affairant près de sa nuque. Une fois sa queue de cheval terminé je souhaite pouvoir observer l'instant d'un flash sa nudité totale, elle doit se projeter la tête dans l'eau vers le large. Si elle le fait en arrière je vois son sexe glabre que je connais par cœur, je vois parfois un de ses sept anneaux de sexe accrocher un rayon de soleil. Elle doit enfin se retourner vers moi de l'eau jusqu'au cou et m'attendre...
563 vues
9 aime
Pour sa milice privée сталин, le général Valéri se fout des titres et médailles. Ce qu'il veut c'est de l'efficacité sur le terrain. Il n'a aucune idée préconçue pour recruter. Il juge sur les compétences réelles et rien que cela. C'est ainsi qu'il a selectionné Hans, un combattant hors pair, né femme et qui voulait etre depuis toujours un homme et un soldat. Un F t M qui en a bavé jusqu'à ce que le général Valéri l'incoropore dans sa redoutable milice сталин.
Depuis qu'il sait que son gros clito en erection est plus gros que le plus gros des penis, il ne veut plus faire de phalloplastie. 90% d'un clito n'est pas visible, un peu comme un iceberg, sauf que là c'est chaud et très innervé. Son engin lui suffit pour prendre son pied avec Line, sa superbe épouse, complètement folle de lui. Un homme avec un vagin et un gros clito. Hans se dit que les Dieux se sont moqués de lui. Depuis qu'il a rencontré Line, qu'il bosse pour Valeri, il est très heureux. Alors, il trinque parfois à la santé des Dieux pour cette blague.
Le plan du Président Vladimir est d'encercler l'Europe, pas moins. Personne ne sest méfié. Il a commencé par la Syrie, puis la Lybie, l'Égypte, l'Algérie, la Tunisie, le Mali, .....et cela continue. Pendant que l'attention de l'Europe est tournée vers la prétendue offensive Zelenski avec du matériel occidental, lui avance ses pions en Afrique et ailleurs. Pendant que les contribuables américains et occidentaux se saignent pour une victoire qui n'arrivera jamais, que les corrompus ukrainiens passent des vacances de luxe dans les îles avec leurs impôts, Vladimir cache bien son jeu. En fait comme tous les menteurs, il sait que la meilleure façon de dissimuler c'est de dire la vérité. Il peut être certain d'une chose, les occidentaux croiront qu'il ment.
Le général Tchiani vient de commencer son coup d'état au Niger. C'est un roublard. D'abord rassurer américains et Français qui ont des bases militaires dans ce pays. L'expulsion viendra après. Assoir son pouvoir, neutraliser tous les opposants. Il agit de façon calme.
Hans et Line sont depuis des mois déjà à Niamey. Lui se fait passer pour un reporter photographe et line pour une commerciale d'un grand groupe pharmaceutique. Ils donnent très bien le change.
Le réseau de la milice de Valeri au Niger à son QG dans l'arrière salle d'un café sombre. Ce lieu est réservé aux pratiques vaudou, aux messes noires, à l'occultisme étrange et au paranormal. Aucun occidental n'ose s'aventurer dans cet univers glauque qui pue le sexe, la drogue, l'hyperviolence.
Tout cela n'est qu'une diversion pour tromper les services ennemis. Tout se passe au denier étage de l'hôtel de luxe ou Hans et Line ont loué leur chambre, avec un beau balcon. Une arme nouvelle absolument terrifiante mise au point par le professeur Barbokov. Un accélérateur électromagnétique portable. Des aiguilles d'uranium propulsees à plus de 3000km/h. Une précision incroyable sur très longue distance. Pour détourner l'attention des drones, line prend des bains de soleil sur le balcon, sagement, en bonne épouse, en bikini. Des agents, des fonctionnaires d'ambassade, des militaires, des opposants à Tchiani sont abattus en pleine rue.
Le faux réseau des messes noires fait croire à des tirs depuis des drones. Les américains sont sur les nerfs. Aucune piste. Toutes les victimes ont le cerveau explosé avec juste un petit trou dans le crane. Une arme nouvelle qu'aucun casque ou gilet pare-balles ne peut stopper.
Il est temps de démonter et de rentrer via l'Algérie et la Russsie. Line veut déguster encore une fois le beau clito de son homme. Elle adore lui donner du plaisir en le suceant. Il est si doux. Hans se laisse faire. Il appuie sur la nuque de Line. Il aime jouer au macho.
Hans passe un gros sexe réaliste en silicone avec harnais. Il retourne Line qui roucoule de plaisir. Il la sodomise d'un coup. Il prend soin de lui administrer une terrible fessée. Line supplie. Elle a mal. Ses fesses sont rouges et brulantes. Hans ejacule par petites saccades. Se comporter en macho le fait toujours jouir.
827 vues
6 aime
-Valentina, une mission pour toi, toute seule, en Israël. Tu vas te teindre en blonde et porter ces lentilles. Voici aussi de faux tatouages à coller sur tes bras. Les ricains voudront te retrouver et te jeter nue dans la mer rouge infestée de requins, alors tu sais ce que tu dois faire.
-De quoi s'agit il, mon général et tendre époux?
Valentina écarte ses superbes jambes musclées et regarde Valeri droit dans les yeux, pour lui faire comprendre que sa chatte anale est en feu et qu'elle aimerait un gros câlin avant.
- c'est bien beau d'avoir un harem, il faut pouvoir l'assumer.
Valeri regarde sa superbe deuxième épouse mais il ne peut vraiment plus ce matin. Roxana l'a completement vidé cette nuit. La concurrence excite beaucoup la première épouse.
Pour Valeri, des vacances, ce serait quelques jours sans ses femmes, à chasser seul l'ours de Sibérie.
-Aller, file Valentina, tu trouveras le dossier de ta mission dans l'avion.
Déçue, la deuxième épouse claque un beau salut militaire. Diable qu'elle est belle!
Son job est de neutraliser un agent US, particulièrement actif, qui essaie de pousser Israël à s'investir plus dans le conflit en Ukraine. Pour l'instant bibi garde bien son collier et évite de s'enfoncer dans ce bourbier.
Dans l'avion , Valentina sirote un Jus de carottes glacé. L'agent qu'elle doit neutraliser s'appelle Mike, un homo qui fréquente le soir les clubs de Tel Aviv. C'est cette faille qu elle doit exploiter. Il y va seul, sans garde du corps.
Bien arrivée, elle passe les contrôles grâce aux liens de la milice de Valeri avec le mossad. Ce dernier voit d'un très mauvais œil l'idée de se faire piéger comme les occidentaux qui ont saute à pieds joints dans une guerre hybride longue contre la Russie. Tout indique qu'ils vont la perdre.
Valentina reçoit donc l'aide de Nathan, un agent homo plus discret qu'une tombe. Mike est alpague le soir même par Valentina qui est très directe. Elle s'invite à boire un verre à côté de lui et commence à se caresser le penis sous sa jupe courte. Mike ne peut résister. Il envoie la main.
-Dans les toilettes mon chou. Viens.
Mike adore se taper des trans, c'est dans son dossier. Mais ce soir la, il ne se tapera personne. Vertèbres cervicales brisées. Du travail de pro. Le moins d'indices possible
Nathan offre un verre à Valentina puis la quite très vite pour filer vers une autre mission. Ils ont toutefois le temps de trinquer au collier de bibi avec de se quitter.
Dans l'avion du retour Valentina n'en peux plus. Elle bande. C'est fou comme elle adore son job dans la milice privé de son epoux. Ce dernier lui a promis une surprise à son retour.
Effectivement, il est la, sur l'aéroport de Sotchi ou se trouve désormais le QG de la milice.
- viens dit il, un hélico nous attend.
Ils partent vers le caucase enneigé. C'est un paysage d'une beauté à couper le souffle. Lhelico les dépose sur un 5000m couvert de neige fraîche. Un beau soleil. Deux surfs. L'hélico repart. Ils sont seuls au monde. Valeri retourne sa deuxième épouse, lui baisse sa petite culotte trempée et il la sodomise d'un coup. Valentina gicle ausstot un superbe orgasme. Elle arrose la neige de son sperme. Elle n'en pouvait vraiment plus. Elle couvre Valeri de baisers pour le remercier.
- vite, essayons ces surfs. La neige a l'air superbe . Allons rejoindre l'hélico qui nous attends 3000m plus bas.
Valentina enfile une combinaison de ski rose. Elle est rayonnante, si belle avec son bronzage et ses lunettes de soleil. Elle adore faire du sport avec son homme. Elle se lance dans la pente et negocie avec grâce les premières courbes. Cela l'excite. Elle sent de nouveau l'envie de faire l'amour lui chauffer les reins.
La concurrence est rude dans le harem de Valeri. Roxana la première épouse , une perse de très haute noblesse est inégalable sur le plan du sexe. Valentina sait cela depuis le début. Peu lui importe, c'est son jour avec Valeri et elle aussi a décidé de le vider complètement. Les épouses d'abord. Les concubines après.
743 vues
6 aime
Bonjour Madame,
Je m’appelle David, j’ai 49 ans. Ma belle-soeur a fait des recherches sur internet et a trouvé votre annonce sur les séances que vous dispensez dans votre institut. Elle a dit que c’était exactement ce qu’il fallait pour s’occuper de mon cas et m’a ordonné de prendre contact avec vous au plus vite en joignant une lettre introductive qu’elle a elle-même rédigée, ci-après.
——
Madame,
Je vous écris car j’ai récemment découvert avec effroi que mon beau-frère est un pervers des plus ignobles. Lors d’un séjour chez ma soeur j’ai découvert une petite caméra en train de filmer alors que j’étais assise aux toilettes toute nue pendant que l’eau du bain coulait. Quel choc! J’ai compris que mon beau-frère me filmait pendant que je me soulageais - j’eus bêtement honte des bruits que j’avais faits juste avant, un comble alors que c’était ce sale pervers dégoûtant qui s’excitait à me voir faire mes besoins pour se branler sans doute… J’étais absolument furieuse et j’eus envie de tout balancer à ma soeur. Mais la peur de détruire son couple m’a retenue. J’ai fait semblant de n’avoir rien vu et j’ai continué de procéder à ma toilette… Je résolus de confondre le coupable moi-même. Il allait voir ce qu’il allait voir. Je vous avoue qu’une fois cette décision prise je ressentais un trouble profond et une forte excitation sexuelle à me laver tout en me sachant épiée et je prenais un malin plaisir à m’exhiber plus que de raison. Je dus résister à l’envie de me masturber alors que je sentais mon sexe devenir poisseux. Mais je m’égare excusez-moi.
J’avais décidé de prendre sur le fait mon beau-frère. Mais quelques mots sur lui tout d’abord. Il a connu ma grande soeur lorsqu’ils étaient tous les deux très jeunes, j’ai moi-même un temps eu du désir pour lui… Bref ils se sont mariés tôt, ont des enfants charmants et tout va bien en surface. Je sais en revanche que ma soeur n’est pas comblée sur le plan sexuel. Elle n’aime pas trop parler de ces choses-là mais je l’ai compris à demi-mots. David, mon beau-frère, a semble-t-il une queue pas assez épaisse et pour tout dire de taille ridicule, comme mon mari du reste, mais lui du moins sait s’en servir alors que mon beau-frère jouit trop vite et n’a jamais réussi à faire jouir ma soeur! La pauvre n’a jamais connu d’orgasme. Moi au moins mon mari me fait jouir avec sa queue et sa bouche. J’aime beaucoup m’asseoir sur son visage. Ma soeur est très prude et n’aime pas être léchée: vous imaginez une chose pareille, vous? c’est incroyable et de plus elle ne se masturbe pas. Mais bon je m’égare à nouveau. En tout cas tout s’est éclairé pour moi : j’ai compris que ce David est en réalité un gros cochon pervers et qu’il ne peut pas avoir de rapports normaux.
Pour le confondre sur le champ j’ai laissé traîner par terre quelques-unes de mes culottes bien sales. J’étais sûre qu’il ne pourrait résister. Lorsque je suis remontée, j’ai fait très attention de ne rien laisser paraître mas j’ai vu son regard sur moi et cela m’a fait voir rouge. Je l’aurais giflé. J’ai attendu un moment puis je suis redescendue discrètement en direction de la salle de bains. Par chance toute la petite famille était partie faire des courses. Je me suis approchée de la porte. J’ai senti le désir inonder ma culotte. Le souffle court, le coeur battant, j’ai ouvert brutalement la porte et j’ai vu.
Mon beau-frère David, 49 ans, était à genoux par terre le pantalon baissé, je voyais ses fesses blanches. Cela aurait pu être comique. D’une main il tenait à ses narines l’une de mes culottes, la plus sale je crois bien, et de l’autre il tripotait sa petite queue dressée! Je me souviendrai toujours de la stupeur sur son visage qui s’est littéralement décomposé lorsqu’il a réalisé ce qu’il se passait. J’ai poussé un cri de colère, je ne sais plus exactement ce que j’ai dit mais sans doute « Mais tu es un gros cochon dégueulasse! » Il a bafouillé quelque chose d’inintelligible. « Tu te branles en reniflant mes culottes sales, mais quelle horreur, comme ça là tout nu. C’est dégueu si Manue savait ça.. Tu fais pareil avec ses culottes? » Acquiescement du gros porc, rouge pivoine.. qui ne sait plus quoi faire, le zizi et le cul à l’air avec ma culotte toujours dans la main. Tout cela m’a donné une brusque envie de rire et j’ai vu combien David en était humilié. « Tu aimes les culottes sales, vicieux? » « O..oui, oh oh.. o » « Tais-toi je vais tout lui dire, c’est pour ça que tu la baises pas comme il faut, hein? Tu ne sais pas faire autre chose que sentir des odeurs de cul et te branler avec? Hein? Regarde-moi t’es qu’un puceau, une lopette en fait! Ah t’aimerais bien qu’on te parle comme ça, gros porc » « Ne te cache pas, montre-moi ça.. Oui ta petite quéquette, enlève tes mains.. » « Et bien mon pauvre je comprends.. tu bandes là? ellle doit pas s’amuser c’est normal qu’elle n’ait jamais joui avec toi. Oui elle me l’a dit! » Il s’est mis à gémir et à m’implorer de ne rien dire, jurant qu’il ferait tout ce que je voudrais, etc. Je n’écoutais pas j’étais furieuse. J’ai asséné le coup de grâce: « J’ai trouvé ta caméra tout à l’heure, tu veux me faire pitié? tu m’as filmé en train de… oh ça me dégoûte, ça t’excite de voir les filles pisser et chier devant toi? Réponds! » « Oui j’a honte j’aime ça.. Maîtresse » « Maîtresse? » le mot lui avait sans doute échappé car il est devenu encore plus rouge et embarrassé. « Maîtresse… ah c’est donc ça, tu es un petit soumis, une petite lopette. Tu sais quoi finalement ça ne m’étonne pas. Tout s’explique maintenant. »
Là je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes et de tendre son cul et le rouge aux joues tout en le traitant de tous les noms qui me passaient par la tête je lui ai donné une fessée magistrale, j’ai même donné quelques petites tapes sur ses couilles qui pendaient. L’entendre couiner m’a donné un drôle de choc et j’ai senti mon sexe couler.. J’ai réussi à reprendre mes esprits en lui faisant jurer de faire tout ce que je lui ordonnerai de faire à commencer par ne plus se masturber sans mon autorisation. J’ai vu le regard émerveillé, comme en extase, qu’il a levé vers moi, comme si quelque chose qu’il avait si longtemps attendu, imaginé dans sa tête, se déroulait enfin pour de vrai…
Je l’ai laissé mariner quelque temps car je ne voyais pas que faire: en parler à ma soeur, je ne voyais pas comment je pouvais y parvenir dans l’immédiat et puis nous allions partir sous peu et nous habitons si loin, en Australie à l’autre bout de la Terre en somme… Je devais trouver un moyen pour que ce pervers soit pris en main. Sous mes ordres il m’a adressé par mail des confessions complètes. J’ai été effarée de ce que j’ai lui. J’ai eu confirmation du désert sexuel entre ma soeur et lui et j’ai découvert qu’en fait ma soeur n’a plus envie de faire l’amour avec lui, c’est dire…leur dernier rapport remonte à trois quatre ans maintenant!
Ses envies perverses remontent apparemment à l’enfance. Tout petit, il imaginait déjà toutes sortes de choses dégoûtantes, en se masturbant, en rêvant de femmes plus âgées et de leurs petites filles qui le domineraient. Je crois que mon beau-frère est sévèrement perturbé sexuellement, il est resté dans sa tête un petit garçon apeuré par les femmes, très timide, pas du tout sûr de lui, obsédé par l’idée de donner du plaisir aux femmes mais sans jamais vraiment y arriver dans des rapports normaux. Il ne désire que des choses bizarres, perverses, avec toutes ces images de femmes dominantes, d’humiliations sales et même de féminisation. Quand on le voit on a du mal à y croire mais il se met à trembler en enfilant des petites culottes et des collants, à renifler des culottes comme je vous l’ait dit mais plus que tout ce qui le hante c’est le scato, l’uro (j’ai découvert ces termes en lisant ses confessions) et les jeux de régression: être un petit garçon qu’on punit, que l’on initie sexuellement, que l’on met en couches, que l’on nettoie, à qui l’on montre comment être un bon nettoyeur de fesses et de sexe. Il a même envie d’apprendre à sucer de vraies queues et lécher des culs de mâles (soumis ou non) pour peu que ce soit Maîtresse qui le lui demande… C’est ignoble et pitoyable en même temps.
Bref j’ai cherché et j’ai trouvé votre annonce. Je lui ai montré vos photos, vos petits textes de scénario. Nous étions en visio et il était tout nu dans la tenue que j’exige qu’il porte dès que c’est possible: un ruban rose noué autour de son zizi et de ses couilles et un anneau en caoutchouc lourd sur ses bourses pour qu’elles pendent bien (nous avons joint une photo à ce courrier). Il a l’air d’un petit cochon c’est parfait. J’ai vu que tout lui plaisait chez vous et notamment cette illustration de Namio Hurukawa qu’il affectionne beaucoup où l’on voit ces femmes qui se soulagent dans la bouche de leurs esclaves ou encore celle du petit garçon qui enfouit sa tête au creux de l’énorme poitrine de son abusive nounou… C’est tout à fait ça!
Je lui ai donc demandé de vous contacter pour des séances d’éducation sexuelle pour puceau, d’approfondissement de ses envies de soumission. Mon beau-frère doit assumer ce qu’il est: une petite lopette, un puceau attardé sexuellement. Faites-en votre jouet docile. Je lui ai bien sûr interdit de jouir sans permission, il sait se retenir: Il en est à un peu plus de trois semaines je crois, un record. Je me charge de mon côté d’essayer de sensibiliser ma soeur petit à petit pour qu’elle commence à trouver d’autres moyens de se donner du plaisir: jouets érotiques peut-être, ou bien amants bien montés, nous verrons bien. Comme cela, avec un peu de chance et votre aide lorsqu’elle se sera un peu libérée et aura connu l’orgasme avec un beau mâle à grosse queue elle trouvera tout naturellement chez elle un mari cocu et soumis. Moi je sais en tout cas ce que j’en ferai: un lécheur docile qui viendrait me nettoyer le sexe et le cul lorsqu’ils sont sales..
N’hésitez pas à vous servir de David comme intermédiaire pour me faire parvenir des messages et à l’humilier en lui faisant raconter tout cela, ainsi qu’en utilisant les informations que je vous communique. C’est le but. Je veux qu’il soit bien puni et humilié. Examinez-le bien, un check-up sexuel médical complet ne peut lui faire que le plus grand bien. En vous remerciant par avance et en vous souhaitant du courage,
Nathalie
——
Voilà Madame, je complète ce déjà long courrier par quelques éléments. J’ai particulièrement aimé vos deux idées de la doctoresse urologue qui me contraindrait à toutes sortes d’examens humiliants et de la belle-mère qui me surprendrait en train de fouiller dans son linge sale, vous devez vous en douter…
Comme Maîtresse Nathalie vous l’a expliqué, mes envies de soumission remontent à l’enfance. Dès le primaire je m’imaginais être le jouet docile et esclave de cousines plus âgées qui me “torturaient”. J’ai même à cette époque partager ces envies avec un autre petit garçon. Nous nous racontions des histoires et nous nous frottions à travers nos slips. Rien de plus. Je me souviens aussi du trouble que je ressentais lorsque la pédiatre soulevait mon slip et palpait mon petit zizi. Très tôt j’ai découvert les livres pornographiques ainsi que les livres parlant de sexologie. J’étais toujours attiré par les déviances et perversions, elles m’excitaient. Au collège quand j’ai découvert comment masturber mon zizi, cette manie ne m’a plus quitté et je développais des rêves incluant mes professeurs (femmes), l’infirmière de l’école, des amies de mes parents, les filles de la classe (y compris les plus moches). Je les imaginais se moquant de moi et m’obligeant à faire des choses comme les lécher, m’exhiber, elles riaient de me voir excité à faire des choses dégoûtantes. Les professeurs devenaient mes initiatrices perverses, m’enduisant le corps de substance gluante, jouant avec ma quéquette, caressant ma raie, m’attachant et saucissonnant mon zizi, me livrant aux regards de leurs filles, petites pestes qui en profitaient pour suggérer toutes sortes de supplices et d’humiliations qui étaient forcément acceptées avec enthousiasme par leurs mamans.
Mes expériences. Seul j’aime depuis ce temps-là m’obliger à l’abstinence régulièrement pour sentir mon jus s’accumuler et le désir devenir incontrôlable. J’aime mettre des culottes féminines, ligoter mon petit sexe, porter un lourd cadenas autour des testicules et les sentir ainsi ballotter à tout va. J’aime me mettre des doigts dans l’anus, les sentir et les lécher ensuite. J’aime me prendre avec des petits objets, plug, gode. Je l’ai fait même si j’ai depuis qq mois des hémorroïdes qui ressortent quand je pousse. C’est dégoûtant mais je n’ose pas aller consulter et montrer mon anus, j’aurais peur de sentir mon zizi grossir. J’aime me souiller dans des couches et jouer avec mon pipi et mon caca. J’aime avoir la raie et les couilles sans poil, pas plus car je veux rester discret. C’est très excitant. J’aime me donner des petites tapes avec une spatule en bois sur les testicules et le zizi, ou bien avec une planchette sur les fesses. J’aime un peu la douleur, mais ne veux pas de marques. J’aime également avoir les testicules attachées et devoir tirer dessus et jouir ainsi avec le bout du sexe tiré d’un côté et les couilles de l’autre. J’aime les pinces à linge sur le périnée ou sur les testicules.
Avec d’autres personnes. Très peu d’expériences de sexualité normale: peu de partenaires, jamais très satisfaisant pour elles, toujours des filles, sauf une fois j’ai masturbé pas jusqu’au bout mon cousin homo (j’avais 16 ans il en avait 25) lui m’a sucé jusqu’au bout. Je jouis trop vite avec les filles, j’aime les lécher mais par exemple ma femme n’aime pas ça. Je ne me suis quasiment jamais fait sucé par une fille. J’ai voulu vivre mes expériences de soumission dès que j’en ai eu la possibilité, en gros vers 21-22 ans. J’ai vu deux fois une dominatrice: gode à sucer, nu, sodomie avec son gode, uro (elle m’a fait pipi dessus, c’était le meilleur moment), tape avec baguette sur les testicules (ceci m’a fait bander alors que mon zizi restait mou, un peu paralysé par l’émotion), la deuxième fois j’avais un plug dans mon anus qu’elle m’a donné à nettoyer comme une sucette (j’ai aimé). Mais il a manqué une connexion cérébrale avec ces personnes et des contacts sexuels. C’est nécessaire pour moi de pouvoir lécher, sucer les fesses, les culs et les chattes, sentir leurs odeurs. Trois prostituées: une noire qui m’a dit que je n’étais pas vaillant car j’ai joui tout de suite après qqs va-et-vient dans sa chatte, une grosse moche aux seins énormes que j’avais repérée pour cela (rien de bien excitant finalement) et une autre noire qui m’a laissé lui lécher la chatte tout en tripotant mon zizi: là c’était une de mes expériences les plus agréables car j’avais le nez dans ses fesses, je sentais l’odeur de son anus sale et je respirais respirais ses odeurs tout en léchant. J’ai joui très vite, c’était divin. La fille a eu l’air amusé. C’était il y a une dizaine ou quinzaine d’années maintenant. Plus près de nous, je suis allé voir deux fois une dominatrice gentille qui aime être léchée. J’ai pu faire deux séances régressives avec elle: elle me traitait comme une petite gamine sale, disant que mon zizi était ridicule, tout petit, ne servant à rien, elle m’a donné son anus à lécher, préparé des culottes sales à renifler pour moi, m’a fait mettre en fille. C’était très fort.
J'aime les odeurs de fesses, odeurs de cul, odeurs de pipi. J’aime les culottes sales, je farfouille tout le temps dans le bac à linge sale chez moi ou chez des amis pour dénicher une culotte odorante avec laquelle je me masturbe le nez collé aux endroits les plus odorants surtout celui de l’anus si possible, tremblant quand je trouve une culotte encore un peu humide de pipi ou de sécrétion. J’aime frotter mon zizi contre des bottes, des chaussures. J’aime aussi les odeurs de pied, de chaussettes sales, mais moins que celles des orifices. Je fantasme donc sur être le jouet d’une femme, d'un couple en étant obligé à faire des choses avec l’autre soumis ou soumise. Je m’imagine en soubrette, servant à table, donnant du plaisir avec ma bouche, sentant pour la première fois un sexe d’homme durcir.
Comme ma belle-soeur vous l'a dit, je n'ai plus de rapports sexuels avec ma femme depuis trois quatre ans, date à laquelle pour la dernière fois mon zizi ridicule a pu être en contact avec un sexe féminin. Je voudrais s’il vous plaît être pris en main pour des séances où je serai enfin traité comme le petit puceau que je suis avec ma petite queue de lopette, apprendre à donner du plaisir avec ma bouche, nettoyer, refaire mon éducation sexuelle depuis le début. Je rêve qu’une femme telle que vous me laisse faire entrer mon petit sexe dans son énorme chatte pour me montrer qu’elle ne sent rien en riant et me la faire sortir bien vite avant que je n’éjacule pour que je puisse à la place la lécher longuement. Ou bien au contraire me faire éjaculer bien vite dans son sexe, les couilles attachées, le cul plein, et m’obliger ensuite à boire le jus qui se sera répandu très vite dans le préservatif.
Pour préserver l'anonymat les prénoms ont été changés
2.5000 vues
0 aime
Être modèle
Mots d’ailes
Maux d’Elle
Donner son accord d’un sourire malicieux
Pour pouvoir y jeter un regard curieux
Et recevoir une aquarelle
Un coup violent
Bouleversant
De se voir dans un autre regard
Quand l’artiste fait usage de son Don
M’imaginer sans fard
Dans un ultime abandon
Et me laisser sans voix
Du bout des doigts
Me dessiner
Me sentir sublimée
Erotisée
Evaporée
Sous les pastels
Moi en plus belle
Obscène sensuelle
Légère et gracieuse
Aérienne plantureuse
Nature vaporeuse
Une palette d’émotions
Volent en frissons
Aquarelle d'AristophaneArt
Modèle Gitane
379 vues
15 aime
Enfin ! Mademoiselle Akira vient de reperer bigjhon, le policier privé qui l'a dépucelée, lors d'un controle appuyé. Il est au café, à l'étage, dans ce gigantesque aeroport. Le vol pour Miami est pour dans une heure. elle fait sagement la queue, en avance comme toujours, cuisse serrées et toujours aussi stricte et conformiste dans ses tenues. Pourtant elle bout à l'intérieur. Bigjhon lui a procuré son premier orgasme et depuis il feint l'ignorer! Elle quite la queue et monte vers le café. Bigjhon est tout rouge. Elle se plante devant lui et ne dit rien. Bigjhon ne peut soutenir son regard franc, droit dans ses yeux à lui. Il baisse la tête.
Aussitôt mademoiselle Akira se sent prise d'une audace qu'elle ne soupçonnait pas.
-Alors bigjhon, on offre pas un café à sa femme.
Big jhon est encore plus rouge. Il suffoque. Pourtant il se lève et va chercher un café. Akira s'assoit, déplie les jambes et écarte les cuisses. Elle sent toute la supériorité de son petit clito sur le gros sexe de bigjhon qu'elle n'a encore jamais vu. ce dernier s'assoit et n'ose plus la regarder.
-Tu sais, il va falloir que tu m'épouses maintenant. Tu n'as pas le choix. Tu m'a dépucellée la première fois avec ton gant en latex et ensuite tu m'as fait jouir.
-Excusez moi madame, je n'ai fait que mon travail la première fois. Ensuite oui, je l'avoue, j'ai eu besoin de vous toucher, de vous caresser.
-c'est normal, je suis ta femme.
Bigjhon ne comprend rien à ce qui lui arrive pourtant il sent qu'Akira a raison; il est complètement fou d'elle et en gros manque. Moche comme il est, qu'une femme aussi jolie puisse s'interresser à lui,. il croit rêver!
Trois mois plus tard, ils sont enfin mariés et bigjhon est venu habiter chez sa femme avec ses chats. Ils font sans arret l'amour. Bien sur bigjhon est trop massif et donc c'est Akira qui le monte et il adore cela, lui laisser le contrôle de l'acte, le controle de sa jouissance.
Et puis Akira a sorti des cordes japonaises et a voulu le ligotter. Au début il croyait que c'etait une lubie, un jeu. Pas du tout. les seances ont duré de plus en plus longtemps et il ne pouvait absolument plus bouger. Il a commencé à obeir totalement à son épouse experte en cordes et noeuds.
Le bonheur total est arrivé lorsqu'elle a sorti les fines canes de bambou. des douleurs incroyables sur ses grosses fesses et son dos. Et puis le plaisir de souffrir. recevoir la cane le fait toujours bander très fort.
Un jour, Maitresse Akira, c'est ainsi qu'il doit l'appeler désormais, lui a apporté son collier et son pannier de gros chien.. Il a du filer tout droit dans son pannier, tout nu, fier d'obeir en tout et pour tout. Un bon labrador docile et très heureux de porter son collier avec un gros anneau acier. Maitresse Akira l'a tatoué de son nom, comme un bon animal de compagnie. De cela aussi il est très heureux. désormais elle l'appele Bibi, vous savez, comme Benjamin, le premier ministre israelien.
-Tu sais Bibi, tu n'as pas interet à regarder les autres femelles, sans quoi je te ferais castrer. Après tout, tu sais très bien me faire jouir avec des gants de latex.
Bibi a baissé la tête. Tout rouge de bonheur.
1.1000 vues
4 aime
Je suis la propriétaire de deux soumis 2440 et 2118 , Domina sadique, je ne suis pas adepte du virtuel, Cependant , très joueuse, quand j'ai été contactée par soumis 8968, j'ai accepté de le prendre dans mon cheptel en virtuel cette servitude vas durer 11 jours 😜
Je vais partager avec vous son journal de soumis ( sans aucune retouche)
Bonne lecture
Jour 6
Ce soir Maîtresse m'avait promis de punir ma nouille comme elle aime l'appeler, même si elle ressemble plus à une coquillette dans sa cage.
Elle n'a pas été aussi sadique qu'avec mon anus hier soir mais je pense qu'elle a pris beaucoup de plaisir avec le gode à contrôle distant, vidéo à l'appui,
moi aussi d'ailleurs, certains rythmes sont vraiment divins, il va falloir que l'on trouve un moyen de partager sur ce point car le son est très mauvais pour elle et inexistant pour moi.
Elle m'a autorisé à jouir en suivant un compte a rebours irrégulier et difficile à tenir mais tellement rabaissant
Nous avons encore eu quelques moments d'échange totalement hors soumission qui participe grandement à la construction de notre relation pas uniquement basée sur la domination
elle m'a encore dit que j'etais vraiment maso et qu'elle aimez cela, comment vous dire que cela fait vraiment ma fierté , surtout venant de sa part
demain au travail c'est plug (aie) mais j'ai le droit au sous -vêtements, avec inspections annoncées, j'appréhende un peu mais j'ai promis de faire de mon mieux
je n'ai pas trouvé le moment mais il faut absolument que je lui raconte les essais de pantalons sans sous vêtements.
Ce matin réveil en dépression totale, envie de rien, pas pris de douche, pas envie de jouer au soumis ni d'aller travailler. J'ai fini par y aller à contre cœur et surtout très en retard. J'ai laissé un mot a Maitresse lui laissant supposer mais elle ne s'est pas connectée de la journée. je ne sais pas comment elle prendra la chose, je verrais bien quand elle me contactera
8968
484 vues
5 aime
Mademoiselle Akira est la fille la plus coincée, la plus boutoneuse et pleine de tics sans parler des tocs de tout EastSide. Une fois par semaine elle doit prendre l'avion New York Boston en AR pour son job. Elle n'a jamais connu de garçons, encore moins de filles, vit seule avec ses trois chats et ne sort jamais, sauf pour aller bosser et faire quelques courses. C'est une comptable de grand talent, mais elle a peur de tout et donc vit recluse dans son univers de chiffres et les miaou de ses chats.
Un jour, lors du contrôle, avant de prendre l'avion elle fait biper le portique. C'est bien la première fois que cela lui arrive. C'est gros Jhon qui est derrière l'écran. Il distingue un truc louche. Et fait signe à mademoiselle Akira, devenue plus rouge qu'une tomate bien mûre de s'arrêter. Big Jhon approche avec un appareil. Cela bipe encore. Et toute la queue des passagers qui attend. La honte absolue pour mademoiselle Akira. Se faire remarquer. Elle regrette de ne pas avoir un couteau pour se faire hara kiri.
Big Jhon est pressé. Il ne sont que deux au contrôle ce matin. Compression de personnel. Dollars et économies. Il désigne une cabine et fouille mademoiselle Akira tétanisée. Dans sa poche, un petit ciseau. Un oubli. Big jhon regarde le ciseau. Une terroriste? Planter un ciseau dans l'aorte. Cela lui ferait une prime que de coincer une terroriste. Il appele pour se faire remplacer et continuer la fouille de mademoiselle Akira.
Comment a telle pu oublier ce petit ciseau. Elle si méticuleuse. Ah oui, elle se souvient. C'est son chat, ce matin, qui semblait malade. Et big Jhon qui lui demande de se déshabiller. Quelle honte ! En petite culotte devant un homme. Big Jhon passe des gants. Il ne va tout de même pas !!!
Si big Jhon s'en fout. Compression de personnel oblige. Il lui baisse le slip et lui enfonce un doigt dans son vagin. Quel con ce Big Jhon, mademoiselle Akira est vierge. Elle saigne un peu sur son gant de latex. L'horreur absolue. Être depucelee de la sorte. Un chat malade, un petit ciseau oublié, un viol par un policier privé. Et big jhon lui demande de se retourner et voilà qu'il lui trifouille aussi l'anus. Violée et sodomisée le même jour.
Comme toute orientale elle n'ose rien dire et surtout ne pas se plaindre. On lui confisque son ciseau. Elle monte cuisses serrées dans l'avion. Ne plus bouger jusqu à Boston.
Big Jhon a pris goût au doigtage de mademoiselle Akira, cette petite asiatique à lunettes qui porte toujours un masque pour cacher ses boutons et qui n'ose jamais rien dire. A présent il l'oblige chaque fois à se mettre nue. Il lui pelote aussi ses petits seins tres doux et fermes à la fois. Et l'impensable est arrivé un jour. Mademoiselle Akira a jouit sur les gants de latex de big Jhon devenu tout rouge lui aussi. Son premier orgasme, la, nue, debout devant son violeur, cuisses écartées, tétanisée par les vagues de plaisir.
Big jhon vit seul. Lui aussi a des chats. Depuis qu'il a fait jouir mademoiselle Akira, Il n'ose plus la contrôler. Celle ci désespère. Big jhon est moche comme un poux mais elle sent qu'elle l'aime. Ils pourraient construire une histoire, se parler. Comment lui dire. Il fuit lorsqu'elle approche des contrôles. Un homme qui a peur de ses désirs et encore plus peur d'une femme amoureuse de lui. Un fantasmeur qui passe son temps à mater du porno, à se masturber et qui manque la chance de sa vie. Akira à beau être maniaque et pleine de phobies, elle ferait une superbe épouse pour big jhon. Peur d'étouffer ? Peur de se donner entièrement à l'autre? C'est certes plus facile devant du porno.
Le temps à passé. A présent mademoiselle Akira fait New York Miami toutes les semaines. Une expertise comptable la bas. Elle se dit parfois qu'elle devrait encore oublier un petit ciseau dans sa poche.
Toujours seule avec ses boutons son masque et ses chats 🐱 🐱 🐱
1000 vues
6 aime
Jour 5
Maitresse m'a laissé des consignes pour ce soir car elle est de sortie, j'ai appliqué et rajouté un peu comme d'habitude, je lui rends compte en direct en esperant qu'elle jette un œil pendant son cocktail et se régale, qu'elle ne rentre pas trop tard pour s'occuper un peu en live de mon petit corps de soumis maso.
Je suis complètement accroc à ma Maitresse, ses absences sont un supplice pour moi.
Maîtresse est arrivée a la seconde ou je me mettais la seringue dans le cul, on est vraiment en phase. Elle a bien compris que j'en veux toujours plus et elle en a joué avec le lavement hier. Puis elle m'a fait découvrir un nouvel aspect du dentifrice mais elle était fatiguée, j'ai continué un peu seul.
Ne supportant plus la cage aujourd'hui c'est sans sous vêtements ! (de nouveau ! J'avais déjà connu cela refusé mais finalement adoré) Avec contrôle avant de partir. Et contrôle avec claques et érection continue plusieurs fois vérifié, j'ai ete puni ce midi , coups de cuillère en bois mais surtout branlette forcée pendant 30 minutes. J'ai joui tres vite et Maîtresse m'a fait tout lecher.
et encore insperter plusieurs fois dans l'apres midi, chaque fois j'ai obeis dans la minute ou j'ai vu le message mais j'ai manqué un commandement : bander toute la journée et je pense qu'elle me le faire payer cher, meme si elle sait que c'est impossible.
Elle m'a également demandé de me procurer du savon de Marseille liquide, j'ai dû faire 3 magasins pour satisfaire ma Maitresse, je me demande ce qu'elle va faire avec, même si j'ai une idée...
Aujourd'hui, Maitresse m'a fait un compliment concernant mon degré de masochisme
407 vues
8 aime
Je suis la propriétaire de deux soumis 2440 et 2118 , Domina sadique, je ne suis pas adepte du virtuel
Cependant , très joueuse, quand j'ai été contactée par soumis 8968, j'ai accepté de le prendre dans mon cheptel en virtuel et j'avoue que jusqu'à aujourd'hui je ne le regrette pas
Je vais partager avec vous son journal de soumis ( sans aucune retouche)
Bonne lecture
Jour 4
Première soirée enfin seul avec Maîtresse, elle m'a fait goûter aux joies du lavement, elle a eu la délicatesse de commencer en douceur, voyant que j'y prenais gout elle m'a proposé de monter en gamme. J'ai beaucoup apprécié cette découverte graduée. Nous avons échangé sur des sujets plus généraux, j'apprécie sa façon d'apprendre a me connaître.
N'étant pas rassasié de souffrances j'ai dû un peu la provoquer pour continuer la seance sur des aspects qu'elle avait deja évoqué et dont je suis friand ; les tétons ! Elle ne m'a pas déçu et je pense qu'ils seront encore douloureux demain, le frottement du tissus suffira a me rappeler d'elle tout au long de ma journée de travail ou je devrais aller en cage mais sans plug , grace a sa grande clémence (mais pour combien de temps ?)
Pour la 1ere fois nous avons échangé en vocal, sa voix paraît si douce, en contraste total avec son sadisme
La séance c'est étalée sur 4h ou j'ai fais mon maximum pour ne pas la décevoir, elle m'a dit plusieurs fois qu'elle était contente ou fière de moi et cela me laisse espérer que notre relation n'est qu'au début d'une belle et longue histoire.
Aujourd'hui je pars au travail avec la cage, j'ai peur que quelqu'un s'en aperçoive, remarque la bosse mais en même temps j'aime être ainsi contraint et surtout fier d'obéir a ma Maîtresse. J'espère secrètement que Maîtresse va contrôler et m'ordonner de faire une photo aux toilettes dans les 2minutes mais elle est hors ligne et n'a pas lu mes messages d'hier soir.
Finalement cela se passe bien mais au bout d'un moment une douleur sous mes couilles apparaît, forte lancinante continu avec des pics lors de certains mouvements. Je vais au toilettes pour essyar de la remettre mieux , mais a bout de quelques minutes la douleur revient plus forte encore. Le retour en voiture a la pause déjeuner est insoutenable, je n'arrive même plus à me concentrer sur la route, je la retire des mon arrivée pensant trouver mes couilles en sang. Rien juste une légère trace rouge que j'effleure et qui m'arrache un cri. J'envoie immédiatement un message a Maîtresse. je retourne au travail sans cage, elle me manque presque, j'adore sentir ce paquet de viande pendouillant entre mes jambes, qui ne m'appartient plus . Maitresse a été comprehensive, mais j'ai du remettre la "panoplie" dès mon retour, du coup j'ai proposer l'autre cage, la micro, celle des punitions.
Maitresse est occupée ce soir mais elle m'a laissé des consignes, je n'ai pas pu m'empecher de proposer plus.
voila je n'ai plus de temps je dois rendre ma copie
votre 8968
803 vues
5 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances









