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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
1- J'ai 48 ans et 3 enfants et le pire , je suis belge ...
2- Je n'aime pas les huitres..
3- j'ai la posture d'un camionneur (dixit mon Maître)mais si je veux, je sais être très féminine.. même un peu pétasse..
4-J'adore les animaux
5-J'ai un chien, un berger allemand
6-J'ai une jument, depuis 25 ans déjà
7-Le chiffre 13 est mon porte bonheur
8-J'aime la nuit, regarder les étoiles
9-J'adore danser
10-Je chante comme une casserole
11-J'aime faire des marches dans les bois
12-Je regrette de ne pas avoir plus de temps pour lire
13- Je ne porte des sous-vêtements que pour travailler
14-J'écoute aussi bien Aznavour que Ramstein, enigma ou Brassens
15-Je trouve qu'il y a des gens parfois bizarres sur ce site
16-J'ai eu il y a quelques années une vrai mauvaise expérience bdsm
17-J'ai un très bon Maître maintenant...
18-Ma vie professionnelle actuelle me comble vraiment, j'ai changé complètement d'orientation il y a 10 ans et j'ai bien fait!
19-Je te déteste sluttyboy
20-j'ai prévenu que j'allais mentir!!!!
21-J'aime beaucoup que mon Maître me pince les seins
22-l'optimisme est une de mes qualité principale (j'en ai d'autres aussi!)
23-La mort ne me fait pas peur..
24-j'ai du mal à faire confiance à un homme
25-J'aime les gens, je pense que leur manière d'être est le reflet de ma manière d'être avec eux
26-Dans chacune de mes galères, j'ai trouvé quelque chose de positif et ça m'a fait avancer, j'en suis fière..
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1- J'assume parfaitement mes conneries, même les pires (et il y en a eut...) et puis de toute façon, j'ai pas le choix, je les collectionne.
2- J'ai des moments de pure lucidité mais il sont beaucoup moins nombreux que mes moments de pure folie. Bon en fait, je suis totalement folle mais personne ne s'en ait encore aperçu jusque là donc, du coup, je continue comme ça pour les rassurer.
3- Je peux être la pire sadique qui soit et pas forcément avec un fouet, martinet ou autre à la main.
4- J'ai vécu une enfance merdique qui m'a profondément blessée et qui laissera à jamais une trace indélébile sur mon âme.
5- Wondersalope m'a délibérément achetée pour que je like son texte en me donnant que 5 trucs à dire mais comme je suis inspirée, je continue.
6- Bon, je suis folle aussi donc cela n'aide pas.
7- Qui sait, je trouverais peut-être 50 conneries à dire et puis ça ne me changera pas de d'habitude.
8- Je trouve la normalité très surfaite de nos jours. Je la mettrais même au même niveau que la perfection et le (la) prince(sse) charmant(e), c'est à dire que cela n'existe pas, sans épiloguer plus que ça sur ce que je pense de tout cela, ça me foutrait de mauvaise humeur et je n'ai personne sur qui me passer les nerfs. Quoique... Wonder, tu te dévoues ?
9- Je suis super chiante mais c'est inhérent à ma condition féminine.
10- Mon humour est la seule arme qui ne m'ait jamais fait défaut, surtout dans les moments difficiles.
11- Je sais plus si j'ai dit que j'étais folle... Si ? Bon bin tant pis, je le remet pour être sure que tout le monde l'ait bien compris.
12- J'ai des goûts musicaux très éclectiques mais ma préférence va au métal, sans doute un héritage de ma période goth.
13- Goth un jour, goth toujours même si ce n'est que dans la tête !
14- Mon débit de conneries augmente avec la quantité d'alcool que j'ingurgite.
15- Suite à mes années de fac à Rennes, j'ai acquis une résistance à la biture.
16- Malgré toutes les sorties à la fac et les soirées lourdement arrosées (d'alcool, pas de pluie...), je n'ai eu qu'une seule fois la gueule de bois qui n'est apparue que le surlendemain, le temps que touuuuuuuuuuuut l'alcool dans mon sang disparaisse.
17- J'adore faire chier mes voisins en foutant ma musique à fond car ils me soulent à pas savoir lever leurs chaises quand ils s'attablent.
18- J'adore Alien et surtout Sigourney Weaver. Et là du coup, j'ai un peu peur car je me rend compte que j'ai des points commun avec Wondersalope... C'est grave docteur ?
19- Que ce soit au niveau des films ou des livres, je suis très SF et fantasy.
20- De temps en temps, il m'arrive de dessiner des trucs mais je suis pas très douée.
21- Je préfère écrire, du moins quand j'arrive à chopper l'Inspiration... Quand c'est le cas, je l'enchaine à mon bureau, aller savoir pourquoi...
22- J'ai toujours détesté lire les bouquins imposés à l'école. Mais j'en relirais à présent certains avec plaisir sauf les Zola. C'est trop lourd à digérer pour moi...
23- J'envisage de déménager loin, tellement la ville où je vis me déprime.
24- Finalement je me rend compte que j'ai beaucoup de conneries à dire...
25- Je craque très facilement sur les brunes, me demandez pas pourquoi, c'est comme ça...
26- Pour ceux qui auraient oublié, je préfère redire que je suis très chiante.
27- J'ai toujours vécu avec des animaux (oiseaux, chats, chiens, tortues) même si ce ne fut pas toujours amusant, surtout quand tu es gamine et que tu dois donner à bouffer à tout ça...
28- Il y a bientôt deux ans, je suis allée à la SPA et j'en suis repartie avec une chienne super affectueuse mais très collante. Je déteste toujours autant le nom qu'ils lui ont donné mais bon, elle le connaissait donc je ne l'ai pas changé.
29- Je déteste qu'on s'apitoie sur mon sort surtout quand les personnes en question ne connaissent qu'une fraction de ma vie. S'ils en connaissaient tout ou presque, je n'ose imaginer comment ils réagiraient...
30- J'ai beau me creuser la cervelle, je ne voie pas à qui Wondersalope fait allusion quand elle parle de "l'imbécile en justaucorps argenté avec ses deux petites ailes ridicules qui brâme « papa, maman ! »"
31- Je donnerais volontiers quelques coups de martinet/cravache à la personne qui m'éclairera sur le point 30.
32- J'adore les jeux vidéos, j'en ai toute une collection et j'assume complètement le côté geek qui va avec.
33- J'adore les animaux mythiques et mythologiques notamment les dragons.
34- Je n'ai pas la panoplie de Zorro que Wondersalope affectionne tant, je me contenterais juste du fouet. Et puis je suis une fille... Et puis je suis pas sure que le pantalon moule-bite et la chemise ouverte m'irait vraiment...
35- J'adore Star Wars. Je parle de la trilogie la plus vieille, pour moi l'autre n'existe pas. Oui je boycotte et alors ? Oui bon, ça ne m'empêche pas de les avoir en dvd dans un coin... R2 me fait rire, j'ai envie de démonter cette saloperie de droïde protocolaire et j'adore imaginer Chewie en carpette.
36- Je ne me prend pas au sérieux car j'aurais trop peur de m'emmerder avec moi-même.
37- Mon Moi, mon Ça et mon Sur-Moi sont tout à fait d'accord avec le point 36.
38- Ai-je précisé que je ne soignais pas mon côté folle à lier parce que je préfère attacher qu'être attachée ? Non ? Bon bin c'est fait.
39- J'avoue, je cherche délibérément à avoir les 50 points car comme ça si je like un autre portrait de ce genre, je n'aurais pas à le refaire quelque soit le nombre donné.
40- Je déteste souhaiter mon anniversaire. Cela n'a rien à voir avec mon âge (redemandez-le moi dans 10 ans, on verra si je tiens le même discours) mais c'est simplement parce que je ne l'ai jamais réellement fêté. Bon sauf à la fac mais c'était juste une excuse pour picoler avec des potes (comme si on en avait besoin à l'époque... XD).
41- Vu que je suis dans la partie "je déteste", autant continuer. Je déteste les fêtes de noël depuis la mort de mon grand-père quand j'avais 9 ans.
42- Plusieurs années à la suite, j'ai eu des nouvel an pourris. Du coup, maintenant, je ne le fête plus et je reste à chaque fois chez moi à squatter mon canapé ou mon ordi.
43- Je me rend compte que j'avais beaucoup de conneries à dire.
44- J'évite de parler religion et politique car j'ai des opinions bien tranchées qui ne plaisent pas à tout le monde.
45- Je me creuse la cervelle pour compléter mes conneries avec davantages de conneries mais je commence à ne plus en avoir sous le coude.
46- Mon subconscient me dit de regarder sous mes fesses, on ne sait jamais où les conneries peuvent trainer ou se cacher.
47- Mais j'ai préféré aller voir dans le panier de ma bestiole.
48- Quoiqu'il en soit, mon subconscient et moi n'avons rien trouvé mais c'est pas grave car on s'est rendu compte que nos conneries avaient remplies la feuille.
49- Quand je me relis, je constate que j'avais beaucoup de conneries à dire ou alors je n'avais que ça à foutre... On ne saura jamais...
50- J'ai honteusement copié/collé les règles de ce jeu. Oui bon d'accord, la vérité c'est que je n'avais plus d'Inspiration. Elle a réussi à se libérer de ses chaines et s'est barrée par la fenêtre avec la voisine...
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Kasondra »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Ma main parcourra alors de sa cheville au genou avec douceur et légèreté...
Puis je m'arrêtais là, contemplant ce somptueux spectacle qu'Amandine m'offrait...
Elle savait que j'aimais jouer à faire attendre...que généralement l'attente était toujours suivit de quelque chose de plus fort que la précédente action...
Ce qui là, ne rata pas...
Laissant ma main sur son genou, de l'autre je puis ouvrir le tiroir de la table base et j'en saisi l'objet de mon jeu favori dans l'attente...les boules de Geisha...
Elle entendit le « cliquetis » des boules entre elles, et elle sourit, comprenant alors mon manège...
Je me mis derrière elle, ma main vint alors se reposer à nouveau sur son genou, celui dont la jambe était sur le canapé...Je remontais alors doucement vers sa Rose...humide et chaude par l'envie, l'excitation réel de tout cette mise en scène...
Mes doigts vinrent caresser le bord de ses pétales si doux et nus mais au combien humide...
J'en profitais alors pour lui délivrer un tendre baiser dans le cou...sa tête se penchant en arrière...
Mon autre main vint avec ses délices de sphère à la rencontre de ses pétales...
Délicatement de l'autre main, j'écartais les pétales...ouvrant ainsi la voie royale à la première boule...
Amandine se contracta légèrement, et à mesure que la boule entrait en elle, elle se relâcha, lâchant au passage un petit soupir de plaisir si caractéristique..
Je laissais là un moment Amandine, puis je revins à l'attaque si j'ose dire..
Je venais de mettre de la musique douce et délicate...
Je me mis juste face à elle, elle toujours dans la même position...
Et là, j'entrepris d'explorer son endroit interdit...
De par sa position il me fut aisé d'accéder à celui-ci, usant de la Rose de sa belle fleur j'humidifie l'antre, mais très vite un doigt trouva son passage en elle...
J'adorais sentir par cette endroit le contact de cette sphère qui était en elle..
Ce qui me valut encore plus de son si plaisant de la bouche d'Amandine...qui venait de mettre ses mains sur mes épaules pour conserver son équilibre...
Je jouais ainsi un temps... qui dû paraître une éternité mais au combien délicieux pour Amandine...
Ses réactions de plus en plus présentes, plus fortes en étaient la preuve...
Mais je voyais l'heure tourner, et ce n'était que le début de son tourment de cadeau...
Je m'arrêtais alors de jouer à ce supplice, en achevant d'offrir à son antre de désir, le chapelet de ses tourments, mais avec toujours lenteur pour faire 'souffrir', durer cet instant d'égarement que m'offrait ma belle Fleur de Nacre...
Je fis doucement descendre sa jambe pour qu'elle rejoigne l'autre.
Puis, je fis remonter avec délicatesse cette étoffe, protectrice et rempart à sa fleur...
Amandine ouvrit alors ses yeux... pleins d'étincelles, de douceur, et de plaisir...
Je lui souris, puis en me redressant, j'en profitais pour embrasser le sommet de chacun de ses monts...
Elle m'enlaça...
Je la pris dans mes bras...
Nous restâmes un court instant, ainsi serré fort, l'un contre l'autre...
La musique était douce, et nous fîmes quelques pas...
Je devinais que les démoniaques sphères lui apportaient plus que notre étreinte par les frissons qui la parcouraient...
Nous nous arrêtions cette valse, plaisante...
Je pris alors, le foulard de soie noir qui était près sur la table...
Je la regardais une dernière fois droit dans les yeux, lui sourit... elle me sourit...
J'entrepris alors de masquer les yeux de ma chère et douce Amandine...
Cela fut fait rapidement...
Je pris soin alors de prendre le coffret que je venais de lui offrir...et je mis aussi sur les épaules de ma Fleur de Nacre un châle Noir.
Nous descendîmes rapidement, par l'ascenseur, au sous-sol...Amandine était quelque peu habituée à avoir les yeux bandés lorsque je l'amenais 'jouer' en extérieur...et cette descente donc fut tout naturel pour elle...une main posé sur mon épaule et toujours derrière moi.
Arrivé à la voiture, j'ouvris la portière arrière pour y faire entrer ma chère et tendre...
Elle prit place tranquillement, assise confortablement dans cette petite voiture...à l'époque je n'avais qu'une Super5...mais vraiment super cette petite voiture....
Puis nous prîmes la route, et je fis quelques détours pour faire perdre le sens de l'orientation à Amandine...
Pendant le trajet, Amandine tenta bien de me faire dire ou nous allions et au bout d'une demi-heure de route...je devins plus ferme...en lui interdisant de me parler...
Après une heure de route, j'arrêtais enfin la voiture...
Amandine, devenue silencieuse, ne manquait pas, par son habitude, d'impatiences certaines, se trémoussant sur le siège arrière, espérant que je vienne rapidement lui ouvrir la portière...
J'attendis quelques minutes, écoutant simplement la radio, faisant encore plus languir cette chère Fleur devant plus impatiente que jamais...
Puis je sortis de la voiture...ordonnant à Amandine de rester tranquillement dans la voiture et que j'allais revenir...
Elle ne dit mot, mais me fit un signe de la tête pour me dire "Oui"...
Je fis semblant de m'éloigner de la voiture...et j'attendis, le temps d'une cigarette, la regardant assise dans la voiture...
J'adore ce simplement moment d'attente, d'incertitude quant à la suite des événements...et je savais qu'Amandine en appréciait tout autant ce terrible tourment....
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Cet homme et cette femme se sont rencontrés via Internet sur un site de rencontre SM. Après un certains temps passé en virtuel, elle a accepté de venir passer le weekend chez lui en tant que soumise. Cela fait 5 minutes qu'elle est arrivée par le train et elle attend que son futur maître passe la prendre. C'est vendredi soir et il est quelque chose comme 23h30. Son portable vibre. Elle a reçu un sms comme quoi il n'est qu'à quelques centaines de mètres de la gare. Elle ne tarde pas à le voir arriver. Elle met son sac dans le coffre et grimpe à ses coté. Il démarre sans attendre. Au cours du trajet ils échange quelques banalité, il lui demande si ça va, si elle a fait bon voyage ...
Alors qu'il son sortis de la ville, il s'arrête le long de la route sur une petite aire de repos. Il lui dit de prendre descendre, de prendre le sac sur la banquette arrière et de se changer. Elle ouvre le sac et vient au niveau de la vitre passager. Il baisse la vitre et se contente de lui dire qu'elle a 5 minutes pour se changer sans quoi il la laisse ici. Elle s'execute et se mets toute nue. Puis elle enfile le contenu du sac qui ne contient que des vêtements en cuir, à savoir une sublime catsuit, des cuissardes, une pair de long gants et un corset qu'elle enfinle sans le serrer. Elle se remontre à son niveau. Il baisse à nouveau la fenêtre et lui ordonne de se plaquer contre l'arbre qu'il y a à quelques mettre. Lorsque c'est fait, il arrête la voiture pour la rejoindre et reserre son corset. Il lui dit de respirer doucement afin qu'il puisse bien resserer le corset. Une fois qu'il a terminé, il lui dit qu'elle peut regrimper en voiture.
Il la laisse s'habituer à cette tenue très osée mais très confortable - il n'a choisi que des vêtements de qualité, agréables à porter. Même si elle s'y sens à l'étroit elle aime se savoir moulée de la sorte. Il lui demande ensuite d'ouvrir la catsuit au niveau de l'entrejambe et de se donner du plaisir. Au bout de quelques instants, alors qu'elle commence à prendre son pieds, elle se calme car ils rentrent dans une ville un peu animée. Elle a peur d'être vu ainsi. Il lui dit de continuer et d'ouvrir la boîte à gants. Elle en sort un gode. Elle comprend qu'il veut qu'elle se l'insère et obeit malgré la peur d'être vu ainsi. Lorsque le gode est bien au fond d'elle, il lui dit de refermer la catsuit et de se mettre à se masser les seins au travers de la combinaison en cuir. Ils sont arrêtés à un feu tricolore et plusieurs automobiliste la regarde avec des yeux de pervers. Elle se calme un peu lorsqu'elle sent que le gode se met à vibrer. Il vient de l'activer grâce à une petite télécommande. Malgré le plaisir que cela lui procurre, elle essaye de se calmer vu la situation, mais a beaucoup de mal.
Il sortent de la ville et sont à présent sur une petite route de campagne. Malgré l'inconfort, elle apprécie ce petit jeu et ce demande ce qu'il va lui imposer ensuite, car elle sent qu'ils ne sont pas encore arrivés. Il fait à nouveau une halte au bord de la route et la fait descendre. Il lui de se mettre face à la voiture et de se pencher sur le capot. Il ouvre sa catsuit au niveau de l'entrejambe et la laisse un moment ainsi. Puis elle sent qu'il lui met du lubrifiant sur l'anus. Elle pense qu'il va la sodomiser ainsi, mais il se content de lui insérer un plug. Puis il la laisse un peut comme ça et lui cravache un peu les fesses avant de refermer la catsuit et verrouiller les zip avec un petit cadenas. Elle pense que c'est fini, se redresse et se raproche de la portière. Il lui dit qu'il ne lui a jamais dit de faire ça. Elle s'attend à être cravachée à nouveau. Au lieu de cela, il lui dit de mettre les mains dans le dos et il les bloque avec un armbinder. Puis il lui passe un cagoule en cuir avec un petit trou au niveau de la bouche. Ce n'est qu'en suite qu'il la fait asseoir dans la voiture et reprend le trajet. Elle est excitée et en même à peur d'être surprise ainsi par quelqu'un d'autre. Elle s'imagine être arrêtée ainsi par la police ... quelle honte ... mais quelle excitation aussi. Ils roulent un petit moment ainsi puis il arrête la voiture et la fait descendre. Il accroche une laisse à l'anneau se trouvant à la base de la cagoule et lui dit d'avancer en tirant dessus. Il la fait marcher ainsi. Elle a du mal à suivre ainsi vêtue et attachée. La cagoule n'ayant pas d'orifice pour les yeux, elle est obligée de lui faire totallement confiance. Il fini par la faire entrer chez lui. Il la fait mettre à l'équerre sur la table à manger et attache ses chevilles aux pieds de la table. Il enlève le cadenas et ouvre à nouveau sa catsuit à l'entrejambe. Il enlève le gode. Bien qu'elle ne s'attendait pas à quelque chose d'aussi pervers dès le départ, si elle n'avait pas la cagoule sur le visage, elle lui demanderait de la fourrer par le trou qu'il veut quitte à être cravachée avant. Elle a droit à la cravache, mais au lieu de la prendre, il lui fait un cuni avant de lui insérer le gode à nouveau et de refermer la combi. Il s'approche d'elle et lui dit en rigolant doucement de ne pas bouger, qu'il revient dans un petit moment pour la suite ...
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Votre odeur de peau m'attire, m'envahit .
Qui s'offre à mes songes, à mes envies.
Déclaration
De l'ombre à la lumière, je suis votre.
Et l'attachement fait de moi une autre.
Initiation
Notre histoire est une évidence.
Comblant jusqu'à nos cinq sens.
Inspiration
Au creux de ma nuque Vous découvrez.
Ce présent en acier que j'aime porter.
Satisfaction
Vous connaissez l'éclat de mes yeux.
Quand mon sourire se livre, gracieux.
Invitation
Au rythme de Vos maux, de mon coeur.
A Vous, je m'abandonne avec ferveur.
Palpitation
Il arrive qu'une image, une situation.
Requiert par son trouble, mon attention.
Emotion
Repoussant les frontières de mes inhibitions.
J'obtempère pour Vous donner satisfaction.
Humiliation
La cire coule au creux de mes reins.
Réveillant la douleur créée de Vos mains.
Soumission
A mes poignets les bracelets de cuir Vous posez.
Sans retenue aucune, en ces lieux, Vous imposez.
Possession
Sur ma peau, Vous dessinez des entrelacs.
Zébrures, je n'entends plus que Votre voix.
Passion
Le temps passe, l'envie monte crescendo.
A la mesure des marques gravées sur mon dos.
Tentation
La danse se fait sensuelle, je m'enflamme.
De ce feu intérieur qui asservit mon âme.
Domination
Vos doigts effleurent les sillons rouge sombres.
Traçant le chemin menant vers cette terre d'ombres.
Sensation
De Vous à moi, de moi à Vous, je suis soumise.
A genoux ou debout, je me soumets avec délice.
Excitation
Et quand tout cesse, que Vous déliez mes liens.
Nos corps se cherchent pour ne plus faire qu'un.
Abdication
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Quand deux personnes se rencontrent et que leurs regards se croisent ....
Quand certaines attirances apparaissent et que le feeling est là, en la réalité.
Quand le respect, la confiance, la sincérité sont là, le bonheur est à portée de soi.
Le temps passe vite lorsqu'on se retrouve et demain Vous et moi.
Heureuse de Vous appartenir, d'être Votre soumise.
Votre respect, Votre regard posé sur moi me permet d'aller loin, de me dépasser, de grandir, de m'épanouir.
Mon caractère entier ne vous déplait pas, tout comme le fait que je sois taquine... Aie la badine.
En ce qui Vous concerne, je peux TOUT Vous dire, vous préférez la sincérité aux non dits qui ne nous leurrons pas se découvrent tôt ou tard.
Les mots, ils sont toujours trop fort ou pas assez et pourtant, il faut bien les utiliser.
Ils sont aussi doux qu'ils peuvent être acide et pourtant parfois se sont eux qui décident.
Mais, ne laissons pas les mots nous diriger trop rapidement se serait réagir avec trop d'empressement.
Ecoutons le langage du coeur qui a bien plus de ferveur car c'est un langage universel d'amour qui n'a ni frontière et surtout pas d'atours....
Pour ces moments intenses que nous avons passé et passerons encore ensemble.
Je n'ai pas de mots....
Ils ne seraient pas assez ou trop..
Il est des mots
Qu'on enseveli au fond de soi
Il est des mots si difficiles
A prononcer
Qu'un jour, on arrive à les dire
Lorsqu'on est en confiance
Que la personne est sincère
Alors on dit tout bas
Ces mots gardés pour soi
Et que les autres n'entendent pas
Mon Maitre, je Vous a...
Le 30 janvier 2012.
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FemElle, libérée, tu déploies tes ailesLoin de toi le déshonneur des maux,Femme et Elle ne sont que motsEnsemble ils sont ta fierté d’être,D’être FemElle.Le calice de ton lys te fait ElleTu coules de ton plaisir d’êtreFemme et femelle, à bouts d’ailesFemme et Elle, libre d’être,De devenir Ma FemElle.
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Au mois de mai, un joli rêve j'ai fait.
Un dessin significatif en ces représentations m'est apparu.
Je ne sais dessiner, j'ai mis sur papier cette ébauche.
Votre marque sur ma fesse, n'est pas anodine
Elle engage ; il y a eu le temps de la réflexion.
La réalisation du dessin explicite, les petites modifications à y apporter quelque fois.
Et enfin ce jour tant attendu.
Votre signature et ma détermination de porter Votre marque, a été réalité en ce jour.
Le 15 novembre 2011 restera gravé en moi, symbole de mon engagement.
Pour la vie, je porterai Votre cachet.
Assise à califourchon sur une chaise, mes mains reposant sur son dossier, tête un peu baissée quelque fois, j'étais prête pour ce tatouage.
Au fur et à mesure de la concrétisation du motif, j'ai ressenti des petits chatouillis, quelque traits appuyés par endroit, aucune douleur.
Chaque personne perçoit et ressent à sa façon tatouage et/ou percing.
J'étais concentrée, bien qu'à un moment donné, le son d'une musique comme j'aime, m'a donné envie de bouger, je n'en ai rien fait.
Mon Maître présent en ce partage, son regard posé sur moi.
Je désirai cette trace indélébile dans ma peau.
A gauche Votre cravache, à droite le fouet qui me fascine, dedans mon collier.
Au milieu formant comme un v Votre initiale sur un fouet enroulé, j'aurais aimé Votre prénom en entier.
Vous avez préféré que seule l'initiale soit ..Sourire
Cela me prouve si besoin était Votre respect à mon égard.
Le graphisme de l'initiale a été choisi par Vous, cela forme Nous.
Heureuse, je suis que votre empreinte soit.
Fierté teintée de trouble par la communion de cet acte, gage de mon abandon..
L'émotion m'a submergé quand vous avons regagné Votre voiture pour se rendre chez Vous.
Mon regard s'est voilé, ma voix tremblait, elle s'est tue, la Votre j'ai entendu.
Vous dites peu et Vos mots m'ont émus.
Les mois s'écoulent, sereine en osmose de Vous.
Vos/Les marques qui s'inscrivent dans ma peau scellent mon appartenance.
Lien indéfectible imprimé sur et dans ma chair.
Entre Vous et moi pas de contrat. Cet acte signifie beaucoup, nul besoin de papier.
Le respect de Vous, de moi, de Nous. La confiance et la fidélité que nous avons l'un envers l'autre.
Ce n'est pas un bijou de peau, c'est un symbole fort en ce dessin songé, symbiose de Nous.
Ce tatouage me correspond, je l'ai rêvé pour Nous, il parle de Nous, c'est Votre signature.
Comme une évidence, soumise je suis à Vous.
Dépendance de Vous, profondeur de Notre relation.
Mes anneaux ont été stretché fin novembre, ils sont à présent en acier et d'une autre taille, deux mois après la cicatrisation et la première pose ou vous n'étiez pas présent en ce partage.
Ceux ci ont la valeur du passage à l'acte car votre présence était et pour moi cela est important.
Je suis la première à être percée pour Vous et j'en suis fière.
Il y a un sceau plutôt un branding que j'aimerai avoir un jour...
A Vous Mon Maitre qui m'emmenez vers des plaisirs d'une rare intensité.
Attentionné, respectueux, vous me conduisez sur les chemins de la soumission. Avec délice, je me soumets à Vous.
Notre complicité est l'essence de notre relation tout comme l'authenticité .
Cette connivence qui n'a pas besoin de mot, quelque fois juste un regard, un sourire, on se comprend.
Cette preuve de mon attachement, de ma dévotion, du rêve devenu réalité en cette signature en accord de Nous.
Ajout de Vous
Un Maître fier de sa soumise, de son obéissance et sa dévotion, une marque indélébile pour sceller à jamais son appartenance.
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Ni obsession, ni tentation, une soumission,
une explication, une possession.
Silence, quelques pas, des froissements, quelques pas, recul, quelques pas.
La tapette tapote un tempo tempéré, tout
en montant en tempête, têtue dans le tapotage.
Caresses, paroles apaisantes, caresses, obscénités à voix douce, caresses.
Ce simple serpent dessine ses stries, si souple,
sassant ses sensations lancinantes et lascives.
Larmes, aux coins de l’œil perlent doucement, larmes, caresses, larmes.
Abandons, prêt aux amis experts, silences,
abstinences, décadences, doutes, déchéances.
Retrouvailles, joie, à genoux sans même demander, joie des retrouvailles.
Conquis, vaincu courbant sa fière couronne,
adulant la conquérante, l'aimer carrément.
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2 aime
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés.
Vous avez 'touché' mon âme, et mon corps a chaviré.
Un ressenti au fur et à mesure et puis la réalité.
C'est à ce moment précis que notre histoire est née.
Notre complicité, notre relation grandit de jour en jour.
J'aime être dominée par Vous encore et toujours.
Avec Vous, je m'épanouis, c'est merveilleux.
Quand je plonge mon regard dans vos yeux.
Des sentiments partagés se sont créés.
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Chaque instant passé avec Vous me permet de m'envoler.
Dans la confiance absolue de Vous en ce monde salé/sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée.
Le jour où l'on s'est rencontré.
Aujourd'hui le destin nous appartient.
A nous deux de savourer ce chemin.
Ma soumission envers Vous est acquise
Votre domination, respect m'ont conquise.
Depuis une semaine, votre signature encrée orne ma peau.
Bientôt deux mois que mon intimité percée en mes anneaux.
Ma détermination à Vous obéir, Vous servir est constante.
Me montrer digne de Vous en tous lieux et ou circonstance.
Que Vos/mes paroles du début soient la sincérité en la continuité.
Vous me dites que l'on s'est bien 'trouvé', j'avoue que c'est réalité.
20 mois que l'on s'est rencontré.
Que nos sentiments sont partagés.
A Vous je suis liée, liens visibles invisibles intactes.
Notre relation est saine et profonde en nos actes.
J'aime avancer avec Vous avec délice et passion.
Dans la gourmandise et la sérénité de l'abandon.
A Vous je suis dévouée et cela me plait.
Le 23 novembre 2011
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Attachée et confiante à Vous je le suis
Bien des mails écrits pour Vous la nuit
Ce poème alphabet, est pour Vous
Délivrée de mes peurs et tabous
Exhibée est source de conflit en moi
Fouettée est source d'immense joie
Générant le respect et puis l'humilité
Histoire de Nous, en mon âme habitée
Ivresse et jouissance, aussi bien que bonheur
Jalonnant, cela est sur, les confins de mon coeur
Kyrielles d'instants passés ensemble se bousculent en moi
Livrant certaines batailles intérieures, d'où sort Votre 'loi'
Mêlant gémissement, désir, cri et parfois larmes
Nappant, étendant votre domination à mon âme
Ode à Vous mon Maître aimé
Portant Votre collier avec fierté
Quémandeuse de Vos marques
Réalité avec Vous, j'embarque
Symbole de soumission en ma chair
Traces et liens de Vous en corollaire
Union de nos désirs, expressive
Valeur de nos places respectives
Wagon du train, lorsque je Vous rejoins dans l'Hérault
X non un prénom Vous avez, et j'aime subir Vos maux
Y a le respect mutuel qui prime entre Nous
Zen, totale confiance, sincérité j'ai en Vous
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Pour apprécier la deuxième partie, il faut impérativement lire la première ici : http://www.bdsm.fr/blog/997/naissance-dun-dominant-1ere-partie/
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La voici, cette deuxième toile... Ce qui était de l’érotisme soft, du porno chic, de bon ton au premier niveau de ce vernissage est beaucoup plus chaud et explicite ici, dans ce niveau pour « public averti ». Sophie se remet spontanément à genoux devant moi, la tête baissée.
- Maître ? permission de parler ?
- Vas-y, Sophie, je t’écoute.
- Je n’ai jamais, vraiment jamais, fait ça, Maître. Veuillez bien me pardonner, ou me punir, pour me guider.
- Sophie, je prendrai en compte ton inexpérience mais aussi ta bonne volonté.
Au fond de moi, je me dis que je suis aussi inexpérimenté qu’elle, mais que j’apprends très vite, tout comme elle. Fascinant de voir cette complicité naissante, ces envies découvertes par le hasard d’une rencontre…
- Sophie, laisse moi regarder cette deuxième toile. Ne bouge pas. Ou plutôt si, remets toi à me sucer, mais extrêmement doucement. Montre ton admiration pour ma queue.
Sophie ne réponds pas et recommence à me sucer. Sa bouche est voluptueuse, velouteuse, caressante. J’ai parfaitement intégré le fait qu’elle connaît toutes les toiles de sa galerie, et qu’elle n’a pas besoin de la regarder pour parfaitement connaître tous les détails de la toile devant laquelle nous nous trouvons.
La scène sur la toile représente un couple de dos, en contre-plongée (ce terme signifie une représentation qui va du bas vers le haut, comme si l’artiste s’était vu au ras du sol pour imaginer la scène au-dessus de lui). La femme est debout, cambrée, jambes légèrement écartées et s’appuie sur le dossier de ce qui semble être un fauteuil. L’homme est derrière elle et la pénètre. Son sexe n’est pas entièrement engagé. Et le point de vue choisi par l’artiste montre clairement deux choses. Premièrement, des pinces sont attachées aux grandes lèvres du sexe de la femme et rejoignent par une chaine légère d’autres pinces sur ses tétons. Et deuxièmement, la pénétration est anale…
- Sophie, je n’ai pas de pince ni de chainette avec moi. Mais je te sodomiserai avec grand plaisir.
J’ai hésité un faible instant en prononçant cette phrase. J’aurai pu dire que je l’enculerai comme toute une série d’autres termes crus. Je reste dans une forme de respect pour cette femme qui était habillée dans un tailleur très classe il y a quelques minutes et qui s’abandonne maintenant totalement à moi.
- Merci pour votre compréhension, Maître,
Elle m’a répondu en se mettant à trembler comme une feuille.
- Donc tu n’as pas touché un homme depuis trois ans au moins et la première chose dont tu as envie est que je te sodomise ?
- Oui, Maître. Je n’ai jamais fait ça non plus, mais je me sens prête à découvrir, Maître. Parce que c’est vous, Maître…
Me revoilà dans le rôle de coach, un rôle qui semble me coller à la peau dans tout ce que je fais. Elle a de la chance quelque part. Mes amantes ont toujours adoré la manière dont je les sodomise. Toutes, sans exception, m’ont fait un hommage profond et systématiquement jouissif de leurs postérieurs. Et pourtant, la grande majorité d’entre elles n’avaient jamais pratiqué cette forme de sexualité avant de me connaître. Ou avaient eu des expériences malheureuses. Non, je ne suis pas exceptionnel. J’ai juste eu la chance d’avoir très tôt une amante littéralement accro à la sodomie qui m’a appris tout ce que je devais savoir sur ce sujet au centre de la préoccupation de Sophie. Et l’expérience aidant, je n’en suis devenu que meilleur dans cette pratique…
Je suis donc confiant en répondant :
- Je vais donc être ton guide. Je veux que cette première expérience te donne envie de recommencer encore et encore, alors tu vas devoir faire exactement ce que je te dis.
- Oui Maitre
- Ne te mets pas debout comme sur la toile. Mets toi à genoux sur le sofa, en t’appuyant sur le dossier avec tes bras.
En fait, je suis un géant comparé à Sophie, et une position debout comme sur la toile serait très inconfortable pour elle comme pour moi. Elle me fait face, la croupe offerte. Elle a un cul fabuleux que je vais me faire vraiment plaisir à baiser.
- Voilà. Maintenant tu te laisses faire. Je vais te préparer. Mais avant, j’enfile un préservatif. Comment aurais-tu fait si je n’en avais pas eu, Sophie ?
- J’aurais été très embarrassée de ne pas en avoir, Maître.
- Je n’aurais pas été embarrassé, je refuse d’avoir des rapports non protégés. C’est non négociable. On aurait dû attendre la fin de la soirée. J’aurai du te punir…
- Je savais que je pouvais avoir confiance en vous, Maître.
Je récupère un préservatif dans la poche de ma veste, je déchire nerveusement son enveloppe… un peu trop nerveusement… je déchire aussi le préservatif au passage. Heureusement que j’en ai un deuxième. Je fais attention cette fois ci. Je déroule celui-ci sur mon sexe tendu et dur comme de la pierre. Elle m’excite vraiment beaucoup, Sophie…
Je me colle contre sons dos, et je lui susurre à l’oreille…
- Sophie, je vais utiliser ton lubrifiant naturel si abondant pour te préparer. Je vais pénétrer ton sexe avec ma queue pour l’enduire avec ta mouille.
- Maître, je vais jouir, je suis trop excitée, j’ai trop envie.
- Sophie, garde ton orgasme pour ton cul. Contrôle-toi !
- Oui, Maître
En fait, je n’ai pas besoin de la pénétrer pour récupérer sa mouille, elle est si totalement trempée que la surface de son anus est déjà lubrifiée. Je soupçonne une femme fontaine qui s’ignore… Je ma place à l’entrée de son sexe, et je la pénètre tout doucement. Son vagin est particulièrement étroit et palpite de manière très sensible autour de ma queue. Elle est visiblement déjà au bord de l’orgasme. J’ai encore envie de la faire exploser, de la prendre brutalement… mais ce n’est pas le jeu. Et j’ai très envie de son cul…
Je ressors ma queue, et la glisse entre ses fesses afin de déposer sa mouille sur son anus.
J’exécute alors successivement les trois actions clés d’une sodomie fabuleuse… trois actions techniques dont les fondamentaux ne sont connus que par quelques rares initiés. Ne cherchez pas sur Google, vous ne trouverez pas, ces secrets sont très bien gardés.
D’abord le « massage des Cyclades». Un massage que j’ai appris d’une amante d’origine grecque, qui la détend et surtout lui donne terriblement envie d’être pénétrée… terriblement est un faible mot.
Sophie halète d’une envie insoutenable. Ses mains se crispent régulièrement, son anus palpite, s’ouvre, se ferme, tente d’aspirer tout ce que je lui présente.
Ensuite, deuxième action clé, la stimulation de la FAVPA (Concours : la première soumise qui trouve ce que ça veut dire gagne une soirée avec moi et aura l’opportunité d’en apprécier l’efficacité). Et là je ne donne aucun indice supplémentaire.
A la suite de cette stimulation, Sophie n’a plus qu’une chose en tête, que je m’enfonce profondément en elle, de me sentir la remplir totalement avec ma queue.
Je me mets mon gland contre son anus, et ma queue se prépare à une pénétration selon l’Angle d’Or, dernière caractéristique clé de ma trilogie d’action. Oui, l’angle qui donne les sensations les plus intenses… le meilleur compromis vers le plaisir.
- Sophie, à toi de jouer. Viens t’empaler lentement sur ma queue.
Son anus s’ouvre délicatement et fait le passage à mon gland. La couronne de mon gland vient de passer, son anus est terriblement serré malgré mon travail de détente. Le plaisir et l’excitation sont tellement intenses pour moi aussi que je vais lui demander de s’arrêter.
- Sophie. Ne bouge plus et détends toi.
- Tout va bien Maitre. J’ai envie de votre queue au fond de moi, Maitre.
- J’ai dit NE BOUGE PLUS
Si son plaisir est aussi intense que le mien, que va être la suite ?
Je reprends le contrôle. J’étais encore une fois au bord du point de non-retour. Je sens son anus se décontracter un peu. Elle s’habitue au diamètre de ma queue qui lui dilate le cul.
- Sophie, continue maintenant, tu es en bonne voie.
Je n’ai pas besoin de le dire deux fois. Elle s’empale à fond en poussant un cri de plaisir qui me surprend par son intensité. Les brouhahas de la réception au-dessus de nos tête ont du le couvrir… j’espère…
Je suis maintenant enfoncé jusqu’à la garde dans son cul, et son anus a recommencé à palpiter autour de ma queue. Des spasmes. Douleur ? Plaisir ? Mélange des deux ? Je saisis ses hanches pour bloquer son bassin, et je commence à la travailler progressivement. Je recule juste un peu, et je me renfonce jusqu’à la garde. A chaque butée, Sophie émet un cri, un espèce de feulement. Elle tremble de plus en plus. Elle se contient. Oui, elle contient un orgasme gigantesque en préparation…
- Sophie, je vais compter jusqu’à trois, et tu pourras jouir.
Je compte « UN», en m’enfonçant lentement au fond d’elle. Je recule jusqu’à sentir mon gland près de s’échapper de son cul. Je compte « DEUX», en m’enfonçant plus violemment au fond d’elle. Ses tremblements sont incroyables. Au moment où je compte « TROIS », je mets toute mon énergie, toute ma masse pour m’enfoncer dans son cul et je lui pince simultanément les tétons.
Sophie émet un râle et son orgasme explose, de longues vagues puissantes. Mon excitation est à son paroxysme. Je me déchaine dans son cul. Je synchronise mes coups de boutoirs avec les vagues de son orgasme. Je ne sais pas combien de temps ça dure, j’ai perdu la notion du temps. Son anus est totalement ouvert et vient resserrer ma queue à chaque vague. Je suis près de l’explosion. J’ai vaguement conscience que si je me laisse aller, je n’ai plus de préservatif en réserve pour continuer le jeu…
C’est trop intense. J’explose, moi aussi dans un râle de plaisir intense. Mon sperme vient remplir par longues saccades mon préservatif. Je reste collé à son cul, je reprends mon souffle. Longuement. Quelle intensité dans les sensations, quelle sauvagerie !!!
Sophie semble hoqueter. Elle commence à rebouger son bassin… Elle en veut encore ?
- Sophie. Cette première sodomie t’a plu ? tu en veux encore ?
- Maitre, c’était fabuleux. Dire que j’ai attendu 39 ans pour connaître ça. Merci Maître, merci. Oui, j’en veux encore, Maître.
Elle ne répond pas en hoquetant, en fait elle pleure.
- Ca ne va pas, Sophie ?
- Si Maitre. C’est juste trop d’émotion et de plaisir. Merci de me faire vivre ça, Maitre.
Elle recommence à onduler du bassin autour de ma queue. Je n’ai toujours pas débandé malgré l’orgasme que je viens d’avoir.
- Tu devras attendre un peu. Je dois reprendre des forces, et surtout trouver des préservatifs. Je pense que nous allons en consommer quelques uns… Je me retire, Sophie…
Je sors lentement de son cul. Elle se retourne. Dans le feu de l’action, son chignon s’est à moitié défait, son maquillage n’a pas résisté à ses larmes et une partie de son gloss est sur ma queue. Elle reste superbe malgré tout. Elle me regarde avec un grand sourire épanoui…
- Maître, il reste encore 22 tableaux à voir...
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je continue ? ou pas ?
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mes larmes...
Un homme ne doit pas pleurer.
Pourtant...
ELLE m'a pris dans ses filets, victime oh combien consentante. Je l'avais rêvé tant de fois. Quand sa voix si impérieuse m'a ordonné de me mettre nu, mes yeux se sont fermés, une sourde angoisse m'a envahi. Ce moment ou l'air devient pesant, mon souffle plus court.
Je sais pourtant qu’Elle m'a pris sous ses ailes, qu’Elle veille sur moi, et que ma confiance en ELLE est totale..
Seulement... Si je ne suis pas à la hauteur? Si je n'arrive pas à supporter? Si... je suis médiocre? Toutes ces craintes tournent dans ma tête..
La laisse est venue s'accrocher au collier, et fermement, ELLE m'a fait comprendre de me mettre à ses pieds. Ma langue est venue tout naturellement lécher sa chaussure, comme je sais qu'ELLE aime me voir. Croupe bien haute...
D'autre desseins m'attendaient, je le savais, je le sentais. Il fallait bien qu'ELLE aille la voir, cette frontière. Nous l' avions approchée déjà plusieurs fois...
Ses cordes sont venues m'enserrer, m'arrachant à chaque tour un cri. J'ai gagné ma bulle, je me suis recentré sur ELLE. Sur tout ce qu'ELLE me donne... Et sur le peu que je lui apporte.
Mes mains se sont élevées au dessus de ma tête, mes chevilles ont été emprisonnées.
Sa main s'est posée sur mon épaule, ses doigts ont couru sur mon dos, sur mes seins. Ses doigts ont croché mes cheveux, tiré ma tête en arrière. Sa bouche a frôlé mon oreille. J'y ai senti son souffle chaud.
Puis ELLE s'est écarté de moi. J'ai su que le moment était arrivé. Le flogger a commencé sa danse, d'abord léger, aérien. Mais très vite plus lourd. Les coups se sont succédé , sur mon dos, sur mon torse, mes fesses, mes cuisses.Implacables.Imparables.Impitoyables.
Des gémissements sourdent de ma bouche. Je lui offre ma douleur.
Le flogger est remplacé par la cravache. La nature des coups change totalement, secs, bruts.
Je sais ou ELLE veut aller, Mes cris sont de plus en plus forts. Mais je ne suis pas encore là ou ELLE veut m'amener.
J'ai commencé à craquer quand les coups sont tombés en travers de mes cuisses. La douleur a irradié d'un coup. J'ai poussé un long hurlement.
C'est le fouet qui a pris le relais. Quand il s'est enroulé autour de moi, il a atteint mon sein. Une onde de mal m'a parcouru. Les larmes ont inondé mes yeux. Mais les coups ont continués. Jusqu’à ce que des sanglots me secouent, pantin accroché, ravagé de larmes.
Impression d'un torrent ouvert. Fragile...Plus de barrières. Tout à cédé, la façade s'est effondrée. La mise à nu est totale, entière. Des montagnes de frustrations? de bienséance? qui n'existent plus. Je deviens primal, dans le sens ou plus aucune digue ne me protège, je suis juste animal, douleur, sensation...Amour?
ELLE l'a vu, ELLE sait qu'ELLE est arrivée là ou ELLE voulait m’amener, que plus rien ne sera pareil dorénavant.
Aucune conscience du fouet qui tombe, mais SES mains sur ma peau... Qui me délient, qui me portent / soutiennent...
Canapé... Contre ELLE... Blottis , cajolé.. Froid de sa jupe en cuir... Lèvres qui sèchent mes larmes, mains qui apaisent mes souffrances.
Froid de l'huile, chaleur de SES mains, douceur de son contact. Plus de nuances de temps...Paradis?
Mais un doigt...Pointé vers le sol...
J'oubliais ma place.
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Talons aiguilles, bel escarpinRegarder tes traits finsReflets au fémininEst un plaisir sans faimFends l’air, claque la terre,Mais jamais tu ères.Supplice pour certainsProvoque un désir certainLa femme, son image tu fascinesSensualité de jambes finesEnveloppée de mystèresGainées de soie et de jarretièreDe tes aiguilles vers le ciel,Peut être lances tu un appel ?« Trouvez chaussure à son pied »Nanook.
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La soumission rime avec bonheur.
Son alliée est quelque fois douleur.
Générant la complicité.
Comme la sincérité.
Ce chemin à Vos cotés, comme Votre emprise.
Fait de moi, pour un temps inconnu, votre soumise.
Mon attachement envers Vous s'étend et se propage.
Irradiant mon âme, mon corps, mon coeur, en ce partage.
Des émotions, sensations renouvelées qui me font découvrir.
De nouveaux jours, de nouveaux rêves et de nouveaux désirs.
Le temps reste complice de ce destin.
Partageons ensemble ces lendemains.
J'apprécie chaque moment.
Dont Vous êtes présent.
Qui seront pour moi inoubliable.
Parce qu'ils auront été réalisable.
Grâce à Vous.
Et par Vous.
Certaines batailles intérieures.
Sont livrées avec des pleurs.
Que je dépose à vos pieds
En ces avancées libérées
Pas un jour, il ne se passe.
Sans que je ne repense.
A ces heures intenses.
Qui ont laissé des traces.
Des traces indélébiles et gravées en moi.
Des heures de plaisir, le son de votre voix.
Garder mon sourire.
Vivre Vos Nos désirs.
Et savourer avec Vous autant que permis.
Tous ces moments où nous serons réunis.
Mon choix de Vous appartenir a été fait en toute connaissance de cause.
Au vu de nos vies respectives.
J'ai accepté d'être votre avec ce que cela implique.
Et de la sincérité de nos échanges et ce depuis bientôt 19 mois.
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Intensité de l'instant, puissance du moment, Vos anneaux.
Difficile de décrire certaines sensations, émotions, il faut les vivre.
Les mots ne peuvent écrire certains actes.
Il y a des actions impensables et réalisables, réalisées, réalité par le don en Son Maître, Son respect en Ses paroles et actes.
Signe d'appartenance à mon Maître.
Symbole fort dans la relation qui est la Notre.
Appréhension, pudeur.
Vous m'avez accompagné, présence indispensable en ce partage, acte.
Détendue, allongée sur la table, pour que le perceur fasse les points au marqueur à l'emplacement choisi par Vous, Vous déplaçant pour regarder si les marques convenaient avant de procéder à l'ultime étape...
Dommage de Vous demander de quitter la pièce, quelques minutes le temps de percer.
Nos regards échangés à cet instant....
Quand il m'a dit prête : j'ai fermé mes yeux pour mieux apprécier ce moment, je les ai vite ouvert devant ce serrement, cette compression qui a été l'espace d'une minute voir deux, en respirant par le ventre pour me détendre.
Le temps de passer les anneaux, puis il m'a tendu un psyché, j'ai pu visionner mon intimité ornée.
Il Vous a appelé, Vous me demandant comme cela s'était passé, Vous positionnant en face de moi pour 'admirer' mes et Vos anneaux d'appartenance.
Quelque photos vous avez prises.
Acte accompli en accord de Notre relation, le temps de la réflexion, le temps de l'écoute.
Des pas à Vos cotés dans la confiance totale de Vous.
Avec des anneaux des possibilités : un petit cadenas...
Des étirements au moyen de poids divers, lien, petite chaine.
J'aime porter Vos marques, marque de mon appartenance, marque de ma dépendance.
Certaines symboles se décident à deux et quand la relation est forte, que les choix sont communs, pourquoi ne pas les avoir sur et dans sa peau, comme une empreinte, une signature.
Ces anneaux me lient à Vous, force de Nous.
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Don de ma merveilleuse soumise, offrande de son intimité acceptée en témoignage d'appartenance.
Ton Maître.
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Garce, salope, infâme créature
Tu me séduis, tu m’avilis, tu m’humilies sans mesure
Tu me précipites dans ton univers de luxure
Tu me fascines de tes rondeurs de tes courbures
Tu m’enivres du parfum de ta longue chevelure
Tu provoques mes sens de tes insolentes cambrures
De ton corsage tu ouvres l’échancrure
Ton arrogante poitrine tu exhibes avec désinvolture
Pour mieux troubler mon âme, me posséder sans mesure.
Je ne suis plus rien que ton sujet, ton objet de luxure
Tes gifles ne sont rien comparées à aux injures
Que tu me craches en pleine figure
Tu t’esclaffes quand je sursaute sous tes affronts les plus durs
Quand je trépigne sous les plus vives de tes morsures
Quand je me cabre sous les plus cruelles de tes piqûres
Qui s’abattent comme la grêle sur ma membrure
La transperçant de mille et une brûlures
Tandis que Tu t’esclaffes de ton rire si dur
Ma bouche n’est pour toi qu’une monture
Que tu chevauches avec désinvolture
Dans laquelle tu te soulages de ton infâme mixture
Que j’avale comme le nectar le plus divin le plus pur
Pour bafouer ma vanité, tes mots sont toujours plus durs
Pour toi les males ne sont que d’inférieures créatures
Qui voudraient se dissimuler derrière une pitoyable armure
Que tu tailles en pièces , dont tu décries l’imposture
L’orgueil masculin n’est pour toi qu’une cible impure
Dont tu aimes voir tomber le pantalon pour prendre la ceinture
Et y imprimer de rougeoyantes zébrures….
De tes talons tu écrases ces bouffissures
A tes pieds tu en fais cracher la souillure
Avant de me faire lécher tes chaussures
Et tu contemples ravie la male déconfiture
L’orgueil masculin en fâcheuse posture
Le male mis en face de sa petite chose miniature
Maîtresse, Déesse, Amazone vengeresse, je t’‘en conjure
Diabolique et fascinante créature, je T’abjure
Entends les aveux que dans murmure
A tes oreilles je susurre
Je T’en supplie, sublime Créature
Laisse moi m’enivrer de ces parfums si purs
Avec Toi je veux explorer cette démesure
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Vraiment c’est un régal pour Vous
D’avoir le male insignifiant à genoux
Nu et menotté devant Vous
Honteux, furieux comme un pou
Il est à poil, votre jupe dévoile tout
Il est à genoux, Vous êtes debout,
Belle et désirable comme tout
Sa queue n’est rien pour vous
Qu’une limace dont vous étrillez le bout
Sans qu’il puisse esquiver vos coups,
De le gifler à lui mettre le feu aux joues
Pour qu’il écarte bien les genoux
Et expose ainsi ses grotesques bijoux
A vos coups de pied par-dessus par-dessous
Par devant par derrière, qu’il sursaute comme un fou
Son ridicule et misérable coucou
Ce bout de viande tout mou
A la colère de votre courroux
A la furie de Vos coups,
Coups de pieds, coups de ceinture,
Coups de talon, coups de chaussure
Dans les couilles et en pleine figure
Dans sa bite, infâme pourriture
Nauséabonde créature
De la couvrir de zébrures….
De le narguer de votre majestueuse poitrine
Qui se gonfle d’adrénaline
Tandis que vous lui cinglez la pine…
Vraiment si c’est un régal pour Vous
De le rendre furieux comme un pou
De le sentir devenir teigneux, furieux
De le toiser de votre regard dédaigneux
De ricaner à ses propos haineux
De redoubler de conviction
Quand viennent ses supplications
De vous moquer de sa capitulation
Quand votre plaisir serait de le meurtrir
Quand votre jouissance, se nourrit de sa souffrance….
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En ce jour de l'automne, dix huit mois se sont passés.
Le 23 mars 2010 : un feeling réciproque, des désirs partagés.
Le respect était au rendez vous, comme aux rencontres qui ont suivies, et qui se suivent avec Vous.
La confiance, la complicité, la sincérité et le dialogue qui sont le ciment de Notre relation.
Vous avez su m'apprivoiser, devant Vous, je plie.
Pourquoi je me soumets : parce que c'est Vous que j'ai choisi comme une évidence, c'est Vous qui avez su faire naître cet élan d'abandon, de progression, de découvertes.
Il est des émotions que je garde dans ma peau, comme des empreintes de plaisir sublime, éphémères ou temporaires, mais inoubliables.
Il est des petites victoires sur moi, comme certaines peurs qui ne sont plus, parce qu'enfin avec Vous, j'ai pu y parvenir.
Pourquoi cela : parce que c'est Vous, Votre façon de Vous comporter, de me respecter qui m'a encouragé à le faire, pour franchir certains obstacles, une lutte intérieure en moi, puis le dépassement.
Vous et cette subtile alchimie qui enflamme mon esprit et embrase mes sens.
Vos mains habiles et indécentes, celles qui me fouillent, me caressent, me marquent, s'introduisent.
Addict à Vous, je suis.
Vous avez su faire naître par Votre sincérité, courtoisie et savoir vivre, des découvertes, du plaisir, de la jouissance, de l'humiliation, des sensations, des émotions.
Ce qui était caché en moi, a été révélé par Vous.
D'un mot, d'un geste, Vous faites avec mes complexes, pudeur et retenue et m'invitez à l'abandon total.
Avec Vous le lâcher-prise. La fusion de nos esprits.
L'alchimie de Vos, Nos désirs.
La valeur de Nos places respectives.
Avec Vous une communication sans mot quelque fois, faites de ressenti, d'approche instinctive, la spontanéité est dans l'authenticité.
Confiante et sereine des demains, encore et encore.
Chaque rencontre est un moment fort. L’échange cérébral conduit à des heures d’un partage très intense, sans limite, d’une grande sensualité et gourmandise.
Parfois dans le BDSM, certains (es) désespèrent de ne pas rencontrer La personne de confiance, de respect, de sincérité.
Il faut garder espoir et la persévérance. Patience tout arrive à qui sait attendre, le vouloir et y croire.
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Dix-huit mois bientôt.
Dix-huit mois d’un merveilleux chemin sur lequel tu avances en toute confiance.
Un chemin fait de respect, de dialogues, d’écoute, de compréhension et d’attention.
Un chemin parfois périlleux fait de marques, de douleurs ; quel plaisir de te voir souffrir pour moi, de laisser mes marques sur ta peau, de te savoir prête et offerte à mes sévices.
Un chemin de solitude à accepter comme tu le fais avec courage lorsque les circonstances de la vie nous tiennent parfois éloignées plus longuement l’un de l’autre.
Un chemin de complicité depuis notre première rencontre, le premier regard échangé qui en disait déjà long sur nos envies.
Un chemin de progression pas à pas et de découverte du bord de mer aux caves parisiennes.
Ton endurance et en particulier sous le fouet, fait de toi ma merveilleuse soumise.
Ton Maître
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Avec les vagues de plaisir...Son dévouement, sa dévotion...On se prendrait à s'attendrir, à s'attacher même...A l'heure du départ :"Donne-moi mes bottes !Ravi, avec enthousiasme et un sourire, il va les chercher, me les tend.- Mais non, pas comme ça !Je tends un pied.- Ah oui...Rougissant, souriant mais confus, il se penche, met un genou à terre, entreprend de me les enfiler, une puis l'autre...- Oui, c'est mieux !"Mmm...Rien que pour ce moment (et le reste...), ça valait la peine de venir...
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Chère Martine, vos yeux bleus m'ont éblouis
mais je ne me rappelle plus comment nous
faisions l'amour en unissant nos langues, en
mélangeant nos membres.
Chère Marie, vos yeux gris m'ont ému, mais
je ne me rappelle plus comment votre jouissance
vous tirait des larmes que je léchait, vos seins
si fermes qu'ils me blessait.
Cher Patrice, vos yeux vert, jaune en colère,
m'ont fait oublier comment je me suis donné à
vous, comment mon corps fut votre jouet, si
tendre, si doux, si bon.
Chère Geneviève vos yeux noirs m'ont donner
espoir, mais je ne me rappelle plus votre soif
d'amour, qui épuisés, ruisselant, vidés, nous
terrassait, dans le fond des draps chiffonnés.
Chère Murielle vos yeux marrons étaient bons,
mais je ne me rappelle plus comme vos caresses
semblaient douces, comment d'une main malhabile
vous me preniez en vous.
Chère amis perdus je voulait vous écrire ceci
Madame à des yeux arc en ciel et elle me donne
du miel, de temps à autre, j'ai le droit de jouir
avec mes doigts, avec tendresse j'embrasse ses pieds,
mes amis disparus, priez pour moi, j'aime être perdu.
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Votre repos estival.
Il fut long, entre imprévus et aléas de la vie.
6 semaines sans pouvoir se rencontrer et demain bonheur de Vous.
Patience, obéissance, impatience cette dernière semaine.
Respect de Vos consignes, de Votre silence pendant certains jours.
Des écrits pour Vous en cette pause.
Vous parler, vous dire, exprimer mes ressentis.
Certains faits sont là, on se découvre autrement, quand patience se veux.
L'appartenance n'est pas simple.
C'est dans certaines épreuves que l'on voit l'attachement, le ciment qui est là, quoi qu'il arrive, le soutien de chaque instant, jour est précieux.
Bien que lointaine et proche, mes pensées vont vers Vous.
Demain, Vous signerez Vos maux sur ma peau.
J'ai à découvrir avec Vous, comme cette signature sur ma peau bientôt.
Hâte de plonger mon regard dans le Votre.
Hâte de Vous retrouver.
Je sais qui Vous êtes, depuis ce premier jour et à ce jour Vos paroles et actes ont toujours été, avec Vous la réalité.
Notre confiance partagée, Notre complicité, suffit d'un regard parfois.
Et ce respect que Vous avez en TOUTE circonstance de Vous, de moi, de Notre relation.
Je suis heureuse d'être votre.
Kocham Cię moja milosc Mistrza
Le 17 août 2011. 23h23
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Le silence ne s'entend qu'à travers l'attente
Le silence est 'Hérault', partage ma présence
Le silence est magie, il porte l'espérance
Le silence est sérénité dans la confiance
Le silence a ces aléas de la vie
Il faut respecter celle et celui ci
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Monsieur en Vous, j'ai reconnu Mon Maître
Vous êtes celui de mes pensées secrètes
Celui qui me donne l'envie de me soumettre
Avec Vous des envies et désirs sont partagés
Des avancées se sont faites dans la réalité
Mes yeux par Votre regard est captivé
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Blotti sous la tiédeur des nymphes repliées
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clitoris, corail vivant, cœur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.
Toute la Femme vibre et se concentre en lui
C’est la source du rut sous les doigts de la vierge
C’est le pôle éternel où le désir converge
Le paradis du spasme et le Cœur de la Nuit.
Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent
À ses moindres frissons les mamelles se tendent
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.
Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges
Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
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Il y a le cercle, l'accord entre le soumis et le dominant. Cet accord relève du monde sous contrôle. Et il y a le cercle lui-même où le contrôle et l'abandon ne relèvent plus d'une seule individualité mais sont distribués entre les partenaires, à chacun selon son rang. L'abandon de soi au soumis, son contrôle confié aux mains du tiers dominant. La séance est un jeu. Ce jeu est le renversement du moi, un autre je.
Je suis mis à nu, dans ma vérité. Une vérité oubliée sous les contingences du monde sous contrôle. Pourtant comment ne pas se sentir ridicule, grotesque ? Cette nudité est devenue étrangère. Et pourtant c'est moi-même. Je suis donc étranger à moi-même ? Au ridicule s'ajoute la honte de la situation. Honte de s'exposer à un autre regard. Ces sentiments témoignent du basculement dans un autre univers, inconnu, dont les valeurs échappent aux normes habituelles et familières, au-delà du cercle. Ici, rien de caché et de secret où s'enfermer dans son intimité. Du contraste naît l'inconfort et l'embarras du novice.
A cela s'ajoute la crainte et l'insécurité. Ce contrôle connu n'a plus sa place désormais. Il m'échappe. Il est à l'autre, dans sa voix et dans ses gestes. L'obéissance et la discipline ne sont plus de la dimension de mon être mais dans un dialogue des partenaires. Le cadre fixé dans un moment où le désir le dispute au fantasme prend soudain une silhouette vague et confuse, terrifiante même, ajoutant à l'anxiété.
Le soumis se fait proie. Une proie consentante. En se soumettant à l'autre, il se soumet à lui-même. La règle et les épreuves subies sont celles dont il a lui-même défini le cadre avec le partenaire dominant. Pourtant peut-il échapper aux effets de cette loi auto-infligée par l'entremise du dominant ? L'humiliation, l'inconfort, la douleur ressentis sont inéluctables. Ils ne sont pas recherchés pour eux-mêmes seulement inéluctables. Il cherche à en dominer les effets et à se dominer lui-même.
Lâcher prise dans l'offrande de la soumission n'est pas de la passivité. C'est le renversement induit par l'entrée dans le cercle. Je m'offre à moi-même ma docilité, mon obéissance, ma soumission. La dualité soumis/dominant crée une unité. Celle du collectif à travers la réunion des individualités. L'acte de soumission sous sa forme de passivité dans l'exécution de l'acte révèle la participation du soumis aux épreuves. Le gage ou la punition relèvent de sa demande. Le dominant qui agit en devient l'exécutant, dans une forme d'action passive. Ainsi, s'abandonner au plaisir de l'autre reviendrait à se soumettre à son propre plaisir.
Je me soumets pour lâcher prise, afin de mieux prendre conscience de moi-même.
Luciole,
soumis patient aux portes de la soumission.
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J’ai choisi de vous narrer ici-bas ma première expérience en tant que Dominant. Cette expérience a conditionné ma vie sexuelle à partir de cet instant. Si vous désirez lire la suite, commentez…
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Une très grande ville de Province, un soir d’hiver. Ce vent froid en rafales puissantes me brûlait les oreilles et me demandait de ne pas m’attarder dans les rues mal éclairées par des lampadaires vacillants et trop peu nombreux. J’avais été invité par un ami proche à un vernissage d’une exposition de peinture contemporaine, et quelques mètres me séparaient encore de ma destination. Il m’avait promis de rencontrer des personnes intéressantes, un public passionné, des discussions enflammées au sujet de l’artiste qui exposait enfin dans cette galerie.
Le froid humide avait presque pris en défaut et percé mon lourd manteau. La galerie est là. J’ouvre la porte, créant un appel d’air qui siffle et résonne dans la galerie. Toutes les personnes présentes se retournent. Manifestement pour jauger la personne qui vient de faire s’échapper bruyamment quelques calories de cette salle surchauffée.
Mon entrée produit un effet inattendu sur l’assistance. Ma stature, je suis déjà grand, 2m, est amplifiée par le jeu d’ombres et de lumières. Je lis fugacement du respect et de la jalousie dans le regard des hommes. Je note de l’effroi, de la surprise, dans le regard de certaines femmes.
Arrivée peu discrète une fois de plus. Je sais que je laisse rarement indifférents les personnes qui me rencontrent, mais là c’est la version lourde, version éléphant débarquant dans un magasin... vous connaissez l'image. Mon ami lève son bras et agite sa main pour que je le repère dans la foule… rires… je l’avais déjà vu, avantage de ma vision en hauteur.
Je me fraie un chemin jusqu’à lui. En fait la foule s’écarte devant moi au fur et à mesure de ma progression, les personnes qui s’écartent continuant de me dévisager, certaines me souhaitant la bienvenue d’un hochement de tête.
- comment va-tu, Benjamin ? dis-je en arrivant à la hauteur de mon ami.
- très bien, Philippe. Viens, je vais te faire visiter l’exposition et te présenter à quelques connaissances
Nous voilà parti à faire ce tour. Nous visitons le premier niveau de l’exposition. L’artiste réalise des compositions à base de photos et de surcharge de peinture. Une grande partie de son œuvre dégage une charge érotique de très bon ton. Intéressant, mais rien de ce que je vois ne pourra entrer en harmonie dans mon intérieur. Mes commentaires, même pertinents, sont, comme souvent, emprunts d’un humour sarcastique que je suis d'habitude seul à comprendre. Arrivée au bout du premier niveau, nous sommes accompagnés de plusieurs femmes et d’un couple, qui écoutent et rient au gré de mes saillies.
- on va faire un tour au buffet, et on passe au deuxième niveau ? c’est pour un public plus averti, mais je ne sais pas encore pourquoi, il semble que ce soit encore un secret bien gardé… m’informe Benjamin.
- le buffet est là-bas, poursuis-je, aidé par ma vision périscopique.
En cherchant le buffet de loin, mon regard croise fugitivement celui d’une femme qui semblait me scruter. Mon regard revient en arrière, je la fixe. Elle me regarde deux secondes, droit dans les yeux, puis baisse ceux-ci. Intrigué, je reste à la fixer. Elle relève ses yeux encore une fois, soutient mon regard en rougissant délicatement, et rebaisse les yeux.
Benjamin vient d’assister à ce petit échange de regards avec un air amusé.
- Ca y est, une victime de plus du charisme de Philippe, tu lui as grave tapé dans l’oeil. Tu veux que je te la présente ? c’est la directrice de la galerie, s’exclaffe-t’il.
- Dis m’en un peu plus sur elle. C’est une bombe, cette femme…
- Je crois qu’elle est divorcée, mais je n’en suis pas vraiment sûr. En tout cas tu sembles avoir une ouverture.
- On va vite le savoir, présente la moi.
Cinq mètres nous séparent, qui me laissent le temps de la déshabiller du regard. Elle doit avoir entre trente-cinq et quarante ans, une posture que je qualifierais de conquérante, elle est l’organisatrice de ce vernissage et elle est visiblement fière du succès de celui-ci. Elle a des formes qui sont un appel criant au sexe. Elle sait se mettre en valeur avec classe. Elle porte un tailleur Dior et son chemisier avec un décolleté assez ouvert fait la promesse visible d’une poitrine généreuse. Ses escarpins lui dessinent des jambes de folie. Des cheveux blonds cendrés coiffés en un chignon élaboré lui donne une touche de sévérité et d’austérité qui contraste avec ses formes. Intrigant au plus haut point, ma curiosité est vraiment piquée au vif.
Nous avançons vers elle, elle soutient maintenant mon regard totalement. Je m’arrête. Mon regard parcourt lentement l’intégralité de sa personne. Elle fait de même avec moi. Un jeu vient manifestement de démarrer… un jeu de séduction, sans aucun doute…
- Sophie, permet moi de te présenter Philippe, un ami proche en visite dans notre belle ville. Je l’ai invité à ton vernissage en me disant que ce serait une opportunité de le sortir et pour lui de tisser ici un réseau social.
- Enchantée, Philippe. Vous êtes des nôtres pour longtemps ?
- Enchanté de même de vous rencontrer, Sophie, j’ai un contrat qui me garde ici pour les trois mois à venir. Je suis impressionné par ce vernissage.
- Vous en avez déjà fait le tour ?
- Non, pas encore. Benjamin vient de me dire qu’il y a encore une deuxième partie de l’exposition, pour public averti ?
- C’est exact, mais nous n’ouvrirons cette partie du vernissage qu’à minuit. Ça fait partie du concept. C’est un teaser pour exciter un peu nos invités et les inciter à sortir leurs carnets de chèques.
- Dommage… je ne suis pas sûr de rester jusqu’à minuit. Faites moi donc une visite privée en avant première !
- Je ne peux pas… je le regrette vraiment, d’ailleurs…
- Ce n’est pas une demande, c’est un ordre !
J’appuie cette dernière phrase, cette boutade insolente, d’un grand sourire carnassier souligné par un clin d’œil discret. Sophie reste interloquée, les yeux grands ouverts. Et après une pause de quelques secondes qui me paraît une éternité, réplique avec un sourire désarmant :
- En fait oui, je vais vous faire cette faveur. Une visite privée. Très spéciale.
Mon rythme cardiaque vient d’accélérer soudainement. Serait-ce une proposition ? Le doute subsiste, et je décide de le lever.
- Avec plaisir, Sophie. Mais je tiens à ce que soit une visite vraiment privée. Nous deux et personne d’autre.
- Absolument. Nous y allons ?
- Je vous suis, Sophie.
C’est donc vraiment une proposition. Sophie passe devant moi en me frôlant très ostensiblement. Je suis passé à 180 pulsations/minute…
Benjamin a la délicatesse de se faire discret et de s’écarter en m’adressant une moue assez évocatrice que j’interprète comme : « bien joué mon gars, fonce ». Je le soupçonne d’avoir très envie d’être à ma place.
Je suis Sophie vers un escalier descendant, protégé par un panneau « Ouverture de la deuxième partie de l’exposition à minuit ». Nous contournons le panneau, descendons les degrés jusqu’à une porte en bois massif. Sophie tape un code sur le système de sécurité et la porte s’ouvre. Nous entrons dans la salle, celle-ci est dans une pénombre prononcée pour que les œuvres, éclairées par des spots concentrés, bénéficient d’un contraste propre à leur mise en valeur. Sophie referme la porte et précise :
- Voilà, il n’y a que moi qui ai le code pour ouvrir la porte de l’extérieur, nous sommes tranquilles.
- Très bien, nous allons pouvoir interpréter ces œuvres comme bon nous semble. Quel est le sens de lecture de l’exposition ? la première toile à admirer ?
Je suis Sophie qui se dirige vers la première toile. L’artiste a été probablement très inspiré des dessins érotiques de Luis Royo, qui mettent en œuvre des personnages fantastiques, souvent des monstres, et de superbes créatures féminines dédiées à leur bon plaisir.
Cette toile représente un monstre mâle en érection, debout, et une superbe femme nue agenouillée à ses pieds lui procure une fellation avec un regard conquis. Je sens Sophie figée et frémissante juste contre moi, le regard fixé sur cette première toile. Elle ne bouge plus, comme fascinée. Je me lance.
- Sophie, la puissance érotique de cette toile m’inspire de manière impressionnante. Pas vous ?
- Très certainement. Juste une petite mise au point entre nous si vous le voulez bien.
- Bien sûr. Dites-moi ?
Sophie, toujours le regard fixé sur la toile, commence à parler avec un débit très rapide et saccadé à la fois. Une émotion intense la submerge visiblement.
- Ne vous faites pas d’idées sur qui je suis. En fait je n’ai pas touché à un homme depuis ma séparation avec mon ex-mari il y a 3 ans. Et aucune envie d’en toucher un. Vous avez déclenché en moi une envie que je ne me connaissais pas. Je n’ai pas envie d’une relation banale. J’ai envie de jouer, de provoquer, de découvrir… de faire des choses qui m’ont toujours fait envie… J’ai une envie terrible. Votre regard, votre manière de me parler me font fondre. Dites-moi que je ne me trompe pas sur vous ? Dites-moi ???
Elle se tourne vers moi et me regarde. Je déglutis. Gêné mais toujours excité. Où veut-elle en venir ?
- Heureux de voir que j’ai ressuscité votre désir. Dois-je comprendre que je suis un moyen privilégié d’assouvir certains de vos fantasmes ?
- Oui, Maitre
En une seule réponse de deux mots, la lumière vient de m’éclairer avec force. Je viens de comprendre ce qu’elle veut. C’est la première fois qu’on m’appelle Maître, mon surnom étant plutôt de temps en temps « double-mètre ». Il va falloir que je comprenne vite les règles du jeu, c’est la première fois aussi pour moi. Ça me plait. Mon niveau d’excitation vient de bondir d’un cran.
- Sophie, nous allons réinterpréter la toile à ma façon. A genoux !
- Oui, Maître
Sophie se met lentement, très lentement, à genoux devant moi, sa bouche arrive à la hauteur de mon sexe qui ne demande qu’à être libéré de sa prison de tissus. Elle ne bouge plus. Après quelques secondes, j’ouvre ma ceinture et dégrafe mon pantalon.
- Sophie, libère-moi de ce piège de toile
- Oui, Maître
Sophie s’exécute, elle fait descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Inutile de dire qu’elle découvre un sexe en pleine érection. Mon excitation est telle que je suinte déjà du liquide pré-séminal. Elle le regarde avec gourmandise mais semble se retenir. Je comprends qu’il faut que je la guide par des ordres et des directions précises.
- Sophie, suce-moi et branle-moi
- Oui, Maître
- Mais attention, je ne veux pas jouir.
- Oui, Maitre
- Tu t’arrêteras net quand je dis stop !
- Oui, Maître
Sophie commence par happer avec sa langue le bout de mon gland pour récupérer ma liqueur pré-séminale. Elle parcourt ses lèvres avec sa langue pour me montrer qu’elle en apprécie le goût.
Elle entreprend une longue exploration avec sa bouche de l’ensemble de mon sexe, et vient de lécher les testicules avec douceur. Elle me regarde de temps en temps pour vérifier si j’apprécie… Elle n’a pas oublié comment donner du plaisir à une homme…
En fait non, je n’apprécie pas tant que ça, car la position debout pour une fellation n’est pas agréable sur le long terme. Il y a un sofa qui nous tend les bras à deux mètres de là, et je compte bien en profiter.
- Sophie, tu ne respectes pas l’œuvre originale de l’artiste. Tu devrais être nue. Déshabille-toi immédiatement !
- Oui, Maître
Sophie ouvre sa veste de tailleur, retire son chemisier échancré. Pas de soutien-gorge, ses seins sont juste superbes.
- Sophie, tu gardes uniquement tes bas et tes escarpins
- Oui, Maître
Je lui ai demandé de garder ses bas, j’espère qu’elle n’a pas eu la mauvaise idée de mettre des collants. Soulagement, une fois la jupe de son tailleur retirée, elle retire son string et se retrouve dans une tenue minimaliste qui me fait baver.
Entre temps, je me suis dirigé vers le sofa avec une démarche de pingouin (toujours le pantalon sur les chevilles) et je me suis enfin débarrassé de mes contraintes vestimentaires. Je suis maintenant nu sur la partie inférieure de mon corps, et habillé sur la partie supérieure. J’en profite pour vérifier que j’ai bien mes préservatifs de secours dans la poche droite de mon veston… Oui, ils sont là. J’en ai seulement deux, il va falloir que je gère mon excitation…
Je me vautre sur le sofa, enfin une position confortable.
- Sophie, viens entre mes jambes, et fais ton travail consciencieusement.
- Oui, Maitre
La position que j’ai prise lui permet une grande liberté et de me lécher vraiment partout. Elle passe sa langue brièvement sur mon anus et semble hésiter.
- Lèche moi l’anus. Fais moi plaisir.
- Oui, Maître
Elle se déchaine en poussant de petits cris. Elle fait ça très bien. Instinct ou expérience ?
- C’est très bon… Tu as fais ça souvent ?
- C’est la première fois Maître. C’est la journée des premières fois, Maître.
Elle vient sucer les bords de ma hampe, l’englouti de temps en temps pour mieux la branler la seconde suivante. Je sens mon excitation monter autant que la sienne. Nos souffles sont courts et accélèrent. Il est temps de calmer le jeu si je ne veux pas jouir, je suis proche du non-retour...
- Sophie. STOP !!!
- Oui, Maître
Je reprends le contrôle. L’éjaculation n’était vraiment pas loin. Je souffle un grand coup.
- Debout devant moi que j’admire un peu ton corps.
Sophie se met au garde à vous. Je suis assis au bord du sofa, j’ai ses seins juste devant mes yeux, ses tétons érigés d’excitation.
- Ecarte un peu les jambes
- Oui, Maître
Ma main se dirige vers son sexe. Elle a fait le choix d’un sexe glabre, ce qui me convient tout à fait. Je caresse délicatement son clitoris, elle se met à vibrer, ses jambes chancellent. Son sexe est trempé à un point difficilement imaginable. L’intérieur de ses cuisses est une vraie patinoire…
- Sophie, je t’interdis d’avoir un orgasme avant de t’en avoir donné l’autorisation. On est bien d’accord ?
- Oui, Maître
Heureusement que j’ai discuté un peu avec elle avant, sinon je pourrais penser que son vocabulaire est très limité… J’ai une folle envie de la prendre tout de suite, sauvagement. Mais le jeu m’attire. Je suis sur un nuage. Je suis venu à un vernissage, et je découvre une complice de jeux d’une manière très inattendue…
- Sophie, cette première toile nous a bien inspiré. Que nous dit la seconde ? Montre la moi.
- Oui, Maître
Nous nous dirigeons vers la deuxième toile, elle avec ses bas et ses escarpins, son sexe dégoulinant de désir, et moi en chemise et veston sans rien en dessous à l’exception d’une érection triomphante proche de l’explosion…
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voulez-vous lire la suite ? vous avez la parole...
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Amoureux d'une femme ?
Je ne pensais plus que ça puisse m'arriver.
Et puis, surtout, pas comme ça;
un désir à découvrir encore,
une histoire D/s à son état embryonnaire,
Tout à faire.
Juste cet élan amoureux et tendre, indécent, presqu'inutile.
Quelle folie.
Aurais-je été seul, mais non, la garce m'aime aussi dirait-on.
Folie partagée.
Impossible de passer une journée l'un sans l'autre.
Amoureux, vous dis-je.
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Une fois le service fini, elle me fit m’assoir à table sur le banc en face d'elle.
Nous nous instamment tranquillement, buvant nos café, et elle me donna mon profil pour mon rôle à jouer.
Je m’appelle donc Virginie Desbas, jeune fille timide et réservée, qui sort juste de son école de secrétariat mais qui n'a pas eut son diplôme à cause d'une orthographe déplorable et d'une maladresse compulsive.
En plus de ça, je ne sait pas m'habiller correctement, j'ai beaucoup de mal à m'assumer et à me mettre en valeur et je m'habille comme un sac, en garçon manqué et passe au mieux inaperçue partout ou je vais.
J'ai loupé des douzaine d'entretiens d'embauche de secrétaire et je fais des ménage pour gagner de l'argent en attendant mais personne ne veut me garder à cause de ma maladresse et je casse plus d'objet que je n'en nettoie.
C'est donc mon entretiens de la dernière chance, la patronne est connu pour avoir des méthode plutôt originales et se basant plus sur la motivation que les compétences et toute celles qui sortent de chez elle trouvent des emploie de secrétariat prestigieux au prés de patrons, fonctionnaires et politiques très haut placés.
Je pris cinq minutes pour lire mon script et essayer de me mettre dans le rôle, et ça n'allait être ni facile ni très agréable... Je prenais le temps d'assimiler le texte lorsque je senti qu'elle perdait patience :
- "Hum hum... Bon s'il te fait une demi heure pour lire quelques lignes va falloir revoir tes cours de secrétariat depuis la base..." Me dit-elle en me faisant sortir de mes penser...
- "Mais c'est pas du tout moi ça comment veux-t-tu que je joue cette pauvre fille..."
- "Ho t'inquiète pas, tu lui ressemble beaucoup plus que tu ne le crois. Bon aller hop, on passe aux choses sérieuses si tu veux bien."
- "Bhen, c'est juste un rôle hein c’est pas vraiment sérieux..."
- "Et ce n'était pas vraiment une question... !"
Nous commençâmes donc l'entretiens. Elle me demanda des choses classiques, nom prénom, etc.. Mes études, mes expériences... Rien de bien hors du commun.
Mis à part le fait que j'étais habillé(e) en mini tailleur jupe, et que je n’arrêtait pas durant l'entretiens de devoir rabaisser un peut ma jupe trop courte. Elle n’arrêtait pas de remonter à cause des talons bien trop haut et très inconfortable que je n'arrivais pas à oublier et je ne pouvais m’empêcher de remuer les jambes, mais avec bien 15cm de talons, j'avais les cuisses collées à la table, je ne pouvais pas croiser les jambes une sur l'autre et je remuais de plus belle.
Elle continuait pendant ce temps de jouer son rôle d'employeuse, elle avait toute une série de questions sur tout un paquet de fiches et je me dit que ça risquait bien de prendre toute la journée, dans cette tenue.
Pour couronner le tout, ma veste n'avais plus de boutons, elle n’arrêtait pas de s'ouvrir largement comme je n’arrêtais pas de bouger, et je commençais à être de plus en plus mal à l'aise. Mon chemisier était très visiblement transparent, c'était la première fois que je portait un soutient gorge, devant mon amie et j'avais le nette impression de me retrouver directement exposée devant elle en lingerie...
Et plus j'essayais de refermer ma veste et de trouver une position pour la garder en place, plus ma jupe remontait, et plus j'essayais de garder ma jupe en place, plus ma veste se retrouvait ouverte et ma lingerie exposée...
Je répondais machinalement à ses questions, quand une en particulier me ramena brutalement à la réalité, me fis rougir et me mis plutôt mal à l'aise : "Est-ce que vous compter tomber enceinte durant votre contrat de travail ?"
Je me mis soudain à bafouiller une réponse négative bien sur, la fixant dans les yeux, cherchant sa réaction en demandant pourquoi cette question...
- "C'est une question de routine pour n'importe quelle femme, tu peux répondre "oui" ce n'est pas pour ça que tu échouera dans l'entretiens, mais l'employeuse doit le savoir pour s'en arranger à l'avance.
Mais je répondis toujours par la négative, ne pouvant assumer ni imaginer ce rôle.
- "Ho aller, tu peux être honnête, tu DOIS répondre "oui", pour que je puisse continuer l'entretiens et prévoir l'arrangement."
J'arrivais donc finalement à dire "oui". S’ensuivit toute une série de question toutes plus gênantes les unes que les autres. A quel moment, avec qui, si j'avais un homme dans ma vie, si je comptais faire une insémination pour l'élever seule, ou si j'étais lesbienne. Jusqu'à quel moment je comptais travailler au fil de ma grossesse, si je comptais prendre un congés maternité ensuite, etc...
Toutes ces questions me mettaient horriblement mal à l'aise et en plus de gigoter sans arrêt à cause de ma tenue, j’avais maintenant des tics nerveux... Mais je ne remarquais pas à quel point cela commençait à l'agacer et à la déconcentrer elle même.
Je commençais à me gratter les lobes d'oreille, je les avais percées il y a longtemps, mais je n'avais jamais mis de vrais boucles de femme, et leur poids se faisait sentir et elle remuaient à chaque mouvement. Je sentais le rouge à lèvre comme une fine couche humide et n’arrêtais pas d'essayer de les passer une sur l'autre. Le fond de teint, particulièrement sous le nez me démangeait tout le temps. Le mascara sur les cils les rendait si long et épais que je n’arrêtais pas de cligner des yeux. Tout cela n'avait rien de naturel pour moi et me gainait horriblement.
Lorsqu'elle se coupant en pleine question en me demandant si je voulait faire une petit pause, question à laquelle je répondit immédiatement oui.
- "Bien, fini ton café, va aux toilettes si tu as besoin et on va juste papoter tranquillement pendant une heure pour se détendre."
Je suivis son conseil et reviens m'assoir à ma place un peut plus détendue. Elle se mis derrière moi, me positionnant me dos bien droit, les jambes droites et collées, le buste bombé, les bras le long du corps, les mains sur les cuisses et la tête haute.
- "Bon on va faire une pause, tu va te détendre, et garder une position convenable sans gesticuler ni me déconcentrer sans arrêt !" Me dit-elle sur un ton amical, mais qui me faisait tout de même comprendre un début d'agacement.
Je dit que j'allais faire de mon mieux et je l'entendit s'éloigner un instant me lançant un "Ne bouge pas !", depuis le couloir.
Lorsqu'elle revint je l'entendit se positionner juste derrière moi, j'allais me retourner par réflexe lorsque que je senti sa main sur ma joue pour tenir ma tête droite en position, et elle me murmura à l'oreille : "On va voir si tu arrive à rester tranquille cinq minutes."
Juste cinq minutes... Mais ça me paraissais interminable. Ne pas bouger en attendant quelque chose n'est pas difficile et j'ai suffisamment de patience. Mais ne pas bouger en cherchant consciemment à ne pas bouger est une autre histoire.. Et le temps passe comme au ralentit.
Je l'entendait faire les cents pas derrière moi, se marmonnant des choses à elle même, je la sentais me frôler, tout faire pour me déconcentrer.
Je sentais ma jupe serrée sur mes cuisses, genoux contre genoux... Sentant le douceur de mes bas l'un contre l'autre même si je faisais mon possible pour éviter tout mouvement involontaire le plus imperceptible qui soit. Les talons très haut et trop petits qui ne se faisaient jamais oublier, mes jambes serrer l'une contre l'autre qui poussaient mes cuisses au plus haut à appuyer contre la table qui n'était pas prévus pour abriter des jambes si haut en talons aiguilles. Ma veste entre-ouverte et mon soutien-gorge quasiment à découvert devant supporter le poids de ma poitrine d'emprunt...
Soudain je senti un souffle dans mes cheveux. Elle me soufflait dessus prés de l'oreille droite, je n'avais pas l'habitude d'avoir les cheveux lâchés et j'ai le malencontreux réflexe de les refaire passer derrière mon oreille d'un geste de la main. Je compris de suite mon erreur, mais n'en réalisa pas immédiatement les conséquence.
Elle s'empara de mon poignet et y glissât une corde et avant que je puisse réagir l’enroulât autour de mon bras en m’immobilisant dans cette position.
- "Même pas cinq petite minutes sans bouger, à peine une petit quelque chose te déconcentre, et je demande à mes secrétaire de rester concentré, et disponible pour moi, à tout instant. Il va donc falloir travailler sur ces vilains réflexes et cette déconcentration si tu veux vraiment travailler pour moi..."
- "Hey.. mais... ! Qu'est-ce que tu fais... ?!"
- "Tu veux travailler pour moi où pas ? VIRGINIE !"
Dit-elle en appuyant sur le prénom de mon personnage, je compris qu'elle voulait que je reste dans le rôle...
- "Oui madame." Répondis-je d'une vois tremblante sans imaginer, sans même chercher à comprendre, ce qui se passerait ensuite.
- "Bien, alors première leçon, rester tranquille, détends toi et laisse moi faire, je te garantie que tu sera une bien meilleure secrétaire après mes leçons."
Sur ce, je la laissa faire, sans rajouter un mot de plus, je me réfugia dans mon rôle, me disant que cette situation des plus improbable ne m'arrivait pas à moi, mais à Virginie... Et que si cela était vraiment en train d'arriver à virginie, dans cette tenue, j'aimerais bien voir ça en spectatrice... heu spectateur... Voila que je commençais à m'embrouiller moi même...
Je laissais donc la scène se dérouler paisiblement, je ne disais pas un mot et je m'imaginais la scène depuis l'autre coin du salon, détaché, et trouvant cela terrible ment excitant, sexy, sensuel, nouveau...
Elle pris ensuite l'autre main de Virginie, la mienne en fait, la plaquât contre mon dos et tira une corde entre mes deux poignets, immobilisant de ce fait mes deux bras.
- "Ça va comme ça ? Tu es à l'aise ? Ça fait pas mal ?" Me demanda-t-elle, me ramenant directement à la réalité, prenant réellement conscience que c'était mon corps qui se faisait ligoter, et que j'étais bel et bien à l’intérieur à ressentir tout ce qui m'arrivait.
- "Oui c'est bon, je suis pas super à l'aise mais ça ne fait pas mal." Répondis-je d'un air timide.
Elle tira un peut plus sur la corde, jusqu'à ce qu'un petit "Ha !" timide mais présent ne m’échappe.
- "Ca fait mal là ?"
- "Non ça va encore, mais c'est vraiment pas confortable..."
Je le senti faire un geste sec dans mon dos, elle venait de faire un nœud à cette endroit scellant ainsi la position de mes bras, pour un temps qui me semblerais interminable.
- "Bien ! C'est quand c'est comme ça qu'on retient une leçon et que tu t'en rappellera."
En effet, impossible d'oublier la corde, c'était inconfortable, bien plus que le début de l'entretiens, mais cette fois je ne pouvais plus gesticuler, et ce n'était qu'un début...
S'ensuivit ensuite quelques cordes pour sécuriser ma positions, elle passa quelque fois autour de ma poitrine, dessus, dessous, m'enlaçant à chaque passage, son étreinte douce et chaleureuse, et en même temps forte et très présente. A chaque passage de corde, en m’enlaçait un peut plus fortement, à chaque fois qu'elle s'éloignait, la corde serrer un peut plus, comme si son étreinte restait en place pour que je ne puise plus penser qu'à ça.
Elle me ligotait le corps, mais elle ligotait aussi mon esprit, la sensation trop présente des cordes me retenait à l’intérieur, je ne pouvait plus m'échapper dans mon esprit pour imaginer Virginie, j'étais coincée à l'intérieur de Virginie, j'étais Virginie.
Elle me faisais un petit sourire en coin à chaque fois que nos regard se croisaient, et j'étais tout de même heureuse de la voir s’amuser comme ça, cela faisait longtemps que nous n'avions pas eut, mine de rien, une conversation aussi longue, que nous ne nous étions pas amusé comme ça, comme si nous retrouvions nos jeux d'enfants, à rigoler ensemble pour un rien, et sans mot dire, nous comprendre d'un simple regard... Et malgré mon inconfort, ma situation que je trouvais gênante au possible, habillée en femme, secrétaire hyper sexy, en train de me faire ligoter, quand nos regard se croisaient, le miens ne pouvait vouloir dire que "Vas y continue et amuse toi !"
Elle passât ensuite sous la table, et je referma instantanément, de gène, mes jambes l'une contre l'autre. Le temps de me faire ligoter les bras et la poitrine, je ne me contrôlai plus, et mes jambes avait reprise une position plus confortable, écartées et ouverte, mais on ne peut plus embarrassante quand elle arriva à se tenir sous la table juste en face de moi, et j’imaginai un instant ce qu'elle avait put voir. Si un jour elle m'avait dit qu'elle se tiendrais à un moment donné sous une table, à regarder sous ma jupe, mes jambes écartées et ma culotte bien visible...
Sans dire un mot, elle commençât a passer une cordes autour d'une cheville, puis autour de l'autre, mais je ne sentais pas mes deux cheville se serrer. Au lieu de ça, je la vie se tourner d'un coté du pied de la table, puis de l'autre coté à un pied opposé du banc...
- "Non, non non. Tu es plus à l'aise avec les jambes écartées ?"
Avant même qu'un seul mot ne sorte de ma bouche, elle tira d'un coup sec sur les deux cordes de chaque coté. Chaque cheville fut tirés à l'opposé l'une de l'autre, mes jambes s'écartèrent, et je rougie instantanément.
Elle avait laissé une trentaine de centimètre entre chaque cheville, et elle fit un nœud de chaque coté, au pied de la table et du banc, de manière à ce que mes jambes se retrouvent coincé à une certaine distance l'une de l'autre, ne pouvant ni plus les rapprocher, ni moins...
- "Je veux que tu sois à l'aise pendant la pause, si tu es plus à l'aise comme ça, grand bien te fasse." Elle se relevas pour venir s’assoir en face de moi. "Et puis tu as une si jolie culotte, j'aurais eut tord de m'en priver . Bon on avait dit une heure de pause, alors tu va tenir la pose maintenant."
Je rougie de plus belle, mais elle avait le chic pour me détendre, et pendant une heure, nous nous mimes à discuter de tout et de rien, comme deux adultes qui se retrouvent à une réunion d'anciens élèves avec plein d’anecdotes à se raconter. Comme si de rien n'était, ma position actuelle ne semblait pas plus inappropriée que ça, et en devenait simplement ludique. Elle mangeait sa tarte pendant que je la regardait.
- "Tu a le droit de manger aussi." Me dit-elle d'un ton joueur en me coupant un bout de tarte dans mon assiette.
Je m’amusais aussi de la situation, j'essayais de me pencher pour manger sans les mains, mais des cordes reliaient mes chevilles à mon dos et m’empochaient de me pencher suffisamment, je n'arrivait même pas à lécher mon bout de tarte, mais j'arrivais à la faire sourire.
Au bout d'une heure, une minuterie se mit à sonner.
- "Bien ! T'es prête à reprendre ?" Me lançât-elle d'un air enjouer.
- "Héhé, oui madame."
Elle se leva et se tins derrière moi, en passant chaque cordes de mon dos en revues, tirant de ci de là pour voir si tout restait bien en place.
- "Tu as bien retenue la leçon pour la position j'espère."
- "Oui, c'est bon j'ai bien compris là."
- "Tant mieux..."
Je commençais à avoir des fourmis partout, et ma condition me revins à l'esprit après ce petit moment de détente, et je trouvais ma position bien plus inconfortable que je l'imaginais après qu'elle m’aie fait ressentir de nouveau chaque corde.
Elle se replaçât sous la table, j'avais les chevilles écartées, mais je serrait mes genoux autant que possible.
Elle mis chaque main sur une cheville, testant là aussi les cordes.
- "Et pour tes jambes..."
Elle se mis doucement à me caresser les chevilles, elle remontât doucement les mollet, je sentais ses mains par dessus le voile de mes bas, sa caresse me donnât un frisson dans tout le corps. Elle remonta jusqu'à mes genoux.
Et elle les écarta d'un geste net.
- "Et tes jambes, tu compte toujours poser les jambes écartées ? A montrer ta culotte à n'importe qui ?"
- "Heu non madame, j'ai bien retenue la leçon, on ne peut mieux."
- "Tu vas garder les jambes bien serrées même si ce n'est pas confortable alors ?"
- "Ho oui madame, promis et je n'en bougerais pas cette fois."
Elle redescendis alors ses mains sur mes chevilles, et elle défit doucement les nœuds. Sans même me toucher, je sentais ses caresse à travers la corde qui glissais sur mes jambes, le léger crissement sur mes bas me fit replonger un instant dans mon monde de fantasmes. Des bas si doux sur de belles jambes si douce également, à même la peau, une peau de bébé bien épilée...
Elle s'affairait à commencer à me libérer pendant ce temps, et je me disais quand même que ce n'était pas trop tôt. Je pouvais m'habituer à la tenue de secrétaire, mais être ligoter comme ça tout une heure, plus le temps qu'elle avait mis à me ligoter depuis le début... Je n'était pas mécontenta de pouvoir recommencer à bouger un peut. Je me dégourdissait un peut les cheville en faisant des petit rond le temps qu'elle me libérait enfin.
- "Ho mais je sais que tu les serrera, et que tu ne bougera plus. Parce que je vais te l'apprendre maintenant."
Mes chevilles étaient libre, mais j'avais toujours une corde noué autour de chacune d'elles. Et d'un coup sec, elle tira sur une cordes et me chevilles se retrouvèrent collée l'une à l'autre sans aucune autre possibilité de mouvement.
Elle se relevant, se mis derrière moi, en tenant à la main un long bout de corde, celui relié à mes chevilles. Elle le fit passer à ma verticale sous al table et sous le banc, et fit remonter la corde jusque dans mon dos, en serrant bien plus cette fois, forçant mes pied à revenir en arrière jusqu'à ce que le hauteur de mes cuisses colle à la table, et sécurisa cette position d'un nouveau nœud.
Elle ne me libérait pas, elle m'enfermait dans une nouvelle position.
Elle sécurisa sa prise avec plusieurs allés et retours entre mes chevilles et mon dos, la passant même autour de ma poitrine de sorte qu'en tirant sur mes jambe la pression se faisait sentir sur ma cage thoracique.
Elle se releva, vérifia son ouvre une dernière fois.
- "Bien !"
Je me retournais vers elle d'un air interrogateur...
- "Il est 10H30, on a encore bien 2H d'entretiens pour se matin, on a pris du retard avec tout ça mais ça peut aller..." Me lançât-elle amusée et en fredonnant tout en retournant s'assoir en face de moi pour trier ses fiche et recommencer l'entretien d'embauche de sa secrétaire...
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Un bandeau sur les yeux
Cache mon regard bleu
Une porte fermée
Mes poignets menottés
Je Vous entends arriver
Vous allez me dominer
Je laisse mon corps exulter
Et Vos mains me caresser
Ivre de Vos baisers
Mes désirs se laissent exaucés
Je sens Votre glaive en mon corps
Et j'en veux plus encore
Je me livre à Vos instants
Vous m'attirez tel un aimant
J'aime être attachée
Je me sens libérée
Vous détachez mes poignets
Et Vous m'enchainez
Chaîne reliée à mes pieds
Mais la nuit est passée
Et je réalise que j'ai rêvé
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Franc
Respectueux
Attentif
Naturel
Complice
Ode
Instinct
Sensations
Ferveur
Regard
Abandon
Nuque
Cravache
Offrande
Instants
Sincère
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Vendredi 15 novembre
Première séance à trois
Moment enfin arrivé. Je suis très émue et très excitée. De savoir que nous allons commencer notre première séance à trois me bouleverse et me stimule. J’attendais tellement ce moment, pouvoir réaliser un de vos rêves, un de vos rêves que je partage pleinement aujourd’hui. Rêve d’avoir deux soumises qui s’abandonnent à vos perversions.
Vous nous placez l’une face à l’autre, marine à genoux, cuisses ouvertes lisant un texte que vous avez écrit avec les règles de base pour devenir une bonne soumise et moi attachée sur le fauteuil.
La lecture de marine me replonge au temps où j’avais moi aussi découvert les règles, vos règles pour devenir une bonne soumise, votre soumise. Je me souviens à l’époque le ras de marée en moi, bouleversée entre ce que représentaient ces règles dans la réalité et mon souhait de les vivre.
Vous installez la love machine entre mes cuisses ouvertes, mon sexe est déjà trempé de désir et pendant qu’elle commence à me pénétrer, la voix émue de votre soumise Marine me berce dans un océan d’amour. Je suis heureuse d’entendre à nouveau ces règles qui pour moi me confirme encore une fois ma volonté et mon désir d’être votre soumise et de m’abandonner à notre amour.
Pendant que marine lit, vous sortez la badine. Elle a la chance de recevoir les premiers coups. À chaque coup reçu par marine, ma peau frémit de désir. Je vous regarde entre deux vagues de jouissance qui me traversent. Quelle joie immense de vous voir mon Maître profiter de cette instant et d’exprimer votre domination sur une autre soumise que moi. J’ai pris un plaisir immense à vous regarder tous les deux. D’entendre et de voir marine sous votre badine ainsi que chaque supplice qu’elle recevait, mon excitation augmentait. J’avais envie de devenir chienne de jouissance pour vous servir.
Quand j’ai entendu marine s’étouffer avec votre sexe dans sa bouche, je ne vous voyais plus, la love machine était plus rapide, impossible pour moi de me contrôler. Une rage de désir s’empare de ma tête et de mon corps. L’envie de vous sucer mais surtout de recevoir votre jouissance m a rendu folle. Heureusement vous m’avez rejoint avec votre badine et j’ai trouvé du réconfort quand votre badine a rencontrée la peau de mes cuisses ouvertes plus que jamais.
Durant cette première séance, nous avons fait plusieurs petites pauses. Mais je restais dans mon monde magnifique de plaisir, entendant vos paroles avec Marine. Je n’arrivais pas à redescendre. Je prends soin de ne pas perdre une miette de cette état de grâce si précieux.
Nous nous retrouvons allongés tous les trois, tendre moment de câlins. Vous exigez de marine qu’elle se baisse et qu’elle commence à vous sucer. J’attendais, impatiente, que vous me demandiez la même chose. Nos regards se sont croisés et vous avez pu voir dans mes yeux le désir qui débordait.
Nous finissons toutes les deux sur votre sexe. Deux gourmandes, heureuses de vous montrer à quel point nous étions reconnaissantes de toutes vos attentions pendant cette première séance à trois.
Mon envie de vous donner du plaisir était décuplé, je vous suçais et vous léchais avec fougue.
Pour finir cette séance, vous installez marine sur le fauteuil, attachée, cuisses ouvertes, la machine entre ses cuisses.
Je suis assises au sol, face à marine en position d’attente. Position inverse du début de séance. Vous me tendez un godemichet et me demandez de me rapprocher de marine.
Pendant qu’elle se fait prendre par la machine, je vous vois lui torturer ses mamelles.
Je découvre en moi un plaisir intense de voir mon Maître faire mal à une autre. J’avais envie au fond de moi que vous lui fassiez mal. Je n’ai pas compris ce ressenti sur le moment. Mais je comprends aujourd’hui que cette envie est liée au besoin que j’ai de me dépasser et de m’abandonner à vous, que ce soit dans le plaisir ou la douleur, pour que vous puissiez vous exprimer complètement.
Notre relation je la vis dans mon abandon à vous pour que vous puissiez vous exprimer alors j’ai transféré cela sur marine. J’avais envie que vous puissiez vous exprimer avec elle et comme je sais que vous aimez faire mal j’ai souhaité que vous lui fassiez mal.
J’entends gémir et crier votre soumise. Je vois son corps se tendre retenu par les cordes.
Je me caresse avec le vibromasseur que vous m’avez donnez et je m’évapore dans ce monde de jouissance.
Mon Maître d’amour, je repense à votre magnifique visage qui regarde vos deux soumises. Magique cette image.
Nous avons tellement bataillé tous les deux pour en arriver là.
Je vous remercie de prendre autant soin de moi, vous avez su gérer cette première séance à trois, toujours avec attention et amour pour moi et j’espère du plus profond de mon coeur être toujours à la hauteur, par mon abandon sans fin à vous et à votre amour.
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Setting up all those hidden cameras when you were contracted to upgrade the ladies lockers, showers and sauna seemed like such a good idea at the time. And for the last six months, it had been a dream come true for a voyeur like you—a seeming endless supply of extremely fit, athletic women for you to fantasize about submitting to. But now you had been caught!
As the police were about to be called, you begged for any alternative—and now here you are—about to be punished and humiliated in front of all the women whose privacy you had violated. Unfortunately, you didn’t quite grasp the severity or duration of your comeuppance.
Several minutes later as you are crying and begging for an end to your anguish, you find out the true nature of these ladies retribution. Not only will your suffering continue into the wee hours of the morning, by any lady present; the ladies will also be filming all of your humiliation. You will report back for weekly punishment for as long as long as they see fit—or the films will be posted on the internet. And now it seemed like a good idea to be very afraid…
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Il me semble que ce n'est pas exactement la même chose, un soumis ou une soumise...Question de vocabulaire, peut-être ? Dans le mien :Un soumis obéit, se prosterne, adule et vénère.Une soumise obéit, respecte, craint, admire.Un soumis est un objet, un jouet magnifique, un instrument de plaisir.Une soumise est une chose. Ou une petite chose.Un soumis se donne, se prend.Une soumise se gagne, et puis s'offre.Une soumise vous touche.Un soumis vous émeut.Un soumis est un valet, un serviteur zélé.Une soumise est une soubrette... mais elle reste une princesse.
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Chapitre IV suite et fin.
Après Daniel, c'est au tour de Jean-Louis de venir s'installer dans ma bouche. C'est plus aisé pour pour moi, il a une petite bite fine et pointue. En face, Maitre Henry est penché entre mes cuisses largement ouvertes au dessus de ma chatte et de mon anus, tenant à la main le petit étui à cigare métallique. Le tube sort du freezer du frigo. L'eau qu'il contient s'est transformé en glace. De son pouce Henry force mon petit oeillet de plusieurs va-et-vient et sans ménagement enfonce le tube gelé dans mon trou du cul.
L'effet est surprenant, le tube glacé est entièrement avalé en moi, une dizaine de centimètres. Il n'est pas gros mais pour éviter l'expulsion Henry maintient la pression sur le bout du tube qui dépasse. Je bouge dans tous les sens, ce n'est pas la taille de l'objet qui me fait souffrir, c'est le froid.
Le froid s'étale en moi comme une brûlure. Jean-Louis toujours accroupi, la bite enfoncée dans ma bouche me tient par la taille pour m'éviter de trop bouger.
Sous l'effet du froid, mes chairs se contractent. J'essaie d'expulser ce curieux suppositoire de métal. J'ai en moi comme une stalagmite de glace plantée dans mon anus. Manu au bord de l'excitation remplace Jean-Louis dans ma bouche avec sa grosse queue je n'arrive pas à reprendre mon souffle. Maitre Henry lâche le tube à cigare planté en moi.
Ravi de son pouvoir, Maître Henry va chercher une bougie posée sur l'étagère. Il demande aux invités de prêter attention à ce qui va suivre.
D'un geste leste il enfonce la bougie dans mon vagin déjà électrisé par les gâteries des hommes. Le bout de la bougie dépasse de mon vagin. Les hommes sont satisfaits et encourage Henry à l'allumer.
Maître henry gratte une longue allumette en enflamme la bougie blanche qui contraste avec ma peau noire. Même si je suis écartée au maximum, je sens la chaleur de la petite flamme à l'intérieur de mes cuisses.
Henry demande à Jean-Louis de bien me maintenir ainsi afin d'éviter des mouvements trop brusques, je suis suspendue comme une toupie. L'effet du froid dans mon cul s'estompe, cela devient supportable.
C'est au moment où je pense que tout est terminé que la cire chaude s'écoule par gouttes entre mes lèvres de mon vagin et la raie fessière jusqu'à l'anus. Plus je bouge, plus je sens la flamme de la bougie contre la peau de mes cuisses.
Henry demande à mon mari d'éteindre la lumière, je suis ainsi offerte aux regards des hommes, la bougie se consumant entre les lèvres de ma chatte.
Voilà Messieurs dit Henry, la Liberté sexuelle éclairant le Monde, elle est quand même mieux que celle de New-York, dit-il.
La Liberté pour les Maîtres bien sûr, la liberté de baiser, de punir, de jouir, de fouetter, d'utiliser les esclaves. Des photos sont prises pour immortaliser cette pose mémorable.
Il invite aussi ses clients et amis à allumer leur cigares à la flamme de mon sexe.
C'est la première fois que je sers d'allume-cigares à des hommes. Raymond me dira plus tard ne pas avoir apprécier cette façon de faire.
Je ne vais pas être au bout de mes surprises, Daniel se met à pisser sur moi en dirigeant bien son jet sur mon visage.
Surpris Manu quitte ma bouche pour ne pas être éclabousser par l'urine de Daniel qui se comporte comme un soudard.
Daniel s'approche de moi , me tient la tête et introduit sa queue dans ma bouche et se remet à pisser dru, je ne peux rien faire d'autre que d'avaler son urine, la tête en bas ma bouche déborde, je ne peux pas tout avaler. Ce sera ma première et dernière expérience uro. J'ai fait savoir à Maître Henry que je n'appréciais pas ce genre de chose.
Chez Maître Henry à Toulouse c'est le dressage extrême.
Dégoulinante de pisse, de sperme, de bougie, et de sueur, Henry me détache. Ainsi barbouillée, il me fait mettre à quatre pattes et me fait tenir en bouche un petit panier en osier. Il est temps pour les invités de passer à la caisse.
Daniel, Manu et Jean-Louis déposent leur offrande sans rechigner. En bonne chienne je rapporte le panier à mon Maître qui me flatte la croupe satisfait de mon comportement.
Après une bonne douche et une demi-heure de répit, la séance baise-gang-bang peut commencer.
On se retrouve tous dans le salon. Même Raymond est à poil. Maître Henry déclare aux hommes que je suis la pute de service et que je peux être utilisée dans toutes les positions, à deux, à trois ou plus, autant de fois qu'ils le désirent, tous mes orifices sont disponibles.
Les cinq hommes sont attablés, je dois commencer mon service seulement vêtue de mes bas noirs, des mes hauts talons et de mon collier de chienne. Tout est permis.
J'éprouve à la fois un plaisir et une inquiétude indescriptible d'être ainsi livrée à la lubricité des invités de la soirée. Je suis la pute offerte et consentante.
Une nouvelle fois je vais être fouillée, saccagée, malmenée, baisée, sodomisée.
En sortant de la cuisine avec un plat, je m'approche de la tablée avec les petits fours et les canapés. Pendant mon service je sens des milliers de doigts me palper, s'insinuer en moi. Je dois accomplir le service dans les meilleures conditions, ce n'est pas facile. Je sers à boire, je frissonne sous les caresses. Mes lèvres sont gonflées à bloc, je mouille comme une fontaine. Les hommes boivent et mangent en échangeant des propos orduriers me concernant. Je suis traitée comme une moins que rien. Il faut dire que depuis ce matin ,je ne suis rien. Rien qu'un trou à plaisirs. Les bouchons de champagne tonnent à un rythme effréné comme les suçages, les enculades et autres frivolités du moment.
A genoux aux pieds de Daniel je suce sa grosse queue, mon va-et-vient fait flic-flac, il s'enfonce au maximum encouragé par les autres. Je suis entre lui et Raymond, je suce sans réserve le gros bengala de Daniel devant mon mari, par moment je déglutis, il ahane, il fait des han, han, han en avant de décharger ses batterie nullement gêné par la présence de mon mari à ses côtés. Il essuie sa bite sur mon visage.
De son côté Henry est encore allé cherché un étui à cigare dans le frigo, il veut procéder à une nouvelle opération dans mon anus. Il demande à Raymond de bien me tenir. A mon grand étonnement mon mari me ceinture afin que je ne puisse pas bouger pendant l'intromission du tube glacé. Daniel me tient fermement la tête, la bite enfoncée dans ma bouche. Des regards avides me regardent, me matent avec au dessus de moi des forêts de bites grosses comme des branches. Les hommes se branlent. Raymond est aussi debout la bite à la main, il se branle comme les autres.
Je suis heureuse qu'il se joigne enfin à nous, la situation de voir sa femme prise depuis le matin par des hommes différents devait être trop excitante pour lui.
Pour le final, je suis contente car je vais recevoir la semence de cinq hommes en même temps.Un bukkake. Ma récompense.
Allons, Messieurs dit Maître Henry, nous allons honorer cette belle salope de la meilleure façon qui soit pour elle, nous allons cracher notre jus d'homme sur son visage.
En moins qu'il ne faut pour le dire, je suis arrosée de sperme, de grosses giclées épaisses souillent mon visage, mes paupières, mes seins. Ma bouche gourmande et pulpeuse a du mal à retenir le trop plein de sperme, c'est un florilège qui explose en même temps.
Pour finir, Je suce au hasard, je nettoie les bites qui se présentent à moi. J'ai des aspirations goulues d'une femelle lubrique qui avale les tiges jusqu'aux testicules de mes compagnons. Les pompages de noeud se succèdent, je ne suis plus qu'un jouet, un automate. Je ne sais plus qui je suce, qui je nettoie, je le fait mécaniquement.
Je pratique maintenant le sexe avec une assiduité exemplaire et je voue au culte d'Eros et aux braquemarts tendus vers moi une dévotion sans borne.
Après une dernière coupe de champagne, Maître Henry mit fin à la séance. Cela faisait cinq heures que j'étais entre les mains de Maître Henry et de ses invités. Une première journée enrichissante à tous points de vue. Neuf hommes en tout dont cinq en même temps. Vingt trois invités au total pour les trois jours.
Raymond me calma,me rassura, me félicita en me traitant de sublime salope.
Je ne sais pas où cela va nous mener dit-il mais tu à l'air tellement heureuse dans ce que tu fais qu'il est difficile de t'interdire quoi que ce soit. Par la suite, je suis retournée une fois par mois chez Maître Henry en organisant des soirées à thème rien que pour moi. A chacune des mes visites Manu, le cafetier de Carcassonne n'en ratais pas une. Ils sont devenus mes amis.
Avant de quitter Toulouse pour retourner à Paris, Maître Henry nous invita Raymond et moi dans une magnifique auberge pour un dîner aux chandelles où le sexe n'avait pas sa place
A suivre.
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