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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
*Arrivée en gare dans 5 minutes*
Ça y est, c’est le début d’une nouvelle aventure pour moi, 1 week-end avec lui, un week-end oui mais pas habituel m’a-t-il dis. Au fait je me nomme Susie et laissez-moi vous raconter comment je suis arrivé à ce point de ma vie.
Il y a plusieurs mois de cela j’ai été à un munch, un rendez-vous pour les amoureux du BDSM pour pouvoir discuter librement de tout et de rien et faire des rencontres. C’était une première pour moi, non pas le monde du BDSM mais rencontrer des pratiquants de ma région à visage découvert. Je voulais passer une étape, oser faire des choses en réel et avec quelqu’un.
C’est lors de ce munch que j’ai rencontré S. un homme grand, brun de beau, yeux brun foncé. Il se présente comme étant un Maître ou Dominateur, habitant à plusieurs heure d’ici. Devant ma surprise de le voir ici, il m’explique que cela fait longtemps qu’il fait des munchs et du coup connait du monde un peu partout et c’est un moyen de les revoir. Bref le feeling est passé assez naturellement et on a commencé à bien discuter, nos vie, nos désirs et expérience, sur ce point il en avait bien plus à dire que moi. Le temps passe, et nous devons rentrer, avant de se quitter on s’échange nos numéro.
Sur le trajet du retour je ne sais pas pourquoi je me sens étrange, comme si je venais de sortir d’un moment hors du temps. Parler avec un inconnu de mes envies, pratiques et expériences sexuelles et cela tout naturellement au milieu d’autres personnes, n’était pas normal pour moi. Et ce S. avait quelque chose de rassurant et attirant, et apparemment il était connu de certains présent donc il ne m’avait pas menti.
Le temps passe, les messages et appels échangé aussi, on a eu quelques rencontre en chambres d’hôtels pour des jeux plus intime. Ma première impression était la bonne, un réel feeling existe entre nous, les moments intense sont entrecoupé de franche rigolade. Même attachée à sa disposition, je ressent de la bienveillance de sa part, de la douceur même quand ses mains claquent sur mon corps.
Et enfin cet appel, il me demandait si je voulais venir chez lui passer des vacances inhabituelles. En lui demandant ce qu’elles auraient d’inhabituelles, je ne me doutait pas de sa réponse. D’abord surprise et presque choquée, je sentais cette envie intérieure et cette excitation monter en moi. Après quelques jours de réflexion je lui envoyait ce message « Ok pour moi » et les instructions qui m’ont amenées à cette gare ont suivies. Je ne vais pas vous dire tous les détails de ce qu’il m’a raconté, seulement que les instruction pour venir étaient clair, robe légère d’été, sans sous-vêtements, pas de valise, seul un petit sac à main pour les papiers et l’argents.
Alors prêt à me suivre pour ces vacances inhabituelles ?
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En route pour le restaurant, je ne sais pas pourquoi je te sens excité. Nous avons un peu de route et j’espère avoir une occasion d’en découvrir la raison. J’ai mis une belle robe longue noir, une petite jaquette sur mes genoux pour le retour, des sandales à talons haut et à ton ordre aucun sous-vêtements. Un maquillage léger, mes cheveux lissés me tombent jusqu’aux omoplates. J’ai également un petit sac à main vide à ta demande. Toi dans un beau complet noir, chemise blanche et cravate rouge.
Arrivé sur l’autoroute tu souris de plus belle, me caresse la cuisse, me pose un rapide baiser sur la bouche. Ta main remonte et vérifie que je ne porte rien et que je suis déjà excitée. Lorsque tu retires la main dans un large sourire tu me dis :
« Ouvre le vide poche, tu sauras quoi faire avec ce qu’il y a dedans. »
Je ne réponds rien, intriguée et ouvre. Mes yeux s’écarquillent devant le contenu. Bâillon, menotte, Lush, collier fin en cuir de soumise et un masque type chirurgical. Je vous regarde :
« Merci Monsieur »
Je comprends votre excitation et ma place pour cette soirée. Et je comprends que je dois vous faire une entière confiance, mais allons-nous réellement au restaurant ? Je commence par prendre le collier :
« Ai-je le droit de me l’installer Monsieur ? »
« Très bonne question et réflexe. Pour cette fois-ci oui. Et par la suite plus un mot. »
Je le saisi, l’installe presque fébrilement, une première pour moi. Je le sert assez pour qu’il ressemble à un tour de cou en espérant qu’il soit assez discret. Mes doigts le suive en revenant devant, joue un peu avec le petit anneau, automatiquement je me mords la lèvre inférieure, mon feu intérieur augmente de plus belle. Je sens des coups d’œil rapide de votre part, entre fierté et excitation.
Le Lush est mon choix suivant, vous avez pensé à un petit flacon de lubrifiant. Quelques gouttes et il rejoint mon entrejambe, qu’il pénètre sans souci.
« Allume-le ! »
Sa petite vibration me surprend, comme toujours, et je retiens un petit cri de surprise. Le bâillon boule vient se loger dans ma bouche, il n’est pas énorme, mais juste ce qu’il faut pour être gênant. Je l’attache et prend bien soin de faire passer mes cheveux par-dessus, j’essaie d’être discret quand même. Le masque bien placé s’occupe de cacher le bâillon en lui-même. Dans le petit miroir du pare soleil je vérifie qu’il est bien invisible.
Enfin les menottes, ce qui me fait le plus peur, car le plus visible. Je passe mes deux bras sous la ceinture et m’attache les poignets. Je sens toute liberté partie et entièrement mise à votre disposition. Vous placez ma jaquette sur mes poignets pour les camoufler et me placer mon sac dans la main.
Je suis comme honteuse, le regard baissé. Vous m’observez, prenez ma tête et embrasser ma tempe. Me voilà soulagée et rassurée. Peu de temps cependant, nous sortons de l’autoroute et allons-nous garer devant le restaurant. Vous m’ouvrez la porte, m’aidez à me lever et me prennez par la taille pour rentrer.
Il se trouve à la base d’un grand immeuble, dans une zone commerciale. Pas beaucoup d’habitants, mais de passage, entre les restaurants, bars et night-club la zone et plus vivante la nuit que la journée. Je sentais le stress monter, menottée, bâillonnée un collier de soumise, tout était caché, mais je me sentais comme à nue.
Vous me guidez d’un pas sûr, je n’ai d’autre choix que d’avancer. A l’entrée vous déclinez notre identité pour connaître la table nous étant attitrée. Le Maître d’hôtel nous guidait, slalomant entre les tables, je craignais que ma jaquette tombe, heureusement en plus de cacher les menottes elle empêchait la chaîne de faire du bruit. Nous voilà devant notre table, proche des fenêtres, loin de l’entrée. Le Maître d’hôtel se proposa pour me soulager de ma jaquette, vous intervenez rapidement le remerciant d’un billet. J’ai eu la peur de ma vie, me trouvant paralysée quelques secondes par la peur.
Vous me tirez la chaise, m’aidez à m’installer. Ce n’est qu’une fois les mains sous la table que vous installez ma jaquette sur la chaise. Assis en face de moi, vos yeux me transpercent, votre sourire est entre la joie et l’excitation. D’une main leste vous allez chercher un objet dans la poche révolver de votre veston. Vous me tendez une petite clef argentée, je l’associe immédiatement à mes menottes, que vous poussez au bord de la table devant moi :
« Tu peux te libérer, mais en silence on est en public. »
Le plus discrètement possible je récupère la clef, regardant autour de moi, que mes bracelets argentés, n’attirent pas l’attention. Soudain je dois retenir un gémissement, le Lush se met à vibrer, je vous vois l’air nonchalant sur votre téléphone. Je me concentre, entre retenir mon excitation, réussir à déverrouiller une menotte. Mon souffle augmente, je sens la bave commencer à bien humidifier mon masque, de petits gémissements s’échappe de temps à autre. J’arrive à me libérer d’une menotte, puis l’autre, je les sert contre moi ne sachant où les mettre :
« Dans ton sac »
Comme si vous aviez réussi à lire dans mes pensées. Fébrile entre les vibrations qui continue et ma situation de quasi-exhibition je les ranges le plus discrètement possible. Mais comment faire pour enlever le bâillon discrètement ? Je fais tout mon possible pour avaler ma salive silencieusement. Je vous regarde implorant
« Oui tu peux aller te rafraîchir aux toilettes, il n’y a pas de souci. »
Je suis soulagé, dans votre bonté vous me donnez la solution. Je me lève, prend mon sac et part me retenant car vous contrôlez toujours mon Lush. Tout s’arrête, je suis hors de portée, un instant de répit. Je vais dans une cabine, ôte rapidement le masque et le bâillon, range les 2 dans mon sac. J’en profite pour me soulager et remettre en place le Lush. Dans le miroir je me remaquille, vérifie qu’il n’y a pas de marque de bâillon sur mes joues, aucune parfait.
Je reviens vers vous, marchant d’un pas plus assuré, fixant mes yeux dans les vôtres et soudain toute mon assurance s’évanouie, le Lush revibre. Je m’installe face à vous, vous me prenez une main, les vibrations sont aux maximums. Puis tout s’arrête, le serveur arrive avec les menus, vous posez votre téléphone. La soirée s’annonce belle.
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Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure.
Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau.
— Tu n’as pas honte ? je demande.
Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne.
Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave.
Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie.
Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir.
Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière.
Un long gémissement traverse la pièce.
— Petite pute.
Elle gémit.
— Putain masochiste.
Elle gémit.
— Tu n’as pas honte ?
Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif.
— Jouis !
Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme.
Je me lève et lui retire les menottes.
— Debout !
Elle obéit.
Elle s’avance vers le pied du lit.
— Cambrée !
Elle s’affaisse vers l’avant.
— Tes fesses !
Elle gémit.
Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer.
Je bande à en mourir.
Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs.
Je saisis son cou et à son oreille :
— Silence ! Chienne ! j’ordonne.
Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit.
Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur.
Elle est belle. Elle est si belle dans la peur.
Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.
Couché sur papier en une petite heure...
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Ouais… C’est la fête au village !
Pour les ceusses du sud, tous les ans on lâche les taureaux dans les rues. Ça s’appelle une fête votive. On boit, on chante, on rebois et on baise aussi ^^
Moi j’aime bien faire des surprises. Il se trouve que ma rue est sur le passage des taureaux et que la fenêtre de ma chambre donne directement sur celle-ci au premier.
Alors une petite pipe d’entrainement et une petite baise au-dessus des gens en bas déclenche une petite montée d’adrénaline sympa.
Ca dérange personne, ils sont occupés ailleurs ;-)
Tu viens quand pour la prochaine fête ? On peut être plusieurs hein ?
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Aventure au Maroc.
Elle s’appelle Sanna, célibataire et a 25 ans, prénom d'origine arabe. Signifie: "élévation, grandeur". Ça lui va bien. Elle est masseuse au SPA du Riad ou nous sommes descendus au Maroc à Marrakech, pour quelques jours de repos et affaire un ami et moi.
Sanna est beaucoup plus grande que la moyenne de son pays (1m78), de corpulence normale pour sa taille très fine avec un petit ventre tout petit et mignon. Brune, cheveux mi- longs aux yeux noirs bien sûr, des seins opulents vraiment comme des obus, un fessier harmonieux et ferme mais moins dodu que la moyenne des marocaines, vous verrez pourquoi plus loin je le sais.
C’est vraiment une belle femme intimidante.
Il faut savoir que dans ce pays musulman très libéral cependant, la prostitution est interdite. Les clients pris sur le fait vont en prison direct et ça coute très cher pour un touriste bien sûr. Ce genre de pratique est donc très discret et on prend des risques des 2 cotés. La moyenne des salaires étant de 250 € par mois, la vie est dure et pour s’en sortir, ils ont plusieurs petits boulots.
Je suis un cérébral, j’adore faire des scenarii pour faire monter l’adrénaline mais celui-ci n’était pas prévu. J’ai eu des massages poussés des fois déjà dans des salons mais là…
Compris dans le forfait du séjour, un gommage du corps avec une autre employée, Ind, et un massage avec Sanna pour 50 € j’en ai donc profité.
Après que la première m’ait bien arraché la peau, on me met dans une alcôve ou on me sert le célèbre thé à la menthe. Après 10 minutes arrive Sanna qui vient me chercher.
Une musique douce envoutante vous permet de vous mettre à l’aise. Une douche et hop, étalé sur le ventre, nu bien sûr, la tête dans un trou, les bras le long du corps, elle commence par les jambes, les pieds. Elle prend son temps. La serviette cachant le haut de mon corps se déplace en bas, elle s’attaque à mon dos et remonte vers mon cou et ma tête. Ca endort, on est ailleurs…Sanna est douce et ferme en même temps. Je ne cherchais que mon bien être.
Elle masse en passant mes bras et mes mains et c’est là que le jeu commence… Je lui attrape doucement la main dans mon demi-rêve, bercé par la musique. Elle revient et je suis plus ferme en la serrant comme un enfant qui tend la main. Elle accentue le massage, le prolonge, ça dure longtemps comme quelqu’un qui se cherche, ma main alors touche son intimité qu’elle a approchée au bord de la table. Je rêve toujours. Je ne veux pas sortir de ce jeu qui commence et me plait. Elle accentue la pression sur son sexe avec sa main et relève même une jambe.
La pièce étant fermée par un rideau et du monde à coté, il faut rester discret. Elle m’aide à me tourner et me fait signe un doigt sur la bouche de ne rien dire. Je lui fais comprendre que j’ai des euros. Elle cligne un œil et m’embrasse sur la joue. La suite est bien meilleure que vous pouvez penser. J’ai rarement joui aussi vite.
D’ailleurs, j’y suis retourné la veille de partir. On s’est compris rapidement. Elle n’avait pas de sous-vêtements, enlevés, avant mon arrivée programmée par l’accueil. . J’ai même réussis à la faire jouir.
Célibataire, apparemment ça ne lui est pas arrivé souvent. Elle me l’a confirmé. J’ai encore la marque de sa morsure sur ma main.
On a eu l’occasion de discuter de façon discrète ensuite. Ce n’est pas une pute comme on pourrait penser. Je sais qu’elle a aussi pris plaisir à nos jeux. Il y avait la partie plaisir et l’échange d’argent est une reconnaissance.
Bien à vous
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A partir de cette journée ou Maître m'avait livrée à son ami, ma vie a complêtement changé. Notre relation était bien établie, j'étais devenue sa pute vide couilles quasiment à temps complêt. il avait su faire exploser la salope qui était en moi et en usait , abusait à volonté. De une à deux fois par semaine, c'était maintenant quotidiennement que j'allais chez lui le sucer ou me faire enculer et j'adorais ça. Quand il invitait une relation, toute honte avait disparue en moi, je m'occupais de la personne comme si c'était mon Maître car c'était sa volonté et son envie. les moments ou je n'étais pas à le servir, il était constamment dans ma tête, une véritable obsession de sa domination et de sa queue. Surtout qu'il avait fait venir des usa un gros plug que je du apprendre à porter en permanence et là aussi, la torture du début se transforma en un plaisir et un besoin de le sentir en moi pour me garder bien ouverte et je ne portais que des slips de femme. Peu à peu, je perdis mes amis car je n'avais qu'une hâte c'était de le retrouver.
Les week ends ou mes parents étaient absents, il organisait des soirées poker. En tenue de soubrette achetée en sex shop, jupe ample mais très courte, bas et talons et maquillée comme une prostituée, évidement sans slip mais plugée je portais mon colier de chienne avec fierté. Je faisais évidement le service et le reste du temps je le passais sous la table à sucer l'un d'entre eux. Les pauses étaient plus intenses car j'avais toujours une bite plantée dans mon cul et une autre en bouche. Ce fut lors d'une de ces soirées ou je fus sodomisée par deux à la fois. J'étais devenue très ouverte si bien qu'il dut commander un plug plus épais. c'est à partir de là également qu'il prit gout à me fister régulièrement ce qui me rendait dingue de plaisir.
Puis vint le grand jour que Maître et Monsieur avaient plusieurs fois envisagé. Un samedi il m'emmena à Marseille et me déposa devant un petit hotel pas très reluisant. Il ne me donna qu'un numéro de chambre et la consigne de me déshabiller totalement avant de frapper à la porte.
Obéissant, je traversais le hall tête baissée, la honte revenait mais je voulais par dessus tout le satisfaire. La chambre était au 1er étage. Devant la porte, j'otais mon survêtement et, une fois nue je toquais. Rapidement quelqu'un vint ouvrir. Un homme d'une soixantaine d'année me fit entrer.. son peignoir entre ouvert laisser voir une queue d'une belle taille. Ce fut sans fioriture excessive. Il s'assit dans un fauteuil et je le sucais comme Maître me l'avait appris en y mettant tout mon coeur. Coeur qui s'emballait car la situation faisait naître en moi d'énormes sensations, j'étais très excitée de sucer un inconnu dans une chambre miteuse. Cela ne dura pas très longtemps. Il me fit mettre à genoux sur le lit, s'amusa un instant avec le plug qu'il finit par enlever et m'encula sans trop de délicatesse.. Au bout de quelques minutes, son ventre claqua contre mes fesses et il lacha son foutre tout au fond de mes entrailles. je dus le sucer un peu afin de lui nettoyer la queue, j'aimais pas du tout mais je le fis , puis il me demanda de me rhabiller , me tendit 200 francs et me mis à la porte. J'avais du mal à réfléchir et un peu aussi à mon cul car il n'y était pas allé de main morte. Je retrouver Maître dans sa voiture. Il avait les yeux brillants quand je lui remis les billets, je voyais bien qu'il était ravi de ma docilité. il me félicita et me pris la queue et me branla doucement. 'pour te récompenser me dit il" et il me fit jouir. comme cela faisait plusieurs jours qu'il me privait de jouissance, ce fut très fort. Je criais en projetant mon foutre qui gicla sur le tableau de bord. Eviemment je du lécher mais j'étais aux anges surtout qu'il me laissa poser la tête sur sa cuisse pour le chemin du retour. Je me suis toujours souvenu de cette première passe pour 200 francs et du plaisir pervers que j'en avais tiré. j'étais réellement devenue sa pute
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Agrafe, agrippe, agrège
Griffe, grogne, greffe
Délasse-toi, enlace-moi
Délaisse tout, laisse-moi
A cran
Accroche-toi, attache-moi, accorde-nous
Prends-moi, rends-toi, étends-nous
Détrempe-moi, détrompe-toi, étreins-nous
Mords sans remords
A crocs
Abuse, appuie, épaule, éponge
Bouscule, bascule, balance
Caresse, carotte, cartonne
Répands-toi, réponds-moi, repose-nous
A cru
Epouses mon corps, pouilles moi
Eprouves mon cœur, propage-toi
Epuise, épure, épreuve nous
Dépouille-nous des poussières passées
En cris
Façonne-moi, frissonne moi, défaille moi, défrise-moi
Qu’on déraille, dérape, déraisonne
Et résonne
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Suite à ma première expérience homosexuelle et de domination, j'ai pris goût aux jeux masculins et aux jeux de domination.
Depuis que nous avons joué ensemble, je n'ai pas revu Yohann, c'est bien dommage. J'ai cependant fait de belles rencontres.
Dans le village où j'ai grandit, deux potes sont devenus, l'espace de 2 ou 3 ans, des partenaires sexuels réguliers. L'un d'eux est même devenu le guitariste de mon groupe .. mais j'en parlerai plus tard.
Donc un jour, avec mes deux compères, Alex et Axel, nous passons la journée chez Alex à jouer dehors, à la console, faire de la musique... bref on s'amuse et on décide de dormir chez Alex dont la chambre est spacieuse. Sa mère nous installe des matelas et couvertures et nous finissons la soirée tous les trois à bavarder et se taquiner.
Arrive le moment de se déshabiller (il est genre 1h du matin) pour aller se coucher. Alex, 1m85 pour 100kg sort de son lit direction la douche tandis qu'Axel, 1m70, 60kg tout mouillé, prépare ses affaires pour aller à la douche. Il commence a se déshabiller dans la chambre et reste en caleçon. Je peux voir sa bite durcir doucement à mesure que je la regarde, comme hypnotisé. Pas le temps d'en voir plus, Alex reviens de la douche, serviette autour de la taille. Axel va donc dans la salle de bain, je prépare mes affaires et au moment où j'enlève mon t-shirt, le vois Alex, penché sous son lit, la serviette laissant voir son cul et sa bite qui semble plus grosse que celle d'Axel.
Celui ci sort de la douche et je le remplace à contre cœur car j'aurai bien profité du spectacle qui m'était offert.
Au sortir de la douche, en caleçon, je rentre dans la chambre et vois mes deux camarades nus, se rouler des pèles. Je range mes affaires dans mon sac et je sens une main me peloter les fesses avec insistance. Quand je le retourne, je vois Axel , un grand sourire aux lèves, en train de se faire sucer goulûment. Il le retire mon caleçon et j'ai un mouvement de recul. Je complexe toujours sur la taille et l'aspect de mon penis, surtout que c'est ma deuxième expérience et avoir 2 beaux garçons devant moi à un effet intimidant. Il commence a m me caresser les cuisses, le ventre et finalement je le laisse faire. Il commence a me branler et la prend en bouche avec un grand sourire. A ce moment, Alex se redresse et se dirige vers ma queue en me disant "t'inquiète, on va bien s'occuper de toi".
Me voilà donc debout, avec deux bons suceurs à genoux devant moi prêts à le satisfaire. A un moment, je demande à Axel de se diriger vers le cul d'Alex et de lui lécher. Non sans vice dans la voix, il me dit "à tes ordres" et s'exécute. A ce moment, Alex se met à gémir et à accélérer sa fellation. Je lui demande de se mettre sur le dos, jambes écartées. Dans cette position, la langue d'Axel semble faire plus d'effet. Voyant cela, Axel quasiment à bout se met à se branler et jouit rapidement sur la bite d'Alex. Je suis toujours en train de me faire sucer quand je me penche pour sucer Alex qui arrive très rapidement dans ma bouche. Surpris, je n'arrive pas à ravaler et je laisse le sperme couler sur le magnifique engins présent dans ma bouche. Aussi, j'ordonne à Axel de ne pas laisser une goute de sperme sur Alex. Il s'exécute rapidement et en profite pour sucer un peu Alex. Celui-ci augmente la cadence, Alex aussi et je viens sans pouvoir le retenir dans la bouche d'Alex.
la soirée s'achève ainsi, les deux compagnons fatigués mais heureux, moi excité et comblé.
Vivement la suite!
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Cette chronique en quelques épisodes a comme volonté de partager mes expériences sexuelles qui m'ont, peu à peu, entraînées dans le monde du BDSM et de la domination.
mise en contexte : né avec une malformation du penis, j'ai toujours complexé quant à sa taille. Au fil des rencontres j'ai appris à l'accepter et à développer de nouvelles manières de donner du plaisir à mes partenaires.
L'action ou vérité de la découverte
Adolescent, j'ai fait de nombreuses expériences avec d'autres garçons. Toutes étaient plus ou moins mêlées de cet aspect de domination. Mettez des jeunes hommes pas encore matures seuls dans une pièce, l'un prendra le dessus sur l'autre.
Un soir, alors qu'on était avec mes parents chez un collègue de mon père, je joue à GTA avec le fils du collègue (appelons le Yohann ) que je fréquentais souvent. Il avait toujours été un peu efféminé et ce soir là, alors qu'on est plongé dans la partie de console, il me sort une phrase qui m'interpelle comme quoi c'était dommage qu'il n'y ait pas de prostitués hommes dans le jeu.
Nous commençons à en discuter puis nous en rigolons et passons à autre chose. Plus tard dans la soirée, une action ou vérité débute et très vite ça parle de cul, quand je choisis action il me demande de lui montrer mon torse, mes fesses... et quand je dis vérité est toujours sur des pratiques soit homosexuelles soit violentes. Mes questions sont plus naïves jusqu'à ce que je lui demande s'il a déjà aimé être frappé. Il me répond "oui, une fois". Quand je choisis action à mon tours, il me demande de lui donner une claque. Je fais de même et lui prends plus de plaisir que moi à la recevoir. on commence a se déshabiller puis quand je choisis action, non sans excitation, il me dit de lui donner des claques fortes sur différentes parties de son corps. Chaque fois il gémit et cela augmente quand, caleçon baissé, le lui mets des fessées.
le jeu continue et inévitablement cela arrive à ce que l'on se suce mutuellement. Alors qu'on est en 69, je lui mets des fesses et des claques de plus en plus fortes. Il augmente le rythme de la fellation allant de plus en plus loin.
pour le finir en beauté, je le mets sur le dos et tout en le branlant, je continue de la claquer, cette fois sur les testicules, sans attendre sa demande. Je frappe aussi ses cuisses et son ventre qui rougissent à vue d'œil alors même qu'il étouffe ses cris dans son oreiller.
l'ejaculation ne tarde pas et, comme récompense, je récupère son précieux liquide et lui fait avaler en enfonçant mes doigts bien profond dans la gorge avant de l'embrasser goulûment.
cela ne lui suffit pas et il veut que j'ejacule mais mon plaisir est déjà pris et le frustrer après un si bon moment était un régal...
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En soirée, Maitresse m’a mis une cagoule et m’a attaché sur la croix .Elle m’a laissé une main libre pour que je me masturbe. J’ai en fait l’obligation de me masturber et de présenter tant mon sexe bien raide que mes couilles étroitement serrées par un lien à ceux qui sont là.
Se masturber 5 minutes est facile, mais le faire longtemps en résistant à l’éjaculation est bien plus difficile. Je suis parti dans une bulle où je m’auto excite en pensant que je dois tenir dans la durée, que c’est un challenge. Quand elle m’a demandé de m’entrainer à la maison, j’avais réglé le chrono sur 10 minutes mais je me doute que là, cela va être bien plus long et j’essaye de gérer en fonction.
Après un bon moment, je la sens qui m’attache la main libre à la croix et se mets à me travailler les seins comme elle sait si bien le faire. Je pars quasi immédiatement au nirvana et je vois à travers la cagoule ses yeux brillants d’une perversité que j’adore accompagner ses mains qui m’arrachent tant de plaisir dans la douleur.
Après quelques divines caresses sur l’ensemble de mon corps offert à ses caprices, elle s’arrête , détache l’autre main et m’ordonne de reprendre ma masturbation.
Ce manège masturbation : travail des seins recommence plusieurs fois.
Puis durant une dernière masturbation, elle m’ordonne d’éjaculer dans ma main et de bien la lécher
Je laisse donc mon plaisir monter encore plus loin pour la satisfaire ce qui n’est pas si facile car la fatigue se fait sentir. Mais cette fatigue décuple mon plaisir et j‘éjacule en hurlant mon plaisir sans pudeur devant tous ceux qui sont là
Comme ordonné , je lèche ma main puis à sa demande me frotte le visage avec . Elle me rattache la main et je reste là , planté au milieu comme un objet inutile.
Merci Maitresse
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(Exercice d’écriture thème : visite surprise sous l’eau, histoire vraie ; mots : tissu, moindre, déluge, tambouriner ; texte de 300 à 350 mots )
Elle a pris ses clés, mis ses escarpins et son manteau et s’est dirigée vers sa voiture. Ne pas réfléchir, y aller
En mettant le moteur en route, quelques gouttes viennent s’écraser sur son pare-brise. Elle connait le chemin par cœur, sourit à cette expression. Nue sous son imperméable, elle frissonne et démarre
Radio jazz pour l’accompagner. La pluie arrive et dessine des rigoles entre ses essuie-glaces. Elle est pressée d’arriver. Elle sent ses seins se durcir et ses reins se cambrer : se soumettre, se laisser aller, être son objet dont il use à sa guise. Le voir bander, le sucer en redemander
Elle a chaud, sa chatte commence à mouiller. Sous le tissu ses tétons sont sensibles. S’offrir à lui, nue sous son imperméable. Sous la pluie torrentielle, qu’il la traine, la traite comme une chienne. Elle ressent le besoin d’être sa putain, son pantin, de jouir de sa queue de ses mains. Elle s’imagine sous les cascades d’eau, eux nus trempés, dans l’urgence du moment, baiser comme jamais, baiser sauvagement
Arriver, vite arriver et défaire son imper, sentir son cœur tambouriner et son corps s’abandonner
Elle dégouline, elle sait qu’à la moindre caresse là dans son habitacle elle pourrait jouir, gémir de plaisir. Elle veut être gerbe d’eaux, ondée, un affluent coulant sous ses assauts
Se concentrer sur sa conduite, rester calme, respirer à fond, elle se rend compte qu’elle caresse le levier de vitesse, que ses hanches et son cul bougent au rythme de la musique
Elle est dans sa rue. Elle se gare et prend le temps d’attacher ses cheveux. Elle descend sous le déluge, trempée , frissonnante, elle se dirige vers sa maison. Ses jambes flageolent un peu. Elle a peur et son cœur s’affole. Un semblant de raison, se demander ce qu’elle fait là . Son doigt s’approche de la sonnette, tremblant.
Elle sonne ou pas .
L’histoire est vraie, tout le reste est inventé
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Là, tout se noue, depuis ma gorge jusqu'à mon vagin. Pourquoi ai-je épousé ce clown pervers et stupide ? Un cameraman filme la scène. Je dois faire pipi, j'ai faim, j’ai soif et bien sûr, je suis terrifiée. Je savais que le risque augmentait de jour en jour... J'aurais dû partir, mais je ne sais pas où est Summer. Je demande à la femme :
— Mon mari est ici ?
— Non, il n'y a plus que toi, ici.
— Vous voyez, ils m'ont laissée parce que je n'ai rien à voir avec ce que faisait le Président. J'étais juste là pour son image.
— C'est possible... on verra...
— On pourrait m'enlever les menottes, que je puisse passer une robe ? Et puis, je dois faire pipi... ça presse, je vous jure.
— La robe, non... Pipi, OK. Tu filmes Jacky ?
— Oui...
— On va dans la salle de bain et il filme. Quand j'ai fini, je me secoue un peu, impossible de demander à la femme de m'essuyer ! Je lui demande :
— Qu'est-ce qui va m'arriver ?
— On va t'interroger, puis tu passeras en jugement...
— On va me condamner à mort ?
Ça les fait rire tous les deux. Elle répond :
— Certainement pas, mais sans doute à une peine de prison pour que tu sois hors des pieds.
La prison ! Summer va me faire évader. La femme me conduit dans une grande pièce. Plusieurs hommes sont assis autour d'une table. Il y a quatre Noirs et deux Blancs. La femme leur dit :
— Je vous amène la Première Dame
— Merci, Jackie.
Ils continuent à parler entre eux. Le cameraman s'assied et moi j'attends debout, aussi nue que le jour de ma naissance.
On attend quoi, là ? Au bout de cinq minutes, je demande :
— Je peux m'asseoir ?
Un gros homme répond :
— Non.
— Mais je n'ai rien fait, je n'étais pas au courant de ce que faisait mon...
— Tu as envie d'être fouettée ?
— Non, Monsieur.
— Alors, tu te tais.
Il ne me traite pas du tout comme si j'étais la Première Dame et pourtant, je n'ai rien fait... On ne me parlait jamais de rien ou presque... Après une bonne demi-eure de station debout, un homme entre dans la pièce. Aussitôt, les autres se lèvent, comme à l'école ! Oh ! Je le connais, c'est Dany Prince, l'adversaire de mon mari. Il tourne autour de moi en disant :
— Les rats ont quitté le navire qui coulait, en ne laissant que toi derrière eux. Pourquoi ?
Putain ! Qu'est-ce que je dois répondre !
— Mon... mon mari m'a épousée juste pour mon physique et pour m'obliger à partouzer.
— Tu veux dire que tu n'as jamais participé à un complot contre moi ?
— Non, je n'étais au courant de rien, je vous jure.
Il sort un téléphone de sa poche et pousse sur une touche, j'entends ma voix dire :
— Il faut organiser un scandale sexuel bien crade...
Merde ! Je lui dis :
— Il y en a qui voulaient vous faire descendre, moi j'ai juste dit ça.
Prince bâille, puis il me dit :
— Je crois que tu n'avais pas grand-chose à dire... Ta seule qualité étant tes fesses.
Sympa ! Il se tourne vers ses conseillers en disant :
— Qu'est-ce qu'on en fait ?
À tour de rôle, ils prennent la parole et suggèrent de faire un grand procès télévisé, de me faire disparaître ou encore de me vendre comme esclave. Prince dit à celui qui vient de suggérer de me vendre :
— Développe.
— Il ne faut pas en faire une martyre, du genre on s'acharne sur la pauvre épouse abandonnée par son mari... On la vend un bon prix.
Je ne veux pas être vendue, mais je veux encore moins disparaître. Je dis à Prince :
— Vendez-moi, Monsieur le Président, vous n'entendrez plus parler de moi.
— Président, c'est pour bientôt. Esclave, ça te plairait ?
— Pas du tout, mais disparaître encore moins.
Il sourit et répond :
— D'accord, on met le film qu'on vient de tourner en "secret défense" et pour la presse, il n'y avait plus personne à la Maison-Blanche. Ils se sont tous enfuis comme des lâches. Toi, on te vend.
Ce qui m'empêche de m'écrouler en sanglotant, c'est un nom... vous savez de qui je parle. Prince ajoute :
— Faites-la voyager discrètement.
Là, les choses vont vite. J'ai toujours les mains enchaînées derrière le dos et on me conduit dans une voiture aux vitres teintées... On va l'aéroport de Washington. Là, on me met dans une petite cage pour chien. Imaginez : de la Maison-Blanche à une cage pour chien ! Les hommes qui sont là n'ont pas l'air étonnés... c'est sans doute comme ça qu'on fait voyager les esclaves...
Un Black vient m'examiner. Il me dit :
— Tu as un beau cul pour une Blanche.
— Merci Monsieur... Dites, j'ai soif.
Il regarde autour de lui, puis il sort son sexe de sa salopette et le passe entre deux barreaux en disant :
— Suce-moi et je te donnerai à boire.
Ça ne me change pas tellement de ce que je devais faire avec ce salopard de président. Je tire sur la peau et découvre un gros gland tout rose qui tranche sur sa peau ébène. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe, dans la limite où la petite cage le permet... Je dois me concentrer sur ce que je fais.
Il lui faut bien une dizaine de minutes avant d'inonder ma bouche de sperme. Il presse son sexe de la base vers le sommet pour mettre les dernières gouttes dans ma bouche. Ensuite, il ouvre un instant la cage pour y mettre un bol d'eau en disant :
— Je vais te donner un peu à manger.
— Merci Monsieur.
Enfin, merci... c'est un grand mot, car il ouvre un sachet et le vide dans un autre bol. Il le met dans ma cage en disant :
— C'est de la nourriture pour chiens, ce qu'on donne aux esclaves.
Il y a deux jours, j'aurais dit « Les esclaves devraient être contentes qu'on les traite comme des chiennes ». Mais quand on a le nez dedans, c'est différent ! Et je crains de ne pas être au bout de mes mauvaises surprises.
Je me force à manger cette pâtée qui sent fort. Je ne sais pas quand je mangerai à nouveau. Quoique... il faut que les esclaves soient en forme pour être vendues. C'est vrai, je vais sans aucun doute être vendue comme esclave de plaisir !
Dans les cages à côté des miennes, un chien aboie.
Je termine ma pâtée et mon bol d'eau... Je voudrais me coucher mais la cage est trop petite... J'arrive juste à me mettre sur le dos, les jambes... je veux dire les pattes repliées... Des hommes viennent me chercher, ils me chargent dans la cale. L'avion décolle. Je suis dans le noir... à broyer du noir !!! La seule bête consolation, c'est ceci : ce que je craignais est arrivé, donc ça n'arrivera plus. Et puis, il y a Summer...
Quelques heures plus tard, on atterrit. On me charge dans une camionnette. Je ne vois rien. On roule un moment, puis on décharge la cage et on l'ouvre... Un homme m'aide à sortir, j'ai du mal à marcher tellement j'ai des courbatures. Je regarde autour de moi, on est sur un quai, devant moi, la mer... Je pensais me retrouver au Slave Paradise où des amis auraient pu m'aider à m'évader... L'homme me met des menottes, mais devant heureusement, puis il met un collier en métal autour de mon cou. Il y a une chaîne accrochée au collier et il me tire derrière lui. Un peu comme s'il promenait son chien... On se dirige vers un petit bateau et on y monte. Un homme demande au garde :
— C'est la dernière ?
— Oui... on peut y aller, je vais l'attacher avec les autres.
Je lui dis :
— Pardon Monsieur, mais je dois faire pipi et j'ai soif.
— Oui, viens...
On entre dans une toilette. Quand c'est fait, il me tire par ma chaîne vers un homme qui doit être le capitaine. Il lui dit :
— T'as pas une bière ?
L'homme lui donne une Coors. Il boit la moitié et me la donne. Je le remercie et la vide en deux gorgées. C'est la première chose agréable depuis la fin du monde. Ensuite, il me conduit à l'arrière du bateau. Oh ! Il y a une série de filles réunies par une chaîne attachée aux colliers qu'elles ont autour du cou. Elles sont assises par terre mais elles se lèvent dès qu'elles voient le garde. Elles ont aussi les mains menottées vers l'avant. Le garde attache ma chaîne au collier de la dernière fille. Elles sont sept, toutes Blanches et toutes jolies. Le garde nous dit :
— Asseyez-vous.
On obéit et dès qu'il va vers l'avant, quelques filles se parlent tout bas. Je murmure à la fille qui est devant moi :
— On m'avait dit que j'irais au "Slave Paradise".
Elle répond :
— On va à Alcatraz.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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