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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Et oui on ne se refait pas... Je ne puis résister au plaisir de vous faire partager un de mes textes favoris de notre si riche littérature. Tant de finesse et d'esprit partagé me laisse toujours coi. Georges Sand (Madame est-il besoin de préciser) commet une douce missive à son amant Alfred de Musset.
Cher ami,
je suis toute émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une folle envie de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons en mais franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon où je
vis est bien long, bien dur, et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourez bien vite, venez me le
faire oublier. A vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Votre poupée
Bon certes la fin est légèrement BDSM. :smirk:
Maintenant si on lit une phrase sur deux (« je suis toute émue... »), le romantisme laisse place à des arrières pensées délicieusement moins pures. La réponse de notre tout aussi brillantissime poête n'est évidemment pas en reste.
Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cœur
que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
vous saurez quel remède apporter à mes maux.
Sublime comme toujours chez l'auteur, plus encore quand on devine qu'il s'agit d'un acrostiche (ne prendre que le premier mot de chaque phrase). La réponse de la belle ne se fit point attendre, avec le même esprit :
Cette indigne faveur que votre esprit réclame
nuit à mes sentiments et répugne à mon âme.
Quelle soudaine pudeur. Apparente :innocent:
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De tous les « instruments » dont tu uses pour marquer ton pouvoir, ton « territoire » (moi 😀), le fouet est celui dont le sens pour moi est le plus fort.
Parce qu’il est le symbole de ce que j'ai voulu, de ce que je suis et veux être pour toi.
Pas seulement ta soumise.
Mais bien ton esclave.
Et aussi parce que tu es le premier qui m'ait jamais fouettée.
Puisque c'est moi qui ai voulu que tu me le fasses découvrir.
Pas pour me" punir", pour cela la cravache faisait parfaitement l’affaire, que pour te prouver que je suis pleinement à toi.
Que mon corps t’appartient.
Que tu as tous les droits sur moi.
Malgré tes réticences.
Parce que même si tu en maîtrisais l’usage, tu ne voulais pas t’en servir sur moi.
Parce que j’avais toujours refusé d’être fouettée avant toi.
Parce que ça me faisait peur.
Parce que tu savais que ça fait mal.
Et que tu ne voulais pas me faire de mal.
En dépit du plaisir que ça te procurerait de me l’infliger.
Alors, je t’ai forcé la main.
J’ai insisté.
Malgré mes craintes.
De ne pas parvenir à résister jusqu’au bout à la douleur.
Parce que je voulais te laisser à toi et à toi seul l'initiative d'arrêter.
Quand tu le jugerais nécessaire.
J’ai pleuré, crié, supplié, mais j’ai tenu, serrant les dents.
Sans prononcer à aucun moment le mot qui pouvait tout arrêter.
Et j’ai joui.
Comme jamais un homme ne m’avait fait jouir.
De cette douleur que j’avais voulu t’offrir.
Pour te prouver que j’étais désormais totalement à toi.
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Je « pratiquais » le (bd)sm bien avant de rencontrer mon Maitre.
J’avais déjà connu la badine, le ceinturon, la cravache et d’autres instruments encore.
Mais je n’avais jamais osé franchir cette ultime limite.
Par peur, crainte de la douleur, mais aussi sans doute parce que je ressentais le fait de subir le fouet comme le cadeau ultime que je pourrais faire à un homme.
Et que je jugeais que mes amants de l’époque ne le méritaient pas ou que je n’étais pas prête, moi, à le leur offrir.
Bon, depuis, les choses ont évolué et je pense à un autre "cadeau" désormais.
Mais chaque chose en son temps :smile:
Mon Maître quant à lui en maîtrisait l’usage, pour l’avoir utilisé sur d’autres avant moi.
Mais il s’y était toujours refusé avec moi.
Alors, je lui ai forcé la main, en lui offrant un fouet, un single tail australien, pour s’en servir sur moi.
Ça a été douloureux, très même, jusqu’à ce que les endorphines et ce que je ressentais, cette jouissance de m’offrir totalement à lui, m’emportent dans cet ailleurs qu’on appelle le lâché prise, le subspace. Plus loin que je n’avais jamais été.
Par contre, si cette première fois (mais pas la seule, même s'il continue d'en user avec modération :smile:) où j’ai connu cette jouissance/souffrance à nulle autre pareille restera toujours un moment très fort dans la construction de ce que nous sommes désormais l’un pour l’autre, il n’en demeure pas moins que le fouet reste un instrument dangereux, à manier avec prudence.
D’autres que moi ont déjà écrit sur le sujet, et je renvoie à leurs articles.
Et notamment :
https://www.bdsm.fr/groups/519/
https://www.bdsm.fr/forum/thread/917/Le-fouet-en-SM/
Je recommande en particulier le premier, de ma chère Lady, le plus complet que j'ai jamais lu sur le sujet (après que j'ai "découvert" le fouet et ses effets sur moi), tant sur les volets "techniques" que psychologiques.
Même si nous nous plaçons l'une et l'autre du côté différent du manche, ses mots expriment parfaitement ce que nous avons ressenti, mon Maître et moi, et le sens que nous avons donné à ma première flagellation (et que nous continuons de partager quand il décide de se servir à nouveau de ce fouet qu’il aime d’autant plus que c’est le nôtre, celui que je lui ai offert, réservé à mon usage).
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Les points clés pour moi sont d’abord que celui qui s’en sert en connaisse le maniement, et se soit entrainé avant sur des objets inanimés.
Dans mon cas, mon Maitre avait en outre fait le choix de m’attacher « serrée », pour éviter tout mouvement involontaire de ma part, susceptible d’entraîner un coup mal placé.
Il avait aussi longuement insisté, avant et pendant, sur son exigence que j’use du safeword convenu à n’importe quel moment, si je jugeais que les choses allaient trop loin à mon goût.
Et surtout, en dépit de l’excitation que provoquait chez lui ce sentiment de pouvoir, de me savoir ainsi totalement à sa merci, parce que j’avais voulu qu’il en soit ainsi, il a été tout au long de la séance d’une attention extrême à mes réactions.
Et je sais que ce n'était pas évident pour lui à ce stade d'excitation.
Il est aussi de tradition de recommander d'éviter de fouetter certaines parties du corps, les seins, le ventre, le sexe en particulier.
Je lui avais demandé de passer outre et même si j’ai «morflé », il a su doser les coups de sorte à m’éviter de prononcer le mot que je ne voulais surtout pas dire.
Un dernier point, qu’il me semble nécessaire de souligner pour ceux/celles qui seraient tentés par l’expérience, c’est l’importance de l’aftercare.
Je sais qu’il n’est pas toujours simple pour les mecs après avoir joui de se rappeler à quel point la «soumise » a besoin d’eux à ce moment là.
Pourtant, ce sont ces moments là qui légitiment et justifient tout ce qui a précédé et suivra. L'attention, le soin, physique et psychologique qu'on porte à la soumise.
La laisser « se dire ».
L’écouter.
La tendresse qu'on lui manifeste.
Et puis il y la le plus important, la raison qui m’a poussée à briser mes derniers tabous, la confiance absolue que l’on porte à l’autre, parce qu’on sait, qu'on sent sans le moindre doute, qu’il saura s'en montrer digne.
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De nature, l’homme est un Chien,
Il suit Madame, il est perdu sans elle, il obéit à l’œil de sa vénérée compagne maitresse, il est souvent frustré car en laisse, il attend Madame à la porte de certains magasins, il talonne Madame dans les lieux public, il est toujours en train de battre de la queue, il veut toujours sortir, fougueux . Sans laisse, livré à lui-même, il est perdu. un Chien ça se dresse.
De nature, la Femme est Chatte;
Elle décide des moments, seule elle peut vivre, elle sait trouver ses domestiques qui la nourriront, des coups de cœur, des coups de foudre. Des pulsions souvent maitrisées car elle est chasseuse, elle sait attendre. Rester à la maison ne lui fait pas peur, des heures de tranquillité, de calins, les griffes prêtes à sortir, ne la déranger pas, elle décidera de sortir le moment venu. Elle sait marquer son territoire, ses limites . Une chatte ça s’éduque.
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Mon repas m’attendais dans ma gamelle et je ne fais pas le difficile. Je lèche jusqu’à la dernière goutte. Toujours enchaîné au mur, je peux quand même m’étendre sur ma couche. Je m’endort rapidement même si ce n’est pas le grand confort.
Au matin, c’est un seau d’eau qui me réveille. Enfin, j’ai cru à l’eau mais l’odeur m’a vite convaincu de mon erreur et c’est un seau de pisse qui m’a été jeté à la figure.
Quelle n’est pas ma surprise de voir ma Maîtresse de la veille tenant encore le seau.
Elle est toujours aussi splendide tout de rouge vêtue.
«Bonjour la lope, tu es prête ?
-Allez debout , la journée va être chargée.
-Bonjour Maîtresse»
Je m’empresse de me lever malgré une vue bien embrumée par la fatigue.
C’est Allan qui comme d’habitude me lessive au jet d’eau froide. Je grelotte et ma Maîtresse semble prendre plaisir à me voir trembler comme une feuille.
Elle me passe la laisse sur mon collier et me tire prestement vers le couloir. Nous parcourons quelques dizaines de mètres et je me retrouve dans une grande pièce avec une sorte de porte de garage au fond. Au centre, trône un chevalet noir avec un carcan à sa tête. Maîtresse m’ordonne de m’allonger sur le ventre et de poser la tête et les poignets dans le carcan. Elle en referme la partie supérieure et la bloque avec un cadenas.
Mes genoux sont posés sur deux plateaux le long du chevalet. Je me retrouve le cul bien offert à qui veut le visiter.
Cela ne tarde pas. Maîtresse me le remplit de gel et c’est avec un gode monstrueux qu’elle force ma rondelle. Elle me dilate presque en douceur avant d’enfoncer le gode bien profond. Les allers et retours de plus en plus rapides me démontent complètement l’anus et je crie de douleur.
Mes cris la motivent de plus en plus et je suis à la limite de lancer le safe-word. Elle a de l’expérience et ressens ma douleur qui la réjouis.
C’est assez étonnant mais cette Maîtresse me pousse dans mes limites et ce n’est pas fini.
Elle finira par me déstabiliser en me demandant l’heure qu’il est.
«Je pense que nous sommes en milieu de matinée Maîtresse»
Elle rit, je ne sais où me mettre.
«Et bien nous sommes plutôt en fin d’après-midi.
On t’a bien emmené à l’Ouest» rit-elle encore
Elle enchaîne et me plante un crochet boule dans l’anus. Elle l’accroche au plafond et tir fort pour me relever le cul.
«Ça va être bientôt le moment de nous prouver ta motivation.»
J’entends un rideau métallique se lever et au fur et à mesure un brouhaha qui laisse bientôt place à des cris de surprise.
En fait , je me retrouve sur une scène à la vue d’une petite foule. J’apprendrais plus tard qu’il s’agit d’un bar SM qui organise des soirées animées.
La surprise laisse place à la curiosité et les clients ne bousculent pas leur conversation pour mon cul.
Maîtresse s’adresse à eux en les invitant à venir tester les fouets, cravaches, roulettes et autres ustensiles.
Le premier client à se présenter est une femme qui prends un long fouet pour me marquer les fesses. Je suis dans un état second sans vraiment réagir à la douleur.
Ma passivité apparente a tendance à exciter les clients. Maîtresse veillent à mon intégrité en réfrénant les acteurs les plus virulents. Elle me retire le crochet et sélectionne un mâle qui ne tarde pas à me défoncer. Je n’est plus de douleur tant Maîtresse m’a dilaté et je fini même par avoir une sorte de jouissance. Le mâle laisse bientôt la place au strap-on de la cliente qui m’a bien fouetté.
Il fait le tour du chevalet et me présente sa queue qu’il enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Je ne peux pas refuser et c’est des hauts le cœur qui me remontent depuis l’estomac.
Il se retire un peu et je dois lécher, sucer. Il lâche un grand jet de sperme chaud dans ma bouche, s’essuyant le gland sur mon visage.
Un autre lui succède qui se branle pour m’envoyer un nouveau jet en pleine figure.
Je ne sais pas combien de bites j’ai du engloutir, mais je dégoulinais de spermes. Pendant ce temps mon cul n’était pas épargné et je me suis fait baiser comme jamais je n’aurais pu imaginer. Je ne ressentais plus vraiment de sentiments tant j’étais lessivé.
Maîtresse calma un peu l’ardeur des clients pour me laisser reprendre mon souffle. Elle savait parfaitement me gérer pour jje puisse durer selon son envie
Certains en profitèrent pour me passer la roulette sur le dos, me griffer de la nuque au bas du dos.
Plusieurs martinets ont été testés et je ne pouvait m’empêcher de gémir de plus en plus fort.
Trois jeunes qui devaient enterrer une vie de garçon vinrent se branler devant moi. Chacun leur tour il venait se faire sucer puis repartait se branler un peu plus loin. Ils se firent gicler dans ma bouche avec un grand râle. j’ai du avaler tout leur sperme.
La soirée doit arriver à son terme car Maîtresse prépare son bouquet final. Elle demande à 6 garçons de se mettre de chaque côté du chevalet. Elle leur demande à se branler et de gicler sur mon dos. Pendant cela, elle me gode l’anus pour profiter de l’explosion de sperme. Elle va être au première loge.
Un dernier client vient à nouveau devant moi et se fait sucer. Ma bouche est devenue un masturbateur mécanique.
Je sens les garçons se secouer sur mon dos puis d’un seul coup tout explose. Les garçons éjaculent sur mon dos mettant Ma Maîtresse aux anges pendant que je reçois une nouvelle giclée en pleine gorge.
Je dois encore essuyer avec ma langue toutes ces bites avant que Maîtresse renvoie tout le monde au bar. J’entends la porte se refermer en même temps que les clients sifflent bruyamment.
La porte s’est fermée et le calme est revenue.
Maîtresse me libère et je reprends difficilement pied.
Je suis gluant de partout et Maîtresse m’impose au final de me lécher tout le corps accessible par ma langue.
Je n’ai jamais été autant humilié. Même un objet aurait pleuré.
Maîtresse me ramène à la douche et elle me lave personnellement à la lance. Je suis plaqué au mur et j’ai du mal à supporter l’eau froide.
Sans un mot, c’est Maîtresse qui me ramène à ma cellule. Ma gamelle est pleine mais aucun appétit après avoir absorbé autant de sperme.
Maîtresse me rattache au mur et me pousse sur ma couche qui pue la pisse.
«J’ai un dernier plaisir à prendre avant de te laisser»
Et immédiatement elle me chevauche et me pisse dessus.
Je dois en boire le plus possible mais ma couche en recevra sa dose. Après tout ce sperme, c’est un bain de bouche salvateur.
Malgré l’humidité et la puanteur, je m’endormirais rapidement après que Maîtresse soit sortie de la cellule.
A suivre ...
J'ai bien déliré sur cette épisode et merci à Maîtresse de m'avoir redonner goût à l'écriture
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Elvire est une dominante, une sportive , une combattante. Elle a tout d'une amazone, sauf qu'elle n'a pas envie de se faire couper un sein et qu'elle n'est pas du tout lesbienne. Non, Elvire aime la bite, les belles grosses bites bien dures et bien juteuses. Son grand plaisir, ce qui la fait jouir, c'est de les dompter, à la cravache si besoin. Après tout pourquoi pas. Il existe bien des dresseuses de tigres ou d'éléphants, pourquoi n'y aurait il pas des dresseuses de bites et de façon amusante tout est dit, des femmes qui savent bien les faire dresser et les rendre bien dures pour s'empaler dessus avec plaisir. Des femmes qui savent en faire leurs propriétés exclusives, les apprivoiser pour les mettre en cages.
C'est son sport préféré. Elle repère les hommes bien bâtis, avec un bon cœur, un bonne pompe cardiaque bien solide. De quoi bien faire gonfler une grosse bite endurante. Après c'est elle qui domine. Le male doit se soumettre et se laisser faire. C'est toujours lui qui est dessous. C'est Elvire qui le trousse, l'allonge, dégage son membre et s'empale dessus. Elle adore chevaucher un mec, le baiser. interdiction pour ce dernier de jouir sans qu'elle en donne l'ordre. Elvire aime prendre son pied et elle a tout son temps. C'est de l'amour cosaque dans les grandes plaines d'Ukraine ou de Russie, c'est pas un concours de jumping.
La jouissance d'Elvire d'abord et si le mâle ne se retient pas, la redoutable cravache cosaque est là et ce con de mec morfle grave. Non seulement les males doivent avoir une superbe bite mais ils doivent obéir et se contrôler. C'est cela une bonne dresseuse de bites. Pas d'éjaculation prématurée mais que sur ordre et bien crémeuse et généreuse, le meilleur du sperme.
Elvire a son harem d'étalons. C'est elle qui choisit avec qui et quand. Pour que ses étalons soient plus calmes et bien obéissants, bien disponibles, ils sont tous sous cages de chasteté. C'est Elvire qui les a faites faire à leurs frais, sur mesure, en bon acier. C'est elle qui garde les clés. Si les males de son harem veulent se faire purger les couilles et la prostate, ils doivent baisser la tête et obéir en tout et pour tout à leur dresseuse experte.
La morale de cette histoire c'est qu'un trou inversé est un trou dominant. Rires.
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J'attends La Pluie, j'en ai besoin.
Comme d'autres ont besoin de la caresse sécurisante des rayons du soleil sur leur visage,
Moi j'ai besoin de la sensation enveloppante de La Pluie, sur tout mon corps.
Et après plusieurs semaines d'attente, aujourd'hui enfin son appel, La Pluie.
Nous nous sommes données rendez-vous dans le parc.
Impossible d'exiger l'exclusivité, cette partenaire est bien trop généreuse,
Et il faut savoir se faire à l'idée qu'elle embrassera tous ceux qui seront à sa portée,
Passionnante amante capricieuse et passionnée qui n'a que faire du consentement de ses proies.
Avec elle, c'est quand elle veut, qui elle veut, ou elle veut, comme elle veut.
Après les longues semaines de frustration, c'est l'insoutenable suspense.
Honorera-t-elle le rendez vous ? Oui ? Non ?
C'est cinquante-cinquante d'après les ragots météo.
Les nuages sont bien là. Lourds, chargés, l'alléchante menace.
Je lève les yeux vers ce ciel et je patiente, en dévotion.
Toute la nature autour de moi semble trembler de la même impatience que moi.
Ce sol assoiffé et cette végétation turgescente gourmande de tout aspirer jusqu'à la dernière goutte.
Les minutes s'écoulent, les effluves aqueuses perverties par la ville embrument mon esprit,
Font grandir encore mon désir de voir tous mes sens s'abandonner à son offrande.
Sur le banc je me surprends à serrer imperceptiblement les cuisses,
Tandis que le la brise s'en vient, délicieux prémices, encourageante promesse.
La prétentieuse n'a de cesse de me faire languir.
Je peux sentir son regard scrutateur sur mon être et l'imaginer jouir de se faire ainsi désirer.
Sourire carnassier.
Et moi de commencer à m'imaginer séquestrée dans ma frustration, entamer le deuil de cette session.
L'heure est largement passée, alors j'accepte, je me résigne.
Je me lève pour quitter l'ilot de verdure, bouffée étouffée d'oxygène au milieu de la ville polluée.
C'est cet instant que choisit l'infidèle, pour me surprendre.
Chuchoter, sur ma peau, quelques gouttes.
D'abord éparse, j'ai le temps d'appréhender avec précision ce contact.
Chaque point d'impact du liquide frais sur ma peau brulante,
A la fois aussi laiteuse que fiévreuse, enivrée du désir de lui appartenir.
Je savoure, les tant attendues pichenettes.
Ma tête, mes bras, mes jambes, mon visage.
Chaque partie de mon corps qui est dénudée est savoureusement frappée comme il se doit.
Chaque lourde goutte éclate au contact de ma peau,
Myriade de cellules avides de s'écouler sur mon corps pour mieux l'en recouvrir.
Puis, enfin, comme la délivrance tant suppliée, le rythme s'accélère.
Les impacts claquent et se font de plus en plus pressants.
Omniprésents.
Pénétrants.
Mes vêtements commencent à s'alourdir.
Gorgés d'eau, ils collent à ma peau qui devient de plus en plus froide,
Contraste abyssal avec ce feu qui me ronge de l'intérieur,
Désir incandescent rugissant du fond de mes entrailles.
Mes cheveux plaqués contre mon visage et mon dos ruissellent,
Je me liquéfie toujours plus à son contact. Je deviens son vecteur.
Elle cours sur tout mon corps.
Glisse, caresse, tout ce qui lui est accessible.
Et tout de moi lui est accessible. Je ne peux lui refuser aucun accès.
Par sa seule nature, elle transforme le tissu en cage impudique,
Révélant chacune des formes de ce corps à qui y pose son regard.
Habillée mais nue. Exhibitionnisme légal de mes tétons saillant, naturelle indécence.
Rien de l'arrête, inquisitrice, s'abreuvant de tous les interstices.
Dans l'intimité de son lourd manteau impermanent,
Elle et moi seules savons l'émoi que cette étreinte me procure.
Petite chose humaine grisée, tous les sens dédiés à l'accueil et l'acceptation de ce qui est.
Les passants ont dégainé bien rapidement leurs parapluie. Ont couru s'abriter.
Les impertinents, encore capables de se plaindre d'avoir les pieds mouillés.
Moi, je rentre chez moi emplie de gratitude pour cette intense attention qui m'est accordée.
Puis lorsque dans le secret de mon foyer je pourrais enfin me dévêtir,
Ma chaire de poule et ma peau glacée me rappelleront encore quelques heures à cet heureux souvenir.
Merci La Pluie.
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Ma drogue, mon héroïne, je sais qu'avec Vous, il n'y a aucun risque d'overdose.
Alors je vous respire, envoûtée par vos effluves, mon corps en transe implose.
Dans les nuages, je suis, Vous êtes ma dépendance. En votre absence, je compose.
Rien n'est aussi bon que d'être accroc sans devoir surveiller la dose.
Offrons-nous une petite évasion qu'il est bon de voir la vie en rose.
Gonflés à bloc, on se consomme, on se consume ; érotique symbiose.
Une étincelle m'embrase, dans mes veines, c'est l'apothéose.
Effets instantanés. Ma drogue à moi, c'est Vous et pas autre chose.
Même s'il y a souvent cet état de manque, ce vide
Obscurs moments de solitude, de noirceur insipide
Nos retrouvailles sont toujours merveilleuses, et tout redevient limpide.
Heureux dans notre bulle sans penser à la piqûre de rappel
Eviter le temps qui passe, planer et profiter de l'essentiel.
Ravageuse, Vous êtes mon crack, mon héroïne, comme un éclair dans le ciel
Ombre devient alors lumière, qui me foudroie d'une voix sensuelle
Inondé de bonheur, ma délicieuse, ma délicieuse, ma belle
Nos "trips" n'ont nul besoin de substances hallucinogènes, mon don me donne des ailes.
Et je ne suis dealer que pour Vous offrir ma soumission cérébrale et bien réelle.
Le 26 07 2021
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Apres cette journée bien rempli, j’avais le droit de souffler un peu.
Histoire de digérer le fait d’avoir perdu une journée de congé à faire de l’administratif, je me suis décidé à m’offrir ce petit cadeau qui me faisait de l’œil depuis quelques temps.
Sur la route du supermarché, se trouve le sexshop du coin. Etant donnée qu’il n’est que 16h, j’ose m’y aventurer, me disant qu’il n’y aura personne a cette heure ci en pleine semaine, et que je ne risque pas de croisé le regard jugeur d’un autre client, ou même d’une connaissance.
D’un naturel très timide, l’une de mes craintes est d’exposer aux yeux des autres ma sexualité que certains qualifierait de décalé, ou étrange.
A peine le moteur coupé, je sens une sorte d’anxiété monté en moi. Rapidement, je me rend compte que ce sentiment est accompagné d’excitations. Je respire profondément et prend mon courage a deux mains.
Je sors de ma voiture et me dirige vers l’entré du magasin. « C’est une recherche tout a fait normal, tu n’es pas bizarre » me dit une petite voix dans ma tête.
A l’intérieur, l’espace est immense, le plafond très haut. Les murs sont peint en rose sur la moitié haute, tandis que le bas est en noir. A l’entrée sur la gauche se trouve les premiers rayons de sextoys. Des modèles assez « classe » et discret, pour éviter d’effrayer la clientèle, j’imagine.
Au milieu se trouve le comptoir de vente avec les caisses. Je suis accueilli avec deux « bonjour » léger et enjoué. Ces mots viennent de deux femmes se tenant à côté du comptoir.
A ce moment la un homme sort d’une pièce sur la droite, dont l’entrée est fermée par un rideau. Il s’approche des caisses 2 boites de DVD en mains, le regard fixé sur le sol, fuyant mon regard, de la même manière que j’aurais fuis le sien dans sa position. Je rejette un coup d’œil au rideau et vois le panneau qui surplombe l’encadrure indiquant le rayon de film pour adultes.
« Allez, tout va bien ce passer. Détends-toi ! ».
Je commence à faire le tour des rayons, en quête de ce qui m’a amené ici. Bien que pressé d’en arriver au but, je prend le temps d’observer avec grande attention tout les rayons. Les godes du plus petits des vibros au gros machins qui semble impossible de s’enfiler, des dessous sexy d’infirmière aux tenues intégrales en latex, il y en a pour tout les gouts et tout les besoins. Je prends un plus mon temps au rayons plug anal. J’essais d’imaginer l’insertion de chacun d’entre eux dans un anus, ce qui a tendance a faire monter l’excitation que j’ai en moi. Je passe lentement, l’ère de rien, devant les accessoires SM, notamment les martinets, cravaches et autres outils permettant de fouetter. J’imagine, là aussi, l’effet de chaque objet sur une paire de fesses ou sur quelque autre endroit d’un corps. Voilà déjà 20 minutes que j’ère dans les allées de ce sexshop. Je fini enfin par tomber sur ce que je cherche.
Il s’agit maintenant de trouver le bon modèle. Là encore, il y a en pour tout les gout, de toutes tailles, en différentes matières, etc.
Un peu perdu devant autant de choix, j’observe, et essaye d’esquisser un semblant de réflexion pour orienter mon choix. Apres quelques minutes planté devant se rayon, une douce voix me dit :
« Puis-je vous aider ? ».
Mon petit sursaut témoigne de ma surprise. Malgré la légèreté de sa voix, je n’ai pas pu m’empêcher de tressaillir de peur.
« Toutes mes excuses, je ne voulais pas vous faire peur » me dit l’une des deux vendeuses.
« Non, non pas de soucis, c’est moi qui m’excuse, j’étais perdu dans mes pensées ».
« Je comprends. Alors dites-moi, comment puis-je vous aider ? »
Sa voix était extrêmes poser. Bien sûr, travaillant ici, elle avait l’habitude de conseiller des clients sur des objets intimes, et ne ressentait donc aucune gêne pour en parler. Cela avait quand même le don de me surprendre.
« Est-ce que vous avez déjà des modèles qui vous intéressent ? »
« Oui… non… a vrai dire, je n’en ai aucune idée. J’ai regardé chaque modèles sous toutes ces coutures, mais j’arrive pas a m’orienté vers l’un ou l’autre ».
« De les avoirs tous regardé est déjà un bon début, pour trouver le bon modèle ».
« On peut le voir de cette manière… »
« Est-ce que c’est pour offrir ou est-ce que c’est pour vous ? »
Je senti le stress faire son retour.
« C’est… euh.. c’est pour of.. c’est pour offrir à moi-même. » ma voix était tremblante.
« Très bien » me dit la vendeuse, d’un ton toujours aussi léger. Cependant, je vis, avec ces mots, quelques étincelles illuminer son regard.
Elle laissa un court instant de silence avant de reprendre :
« On progresse ». Sa bouche esquissait un discret sourire bienveillant.
« Est-ce la première fois que vous acheter ce genre d’outil, si j’ose dire ? »
« Oui »
« Alors, si c'est pour découvrir la sensation que ca procure, je vous conseil ce modèle ou celui-ci. Ils sont assez facile d’utilisation. Le premier est en plastique dure, alors que le second est souple. Il sera plus doux avec votre intimité, la ou le premier dictera un peu plus son jeux.
Avant de choisir la taille, il faut, je pense, vous décider sur le type que vous souhaitez prendre. »
« Le premier me semble peut-être plus adapté à ce que je cherche. Et je dois avouer que cet anneau rigide me plait plus que sa version souple. » Je m’étonnais moi d’être parvenu a sortir ces quelques mots du premier coup, tant j’étais intimidé de discuter de cela avec la vendeuse.
Celle-ci vit dans mon regard fuyant, que je n’étais pas à l’aise avec la situation.
« Si vous voulez, on peut prendre quelque modèles et aller dans mon bureau, afin de poursuivre cette discussion dans un endroit discret. Je vous sens pas forcement a l’aise avec ce sujet, je pense qu’il peut être pas mal de démystifier tout ça ensemble. Qu’en dites-vous ? »
J’étais tétanisé. Mon pouls c’était accéléré, de terreur, mais aussi d’excitation. L’espace d’une fraction de seconde, je m’étais imaginé une session d’essayage privée avec cette femme, dans son bureau.
Essayant de paraitre tout à fait serein, je dis, sur ton maladroit : « et bin pourquoi pas ?!»
Elle prit quelques modèles, 2 en plastiques souples, et 4 rigides, et me proposa de la suivre.
Son bureau était situé au premier étage. Apres avoir passé une première porte sur la droite de la salle principale du magasin, un escalier mené a une grande pièce rectangulaire.
La porte se situait au milieu de celle-ci. Face a l’entrée, le mur était couvert de fenêtre donnant sur l’extérieur du bâtiment. A chaque extrémité de la pièce ce trouvait un bureau, un pour chacune des vendeuses j’imagine. Entre ces bureau ce trouvait, contre les fenêtres un coin détente, composé d’un canapé et de deux fauteuils.
« Asseyez-vous, je vous en prie » me dit-elle.
« Est-ce que je peux vous offrir un café, un thé, ou un verre d’eau ? »
« Je veux bien un verre d’eau, s’il vous plait . »
Elle se dirigea vers son bureau, a côté duquel se trouvait un petit frigo.
Je ne pu m’empêcher de la regarder lorsqu’elle eu le dos tournais. C’était une femme ravissante d’une trentaine d’années, 35 peut-être. Elle faisait a peu près ma taille, avec ses talons. Ses cheveux étaient d’un noir brillant, et tombaient sur ces épaules. Elle portait une jupe en jean, qui s’arrêtait juste au-dessus du genoux, ainsi qu’un t-shirt blanc. Sa silhouette était fine et élancé. Son allure était franche mais légère.
Elle sortie une bouteille d’eau du frigo, pris un verre qui était posé retourné sur un plateau, et revint vers le canapé. Durant son retour vers le canapé, mon regard se tourna vers les murs, cherchant quelques chose d’intéressant a regarder autre que la vendeuse.
Elle pris place sur le canapé face a moi.
« Tenez. »
« Merci. »
« Alors, voyons ce que nous avons là. » me dit-elle en étalant ce qu’elle avait ramené de la salle sur la table.
J’avais la sensation d’être a une soirée Tupperware pour adulte. J’étais toujours aussi terrifié et excité a la fois.
« Comme je vous est dis tout a l’heure, les souples sont plus doux, plus « abordable », là où le rigide procure plus de sensations, bonne et mauvaise. Ici on a trois modèle différents et j’ai pris deux tailles de chacun.
Vous m’avez dis être plus attiré par un modèle rigide. J’imagine que vous êtes plutôt à la recherche de sensations. »
« Oui effectivement. Les rigides me semble plus sympa. »
Son visage était toujours illuminé un sourire bienveillant.
Elle baissa les yeux vers la table, avant de les relever, et me dire en me regardant droit dans les yeux :
« Enfin que vous sentiez plus à l’aise, j’aimerai vous dire que je suis là pour vous aider à trouver le produit qui correspondra le mieux a vos attentes. J’ai l’habitude de conseiller et de vendre ce genre de chose. C’est mon métier.
En plus de ça, pour tout vous dire, il m’arrive assez régulièrement d’en utiliser avec des hommes dans ma vie. »
Mon cœur fit trois tours sur lui-même.
Je ne sais pas si ses paroles avaient apaisées ma peur, ou si c’est l’excitation qu’elles provoquaient en moi qui avait confiné la peur.
J’ouvris la bouche, mais aucun mots n’en sorti.
« Pourriez-vous me dire ce qui vous amènes a vouloir faire cet achat ? »
« euh… et bien… »
Je pris une grande respiration, histoire de regrouper un peu de courage.
« Je… disons que je cherche… enfin, je suis… disons que j’explore différents aspect de ma sexualité. Je... Je m’intéresse depuis quelques temps au milieu BDSM, sans trop savoir précisément ce qui m’attire la dedans. Et... »
« Ca y est, j’ai mis les pieds dans le plat !! » me dis-je intérieurement.
La vendeuse me regardait fixement. Elle semblait comme pendu à me lèvre, dans l’attente de la suite.
Un simple « ok » accompagné d’un hochement de tête, me signifiait de continuer.
« Ce qui est sûr, c’est que j’ai plutôt une tendance à être attiré par la soumissions. Cependant, il y a une partie de moi, qui souhaiterai dominer. Mais c’est une domination plutôt perverse, et j’ai du mal a voir claire en elle.
J’ai déjà eu des expérience de pseudo SM, lors d’ébat sexuelles. Et ils m’ont plutôt conforté dans cette attirance pour la soumissions.
Le fait est que je n’ai pas de partenaire, en ce moment, mais que j’ai envi de m' enfoncé un peu dans le BDSM. Afin d’approfondir mes envies. »
Je ne sais par quelle sortilège, elle était parvenu, à me faire dire tout ça, mais j’étais fier de moi, d’avoir surmonté ma timidité.
« Je comprends, pratiquant moi-même, le BDSM, je sais a quelle point la découverte de ce monde est à la fois perturbante et excitante.
Cependant, vous ne m’avez pas clairement exprimé quelle était la motivation de votre achat, me semble-t-il ? »
Son sourire était devenu un peu plus prononcé, et semblait exprimer une certaine perversité. Comme si elle se faisait un malin plaisir de me pousser dans mes retranchements, jouant avec ma timidité pour me torturer.
« Il est vrai. En fait, je… Comment dire ça.
Comme je vous l’ai dit, je cherche a explorer comme je peux, avec les moyens du bord, certaines sensations.
Notamment, la soumissions. La partie perverse de moi-même, à suggérer qu’il pourrait être intéressant, de… d’utiliser ce genre d’objet de temps en temps, chez moi, pour… me… enfin… pour me soumettre à moi-même. »
« Intéressant. Donc votre achat n’est pas motivé par une tiers personne ? »
« Non. »
« Et vous êtes a la recherche d’expériences me dites-vous ? »
« Oui. »
Le silence rempli la pièce durant quelques seconde.
Je ne savais pas ou me mettre. L’absence de parole fit remonter la timidité.
Je tenta de briser le silence, avant d’être aussitôt interrompu.
« Je. »
« Non ! »
Elle avait placé sont index sur sa bouche, me signifiant de me taire.
« Si je comprends bien, vous êtes en pleine découverte de votre sexualité. Vous vous sentez plutôt soumis, et chercher à confirmer ceci. Pour ce faire, vous voulez vous offrir ça, et le porter chez vous afin de vivre une sorte d’expérience de soumission ? »
« Oui c’est bien ça. »
Elle laissa un long silence, avant de reprendre :
« Si je vous demandais de vous mettre à quatre pates devant moi, le feriez-vous ? »
Mon corps se raidis. Est-ce que j’avais bien compris ce qu’elle m’avait dit ?
« Je… c’est-à-dire ? Je ne suis pas sûr de bien comprendre. »
« Vous avez parfaitement compris. Mais pour ôtez tout doute persistant, je vais me répéter.
Si je vous demandais de vous mettre à quatre pattes devant moi, maintenant, le feriez-vous ? »
Je restais sans voix. Je n’osais pas assumer ce que j’avais compris. Par curiosité, je répondis, balbutiant :
« Oui »
« Intéressant, faite le. »
Je m’exécutas.
« Bien. Maintenant, si je vous demandais de vous lever, de marcher jusqu’au bureau, de revenir et vous remettre a quatre pates devant moi, le feriez-vous ?
Je ne dis mot, et effectuât ce qui m’avait été demandé.
« Bien. »
J’étais devant elle, a quatre pate, dans l’attente de la suite.
Je sentais son regard posait sur moi.
« Si je vous demandais d’embrasser mes chaussures, le feriez-vous ? »
Une fois encore, elle dictat, je fis.
J’embrassas délicatement chacune de ses chaussures, sur le dessus.
« Très bien. Debout, maintenant ». Sa voix avez légèrement changer.
« J’ai comme l’impression que vous êtes extrêmement volontaire pour essayer de nouvelle choses. » me dit-elle d’un air sérieux.
« Je dois avouer qu’en effet, cela tendance à aiguiser ma curiosité. »
« hmmm…. Bien bien bien. Que diriez-vous de jouer a un petit jeu avec moi ? »
« Quelle genre de jeu ? »
« Le genre qui fait découvrir des choses !
Disons, que j’aime m’amuser avec les hommes. Particulièrement, ce qui débutent dans le BDSM.
Et vous me semblez particulièrement prometteur.
Je vous propose de vous soumettre a moi le temps d’une heure ou deux aujourd’hui.
Si l’expérience est concluante, soit je vous prendrais sous mes ordres de manière plus régulières, soit je vous enverrais vers des collègues.
Qu’en dites-vous ? »
J'étais sous le choque.
« wow. Je ne m’attendais vraiment pas à ca en venant ici. Je ne sais pas quoi dire… je. »
« C’est oui ou c’est non ? »
« Euh, c’est oui, je pense. »
« J’ai besoin d’un peu plus d’entrain ! »
« C’est oui Madame ».
« Bien. Alors pour commencer tu dois m’appeler Mademoiselle. C’est une manière de signifier que tu ne m’appartiens pas encore. »
« Oui Mademoiselle ».
« Tu comprends vite, c'est bien.
Que dirais-tu, pour commencer, d’essayer un des jouet qu’il y a sur la table ? »
« Avec plaisir Mademoiselle. »
« Enlève tes chaussures, chaussettes, pantalons et caleçon. Pose le tout, plié correctement sur mon bureau.
On va voir quelle taille de va le mieux. »
Suite au prochain épisode.
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En juillet je navigue sur un site BDSM - bien sûr :-) - et je tombe sur une annonce: un couple étranger de passage sur Cannes en août pour leurs vacances cherchait une rencontre.
Je regarde le profil, les photos, les commentaires... Et j'ai envie de répondre: Ils semblaient complices, kinky (comme ils aiment à le dire), les commentaires sont bien écrits et sans fautes. Madame est séduisante et soumise à Monsieur.
J'envoie un message sans grande espérance. Ils doivent en recevoir des dizaines et d'hommes libres célibataires donc dispo 24/7.
Le lendemain, il répond et on échange.
RDV est pris avec lui pour nous rencontrer en premier. Et si le courant passe, on se retrouve tous les 3.
Ce n'est pas ma recherche première, un trio, mais ce couple semble sympa et j'ai besoin de voir du monde :-)
Bref on se rencontre sur le bord de mer à Cannes pour un café matinal.
Le courant passe super bien. Il est vraiment sympa.
On discute une bonne heure en anglais. Et avant de partir me dit qu'il me recontactera. Je croise les doigts pour que ce soit vrai...
Une heure après, je reçois un message avec un RDV dans ses jours.
Et on se mets d'accord sur un scénario...
Le jour J
Il est 8h30 sur Cannes. Je reçois un message: tout est prêt.
Il m'accueille au portail. Nous ne faisons pas de bruit.
J'entre, enlève mes chaussures et mon cuir (motard).
Il me précède dans la chambre.
Elle est attachée, mains et pieds, au lit. Cagoule pour l'empêcher de voir et une sucette de bébé dans la bouche.
Elle se tortille : Son maître lui a installé un vibro avant que j'arrive.
Elle ne sait pas que je suis là, qu'un autre homme est présent.
Il lui parle et la caresse. Il m'invite à faire de même de l'autre côté du lit, sans bruit.
Ma main passe sur un sein et glisse vers son cou. Je tire son collier pour lui faire sentir sa soumission.
Elle semble perturbée. Nous continuons tous les deux: je passe sur son ventre, sa charte, ses cuisses, j'empoigne sa cheville.
Et soudain elle tourne la tête dans les draps comme pour se cacher.
Elle a compris :-)
Il me fait signe de parler. Je me penche et lui glisse qques mots prêt de sa tête.
Elle se tord pour s'enfoncer dans les draps encore plus. Si elle pouvait se glisser sous les draps pour se cacher, elle l'aurait fait.
Son maître lui parle, et lui enlève son vibro tjrs en action.
Il me fait signe de la doigter. Je m'applique à lui faire prendre du plaisir. Elle est humide et commence à gémir.
Nous continuons encore qques instants et il me fait signe de sortir.
La suite du scénario nous attend.
Comme prévu, je ramasse mon sac et les attends qqes instants sur la terrasse.
Il revient avec le sourire. Il a donné ses instructions.
Nous discutons tous les deux: elle ne s'attendait pas du tout à cette rencontre.
Elle n'avait pas compris tt de suite qu'un autre homme était présent.
Et être ainsi, nue attachée et avec une sucette de bébé dans la bouche l'a déstabilisée. Elle ne sait tjrs pas à quoi je ressemble, qui je suis.
Elle est maintenant surexcitée, me dit-il.
Elle tarde à nous rejoindre: elle doit porter, à la demande de son maître, sa plus courte jupette, sans culotte bien sûr, un croptop transparent le plus court possible, talons hauts et son doudou qu'elle ne quitte pas.
C'est un daddy's girl.
Son maître s'impatiente et ramène deux cafés. Je sors les croissants que j'ai ramené et nous commençons le petit-déjeuner tous les deux. Discutant d'elle.
La voici enfin.
Elle est super sexy habillée ainsi.
Elle porte Son doudou comme une enfant pour cacher son visage et son sourire gênée.
Elle me reconnait: avant ce RDV, elle et moi avions échangé des messages et photos.
Elle m'avait invité à un apéritif la veille au soir même.
Mais le scénario était qu'ellene devait pas être au courant avant. Lui jubile. Moi aussi d'ailleurs.
'Tu m'as invité hier soir, mais me voici pour le petit-déjeuner' lui dis-je
Elle rougit. C'est un vrai plaisir.
Son maître mets une chaise entre lui et moi.
Elle s'assoit. Il lui écarte les cuisses pour qu'elle ne nous cache rien. Elle enfouit sa tête dans son doudou. Je lui repousse son doudou aussitôt pour qu'elle me regarde. Elle est jolie, ses yeux sont magnifiques. Elle rougit, me sourit gênée.
Je prends ma tasse de café et la regarde. Son maître est partie lui ramener une tasse de thé.
Je prend un morceau de croissant et lui tend.
Elle va pour le prendre avec les mains. Je recule, elle comprend et mange le croissant directement de ma main. Je lui donne un autre petit morceau dans la paume de ma main. Ses lèvres et sa langue lèchent ma paume. Son geste est plus important qu'il aurait dû être : elle aime ce moment. C'est une certitude. Elle me sourit en mangeant. Son maitre revient, elle prend une gorgée de thé.
Je me rapproche encore plus et tire sur la boucle de son collier. Je la regarde droit dans les yeux, tjrs. Et je descends sur ses seins, son maître soulève son croptop pour la pincer et m'invite à faire de même.
Elle se pince les lèvres mais nous ne forçons pas plus.
Je descends encore et je glisse ma main dans son entrejambe.
Elle est humide me dit son maître qui m'avait précèdé de qqes secondes. Il a raison: elle est excitée.
Je le suis tout autant: je bande pour elle.
'Debout' elle se lève et écarte plus ses jambes, mets ses mains dans le dos. Visiblement elle a été éduquée...
Elle me facilite l'accès à son intimité. Je glisse un doigt, deux doigts, trois doigts et j'accelere le va-et-vient. Elle penche sa tête en arrière et commence à gémir.
Elle accompagne mes caresses de son bassin. Elle se branle sur mes doigts. Je n'ai quasiment plus à bouger. Je la regarde prendre son plaisir. Son souffle s'accélère. Elle gémit. Elle est si sexy ainsi...
Je ralentis. Nos têtes se touchent. Sa bouche est à qqes centimètres de la mienne.
Elle s'appuie sur moi.
Et après qqes instants, je me retire. Son maître la tire vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Il la tire vers le bas et la voici agenouillée face à lui en une seconde.
Il sort son sexe et sans attendre lui baise littéralement la bouche.
Je suis derrière elle. Je vois sa tête entre les mains de son maître forcée à lui apporter du plaisir. Elle suce, elle gobe, sa gorge est baisée sans retenue.
Il me fait signe de la doigter encore pendant qu'elle s'active.
Avec plaisir, je lui prête main forte. Et mes doigts s'introduisent dans sa chatte humide, son cul est à ma merci. Je glisse un doigt. Elle suce.
Puis il s'arrête. Et aussitôt elle se retourne vers moi, toujours à genoux.
Elle a été éduquée à satisfaire ses invités, c'est certain.
Elle n'a pas hésité un instant.
Je prend mon temps alors qu'elle est devant moi, à genoux, dans l'attente de mon bon vouloir. Je regarde son maître. Il me sourit. Elle a les yeux baissés.
Je prend mon temps et ouvre mon pantalon.
Je sors mon sexe. Elle se jette dessus. Vraiment. Je n'ai pas eu une seconde de répit :-)
Elle me suce au plus profond de sa gorge. Sa langue glisse sur mon sexe. Elle suce et lèche en même temps. C'est divin.
Je prend sa tête dans mes mains et je lui donne le rythme que je souhaite.
Ses mains sont sur mes bourses à les caresser. Je m'arrête pour rester dans sa bouche immobile qqes instants. Je lui ordonne de me regarder. Elle lève ses yeux bleus: son regard est si beau.
Je m'extrait de sa bouche et lui présente mes bourses. Elle les lèche, les gobe une puis l'autre. Je force les deux en même temps dans sa bouche.
'Regarde-moi' . Ces yeux....
Et je reprends mon va-et-vient entre ses lèvres.
C'est si bon de la voir à genoux, possédée par mon sexe.
Offerte à cet inconnu que je suis encore il y a qqes minutes.
Ses yeux bleus vers moi.
Je n'en peux plus. Je me sens venir. Je m'arrête. Mon sexe turgescent est face à elle, humide de sa salive. Elle ouvre la bouche, m'offre sa langue et attend immobile.
Je regarde son maître et je lui demande comment je peux finir. Il me fait signe de faire comme je souhaite.
Je la regarde et je le pénètre de nouveau. Qqes secondes de plus ont suffit à me faire jouir. Elle ralentit et ma semence envahit sa bouche, glisse sur sa langue et enfin sa gorge. Je suis au 7e ciel. Je retiens mon râle de plaisir tout en regardant, si belle soumise.
Elle continue tjrs à me nettoyer. Elle n'arrêtera que lorsque je lui dirai.
Mon sexe humide du mélange de ma semence et de sa salive est l'objet de toute son attention. Elle est douce, lente, fait durer notre plaisir...
Je profite du moment encore un peu et me retire tout doucement.
Elle me regarde et avec un doigt essuie la commissure de ses lèvres. Elle me sourit coquine pendant que je me rhabille. J'aurais dû la laisser faire me dis-je.
Je l'aide à se relever et elle se rassoit sur sa chaise, jambes écartées. Il n'y a pas de mécanisme dans ses gestes. Elle le fait par plaisir de nous exciter. Je me sens à l'aise avec eux.
Elle semble heureuse de ce moment et c'est ce qui compte le plus. Nous partageons un moment ensemble : je ne suis pas juste un homme de plus.
J'apprécie vraiment.
Nous finissons nos tasses respectives de thé ou café.
Son maître lui demande si elle apprécie son thé avec ce nuage de lait.
Elle sourit coquine: J'imagine à leur regard complice des jeux sur ce sujet.
Et nous discutons lui et moi encore un peu. Il est temps pour moi d'aller travailler.
Pas facile pour moi de me concentrer dans la journée leur dis-je.
Mais avant de partir, je me tourne vers elle et je sors de mon sac une peluche pour chienne. Tu l'as bien mérité lui dis-je. Cela faisait partie du scénario : elle aime être traitée en petite fille et jouet en même temps. Elle me sourit très largement et serré ce doudou contre elle comme une enfant. Elle me remercie 10 fois.
Je suis content: ce geste l'a touché. J'en tire une certaine fierté même.
Il me demande de revenir vers lui plus tard avec mes impressions sur ce RDV.
Ils feront de même. S'il y a des choses qui ne nous ont pas plu, nous devons nous les dire.
Je me rapproche de la porte, remets mes chaussures. Je me relève: elle est devant moi, mains sur les murs et jambes écartées. Son maître la fouille sans vergogne. Elle gémit, se tortille de plaisir. Je la regarde. Son maître m'offre un joli spectacle.
Puis il la relâche. Elle reprend ses esprits, me sourit gênée et m'embrasse sur la joue. Et nous laisse lui et moi. Je la vois partir doucement, attendant peut-être une suite. Mais je dois partir.
Il m'accompagne dans le couloir et on se quitte. Avec un sourire complice.
Je repars mais je ne suis plus quelle heure il est, où je suis... un moment hors du quotidien...
Plus tard je lui écrirai pour lui dire à quel point j'ai apprécié leur présence, la complicité du moment. Ils me diront la même chose.
Depuis ils sont repartis mais nous sommes tjrs en contact.
Le maître m'envoie des photos d'elle.
Elle me nargue :-)
Mais je suis dejà invité à leur prochaine venue, et ça elle ne le sait pas ...
Photo prise sur le net
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L' emission de téléréalité sur la Lune vient de faire un énorme carton sur Terre. Erika, la superbe naturiste allemande de l'espace et sa sissy Mattie se sont mariés à bord du starship posé sur la lune. C'est le commandant Besov qui a organisé le premier mariage civil interplanétaire. Erika a décidé de changer d'état civil, surtout pas de sexe, et c'est elle qui est devenu le mari et l'époux. Mathews devenu Mattie est lui déclaré comme épouse. La sublime Erika a jugé qu'une simple cravate noire entre ses lourds seins en obus suffisait. Une naturiste a ce don de toujours être à l'aise et donc, c'est comme un écran protecteur, cela na choqué personne ou presque sur Terre. Mattie est toute mignonne dans sa robe blanche. Un peu plate mais si resplendissante. Une bonne sissy soumise et encagée, toujours le regard baissé et qui file droit au moindre yeux sombres de son "homme". Une très belle cérémonie qui a révulsé tous les coincés de la Terre mais qui a plu aussi bien aux hommes qu'aux femmes. Je passe sous silence tous les commentaires salaces envoyés. Un tabac monstrueux et un grand souffle de liberté qui a surtout beaucoup fait rire.
Après une nuit de noces bien agitée ou Mattie s'est faite bien tringler sa chatte anale, le commandant Besov a chargé ce jeune couple d'une mission spéciale vers un cratère repéré depuis l'espace. Vous n'êtes pas sans ignorer que la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter est probablement le résultat de la collision de deux planètes telluriques. lorsque ces corps célestes tombent sur terre, une bonne partie est brûlée dans l'atmosphère, pas toujours, surtout s'ils sont trop gros. Les dinosaures s'en sont hélas rendu compte. Par contre sur la lune, qui n'a pas d'atmosphère, ils frappent direct. L'idée est que certains astéroîdes sont constitués par des éléments du cœur métallique des deux planètes entrées en collision. Et donc probablement de fer et de bien d'autres métaux, certains précieux comme l'or ou le platine. Avec les cratères plus ou moins gros, il est facile de faire des recherches et c'est ainsi aussi pour essayer de trouver de la glace d'eau.
Le voyage dans le rover conçu par le milliardaire des big fucking rockets est un enchantement. Erika qui est le mécano de la mission lunaire est au commandes. Mattie, bien sage, en tenue sexy et mini jupe, sert de navigatrice. Cela fait des heures qu'ils roulent et qu'ils admirent ce paysage désertique fabuleux. Erika a envie de pisser. Elle prend Mattie l'allonge dans la cabine et se sert de sa bouche comme d'un urinoir avec interdiction d'en perdre une goutte. Sa sissy se délecte et lui nettoie ensuite la chatte. l'époux se sent mieux. "putain que c'est bon de pisser ainsi et de se faire nettoyer après par sa femme". Il atteignent enfin le cratère qu'ils doivent explorer et le gros rover descend sans problèmes. C'est vrai que sur la lune il faut diviser tous les poids par six. lls campent dans le Rover. Le repas est vite expédié. Il est temps de dormir.
Mattie , l'épouse, se love dans les bras musclé de son homme. Elle est bien. Erika lui caresse sa cage bien serrée, ses petites fesses bien rebondies. Ensuite elle prend son gros god sans harnais et commence par se masser le fond de sa chatte. lorsqu'il est bien en place, elle relève les jambes de Mattie et elle l'empale d'un coup. Pas de préliminaires pour une sissy. De toute façon cette dernière s'enduit toujours de crème pour pouvoir être prise partout chaque fois que son époux la désire. Erika en a vraiment rien à foutre de la jouissance de sa femme! C'est un mec mécano et macho et qui jure. Elle cherche juste à se faire bien jouir en massant son point G avec la partie du god qui est en elle. Et quand l'orgasme est là, elle hurle comme un mec et mord les lèvres de son épouse au cul trempé de jouissance, au clito encagé qui coule en abondance. "Putain que c'est bon de troncher sa femme sur la lune" dit elle. Après elle va se servir une bonne bière et elle s'endort d'un coup. Mattie brûle d'amour pour son homme.
Le lendemain, Erika se résout à passer une combinaison spatiale. Mattie reste à bord pour la sécurité. Avec des appareils elle sonde et tout à coup elle hurle: "putain, ca y est j'ai trouvé!". Il faudra plusieurs jours pour extraire plusieurs centaines de kilo d'or très pur. Cette partie là au moins de la mission est déjà un franc succès. Mais chut...c'est une mission privée. Alors pas un mot pour la Terre.
La morale de cette histoire c'est que si tu veux trouver de l'or, va donc te marier sur la lune.
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Maîtresse me fait venir à Ses pieds. C’est très reconnaissant que je me présente à Elle.
Maîtresse m’attends avec ce petit sourire malicieux qui fait monter la pression dès le premier regard.
Elle est belle, mystique dans Sa tenue noire. Déesse est la première pensée qui me vient à l’esprit.
Vous accueillez Votre chose avec beaucoup de tendresse. Cet accueil l’a déjà bien déstabilisé quand vous la glissez sous Vos talons !
Votre emprise est immédiate et Vos tourments s’enchaînent, fluides et intenses.
Vous l'avez piétiné, caressé, griffé...et tant d'autres choses.
Pour ces tétons martyrisés, vous lui avez demandé :
"C'est à qui cela ?
A Vous Maîtresse"
Et puis, pendue par les couilles, vous l'avez tiré par la Iaisse pour lécher Vos bottes. Avec empressement Votre chose a tenté de lécher. Mais vous l’avez frustré en reculant toujours plus pour que la tension des cordes lui brûle les testicules.
Sa langue a fait reluire le cuir, enfin l'infime partie que vous lui avez accordée, l’humiliant à chaque petit pas en retrait.
Vous l'avez fouetté avec sa propre ceinture pendant 60 secondes que vous lui avez demandé de décompter. Ce fût dur, l'envie d'abréger la souffrance en allant vite au risque de se tromper et de devoir recommencer. Les larmes ont coulées une première fois. Le cœur serré, vous avez relégué Votre chose dans un état primitif.
Vous avez obtenu son abandon qui l’a précipité dans un état de soumission si profond qu’elle ne voyait, n’entendait que Vous Maîtresse
Puis vous vous êtes emballé en la godant profond, humiliée car elle n'était pas aussi propre qu'elle aurait due être.
Les larmes de Votre chose ont embuées de nouveau ses yeux.
Vous êtes passé à ce fouet que vous aviez tressé. Quelques essais en variant le nombre de brins pour n’en retenir que 2 qui cinglaient vivement ses fesses.
Une telle intensité a mis Votre chose à vos pieds. Elle ne pouvait que lâcher prise devant tant de force, tant de passion.
A ce moment, Votre jouissance l’a récompensé de sa souffrance et à aucun moment, elle n'a cherché à se dérober. La douleur est devenue plaisir sous Votre joug.
Elle s'est abandonnée, nourrie de Votre énergie.
Vos crachats l'ont humiliés comme quand vous lui avez enfilé Votre gode jusqu'au fond de sa gorge. Elle a encore sucé, léché à se déchirer la bouche pour engloutir cette verge humide.
Vous l'avez traité de salope, de chienne ; elle a acquiescé même si la honte l'a fait pleurer.
Vous avez soufflé le chaud et le froid pour ne jamais lui laisser reprendre pied.
Votre chose a souffert mais Votre sourire taquin l'a plongé dans un état second.
Des moments inoubliables, des moments où vous avez extrait la quintessence de Votre chose Maîtresse.
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(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...)
....
— La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant.
— De quoi parles-tu ?
J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille.
Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange.
Je repris mon explication après un court instant de silence.
— Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ?
— Dis-moi...
— En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes.
— Ma vie ?
— Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre.
— Ma liberté ?
— Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique.
— Et si je ne choisis rien.
— C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien.
— Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout.
— J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total.
— Comment ça ?
— Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai.
— Pourquoi y prendrais-je du plaisir ?
— Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler.
— Tu vas penser à ma place ?
— Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance.
— Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ?
— Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage.
— Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur.
— Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même.
— Alors on va s'aimer ?
— Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir.
— Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte.
Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir.
— Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance.
— Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme.
— Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire.
— Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non
Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle.
Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier.
— Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites.
— Un acte de création ou un acte d'amour ?
— Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses.
— Ça va prendre du temps de s'aimer ?
— Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela.
— Que faudra-t-il alors ?
— Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi.
— Quel genre d'expériences ?
— Tu le découvriras bien assez tôt.
— Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement.
— Si et à la fin tu m'appartiendras.
— Je t’appartiendrai ?
Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative.
— Oui tu seras totalement mienne.
— Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe.
— Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire.
— Je n’appartiens à personne, je suis libre.
Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre.
— Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi.
— Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ?
— Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette.
— J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision.
— Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une
énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras
spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre.
— Ça ressemble à de l'amour.
— C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup.
— Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ?
— Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous.
— Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ?
— Tu le sauras bientôt.
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