La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 25/09/24
Jadis, dans ma jeunesse, je me suis posé la question de savoir au fond, ce qu'est la sensualité. J'y ai réfléchi longuement au cours de ma vie. Au fil des ans, j'ai découvert à quel point les cinq sens peuvent être sollicités dans les moments d'intense bonheur où le maitre et le soumis s'offrent des moments de partage, avec allégresse et passion. Lorsque nos cinq sens sont en éveil, nous prenons mieux conscience de nos désirs et nous ressentons mieux les choses lorsque nous les nommons.   Le premier regard Imagine que toi, soumis, tu rentres  dans la pièce. Une pièce entièrement blanche, lumineuse. Une chaise pour fucking trône au milieu de la pièce ornée d'anneaux pour attacher tes poignets et tes chevilles. Une table métallique se trouve dans un coin. Au mur est accrochée une croix de Saint-André et une archelle où pendent fouets, cravaches, cannes et d'autres accessoires pour t'offrir diverses minardises. Tu est entré dans cette salle suivi de ton dominant en qui tu as entièrement confiance. Tu sais qu'il t'aime. Tu te sens beau et désirable pour ton dominant. Le goût et le toucher Derrière toi, ton dominant referme la porte.  Vous êtes toi et lui. Il t'invite à t'asseoir, Tu es nu. Il t'attache les mains et ne peut s'empêcher d'étirer tes tétons, ce qui t'arrache un petit gémissement. Cette légère douleur, c'est un pur plaisir. Il mordille un peu le lobe de ton oreille et pour te mettre en forme, il te caresse le dos, redescend fouiller dans tes poils pubiens. J'aime bien cette forêt de poils. Il saisit très délicatement ta verge, l'étire un peu, pratique quelques vas et viens lents que tu savoures. Il saisit tes testicules vigoureusement, ce qui t'arrache un nouveau râle. En attachant tes chevilles, il caresse tes jambes et ton entre-cuisse, ce qui te rend dingue. Il est debout devant toi, en slip. Tu vois grossir sa bosse, tu as envie d'y goûter. Il comprend et s'approche. Ta bouche est à queques centimètres. il baisse son slip et tu attrapes sa verge que tu suces, son gland que tu lèches. C'est meilleur qu'une crème glacée. L'odorat et l'ouïe  Ton dominant t'a bandé les yeux. Tu tentes d'écouter le moindre bruit, tu tentes de humer la moindre odeur. Le bruit d'un instrument qu'on pose sur la table. Qu'est ce que çà peut être. Il y a aussi une odeur qui n'est pas désagréable. Ce doit être une bougie parfumée.  De sa voix posée, il te dit: "çà va faire un peu mal, mais c'est pour ton bien". Sa voix t'envoûte et'apaise. Tu ne ressens pas du tout de stress car tu as confiance en lui. Même en étant délicat, les pinces qu'il met en place te mordent les tétons et, effectivement, c'est douloureux. Tu devines que bientôt, cela fera plus mal encore.  Il te rassure en laissant courir quelques instants sa main sur ta hampe, en la faisant remonter vers le gland en titillant le frein au passage.  Ca y est, tu sens l'intensité du courant de plus en plus forte. Ce qui te fait tenir malgré la douleur, c'est que tu sais qu'à ce moment ton corps fabrique de l'endorphine qui te donnera l'envie de recommencer et de goûter encore à cette douleur de bien-être.  le toucher et la vue Si le goût et le toucher sont intimement liés, la vue et le toucher revêtent une grande importance. Ton dominant le sait. Il t'enlève le bandeau, et tu remarques qu'il a en main le fouet qu'il pose autour de ton cou. Tu ressents la texture des différentes lanières. Tu n'es pas stressé. Tu as déjà ressenti les effets du fouet sur ton corps.  Tu vois le premier coup s'abattre sur ton ventre, singlant, bruyant. Tu ressens la douleur piquante en même temps que la morsure de l'électro sur tes tétons. Mais tu n'es pas encore prêt à utiliser ton save word. Tu gémis et le dominant se délecte de tes gémissements. Il te regarde, et à ce moment, il te trouve très beau.     
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Par : le 23/09/24
Comment être parent et pratiquer le BDSM ? Grande question que voilà : peut-on pratiquer le BDSM lorsqu’on est parent ? Je vais d’emblée, répondre “oui“, et par conséquent la page est : Comment pratiquer le BDSM quand on est parent. Avant-propos. La plupart des articles que l’on trouve sur internet précisent ce qu’est le BDSM, ce qu’est le consentement… Je pars du principe qu’il s’agit d’un acquis et ne vais donc pas revenir dessus. Je ne reviens pas non plus sur le fait que, non, la vie sexuelle d’un couple continue avec un ou des enfants. Votre compagne devient simplement une MILF    Cet article est en permanente évolution, il se nourrit entre autre de notre quotidien avec ma femme soumise, mais aussi des échanges sur le Discord Parentalité et BDSM (dont l’activité est variable…) que je vous conseille de rejoindre si vous avez des interrogations à ce propos. Il aura plusieurs parties, entre-temps, il semblera un peu décousu. Plusieurs fois, je ferai référence à notre jeu, c’est assez logique, car il a été créé pour les couples et a évolué avec nous. Les solutions que nous avons trouvées ont donc naturellement été intégrées au jeu. En général La communication au sein du couple BDSM La communication est la clé de toute relation, en particulier dans une relation BDSM. Il est important de discuter régulièrement avec votre partenaire de vos désirs et limites, ainsi que de la façon dont la relation BDSM peut affecter votre vie de famille. Assurez-vous que vous et votre soumise êtes sur la même longueur d’onde quant à la manière dont vous gérez votre relation BDSM et comment vous la maintenez loin des enfants. La communication ne veut pas dire “parler”, surtout qu’à un moment avec les enfants ça va devenir compliqué. Personnellement, je suis plus à l’aise à l’écrit, cela me laisse par ailleurs le temps d’analyser mes émotions. Pour échanger : La discussion en direct, pour ceux qui y arrivent, mais les moments pour le faire vont être de plus en plus compliqués à trouver. Les échanges par SMS, je recommande vivement d’utiliser Signal y compris, voire essentiellement pour envoyer des photos / vidéo. On peut s’écrire des lettres, soit à la main, soit informatiquement et les imprimer ou les envoyer par courriel. Prévoir, dans ce cas-là, de ne pas utiliser les adresses de messagerie pro. Dernière possibilité, s’écrire dans un journal partagé, des notes partagées, ou des post-it partagés. Par exemple les applications Notes, Deck dans Nextcloud, dites-moi si vous voulez que j’en parle plus. D’une manière générale, vous devriez être attentif aux signes de fatigue ou d’épuisement de votre partenaire, en particulier si vous avez des enfants. Soyez attentif à vous-même, également, et alertez votre partenaire si besoin. La planification En tant que parents, il nous faut particulièrement être attentifs à la planification de vos activités BDSM. Il peut être difficile de trouver du temps pour vous deux sans interruption, alors planifiez soigneusement vos sessions BDSM pour vous assurer que vous avez suffisamment de temps et d’espace pour vous concentrer sur votre relation. Une mauvaise gestion du temps peut avoir des conséquences lourdes : être surpris, devoir arrêter précipitamment, ne pas avoir le temps d’accompagner la redescente… Priorités Bien que votre relation BDSM soit importante, votre rôle de parent est également essentiel. Il est important de maintenir un équilibre entre votre vie de famille et votre vie BDSM pour éviter tout conflit ou toute tension inutile. Cela étant dit, aimer la domination et la soumission ne fait pas de vous de mauvais parents : plusieurs témoignages remontent des arrêts nets de BDSM au début de la parentalité, je pense qu’il s’agit d’une erreur. Vous frustrer volontairement n’aidera en rien au quotidien, ni pour vous ni pour vos enfants. Votre équilibre personnel et de couple est important et doit demeurer. Vos enfants sont le prolongement de votre couple, si vous retirer le couple, tout s’effondre. Le bruit Limiter, ou bien annuler les activités trop bruyantes. Ou trouver des moments pour le faire. Pour ceux qui aiment l’impact, c’est compliqué, il faut tenter d’autres pratiques. Trucs et astuces : Pour signifier l’appartenance de Mme, ou marquer le début d’une période de soumission tout en restant discret vis-à-vis des autres, on peut porter un bracelet ou une chaine de cheville. Jusqu’à tard, devant les enfants on peut même opter pour des bracelets au texte explicite. Attention à ne pas les oublier en sortant !     Donner un ordre discrètement, c’est possible ! Avec Soumise C., nous ne nous appelons jamais par nos prénoms (je ne vais pas mettre d’exemple ici de peur d’être trop guimauve, mais vous avez tous des idées). Pendant une période de soumission H24, ou bien à un moment où il a été décidé qu’elle obéisse, il suffit de précéder la phrase par son prénom pour qu’elle sache que c’est à la soumise que je m’adresse et nous à l’épouse. Une manière discrète de renforcer l’ordre ! Pour la rééducation du périnée, la sonde connectée et ludique Perifit peut s’avérer utile. Il s’agit d’un “sextoy” dont le but est de ludifier la rééducation. C’est très important pour la femme, et on pourrait considérer cela comme un devoir, pour la soumise…
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Par : le 14/09/24
Les moyens sont habituels : 1- Marques (sujet que je développerai ultérieurement). 2- Collier et laisse dont je recommande le port régulier et fréquent. 3- Un training hebdomadaire intense (45 mn) : Une fois par semaine une longue séance d’obéissance à la prise de positions de soumises. Il faut obtenir l’obéissance immédiate même avec un soumis ou une soumise fatiguée. On peut utiliser des listes types de positions de soumises et ajouter des positions de yoga, l’important est de varier.  4- Un petit devoir quotidien à la maison (5 mn) : Le travail des positions de soumis-e chaque soir, nu-e ou en tenue adaptée. Il ne faut pas le négliger. La-le soumis-e pourra ainsi s’habituer effectivement à un petit changement dans son mode de vie quotidien, changement petit mais réel. 5a- Spécificité du premier couple : Pour s’appuyer sur des vécus antérieurs appréciés, un exercice hebdomadaire plus ou moins développé et plus ou moins long de féminisation – lingerie, maquillage, perruque, travestissement notamment. La Maîtresse peut juger bon de pratiquer à cette occasion le pegging. 5b- Spécificité du second couple : Pour préparer l’animalisation et s’appuyer sur une expérience antérieure réussie, une fois par semaine une séance de HuCow avec milking des seins et du clitoris, qui doit être brève (5 mn) mais intense.  6- La direction doit se faire à la baguette et à la voix. A ce propos nos soumises et nos soumises vont pouvoir profiter de l’automne et aller tailler de jeunes branches de noisetiers qui seront si utiles. Il y a aussi l’if et le houx. Les dresseuses devront essayer évidemment les 3. 7- Les sanctions elles peuvent se faire au martinet qui est un instrument dont les effets sont modulables à volonté et qui peut colorer et châtier presque toutes les parties du corps. Il est fortement recommandé pour ce type de soumis-e. Une règle de sécurité consiste à utiliser deux martinets, à savoir un léger sur les parties sensibles et un autre martinet plus long et plus lourd sur le dos et les membres antérieurs et postérieurs.  
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Par : le 11/09/24
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son homme cocu qui était à leurs genoux et laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. C'est à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt taboue ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Par : le 09/09/24
                                                    Chapitre 2   (Lui)   13 Juillet  (séance six)   Lors de la première séance, nous avons commencé à mettre en application les termes du contrat.  Je lui avais fait apprendre les cinq positions. J’étais assis dans un fauteuil, au salon, et je lui ai fait répéter les gestes jusqu’à ce que cela devienne automatique. Position n° 1 : Debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête. C’est une position d’attente qui met bien la poitrine en valeur. Position n° 2 : « Présentation des seins. » Debout, les jambes légèrement écartées, les mains se positionnent sous les seins et les remontent vers le haut. Idéal pour la pose de pinces sur les tétons. Position n°3 : Debout, les jambes légèrement écartées, les bras croisés derrière le dos. C’est également une position d’attente mais celle-ci peut facilement être adoptée en public. Position n°4 : « Présentation de la chatte ». Debout, les jambes écartées, le bassin projeté en avant. Les mains viennent écarter les grandes lèvres de la chatte. Très pratique pour poser des pinces ou, vérifier l’état d’excitation. Position n° 5 :  « Présentation des fesses ». Debout de dos, les jambes écartées, penchée en avant. Les deux mains viennent écarter les fesses au maximum. C’est la position rêvée pour la pose d’un plug. Elle était bonne élève et au bout d’une heure, nous sommes passés aux façons de s’asseoir en public et en privé. Position assise en public, donc habillée: Elle soulève discrètement l’arrière de sa jupe et pose ses fesses nues à même le siège pour lui rappeler qu’elle ne porte pas de culotte. Elle doit garder en permanence les cuisses légèrement disjointes et les mains de chaque côté du corps. Position assise en privé, donc nue: La tenue de rigueur en privé étant la nudité totale, hormis les chaussures, elle doit s’asseoir, écarter largement les jambes, se soulever d’un côté en écartant la fesse opposée puis se soulever de l’autre côté en écartant l’autre fesse. De cette façon son petit trou doit se trouver en contact avec l’assise. Les mains de chaque côté du corps.   Nous avons terminé la séance avec les réflexes de langage qu’elle doit adopter : Quand il s’agit de ses seins :" Je suis une petite chienne où, je suis une bonne chienne." Quand il s’agit de sa chatte: "Je suis une petite salope où je suis une bonne salope." Quand il s’agit de ses fesses: "Je suis une petite pute où je suis une bonne pute." Par ailleurs, elle doit me prévenir à chaque fois que sa chatte s’écarte d’elle même à l’occasion d’un geste ou d’une position.   Je l’ai mise en position n°1 et je suis allé chercher une spatule de cuisine. Une petite tape sur un sein : Elle démarre au quart de tour : « Je suis une petite chienne Monsieur». Une autre tape sur l’entre-jambe : « Je suis une bonne petite salope Monsieur» Je l’encourage : « C’est très bien. Et si tu devais développer ? » Nouvelle claque au même endroit : « Je suis une petite salope…qui est en train de se faire claquer la chatte Monsieur» Je m’assure qu’elle ait bien compris : « Demi-tour ! » Elle se tourne, toujours les mains sur la tête. Une tape sur les fesses : « Je suis une bonne petite pute qui … aime se faire enculer Monsieur» Elle était prête. Dans la semaine qui a suivi, j’ai pensé qu’il me fallait quelques accessoires et que cela pouvait faire l’objet de la deuxième séance. Ainsi, à l’heure dite, nous avons pris la voiture et avons commencé par une animalerie. Elle me suivait dans les rayons en position n°3, les yeux baissés, et nous sommes passés à la caisse avec un collier, une laisse et une gamelle en métal. En somme, nous avions l’air du couple qui vient d’adopter un chien. Là où le vendeur a levé les yeux sur ma femme, c’est quand il a vu qu’il y avait également une cravache sur le tapis. Il a dû imaginer ma femme nue, tenue en laisse en train de laper dans sa gamelle tout en recevant des coups de cravache sur les fesses.   Emoustillé par le regard d’envie que j’avais vu dans les yeux du commerçant, j’ai emmené ma chérie dans un grand magasin. Je lui ai donné des consignes : « Tu vas acheter un concombre, des préservatifs et du lubrifiant. Tu choisiras un caissier homme pour payer tes achats ! » « Oui Monsieur » C’est un classique mais j’avais trop envie de la voir faire ça. Je l’ai suivie à distance et elle a gardé les yeux baissés pour passer à la caisse devant un jeune homme qui n’a pu retenir un grand sourire quand il a compris. En me rejoignant, un peu après les caisses, elle est venue à mon oreille : « Je suis une petite salope qui a envie de se prendre un concombre dans la chatte » Décidément, elle y met du sien. Le dernier arrêt fut au magasin « Marc Dorcel », enseigne de sex-toys réputée. Le personnel de ce magasin était exclusivement féminin et dès notre arrivée, une jeune femme s’est approchée de nous : « Je peux vous conseiller ? » Toujours en position n°3 et les yeux baissés, ma femme m’a vu faire l’acquisition de deux butplugs de tailles différentes, d’un martinet, d’un godemiché et d’un œuf vibrant télécommandé à distance. Nous sommes rentrés à la maison, la séance était terminée. Pendant la semaine, je pense évidemment à la séance précédente ainsi qu’à la suivante. Je rajoute des éléments dans les grilles d’options qui accompagnent le contrat. Ces grilles sont posées sur le bureau et elle doit les remplir. Je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque seules deux cases existent : « J’accepte » et « ça m’excite ». Ça me permet quand même de savoir ce qui lui plait. Ainsi la semaine dernière, après l’épisode avec Laurent : « Être nue devant un inconnu », et:  « Séance devant un inconnu », elle avait coché pour les deux : « Ça m’excite ». Cela m’avait donné des idées. Aujourd’hui, le temps est gris mais nous sommes mi juillet et la température est douce. séance n°6.   Je lui avais dit : » Cet après-midi, 16h, tenue publique, nous sortons !  Elle avait acquiescé : « Oui Monsieur » A chaque fois, c’était un cadeau qu’elle me faisait. Avec ce « Oui Monsieur » elle disait : « je te donne mon corps et mon esprit pendant deux heures. Fais de moi ce que tu veux. Je t’obéi aveuglement, je te fais confiance. » Il faut dire que je ne cherche en aucun cas à lui faire mal, bien au contraire. En fait, mon plaisir est de la voir prendre le sien. Comme elle ne peut pas savoir avant d'avoir essayé, je lui propose tout un éventail d'expériences et ensuite elle coche sur la grille. A 15 heures, elle avait disparue dans la salle de bains. J'avais entendu le bruit de la douche, du sèche-cheveux. Et à 16h, elle descendait, vêtue d'un haut boutonné, et d'une minijupe. Elle était superbe, comme d'habitude. " tu es juste magnifique ma chérie" "Merci Monsieur" Inutile de lui demander si elle est prête, si elle m'appelle Monsieur, c'est qu'elle est consentante. Je l'amène à un bout de la table où j'ai disposé, un peu en retrait, un collier et un ordinateur portable. " Mets ton collier et Position n° 5 ! " "Oui Monsieur".  Elle le ferme sur son cou puis prend la position. Elle se penche en avant jusqu'à faire toucher ses seins sur le bois de la table, fait remonter l'arrière de sa jupe sur ses reins et écarte largement ses fesses avec les deux mains. "Je suis une bonne petite pute Monsieur. » Je passe derrière elle. En écartant ainsi ses fesses, elle sépare également les lèvres de sa chatte et j'ai une vue splendide sur ses deux trous. Je meurs d'envie de la prendre comme ça, tout de suite, mais soyons patient. "Je veux que tu révises le contrat au chapitre "Montée et descente de voiture". "Oui Monsieur" J'ouvre la page correspondante :   Montée et descente de voiture Pour la montée:  1 Si Monsieur est au volant : Ouvrir la portière, me mettre de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de m'asseoir, puis m'installer, fesses nues, sur le siège.     2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture. S'asseoir perpendiculairement au fauteuil, fesses nues sur le siège. Faire monter la jambe gauche dans la voiture en laissant la jambe droite à l'extérieur afin d'écarter les jambes au maximum. Remonter la jupe pour découvrir la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Faire monter alors la deuxième jambe. Dans les deux cas, après avoir refermé la portière : Ecarter largement les jambes puis chaque fesse afin que le petit trou soit en contact avec le siège. Déboutonner le chemisier pour laisser entrevoir les seins. Poser les mains à l'extérieur des cuisses pour que la chatte soit bien visible. Pour la descente : 1 Si Monsieur est au volant : Ouvrir la portière, me mettre debout de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de fermer la porte, puis faire redescendre la jupe.   2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture. Pivoter vers l’extérieur, en sortant la jambe droite au dehors afin d'écarter les jambes au maximum. S'assurer que la jupe, en bougeant, ne cache pas la vue sur la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Sortir alors de la voiture et faire redescendre la jupe.   Pendant sa lecture je suis allé chercher un de ces crochet en forme de S destiné, quand il est introduit dans l'anus et tiré par une corde reliée au collier, à amplifier la cambrure. Je l’ai commandé sur internet et il est arrivé cette semaine. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout de mon doigt et je masse doucement son orifice en faisant parfois pénétrer la première phalange. Son dos se creuse un peu plus, elle aime. Je fais rentrer une extrémité du crochet dans son petit trou, j'entends un gémissement. Je relie l'autre extrémité à l'anneau du collier par une cordelette que je commence à tendre. La cambrure s'intensifie. Je tends encore la cordelette. "Je suis une bonne petite pute" dit-elle dans un souffle.  Ce doit être le signal que c'est le maximum tolérable. Je relâche un peu. "Maintenant je veux que tu revoies le contrat au chapitre : Comportement en public !" "Oui Monsieur" J'ouvre la page. Comportement en public La tenue de rigueur est: jupe courte et haut boutonné.   Position debout: Ma position debout doit être naturelle en adoptant le plus souvent la position n°3 : Bras croisés dans le dos. Il m'est strictement interdit d'initier une conversation avec quiconque. En revanche, je devrai répondre avec humilité et respect si la parole m'est adressée. En extérieur comme en intérieur, j'ai interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes tendues. Je ne dois jamais manquer une occasion de dévoiler et exposer mes seins, mes fesses ou ma chatte à Monsieur, à chaque opportunité qui se présente.     Faire ma pisseuse (en public): Si je dois aller aux toilettes pour uriner, je dois dire : "je suis une petite pisseuse" et attendre l'autorisation. Une fois sur place, je dois me mettre entièrement nue, à l'exclusion des chaussures, et prendre une photo de ma chatte que je montrerai à Monsieur dès ma sortie des toilettes.  " J'ai terminé Monsieur". Je remarque qu'elle fatigue à garder la position.  Je lui retire son collier puis le crochet anal. Elle arrondit son dos pour se détendre. Je vais lui donner un moment de répit. "Bois un verre d'eau et rejoins moi à la voiture !" "Oui Monsieur" Je sors. De ce côté de la maison, la porte d'entrée donne sur un grand jardin sans vis-à-vis. La voiture est garée devant, je m'installe au volant. A peine trente secondes, elle n'a pas trainé, je vois la porte passager s'ouvrir. Elle se place dans l'encadrement, me tourne le dos et relève bien haut l'arrière de sa jupe dévoilant ses fesses, elle écarte un peu les jambes. Comme je suis assis, je distingue le renflement de la chatte sous les fesses et même, un peu de ses petites lèvres qui dépassent. " je suis une bonne petite pute Monsieur." "C'est bien ! Monte !" "Oui Monsieur" Elle s'assoit à même le siège en cuir, écarte bien les jambes, puis les fesses l’une après l’autre, relève le devant de la jupe pour dégager la chatte, défait un bouton de son chemisier, pose les mains sur les côtés. Pour l'instant c'est un sans-faute. Je manœuvre pour sortir de la propriété et prends la route vers la ville la plus proche. Mon plan est le suivant : rejoindre une grande surface et mettre ma femme entièrement nue dans différentes occasions que j'ai déjà imaginées. J'espère même réussir à la faire se déshabiller devant au moins un inconnu. Nous arrivons, je prends une place tout au bout parking, je coupe le moteur. C'est le week-end et, bien sûr, les grandes surfaces sont très fréquentées mais là ou nous sommes garés c’est plutôt désert. Elle ouvre sa portière, elle sort, relève l'arrière de sa jupe. "Je suis la petite pute de Monsieur." dit-elle à voix basse mais distincte. Elle a les yeux baissés mais moi, je vois un homme qui viens vers nous pour sans doute, récupérer sa voiture. J'attends un peu et je la laisse les fesses à l'air.  Finalement, l'homme s'arrête une allée plus loin. Il n'a rien remarqué. "Allons-y !" la jupe retombe. Nous entrons dans l'allée principale du magasin. Elle s'approche de mon oreille : "Je suis une petite pisseuse". Ah Oui ! Le verre d'eau, elle a dû en prendre un grand. "Va ! Je t'attends ici !" Elle s’éloigne, je l'imagine enlever son haut, sa jupe, une fois nue, faire une photo, puis faire son pipi et se rhabiller.  Tiens au fait, juste avant de partir, elle à oublier de dire "Oui Monsieur". Il va falloir que j’ajoute un chapitre « punitions » au contrat. Pas vraiment pour la punir ou lui faire du mal, bien sur, mais plutôt pour lui permettre, en "oubliant" sciemment certaines règles, de m'indiquer ce dont elle a envie. A creuser... Je repère le photomaton dans l'allée. Ça n'est pas un hasard, je savais pertinemment qu'il était là. La voilà qui revient. Elle me montre son portable sur lequel s’affiche sa chatte en gros plan. La photo est un peu floue mais ça n’est pas le plus important. Le plus important c’est qu’elle ait obéi aux ordres, au contrat. Et c’est ce qui m’excite au plus haut point. Je lui montre le photomaton. "Tu vas aller faire des photos de toi toute nue " "Oui Monsieur" et elle repart. C'est un de ces appareils qui peut prendre quatre poses différentes. Un rideau est tendu à l'entrée mais il ne descend pas jusqu'en bas. Les photos sortent à l'extérieur et des clients attendent leurs tirages. Il y a là une femme et un homme. Elle rentre dans le petit local, tire le rideau. Par-dessous je vois ses jambes jusqu'aux genoux. Je vois la jupe passer par ses pieds, je l'imagine enlever le haut. Elle doit être entièrement nue maintenant et se débattre avec le monnayeur. Des épreuves sortent de la machine, la femme qui les attendait les récupère et s'en va. Je vois le premier flash dans la cabine, trois secondes, le deuxième et ainsi de suite. Sous le rideau, je vois la jupe passer par les pieds et remonter sur les jambes puis le rideau s'ouvre. Elle me rejoint. A mon oreille : "J'ai été une bonne chienne, une bonne pute et deux fois une bonne salope" Ce qui me donne à penser qu'elle a pu photographier ses seins, ses fesses et sa chatte à deux reprises. Dans l'ordre. Nous sommes un peu à l'écart de la machine et nous attendons maintenant la sortie des photos. L'homme qui a fait les siennes avant nous, flâne devant la vitrine du magasin voisin, il n'a pas vu que ses photos l'attendaient. Tant mieux ça m'arrange. Ce sont les nôtres qui sortent maintenant et qui sont venues s'ajouter aux précédentes. Je temporise. Ça y est, l'homme vient chercher son dû. Il prend le paquet de photos et la surprise se lit sur son visage. Il les examine minutieusement l'une après l'autre. "Maintenant !" "Oui Monsieur" Elle va vers la machine et tend la main vers l'homme qui sélectionne les épreuves. Il bafouille: "Euh oui! Voila les vôtres. Excusez moi. " Quand elle fait demi-tour et revient vers moi, je vois le regard de l'homme s'attarder sur le bas du dos de ma chérie. Passons aux choses sérieuses, nous entrons dans la grande surface proprement dite et je me dirige vers le rayon multimédia. J’y prends un DVD au hasard. Puis nous allons au rayon vêtements. J’en prends un, également au hasard, et j’emmène ma chérie vers les cabines d’essayage. Nous entrons tous les deux dans une des cabines avec le vêtement et le DVD. Une fois à l’intérieur, je défais la pellicule du DVD, et récupère la petite bande antivol. « Arrange-toi pour passer ceci dans l’ourlet de ta jupe » « Oui Monsieur »   Pendant ce temps, j'abandonne le DVD par terre dans un coin. « C’est fait Monsieur » « C’est très bien, quand je te ferai signe, disons quand je me passerai une main dans les cheveux, tu te déshabilles rapidement et entièrement » « Oui Monsieur » Nous allons reposer le vêtement que j’avais pris pour justifier notre passage aux cabines d’essayage puis nous nous dirigeons, n’ayant plus aucun article, vers la « sortie sans achat ». Bien sûr, l’alarme se déclenche et un vigile ne tarde pas à arriver. « Veuillez repasser devant les détecteurs s’il vous plait » Je passe dans un sens puis dans l’autre. Rien. C’est au tour de ma femme de faire l’aller-retour et… L’alarme retentit. D’un coup d’œil, le vigile a tout de suite vu que la jupe et le haut qu’elle portait n’était pas neufs, en revanche, il a déjà coincé de nombreux clients qui cachaient de la lingerie, du maquillage ou autre sous leurs vêtements. « Veuillez me suivre s’il vous plait madame » dit-il. J’interviens :« Je suis son mari, je viens avec vous ! » On dirait que ça ne lui plait pas : « Non, Madame seulement » Je m’impose : « Elle n’ira nulle part si je ne l’accompagne pas !». Il essaye alors de m’impressionner : « Je peux appeler la police, vous savez ? » « Vous pouvez appeler qui vous voulez, ça ne changera rien. Elle ne bouge pas si je ne viens pas avec vous » Il voit que je n’en démordrai pas. « Très bien, suivez-moi tous les deux » Nous marchons derrière lui au travers la foule de clients. Entre deux magasins, une porte. Il nous fait entrer dans le local de sécurité. Là, un de ses collègues est assis devant un bureau et des écrans retransmettent les images des différentes caméras installées dans le magasin. Un autre collègue arrive, surement un dispositif pour nous intimider. Ils sont maintenant trois.  J’ai de la chance ! L’un deux prend une sorte d’appareil portable et le passe de haut en bas devant ma femme. Il fait bip bip bip. Le vigile regarde sur l’appareil et dit : « Apparemment, il s’agit d’un DVD. Nous allons devoir vous fouiller madame, à moins que vous ne nous donniez ce DVD. » Je me passe la main dans les cheveux. C'est le signal. Aussitôt elle commence à défaire le premier bouton puis enchaine les deux autres. Dans un même mouvement elle a ôté son chemisier et baissé sa jupe jusqu’au chevilles. Elle a maintenant ses deux vêtements dans la main droite. Elle fait une courte pause et les laisse tomber sur le sol. Tout s’est passé en une seconde et les deux vigiles qui étaient debout devant elle n’ont pas eu le temps de réaliser. Ils sont maintenant devant une femme entièrement nue. Un des deux à la bouche ouverte. Le troisième, qui était de dos devant ses écrans, commence une phrase en se retournant : « Dis donc, il faudrait peut-être aller chercher Corine pour la… » il se tait, scotché. Ma chérie bouge. Très lentement, elle relève les bras et poses ses mains derrière la tête puis elle écarte légèrement les jambes. C’est la position n°1. J’ai du mal à retenir un sourire. Il faudra que je la félicite pour cette initiative. Bon Dieu ! Ce qu’elle est belle. D’autre part, je ne sais pas si c’est parce qu’il fait un peu frais dans cette pièce climatisée, mais ses tétons pointent comme jamais et comme elle a écarté un peu les jambes, on distingue tous les replis de sa chatte. Le vigile : « Heu … Non …ça ne sera pas nécessaire » dit-il sans détacher le regard de ma femme. Il faut dire que dans cette position, elle est sublime. Ses deux seins bien en avant, sa chatte parfaitement épilée, tous les moindres détails de ses lèvres. Je m’amuse comme un petit fou : « Excusez ma femme, elle a la maladie de Wisenberg (je viens de l’inventer), elle a quelque fois des réactions bizarres. » Il se ressaisit, ramasse la jupe et le chemisier par terre, les inspecte, passe le détecteur qui réagit sur la jupe et dit : « Ça doit être un anti vol d’un autre magasin, cousu dans la ceinture. En tous les cas, veuillez nous excuser » Je continue à m’amuser : « Y’a pas de mal ! Tu vas t’habiller maintenant chérie » Aucune réaction, elle n’a pas bougé d’un pouce. Ah !... Wisenberg ! …Quand tu nous tiens. Les secondes passent, pendant ce temps les trois hommes continuent à se rincer l’œil. J’en vois même un qui regarde fixement l’entre jambe de ma femme. Pendant la première séance , celle ou elle avait appris les positions, je lui avais posé la question: « Sais-tu pourquoi tu dois toujours avoir les jambes disjointes?» J’imagine qu’elle avait une idée mais je voulais que les choses soient dites. «Non Monsieur» «Pour que ta chatte soit bien visible et accessible. Pour que tu sentes les regards sur ta fente sans pouvoir t’y soustraire . Je veux que tu aies cela en tête quand tu te mets en position.» «Bien Monsieur» « On va y aller ma chérie » Cette fois elle réagit, elle baisse les bras, fait demi-tour et se dirige vers la sortie. Elle a déjà entr'ouvert la porte quand un vigile la retient. « Attendez Madame il faut remettre vos vêtements » lui dit il gentiment. Elle semble réaliser, prend les vêtements que lui tend l’un des vigiles et les passe. Nous quittons le local sur un : « Excusez-nous encore » Je manque de répondre :« De rien tout le plaisir était pour moi » mais je me retiens. Sur le chemin vers l’extérieur, j’attrape un de ses bras qu’elle a croisé derrière son dos et lui dit : » C’est très bien, tu as été parfaite. » « Merci Monsieur. »   Sur le parking, j’ouvre la portière côté passager. Elle s’assoit fesses nue sur le siège, rentre uniquement sa jambe gauche, remonte le devant de la jupe et attend, les yeux baissés. «Chatte écartée Monsieur» En effet, les deux jambes ainsi séparée, elle a du sentir son sexe s’ouvrir. Cachée par la portière d’un côté et par moi-même de l’autre, personne ne peut rien voir. Je jette un regard circulaire. C’est calme autour de la voiture. « Ne bouge pas ! » « Oui Monsieur » Je laisse la portière grande ouverte et je fais le tour de la voiture pour venir m’installer au volant. Une fois assis, je prends mon temps et je la laisse, comme ça, la chatte exposée. Il pourrait arriver quelqu’un à n’importe quel instant et elle serait vue. Je lui demande : « Tout va bien ? » « Oui Monsieur, je suis une petite salope qui montre sa chatte » Je ne peux retenir un grand sourire: « Ça c’est bien vrai ! Dis-moi, j’ai une question à te poser : Tout à l’heure dans le local des vigiles, que ce serait-il passé si un d’eux ne t’avait pas empêchée d’ouvrir la porte ? » « Je serais sortie Monsieur » « Et tu aurais marché comme ça, dans l’allée commerçante, entièrement nue au milieu des clients ? ». « Oui Monsieur Je suis votre petite salope Monsieur. » Elle me l’avait déjà dit à la quatrième séance : « Tu peux me mettre entièrement nue où tu veux, quand tu veux. » J’en ai la confirmation. « Monte ! je veux vérifier quelque chose » Elle rentre la deuxième de ses jambes en prenant soin de les maintenir bien écartées, ferme la portière, défait un bouton. Sa chatte est très accessible, je rentre un doigt sans aucune difficulté. « Je suis une petite salope qui mouille et qui aime se faire doigter la chatte Monsieur » Elle accompagne sa phrase d’un petit gémissement. Je mets un deuxième doigt et je fais quelques va et vient, elle l’a bien mérité. « Ou  uii… c’est bon Monsieur . Je suis une petite salope qui a envie de se faire mettre » Certainement, mais j’ai encore des projets. Je démarre et je lui tends une bouteille d’eau. Le temps de rentrer à la maison, il est 17h30. A peine la porte d’entrée ouverte : « Je suis une petite pisseuse Monsieur ». Je ne suis pas vraiment surpris: Quand elle est à jeun, il lui faut à peine vingt minutes pour que l’eau passe de son estomac à sa vessie. « Très bien, va chercher ton collier, ta laisse, un rosebud et les pinces pour les seins. Mode privé ». Elle se déshabille dans l’entrée, va prendre les accessoires et reviens vers moi. « Position n° 2 » Pour poser les pinces. « Position n°5 » Elle s’écarte la chatte. « Non ! Ça c’est la 4, Position n° 5 ! ». Encore une punition qui se perd ! Elle tourne le dos, se penche en avant et écarte ses fesses » Tiens elle n’a pas pris le plus petit des rosebud, elle a envie d’essayer une taille au-dessus. Je mets le rosebud dans sa bouche pour l’humidifier puis je l’introduis doucement dans son petit trou. Gémissement. J’en profite pour inspecter la chatte en tirant un peu sur les grandes lèvres de chaque côté. Nouveau gémissement. La moule est toute trempée. Je ferme le collier sur son cou, attache la laisse. « Mets-toi à quatre pattes » « Oui Monsieur, je suis une petite chienne qui a envie de faire sa pisseuse » Je tire sur la laisse vers l’extérieur. Chacun de ses mouvements font tinter les clochettes. Je la fais marcher comme ça un petit moment dans le jardin. Puis je stoppe. « Je vais t’apprendre une nouvelle position Ce sera la n° 6 : position de pisseuse ». « Oui Monsieur ». « Reste à quatre pattes, pose les avant-bras au sol, écarte les jambes au maximum et cambre-toi pour bien faire ressortir ta chatte » « Oui Monsieur » Je me positionne derrière elle pour voir le résultat. « Chatte écartée Monsieur» Les lèvres sont bien ouvertes, le clito bien visible et le petit trou du cul bien apparent, décoré du rosebud. « Fais ta pisseuse !» Elle a à peine le temps de dire « Oui Monsieur » que le jet est déjà parti. J’ai dit que le jardin était sans vis-à-vis, mais l’entrée de l’autre côté de la maison n’est pas pourvue de portail. Si un livreur, le facteur ou même un voisin, pour emprunter du sel, se pointe, il ne va pas être déçu. Mais bon ! Après tout, c’est une propriété privée. On dirait qu’elle a fini. Elle attend. « Caresse toi la chatte » Elle amène une de ses mains à l’entre jambes et ses doigts tourne sur le clitoris et l’entrée du vagin. Par moments elle introduit deux doigts dans la moule. Les tintements des clochettes sont accompagnés de gémissements. Elle répète en boucle : « J’suis une chienne, une salope, j’suis une petite pute » C’en est trop, Je m’agenouille derrière elle, je sors ma queue et je la pénètre d’un seul coup. Après quelques aller-retours seulement ma chérie s’envole. « Ou…ou   oui ! Encore !  Je vais jouir ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
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Par : le 08/09/24
                                                        Chapitre 1 (Elle) 6 Juillet.  (séance 5)   Le matin, il m’avait dit: « Ce soir, 19 heures, dîner à la maison, tenue publique ». Bien sur, j'avais acquiescé. Avais-je le choix? Tenue publique fait partie du vocable du contrat:  Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins noirs. Évidemment, aucun sous vêtement sauf ordre contraire. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure. Le dress code » tenue publique » me laisse quelques options: jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison. Je pourrais peut être me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise. La consigne est simple et ne laisse aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique. Tout en m'habillant, mon esprit vagabonde. Dans quoi étais-je embarquée? Quelle imbécile ! La vie aurait pu continuer à être simple et agréable. Pas de gros moyens, mais beaucoup de temps libre. Alors pourquoi cette bêtise, il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris ! De l’abattement, il était passé à une colère intérieure, puis à des décisions radicales: séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’avais tenté de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Ce fut sans aucun succès. Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends. Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit: L’appréhension.  Je n’ai aucune idée de ce qui va se passer et évidement, je suis dans un état de stress intense.   J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit, j’essaie de ne plus penser à rien. je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre. Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille. « Tu es très belle ma chérie ». « Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime) « Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu sais » Oh, oui je sais : séparation, vente, divorce. Pour une marche arrière, c'en est une. Mais bon, je m’y étais mise toute seule dans cette situation. Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique de relaxation, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui !  Ça y est, je l’ai dit. Bon, c’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoute. Mais, cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, m'ont fait revoir mes aprioris. « Je suis prête » Je respire profondément. Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Trois fenêtres en enfilade s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. De l’autre coté de la rue, un terrain vague puis, légèrement en contrebas, la plage. Il s’assoit. « Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! » Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps de les apprendre ces positions. Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées. « Oui monsieur ! »   Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. C’est loin d’être suffisant pour m’emmener au septième ciel, bien entendu, mais cela attire mon attention sur une partie érogène de mon corps et j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. Je sais qu’il m’observe, je sais qu’il me trouve belle et désirable, il me l’a si souvent dit. . Je sais également que pendant ces sept dernières années, il a été tellement attentif à mon bien être, mon comfort...mon plaisir aussi. Est-ce possible que tout soit détruit? Je me reconcentre. Je me remets dans ma bulle. Cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne ! Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me déteste pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour. « Bois un verre d’eau ! »  Ah ?  Bon ! « Oui Monsieur ! » Le verre est là, sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal. « Place toi devant la fenêtre, ouvre les rideaux et retrousse ta jupe! »  « Oui Monsieur » J’avance vers la fenêtre, je tire les voilages d'un côté puis je relève le pan arrière de ma jupe et le bloque sous la ceinture pour bien dégager les fesses. Je remets les mains sur la tête. Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour.  Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il y a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position. Peut être pensent-ils que je m’étire en regardant la mer au loin. Ah Oui! Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. Alors j'y vais de la petite phrase:  « Je suis une bonne petite pute ». C’est extrêment humiliant, comme ça, à froid. Ca n’est q’une fois éxcitée que, finalement, ça passe. D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donnent plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, alors je mets un vieux machin.   Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte. Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais je m'abstiens. Pour que cela fonctionne, je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me focalise dessus. Alors, voyons : Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas.  Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons. Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte. Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de…. Ah ?... Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne. D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de mon entre jambe mais surtout, je sais que mon homme n’en rate pas une miette et que, sûrement, je le fais bander. Aaaah! …Faire bander les mecs ! Évidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part, cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que, si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser le sexe, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non !... C’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ? Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait. Le mois dernier, pendant les trois premières séances, il m’a fait apprendre : Les 5 positions. La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi. Les réflexes de langage que je devais adopter. Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé. Il a aussi ajouté des options sur la grille adjointe au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur : « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :   Port de pinces sur les seins   :    J’accepte X    Ca m’excite Port de pinces sur la chatte  :    J’accepte       Ca m’excite X Port d’un rosebud                  :    J’accepte X     Ca m’excite Claques sur les seins              :    J’accepte X     Ca m’excite Claques sur les fesses            :    J’accepte        Ca m’excite X Claques sur la chatte             :    J’accepte        Ca m’excite X La grille s’était étoffée au fil des semaines :   Martinet sur les seins            :    J’accepte X     Ca m’excite Martinet sur les fesses          :    J’accepte        Ca m’excite X Martinet sur la chatte           :    J’accepte X     Ca m’excite Port d’un collier de chien     :    J’accepte X     Ca m’excite Être promenée en laisse       :    J’accepte X     Ca m’excite Boire dans une gamelle        :    J’accepte X     Ca m’excite   Une nouvelle rubrique « exhibition », était apparue cette semaine.   Être nue devant un inconnu :    J’accepte X     Ca m’excite Séance devant un inconnu    :   J’accepte X     Ca m’excite   Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et c’était hors de question. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite. Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais de toutes façons, en dernière instance, c’est lui qui décide. Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que… Toc  Toc  Toc !   Je sursaute. Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu'à la porte d’entrée derrière la maison, c’est que ce quelqu'un est passé devant la fenêtre, juste devant moi, et que donc,il m’a vue les mains sur la tête, les yeux baissés et le buste en avant. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si celle de la salle à manger est restée ouverte, il  a vue sur mon postérieur. Mon mari, d’accord, mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures. « Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf ! Je rajuste ma jupe, me retourne, Il est déjà dans l’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ou alors, la porte était restée entr’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir. Je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.  Mon mari ouvre la porte: « Entre Laurent !  Juste à l’heure » « Woua ! Quelle vue ! » s'exclame le nouvel arrivant. Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses qu’il aurait vues il y a un instant?   « Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage » Ouf! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. C’est vrai qu’il y a pire comme endroit. Vue sur la mer et acces direct à la plage. La voix de mon chéri: « Tu permets ? J'ai un mot à dire à ma femme » Il revient vers moi. Je pourrais relever les yeux et essayer de lire sur le  visage de Laurent s’il ne m’a pas vue à moitié nue. Je lutte. « Va faire un tour jusqu‘à la plage, garde la position et marche doucement ! » Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ?  Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui, c’est vrai ! C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment….  Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J'ai reçu un ordre, j’obéis, c’est simple. « Oui Monsieur » Toujours les yeux baissés, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors et contourne la maison. Aie! Ma gorge se serre en constatant que de l'autre côté de la rue, le terrain vague qui descend vers la plage n'est pas désert: Des véliplanchistes utilisent l'espace pour démonter leur matériel. Je comprends maintenant la rubrique "exhibition". Le savait-il, que je devrai passer devant au moins trois inconnus ? Bien sûr que oui ! Il avait vu, lui, par les fenêtres, que le terrain d'en face était occupé . Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère et il m'avait donné l'ordre d'y aller. Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est ma faute s’il en a tant besoin. En acceptant de signé ce contrat bidon, j’ai pris la décision de lui prouver que j’étais prête à tout pour lui. D’ailleurs, si le cas s’était présenté, je crois que j’aurais donné ma vie pour le sauver. Je suis persuadée qu’il en aurait fait de même tant notre amour était réciproque. Après tout, je n’en mourrais pas. Alors, j’y vais. Je traverse la rue et, très vite, je me retrouve en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu la moitié de mon sein gauche. Je lutte pour ne pas replier les bras sur ma poitrine, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute.       Malgré mes yeux baissés, je sens les regards des planchistes qui m'ont, bien sur, repérée dès mon arrivée. Ils semblaient pourtant avoir fort à faire avec leurs planches et leurs voiles mais avec ces courants d'air,  ils ont changé de centre d'intérêt. Je sens le rouge me monter au visage. Bon sang! Je me promène quasi les fesses à l'air ! « Marche doucement ! »  Avait-il dit. Alors j’obéis: J'essaie d'adopter la démarche nonchalante de celle qui se promène tranquillement mais, bien sûr, cela ne trompe personne.  Les escarpins, le chemisier ouvert à moitié, les bras croisés dans le dos: Ils ont vite compris que j'étais là pour tout autre chose, alors ils ne se privent pas de me mater sans aucune gêne. En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’était pas fait pour m’exciter. Il y a un mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible. Maintenant, c’est différent : Ça me fait peur, mais ça m’excite en même temps. J’ai vu des tas de femmes sur Uporn qui font bien pire pour faire plaisir à leurs maris et sûrement, se faire plaisir elles mêmes. Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes : Deux jours ! Deux jours à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui  m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître. J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité. Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc….. et je fais demi-tour. Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont presque remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui continuaient à m'observer. Je commençais à me rasséréner mais c'était un peu trop tôt. En effet, dans ce sens là, c'était le devant de la jupe qui devenait fou et, sur tout le trajet, l'étoffe se soulevait et devait révéler que je ne portais rien dessous. Difficile pour moi de savoir jusqu’à quel point mes fesses et ma chatte avaient étés exposées. D’ailleurs, Il est bien léger ce tissu! Je ne me souviens pas que... Ça y est, j'y suis! La doublure a été enlevée. Je sentais, sans comprendre, qu'il y avait quelque chose d'inhabituel dans ce vêtement. Mon mari a retiré la doublure pour le rendre plus léger. J'ai malgré moi un petit sourire attendri en l'imaginant s'affairer sur le vêtement en espérant atteindre ses objectifs. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi! Au moindre courant d'air il s'envole. J'ai, l'espace d'un instant, levé le regard vers un des planchistes. Il avait un petit sourire aux lèvres l'air de dire: " Alors, tu fais la pute pour ton mec? Ca te plait ? Ca fait mouiller ta petite chatte?" J'ai honte et en même temps je suis assez fière d'être capable de le faire. Surtout, je sais que mon homme est aux anges alors je bombe le torse sur les derniers mètres qui me séparent de la maison.  Après tout ce ne sont que des inconnus et  je ne les reverrai sûrement jamais. Je me demandais maintenant ce qui allait se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ?  Allons bon ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.   Je frappe à la porte. Ben oui !  Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre où ont lieu nos séances depuis un peu plus d’un mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît. Il vient m’ouvrir : « Viens nous rejoindre au salon ! » «Oui Monsieur ! » Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon mari. Vite je revois le contrat dans ma tête. En public, je dois m’asseoir en relevant discrètement l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte.  Je cherche donc un siège qui fait face à mon chéri. Comme par hasard, c'est un tabouret qui à été placé là. Un hasard? je ne pense pas! Avec un fauteuil, mes gestes auraient été dissimulés par les accoudoirs  mais avec un tabouret...  Pas moyen.  Je m'assieds et relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regardait ailleurs, il n’y a vu que du feu. Le cuir est un peu froid. Je ne risque pas d'oublier que je ne porte de culotte mais je suppose que c'est le but. Le devant de ma jupe est remonté sur mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes pour respecter le contrat. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé sur mon côté. Je sens de nouveau le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps et  les mains posées à plat sur les cuisses. Je ne cherche pas à cacher mes seins, cela m’est interdit. Mon mari revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi. « Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Raconte ! Laurent semble gêné : « Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin,   c’est bizarre….. » Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer. Mon chéri, très à l’aise : « Qu’est ce qui est bizarre ? » « Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. » « Il y a quoi ? «  « Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien » « Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. » Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci ! J'écarte un peu plus les jambes et je remonte le devant de ma jupe le plus haut possible pour signifier à mon homme que je suis prête à faire tout ce qu'il veut. Laurent reprend : « Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?» Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. » Il ressert son invité « Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. » Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde, incrédule.  « Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ». Mon chéri ne relève même pas. « C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? » Il n’attend pas la réponse. Un ordre fuse :  « Mets-toi debout. » « Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule. « Met toi à quatre pattes et viens vers moi !» D'accord ! Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit. « Oui Monsieur ! »   Je suis une bonne soumise obéissante : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Je prie pour que ma jupe couvre bien mes fesses.  Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si elle s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses et ma chatte à un parfait inconnu. Un peu comme tout à l'heure avec les planchiste sauf que là, je suis à quatre pattes et que surtout, il est à moins d'un mètre de moi. S'il tendait la main, il pourrait... Bon sang! Me voilà maintenant à m'imaginer me faire peloter par un mec dont je n'ai même pas vu le visage.   Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Si Laurent s’offusque, tout se termine là, mais j'en doute. Effectivement, il s'ébahit: « Woua !!! ça a l’air trop cool » Ah ! ces mecs, ils sont tellement prévisibles. La voix de mon mari: « Tu veux essayer ? » Tu parles Charles! Bien sûr qu’il veut essayer. Il se lance : « Euh… Mettez- vous... enfin...Met-toi debout et  Euh….Lève une jambe !» « Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début. Mon homme intervient : « Enlève ton haut. Position n°1 ! » Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins : « Je suis une petite chienne »   J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous  cas, il ne dit mot. C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je ne porte plus que très rarement. Mon mari reprend le contrôle : "Met-toi en mode privé ! et position n°3 !» « Oui Monsieur ! » Purée ! Là c’est autre chose. Le mode privé c’est entièrement nue. Les seins d’accord, parce-que bon:  Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.  Au moment de déboutonner ma jupe, une vague de chaleur me monte au visage. Je suis folle, je vais le faire. Je fais glisser la jupe jusqu’aux chevilles, puis je me penche, jambes tendues, pour ramasser le vêtement que je dépose sur un fauteuil. Ca y'est, je suis complètement nue. Position 3 : les bras croisés derrière le dos. Je reprends lentement ma respiration. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un bon moment pendant que les hommes discutent. « Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? » « Ben…Elle est super belle ! » « C'est-à-dire ? » Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux. « Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout » Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais ! "Que veux-tu dire par on voit tout?" Laurent s'explique: "Ben... Avant, le sexe d'une femme, c'était principalement une touffe de poils à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c'est la petite bosse du mont de Vénus puis la fente avec le renflement des deux grandes lèvres et même un peu des deux petites qui dépassent en dessous" En effet, rien ne lui échappe et l'entendre donner des détails aussi précis me donne des frissons sur tout le corps. Et puis cette émotion dans sa voix. On jurerait qu'il parle d'une oeuvre d'art. C'en est touchant. J'ai presque envie qu'il se mette à parler de mon clito. Mon homme enchaîne:  « Position n°2 ! » Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :   1 la tête. ( les mains sur la tête ) 2 les seins. ( je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains ) 3 le dos. ( bras croisés dans le dos ) 4 la chatte. ( je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains ) 5 les fesses. ( je me penche en avant et je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains )   Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y. « Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces. C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec des grelots. Quand je les porte, je les entends tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements, et quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon encore plus nette et j’adore ça. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées. « Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne ». J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie. « Position n° 4 ! » Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte.  Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille. Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte : « Je suis une bonne petite salope » Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt entre facilement, je suis plus mouillée que je ne le pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope. Cette fois ci, avec l’excitation, les mots crus  ne m’offusquent plus, au contraire. Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est !  C’est les chutes du Niagara. Quand il retire son doigt, il est trempé. « Merci Monsieur » « C'est bien ! Maintenant : finis ton cocktail » « Oui Monsieur » Il saisit mon verre sur la table basse et me donne à boire. C'est le faire de boire tout en m'écartant les lèvres de mon sexe qui m'ont fait comprendre: Le but n'est pas  de m’enivrer, il a une autre idée en tête. Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte. Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus : « Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? » Mon homme explique : « Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ». « Et elle ? elle en a des fantasmes ? » Ben! Je n’y avais pas vraiment réfléchit. Mais ça pourrait venir. Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Étonnamment, ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit mâle Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes. Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant de hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque où le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer. En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi. Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ». Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour m'emmener  à quatre pattes faire mes besoins sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui. Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans une gamelle pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. J’attends une pause dans la conversation et je dis : « Je suis une petite pisseuse » Laurent manque de s'étouffer avec un gâteau apéritif. Mon homme doit sourire. « Va chercher ta gamelle » Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle j’ai mangé et bu pendant la troisième séance, je reviens et je m’installe debout devant mon homme. « Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter » Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses. En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez et je m'apprêtais à me soulager comme la dernière des chiennes. J'ai du mal à décontracter mes sphincters. Le regard des deux hommes est rivé sur ma chatte béante et c'est pour le moins embarrassant. Et si j'en mettais partout ? Je me rassure en me disant que le fait de bien séparer les lèvres avec les doigts devrait résoudre le problème. J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues :  Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant ou on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même ! Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal.    Les hommes se taisent, captivés par le spectacle que je leur donne. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute. Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne petite pisseuse » ensuite j’attends un ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous la chatte et les doigts mouillés de mon pipi. Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter. Au bout d'un moment: « Va ! » Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent : « Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? » Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouze. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari. J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon. « Position n°5 ! » Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4,   5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Mais tout à l’heure, pour faire ma pisseuse, il a souhaité que Laurent profite du spectacle, donc je me mets dos à eux deux, je me penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.   Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente : « Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? » Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal : « Oui moi aussi… Bla Bla ……   Bla Bla….. »  Et ce jusqu’à la porte , «  Bon ben  Salut » Le voilà parti.  Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses. Et quand est-ce qu’il me baise ?
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Par : le 06/09/24
Memnon est un colosse africain, un combattant impitoyable d'une force phénoménale. Un super poids lourd qui peut facilement tuer un homme d'un seul coup de poing, un briseur de nuques, un chien de guerre qui se vend au plus offrant. Avec lui, une petite troupe de mercenaires africains, experts en maniement d'armes tres lourdes qui peuvent briser boucliers et armures.  Une petite troupe d'élite terrifiante sur un champ de bataille.  Troie est riche et Memnon est venu combattre pour elle en échange d'or et de jolies esclaves pour le réconfort après les rudes combats. Il n'a qu'une obsession: vaincre le meilleur des grecs, Achille aux pieds rapides.  Il le défie en combat singulier. C'est une pratique courante pendant cette guerre. Achille accepte tous les combats. Il ne craint personne. Il n'est pas immortel mais aime ces combats où la seule issue  c'est la victoire ou la mort. Les deux armées se font face et laissent un espace libre entre elles pour ce duel. Aucun soldat ne voudrait manquer pareil spectacle. Achille a choisi une armure de cuir, très légère et un simple bouclier en osier tressé.  Il est très rapide et ne veut pas être gêné. Memnon avance de toute sa masse.  Il a choisi un lourd bouclier de bronze et une masse d'arme colossale avec une partie tranchante d'un côté et une partie pointue pour fracasser une tête de l'autre. Il pousse un rugissement terrible. : je vais t'enculer  petite salope d'Achille. Il paraît que tu aimes les beaux garçons. Je vais te la mettre si profond que tu vas hurler comme un goret.  -Ce sont les chiens qui vont te la bouffer pauvre imbécile.  Et ce sont les corbeaux sans nombre qui vont se repaitre de tes entrailles.  Memnon fonce sur Achille, sa lourde masse d'arme fait des moulinets mais ne rencontre que du vide. Achille tourne et danse autour de lui  insaisissable. Memnon enrage et écume de haine.  Il ne voit pas la mort arriver d'un coup soudain.  La lance d'Achille survient de nulle part et lui transperce la tête par le trou des yeux,  seule faiblesse dans sa lourde armure et son casque de bronze.  Memnon tombe foudroyé.  Achille s'approche,  lui tranche son sexe énorme et le lui fourre dans sa bouche pleine de sang. - Cela t'apprendra à trop parler avant un combat.  Il pousse un grand cri qui terrifie les soldats troiens.  -Personne d'autre ?  Un grand silence. Les deux armées se séparent. Plus personne n'a envie de combattre après un tel spectacle.      -
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Par : le 02/09/24
Je dois dire qu'avant d'aller consulter les annales akashiques, j'avais plein de préjugés sur Clytemnestre. Quelle salope cette Reine qui se prend un amant  pendant que son époux est à la guerre et qui le tue à son retour. Heureusement, cette version n'est que de la propagande. La réalité que je découvre est bien autre. Comme quoi  il faut se méfier des à priori, des rumeurs, des manipulations.  Pour écrire  j'évite de lire ou de me documenter sur le sujet. Cela n'aiderai pas du tout. J'évite absolument wiki, par contre je publie des liens après coup pour que le lecteur puisse se faire son propre jugement. Ce qui compte pour moi,  c'est de se détendre et de voyager, de voir et de raconter ce que l'on voit ou entend.  Clytemnestre est vraiment une femme superbe. Elle est très bandante pour un homme mais hélas, pas de chance, c'est pratiquement une lesbienne pure. C'est une Reine et donc elle a du écarter les cuisses devant son mari, l'illustre Agamemnon  mais juste par devoir royal  jamais par plaisir. Elle est donc très contente qu'il soit parti pour la guerre. S'il pouvait ne pas revenir, cela ne serait pas pour lui déplaire.  Une Reine ne se marie pas par amour ou rarement  mais surtout par devoir.  Ce que je remarque aussitôt, c'est que Clytemnestre est une domina d'une classe incroyable. Elle sait commander.  Pas même besoin de mots. Ses sujets lui obéissent par plaisir avant tout.  Une autre chose saute immédiatement aux yeux, c'est son incroyable intelligence.  Elle a des yeux extraordinaires. On dirait qu'elle sait lire les âmes ou voir les auras qui rayonnent autour d'une personne. Oui, c'est cela. Elle a accès à des informations inaccessibles pour le commun des mortels. Une très grande Reine.   Commander pour elle est un état naturel.  Elle est très habile. Elle laisse toujours parler son interlocuteur, l'écoute puis suggère ce qu'elle désire de façon à ce que l'autre le formule à haute voix. Puis elle dit: -Oui, c'est cela. Faites le. Comment résister à un ordre que l'on croit venir de soi même?  Clytemnestre rayonne. Elle a toujours un fin sourire sur les lèvres, un sourire un brin moqueur et polisson. Elle a un charme incroyable.  J'adore ce voyage qui me permet de faire sa connaissance.   Ce qui me surprend le plus, c'est sa taille.  Elle est vraiment très grande. Tous les gens de cette race de grecs qui vivent à Mycenes sont grands. Agamemnon dépasse les autres rois de Grèce d'une bonne tête.  Clytemnestre doit bien faire 1m 80. Aucun obèse dans les rues de la ville. Que des hommes et des femmes bien bâtis. On croise parfois des blondes aux yeux bleus qui eclabousseraient par leur prestance un défilé de mode parisien. Je ne sais d'où est venu cette race si particulière, probablement du haut cachemire actuel, mais elle respire la force et la vitalité.  Pas surprenant qu ils dominent la Grèce et à présent qu'ils veulent conquérir Troie.  Clytemnestre est lesbienne. Elle a profité du pouvoir pour se choisir dans son royaume les plus belles femmes. Les lesbiennes savent se reconnaître entre elles. Elle les a mises à  l'abri du mariage et a crée des postes exprès pour elles afin de leur offrir une vie agréable à son service. Elle a même créé sa propre garde royale composée uniquement de femmes expertes en maniements d'armes. Je comprend mieux pourquoi la propagande à voulu salir son image après sa mort, comme pour l'effacer.  Cela n'a pas fonctionné.  Clytemnestre a toujours un écho dans le cœur des femmes, même de nos jours. Une grande Reine, cela impreigne un lieu et cela rayonne dans l'histoire. Elles laissent une marque que personne ne peut effacer.   A suivre
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Par : le 01/09/24
Deux Maîtresses m’ont interrogée sur les conditions de dressage de leur conjoint. La première Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage de son mari en chien. La seconde Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage d’une jeune esclave en pony. Nous avons des situations particulières dont l’analyse peut réellement intéresser les dresseuses. Mes conclusions sont la définition d’une Propédeutique au dressage, que ce soit à un enchiennement d’un mâle assez féminin, ou d'une soumise à un débourrage de pony. Ces cas m’intéressent vraiment parce que les conditions sont originales : les deux couples sont mariés, les Maîtresses et le soumis ou la soumise sont visiblement amoureux, elles-il sont plutôt débutants, surtout dans le petplay, elles-il sont aisées (très aisées pour le second), diplômes de 3eme cycle et CSP+, en résumé de gentilles intellectuelles cultivées et intelligentes. Mais globalement ce sont encore des novices en matière de dressage et surtout de petplay, sauf une expérience réussie de HuCow pour le second couple. Particularité du premier couple : Le mari est très féminin, il a subi une féminisation poussée sans hormones qu’il a adoré mais qui a été abandonnée pour des raisons pratiques, il est très cérébral. Le couple pratique le déni, la chasteté forcée, le cuckolding (hotwifing). La cage de chasteté a été un échec (douleurs rapides). Particularité du second couple : Il est entourée par d'autres couples de femmes. La soumise a de nombreuses lacunes, elle a été formée sans cohérence par deux maîtresses successives, elle est un peu brat à ses heures. Malheureusement ou heureusement, la soumise est séparée de la Maîtresse plusieurs jours par semaine pour des raisons pros. Un maître, qui sait se faire respecter, est associé étroitement et efficacement à la Maîtresse. Ce genre de trio offre de nombreuses possibilités. La suite dans le prochain article.
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Par : le 30/08/24
Depuis leur conversation, une tempête d'émotions bouleversait Vanessa. Chaque jour, l'écho des mots de David résonnait en elle, éveillant une curiosité brûlante mêlée d'une appréhension qui la laissait souvent pensive, le regard perdu au-delà des murs de son bureau cossu. Elle sentait un lien invisible la tirer vers lui, une attraction qui dépassait le simple désir physique. C'était une fascination pour l'homme qu'il était, pour le monde qu'il représentait, un monde qu'elle ne connaissait qu'à travers des clichés qu'elle découvrait maintenant erronés. Physiquement, l'effet de David sur elle était palpable. Il y avait cette douce chaleur qui se répandait en elle chaque fois qu'elle pensait à lui, une chaleur qui commençait dans le creux de son estomac et se diffusait, envoûtante et parfois presque accablante. Cela faisait plusieurs jours désormais qu’à chaque fois qu’elle se surprenait à penser à lui elle sentait sa poitrine gonfler et ses tétons surgir, déformant son soutien-gorge et pointant fièrement et presque de manière indécente derrière son chemisier … La nuit, elle se retrouvait souvent éveillée, son corps vibrant d'une énergie inexploitée, ses draps témoins de son agitation. Sa respiration se faisait plus lourde rien qu'à se remémorer le timbre grave de sa voix, et elle pouvait presque sentir le poids de son regard, sérieux et pénétrant, scrutant non seulement ce qu'elle était en surface, mais sondant les profondeurs de son être. Les jours suivants leur conversation, elle fut aussi assaillie de doutes. Si elle était irrésistiblement attirée par David, n’était-ce que par sa seule attirance physique ? N’était-ce pas aussi parce qu’il lui avait confié sur le monde du BDSM ? Sur le fait qu’il était un dominant, un Maitre ? Devait-elle se plonger dans cette exploration du BDSM, un terrain tellement étranger et, jusqu'à récemment, impensable pour elle ? L'influence et l’aura de David étaient à la fois rassurantes et déstabilisantes. Elle était attirée par sa capacité à équilibrer une autorité dominante avec une sensibilité et une compréhension profondes, trouvant dans cette dualité quelque chose de presque irrésistible. Son trouble était exacerbé par la façon dont il occupait ses pensées à des moments inattendus. En réunion, elle se surprenait à réfléchir à ses propos sur la confiance et la communication, ou à la manière dont il pourrait la regarder si elle se trouvait à nouveau en face de lui. Le désir de se soumettre, de lâcher prise sous sa direction, l'effleurait, laissant derrière lui un mélange paradoxal de peur et d'impatience. Finalement, un soir où le désir de clarifier ses sentiments devint trop pressant, elle décida de l'appeler. Sa main tremblait légèrement en composant le numéro, et son cœur battait si fort qu'elle craignait qu'il entende les pulsations à travers le téléphone. "David, bonsoir, c'est Vanessa," commença-t-elle, sa voix trahissant son trouble. "Vanessa !" répondit David avec une chaleur qui fit frémir Vanessa. "Quel plaisir d'entendre votre voix. Comment allez-vous?" Vanessa hésita, le souffle court. "Je... Je vais bien, merci," mentit-elle partiellement, car bien qu'agité, son esprit était aussi curieusement clair. "David, je réfléchis beaucoup depuis notre dernière conversation... à propos de tout ce que vous avez partagé avec moi, sur le BDSM, sur la confiance, sur... sur nous." Il y eut un silence respectueux de la part de David, et quand il parla, sa voix était douce et encourageante. « Je suis là, Vanessa. Dites-moi ce qui vous trouble. » Elle respira profondément, cherchant les mots justes. "Je suis... troublée, David. Par ce que je ressens pour vous, et par l'idée de... de ce que vous m'avez décrit. L'autorité, la soumission... Je ne sais pas si je devrais être effrayée ou excitée par ces pensées. Désolé d’être aussi confuse." « Vanessa, » dit David, son ton plein de compréhension, « il est naturel de ressentir de l'appréhension face à l'inconnu. Ce que vous ressentez est un mélange complexe d'émotions, et c'est parfaitement normal. Le BDSM n'est pas juste une pratique ; c'est une exploration de soi et de la confiance entre partenaires. » Vanessa écoutait, chaque mot éveillant en elle une résonance profonde. « Mais comment savoir si c'est le chemin que je veux explorer ? Comment puis-je être sûre... que je suis prête ? Et puis je vous dis cela, mais peut-être n’êtes-vous pas intéressé par quelqu’un comme moi ? » David prit un moment avant de répondre, laissant un silence qui, pour Vanessa, semblait étendre le temps. « Vanessa, l'exploration de ces aspects de vous-même doit venir de votre propre volonté. Personne ne peut vous dire si c'est le bon chemin, seulement vous vous pouvez le sentir. Quant à mon intérêt, soyez assurée que ma proposition de vous aider et de vous guider est sincère et réfléchie. Et puis, puisque vous m’avez ouvert votre cœur, sachez que je suis également sous le charme de votre présence et de votre esprit, et que je suis intéressé par ce que nous pourrions découvrir ensemble, peu importe la forme et le temps que cela prendra. Pour tout vous dire, j’espérais votre appel. » Les mots de David réchauffèrent Vanessa, son anxiété s’atténuant sous le poids de ses mots plein de sincérité. « Cela signifie beaucoup pour moi, David. Je suis... touchée et un peu confuse de vous avoir avoué ainsi mes sentiments et mon trouble ainsi. J’espère que vous ne me prenez pas pour une fille facile. » « Nullement Vanessa. Qu’est-ce donc que cette idée ? » « Merci David. Merci de votre patience et de votre compréhension. Cela me rassure ». S’ensuivit un silence de quelques secondes, mais qui paraissait une éternité à Vanessa. Elle ne savait quoi dire. Elle voulait voir David mais n’osait le lui demander. Sentant ce malaise, David rompit le silence. « Je pense qu'il serait bénéfique pour nous deux de discuter de tout cela en personne, qu’en pensez-vous Vanessa ? Que diriez-vous de venir dîner chez moi ce vendredi soir ? » proposa David. « Nous pourrions alors parler à cœur ouvert dans un cadre détendu et privé. » « Ce vendredi soir, c'est parfait ! » s’exclama immédiatement Vanessa, un sourire se formant enfin sur ses lèvres alors qu'une bouffée d'excitation l'envahissait. La perspective de le voir de nouveau, dans un cadre privé, lui offrait un mélange de nervosité et d’impatience totale. Tout à coup elle fut prise d’une interrogation. «Euh David … Euh … dois-je venir d’une manière particulière ? » David rit doucement, un rire chaleureux qui traversa la ligne, apaisant instantanément les inquiétudes de Vanessa. « Venez comme vous êtes, Vanessa. Ce soir sera surtout pour nous connaître mieux dans un environnement détendu. Habillez-vous de manière à vous sentir confortable et vous-même. » Vanessa se sentit soulagée et même un peu excitée par la perspective de cette rencontre. « D'accord, David. Je vous remercie pour votre compréhension et votre gentillesse. J'ai vraiment hâte de vendredi » s’enhardit-elle. Osant pour clore la discussion un «Je vous embrasse, David» qui lui fit venir le rouge aux pommettes. « Moi aussi, Vanessa. Et s'il y a quoi que ce soit que vous souhaitez savoir ou discuter avant notre rencontre, n'hésitez pas à m'appeler. Je suis là pour vous », ajouta David avant de conclure l'appel, donnant à Vanessa son adresse et l'heure pour le dîner. Le reste de la semaine passa dans un flou suave pour Vanessa, partagée entre ses responsabilités professionnelles et les montagnes russes émotionnelles qu'elle expérimentait en anticipation de la soirée à venir. Elle trouvait ses pensées souvent dérivant vers David, repensant à chaque détail de leurs conversations, et à ce que vendredi pourrait révéler sur leurs futures interactions. Le vendredi soir arriva bien vite. Vanessa choisit une tenue simple mais élégante : une robe noire qui complimentait sa silhouette sans être trop formelle, accompagnée d'un léger parfum floral qui ne dominait pas mais qui ajoutait juste une touche de féminité subtile. Elle choisit une paire de talons aiguilles noire, dont les lanières enserraient ses chevilles avec élégance.  Même si David lui avait dit de venir habillée de manière confortable, elle voulait lui plaire. Aussi choisit-elle aussi une ensemble de lingerie en dentelle noire, qui mariait à la perfection élégance et sensualité. Le soutien-gorge à balconnet et la tonga étaient ornés de motifs floraux délicats et de fines bandes de satin dorés, ajoutant un charme sophistiqué tout en mettant en valeur ses courbes avec raffinement. Bien qu’elle ne soit pas une afficionado du maquillage, elle choisit un rouge à lèvres d'un rouge bordeaux profond, ajoutant une touche de mystère et de séduction classique. En se regardant dans le miroir avant de partir, elle soutit : se trouvant belle et rayonnante. Elle sentit aussi un mélange de nervosité et de confiance en elle. L'heure venue, Vanessa se rendit à l'adresse donnée par David, son cœur battant la chamade à chaque pas qu'elle faisait vers sa porte, chaque battement lui rappelant aussi le chemin qu'elle s'apprêtait à explorer. Elle savait que cette soirée pourrait changer sa vie, d'une manière ou d'une autre, et elle était prête à découvrir vers quelle direction son cœur la mènerait. Son excitation était à son paroxysme. Enfin … le croyait-elle. (A suivre)
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Par : le 29/08/24
C'était un tourbillon d'émotions qui chavirait Vanessa. À mesure que la soirée avançait, elle se sentait de plus en plus attirée par David ; non seulement par son charisme et son charme, mais aussi par la profondeur de ses idées et la sincérité de ses paroles. Elle n'avait jamais rencontré quelqu'un qui, avec tant de délicatesse et de respect, avait pu discuter ouvertement de sujets aussi intimes et complexes. Cela lui donnait envie de baisser sa garde, de s’exposer, de prendre des risques à nouveau malgré les fantômes du passé qui la hantaient encore. Elle sentait aussi son corps qui n’était pas insensible à la situation : une chaleur insidieuse commençait à monter en elle, subtile mais indéniable. Chaque mot prononcé par David, chargé de respect et de sincérité, semblait résonner directement dans ses veines, éveillant une excitation qu'elle n'avait pas ressentie depuis longtemps. Son cœur battait plus vite, palpable, presque bruyant à ses propres oreilles. Sa respiration se faisait plus courte, chaque inspiration semblant tirer la chaleur vers le creux de son estomac, où elle se mélangeait à un frisson d'anticipation. Elle se rendait bien compte que depuis quelques minutes déjà, alors qu’elle écoutait les réponses de David, ses pensées vagabondaient, imaginant le toucher de David, la pression ferme mais douce de ses mains. Elle pouvait presque sentir le poids de son regard, intense et captivant, explorant le moindre de ses gestes. Cela l'attirait irrésistiblement vers lui, son corps réagissant de son propre accord, ses sens en alerte, désireux d'expérimenter la réalité de ses fantasmes. Chaque fois que leurs regards se croisaient, une étincelle parcourait son échine, accentuant cette sensation délicieuse et terrifiante d'être à la fois vulnérable et désirée. Et elle ne pouvait ignorer cette douce chaleur qui s’était éveillée au creux de son entre jambes … Mais qu’en était-il de David ? Certes, elle avait bien noté tout au long de leur conversation des indices subtils de l'attirance de David pour ses charmes. Lorsqu'elle parlait, il inclinait sa tête, ses yeux pers capturant les siens avec une intensité chaleureuse. Il souriait souvent, surtout lorsqu'elle riait, et ses compliments sur son intelligence et son élégance étaient livrés avec une admiration sincère. La façon dont il la regardait, non seulement comme une interlocutrice mais aussi comme une femme, était révélatrice. Elle avait bien noté aussi que, même s’il le faisait avec une certaine délicatesse, il n’avait pas manqué de la regarder de la tête aux pieds … Et puis cela faisait des heures qu’ils faisaient « bande à part » comme le lui avait lancé avec un clin d’œil complice son amie Mélanie. Mais était-il digne de confiance ? N’allait-elle pas de nouveau être brisée si elle ouvrait sa garde ? Alors que la lune se levait, baignant la terrasse d'une lumière argentée , Vanessa prit son courage à deux mains, une profonde inspiration et se lança dans une conversation plus personnelle encore. « David, votre vision du BDSM est très différente de ce que la plupart des gens imaginent. Je dois avouer que cela résonne en moi d'une manière que je n'aurais pas prévue. » David, qui n’avait pas été sans remarquer que Vanessa n’était pas insensible à son charme,  écouta attentivement, hochant la tête avec empathie. « Vanessa, je comprends que cela puisse sembler étrange à première vue. Beaucoup de gens voient cette pratique à travers le prisme de clichés ou de jugements. Certains vont même jusqu’à penser que nous sommes des « déviants », comme ils disent. Pour moi, c’est avant tout une connexion profonde, où la confiance et le respect mutuel sont essentiels. » Leurs yeux se rencontrèrent encore, et il y eut un moment de silence chargé d’une tension palpable mais agréable. Vanessa sentait qu'elle se tenait à l'orée de quelque chose de nouveau, quelque chose qui pourrait soit guérir soit rouvrir d'anciennes blessures. Cependant, quelque chose dans la manière dont David respectait ce qu’elle était, ses sentiments et ses pensées lui donnait de l'espoir. « J’ai beaucoup été blessée par le passé, » confia-t-elle doucement, ses yeux ne quittant pas ceux de David. « La confiance pour moi, ce n'est pas facile. Mais je me sens étrangement à l'aise avec vous, ce qui est rare. » David acquiesça, son expression empreinte de douceur et de compréhension. « Je suis honoré que vous vous sentiez ainsi, Vanessa. Sachez que quoi que vous décidiez d'explorer ou non, je respecterai toujours vos sentiments et vos limites. La sécurité et le consentement sont primordiaux. » Les confidences s'échangèrent plus librement alors, comme si la nuit enveloppante leur offrait un cocon de confidentialité. Vanessa se sentait incroyablement vulnérable, mais étrangement en sécurité en partageant ses cicatrices émotionnelles avec David. Elle raconta avec retenue mais sincérité ses précédentes déceptions amoureuses, soulignant combien elles avaient façonné sa prudence actuelle dans les relations intimes. David écoutait, son visage baigné par la douce lumière lunaire, montrant une empathie qui ne se contentait pas de mots mais qui se traduisait par son attention totale. Il ne cherchait pas à la réparer, ni à offrir des solutions hâtives, mais simplement à comprendre et à accepter son passé. Profitant de ce moment de partage, Vanessa, animée par une curiosité prudente, glissa habilement la conversation sur des terrains plus personnels encore. « Et vous, David, avez-vous traversé des chemins semblables dans vos relations ? N’étaient-elles placées que sous le prisme du BDSM ? » demanda-t-elle, espérant découvrir plus sur son statut et ses expériences passées. David prit une profonde inspiration avant de répondre. « Oui, j'ai eu ma part de relations qui n'ont pas abouti, principalement parce que les dynamiques que nous avions étaient trop déséquilibrées pour être saines. Ça a été un chemin instructif, et je suis maintenant plus conscient de ce que je veux et surtout de ce que je ne veux pas. » Il marqua une pause, son regard fixé dans le sien. « Ma femme et moi avons partagé une relation très profonde, enrichie par nos rôles dans le BDSM. Elle était ma soumise, mais avant tout, elle était ma partenaire et mon égal dans la vie. Sa mort il y a trois ans a été un tournant douloureux pour moi. » Vanessa écoutait, son cœur touché par la sincérité et la profondeur de l'émotion de David. Il était clair que sa défunte épouse avait laissé une marque indélébile sur son cœur, et cela donnait à Vanessa une perspective plus complète de l'homme qui se tenait devant elle. C'était un homme qui avait aimé profondément et avait été façonné par les épreuves autant que par les joies de la vie. David continua, sa voix teintée d'une mélancolie contenue. « Depuis, je suis resté principalement célibataire, ce que je suis aujourd’hui, me concentrant sur mon rôle de mentor et de guide au sein de la communauté BDSM. Ce n'est pas juste une pratique pour moi; c'est une façon d'établir des connexions humaines significatives basées sur la confiance mutuelle. » Il marqua une pause, ses yeux cherchant les siens, vérifiant qu'elle était toujours à l'aise avec la tournure de la conversation. Vanessa, pour sa part, se sentait étrangement connectée à David, comme si leurs expériences passées, bien qu'assez différentes, avaient tissé entre eux un lien inexplicable. « Je ne m'attends pas à ce que tout le monde comprenne ou accepte cette partie de ma vie, mais c'est important pour moi que les personnes avec qui je partage mon temps et mon espace soient au moins ouvertes à comprendre », ajouta David doucement. Vanessa hocha la tête, son esprit absorbant chaque détail. « Je vous remercie de partager cela avec moi, David. Je ne suis pas familière avec le BDSM, mais j'apprécie l'honnêteté et la profondeur de votre engagement envers le respect et la confiance. Cela dit beaucoup sur qui vous êtes, et cela me rend curieuse d'en apprendre plus. » Un sourire sincère éclaira le visage de David, soulagé et heureux de sa réponse. « Je serais heureux de vous expliquer davantage, Vanessa, et de vous guider à travers les complexités de ce monde, si vous êtes intéressée. Seulement à votre rythme, bien sûr. » Le reste de la soirée se passa dans un échange fluide, explorant des sujets variés mais revenant inévitablement à leur conversation initiale sur le BDSM. Vanessa se sentait de plus en plus à l'aise avec David, touchée par sa capacité à être vulnérable et son respect évident pour ses limites. Alors qu'ils se disaient au revoir, David tendit à Vanessa une carte avec son numéro. « Si vous voulez parler, ou quoi que ce soit d'autre, je suis là. Prenez votre temps, Vanessa. ». Il lui prit la main et la baisa d’un baiser à la fois respectueux et empreint d’infiniment de passion. En rentrant chez elle cette nuit-là, Vanessa en était encore toute bouleversée. Son esprit tournait à 100 à l’heure. Son corps était en ébullition. Elle essayait de réfléchir à la complexité des émotions qu'elle avait ressenties. David était bien plus que ce qu'il semblait être au premier abord, et elle était intriguée par la perspective de découvrir son monde. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit jusqu’alors d’envisager une relation avec un homme sous l’angle du BDSM. L’idée qu’elle en avait jusqu’alors était tellement différente de la manière dont David lui avait présenté les choses. Et même si elle ne le lui avait pas dit lors de leur conversation elle faisait partie de ces personnes qui considérait les adeptes du BDSM comme des personnes déviantes. Elle en avait presque honte désormais, maintenant qu’elle venait de rencontrer quelqu’un qui ne correspondait en rien à ces clichés. Elle savait que naviguer dans ce nouveau territoire serait un défi, mais pour la première fois depuis longtemps, elle se sentait prête à explorer de nouvelles profondeurs de connexion et de confiance avec cet homme qui venait de chambouler sa vie de fonds en comble. Perdue dans ses pensées, elle se surprit à constater que sa main avait pris possession de son entre jambes … son string en dentelle noir était trempé … ses doigts couraient avec négligemment sur toute la longueur de sa fente … sa respiration devenait saccadée… le visage de David, ses yeux perçants, son allure à la fois autoritaire et respectueuse, emplissaient ses pensées … sa main droite caressait son sein gauche au travers de son chemisier frôlant puis pinçant alternativement son téton qui s’était dressé avec fierté et insolence … David … son sexe était désormais ouvert comme une fleur épanouie couverte de rosée au petit matin … David … deux doigts étaient maintenant occupés dans des va-et-vient savants au sein de son intimité ruisselante … David … Vanessa haletait, faisant aller sa tête de gauche à droite … David emplissait son esprit, son corps, son âme … Elle aurait voulu s’offrir à lui, là, maintenant … son majeur trouva  son clitoris gonflé de plaisir avec une précision experte et le pressa doucement, provoquant en elle une vague de plaisir intense …  Vanessa se mordit les lèvres mais ne put étouffer un cri de plaisir lorsqu’un orgasme fulgurant la submergea  … (A suivre)
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Par : le 29/08/24
Depuis que je suis revenue dans le « monde BDSM » je persiste et signe : le protocole.. très peu pour moi !   Sinonyme pour moi de cliché ridicule. Englué dans le fatras de ressentis négatif qui accompagne ce vilain mot ! Sauf que … Après moult bavardage avec divers individus, et surtout avec ma petite personne, je me rends compte que je me complais dans un dénis...Dirons nous … exaspérant. Je me revois dans la dernière conversation que j’ai pu avoir sur ce sujet, nous en étions arrivé au stade de cette joute de question/réponse (résumé et condensé)  : X : Mais pourquoi tu dis que tu n’ai pas dans le protocole au niveau BDSM ? Moi : Je ne sais pas écoute, quand je l’entend ce mot, mon cerveau tisse une toile peu ragoutante et ça me ...Beurk. X : Hum.. ! mais tu me disais plus tôt que, par exemple, le fait d’être au pied de ton Dom, à genoux avais un effet apaisant voir cathartique sur toi, non ? Moi : ....oui... mais c’est pas pareil. X : Hanhan. Et tu est ok pour que ton Dom te donne des règles de vie ? Par exemple, sur, je ne sais pas moi, un carnet à remplir, des rituels à accomplir, un contrôle sur les heures de sommeil ou autre.. ? (J’ai résumé en un seul dialogue un échange d’au moins vingts bonne minute ou je lui disais « ba oui mais…. » ^^ ) Moi : Rien à voir avec le protocole ça ! C’est juste une relation D/s qui se met en place. X : Le dénis c’est beau n’es ce pas ? Pour résumer tu as une pratique BDSM qui tends dans les faits à etre plutot très cadré et formalisé mais ce n’est pas protocolaire ? Moi : Voilà. X : Tu es au courant que « formalisé » est un synonyme de « protocole » Moi : Effectivemment…. Mais ça sonne mieux que l’autre mot. X : Ah. (grand éclat de rire et gros soupire).   Donc pour résumé : j’ai un problème d’allergie de sémantique. C’est grave docteur ?   Et pour vous, c’est quoi le protocole ? Es-ce indisenssable ? Illusoire ?
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