La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/09/21
De tous les « instruments » dont tu uses pour marquer ton pouvoir, ton «  territoire » (moi 😀), le fouet est celui dont le sens pour moi est le plus fort. Parce qu’il est le symbole de ce que j'ai voulu, de ce que je suis et veux être pour toi. Pas seulement ta soumise. Mais bien ton esclave. Et aussi parce que tu es le premier qui m'ait jamais fouettée. Puisque c'est moi qui ai voulu que tu me le fasses découvrir. Pas pour me" punir", pour cela la cravache faisait parfaitement l’affaire, que pour te prouver que je suis pleinement à toi. Que mon corps t’appartient. Que tu as tous les droits sur moi. Malgré tes réticences. Parce que même si tu en maîtrisais l’usage, tu ne voulais pas t’en servir sur moi. Parce que j’avais toujours refusé d’être fouettée avant toi. Parce que ça me faisait peur. Parce que tu savais que ça fait mal. Et que tu ne voulais pas me faire de mal. En dépit du plaisir que ça te procurerait de me l’infliger. Alors, je t’ai forcé la main. J’ai insisté. Malgré mes craintes. De ne pas parvenir à résister jusqu’au bout à la douleur. Parce que je voulais te laisser à toi et à toi seul l'initiative d'arrêter. Quand tu le jugerais nécessaire. J’ai pleuré, crié, supplié, mais j’ai tenu, serrant les dents. Sans prononcer à aucun moment le mot qui pouvait tout arrêter. Et j’ai joui. Comme jamais un homme ne m’avait fait jouir. De cette douleur que j’avais voulu t’offrir. Pour te prouver que j’étais désormais totalement à toi. ________________ Je « pratiquais » le (bd)sm bien avant de rencontrer mon Maitre. J’avais déjà connu la badine, le ceinturon, la cravache et d’autres instruments encore. Mais je n’avais jamais osé franchir cette ultime limite. Par peur, crainte de la douleur, mais aussi sans doute parce que je ressentais le fait de subir le fouet comme le cadeau ultime que je pourrais faire à un homme. Et que je jugeais que mes amants de l’époque ne le méritaient pas ou que je n’étais pas prête, moi, à le leur offrir. Bon, depuis, les choses ont évolué et je pense à un autre "cadeau" désormais. Mais chaque chose en son temps :smile: Mon Maître quant à lui en maîtrisait l’usage, pour l’avoir utilisé sur d’autres avant moi. Mais il s’y était toujours refusé avec moi. Alors, je lui ai forcé la main, en lui offrant un fouet, un single tail australien, pour s’en servir sur moi. Ça a été douloureux, très même, jusqu’à ce que les endorphines et ce que je ressentais, cette jouissance de m’offrir totalement à lui, m’emportent dans cet ailleurs qu’on appelle le lâché prise, le subspace. Plus loin que je n’avais jamais été. Par contre, si cette première fois (mais pas la seule, même s'il continue d'en user avec modération :smile:) où j’ai connu cette jouissance/souffrance à nulle autre pareille restera toujours un moment très fort dans la construction de ce que nous sommes désormais l’un pour l’autre, il n’en demeure pas moins que le fouet reste un instrument dangereux, à manier avec prudence. D’autres que moi ont déjà écrit sur le sujet, et je renvoie à leurs articles. Et notamment : https://www.bdsm.fr/groups/519/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/917/Le-fouet-en-SM/ Je recommande en particulier le premier, de ma chère Lady, le plus complet que j'ai jamais lu sur le sujet (après que j'ai "découvert" le fouet et ses effets sur moi), tant sur les volets "techniques" que psychologiques. Même si nous nous plaçons l'une et l'autre du côté différent du manche, ses mots expriment parfaitement ce que nous avons ressenti, mon Maître et moi, et le sens que nous avons donné à ma première flagellation (et que nous continuons de partager quand il décide de se servir à nouveau de ce fouet qu’il aime d’autant plus que c’est le nôtre, celui que je lui ai offert, réservé à mon usage). _______________ Les points clés pour moi sont d’abord que celui qui s’en sert en connaisse le maniement, et se soit entrainé avant sur des objets inanimés. Dans mon cas, mon Maitre avait en outre fait le choix de m’attacher « serrée », pour éviter tout mouvement involontaire de ma part, susceptible d’entraîner un coup mal placé. Il avait aussi longuement insisté, avant et pendant, sur son exigence que j’use du safeword convenu à n’importe quel moment, si je jugeais que les choses allaient trop loin à mon goût. Et surtout, en dépit de l’excitation que provoquait chez lui ce sentiment de pouvoir, de me savoir ainsi totalement à sa merci, parce que j’avais voulu qu’il en soit ainsi, il a été tout au long de la séance d’une attention extrême à mes réactions. Et je sais que ce n'était pas évident pour lui à ce stade d'excitation. Il est aussi de tradition de recommander d'éviter de fouetter certaines parties du corps, les seins, le ventre, le sexe en particulier. Je lui avais demandé de passer outre et même si j’ai «morflé », il a su doser les coups de sorte à m’éviter de prononcer le mot que je ne voulais surtout pas dire. Un dernier point, qu’il me semble nécessaire de souligner pour ceux/celles qui seraient tentés par l’expérience, c’est l’importance de l’aftercare. Je sais qu’il n’est pas toujours simple pour les mecs après avoir joui de se rappeler à quel point la «soumise » a besoin d’eux à ce moment là. Pourtant, ce sont ces moments là qui légitiment et justifient tout ce qui a précédé et suivra. L'attention, le soin, physique et psychologique qu'on porte à la soumise. La laisser « se dire ». L’écouter. La tendresse qu'on lui manifeste. Et puis il y la le plus important, la raison qui m’a poussée à briser mes derniers tabous, la confiance absolue que l’on porte à l’autre, parce qu’on sait, qu'on sent sans le moindre doute, qu’il saura s'en montrer digne.
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Par : le 18/10/21
Mais tu viens de t'endormir. Et pour détendue que je sois, je suis incapable de dormir après ce que tu m'as fais vivre/subir. Alors, même s'il est tard, ou plutôt tôt, j'ai éprouvé le besoin de mettre des mots sur ce que je ne devrais pas dire, encore moins écrire ou même penser. _______________ Dire que j’aime ton corps, ton sexe et tout ce qui en sort. Ta semence sacrée, ta liqueur dorée. Te parcourir de ma bouche, de ma langue. Dire que j’aime le goût, l’odeur de ta peau. De ta queue, de tes couilles et celle de la sueur sous tes aisselles. Dire a quel point j'aime te faire bander. M’agenouiller devant toi, lécher ta mouille sur ton gland, avant de te prendre en bouche jusqu'au fond de ma gorge. Dire que j’aime quand tu m'attaches, les yeux bandés, menottée, offerte, disponible, prête à l’usage, et jouir d’avoir mal quand c'est toi qui me fait mal. Dire que j'aime m'accroupir à 4 pattes, pour te présenter mes reins, et crier quand tu me prends ainsi pour mieux vibrer au rythme de ta queue. Dire aussi que j'aime m’allonger sur le dos, cuisses écartées, pour sentir ton poids sur moi et mieux m’offrir à toi. _______________ Je sais, je ne devrais pas dire, ni écrire ni même penser à quel point j'aime quant tu me prends, et ce moment aussi où tu n’en peux plus de te retenir, et que tu te libères de la tension accumulée. Pas plus que je ne devrais dire combien j'aime quand ton foutre jaillit, peu importe celui de mes trous que tu utilises, pourvu que ce soit en moi, sur moi. Ni surtout que pour moi tu es l’homme, le mec, le Mâle, le Maître, à quel point je suis fière d'être à toi, avec toi et oser crier que j'ai besoin de toi. _______________ Je sais qu’une femme ne devrait pas dire ça, encore moins l'écrire, ni même le penser. Mais je m’en fous. Parce que que les femmes qui disent ne pas aimer le sexe soit sont des menteuses, soit n’ont jamais connu la jouissance d’appartenir à un homme, d’être possédée par un homme, possédée d’un homme. _______________ Alors oui, je le dis, je le pense et j’ose l'écrire. Que j’ai besoin de ton corps, de ton désir, de ta queue. Que j’ai besoin que tu me baises comme on baise une salope, une chienne, une pute. Et de me savoir ton esclave. Tous les jours, toutes les nuits, toujours. Pour pouvoir me sentir vivre. _______________ Et n'en déplaise aux bien pensants, je ne me sens pas immorale pour autant. Juste peut-être amorale :smile:. Parce que le sexe, le plaisir n’ont rien à voir avec la morale. Puisqu’ils sont leur propre morale. Et que je suis accro à toi. Je ne suis pas de celles qui voient en l’homme un ennemi. Qui pensent que le Mâle c’est le Mal. Qui ne rêvent que de vous châtrer. De vous "déconstruire" pour mieux détruire ce que vous êtes. Tu es mon frère, mon semblable différent. Ce que tu es sur le plan physique et biologique ton histoire personnelle, ton vécu avant moi induisent chez toi une autre vision du monde, un autre regard sur le monde. Tu aimes et j’ai besoin que nous considérions parfois les choses autrement. Mais en regardant ensemble dans la même direction. **************************************************************************** Laure, avec le rêve de demeurer définitivement tienne, en ce matin du 17 octobre 2021. Un rêve peut-être, mais dont je sais que nous le réaliserons. Puisque tu as tout fait pour qu'il devienne notre réalité. Alors, "même pas peur" :smile:
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Par : le 10/10/22
Juliette ramena Charlotte à Paris une semaine avant la fin de septembre. Les anneaux qui trouaient le lobe droit de ses grandes lèvres ne la faisaient plus souffrir. Les marques imprimées par le cuir du fouet lors de la dernière séance étaient creusées dans sa chair comme par une gouge, hautes de plusieurs centimètres. Quand elle se présenta à la porte, Charlotte se sentait nerveuse. Sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus. Aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle serait alors rendue plus profondément esclave. L'idée de voir son corps si fragile labouré par le fouet, son ventre étroit écartelé, la bouche pure hurlante, et des larmes collées à ses joues, avait été un mois plus tôt soulevée d'horreur, Charlotte en fut alors heureuse. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Charlotte se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Juliette ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Charlotte en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. La jeune fille surprise et épouvantée recula en un éclair, protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Charlotte se rappela que Juliette, le premier soir de leur rencontre, avait fait de même. Après tout, elle n'était plus à elle. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Ce qui d'elle était le moins à elle, était toujours son étroit pertuis qui pouvait si bien servir pour ainsi dire en dehors d'elle. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Charlotte avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. "– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal". Elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle lui ordonna de ne pas bouger en lui saisissant ses lèvres. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche. Elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte songeait que le mot s'ouvrir à quelqu'un, qui veut dire se confier, n'avait pour elle qu'un seul sens, littéral, physique, et d'ailleurs toujours absolu. Car elle s'ouvrait en effet de toutes les parts de son corps qui pouvaient l'être, il lui semblait que c'était sa raison d'être. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, l'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui l'encouragerait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Il allait de soi qu'elle serait ainsi à sa disposition, et se mettre nue devant cette femme qui ne lui parlait pas et la regardait à peine, lui semblait aussi redoutable que d'être mise à nue constamment devant les amies de Juliette. L'inconnue admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Encore un nouveau gage d'abandon. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux femmes. Il était étrange que Charlotte en fut comblée. Pourtant, elle l'était. Elle se prêtait ainsi à ce que l'inconnue lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore, lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage. Le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant. La décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Charlotte par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Charlotte desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Charlotte était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/09/20
Au risque de choquer, de m’inscrire à nouveau à contre-courant de l’idéologie dominante, j’aime me sentir femme objet. L’objet de ton désir, l’objet de ton plaisir, un objet utilitaire, un objet que tu possèdes. Parce que ce n’est pas nier la femme que de « l’objectifier » parfois (dieu que ce mot est laid). D’en faire simplement un instrument de plaisir, De ton plaisir et du mien. D’être utilisée pour assouvir tes fantasmes, et de réaliser ainsi les miens. Il n'y a rien de mal à aimer les objets. Et tu aimes les beaux objets. Belle, je ne sais pas si je le suis, ailleurs que dans tes yeux. Mais j’aime quand tu m’aimes et me traite comme telle. Je serais toujours femme, laisse moi être "objet" chaque fois que tu le voudras. A la manière de cette nuit encore.
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Par : le 20/03/21
J'ai obtenu les larmes de ma soumise  un soir, quand elle était Mienne. Elle passait le week end chez moi, il était tard, mes enfants dormaient. On fume tranquillement  sur le balcon. On papote et je me rapproche d'elle... Pose mes mains sur ses épaules. Elle  est contente quand je la touche... Elle frémit quand je m'assois derrière elle, à même le sol et  glisse une main sous son tee-shirt... Je lui pose une question à la con, je veux juste qu'elle parle pendant que je place mon autre main sous sa gorge  en passant volontairement sur ses seins. Elle aime quand je m' attarde sur sa poitrine...  Sûr qu'elle commence à mouiller de me sentir si proche.. Son souffle se coupe quand je plante mes ongles dans la  chaire généreuse de son dos... La suite n' est que cambrures de son corps. Tantôt étranglée mais le plus souvent appauvrie en air par ma main qui la bloque fortement contre mon épaule... "Chuuuut!"  lui  soufflais-je doucement   à l' oreille tandis que  sa peau s'accumulait sous mes ongles.... Je vibre de la posséder ainsi, elle n' a aucune issue et n' en cherche pas, c'est juste  son instinct de survie qui se débat et j' aime ça. Ho oui j' aime ça! ... Ma respiration devient plus forte, mon emprise se matérialise  tout autour de nous... Le balcon  se dérobe sous ses fesses.  Je la mène à la rencontre  de Mon Plaisir... Celui  de lui faire mal...   Elle m'appartient, je la veux et je la prend, je la serre. Elle fait partie de ma chair que je pénètre de mes griffes... Je me  gorge de sa douleur que je ressens au plus profond d'elle... Je sens l' humidité de son sang sur mes  doigts. Les torsions de son corps mettent mes muscles à rude épreuve ce qui m' excite encore davantage... Plus elle se débat, plus j' étouffe ses cris et plus j' en jouis.... Son oreille... Humm son oreille juste  à portée de ma bouche...  Oooh! Je crois que c'est là que j' ai explosé . Pas quand j' ai mordu son lobe, non... Quand son cri de douleur est passé à travers ma main... Quand  une vague de sadisme  m' a submergée et que mon propre souffle s'est coupé. Quand mon corps  lui a imposé la cambrure de mes reins... Oui j' ai explosé de plaisir avec ma petite chose de 80 Kg  entièrement  à ma  merci. Pas une particule de son corps  n'en réchappe... Elle est à Moi et j'aime la griffer à m' en faire jouir... Je la garde serrée contre moi, suspendue dans un monde qui n' appartient qu'à Moi...     Doucement... Tendrement... Je relâche mes muscles... Lui rend son corps lacéré... Ses yeux sont humides,  son regard perdu, ses mots coincés au fin fond de sa gorge... Je la relève et la fait rentrer dans la cuisine... Ne lui  parle pas, juste la prends dans mes bras debout  face à moi... Lui pose un baiser  sur le front et guide sa tête  contre mon épaule l' invitant à  se laisser aller... C'est à ce moment que j' obtiens  le flot de  ses larmes... Ma soumise  qui pleure dans mes bras et s'abandonne complètement... Un plaisir que je savoure à sa juste et grande valeur... Un Don précieux et inoubliable... Un autre moment suspendu dans le temps... Un moment qui humidifie mon entre jambe... Chuuuuut... Silence!
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Par : le 29/06/21
Je vais finir par te mettre à genoux à  mes pieds et la prendre cette cravache que tu me tends... Poser ma main au-dessus de ta tête ... Appuyer doucement pour t'incliner devant moi... Doucement te faire poser les lèvres sur mes  escarpins  m' offrant ainsi une vue sur ton dos ...  T'imposer de garder cette position le temps que je ressente ton corps du bout de cette cravache que je fais remonter lentement derrière toi... De légers petits coups sur la fesse te font comprendre que je veux un accès sur tes bourses... Je glisse la tige sur ta raie et redescend le long de ta croupe que tu me tends malgré toi... Je serre les jambes ... Ta tête plaquée entre mes mollets ... Tu ne bouges plus que  tes lèvres sur mes chaussures... Je crispe mes doigts sur ton dos sans sortir mes griffes. Juste une pression qui te relie à moi pendant que la cravache t'ordonne  sans mots ajoutés  d'écarter les genoux pour t'ouvrir à moi... Hummm! j'aime sans aucun doute te voir ainsi et le plaisir de te soumettre que je désir grandit  doucement... Besoin de toucher ... Mes doigts appuient leur pression et entament le cheminement de ton corps... La cravache éprouve la fermeté de tes testicules par de petites tapes dispersées... Besoin de voir... Mon corps s'enroule lentement sur ton dos ... La cravache tombe à terre laissant ma main libre d'approcher tes couilles ... Pendant que ma seconde sort ses griffes... Arrivée sur ta fesse elle s'ancre tendant la peau de ton cul vers le haut en même temps que mon autre main empoigne tes bourses pour les tirer vers le bas... Envie de t'entendre... Je resserre plus fort... Tire plus loin... Ta bouche sur mes pieds ne sert plus qu'à traduire ce que tu ressens... J'écoute et cherche tes râles... Je ne lâcherais qu'après les avoir obtenus... C'est à cet instant que je relâche toutes  pressions et abat sur tes deux deux fesses une frappe à main plate qui claque bruyamment et donne le départ d'une pulsion... Je claque ton cul avec envie en créant une mélodie. Le son de tes fesses qui rougissent sous mes mains me fait vibrer. Je  te sens tendre ton corps pour mieux résister. Tu veux Mon plaisir et  tu le sens  monter en Moi... La fougue de mes mains... Ma respiration qui s'accélère... Mes  "Hum oui!" Qui s'échappent de ma bouche... Les"  encore " qui t'encouragent à  garder ton cul relevé vers Moi... Ta tête entre mes jambes, tu  regardes au sol cette cravache que tu me tendais  alors que je prends plaisir à te fesser. Mes mains deviennent chaudes , tes fesses écarlates se teintent de pourpre, la mélodie continue sa partition,  caresse tes bourses dans les soupirs. Effleure ta peau de notes blanches...   Oui j'aime te soumettre à Mes envies bien plus qu'à celles que tu me suggères parce j'aime laisser libre cours à Mes pulsions et là , j'ai envie du son de tes fesses sous mes mains... J'ai envie de la chaleur de ton cul contre la paume de mes mains... J'ai envie de t'emmener au bout de Mon plaisir, là où ton corps qui est Mien danse sous mes mains...  Doucement , je fais remonter mes doigts le long de ton dos jusqu'à ta nuque. Je pose une main sur ta tête ,l 'incline pour que ta joue se plaque au sol. Du pied je fais glisser la cravache devant toi, je veux que tu la vois, qu'elle t'accompagne, qu'elle reste dans ton esprit comme la source du plaisir qui s'écoule en Moi, car je vais te l' avouer au creux de l' oreille en m' accroupissant à coté de toi:  " J'aime beaucoup  quand tu me tends cette cravache et j'adore quand tu me tends bien ton cul..." Je te caresse la joue en me redressant... Te contourne pour me positionner derrière toi... Pose un genoux à terre et reprends la mélodie à deux mains qui m'emmène vers un plaisir certain...
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Par : le 04/08/21
Je suis à toi. Mon corps est à toi. Mes trous sont à toi. J'aime le savoir et que tu le saches aussi. Mais la vie a ses contraintes, il y a le boulot, le tien, le mien, le quotidien qui font que je ne puis être à toi toujours, tout le temps. Nue, offerte, disponible pour toi. Alors, souvent, quand nous sortons ensemble, pour dîner, aller au théâtre, au ciné, voire déjeuner chez mes parents, j'aime à "m'équiper" de ces instruments qui me le rappellent. Ou les porter parfois quand tu n'es pas là, quand je bosse, lors de rendez-vous avec des clients. Parce qu'ils n'ont pas seulement leur utilité lorsque c'est toi qui me le impose, quand c'est toi qui t'en sert. Que ce n'est pas uniquement par plaisir que je les porte, même si ça ne me déplait pas :smile:. Mais aussi pour me rappeler que même dans mes actes de la vie courante, "normale", je demeure "à toi". _______________ Les autres n'ont pas à le savoir, ça ne regarde que nous. Mais toi tu le sais, et j'aime que tu le saches, parce que ça t'excite de le savoir. Et répondre à ton désir de me posséder répond en retour à mon envie de l'être par toi. Et seulement par toi :smile:. Alors, oui, ces instruments de contrainte, ces instruments symboles, j'aime aussi les porter dans la vie courante. Pour me rappeler que je suis à toi. Toujours.
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Par : le 20/07/22
Voilà cela me reprend. J'ai des picotements au bout des doigts, de l'electricité dans le ventre. Il faut que j'explose un cul de lopette agenouillée, que je fasse cingler mon cruel fouet. Ne me demandez pas de safe Word. Vous pourrez supplier, pleurer appeler votre mère, prier cela ne changera rien au tarif, celui de mon bon vouloir. Solidement ligoté, vous pourrez hurler tant qu'il vous plaira. Cela ne fera qu'attiser ma furie. Mon fouet sifflera encore et encore. Je vous briserai complètement. Vous ramperez à mes pieds. Vous les lècherez avec délectation, votre dos encore en sang. Après zou...dans la cage Louis XI, dans le noir, vous pourrez méditer longuement. Chercher les secrets du mushin, du non esprit. Cela vous ira très bien... . Le fouet marquera votre âme à jamais. Je vous désire fier, fort et guerrier. Vous ne serez plus vile lopette mais combattant. Vous me montrerez votre courage à supporter la douleur. Votre sexe se redressera et sera bien tendu. Vous montrerez à votre maitresse votre force et votre virilité. Mon fouet sifflera plus fort et vous me direz merci. Je ferai de vous un vaillant, un coeur pur et sans reproche, un dévoué total. Vos fesses seront bien fermes et bien irriguées par les afflux de sang brûlant. Parfois mon beau guerrier, vous partagerez ma couche pour me donner du plaisir. Vous serez alors mon jouet sexuel et vous devrez vous retenir pour me procurer des orgasmes à répétition. Vous devrez ne point faillir à cette tache. Parfois au petit jour, s'il me plait ainsi, je vous laisserai exploser de jouissance en moi. Le fouet sera notre pacte. J'écrirai mon nom sur votre peau avec votre sang. Je vous souhaite en extase mon beau guerrier tout dévoué à votre Maitresse impitoyable.
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Par : le 25/07/22
Une petite chatte en liberté s'ouvre au plaisir qu'elle connait. Elle transpire à grosse goutte quand La main s'approche pour la caresser. Elle en ronronne de plaisir cette petite chatte docile , même quand La main se fait moins tendre et pince sans retenue. Petite chatte est dans tous ses états quand La main assoiffée vient se servir à sa source en agitant ses doigts . Ho oui! Cette petite chatte se livre à La main en toute indécence, parfois même jusqu'à ne faire plus qu'un tant E/elles sont absorbées... Ce jour là, la petite chatte jouissant en toute liberté, voit La main s'approcher avec un drôle de fil de fer et un sourire des plus pervers. Elle s'interroge, essaie de deviner, mais La main bien décidée, lui ferme son clapet . Petite chatte se retrouve entravée entre le fil de fer. Pincée, tiraillée, fermée, petite chatte se perd dans ses appréhensions. Elle ne voit pas ce que La main fait, elle ne connait pas se qu'elle ressent. Petite chatte découvre une nouvelle forme de chasteté... La main se réjouis! Elle façonne une cage de chasteté féminine à tâtons. La main tient Sa petite chatte close , bien serrée, par un fil. Elle la tire , Hum! Oui Elle la tire cette petite chatte de bien des manières. Elle tire et étire pour faire miauler cette petite chatte trempée d'un râle douloureux. Elle tire jusqu'à ce que le fil cesse de s'agripper aux lèvres pincées. Petite chatte retrouve alors une forme de liberté et se sens rassurée par La main caressante . Elle lui parle d'un prochain essai. Plus tard... Petite chatte rit un peu jaune... La main s'en réjouis d'avance... Petite chatte en perd ses maux quand après La main c'est son Unique qui la prend d'assaut. Petite chatte est heureuse de La servir à en dégouliner de plaisir . Son Unique prend son pied... C'est tout sourire et les yeux brillant que La main et la petite chatte se disent au revoir... Cette petite chatte sans fil de fer pour l' entraver, se sent bien. Elle envisage de savourer cette forme de libeté avec ses petites papattes mais c'est sans savoir que La main en décide autrement. En quelques mots pianotés sur des touches, La main rend petite chatte chaste pour toute la journée. Pas besoin de cage ou de fil de chasteté pour frustrer Ma petite chatte ;)
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Par : le 06/03/21
Une chaude matinée d'été. Elle prend son sac de plage, ses huiles bronzantes, un roman, de l'eau. Elle ressent plein d'envies au creux de son ventre, ce matin là. Un lieu naturiste lui a été indiqué, sur les bords de Loire. Pas trop fréquenté. Personne lorsqu'elle pose sa serviette, une petite plage de galets paisible au demeurant, la Loire très basse à cet endroit sur un fond sablonneux envahissant tout le lit du fleuve. Elle s'installe, retire sa robe et sa lingerie, et s'allonge, nue. Le seul instant d'abandon total, le corps libéré accueillant la chaleur du soleil . Elle respire doucement, n'écoutant plus que le chant des oiseaux, le murmure de l'eau, le bruissement du vent dans les arbres... Elle choisit un lait solaire dont elle s'enduit délicatement, le visage, le cou, les seins, les bras, le ventre, l'intérieur des cuisses, les jambes. Son imagination l'entraine sur des sentiers de désirs, pervers à souhait, sens interdits souvent, elle ondule en rêvant de mains sur elle.... Un bruit. Un bruit de pas sur le gravier. Elle ne bouge pas mais reste attentive. Les pas s'approchent, puis une voix la saluant. Deux hommes en maillot sont près d'elle, ils cherchent un lieu tranquille où ils pourront bronzer nus. La conversation banale s'engage, ils sont avenants et plutôt séduisants. Elle s'est retournée à leur arrivée et expose ses fesses blanches et son dos au soleil. Un des hommes lui propose de protéger sa peau claire, et commence doucement à la masser de crème solaire. Ils échangent sur la tranquillité de cet endroit, l'autre homme assis près d'elle, lui pose des tas de questions sur les lieux à visiter. Elle ressent un bien-être grisant l'envahir sous les mains expertes du premier homme, qui s'applique à ne laisser aucune zone de sa peau sans protection. Il effleure, puis masse, détend ses muscles crispés, pétrissage fin et délicat d'un corps en attente. Elle répond aux questions avec plus de difficultés, sa voix s'entrecoupe de soupirs, sa respiration hésitante la trahissant de plus en plus. Les mains glissent sur ses fesses, les écartent, les rapprochent, puis descendent entre ses cuisses. Elle se laisse faire, son corps réclamant ces caresses de plus en plus intimes. Une joie profonde s'insinue en elle, un appétit charnel tend son ventre et son sexe. Elle sait qu'elle commence à mouiller, impudique aveu de ses désirs. L'homme l'incite alors à se retourner, et la sentant hésitante malgré tout, il entraine son corps dans ce mouvement. Il reprend ses massages en protégeant le visage puis la gorge, les épaules, il contourne les seins, les presse, les palpe, en étire les pointes, puis les resserre l'un contre l'autre. Une excitation sourde la saisit lorsqu'il pince ses mamelons et les roule entre le pouce et l'index. Elle gémit plus fort. Elle a refermé les yeux, offrant son corps à ces caresses, elle veut juste jouir de ces instants, elle veut prendre le plaisir comme il vient, indécent, animal, un plaisir chaud montant en elle. Elle a vu l'érection des deux hommes, mais elle ne les touche pas. Pas encore. Elle veut profiter, elle d'abord. Invitant le second à se joindre aux caresses, elle tremble sous ce contact à 4 mains. Les mains pétrissent son ventre rebondi, malaxant sa peau chaude, puis descendent sur ses cuisses qu'elle écarte aussitôt. Les doigts lissent sa légère pilosité, et pianotent sur ses lèvres humides. Ils s'en emparent, les étirent, les font rouler entre leurs doigts. Elle vit ces caresses au plus profond de son corps, les anticipe, les espère, les souhaite plus intimes encore, les appelle en gémissant et en coulant.... Son clitoris saillant est massé délicatement, puis humidifié par les gouttes de salive qu'un des hommes laisse intentionnellement tomber. Ce contact troublant l'excite plus encore. Les doigts poursuivent leur exploration, plus aucun mot n'est prononcé, juste les respirations, les soupirs, les halètements, le vent chaud..... Les doigts ouvrent sa fente, tout doucement, cueillant son abondante cyprine. Un doigt se promène sur sa fente béante, s'imprègne de ce désir trempé pour masser son entre-fesses palpitant. Le doigt appuie et force doucement l'entrée étroite, il s'insinue, trempé de mouille et d'huile solaire, il pénètre et sodomise enfin. Elle est envahie d'une chaleur indécente, elle se veut emplie, pleine, prise.... Deux doigts s'enfoncent alors dans sa fente, la possédant, la visitant, soulevant son bassin sous le plaisir provoqué. Plus encore, le contact des doigts dans son ventre à travers la fine paroi les séparant, l'excite terriblement. Une sorte de danse entre les doigts de ces hommes et son corps, elle sent le plaisir chaud monter au creux de ses cuisses tremblantes. Entre les contractions de son corps et le relâchement absolu de son ventre, elle grogne de cette jouissance bestiale qui la saisit, et hurle de ce feu en explosant sous leurs doigts. Le bassin toujours tendu, elle réclame alors le plaisir de ces hommes et leur ordonne de se masturber sur ses seins gonflés. Vite et fort. Sans aucune retenue. Elle veut les voir jouir, là maintenant, leurs doigts la branlant encore et encore, les siens pressant leurs bourses pour en ressentir toutes les contractions de vidange. Ils restèrent plusieurs minutes sans parler, sans bouger, dans cet état presque craintif de ne plus jamais revivre un tel plaisir . Le plaisir du plaisir.
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Par : le 30/10/21
Pour certains, le bdsm n’a rien à voir le sexe. Pire, les deux seraient antinomiques. Mais les règles, les codes, les normes n’ont jamais été mon truc. Et je ne conçois pas la relation à mon Maître sans le sexe. _______________ N’en déplaise à Freud, je n’ai jamais vécu comme un traumatisme de n’avoir pas de queue. J’aime me savoir avec une bouche, un cul, une chatte. Tous ces orifices qui constituent « son » territoire, comme autant de compléments indispensables à ce que lui a entre les jambes. Cet instrument dont je ne pourrais me passer puisqu’il lui sert à me prendre, me posséder, me faire vibrer. Tout en jouissant de moi. ______________ Oui, j’aime le cul, me faire baiser. Ce moment que je vis comme l’aboutissement, le final échevelé de nos séances, du feu d’artifice de gestes, mots, sensations et sentiments qui a précédé. Quand l’excitation, la tension accumulée, la mienne, la sienne doivent trouver leur exutoire. Qui passe par moi et le jaillissement de son foutre. En moi. J’aime le moment où son plaisir se manifeste physiquement. Cet instant qui me prouve que j’ai été à la hauteur de ce qu'il est en droit d'attendre de moi. Quand le plaisir, chez lui, chez moi, atteint son paroxysme. Et où je me sens pleinement à lui puisqu’il est en moi pour se répandre en moi. Faisant de son plaisir, de sa semence, de ce concentré de lui une partie de moi. Et puis j’aime aussi le temps qui suit. Quand il s’effondre sur moi, Épuisé, vidé, libéré de toute sa tension accumulée. Pour me laisser m’occuper autrement de sa queue désormais au repos. L’embrasser, la lécher, recueillir sur elle les dernières goutes de son plaisir. Avant que des échanges plus tendres ne prennent le relais. Ses mots, les miens. Et que je m’endors dans ses bras. Ou lui dans les miens. A moins que son désir ne renaisse et que tout recommence :smile: _______________ Alors, oui, définitivement, j’aime le cul et me faire baiser. Et j’en ai besoin. Peu importe lequel de mes orifices il décidera d’utiliser. L’un ou l’autre, l’un puis un autre ou les autres, dans l’ordre qu’il voudra. En fonction du moment, de son envie, du sens qu’il veut donner à son acte. Puisque c’est lui qui décide. Puisqu’il est mon Maître. Et que tous lui appartiennent.
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Par : le 11/08/21
« Lorsque nous monterons vers la pièce, sans un mot de notre part, tu te déshabilleras, lentement car je sais que tu porteras une jolie tenue. Nous te dirons ce que tu laisses et ce que tu enlèves. Tu te positionneras à genoux, face à nous, comme tu sais le faire. Et lorsque nous nous approcherons de toi, tu relèveras tes cheveux pour aider au passage de ton collier ».    Voici dont leurs mots avant notre échange, notre séance, notre moment… Mon moment de lâcher-prise.    Suivie de mes Dhoms, je monte ces marches une à une… en silence.  J’entre dans la pièce et me met à ma place, au milieu de celle-ci.  Une fois installés en face de moi, je commence à me déshabiller.  J’enlève cette petite robe en filet noire, elle est très sexy, j’aime la porter lorsque je me rends dans un club libertin.  Avec celle-ci je ne portais qu’un cache-sexe, des bas autoportants ainsi que mes bottes en cuir noires.  Ce que j’ai gardé.    Comme il me l’a été demandé, je me suis mise à genoux et j’ai relevé mes cheveux. Mon Dhom, m’a posé mon collier de notre séance et l’a cadenassé comme il a fait pour les attaches de mes chevilles et mes poignets.     Pendant ce temps ma Dom me regardait, assise dans le fauteuil face à moi, son beau sourire aux lèvres.  « Tu sais ce qu’on attend de toi ? » Je les regarde tous les deux, elle, avec ses magnifiques cuissardes, j’avais compris… Il y a un an, je refusais de le faire, il y a un an je ne comprenais pas, il y a un an je n’étais pas prête…  Toujours à genoux, les bras derrière le dos, je me penche et embrasse ses pieds, je veux me relever mon Dhom d’un ton sévère : « Tu peux mieux faire! » et j’ai recommencé, plus lentement et en m’attardant sur les deux pieds de ma Dom.    Au milieu de cette pièce, une chaine traverse le plafond, ils m’y attachent les bras et les cheveux à celles-ci et terminent par me relier les pieds ensemble.  Voilà…  Je suis leur…. Telle une soumise pour leurs Dhoms, prête à tous les sévices, prête à être malmenée pour leurs bons plaisirs… Pour mes bons plaisirs.    Ils connaissent mes doux travers et ne doutent pas de ce que j’aime.  Ils commencent doucement, des petits pincements, des coups de cravache, …  Mmm j’aime !   Ils continuent en me fouettant…  ensemble ! Elle derrière s’occupant de malmener mon dos et mes fesses avec ses accessoires et lui devant moi avec un martinet dans chaque main me fouettant les seins du bas vers le haut comme s’il jonglait avec des balles et que jamais il n’en perdait une !    Les claquements des martinets se font ressentir sur tout mon corps à chaque fois que ceux-ci atteignent ma peau, j’ai mal ! J’aime ça !   Douleur-plaisir, plaisir-douleur, mon cœur/corps sont partagés… Et puis, pourquoi choisir quand je peux avoir les deux !    Mon « SafeWord » est disponible à tout moment mais avec mes Dhoms, je n’en ai point besoin, ils me connaissent pour savoir quant arrêter. De toute façon, je ne l’utiliserai pas…     Ils me malmènent un peu, beaucoup, passionnant! Des gouttes perlent le long de mes joues, ils s’arrêtent, me prennent dans leurs bras…  Après quelques minutes des larmes, des rires, des sourires : « On continue ? ».  Moi : « oui » *sourire*  Et on recommence, encore et encore…  Pour en arriver au fouet…. le fouet ! Celui que je reconnais au son qu’il produit, à la douleur qu’il me procure et aux marques qu’il me laisse sur la peau, oui ce fouet… Je ne peux m’en passer et je ne veux m’en passer, ils le savent bien…    Le corps marqués et douloureux de plaisir, ils me détachent les bras et les cheveux.  « Mets-toi à genoux, penches toi en avant et lèves bien tes fesses ». J’obéis.  Sous le regard de ma Dom, mon Dhom prend la canne.  Ah là là cette canne, je m’en souviens lors de notre dernière séance… elle fait mal, très mal… mais je m’en sens capable.  Lors de nos derniers messages, je n’ai pas manqué d’être insolente avec mon Dhom, à se demander pour quelle raison… Ce, en quoi il m’a promis 35 coups de canne et où j’ai répondu : « Oui Monsieur ».  Le jour même, il en a rajouté 5 car j’ai manqué de politesse…  Me voilà dans cette position à attendre mes 40 coups de canne…  « Comptes les à voix haute ». « 1, 2, 3,….10 »… J’ai mal ! Il me demande : « On continue ? », je lui réponds : « Oui Monsieur ».  « 11, 12 , 13, 25 »… Je souffre, je sanglote mais c’est hors de question que je lâche! « On continue ? »   D’une petite voix : « Oui Monsieur, 26, 27, 28, 29, … » je pleure, la douleur est intense « 30, 31, …35 ».  Ils me relèvent pour enlever mes attachent et là je dis tout en reniflant : « Et les 5 coups de canne pour mon manque de politesse ?  « Ah tu les réclames en plus, mets-toi à genoux ! ».  J’obéis  « 36, 37, 38, 39, 40. » Je fonds en larme ! Le moment tant attendu, le voilà enfin ! MON lâcher-prise.   Me voilà couchée à terre, dans les bras bienveillants de mes Dhoms et moi en pleurs, en train de verser toutes les larmes de mon corps, mon corps malmené de plaisir
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