La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 04/03/25
Comme on est fort quand on est naturel. Comme on est faible quand on veut se forcer. Je disais n'importe quoi, ce qui me passait par la tête. Et chaque mot prononcé faisait alors céder à Juliette quelque pouce de son cœur. Les amoureux fous peuvent toujours feindre l'indifférence, jouer au vertueux mais leur ruse est vite percée à jour. Sous l'indifférente se révèle souvent la désespérée. Mes yeux, ce fut longtemps tout ce qu'elle connut de moi. Je pensais à tort la séduire par ma voix. Mais il a fallu longtemps pour qu'elle en entende le timbre et, déjà, tout était joué. En vérité, c'est mon regard qui l'a frappé au cœur. Quand un tel choc amoureux arrive, le temps est suspendu. Bien ou mal, un corps finit toujours par réagir mais à forcer la repartie, on en amoindrit la valeur et le sens. En aimant d'amour, on aime quelqu'un d'autre et même en faisant l'amour, on se donne. De nature plus narcissique, l'amitié tolère l'égotisme, elle l'encourage. Car le climat tempéré de l'amitié favorise l'éclosion du beau sentiment dont chacun renvoie à l'autre l'image délicieuse. Rien d'urticant, rien de vénéneux dans ce jardin. La fleur bleue n'a pas d'épines. Complaisante plus que toute autre, l'amitié amoureuse est un jeu de miroirs qui reproduisent à l'infini le meilleur profil de soi-même. Il s'agit d'un accord, dont les orages de la passion ne risquent pas de troubler l'harmonie et, surtout, d'un moyen de se contempler mieux que dans la solitude dont l'ombre portée obscurcit le jugement. Charlotte entrait dans l'enfer. Elle ne le savait pas. Une miséricordieuse providence cachait l'avenir de rencontres fortuites et de désespoirs où elle avançait. Elle avait repris ses habitudes. Les chagrins s'y cachaient encore, tapis sous les souvenirs et sous les gestes quotidiens, mais le temps qui passait les entourait d'un brouillard, les insensibilisait peu à peu. Elle avait mal mais elle pouvait vivre. Une existence mélancolique où l'attente était remplacée par la résignation et les espérances par des reproches toujours sanglants qu'elle ne pouvait cesser de s'adresser. Elle n'était pas encore descendue à ces profondeurs de souffrances où de mystérieux rendez-vous lui avaient été donnés auxquels il lui fallait devoir se rendre. Il lui semblait qu'elle aurait à souffrir. Mais les prémonitions sont toujours aisées après coup. Elle avait tant de fois retourné dans sa tête tous ces monstrueux enchaînements.   Elle ignorait tout de la puissance bienfaisante des renoncements. Ces épreuves contre lesquels les amants sont désarmés. La vie est semée de ces miracles que peuvent toujours espérer les personnes qui aiment. Un simple coup de téléphone. L'espoir l'avait ressaisie d'un seul coup, l'avait enlevée, comme un paquet de mer, vers des hauteurs où elle flottait avec un peu d'hébétude, d'où l'incrédulité n'était pas absente. La voix de Juliette avait été très sèche, froide. Elle se répétait que le bonheur, ce n'était plus possible. Mais l'espérance était là pourtant. Ses vieux rêves ne l'avaient pas abandonnée. Elle allait se jeter encore dans ses bras et le monde entier en serait transformé. Plus tard, beaucoup plus tard, ni les mensonges ni la sincérité ne purent servir à rien. Renverser le temps, les choses, aller contre ce courant mystérieux des sentiments et de la passion. Tout allait dans ce sens. C'est cette fille innocente et belle si cruellement violentée par ses propres fantasmes que Juliette avait le désir de protéger. Vient toujours un moment où les mères ressentent le désir douloureux et désespéré de protéger à tout prix leurs adolescentes, comme s'il était en leur pouvoir de leur donner à vivre une autre vie. On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espérant un jour, qu'elle changerait. Juliette l'avait promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la routine. Charlotte n'aimait pas en discuter avec elle, parce qu'elle savait qu'elle ne lui disait pas la vérité. Son travail était prenant, comme au temps de son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée, constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ?   Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand et rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé. Elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Je m'étais échauffée un peu. Je ne me mentais pas. Je disais ces choses qui vous viennent à la tête et au cœur à l'heure tardive où la nuit tombe sur tous les tumultes du jour. Je ressentais une grande paix en moi, une fièvre aussi. Quand elle la vit s'avancer vers elle, elle eut un imperceptible mouvement de recul. Puis, sans y penser, elle lui tendit la main. C'était une manière tout à la fois de s'en approcher et de se tenir à distance. Le contact de sa main chaude la surprit et la fit revenir à elle.   D'un coup, le rêve prenait une réalité et la femme à laquelle elle songeait cessait de d'être une pure apparence pour devenir un corps et promettre le plaisir. Elles venaient de quitter une vie qu'elles ne vivraient jamais plus. Celle pendant laquelle elles ne s'étaient pas connues. Elles furent ainsi frappées par l'amour. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait. Mes cheveux étaient mouillés, elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle. Je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant.   Je la regardais alors sans trembler, longuement par plaisir autant que par curiosité, obéissant à une destination, à première vue sans appel. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. J'étais dans ce cercle où la loyauté s'appelle rouerie, où l'innocence est toujours feinte. Et de ce cercle-là, parce que je le maniais sans arrière-pensée et que je m'amusais seulement dans une fausse apparence, Juliette le savait déjà. Elle fut si heureuse que tout ce qu'elle vit, rendit encore plus séduisante la femme impétueuse. Elle aimait son regard couleur d'aveline, l'épi de cheveux noir de jais sur le coin de son front. Elle aimait sa gêne et son malaise car elle y lut la confirmation qu'elle était aussi fortement attirée par elle. Très hardie dans l'intimité, elle parvint à tout lui céder. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Charlotte comprit en cet instant qu'elle ne cesserait plus de désirer Juliette et que cet assouvissement, dont elle s'était passée pendant si longtemps, lui deviendrait dès lors aussi nécessaire que l'air qu'on respire, le silence qu'on entend.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 03/03/25
Chers internautes, adeptes du bdsm, J'ai rédigé au cours des ans, quelques notes sur certains aspects du BDSM. Je les ai consignés dans des cahiers que je tente de tenir à jour. Il suffit de cliquer sur le nom du cahier, et vous pourrez avoir accès.  Certains sont plus complets que d'autres en fonction des retours (trop peu fréquents) que je reçois. Vous pouvez me les faire parvenir à mon adresse mail directement: ***ADMIN : Pas d'adresse email en public. Merci de respecter les CDU ! ***. cahier 1 : la masturbation et ses bienfaits  cahier 2: l'art de la fellation. Ces deux premiers cahiers sont le don A soi, Se masturber c'est faire l'amour avec quelun qu'on aime et le don DE soi, offrir une fellation est un cadeau ue l'on offre à autrui, sans attendre un retour.  Cahier 3. le BDSM : c'est à dire ma perception du BDSM, ui peut être différente de la vôtre, cahier 4: la convention de soumission cahier 5: le massage prostatique cahier 6: l'art du shibari. Ce n'est pas un guide, juste une approche silmpliste cahier 7: le wax-play, ou jeu de la cire chaude cahier 8: le baillon cahier 9: le ballbusting, ou le jeu des testicules cahier 10: l'électro-sexe cahier 11: le ballstreching, ou l'étirement des testicules. comme je le disais, j'actualise mes cahiers, en fonction des retours. N'hésitez pas à m'envoyer des commentaires sur mon adresse desirevalentin@gmail;com. C'est plus facile à consulter. Bonne lecture  
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Par : le 02/03/25
Avant d'aborder les dangers d'une relation BDSM,  je vous propose là un autre "article", dont le titre se suffit à lui même... Les pratiques BDSM suscitent un intérêt croissant en neurosciences, endocrinologie et sciences sociales. Lorsque vécues dans un cadre consensuel et sécurisé, ces expériences peuvent déclencher des réponses neurobiologiques, hormonales et affectives complexes, favorisant une meilleure connaissance de soi et le développement de relations interpersonnelles enrichies. Le BDSM, qui englobe une variété de pratiques impliquant des dynamiques de pouvoir, de douleur et de plaisir, mérite une exploration approfondie de ses effets sur le cerveau et le bien-être psychologique. 1. Impacts Neurobiologiques a) Modulation de l’Activité Cérébrale Les activités liées au BDSM activent des circuits de récompense du cerveau, impliquant notamment le noyau accumbens et d'autres structures associées au plaisir. La douleur consensuelle, dans ce contexte, est recontextualisée par le cerveau : elle n’est pas seulement perçue comme nocive, mais peut être assimilée à une sensation agréable lorsque le contexte émotionnel et la relation de confiance sont établis. Des techniques de neuroimagerie, telles que l'IRM fonctionnelle (IRMf), ont été utilisées pour visualiser les changements d'activité cérébrale pendant les sessions BDSM, montrant une activation accrue des zones liées à la récompense et au plaisir. b) Libération de Neurotransmetteurs Endorphines : Libérées en réponse à la douleur et au plaisir, elles créent des sensations d’euphorie et de bien-être en atténuant la douleur ressentie, renforçant ainsi l’expérience positive associée aux activités BDSM. Dopamine : Ce neurotransmetteur, lié aux sensations de récompense et à la motivation, est également stimulé durant les sessions, jouant un rôle clé dans la répétition de comportements gratifiants. Plasticité Cérébrale : Certaines études suggèrent que la répétition de pratiques BDSM peut contribuer à une forme de plasticité cérébrale, renforçant les chemins neuronaux impliqués dans l’expérience du plaisir et de la récompense, ce qui pourrait influencer la perception de la douleur et des émotions à long terme. 2. Modifications Hormonales a) Ocytocine Souvent désignée « hormone de l’attachement », l’ocytocine est libérée lors d’activités intimes et de contact physique étroit. Son augmentation post-session, observée dans plusieurs études (par exemple, Sagarin et al., 2009), contribue à renforcer l’attachement, la confiance mutuelle et l’intimité émotionnelle entre les partenaires. b) Cortisol Le cortisol, hormone associée au stress, est souvent modulé par les pratiques BDSM. Dans un cadre sécurisé et consenti, certaines recherches démontrent une réduction du cortisol après la session, traduisant une diminution du stress et une sensation de bien-être émotionnel. Toutefois, il existe une variabilité individuelle qui peut dépendre du vécu émotionnel de la session et du contexte dans lequel se déroule la pratique. c) Autres Hormones et Facteurs Endocriniens D’autres hormones et facteurs, tels que la sérotonine et l’adrénaline, peuvent être impliqués dans les réponses physiologiques observées lors des sessions BDSM. Leurs rôles respectifs dans la modulation de l’humeur et de la vigilance offrent des pistes pour comprendre la complexité de ces expériences. 3. Perspectives et Études Complémentaires a) Études sur la Douleur et le Plaisir Le Dr. Michael S. Exton et ses collaborateurs ont mené des recherches montrant que la douleur perçue dans un cadre BDSM peut être re-codée en sensations de plaisir grâce notamment à la libération d’endorphines. Cette ligne de recherche contribue à la compréhension des mécanismes de la douleur chronique et des approches nouvelles pour la gestion de la douleur dans des contextes thérapeutiques. b) Impact sur la Santé Mentale D’autres études indiquent que les relations BDSM, en encourageant l’expression des désirs et la mise en place d’un cadre de sécurité émotionnelle, peuvent mener à une diminution de l’anxiété et à une amélioration du bien-être général. Ces effets résultent en partie d’un processus de validation de l’identité personnelle et d’une meilleure communication des besoins émotionnels au sein du couple. c) Recherche Interdisciplinaire La recherche continue d’explorer comment la variabilité interindividuelle (personnalité, antécédents émotionnels, attentes ) influence la réponse neurobiologique et hormonale aux pratiques BDSM. Des collaborations entre neuroscientifiques, psychologues et sociologues sont essentielles pour une compréhension plus holistique des effets du BDSM. Ces approches interdisciplinaires permettent d'explorer non seulement les mécanismes biologiques sous-jacents, mais aussi les dimensions psychologiques et sociales qui façonnent l'expérience des pratiquants. Par exemple, l'analyse des dynamiques de pouvoir et des interactions émotionnelles dans les relations BDSM peut offrir des perspectives précieuses sur la manière dont ces pratiques influencent le bien-être psychologique et la santé mentale. Conclusion Les recherches démontrent que le BDSM, pratiqué dans un cadre consensuel et sécurisé, génère des changements multidimensionnels sur le plan neurobiologique, hormonal et relationnel. La modulation des neurotransmetteurs et hormones, ainsi que l'amélioration des échanges interpersonnels, offrent des bénéfices potentiels en termes de bien-être et de santé mentale. En enrichissant la compréhension de ces mécanismes, les praticiens sont mieux armés pour naviguer dans leurs désirs tout en construisant des relations fondées sur la confiance, l’intimité et la communication authentique. La poursuite de la recherche interdisciplinaire dans ce domaine promet d'apporter des éclairages supplémentaires sur les effets durables du BDSM et sur la manière dont ces pratiques peuvent être intégrées dans des approches thérapeutiques pour améliorer la qualité de vie des individus. __________________________________________________________________________________________________________________ Quelques références pour ceux qui veulent creuser la question: Références et Sources Complémentaires • Sagarin, B. J., Cutler, B., Koetzle, D. H., Campenhausen, T., & Krueger, R. (2009). “Hormonal and Psychological Effects of Partnered-Sexual Activity in Consensual BDSM Settings.” [Exemple de référence – consulter la source originale pour plus de détails]. • Exton, D. M., et al. (Date inconnue). Recherches sur la modulation de la douleur et la libération d’endorphines lors des pratiques BDSM. • Langdridge, D., & Barker, M. (2007). “Different Shades of Consent: Exploring Identity and Desire in BDSM.” • Weinberg, T. S., et al. (2010). Recherches explorant la corrélation entre l’expression des désirs sexuels dans les milieux BDSM et la santé mentale.      
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Par : le 02/03/25
Avant-propos Ce récit plonge dans une soumission totale, brute et sans concession. Chaque mot est une tension, chaque geste une offrande, chaque regard un jugement. Loin des fantasmes édulcorés, il explore la domination sous sa forme la plus crue, où plaisir et crainte se mêlent dans un rituel implacable. J’aimerais savoir ce qu’il provoque en vous. Vous a-t-il captivé, troublé, dérangé ? Le style est-il immersif, les scènes assez puissantes ? Vos retours sincères sont essentiels : dites-moi ce qui vous a marqué, ce qui fonctionne ou non. Votre regard critique sera la clé pour aller encore plus loin. ============================================================================================================= La Nuit du Jugement et du Plaisir La nuit s'annonçait sulfureuse, une promesse murmurée à l'oreille du destin. Je me tenais dans la chambre, observant ma soumise qui, docile, attendait mes instructions. "Prépare-toi, nous sortons." Sur le lit, j'avais disposé sa tenue. Un collier serti d'une laisse, un plug anal, un long manteau. Rien d'autre. Ses yeux se levèrent vers moi, surpris, mais aucun mot ne fut prononcé. Elle savait. Elle acceptait. Elle s'agenouilla devant moi, présentant entre ses mains tremblantes le plug, une offrande silencieuse. Je l'attrapai, laissant s'installer un silence pesant. Puis, avec lenteur, elle se courba jusqu'à ce que son front touche le sol, ses fesses offertes dans un geste de dévotion parfaite. "Merci, Maître." Un peu de lubrifiant, juste assez pour que la douleur se confonde avec le plaisir. Sans préavis, je l'introduis en elle, l'entendant retenir un soupir. Je la laissai ainsi, figée dans sa reddition, avant de la relever. "Habille-toi. Nous y allons." Nous marchions dans les rues de Paris, elle, nue sous son manteau, le plug ancré entre ses fesses, soumise à chaque pas. Son trouble était visible dans la tension de ses mouvements. Un secret brûlant entre nous deux, exposé à chaque regard croisé, sans que personne ne soupçonne à quel point elle était déjà livrée. Nous arrivâmes devant une demeure imposante, un hôtel particulier aux portes de fer forgé. Un cadre plus intime, plus élitiste que nos sorties habituelles. Je l'arrêtai, mon regard captant le sien. "Sois parfaite. Ne me fais pas honte." "Oui, Maître." Sa voix était un murmure, une promesse. La porte s'ouvrit, et une femme nous accueillit. Drapée dans une robe rouge au décolleté vertigineux, elle émanait une autorité naturelle. Ses yeux glissèrent sur ma soumise, s'attardèrent avec une lueur d'intérêt manifeste. "Le divertissement est arrivé." Elle esquissa un sourire, tendit la main vers ma soumise. "Laissez-moi vous débarrasser de ce manteau." Je vis les joues de ma soumise s'empourprer, un rictus fuyant trahissant son trouble. Mais elle obtempéra. Le tissu glissa de ses épaules, révélant son corps nu, son collier brillant à sa gorge, le plug encastré entre ses fesses. Un frisson la parcourut lorsqu'elle sentit le regard de la femme détailler chaque courbe avec une satisfaction sans pudeur. Instinctivement, elle chercha à couvrir sa poitrine, mais un claquement de mes doigts l'arrêta net. Rapidement, elle reprit la posture que je lui avais inculquée : dos droit, mains croisées derrière, regard baissé. Elle était belle dans son humilité, offerte et fière à la fois. La dame en rouge nous fit signe de la suivre. Je pris la laisse de ma soumise et nous avancâmes dans un grand salon. Autour d’une table richement dressée, six hommes et quatre femmes, visages tournés vers nous, observaient avec anticipation. Un sourire se glissa sur les lèvres d'un convive. "Nous pouvons commencer." Je pris place, laissant ma soumise debout à mes côtés. Chaque respiration faisait tressaillir sa poitrine, son corps vibrant entre crainte et excitation. Elle était parfaite. "Va te présenter à chaque invité. Ils ont payé cher pour ce spectacle." Elle pinça légèrement ses lèvres, un tressaillement furtif traversant son corps. Mais elle obéit. Elle pinça légèrement ses lèvres, un éclat d’orgueil blessé traversant son regard lorsqu’elle comprit que les invités avaient payé pour sa présence ce soir. Mais elle ne broncha pas. "Oui, Maître." Sa voix s’éleva, docile, soumise. Elle tourna d’un quart de tour vers le premier convive, le dos droit, le regard baissé. "Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir." L’homme esquissa un sourire appréciateur. "Fais un tour sur toi-même que je puisse t’admirer." Sans hésitation, elle pivota lentement, chaque mouvement mesuré, offert au regard avide du convive. Lorsqu’elle lui tourna le dos, sa main s’abattit sur ses fesses, les agrippant fermement. Elle s’arrêta net, attendant son bon vouloir. Il pressa la chair sous ses doigts, jaugeant son obéissance, puis, sans prévenir, la marqua d’une gifle sonore. Elle vacilla à peine, mais un frisson parcourut sa peau. "Merci, Monsieur," souffla-t-elle aussitôt. L’homme observa la rougeur naissante sur sa fesse et hocha la tête. "Je vois que tu es bien éduquée." Il relâcha son emprise. "Va te présenter aux autres." Elle s’exécuta, avançant d’un pas mesuré vers le deuxième convive, un homme plus jeune au sourire narquois. Il s’attarda sur elle avec une gourmandise à peine voilée avant d’effleurer ses lèvres du bout des doigts. Puis, sans douceur, il lui attrapa fermement la mâchoire, forçant sa bouche à s’ouvrir. Son pouce glissa sur sa langue, caressa l’intérieur de sa joue, testant la souplesse de cette cavité offerte. "Une bouche qui doit savoir servir," souffla-t-il, son ongle traçant un sillon invisible le long de sa lèvre inférieure avant qu’il ne la repousse négligemment. Elle recula d’un pas fluide avant de pivoter vers la troisième convive. Une femme élancée, aux yeux perçants, qui lui offrit un sourire lent, prédateur. Sans un mot, elle s’empara d’une poignée de ses cheveux et tira d’un geste sec, forçant sa tête en arrière, exposant sa gorge vulnérable. Ses ongles, effilés comme des griffes, tracèrent des arabesques sur sa peau frémissante. "Un cou parfait pour un collier plus serré," murmura-t-elle avant de mordiller le lobe de son oreille, savourant le léger tressaillement qui parcourut le corps de la soumise. Puis, ses doigts glissèrent lentement, serpentant jusqu’à ses seins dénudés. D’un geste paresseux, elle fit courir ses ongles sur la peau sensible, griffant légèrement, traçant des sillons invisibles avant de pincer sans ménagement un téton durci. "Regarde-moi ça," souffla-t-elle, moqueuse, en tirant sur la chair offerte. "Tellement réceptive… Tu aimes qu’on joue avec toi, pas vrai ?" Elle relâcha le téton et le gifla aussitôt d’un claquement sec, arrachant un hoquet silencieux à Sophie. Un sourire amusé étira les lèvres de la convive. "Et ici ?" poursuivit-elle, sa main quittant les seins pour descendre lentement le long de son ventre, caressant du bout des doigts la courbe de ses hanches avant de s’insinuer entre ses cuisses. "Oh… mais tu es trempée." Un ricanement s’échappa alors qu’elle appuyait du bout des doigts sur la moiteur évidente de son intimité. "Un vrai petit spectacle ambulant," conclut-elle en levant les doigts brillants de son plaisir à hauteur de ses propres lèvres, les effleurant sans les lécher. "Dommage que tu sois déjà prise." Le quatrième invité, un homme au regard flegmatique, lui tendit la main, paume tournée vers le haut. "Offre-moi tes poignets." Elle obéit aussitôt, déposant ses mains fragiles dans la sienne. Ses doigts puissants les entourèrent, les pressèrent légèrement, jaugeant la fermeté de sa prise avant d’exercer une légère torsion, forçant ses bras à se tendre. "Un jouet docile, bien dressé," constata-t-il, avant de relâcher sa prise et d’ignorer sa présence. Elle continua, avançant vers un cinquième convive, une femme dont le regard langoureux semblait la dévorer de l’intérieur. Celle-ci fit glisser une main le long de son flanc, s’arrêtant sur sa hanche avant de descendre plus bas, caressant lentement l’intérieur de sa cuisse. Son souffle chaud effleura son oreille lorsqu’elle murmura : "Tu trembles… Une sensibilité exquise." Les derniers convives ne furent pas plus tendres. Certains marquèrent leur territoire en griffant sa peau, d’autres en pinçant la chair tendre de ses seins, faisant naître sur son corps une mosaïque de rougeurs et d’empreintes entremêlées. Chaque contact ajoutait une nuance à la toile de sa soumission, chaque geste scellait davantage son abandon à cette assemblée. Enfin, elle atteignit la dernière invitée, la dame en rouge. Elle inspira profondément et, avec la même soumission qu’aux autres : "Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir." La femme l’observa longuement, un sourire carnassier jouant sur ses lèvres. Elle étendit lentement une jambe, traçant un sillon invisible sur le sol du bout de son talon. "Écarte un peu tes jambes. Je veux sentir la moiteur entre tes cuisses." Obéissante, Sophie obtempéra. La main de l’hôtesse glissa contre son sexe, exploratrice, impitoyable. Son souffle se bloqua lorsqu’elle sentit deux doigts pénétrer sa chaleur, jouant avec son plaisir exposé. "Cette petite chienne est prometteuse," déclara la dame en rouge en retirant ses doigts, brillants de sa dépravation. "Ouvre la bouche." La bouche entrouverte, Sophie les accueillit, goûtant sa propre soumission. "Bien." L’hôtesse se leva, tirant doucement sur la laisse. "Maintenant que tu t’es régalée de ton plaisir, nous allons pouvoir manger." Elle la conduisit au centre de la table, où elle fut installée en position d’attente, prête à être contemplée. La fête ne faisait que commencer. La dame en rouge s'assied avec une lenteur calculée, savourant la tension dans la pièce. Ma soumise demeure à la vue de tous, figée dans une posture d'attente parfaite. L'instant est suspendu. Les plats arrivent, portés par trois jeunes hommes entièrement nus. Chacun porte un collier de cuir, orné d’un anneau d’attache, marquant sans ambiguïté leur appartenance. Leurs sexes, enfermés dans des cages métalliques, témoignent d’une soumission absolue. Leur démarche est mesurée, empreinte de discipline. Le silence qu’ils imposent à leur propre existence est presque fascinant. Ma soumise, toujours figée dans sa posture d’offrande, les observe à travers ses cils baissés. Je capte la manière dont son souffle s’altère légèrement à leur passage, la curiosité qui tente de percer sous sa soumission impeccable. Mon regard la frôle, un avertissement silencieux. Elle comprend, aussitôt, et ravale toute distraction. L’un des esclaves, pourtant, vacille. Son regard s’élève, un instant trop long, vers elle. Une hésitation infime, mais suffisante. La voix de la dame en rouge tranche l’air. — Viens ici, esclave numéro 1. Le jeune homme tressaille, tombe à genoux dans un réflexe de terreur. Sa tête s’abaisse aussitôt, ses mains tremblantes reposant sur ses cuisses. Je perçois la tension dans ses épaules, la crainte viscérale d’avoir brisé l’ordre établi. La dame en rouge tend un pied verni. Il comprend aussitôt l’ordre implicite et presse ses lèvres contre sa peau, multipliant les baisers en un rituel servile. Elle l’observe d’un regard amusé, savourant la manière dont il se dissout dans sa soumission. — Notre distraction te plaît-elle ? Sa voix est douce, presque caressante. Au centre de la table, ma soumise ne peut qu'entendre, privée du moindre contact, offerte aux regards de l'assemblée. Je perçois la légère crispation qui raidit son dos, la lutte invisible qui l'anime alors qu'elle se force à ne pas réagir. Son trouble est à vif, exposé, et je savoure cette tension muette qui l’enlace. Même sans mes mains sur elle, je la possède entièrement. — Oui, Maîtresse. Elle est très jolie. Un sourire effleure les lèvres de la dame en rouge. — Elle te fait envie ? Tu aimerais qu’elle te fasse jouir ? Je sens l’immobilité de ma soumise, son corps qui lutte contre l’instinct de réagir. L’esclave hésite, le souffle court. Sa cage métallique trahit un tressaillement presque imperceptible. — Oui… si vous me le permettez, Maîtresse. Un éclat de rire s’élève autour de la table. Les invités savourent l’audace désespérée du jeune homme. La dame en rouge le scrute, ses doigts pianotant distraitement sur la nappe, avant d’arborer un sourire cruel. — Quelle audace… Tu aimerais souiller notre précieuse offrande ? Qui t’a autorisé à poser les yeux sur elle ? Elle laisse flotter un silence pesant avant de lâcher, comme une sentence implacable : — Va chercher le paddle. Et vite. L’esclave bondit sur ses pieds, se précipitant vers un meuble où sont soigneusement disposés divers instruments de correction. Lorsqu’il revient, il tend le paddle de cuir, ses mains tremblant de la peur extatique qui le consume déjà. La dame en rouge tourne alors son attention vers ma soumise. — Viens le chercher, ma belle. Un tressaillement parcourt son corps nu exposé. Son regard se lève timidement vers moi avant qu’elle n’obéisse, glissant hors de sa posture d’attente pour s’avancer vers la table. Lorsqu’elle prend le paddle dans ses mains, je capte l’hésitation dans son souffle, l’ombre d’un frisson qui secoue son échine. — C’est toi qui vas le punir, ordonne la dame en rouge, son ton soyeux dissimulant une autorité implacable. Ma soumise se fige. Sa prise sur le paddle se raffermit imperceptiblement, mais elle hésite encore. — N’aie crainte, continue la maîtresse de cérémonie. Je vais te montrer. Elle se place derrière elle, glissant ses mains sur ses épaules, sa bouche frôlant son oreille. — Lève le bras… Voilà… Maintenant, frappe. Ma soumise obéit, l’instant suspendu dans une tension brûlante. Le paddle s’abat sur la chair nue de l’esclave dans un claquement net. Un sursaut le traverse, et un murmure de surprise parcourt la salle. — Encore. Plus fort. Le deuxième coup résonne, plus assuré. Je vois sa respiration se modifier, ses lèvres s’entrouvrir à peine alors que la maîtrise lui échappe peu à peu. Son regard se perd un instant dans l’ombre d’un trouble que je connais bien, avant de glisser vers moi. Une seconde suspendue où elle cherche, presque instinctivement, mon approbation. Je hoche imperceptiblement la tête, fier de son application. Mais déjà, la dame en rouge claque la langue, un rappel sec à l'ordre. "Ne perds pas ta concentration, ma chère. Continue." La dame en rouge effleure son poignet, sa main froide contre la peau brûlante de ma soumise. Elle guide son geste avec une patience calculée, imposant un tempo impitoyable. Le paddle s’élève et retombe, traçant sur la chair de l’esclave des marques écarlates qui s'impriment en lignes vibrantes de douleur. Chaque coup résonne, un écho brutal dans la pièce suspendue au spectacle. Ma soumise tremble, non pas de peur, mais d’un trouble plus insidieux. Chaque impact lui arrache un souffle plus court, chaque gémissement étouffé de l’esclave alimente ce feu qu’elle ne contrôle pas encore. Elle lutte, vacille entre l’ordre donné et ce qu’il provoque en elle. Sa posture est tendue, ses muscles vibrants sous l'effort de maintenir son obéissance. Mais je la vois, je ressens l’ombre d’un frisson qui traverse sa nuque, ce vertige subtil qui la fait osciller à la frontière du contrôle. — Plus lentement, murmure la dame en rouge, son souffle glissant contre l’oreille de ma soumise. Ressens la vibration de chaque coup, savoure le frémissement sous ta main. Ma soumise obéit, ralentit son mouvement. Chaque frappe devient plus calculée, plus intense. La peau de l’esclave se teinte d’un rouge sombre, chaque impact sculptant sa soumission à vif. Je bois la scène, captivé par cette transformation subtile, par le basculement qui s’opère en elle. Son regard vacille encore vers moi, cherchant un ancrage. Je lui offre un sourire lent, chargé de fierté et d’une exigence muette : va jusqu’au bout. Elle inspire profondément, raffermit sa prise, et abaisse le paddle dans un claquement plus net, plus précis. Un frémissement visible parcourt sa peau alors qu’elle s’approprie le geste, se fondant dans ce rôle qu’on lui impose… et qui, lentement, s’empare d’elle. Lorsqu’enfin la dame en rouge pose une main sur la sienne pour l’arrêter, la tension s’étire encore un instant, comme une corde vibrante sous la caresse d’un archet. — Regarde-moi ça, souffle un invité, admiratif. Magnifique. La dame en rouge interrompt ce moment d’un claquement de doigts sec. — Reprends ta place, chérie. Ce n’est pas encore ton heure. Ma soumise tressaille légèrement, puis obéit sans un mot. Avec une lenteur calculée, elle repose le paddle sur le plateau d'argent que lui tend la dame en rouge. Ses mains tremblent à peine, un frisson discret trahissant l’intensité de ce qu’elle vient de vivre. Puis, elle se redresse, recule avec grâce et regagne le centre de la table. Elle s’agenouille en position Nadu, les genoux écartés, le dos droit, les mains posées avec une perfection étudiée sur ses cuisses. Sa poitrine nue se soulève au rythme de sa respiration encore erratique, mais son regard reste baissé, offerte dans toute la splendeur de sa soumission. Les convives l’observent avec un intérêt renouvelé, appréciant chaque infime tension de son corps, la lueur de trouble qui danse encore sur sa peau frémissante. — Quant à toi, esclave, reste là, dos tourné à l’assemblée. Ils doivent voir ce que coûte l’indiscipline. Le jeune homme demeure figé, ses épaules tremblant sous l’humiliation imposée. Sa peau rougie porte la marque brûlante de la correction, exposée comme un avertissement vivant. La dame en rouge effleure du bout des doigts la coupe de cristal devant elle, savourant l’électricité dans l’air. — Maintenant, mes chers amis, mangeons. Nous avons tant à savourer… Le murmure des conversations reprend, ponctué de rires feutrés.
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Par : le 02/03/25
Installé sur le divan, je la scrute avec attention. Elle est au loin, au coin, à genoux. La lumière s’accroche à sa cagoule en latex, glisse sur ses seins nus, et fait briller les bracelets qui embellissent ses chevilles. Sa culotte est baissée sur ses cuisses et ses fesses sont rougies. La musique est à l’arrêt. La pièce est calme. Les gémissements occasionnels étouffent le son des vibrations sous ses hanches. Confortablement assis, je m’attarde sur la justesse de ses courbes. La teinte rose que j’ai cravachée rend ses fesses appétissantes. La position à genoux relève sa poitrine, fait pointer ses tétons et affirme sa magnifique silhouette. Je sens mon pénis gonflé. Je serre le stylo entre mes doigts et mets un point final au dessin dans mon carnet. La chienne que j’ai croquée est en nage. Elle souffle, transpire, tient difficilement sa position et mouille comme une fontaine. Exactement la scène sous mes yeux. Satisfait, je me libère du carnet et saisis la canne. Je la fais siffler dans le vide. La chienne frémit. Mais le bout de l’arme vient simplement lui caresser les mamelons. Son souffle s’accélère. Elle halète et chaque respiration est embrassée. J’insiste les frottements. - Ça, tu aimes, hein ? Petite chienne. Elle gémit. Je pose la canne et me rapproche. Je lui empoigne les seins. Mes doigts glissent lentement sur ses tétons et je sens son corps trembler. Je lui pince les seins. Elle sursaute. Je les gifle. Elle souffle. - Ouvre ! Ses lèvres s’écartent pour accueillir mes doigts. Sa langue s’enroule autour et les suce avec douceur. Je fais des va-et-vient. Je les enfonce. Mes doigts excitent sa salive abondante qui finit par dégouliner sur ses lèvres. Je les sors et les suspends devant sa bouche. J’attends. Une. Deux. Sans un mot, elle comprend et commence à les lécher. Je souris. Nettoyer la salive par de la salive… Je souris et je sens mon pantalon gonfler à chaque fois que sa langue me touche. Je retire ma main et lui mets une gifle. Puis une seconde. Je laisse un instant passer, le temps que sa prudence s’endorme, puis je la secoue d’une troisième claque. - Quelque chose à dire ? Mais elle n’a pas la permission de parler. - Tu es vachement sage quand tu te tais. Seul le son étouffé du vibro me répond. J’observe par terre la petite flaque de mouille sous ses cuisses.  - Je devrais t’interdire la parole en permanence. Elle grogne. Ça m’amuse. Je la gifle quand même. Je vais chercher la pince et l’accroche à ses pointes dures. Elle penche la tête en arrière et se fige. Son souffle s’accélère de nouveau. On croirait une suppliciée. Je tire sur le jouet pour appuyer son plaisir et elle gémit. - Chienne des seins. Ouvre ! Ses lèvres s’écartent et je viens y installer le bâillon. Durant de longues secondes, je la contemple de ma hauteur. Elle, à genoux à mes pieds. Fragile, accessible, dépendante, tremblante. Mon cœur palpite devant cette profonde vulnérabilité qu’elle m’offre. - Aux pieds ! Et aussitôt elle se recule du coin. Lentement, car elle ne voit rien, elle pivote dans mon sens et, de tout son corps, se prosterne à même le sol. Je m’abaisse pour lui caresser les joues. Elle rougit. Je saisis ses mains et les encorde serrées dans son dos. J’accroche la laisse à l’anneau doré qui encercle son cou. Avec le marqueur rose, je griffonne sur ses hanches : « propriété », « objet sexuel ». J’attrape la laisse. Je la tire, et j’amorce le pas. Direction la chambre. L’objet doit être utilisé.
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Par : le 01/03/25
Ce soir tu ne resteras pas seule dans ton divan a regarder une série en bouffant une glace et des chips, a te masturber de rage dans tes draps. Ce soir, quoi, Charlotte ?Tu vas te fringuer pour aller voir un photographe obscure, et quoi après ? J'avais passé la semaine a tenter de trouver, comme a l'époque pour mes ex, des infos sur cet fichu atelier photo. Tout ce qui ressort, c'est un seul site web, "Varlot Photographies" une sobre mise en page, une adresse mail wanadoo, un téléphone injoignable. Une vague présentation des services photographies pour les particuliers, entreprises, des services alloués pour des évènements privés et des gammes de photos à acquérir a un prix...plus que coûteux. Cette possibilité attira bien sûr mon intention et je me demandais bien bêtement, comment ma photographie de paysage et éventuellement ma beauté provocante avait pu faire écho aux photos noirs et blancs de meubles, mobiliers ou salon aménagé façon design qui peuplait la galerie du site web.  Je pensais en rester là mais il fallait une photo, une seule, qui transformait ma curiosité agacée en une angoisse palpitante qui ne quittait pas mes fluides depuis. Un cliché noir et blanc, affichant un gros plan sur un avant bras comme tendu, congestionné. Les extenseurs et flexeurs étaient tirés aux maximums, les veines ressortait et le peu visible donnait une forme... inhabituelle.. d'autres clichés similaires étaient accessible mais par achat d'un forfait délirant pour atteindre la galerie...   Si j'avais payé pour voir, j'aurais peut être réfléchie à deux fois. Cette putain de chambre noire me faisait définitivement de l'oeil. J'ai envie d'être bonne. D'être provoc. Je me reluque avec une ironie lancinante dans la glace de ma chambre a coucher aux rideaux opaques, le tramway vibrant a l'extérieur seul signe de vie de ma vieille mansarde. Si je devais être prise en photo, ou quoi que ce soit d'autres autant frapper les esprits. J'opte pour des talons, des collants noirs, qui accompagnent une courte jupe de coton gris remontée jusqu'au ventre, presque trop serrée. Mes cheveux détachés pour l'occasion, se prolongent sur un haut type croq top rouge, mon ventre nu caché par le zip de ma veste cuir. Le sac a main est presque de trop. La lingerie est mauve à dentelles. Le maquillage est léger, seul les yeux et les lèvres.  "Ta vraiment pris Charlotte." Me toisai-je avec dédain, en regardant et sentant la jupe trop serrée pour ma taille et mon pétard enormissime avec ce bas. Cette vue de moi même me transe. Un bourdonnement ventral accompagne mon souffle plus chaud. Mes mamelons me picote en prenant conscience de qui je suis en ce soir de novembre. Je me fais bonne. Je suis provoc. Comme ça tu joues au mystérieux avec une plus grande, petit Varlot. Ma bouche en coeur humilie le peu d'amour propre que j'ai de moi-même quand je me crache "Ils t'on tous déjà fait le coup, et tu retombes dans le panneau ? Idiote, IDIOTE"   Rien a faire. Mon pas assuré viens briser la monotonie du bitume de banlieue.   Ma démarche et vive, le contact physique des badauds prohibé par mon puissant déhanché, mon regard casse les velléités des jalouses, des puceaux, des charognards, des couples, une nouvelle énergie fais feu en moi. Une positive colère naquit en mon être tourmentée, il rend mon regard plus perçant, me fais maîtresse de l'obscénité de ma posture, j'en souris presque, heureuse, heureuse d'aller où ? De me retrouver, a 20h30, devant un haussmannien aux ferronneries rouillées, une porte en chêne et un interphone avec des plaques argentées. Je sonne au 4eme. De l'élan retrouvé une part s'estompe quand il faut gravir les marches faiblement éclairée... une moite appréhension s'empare de moi. Je croise un riverain qui rassure mon étrange angoisse naissante... La porte de Varlot Photographie est bien banale. Une énième sonnette, un grésillement et me voilà dans les lieux. Ma lucidité me tombe dessus comme une pluie froide. Des sièges froids en faux cuir. Une salle d'attente... Je m'assois jambes croisées, rongeant un ongle nerveusement en attendant en silence...qu'on vienne me chercher ? Qu'on m'appelle ?  "Ta même pas pris rendez vous  Tu t'es prise pour un modèle ?" Ma respiration plus vive saccade ma poitrine quand une chaleur frustrée recouvre mon corps, au fur et à mesure des minutes et que je comprend que personne ne viendra. "Oh, ya quelqu'un ?" Lançais je à la cantonnade en toquant à l'une des deux portes apparemment closes. Pourquoi ai je seulement toquée celle de gauche ?   21h40. La fatigue et la haine me gagne. Je tourne les talons prête a sortir.  Une main aggripe mes cheveux et me projette contre la porte. "Ouatch !!" Brutalité. Choc sourd. Mon dos diffuse une onde de douleur alors que je tombe au sol, choquée, ouvrant des yeux surpris et retenant un cri. Le 1er round ne fais que commencer.
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Par : le 01/03/25
  Depuis quelques jours, une obsession s’empare de moi, brûlante et indomptable. Une connexion inattendue, violente dans son intensité, douce dans sa promesse d’abandon. Une silhouette entre les lignes, une présence qui s’immisce dans mes pensées, qui s’attarde dans l’ombre et s’invite dans mes désirs. Je t’imagine derrière ton écran, frissonnante, ton souffle court à la lecture de ces mots que j’écris pour toi. Je ressens ton impatience, ce trouble délicieux qui glisse le long de ta peau. Il y a entre nous un jeu qui commence à peine, une tension qui s’étire, s’épaissit, prend forme à chaque échange. Tu le sais déjà, n’est-ce pas ? Que ce n’est qu’un début. Que ce lien qui se tisse entre nous est voué à devenir plus profond, plus exigeant, plus insoutenable encore. Alors laisse-moi guider tes pensées, laisse-moi te façonner à travers mes mots. Laisse-moi t’entraîner dans cet univers où ta soumission deviendra inévitable. Lis-moi. Ressens-moi. Et surtout, obéis-moi. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Une pensée pour toi, douce colombe… Je t’imagine en train de te préparer, sentant cette culotte s’humidifier sous l’effet de ton désir. Aujourd’hui, je peine à me concentrer. Mon esprit dérive, perdu dans des pensées bien trop troublantes. Je t’imagine face à moi, offerte à mon regard, en position d’inspection. Nue. Vulnérable. Mais surtout, soumise. Tes yeux baissés, ton souffle suspendu à mon bon vouloir. L’attente te consume. Tu veux que je te regarde, que je t’approuve, que je décide enfin de ce qui va suivre. Chaque matin, tu me servirais dans la tenue que j’aurais choisie pour toi… ou tout simplement nue. Tandis que j’écris, tu serais là, à mes pieds, en position d’attente, docile et silencieuse, comme il se doit. Et puis, soudain, mon regard se poserait sur toi. Sérieux. Impérieux. L’ordre tomberait, net, sans appel. Alors, sans hésitation, tu te mettrais à quatre pattes, avançant lentement vers moi, soumise et dévouée. Tes lèvres viendraient effleurer mes pieds, les embrasser avec une infinie délicatesse. Tes mains glisseraient sur mes jambes, appliquées, précises, témoignant de ton dévouement absolu. Je savourerais ce moment, conscient que dans cet instant suspendu, je t’ai entièrement, intensément, irrémédiablement… Mes mains quitteraient lentement le clavier pour se perdre dans tes cheveux. Au début, de douces caresses, offertes en témoignage de ma satisfaction. Puis, mes doigts se refermeraient, resserrant leur prise, s’appropriant chaque mèche de ta chevelure pour guider tes mouvements. Je veux. L’invitation est claire. Tu n’as pas besoin de mots pour comprendre ce que j’attends de toi. Obéissante, tu glisses à quatre pattes, la tête basse, le dos cambré, ton cul relevé, offert à ma volonté. Je te contemple, savourant l’instant. Ton souffle court, le frisson qui te traverse, cette attente fébrile que tu ne peux masquer. Tu sais ce qui t’attend. Je m’éloigne un instant, juste assez pour aller chercher ton plug—celui que je t’ai offert récemment, celui qui porte nos initiales gravées. Un symbole silencieux de ton appartenance. Lorsque je le saisis, je ressens déjà ton impatience. Je reviens à toi, effleurant ton dos, ta nuque, laissant planer l’attente. Lentement, je le fais glisser en toi. Un gémissement s’échappe de tes lèvres, ton corps s’adapte, s’ouvre, accueille. Tu ne bouges pas. Tu es là, immobile, parfaite. Mais ton souffle te trahit… Je vois les frémissements qui parcourent ton ventre, ces contractions imperceptibles, ce corps qui sait. Qui sait ce qui va suivre. Le premier coup tombe. Une claque sèche sur ton cul nu. Une marque, une brûlure brève, électrisante. Ton dos se cambre davantage sous l’impact. Et aussitôt, une caresse suit, lente, possessive, glissant sur la peau réchauffée par l’impact. Un geste qui ne laisse aucun doute. Un geste qui dit tout. Je vais te prendre. D.
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Par : le 01/03/25
Bonjour à toutes et tous, je souhaitais vous raconter l'une de mes séance avec une jolie Domia .. une session qui aura duré 2h avec énormément de frustration pour moi et beaucoup de plaisir pour elle .. après plusieurs échanges de mails, rdv fut pris un matin de bonne heure à son domicile.. elle me convia pour 8h, tout juste après le depart de son mari, en m'ordonnant expressément d'avaler 1,5 l d eau avant notre rdv (et bien évidemment sans l'évacuer...) j'arrivais donc la vessie pleine, avec un mélange d'excitation et de peurs (1ere rencontre).. Elle vint m'ouvrir la porte habillée d'une jupe assez courte noire, un chemiser blanc  et en collant, avec de jolis escarpins.. elle me fit rentrer, je sentais mon cœur battre la chamade.. avec une furieuse envie d uriner .. Elle alla s asseoir sur son canapé et me demanda de me dévêtir.. je me retrouvais alors nu face à elle .. elle me regardait sans rien me dire puis se leva et se positionna face à moi .. son regard me transperçait.. elle me fit baisser la tête d une claque .. puis pris mes testicules dans sa main pour me les presser...  elle fit passer l'un de string portés sous mon nez, le douce odeur de son entrejambe me fit bander direct .. elle me décalotta le gland et fit de petit va et vient puis s arrêta net .. j'avais toujours très envie d uriner .. mais ce n'était pas le moment.. je me tortillais tel un enfant ne pouvant se retenir .. puis elle m'averti que si jamais elle voyait une goutte d'urine sortir de mon gland je subirais un châtiment hors pair ..  elle releva sa jupe, me fit me mettre à genou .. et m'ordonna de renifler son anus .. mais interdiction de lécher .. puis elle me dit m'alllonger par terre, se retourna et me mit sa jolie chatte (non épilée) au dessus de mon visage; on voyait perler quelques gouttes de sperme .. et la de me dire que son mari l'a prise ce matin et a bien gicler en elle ..  bien entendu je dus lécher et lui nettoyer la chatte .. aussi bien l'intérieur que ses poils imbibés de leurs sécrétions à tous les 2 ..je pouvais me branler mais surtout ne pas jouir (et ma vessie toujours pleine !!!!) mais je ne tenais plus .. s'en était trop pour moi ...et un jet d urine commença sortir de ma verge dure .. évidemment ma maîtresse l a vu .. je reçu alors 2 claques en pleine face et 4 sur la verge ..elle me dit de me mettre debout, alla chercher une bassine et me fit uriner dedans.. la libération !!! .. puis elle me l'a fit transporter dans sa salle de bain, je dû me mettre à genou dans sa douche .. et elle versa tout le contenu de la bassine sur ma tête ... en traitant de petite salope désobéissante .. être humilié par sa propre urine ... me tirant par une de mes oreilles elle me fit revenir dans son séjour, marchant à 4 pattes sur le carrelage froid .. ma 2e punition fut de recevoir des coups de canne de bambou sur mon fessier.. ça aussi ça fait mal ..je devais me branler en recevant ces coups et dire merci .. à force de me branler, j'avais le gland en feu et une furieuse envie de jouir .. mais toujours pas d'autorisation !!! Puis ma maîtresse avait elle aussi envie d'uriner.. elle me fit ouvrir la bouche et déversa son divin champagne direct en bouche .. obligation de tout avaler et de ne rien perdre !! passée cette autre épreuve, elle se retourna pour pendre position sur son canapé et me fit lécher et nettoyer son anus (a noter que sa douche remontait à 24 h en arrière) malgré ses effluves, je léchais avec avidité et lui laissait son anus aussi propre que si elle se l'était nettoyé elle même tout en me masturbant ... j étais à 2 doigts de jouir .. heureusement je le lui ai dit et elle me fit arrêter.. que c est frustrant !!!!! la séance touchait à sa fin .. j étais en transe .. le sexe toujours dressé, prêt à gicler ... elle me pétrissait les testicules .. me tiraient dessus... et dans un élan de générosité me demanda si j'étais prêt à gicler ... mais que si je jouissais ça me serait uniquement sur ses collants et en reniflant son string bien sale qu'elle avait porté sur 3 jours en vu de cette séance..  évidemment j ai dit "oui maîtresse"... elle mit donc son string sous mon nez, puis me branla énergétiquement en me décalottant à fond ... cela ne dura pas longtemps avant que je gicle par saccades sur son collant !!! quel lâcher prise cette séance !!! Un abandon total pour moi !! j'en suis ressorti comme étant sur une autre planète.. merci Maîtresse pour ce divin moment !!!  
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Par : le 01/03/25
Sur l’écran noir de mes nuits blanches Je visualise les courbes de vos hanches Manque de peu que je ne flanche Travelling panoramique sur vos seins Mon corps  rempli de désirs pleins Et vos lèvres d’un rouge carmin Semble me dire, dans un murmure : Viens (#photodunet) Le temps me manque tant J’ai voulu le rattraper si souvent Plus rien ne saura comme avant Ton amour comme le vent S’en est allé sur l’océan Des silences que sont devenus mes nuits blanches   Et quand tout devient si noir Doucement le jour se lève La nuit fuit comme une damnée Laissant derrière soi ma part noire J’accueille à bras ouvert cette nouvelle aube Pour que je vive un peu Pour que je vive encore Encore, à corps, encore Du cœur, encore Nouvelle Aurore #photoperso
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Par : le 28/02/25
Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.  Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose. ******************************************************************************************      Le lendemain matin, je me réveille tôt sur mon divan, parce que mon patron dort mal avec une autre personne. Il m’a promis « pas de glory hole », sauf dans quelques jours, s’il y a quelqu’un d’important. Oui, mais je travaille toujours ici pour le moment ? Je suppose. Si c’est le cas, je dois me dépêcher de mettre mon uniforme. Il n’est plus très frais, mais ici on est dans un endroit qui ressemble à l’Estaque, pas à Monaco ! Je descends et dis à Carla, la cheffe des serveuses :      — Pardon pour le retard, Mademoiselle.      Elle renifle et répond :      — Tu es en retard et tu n’es pas fraîche, mais ici, c’est la mode Estaque.      Exactement ce que je pensais. Elle ajoute :      — Occupe-toi de Monsieur Jeannot.      Il me regarde, comme si j’étais Marilyn revenue sur terre. J’aimerais faire équipe avec Marilyn. Elle était très « négligée ». Tous les gens qui ont écrit sur elle notent le fait qu’elle avait une forte odeur de transpiration, elle n’était pas clean du tout. Je dois avoir un peu la même odeur, pas lavée dans un uniforme pas lavé non plus. J’ai lu aussi qu’elle était généreuse, qu’elle aimait les enfants et les animaux et qu’elle était intelligente, contrairement à ce qu’on croit.        Je suis la Marilyn de Jeannot aujourd’hui. Il me lèche bien. Je sors de là un peu plus propre, enfin surtout à certains endroits. La terrasse est remplie de gens venus déjeuner ET me voir. Dans l’ensemble, ils me plaignent. Je demande à une femme d’une quarantaine d’années qui est sympa et qui me caresse toujours les fesses au passage :      — Vous avez vu tout ce qui s’est passé, Madame ?      Elle répond en me caressant à nouveau les fesses, ben oui, j’suis Fanny :      — Oui, bien sûr, ils ne t’ont pas fait de cadeau. Tout est passé en direct sur World of India. Tu as aussi des films qu’on peut revoir. Heureusement que ton patron t’a dit que ça n’arriverait plus.      Alors, là j’ai le choix, soit je suis embarrassée, soit je souris, flattée. Je lui réponds :      — Mon patron m’a promis des aventures beaucoup plus agréables.      La femme sympa répond :      — Je rêve de toi.      Elle me dit :      — Tu sens bon.      Tout se sait ici. Carla arrive et lui dit :      — Quand vous voulez, Madame. Fanny est ici pour satisfaire les clients.      Eh, doucement, c’est à mon patron de décider. La femme ne me déplaît pas, elle est bien en chair et elle a un beau visage.       Monsieur Edgard arrive, il est bien propre, lui, et il dit à mon admiratrice :      — Elle va vous emmener dans une chambre, mais elle n’a pas beaucoup de temps, nous devons rencontrer le président.      On va dans une chambre au premier étage. Sa porte est ouverte, ce qui signifie qu’elle est libre. Elle me prend dans ses bras pour m’embrasser. Elle est forte mais c’est agréable de sentir cette chair un peu molle contre moi. Elle me déshabille, je lui dis :      — Je n’ai pas eu le temps de me laver ce matin.      Elle répond :      — Moi non plus, couche-toi sur moi dans la position du 69.       Je me couche sur elle et évidemment, je lui colle ma chatte sur la bouche et son nez file entre mes fesses.         Je crois qu’on aime ça toutes les deux, parce qu’il ne faut qu’un peu plus de cinq minutes pour qu’on arrose le visage l’une de l’autre.      Mon patron devait être derrière la porte, parce qu’il entre aussitôt et lui dit :       — Fanny a fait ce que vous souhaitiez ?      Elle répond :       — Oh oui.      — Demain, elle sera certainement là.      La façon dont il le dit, ce n’est pas sûr      J’embrasse la femme sur la bouche et je demande à mon patron :      — Je peux me laver, Monsieur ?      — On n’a pas le temps, habille-toi… Vite.      Bon, une Fanny qui sent la sueur et la chatte enfile des vêtements qui auraient bien besoin d’être lavés, eux aussi. Dès que je suis prête, on descend dans le bar. Les clients sont ravis de me revoir, mais mon patron leur dit :       — On doit aller au Fort, on sera de retour dans une heure        Pourquoi ? Mon patron ne me le dit pas, il est pressé.      On marche rapidement vers le Fort. Quand on y arrive on prend un ascenseur pour se retrouver au sommet. Il y a une très grande table. Plusieurs hommes et femmes sont attablés devant des écrans.       Il y a aussi plusieurs fauteuils dans lesquels sont assis des hommes et des femmes. Côté hommes, il y a le Président Shendy, un Indien et un Asiatique. Mon patron est le seul Occidental. Il y a aussi deux belles Asiatiques d’âges différents. Elles sont assises l’une à côté de l’autre. Sans doute des petites amies ou des courtisanes. Mon patron me dit :      — On va dire bonjour... très poliment aux gens dans les fauteuils.       Il va s’incliner devant eux tandis que moi, je fais une révérence en disant :      — Je suis Fanny, à votre service.       Une des Asiatiques, celle qui a l’air un peu plu âgée de près, me dit :      — Enlève tes vêtements.      Je regarde mon patron et il hoche vigoureusement la tête. Je réponds :      — Oui Mademoiselle.      Elle me sourit, elle ne doit pas avoir l’habitude qu’on l’appelle « Mademoiselle ». Qu’est-ce que j’en sais, moi ? Elle dit au président Shendy :      — Elle est naturelle ?      — Elle n’a qu’une seule dent qui a été remplacée, Madame Xiu, tout le reste est naturel.       Par contre, Madame Xiu et l’autre Asiatique sont un peu refaites, entre autres les yeux. Si vous regardez des feuilletons coréens ou japonais, vous voyez ce que je veux dire.      Une des femmes qui est à table devant un écran dit :      — Il faudrait qu’on puisse la voir nue. Madame Xiu regarde Monsieur Shendy, qui me dit :      — C’est ce qu’elle va faire. Déshabille-toi, petite.      Quand je suis nue, un des hommes qui se trouve devant un autre écran dit :      — Le Président de Univers Co. voudrait la voir faire les positions de l’esclave à vendre.      C’est à nouveau la Chinoise, Madame Xiu, qui dit :      — Yao.      C’est tout et on dirait que ça suffit. Il ne faut que quelques minutes pour qu’un Chinois arrive. C’est un grand costaud et il me regarde. Aussitôt, je recule. Madame Xiu me dit :      — Tu ne dois pas avoir peur si tu fais ce qu’il te dit.       J’ai peur ! Le chinois baraqué me dit :      — Enlève tes vêtements.      Ça, je sais faire. Quand je suis nue, il me donne différents ordres :      — Bras levés, tourne sur toi-même, à quatre pattes, cambre-toi.      Et enfin :      — Debout et saute sur place en tournant lentement sur toi-même.      Quand je suis tournée vers la table, je vois qu’ils sont tous occupés à taper sur leurs claviers. Madame Xiu dit à Yao :      — 我们应该买吗 ? (Devrions-nous l’acheter?)      Il répond :      — 是的 (Oui.)      J’avoue, c’est du chinois pour moi. Je suis au milieu de ces gens, nue. Un peu comme si j’étais un joli poisson sur l’étal d’un poissonnier. Je suis fraîche, enfin, je sens un peu le poisson et je suis aussi… terrorisée.      Les enchères s’entrecroisent, oh mon Dieu, je n’en demande pas tant, je veux retourner à Marseille. Ils ne parlent ni en $ ni en Yuan, la monnaie chinoise… Et je suppose que Madame Xiu lance un chiffre.  C’est tout, plus personne ne parle jusqu’à ce que Monsieur Shendy lui dise :      — Elle est à vous, chère Madame.      Les gens qui faisaient des enchères par le Net ferment leurs PC, saluent et s’en vont. Monsieur Edgard me dit tout bas :      — Va te mettre à genoux devant ta nouvelle propriétaire.      J’appartiens à quelqu’un ? C’est tout à fait illégal, ça… comme tout le reste, aujourd’hui. Je vais me mettre à genoux devant elle, les yeux baissés. Elle dit :      — Assieds-toi sur mes genoux.      Là, je suis embêtée, car je dois lui dire :      — Pardon Madame, mais je risque de vous tacher.      Ça la fait sourire et elle répond :       — Ce n’est pas grave, place ton bras autour de mon cou.       Je m’assieds sur elle en mettant mon bras comme elle m’a dit. Elle me caresse un peu et elle me renifle. Monsieur Shendy lui dit :      — Félicitations, chère Madame, quand vous voulez je vous en rachète 49 %.      Je sais que je dois la fermer mais tout est tellement dingue que je dis à ma propriétaire :         — Je préfère rester entière, Madame.      Là, il y a un inquiétant silence et puis Madame Xiu rit. D’un rire aigu, comme les Chinoises. Elle me dit :      — Hé bien, petite insolente !      — C’était juste pour vous amuser.      Elle dit :      — Tu es plus intelligente que je ne pensais.      Elle me caresse les seins et elle s’adresse à mon patron :      — Vous êtes partant pour une escale à Istanbul, puis le tour des Seychelles ?      Il répond :      — Avec plaisir, Madame Xiu.      — Un de mes employés vous accompagnera.      On s’en va ? Oui, on quitte le Fort Caveaux. Je sais ce que je quitte, mais qu’est-ce qui va m’arriver ? C’est un peu le cas de tout le monde…       — On sort du Fort, un Chinois grand et costaud nous dit :      — Bonjour, je suis Yao, je vous accompagne.      Là, il me prend dans ses bras et il me lève pour m’embrasser sur la bouche. Je lui rends son baiser. J’évite de vexer les Chinois qui pèsent 100 kg… de muscle.      Mon patron fait un peu la tête, enfin c’est l’impression que j’ai. Il y a un petit véhicule tous terrains devant le fort. Il me donne un paquet de vêtements et me dit :       — Habille-toi.      Il y a un jean, un tee-shirt et des baskets, l’uniforme des filles. Yao nous dit :      — Montez.      On va sur la banquette, je ne suis pas à l’aise, bien sûr. Yao conduit plutôt cool, heureusement pas trop vite. Il va jusqu’au petit port, où un bateau rapide nous attend. Madame Xiu devait être sûre de gagner les enchères et d’avoir la précieuse fille que des gens richissimes voulaient tous. Mon Dieu, mes fesses et moi, on a tant de valeur ? Il faut que je sois lucide, ce n’est pas moi qui ai de la valeur, c’est le fait que les gens aiment mes aventures…      On arrive au port, Yao sait où amarrer le bateau, tout est prévu. On descend du bateau et, à la sortie, un taxi nous attend. Il nous conduit à l’aéroport de Marseille Provence.      Yao nous dit :      — Il n’y a pratiquement pas eu d’enchères, ce qui fait qu’on est trop tôt, on va faire les formalités de douane.      Je ne veux pas me vanter, mais je vois bien que des gens me reconnaissent. Ils me sourient. Personne n’aurait l’idée de critiquer Fanny qui montre ses fesses, sans doute parce que je suis avec Yao.       Je ne sais pas ce qu’il a comme documents, mais la police et les douaniers nous laissent passer sans rien nous demander. Il nous dit :      — On va manger à la cafeteria, j’ai des choses à vous dire.      Je vois bien que ça ne plaît toujours pas trop à mon patron, le fait que ce soit Yao qui décide tout, mais je leur appartiens maintenant. Est-ce que c’est vraiment légal, ça ? Est-ce qu’on peut vendre les gens comme ça ? Il y a des conflits sanglants dans différents endroits du monde, mais les autorités mettent tout le monde dans le même panier et adorent promulguer des lois liberticides ? Yao me serre le bras.      — Aiiieeee ! Pardon Monsieur. Je vous écoute.    À suivre.        Merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search        
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Par : le 28/02/25
La vie ne l'avait leurrée qu'une seule fois, quand elle était venue au monde. Il ne faisait pas jour. Il ne s'était jamais levé. Le jour ne rayonnait pas, la nuit n'assombrissait rien. Elle dormait les yeux vagues, ignorant l'ombre, ignorant l'aube. De quoi perdre la foi, si ce n'est déjà fait. La jeune femme rêvait. Pendant des semaines, elles n'avaient cessé de faire l'amour, de se retrouver par le corps. Il y a parfois bien plus d'émotion à retrouver un amour qu'à le découvrir simplement. Au début, ce fut une toute petite tache, comme une forme de nostagie. Mais non, en se rapprochant bien, on pouvait discerner l'aspect mauve de la mélancolie. Et de plus près encore, on pouvait voir la vraie nature d'une certaine gravité. Elle songeait avec une volubilité charmante, de ses beaux rêves chantants sans aucune des intonations criardes ou bien geignardes des paysannes. On la sentait possédée de son propre plaisir. Juliette acquiesçait et Charlotte souriait. Charlotte, accoudée à la fenêtre de sa chambre, regardait le soir descendre sur la vallée. Le soleil venait de passer derrière les grandes collines, presque des montagnes, que le contre-jour rendait noires, avec des franges de lumière sur le dos des châtaigniers qui montaient courageusement en escalade jusqu'à leurs faîtes. Elle se sentait en paix. Il y avait au loin le tintement des cloches de vaches dans l'ombre, de rares grondements de moteurs d'automobiles que l'on ne pouvait discerner sur la route sinuant sous les arbres, en bas. Des fumées s'élevaient des toits de tuiles des fermes tapies à la lisière des bois. Quelle merveille d'ajouter les fumerolles d'une cigarette aux volutes qui montaient aux flancs des collines, un verre de meursault à portée de la main. La petite ville de Rochechouard était bâtie sur une corniche de rochers dominant la vallée. Les quelque cents maisons qui la composaient se groupaient en troupeau au pied d'un château féodal dont deux tours ébréchées subsistaient seules. Le clocher de l'église, un peu plus bas, ne s'élevait pas très haut au dessus des toits pointus des maisons anciennes. C'était un village typique, les habitants disaient ville, ils y tenaient, "bien de chez nous", dominant de façon assez abrupte, un des plus beaux paysages du monde. Maintenant, il règne un silence parfait, un silence villageois, à l'heure où les travaux des champs sont abandonnés, un concert de chiens emplit la maison. Charlotte, en déshabillé noir, cache pudiquement son corps bruni par le soleil. Le diable va là où il trouve à manger et à boire. Juliette s'amusait. Elle jouait avec Charlotte, et montait et démontait de petits mécanismes et elle se promettait d'avance les satisfactions les plus vives à les voir fonctionner. Ce qu'on exprime est souvent obscur. On peut discuter sur les mots, mais enfin les mots sont là. Ce qu'on pense et ce qu'on sent, au contraire, n'est en vérité nulle part ailleurs que dans les gestes qui en naîtront ensuite. La pensée, le sentiment, tout ce qui ne s'exprime pas directement n'est pas un language intérieur perçu par une oreille secrète qui n'a qu'à le traduire en paroles pour que tout devienne clair et public. Il n'y a pas de langage intérieur et la pensée et le sentiment, qui ne sont tout de même pas rien que néant, sont plus proches de n'être rien d'autre que d'être quelque chose d'exprimable, d'univoque et de tranché. L'amour, comme la fortune, est cumulatif. Ainsi prennent place dans la chaîne des évènements, des êtres qu'on s'imagine aimer. Elles s'aimaient, non pas d'un amour impossible mais d'un amour vrai. On n'en finit jamais de nos passions. L'obscurité ne gardait que des reflets trompeurs de corps enlacés, de premiers baisers qui n'en étaient pas.   On ne pouvait rien comprendre à cette complicité, du dehors. Il fallait seulement les voir à l'œuvre, et pas de cécité qui tienne, en apparence. Il n'est rien de plus grands fâcheux que ceux qui entreprennent de raconter leurs rêves. Alors en silence, elle pense à Juliette. Elle n'oublierait jamais leur première rencontre, la mémoire de leur amour à naître, brûlante, glacée, courbées par le désir, comme une bataille d'enfants avec la même innocence et les mêmes rêves. Les yeux fermés, à sa fenêtre, sans pensée, toute envahie de son absence, elle ne peut interdire sa main de glisser le long de son corps et de se caresser. Les amours l'avaient laissé indemne jusqu'à Juliette. Elle adore voir la joie de vivre dans ses yeux malicieux, avec la parfaite connaissance de ses doigts soyeux du corps féminin, jamais lasse d'étreintes fiévreuses, toujours à l'assaut. Pour Charlotte, les hommes sont le mensonge, avec leurs mains fausses, leur appétit, la politique dont ils parlent. Ils font souvent impression jusqu'au jour où leur faiblesse éclate. Pour la plupart, ils sont peureux et paresseux, et la faiblesse engendre la vulgarité. Juliette était la femme de sa vie. Avec le temps, les corps s'apprivoisent et les caractères se sculptent. Elle avait accepté de se soumettre à elle dans une totale abnégation. La flagellation et les humiliations sexuelles, ça faisait partie de la poésie de Charlotte. Entre douleur et langueur, supplices et délices, telle de la glace sur du granit, le désir était devenu une terre ardente où s'épanouissait son corps. Quand Juliette évoquait l'anatomie altière de Charlotte, sa grâce brune et allongée, femme-enfant, fragile et éternellement adolescente, ses seins parfaits, ses longues jambes toujours brunies par le soleil, elle avait peur pour elle, du soleil, des coups de cravache trop violents qui semblaient devoir la brûler. Elle l'aurait voulue, idéalement dans la pénombre d'un boudoir, dans un décor vaporeux qu'elle aurait éclairé de la lueur de ses longs cheveux noir de jais croulant en cascade sur ses épaules nues. Fragile et forte, forte mais attendrissante de faiblesse pensait Juliette en regardant la nuit monter dans le ciel immense. Ces menus débordements étaient des débauches fort modestes. Il n'y avait peut-être au fond pas de quoi fouetter un chat. La morale, toute seule, la légèreté toute seule ne sont jamais graves. Ce qu'il y a de terrible, c'est ce mélange de rigueur et de faiblesse dont on donne souvent un déplorable exemple. Elle était trop dure pour ce qu'elle avait de faible, trop faible pour ce qu'elle avait de dur. Elle se demandait si ses rêves n'étaient pas la réalité et ses brefs éveils à la réalité des rêves infiniment trompeurs, heureux état d'inconscience.   L'amour sensuel était un trésor dont elle avait enfin la clé d'or, elle seule. Elle faisait crier sa partenaire, en l'éreintant le temps qu'il fallait. Il lui était agréable d'imaginer que même si elle fuguait, elle reviendrait cette même nuit s'installer dans sa tête. Elles furent très bien ainsi, laissant tomber de temps en temps, un mot qui exprimait avec avarice et retenue, une gamme de sentiments, l'écho sourd d'un plaisir confus. Que ferait-elle alors sans elle ? Elle serait totalement perdue, désemparée. Charlotte s'ouvrit et se cambra au contact de son doigt qui remontait et qui se mit à masser doucement son bouton de chair turgescent qui gîtait dans l'ombre de son pubis. Ineffable lui fut la caresse de son index à l'orée de sa voie la plus étroite, provoquant en elle une sensation de plaisir telle que jusqu'au fond de son ventre et de ses reins, elle fut traversée d'une tension exquise, presque insoutenable. Elle s'abandonna à cette jouissance, à cette extase irradiante. C'était comme si son être entier, tout son corps, tous ses nerfs, tout son sang bouillonnant affluaient dans son hédonisme solitaire. Elle eut un éblouissement d'impudicité. Elle cria sa lasciveté, avec des saccades et des soubresauts. Elle demeura debout, les cuisses écartées, les bras mous immobiles le long du corps. Elle avait encore en elle des ondes d'orgasme qui se répandaient dans une fréquence de plus en plus lente, comme les vagues qui meurent sur le sable quand la mer est calme sous un ciel étale. Une femme experte n'aurait pas été plus habile à lui donner autant de plaisir, sauf Juliette. Mais elle était heureuse de dormir seule dans le grand lit, avec le calme de la campagne tout autour. Elle allait tirer les rideaux, laisser entrer la lumière du soir recouvrir ses rêves et la lune éclairer les arbres. C'est quand on les condamne à mort que les victimes parfois sont le plus folles de bonheur. Car entre les rapports entre les êtres ne sont, tout le monde le sait, que des malentendus. C'est ainsi que naissent souvent les amours malheureuses, les illusions du cœur. Parce qu'ils rompent avec le quotidien d'où naît si vite l'habitude qui est ennemie de la passion. L'amour ne se fait que trop souvent qu'après le coucher du soleil. Tant que le soleil brille, les petites sottes peuvent faire tout ce qu'elles veulent. À partir de minuit, le danger rôde. Si forte que soit Juliette, elle ne sait se tenir, mais peut-être y a-t-il du courage à se conduire ainsi. En jouant à la poupée avec le corps de Charlotte. Chaque minute d'abandon et de tendresse, elle la faisait payer d'étranges et minutieux caprices.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/02/25
Dans les relations BDSM, l'humiliation est un élément central qui, lorsqu'elle est pratiquée de manière consensuelle, devient un puissant levier pour explorer la dynamique de pouvoir et renforcer la confiance entre partenaires. En créant une intimité singulière, cette pratique soulève des questions profondes à analyser sous divers angles : à court et à long terme, en tenant compte des contextes culturels variés et des témoignages de ceux qui la vivent au quotidien. • La soumission et l'expression de l'humiliation au quotidien Les pratiques d'humiliation s'intègrent souvent dans des rituels quotidiens. Par exemple, le port d'une tenue spécifique ou l'adoption d'un comportement particulier en public permet d'exprimer la soumission de façon concrète. Bien que parfois perturbateurs, ces rituels redéfinissent les désirs et les limites personnelles, transformant la relation en une dynamique vivante et évolutive. • Les micro-humiliations et leur évolution Les gestes tels que demander à un soumis de s’agenouiller, d’utiliser un titre particulier ou de solliciter une permission pour des actions anodines jouent un rôle crucial (je vous renvoie là à cet autre écrit: https://www.bdsm.fr/blog/10566/La-Permission-et-son-Impact-Psychologique-dans-une-Relation-BDSM/) . Au fil du temps, ces micro-humiliations peuvent devenir des rituels établis, évoluant selon les désirs et les besoins mutuels. • Sécurité émotionnelle. Lorsque l'humiliation se déroule dans un cadre consensuel, elle offre une sécurité émotionnelle tout en permettant d'explorer des facettes méconnues de la personnalité. I • L'humiliation, la dimension émotionnelle et la catharsis Au-delà de la dissipation des tensions, l'humiliation peut permettre une forme de catharsis. En affrontant des sentiments de honte ou de vulnérabilité dans un environnement contrôlé, certains participants rapportent une libération émotionnelle qui favorise une meilleure compréhension d’eux-mêmes. Ce processus, mis en lumière par des recherches psychologiques, montre comment la pratique peut mener à une acceptation plus complète des désirs et à une évolution personnelle profonde. • La perspective psychologique à long terme Certaines recherches suggèrent que l'humiliation peut renforcer l'estime de soi et la connaissance personnelle pour certains pratiquants. Parallèlement, il existe un risque de fragilisation psychologique si les limites ne sont pas correctement respectées. Ces effets à long terme dépendent également des contextes culturels et des dynamiques sociales dans lesquels ces pratiques se développent. • Les contextes culturels et sociétaux La perception et la pratique de l'humiliation varient selon les normes culturelles et les dynamiques sociales. Dans des sociétés où la hiérarchie sociale est fortement ancrée, les rituels d’humiliation peuvent revêtir une signification particulière, tandis que dans des contextes plus égalitaires, ces pratiques peuvent être vécues comme une exploration identitaire. • Retours d’expérience et témoignages Les témoignages, recueillis par exemple via des sites spécialisés, offrent un éclairage précieux sur la réalité des pratiques d'humiliation dans le BDSM. Certains soumis expliquent comment des rituels d’humiliation verbale ont modifié leur rapport à la vulnérabilité, facilitant l’acceptation de certaines failles personnelles tout en renforçant leur relation avec le Dominant. D'autres témoignages insistent sur la nécessité d'ajustements réguliers afin d'éviter tout déséquilibre émotionnel, apportant ainsi une dimension concrète à l'analyse théorique. • L'humiliation et l'autonomisation Pour certains, l'acte d'humiliation représente une forme d'autonomisation. En choisissant de se soumettre, le participant revendique le contrôle sur l'expression de sa vulnérabilité et de ses désirs. Cette inversion des rôles traditionnels permet de redéfinir les notions de pouvoir et de contrôle, tant dans le cadre de la relation BDSM que dans d'autres sphères de la vie. Conclusion: L'humiliation dans le BDSM dépasse le simple jeu de pouvoir. Elle se révèle être un outil riche pour explorer des dynamiques psychologiques et émotionnelles complexes, tout en renforçant la confiance entre partenaires. Grâce à des rituels quotidiens, une communication ouverte et une gestion flexible des limites, les acteurs de ces pratiques ouvrent la voie à une compréhension approfondie du pouvoir, du consentement et de l'autonomisation dans le cadre intime du BDSM.  
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Par : le 27/02/25
La chambre d’Élise ressemble à un champ de bataille : plusieurs robes abandonnées sur le lit, des chaussures éparpillées sur le tapis. Debout devant sa penderie ouverte, la jeune femme hésite, le cœur battant à tout rompre. L’idée de se rendre ce soir au Cercle est aussi grisante qu’effrayante. Dans sa poitrine, l’excitation et l’appréhension s’entremêlent, formant un tourbillon d’émotions qui la fait presque vaciller. Ses tétons dardent, sa moiteur intime ne cesse. La chaleur lui brûle les joues tandis qu’un frisson glacé lui parcourt l’échine : ces sensations contraires qui se disputent tout son être. Avant de choisir sa robe, Élise s’était attarde longuement devant son tiroir à lingerie, consciente que ces pièces cachées sous ses vêtements (mais pour combien de temps?) joueraient un rôle essentiel dans l’état d’esprit qu’elle souhaitait incarner. Elle effleure d’abord un ensemble en dentelle noire, fin et délicat, dont la texture évoquait un léger frisson quand elle en caresse les contours. La douceur du tissu entre ses doigts lui rappele à quel point ces dessous peuvent influencer son ressenti, comme un secret qu’elle seule porterait en se rendant au Cercle. Puis ses yeux se posent sur un autre ensemble, en satin couleur ivoire, aux finitions de guipure légèrement plus romantiques. Un instant, elle avait imaginé la subtilité de la teinte claire sous une robe sombre, le contraste invisible pour autrui, mais capable de susciter chez elle une sensation d’audace, d’insolence, de provocation. Dans le miroir, elle tente de se projeter, mesurant l’effet que chaque option aurait sur son allure et sur la confiance qu’elle souhaie projeter. Finalement, après de longues minutes de réflexion, elle se décide pour la dentelle noire, trouvant dans cette couleur une note de mystère et de sensualité à la fois et qui lui semble en cohérence avec l’ambiance qu’elle a cru percevoir des photographies qu’elle a exhumées d’internet lors de son enquête sur Le Cercle . Le soutien-gorge, balconnet, rehausse sa poitrine et titillait ses tétons, tandis que la culotte échancrée épouse ses hanches avec une élégance discrète autant qu’elle mettait ses fesses en valeur. Elle est manifestement très désirable mais en a-t-elle la pleine conscience ? Avant de refermer le tiroir, elle a laissé son regard dériver sur un porte-jarretelles assorti, hésitant à y ajouter un soupçon de provocation supplémentaire. Le simple contact du satin sur sa peau a suffi à faire naître en elle un frisson d’excitation, et elle se surprend à sourire, ravie de ce secret qu’elle emportera avec elle. Lorsque finalement elle se contemple dans le miroir, vêtue de ces quelques grammes de dentelle, elle sentson cœur battre plus vite : c’est là l’expression la plus intime de son désir, une intention murmurée dont elle seule avait la clé (ou du moins le croyait-elle naïvement à ce stade), prête à se révéler ou non, selon ce qui adviendra derrière les portes closes du Cercle (si tant est, en réalité, qu’on lui en laisse véritablement le choix...).   Elle inspire profondément en effleurant du bout des doigts le tissu d’une élégante robe vert bouteille, classique et plutôt sage. La matière douce glisse entre ses mains et, un instant, elle s’imagine arriver au Cercle enveloppée de ce vert sobre qui la ferait passer inaperçue. Ce serait plus sage, pense-t-elle en fronçant légèrement les sourcils. Mais déjà, son autre main a saisi une robe noir qui pend sur un cintre voisin. Le satin noir, plus provoquante, semblait l’appeler : il luit faiblement sous la lumière de la chambre, promettant une tout autre apparition. Élise mordille sa lèvre inférieure, indécise. Laquelle refléterait le mieux ce qu’elle ressent ce soir ? La sécurité d’une tenue discrète, ou la revendication flamboyante de son audace nouvelle ? Après un dernier coup d’œil hésitant, son choix se fait. D’un geste vif, Élise retire son peignoir, libérant ses épaules, ses fesses, sa poitrine gonflée, et son sexe tout juste épilé qui tous frissonnent au contact de l’air frais de la pièce. Elle enfile les dessous choisis, le soutien-gorge, les bas, le soutien gorge à balconnet … Son cœur s’emballe lorsqu’elle saisit finalement la robe noire. Elle enfile la robe par la tête ; le satin frais caresse sa peau tandis qu’elle le fait glisser le long de son corps. Le frôlement du tissu la fait frémir. L’excite. Elle ajuste le bustier de la robe sur sa poitrine, puis remonte la fermeture éclair dans son dos du bout des doigts tremblants. Chaque cran qui se fixe résonne comme un compte à rebours dans le silence de la chambre. La robe moulante épouse sa silhouette comme une seconde peau. Élise sent son ventre se nouer tandis que son dos se tient plus droit : entre peur et fierté, la tenue la transforme déjà. Elle marque une pause et ferme les yeux un instant, s’habituant à la sensation du vêtement qui la ceint. Le satin est si doux qu’il en est presque apaisant, mais la coupe ajustée la rend très consciente de son corps. Elle inspire profondément, tentant de calmer les démons qui bouillonnent déjà en elle. Du bout des doigts, elle lisse le devant de la robe, suivant la courbe de ses hanches. Est-ce qu’elle en fait trop ? Aussitôt, une petite voix dans sa tête chuchote que non : elle veut se sentir belle et désirable. Cette robe l’y aidera. Il lui faut maintenant choisir les chaussures. Devant le miroir sur pied, deux paires l’attendent, vestiges de son indécision fiévreuse d’il y a quelques minutes à peine. Des escarpins, au talon modéré, confortables et sûrs, contrastent avec des sandales à talons aiguilles d’un noir assorti à la robe. Élise se mord l’intérieur de la joue. Le confort ou l’éclat ? Son regard passe de l’une à l’autre. Elle imagine un instant sa démarche vacillante sur les talons aiguilles qu’elle porte peu (elle manque rarement de trébucher quand elle est nerveuse) puis songe à l’allure qu’ils donneraient à ses jambes. Finalement, dans un élan de détermination, elle attrape les sandales rouges. Assez d’hésitation : ce soir, elle joue la carte de l’audace jusqu’au bout. Elle s’assoit sur le rebord du lit pour les enfiler, le souffle un peu court sous l’effet de l’émotion. La lanière de cuir glisse sur sa cheville ; la boucle métallique émet un petit clic sec tandis qu’elle la fixe avec précaution. Ses mains moites rendent l’opération maladroite et elle doit s’y reprendre à deux fois pour attacher la bride de la seconde sandale. Lorsqu’elle se redresse enfin sur ses talons, elle vacille légèrement. La hauteur inhabituelle la fait tituber d’un pas et elle agrippe le montant du lit, lâchant un bref rire nerveux. L’adrénaline la fait trembler, mais elle persiste : un pas après l’autre, elle s’habitue à la cambrure prononcée. Bientôt, elle tient debout, perchée mais fière, gagnant quelques centimètres qui allongent sa silhouette dans le miroir. Élise se poste devant le grand miroir de l’armoire pour s’examiner de la tête aux pieds. Ce qu’elle voit la déstabilise un instant. Est-ce bien elle, cette jeune femme élégante aux joues encore roses d’anticipation et aux yeux brillants d’une lueur fiévreuse ? Elle a l’air différente, presque étrangère à elle-même dans cette tenue qu’elle n’aurait jamais osé porter il y a peu. Un mélange de trac et de fierté se lit sur ses traits. Elle essaie de sourire à son reflet pour se donner du courage ; le résultat est une esquisse de sourire tremblant qui s’affermit peu à peu. "Ça va aller", murmure-t-elle, le son de sa voix brisant le silence pesant. D’un geste machinal, elle repousse une mèche de cheveux derrière son oreille. Ses doigts rencontrent l'absence de boucles d’oreilles. Comment a-t-elle pu oublier ce détail ? Elle se précipite vers son coffret à bijoux sur la commode, fouillant fébrilement pour trouver la paire idéale. Peut-être les pendants discrets en argent, ou bien ces boucles en pierre de lune qui s’accorderaient parfaitement avec sa robe ? Elle hésite un instant, les deux options brillent dans sa main tandis qu’elle les approche de son visage devant le miroir. Ce soir, elle le sent, elle préfère les pierres de lune. Elle accroche les boucles à ses oreilles avec soin, le métal froid contre sa peau la fait légèrement frissonner. Puis elle clipse autour de son cou un fin collier doré, discret éclat de lumière sur sa peau. Un dernier coup d’œil dans le miroir lui confirme que l’ensemble est harmonieux. Élise prend alors une inspiration tremblante en constatant que la transformation est achevée : elle se tient là, parée pour comme une escort, méconnaissable et pourtant intensément elle-même. Son cœur cogne si fort qu’elle l’entend presque dans le silence de l’appartement. À présent prête, il ne lui reste qu’à attendre l’arrivée de son Uber, commandé quelques minutes plus tôt d’une main fébrile. Cette simple pensée ravive aussitôt sa nervosité. Maintenant qu’elle n’a plus l’esprit occupé par les préparatifs, l’angoisse remonte en flèche. Elle attrape sa pochette posée sur le lit et en vérifie le contenu pour la troisième fois en dix minutes : téléphone, clés, carte, rouge à lèvres… tout y est… prise d’un remord, elle complète son kit de survie de trois préservatifs, qu’elle ose à peine  regarder, elle ne veut pas s’avouer qu’elle à envie de se faire prendre, qu’elle l’espère viscéralement. Ses gestes sont rapides, un peu saccadés. Un coup d’œil à l’écran de son smartphone lui apprend que le chauffeur n’est plus qu’à cinq minutes. Cinq minutes… Chaque seconde qui s’égrène la rapproche du moment fatidique, et son pied commence à taper nerveusement sur le sol. Que faire de ces minutes interminables ? Élise marche de long en large dans son salon, le claquement sec de ses talons sur le parquet venant enfin rompre le silence. Ce bruit régulier lui tient compagnie, presque rassurant au milieu du tumulte de ses pensées. Elle s’efforce de respirer lentement, comme elle l’a lu dans un article pour calmer l’anxiété : inspirer… expirer… Mais son souffle reste court, bloqué par l’appréhension qui lui serre la poitrine. Son regard se perd un instant par la fenêtre sur la nuit lyonnais au-dehors. Les lumières de la ville scintillent et semblent l’appeler elles aussi. Là-bas, quelque part, le Cercle l’attend. Cette idée fait battre la chamade à son cœur une fois de plus. Soudain, le téléphone vibre entre ses doigts. Élise sursaute, le cœur au bord des lèvres. L’écran affiche : « Votre chauffeur Uber est arrivé. » C’est l’heure. Un pic d’adrénaline la traverse, comme une décharge électrique. Elle attrape en hâte sa veste noire posée sur le dossier d’une chaise, dans son agitation, elle en avait presque oublié la fraîcheur nocturne, et l’enfile sur ses épaules. En saisissant la poignée de la porte d’entrée, elle constate que sa main tremble. Elle marque une seconde d’arrêt, ferme les yeux et inspire profondément une dernière fois. Son estomac est toujours noué, mais elle sent aussi monter en elle une euphorie contenue et une tension sexuelle grandissante. C’est un saut dans l’inconnu, terrifiant et grisant à la fois. Elle tourne la poignée. La porte s’ouvre sur le couloir désert et, avant qu’elle ne puisse changer d’avis, Élise sort en refermant derrière elle. Le claquement sec du verrou sonne comme un point de non-retour. Son cœur bat à tout rompre, et ses jolies jambes lui paraissent soudain légères sous l’effet de l’adrénaline. Tandis qu’elle avance vers l’ascenseur, chaque pas résonne à ses oreilles, amplifié par sa propre tension. Elle se sent presque flottante, vaporeuse, portée par une énergie nouvelle. L’ascenseur arrive ; dans le miroir des portes en métal poli qui s’ouvrent, elle aperçoit une dernière fois son reflet. Menton haut, regard déterminé, avec un soupçon de lubricité malgré l'éclat d'inquiétude dans ses yeux : elle a peur, oui, mais elle a envie. Envie de sexe et de lâcher prise Lorsqu’Élise sort de l’immeuble, l’air frais de la nuit la surprend et la revigore. Sur le trottoir, une voiture l’attend, phares allumés. Elle inspire une goulée d’air froid qui pique légèrement ses poumons. Son excitation hausse d’un cran, plus vive que jamais maintenant qu’elle y est. Son angoisse, elle, n’a pas disparu, mais elle est reléguée au second plan par l’urgence de l’instant. L’adrénaline pulsant dans ses veines lui donne le courage d’avancer. Élise esquisse un sourire crispé en s’approchant de la portière arrière du véhicule. Dans le rétroviseur, elle voit que le chauffeur la jauge. Peut-être même est-ce qu’il l’envisage, ou du moins la fantasme. Au moment d’ouvrir la portière, son cœur manque un battement puis elle se lance. La banquette arrière l’accueille, et tandis qu’elle referme la porte sur elle, elle sent son cœur qui tambourine à tout rompre. Le chauffeur la regarde dans son rétroviseur intérieur. Elle l’a fait. Elle a quitté la sécurité de son appartement, son cercle de confort. Maintenant, l’aventure peut commencer, et l’emmener vers un autre cercle. L’homme lui fait confirmer l’adresse. Elle répond d’un simple « oui ». Tandis que la voiture s’éloigne dans la nuit, Élise sent que ses dessous sont déjà moites. Elle ressent un mélange étrange de soulagement, de fierté et d’exaltation nerveuse. Elle laisse échapper un soupir, sans savoir elle-même s’il exprime encore de la tension ou déjà de la délivrance. Ses mains sont toujours moites, serrées sur sa pochette, mais elle se surprend à redresser légèrement le menton. À travers la vitre, les lumières de la ville défilent, et par instants son reflet lui renvoie l’image de ses yeux brillants, de sa bouche dont le rouge à lèvres se fait presque invitation ... . Terrifiée et vivante à la fois, elle se sent prête à affronter la suite. Alors qu’elle s’éloigne de son immeuble familier, Élise réalise que, plus encore que la destination du Cercle, c’est cet instant – le choix, la préparation, le pas franchi hors de chez elle – qui restera gravé en elle d’une intensité inoubliable. Sur le chemin, les photos exhumés de ce que pourrait être le Cercle, tourbillonnent dans sa tête … lui donne le vertige. Elle se mélange aux souvenirs qu’elle a des dernières 24h, ce livre découvert qui l’a excité, le carton d’invitation anonyme qui l’a mise en trans au point de s’infliger des brulûres sous la douche censée la calmer. Elle pose ses mains sur ses cuisses et entrouvent légèrement. L’étroitesse de la robe la contraint à la décence. Le chauffeur est silencieux. Elle le voit la regarder dans son rétroviseur dès que la conduite le lui permet, il se tortille presque sur son siège, pour élargir son examen dans le reflet. Elle se dit que le désir qu’elle ressent doit être perceptible. Il doit lire dans ses yeux que des désirs lubriques la ronge, qu’elle s’est parée pour peut-être se soumettre et sombrer dans la dépravation, comme sur les clichés. Peut-être que le parfum de son intimité envahi l’habitacle du véhicule. Il est manifeste que le chauffeur l’a calculée, et bien probable qu’il soit excité par elle, comme elle l’est elle-même par sa destination et ce qu’elle ne sait pourtant pas de ce qu’il l’attend. Le smartphone du conducteur, fixé au pare brise indique une arrivée au Cercle dans 14 minutes, à 21h49. Elle devrait être en avance...  Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/
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Par : le 27/02/25
 Je posais mon gros cul sur ma chaise de bureau en touillant mon pauvre café soluble attendant que le PC s’ouvre… a peine trois minutes de répit que la porte s’ouvre, laissant entrer Gabriel, le secrétaire administratif : - Charlotte, on a un étudiant en lettres moderne qui a un souci avec ces partiels, est ce que… - Envoie le moi, coupai-je, sans concession.   Quelques secondes plus tard, un jeune homme faisant son entrée dans mon bureau et me faisait arquer un sourcil d’étonnement. Il n’avait rien de l’étudiant type de cette face gaucho-pourrie qui me servait de décor 5 jours sur 7. De grande taille, le bonhomme avait de larges épaules, habillé d’une pelisse grisâtre. Il portait des bottes, un large pantalon de toile, son visage, rouge et possédant un nez massif, caché un air insaisissable et doux derrière des yeux vitreux indiscernable sous une paire de lunettes rondes imitant le bois. Ces mains gantées tenait un attaché-case brun, et sa chevelure rousse dissimulée sous une gavroche grise ne paraissait pas peignée. Et surtout, c’était l’odeur : un parfum d’herbe, mêlé à une eau de Cologne discrète et une odeur musquée émanant de chaque pores de ce corps blanc massif. J’étais foutrement bouche bée devant cette carrure et cet air serein, intelligemment serein, qui rompait avec le « plein de certitudes stupides » des étudiants de la faculté et me laissait sans voix l’espace d’un instant.   Déstabilisation . Le « Asseyez-vous » prononcé d’une voix enrouée était une preuve ridicule de mon désarmement. IDIOTE IDIOTE IDIOTE ! M’hurlais je intérieurement alors que je le voyais attendre sans se départir de son accoutrement.   - J’vous connais pas, nouveau à la fac ? Une voix ronde, douce et ferme me répondait - En réalité, je viens là, c’est singulier : j’ai perdu toutes mes notes de grec ancien. Je ne peux passer le partiel. - Voyez ça avec votre supérieur, j’ai autres choses à faire ! - On m’a envoyez vers vous et… - J’ai l’air d’avoir le temps pour ça ? - On m’a loué vos qualités… - Merveilleux, encore une fake news … - Vous êtes photographe ? - Qu’est ce ?? Du dialogue incisif qui s’instaurait je devenais le couteau à beurre, ramollie par la mention déroutante à une photographie d’un soleil couchant sur le Golfe du Morbihan. Je m’empourprais, légèrement décontenancée : ce jeune homme (mais était-il si jeune que ça) me tenait tête ? M’observait ? Ma poitrine se soulevait avec énergie.   Dommage pour moi, tant mieux pour lui, mon caractère de chienne revenait au galop.   - Bon, je suis pas le genre à discuter alors on va mettre les choses aux claires : je fais pas de passe droits aux étudiants. Désolé mais ce sera un zéro sur ton semestre. Je peux rien faire de plus. Maintenant ouste !   Le jeune inconnu se leva, sans paraître surpris ni choqué mais un rictus se dessinait sur le coin gauche de son visage glabre. - Je vois… Bras croisés, regard saoulé, je n’avais pas grand-chose à foutre de laisser ce gars dans la merde, comme tout les autres, mon boulot me gavait, j’étais là pour choper un salaire suffisamment cool pour dorer ma croupe sur une plage de Turquie, qu’est ce que j’en avais à battre de ces airs pour m’impressionner. Cœur de pierre Cul de velours… du moins le croyais-je.   - Si cependant vous appréciez la photographie… je m’y adonne et j’anime un club, au 18 rue Saint Clair… c’est bien là de la photographie amatrice. Votre photo est très nuancée, si il vous viens l’idée d’y faire un tour… Le jeune homme posa une carte noire, à l’écriture dorée, sur le bureau, et fit demi-tour sans demander son reste. Mon sang s’était comme figé à cette audace confrontant ma hargne irascible, et ma peau me picotait de curiosité. De la nouveauté.   -Pfouuuuuuu Soupirais-je en allant saisir du bout de mes doigts rongés la carte.   « Atelier VARLOT 18 rue Saint Clair ». Suivit d’un numéro de téléphone unique. Mes yeux verts allait tilter sur autre chose, transformant la curiosité en tentation. Incompréhension aussi, faiblesse suffisante à m’imposer une pause clope au bout d’a peine 20 minutes au boulot. En bas de la carte, en illustration finale, une visage de profil, portant entre ces dents un mord à chevaux.   Mais c’est qui ce mec ? Au moins, je savais où me rendre vendredi soir !
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Par : le 27/02/25
Me sentir si seul dans cette foule Et me laisser porter par la houle De mes sentiments refoulés   Cette mélodie qui résonne en moi Ce n’est que votre voix M’abreuvant de vos paroles Tel un naufragé   Me voilà maintenant échoué sur cette île Île de beauté aux senteurs de maquis et d’embruns KALLISTE, nom de déesse mystérieuse À quel parfum succomberai je ?   Je fais le vœu de vous retrouver Et que dans une dernière danse Dans ce corps à corps Pour que cœur à cœur Et peau contre peau Se consume l’ardeur de mes sentiments Que s’éteigne la dernière étincelle de mon amour Pour que mon cœur brisé puisse se recoller un jour Et que mes yeux aveuglés par votre image Puissent de nouveau admirer la lumière #photosdunet 
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Par : le 26/02/25
J'aime que les deux me désirent et ne pas savoir qui je désire le plus ou si je les désire l'un sans l'autre. J'aime leur intelligence du coeur à tous les deux (comme disait ma mère), J'aime son humanité écorchée qui a su rester rock et j'aime la féminité abondante à elle. Il pourrait être son fils et son grand père, touchant et sage, et elle forte et émue, ils ont l'air de s'aimer comme des enfants, comme frère et soeur qui partagent leur jouets. Je me vois bien être ce paquet, un jour de non- Noël, qu'ils déballeraient fébrilement et avidement, se regardant l'un l'autre de leur oeil excité, pour encore vivre de concert leur complicité, avec un tiers, avec un trait d'union, une parenthèse, pour d'autres points d'exclamation. Le ciel serait encore d'été, et sur la route me menant à eux, je serais confiant, je ne me répéterais pas d'improbables scénarios de premier contact, je les imaginerais assis en terrasse, se frôlant des doigts et des sourires pour combler l'attente de ma venue et faire monter leurs températures. Je la vois elle en matriarche indolente, presque avachie et langoureuse, lui laissant le soin de me recevoir... Je connais déjà son regard de maîtresse de maison et de jeux, dès qu'elle aura la confirmation de nos sincérités bi curieuses, affectives et sensuelles. Je la vois se réjouir, pour lui de son embarras surmonté, pour moi de mon plaisir d'avoir trouvé l'âme qui convient au corps masculin que je désire, je la vois se réjouir pour elle même enfin, de se voir au sein d'un triptyque humain, qui se gausse du divin et qui démystifie les genres... Son phallus sera cérébral et les notres féminines...les trois réduits à leur plus simple expression, celle d'objet et non de sujet.  Je te regarderais comme une femme regarde une femme, je te caresserais le torse comme une ado ose toucher une pucelle lesbienne, je tendrais mes lèvres aux tiennes avec appréhension pour tenter le diable et attiser son feu et sa Lilith... Je me loverais dans tes bras, espérant que tu me suive sans vouloir me mener. Collé à toi nos yeux s'oublieront et nos mains s'explorerons...  Elle nous rejoindra à n'en pas douter, oubliant son phallus, et ce sera en femme qu'elle voudra goûter à notre sororité. Ce seront nos fesses qui aimanteront ses mains et nos langues entremélées qui captiveront sa bouche. Tous les trois toujours debout, les pieds ne touchant terre, nous nous présagerons nos ébats à venir. Je te prendrais peut-être, je prendrais ton anus propre de ma langue, et son humidité effacera tes peurs  d'être encore maculé. Je lui prendrais sa vulve de ma paume pour t'offrir son parfum familier et rallentir tes bouleversements et habitudes bousculées... Oui nous nous prendrons... elle nous prendra le sein, nous têterons les siens. Tant qu'elles le resteront, nous frotterons nos verges molles à tous nos plis, à tous nos monts et vallons, espérant silencieusement ne jamais être victimes de notre sang... pour que dure cette valse à trois tantes... 
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Par : le 26/02/25
Que c'est dur d'être une femme !!! Voilà presque deux semaines que je cherche en ligne une petite robe sexy, à fleurs si possible et des dessous sexy pour faire honneur à une invitation inespéré, inespérable... Que c'est dur et frustrant de voir, d'avoir tout ce choix, ou chaque robe, chaque soutien gorge, chaque porte jarretelles rivalise en séduction et en provocation. Que c'est dur de se projeter et de s'imaginer, au moins mignonne, quand on n'a pas les formes de ces mannequins stéréotypés, quand on a une poitrine de Birkin, des gambettes d'échassier, le visage de Sim et des fesses de coréennes...  Déjà il me faut faire le tri... pas de manches à la robe, elles sont généralement trop étroites, des bas ou des collants pour fuseler un peu, un décolleté très très très plongeant pour compenser une poitrine absente, et offrir un nombril qui compenserait, un dos nu (qu'elle soit féminine ou masculine l'échine est sexy). Un slip, un string ou une culotte... pourvu que tout y entre ou y soit tenu, c'est pas gagné. Tout choisir en sachant d'abord pour qui, pour où, pour quand... Pour l'occasion, pour Elle, en privé voir en un lieu propice à l'exhibition... pour juste une séance photo et sa collection personnelle, un souvenir éphémère ou plus... Aucune envie d'avoir l'air pute ni sissi... ne pas être ridicule... l'attendrir... lui offrir ma part féminine et l'émouvoir, la déboussoler... Elle me maquillera, m'apprêtera, me rectifiera... il faut qu'elle soit fière et gourmande du résultat, je veux qu'elle me consomme, qu'elle m'expose, qu'elle exhibe son oeuvre, je veux qu'elle me fasse oublier quelques secondes ses tenues à elle trop sexy, ses dessous trop sexy, ses formes trop irrésistibles...
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Par : le 23/02/25
Nous voilà trois désormais. Nous avons laissé nos sens nous diriger toute la soirée. La ville s'est déjà réveillée mais nous sommes toujours debout. A trois dans mon salon, nous sommes montés chez moi et avons laissé les autres invités de la soirée en bas. Ils savent ce qui nous attend, nous le savons egalement.   Les pupilles encore dilatées, nous cherchons a calmer nos esprits. Comment faire lorsque la seule chose sur laquelle mon cerveau peut se concentrer actuellement c'est sur le fait que nous sommes sur le point de réaliser notre fantasme commun sur lequel nous échangeons depuis tant de temps.   Je suis allongée dans mon canapé, je vous regarde partager une cigarette a la fenêtre. J'ai l'impression de regarder un film. Je vois votre complicité, j'apercois enfin l'homme derrière le dominant. Madame elle n'a jamais trop joué à la mystérieuse. Dieu sait pourtant qu'elle est joueuse.   La voilà en train de se démaquiller, sourire espiègle sur son visage. Elle souffle d'un coup sur son coton le remplissant ainsi de mousse qu'elle m'étale sur le visage. La partie est lancée , la bagarre a commencé et elle finit dans la chambre. Elle ne finira pas aussi vite pourtant, nous décidons d'essayer de nous reposer un peu. Monsieur est entre ses deux soumises, il a mérité la place du roi. Madame est encore timide avec moi, on ne s'est vues que deux fois et avons très peu échangé.   Mes yeux se ferment et j'arrive dans un entre deux, un doux mélange de réalité et de songe. Ils s'ouvrent d'un coup lorsque je sens une main sur ma hanche, d'abord timide, puis elle se fait guider par une deuxième main qui a plus de poigne, qui connait déjà ce corps. Les deux mains se baladent sur le long de mon corps. Le serrent puis le relâchent avant que Monsieur ne saisisse mon cul dans sa main , le relâche une dernière fois avant de m'infliger une fessée dont le bruit résonne dans la chambre. Je me retourne pour affronter son regard. Grave erreur de ma part de me montrer si farouche.. Il demande a Madame d'aller chercher sa malle dans le salon. Celle ci s'exécute comme la bonne soumise bien dressée qu'elle est.   Une fois la malle ramenée Monsieur en sort une cravache et des menottes. Il m'ordonne de lui indiquer où je garde mes jouets. Je lui montre la table de nuit d'un mouvement de tête. Il l'ouvre, la fouille et semble être ravi à l'idée de tomber sur un bâillon . Il le prend de ses deux mains , le tend a Madame et lui ordonne de me le mettre pendant que lui me plaque sur le ventre et me menotte les mains dans le dos. Me voilà donc entièrement entre leurs mains.   Il donne un gode a Madame qui prend un malin plaisir à me défoncer la chatte avec. Monsieur lui s'occupe de mon cul avec sa cravache. Je ne sais plus où donner de la tête. Je suis donc si salope que ça ... Une personne ne me suffit plus pour me dégrader il m'en faut deux . Je ne parviens pas a suivre le nombre de coups donnés par Monsieur mais je sens mon cul rougir et se réchauffer toujours plus, il devient aussi chaud que ma chatte qui coule de plaisir sur le gode. Mes gémissements sont étouffés par le baillon. Il y a un moment de silence, plus que le gode qui continue des vas et viens rapides en moi. Je sens Monsieur mettre sa main sur celle de Madame lui faisant ainsi comprendre qu'il était temps d'arrêter.   La cravache a cassé , il me le confie en laissant échappé un rire. Il savait mon cul costaud mais il ne s'attendait pas à ce point.Il m'embrasse dans le cou tout en m'enlevant le bâillon , il s'occupe ensuite des menottes. Il rit lorsqu'il voit que je ne bouge pas les mains même si celles ci sont maintenant libérées. Il me félicite de ma docilité, je viens de lui prouver le fait que je pouvais être une bonne soumise.   En guise de récompense pour notre docilité , Madame et moi pouvons le sucer.. a deux.. mais Monsieur a une demande spéciale pour moi . Il veut que je montre a Madame comment je fais mes gorges profondes. Je commence donc par jouer avec le gland comme a mon habitude, Madame s'occupe des couilles elle. Il l'empoigne par les cheveux et lui ordonne de me regarder faire. Je suis d'abord intimidée mais ça m'excite de me savoir doublement observée dans mon rôle de salope. Je le lèche d'abord sur la longueur et le prends entièrement en bouche. Je contrôle les réflexes qui arrivent après que Monsieur me pénètre trois quatre fois la gorge. Au bout de la huitième fois ce sont les larmes qui apparaissent dans mes yeux. Comment est ce que je peux garder le compte ? Madame s'en charge pour moi , elle compte dans un chuchotement et Monsieur la relâche lorsqu'elle arrive a dix. Cela indique que c'est la fin des gorges profondes.   Nous pouvons recommencer a le sucer a deux, nos langues se croisent d'abord puis le lèchent a l'unisson. Yeux dans les yeux , le regard brûlant. Cette dame n'a plus rien d'inconnu pour moi, je l'ai lu dans son regard, nous partageons les mêmes vices, les mêmes fantasmes. Monsieur prend plaisir à nous voir comme cela. Il nous ordonne a toutes les deux de tirer la langue. Nous nous exécutons. Il ne lui a suffi que de cette vision pour nous couvrir de son sperme.
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Par : le 23/02/25
Elle s’était réveillé très tôt, frissonnante. La bûche s’était éteinte dans l’insert, et son peignoir entrouvert depuis qu’elle s’était écroulée sur le lit ne l’avait guère protégée de la fraîcheur de la nuit. Ses rêves avaient rendu la nuit été agitée. Les images de ses fantasmes, ne l’avaient pas pour autant rendue sereine mais plutôt torturée. Encore endolorie et peinant à émerger, elle allait examiner ses seins. Elle se souvenait de l’eau trop brûlante dont elle s’était imposée la douloureuse caresse. C’est avec soulagement qu’elle constatait que les traces s’étaient estompées. Avec soulagement mais aussi avec une manière de mélancolie. Elle se souvenait de la morsure de l’eau sur ses seins mais aussi de la puissance de l’orgasme que l’expérience lui avait procuré. Elle était torturée :  son esprit oscillait entre prudence et tentation. Une part d’elle-même lui intimait de jeter cette invitation, de ne pas chercher répondre à cet invitation vaguement impérieuse  et fort mystérieuse. Mais une autre, plus insidieuse, venant du creux de son ventre, la poussait à céder, à en apprendre davantage sur ce fameux Cercle. Aucune adresse ne figurait sur ce carton. Elle se saisit de l’invitation  et l’examina sous tous les angles. Son toucher était lisse et doux, d’une élégance sobre. C’est, en inclinant légèrement la carte sous la lumière tamisée de la lampe design de sa chambre qu’elle aperçut un discret filigrane au centre du bristol, presque imperceptible. Elle approcha l’invitation de la source lumineuse pour l’observer en transparence. Une épure suggérée le cou, la nuque d’une femme ceint d’un anneau… Le Cercle ? ...  “11 Rue de la Martinière - 69001 LYON”. Elle était submergée de sensations. Pensive tandis que son souffle s’accélerait et que la chaleur s’emparait d’elle de nouveau. Elle se pencha pour saisir son Mac abandonné au pied du lit. Sa poitrine s’échappait du peignoir, ce à quoi elle ne prêta guère attention . Elle tapa nerveusement l’adresse dans la barre de recherche l’adresse découverte dans le filigrane. En quelques secondes, plusieurs résultats apparurent. Parmi eux, un article du Progrès de Lyon daté de 1999 attira immédiatement son attention. Elle cliqua. « Fermeture définitive d’un club libertin mythique du centre-ville ». Un frisson remonta le long de son échine. Elle parcourut l’article. Il y était question d’un ancien club privé, fréquenté par une clientèle discrète et sélective, où se déroulaient des soirées aux règles bien particulières. L’établissement avait donc été fermé il y a presque un quart de siècle, officiellement pour des raisons administratives.  L'encart annoncé que l'article était réservé aux abonnés l'empêcherait dans s'avoir plus à cet instant. Alors, pourquoi cette adresse ? Son pouls s’accéléra. Était-ce une coïncidence ? Ou bien ce Cercle continuait-il à opérer à l’abri des regards, dissimulé derrière les vestiges de cet ancien club ? Poussée par une curiosité incontrôlable, Élise poursuivit ses recherches. Après plusieurs minutes, elle tomba sur une vieille discussion d’un forum BDSM. L’interface était obsolète, les images chargées lentement, certaines n’affichaient qu’un cadre et une petite croix rouge témoignant de leur effacement depuis. Mais ce qu’elle découvrit la laissa sans voix. S’affichaient là certaines photos toujours en ligne. Celle d’une soirée privée qui s’était manifestement tenue à cette adresse. Les photos, bien qu’en petite résolution et légèrement floues, révélaient une atmosphère feutrée, un décor luxueux où chaque détail semblait étudié pour exacerber les sens. Des hommes étaient vêtus de costumes noirs impeccablement taillés, leurs visages dissimulés derrière des masques sophistiqués qui leur donnaient une aura impénétrable. Certains étaient debout, verre de whisky à la main, d’autres assis dans de vastes fauteuils club en cuir, observant les événements d’un regard calculateur. Les femmes, elles, apparaissaient dans des tenues infiniment plus légères. Corsets de satin, bas résille, hauts talons vertigineux, certaines était totalement nue, leurs corps étaient exposés avec une sensualité affirmée. Certaines portaient des loups finement ouvragés, d’autres avaient les yeux dissimulés sous des bandeaux de soie. Certaines étaient à genoux, les mains posées sur leurs cuisses dans une posture de soumission évidente. D’autres encore étaient attachées aux imposantes croix de Saint-André fixées aux murs, leurs poignets entravés par d’imposants bracelets de cuir noir. L’expression sur les visages de ces femmes étaient troublante et difficile à décrypter. Craintives ? Excitées ? Éprouvées ? Supplicières ? L’une d’elle avait des traces de Rimel qui parcourait ses joues, jusqu’à couler marquer son cou, sa gorge.  Les clichés montraient des scènes figées dans le temps : une femme aux cheveux noués en chignon se voyait empoigner la nuque, par une main anonyme. En face d’elle, un homme tenant une fine cravache à la main, le regard posé sur une silhouette offerte. Sur une autre photo, un couple été nu enlacés dans une cage.  Chaque image respirait une sophistication troublante, une maîtrise du décor et de l’instant, comme si tout était orchestré avec une précision presque théâtrale. Ces photos sentaient le souffre, le stupre, la débauche. Élise sentit son souffle se raccourcir. Elle fixait l’écran, partagée entre fascination, appréhension voire panique. La discussion du forum datait de 2011. L’idée que le Cercle ait existé réellement, que des personnes aient foulé son sol, aient vécu ces instants, la troublait profondément. Ce n’était ainsi pas une simple adresse. C’était un monde à part, une enclave de désirs inavoués, un royaume de secrets. Elle avait l’heure du rendez-vous. Avait trouvé l’adresse. Et s’était maintenant faite une idée assez précise de l’univers dans lequel on l’avait convoquée. Non, elle ne vivait plus la réception du bristol comme une invitation, mais comme une convocation. Et elle avait maintenant envie de s’y soumettre. D’obéir.  22H00. Ce soir. Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/
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Par : le 23/02/25
Qu'est ce que je fous là ? Comment, à 62 ans, suis-je devenu aussi obsédé par ce monde ? Je n'avais jamais compromis mon hétérosexualité, ma monogamie, mon romantisme, ma fidélité avant la cinquantaine. Et me voilà à vouloir explorer toutes mes défaites avec vous... Comme si je voulais les revivre, les mettre en scène mais sans les subir puisque j'en serais l'instigateur. Je ne sais pas pourquoi ça m'excite autant... D'aussi loin que je me souvienne j'ai toujours été un pervers.    Dans son sens le plus général bien sûr, un déviant, plus antimoral qu'immoral, paraphile convaincu qui s'étonne maintenant qu'il y ait autant de gens "normaux", qui font l'amour "normalement" et qui crachent sur ceux qui sont, ce qu'ils auraient pu être s'ils ne s'étaient pas tant nier.   Je me revendique exhibitionniste de mes singularités, obsédé par celles des autres, gourmand de leurs décadences assumées.   A en croire cette majorité de gens normaux, qui se rassurent en appartenant au plus grand nombre, comme si cela pouvait être un gage de légitimité, les libertins et pire, vous tous, seriez tous des pervers, non pas seulement des marginaux, mais des erreurs de la nature, des "malades" au mieux mais des dégénérés la plupart du temps.   D'aussi loin que je me souvienne j'ai toujours été un pervers.   Je l'ai déjà dit ???   Mon premier souvenir sexuel...    Un souvenir ??? Non plutôt une réminiscence, une vision qui réapparaît régulièrement et qui a à voir avec cette recherche d'humiliation et d'impuissance...    Sexuel ??? Pas plus... pas encore... ce traumatisme ne deviendra sexuel qui bien plus tard. Ma mère me change la couche, je suis posé sur le dos et je crois me rappeler une brève béatitude à la libération de mes membres inférieurs. Je me souviens surtout de ma honte et ma colère qui ont suivi.  Son visage souriant et rieur occupait presque la totalité de mon champs de vision et une brise de panique s'est emparé de moi quand deux autres visages se sont immiscer au tableau. Deux copines riantes, les yeux rivés sur mon kiki. Il est vrai que, nu, ma physionomie devait prêter à rire tant j'étais tout en gras à moins d'un an.   Malgré leurs rires à toutes les trois, ma surprise a vite laissé la place à la stupeur, la honte et la colère quand, pour je ne sais quel raison, ma mère se mit à mitrailler mon sexe de minis crachats, provocant toujours plus d'hilarité dans l'assemblée.   C'est mon souvenir le plus lointain. Mon humiliation.   A 11 ans, mon frère aîné de 12 et demi m'initie à la masturbation. Une demie goutte plus tard accompagnée d'une décharge électrique, je prends conscience que tous les matins je bande. Un jour, à mon réveil, ma couverture en boule, je surprends ma grand mère qui me mate. Plus tard ce sera ma mère qui entrera dans ma chambre et qui arrachera la couverture sous laquelle je me caressais, feignant la colère pour ne pas avouer sa satisfaction de m'avoir pris en flagrant délit d'activité douteuse. La naissance de mon futur exhibitionnisme. Je ne raconterai pas ici ni maintenant d'où me vient mon masochisme naissant et plus particulièrement la redécouverte du martinet...   Je jouais parfois beaucoup à la poupée, les peignais, leur confectionnais des vêtements. J'aimais surtout les déshabiller, reluquer les seins sans tetons des barbies, fantasmer sur leur entrejambe lisse et évocateur bien qu'assexué. Un noël ma soeur a reçu une cicciolina, une "vraie" poupée aux longs cheveux blonds... j'adorerais la coiffer pour ensuite faire glisser ces fils d'or soyeux sur ma peau nue, caresser mes ridicules testicules, chausser, s'enrouler autour de ma verge avant que je ne me masturbe avec en prenant soin de garder toujours le regard de ses grands yeux tourné vers moi.   A force de s'emmêler entre mon prépuce et mon gland, j'optais bientôt pour les culottes petit bateau de ma p'tite soeur.   Pas de trou de serrure sur la porte de la salle de bain pour satisfaire mes pulsions voyeuristes.   De ces honteuses tendances je garderai toute ma vie ma passion, mon addiction tactile pour la soie, les cheveux sur ma peau, ma perversion cérébrale, ma captivation pour les trous de serrures et ces fenêtres éclairées la nuit.   Il m'a fallu attendre mes 50 ans pour offrir mon cul et pleurer de ne pas avoir été ouvert plus tôt au côté obscur. Et ce trou là est sans fond apparent car tous ces minis traumatismes qui me freinaient jusque là deviennent des sources d'extases possibles.
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Par : le 23/02/25
Voici un le récit fictif d'une envie déviante : Petite soirée libertine avec 2 femmes et un homme que l'on connait peu. Au cours de nos ébats cet homme propose vulgairement d'enculer nos 2 amies tout en les doigtant à sec sans prévenir ! il a bu un verre de trop et devenait désagréable... Mes 2 copines d'un clin d'œil me sollicite pour se venger et lui faire découvrir ce que tu ressens lorsque tu subis un rapport rectal non pleinement consenti...elles l'accroche solidement sur le ventre contre une table basse et me suce toutes les deux pour gonfler l'arme du crime... Ma bite est au maximum de son érection, chaude, baveuse, toute dure...sans t'avoir trop préparé, dilaté, je m'introduis en lui, doucement, mon gland a du mal à forcer le passage, je force délicatement, il ressent cette petite douleur. Douleur qui fait du bien, passage obligé mais éphémère. Celle que tu ressens lorsque tu te mets un plug medium sans avoir mis aucun doigt. Sauf qu'au lieu que ton petit trou se referme et engloutisse le plug, là mon chibre doit continuer à s'engloutir, sans réduction de diamètre... Finalement la douleur est encore là, celle qui fait entrouvrir sa bouche, et laisse passer un petit râle, celui qui vient du plus profond de ses entrailles, comme si mon gland se frottait à une corde vocale de son bassin. Mon sexe est rentré entièrement, nos 2 corps s'épousent complètement, mes testicules sont plaquées, écrasées, afin que le dernier centimètre phallique rentre encore et encore. Pause, il se contracte, comme si son corps voulait rejeter ce corps étranger, cet intrus au plus profond...mais au lieu d'être expulsé tel le plug qui finalement s'éjecte...mon phallus reste là et se tend encore plus! Nouvelle corde vocale plus aigue qui est sollicitée ! Puis progressivement, je me déchaîne, à chaque coup de rein, sa bouche ne peut se retenir. Ses lèvres s'entrouvrent et laissent passer des gémissement. Petit à petit, ses râles s'intensifient, il rentre en trans, des spasmes parcourent tout ton corps. trop bruyant, sans bâillon à disposition, mes 2 amies attrapent alors un gode XXL et lui fourent dans la bouche, il ne peux s'empêcher, il éjacule en gémissant. Tout son jus est récupéré dans une flûte à champagne. Mon amie enlève le gode le trempe dans son foutre et lui remet dégoulinant dans la bouche" tu voulais m'enculer, apprécie cette bite dans ton fion et boit ton jus". Elle fait couler le reste de sperme contre ma bite, cela humidifie mon pénis, cela le refroidit car il est en surchauffe. Je voulais éjaculer dans sa bouche, mais pour cette première partie je me décharge au plus profond de lui, tout mon corps entre en résonance, des spasmes secouent tout mon être : il crie, bouche pleine, comme si mon dard lui perforait l'intestin à intervalles réguliers... Puis je lui fais laver ma queue pleine de foutre sali par son anus qui n'était pas préparé, nettoyé. Peu enclin à lécher, mes amis lui fouettent les fesses et les boules pendantes....il s'active et n'en perd pas une goutte. " Çà t'apprendra! Désormais en bon gentleman, tu demanderas avant de doigter le cul d'une femme"  
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Par : le 22/02/25
Les règles de vie transcendent la simple organisation quotidienne pour devenir des principes fondamentaux qui structurent et nourrissent la relation Maître-esclave. Bien plus que de simples directives, ces règles incarnent l’engagement mutuel, la discipline consciente et l’harmonie recherchée au sein d’une dynamique fondée sur l’échange de pouvoir. Définir des règles de vie, c’est instaurer un cadre global dans lequel chaque geste, chaque interaction et chaque moment du quotidien vient renforcer la confiance et la dévotion entre le Maître et l’esclave. Ces règles, discutées et validées par les deux partenaires avant d'entamer la relation ou lors des réajustements de celle-ci, offrent une structure rassurante et prévisible tout en laissant la place à la créativité et à l’évolution personnelle. Tout comme les protocoles, les rituels, en effet, l'esclave devrait être en mesure de proposer celles qui ont une résonance en elle et peuvent particulièrement séduire le Maître ! Exemples de règles de vie dans une relation Maître-esclave : • Respect absolu des consignes : Qu’il s’agisse de comportements en public ou de rituels intimes, l’esclave s’engage à respecter scrupuleusement les directives établies, renforçant ainsi la dynamique de pouvoir et la cohérence du lien. • Communication transparente et régulière : Un point essentiel est d’établir des moments dédiés à l’échange, où chaque partenaire peut exprimer ses ressentis, ajuster les règles et veiller au bien-être commun. • Maintien des rôles même en dehors des intimités : Les règles de vie peuvent s’étendre à des comportements symboliques dans la vie quotidienne, par exemple en adoptant un langage ou un comportement particulier qui rappelle constamment la dynamique Maître-esclave. • Soins et attention mutuels : La discipline n’exclut pas la tendresse. Il est attendu du Maître de veiller sur l’état physique et émotionnel de son esclave, tandis que l’esclave, dans son engagement, doit faire preuve de sollicitude et de dévotion dans l’accomplissement des tâches qui lui sont confiées. • Adaptabilité et révision des règles : La vie est en perpétuelle évolution. Les règles doivent rester flexibles afin de s’adapter aux évolutions personnelles et aux circonstances. Une réévaluation régulière garantit que le cadre reste pertinent et consentant pour les deux partenaires. Pourquoi ces règles de vie sont-elles si essentielles ? Les règles de vie créent un socle stable qui permet aux deux partenaires de naviguer dans leur quotidien en gardant à l’esprit la dynamique choisie. Pour l’esclave, elles instaurent un sentiment de sécurité et de confiance : la certitude de connaître les limites et les attentes offre un refuge dans lequel elle peut s’exprimer pleinement, même dans la vulnérabilité. Pour le Maître, ces règles permettent de confirmer la progression et l’engagement de son esclave, tout en lui offrant les outils nécessaires pour guider avec justesse et bienveillance. Imaginez, par exemple, une journée structurée autour d’un rituel matinal où l’esclave se présente selon une tenue et une posture préétablie, puis engage une courte communication sur ses objectifs de la journée. Ce cadre quotidien, bien que formel, agit comme un fil conducteur qui rappelle la dynamique établie et sert de point d’ancrage émotionnel et psychologique. Dans un autre moment, un protocole de fin de journée pourrait être instauré, lors duquel l’esclave partage ses réussites, ses difficultés et accueille l’évaluation rassurante du Maître. Ce partage, effectué dans le respect des règles, offre non seulement une opportunité de progression, mais également une fenêtre sur le lien profond qui unit les deux partenaires. Pour instaurer des règles de vie adaptées à la relation Maître-esclave, quelques principes doivent guider le processus : • Favoriser la simplicité et l’efficacité : Les règles doivent être claires, précises et réalisables, sans alourdir la dynamique par une complexité inutile. • Conserver le sens symbolique et émotionnel : Au-delà de leur aspect pratique, les règles de vie doivent résonner en chacun, rappelant constamment le lien, la discipline et la dévotion partagée. • Privilégier l’évolution continue : Le cadre établi doit être flexible ; il est essentiel de revoir et d’ajuster les règles afin qu’elles restent en adéquation avec les besoins et les aspirations des partenaires. En somme, les règles de vie dans une relation Maître-esclave ne se limitent pas à une simple liste de comportements à suivre. Elles symbolisent l’harmonie entre la rigueur de la discipline et la profondeur de l’engagement émotionnel. En créant un environnement stable, elles permettent à chacun de s’épanouir dans son rôle, tout en consolidant jour après jour un lien d’intimité, de respect et de dévotion consentie.
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Par : le 22/02/25
Rêves de traversées et d'ailleurs, Réseau ésotérique de rhumbs, Marteloire érotique de lignes de soie, Rubans lie-de-vin sur belle océane brun havane Dans l'échancrure d'un tailleur, Merengue tangué par le clapot Pour mâle de mer en mal d'aimer, Aux yeux brûlés de soleil et de sels A la quête de sources cachées, Du fruit défendu dégorgeant de jus, Et de conquêtes parfois amères. Cocktail de nuit tropicale, Dégustation apicale. Indécence des sens affolés Par l'appel de la peau de celles, Femmes vaudous au sang mêlé ; Qui à se dévoiler si lentement, Possède et se joue de son amant, Perclusion de l'homme, Transe, envoûtement, fétiche, fièvre...rhum.  
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Par : le 22/02/25
C'est étrange de me souvenir de ce moment.  C'etait il y a un an, au milieu de la nuit.  Moi, face à la mer, assise sur la dune surplombant la mer. Une bière, du saucisson et le bruit des vagues qui s'écrasent.  La météo m'obligeant à taire cette envie de plonger dans l'eau... Certainement gelée à cette époque de l'année.  Puis votre voix et moi qui gueule à m'en arracher les cordes vocales.  Des larmes qui s'écoulent sans discontinuer.  À des kilomètres de toute vie humaine, je me laisse aller. Pourtant c'était mon choix, par une longue tirade textuelle comme j'aime faire.  Ma première relation D/s et ce sentiment d'avoir trouvé mon âme-soeur. Je me rappelle les morsures, les impacts, la baise sauvage, l'emprise, l'amour, la faim, toujours, encore, en public à huis-clos... Tout ce qui se vit et ne peut se dire... Je me rappelle notre première rencontre et ce sentiment d'être à ma place. La plénitude, la sérénité et des larmes, accompagnées de vos doigts en moi... Fermer la porte à tout cela n'a pas été facile.  Alors on a (vous avez) decidé de ne pas "arracher le pansement".  C'est drôle avec le recul : "tu es drôle toi, tu me demande de t'aider à me quitter". Égoïstement oui. Et vous n'avez pas failli. En bon Maître, vous m'avez accompagné des mois durant dans cette "fin". Nous avons retiré le pansement millimètre après millimètre. Même quand j'essayais d'avancer dans ma vie vanille... Je me remémore vos mots sur la réalité de notre lien et sur la chance de cette exception.  Je le sais, je le ressens et encore plus maintenant qu'avant.  Et je ne sais quoi faire de ce sentiment. Parce que, sans prendre cette décision, je n'aurais pas pris conscience de l'ampleur de Nous et de ce que nous avons pu traverser/vécu ensemble. Malgré mes démons d'abord, puis les vôtres, la douleur, mes besoins irréalisables... Je crois que le sparadrap restera accroché... Il pend ridiculement et je le regarde avec humour, parce que finalement, quand on a aimé à ce point, quand on a vécu si intensément sa soumission et sa domination, il me semble difficile d'y mettre un point final. Car j'en suis certaine, quoique la vie nous réserve, une part de vous m'accompagnera toujours.   
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Par : le 21/02/25
Tu es assis dans le canapé . Je danse voluptueusement en face de toi, moi, la femme de la nuit. Je sens ton regard se poser sur moi, sur mes hanches mouvant dans le nuage de fumée . Tu ne prends même pas la peine de dissimuler ton désir, tu t'enfonces encore un peu plus dans le canapé en ne me lâchant pas des yeux. Je suis perturbée un instant puis je me décide à jouer. La tension devient palpable, chacun de mes mouvements brave un peu plus l'interdit.   On ne sait rien l'un de l'autre. Tu sais juste que tu me trouves belle et ça te suffit. Tu me connais qu'en tant que femme de la nuit , soit une infime partie de ma personnalité mais aussi celle qui est la moins acceptée par la société. Tu ne prends pas vraiment la peine d'en savoir plus sur moi ou du moins tu feins de t'intéresser à moi, juste assez pour t'assurer l'accès à ma chatte.   Je ne sais quoi penser de ce mystère. Je ne sais ni vraiment où situer la frontière entre séduction et intimité ni de quoi nous pouvons parler, jusqu'où nous pouvons nous dévoiler. Tout cela répond à des règles que je ne connais encore que très peu , des règles qui relevent d'un jeu des plus vicieux. Dans ce jeu tu prends le rôle du chasseur et moi celui de la proie, une proie qui finit par succomber.   Les moments partagés deviennent pour moi des parenthèses enchantées. Tu me fais de l'effet comme personne ne m'en a jamais fait . Tu en ries. Tu prends plaisir à me tourmenter, a te faire désirer , a me faire patienter voire même me frustrer. Tu provoques l'effervescence de mon être grâce à un subtil mélange d'émotions dont toi seul connait le secret. Tu deviens mon fantasme suprême. Je pensais que comme tout fantasme il me passerait une fois assouvi mais non, celui- ci est différent, comme inépuisable. Il prend racine dans les abysses de mon être , dans sa face la plus sombre , celle de la femme de la nuit. C'est ce qui te rend tout autant adorable que détestable.   Tu es l'incarnation de toutes mes contradictions, de tout ce qui ne fait pas sens lorsqu'on compare mes valeurs profondes a mes actes. La féministe soumise. Un comble qui ressemblerait à un début de blague de mauvais goût mais qui est une réalité bien plus partagée que ce que l'on pourrait penser. Mes valeurs s'ecrouleraient donc une fois la porte de la chambre fermée. La femme libre qui crie le poing levé qui se retrouve les mains menottées et la bouche bâillonnée pour son plaisir. Tu commences à me provoquer sur ce sujet et je ne sais quelle représentation de toi choisir entre celle du macho détestable et celle du dominant déconstruit. Tu es sans doute quelque part a la croisée des deux, une chimère logée dans mon esprit.   Au fil de nos rencontres, j'en apprends plus sur moi que ce que je ne parviens à en apprendre sur toi. Le lit se transforme en laboratoire pour une nuit où chaque expérience questionne un peu plus mes limites physiques et psychologiques.
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Par : le 21/02/25
Allongée, tes mains attachées au dessus de la tête et les yeux bandés ,je prends le temps de t'observer... Les minutes qui s'égrainent lentement dans ce silence que j'ai exigé se ressentent comme une torture passive alors que ton corps se crispe sous l'appréhension du traitement à venir qui pour toi est encore inconnu. J'ai posé, à ton insu, un bol de glaçons à proximité. Accroupi au bord du lit, la tête près de ton visage, je savoure l'apparition des signes de ton excitation aussi plaisants que ceux de ton incertitude... Ta respiration est lente et profonde comme si tu tentais de te recentrer pour trouver ton équilibre et atteindre cet endroit dans ton esprit où tu te sens à l'aise et où rien ne peut t'atteindre. Ta nervosité se lit aux mouvements brusques de tes pieds et aux "spasmes" qui parcourent tes orteils. L'expression physique plus ou moins subtile de ton conflit d'émotions... là sous mes yeux attentifs... participe grandement à la montée de mon propre plaisir. Tu as malgré tout l'audace de "me" sourire et de passer ta langue sur ta lèvre comme pour me provoquer. C'est, après tout, le seul pouvoir qu'il te reste... Calmement, je brise le silence et à voix basse ... au creux de ton oreille... t'assure que cette initiative ne sera ni récompensée ni oubliée... Je laisse encore quelques minutes de silence et continue mon observation de tes indicateurs corporels non contrôlés. Je me félicite intérieurement et me réjouis d'avoir pu réunir les conditions qui te permettent de consciemment faire le choix d'être "à ma merci". Je plonge le bout de mes doigts dans le bol dans lequel les glaçons ont désormais commencé à fondre pour faire couler quelques gouttes sur ton corps nu. Ma main vient ensuite immédiatement saisir ta gorge pour y étouffer ta réaction. "Ssssssssssshhhhhh" au creux de ton oreille. Je sens ton cou gonfler sous mes doigts mais je me retiens de resserrer l'étreinte. Je te relâche. J'ouvre doucement le tiroir sous le lit afin d'éviter d'éveiller le moindre de tes soupçons qui pourraient te donner le moindre indice sur la suite des évènements. Tu as, après tout fait, le choix de me témoigner ta confiance. Tu reconnais alors l'extrémité souple de la cravache alors que je lui fait parcourir la distance entre ton front et ton menton. Le cuir souple descend maintenant le long de ton cou puis de ton épaule pour venir s'arrêter et tourner autour de l'auréole de ton sein. Toujours à l'affût de ton plaisir et du mien, j'observe de nouveau les signes corporels de ton état psychologique du moment. Te voir tressaillir et presque entendre un semblant de murmure se mêler à ta respiration me fait de plus en plus d'effet. Soudain l'envie de jouer avec tes nerfs de manière plus intense me donne une idée venue de je-ne-sais quelle pulsion : Le cuir vient tapoter d'abord ton sein puis se concentre de de plus en plus rapidement sans modifier la force ni l'intensité du mouvement sur ton téton comme pour le préparer par étape à un impact à venir. Tu t'attends de plus en plus à ressentir cette sensation de lacération de manière imminente et j'en rajoute lorsque d'un mouvement de poignet j'éloigne le cuir de manière brusque dans une grande inspiration que je VEUX que tu entendes... Je n'ai pas le temps de regarder car je ne veux pas retarder le moment mais j'imagine ta mâchoire se serrer et tes sourcils se froncer en préparation de l'impact immédiat... Mais c'est finalement du bout des dents que je viens torturer ton téton et ma langue humide vient se charger de jouer avec sa rigidité. Tu laisses échapper un long râle dans un profond soupir. Malgré la concentration qu'exige ce traitement de ta poitrine, je ne peux m'empêcher de sourire en me demandant s'il s'agit d'une expression de ta déception... de ton agacement... ou du plaisir d'une masochiste cérébrale. Une nouvelle fois, je laisse s'écouler quelques instants qui pour toi, je l'espère paraissent une éternité puis reprend en main l'outil de MON jeu du moment. L'extrémité souple reprend son chemin de ta poitrine pour glisser sur ton ventre... ce qui provoque un rire et une crispation sous la caresse que ton corps semble interpréter comme une chatouille. L'idée me traverse l'esprit de te torturer "à la chatouille" puisque tu es attachée mais... je pense que cela ferait retomber la pression. Et c'est la dernière chose que je désire à l'instant présent. Le cuir se balade désormais brièvement sur ton sexe déjà humide. J'en fait la constatation lorsque j'observe une trace brillante et luisante sur le bout de ma cravache. Je viens donc ensuite titiller ton sexe de plus belle. Je ne résiste pas à l'envie de venir te pincer le nez pour te forcer à ouvrir la bouche puis à t'ordonner de tirer la langue pour te faire goûter ton excitation avant d'exiger que tu m'en fasse la description. Puis... la cravache revient entre tes cuisses qui s'ouvrent en plus grand. Devant le spectacle de ton désir, je décide alors qu'il est temps de t'offrir des sensations plus "saisissantes"... te faire le cadeau de te faire mal. Faire mal... pour se faire du bien... C'est ce qui nous différencie de la culture "vanille". Ce besoin de transcender les limites physiques de nos corps. L'entrave de nos corps en matière de possibilités de pénétrer, de recevoir, de se mélanger, de s'assembler, de se rencontrer... que l'on pallie avec les besoins d'impacts ou de sensations brutes pour partager plus, ressentir plus... aimer plus... Le cuir tapote doucement ton intimité. Je te vois tortiller et t'entends "réclamer". Cela m'excite trop pour te punir d'avoir des "exigences". Je joue avec l'intensité et la fréquence du contact comme pour te torturer... toi qui, attachée, est sans défense. Je pose de nouveau ma main sur ta gorge et par surprise, je t'inflige un coup bien plus sévère. Dans un long râle mêlé à une profonde inspiration, tu te cambres... comme un corps qui revient à la vie... je profite de ce moment d'asphyxie pour venir te donner un profond baiser...que je choisis de laisser durer... Le résultat escompté de ce traitement se lit dans la couleur rougie du haut de ta poitrine. Le gonflement des veines de ton cou est le baromètre qui trahit ton état presque second. Je réitère une fois... deux fois... puis trois fois l'alternance de l'intensité du contact de la cravache sur ton sexe puis je m'arrête... De nouveau, je m'accroupis près du lit et d'un voix calme je te demande de me décrire ton envie et de me dire ce que tu es... qui tu es...ta condition... Je te veux vulgaire... Je ne peux désormais plus résister au besoin de te prendre... de te posséder...
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Par : le 21/02/25
Avant de vous proposer l'article sur la différenciation des protocoles, rituels et règles de vie (https://www.bdsm.fr/blog/10550/Protocoles,-rituels-et-règles-de-vie/) je vous avais proposé un autre sur les rituels en soumission (https://www.bdsm.fr/blog/10494/Les-rituels-dans-la-soumission/), article qui m'avais inspiré le premier cité... Je vous propose donc de revenir et de creuser sur les protocoles en soumission, chaque articles étant le compléments des autres... Les protocoles transcendent de simples règles ou consignes : ils incarnent une expression profonde de la dévotion, de la discipline et de l’engagement mutuel dans une relation Maître-esclave. En établissant des normes claires et des attentes précises, ces protocoles renforcent la sécurité, la confiance et la connexion entre les partenaires, tout en affirmant la dynamique de pouvoir qui caractérise la relation. Définir un protocole signifie instaurer une série de comportements, de gestes ou d’attitudes qui, répétés loyalement, viennent structurer le quotidien. Dans le cadre d’une relation Maître-esclave, ces protocoles ne sont pas de simples formalités, mais bien des outils essentiels qui concrétisent l’échange de pouvoir et les engagements consentis par chacun. Voici quelques exemples de protocoles typiques :  • L' esclave doit se présenter de manière cérémonieuse à l’entrée du domicile du Maître, marquant ainsi le début du rituel quotidien de soumission. • L’usage de formules spécifiques, telles que « Bonjour, Maître », lors des échanges, renforçant l’engagement à respecter les limites établies. • Un protocole de posture obligatoire, où l’esclave garde une posture spécifique — agenouillé ou debout — lors des moments d’obéissance ou d’attente, symbolisant la discipline et le respect. • Des protocoles de communication qui régissent la façon dont l’esclave s’exprime, par exemple en sollicitant la permission avant de parler ou de prendre des initiatives, afin de maintenir un contrôle harmonieux des échanges. Ces pratiques, répétées avec intention, fonctionnent comme des repères dans la vie quotidienne et permettent au Maître comme à l’esclave de rester ancrés dans leur rôle respectif. En respectant les protocoles, l’esclave affirme non seulement sa position, mais renforce également la confiance et le lien émotionnel qui unissent les deux partenaires. Pour le Maître, ces protocoles assurent une structure rigoureuse dans laquelle il peut manifester sa responsabilité et son attention aux besoins de l’esclave. Pourquoi ces protocoles sont-ils si essentiels ? Les protocoles agissent comme des manifolds qui orientent l’énergie et la dynamique de la relation. Un protocole bien établi transforme un geste habituel en un acte de dévotion. Par exemple, lorsque l’esclave attend le mot d’ordre avant toute action, ce comportement n’est pas seulement une demande, c’est une affirmation silencieuse du lien qui existe entre elle et son Maître. Chaque mouvement, chaque parole traverse ainsi le filtre d’un engagement total et conscient, permettant une connexion silencieuse mais puissante. Imaginez l’esclave qui, chaque soir, prépare minutieusement l’espace pour une séance de discipline ou d’apprentissage. Ce simple acte — remplir l’espace de respect, de calme et d’intention — devient un protocole indispensable, symbolisant la transition du monde extérieur vers un espace sacré réservé à l’intimité et au jeu de rôles. Ce protocole, en apparence anodine, revêt une signification profonde et authentique : il rappelle à l’esclave qu’il appartient à une dynamique soigneusement orchestrée, où chaque geste compte et chaque moment renforce l’engagement mutuel. Les protocoles, en proposant une structure prévisible, offrent également une sécurité indispensable dans un contexte où la vulnérabilité joue un rôle majeur. L’esclave, conscient de la constance et du cadre proposé par le Maître, trouve dans cette discipline un refuge contre l’incertitude du quotidien. Pour le Maître, l’application rigoureuse des protocoles permet de vérifier et affirmer la loyauté et la progression de l’esclave, tout en lui rappelant l’importance de son rôle de guide et de protecteur. Pour mettre en place des protocoles adaptés à la relation Maître-esclave, il faut considérer les points suivants : • Dialogue ouvert : Discuter avnt de dommencer la relation en détail des protocoles qui résonnent personnellement pour chacun. L'esclave potentielle peut vous proposer ceux qui peuvent lui parler intimiment et qui peuvent séduire le propriétaire, Un point souvent ignoré mais pouvant prendre toute sa dimension dans la dynamique ! • Simplicité d’abord : Commencer par des protocoles simples et évolutifs. Une complexité excessive peut rapidement devenir source de stress ou diminuer leur portée symbolique. • Focus sur l’intention : s'assurer que chaque protocole ait une signification émotionnelle ou symbolique claire, au-delà de sa dimension formelle. • Adaptabilité : Comme pour tout aspect d’une relation dynamique, les protocoles doivent être flexibles. Ils peuvent être réévalués, ajustés et approfondis au fil du temps, en fonction des évolutions personnelles et relationnelles. En somme, les protocoles dans une relation Maître-esclave vont au-delà du simple observance de règles : ils incarnent un engagement profond et quotidien, formant le socle même de la relation. Chaque protocole, qu’il s’agisse d’un geste, d’un mot ou d’une posture, vient renforcer l’échange de pouvoir, la certitude de la discipline et la beauté de la dévotion. Dans un monde aux multiples exigences, ces pratiques offrent un espace unique de stabilité, de connexion et de transcendance, rappelant à la fois la rigueur du rôle et l’intimité émotionnelle partagée.
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Par : le 20/02/25
Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sans majeurs. Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose. ************************************************************************************************* Je demande à Pearl et Zara : — Vous savez ce qui va se passer, les filles ? Les filles se regardent, bien sûr qu’elles ne peuvent pas me le dire. Oh merde ! Ça ne sent pas bon ! Soi-disant que j’étais redevenue normale… À voir leur mine ennuyée, je sens que je vais déguster, pour changer. Zara me dit : — Le seigneur Shendy improvise en voyant comment les choses se passent. Il a des projets pour… Aïe ! Elle se frotte les fesses en disant : — J’ai un problème de sciatique. Pas à moi ! Elle a reçu une décharge électrique dans le nerf sciatique, elle allait sans doute dire des choses qu’on ne voulait pas que je sache. On est toutes le trois dans la piscine silencieuse au milieu de gros bonshommes et de belles filles qui s’amusent. Je pose la main sur celle de Zara, une façon de la remercier de m’avoir parlé et d’être punie. Il va se passer quelque chose, je le sens, je le sais. Une servante en uniforme, une de mes sœurs, s’approche et me dit : — Voulez-vous bien me suivre, Mademoiselle Fanny ? J’embrasse rapidement Zara et Pearl sur la bouche. Je suis la servante la servante dans le Fort, aussi nue qu’un ver de terre le jour de sa naissance. On prend un ascenseur moderne et on monte vers le sommet d’une tour refaite : la grande tour ronde est entourée d’un matériau très dur et transparent, ce qui permet de voir le paysage jusqu’à la mer et de faire pousser de belles fleurs, malgré le vent. Chandra est assise devant une petite table et elle est occupée de travailler sur un PC. La servante me dit à l’oreille : — Attendez qu’elle s’adresse à vous. Je fais oui de la tête et j’attends… longtemps… elle parle en… hindi via son PC. Je ne comprends pas un mot bien sûr. Quand je dois attendre debout le bon vouloir de quelqu’un, j’attrape des crampes, puis j’ai soif et je dois faire pipi. Il paraît que c’est psychosomatique, mais je dois pisser pour de vrai. Elle termine sa conversation et me dit : — Qu’est-ce que tu as à te tortiller comme ça ? — Je dois faire pipi, Mademoiselle — Serre les fesses Sale garce ! Elle regarde son écran et ajoute : — Les gens aiment te voir te tortiller. Elle ajoute : — Ils savent que tu es une vraie pisseuse. On va leur demander si tu as le droit de pisser maintenant. S’ils disent non et que tu pisses quand même, tu seras punie. Au secours Monsieur Edgard, venez me sauver ! Chandra me montre son écran en disant : — Regarde, ils sont ici. Elle leur dit : — Chers abonnés, je ne vais pas supporter qu’elle pisse sur ma terrasse et je devrai la punir. Est-ce que je lui donne le seau à champagne pour pisser ou je la laisse pisser sur ma terrasse, puis je frotterai son nez dedans en lui claquant les fesses ? Elle me montre l’écran. Il y a ma photo, jupe relevée et culotte baissée, en train de pisser à gros bouillon !! C’est fait par une IA. Je ne vais plus tenir, je… Je vois les « oui » dépasser 100.000, c’est impossible ça… Ouch ! Je n’y tiens plus. Chandra me donne le seau à champagne qui est sur la table. Je m’accroupis dessus et je me transforme en chute du Niagara. Je pisse devant 100.000 spectateurs. Quand j’ai fini, je me secoue un peu, tandis que Chandra prend son téléphone pour appeler mon patron, elle,lui dit : — Viens avec les deux filles sur la terrasse. Pourquoi ? Qu’est-ce qu’elle a encore inventé ? Monsieur Edgard arrive avec Zara et Pearl, qui ont remis leurs uniformes. Monsieur Edgard a le mien sur le bras. Chandra s’adresse aux deux filles et à moi : — Vous trois, là-bas. Du doigt, elle nous montre l’endroit le plus éloigné d’eux. On se serre l’une contre l’autre. On les regarde et je vois que Chandra lui montre sans doute les 100.000 « oui » sur l’écran de son PC. De loin, il a l’air d’accord avec ce qu’elle propose. Lorqu'ils ont fini de parler, il l’embrasse sur la joue, puis il vient vers nous et il me dit : — On retourne au village. Puis il dit à Chandra et Pearl : — Vous retournez masser. Elles disent ensemble : — Oui Monsieur. Puis à moi : — Habille-toi et prends le seau dans lequel tu as pissé. Chandra est à nouveau sur son PC. On sort et on s’arrête devant des toilettes où je vide le seau. Ensuite, on sort du Fort Cavaux et on va vers le village. Je demande à mon patron : — Le projet de Mademoiselle Chandra n’est pas trop pénible, Monsieur ? — Je serai là. C’est gentil de me répondre ça, même si ce n’est pas une réponse. Je lui demande encore : — On y aura installé un glory hole ? — Oui. — J’irai dedans, Monsieur ? — Exceptionnellement et tu ne devras t’occuper que d’une ou deux personnes. OK… Ma confiance en moi va à nouveau en prendre un coup. Puisque je peux poser des questions sans recevoir une claque sur les fesses, j’en profite : — Monsieur, à part moi, qui y sera ? Il lève les yeux au ciel, mais répond : — Tu veux voir jusqu’où tu peux aller trop loin ? Il a l’air d’écouter quelqu’un, je crois qu’il est connecté avec Monsieur Shendy ou son double IA. Ça, j’invente, je sais que Monsieur Shendy tient les rênes des IA bien courtes, mais il s’en sert. Mon patron me répond : — Les hommes et les femmes qui ont déplu à Monsieur Shendy, genre les voleurs de données, les tricheurs, les paresseux, hommes et femmes. Toi, tu iras de temps en temps parce que tu es la fameuse Fanny et qu’on t’offrira à d’importantes relations d’affaires. Il réfléchit et poursuit : — Les femmes ou les maris infidèles, alors qu’ils se sont engagés à ne pas l’être. Et puis les gamines qui posent des questions sans arrêt. — Merci de m’avoir répondu, Monsieur… On descend toujours le chemin et là, je vois un amandier couvert d’amandes. Je dis à mon patron : — Regardez Monsieur, un amandier… Comme on est en juin, les amandes sont fraîches et délicieuses. Je peux en cueillir et vous les faire goûter ? S’il vous plaît. Mon patron lève un tout petit peu les yeux au ciel en souriant et il dit : — Oui, je suis curieux de connaître le goût des amandes fraîches. Super, je cueille les plus grosses, puis je ramasse une pierre pour casser les bogues, ensuite j’enlève la peau parce qu’elle est amère et je mets une amande nue et brillante dans le creux de la main de mon patron. Il la mange et me dit : — C’est délicieux, tu as raison. Manges-en aussi et puis on y a va, on a des choses à faire. J’aurai fait un festin d’amandes avec mon patron... Il ajoute : — On reviendra. Je lui souris, je sais qu’il tient toujours ses promesses. On s’approche du village. Je vois une espèce de tunnel de dix mètres de long à la sortie du village, on l’a entouré de plantes à fleurs pour le camoufler. Comme mon patron est de bonne humeur, peut-être grâce aux amandes, je lui dis : — Vous croyez que je vais garder un peu de confiance en moi ? — Ce que tu dois te dire, c’est que tu t’adaptes. Tu plais en tant que servante qui s’occupe des gens du peuple, mais tu plais encore plus quand tu montres que tu es aussi une dure à cuire. Je souris, dure à cuire… Il ajoute : — Tu t’es rendu compte que tout évolue tout le temps. Monsieur Shendy, Chandra, moi et toi, on est dans une aventure qui évolue. Par exemple, demain, tu vas faire des photos dans le glory hole… Et tu en seras l’égérie. Je n’ose pas lui dire que ça ne me plaît pas du tout. Il écoute la voix du patron dans son oreille et ajoute : — Ils aiment quand tu es dans des situations difficiles, mais encore plus quand tu t’en sors grâce aux votes de tes followers. Oui, ça, je m’en suis rendu compte. On arrive dans le village. Les gens me reconnaissent, bien sûr. Ils me sourient. Mon patron me dit : — On va faire quelques photos. Oh, que je n’aime pas cette idée, surtout qu’on se dirige vers… le tunnel fleuri. De près, il est beau. Un homme vient vers nous en disant : — Bienvenue, Monsieur et Mademoiselle Fanny, je suis le photographe. On va faire des photos et des vidéos de notre star. Je ne veux pas, je ne suis pas une star, je veux rentrer à Marseille ! La seule chose positive, c’est qu’il a dit « star ». On entre dans le tunnel. C’est en fait un « glory hole », un tunnel avec une cloison centrale percée de trous au milieu. Il y a une série d’ouvertures coulissantes bien rembourrées pour qu’on y pose le cou. À l’arrière, on peut avoir les poignets et les chevilles attachées. Ça ressemble comme deux gouttes de sperme à un long pilori. À Marseille, dans des cafés de l’Estaque, j’ai vu l’ancêtre du glory hole. Dans certaines toilettes, il y avait un simple trou et derrière une fille à genoux. Ça plaît aux clients de se faire sucer la bite et ça fait une économie de papier de chiottes. Le photographe me dit assez fort : — Mademoiselle Fanny !!! — Oui, pardon, je vous écoute. — On va commencer par des fellations. Une jolie fille habillée en infirmière me dit : — Vous devez avaler ces deux comprimés, Mademoiselle Fanny. Je réponds : — C’est quoi ? — Je l’ignore Mademoiselle, mais on m’a dit que vous devez les prendre. Son ton se durcit quand elle ajoute : — De gré ou de force, Mademoiselle. Oui, bon, ça va. Je les avale. Le photographe a filmé la scène, bien sûr. Il me caresse la tête en disant : — Une demi-heure de film et de photos, ça va bien se passer. Faites entrer le premier client. Oh ! C’est Jeannot. Il me regarde avec un air contrit et sort son sexe, je vois et je sens qu’il ne l’a pas lavé. S’il a l’air contrit, c’est qu’on lui a dit de ne pas le faire. Il tire sur la peau du prépuce et je le lèche. Après un petit moment, le photographe lui dit : — C’est bien Monsieur Jeannot, vous pouvez passer derrière. Une paroi coulisse et il va se mettre à genoux ou s’asseoir derrière mon cul. J’écarte les jambes et il plonge la langue la première dans mon cul. Je remue un peu les fesses. On entend un bruit, mais ce n’est pas moi, je le jure. J’entends Jeannot dire : — Tu sens trop bon. Oui, bon, c’est peut-être moi, chacun ses goûts après tout. Monsieur Jeannot doit partir, il me fait un gros baiser sur une fesse. Ensuite, c’est un défilé de bites… au moins une vingtaine, de toutes les tailles, circoncises ou pas, sales ou seulement pas propres !! Ils jouissent dans ma bouche. Je ne l’ai pas encore dit, mais sur la paroi devant moi, il y a le dessin d’une fille qui fait une fellation et l’inscription : « Si vous n’avalez pas » et en dessous le dessin d’un fouet. Tout à l’heure, je devais pisser, maintenant je voudrais vomir ET pisser. Je suis sûre que ma vessie est très gonflée. On me détache, j’ai les jambes qui tremblent et une terrible envie de pisser tout ce que j’ai avalé. Le photographe me dit : — Mets-toi de profil, je vais faire une photo de ton ventre gonflé. Je réponds : — Mais je dois faire pipi, je… Il m’interrompt : — Retiens-toi sinon on doit tout recommencer. Oh, nooooon… Heureusement, ils allument des projecteurs supplémentaires, un assistant m’apporte un vase transparent et je pisse… la partie liquide de tout le sperme que j’ai avalé. Ça va exciter qui, ça ? M’en fous, le principal, c’est que ce soit presque la fin. Le photographe me dit : — Quand tu auras fini, relève-toi pour que je puisse prendre les gouttes qui coulent le long de tes jambes. Quand c’est fait, le photographe me dit : — Super séance, Mademoiselle Fanny. Mon patron m’apporte mes vêtements et me dit : — On ne m’avait pas dit comment ça allait se passer. Tu ne feras plus ça que, de temps en temps, pour un client très important. Promis. Ouf ! Si mon patron le promet, c’est vrai.   À suivre.   Merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.   Nos livres sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search      
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Par : le 20/02/25
Élise essayait de se raisonner, à défaut de parvenir à brûler le carton d’invitation dans la cheminée ou de le ranger dans un tiroir pour l’oublier. Un douche s’imposait. Plus fraîche qu’à l’accoutumé tant car il s’agissait autant de calmer son excitation que pour se défaire de l’odeur de cyprine qui s’était mêlée à celle de sa transpiration née de la lecture du livre et décuplé encore par la réception du pli anonyme. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. Elle actionnait le robinet de la si chic douche à l’italienne, prenant soin d’ajuster le réglage du mitigeur pour que l’eau soit donc notoirement plus fraîche qu’à son habitude pour calmer son désir. Ou du moins, l’esperait-elle. Elle ôta fébrilement, un à un ses vêtements. Presque nue, elle frissonnait. Elle ne pu s’empêcher de jauger son émoi à l’aulne de la mouille dont elle avait imprégné son tanga. Elle voulu en détourner le regard en constatant l'effet de son excitation, mais le tâche déjà blanchâtre l’hypnotisait. Et elle se refusait d'y croire.  Elle parvenait finalement à laisser échapper la pièce de tissu au sol et à se glisser dans la douche. L’eau à peine tiède coulait sur sa peau, sensation désagréable mais faisant taire momentanément le tumulte qui régnait en elle. Elle ferma les yeux, cherchant à se vider l’esprit. Mais les images de ses fantasmes flashaient et flashaient encore, s'imposaient à elle. Ses doigts effleurèrent sa peau avec une lenteur non calculée, traçant des cercles imperceptibles, comme si le carton d’invitation prenait possession de sa peau. Elle visitait son corps, redécouvrait ses seins sensibles comme rarement du fait de cette excitation d'un nouveau genre. Elle glissa sa main entre ses cuisses, faisant changer par la même la trajectoire du filet d’eau. Son autre main allait se poser sur le mitigeur. La Raison qui l’avait poussée à baisser initialement la température allait la quitter. Lentement, sa main gauche augmentait la température de l’eau pendant que ses doigts de la main droite s’immiscaient en elle. L’eau était maintenant très chaude, ses seins s’étaient teintés de rouge marbrures. Plus ses tétons lui brûlaient, plus le va et vient de sa main s’accélérait, plus elle recourbait en elle son annulaire et son majeur. Pour appuyer fort. Juste là au cœur de son intimité. Son souffle s’accéléra. Son corps ondulait s’arc-bouter, sa main sur le mitigeur ne pouvait s’arrêter d’augmenter encore l’apport en eau chaude. Elle appuyait sur la gachette permettant d’outrepasser vraiment la température maximum prévue par le robinetier. Elle était habitée par une envie de subir. A en avoir mal. Elle imaginait maintenant une silhouette l’observant de l’autre côté de la vitre. Elle poussait encore et encore le robinet. Jusqu’à atteindre la butée à fond. L’eau était brulante. Elle lui faisait mal. Elle se faisait mal. Et elle aimait cela. Dans un râle roque, glutural, elle allait s’abandonner. Son corps se tendait, se contractait maintenant par saccades, par spasmes. Elle était habitée. Seule son épaule adossée contre le carrelage l’empêcher de s’effondrer. Sa jouissance était violente. Intense. Ses deux mains tremblantes, comme prises de panique, perdues, allaient se jeter sur le mitigeur pour tout stopper : la souffrance avait décuplé l’orgasme venu. C’était trop. Mais qu’avait-elle fait ?!? Que lui arrivait-il ? Lorsqu’elle rouvrit les yeux alors que la panique s'estomplait, l’eau finissait de ruisseler sur elle. Elle avait mal. Elle était mal. Elle avait peur. Peur d’elle-même. Elle parvenait à saisir le peignoir qui ne lui avait jamais paru aussi rugueux sur sa peau au point qu’elle devrait l’entrouvrir pour éviter le frottement sur ses seins maintenant écarlates et marbrés. Elle alla s’étendre sur son lit, les muscles endolorient par l'orgasme qui l'avait tétanisée. Et s’éteindre, rapidement. Elle se réfugiait dans le sommeil pour fuir celle qu’elle venait d’apercevoir dans le grand mirroir. Sur la petite table du salon, le bristol d’invitation au Cercle serait là à son reveil. Elle n’en avait pas fini... Ce n'était même probablement qu'un début Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/  
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Par : le 20/02/25
La soirée avait commencé bien avant que nous nous retrouvions tous les trois dans cette pièce aux lumières tamisées. Vicky, ma soumise de longue date, m’avait parlé de son amie K depuis quelque temps déjà. Une jeune femme curieuse, apparemment intriguée par le monde que nous partagions, mais encore pleine d’hésitations. L’idée de l’initier lentement et de lui faire goûter nos jeux avait surgi comme une évidence. Ce soir-là, Vicky et K étaient agenouillées côte à côte, prêtes à suivre mes directives, tout en ne sachant pas encore jusqu’où cette expérience les mènerait. Au début, l’atmosphère était empreinte d’une douce appréhension. K observait Vicky d’un œil admiratif, sentant probablement qu’elle pouvait compter sur son soutien pour appréhender cette première immersion. De mon côté, j’avais disposé sur une table basse le martinet et la cravache, bien en vue. L’idée était simple : les deux soumises allaient participer à un petit défi, et celle qui céderait la première paierait un gage à l’autre. Déjà, je sentais les regards mêlés d’excitation et de crainte. Je me suis avancé vers elles, prenant le temps de passer une main sur l’épaule de K, juste pour l’aider à se détendre. Le défi en lui-même était un classique dans notre univers : un jeu de pincements. Chacune agrippe délicatement les tétons de l’autre, et l’objectif est de tenir le plus longtemps possible. Vicky, qui me connaît, savait qu’il lui fallait maintenir une pression soutenue, car céder signifiait être punie. K, plus novice, avait les doigts légèrement tremblants, mais elle s’est appliquée à pincer les tétons de Vicky avec une détermination inattendue. Les secondes s’étiraient. Les sourcils de Vicky se fronçaient légèrement alors que K, les lèvres pincées, persévérait pour ne pas abandonner. Les respirations se faisaient de plus en plus sonores, chaque pincement ravivant la tension. Finalement, c’est K qui a eu un mouvement de recul, lâchant les tétons de Vicky d’un geste instinctif, comme si elle venait de franchir un seuil trop élevé. Un sourire à peine dissimulé a éclairé le visage de Vicky. Je me suis penché vers K pour lui rappeler, d’un ton calme mais ferme, la règle du jeu : « Tu as perdu, n’est-ce pas ? » Elle a hoché la tête, encore un peu essoufflée. « Alors tu vas devoir offrir une récompense à Vicky, comme convenu. » K a d’abord hésité, le regard fuyant, puis elle a compris qu’elle était prête à honorer ce petit rituel. Doucement, elle s’est rapprochée de Vicky, s’agenouillant tout contre elle. J’ai posé une main dans le dos de K, l’incitant à assumer pleinement la ‘gâterie’ qu’elle devait offrir. Alors, sans précipitation, elle a laissé glisser ses lèvres entre les cuisses entrouvertes de Vicky, son souffle chaud caressant la peau frémissante. Elle hésita un instant avant d’oser presser sa langue contre l’intimité humide de sa partenaire, savourant le goût de sa soumission. Vicky a frissonné violemment, un soupir s’échappant de sa gorge tandis que K explorait avec une maladresse délicieusement excitante. Ses mains se posaient timidement sur les hanches de Vicky, s’ancrant à elle comme pour se rassurer. Peu à peu, son audace grandit, sa langue s’affairant à dessiner des cercles langoureux autour du clitoris gonflé de désir. Les gémissements de Vicky se firent plus intenses, son corps ondulant sous les assauts de cette langue avide qui cherchait à la pousser vers l’extase. Encouragée par la réaction de sa partenaire, K approfondit ses mouvements, alternant entre légères suctions et caresses plus appuyées. Ses doigts vinrent s’ajouter à son travail, s’enfonçant lentement en elle, la faisant haleter de plaisir. Je savourais la scène, observant K se perdre dans cette initiation charnelle, absorbée par l’intensité du plaisir qu’elle procurait. Vicky, la tête renversée en arrière, s’abandonnait entièrement, ses soupirs se transformant en supplications à peine contenues. Son corps se tendait, réclamant l’apogée qu’elle sentait poindre, tandis que K, totalement immergée dans son rôle, ne relâchait pas son emprise, cherchant à la conduire jusqu’au bord de l’orgasme avec une dévotion touchante. La tension montait inexorablement, chaque coup de langue, chaque pression intensifiant l’extase qui approchait. Je laissai le moment s’étirer, savourant la perfection de cette scène, où désir, soumission et découverte s’entremêlaient dans une symphonie aussi brutale que sensuelle. Une fois la ‘dette’ honorée, j’ai laissé quelques instants de répit, puis j’ai pris le martinet en main. D’un geste ferme, j’ai ordonné à K de se mettre en position d’humilité : à genoux, front contre le sol, ses bras étendus devant elle, son dos cambré accentuant la cambrure de ses hanches. Son cul, offert sans la moindre possibilité de se cacher, exposait la moindre courbe de son intimité, la moindre pulsation trahissant sa nervosité et son excitation mêlées. Ses lèvres gonflées d’envie brillaient sous la lueur tamisée, tandis que son anus, bien visible entre ses fesses écartées, semblait attendre la moindre caresse, le moindre contact imposé. Elle savait que chaque mouvement incontrôlé lui vaudrait une correction immédiate, et cette attente la faisait frissonner. Son souffle était court, ses cuisses légèrement tremblantes sous la tension de cette posture humiliante qui la réduisait à l’état de pure offrande. Ce spectacle d’abandon total me ravissait, et je savourais chaque détail de son exposition parfaite avant d’abattre lentement le martinet sur cette chair offerte. Mais je mesurais mes impacts, veillant à ce que K ressente la morsure sans être brusquée. Ses muscles se contractaient sous chaque frappe, un frisson traversait son échine, mais elle tenait sa position, front au sol, soumise et vulnérable. Je fis un signe à Vicky, qui s’avança avec un sourire carnassier. « Viens honorer son abandon », ordonnai-je d’un ton bas et impérieux. Sans attendre, elle se pencha vers l’anus tremblant de K, sa langue effleurant la peau sensible avant de l’embrasser avec une lenteur délicieusement cruelle. K laissa échapper un soupir étranglé, ses doigts crispés sur le sol, tentant de résister aux vagues de sensations contrastées qui l’envahissaient. Vicky, plus expérimentée, s’appliquait avec une précision exquise, alternant suctions légères et coups de langue appuyés, chaque mouvement accentuant la soumission de K. Pendant ce temps, je reprenais le martinet, caressant d’abord sa peau avant de laisser les lanières claquer sur ses fesses rougies, réveillant chaque nerf déjà électrisé par l’attention de Vicky. K restait figée, son souffle court, suspendue dans ce jeu de contrôle où chaque sensation s’ajoutait à l’autre. Mon regard descendit vers son entrejambe, où l’excitation se trahissait dans la moiteur de ses lèvres gonflées. Je laissai mes doigts glisser entre ses cuisses, effleurant doucement cette humidité délicieuse, savourant la preuve irréfutable de son état. « Tu es parfaite ainsi… », murmurai-je en la caressant légèrement, jouant avec sa patience, renforçant l’humiliation de sa position. Le mélange de douleur et de plaisir la transformait peu à peu, sa respiration devenant erratique, ses gémissements étouffés se heurtant au parquet sous elle. J’aimais cette vision, cette vulnérabilité offerte sous mon contrôle, et Vicky, avec sa dévotion sensuelle, savait exactement comment la pousser à ce point de non-retour. Quand j’ai jugé le moment opportun, j’ai fait signe à Vicky de reprendre le martinet à son tour. Je me suis saisi alors de la cravache, l’agitant lentement dans l’air pour rappeler ma présence et mon autorité. Vicky, appliquée et déterminée, s’est placée derrière K, caressant doucement sa peau avant de laisser les lanières effleurer ses hanches. K se crispait légèrement à chaque contact, ses muscles tressaillant sous l’impact, mais elle ne reculait pas, luttant pour maintenir sa posture d’abandon total. C’était un ballet exquis où la discipline et la sensualité s’entremêlaient. Vicky, avec une lenteur délibérée, alternait entre des caresses apaisantes et des frappes plus appuyées, s’imprégnant du rôle de dominatrice que je lui confiais le temps de cet instant. K, elle, oscillait entre tension et relâchement, cherchant inconsciemment à s’adapter aux sensations contradictoires qui la traversaient. Je me suis approché lentement, observant avec satisfaction cette scène hypnotique. Puis, je me suis penché sur K, effleurant du bout des doigts la moiteur qui s’accumulait entre ses cuisses. Un sourire satisfait s’est dessiné sur mes lèvres en constatant l’évidence de son excitation. « Reste immobile », ai-je murmuré, ma main maintenant fermement posée sur son entrejambe, absorbant chaque frémissement qu’elle tentait de contenir. Je laissais Vicky poursuivre son œuvre, la cravache venant marquer en douceur la peau offerte, tandis que je faisais glisser mes doigts le long des lèvres trempées de K, explorant cette humidité offerte. Le jeu était parfait : douleur mesurée, plaisir exacerbé, contrôle absolu. K, dans son abandon, apprenait à goûter à la puissance de la soumission, tandis que Vicky savourait le privilège de la guider dans cette découverte intense.   L’instant crucial est arrivé quand j’ai disposé le harnais de pegging à côté de Vicky, l’invitant d’un regard à le revêtir. K, surprise, a aussitôt compris qu’elle était concernée. Il n’y avait pas besoin de longs discours : elle percevait déjà qu’elle devrait occuper une place plus ‘soumise’ dans cette scène, la nouveauté résidant cette fois dans l’échange entre elle et Vicky. Vicky, assurée dans ses gestes, a ajusté les sangles. Sa concentration faisait presque oublier la tension résiduelle qui flottait dans l’air. J’ai pris position derrière K, la cravache en main. Vicky, désormais équipée, a commencé à s’approcher de K, d’abord par de légers frôlements, testant sa réaction. K a laissé échapper un souffle saccadé, un mélange de prudence et de désir. Puis, avec une lenteur voulue, Vicky a amorcé le mouvement caractéristique du pegging. Le moment était délicat, et je veillais à ce que tout se passe en douceur. Je frôlais parfois la cuisse de K du bout de la cravache, comme pour rappeler que je régissais le rythme. Vicky, d’un geste contrôlé, a entamé cet échange intime, l’une guidant l’autre dans un équilibre fragile entre curiosité, abandon et respect des limites. Les premières sensations ont paru troubler K, qui s’est crispée avant de finalement lâcher prise. Je suivais chacun de ses frissons, prêt à intervenir si nécessaire, ma main prête à interrompre la scène au moindre signe d’inconfort. Mais K, au fil des secondes, s’est laissée porter par ce tango inattendu. Les mouvements se sont faits plus assurés, plus profonds, sans pour autant tomber dans la brutalité. Mes ordres ponctuaient leurs respirations : « Ralentis, Vicky. Maintenant, un peu plus ferme. K, respire. » Les claquements de la cravache ou du martinet, parfois simplement effleurés sur les flancs de l’une ou de l’autre, venaient renforcer la sensation de contrôle et de complicité, comme si ces objets incarnaient la cadence. La pièce résonnait de soupirs, de murmures et d’un écho nouveau : celui de deux femmes, autrefois de simples amies, apprenant ensemble une forme d’intimité qu’elles n’auraient jamais imaginée. Le visage de K exprimait tour à tour l’étonnement, l’excitation, la fierté de se prouver qu’elle pouvait oser, et la gratitude envers Vicky qui l’accompagnait dans cet acte. Quand j’ai enfin considéré que la tension avait atteint son point culminant, j’ai posé une main sur l’épaule de Vicky et une autre sur celle de K, signifiant la fin de l’expérience. Les souffles sont restés suspendus quelques instants. Vicky a lentement retiré le harnais, et K l’a aidée, encore fébrile de ce qu’elle venait de vivre. Je les ai laissées profiter de cette complicité toute neuve, observant leurs regards qui semblaient chargés d’une forme de respect mutuel, presque bouleversant. Le silence qui a suivi était doux, enveloppant, loin de la gêne qu’on aurait pu imaginer. Elles se sont enlacées, submergées par l’intensité du moment, tandis que je les regardais, satisfait d’avoir pu orchestrer cette découverte. Dans un souffle, K a glissé quelque chose à l’oreille de Vicky, un mot que je n’ai pas saisi, mais qui a fait naître un sourire sur les lèvres de ma soumise habituée. Un sourire qui, à lui seul, résumait la soirée : la naissance d’une nouvelle connexion, une exploration partagée, et la promesse d’autres moments à venir, où le plaisir s’allie à la confiance pour repousser ensemble les frontières du désir.    
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Par : le 19/02/25
Dans une relation BDSM, la permission ne se limite pas à un échange de règles ; elle constitue la clé d’une dynamique de pouvoir consensuelle et évolutive qui influence la psychologie des partenaires. Cet article explore comment la permission s’articule dans la vie quotidienne et comment elle renforce la confiance, tout en soulignant ses défis et son évolution au fil du temps. 1. La Permission comme Lien Psychologique Au-delà d’un simple rituel formel, la permission crée un lien psychologique fort entre le Dominant etet l'esclave. Par exemple, lorsqu’une esclave demande la permission de modifier son comportement ou de réaliser une action, elle affirme consciemment sa position tout en renforçant la hiérarchie. Ce geste n’est pas une contrainte, mais un échange qui permet au Dominant de prendre en compte les besoins et limites de son partenaire, établissant ainsi une relation de confiance et de soutien. 2. La Soumission Consciente et l’Expression Quotidienne En transformant la soumission en un choix éclairé, la permission permet à l'esclave de participer activement aux rituels relationnels. Un exemple peut être constaté dans des gestes quotidiens – comme demander avant de s’asseoir ou de choisir une tenue – qui renforcent l’engagement mutuel et créent une tension excitante. Ces rituels quotidiens apportent non seulement structure mais offrent également au partenaire esclave une manière de redéfinir constamment ses désirs et limites. Au fil du temps, ces gestes, initialement symboliques, évoluent et se transforment en rituels profondément ancrés dans la relation, permettant une réévaluation des règles et une renégociation des attentes au fur et à mesure que les partenaires grandissent ensemble. 3. L’Utilisation et l’Évolution des Micro-Permissions Les micro-permissions, ces petites demandes de la vie quotidienne, rappellent en permanence l’existence d’une dynamique de pouvoir. Par exemple, demander la permission de prendre une décision apparemment anodine, comme choisir une activité de loisir, contribue à tisser un lien constant entre les partenaires. Avec le temps, ces micro-interactions peuvent évoluer en véritables rituels, intégrant des ajustements selon les changements des désirs personnels et des situations de vie. Cette évolution permet d’éviter que les gestes ne deviennent mécaniques et souligne la nécessité d’une communication régulière pour maintenir la dynamique vivante et authentique. 4. La Sécurité Émotionnelle et la Gestion des Enjeux L’établissement d’un cadre clair par la permission crée une sécurité émotionnelle permettant à l'esclave d’explorer sa soumission en toute confiance. Une structure bien définie aide à prévenir les malentendus et à mieux gérer les émotions liées aux moments de tension ou d’incertitude. Cependant, il est important de souligner que cette structure doit rester flexible. La gestion des émotions peut varier : si dans certains cas, la permission renforce l’intimité et le sentiment de protection, dans d’autres, une routine trop figée risque de générer des malentendus ou une forme de distancing émotionnel. C’est dans cette capacité d’adaptation et d’introspection que réside la réussite de la dynamique. 5. Communication et Confiance : Les Piliers de l’Évolution Une communication ouverte et honnête représente le socle sur lequel repose toute relation BDSM saine. Qu’il s’agisse d’échanges verbaux, écrits ou symboliques, la transparence dans l’expression des besoins et des limites permet aux partenaires d’ajuster leurs interactions au fil du temps. La confiance s’installe progressivement à travers cet échange constant et évolutif. En partageant également leurs ressentis, les partenaires peuvent identifier ensemble les moments où la dynamique doit évoluer ou être négociée, assurant ainsi un équilibre entre structure et adaptation aux nouvelles circonstances. Conclusion: La permission dans une relation BDSM est bien plus qu’une simple formalité : elle constitue un outil puissant pour créer et maintenir une dynamique de pouvoir évolutive, renforcer la confiance et favoriser une intimité profonde. En intégrant des rituels quotidiens et en adaptant continuellement les règles aux évolutions personnelles, les partenaires peuvent naviguer en équilibre entre structure et flexibilité. Cette approche permet non seulement d’explorer et de redéfinir les désirs, mais également de gérer de manière constructive les enjeux émotionnels, assurant ainsi une relation épanouissante, enracinée dans l’écoute et la confiance mutuelle.    
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Par : le 19/02/25
Marre…Mâle…Mal… Allez, on va crever l’abcès et commencer par le commencement… Sur terres il y a…les femmes et les hommes… Je ne vous apprends rien je sais… Depuis que je suis jeune, depuis, on va dire que je suis en âge de comprendre les relations hommes/femmes et surtout depuis que je suis attiré par la gente féminine, j’ai toujours eu la même posture…c’est l’homme qui dirige. Alors attention, je sens que les féministes frustrées de la culotte vont venir en disant…oui l’égalité..patati…patata… Je ne vous parle point d’égalité ici. Car sur le fond, je suis pour légalité, notamment des droits, des salaires…patin couffin… Mais…Mais.. je suis de la vieille école, de ceux qui allaient bosser, pendant que Madame éduquait les enfants, leurs faisait les devoirs, tenait (d’une main ferme) la maison … Bref, ce qui aujourd’hui est revendiqué comme tradwife, soit par des bobos en quête d’hormones, soit par des femmes, qui trouvent que les hommes n’ont n’en plus… Alors quand je dis que c’est l’homme qui dirige, je ne dis pas que elle doit se taire et obéir (elle peut parler et obéir 😊 ) non, j’aime les échanges, les discussions, mais il y a des principes, des valeurs. Comme le principe que Monsieur doit porter les charges lourdes, passer devant pour braver le danger (ou tout simplement ouvrir la porte : ) ) bref, tout ce qui faisait les valeurs et principes des couples. Les enfants avaient des repères, une éducation… Il y a donc les Hommes et les Femmes, les Mâles et les Femelles… Instinctivement, cela se reconnait, la femme qui a envie d’être soumise, de domination, qui a ce besoin instinctif d’être prise en main , parfois maltraitée, brusquée, utilisée… Mon expérience avec les femmes, les soumises, me l’a clairement montré , confirmé, elles aiment être dominées. La frontière entre soumise et esclave a parfois été franchie d’ailleurs… Mais tout cela a été voulu, consenti, apprécié… Alors parce qu’il faut de tout dans un monde, il y a bien sur les femmes dominatrices, évidemment vous vous doutez que je peux oui bien sur discuter avec elles, mais que on va pas être pouvoir avoir une relation 😊. Et les neutres…ah les neutres, on va dire ça comme ca, celles qui pour moi ne font que suivre le mouvement de la société, ne prennent pas partie, position, car, d’un coté ou de l’autre, houla c’est mal, celles qui pour moi ont le moins de personnalité d’ailleurs, celles-là me qualifiaient de macho. Alors quand je vois la société qui part en confiture, qui se délie, quand je vois dans les magasins que madame pousse le cady, et fais porter les courses (c’est pour schématiser) alors je me dis que …. Oui je préfère être macho, avoir des principes et des valeurs. La question n’est pas que toutes les femmes doivent être soumises, que je n’accepte pas les dominatrices, ou que sais-je, mais je trouve que cette société perd ses valeurs, ses convictions. Voilà c’était mon coup de gueule de la journée…
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Par : le 19/02/25
Avant d'aller me coucher, un dernier tour sur le site.. Et je tombe juste sur ça: "modérateurs-trices" Ma question est donc celle-ci: Est-ce que cela rend le texte plus lisible pour autant? Non ! Du moins, pas à mon point de vue ! Cela aurait même tendance à le rendre illisible ! Oui ! je sais ! Cela fait "je suis dans le coup, je suis "in"! je suis ouvert d'esprit, dans le vent ! Cool ! Mais quand on voit les fautes grossiére d'écriture, le "ce débattre" pour se débattre... Est-ce bien la peine de rajouter cette MERDE d'écriture inclusive pour faire genre (pour parler 'djeune") et rendre les textes indigestes à lire? La questions se pause !!!! (est-ce qu'avec les fote grossière le message passe mieux? s'il faut en passé par la, alors allonsy! se peut étre intéressant de le savoar!) Alors oui, je suis con !!!! Vous pouvez même y rajouter intolérant, d'extrême droaate, facho, réac, et tous les adjectifs pour me faire taire! Les mots sont lancés, cela clos la discustion ! Mais quand on pense que, à l'école,et ailleurs,  il est plus important de rendre un texte illisible par cette FOUTUE écriture dite insclusive que sur les fautes d'aurtho, d'ordo, bref de ce machin inutile... PS! oui, il m'arrive aussi, suivant mon état de fatigue, de faire des fautes d'orthographe, surtout quand je laisse couler en chat, par exemple mais doigts sur le clavier., me concentrant plus sur le message que sur ce foutu truc! Mais pour qu'un message soit clair, il est nullement nécessaire la paine de l'alourdir avec une écriture dite "inclusive" mais qui exclus nonseulement les vieux cons (dont je fais parti, je l'avoue volontier! mais aussi tout ceux dont la lourdeur du texte rebute !!!! Sur ce, je vais me coucher !!!!  
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Par : le 19/02/25
Bonjour à toutes et à tous, Je me présente à vous avec un récit en plusieurs chapitres, entièrement imaginé par mes soins. 🫣 Ce récit racontera l’histoire d’un jeune homme, aspirant soumis, qui fera la rencontre d’une Dominatrice expérimentée… Une femme qui saura le guider, le façonner, et peut-être faire de lui ce qu’il rêve d’être. Ce premier chapitre, s'intitule "L'Éveil. ' Vos retours sont évidemment les bienvenus dans l’espace commentaire, qu’ils soient positifs ou négatifs (ces derniers sont parfois moins agréables, mais souvent plus instructifs...). PS : Je suis loin d’être écrivain, simplement un apprenti soumis en quête d’exploration… Bonne lecture à toutes et à tous ! 😁   Par une belle journée ensoleillée, Sam se rendit en ville avec une amie. Ils vivaient tous deux dans une vaste cité, peuplée de plusieurs centaines de milliers d’homo sapiens évolués. La culture, la diversité et les musées en tout genre faisaient partie intégrante de la ville. Cependant, les beaux jours étant rares, nos deux protagonistes décidèrent d’en profiter pour user leurs souliers. La ville offrait un choix infini de possibilités, mais les espaces verts, eux, restaient plutôt rares. Ils prirent donc la direction de l’un des rares parcs de la métropole. Dimanche ensoleillé oblige, les rues étaient bondées. Leur marche fut entravée par des embouteillages humains et le concert incessant des klaxons. Pourtant, malgré cette agitation ambiante, Sam se sentait plus décomplexé que jamais. Jessica, sa fidèle meilleure amie, était pour lui un véritable sanctuaire de bienveillance et de sérénité. Ils ne se connaissaient pas depuis si longtemps, et pourtant, ils avaient l’impression de s’être trouvés dès le premier jour de leur éveil intellectuel. Jess’ faisait énormément de bien à Sam. Contrairement à lui, elle était extravertie, joueuse et débordante d’énergie. La honte, la peur et le jugement semblaient être des concepts étrangers pour elle. Toujours ouverte aux possibilités que la vie pouvait lui offrir, elle faisait face aux aléas avec une aisance presque insolente. Les déconvenues ne l’épargnaient pas, bien sûr, mais elle savait habilement déjouer les pièges et contourner les tracas qui se dressaient sur son chemin. Il faut dire que Sam était presque son opposé. Il n’était pas maladivement timide, mais pas très sociable non plus. Il s’inquiétait souvent pour un rien, se torturait l’esprit pour peu de choses et s’en voulait facilement. Profitant tout de même d’un physique avantageux, il capitalisait principalement sur cela pour plaire à la gent opposée, sans immense succès, bien entendu. Jessica, elle, était tout l’inverse. Elle croquait sa jeunesse à pleines dents, sans retenue, repoussant à plus tard les préoccupations liées au vieillissement. "Je penserai au régime quand mes premières rides apparaîtront", plaisantait-elle souvent. Elle parlait de ses aventures de manière décomplexée, n’oubliant jamais un détail, ce qui avait le don de faire rougir Sam. Il lui disait toujours : — "Tu n’es pas obligée de tout me dire, tu sais…", lui lançait-il d’un ton à la fois amical et désabusé. — "Sans les détails, c’est moins visuel, tu ne peux pas vraiment comprendre." répliquait-elle en grimaçant. Nos deux amis finirent par arriver à destination : le plus grand parc de la ville. Comme mentionné plus tôt, la métropole en comptait peu, mais celui-ci restait tout de même grandiose. Ils poursuivirent leur marche, discutant de tout et de rien. Finalement, ils trouvèrent un coin en plein soleil et s’allongèrent dans l’herbe. Le temps passa, et leur conversation continua, devenant de plus en plus détendue. À mesure qu’ils parlaient, ils se sentaient tous deux à l’aise, décontractés. Jessica, fidèle à son franc-parler, ressentait le besoin de se confier plus profondément à son ami. Cependant, même pour elle, ce qu’elle s’apprêtait à lui révéler nécessitait un certain courage. Une sensation inhabituelle monta en elle… on pourrait presque parler d’une certaine gêne. Elle voulait lui parler de certains de ses fantasmes les plus profonds, des désirs qu’elle n’avait jamais avoués à personne. Trop personnels, même pour elle. Bien entendu, elle ne comptait pas les lui dévoiler de but en blanc ; elle amorcerait d’abord la conversation sur la sexualité, instaurant une transition naturelle. Son côté direct ne l’empêchait pas d’avoir du tact. Petit à petit, elle approfondit le sujet avec Sam, jusqu’à finir par avouer l’inavouable. Sam fut réellement surpris. Il n’aurait jamais imaginé que son amie puisse nourrir de tels désirs. Pourtant, il l’écouta sans l’interrompre, comprenant instinctivement qu’elle avait besoin de parler. Après tout, s’ils étaient si proches, c’était aussi parce qu’ils savaient l’un comme l’autre qu’ils ne se trahiraient ni ne se jugeraient jamais. Jessica continua donc son récit, allant jusqu’au bout de ses pensées sans détour. Cette démonstration de courage et d’audace impressionna profondément Sam. Lui, qui s’autorisait si peu de fantaisies, qui bridaient autant ses envies que ses pensées, prenait soudain conscience de l’immense fossé qui le séparait de son amie, pourtant si proche de lui. Il ne pouvait s’empêcher de rester pensif, comme perdu dans ses réflexions. Jamais il n’aurait pu avouer de telles choses… même à Jessica. Et pire encore, il se demandait s’il aurait seulement été capable de se l’avouer à lui-même. Sentant son humain préféré perdu dans ses pensées, Jess s’exclama : — "Eh oh ! Le penseur fou est encore là ? Il y a encore quelqu’un là-haut ?", dit-elle d’un ton amusé. Puis, elle ajouta : — "Allez, ça va, c’est juste du sexe, tu ne vas quand même pas changer ta manière de me voir pour ça ?" — "Bien sûr que non ! Excuse-moi, je ne voulais pas te contrarier… C’est juste que… tu m’impressionnes, voilà tout. Non, en fait, tu es vraiment épatante !" Il marqua une pause avant d’ajouter avec un sourire sincère : "D’ailleurs, je suis flatté… Si tu peux me confier ça, c’est que tu me fais vraiment confiance. Je suis touché." — "Oh non, même pas tant que ça !" répliqua-t-elle avec ironie. "Je sais juste que tu n’aurais pas le cran de balancer, t’aurais trop peur des répercussions." Ils échangèrent un sourire complice, et cette petite plaisanterie détendit immédiatement l’atmosphère. Puis, Jess reprit, malicieuse : — "Mais dis-moi… toi, tu n’aurais pas quelques petits fantasmes cachés, par hasard ?", lança-t-elle avec un grand sourire en coin. — "Non, non, non, pas du tout, vraiment pas." répondit-il, visiblement peu assuré, se raidissant d’un coup et détournant le regard. Jessica comprit immédiatement qu’elle avait touché un point sensible. Elle le supplia alors de tout lui raconter. Encore et encore, Sam répétait qu’il n’y avait rien à dire, mais elle connaissait son ami mieux que personne et savait parfaitement qu’il mentait. Finalement, après quelques secondes d’hésitation, Sam craqua : — "Bon… peut-être que j’en ai un, mais je ne te le dirai jamais. C’est trop personnel, je ne peux pas.", lâcha-t-il, visiblement mal à l’aise. — "Oh allez, Sam, t’es pas cool ! Moi, je me suis mise à nu ! Et puis c’est moi, quoi ! Comme si j’allais partir en courant !" protesta-t-elle, légèrement vexée par son silence. Sentant que son amie attendait un véritable échange et non un mur de réticences, Sam finit par céder : — "Bon… ok. Mais tu jures que tu ne dis rien ! Secret à vie !" — "Évidemment !" — "Promis ?", demanda-t-il en la fixant avec de grands yeux. — "Mais oui, Sam !" — "Vraiment, vraiment promis ?" Il savait pertinemment que Jessica ne trahirait jamais sa confiance. Il tentait juste de gagner du temps, essayant de rassembler son courage. — "Bon, tu craches le morceau à la fin ou on en reste là ?", lança-t-elle, faussement agacée. — "Oui, bon… c’est vrai qu’il y en a peut-être un…", admit-il finalement en baissant les yeux, gêné. — "Allez, Sam, je vais pas te manger, tu sais." — "Bon, j’avoue que parfois… je peux m’imaginer dans une position… disons… plus… à nu avec les filles." — "De quoi ?" répondit-elle en plissant les yeux, comme si elle tentait de lire en lui. "Je ne comprends pas vraiment où tu veux en venir." — "Baaaaaah…" Il prit une grande inspiration avant de lâcher d’une traite : "Disons que je fantasme un peu sur le fait d’être… dominé légèrement par une fille… Pas vraiment hein ! Juste un petit peu, histoire de tester, quoi…"   Sam ne disait pas toute la vérité. Il ne fantasmait pas sur le fait d’être "légèrement dominé par une fille". Il rêvait d’être aux pieds d’une déesse. Il rêvait de lui appartenir corps et âme, de se donner entièrement à une femme sadique qui saurait le façonner à son image. Une femme qui prendrait le contrôle de tout : sa sexualité, ses pensées, ses actes. Ce qu’il désirait réellement n’avait rien de léger, rien de tendre. Il voulait devenir un objet, une chose, une pute que l’on souille. Il rêvait de ne plus avoir le droit à rien sans l’accord de son dieu. Mais ça, jamais il n’aurait pu l’avouer à Jessica. Jess reprit la discussion en tapant sur son épaule : — "Mais c’est tout ? Il ne fallait pas te faire tant de souci pour ça ! J’ai eu peur, j’ai cru que t’allais m’avouer un truc horrible !" dit-elle avec un grand sourire. Puis, haussant les épaules, elle ajouta : — "Franchement, je comprends… Moi aussi, ça m’excite d’être soumise. J’ai déjà essayé une fois, c’était une bonne expérience ! Ce n’est pas forcément ma came, mais c’était sympa. Pourquoi pas réessayer un jour, si l’occasion se présente." La légèreté de Jess fit un bien fou à Sam. Il s’était imaginé une situation dramatique, et voilà qu’elle tournait le tout en une discussion des plus banales. — "Ah bon ? Tu trouves ça… classique ?" demanda-t-il, surpris. — "Bah, oui et non… Disons que c’est loin d’être honteux !" répondit-elle avec un grand sourire, fidèle à sa légèreté habituelle. Ils n’approfondirent pas davantage le sujet et continuèrent de discuter de tout et de rien pendant des heures. Le temps passa, et le soleil commença lentement à décliner. La chaleur de cette belle journée s’apaisa, les ombres s’étiraient sur l’herbe. Voyant cela, ils décidèrent de rentrer, toujours à pied, toujours en bavardant. Ils habitaient à cinq minutes l’un de l’autre, et comme à son habitude, Sam insista pour raccompagner Jess chez elle, en parfait gentleman. Une fois arrivés en bas de son immeuble, Jessica s’arrêta net et lança, d’un ton malicieux : — "Tu sais, Sam, j’ai une super copine que j’ai rencontrée en soirée. Elle m’avait parlé d’un de ses fantasmes… Je te préviens tout de suite, elle est un peu plus vieille que nous, mais qu’est-ce qu’elle en impose !" Sam comprit instantanément ce que Jessica allait lui dire. En une fraction de seconde, c’était comme si des années de fantasmes et de masturbations défilaient devant ses yeux. Jessica, elle, poursuivit, avant même qu’il n’ait eu le temps de réagir : — "Je sais que son kiff, c’est vraiment de dominer les mecs. Et elle n’en est pas à son coup d’essai… Je crois bien qu’elle en a déjà dressé plus d’un !" dit-elle d’un ton amusé. Puis, voyant son ami figé, elle continua, un brin provocatrice : — "Et la dernière fois que je l’ai vue, elle m’a dit qu’elle n’avait plus d’homme avec qui jouer en ce moment. Écoute… Je ne sais pas si tu veux aller plus loin dans ton fantasme, mais sache que je peux te filer son contact. Je la connais bien, et je sais que tu es totalement son type d’homme ! Tu devrais essayer, histoire de te lâcher un peu… Ça te ferait pas de mal un petit coup de fouet !" lança-t-elle en s’étouffant à moitié de rire. Sam n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche que Jessica enchaîna : — "Je vois bien que t’en as envie ! Tu sais quoi ? Je te laisse pas le choix. Je t’envoie son contact ce soir, et je lui envoie le tien. Elle saura à qui elle parle ! T’inquiète pas, t’es mon meilleur ami, je vais bien te vendre !" Et avant qu’il n’ait pu protester, elle lui fit un clin d’œil et s’éclipsa dans son immeuble. Sam resta là, immobile, seul avec ses pensées. Il sentit une légère pression au niveau de son entrejambe. Si lui hésitait encore, son anatomie, elle, semblait lui crier de foncer. Il rentra chez lui, l’esprit en vrac, perdu dans un mélange d’excitation et de crainte. Tout était allé beaucoup trop vite. Dans cet état second, il n’arriva pas à penser clairement jusqu’à ce qu’il se retrouve dans son lit. Pris par l’émotion, il ne put s’empêcher de s’accorder un petit plaisir solitaire… Son affaire terminée, il fonça sous la douche pour se calmer et se détendre. Il en avait bien besoin. Cette discussion l’avait littéralement chamboulé. Comme à son habitude, il avait pris son téléphone avec lui pour écouter de la musique sous l’eau… mais, pris par l’urgence, il l’avait laissé dans sa chambre. Une fois propre, il retourna dans sa chambre et entreprit de ranger rapidement le désordre ambiant. Il fit son lit, enfila son pyjama… Puis, enfin, il se coucha et attrapa son téléphone. Son cœur manqua un battement. Sur l’écran, un message d’un numéro inconnu. "Jess m’a parlé de toi. J’attends tes dispos pour un café." Sam écarquilla les yeux. Ça y est. C’était réel.    
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Par : le 18/02/25
Il est possible de classer les termes et concepts BDSM selon un certain degré d'implication et de contrôle, bien que cela ne soit pas nécessairement une hiérarchie stricte et fixe. Chaque personne peut avoir une interprétation différente de ces termes et de leur signification, et il est important de communiquer clairement et ouvertement avec votre partenaire pour vous assurer que vous êtes tous les deux à l'aise avec le niveau d'implication et de contrôle dans votre relation BDSM. Jeux sexuels occasionnels : Les jeux sexuels occasionnels sont des activités BDSM qui sont pratiquées de manière ponctuelle et qui ne dépassent pas le cadre du jeu sexuel. Ces activités peuvent inclure des jeux de rôle, du bondage ou de la douleur, mais restent confinées à la sphère intime. Jeux de rôle avancés : Ce niveau implique des scénarios BDSM plus élaborés, avec une exploration plus poussée des dynamiques de pouvoir, sans pour autant aller jusqu'à la soumission complète. Les partenaires s'engagent dans des jeux de rôle complexes, tout en conservant une certaine autonomie. Partenariat de pouvoir : Le partenariat de pouvoir est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel les deux partenaires ont un certain degré de contrôle et de pouvoir dans la relation. Ils travaillent ensemble pour prendre des décisions et définir les règles et les limites de leur interaction. Contrats de service : À ce niveau, un contrat formel est établi entre le dominant et le soumis, définissant les tâches, les responsabilités et les limites du soumis envers le dominant. Cependant, le soumis conserve une autonomie en dehors de ces moments contractuels. Soumission partielle : La soumission partielle est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel la soumission est limitée à certains aspects de la vie, tels que les activités sexuelles ou les décisions liées à la vie privée. Le soumis accepte de se soumettre à certaines demandes ou instructions du dominant, tout en gardant un certain degré de contrôle sur sa propre vie. Contrats de service : Un cadre formel dans lequel un accord écrit ou tacite définit les tâches, responsabilités et limites spécifiques attribuées au soumis par le dominant, tout en assurant que l'autonomie demeure préservée en dehors de ces engagements contractuels. Relation maître/esclave à temps partiel : À ce niveau, le soumis accepte une dynamique maître/esclave, mais seulement dans des contextes ou moments précis, conservant une autonomie en dehors de ces moments. Soumission complète : La soumission complète est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel le soumis accepte de se soumettre entièrement au dominant dans tous les aspects de sa vie, y compris les décisions quotidiennes, les finances, les relations et les activités. Le soumis transfère entièrement le contrôle de sa vie au dominant, tout en pouvant conserver certains droits et privilèges. Relation maître/esclave à long terme : Ce niveau implique une dynamique maître/esclave établie sur le long terme, avec un transfert important du contrôle. Cependant, des mécanismes de sauvegarde et de négociation peuvent être mis en place. Soumission 24/7 : La soumission 24/7 est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel le soumis accepte de se soumettre entièrement au dominant en tout temps, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Le soumis est constamment sous le contrôle du dominant, même en dehors de la maison ou en public. Esclavage consensuel : Ce niveau met l'accent sur le consentement et la négociation, avec des droits et privilèges clairement définis pour l'esclave. Les esclaves peuvent avoir des mécanismes en place pour garantir le respect de leur consentement et de leur bien-être. Propriété personnelle : Ce niveau extrême implique que le soumis accepte d'être la propriété personnelle du dominant, sans aucun droit ni privilège, se rapprochant de l'esclavage sans le consentement explicite.  Esclavage (Slavery) : L'esclavage est un rôle dans lequel une personne accepte d'être la propriété d'une autre personne, généralement appelée le maître ou la maîtresse. Les esclaves sont souvent considérés comme des objets ou des biens, et peuvent être utilisés pour le plaisir ou le service de leur maître ou maîtresse. Culte de la personnalité : Ce niveau implique une forme de vénération et de soumission totale envers le dominant, allant au-delà du simple transfert de contrôle. Le soumis voue un culte à la personnalité du dominant, l'idolâtrant et se soumettant complètement à son autorité. Total Power Exchange (TPE) : Il s'agit d'une forme extrême de domination et de soumission dans laquelle une personne transfère entièrement le contrôle de sa vie à une autre personne. Dans un TPE, le dominant prend toutes les décisions importantes et le soumis n'a aucun contrôle sur sa propre vie. Les TPE sont souvent des relations à long terme et peuvent inclure des éléments de soumission, d'esclavage ou de propriété. Total Life Control (TLC) : Le Total Life Control (TLC) est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel une personne accepte de se soumettre entièrement au dominant dans tous les aspects de sa vie, y compris les décisions quotidiennes, les finances, les relations et les activités. Dans une relation de TLC, le soumis transfère entièrement le contrôle de sa vie au dominant, y compris tous les aspects de son existence. Le Total Life Control (TLC) est souvent une forme extrême de soumission et de contrôle, et peut inclure des éléments d'esclavage ou de propriété Il est donc primordiale, avant de commencer une relation d'être bien sûr d'être sur la même longueur d'onde et donc de bien définir la relation ! Pour ma part, vous l'aurez compris avec mon annonce que je ne peux que commencer à partir du 8. Mais ce genre relation est une spirale dans laquelle nous nous enfoncons inexorablement... avec le temps, la confiance étant là, le but est d'atteindre le 16.... Voir le 17.... Oui! je sais! il n'est pas là....  
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Par : le 18/02/25
Daddy Ernest est trader pour son propre compte, depuis des paradis fiscaux. Cela fait longtemps déjà qu'il a fait fortune. Il est très doué.  Un sixième sens inné pour sentir les bon coups. Après une vie désastreuse avec une meuf dont il était fou amoureux au début, il a décidé de ne plus baiser que des superbes sissys bien soumises et obéissantes. Depuis il prend son pied. Il habite dans une superbe maison, sur une île de l'atlantique nord où les impôts sont quasi inexistant.  Une vie de rêve et de luxe. Il a pris soin de se choisir pour son harem de sissys, les plus belles, avec un cul serré et bien souple. Il vit avec ses trois femelles dévouées.  Il adore faire l'amour et a de gros besoins. Ses sissys sont toutes les trois sous cages de chasteté et avec des implants mammaires pour former de superbes seins comme il aime. Daddy Ernest est très généreux mais il veut une obéissance et une fidélité absolue.  C'est un bon Daddy.  Il en a une très grosse et ses sissys doivent trouver le plaisir uniquement par sissygasmes. Bien baisees, elles sont heureuses avec lui. Elles doivent toujours se tenir prête pour une saillie.  Daddy Ernest n'aime pas les préliminaires.  C'est un defonceur de petites chattes anales bien serrées.  Faut pas faire sa chochotte quand Daddy a envie.  Il aime aussi claquer les fesses de ses trois soumises. Il frappe fort mais c'est jouissif pour ses sissys. Elles adorent avoir le cul bien rouge et filent droit.  Daddy Ernest aime être obéi en tout et pour tout.  Dans son harem, chacune de ses trois sissys a sa tâche. Ce sont de très bonnes femmes d'intérieur qui savent choyer leur Daddy.  Si Cadetroussel avait 3 maisons, Daddy Ernest a trois petits culs de jolies sissys à son service exclusif. A chacun ses choix de vie. 
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