La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 30/05/24
"Ce n'est pas dans la recherche du bonheur que l'on trouve le bonheur, mais dans la recherche de la raison d'être." - Viktor Frankl L'engagement tel que je le conçois, va bien au-delà des promesses classiques que l'on pourrait trouver dans une relation traditionnelle.  Il est un pacte sacré, une acceptation mutuelle des rôles, une exploration commune des désirs les plus intimes et souvent des plus cachés. Cet engagement nécessite une ouverture totale, une honnêteté sans fard qui permet  de se découvrir et de se redécouvrir constamment. Dans ma compléxité BDMèSque, l'engagement tel que je le conçois est d'abord et avant tout un engagement envers soi-même. Il demande à chacun de se connaître profondément, de comprendre ses besoins, ses limites, ses désirs et ses peurs. Base sur laquelle  se  construit la relation avec Son autre, car sans cette connaissance intime il est impossible de s'ouvrir véritablement à Son autre.   Il s'agit, non pas  de se rendre vulnérable, seulement d'être tel que l'on est, sans jouer un role autre que le sien, de confier ses plus profonds secrets et de recevoir ceux de l'autre avec bienveillance et compréhension. Cet engagement tel que je le conçois se manifeste dans le respect,  dans l'écoute attentive,  (l'extrême attention n'est pas un vain mot), le regard  ou se reflète le coeur de Son autre. Apprendre à connaître Son autre est essentiel dans ce voyage. C'est cette connaissance intime, patiemment tissée à travers des moments partagés, des conversations profondes, qui crée LE lien véritable. De cette compréhension mutuelle naît le sentiment d'appartenance et le désir de s'engager pleinement. Connaître son partenaire dans toute sa complexité et sa profondeur, chaque choix et chaque geste renforcent Le lien existant, celui que l'on alimente à chaque instant. Se nourrir de cette exploration constante  de pouvoir et de soumission.  Trouver cet équilibre entre le contrôle et l'abandon, entre le donner et le recevoir. Cet équilibre  fluide, fragile parfois, demande une attention constante, ce qui rend cette connexion si spéciale, si intense. L'engagement tel que je le conçois, est une promesse de respect, de confiance et de dévotion. C'est un espace intime , une bulle hors du temps, où la vulnérabilité devient une force, où l'exploration des désirs mène à une intimité profonde, et où chacun trouve  Sa liberté dans celle de Son Autre. Etre pleinement soi-même, dans toute la complexité et la beauté. Une toile tissée où chaque fil est un choix, chaque nœud, un lien solide, créant un réseau qui soutient et enveloppe. Lifeislife  
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Par : le 29/05/24
[ 4 octobre, le mot : " nœud" ] INKTOBER J'ai FAIM Faim de Vous, de Votre nœud Non, pas le nœud papillon L'autre Celui qui me ravit, qui me ravage Qui me séduit, qui s'impose En sa présence, je n'ose Rompre le nœud qui nous lie Nœud qui me nourrit et m'étouffe Me hante et me poursuit J'ai FAIM De ce ravage De ces outrages N'être pas sage J'ai FAIM A la mord-moi le nœud ? Vous n'oseriez pas Me proposer cela Un risque à prendre Mes mâchoires acérées Si, vous oseriez. Sans craindre d'être pris Pour une tête de nœud J'ai FAIM Laidy Sienne, tous droits réservés 2021 – Ne pas reproduire sans mon autorisation
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Par : le 29/05/24
Zuip ordonne et elle obéit. Toujours elle obéit. « A genoux. Vite ! » Aussitôt elle s’exécute. « Tête baissée ». « Je veux ton abnégation. Ton humilité ». Elle ploie sous les mots. Ses épaules s’affaissent. Elle devient cette chose. Obéissante. Docile. Humble. Cette chose entre ses mains. Sous son regard. Prise dans l’obéissance. Cette chose qui toujours l’émeut. « Empoigne ta chatte. «  « Triture. Malaxe » Il bande de la voir obéir. Il bande de la voir presser, broyer sa chatte, toute sa vulve serrée dans sa main. Il écoute son souffle. Ses gémissements. Pose sa main sur sa nuque. Sur son crâne. Il aime tenir son crâne dans sa paume. Faire ainsi d’elle sa femelle. L’attrape brusquement par sa tignasse. Et lui tire la tête en arrière. Voir sa gueule ! Voir sa gueule dans l’obéissance et le plaisir. « Continue. Et glisse un doigt dans ta chatte. Branle ». Alors il la gifle. Plusieurs fois. Fort. Elle en grogne. « Branle. Branle plus vite. Branle plus fort. » Elle est aux ordres. Elle obéit. Elle subit. Les gifles. Et sa bite qu’il promène sur son visage. Sur ses joue, son front, son nez. Il tourne autour de sa bouche. Avant de s’y engouffrer. Pour s’y imposer. Toute sa bite. Au fond. Qu’elle s’en étouffe ! Pour importe son plaisir à lui… Il ne se branle pas dans sa bouche. Il s’impose. « Branle. Remplis-toi. Plusieurs doigts ». Jusqu’à ce qu’il s’arrache à bouche. A sa bave. Qui coule. Voir alors son regard. Ses yeux d’un bleu intense. Voir sa bouche suffoquant en manque. Alors il attrape la cravache. Pour dessiner ses courbes. Pour qu’elle craigne. Simplement la frôler. Et s’agenouiller derrière elle. L’empoigner aux hanches. Fort. Il empoigne pour lui faire mal. Il empoigne pour l’encourager. Il l’empoigne pour la marquer. Il l’empoigne comme s’il la branlait. Jusqu’à ce qu’elle jouisse. « C’est ta seule issue ».
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Par : le 27/05/24
J’ai été toute contente de recevoir l’invitation de Georges. Nous faisions du tchat sur le site bdsm depuis quelque temps déjà en échangeant sans tabou des confidences sur nos fantasmes érotiques les plus secrets. Il connaissait mes sombres désirs de soumise exhibitionniste et je n’ignorais rien de ses penchants dominateurs. L’invitation était pour une soirée mondaine sur le thème de la Rome antique. Georges me prévint qu’il y aurait une invitée spéciale et que j’apprécierais le spectacle.   Il n’avait jamais voulu me donner son adresse, mais cette fois, elle était sur l’invitation et j’ai constaté avec plaisir que ce n’était qu’à une quinzaine de kilomètre de mon domicile. Dressing code de style romain et heure de début assez tardive, 22 heures.   J’ai choisi une toge en tissu soyeux, d’un blanc virginal, sans manches, drapée autour de moi et simplement attachée sur l’épaule. Une cordelière autour de la taille, des escarpins aux talons vertigineux, un soutien-gorge ? J’hésite, les Romaines n’en portaient sans doute pas. Donc, rien au-dessus ; à mon âge, mes seins, bien qu’opulents, tiennent encore bien. Et en-dessous ? Je me veux audacieuse, rien non plus, ma culotte restera à la maison.   A 22h15, je gare ma voiture au milieu d’une dizaine d’autres déjà sur place, m’inquiétant d’être en retard, et je sonne à la porte. C’est Georges qui vient ouvrir, et je vois qu’il est satisfait de mon aspect et de ma tenue. Heureux de faire ta connaissance en chair et en os, me dit-il, tu es parfaite, et il m’entraîne dans la pièce voisine.   Et là, brusquement, quelqu’un me saisit les deux bras par derrière, des menottes claquent autour de mes poignets, un bandeau me tombe sur les yeux, me voilà aveuglée, affolée, attachée sans défense, tandis qu’on m’écarte les mâchoires pour y introduire un anneau qui me bâillonne la bouche ouverte et qu’on me fixe une laisse de chien autour du cou. Tout s’est passé en quelques secondes sans que je trouve la possibilité de me défendre. La laisse se tend et me traîne vers ce que je devine être le salon.   Je perçois un brouhaha d’excitation lorsque je fais mon apparition. Georges m’a trompée sur l’heure du rendez-vous et toutes ses amies et ses amis étaient déjà présents depuis au moins une heure, buvant et s’amusant en attendant le spectacle annoncé. A ma grande terreur, j’ai compris que c’est moi qui en serais la vedette involontaire.   Un bourdonnement de voix salue mon apparition, accompagné de rires et de moqueries pour ma naïveté. Je ne vois rien, mais je devine une dizaine de personnes échauffées et prêtes à jouir de mon humiliation publique. Georges me fait avancer et monter sur une petite estrade. ‘Pas de soirée romaine sans son marché aux esclaves’ déclare-t-il. ‘Voici l’offre de ce soir. Qui la veut ? Je vous montre d’abord la marchandise’. Ce disant, il défait le ruban qui retenait la tunique sur mon épaule. Elle glisse jusqu’à mes pieds, révélant toute ma nudité à la grande joie des invités. ‘Elle se promène à poil dans les rues, s’écria-t-il, cette soi-disant bourgeoise est une salope dévergondée’ et, me forçant à écarter les jambes, il me donne la honte suprême d’être exposée grande ouverte sans pouvoir rien cacher. Très vite, je sens des mains commencer à tâter mes endroits les plus sensibles, mais Georges intervient brusquement : ‘Elle m’appartient encore. Si vous voulez en profiter, il faudra la gagner à la loterie’. ‘Nous allons faire cela comme au poker. Je vais distribuer 5 cartes à chacun et celui ou celle qui aura la plus belle main emportera la mise’. Dans un brouhaha général, je les entends comparer leurs combinaisons jusqu’à ce qu’une voix féminine proclame sa victoire avec un beau full de rois par les dames. Aussitôt elle prend possession de ma laisse et me traîne derrière elle dans toute la salle en laissant les spectateurs me palper les seins, me glisser une main indiscrète dans l’entrejambe, me claquer les fesses et les cuisses, tout en riant de mes tentatives aveugles de me protéger malgré mes mains toujours attachées. J’ai honte, je voudrais disparaître, la sueur me perle sur tout le corps.   ‘Après cette promenade, que voulez-vous comme autre divertissement pour cette soirée romaine ?’ demande ma nouvelle maîtresse. Si vous êtes d’accord, je vous propose quelque chose bien spécifique à cette civilisation. On va la faire participer à une petite crucifixion. Est-ce que cela-vous convient ? Un fracas d’acclamations me fit comprendre avec beaucoup d’appréhension que la soirée serait mouvementée pour moi. Tout était déjà prêt, car très vite, deux cordes descendirent de deux anneaux scellés au plafond, à 60 centimètres l’un de l’autre. Prestement, les menottes me furent enlevées pour être remplacées par deux forts bracelets de cuir, doublés de fourrure, auxquels les cordes furent fixées. Au signal de ma maîtresse, deux spectateurs se mirent à tirer chacun sur une corde, me forçant à lever les bras en forme de V et à me présenter, entièrement offerte, les seins dardés par la position et les tétons saillants par l’excitation qui commençait à m’envahir.   Mes pieds allaient quitter le sol quand ils cessèrent enfin de tirer. Je restai ainsi sur la pointe des pieds, respirant à petits coups à cause du bâillon qui me laissait la bouche béante. Me tirant la tête en arrière, ma maîtresse s’amusa à y verser lentement un grand verre de vin, m’obligeant à déglutir bruyamment pour ne pas m’étouffer.   Maintenant qu’elle a bien bu, on va passer aux choses sérieuses, la mise en croix, s’écria-t-elle. Deux autres bracelets furent fixés à mes chevilles et deux autres cordes vinrent s’y attacher. Ma jambe droite fut soulevée la première, jusqu’à ce qu’elle quitte le sol d’une vingtaine de centimètres. Soutenue uniquement par les bras et en équilibre sur mes orteils gauches, je n’en menais pas large. Ils me laissèrent ainsi quelques minutes puis, malgré mes cris étranglés, ils soulevèrent semblablement l’autre jambe, me laissant suspendue par les poignets, dans la parfaite situation d’une crucifiée.   Haletante, je me débattais sans espoir dans mes liens, au milieu des rires et des quolibets de l’assemblée, ravie de mes efforts infructueux pour me libérer.   J’ai vite compris pourquoi ils avaient choisi cette sorte de crucifixion pour se divertir : il est impossible à la victime de rester immobile plus que quelques minutes. Les bras étendus, l’air vient à manquer aux poumons et la crucifiée doit pousser sur ses jambes pour se soulever et respirer. Mais il est impossible de conserver les jambes raidies pendant longtemps et le corps s’affaisse, suspendu à nouveau par les bras. Le cycle reprend, à la grande joie des spectateurs qui jouissent de la détresse de la suppliciée. Dix fois, vingt fois, je régalai mes bourreaux de mes efforts et de mes cris, de plus en plus suppliants mais sans autres résultats que des insultes et des moqueries.   Finalement, mes cuisses refusèrent tout service et je restai douloureusement suspendue par les poignets, pantelante, des sanglots me soulevant la poitrine, avant qu’on me détache enfin.   Georges vint m’embrasser et, me serrant dans ses bras, il me promit que je serais encore invitée chez lui, mais cette fois parmi les convives, pour assister au baptême d’une nouvelle postulante aussi naïve que je l’avais été.    
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Par : le 26/05/24
Partage inhabituel aujourd'hui : le travail de Ling Song, une artiste polyvalente résidant dans le Michigan, dont les talents vont de l'illustration, le tatouage et la création de bijoux transgressifs. Ling Song parvient à glisser de manière élégante et exquise l'art traditionnel japonais du bondage, ou shibari, dans ses tatouages. Ses œuvres capturentla beauté de cet art ancien à travers des représentations visuellement saisissantes de jeunes femmes délicatement liées par des cordes. Chaque tatouage est un témoignage de la maîtrise technique et de la sensibilité artistique de Ling Song, reflétant la tension entre la contrainte et la grâce, la force et la fragilité. Ces tatouages ne sont pas simplement des images; ils transpirent le symbolisme et l''émotion. Les créations de Ling Song, transpose,t sur la peau,des moments de vulnérabilité qui s'en trouve transcendée par la legerté kawai de ses illustration. Au-delà de ses tatouages, Ling Song est également une créatrice de bijoux talentueuse, dont les pièces sont souvent inspirées par le sexe et la transgression. Ses bijoux, confectionnés avec soin, portent en eux la même attention au détail et l'engagement envers la beauté et la complexité que ses tatouages. Vous pouvez découvrir toutes les oeuvres de Ling Song sur son compte Instagram    
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Par : le 25/05/24
Morte de honte, toute la journée, harcelée par les filles, puis aussi les garçons de la classe, les copines en ont tellement rajouté, que tout le monde me posait des questions. Je rêvais de sortir et de rentrer à la maison, pour fuir cette folie. Enfin 17h, devant la grille Julien et Léa, j'ai senti un grand coup de chaud, voilà de quoi alimenter les questions. Ostensiblement Lydia m'a embrassée sur la bouche et Julien a suivi, ce fût le début des commentaires salaces. On est arrivaient, je me suis réfugiée dans ma chambre, en larmes pour ne pas changer, la tête sous l'oreiller, je n'ai pas entendu Lydia entrer, je me suis ramassé 4 coups de ceinture sur les fesses, je me suis levée en hurlant MAIS POURQUOI? Deux claques en réponse et "tu ne tes pas déshabillée et tu pleurniche alors que je t'ai ordonné de ne plus pleurer" Je me suis mise nue en silence, mes fesses en feu je suis restée comme tétanisée. Impossible de bouger, tremblante, je ne comprenais pas pourquoi ma soeur devenait si méchante, aussi dure, c'était plus ma Lydia d'Amour et Julien ne disait pas un mot??? Perdue dans mes pensées, j'avais peur de tout, ce soir sur le canapé, dans la douche, demain au lycée les copines de classe...? Ce soir là, comme je ne venais pas sur le canapé, Lydia est arrivée dans ma chambre pour voir ce que je faisais, j'ai pas bougé, un gros semblant de dormir lol, ma frangine ne s'y est pas trompée et la claque fût magistrale... "Tu vas aller au salon Julien attend, tu bouge" la fesse cramoisie, je suis allée m'assoir à coté de Julien, Lydia s'est collée contre moi, a attrapé mes tétons si fort que j'ai crié, elle n'a rien lâché la douleur me faisait trembler, plus je gémissais plus ses doigts roulaient les bouts, une minuscule goutte perlait. au moment ou je fermais les yeux, Julien enfonça deux doigts dans ma bouche et m'obligea à sucer, j'étais sur, mon cul allait les sentir passer. Tiré par les tétons je me suis retrouvée à genoux et les deux doigts sont entrés, en force, le pouce écrasait mon clitoris, des frictions durs, j'ai rien vu venir, j'ai eu un orgasme immense et j'ai pissé partout sur le canapé, sans pouvoir rien retenir. J'ai juste entendu Lydia dire "ça devient une belle salope ma petite soeur" La traditionnelle serviette sur la banquette était toute mouillée, je commençais à essuyer parterre, quand elle m'a prise par les cheveux, m'a obligé à lécher le sol. En panique, j'arrivais plus à respirer entre deux sanglots, j'ai senti mes poignets attacher dans mon dos, puis mes chevilles, toujours le nez dans mon urine j'avais envie de vomir, le goût salé, l'odeur... je voulais mourir,  Lydia m'a retourné sur dos, s'est assise sur mes seins tout meurtris, en me tenant par les cheveux, j'avais mal partout, je criais pardon, désolé, je ne savais quoi dire pour que ça finisse, les yeux en feu. La réponse a été " ouvre la bouche" j'ai obéi machinalement et j'ai reçu son urine, je me suis étranglée, la seule chose que j'ai entendu c'était "avale salope" ma grande soeur d'amour ce transformait en sadique. Elle s'est relevée et j'ai vu Julien le zizi en main m'arroser des pieds à la tête, un pieds sur mon cou Lydia m'obligeait à boire tout ce qui tombait, je la voyait masturber et sucer ce gland qui me paraissait immense, Julien n'a pas tenu bien longtemps, à genoux sur moi, il s'est vidé dans ma gorge. Détachée enfin, j'ai du laver le sol et tout nettoyer, pressée d'aller sous la douche, je n'ai pas vu les deux complices, quand je suis entrée, j'ai été enlacé câliné, caressé de partout, douchée, savonné.... "Un grand Bravo ma Choupette on est super fiers de toi et tu peux aussi, un vrai bizutage, n'oublies jamais qu'on adorent la Léa que tu es devenue, notre Amour sera éternel”  
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Par : le 24/05/24
Helena, la pire vipère de l'immense Sibérie, siffle entre ses dents. Une pure salope qui sait vider les couilles d'un homme et le rendre exsangue pour des heures. Le général Bilal, dort les poings fermés,  il ronfle comme un buffle. Le colosse est terrassé. Helena ne paye pas de mine avec son corps d'ado, ses petits seins, sa chatte epilee et étroite, et. pourtant, elle sait arracher les orgasmes en cascade à un homme, l'epuiser, le conduire à l'orgasme final qui se termine presque en coma.  Valeri sait choisir ses espionnes. Bilal ne s'est pas méfié. Il pensait à un coup facile, sans risques, 10 mn douche comprise. Il ronfle...Helena ne perd pas de temps, elle communique avec son équipe et cracke les codes de l'ordi et du téléphone de Bilal. Tout est aspiré en peu de temps. Des virus indetectables sont implantés. Elle a fini son job. Mais elle n'a pas jouit, juste simulé, en bonne salope. Alors avant de partir, elle approche sa chatte de la bouche de Bilal. - Mange moi le clito, gros con, dit elle en russe. Et sans attendre elle se branle sur les grosses lèvres charnues de Bilal. Ce dernier grogne en dormant. Elle jouit et lui injecte sa cyprine dans sa gorge.  Elle marque son territoire. Bilal va finir amoureux fou d'elle et elle sait qu'elle finira par le faire marcher à la baguette.  Les avions cargos et les navires russes débarquent hommes et armes à Tobrouk, pour l' Africa Corp , le nom de leur nouvelle milice wagner. Bilal laisse faire et obéit bien. Joe l'endormi et Anthony Bliken  fulminent et menacent la Russie, sur Fox News. Emmanuel joue à l'autruche. Mali, Burkina, Niger,  à présent Lybie, bientôt Tunisie,  la Russie avance partout en Afrique sur le dos de la France et des USA. L'occident est en train de se faire mettre profond et il a mal au cul.  Bilal est devenu raide dingue d'Helena et de sa chatte étroite si jouissive. Un soir, alors qu'il ronfle de nouveau, complètement vidé, Helena le retourne et l'attache solidement au lit par les poignets et les chevilles. Elle sort une fine cane anglaise et commence à frapper. Bilal hurle. Helena lui fourre sa petite culotte dans la bouche. -ferme la gros porc. Tu vas morfler. Et elle frappe Bilal jusqu au sang. Il ne pourra plus s'asseoir pendant des jours et des jours. Bilal pleure de douleur. Il croit avoir affaire à une folle. Il tremble. Son cul saigne et Helena qui continue. Il tombe dans les pommes.  Au réveil, Helena est toujours là ! Cette fois il est vraiment mort de trouille.  Et cette folle qui commence à frapper la plante de ses pieds. Des douleurs terribles lui grillent le cerveau.  Allez savoir pourquoi, il se met à bander et ejacule.   Helena s'en aperçoit. Elle glisse sa main et broie le sexe de Bilal. Les yeux de ce dernier se révulsent.   - On ne jouit pas sans la permission de sa Maîtresse.  Elle fait pleuvoir les coups sur le dos de Bilal. Des douleurs terribles.  Il ne sait pas quand va se terminer son supplice. Il est en présence d'une sadique impitoyable, plus glacée et insensible que le grand iceberg qui coula le Titanic. Il sait que malgré sa taille de colosse, il ne fait pas le poids, face à cette furie.  Il regarde la petite chatte serrée d Helena. Il sait qu elle est devenue sa Maitresse absolue. Il sait qu'il est vaincu et brisé et pourtant il jouit de cela.  Il sait qu il aime lui obéir en tout et pour tout. Et de nouveau il se met à bander. Il ejacule, regarde sa Maîtresse d'un œil peureux.  Un éclair de folie dans les yeux d'Helena.  Elle s'accroupi au dessus des fesses en sang de Bilal et lui pisse dessus. Elle marque de nouveau son territoire...            
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Par : le 23/05/24
J’ai envie de les voir Les yeux noirs Noirs de jais Je les imagine, les savoure à l’avance Le moment où je vais sentir ce regard qui devient plus profond Plus présent, plus intense Disparu le petit air amusé Envolé le sourire Cette lave liquide Ces deux lacs, puits sans fond Qui peuvent ordonner, me faire plier Me frustrer ….. et recommencer Ces deux lacs qui me regardent Sans rien me dire Juste me regarder Sur le grill Comme ils savent faire Laidy Sienne, tous droits réservés – Ne pas reproduire sans mon autorisation
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Par : le 23/05/24
Eva Delambre nous offre avec L'Envol de l'ange une plongée intense dans les profondeurs d'une relation de domination et de soumission. Suite directe de L'Éveil de l'Ange, ce second opus nous invite à suivre l'évolution de Solange, devenue Ange, dans sa relation complexe et passionnée avec Tristan. La quatrième de couverture annonce une histoire riche en émotions et en épreuves, promettant de tenir le lecteur en haleine jusqu'à la fin. L’écriture d’Eva Delambre se distingue par sa fluidité et sa sincérité, permettant une immersion totale dans les pensées et les émotions de Solange. Le personnage principal, attachant et vulnérable, nous entraîne dans ses tourments et ses joies, rendant chaque page plus intense que la précédente. À travers une narration directe et sans artifices superflus, l’auteure réussit à rendre palpable la tension psychologique qui traverse le récit. On aime  l’habileté d’Eva Delambre à dépeindre avec justesse les subtilités d’une relation BDSM. L’évolution de Solange est au cœur du récit. Sa transformation en Ange, sous l’influence de Tristan, est décrite avec une profondeur qui résonne particulièrement , on sera touché par la manière dont l’auteure retranscrit les émotions et les doutes de Solange, rendant son parcours d’autant plus bouleversant et authentique. Malgré quelques critiques sur le caractère des personnages masculins, jugés souvent antipathiques et imbus d’eux-mêmes, Eva Delambre parvient à créer des figures complexes et nuancées. Le personnage de Tristan, bien que rigide et parfois cruel, agit comme un catalyseur pour la croissance personnelle de Solange. On pourra louer cette représentation, notant que le livre est à la fois captivant et déroutant, reflétant parfaitement les contradictions inhérentes à ce type de relation. L'envol de l'ange s'avère une œuvre poignante qui explore avec brio les dynamiques de la soumission et de la domination. Grâce à une écriture limpide et une introspection psychologique remarquable, Eva Delambre réussit à nous immerger dans un univers à la fois troublant et fascinant. Ce roman est une lecture incontournable pour les amateurs de récits intenses et profondément humains, qui laissera une empreinte durable dans l'esprit de ses lecteurs.  
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Par : le 23/05/24
Edith Donc, nom d'artiste d'Edith Bos Boyer, est née en 1978 à Hyères dans le Var, Edith de part son histoire familiale a beaucoup voyagé. Ces pérégrinations lui ont permis de vivre dans divers pays comme l'Algérie, les Pays-Bas et la Belgique, alimentant ainsi son univers visuel et culturel. Dès son enfance, le dessin devient pour Edith un moyen d'expression privilégié, un exutoire pour ses angoisses face à un monde en perpétuel changement. Son adolescence marque un tournant stylistique avec la mise à l'index de la couleur au profit d'ombres graphiques créées au crayon et au stylo-bille, médiums qui accentuent son inclination pour la spontanéité. À l'âge de 18 ans, Edith se lance dans la peinture, créant des œuvres aprfois tourmentées qui reflètent une intensité émotionnelle et une profondeur psychologique. Son entrée à l’Académie Royale des Beaux-arts de Liège en 2001 et l'obtention de sa licence en peinture monumentale en 2005 marquent le début de sa carrière professionnelle en tant que peintre. C'est lors de son retour en France, après ses études, qu'Edith commence à développer une série d'œuvres qui vont interpeller plus particulièrement, elle explorera bien des domaines dont l'érotisme et le bondage/shibari (mais pas que, loin s'en faut). Edith explore des thèmes liés à la disparition, mais aussi à la sensualité et au contrôle, à travers des illustrations complexes où le bondage prend parfois une place centrale. Ses œuvres sont caractérisées par une attention méticuleuse aux détails et une esthétique parfois sombre. Sa capacité à explore r différents univers permet à Edith de toucher un public varié, des amateurs d'art contemporain aux passionnés de cultures subversives. On pourra voir dans certaines œuvres d'Edith Donc une invitation à la réflexion sur le désir et de limites personnelles (qui nous sont chères dans le BDSM). Pour découvrir l'artiste et ses oeuvres, consultez son site internet www.edithdonc.com Shibari by Asa Encorde-moi Link Supervixen
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Par : le 22/05/24
Pas de malle ni de sac, rien à cacher, mes outils ne se rangent pas Mes outils c'est toi D'abord ta voix tes mots qui trébuchent sensuels comme la courbe d'une virgule, tes phrases alambiquées, les points de suspension qui volent de ta bouche jusqu’au ciel,   ta voix, le murmure de tes mots crus, le souffle de  tes silences, ténor pour l'ardeur soprano à tes heures, les sons de ta voix s’accrochent aux parois de mes hanches Ton regard,  grave et rieur, pervers et insolent, cinglant ou fouineur tes yeux cherche les miens cherche ma gène et mon plaisir, transperçant jusqu’à mon cœur Ta peau, virile, a l’odeur des champs de blé sauvages, des forêts solitaires, ta peau tannée, j'y glisse j'y glisse, si tu m'y autorises, ma langue dans le dédale de tes poils les cicatrices , tes grains de beauté , tes aspérités, ta peau ton odeur qui éveille mes sens,  le parfum de ta sueur, embruns salés, m’envole, j’ondule j’aspire je goutte tes écumes Ta bouche, aux lèvres fines, sait se faire ardente, impétueuse, elle ouvre mes orifices, magique et aspirante. Je plie je plie je plie j'abdique sous tes dents mordantes, chercheuses, fustigeantes, s’accrochant à mes seins, mâchonnant, mordillant, ogres luxuriants Tes mains puissantes brutales caressantes indomptables, elles dansent sur mon corps des arabesques folles, tes doigts obscènes, fouilleurs, pénètrent, tournent, secouent remuent, scrutent, sculptent inlassables ils examinent, consultent ; ils poussent plus loin, creusent plus à fond, intensifient l’instant, augmentent l’intensité, me décortiquent, me dissèquent et me désinhibe , rouge de honte et de plaisir Tes fluides, ta salive que je reçois, que tu me craches, que j’absorbe ta transpiration que je lape ton sperme que j'avale tes fluides, ces gouttes de toi qui s’impriment et s’imbriquent dans les miens Ta queue que je fais gonfler doucement dans ma bouche, tétant ton gland, aspirant ton vit, gorge profonde j’avale j’étouffe et j’en redemande. Ta queue se faufile, s’introduit, s’engouffre, s’enfonce, va et vient flux et reflux , elle plonge, se précipite savourant les jets que mon con et mon cul déchargent de jouissance, ta queue parfaite qui s’empare de moi, incrustant le Lien, droite fière elle nous réunit et embrasse nos êtres jusqu’aux râles lubriques d’euphorie Ton épaule, douce quiétude, pour déposer ma tête après la tempête de nos corps, elle m’accueille savourant la chaleur de ton corps quand je tremble, et reçoit mon retour sur terre légère Et avant tout Ton cerveau , le début de mes envies, le mécanisme qui ouvre  les couvercles de l’alchimie, qui vient pétiller mes synapses, lubrifier mon hypothalamus, ériger mon cortex   
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Par : le 21/05/24
Le général Valeri n'a pas pu s'empêcher d'aller en première ligne avec un commando d'élite de sa milice privée Stalin. Il a besoin d'action. Il aime entendre siffler les balles au dessus de sa tête.  Il aime sentir l'adrénaline couler dans ses veines chaque fois qu'un obus éclate à proximité. Le danger lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Certains prennent du viagra ou des drogues, lui pas besoin, savoir qu'il vit peut être ses derniers instants, le met en érection.  Et les hommes et les femmes de son commandos sont comme lui, ils adorent la guerre.  De toute façon, nous sommes des mortels. La caste des guerriers ne craint pas la mort, non, elle craint la peur,   la lâcheté, les couilles ou les ovaires molles. La caste des guerriers ne craint pas les blessures ou la douleur, non  elle craint les pleurs dus à la trouille. Et pour cette caste il n'est plus grand plaisir que de vaincre sa peur. Encore un obus qui vient d'éclater tout près. Juste eu le temps de se coucher. La terre sale projetée par l'explosion retombe sur Valeri.  Cela sent la poudre et le cramé.  Devant lui le joli cul bombé de Lena. Il se rapproche et se couche sur elle, comme s'il voulait la protéger. Mais aucun des deux n'est dupe. Lena aussi a une furieuse envie de baiser. Elle embrasse Valéri à pleine bouche. Leur langues se mêlent, les braguettes s'ouvrent et la jeune capitaine entame une fellation sur son général.  Ce dernier n'en peut plus. Il retourne Lena, lui baisse son pantalon trempee de cyprine et la sodomise d'un coup de rein violent. Il ejacule vite dans ce si joli cul bien serré de sportive de haut niveau. Putain que c'est jouissif avec toutes ces balles qui sifflent.  Ils reprennent leurs esprits. Valeri rallume un de ses cigares usagés qui trainent dans ses poches.  Ils les fume en plusieurs fois, suivant les envies. Fumer tue...cela le fait toujours rire. - Tu as vu Lena,  150m à gauche, un bunker. Encore des occidentaux avec un uniforme ukrainien. On va les nettoyer. - il me reste une grenade spéciale. Je vais les flamber.  J'espère que c'est des macdo ou de rosbeef....ils sentent meilleur bien grillés.  Lena place la grenade au bout de son fusil. Un tir précis.  Le bunker planqué dans une grange flambe. On entend des cris. Valeri arrose la position.  Ils se remettent en route. Valeti et Lena adorent la guerre à pied, sans chars, ni autre. Qui sait, dans le bois plus loin, peut etre un sniper bien dissimulé? La mort rode partout, mais c'est étrange, elle sent bon. Le soir tombe. Ils trouvent un abri sous un grand arbre.  Lena se love dans les bras de Valeri, leurs lèvres se trouvent. La nuit va être longue. La nuit c'est fait pour les grands fauves.  Deux ombres se glissent dans le noir à la recherche de proies endormies..... Lena est ravissante avec son maquillage camouflage.  Elle se retourne et regarde Valeri de ses splendides yeux de panthère. Un sourire illumine ses belles lèvres si douces.  - à Paris, dit elle, à Paris ! En 44, la glorieuse armée rouge, disait: à Berlin! à Berlin! Valeri embrasse Lena à pleine bouche et rit de bon cœur. -oui, à Paris! A Paris ! Comme en 1814, après la raclée infligee à leur Napoléon.  
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Par : le 20/05/24
Averardo Ciriello (1918-2016) est un artiste italien qui a laissé une empreinte indélébile dans le monde de l'illustration et du cinéma avec ses affiches emblématiques, mais il s'est également fait connaîtres pour ses œuvres érotiques qui flirtent parfois avec les thèmes du BDSM. Né à Florence, Averardo Ciriello a montré très tôt un intérêt et un talent pour le dessin. Il a étudié à l'Académie des Beaux-Arts de sa ville natale, où il a pu parfaire ses compétences en art. Cet apprentissage classique a donné à Averardo une base solide pour explorer et décliner ses aspirations artistiques, y compris ses inclinations vers les sujets les plus provocateurs. Après avoir démarré sa carrière en tant qu'illustrateur de livres et de magazines, Averardo Ciriello s'est rapidement fait un nom dans l'industrie du cinéma en Italie. Il est particulièrement connu pour avoir créé des centaines d'affiches de films, allant des œuvres de Federico Fellini à celles de Sergio Leone. Cependant, c'est dans ses illustrations plus confidentielles que Averardo Ciriello explorait les thèmes de l'érotisme et du BDSM. Ses œuvres érotiques sont souvent marquées une liberté d'expression qui transgresse les normes conservatrices de l'époque. Ses représentations de figures féminines dominantes et de scènes de soumission sont réalisées avec un style qui lui et propre, mêlant réalisme et idéalisation. Averardo Ciriello y jouait avec les dynamiques de pouvoir, en mettant en scène des personnages en tenues et des postures pour le moins suggestives. Ses illustrations ne se limitent pas à la représentation de fantasmes; elles interrogent aussi les rôles de genre et les jeux de pouvoir, éléments prédominants dans les pratiques BDSM. Averardo Ciriello n'hésitait pas à utiliser des éléments comme les corsets, les bottes à talons hauts, et divers accessoires tous emblématiques de l'imagerie BDSM. Ces choix ne sont pas purement esthétiques mais participent à la construction de scénarios où la domination et la soumission sont clairement illustrées. Par cette exploration, il a pu exploter un certain nombre de tabous et à de désirs à l'époque cachés, offrant ainsi au public une voie d'exploration personnelle libératrice. L'héritage de Ciriello dans le domaine de l'art érotique et BDSM est complexe et nuancé. Alors que certains critiques peuvent voir dans son travail une simple perpétuation de clichés, d'autres y trouvent une expression artistique du désir humain sous toutes ses formes. Ses œuvres continuent d'inspirer et de provoquer, restant pertinentes pour les discussions contemporaines sur la sexualité et l'expression artistique. Averardo Ciriello était ainsi bien plus qu'un illustrateur de films mainstram, il était aussi l'un des pionniers de l'art de l'érotisme et du BDSM. Par le prisme de ses créations, on peut mieux comprendre comment l'art peut questionner ce qui est socialement accepté ou non, et de facto faire bouger les lignes.
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Par : le 20/05/24
Le deuxième ouvrage de Mitsou Ko, De la bourgeoise à la putain, explore le parcours tumultueux de Solale, une femme qui troque sa vie bourgeoise pour celle de travailleuse du sexe (TDS). Ce roman, à la fois poignant et éducatif, est une plongée authentique dans l'univers des dominatrices professionnelles, un monde souvent caricaturé et/ou méconnu. Solale, autrefois une bourgeoise accomplie, décide de quitter son confort après une rupture difficile avec son partenaire Sam, surnommé "Sale Cabot". Abandonnant le BDSM, elle tente de mener une vie plus conventionnelle avec Franck, un homme qui ignore tout de son passé. Cependant, un incident la pousse à suivre sa passion et à devenir TDS. Cette transition, loin d'être aisée, révèle à Solale les nombreux défis de cette profession, la poussant à remettre en question ses préjugés et à découvrir une solidarité inattendue parmi ses consœurs. L'écriture de Mitsou Ko se caractérise par sa fluidité et son authenticité. Chaque scène érotique est décrite avec une précision des plus évocatrice, immergeant le lecteur dans les expériences de Solale. Le récit, bien que fictionnel, prend des airs de documentaire, offrant un regard intime et détaillée sur la vie des TDS et des dominatrices professionnelles. La capacité de l'auteure à marier réalisme et passion est manifeste faisant de ce livre un plaidoyer puissant de défense des dominatrices, mettant en lumière les défis et les préjugés auxquels elles font face. Le franc-parler de Mitsou Ko dépeint les réalités de ce milieu sans fioritures. On ne peut que louer la capacité de l'auteure à traiter des sujets tabous avec élégance et réalisme. Le livre s'avère d’une réalité poignante et ouvrira les yeux de bien des profanes sur ce monde mis à part. On sera marqué par la transformation de Solale qui constitue une merveilleuse plongée dans le monde des Dominas pro et ne pouvons que noter l'authenticité et la profondeur du personnage. A mi-chemin entre l'essai et le roman, ce livre est une œuvre hybride qui informe tout en divertissant. La description des coulisses de la vie d'une TDS et ses défis du quotidien est particulièrement éclérant et permet de briser tous les a priori et clichés liés au travail du sexe dans le domaine du BDSM, notamment. De la bourgeoise à la putain est un livre  qui ne laisse pas indifférent. Mitsou Ko réussit à aborder des thèmes complexes avec une justesse et une sensibilité rares. Ce roman est non seulement une exploration personnelle et émotionnelle, mais aussi un appel à la reconnaissance et au respect des travailleuses du sexe. Pour les lecteurs curieux de découvrir les réalités cachées derrière les portes closes du BDSM et du travail du sexe, ce livre est une lecture incontournable. (récension sur une idée de Mme Angie )
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Par : le 19/05/24
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Vendredi soir ! Enfin le week-end et un week-end qui s'annonce spécial pour toi. Tu es à quatre pattes à l'entrée de notre pièce. Ton collier autour de ton cou. Laisse attachée. Lingerie noire. Mais cette fois, tu ne rentreras pas comme d'habiture. Tu ne rentreras pas seule pour venir me retrouver, comme la parfaite chienne soumise que tu es en train de devenir, chienne qui désire tout ce qui va lui arriver. Cette fois, je t'ai bandé les yeux et je tiens la laisse. Je te force à marcher derrière moi. Suffisamment vite pour que ça soit inconfortable pour toi. On s'arrête. Ne bouge plus ! Je t'enlève ta laisse. je t'ordonne d'avancer de 30 centimètres. Et je donne le signal en faisant résonner sur ton cul une immense claque. - Lève bien les mains et les genoux en avançant - C'est bon. Immobile ! J'enlève ton bandeau et tu t'aperçois que tu es à l'intérieur d'une belle cage en acier. Une cage plus longue que haute qui t'oblige à te tenir couchée ou assise, la seconde option étant beaucoup moins confortable. La cage vient avec beaucoup d'options que tu vas découvrir tout ce week-end. Première surprise, l'avant de la cage s'ouvre pour que tu puisses passer la tête et se referme pour la bloquer à n'importe quelle hauteur. Le haut de la cage s'entrouvre et je peux attraper par les cheveux, te faire avancer de force et coincer ta tête tout en bas de la cage, front collé au sol. Je place une barre en travers de la cage pour maintenir ton cul en hauteur, offert. La position est aussi humiliante qu'elle semble inconfortable. Tu ne peux rien voir. - ça va être un week-end particulier. Il n'y aura pas un nouveau jouet mais un chaque session si je veux. Et surtout, surtout, tu vas rester enfermé tout le week-end. Et tu devras supplier mais surtout payer pour tout ce dont tu pourrais avoir besoin. La nourriture, tu devras la payer. L'eau aussi bien sûr. Un esclave doit gagner tout ce dont elle a besoin. L'accès aux toilettes. Evidemment que ça sera très cher. À tout à l'heure. Je te laisse bien réfléchir à ce que tu vas devoir subir, penser à qui tu es. Mon esclave mais aussi un simple objet pour mon plaisir. Dont je peux disposer à ma guise. Je vais te laisser quelque temps mais avant laisse moi prendre quelques photos pour les poster sur internet. Je veux que tout le monde sache quelle salope tu es ! Et pendant que je te dis ça, je me rapproche par derrière toi et je vérifie ce que je sais déjà. Tu es complètement trempée. Le week-end s'annonce sous les meilleurs auspices.
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Par : le 17/05/24
"Devenir sienne" d’Eva Delambre est une plongée dans l'univers de la domination et soumission, qui offre un regard intime  sur une relation BDSM qui se développe ici dans l'intensité et la complicité. Contrairement aux romances à l'eau de rose, ce roman érotique se distingue par sa profondeur et son approche authentique de la soumission féminine. L'histoire vous emmene dans une liaison adultérine où un homme et une femme se découvrent mutuellement à travers des rapports de domination et de soumission. L'héroïne, dont le prénom reste volontairement inconnu, incarne la figure de la soumise qui, dans son abandon total, trouve une forme d'épanouissement et de liberté. Cette absence de nom permet au lecteur de s'identifier plus facilement à elle, de se projeter dans cette expérience SM intense. Eva Delambre nous entraîne dans un récit où l'érotisme littéraire prend une dimension presque poétique. La soumise, toujours désireuse de plaire à son Maître, franchit des étapes de plus en plus difficiles, naviguant entre plaisir et douleur, entre épanouissement personnel et dépendance affective. Cette dynamique est brillamment explorée, soulignant la complexité de la relation BDSM et son impact sur l'épanouissement affectif des deux protagonistes. Le roman est écrit à la première personne, ce qui permet une immersion totale dans les pensées et les sentiments de l'héroïne. Cela renforce l'authenticité du récit, nous faisant partager ses combats intérieurs, ses moments de doute, mais aussi ses instants de bonheur intense. Cette narration introspective est l'une des grandes forces du livre, offrant une perspective unique sur les rapports de domination et de soumission. Certaines scènes sexuelles sont vraiment crues et flirtent parfois avec la pornographie, on aime ou on aime pas. Cependant, cette approche sans filtre permet de saisir pleinement l'intensité de la relation et la manière dont elle évolue. Les scènes de soumission et de domination ne sont pas gratuites ; elles servent à mettre en lumière la profondeur des liens qui unissent les personnages. On pourra s'étonner que le roman taise les détails sur le contexte extérieur de la relation. Tout tourne autour des deux protagonistes, ce qui peut être perçu comme un manque par certains, mais qui renforce également la focalisation sur la dynamique interne de leur relation. Les personnages secondaires apportent toutefois des éléments de contraste et d'intrigue, enrichissant l'ensemble du récit. Devenir sienne est un roman qui ne laissera pas indifférent (à bien des égards ;-). Il décrit  avec justesse les mécanismes de la soumission féminine et de la domination. Eva Delambre réussit avec ce roman à capturer l'essence d'une histoire d'amour intense et complexe, où la soumission et l'abandon ne sont pas des signes de faiblesse, mais des voies vers une compréhension plus profonde de soi et de l'autre. Devenir sienne est une lecture incontournable pour les amateurs de littérature érotique et ceux qui cherchent à comprendre les subtilités des relations BDSM. (recension sur une suggestion de gentleman_49)
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Par : le 16/05/24
Sur les ordres du Maitre, je m'agenouille en attendant qu'il prépare ce qu'il faut pour le fireplay. Quand il me le demande, je m'allonge sur le lit. Il attache mes mains de chaque côté du lit. Je ne peux plus rien faire. D'aucune façon je ne peux me détacher. Ainsi liée, je suis totalement vulnérable, à sa merci. Il dépose la mousse sur mon corps, puis l'enflamme  et recommence, sur mon ventre, ma poitrine, mes seins. J'adore sentir ce doux stress monter, cette chaleur froide, voir ces flammes s'élever depuis mon corps. Souvent il les éteint avec une serviette. Mais parfois il les laisse mourir d'elles-mêmes. Ces fois-là,  je ne peux m'empêcher de retenir mon souffle. Betement je ne peux m'empêcher de me dire, et si je prenais feu?! Après le fireplay, les couteaux.  Des lames neuves. Le premier a une lame bleue chromée.  Il est beau, tout arrondi. Le Maitre joue sur mon ventre, sur mes cuisses, de la pointe de la lame. Il fait glisser le tranchant autour de mon sein. J'ai peur, vraiment peur. Une peur excitante, je le regarde faire, envoûtée et paralysée. Je ne peux ni ne veux bouger. Juste le regarder prendre du plaisir à faire glisser cette lame sur mon corps. Le Maitre semble se lasser de la lame bleue, il sort alors le deuxième couteau.  Une lame rouge cette fois. Au premier contact de la lame sur ma peau, je sens qu'elle est beaucoup plus aiguisée,  plus pointue que la précédente.  Là encore le Maitre joue à la promener sur mon ventre, près de mes seins, mes cuisses. À certains endroits je me demande s'il ne me coupe pas. Mais je n'ose pas regarder. Je ne peux détourner mes yeux du Maitre. Le Maitre si appliqué,  attentif dans ses gestes, doux et coupant à la fois.  Quand il décrète avoir suffisamment joué avec ses couteaux  il les remplace par la bougie. Je me demande ce que va faire la cire chaude sur les traces de lame. Mais j'aime tellement la cire... Il part de très haut et descend la bougie de plus en plus, se rapprochant de mon corps, le liquide devenant de plus en plus chaud. Quand le Maitre considère que j'ai suffisamment de cire sur le corps, il recommence à enduire mon ventre de mousse. Et la danse des flammes reprend. Pour finir, le Maitre prend un troisième couteau et gratte méticuleusement toute la cire sur mon corps. J'aime sentir cette lame glisser sur ma peau, guidée par ses mains sûres d'elles. En récompense, le Maître m'offre une série d'orgasmes tous plus puissants les uns que les autres. Une envolée dans une autre temporalité,  un autre espace. Sa langue, ses doigts, sa main... Toujours attachée,  je ne peux pas m'empêcher de crier de plaisir. La jouissance est ininterrompue. J'en ai la tête qui tourne, j'implose, mon corps se disloque, mes os fondent, mes muscles se tétanisent, je respire comme je peux... Enfin il me détache,  je me jette sur lui pour le sucer. Retrouver mes esprits, sa queue dans ma bouche, avant qu'il me prenne et que nous jouissions ensemble.
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Par : le 16/05/24
Il fait chaud. Très chaud. Nous avons 17 ans, presque 18, et c'est un autre feu qui nous consumme. L'amour et la découverte. Le plaisir. Son miel sous ma langue, dont je crois, encore aujourd'hui, me souvenir du goût délicieux. Son petit village n'est quà quelques kilomètres du mien. Et chaque jour de cet été je la rejoins. Nous avons nos habitudes. Et un endroit frais pour nos ébats. Il est là. Dès que je lève les yeux de sa croupe accueillante, il me regarde. Bras en croix. Nous sommes en sa demeure après tout. Sacrilège ? Je préfère y voir un hommage. A la vie, la jeunesse, la luxure. J'ai 18 ans à peine et je ne sais pas encore que je ne serai jamais sage. Nous nous aimons. Nous sommes les premiers, l'un pour l'autre, et rien ne nous est impossible. Rien ne nous est interdit. Explorer, expérimenter. Au dehors le soleil est de plomb. La campagne brûle. Sur cette mezzanine qui surplombe la nef, ce sont mes genoux qui brûlent. Il faut dire que la moquette est rèche. Mais la liberté des sens est à ce prix. Et une levrette réussie vaut bien deux rougeurs sur mes rotules. J'aime sa peau sous mes doigts, la douceur de ses courbes, ses gémissements qu'elle peine à étouffer. Hier, nous avons failli nous faire surprendre. La fraîcheur de l'église avait attiré deux touristes. Allongés sur la moquette, à peine protégés des regards par la rembarde, elle a continué à me sucer. Et j'ai joui. Plus tard, nous avons ri. Beaucoup. En imaginant leur réaction s'ils avaient monté l'escalier. Lui me regarde toujours. J'ai presque l'impression que parfois, il me fait un clin d'oeil, pour m'encourager. Mais je n'ai pas besoin d'encouragements, j'ai 18 ans. Je l'aime, et je ne pense quà une chose, baiser, lécher, caresser, jouir. Encore et encore. Et lorsque je crie, mes genoux crâmés sur la moquette marron de cette mezzanine, il me regarde. Et il m'arrive de me demander si cela lui plaît.  Viktor
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Par : le 16/05/24
L'esplanade de Choisy est quasi déserte. Seules quelques âmes aux yeux forcément bridés vont et viennent, vers nulle part. Il pleut depuis des lustres me semble-t-il, mais cela m'indiffère. J'aime Paris sous la grisaille et la pluie, et j'aime cet état de nostalgie qui m'assaille alors que je remonte vers la place d'Italie. Je m'y plais, m'y love comme dans un refuge triste mais néamoins réconfortant car j'en connais les moindres recoins. Ces rues, ces lignes et ces stations. Ces souvenirs et ces actes manqués. Ces échecs et ces bien trop maigres réussites. Elle a vieilli. Un peu. Mais que dire de moi. Je ne pensais plus à elle depuis longtemps. M'avait-elle marqué, manqué ? Je n'y avais jamais vraiment réfléchi. Pourquoi aujourd'hui, alors que je l'avais oubliée, tous ces souvenirs refont-ils surface, amers et tristes ? Sa tête sur mon torse, mes doigts dans ses cheveux. Ses lèvres douces cherchant ma bouche pour des baisers non pas sensuels, mais si tendres. Elle est ministre. Enfin secrétaire d'Etat. Se souvient-elle ? J'aimais l'odeur de sa peau après la jouissance. Et alors que j'emerge, place Denfert, d'un métro bondé, son parfum sature ma mémoire. Je l'ai entendue, sur France Info. Sa voix est restée la même. Dure. Elle si capable, pourtant, d'une tendresse infinie, nécessaire à sa survie. Comme si elle en avait cruellement manqué. La journaliste ne pouvait pas en placer une, et n'a obtenu aucune réponse précise. Verbiage insipide. Je me souviens qu'elle était brillante. Une chose m'échappe aujourd'hui, la couleur de sa Twingo. Rose ou orange ? Elle me faisait jouer le rôle du chauffeur. Entre la rue de Tolbiac et son appartement du 18ème, rue Durantin. Nous sortions peu, passant le plus clair de notre temps à nous étreindre en regardant la télé. Sans beaucoup parler. Juste nous sentir l'un l'autre, nous caresser et nous enlacer. Baiser, parfois. Je ne me souviens plus si j'étais bien à ce moment là. Pas plus mal que seul, j'imagine. Il pleut, et je souris. J'ai deux secrétaires d'Etat à mon palmarès. Ce n'est pas rien tout de même. Pure coïncidance bien évidemment. La première est aussi brune que la seconde est rousse. Mais la seconde est aussi connue que la première inconnue. C'était l'époque de la magie de Caramail. L'époque des premiers blogs. Elle avait 18 ans, à peine. Avide. Exploratrice autant que tentatrice. Volcanique, érotique, symphonique. Je l'ai oubliée pendant longtemps. Gardant ce précieux souvenir, il l'est toujours, quelque part bien enfoui. Jusqu'à ce que je fasse le lien entre la jeunesse fougueuse et la femme flamboyante, tenace et guerrière. Elle n'avait rien perdu de son audace, de son entêtement, de ses excès, toujours assumés. Nous avions longuement conversé, nous nous étions livrés, confiés, donnés. Et l'attirance était née. Insatiable. Je me souviens maintenant de ces mots que j'avais murmurés dans la salle secondaire et déserte d'un petit café, du côté de Menilmontant : "si tu fais ça, tu vas nous faire très mal. Et pour longtemps". Elle l'avait fait. Elle s'était empalée, ses yeux plongés dans les miens. Elle m'avait embrassé au rythme de ses hanches. Et nous avions joui, unis, amoureux fous de cet instant. Puis le tourbillon s'était abattu, ravageur. Ne laissant que ruines dans les coeurs. Le mien surtout. Un feu de paille, brillant, brûlant, mais sans avenir. De ces feux qui vous grillent sur place mais laissent très vite le froid revenir, plus brutal et douloureux. Je n'ai jamais rien regretté. J'ai grillé, brûlé, mais avec une intensité inouïe. La souffrance faisait partie du jeu. Car c'était un jeu. Dangereux pour un adulte et une jeune fille. Mais jouissif. J'ai deux secrétaires d'Etat à mon palmarès. Alors que je suis sous la pluie, marchant vers Montparnasse, je me demande si deux, c'est le début d'une collection. Existe-t-il un mot pour qualifier la collection de secrétaires d'Etat ?  Viktor
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Par : le 16/05/24
Session musique blanche (avec masque oculaire hermétique, entraves et bâillon). Voici quelques mots recueillis lors d'une conversation avec Sisyphe après la séquence : Réglage du volume: si le sujet soumis n'entend aucun bruit une fois le volume réglé, il s'avère que certains bruits émis sur une fréquence différente sont perçus ou entendus(exemple : bruits d'accessoires métalliques) Impressions : pour une session qui dure, le sujet soumis s'habitue rapidement au bruit blanc et découvre au fur et à mesure les accessoires choisis la personne Dom'. Le sujet soumis ne perçoit pas les temps de latence imposés. Le fait d'être isolé de l'extérieur rend la sensation nouvelle et savoureuse. L'effet de surprise est amplifié. Pour ma part, en tant que Dom', je rajouterais que l'absence de contact et d'échanges avec mon sujet soumis peut me créer un certain manque. J'ai donc pratiqué un peu d'électro après afin de profiter d'un moment propice à l'échange, à l'expression de ressentis. Suggestion de Sisyphe : pour l'avoir vécu, je trouve préférable en matière de sons imposés au sujet soumis de choisir une bande audio qui interpelle, malmène le mental, titille les neurones. Pour cela la musique moderne expérimentale, entre autres, sollicite l'attention du sujet soumis au même titre que les impacts et les agressions de la peau. Le sujet soumis n'arrive plus à se concentrer sur l'audio et le toucher. Et ce de matière permanente. Ce qui reste difficilement supportable. Matériels utilisés : instruments d'impacts (paddle, martinet, cravaches et badine), ongles, roulette de Wartemberg, couteau. #photoperso Sisyphe_44
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Par : le 15/05/24
Je pense avoir toujours été attiré sexuellement par le fait d'avoir le sexe glabre. Cela fait parti intégrante de ma sexualité depuis l'adolescence. Je ne me l'explique pas, c'est un trait de ma personnalité fétichiste. Déjà au collège, je m'amusais à couper les poils de mon sexe avec une paire de ciseaux. Je précise que c'était avant les débuts d'internet et le sexe épilé n'était absolument pas encore démocratisé par les films ou les magasines porno. J'avais terriblement envie de me raser le sexe mais je n’osais pas. J'avais peur que quelqu'un le remarque. Puis un jour, à la période du lycée, l'envie était trop grande et j'ai sauté le pas. Enfermé dans la salle de bain, le cœur battant, j'ai pris un rasoir et de la mousse et je me suis rasé intégralement. Le processus était hyper excitant. Petit à petit, les poils disparaissaient et mon sexe se dénudait. J'ai trouvé le résultat incroyable. Mon pubis était glabre pour la première fois depuis l'enfance. Mon sexe était nu et je le trouvais à la fois indécent et magnifique. Ce qui m'a le plus surpris, c'était la sensation de mes doigts parcourant mon pubis et mes parties intimes parfaitement glabres. C'était ultra doux et sensuel... Au lycée et dans les lieux publiques en général, étant de nature timide, j'oscillais entre honte et excitation avec mon sexe rasé. C'était des sensations assez contradictoires, sûrement les prémices d'une sensation bdsm...Si quelqu'un l'avait remarqué, j'aurais sûrement été la risée des camarades de classe... Surtout dans un lycée techno majoritairement masculin. Il n'y avait en réalité que peu de raison que ça se remarque. La peur n'était pas rationnelle. L'excitation était, elle, bien réelle. Il m'arrivait dans mes rêveries en classe de me mettre à durcir en sachant que sous mon pantalon, mon sexe était dépourvu de poils. La contrainte principale était que depuis tout petit, tous les étés, j'allais en vacances dans un village naturiste où je retrouvais, en plus, mes ami(e)s de vacances. Pas moyen de me retrouver le sexe lisse dans cette situation. Au printemps je laissais donc repousser mes poils et les vacances terminées, avec impatience, je prenais un malin plaisir à me raser à nouveau et redécouvrir les délices de mon intimité imberbe.   J'ai une pensée ému pour toutes les femmes qui ont partagé ma vie et qui m'ont accepté tel que j'étais, avec mon fétichisme prononcé pour les sexes glabres. Elles ont joué le jeu et m'ont toutes autorisées à leur raser le sexe. Quelque fois avec une légère crainte au début, elles y ont toutes pris goût, sûrement rassurée de savoir que leur vulve glabre m'excitait énormément, et que malgré les apparences, elles n'avaient rien d'une petite fille, avec leurs hanches, et leurs sexes développés. Le fétichisme de l'acomoclitiste n'est-il pas d'ailleurs l'excitation de la vision d'un sexe glabre là où justement il devrait y avoir des poils pour le cacher ? Elles ont aussi découvert les sensations décuplées et la sensibilité d'un sexe épilé. Pour ma part, il va sans dire que je mettais un poing d'honneur à les raser moi même avec application pour mon plus grand plaisir.     Celle qui partage ma vie aujourd'hui s'épile aussi. Elle y a pris goût et elle aime mon sexe ainsi dénudé. Je ne me lasse jamais d'apercevoir sa fente lisse quand elle s'habille et se déshabille. Elle est magnifique. Moi je suis passé du rasoir, à l'épilateur et la pince à épiler, c'est plus long mais tellement plus doux...   Aujourd'hui, l'épilation intime s'est démocratisée pour les femmes et un peu chez les hommes aussi. Cette pratique est rentré dans les mœurs et n'est plus assimilé à la pédophilie ou lorsque l'on criait au scandale quand une femme avait le sexe glabre pour mieux l'asservir et l'infantiliser dans ce monde patriarcal.   Je vais toujours en vacances dans ce même village naturiste. Contrairement à mon époque, les ados restent aujourd'hui habillés et semblent être plus complexés qu'avant. Beaucoup d'adultes ont le sexe épilé aujourd'hui. Je dirais même une majorité. J'ai mis du temps à assumer le fait que je m'épile le sexe. La première année où j'ai décidé de rester épilé au village naturiste où je retrouve toujours mes ami(e)s d'enfance, je me suis mis en condition de soumis à ma femme. Puisqu'elle me préfère ainsi, je reste ainsi. Cela m'a beaucoup aidé puisqu'en quelque sorte je n'avais pas à l'assumer, ce qui est assez lâche de ma part. Ça a eu l'avantage de me décentrer et de me rendre compte que ça n'a choqué personne. Aujourd'hui je l'assume enfin presque totalement mais ne le vante pas auprès de certains de mes amis ou collègues à qui je sais que ça pourrait encore choquer.   C'était mon premier article, je n'espère pas le dernier. Merci de m'avoir lu.
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Par : le 15/05/24
Emanuele Taglietti, est né en 1943 à Ferrara en Italie, il est l'une des figures reconnues pour ses oeuvres réalisés dans le cadre des fumetti, ces bandes dessinées italiennes de petit format et leur approche qui leur est propre : les histoires mêlant sexe, violence et horreur. Emanuele s'est illustré sur plus  500 couvertures de ce genre. Ces couvertures illustraient  parfois de façon à peine voilée les clichés du bondage et du BDSM. Fils de Otello Taglietti, peintre et décorateur, Emanuele grandit dans un environnement où il est nourrit de nombreuses influences artistiques. Ayant fréquenté les plateaux de cinéma aux côtés de son père et de son cousin, le célèbre réalisateur Michelangelo Antonioni, Emanuele Taglietti a su développer une approche cinématographique dans son art. Après ses études à l'École expérimentale de cinématographie à Rome, il travaille sur plusieurs films avant de se lancer dans l'illustration pour Edifumetto, le principal éditeur de fumetti en Italie. Les fumetti : un espace d'expression qui fleure souvent bon le BDSM et le bondage Les fumetti, à l'apogée de leur popularité dans les années 70, offraient un espace incomparable pour l'exploration de sujets tabous. Les couvertures de Taglietti, souvent chargées d'érotisme et de mystère, plongeaient les lecteurs dans des récits où le bondage et les pratiques BDSM étaient bien présentes, fussent-elles sous jacentes. À travers ses illustrations pour des titres comme "Zora la Vampire" et "Sukia", il a pu développer des créations où le fantasme se mêle souvent à la terreur, dans des mises en scène où le cuir et les chaînes ne sont jamais loin. L'œuvre de Taglietti se caractérise par un style distinctif, mélangeant réalisme et surexpression des émotions. Ses personnages, souvent des femmes puissantes et provocantes, sont mis en scène de manière à illustrer autant leur force autant que leur vulnérabilité. Leur représentation dans des scènes de bondage,, témoigne d'une maîtrise artistique qui transcende le simple érotisme pour toucher à des aspects plus profonds du désir et du contrôle. Avec la baisse de popularité des fumetti à la fin des années 80, Taglietti s'éloigne de l'édition pour se consacrer à la peinture à l'huile et à l'enseignement.      (ce livre est disponible en vente en ligne, cliquez là)
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Par : le 14/05/24
  Du 16 au 20 mai 2024 Zuip & The Queen donneront une exceptionnelle série de concerts/performances   Au programme   Parce que le con serre/sert tôt. Ouverture matinale pour 3 trombones à coulisse.   Sarah Bande & Tony Truand. Charivari à la manière de Mouret (1682-1738). Violes de gambe, tambourins, flutiaux.   Les esclaves fouettées Chœur à capella, gémissements, supplications, cris, claquements de fouets et  bruit de chaînes.   In the Moon for Love Solo de percussions   Le respect pervers. Pour piano préparé : fourchettes, couteaux, cutters, épingles à nourrice, bouteilles de Prosecco.   Les contraintes. Symphonie dodécacophonique pour cordes, chaînes et sangles.   L'enfer est au bout du chemin. Concert promenade nocturne : 1- le confessionnal 2- la cave 3- la prison   Chaque prestation se conclura par un vibrant Gode fuck the Queen (repris en chœur) Nombre de spectateurs très limité. Tenue débraillée bien venue Le noir, le cuir et les vêtements sexys seront proscrits. Chaque concert se poursuivra par une improvisation avec les participants (on peut venir avec son instrument) Le programme pourra varier selon les désirs et l'inspiration du Maître.     Une brassée d'orties pourra être offerte à La Queen à l'issue du concert.
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Par : le 14/05/24
"Semita Voluptatis" est un livre qui se démarque par une approche rafraîchissante et profondément humaine de la relation BDSM. Écrit du point de vue d'un dominant, ce livre de Paul Fontaine offre une perspective rare et enrichissante sur la dynamique de pouvoir entre un Maître et sa soumise. Le récit, narré avec une plume à la fois élégante et incisive, explore les émotions complexes et les dilemmes moraux du Maître, un personnage que les lecteurs trouvent souvent "perturbant, troublant et excitant". À travers ses yeux, nous découvrons non seulement la puissance de la domination mais aussi la vulnérabilité inhérente à celui qui la détient. Ce dominant, loin d'être le stéréotype du tyran froid, se révèle être un personnage riche en émotions, partagé entre force et douceur, contrôle et doute. La soumise, décrite comme forte et déterminée, est loin d’être une victime passive. Elle est le pilier sur lequel repose l'équilibre de leur relation, apportant confiance et consentement, des thèmes chers aux lecteurs de ce genre. Le livre "a le mérite d’être clair" et offre une "immersion passionnante dans le monde du BDSM", comme le souligne un des commentateurs, ajoutant une couche de réalisme et d’authenticité à cette exploration de la soumission et de la domination. Les scènes détaillées de BDSM sont décrites avec un équilibre parfait entre intensité et respect, évitant l'écueil de la vulgarité tout en restant fidèle à la réalité de ces pratiques, ce qui fait de "Semita Voluptatis" un "voyage inconnu" qui provoque une "irrépressible envie de savoir jusqu'où ils vont aller". La relation entre le Maître et sa soumise est peinte avec une "belle plume" qui capture leur interaction complexe et leur croissance mutuelle. Cela est souligné par le fait que, selon les lecteurs, ce livre change la donne par rapport aux narrations typiques, offrant "une pépite dans le domaine du BDSM". "Semita Voluptatis" s'avère donc être un livre captivant et provocateur qui ne manquera pas de séduire celles et ceuxen quêtee d’une histoire où la psychologie des personnages est aussi importante que les actes qu’ils commettent.  
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