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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Disclaimer : Ce texte était a la base pour le couple que je fréquentais et a qui j'appartenais jusqu'à peu, je le met ainsi a disposition pour que les gens puissent le lire et découvrir une relation que j'ai pu avoir.
11/03/23
Je ne sais même pas où je pourrais commencer, il y a plein de choses qui se sont passées en à peu après 2 heures et demie, comme Monsieur l'a dit, c'était court mais intense, et Il a raison...
Je me sens un peu euphorique, je me repasse certains moments dans ma tête, j'en parle en même temps à Barbara ce qui me donne des grosses décharges de plaisir... C'était vraiment trop bien...
Je m'étais totalement préparée pour ce soir, autant psychologiquement en appréhendant certaines choses, et physiquement en prenant un peu soin de moi, me rasant, mettant de la crème et le vernissage de mes ongles, même s'il restait des résidus des débordements qui étaient un peu visibles, je prendrais soin de mes ongles jusqu'à la semaine prochaine, qu'ils soient beau et luisants.
J'étais vraiment stressée, j'espère avoir été a la hauteur pour cette soirée, Leur avoir donné autant de plaisir que ce que Monsieur et Madame ont pu me donner, c'était vraiment génial... La mise en place du collier était assez spéciale, je ne m'y attendais pas du tout a vrai dire, ni même tout ce qui s'est passé ensuite en fait...
Je suis rentrée chez Eux, je m'installe, j'essaie de me mettre doucement en place, de me détendre, de me laisser aller. On discute de deux trois choses, de ce que l'on a fait pendant les mois où l'on ne s'est pas vus, l'on discute de différentes choses jusqu'à ce que Madame vienne a parler de la cagoule, me demandant si je souhaite l'essayer, je réponds en rigolant a moitié que je peux mettre l'équipement que j'ai apporté en plus si Ils le souhaientent, puis Elle me demande de lui montrer ce que j'ai ramené, ce que je fais. Mes deux colliers en acier ainsi que mes menottes poignets et chevilles sont face a Eux. Ils les regardent, les soupèsent et discutent un peu autour du sujet, je Les regarde avec l'envie folle qu'Ils m'en posent un autour du cou, ce qui viens a se faire je ne sais plus suite à quoi, j'étais extrêmement concentrée sur la mise en place du collier tellement l'envie était grande... La mise en place était un moment où j'ai pu me détendre, ou j'ai pu commencer à me laisser aller et ou j'ai réalisé que les choses commençaient vraiment. Après que le collier ai été mis en place c'était le moment de la cagoule, j'ai pris Madame par la main et je L'ai suivie jusqu'à la salle de bain, Elle ramène une jolie cagoule en latex noire qu'Ils avaient acheté il y a peu spécialement pour moi, Madame me fais une queue de cheval haute afin de la faire passer dans le trou pour que cela sorte de la cagoule, puis je la met avec un peu de difficulté, ayant peur de la craquer mais j'y arrive finalement. Elle est douce, elle ne me serre pas énormément, elle me colle à la peau et j'oublie un peu qu'elle est la au fur et a mesure du temps. On la place comme il faut, Madame retire l'élastique pour que mes cheveux soient plus libres et que ce soit plus joli puis l'on sort de la salle de bain. Elle passe en avant et attrape une laisse qui était soigneusement préparée sur le meuble, des que je la vois je me dit "Oh oui !!!". Elle l'attache au collier et me voilà tenue en laisse, je La suis docilement, et même en prenant du plaisir puis nous allons rejoindre Monsieur. je me positionne a genoux aux pieds de Madame et Ils viennent a me complimenter sur ma cagoule, puis Madame nous laisse quelques minutes avec Monsieur afin d'aller chercher un produit pour ma cagoule en latex, donnant la laisse a Monsieur avant d'y aller.
Me voilà seule face à Monsieur, il tire légèrement sur la laisse afin que je vienne me mettre à genoux a Ses pieds. Je m'avance a quatres pattes, Le regardant avec toute la dévotion que j'ai pour Lui. Je me positionne a ses pieds puis il m'ordonne de baisser les yeux, ce que je fais directement. Il commence à doucement caresser ma tête, ma queue de cheval et là je me détends de plus en plus, doucement le plaisir viens envahir ma tête, Monsieur me dit que si je me sent mal a l'aise, qu'il faut que je le dise, mais au contraire, je suis a ma place, je me sent bien, j'arrive à me laisser aller totalement, j'ai du mal a réfléchir, a penser et je suis juste sur l'instant présent. Madame redescend avec le produit Vivishine, Elle m'en parle un peu avant de venir également caresser mon corps. Leurs mains sur mon corps, sur Leur propriété, s'amusant a le parcourir, mon dos, le dessus de ma poitrine, mon visage latexé, Madame s'amusant a me tirer légèrement ma queue de cheval, je me sent bien... Je n'arrive à me concentrer que sur leurs caresses, sur leurs douces mains maltraitant affectueusement Leur propriété... Ils viennent a me parler mais je n'entends pas grand chose, je reprends doucement mes esprits, je me reconcentre et je Les écoutes, discuter de la semaine prochaine. Une soirée avec le groupe de Madame et des amis de Monsieur et Madame a l'appartement, cela me fait un peu stresser, me poser des questions. Est-ce que je serais à la hauteur ? Est-ce que je serais capable de représenter Monsieur et Madame ? Serais-je capable de répondre aux besoins de chacuns en servant Leurs amis ? Cela me fait stresser, ça seras ma première fois mais ce n'est pas pour cela que je reculerais, au contraire, si je peux faire en sorte que Monsieur et Madame puissent eux même profiter de la soirée, ainsi qu'etre a
Leur disposition, a Leurs pieds, alors je le ferais. Monsieur et Madame disent que de toute manière sinon je serais attachée et mise dans un coin, et moi je réponds "Ho oui !!" Toute enthousiaste à l'idée de me faire attacher, et Madame saute sur l'occasion, se lève puis m'ordonne de fermer les yeux, ce que je fais. J'entends Madame préparer des choses derrière moi, je frissonne, j'ai hâte, je me détends, puis la, je sent une corde commencer à doucement s'enrouler autour de mon buste, venant capturer mes bras au passage, puis Elle fait doucement passer une deuxième fois la corde, un peu plus bas afin de bien me restreindre puis Elle viens doucement lier mes poignets grace a sa corde. Je garde les yeux fermés tout au long et même après que Madame a fini, profitant simplement du moment sous le regard de Monsieur. A nouveau, leurs mains viennent caresser mon corps, a nouveau ma tête est plongée dans le plaisir grâce aux gestes de Monsieur et Madame... Les caresses continuent jusqu'à ce que Madame m'ordonne de me cambrer, fesses en l'air et visage contre le tapis. Je La regarde, Elle prends un martinet, un martinet en latex, Elle me dit, ça risque de piquer mais je reste en place, j'attends docilement, les fesses prêtes a subir ce que Madame a prévu pour celles ci.
Les premiers coups sont plutôt doux, pour me chauffer j'imagine. La force mise dans les coups augmente au fur et a mesure, puis viens s'y ajouter la main de Monsieur entre les coups de martinets, venant caresser et fesser mes fesses toutes sensibles. Je sent ma peau devenir de plus en plus sensible, et en plus je me contracte ce qui rends les coups plus dur à encaisser... Je me met a gémir de plaisir entremêlé de douleur. Ma peau brûle, je gémis plus fort, j'ai une respiration saccadée puis Monsieur et Madame s'arrêtent. La douleur dans mes fesses s'estompe assez rapidement. Madame vas reposer le martinet puis je me redresse, toujours attachée. Madame me détache doucement puis Monsieur regarde les traces de cordes sur mes poignets avant de venir reprendre la laisse et tirer dessus afin que j'installe ma tête sur Ses cuisses. Il se remet à me caresser la tête, passant doucement Sa main sur mon oreille gauche et caressant ma queue de cheval qui sort de la cagoule. Madame dit quelque chose a voix basse que je n'arrive pas a entendre comme Monsieur en plus avait Sa main sur mon oreille. D'après Monsieur elle en aurais mouillé sa culotte hihihi.
La fin de soirée arrive, il est presque 23h. Toujours ma cagoule sur la tête, le collier autour du cou et la laisse dans les mains de mes Propriétaires. Je profite de Leurs dernières caresse car il vas falloir que je rentre. Toute bonne chose a une fin, mais celle ci n'est que temporaire. Je reprends doucement tout mes esprits, essayant de remettre tout ce qui viens de passer en ordre dans ma tête. Madame m'aide à retirer ma cagoule, Monsieur retire la laisse et je les regarde, restant docilement au sol. Nous discutons un peu, comme dit Monsieur, notre relation avance vite, tout se fait au feeling et a l'envie de chacuns et chacunes, l'on ne s'oblige a rien et c'est une très bonne chose. C'est sur que c'est allé assez loin mais j'ai l'impression que tout le monde y a pris du plaisir donc c'est super hihihi.
Grâce à Monsieur et a Madame, j'ai pu passer une superbe soirée, j'ai pu me sentir bien, j'ai pu me détendre, me laisser aller et être a ma place. Je Les remercie énormément pour ce qu'Ils m'ont fait subir, pour la cagoule qu'Ils m'ont offert, pour le temps qu'Ils m'ont donné et la douceur dont Ils ont fait preuve.
Je n'ai jamais été traitée ainsi, il n'y avais jamais eu un tel mélange entre restrictions physiques et mentales accompagnée de douceurs et de douleurs. Ils m'ont fait découvrir des choses ce soir. Ils m'ont fait découvrir ce que cela fait d'être une poupée, Leur poupée et rien que pour cela, je Les remercie énormément.
J'espère que j'ai pu Leur offrir autant voir même plus de plaisir que ce qu'Ils ont pu m'offrir, j'espère qu'Ils ont passé une belle soirée après ces mois de travail. J'espère avoir été a la hauteur de Leurs attentes, avoir satisfait Leurs envies.
Encore merci pour tout.
Avec toute sa dévotion.
prixie.
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Le supplice de la douceur
Je vais t'infliger le supplice de la douceur.
Et il l'allonge, nue, sur le dos.
Elle en frémit, elle en tremble. C'est la première fois qu'il lui parle ainsi. La première fois qu'il emploie ces mots "le supplice de la douceur". A quoi doit-elle s'attendre ? La douceur ? C'est plutôt de la douleur qu'il lui inflige. Quand il la corrige. Quand il l'empoigne. Durement. Par les seins ou par la vulve. Il l'aime la tenir dans sa poigne. Et elle en coule. Et elle en crie. S'ouvre et s'abandonne. Coule, crie, et jouit. Elle hurle sa jouissance dans la douleur. Elle se répand dans ses poings crispés qui la broie. La réduise à ça. Cette femme pantelante. Délabrée. Ruinée. Secouée de spasmes. Qui ne finissent pas de l'ébranler...
Mais la douceur...
Je vais t'infliger le supplice de la douceur, a-t-il dit.
Quand il se penche sur son visage, et lèche avec une douceur extrême ses lèvres, elle comprend. Il ne fourre pas sa langue dans sa bouche. Non. Il lèche ses lèvres. Il dessine sa bouche de sa langue. Lui qui d'habitude l'embrasse sauvagement fougueusement. Ou lui impose toute sa bite au fond de sa gorge. Longuement. Puissamment. Pour qu'elle en bave. En pleure. A bout de souffle n'en puisse plus...
Non. Il la lèche doucement. Et sa bouche descend dans son cou. Sa main se pose sur son ventre. Avec une légèreté qui la trouble. Sa main ne pèse pas. Et pourtant. Elle est là présente. Simplement là. Posée sur son ventre. Toute sa main. La paume, les doigts. Au cœur d'elle-même. Elle s'en émeut. De le sentir là. Si tendre. Ce geste. Cette présence. Ni autoritaire ni possessif. Simplement là. Dans sa bienveillance. Il prend soin d'elle. Elle lui a donné ce droit.
Et sa bouche descend, contourne ses seins. Effleure. Lèche. Elle sent son souffle. Il la parcourt. Chaque mamelon. Chaque sein tour à tour. Jusqu'à ses tétons qu'il frôle. Il les fait bander, durcir, se tendre. Sous la douce caresse de sa langue. Qui passe et repasse. Légère.
Elle ne peut s'empêcher d'en gémir. De se cambrer. De lui offrir ses seins gonflés. Elle voudrait qu'il les empoigne. Qu'il pince brutalement ses tétons. Qu'il les morde ! Mais non...
Je vais t'infliger le supplice de la douceur, a-t-il dit.
Et sa bouche descend sur ses flancs. Frôle son ventre. Alors que sa main se pose, délicatement, sur sa vulve. Enfin ! Elle en tremble.
Sa main est là. Posée. Entre ses cuisses. Mais si présente...
Et sa bouche descend, ses doigts frôlent. Elle les sent à peine. Sur ses lèvres. Sur son clitoris. Quand furtivement il passe. Et pourtant. Elle est ouverte trempée. Et elle voudrait qu'il la prenne, la fouille, lui impose ses doigts dans sa chatte, sa main. Toute sa main. Qu'il la remplisse ! De toute sa puissance ! Qu'il lui impose sa force ! Mais non.
Ses doigts effleurent. Ne font que passer. Frôler. Et sa bouche est si près de son clito ! Si près. Terrible frustration ! Elle voudrait qu'il la lèche. Avec vigueur. Mais sa langue, son doigt, ne font qu'effleurer. Et pourtant. Elle sent qu'elle monte. Sous la douceur de sa langue. Qui passe et repasse avec une indicible lenteur. Elle la sent à peine. Et pourtant. C'est cette frustration qui l'excite. Qui la prend. La mène. Avec une insupportable lenteur. Impitoyablement.
Elle qui aime tant sa violence. Sa fougue. Quand il la travaille au corps. Mais là, elle ne peut que s’abandonner. S’offrir. Totalement s’offrir. Se laisser emporter par cette insupportable douceur. Ce supplice. Car c’est un bien un supplice.
Jusqu'à l'orgasme.
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Tout à coup, je la regardais avec une sorte d'épouvante: ce qui s'était accompli dans cet être dont j'avais tant envie m'apparaissait effroyable. Ce corps fragile, ses craintes, ses imaginations, c'était tout le bonheur du monde à notre usage personnel. Son passé et le mien me faisaient peur. Mais ce qu'il y a de plus cruel dans les sentiments violents, c'est qu'on y aime ce qu'on aime pas. On y adore jusqu'aux défauts, jusqu'aux abominations, on s'y attache à ce qui fait de plus mal. Tout ce que je détestais en elle était sans prix pour moi. Et mon seul bonheur, c'était le plaisir même; le mien, le sien, tous ces plaisirs du monde, camouflés la plupart du temps sous de fugaces désirs, des amours passagères, des illusions d'un moment. Nous avions du mal à parler. Il y avait un silence entre nous, fait de nos fautes et de nos remords. L'éclatement et l'évidence des amours partagées, la simplicité qui jette les corps l'un vers les autres. Ce monde ambigu où les choses s'interprètent et où nous leur prêtons un sens qui est rarement le sens, c'était l'insoutenable légèreté du bonheur où le temps et l'espace n'étaient plus neutres dans l'amour et la soumission. Ils se chargeaient de nos espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvrait ainsi d'un réseau de signes qui lui donnait un sens parfois absurde. Si tout était là, la vérité serait à la portée de tous, à la merci d'un miracle, mais on ne peut n'allumer que la moitié d'un soleil quand le feu est aux poudres. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes, on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là. Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant la main dans ses cheveux, elle posa ses lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement avant de l'embrasser de plus en plus passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit lentement ses mains dans son dos, et la plaqua contre elle. Debout sur la terrasse, assourdies par le bruit des vagues, elles se laissèrent gagner par un désir grandissant. Charlotte s'écarta de Juliette, la prenant par la main, l'entraîna vers la chambre. Ensuite, elle s'écarta d'elle. La lumière de l'aube inondait la pièce, jetant des ombres sur les murs. N'hésitant qu'une fraction de seconde avant de se retourner vers elle, elle commença à se déshabiller. Charlotte fit un geste pour fermer la porte de la chambre, mais elle secoua la tête. Elle voulait la voir, cette fois-ci, et elle voulait qu'elle la voit. Charlotte voulait que Juliette sache qu'elle était avec elle et non avec une autre. Lentement, très lentement, elle ôta ses vêtements. Son chemisier, son jean. Bientôt, elle fut presque nue. Elle ne la quittait pas des yeux, les lèvres légèrement entrouvertes. Le soleil et le sel de la mer avaient hâler son corps. Il venait d'ailleurs, de l'océan. Il émergeait des eaux profondes, tout luisant de ce sucre étrange cher à Hemingway. C'était la fleur du sel. Puis Juliette s'approcha de Charlotte et posa ses mains sur ses seins, ses épaules, ses bras, la caressant doucement comme si elle voulait graver à jamais dans sa mémoire le souvenir de la douceur de sa peau.
Elle ne savait plus quelle heure il était et elle ne voulait pas le savoir. Les yeux mi-clos, elle la regarda remonter ses mains le long de ses cuisses, puis écarter le tissu. Un son étranglé lui échappa alors qu'elle contemplait son sexe. Elle suivit alors la jointure de sa cuisse du pouce avant de le presser contre son clitoris. Elle rejeta la tête en arrière en gémissant alors qu'elle le caressait lentement. Elle lui prit ses mains désarmées, et elle s'en attesta la finesse émouvante. Elle lui laissait faire silencieusement tout l'examen de son corps, et elle la regardait aussi, non pas avec la curiosité futile ou sordidement intéressée de ses pareilles, qui en vous regardant, vous soupèsent comme de l'or suspect. Évidemment, elle avait une autre pensée que celle du gain qu'elle allait faire ou du plaisir qu'elle allait donner. Charlotte n'était pas entièrement nue; mais c'était pis ! Les marbres sont nus et la nudité est chaste. Elles firent l'amour fiévreusement, accrochées désespérément l'une à l'autre, avec une passion comme elles n'en avaient jamais connue, toutes les deux douloureusement attentive au plaisir de l'autre. Comme si elles eu avaient peur de ce que l'avenir leur réservait, elles se vouèrent à l'adoration de leurs corps avec une intensité qui marquerait à jamais leur mémoire. Elles jouirent ensemble, Charlotte renversa la tête en arrière et cria sans la moindre retenue. Puis assise sur le lit, la tête de Charlotte sur ses genoux, Juliette lui caressa les cheveux, doucement, régulièrement, en écoutant sa respiration se faire de plus en plus profonde. Soudain, les lèvres de Juliette exigèrent un maintenant plein d'abandon. La communion ne put être plus totale. Elle lui prit la tête entre ses deux mains et lui entrouvrit la bouche pour l'embrasser. Si fort elle suffoqua qu'elle aurait glissé si elle ne l'eût retenue. Elle ne comprit pas pourquoi un tel trouble, une telle angoisse lui serraient la gorge, car enfin, que pouvait-elle avoir à redouter de Juliette qu'elle n'eût déjà éprouvé ? Elle la pria de se mettre à genoux, la regarda sans un mot lui obéir. Elle avait l'habitude de son silence, comme elle avait l'habitude d'attendre les décisions de son plaisir. Désormais la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, et qu'elle avait pressenti sans la comprendre. Désormais, il n'y aurait plus de rémission. Puis elle prit conscience soudain que ce qu'en fait elle attendait, dans ce silence, dans cette lumière de l'aube, et ne s'avouait pas, c'est que Juliette lui fit signe et lui ordonnât de la caresser. Elle était au-dessus d'elle, un pied et de part et d'autre de sa taille, et Charlotte voyait, dans le pont que formaient ses jambes brunes, les lanières du martinet qu'elle tenait à la main. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passa de la droite à la gauche, s'arrêta et reprit aussitôt. Elle se débattit de toutes ses forces. Elle ne voulait pas supplier, elle ne voulait pas demander grâce. Mais Juliette entendait l'amener à merci. Charlotte aima le supplice pourvu qu'il fut long et surtout cruel. La façon dont elle fut fouettée, comme la posture où elle avait été liée n'avaient pas non plus d'autre but. Les gémissements de la jeune femme jaillirent maintenant assez forts et sous le coup de spasmes. Ce fut une plainte continue qui ne trahissait pas une grande douleur, qui espérait même un paroxysme où le cri devenait sauvage et délirant. Ces spasmes secouèrent tout le corps en se reproduisant de minute en minute, faisant craquer et se tendre le ventre et les cuisses de Charlotte, chaque coup, le laissant exténué après chaque attaque. Juliette écouta ces appels étrangers auxquels tout le corps de la jeune femme répondait. Elle était vide d'idées. Elle eut seulement conscience que bientôt le soir allait tomber, qu'elle était seule avec Charlotte. L'allégresse se communiqua à sa vieille passion et elle songea à sa solitude. Il lui sembla que c'était pour racheter quelque chose. Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. Cette misère sexuelle la confortait dans son choix. Le masochisme est un art, une philosophie et un espace culturel. Il lui suffisait d'un psyché. Avec humilité, elle se regarda dans le miroir, et songea qu'on ne pouvait lui apporter, si l'on ne pouvait en tirer de honte, lui offrir qu'un parterre d'hortensia, parce que leurs pétales bleus lui rappelaient un soir d'été heureux à Sauzon à Belle île en Mer.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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C'est bien bdsm.fr, c'est là que je viens piocher des idées pour renouveller mes jeux avec Maso. C'est mon homme, celui avec lequel je vis. Nous nous connaissons depuis si longtemps. C'est lui qui m'a aidé, épaulé, pour ma transition. C'est lui qui a fait de moi sa femme. Au début c'était très vanille, et puis nous avons doucement glissé vers les jeux pour pigmenter notre relation. C'est ainsi que j'ai découvert que j'étais une domina impitoyable et lui un pur maso. Je l'appele ainsi désormais.
Je suis toujours en recherche de nouvelles pratiques pour lui donner ce qu'il recherche, du plaisir dans la souffrance. C'est très sain, je trouve, d'aller à la découverte de ce que l'on est vraiment, et de le vivre. C'est bien le couple, car c'est appaisé. Depuis que j'ai basculé dans le hard, je n'ai plus du tout envie de faire l'amour avec lui, d'etre prise par lui, je veux dire, car faire l'amour c'est bien plus complexe que cela. Pour qu'il ne soit pas en manque, je le libère après chaque séance, et même la nuit. Je contrôle totalement sa jouissance et sans moi, il n'a droit à rien et surtout pas se toucher pour se donner du plaisir. Je ne le domine pas en dehors des séances, à par ce contrôle total de sa sexualité. Et pas besoin d'une cage de chasteté, il obéit parfaitement. Pour mes désirs à moi j'ai eu des aventures au début et à present je me comporte en bourgeoise sage avec un amant unique. Une petite vie en apparence tranquille de femme à la maison avec son homme. Ceci c'est pour le coté Jekill.
Reste le coté Hyde. C'est mon amant, avec qui je n'ai qu'une relation vanille, et qui est aussi sur bdsm.fr, qui m'a suggéré ce nouveau jeu à faire avec mon maso. Il est dominant, mais il n'assiste jamais et ne pratique jamais dans mes séances avec Maso. c'est bien pour tout le monde lorsque les choses sont claires. Mon amant a beaucoup d'imagination. Hier, après avoir fait l'amour, en fumant son cigare, il m'a expliqué "Spirit of Ecstasy". Vous savez, l'emblème des Roll Royce, ces superbes voitures de grand luxe. Cela m'a donné envie d'essayer.
Maso ne sait jamais ce que je vais faire lors d'une seance. Je parle le moins possible. J'adopte des gestes très lents et je porte toujours des gants blancs comme une japonaise. je commande par gestes le plus souvent. Et Maso comprend de suite. Ce rituel, c'est un rituel pour faire peur. et il marche très bien.
Maso est nu. Je lui attache les mains dans le dos. Il se met à genoux. J'attache ses chevilles au sol. Nous avons bricolé notre pièce de torture dans la maison, avec tout ce qu'il faut, anneaux acier, poulies, barres, croix,, et autres. C'est très bien pour s'amuser en sécurité. J'attache ses mains dans le dos à une corde qui passe par une poulie au plafond, puis je l'oblige à se baisser en avant. Il se retrouve dans la position "Spirit of Ecstasy". Superbe! je lui donne un mors à macher que j'attache aussi à ses mains dans le dos. Il est complètement à ma merci. je lui caresse doucement les fesses. il bande dur. Je ne le sodomise jamais. Pas même un doigt pour lui masser la prostate. Non, son plaisir c'est la souffrance.
Je lui montre une latte en bois, une belle latte de sommier. Les coups commencent. Je le sens se cabrer mais il ne peut fuir. Il oscille dans cette position. Cela donne la mesure. Les coups sont de plus en plus forts. Précision. Ne pas le marquer, juste le rougir. Il bande encore plus fort. Son gland est bien rouge et gonflé.
Je passe par devant, lui enlève le mors. C'est la séance des giffles. C'est redoutable une giffle bien faite. Il faut bien relacher le bras, laisser la main prendre beaucoup de vitesse et presque s'arreter à l'impact. Cela claque comme un fouet. L'onde lui monte au cerveau. Rien n'est pire qu'une seance de gifles. Rien n'est plus humiliant. Il bande encore plus, prêt à éjaculer. Du geste je lui dit : NON ! Et cela marche, son désir est coupé net.
Je sors les florentines. il faut faire des huit pour eviter les mains, comme dans le symbole de l'infini. Très vite la douleur devient insuportable. Il hurle. J'arrête. Quelques bonnes baffes. Et du geste je lui indique qu'il doit hurler en silence, garder ses cris à l'intérieur. Et de nouveau les florentines. Il se tétanise, il tremble. J'ai plaisir à le voir se tordre de douleur.
Il est au bord de l'évanouissement, ce moment ou le cerveau disjoncte, seule façon pour lui de supporter la douleur. je le laisse récupérer. De toute façon c'est assez pour ce soir. Je le laisse seul dans le noir.
Lorsque je reviens, il est bien, détendu, incroyablement paisible. Je glisse ma main vers son entrejambe. Son pénis redevenu mou se met aussitot à gonfler et devenir très dur. Je le caresse très doucement. Lorsque je sens qu'il va exploser, je pince le gland. cela coupe tout. Et je recommence. Un veritable supplice que ces orgasmes qui montent et ne peuvent se libérer. Il me supplie des yeux. Je ne suis pas préssée. Enfin, je le laisse aller au bout. Je recupère sa semence dans mes gants blancs et il doit tout lecher; Je le laisse encore récuiperer dans le noir. Je vais prendre un verre en attendant.
Lorsque je le libère enfin, il est tout tremblant mais je sens qu'il baigne dans une immense paix intérieure. Je le laisse venir se lover à mes pieds pendant que je finis mon verre. Il les embrasse pour me remercier.
Finalement "Spirit of Ecstasy" est une position qui me plait beaucoup. Je cherche déjà des idées pour la prochaine séance. Bon je file, j'ai un rendez vous avec mon amant. Puis retour à la maison où Maso m'aura surement préparé un bon repas qu'il me servira nu, debout derrière moi. Pas de baffes ou de fouet en dehors des seances, il est parfaitement dressé et très heureux de son sort. Il aime me servir et m'obéir.
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Bonjour Madame,
Je m’appelle David, j’ai 49 ans. Ma belle-soeur a fait des recherches sur internet et a trouvé votre annonce sur les séances que vous dispensez dans votre institut. Elle a dit que c’était exactement ce qu’il fallait pour s’occuper de mon cas et m’a ordonné de prendre contact avec vous au plus vite en joignant une lettre introductive qu’elle a elle-même rédigée, ci-après.
——
Madame,
Je vous écris car j’ai récemment découvert avec effroi que mon beau-frère est un pervers des plus ignobles. Lors d’un séjour chez ma soeur j’ai découvert une petite caméra en train de filmer alors que j’étais assise aux toilettes toute nue pendant que l’eau du bain coulait. Quel choc! J’ai compris que mon beau-frère me filmait pendant que je me soulageais - j’eus bêtement honte des bruits que j’avais faits juste avant, un comble alors que c’était ce sale pervers dégoûtant qui s’excitait à me voir faire mes besoins pour se branler sans doute… J’étais absolument furieuse et j’eus envie de tout balancer à ma soeur. Mais la peur de détruire son couple m’a retenue. J’ai fait semblant de n’avoir rien vu et j’ai continué de procéder à ma toilette… Je résolus de confondre le coupable moi-même. Il allait voir ce qu’il allait voir. Je vous avoue qu’une fois cette décision prise je ressentais un trouble profond et une forte excitation sexuelle à me laver tout en me sachant épiée et je prenais un malin plaisir à m’exhiber plus que de raison. Je dus résister à l’envie de me masturber alors que je sentais mon sexe devenir poisseux. Mais je m’égare excusez-moi.
J’avais décidé de prendre sur le fait mon beau-frère. Mais quelques mots sur lui tout d’abord. Il a connu ma grande soeur lorsqu’ils étaient tous les deux très jeunes, j’ai moi-même un temps eu du désir pour lui… Bref ils se sont mariés tôt, ont des enfants charmants et tout va bien en surface. Je sais en revanche que ma soeur n’est pas comblée sur le plan sexuel. Elle n’aime pas trop parler de ces choses-là mais je l’ai compris à demi-mots. David, mon beau-frère, a semble-t-il une queue pas assez épaisse et pour tout dire de taille ridicule, comme mon mari du reste, mais lui du moins sait s’en servir alors que mon beau-frère jouit trop vite et n’a jamais réussi à faire jouir ma soeur! La pauvre n’a jamais connu d’orgasme. Moi au moins mon mari me fait jouir avec sa queue et sa bouche. J’aime beaucoup m’asseoir sur son visage. Ma soeur est très prude et n’aime pas être léchée: vous imaginez une chose pareille, vous? c’est incroyable et de plus elle ne se masturbe pas. Mais bon je m’égare à nouveau. En tout cas tout s’est éclairé pour moi : j’ai compris que ce David est en réalité un gros cochon pervers et qu’il ne peut pas avoir de rapports normaux.
Pour le confondre sur le champ j’ai laissé traîner par terre quelques-unes de mes culottes bien sales. J’étais sûre qu’il ne pourrait résister. Lorsque je suis remontée, j’ai fait très attention de ne rien laisser paraître mas j’ai vu son regard sur moi et cela m’a fait voir rouge. Je l’aurais giflé. J’ai attendu un moment puis je suis redescendue discrètement en direction de la salle de bains. Par chance toute la petite famille était partie faire des courses. Je me suis approchée de la porte. J’ai senti le désir inonder ma culotte. Le souffle court, le coeur battant, j’ai ouvert brutalement la porte et j’ai vu.
Mon beau-frère David, 49 ans, était à genoux par terre le pantalon baissé, je voyais ses fesses blanches. Cela aurait pu être comique. D’une main il tenait à ses narines l’une de mes culottes, la plus sale je crois bien, et de l’autre il tripotait sa petite queue dressée! Je me souviendrai toujours de la stupeur sur son visage qui s’est littéralement décomposé lorsqu’il a réalisé ce qu’il se passait. J’ai poussé un cri de colère, je ne sais plus exactement ce que j’ai dit mais sans doute « Mais tu es un gros cochon dégueulasse! » Il a bafouillé quelque chose d’inintelligible. « Tu te branles en reniflant mes culottes sales, mais quelle horreur, comme ça là tout nu. C’est dégueu si Manue savait ça.. Tu fais pareil avec ses culottes? » Acquiescement du gros porc, rouge pivoine.. qui ne sait plus quoi faire, le zizi et le cul à l’air avec ma culotte toujours dans la main. Tout cela m’a donné une brusque envie de rire et j’ai vu combien David en était humilié. « Tu aimes les culottes sales, vicieux? » « O..oui, oh oh.. o » « Tais-toi je vais tout lui dire, c’est pour ça que tu la baises pas comme il faut, hein? Tu ne sais pas faire autre chose que sentir des odeurs de cul et te branler avec? Hein? Regarde-moi t’es qu’un puceau, une lopette en fait! Ah t’aimerais bien qu’on te parle comme ça, gros porc » « Ne te cache pas, montre-moi ça.. Oui ta petite quéquette, enlève tes mains.. » « Et bien mon pauvre je comprends.. tu bandes là? ellle doit pas s’amuser c’est normal qu’elle n’ait jamais joui avec toi. Oui elle me l’a dit! » Il s’est mis à gémir et à m’implorer de ne rien dire, jurant qu’il ferait tout ce que je voudrais, etc. Je n’écoutais pas j’étais furieuse. J’ai asséné le coup de grâce: « J’ai trouvé ta caméra tout à l’heure, tu veux me faire pitié? tu m’as filmé en train de… oh ça me dégoûte, ça t’excite de voir les filles pisser et chier devant toi? Réponds! » « Oui j’a honte j’aime ça.. Maîtresse » « Maîtresse? » le mot lui avait sans doute échappé car il est devenu encore plus rouge et embarrassé. « Maîtresse… ah c’est donc ça, tu es un petit soumis, une petite lopette. Tu sais quoi finalement ça ne m’étonne pas. Tout s’explique maintenant. »
Là je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes et de tendre son cul et le rouge aux joues tout en le traitant de tous les noms qui me passaient par la tête je lui ai donné une fessée magistrale, j’ai même donné quelques petites tapes sur ses couilles qui pendaient. L’entendre couiner m’a donné un drôle de choc et j’ai senti mon sexe couler.. J’ai réussi à reprendre mes esprits en lui faisant jurer de faire tout ce que je lui ordonnerai de faire à commencer par ne plus se masturber sans mon autorisation. J’ai vu le regard émerveillé, comme en extase, qu’il a levé vers moi, comme si quelque chose qu’il avait si longtemps attendu, imaginé dans sa tête, se déroulait enfin pour de vrai…
Je l’ai laissé mariner quelque temps car je ne voyais pas que faire: en parler à ma soeur, je ne voyais pas comment je pouvais y parvenir dans l’immédiat et puis nous allions partir sous peu et nous habitons si loin, en Australie à l’autre bout de la Terre en somme… Je devais trouver un moyen pour que ce pervers soit pris en main. Sous mes ordres il m’a adressé par mail des confessions complètes. J’ai été effarée de ce que j’ai lui. J’ai eu confirmation du désert sexuel entre ma soeur et lui et j’ai découvert qu’en fait ma soeur n’a plus envie de faire l’amour avec lui, c’est dire…leur dernier rapport remonte à trois quatre ans maintenant!
Ses envies perverses remontent apparemment à l’enfance. Tout petit, il imaginait déjà toutes sortes de choses dégoûtantes, en se masturbant, en rêvant de femmes plus âgées et de leurs petites filles qui le domineraient. Je crois que mon beau-frère est sévèrement perturbé sexuellement, il est resté dans sa tête un petit garçon apeuré par les femmes, très timide, pas du tout sûr de lui, obsédé par l’idée de donner du plaisir aux femmes mais sans jamais vraiment y arriver dans des rapports normaux. Il ne désire que des choses bizarres, perverses, avec toutes ces images de femmes dominantes, d’humiliations sales et même de féminisation. Quand on le voit on a du mal à y croire mais il se met à trembler en enfilant des petites culottes et des collants, à renifler des culottes comme je vous l’ait dit mais plus que tout ce qui le hante c’est le scato, l’uro (j’ai découvert ces termes en lisant ses confessions) et les jeux de régression: être un petit garçon qu’on punit, que l’on initie sexuellement, que l’on met en couches, que l’on nettoie, à qui l’on montre comment être un bon nettoyeur de fesses et de sexe. Il a même envie d’apprendre à sucer de vraies queues et lécher des culs de mâles (soumis ou non) pour peu que ce soit Maîtresse qui le lui demande… C’est ignoble et pitoyable en même temps.
Bref j’ai cherché et j’ai trouvé votre annonce. Je lui ai montré vos photos, vos petits textes de scénario. Nous étions en visio et il était tout nu dans la tenue que j’exige qu’il porte dès que c’est possible: un ruban rose noué autour de son zizi et de ses couilles et un anneau en caoutchouc lourd sur ses bourses pour qu’elles pendent bien (nous avons joint une photo à ce courrier). Il a l’air d’un petit cochon c’est parfait. J’ai vu que tout lui plaisait chez vous et notamment cette illustration de Namio Hurukawa qu’il affectionne beaucoup où l’on voit ces femmes qui se soulagent dans la bouche de leurs esclaves ou encore celle du petit garçon qui enfouit sa tête au creux de l’énorme poitrine de son abusive nounou… C’est tout à fait ça!
Je lui ai donc demandé de vous contacter pour des séances d’éducation sexuelle pour puceau, d’approfondissement de ses envies de soumission. Mon beau-frère doit assumer ce qu’il est: une petite lopette, un puceau attardé sexuellement. Faites-en votre jouet docile. Je lui ai bien sûr interdit de jouir sans permission, il sait se retenir: Il en est à un peu plus de trois semaines je crois, un record. Je me charge de mon côté d’essayer de sensibiliser ma soeur petit à petit pour qu’elle commence à trouver d’autres moyens de se donner du plaisir: jouets érotiques peut-être, ou bien amants bien montés, nous verrons bien. Comme cela, avec un peu de chance et votre aide lorsqu’elle se sera un peu libérée et aura connu l’orgasme avec un beau mâle à grosse queue elle trouvera tout naturellement chez elle un mari cocu et soumis. Moi je sais en tout cas ce que j’en ferai: un lécheur docile qui viendrait me nettoyer le sexe et le cul lorsqu’ils sont sales..
N’hésitez pas à vous servir de David comme intermédiaire pour me faire parvenir des messages et à l’humilier en lui faisant raconter tout cela, ainsi qu’en utilisant les informations que je vous communique. C’est le but. Je veux qu’il soit bien puni et humilié. Examinez-le bien, un check-up sexuel médical complet ne peut lui faire que le plus grand bien. En vous remerciant par avance et en vous souhaitant du courage,
Nathalie
——
Voilà Madame, je complète ce déjà long courrier par quelques éléments. J’ai particulièrement aimé vos deux idées de la doctoresse urologue qui me contraindrait à toutes sortes d’examens humiliants et de la belle-mère qui me surprendrait en train de fouiller dans son linge sale, vous devez vous en douter…
Comme Maîtresse Nathalie vous l’a expliqué, mes envies de soumission remontent à l’enfance. Dès le primaire je m’imaginais être le jouet docile et esclave de cousines plus âgées qui me “torturaient”. J’ai même à cette époque partager ces envies avec un autre petit garçon. Nous nous racontions des histoires et nous nous frottions à travers nos slips. Rien de plus. Je me souviens aussi du trouble que je ressentais lorsque la pédiatre soulevait mon slip et palpait mon petit zizi. Très tôt j’ai découvert les livres pornographiques ainsi que les livres parlant de sexologie. J’étais toujours attiré par les déviances et perversions, elles m’excitaient. Au collège quand j’ai découvert comment masturber mon zizi, cette manie ne m’a plus quitté et je développais des rêves incluant mes professeurs (femmes), l’infirmière de l’école, des amies de mes parents, les filles de la classe (y compris les plus moches). Je les imaginais se moquant de moi et m’obligeant à faire des choses comme les lécher, m’exhiber, elles riaient de me voir excité à faire des choses dégoûtantes. Les professeurs devenaient mes initiatrices perverses, m’enduisant le corps de substance gluante, jouant avec ma quéquette, caressant ma raie, m’attachant et saucissonnant mon zizi, me livrant aux regards de leurs filles, petites pestes qui en profitaient pour suggérer toutes sortes de supplices et d’humiliations qui étaient forcément acceptées avec enthousiasme par leurs mamans.
Mes expériences. Seul j’aime depuis ce temps-là m’obliger à l’abstinence régulièrement pour sentir mon jus s’accumuler et le désir devenir incontrôlable. J’aime mettre des culottes féminines, ligoter mon petit sexe, porter un lourd cadenas autour des testicules et les sentir ainsi ballotter à tout va. J’aime me mettre des doigts dans l’anus, les sentir et les lécher ensuite. J’aime me prendre avec des petits objets, plug, gode. Je l’ai fait même si j’ai depuis qq mois des hémorroïdes qui ressortent quand je pousse. C’est dégoûtant mais je n’ose pas aller consulter et montrer mon anus, j’aurais peur de sentir mon zizi grossir. J’aime me souiller dans des couches et jouer avec mon pipi et mon caca. J’aime avoir la raie et les couilles sans poil, pas plus car je veux rester discret. C’est très excitant. J’aime me donner des petites tapes avec une spatule en bois sur les testicules et le zizi, ou bien avec une planchette sur les fesses. J’aime un peu la douleur, mais ne veux pas de marques. J’aime également avoir les testicules attachées et devoir tirer dessus et jouir ainsi avec le bout du sexe tiré d’un côté et les couilles de l’autre. J’aime les pinces à linge sur le périnée ou sur les testicules.
Avec d’autres personnes. Très peu d’expériences de sexualité normale: peu de partenaires, jamais très satisfaisant pour elles, toujours des filles, sauf une fois j’ai masturbé pas jusqu’au bout mon cousin homo (j’avais 16 ans il en avait 25) lui m’a sucé jusqu’au bout. Je jouis trop vite avec les filles, j’aime les lécher mais par exemple ma femme n’aime pas ça. Je ne me suis quasiment jamais fait sucé par une fille. J’ai voulu vivre mes expériences de soumission dès que j’en ai eu la possibilité, en gros vers 21-22 ans. J’ai vu deux fois une dominatrice: gode à sucer, nu, sodomie avec son gode, uro (elle m’a fait pipi dessus, c’était le meilleur moment), tape avec baguette sur les testicules (ceci m’a fait bander alors que mon zizi restait mou, un peu paralysé par l’émotion), la deuxième fois j’avais un plug dans mon anus qu’elle m’a donné à nettoyer comme une sucette (j’ai aimé). Mais il a manqué une connexion cérébrale avec ces personnes et des contacts sexuels. C’est nécessaire pour moi de pouvoir lécher, sucer les fesses, les culs et les chattes, sentir leurs odeurs. Trois prostituées: une noire qui m’a dit que je n’étais pas vaillant car j’ai joui tout de suite après qqs va-et-vient dans sa chatte, une grosse moche aux seins énormes que j’avais repérée pour cela (rien de bien excitant finalement) et une autre noire qui m’a laissé lui lécher la chatte tout en tripotant mon zizi: là c’était une de mes expériences les plus agréables car j’avais le nez dans ses fesses, je sentais l’odeur de son anus sale et je respirais respirais ses odeurs tout en léchant. J’ai joui très vite, c’était divin. La fille a eu l’air amusé. C’était il y a une dizaine ou quinzaine d’années maintenant. Plus près de nous, je suis allé voir deux fois une dominatrice gentille qui aime être léchée. J’ai pu faire deux séances régressives avec elle: elle me traitait comme une petite gamine sale, disant que mon zizi était ridicule, tout petit, ne servant à rien, elle m’a donné son anus à lécher, préparé des culottes sales à renifler pour moi, m’a fait mettre en fille. C’était très fort.
J'aime les odeurs de fesses, odeurs de cul, odeurs de pipi. J’aime les culottes sales, je farfouille tout le temps dans le bac à linge sale chez moi ou chez des amis pour dénicher une culotte odorante avec laquelle je me masturbe le nez collé aux endroits les plus odorants surtout celui de l’anus si possible, tremblant quand je trouve une culotte encore un peu humide de pipi ou de sécrétion. J’aime frotter mon zizi contre des bottes, des chaussures. J’aime aussi les odeurs de pied, de chaussettes sales, mais moins que celles des orifices. Je fantasme donc sur être le jouet d’une femme, d'un couple en étant obligé à faire des choses avec l’autre soumis ou soumise. Je m’imagine en soubrette, servant à table, donnant du plaisir avec ma bouche, sentant pour la première fois un sexe d’homme durcir.
Comme ma belle-soeur vous l'a dit, je n'ai plus de rapports sexuels avec ma femme depuis trois quatre ans, date à laquelle pour la dernière fois mon zizi ridicule a pu être en contact avec un sexe féminin. Je voudrais s’il vous plaît être pris en main pour des séances où je serai enfin traité comme le petit puceau que je suis avec ma petite queue de lopette, apprendre à donner du plaisir avec ma bouche, nettoyer, refaire mon éducation sexuelle depuis le début. Je rêve qu’une femme telle que vous me laisse faire entrer mon petit sexe dans son énorme chatte pour me montrer qu’elle ne sent rien en riant et me la faire sortir bien vite avant que je n’éjacule pour que je puisse à la place la lécher longuement. Ou bien au contraire me faire éjaculer bien vite dans son sexe, les couilles attachées, le cul plein, et m’obliger ensuite à boire le jus qui se sera répandu très vite dans le préservatif.
Pour préserver l'anonymat les prénoms ont été changés
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Enfin ! Mademoiselle Akira vient de reperer bigjhon, le policier privé qui l'a dépucelée, lors d'un controle appuyé. Il est au café, à l'étage, dans ce gigantesque aeroport. Le vol pour Miami est pour dans une heure. elle fait sagement la queue, en avance comme toujours, cuisse serrées et toujours aussi stricte et conformiste dans ses tenues. Pourtant elle bout à l'intérieur. Bigjhon lui a procuré son premier orgasme et depuis il feint l'ignorer! Elle quite la queue et monte vers le café. Bigjhon est tout rouge. Elle se plante devant lui et ne dit rien. Bigjhon ne peut soutenir son regard franc, droit dans ses yeux à lui. Il baisse la tête.
Aussitôt mademoiselle Akira se sent prise d'une audace qu'elle ne soupçonnait pas.
-Alors bigjhon, on offre pas un café à sa femme.
Big jhon est encore plus rouge. Il suffoque. Pourtant il se lève et va chercher un café. Akira s'assoit, déplie les jambes et écarte les cuisses. Elle sent toute la supériorité de son petit clito sur le gros sexe de bigjhon qu'elle n'a encore jamais vu. ce dernier s'assoit et n'ose plus la regarder.
-Tu sais, il va falloir que tu m'épouses maintenant. Tu n'as pas le choix. Tu m'a dépucellée la première fois avec ton gant en latex et ensuite tu m'as fait jouir.
-Excusez moi madame, je n'ai fait que mon travail la première fois. Ensuite oui, je l'avoue, j'ai eu besoin de vous toucher, de vous caresser.
-c'est normal, je suis ta femme.
Bigjhon ne comprend rien à ce qui lui arrive pourtant il sent qu'Akira a raison; il est complètement fou d'elle et en gros manque. Moche comme il est, qu'une femme aussi jolie puisse s'interresser à lui,. il croit rêver!
Trois mois plus tard, ils sont enfin mariés et bigjhon est venu habiter chez sa femme avec ses chats. Ils font sans arret l'amour. Bien sur bigjhon est trop massif et donc c'est Akira qui le monte et il adore cela, lui laisser le contrôle de l'acte, le controle de sa jouissance.
Et puis Akira a sorti des cordes japonaises et a voulu le ligotter. Au début il croyait que c'etait une lubie, un jeu. Pas du tout. les seances ont duré de plus en plus longtemps et il ne pouvait absolument plus bouger. Il a commencé à obeir totalement à son épouse experte en cordes et noeuds.
Le bonheur total est arrivé lorsqu'elle a sorti les fines canes de bambou. des douleurs incroyables sur ses grosses fesses et son dos. Et puis le plaisir de souffrir. recevoir la cane le fait toujours bander très fort.
Un jour, Maitresse Akira, c'est ainsi qu'il doit l'appeler désormais, lui a apporté son collier et son pannier de gros chien.. Il a du filer tout droit dans son pannier, tout nu, fier d'obeir en tout et pour tout. Un bon labrador docile et très heureux de porter son collier avec un gros anneau acier. Maitresse Akira l'a tatoué de son nom, comme un bon animal de compagnie. De cela aussi il est très heureux. désormais elle l'appele Bibi, vous savez, comme Benjamin, le premier ministre israelien.
-Tu sais Bibi, tu n'as pas interet à regarder les autres femelles, sans quoi je te ferais castrer. Après tout, tu sais très bien me faire jouir avec des gants de latex.
Bibi a baissé la tête. Tout rouge de bonheur.
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Je suis la propriétaire de deux soumis 2440 et 2118 , Domina sadique, je ne suis pas adepte du virtuel
Cependant , très joueuse, quand j'ai été contactée par soumis 8968, j'ai accepté de le prendre dans mon cheptel en virtuel et j'avoue que jusqu'à aujourd'hui je ne le regrette pas
Je vais partager avec vous son journal de soumis ( sans aucune retouche)
Bonne lecture
Jour 4
Première soirée enfin seul avec Maîtresse, elle m'a fait goûter aux joies du lavement, elle a eu la délicatesse de commencer en douceur, voyant que j'y prenais gout elle m'a proposé de monter en gamme. J'ai beaucoup apprécié cette découverte graduée. Nous avons échangé sur des sujets plus généraux, j'apprécie sa façon d'apprendre a me connaître.
N'étant pas rassasié de souffrances j'ai dû un peu la provoquer pour continuer la seance sur des aspects qu'elle avait deja évoqué et dont je suis friand ; les tétons ! Elle ne m'a pas déçu et je pense qu'ils seront encore douloureux demain, le frottement du tissus suffira a me rappeler d'elle tout au long de ma journée de travail ou je devrais aller en cage mais sans plug , grace a sa grande clémence (mais pour combien de temps ?)
Pour la 1ere fois nous avons échangé en vocal, sa voix paraît si douce, en contraste total avec son sadisme
La séance c'est étalée sur 4h ou j'ai fais mon maximum pour ne pas la décevoir, elle m'a dit plusieurs fois qu'elle était contente ou fière de moi et cela me laisse espérer que notre relation n'est qu'au début d'une belle et longue histoire.
Aujourd'hui je pars au travail avec la cage, j'ai peur que quelqu'un s'en aperçoive, remarque la bosse mais en même temps j'aime être ainsi contraint et surtout fier d'obéir a ma Maîtresse. J'espère secrètement que Maîtresse va contrôler et m'ordonner de faire une photo aux toilettes dans les 2minutes mais elle est hors ligne et n'a pas lu mes messages d'hier soir.
Finalement cela se passe bien mais au bout d'un moment une douleur sous mes couilles apparaît, forte lancinante continu avec des pics lors de certains mouvements. Je vais au toilettes pour essyar de la remettre mieux , mais a bout de quelques minutes la douleur revient plus forte encore. Le retour en voiture a la pause déjeuner est insoutenable, je n'arrive même plus à me concentrer sur la route, je la retire des mon arrivée pensant trouver mes couilles en sang. Rien juste une légère trace rouge que j'effleure et qui m'arrache un cri. J'envoie immédiatement un message a Maîtresse. je retourne au travail sans cage, elle me manque presque, j'adore sentir ce paquet de viande pendouillant entre mes jambes, qui ne m'appartient plus . Maitresse a été comprehensive, mais j'ai du remettre la "panoplie" dès mon retour, du coup j'ai proposer l'autre cage, la micro, celle des punitions.
Maitresse est occupée ce soir mais elle m'a laissé des consignes, je n'ai pas pu m'empecher de proposer plus.
voila je n'ai plus de temps je dois rendre ma copie
votre 8968
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Par chance ou par sadisme tu m’as laissé du temps pour m'échapper. Je cours le plus vite possible dans la forêt. Il fait nuit et ma vue met du temps à s’adapter.
Je cours à en perdre haleine.
Quand je pense t’avoir échappé, je m’arrête pour reprendre mon souffle.
Crack
Une branche craque pas loin de moi. Je comprends vite que c’est toi. Alors je me mets à courir comme une furie.
Après une longue course je ralentit, pensant t'avoir semé.
Je n'entends aucun pas derrière moi et pourtant je te sens pas loin. Je me sens comme épier.
Les minutes passent, je sens tous mes sens en éveil. Je t’entend tourné autour de moi mais aussi une respiration à peine perceptible. Je sens dans celle-ci une certaine excitation.
Je sens que tu prends plaisir à la situation.
La situation devant oppressante je me remet à courir.
J'ai fini par m’arrêter de fatigue suite à cette dernière course. Je me pose près d’un arbre.
Je t’entend arriver en marchant. Ne pouvant pas courir, je vais me cacher dans un buisson.
Je vois tes pieds près de moi. de peur je retiens ma respiration. Je vois que tu renifles comme pour sentir mon odeur.
Puis je te vois t’éloigner de moi. Soulager, je respire enfin. Je sors de ma cachette, c'est à ce moment-là que tu bondis sur moi.
Tu étais près de moi mais je ne t’ai pas senti. Je rage intérieurement.
Je me débat brutalement. Je te mord griffe. Mais tu réponds par de forte morsure. Mon corps est marqué par tes dents.
Tu finis par me maîtriser. J’ai la tête contre le sol et les mains dans le dos.
Je tante de me débatyre c’est alors qu’avec ton pied tu me colle la tête contre le sol et les mains dans le dos.
Tu arrives à m’attacher les bras le long du corps. Ainsi que mes mains. Je suis incapble de m’en libérer. Tu rajoute une couche à la situation en passant le bout de corde libre par-dessus une branche solide de l’arbre. Me voilà suspendu à cet arbre. J’ai mes pieds qui touchent à peine le sol.
Je suis à ta merci. A ton sourire carnassier je vois que tu es satisfait de ma position;
En me regardant tu sors un couteau. Tu peux lire dans mes yeux la terreur. Tu viens de passer la lame le long de mes jambes nue. J’en frissonne de peur mais aussi d’excitation. Je sens la lame passer sur ma peau sans me blesser. Tu remontes avec celle-ci au niveau de ma culotte que tu viens couper sans vergogne.
Maintenant tu la passes sur mon ventre. Plus tu l’approches de mon visage, plus mon excitation monte. Tu as bien fait attention quand tu m’attachais de laisser sortir ma poitrine. Je sais bien pourquoi tu es fait cela.
Tu passes alors le couteau sur ma poitrine. Tu laisses quelques marques rouges. Tu passes très près de ma gorge, par peur je ne respire plus et ne bouge plus.
Ta lame vient couper mon soutien gorge. Et déchirer mon haut.
Mes seins sont maintenant libérés de mes vêtements. Tu y as accès comme tu le souhaites.
Tu profites de cet accès pour faire danser ton couteau sur mes tétons. Je m’empêche de frissonner malgré mon envie. J’ai pas envie de te faire ce plaisir.
Tu en as assez du couteau. Tu le refermes. En te regardant faire, je constate que ces préliminaire ton donner bien envie. Je vois que ton membre est dressé dans ton pantalon.
Tiu retire celui ci pour enfin libérer ton sexe. Ton sexe est droit et fière.
Je vois dans tes yeux que tu n’en peux plus. Tu viens alors passer tes doigts sur mon sexe qui est à l’air libre. Tu constates que je suis tellement humide que mes cuisses sont trempées.
Tu t’approches de mon oreille et me chuchote.
- Alors cette course poursuite ta bien exciter à ce que je vois.
A ces mots, je suis rouge de honte. Je dois bien l’avouer que d’être chasser est très plaisant. Surtout par lui.
Après m’avoir chuchoter, c'est quelque mots. Tu me mord tout en plantant tes doigts dans ma chatte. Je reçois alors un électrochoc de plaisir. Je ne peux m’empêcher de crier mon plaisir.
Tu ne me lâches pas le cou et viens faire des aller retour rythme avec ses doigts. Tu sais où taper pour me faire partir. Et tu y vas sans hésitation.
Je monte de plus en plus dans le plaisir quand je suis au bord de l’orgasme, tu t’arrêtes.
Je grogne mon mécontentement. Je me débats. Je suis un vrai animal en rut.
Tu me descends de l’arbre pendant que je suis en trans.
Une fois calmer, cette fois c’est pas tes doigts qui rentrent mais ton sexe. Quand tu me pénètres. J’ai un cri de soulagement. ça faisait tant de temps que je l’attendais.
Tu me tiens les jambes en l’air et tu me besogne sans vergogne. Tu me griffes, tu me mords. Je tente aussi de te mordre. Nous ne sommes que des bêtes à cet instant.
Nous ne sommes plus vraiment là. Nous partons tous les deux et nous laissons place à notre bestialité.
Quand tu me mord je n’arrive pas à contrôler mes orgasmes. Je n’arrive plus à les compter tellement ils sont nombreux.
Le dernier de mes orgasmes provoquera le tien. On va jouir dans un énorme râle en commun.
Après tout ce calme, le silence de la forêt revient. Tu es contre moi. On reprend doucement nos esprits.
Tu me détaches de mes liens. je n’ai plus de force pour marcher alors tu me portes à la voiture.
Je reprends doucement mes esprits. Mon corps tout entier n’est que douleur. Je suis couverte de morsure, de griffure, et de bleu.
La fatigue me gagne peu à peu avec la retombée. Alors je m’endors dans ma voiture tous contre toi. Avant de tomber de sommeil je te souffle
-Merci
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Je suis la propriétaire de deux soumis 2440 et 2118 , Domina sadique, je ne suis pas adepte du virtuel
Cependant quand j'ai été contactée par soumis 8968.
Très joueuse j'ai accepté de le prendre dans mon cheptel en virtuel et j'avoue que jusqu'à aujourd'hui je ne le regrette pas
Je vais partager avec vous son journal de soumis ( sans aucune retouche)
Bonne lecture
Jour 1
Aujourd'hui c'est peut-être le premier jour de ma nouvelle vie car c'est le premier jour de ma soumission envers Mme Angèle
j'ai reçu les règles et interdictions à respecter, les objets à préparer ou à acquérir, j'ai répondu à beaucoup des questions intimes le tout plugé et en cage. cela m'a provoqué beaucoup d' excitations et d'esperances pour l'avenir
Merci Maitresse Angèle
Votre soumis
Jour 2
Je m'aperçois deja que je suis loin d'etre a la hauteur sur le côté anal.
J'ai adoré vous donner le pilotage a distance du gode, j'avais l'impression que vous etiez dans la pièce Maîtresse
Vous etes tres forte dans le sadisme avec votre jeu soit j"invente des nouveaux supplices soit je suis puni
Et enfin je ne suis pas pret de refaire 3h de crapahutage dans la foret qui monte, qui descend, et enjamber des troncs avec cage et god Maîtresse
Jour 3
Au vu de la douleur Maîtresse m'a autorisée a dormir sans plug. Je l'ai remis sans qu'elle me le demande afin de lui présenter mes hommages du matin dans les règles.
Je suis complètement accroc a ma Maîtresse, je ressens deja le manque quand elle est hors ligne 30 minutes comme un ado amoureux
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Tapie au plus fond de mon être
Me consume la faim
D'une nuit remplie de convoitise, de dévotion, de désir
Nos deux corps se rejoignent en totale alchimie
Nos mains parcourant nos peaux
Accentuent cette douleur de l'attente
À vouloir chaque centimètre de l'autre
Nos respirations deviennent symphonie
La tension progressive nous embrase
Nos sensations sont comme une danse
Elles se partagent, et récidivent encore
Avec Vous, seulement avec Vous
Le 21 07 2023
Je vous a ... Kocham Cię mój mistrzu
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"Le transfert a réussi ! The transfer was successful ! " (*)
Je hurle ma joie à destination de mon Maître et de Sonia, en espérant qu'ils m'entendent.
Je perçois la voix lointaine de mon Maître venant du canot en contrebas.
"Bravo! Qui est l'hôte ? "
"C'est moi ! It's me ! "
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles - j'espère qu'il le voit sur l'écran de contrôle.
Le vent s'est levé et fait un bruit d'enfer à flanc de falaise. Les félicitations de nos propriétaires sont à peine audibles mais on les sent appuyées.
Le soumis, qui vient de retrouver les sensations dans sa bite, est très excité et me demande la permission de jouir dans mon cul.
Je ne sais pas - ce n'est ni à moi, ni à lui de décider.
Sa voix porte plus que la mienne. D'un commun accord, c'est lui qui pose la question à nos propriétaires, pour nous deux.
L'accord ne tarde pas à venir. J'en suis heureuse - il l'a bien mérité. Moi je n'ai plus aucune sensation dans le cul - deux paires de zébralyvox, c'est radical... - mais j'aime donner du plaisir.
La descente à flanc de falaise est presque plus angoissante que la montée - je ne ferai pas cela tous les jours! Le soumis descend après moi. Il n'est plus en érection. Sa bite pendante et ses couilles se balancent joliment pendant la descente. Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Mon Maître l'a bien remarqué. "Salope...", me dit-il affectueusement à l'oreille.
De retour dans la crique, mon Maître me prend par la main. Le contraste entre nos couleurs de peau, sublimé par la lumière très particulière du Nord, me fait penser au Yin et au Yang. Noir et blanc entrelacés, complémentarité du Maître et de l'esclave, lien fusionnel. Le bonheur m'envahit.
Sonia et son soumis s'éloignent discrètement, nous laissant seuls. Sonia est intelligente - elle a compris qu'à ce moment-là nous avons besoin de nous retrouver à deux, seuls au monde.
Nous nous asseyons sur deux rochers qui semblent avoir été placés là à dessein et philosophons. Mon Maître me fait penser à un vieux sage africain. Je bois ses paroles. Il m'écoute attentivement aussi. Je ne me suis jamais sentie autant aimée et valorisée que depuis que je suis sa chienne. Aucun mot ne saurait exprimer le bonheur que je ressens à être là, nue, face à cet homme que j'admire.
Comment expliquer ce lien si subtil ? Comment expliquer le bonheur d'être esclave de l’homme que l’on aime ? C'est impossible je crois.
Il me met la laisse, pour rejoindre la cavité vaginale dans laquelle nous retrouvons Sonia et son soumis. Sur le trajet, je l'informe de la sollicitation du jeune homme sur le ferry. Il décide de ne pas me punir – il admet que matériellement il m'eût été difficile de le contacter.
"Il te reste trois jours sur l'île - Profites-en et donne-lui du plaisir"
"Je ne peux pas rester avec vous, Maître ? "
"Il y a certaines choses que je ne peux pas te dire. C'est mieux pour ta sécurité. Obéis et ne pose pas de questions ! "
Oui, bien sûr, j'obéirai. Sans discuter. Je l'ai toujours fait.
J'ai juste le temps de dire au revoir à Sonia et à son esclave. Mon Maître me rend le sac à dos contenant mes vêtements et m'ordonne de rejoindre mon hôtel.
De retour à l'hôtel, j'imprime le formulaire d'évaluation que j'avais sur mon PC et j'expédie un mail au jeune homme pour lui proposer de visiter l'île ensemble comme il le souhaitait.
Je me réveille brutalement au milieu de la nuit et j'ai l'illumination. Mon cerveau a travaillé pendant mon sommeil. Depuis le début j'étais intriguée par le ballet parfaitement synchronisé du zébralyvox gémellaire dans le flacon. Il scannait son environnement, c'est sûr! Le couple de zébralyvox agit comme un capteur différentiel, et en se déplaçant en parfaite synchronisation il se construit une image tridimensionnelle de l'activité électrique dans son voisinage. C'est comme cela qu'il détecte précisément les foyers de douleur. C'est aussi comme cela, sans doute, qu'il détecte la présence d'autres zébralyvox. C'est pour cela qu'il a une grosse tête - enfin, deux grosses têtes... Deux cerveaux intriqués, dédiés à la localisation fine des impulsions nerveuses.
La grande quantité d'images Sonar géolocalisées mais de mauvaise qualité dont Sonia dispose, ne pourrais-je pas les traiter selon le même principe pour, par corrélation, calculer des images plus précises ?
Le lendemain matin je trouve sur mon mail une réponse enthousiaste du jeune homme, qui me propose un lieu de rendez-vous où se retrouver pour visiter l'île ensemble.
Je passe le prendre à l'endroit indiqué. Avec les contrôles aléatoires liés au fucking pass, il faut être très prudent. Je ne peux pas lui proposer de venir me baiser à l'hôtel. Un employé de la réception risquerait de nous dénoncer à la milice. Et puis, les échanges par mail sont peut-être surveillés. Il faut faire très attention à ce que l'on écrit.
Je m'habille en pute, un peu comme sur le ferry, mais en plus explicite - ordre du Maître. Sans culotte bien sûr. Collier d'esclave au cou. Autant qu'il n'ait aucun doute sur le fait que - certes nous nous retrouvons pour visiter l'île - mais aussi qu'il pourra visiter mes orifices sur simple demande. Je me lubrifie le cul avant de partir.
Dès qu'il monte dans ma voiture, il remarque les lacérations du fouet et des ronces sur mes jambes, et m'interroge. L'occasion pour moi de lui expliquer, en rougissant, que je suis esclave, propriété d'un Maître, et ici avec son accord. Ouf! Ce n'était pas facile à dire pour moi qui suis une grande timide, mais comme ça c'est fait, les choses sont claires.
Après avoir visité les ruines spectaculaires du château Hammershus, qui surplombe la Baltique, nous trouvons une table de pique-nique à proximité. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé à l'hôtel ni la veille au soir, ni au petit déjeuner. Les insectes ça me dégoûte, mais malheureusement au sein de la Suprême Alliance Démocratique cela devient de plus en plus difficile de trouver de la nourriture traditionnelle.
Il a apporté un panier de pique-nique et pendant que nous déjeunons il finit de me raconter l'histoire millénaire et sanguinaire de ce château. Il est vraiment sympa. Je l'apprécie de plus en plus.
L'amélioration des images Sonar me trotte dans la tête. Après le pique-nique, je lui demande de m'accorder 30 minutes. Je sors mon PC portable pour tester une idée. Je suis comme ça. Quand une idée me trotte dans la tête, cela tourne vite à l’obsession. Il me pose des questions. Il s'intéresse. Je ne peux pas tout dire, mais juste un peu, ayant du mal à modérer mon enthousiasme. J'adore parler de ce qui me passionne - mais je ne dois pas être trop bavarde. Il me parle des études scientifiques qu'il envisage. Tiens donc! Les sciences n'intéressent plus les jeunes en Occident. Il me plaît vraiment ce gars.
Alors que je m'apprêtais à remonter dans la voiture, il me prend par la main et m'attire dans un coin un peu isolé, au milieu des ruines. Le site n'est pas fréquenté en cette saison, heureusement. Je sais ce qui va m'arriver, et j'en mouille déjà.
Il me retire lentement ma robe, tout en m'embrassant, découvrant les marques de fouet qui me strient tout le corps. Il a un petit mouvement de recul, certainement surpris par ces marques qui ne laissent aucun doute sur la sévérité avec laquelle je suis dressée. Puis il me complimente. Je ne sais pas si c'est pour mon physique ou pour la perverse beauté de mes marques.
Il m'avoue que je suis la première femelle qu'il va pénétrer et qu'il est un peu intimidé. Cela m'intimide aussi. Je vais essayer d'être à la hauteur et de ne pas le décevoir. Je lui dis de ne surtout pas s'embarrasser de préliminaires, de ne pas se soucier de mon plaisir. Mon Maître me baise ou m’encule toujours directement, sans ménagement, alors j'ai l'habitude, et j'adore être prise ainsi. Et puis, je suis déjà bien trempée. Je lui dis que mon cul est déjà lubrifié, s'il souhaite me prendre par là. Mais il préfère la chatte pour une première expérience. Tant mieux, moi aussi. Je lui demande dans quelle position il souhaite me prendre.
Il cherche un endroit confortable où je pourrai m'allonger sur le dos, cuisses écartées, pour recevoir la bite. Herbe et mousse. Mon Maître n'aimerait pas ça. Je lui explique que l'allée de graviers fera parfaitement l'affaire pour l'esclave sexuelle que je suis.
Il semble intimidé, lui qui était plein d'assurance sur le ferry. C'est sa première expérience. Je lui dis qu'il peut prendre le temps d'examiner comment je suis faite, si ça le rassure. Il ne se fait pas prier, écartant sans ménagement mes lèvres intimes pour bien exposer l'entrée de mon con à son regard perçant. J'ouvre les cuisses du mieux que je peux pour lui faciliter la tâche. C'est à mon tour de me sentir intimidée et gênée d'être ainsi examinée comme de la viande, et pourtant c'est moi qui le lui ai proposé. Tant pis, au point où on en est, un peu surprise par mon audace, je lui explique, en rougissant, que j'ai toujours un spéculum dans la boîte à gants de la voiture (ordre de mon Maitre) et qu'il peut aller le chercher s'il veut ouvrir mon con en grand pour voir comment je suis faite à l'intérieur. Je n'ai pas besoin de le lui répéter! "Il y a aussi des gants et genouillères dans mon coffre", ais-je ajouté - c'est moi qui doit morfler sur les graviers, pas lui.
Après avoir pris tout son temps pour découvrir mon anatomie de femelle, il me met la bite sans préliminaire. Oh la vache! Si j'avais su que l'allée serait aussi inconfortable j'aurais fermé ma gueule. Mon dos racle les gravillons anguleux à chaque coup de bite. C'est pénible ! Un vrai supplice. Malgré l'inconfort je m'efforce de ne pas montrer le calvaire que j'endure, pour qu'il n'ait pas de scrupule à me baiser avec toute la vigueur de sa jeunesse. Je n'aurai pas d'orgasme, tant pis pour moi, mon dos me fait trop mal. L'essentiel est qu'il y prenne du plaisir et j'imagine déjà ma fierté quand je raconterai cela à mon Maître. Mes symbiotes n'ont rien fait pour atténuer la douleur. Sans doute sont-ils encore trop faibles pour migrer rapidement à l'intérieur de mon corps.
Trois jours de tourisme agréable, en bonne compagnie, et de baise dans la nature. On peut imaginer pire comme séjour! Cela m'aide à supporter l'absence de mon Maître. Il adore le sexe et m'a pénétrée plusieurs fois par jour. Quelle santé ! Lorsque les circonstances le permettaient, que ce soit en levrette, sur le ventre ou sur le dos, il prenait un malin plaisir à me faire endurer le martyre en me baisant sur les sols les plus inhospitaliers: graviers, rochers rugueux, algues dures et sèches, petits coquillages, dalle de béton, plantes épineuses, et même un nid de fourmis, ... Mon corps en porte les stigmates. A plusieurs reprises il a prétexté un oubli pour réviser son cours d'anatomie. Le spéculum a bien servi et mon con est passé plusieurs fois au contrôle technique.
Je l'aide à améliorer son Français - surtout du vocabulaire graveleux. Je lui raconte comment mon Maître m'a dressée à utiliser un vocabulaire conforme à ma nouvelle condition. Cela l'excite - rien de tel pour bien apprendre les langues étrangères. "Tu es une femelle à présent, une chienne, une pute gratuite" me disait mon Maître. "Tu ne diras plus mes seins, ma vulve, mon vagin. Tu diras mes mamelles, ma chatte, mon con. Et le plus souvent, tu préciseras mes mamelles de chienne, ma chatte de pute, mon con de salope, quand tu me parleras de ton corps. Si tu te trompes tu seras punie". Il me demande si cela a eu un impact sur mon comportement. Cela me semblait potache, mais, oui, je dois avouer que ça a eu beaucoup plus d'impact que je ne l'imaginais. Cela m'a aidée à bien m'imprégner de ma nouvelle condition d'esclave femelle.
Avant de se quitter, il me demande la permission de me photographier nue pour garder le souvenir de mon corps meurtri par tous les sols agressifs sur lesquels j'ai été saillie. Un sadique est né. Finalement, il fait des dizaines de photos, en terminant par une série de gros plans de ma "chatte de pute". Enhardi, il finit par me mettre le spéculum pour prendre quelques clichés de mon "con de salope", grand ouvert. Génial, il a bien retenu le vocabulaire. Quand la motivation est là, tout va !
"J'utiliserai ces photos pour réviser mon vocabulaire", ajoute-t-il. J'aime son sens de l'humour. Il me plaît beaucoup.
Il a eu l’occasion de visiter mes trois orifices avec sa bite. Je lui demande lequel il préfère. La chatte ! Dommage que ce ne soit pas l’avis de mon Maître, qui me la met presque toujours dans le cul… Avant de le quitter je lui tends le formulaire d'évaluation, en lui demandant s'il veut bien le compléter, le signer et le mettre sous enveloppe cachetée que je remettrai à mon Maître. Je sais que si mon évaluation est mauvaise, je serai sévèrement punie. Mais je suis confiante - je suis certaine qu'il a passé un bon moment. S'il est honnête - ce que je crois - il devrait bien me noter.
Réveil de bon matin. Ce sont mes dernière heures sur l’île. La veille au soir j'ai travaillé jusqu'à très tard pour écrire un programme de traitement des images Sonar. Je n'ai aucun moyen de joindre Sonia. Je me lève très tôt et j’emprunte le sentier côtier au pas de course, pour redescendre dans la crique, en espérant qu'elle y est encore.
Je me déshabille entièrement avant d'entrer dans la cavité vaginale. J'ignore quelles sont les idées de Sonia, mais visiblement son esclave est toujours nu en sa présence, alors je ne voudrais pas commettre d'impair. Nous sommes complices, mais cela n'autorise pas les comportements déplacés. Même si je ne lui appartiens pas, elle est Dominatrice, je suis esclave. Me présenter habillée devant elle me semblerait impoli.
Je n'entends aucun bruit. Probablement qu'elle est déjà partie. Ah non! J’aperçois la lumière.
"Hello Ysideulte ! What are you doing here ? "
Son soumis, nu, me salue également. Sa bite est emprisonnée dans une minuscule cage métallique, dont l'intérieur est hérissé de longs pics acérés destinés à dissuader l'érection. Le pauvre... C'est inhumain de traiter un homme de cette manière, me dis-je.
Le temps d'expliquer mon idée à Sonia et de lui transférer les programmes que j'ai écrits, je dois déjà repartir si je ne veux pas rater le ferry.
Je n'ai pas le temps d’attendre les résultats du traitement, qui va nécessiter plusieurs heures de calcul. Espérons que ce sera concluant et que Sonia pourra en tirer quelque chose.
En guise d'au-revoir, elle m'embrasse tendrement tout en glissant ses doigts dans ma fente. Elle sait y faire... Je ne tarde pas à jouir. Décidément, moi qui me croyais 100% hétéro, mes convictions sont fortement ébranlées.
Elle me félicite chaleureusement de m'être présentée nue. "You behave in a manner that honours your Owner !". Visiblement elle ne me tient pas rigueur de l'écart de comportement que j'ai eu. Emportée par mon enthousiasme quand je lui expliquais comment utiliser mon programme je me suis adressée à elle comme à une amie... "Lower your eyes, slavegirl ! No sustained eye contact without permission" m'interrompit-elle sèchement au milieu de mes explications.
Je reprends la route. Traversée sur le ferry, puis direction la Bretagne ! 20 heures de route ! Je fais une étape en Allemagne - J'ai trop peur de m'endormir.
Sur la route, les friches industrielles témoignent de l'effondrement de l'économie Allemande, autrefois florissante. Depuis le sabotage de 2022, commandité par les yankees, la rupture irréversible de l'approvisionnement en énergie bon marché au profit du coûteux gaz de schiste américain a sonné le glas des industries qui faisaient autrefois la fierté du pays.
L'hôtel est de bon standing et je peux profiter d'un petit déjeuner classique. Cela fait du bien avant de reprendre la route.
En France, sur l’autoroute, les panneaux lumineux disposés à intervalles réguliers répètent jusqu’à l’écœurement le message du moment "Tous zébralysés - Tous protégés".
La campagne politico-médiatique en faveur de l'injection du zébralyvox génétiquement modifié vendu par la filiale pharmaceutique de la BAFC (Bill & Alvértos Fucking Corporation) bat son plein. L’injection fut d'abord réservée aux personnes âgées ou souffrantes. C'est maintenant la totalité de la population qui est incitée à se faire injecter le coûteux symbiote. Quelques complotistes, promptement censurés et conduits illico-presto en hôpital psychiatrique, ont prétendu que sans tarder des mesures plus coercitives seront mises en places. Mais ce sont des élucubrations sans fondements, assurent les fact-checkers, qui ont interrogé le Ministère de la Vérité.
Si mon hypothèse est la bonne, le zébralyvox OGM, stérile, cloné, privé de son jumeau, est incapable de localiser correctement les sources de douleur, incapable de scanner son environnement. Aveugle, privé d'énergie électrique, une mort rapide l'attend. Déjà, des messages commencent à circuler comme quoi la zébralysation devra être renouvelée fréquemment. Pour remplacer les symbiotes morts, sans doute... Et pour remplir par la même occasion les caisses de la BAFC.
Près de chez moi, un centre de zébralysation vient d'ouvrir, comme partout dans le pays.
C'est presque en larmes et désespérée par l'avenir qui nous attend que je sors la clé de ma maison. Mais la porte s'ouvre devant moi.
" Maître ! "
Enfin un rayon de soleil dans cette déprimante société démocratique.
à suivre
(*) Contexte
L’histoire se situe dans un futur proche, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
Dans mes articles, les quelques paroles laissées en langue étrangère (anglais, danois) ne sont pas indispensables à la compréhension de l'histoire. C'est un choix volontaire pour mieux coller à la réalité. Si vous souhaitez une traduction de certaines paroles n'hésitez pas à me le demander dans le champ de commentaires (un traducteur automatique peut aussi faire le job).
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Je suis donc l'instructeur qui interroge Catherine avec le jeune milicien comme assistant. Je suis assis à mon bureau, plongé dans l'examen du dossier et écoutant les réponses de la femme.
Le jeune milicien intervient :
« Madame je vois que vous ne jouez pas le jeu ! Vous ne gardez pas la poitrine gonflée !
- mais si, je, je...enfin si !
- Non Madame, vous vous ne gardez pas la poitrine tendue, tant pis pour vous. Retirez votre chemisier. Allons, vite ! »
Catherine se tourne vers moi implorante :
« Oh, s’il vous plaît Monsieur, pas cela ! Je, je…
- Obéissez si vous ne voulez pas goûter encore à la canne de bambou. »
Rouge de honte, Catherine sort les pans de son chemisier de son pantalon et commence à le dégrafer puis retire le vêtement et le pose sur une chaise à côté d'elle ; elle croise pudiquement les bras.
« Madame, placez les mains sur la tête et ne cachez pas votre soutien-gorge. Respirez, tendez votre poitrine... ! »
Depuis mon bureau, je me régale du spectacle des seins lourds dans le soutien-gorge tendu. Le milicien place carrément sa badine sous les seins de Catherine et les soulève :
« Bien, parfait ; gardez la position. »
Je reprends le dossier sachant que les questions qui arrivent vont la déstabiliser :
« Madame, de quand date votre dernier rapport sexuel ? »
Catherine suffoque :
« Oh mais Monsieur, je… je… C'est très intime, je ne peux pas... »
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : la badine du milicien frappe ses seins sur le soutien-gorge de haut en bas, visant les tétons.
« Aïeee, noooonn, aïïe ! »
Catherine se tortille mais garde les mains sur la tête, le milicien lui impose de se redresser.
« Je vous écoute, Madame…
- Euh, il… Il y a quatre jours, sanglote-t-elle, vendredi soir, Monsieur...
- Avec votre mari ?
- Oh oui, bien sûr : je suis une épouse fidèle, je... Je n'ai pas d'aventure...
- Jamais ?
- Oh non Monsieur... »
Je prends mon temps et relis un peu le dossier.
« Vous avez joui ? »
Catherine se liquéfie, les questions devient très intimes. Elle bafouille :
« Euh oui… Oui Monsieur.
- Vous aimez jouir ?
- Euh… Bien, oui…Oui Monsieur.
- Vous pratiquez la fellation, Madame ? »
Catherine est très choquée mais elle sait qu'elle doit répondre, le milicien promène sa badine sur son soutien-gorge, prêt à frapper, cela fait un moment qu'il lui agace et caresse les tétons qui pointent sous le soutien-gorge.
« Je… Oh mon Dieu, je… Noon, noon, jamais Monsieur, c'est pas bien, c'est... »
Je me lève en souriant et viens vers Catherine avec le dossier ; arrivé à son niveau, sans un mot, je la gifle d’un aller-retour avec le dos de la main.
« Aïïeii ! Ooooh mais je… je… Pourquoi ? Sanglote-t-elle.
- Madame, cela fait un moment que vous vous moquez de nous ! J'ai reçu votre mari il y a une semaine pour remplir avec lui votre dossier, écoutez sa réponse à cette question :
"Oui, ma femme pratique la fellation. Elle aime d'ailleurs beaucoup cela ; pendant les préliminaires elle le fait systématiquement, cela l'excite beaucoup, je peux même dire que c'est une très bonne suceuse, experte. Par contre, elle a beaucoup de réticence à avaler le sperme, il m'arrive parfois de le lui imposer, cela lui donne envie de vomir… Mais sucer, oui : elle adore !"
Alors, qu'avez-vous à dire, Madame ? Votre mari est un menteur ? »
Catherine est blême, elle commence à transpirer beaucoup.
« Non monsieur, il a raison : je… je… Oui, je pratique la fellation...
- Vous êtes donc une menteuse ?
- Oui Monsieur, désolé.
- Vous allez être punie, Madame... Retirez votre soutien-gorge. Allons, vite ! »
Malgré sa honte, Catherine sait que rien ne sert de résister. Elle dégrafe le sous-vêtement, fait glisser les bretelles et le maintient devant sa poitrine.
« Allons Madame : retirez-le ! Et montrez-nous vos seins ! »
Catherine est morte de honte ; elle obéit et se présente seins nus. Je suis ravi de pouvoir humilier cette femme, ronde, sensuelle ; je me place derrière elle, lui bloque les mains dans le dos et ordonne :
- Cinq coups... sur les seins... Cela lui apprendra à mentir...
- NOOOOOON, aïe, pas sur les seins, aïïïïe, nonn, c'est trop douloureux ! Snifff… Aïïe, pas les tétons, pas les tétons !... Aïïïïe ! »
Je lâche Catherine, le milicien lui impose de se tenir droite, seins tendue mains sur la tête. Ces gros seins sont zébrés de 5 stries rouges, " passent à travers les tétons.
« Bien, que cela vous serve de leçon. Vous allez obéir ?
- Oh oui Monsieur !
- Vous ne mentirez plus ?
- Non Monsieur. »
Je fais un signe au milicien qui commence à ouvrir le bouton du pantalon de Catherine puis descend la fermeture éclair... et attend. Je lui fais signe de continuer et il commence à descendre le pantalon, la femme apparaît en culotte, le jean baissé aux genoux, nous pouvons l'admirer.
« Faites ballotter vos seins de droite à gauche Madame ! »
Catherine, qui ne veut pas recevoir une seconde punition, obéit malgré sa honte, elle balance ses seins doucement.
« Plus vite et plus fort, Madame ! »
Elle obéit ; ses seins claquent une fois à droite, une fois à gauche et deviennent douloureux. Catherine transpire beaucoup ; malgré tout, ses tétons sont érigés, gorgés de sang.
« Stop ! »
Elle éclate en sanglots.
« Retirez votre pantalon, complètement... Vite ! »
Elle obéit, il ne lui reste que sa culotte. Elle est déjà pieds nus depuis la salle d'attente, c'est le premier principe d'humiliation : quand une femme arrive au centre, elle retire ses chaussures, ses chaussettes ou ses collants, elle se présente pieds nus devant l'instructeur.
Je reprends le dossier.
« Bien. Madame, depuis ce rapport sexuel, il y a euh, quatre jours, vous vous êtes masturbée ? »
Catherine sombre un peu plus, hésite et du coup, reçoit un coup de canne sur les fesses.
« Aïïïïee !
- Alors ?
- Non Monsieur, non !
- Vous vous masturbez régulièrement ? »
Catherine sait que son mari a dû parler de ses pratiques, elle doit être franche.
« Euh, non Monsieur, pas très souvent mais parfois cela m'arrive. Je euh, oui, pas très souvent mais régulièrement, mon mari me demande de le faire devant lui. Au début, je n’aime pas mais après, cela euhh, cela m'excite, Monsieur.
- Et vous jouissez ? »
Catherine baisse les yeux.
« Oui Monsieur.
- Répondez par une phrase, je vous prie : "oui Monsieur, je jouis".
- Oh pardon. Je, je… Oui Monsieur, je jouis.
- Bien. Vous utiliser des accessoires pour vous masturber, ou uniquement vos doigts ?
- J'utilise uniquement mes doigts, Monsieur.
- Bien. Je vois que vous êtes devenue plus docile, c'est parfait. »
Je pose le dossier et m'approche d'elle, je la regarde dans les yeux et lui empaume les seins. Je lui soupèse, je les palpe... Elle a toujours les mains sur la tête, les seins offerts c'est un vrai régal. Au bout d'un moment, ce que j'attendais arrive : elle craque, elle se secoue et libère ses seins.
« Arrêtez, laissez-moi ! Je, je… »
Le milicien s'apprête à frapper je lui fais signe d'arrêter :
« Non, attends ! Apporte le tabouret... »
Il place au centre de la pièce une espèce de caisse d'environ soixante centimètres de haut et, saisissant Catherine, lui menotte les mains dans le dos.
Je m'approche d'elle ; je vois à son regard qu'elle est terrorisée. Je lui caresse doucement le ventre puis, pour marquer ma domination, j'écarte l'élastique de sa culotte et regarde son sexe poilu et brun...
« Tu as déjà été épilée ? Complètement ?
- Oh non Monsieur, jamais ! »
Je fais claquer l'élastique sur son ventre :
« Monte sur la caisse. Comme tu manques encore d'obéissance, tu vas être punie... Saute ! »
Catherine saute. Ses seins claquent douloureusement contre son ventre.
« Remonte ! Saute ! Remonte, saute ! »
Les nichons claquent, ballottent dans tous les sens, rougissent, deviennent douloureux et extrêmement sensibles, les tétons sont gonflés.
« Remonte ! Saute ! Remonte ! Saute… »
Au dernier saut, Catherine chute au sol et se met à sangloter.
« Allons, Madame Aldo, relevez-vous et arrêtez de pleurnicher comme une gamine. »
Elle se relève péniblement, ses mains étant toujours menottées derrière son dos, et, ne voulant pas être à nouveau punie, se tient droite et gonfle la poitrine.
« Je pense que cette fois vous avez compris la leçon ? Durant votre séjour ici, vous devez être dans l'obéissance TOTALE !
- Oui, oui Monsieur, je serai obéissante, promis !
- Durant votre séjour ici, vous serez considérée comme un objet sexuel, les maris de femmes présentent au Centre auront accès à votre cellule de jour comme de nuit grâce à leur carte magnétique ; seul votre mari ne pourra pas accéder à votre cellule. Mais bien sûr, à celles de toutes les autres pensionnaires. Quoi qu'ils vous demandent vous devrez obéir c'est compris ?
- Oui Monsieur.
- Vous pourrez également être louée à de riches personnalités qui souhaitent réaliser leurs fantasmes, seuls ou avec leurs épouses ou des amis... Ce qui plaît beaucoup en ce moment, est le scénario de la visite médicale en tenue de collégienne... »
L'homme sourit.
« … Mais l'arrestation par la Gestapo et l'interrogatoire plaisent également beaucoup. Dès demain votre dossier, avec photos nue, sera diffusée à notre clientèle privée.
- Oh mon Dieu...
- En tout cas, vous avez intérêt à être obéissante sinon, la prochaine fois, vous allez goûter aux plaisirs de la suspension mammaire... »
Catherine n'ose pas parler, terrorisée. Je m'approche et commence à lui palper les seins, qui sont douloureux et bleus après le dernier exercice. Cette fois Catherine ne dis rien malgré sa honte elle se laisse palper.
« Vous avez les seins douloureux ?
- Oh oui Monsieur.
- Retire lui les menottes. »
Le jeune milicien les lui retire.
« Vous allez masser vos nichons, Madame.
- Euh mais je, je...
- Allons, ne discutez pas. »
Catherine passe ses mains sous ses seins et commence à les masser, les soupesant, cela calme un peu la douleur. Pendant qu'elle se masse, je l'observe, tourne autour d'elle.
- Vous portez toujours des culottes aussi... enveloppantes... Taille haute... ?
- Oh euh, oui, oui Monsieur. »
Pendant qu'elle continue à se masser, je saisis l'élastique de sa culotte et remonte le sous-vêtement fermement vers le haut...
« Aiiiie ! Ohhh, sniff… »
Cela a pour effet de faire pénétrer le tissu dans sa raie culière et dans sa fente, puis je roule l'élastique sur ses hanches jusqu'à dévoiler environ quatre centimètres de son pubis et le haut de son sillon fessier ; aussitôt, je la sens tendue, humiliée à l'extrême. Je ricane :
« Voici une culotte plus conforme à ce que nous exigeons ici... Massez également vos bouts, Madame. Allons, obéissez. »
Catherine pose ses paumes sur ses bouts et les frotte, je vois bien que cela les fait gonfler...
« Vous êtes excitée Madame ? »
Elle rougit de plus belle.
« Euh, je, non, je ne sais pas pourquoi…
- Votre dossier mentionne que lorsque votre mari vous impose de vous masturber devant lui, vous commencez toujours par vous caresser les seins, donc je me pose la question.
- Oh mais... Je… »
Bien sûr, j'ai remarqué qu'elle commençait à respirer plus fort en se caressant les seins et qu'elle commençait malgré elle à être un peu excitée.
« Tirez sur vos pointes de seins, Madame.
- Oui monsieur. Aïeee, aïïee, hummmm !
- Plus fort Madame : pincez bien vos tétons...
- Aïeee !
- Bien. Stop, mains sur la tête… Parfait ! Nous allons vérifier un point du dossier. »
Je fais signe au jeune milicien d'approcher.
« Baisse ton pantalon. »
Il s'exécute.
« Baisse ton caleçon. »
Catherine voit apparaître le sexe en demi-érection du jeune homme, elle est stupéfaite quand d'une main, je saisis les testicules du jeune homme et de l'autre, je commence à le masturber...
« - D'après votre dossier, vous êtes une très bonne... "suceuse". Vous allez nous montrer cela ! À genoux ! Gardez les mains sur la tête ! Avancez sur les genoux... »
Stupéfaite, Catherine regarde le sexe du jeune milicien que je suis en train de masturber sans pudeur. Ayant encore les seins bleuis et douloureux suite à la première punition, elle a peur d’être encore corrigée et s’empresse d’obéir. Elle avance sur les genoux avec les mains sur la tête, en se tortillant de façon ridicule. Elle sait qu’elle va devoir sucer le milicien, puisque son mari a affirmé qu’elle était une bonne suceuse. C’est vrai qu’elle aime faire les fellations mais à son mari, pas à des inconnus, ni sous la contrainte...
« Approchez-vous plus près, Madame. »
Son visage couvert de larmes est à cinq centimètres du sexe du garçon que je masturbe encore et qui est devenu très dur.
« Vous allez commencer par lécher ce sexe de la base au gland, en sortant bien la langue et en salivant fortement. »
Terrorisée, Catherine s’exécute et même s’applique, malgré sa honte et son dégoût, elle lèche, sort la langue en grand…
« Les testicules maintenant. Allez, léchez ! »
Elle a horreur de cela : le jeune homme à les testicules poilues et cela lui donne des haut-le-cœur mais je la stimule avec ma baguette en tapotant ses fesses.
« Bien. Maintenant, prenez le sexe en bouche et sucez. »
Le jeune homme respire fort et gémit, Catherine s’applique redoutant une nouvelle correction.
Elle pense : "Pourvu qu’il ne me mette pas tout dans la bouche".
Mais elle suce avec ardeur, aspirant bien la verge, serrant bien ses lèvres autour, et passant souvent sa langue sur le gland du garçon qui gémit de plus en plus... Quand elle sent que la verge gonfle et devient de plus en plus dure, elle essaye de retirer le sexe de sa bouche pour éviter la décharge... Mais le garçon plaque ses mains sur sa nuque, enfile sa verge au fond de sa gorge et immédiatement, éjacule un sperme gras et abondant au fond de sa gorge. Catherine éructe, tousse, est prise de vomissements, mais le jeune homme la maintient fermement, ce qui l’oblige à avaler l’intégralité de sa liqueur. Le milicien prend son temps ; Catherine étouffe, manque d’air... Puis il relâche sa pression et retire son sexe repu. Catherine s’affale au sol et sanglote.
« Allons, cessez vos jérémiades et vos pleurnicheries. Debout, vite ! »
Catherine se relève et se place mains sur la tête, bien droite, poitrine tendue mais encore secoué de sanglots.
Du regard j’interroge le milicien :
« Oui, son mari a raison : elle suce parfaitement, sa langue est douce sur le gland.
- Bien, c’est parfait. »
Je remplis son dossier en même temps.
« Madame, nous allons maintenant procéder à l’examen de vos orifices, puis au marquage. »
Catherine, entre deux sanglots, me regarde avec un regard affolé mais ne semble pas tout comprendre.
« Retirez votre slip madame et tendez-le-moi. »
Catherine est effondrée : cette fois, elle va être toute nue devant les deux hommes sans aucun rempart pour sa pudeur. Néanmoins, elle obéit, descend son slip en se baissant, puis l’enjambe et, honteuse, me le tend avant de reprendre sa pose. Nous pouvons enfin apprécier sa touffe fournie de poils bruns. J’examine le fond de sa culotte et je lui fais remarquer qu’il est humide, Catherine rougit et baisse le regard.
« Il me semble que le fait de sucer provoque un grand émoi chez vous, Madame.
- Je euh, noon, je, je ne sais pas… Sniff ! »
Cette femme ronde et pudique, nue, presque indécente, me donne très envie de l’humilier et me provoque une forte érection. J’enfile des gants d’examen et m’approche de Catherine qui, par réflexe d’obéissance, rectifie sa position et tend la poitrine dont les tétons semblent durcis.
Je commence à examiner ses cheveux en disant que cela sera agréable de la voir être tondue par le coiffeur du centre. Puis saisissant sur la table un spéculum auriculaire, j’inspecte ses oreilles en veillant à n’être pas trop doux afin que l’examen soit douloureux.
« Penchez la tête en arrière, Madame, je vais inspecter vos narines, penchez plus ! Allons…
- Oui, aïeeee, oooh c’est désagréable !
- Bien. Redressez-vous ! Ouvrez grand la bouche ! Tirez la langue ! »
J’enfile deux doigts au fond de sa gorge et lui maintiens la nuque...
« Allons, résistez : ne vomissez pas ! »
Catherine bave beaucoup tousse, manque de s’étouffer…
« Allons, reprenez votre calme ! »
Je la gifle, elle se redresse automatiquement.
« Oh pardon, excusez-moi Monsieur. »
Je continue mon examen un peu approfondi : mes mains descendent sur ses seins. Pour la première fois, je les palpe avec plaisir puis je saisis les tétons et les tords en les tirant vers le haut. Catherine se retrouve sur la pointe des pieds, le visage grimaçant, elle essaye de résister à la douleur puis craque :
« Aïïïe ! Arrêtez, arrêtez, je vous en supplie : c’est trop douloureux ! Aïïïïeeeee ! »
Je la laisse reprendre la pose mais pas de répit : je descends ma main sur ses fesses et les caresse longuement, juste pour qu’elle sente que j’ai tous les droits sur son corps... Je joue un peu avec sa raie, mais ne touche pas encore son sexe... J’effleure à peine son anus. Puis je lui indique la table gynécologique :
« Installez-vous, Madame... Les pieds dans les étriers... »
Catherine hésite, tremblante ; le jeune milicien la saisit par un bras et la dirige de force vers la veille table gynécologique entièrement en métal, un peu rouillée...
« Allongez-vous Madame... »
Catherine obéit, le métal froid lui donne la chair de poule. Le jeune milicien commence à l’immobiliser sur la table : il passe une sangle de cuir autour de son cou, une au niveau des hanches, bien serrée ; il positionne ses pieds correctement dans les étriers et passe une sangle au niveau des chevilles et une au niveau des genoux. Catherine se sent complètement impuissante. Pour le moment, seuls ses bras ne sont pas attachés. Le jeune garçon écarte les étriers au maximum. Catherine sent son sexe s’ouvrir, son intimité se dévoile, impudique ; elle sanglote de honte. Je passe des gants d’examen propres...
« Bien. Madame, nous allons continuer l’examen de vos orifices.
- Oh noon… S’il vous plaît… C’est terriblement humiliant ! Je… oh mon Dieu ! »
Je commence à palper longuement son ventre et son pubis, fouillant son nombril. Cela est douloureux, elle gémit.
« Humm, c’est bien ce qu’il me semblait : votre vessie est pleine... Passez-moi une sonde, je vous prie....
- Mais enfin nonn… Pourquoi, je… »
Le jeune homme me passe un sachet chirurgical d’où j’extrait un cathéter. Catherine essaye de se débattre ; le milicien saisit ses mains et les maintient au niveau de sa tête... J’ouvre son sexe d’une main et découvre sans ménagement le méat urinaire ; j’enfile le tube de plastique. Catherine gémit... Rapidement, le tube se remplit d’urine.
« Bien. Nous sommes dans la vessie. »
Je plonge l'extrémité du tube dans un bocal et ouvre le robinet... L’urine s’écoule rapidement et emplit le bocal bruyamment, pour la plus grande honte de Catherine qui se sent se vider sans pouvoir se contrôler. Dès la dernière goutte dans le bocal j’arrache la sonde sans ménagement. Catherine hurle de douleur...
« Allons Madame, modérez-vous, je vous prie. Bon. Vous êtes droitière ?
- Euh oui, oui, pourquoi ? Je, je... »
Le jeune milicien lui attache le bras gauche le long du pied de la table.
« Bien. Madame, je vais devoir procéder à un examen en profondeur de votre vagin ainsi que de votre utérus. Pour cela, vous devez être bien lubrifiée, et rien ne vaut la lubrification naturelle... »
Catherine ne comprend pas mes propos jusqu’à ce que l’ordre tombe :
« Masturbez-vous, Madame. »
Catherine est estomaquée, abasourdie.
- Me...Oh non, jamais… Je ne peux pas faire ça devant vous, jamais ! »
Je fais un signe au milicien qui approche une table à roulette avec dessus des câbles et un générateur. Le jeune homme m’interroge du regard :
« Sur les bouts de seins.
- Bien Monsieur. »
Le jeune homme pose des pinces sur les tétons de Catherine et les relie à la machine.
« Mais arrêtez ! Mais que faites-vous... Je, je.... »
Sur un signe de tête, le milicien déclenche une décharge. Catherine hurle, son corps s’arc-boute... La douleur est terrible. Après la coupure, elle tremble.
« Ah, ah ! Pas cela, arrêtez... Je vous en prie… Ahh !
- Bien, alors soyez obéissante, sinon la prochaine fois, ce sera une décharge sur le clitoris. »
Catherine baisse le regard.
« Oh mon Dieu, je vous en prie, pas là... Oui Monsieur, je serai obéissante. »
Je prends sa main droite et la pose sur son sein.
« Bien... Commencez par vous caresser les seins, Madame. »
Catherine rougit et hésite, mais les pinces du terrible générateur sont toujours fixées sur ses tétons et elle redoute une nouvelle décharge. Avec sa main droite, elle se touche les seins sous le regard vicieux des deux hommes. Au bout de quelques minutes, je prends sa main et la guide... Je passe sur son ventre puis place sa main entre ses cuisses ouvertes, sur sa vulve ; elle frémit au contact de sa propre main...
« Allez-y, Madame : masturbez-vous... »
Sa main commence timidement à bouger entre ses cuisses, massant sa vulve... Catherine respire de plus en plus fort... Nous regardons attentivement ses gestes. Ses doigts deviennent de plus en plus précis, son index décalotte son clitoris et le masse... Elle gémit...
« Hummmmm’ohhhhh huummmm !
- Vous aimez que l’on vous regarde en train de vous masturber, Madame ?
- oh mon Dieu, noon : c’est terriblement gênant...
- Gênant certes, mais cela vous excite... »
Catherine est rouge de honte et d’excitation, jamais elle n’avait fait cela devant deux hommes... Parfois son mari lui demandait de le faire, pour lui seul.
« Ooohhh oui, oui Monsieur, c’est honteux et excitant... Hummmm hummmm, oui, c’est bon… J’aime que vous me regardiez... Faire ça ! »
Catherine est de plus en plus excitée… Elle mouille terriblement.
Sanglée sur la table gynéco Catherine continue à se masturber avec ardeur malgré sa honte. Je lui impose de garder les yeux ouverts et de nous regarder... Son corps nu est trempé de sueur... Elle gémit de manière indécente...
À sa tension et à ses gémissements, je remarque qu'elle va jouir... Je fais signe au jeune milicien qui, aussitôt, saisit sa main et l'attache à la table, la laissant dans un état de frustration terrible.
« Ohhhh ! Non, je vous en prie, laissez-moi prendre du plaisir... Je, je, oh j'ai trop envie... de… de jouir, oh mon Dieu ! »
Elle éclate en sanglots
« Allons Madame, reprenez-vous. Restez digne, je vous prie. »
Le milicien lui envoie une décharge électrique dans les seins... pour la calmer.
« Aiiiiiiiieeeee ! Non, non, stop !
- Je ne souhaitais pas que vous ayez un orgasme... Je voulais juste que vous soyez parfaitement lubrifiée pour examiner votre vagin ainsi que votre utérus... »
Une suite à l'admission de Catherine...
Elle est nue, sanglée sur la table gynéco, et je viens de lui annoncer que j'allais examiner son vagin et son utérus.
Je passe calmement des gants d’examen puis prépare sur un plateau métallique les instruments. Le générateur est toujours branché sur les tétons de Catherine. Elle me regarde les yeux ronds, terrorisée... Elle vient de se masturber de force devant nous et d'être frustrée de son orgasme.
« Bien, voyons cela, Madame... »
J'écarte sans ménagement ses petites lèvres et la pénètre à deux doigts... Elle gémit doucement.
- Bien. Vous êtes parfaitement lubrifiée, Madame... Vous mouillez toujours comme cela ? »
Elle est rouge de honte.
« Euhh, oui, je pense, oui Monsieur. »
Je fais allez et venir mes deux doigts dans son vagin. Catherine se raidit, elle gémit...
« Hummm, ohhhh, hummmm ! Oh, je vous en prie, arrêtez... Vous, ohh, vous allez me... me faire jouir !
- Ce n'ai pas le but, Madame. »
Je pousse mes doigts au fond de son vagin et palpe le col de l'utérus... L'examen est douloureux ; à plusieurs reprise, Catherine crie de douleur.
« Allons Madame, restez digne je vous prie. Je vais mesurer votre utérus. »
Je prends sur le plateau un longue tige métallique terminée par une forte boule. La tige est graduée et une bague coulisse dessus. Je pose l'instrument froid sur le ventre de Catherine. Puis je prends un fort spéculum métallique et le lui présente :
« Je vais vous ouvrir, Madame.
- Oh noon, s’il vous plaît, noon, pas ça ! »
Je la pénètre avec l'instrument et actionne la molette.
« Aïïïe ! Non, pas plus ! Aïïïe, c'est douloureux !
- Je sais, Madame, mais je dois vous examiner. »
Son sexe est béant, humide, tellement ouvert que son clitoris est décapuchonné et complètement tendu, gorgé de sang... hypersensible…
Je demande au milicien de me passer une petite pince aux bords dentés.
« Je vais vous poser cette pince sur le clitoris pour vous calmer, Madame.
- Noooon, noooon, je vous en prie ! »
Je place la pince sur le petit bourgeon. Catherine hurle, essaie de bouger dans les sangles et pleure de douleur. Sans la laisser respirer, je la pénètre avec la tige, place la boule sur le col et d'un geste sec, la fait entrer dans son utérus. Catherine hurle un bref moment puis s'évanouit… Avec une pince, je fais coulisser la bague contre le col pour prendre la mesure.
Puis m'adressant au milicien :
« Comment tu la trouves, cette femelle ? Un peu ronde mais baisable ?
- Oui plutôt. J'aime bien ses gros nichons et elle semble une salope au lit.
- D'après son dossier, elle apprécie la sodo en plus, cette chienne ! »
Les hommes ricanent.
Profitant de son évanouissement je décapuchonne fortement son clitoris tourmenté.
-« Tu as vu : elle à un gros clito. »
Les hommes rient encore.
« Bon, allez, réveille-la. »
Le milicien appuie sur le bouton et envoie une décharge dans les seins de Catherine qui se réveille en gémissant. Je retire la tige :
« Bien. Profondeur utérine sept centimètres et demi, vous êtes dans la moyenne, Madame. »
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