La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 26/12/21
J’ai trouvé un nouveau jouet pour ma soumise alors ce soir ça va être un peu trash. Je l’ai conviée à me rejoindre dans la salle de jeu, j’ai fait un peu de place, les mômes sont couchés nous avons tout le temps de nous amuser. Elle entre dans la pièce, nue comme demandé. Je me place derrière elle, une corde à la main. J’attache ses poignets dans son dos et monte un harnais de poitrine (gote), très sévère, très restrictif. - Mets toi à genoux. Elle s’exécute. J’attache alors ses chevilles et monte deux harnais jambes repliées (futomomo) Je me penche sur elle et l’oblige à se pencher en avant, le buste entre les genoux. Je reprends une corde sur un harnais de jambe, l’enroule autour de sa taille, noue l’ensemble et me reprend sur l’autre jambe. J’attache une dernière corde dans le dos du gote, me reprend sur l’ anneau au plafond et suspend son buste. Attachée ainsi, elle ne peut plus se relever et reste parfaitement cambrée. Elle offre son cul, son anus à mon regard et à mes jeux. Elle commence à gémir un peu, la position est très inconfortable. Je lui pose un bâillon, ses gémissements étouffés m’excitent. Je l’embrasse un moment, caresse son dos, ses fesses, ses seins. Je l’encourage un peu, c’est difficile mais le plaisir, l’orgasme n’en sera que plus fort, plus jouissif. J’enduis mes doigts de lubrifiant et caresse son anus, me glisse doucement en elle, un doigt, puis deux, je la dilate et la lubrifie doucement. Elle gémit encore, elle tente d’ouvrir un peu plus ses cuisses. J’ai un «crochet» en acier, avec une boule de trois centimètres et demi de diamètre à son extrémité et un anneau à l’autre bout, je la fais pénétrer dans son anus doucement, la fais tourner sur lui même, pousse un peu, elle s’ouvre et laisse entrer l’objet en elle. Je le pousse bien au fond, plaque la tige en acier sur ses reins et la noue sur la corde autour de sa taille. Paf,Paf. Deux petites claques sur les fesses, un gémissement je la laisse ainsi un petit moment, l’incite à bouger un peu son bassin, aller chercher son plaisir. Paf,Paf….Paf,Paf,Paf… Quelques claques bien posées sur les fesses. Elle se tortille encore. Paf,Paf… Encore quelques unes, elle continue à tortiller du cul. Elle adore ça (putain si ça me plais, plus elle prend son pied et plus j’aime ça). Avec une petite cordelette, j’attache le vibro magique sur sa taille et le plaque sur son clitoris. Je tourne la molette et monte très vite en régime (avec ça ma chérie, tu vas jouir comme jamais) j’enlève mon caleçon et lui retire le bâillon, j’ai une érection canon. - Prends moi dans ta bouche. - Oui, viens. Elle ouvre la bouche et je m’enfonce doucement en elle, sa langue s’active, elle me pompe , elle me suce, elle la veut (putain si c’est bon) - Vas-y ma belle, suce moi bien, à fond, avale moi. Elle ouvre sa gorge et m’avale tout entier. (ça lui à pris des années avant d’y arriver, mais c’est magique et elle adore ça) Le vibro fait son petit effet, elle gémit, elle jouit, elle m’avale, me suce, s’étouffe avec ma queue et jouit encore plus. Je me retire, je ne veux pas jouir maintenant et j’avoue qu’avec une pipe pareille, il est très difficile de se contenir. Je passe derrière elle, défais le nœud qui maintient le crochet en place et retire doucement la boule de son anus. Je décroche la corde au plafond et la laisse reposer les épaules au sol. J’appuie mon gland sur son anus et la laisse s’ouvrir, elle m’accueille en elle en gémissant. Mon va-et-vient devient rapidement pressant, en plus le vribro envoie tout ce qu’il peut, c’est dément.. Je me calme un peu en dénouant le gote pour libérer ses bras, lui permettre de prendre appui au sol et retrouver le contrôle (partiel) de son corps. Je m’active à nouveau en elle, elle m’offre ses fesses, se tend, gémit encore et encore, je n’en peux plus, ce petit jeu était vraiment trop excitant. - Je vais jouir ma belle, rejoints moi. - Oui, viens, jouis en moi. Il n’en fallait pas plus, pour me faire jouir, j’éjacule, j’explose en elle, le plaisir m’envahit tout entier, les spasmes de ma queue sont puissants. Je suis repus, épuisé. Je me retire, arrête le vibro et commence à dénouer les cordes pour la libérer complètement. Elle étant ses membres doucement et me sourit. -Merci mon amour. - Merci à toi ma belle. Ça t‘a plus? -Oui, c’était vraiment spéciale. - Oui, très. Je l’embrasse, me relève et range un peu tout ça, il ne faudrait pas que les enfants tombent sur nos jouets demain matin.
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Par : le 08/12/21
Bien sûr, Bobby ne ressemble pas du tout à Allan. Il n’est pas très grand, pas très costaud, pas très sûr de lui, mais il dessine très bien et ses photos sont splendides. De plus, il a peut-être d'autres talents. Il se jette sur ma chatte la langue la première et ça me fait constater que, oh oui, il fait ça bien ! Pearl m’a bien léchée, de peur d’être fouettée, mais Bobby, c’est un... "natural born pussy licker" (né pour lécher des chattes). Sa bouche et sa langue me titillent délicieusement. Oh ! Il la remet dans sa bouche... mais c’est pour me demander :  — Je peux plier tes jambes ?  — ... Euh, oui... Il replie mes jambes, dans la position du bébé qu’on lange. Ensuite, appelons un chat, un chat, il enfonce sa langue dans ma chatte et puis dans mon cul. Ça, c’est la première fois qu’on me le fait ! Il y a déjà eu des doigts et des bites qui l’ont visité, mais une langue, jamais... Et ça me plaît ! C’est tellement... intime et inconvenant ! Après une courte mais délicieuse romance entre sa langue et mon cul, il remet mes jambes dans une position normale et sa langue se remet à virevolter sur mon clito. Putain ! Il est bon ! Vous voyez, un mec comme Alan, il a l'impression, qu'il vous fait une fleur en vous enfonçant sa bite dans la bouche, mais jamais il n’irait embrasser un minou et encore moins un cul. Sa bouche, il estime qu’elle sert à donner un baiser à sa mère, pas à embrasser le cul des filles. Chacun a sa spécialité : la nuit dernière Alan m’a mis 10 cc de sperme dans la chatte et ce midi, Bobby la nettoie. Ce sont des pensées que je ne devrais pas avoir : ça m’excite trop, mais si je pense au fouet qui claque sur les fesses de Pearl, c’est pire ! Alors je lâche les amarres et le bateau de la jouissance m’emmène sur une mer de félicité ! Ou bien, pour parler normalement, je prends un super pied. Je plaque son visage sur ma chatte et je resserre mes cuisses tandis qu’il me fait jouir. C’est trop bon.... Je le lâche avant qu’il n’étouffe et, comme une chatte qui lape du lait, il nettoie ma chatte mouillée. Je me lève pour m’étirer... Bobby me demande :  — Je pourrai le refaire ?  — Tous les matins, si tu veux. Ses yeux brillent comme ceux d’un enfant qui découvre les jouets laissés par le père Noël... Enfin, moi, je n’ai pas connu ça ! Il me dit :  — Je sais que tu vas partir bientôt. Je pourrai t’accompagner quand tu iras à Hollywood ? Mes parents me versent une rente, je te la donnerai et... Allons bon, voilà autre chose. Est-ce que j’ai besoin de lui ? Oui, pour faire des photos et pour être mon boy, si j’ai envie. Je lui demande :  — Tu m’obéiras ?  — Oui, je te le jure.  — C’est combien la rente ?  — 750 $ par mois... Mouais, pas énorme, mais il peut m’être utile. Je réponds :  — D’accord, je te ferai venir.  — Oh merci Ashley. Pour le taquiner, j’ajoute :  — Mais tu devras laver mes culottes... à la main.  — Ouiiii... Il me donne son numéro de téléphone et prend le mien. Bon, assez joué, je descends vers la terrasse, mon boy sur mes talons. Pearl ne fait aucune bêtise, ça m’énerve ! *** En fin de journée, je pars au club avec Allan. Il y a une nouvelle fille, une jolie rousse et il a l’air très intéressé. On ne s’est pas juré fidélité et bon, je vais partir dès que possible. Vers 23 h, un groupe arrive. Il y a d’abord un homme d’une cinquantaine d’années, très noir de cheveux. Il n’est pas séduisant mais apparemment très sûr de lui, comme tous les riches. Il pourrait être Italien comme Enzo, le patron du club. Une jolie blonde l’accompagne, ça pourrait être sa fille ou sa petite fille... Il y a aussi une femme d’une trentaine d’années, une jolie brune aux yeux bleus. Sans pouvoir expliquer pourquoi, je la sens dangereuse. Enfin, il y a un homme plus jeune et costaud, sûrement un garde du corps. Dès que Ruby voit l’homme, elle dit à une fille :  — Demande à Monsieur de venir immédiatement. Puis elle va au-devant de l’homme en disant :  — Signor Boizano, je suis ravie de vous voir dans notre club. Il lui tend la main et répond :  — Tu es Ruby, c’est ça ?  — Oui, Signor, l’épouse d’Enzo. D’ailleurs, le voici. Enzo s'incline devant le nouveau venu en disant :  — Bienvenue, Signor Boizano, votre visite est un grand honneur. Si je puis vous être utile de quelques façons que ce soit...  — On est ici pour affaire et j’ai entendu parler d’une fille qui serait le sosie de Marilyn.  — Certainement... Si vous voulez, les filles vont vous installer dans la salle VIP et elle va vous rejoindre. Eh ! Je suis connue ! Monsieur ouvre lui-même la porte de la salle VIP. Il fait signe à plusieurs filles de s’occuper d’eux. Ruby me dit :  — Va vite te changer. Tu mets la robe rouge pour faire ton numéro devant le signor Boizano. C’est quelqu’un de très important. Non, pas possible ? À les voir ramper devant lui, je m’en doutais un peu. Après m’être changée, je me donne un coup de peigne. Puis je vais dans le club, par la porte qui donne sur la grande pièce VIP. J’entre et je prends une pose de pin up en demandant avec la voix de Marilyn :  — Puis-je danser pour vous ? Ils sont surpris, eux ! Il faut dire que ma ressemblance avec Marilyn est... comment dire ? Hallucinante. Voilà... Le signor Boizano me répond :  — Je suis venu pour te voir et je ne suis pas déçu, tu es très belle....  — Merci Monsieur. Je clique sur mon iPhone et la musique de "Diamonds" se fait entendre. Le son n’est pas très bon, mais je suis sûre que c’est la vue qui l’intéresse. Je grimpe sur la table. Elle est grande, ce qui me permet de danser en chantant et en me déshabillant. Je fais mon numéro pour el signor. Je commence à chanter :  — The French are glad to die for love (les Français sont heureux de mourir d'amour).  — They delight in fighting duels (ils aiment se battre en duel).  — But I prefer a man who lives (mais je préfère un homme qui vit).  — And gives expensive jewels (et qui m’offre des bijoux coûteux). Moi, je suis tout à fait d’accord avec ces paroles. Je continue à chanter tout en me déshabillant et je termine en saluant... Et... il n’a pas mis de billet sur la table. Je lui dis :  — Ça ne vous a pas plu, Monsieur ?  — Si, si, mais je suis surpris de la ressemblance. Ayant compris que je voulais que son admiration se transforme en espèces, il sort un billet de son portefeuille. Je me retourne et il le glisse entre mes fesses. C’est l’habitude au Club, les clients glissent les billets sous le string, entre les fesses ou ils les posent sur la table. Je le remercie et prends le billet. Oh ! c’est 100 $, mon plus gros pourboire. Je me mets à quatre pattes sur la table pour l’embrasser sur la bouche. Il a l’air surpris, les autres aussi... Peut-être suis-je un peu trop familière ? Je dis aussitôt :  — Pardon, c’était spontané. En regardant la fille qui l’accompagne, j’ajoute :  — Je ne voulais pas... euh... marcher sur tes plates-bandes. Je suis nouvelle et... Elle répond :  — Pas de problèmes, tu peux embrasser mon oncle. Je suis une grande fille, hein tonton Sam ?  — Mais oui, Pussycat. Ils se foutent de moi là, Tonton Sam et Pussycat ? Il me dit :  — Assieds-toi petite, j’ai une proposition à te faire.  — Si vous voulez m’épouser, c’est "oui" tout de suite. D’abord surpris, il finit par rigoler. Je vais m’asseoir sur une chaise en face de lui. À ses côtés, il y a Pussycat et l’autre la fille de trente ans. Il dit à cette dernière :  — Sers-lui un verre, Summer. Ça lui va bien, ce nom Summer. Elle remplit une coupe de champagne et me la tend. Je remercie les yeux baissés car elle m’intimide. Je vide mon verre d’un coup... et je fais un petit renvoi discret. Sam me dit :  — Tu sais qui je suis ?  — Mon plus riche client jusqu’à présent.  — Oui, mais aussi un homme d’affaires. Ma société possède un grand studio à Hollywood et je voudrais t’engager. Oh ! Il se fout pas de moi là ? Je lui dis :  — Sérieux ?  — Oui. Bon, il faudra travailler, apprendre à jouer, à danser, à chanter...  — Oui, bien sûr, je travaillerai dur. Je veux devenir une star !  — Tu es vraiment décidée ?  — Oui. Il me tend la main et je me lève pour la serrer. C’est tout ? On ne signe pas de contrat ? Ça me surprend, mais bon, je viens de la campagne. Summer m’explique :  — Une poignée de main avec Monsieur Sam, devant témoins, vous engage tous les deux. C’est plus important qu’un contrat. Sam, mon nouveau patron, me dit :  — Si tu veux, pars avec nous maintenant. Oui, mais oh ! Ça va trop vite, là ! Il me voit paniquer, tout à coup, car il sort une tablette d'une serviette et dit à Summer :  — Explique-lui. — Oui, Monsieur Sam. Elle me prend la main en disant :  — Viens avec moi. On va s'asseoir côte à côte, à une table du fond. Elle ouvre la tablette, tape quelques mots et me montre le site du studio "New Hollywood Studios" en disant : — Le studio de la société de Monsieur Sam. Ensuite elle me montre un grand casino à Vegas, qui appartient à sa société et enfin,  un site qui s'appelle "Slave Paradise" Vente d'esclaves. Je lui dis : — C'est à lui ? — Oui, sa société est la seule à vendre les esclaves, les shérifs ne peuvent plus le faire. — Et, je pourrai y aller ? — Ce n'est pas encore ouvert, mais je connais tous les gardes. On pourrait y aller et même se baigner à poils sur la plage privée... — Et pendant le voyage, on sera ensemble ? — Oui. — C'est d'accord. On se lève, elle me reprend par la main... D'accord, elle me traite comme une gamine, mais elle me rassure... On retourne près des autres, Summer dit : — La petite part avec nous. À suivre. Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … Les planches originales des dessins des 5 "Mia sans dessous", signées par Bruce Morgan et en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be
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Par : le 04/12/21
LE PETPLAY Le BDSM comporte une myriade de pratique, allant du plus soft jusqu'à l'extrême, de l'ordinaire en passant par l'exotique. Parmi les pratiques les plus anciennes de l'homme, il y en a une qui a su se démocratiser au cours des années 90 / 2000 : Le Pet Play, le fait d'incarner plus ou moins un animal que l'on a au fond de nous. Le Pet Play généralement se découpe en plusieurs archétypes d'animaux récurrent, mais rien empêche la personne d'en choisir un qui n'est pas dans la liste (mais qui sera en contrepartie forcément moins documentée, voir inexistant en termes de communauté). Les Canidés [Chiot / Chien / Loup] Félins [Chat / Chaton / Lion] Équidés [Poney / Cheval] ========================================================= DIVERSES ORIGINES Le PetPlay à beau paraitre neuf au regard de beaucoup de personne, elle est pourtant une des pratiques les plus vieilles du monde au sein de l'humanité. Les premières tribus humaines possédaient toujours un shaman qui incarné le croisement de la vie sur terre, faisant le lien entre le terrestre (la faune et la flore) et le Divin (aspect céleste / spirituel immatériel), ne faisant qu'un avec l'ensemble et formant ainsi un tout réunie en son sein. Si la figure du Shaman c'est quelque peu perdu au fil des siècles en Occident, elle perdura du côté de l'Afrique et de l'Amérique Amérindienne (Animisme). Le PetPlay peut se retrouver aussi dans une commune mesure dans l'antiquité, que cela sois à travers la figure des Amazones, femme farouche comme des "lionnes", ou encore et surtout, de par la figure du Minotaure revêtant à la perfection la notion de (demi) Dieu Homme - Animal. L'histoire de sa conception fait elle-même écho à sa propre nature. Puisque la légende raconte que Minos pour obtenir le trône, fit intervenir Poséidon en personne qui lui envoya un taureau ayant son nul autre pareille au monde. Plutôt que d'honoré sa promesse, Minos se moqua de Poséidon en sacrifiant non pas le taureau envoyer par ses soins, mais un vieil animal malade. Le Dieu rentra par la suite dans une colère noire lorsqu'il se rendit compte du vulgaire subterfuge. Il decida d'échafauder un stratagème pour punir Minos de son inconduite : Envouter sa femme Pasiphaé pour la faire tomber amoureuse du taureau. Avec l'aide de l'architecte Dédale, elle conçut un costume sous forme d'habitacle afin qu'elle puisse être en phase totale avec son nouveau rôle et enfin assouvir sa passion dévorante... 9 mois plus tard je vous laisse devinez la surprise. En dehors de l'aspect historique, c'est bien entendu dans l'art que l'on peut retrouver une certaine représentation de Petplay et ce, jusque dans la pop culture. On pourrait parler des Fury, sans l'aspect sexuel voir comportemental mais avec une simple projection d'eux même en animal virtuel, tout autant que l'aspect filmique, à l'instar de long métrage comme Cat People. Dans le film en question une femme a le pouvoir de se changer en Panthère, entrainant tout un tas de situation allant du plus burlesque au plus dramatique. Je vous épargnerai bien entendu la figure du Loup Garou, la synthèse parfaite entre un homme et un loup. Mais, cela serait oublié que dés notre enfance nous sommes aussi exposé à ce genre de représentation : Les Comics en simple exemple. Et la ce n'est pas ce qui manque niveau diversité, entre Spiderman, Le Fauve, Wolverine, Catwoman, Stargod (l'homme loup), Black Cat, Batman... Difficile de faire la fine bouche ou, de ne pas trouver chaussure à son pied lorsqu'on est un tant sois peu sensible au sujet. ========================================================= LES DIFFÉRENTS PROFILS Le PetPlay dans le BDSM compte comme adepte les PetGirl (femme) et, PetBoy (Homme), il se découpe généralement en 3 catégories : Chien, Chat, Cheval généralement. En termes de proportion, difficile d'établir une base de donné en l'absence de chiffre, mais de mon expérience personnelle, je découperai cela ainsi: 60% de Chien / 30 % de Chat / 9 % de cheval / 1% de autre. Ressentir le fait d'être un animal n'est pas anodin, et il est rare que quelqu'un décide d'en incarner plusieurs à la fois. Le PetPlay permet de se rapprocher d'une animalité que l'homme a perdu avec le temps, à chaque animal son tempérament et sa nature qui correspond à un adepte en qui cela résonnera. Dog Play: Il est ici question de comportements canins ou, plus communément appeler "chien" ou "chienne". On lui associe souvent le cuir mais ce n'est pas un impératif, loin de là. Le PetPlay est loin d'être uniforme, on pourrait associer cela à des paliers d'animalité. Certaines personnes se contenteront d'être promener en laisse, tandis que d'autre iront un cran au dessus en mangeant en gamelle, voir en faisant ses besoins en litière ou dehors. On peut encore aller plus loin pour les plus investies, en faisant en sorte que la personne adopte totalement et entièrement le rôle d'un chien. Celui-ci fonctionne en attachement avec son Maitre certes, mais il doit aussi pouvoir s'inclure dans un groupe de Petplay, avec une attitude à avoir selon le profil du ou, de la soumise (Alpha / Bêta / Omega) au sein de la meute. Quelque sois le niveau du pratiquant : Le dressage est de mise pour pouvoir parfaire ou, évoluer dans sa pratique. Un os peut être fourni, une niche de construit, seule vos limites et votre imagination mettront un frein à tout cela (et peut être aussi votre portefeuille ;) Cat Play: Nos amis les chats sont à l'honneur ici, et même si une large partie des personnes joue le rôle d'une chienne, certain préfère celui d'une petite chatte... Avec ses différences de comportements à noter. Un chat par nature est bien plus indépendant qu'un chien qui restera la plupart du temps aux pieds de son Maitre. Le PetPlay en incarnant / dirigeant un chat, est bien plus observateur qu'acteur. On intervient mais peu en tant que Maitre, le chat fait sa vie, viendra se blottir à vous ou non. Vous pouvez bien entendu tenter de dresser votre chat comme un chien, mais rappeler vous avant tout de son caractère et surtout, de la nature de son rôle choisie. Pour les plus rigoureux, les gamelle d'eau et de nourriture sont à prévoir, ainsi qu'une litière et, peut être, si vous avez de la chance : une chatière afin de bien faire les choses jusqu'au bout (ainsi que quelque bout de carton, les chats adorent s'amuser avec). Pony Play: Cas plus rare mais on ne peut plus intéressant : Le Pony Play. Assez différent du Dog et du Cat Play, le Pony Play s'accentue davantage comme un faire-valoir d'usage pour son Maitre (on peut en tout logique chevaucher son cheval ou sa jument). L'adepte au niveau de sa pratique peut rester soft (léger accoutrement, quelque tour dans la nature en galopant), voir aller plus loin en recevant des coups de cravache ou,en ayant une grange aménager voir, un charriot tiré pour son Maitre pour les plus engagés. ========================================================= VIE QUOTIDIENNE : Comme pour toute pratique lier au BDSM, cela rentre dans le contrat qui lie le ou, la soumise à son Maitre / Maitresse. En d'autre terme : il n'y a pas d'obligation à respecter pour dire que votre pratique est valable ou non (c'est plus votre engagement lorsque vous décidez de l'incarner qui fera la différence). Vous pouvez très bien définir avec votre Maitre / Maitresse que vous ne ferez cela uniquement que le week-end, quand d'autre demanderons quelque chose de plus soutenu et donc, déborderont sur la semaine... Sans oublier ceux pour qui tout cela est une évidence, désirant vivre cela H24 en dehors de leur obligation (pro, ami, famille etc...). Le plus important, est votre bien être, prenez le temps de réfléchir si cela vous parle et, si c'est le cas : jusqu'à quels degrés ? En faisant cela vous éviterez les déconvenues avec votre Dominant, tout en profitant de ce que vous aimez vraiment sans retenu. Giovanni Scaletta *Le dessin fut réalisé par mes soins pour illustré l'article, afin qu'aucune ressource artistique ne soit volé.
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Par : le 25/11/21
Héliogabale ou Élagabal (Varius Avitus Bassianus) (v. 203 - 11 mars 222) fut empereur romain de 218 à 222 sous le nom de Marcus Aurelius Antoninus. Descendant des Bassianides, une grande famille d'Émèse (Syrie), Varius Avitus Bassianus est dépositaire dès l'âge de treize ans de la charge de grand-prêtre du dieu Élagabal. Lorsque Caracalla est assassiné, le 8 avril 217, à la tête des armées dans une plaine voisine de l'Euphrate, toutes les femmes de la branche syrienne de la famille impériale, chassées de Rome, se replient dans leur fief d'Émèse. Julia Mæsa, sa grand-mère, Julia Soæmias, sa mère, et Julia Mamæa, sa tante et mère du futur empereur Sévère Alexandre, parviennent à convaincre l'armée de proclamer Varius, en raison de sa ressemblance physique avec Caracalla, empereur sous le nom de Marcus Aurelius Antoninus. Les femmes, qu'on appelait « les princesses syriennes », sont indissociables du destin d'Héliogabale. Héliogabale laisse les rênes du gouvernement à sa grand-mère, Julia Mæsa, et à sa mère, Julia Soæmias : « Il fut tellement dévoué à Semiamira sa mère, qu’il ne fit rien dans la république sans la consulter. » dixit Ælius Lampridius L’ambition de sa mère semble si dévorante qu’elle manque de prudence face aux lois romaines qui relèguent les femmes à l’arrière-plan ; elle impose même sa présence au Sénat. Ce détail, par-dessus tout, choque les contemporains : « lors de la première assemblée du sénat, il fit demander sa mère. À son arrivée elle fut appelée à prendre place à côté des consuls, elle prit part à la signature, c’est-à-dire qu’elle fut témoin de la rédaction du sénatus-consulte : de tous les empereurs il est le seul sous le règne duquel une femme, avec le titre de clarissime, eut accès au sénat pour tenir la place d’un homme. » dixit Ælius Lampridius Cette mise en place d'un « sénat des femmes » sera considérée par ses contemporains comme l'un des nombreux exemples de la « corruption morale » d'Elagabale. Sa réputation a souffert sous la plume des historiens pendant des siècles, pour cacher le fait qu'un empereur romain ait été parmi les premières personnes de l'histoire à demander une chirurgie de réassignation sexuelle. Il est arrivé au pouvoir à quatorze ans, et selon les archives historiques, Elagabalus a rapidement développé une réputation d'excentricité extrême, de décadence, de fanatisme et de promiscuité sexuelle. Ces préjugés ont persisté à travers l'histoire jusqu'à nos jours : Au XVIIIe siècle, Edward Gibbon, a écrit qu'Elagabalus "s'est abandonné aux plaisirs les plus grossiers avec une fureur incontrôlée". Barthold Georg Niebuhr, a déclaré que "le nom Elagabalus est marqué dans l'histoire au-dessus de tous les autres" en raison de sa "vie indiciblement dégoûtante". Officiellement, Elagabalus a été marié cinq fois (et deux fois à la même femme) avant l'âge de 18 ans.... Mais, peu porté sur la gent féminine, Héliogabale ne consomme pas le mariage et s'en sépare rapidement..... Ses « mariages » homosexuels, notamment avec deux « colosses » grecs prénommés Hiéroclès et Zotikos, choquent les historiens romains. Dans ses écrits, Cassius Dio ( en latin Lucius Cassius Dio ( v. 155 – id., après 235) homme politique, consul et historien romain d'expression grecque ), fait notamment référence à Elagabalus par des pronoms féminins et déclare que l'empereur voulait épouser un ancien esclave et conducteur de char nommé Hiéroclès. ( Des rumeurs disent qu'il aurait également épousé Zotikos, athlète de Smyrne.) Dio note qu'Elagabalus était ravi d'être appelé la maîtresse, l'épouse et la reine de Hiéroclès. Selon Dio, l'empereur portait du maquillage et des perruques et préférait s'adresser en tant que « dame » au lieu de « seigneur ». L'historien moderne Eric Varner note : « Elagabalus serait également apparu sous le nom de Vénus et(....) un portrait peint a été envoyé à la capitale avant l'arrivée du jeune empereur afin d'habituer les habitants de Rome à son apparence "exotique" » Heliogabale se travestissait au quotidien; dans la Rome antique, le travestissement était pratiqué pendant les Saturnales, mais était interdit en dehors de ce rite. À tel point INTERDIT ou TABOU que les Romains l'avait érigé en une punition, ordonnant aux déserteurs de porter des vêtements féminins pendant trois jours avant leur exécution, afin de les couvrir de honte; les identités de genre étant fermement établies. Au delà du travestissement, Heliogabale cherchait à changer de sexe en proposant des sommes importantes à tout médecin qui pourrait lui donner l'équivalent des organes génitaux d'une femme au moyen d'une incision chirurgicale; ce qui ne fut jamais réalisé pour des raisons évidentes de maintien en santé et des risques mortels pour l'Empereur.... La fin de son règne fut rythmée par des orgies homosexuelles avec des prostitués mâles (exolètes) recrutés pour l'occasion, selon Aurelius Victor (v. 320 – v. 390), historien et haut fonctionnaire impérial romain. Dio rapporte qu'Elagabale se serait " prostitué dans des tavernes et des bordels".... Le 11 mars 222, Heliogabale est assassiné par la garde prétorienne qui lui préfère son fils adoptif et cousin. Le cadavre de l'empereur déchu est jeté dans le Tibre et il subira la "damnatio memoriæ" littéralement « damnation de la mémoire » qui fera casser, marteler, etc. toutes les représentations d' Heliogabale, mais aussi de tous ces proches, ex épouses comprises. Statue de Julia Aquilia Severa (musée archéologique d'Athènes) vraisemblablement victime de la damnatio memoriæ de son mari. Héliogabale laissera par ailleurs probablement le premier témoignage de "pony play" sur un camée.... Le cabinet des médailles de Paris possède un camée représentant Héliogabale nu, se présentant dans de « triomphantes dispositions intimes », sur un char tiré par deux femmes nues et à quatre pattes..... Mais c'est là une autre dimension, histoire...
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Par : le 23/11/21
Bonjour, voici le récit de mon expérience. Il faut savoir qu'il s'agit d'un condensé de plusieurs années de vie dans quelques paragraphes. La première année a été plutôt soft et tout est monté crescendo. Ce premier article résume 2 ans de vie commune avec ma reine. La suite arrivera assez vite, j'espère que cela vous plaira. Bonne lecture. I Rencontre Nous étions dans les mêmes classes tout le lycée, on se connaissait, elle était très discrète on se voyait tous les jours mais nous ne faisions pas partie du même groupe d'amis, elle me plaisait et sans même se parler j'avais l'impression d'être tombé amoureux au premier regard. Elle c'est Anais et moi Florian, nous avons le même âge. Au fil des années j'ai continué mes études de commerce et nous nous sommes perdus de vu sans jamais avoir eu l'occasion de réellement se connaitre. je me rendais régulièrement sur les comptes de ses réseaux sociaux par curiosité. Un beau jour alors âgé de 24 ans j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de lui envoyer un message des plus banals - Salut tu te souviens de moi ? tu deviens quoi? Je n'ai jamais été à l'aise pour aborder une femme. Plusieurs jours sans réponse à regarder si elle avait daigné lire mon message je me suis dit tant-pis en voyant que non. Puis un beau jour je reçois une notification il s'était écoulé plus d'un mois, j'ai à peine eu le temps d'ouvrir mon téléphone que j'ai compris qu'elle avait enfin vu et répondu à mon message. Mon coeur s'est mis à battre très vite, que pense-t-elle de mon message ? Est-ce qu'elle répond uniquement par politesse ? Puis je me suis vite rendu compte qu'elle avait l'air agréablement surprise. S'en est suivi des échanges de messages à n'en plus finir des jours durant. J'avais l'impression de revivre mes flirts d'adolescents, nous n'avions pas pu nous revoir les premières semaines de discussions car nos agendas ne nous le permettaient pas mais c'était un mal pour un bien, il est toujours plus facile de se livrer virtuellement puis ce n'était que partie remise et nous vivions pas très loin l'un de l'autre. Notre première rencontre a eu lieu au marché de Noël de notre ville. Dès que je l'ai aperçue j'étais sous le charme rien n'avait changé si ce n'est qu'elle était devenue une femme, nous avions longuement marché et discuté puis nous avions décidé de diner dans un restaurant non loin du marché. À la fin du diner nous nous sommes quittés, le lendemain elle se réveillait tôt et je ne voulais pas paraître trop entreprenant. À peine installé dans la voiture je reçois un SMS d'Anaïs me remerciant de l'avoir invité à diner et de lui avoir changé les idées. Cela m'a provoqué un déclic il fallait que je lui dise que je lui avoue j'ai donc décidé de lui dire que j'avais eu un coup de foudre pour elle depuis le lycée et que cette soirée m'a permis de me rendre compte que ça n'avait jamais changé. Dans les minutes qui ont suivi je me suis dit mais qu'est-ce que tu as fait pourquoi avoir tout déballé par SMS c'est ringard bref la panique. Une panique qui s'est vite transformée en soulagement puis qu'elle m'a proposé de la revoir cette fois-ci chez moi. Nous nous sommes revu deux jours plus tard pour ne plus jamais nous quitter, le coup de foudre absolu, plus les jours les semaines et les mois passés plus nous étions fou amoureux. II Disputes réconciliations et vie sexuelle Comme dans le cas de beaucoup de couples, nous avions nos défauts, nos désaccords, qui se sont vite transformés en disputes parfois même au bord de la séparation mais notre amour reprenait le dessus toujours, se séparer était hors de question.Mais malgré ça les disputes étaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus fortes et au fil du temps je me suis renfermé et je n'extériorisais plus rien, ni mes sentiments ni mes envies. je l'a faisait culpabiliser de nos disputes,je n'étais jamais la base du problème de nos désaccords et je me rendais pas compte de ce comportement destructeur. J'étais dans une sorte de revanche sur le fait d'avoir du attendre toutes ces années pour que cette femme s'intéresse à moi. Malgré ça elle restait toujours très directive, l'un comme l'autre essayait de prendre le dessus dans nos prises de décisions dans nos discutions etc.. et parallèlement à tout ça, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Nous étions ouverts à essayer des choses à pimenter notre couple et très vite la domination a pris le pas dans nos jeux au lit. On aimait se rendre jaloux, parler de nos anciennes relations se provoquer s'attacher mais nous restions toujours soft. Nous avons également envisagé l'échangisme les plans à trois mais nous n'avions jamais franchi le pas. Elle aimait prendre le dessus, elle me faisait plus ou moins comprendre que le rôle de maitresse c'est quelque chose qui lui fait envie, qu'elle a sa en elle. A ce moment la je ne comprenais pas trop ce que cela signifiait, qu'elles sont ses intentions ses envies, ses limites, puis elle s'est mise à m'envoyer des articles sur l'art de la domination le BDSM. J'ai assez vite compris que j'avais fait des erreurs qu'elle voulait me les faire payer et me façonner à sa façon, tout contrôler, décider être le seul centre de ma vie et me rendre parfait à ses yeux. III Premiers ordres premières restrictions premières punitions Les jours qui ont suivi ont été assez soft, je devais l'appeler ma reine, la prévenir de chaque faits et gestes lorsque nous n'étions pas ensemble (travail, rdv etc.) je me voyais assez tranquille sans me soucier de ce qui allait arriver, elle continuait secrètement de se documenter sans cesse sur comment dominer, comment faire de moi l'homme idéal. La suite a été plus restrictive pour moi, elle s'est mise à vouloir gérer entièrement l'administratif, mes rendez-vous, à chaque ligne ajouté à celui-ci je devais passer par ma reine. S'en sont également suivi des restrictions et des ordres plutôt softs facilement gérables individuellement mais l'accumulation me donnait des journées bien remplies. A ce moment la elle a voulu également gérer mon temps libre, les tâches étaient écrites sur un post-it ou une feuille sur le frigo, je devais lui dire combien de temps me prenait chaque étape de cette liste. Au bout de quelques semaines, je gérais la maison, les repas, le ménage, le linge son service, j'étais en assez peu de temps devenu son domestique. Toutes ses premières bribes d'ordre et de restrictions ont également amené les premières punitions. Des mises au coin pouvant durer plusieurs heures, un nettoyage de sol à la brosse à dents, des punitions physiques comme des séries de gifles, de fouet de ceinture etc. Mon dressage prenait forme au fil du temps et j'aimais ça tout autant que ma reine. Nous faisions toujours autant l'amour, cette fois je ne prenais plus le dessus elle aimait m'utiliser comme esclave sexuel elle pouvait m'attacher me mordre me griffer. Un soir elle m'avait attaché les mains et les chevilles choses qu'elle n'avait jamais faite j'ai senti qu'elle préparait quelque chose. Elle m'a d'abord demandé de me mettre sur le ventre j'ai senti des caresses dans le bas de mon dos et ses doigts se sont vite retrouvé entre mes fesses, il n'a pas fallu longtemps pour les sentir s'insérer l'humiliation était à son maximum moi l'ancien macho égoïste me retrouvant pénétré. C'était ma hantise la pénétration anale je ne voyais pas comment cela était possible d'accepter et pire d'aimer ça, elle savait et dans un ton très pervers elle m'a averti que les rôles allaient bientôt être inversé et que je n'étais pas au bout de mes surprises… A suivre très vite.
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Par : le 23/11/21
Nous avons attendu que les vacances scolaires passent pour nous retrouver quelques jours à une période de l’année où l’arrivée du froid incite à rester dedans, voire même d’inventer d’originales manières de se réchauffer, ou du moins des peu banales méthodes pour le commun des mortels. Oui mais voilà, nous ne sommes pas ainsi… En ce mercredi soir, tu décides de commencer en douceur avec des cordes. Aujourd’hui ce sera les rouges et seulement elles. Du coup, je troque mon collier personnalisé pour le petit et simple rouge, bien mieux coordonné. Tu te lances dans une sorte de harnais de bras dans le dos, délicatement organisé autour d’un axe central « tressé » le long de ma colonne vertébrale. Tu réussis un savant équilibre entre esthétisme et contrainte modérée. Bien sûr, le résultat s’est un peu éloigné de l’inspiration de départ. Mais après tout, c’est ta touche personnelle qui ressort ainsi. Après cette prise en main tout en douceur, tu me débarrasses des nœuds et liens pour la suite. Les nouveaux bracelets de poignets et de chevilles constituent ma nouvelle parure, finalisée par la cagoule épaisse en cuir. Tu termines tes préparatifs en me fourrant le bâillon gode dans la bouche. Bien que la cagoule ne s’y prête pas trop, tu arrives à tes fins et le boucle derrière ma tête. Tout ceci pourrait laisser présager la visite prochaine de lanières et une cagoule humide à la fin. En attendant, tu me fais prendre position à quatre pattes sur le lit recouvert de notre désormais traditionnel drap violet en vinyle, le croupion tendu vers toi. Une fois n’est pas coutume, tu ne t’arrêtes pas là. Les bracelets n’étaient pas là que pour la décoration. Tu me tires la main droite vers le pied du lit le plus proche. Une corde va assurer que je ne puisse plus trop la bouger. La main gauche subit le même traitement : je ne risque pas de beaucoup me déplacer ainsi arrimé au lit. En revanche, il faut que je trouve une position pour ma tête qui me permette de respirer sans mal, sans me noyer dans une salive qui s’annonce abondante avec ce bâillon aux conséquences si perverses. J’ai dû oublier de cocher la case « confort » avant de monter. J’entends que tu « bricoles » dans mon dos. A quoi m’attendre ? Mystère ! Je sens bien que tu viens insérer quelque chose dans mon fondement. Mais impossible de dire quoi. Je ne reconnais rien de connu. Un « ne bouge plus » accompagné du crissement caractéristique d’un briquet me fournit un indice. Tu dois être en train de m’allumer ;-) ….à ta façon … C’est ce qu’on appelle avoir le feu au cul …. mais l’allumage n’est que fugace. Il ne faudrait pas non plus enflammer son jouet. En revanche, tu ne tardes pas à la rallumer histoire de consteller mon dos d’une modeste mais néanmoins remarquable constellation dite du nounours. J’ai beau connaitre cette sensation, les impacts me picotent et m’arrachent de petits couinements, au moins au début, avant que je ne profite à fond. De la profondeur, voilà que tu en reprends, et sans prendre de gants … une fois n’est pas coutume. Tu tentes une introduction sans douceur. Malgré la présence du préservatif et d’une dose de lubrifiant, ce manche de martinet peine à pénétrer. Il faut dire qu’il est plus gros que ton habituel gode. La première boule m’arrache un cri, la deuxième aussi d’ailleurs. Je ne te connaissais pas brutale. J’ai l’impression d’avoir le fondement en feu. A posteriori, je découvre que cela me fait néanmoins une amusante queue de cheval ! La douleur initiale baisse très légèrement, mais pas suffisamment avant que tu ne retires rapidement l’intrus. Néanmoins, j’ai pendant plusieurs minutes la sensation de toujours être possédé par cet envahisseur. C’est troublant comme sensation quoi que temporaire. Tandis que celle-ci se dissipe lentement, ce sont deux pincements sur les couilles qui mobilisent mes sens. Je suppose que cela doit être l’effet de ta toute dernière acquisition. Bizarrement, je ne les trouve pas aussi douloureuses que ce que tes propos avaient pu me laisser imaginer. Méfiance quand même … Affaire à suivre. Le contact qui vient claquer à de multiples reprises sur mon dos, mes épaules, mes flancs, et mes fesses ne peut être que l’œuvre de ta nouvelle langue de dragon à tige courte. Tu sembles t’éclater avec. Et, si j’en crois tes marmonnements de satisfaction, tu dois même être en train de laisser des marques. Et après, on va encore dire que je ne marque pas. Comme quoi, cela tient plutôt de la légende urbaine. Comme nous semblons tous deux en phase, tu fais durer le plaisir. Je crois que cette nouvelle acquisition est validée par les faits ;-) Pratique, efficace … sauf pour faire sauter la cire. Elle s’accroche sur mon dos malgré les multiples allées et venues de ta langue de feu. Tu me laisses perplexe avec tes derniers impacts. Je peux simplement dire que cela claque fort sur mes fesses sans pouvoir dire quoi. Mais là encore, je perçois ta satisfaction, comme si tu avais de nouveau réussi à laisser ta marque. Deux fois dans la même heure, ce serait une grande première. Et a posteriori, je découvre que c’était bien le cas. Et tout ça naturellement, sans substance « illicite » ! Pour la petite histoire, la photo des marques me révèlent la coupable : une bien traditionnelle cravache. La soirée se termine avec une douce séance de griffes qui me font toujours autant d’effet. Mais avant de conclure, tu souhaites faire un essai de tes nouvelles pinces sur mes têtons. Comme tu l’avais identifié, l’une d’elles est particulièrement transperçante à cet endroit-là. L’autre doit être supportable un poil plus longtemps ;-) Le lendemain matin, j’avais comme consigne de revêtir ma dernière parure, un ensemble boxer et bas en wetlook, tout de noir vêtu. Et rien d’autre bien évidemment si ce n’est mon collier. Visiblement, ma nouvelle tenue semble te plaire. Surprise quand je débarque dans la cuisine, la pièce a légèrement été réaménagée. Deux chaises sont ficelées dos à dos au milieu de la pièce. Sans aucun doute, elles sont là pour moi. Tu me demandes de m’agenouiller sur la première tout en prenant appui avec mes coudes sur la seconde, le ventre reposant sur les deux dossiers. Au cas où l’envie me prendrait de fuir mon trône d’un jour, tu viens nouer le bas de mes cuisses au dossier. De la même manière, mes poignets se retrouvent noués. J’ai un peu l’impression d’être sur un prie-Dieu revisité par tes soins ! Ma tenue, bien que réduite, semble néanmoins ne pas être totalement adaptée pour la suite. Je suppose que l’accès à mon fessier est incontournable vu que tu descends le boxer sur mes cuisses. Cela se confirme quand une des baguettes naturelles vient flageller à plusieurs reprises mon postérieur. Finalement, ce n’est pas si mal cette position, limite confortable, selon les standards qu’on retient ;-) Je me demande si cette mise en bouche avait pour but de m’ouvrir l’appétit. Si c’est le cas, je risque d’en redemander ;-) L’après-midi je reprends ponctuellement la main pour t’immortaliser dans cette délicieuse tenue qui te va de mieux en mieux à chaque mois qui passe. Le chapeau noir dissimule subtilement ton regard, mais celui-ci parvient si nécessaire à bien accrocher l’objectif, et moi avec, par conséquence. Le corset noir, souligné de dentelle met avantageusement en valeur ta poitrine. Des longs gants noirs viennent souligner un standing certain. Vient ensuite cette magnifique jupe noire, si longue qu’elle dissimule tout autant qu’elle révèle tandis que tu te déplaces. En particulier, elle me laisse apercevoir de temps en temps de bien alléchantes plateformes rouges sang qui apporte la touche de couleur indispensable pour compléter ta tenue de parade. Ta canne à pommeau rappelle ton côté autoritaire et majestueux. Le photographe que je suis devenu pendant quelques minutes ne peut pas rester insensible : je prends un plaisir certain à te « mitrailler » sans idée préconçue. Je mesure la chance que j’ai d’avoir un modèle comme toi. En ce vendredi soir, après ta longue journée de travail, je ne m’attendais pas à passer à la casserole une dernière fois avant de repartir pour quelques semaines. C’est une bien agréable surprise quand tu m’invites à te suivre jusqu’à l’étage. Après quelques préparatifs pour tout avoir sous la main dans le feu de l’action, tu m’invites à te rejoindre non sans m’avoir fait mettre les bracelets de cheville. Hop, à quatre pattes sur le lit, toujours paré de violet. La première épreuve consiste à mettre en place le humbler. On a beau avoir identifié un semblant de méthode, cela reste tout sauf facile. Malgré tout, tu parviens à me le mettre en place. Désormais mes mouvements sont plutôt restreints. Je ne risque pas de quitter la position du pénitent. Je perçois un serrement certain au niveau de mon intimité. Suis-je bête, c’est un des buts recherchés ! Ce soir, tu as enfilé des gants pour apporter un peu de douceur à ce qui suit. Je sens un liquide frais couler entre mes fesses, un puis deux doigts s’évertuent à préparer mon fondement, de l’assouplir un minimum. Merci pour cette attention. Malgré tout, l’envahisseur d’avant-hier reste toujours aussi envahissant ce soir. Mais j’ai l’impression de moins gémir sous la pression de la première puis de la deuxième boule. Cette nouvelle douleur me fait oublier la pression du humbler, non pas qu’il ne soit plus là, mais son étreinte se fait moins mordante. Puis c’est le manche du martinet qui, petit à petit, se fait accepter. J’ai juste un manche planté dans le cul. Quoi de plus normal ? Me voici de nouveau avec cette apparence quasi chevaline. Ainsi équipé, je devine à certains contacts fugaces, ou certains cliquetis que tu es en train de mettre en scène une nouvelle aventure de mininours à mes dépens, ou plutôt avec moi comme toile de fond contrainte. J’ai l’impression que cette boule de poils prend son temps, histoire de faire durer mes tourments. Jusqu’à ce que je sente la mine d’un feutre sur le bas de mon dos. C’est vrai que tu avais une idée en tête. Une fois encore, je sers volontiers d’écriteau. Certes dans ma situation, je n’avais pas grande latitude pour m’y opposer, des fois que l’envie me serait venue par un improbable mystère. Une fois ton œuvre terminée, voilà que tu m’administres une dernière fessée avec la main de cuir. Astucieuse façon de détourner mon attention pendant que tu me libères de mon gode improvisé. Etonnamment, cette fois, je n’ai pas l’impression de l’avoir encore en moi une fois libéré. J’ai dû finir par m’y habituer avec le temps qu’a duré ta distraction peluchée ;-)
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Par : le 19/11/21
Gamine déjà, je préférais les garçons aux filles. Ado, j'ai compris que les mecs permettaient d'autres "jeux" que ceux que je pratiquais jusqu'alors avec eux. Les filles, les femmes n'ont jamais été ma tasse de thé. Et mes quelques incursions sur les rivages saphiques m'en ont définitivement convaincue. Longtemps, je considérais mes amants comme de "simples" objets sexuels, qui pensaient me dominer alors que leur seule fonction était de me donner du plaisir, dans le cadre et selon les modalités que je leur imposais. Et puis, j'ai rencontré mon Maître. Et s'il ne me déplait pas, pour ce qui me concerne et dans nos relations intimes, de me voir comme un "objet sexuel" à sa disposition, il n'est pas question pour moi de l' "objectifier", puisque je ne le considèrerai jamais comme je considérais les autres. Parce qu'il n'est pas, à mes yeux, un "moyen" mais bien une fin. Que si j'ai besoin de me savoir l'objet de son désir, de son plaisir, de me sentir et d'être possédée par lui, je n'ambitionne pas de "le posséder" lui. Puisqu'il est mon "Maître" et que mon plaisir dépend du sien. Faisant de lui non plus l'objet, mais le sujet de mon désir. _______________ J'aime son corps, l'odeur, le goût de sa peau. son torse en V, ses tétons plantés dans une pâle aréole, ses poils sombres sous les aisselles, ses muscles fins et puissants. le noir de sa toison pubienne largement fournie. . J'aime sa queue, à la fois symbole, justification et instrument du pouvoir que je lui ai conféré sur moi. J'aime la contempler, la vénérer, raide, tendue, dressée et le faire bander. Et la manière arrogante dont se manifeste son désir de Mâle. J'aime aussi tout ce qui en sort, qu'elle qu'en soit la consistance ou le goût. Ce sentiment de plénitude qui m'emplit quand je le fais jouir, lorsque je recueille ce je ressens comme l'essence de lui. Et aussi l'excitation que lui procure le fait que je m'astreins à boire aussi cette liqueur dorée qui provient de la même source. Cet autre liquide, qui n'est qu'un sous-produit, un déchet dont son corps de débarrasse mais que j'aime tout en en détestant le goût, parce qu'il vient aussi de lui. _______________ Mais si j'aime son corps, son sexe, je ne l'aime pas comme un "objet", un "instrument" mais pour l'usage qu'il en fait, la manière dont il se sert de mon corps, de ma bouche, de mes reins, de ma chatte. Alors, non, Maxime, tu ne seras jamais pour moi un "objet" de désir. Mais bien le sujet de mon désir. Puisque c'est toi qui le rend possible. Cela dit, me savoir, moi, "l'objet" du tien ne me gêne en rien. Au contraire :smile:
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Par : le 18/11/21
un soir comme un autre. Je m’ennuie et je suis sur un site de rencontre pour passer le temps, discuter. Soudain je reçois un message qui attire mon attention. — Salut, tu veux t’amuser ? Curieux mais suspicieux je visite son profil. Des photos d’une femme plutôt ronde, pas moche en petites tenues qui n’est visiblement pas là pour une relation sérieuse. Un peu excité je réponds dans le vague pour évaluer le sérieux. — Ça dépend de ce que tu appelles s’amuser ?... — Je suis une Trans seul dans ma chambre d’hôtel je m’ennuie et j’ai envie de sexe. — Tu veux te faire prendre ou … ? demande ai-je — On fera ce que tu veux , c’est direct et ça m’excite. J’ai toujours fantasmé sur la bite mais j’ai de l’appréhension avec un homme. Une Trans c’est un de mes fantasmes ultimes. J’hésite un peu avant de répondre et je me lance finalement. — Je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer un Trans et… j’ai envie d’essayer de nouvelle chose... Sa réponse est on ne peut plus claire. — Haha je vois, on va bien s’amuser je pense... j’arrive au motel. Je bande comme un dingue en cherchant la chambre. Je frappe à la porte et la…. Elle m’ouvre la porte en petite tenue, bas résille noir, corset noir et string noir. Elle me fait entrer. J’ai à peine le temps de dire quoique ce soit elle commence en me caressant à travers mon pantalon. Elle s’arrête soudainement fait un pas en arrière et me dit : . Déshabille toi je veux voir ce qu’il y a la dessous. Son ton autoritaire contraste avec le léger sourire en coin. Je m’exécute sans dire un mot et me retrouve donc nu au milieu de cette chambre, ma bite dressé devant cette Trans. — Bien… Pas mal... Je pensais que ça serait petit mais non. Puis elle s’approche. Elle me branle plutôt fort cette fois et me plaque contre le mur. Je commence à gémir un peu. Elle se colle à moi et je sens sa queue frotter contre ma cuisse. Je commence à la toucher fébrilement puis un peu plus énergiquement. A ce moment elle s’arrête et me regarde dans les yeux. — Met toi à genoux Voyant mon hésitation elle appuie sur mes épaules et me fait descendre, je ne réagis pas et me laisse faire. Je me retrouve alors dos au mur, face à ce string gonflé quand elle ajoute 
 — Maintenant fait ce pourquoi tu es là Je fais descendre son string et découvre une belle bite. Avec hésitation je la saisi et commence à branler cette queue. Elle m’arrête. Je suis surpris puis elle me dit : — Non je ne crois pas que tu aies compris. Pourquoi est tu la ? — Pour avoir du sexe avec vous. Elle adopte un ton beaucoup plus sévère. — Ce n’est pas ce que tu m’as dit. POURQUOI ES-TU-LA ?? — Pour… me faire baiser... pour être soumis… Je comprends que la deuxième phrase est de trop lorsque qu’elle affiche un large sourire sur son visage et répond d’un air moqueur : — Moi qui pensais avoir à faire a un petit curieux en fait c’est une petite salope qui est à mes pieds. Tu veux être soumis ? Alors tu vas commencer par t’occuper de ma queue ma salope. J’acquiesce d’un geste de la tête pour dire oui et en baissant les yeux en signe de soumission. J’ouvre la bouche et d’un geste du bassin elle pousse en avant me forçant à engloutir la queue qui se trouve devant ma bouche, je suce et lèche, puis je la sens grossir, se durcir. Ce membre dur et chaud dans ma bouche me donne envie de pomper de plus en plus vite. Je m’applique à sucer, à lécher et à branler cette bite sous les insultes de ma nouvelle maîtresse qui fait ce qu’elle veut de moi. Les grosses putes, aiment ça sucer ma bite hein ? T’était qu’une petite chienne en manque et maintenant tu nevas plus t’en passer. Cela me stimule et me font bander comme jamais. Je me lâche petit à petit, je pompe goulûment cette queue et je me surprends à dire des choses comme « j’aime votre bite maîtresse » ou encore « baiser moi la bouche je suis une pute ». Autant dire qu’elle ne se fait pas prier et me prend la bouche. Apres avoir été accroupi pendant une dizaine de minutes elle m’ordonne de m’allonger sur le dos, jambes écartées. — Maintenant je vais m’amuser avec mon nouveau jouet me dit-elle. Elle me surprend alors quand elle commence à me sucer. Apres quelques secondes je suis complètement dur et je sens ses doigts à l’entrée de mon cul, elle ajoute alors : — Tu ne pensais quand même pas que je faisais ça juste par plaisir ? Et m’enfonce directement un doigt… puis deux… puis trois… Je n’en peux plus, je me fais doigter le cul et sucer en même temps. Je pousse des gémissements qui en disent long sur mon état et mes envies. Elle me bourre le cul avec ses doigts, je couine de plus en plus et mon cul est complètement ouvert quand elle s’arrête, s’approche de moi et me dit dans l’oreille : — Maintenant je vais te baiser. Je vais te défoncer comme une pute et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai tout de suite su quand je t’ai vue que t’étais une vraie salope qui voulais se faire prendre par une queue. Alors maintenant mes toi à quatre pattes et supplies moi — S’il vous plait maîtresse prenez moi le cul Je sens sa bite toucher ma rondelle, pousser un peu puis elle arrête et ajoute. — Tu ne croyais quand même pas que ça suffisait ? Je suis sûr qu’une traînée comme toi peux faire beaucoup mieux. — Pitié maîtresse, enculez moi. Je suis une vraie petite pédale qui a envie de se faire défoncer par une grosse bite. Défoncez moi le cul je suis votre jouet. Je la sens alors pousser un grand coup en avant. Sa bite rentre complètement et m’arrache un petit cri de surprise. Ça y est, je me fais baiser. Elle commence son va et viens dans mon cul et je la remercie lorsqu’elle m’insulte de tous les noms. — Merci maîtresse de me dépuceler le cul, baisez moi plus fort Sous mon excitation elle fait de qu’elle veut de moi. Elle me démonte le cul de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle s’amuse à me fesser. Je suis devenue ce à quoi j’aspirai depuis longtemps. Je suis devenu une petite pute, une suceuse de bite, une chienne… Elle change de position et me fait m’allonger sur le dos. — J’ai envie de voir ta gueule de chienne honteuse quand je te baise. Elle me démonte ainsi le cul pendant plusieurs minutes en me branlant. Elle s’amuse à me cracher de la salive au visage et me met des claques en m’insultant de catin, de pute et de grosse chienne. Elle me défonce toujours à un rythme soutenu quand elle commence à gémir et m’ordonne de me mettre à genoux. après tu vas jouir dans ta bouche me dit-elle. Elle m’a mis le cul en l’air pour me baiser à nouveau pendant que je me branlais, la bite au-dessus de mon visage. J’ai joui dans ma bouche et sur mon visage.
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Par : le 12/11/21
« ORDONNEZ et J'OBEIRAI… » Ces 4 mots, résument incontestablement ce que ma complice soumise tient pour devise intime et personnelle dans l’expression de sa condition ! Des mots à la portée déclarative percutante, que des femmes et des hommes rêvent de pouvoir prononcer à l’attention d’une compétence choisie et reconnue, car ils cristallisent et symbolisent l’essence même d’une condition à laquelle elles/ils aspirent volontairement, dont les motivations et les fondements sont propres à chacun. Des mots que d’autres en revanche, jugeront obscènes et asservissants…s’imaginent par facilité ou par étroitesse d’esprit, qu’ils ne peuvent être prononcés que sous la contrainte et l’asservissement mental… C’est pourquoi, il me semble judicieux de rappeler ici publiquement, dans une logique de témoignage, que bien avant d’introduire l’idée d’une soumission assumée, dont mon obligée fait de moi l’heureux dépositaire, comme d’autres de ses congénères (masculins et féminins), font la fierté et la satisfaction de leur Dominant, ces 4 mots peuvent laisser entrevoir ou supposer au premier abord, dans l’esprit de non-initiés, les applications d’une obéissance aveugle, déraisonnable, irréfléchie… à la faveur d’une servitude dirigée, qu’ils imaginent nécessairement mal saine, voire, manipulatrice, destructrice, si ce n’est auto destructrice. Ces 4 mots qui me sont consacrés et dédiés pourtant, sont avant tout évocateurs du choix délibéré, réfléchi, conscient et consciencieux, et j’y veille, comme d’autres y sont attentifs, afin qu’ils soient le reflet fidèle ce que ma complice entreprend et accompli avec détermination et courage, au service de sa nature de femme, de son épanouissement, de sa quête de liberté et d’accomplissement identitaire, sous la gouvernance d’un homme qu’elle a choisi et qu’elle reconnait aussi compétent que méritant à les entendre. Au même titre que notre univers souffre aujourd’hui encore de clichés et de préjugés souvent associés aux pratiques les plus extrêmes, à des représentations imagées très connotées donnant le sentiment d’assister à des situations subies, le plus souvent jugées dégradantes, non enviables, annihilantes, aussi surement que parfois, lorsque notre intérêt « pour la chose » et nos activités si rapportant sont connus de tiers, nous serons jugés et qualifiés de personnes déviantes, tordues, dévoyées et perverses, ou que parfois, des esprits vindicatifs et dénonciateurs aux motivations variées, à la critique acerbe, jalouse, invasive et inquisitrice, et pour le coup, aux agissements lâches et vicieux, sont parfois tentés de nous discréditer, de porter atteinte à notre image, à notre réputation, à notre probité, à notre intégrité sociale, à notre liberté, en pointant du doigt et en dénonçant notre intérêt de pratiquant, pour en faire un jugement de valeur visant à nous dénigrer, à nous isoler. Des individus d’une pauvreté abyssale, qui s’appuient sur nos aspirations intimes envers cet univers, qui leur échappent le plus souvent, mais auxquelles ils aspirent parfois secrètement, dans la frustration et le refoulement de leurs sombre nature, pour établir, en s’appuyant sur la base du socialement correct et moral, « la preuve » sensée attester que nous sommes des sociopathes déviants, des irresponsables, des pervers narcissiques obsédés par le sexe ou notre propre personne...et ce, très souvent pour mieux détourner l’attention de leur propre et réelle dépravation et assoir l’idée de leur normalité… Si légitimes et bienveillantes soient nos aspirations et l’expression de notre liberté individuelle et quand bien même, nous évoluons dans la discrétion, dans un infini respect du genre humain, de nous-même et dans celui de la légalité juridique, il est en effet bien commode, pour certains individus qui trouverons nos activités « déplaisantes », ou qui chercheraient à assoir l’illusion de leur propre valeur en écrasant la nôtre, de s’emparer de ce que nous faisons de notre liberté, pour l’exposer à l’opinion publique (à nos proches parfois), afin de nous fustiger et nous discréditer socialement. Si la richesse, la complexité (au sens positif du terme) ainsi que la profondeur de notre « petit monde », n’est pas la dimension la plus facilement reconnaissable de l’extérieur, ce dernier a malgré tout tendance à se démocratiser, contrairement peut être à celui des libertins. Bien qu’il soit en effet de plus en plus visible et acceptable socialement et même étudié, notamment depuis que des intérêts commerciaux s’en sont emparés pour en livrer une version vulgarisée, ludique et édulcorée, attirant de plus en plus de curieux, de pratiquants récréatifs, mais aussi d’adeptes, de ce que l’on appelle désormais des pratiques sexuelles alternatives, nous restons donc exposés à la critique et au jugement d’une certaine hypocrisie sociétale et morale, le plus souvent par ignorance, mais aussi parfois, par jalousie, ou plus radicalement par malveillance. J’en profite pour glisser ici une petite citation de Georges Bernard Shaw qui m’est précieuse : Lorsque l’on fait quelque chose, on a contre soi, ceux qui veulent le faire à notre place, ceux qui font précisément le contraire et l’armée des gens d’autant plus sévères, qu’ils voudraient que l’on ne fasse rien du tout… » Mais dans le sillage de cette petite « révolution des mœurs », s’il n’est pas étonnant de voir se multiplier des intérêts et des vocations, il ne faut pas s’étonner davantage que dans le cortège de ses pratiquants, viennent dans le même temps s’immiscer des opportunistes, des fantasmeurs, des imposteurs, des prédateurs et tout ce que la nature humaine peut engendrer de personnages plus ou moins tourmentés et toxiques, lesquels considèrent notre univers comme un vivier dans lequel il suffit sans effort aucun, de plonger la main pour en ressortir « du prêt à consommer volontaire »… Certains se conduiront en « Charmeurs de Sssserpents »…considérant leur interlocutrice comme une « Salope Sexuellement Servile à Soumettre » ! Mais la morsure fatale….ce sont eux qui cherchent à l’infliger ! D’autres, seront dans l’attitude du « Bonimenteur »…Le produit idéal qu’il vous faut, du rêve, des promesses, une grande gueule sympathique aimable et blagueuse, quelques formules magiques, la petite ristourne spécialement pour vous madame…emballé c’est pesé ! Quand d’autres encore, les 3M…les « Menteurs Manipulateurs Mégalomanes », des individus foncièrement obsédés par eux même et leur soif d’exercer un contrôle annihilant, sont tellement persuadés d’être omnipotents, compétents et légitimes, qu’ils en deviennent très convaincants, car ils savent vous endormir et prendre le visage que vous voulez voir ! Mais ensuite… ! A ce propos, pour celles et ceux qui n’auraient pas lu la première partie de ce petit traité, vous retrouverez quelques ficèles pour vous permettre de les identifier dans l’article « Petit Guide Introductif du Noviciat (Part 2) ». Un article qui n’a pas plu à certains concernés, dont l’obscurantisme et la lâcheté sont à l’image de leur véritable nature (évidemment dissimulée) et qui sur ce Forum par exemple, m’a valu d’être la cible d’une alliance sournoise. Un article qui m’a également valu la réaction épidermique et vengeresse d’une personne dont je ne connais que trop bien les travers, les déviances comme les traumatismes et leurs origines, qui font d’elle, ma lectrice la plus assidue, mais aussi la plus discrète et la plus camouflée au sein de notre paysage communautaire. A vouloir porter un peu de lumière là où d’autres ne survivent que dans l’ombre et la noirceur, je ne peux m’étonner d’être la cible d’une cabale et de détracteurs se donnant pour objectif de me faire avaler ma chique, ma bite, mon couteau et mon stylo…en déployant une véritable campagne de diffamation calomnieuse visant à me discréditer, à m’isoler, démultipliant les faux profils, pour m’épier, diffuser de fausses informations et saloper ma réputation, de Dominant bien entendu, mais aussi d’homme et de père, s’agissant de ma lectrice la plus attentive et fidèle, qui n’est pas la plus passive et inactive quant à ce qu’elle fait de mes publications... Quelle énergie et qu’elle « intelligence » déployée, pour s’assurer de pouvoir continuer à vous/nous exploiter à nous contrôler, à cultiver l’illusion de leur normalité et surtout, pour continuer à vivre et jouir de leurs obsessions perverses au sens négatif et sadique du terme !!! Si je partage avec ces gens-là un intérêt pour l’exploration d’une certaine idée de « la perversité », la comparaison s’arrête ici ! Puisqu’en ce qui me concerne, j’en observe et j’en exploite les mécanismes et les méandres sinueux au service de votre plénitude et de votre accomplissement. Mon BDSM, ma démarche, j’en fais un domaine d’exploration philosophique, sociologique et même artistique, considérant ce qui se rapporte au domaine sexuel comme « un moyen » d’exaltation et non « une finalité ». Tandis que le leur, d’intérêt, il est centré et mobilisé par des intentions manipulatrices obsessionnelles et compulsives. Ils cherchent à se nourrir, à se gargariser, à jubiler et à jouir des conséquences destructrices et toxiques de leur influence, de leur emprise sur votre/notre existence, dont ils cherchent à obtenir le contrôle, non pas dans la perspective de vous révéler à vous-même, mais dans celle impérieuse pour eux/elles, de vous déposséder de vous-même !!! Si cette finalité de vous « déposséder de vous-même » constitue le principal mobil d’une certaine catégorie d’individus marqués du statut de Dominant, (que l’on appellera « des contrôlants » en société), elle est aussi très souvent révélatrice du fait que ces personnages, sont tout simplement dans le déni de leur propres traumatismes d’enfance. Un traumatisme qui repose sur le fait d’avoir justement été dépossédés d’eux-mêmes ! Ils chercheront donc inlassablement à obtenir le contrôle sur une vie, reproduisant ce qu’ils ont vécu… Ce qui en fait de dangereux prédateurs inconscients qui surnagent dans le bain trouble d’une démence qu’ils s’évertuent à rendre invisible, et dans laquelle ils flottent dans l’illusion et le déni de leur propre souffrance, ainsi que dans celles qu’ils infligent… C’est pourquoi ils excellent dans l’art du « paraître », de la « mystification », du « mensonge » et des « faux semblants » et très souvent, dans celui de la « victimisation ». Le mensonge sous toutes ses formes n’est pas pour eux un mal nécessaire ni même une religion, c’est un mode de vie…une constante ! Outre le fait de se donner le droit et la légitimité permanente et totalement décomplexée de vous mentir, ils s’agit surtout pour eux de maintenir l’eau du bain à bonne température, pour rester dans la vapeur illusoire qui dissimule l’insupportable réalité…Autrement dit, il se mentent à eux-même…car il en font une question de survie ! C’est ainsi que leur alcoolisme, leur anorexie, leurs phobies, que leurs déviances et autres troubles du comportement disparaissent dans une mystification quotidienne du réel. Ce sont des fossoyeurs du réel ! Ainsi, bien au-delà de chercher à « nous faire croire », à « nous donner à voir et à penser que », de bien des manières, ce sont des pratiquants de « l’auto suggestion », de « l’auto conviction » etc…ils sont donc d’autant plus capables de vous convaincre, de rendre leurs discours plausibles, qu’ils sont convaincus eux même de la véracité de leurs propos, du bien fondé de leurs initiatives, de leurs intentions et de leurs élans destructueurs. Ce qu’ils veulent, leur but ultime, c’est vous voir à terre…dépossédé de vous-même, incapable de réagir ! Ils n’en font pas un simple plaisir pervers, mais une quête, un besoin, dont ils tirent une véritable jouissance sadique et jubilatoire. Ils utilisent contre vous ce dont ils sont dépourvus…votre empathie, votre générosité, vos émotions, votre amour… De manière générale, ils utilisent les autres, qui ne sont que des pions à déplacer sur l’échiquier et qu’ils gèrent sans considération, sans émotivité, comme on gère des biens de consommation ou de simples objets inanimés. J’ajoute que ce sont des individus extrêmement susceptibles, orgueilleux et paranoïaques… Lorsqu’ils en arrivent à constater votre déchéance, ils vont s’assurer que vous restiez dans cet état d’incapacité et d’emprise léthargique. Ils vont vous piétiner, vous harceler et vous dénigrer, avant de vous ignorer, de vous rejeter et de vous abandonner à votre sort. Et là, le paroxysme de leur perversité les conduira à se tourner vers des tiers pour leur faire constater votre état de merditude et d’inadaptation sociale, motivant ainsi leur décision de s’être détourné de vous, en se victimisant !! Pour ça, rien de plus facile…il leur suffira de pointer le doigt vers vous là encore et de vous attribuer « leurs propres mérites », si j’ose dire de manière sarcastique. C’est ainsi que vous deviendrez soudainement « une personne à problèmes », « un alcoolique dépressif », « un pervers narcissique », « un manipulateur », « une personne déviante, violente et harcelante », « un irresponsable intéressé », « un obsédé sexuel » allant jusqu’à suggérer de manière insidieuse que vous avez abusé de sa personne, de sa confiance, de ses ressources, de son intégrité, de son corps et bien entendu, de sa volonté etc… Autant d’accusations dont ils feront une véritable dénonciation calomnieuse et diffamatoire et qui seront la liste exacte et précise de ce qu’il sont, de ce qu’ils font et de ce qu’ils vous auront infligés ! Parallèlement, et déjà depuis un moment, ils seront à nouveau en chasse…sous votre nez, pour mieux vous affecter ! Ils/elles se projetteront dans un nouveau cycle relationnel pour étancher leur insatiable soif vampirisante. Si vous êtes encore dans leur paysage à ce moment-là et que vous avez encore l’énergie de réagir et de survivre, ils pourront vous pousser jusqu’à espérer votre mort physique et quoi qu’il en soit, ils organiseront votre mort sociale. Et dans ce domaine, leur imagination, leur ingéniosité et leurs capacités de nuisance dépassent l’entendement…elles sont à la hauteur de leur détermination obsessionnelle et maladive. Je pense (peut-être à tort), qu’au sein des pratiquants de notre communauté, le ou la plus masochiste d’entre nous ne rêve pas de se soumettre à ça volontairement… Pour conclure ce volet, un candidat masculin à la soumission m’a dernièrement interpellé suite à sa lecture de mon premier article. Celui-ci m’a questionné comme suit : Dans quelle mesure peut-on transposer cela à des Dominas ? Est-ce que ces archétypes de dominateurs se retrouvent dans la domination au féminin, ou y en a-t-il des spécifiques ? Voici la réponse que je lui ai apportée : Question fort judicieuse et vous faites bien, au motif de dissocier les sexes, de nommer ces archétypes "dominateurs" et non pas Dominants... Je suis fort bien placé à titre personnel, pour vous assurer que la gente féminine comprend son lot d'individus narcissiques, mégalomanes, manipulateurs et toxiques.... A ce titre, il me semble donc que vous puissiez considérer comme étant très probable qu'au sein de notre communauté siègent des femmes occupant le statut de Domina, dont certaines sont animées de caractéristiques très semblables à celles que je décris ici de manière très résumée et quasi caricaturale. Quant à la question portant sur les éventuelles spécificités (ou subtilités) qui les distingueraient, je serais tenté de vous répondre que dans le cadre stricte de l'individu qui se présente comme Dominant et qui serait un pervers narcissique et manipulateur, au sens pathologique du terme, les mécanismes de la perversité et de la manipulation obsessionnelle sont les mêmes au féminin et au masculin... J'ai observé qu'une femme de cette nature n'a rien à envier à un homme s'agissant d'instaurer et d'exercer son emprise mentale et toute forme de cruauté ! Je dirais même qu’elle jouit d’atouts et de pouvoirs supplémentaires qui rendent son attitude plus insoupçonnable, son discours plus audible et par voie de conséquence, qui rendent ses aptitudes au machiavélisme pervers plus « efficaces » et prégnants encore. Parmi ces atouts, il y a cette idée communément admise dans la représentation collective, qu’une femme ne peut être foncièrement mauvaise…(Heuuu….si si si….elle peut !) Fort heureusement, il y a dans notre "petit monde" plus de fantasmeurs, de maladroits(tes) et d'incompétents(tes) autoproclamés(ées) que de malades narcissiques qui s'ignorent, obsédés par eux même et leur besoin de contrôle... Mais sortons de ce focus pour reprendre un peu de hauteur chers lecteurs… Indépendamment de quelques comportements extrêmes qui sont à la recherche de proies candides, placides et de cobayes (ici même comme dans la vie), beaucoup s’imaginent par méconnaissance et préjugés, qu’un rapport de nature D/s implique exclusivement (par logique induite, dogmatique et nécessaire), une relation foncièrement unilatérale, faite d’iniquités, d’obligations et de devoirs pour l’un, de privilèges et d’un pouvoir autocratique, omnipotent et incontestable pour l’autre… Ou encore, cette idée préconçue que « le sexe » et « l’humiliation » sont des vecteurs systématiques et omniprésents dans les pratiques BDSM, impliquant pour celles et ceux qui aspirent à se soumettre, de n’avoir que la possibilité de ramper, de se cambrer, d’ouvrir les cuisses et de dire « OUI Maître », même malgré eux, à toutes sollicitations émanent d’un individu se présentant comme Dominant assermenté !!! Nombre de femmes présentes sur des sites BDSM dédiés et qui affichent un statut de soumise, sont régulièrement amenées à en faire le constat, lorsqu’elles sont interpellées par des attitudes masculines qui se réclament de fait, d’une autorité et d’un pouvoir eu égard au rang et au statut qu’ils arborent, tel un passeport diplomatique ou une belle étoile de Sheriff, qui leur accorderait pouvoir et privilèges, en particulier celui de les soumettre à leur volonté et de les baiser, parfois dans tous les sens du terme. Et ce, en avançant l’argument que si elles ne se plient pas à leurs exigences, c’est qu’elles ne sont pas à leur place, ou qu’elles sont de piètres soumises ! Et oui…Puisque vous semblez rechigner à leur laisser la possibilité de faire de vous des merdes à leur service…ils vous convaincront que vous étés d’ores et déjà de belles fientes inutiles… Mais dans notre domaine, comme en société, un statut et un rang n’ont bien entendu jamais légitimé et justifié la moindre compétence…à plus forte raison si celles et ceux qui s’en réclament sont des individus autoproclamés qui ne s’appuient sur aucune démarche construite et structurée, aucun engagement, et souvent, aucune expérience antérieure justifiée et probante, tout en se prétendant légitimes à soumettre et disposer d’une âme et d’un corps, au motif que leur statut leur en accorde incontestablement le droit et l’autorité ! Or, au même titre que la dimension sexuelle ne constitue pas une constante, « une pratique attendue » dans le cadre de la variété des pratiques BDSM et préfigurant de ce qui caractérise « une bonne et vraie soumise », il en est de même concernant les notions de « relation suivie et durable », « d’appartenance » ou encore « d’exclusivité », qui ne représentent pas le Saint Graal de toute personne cherchant à faire l’expérience de la soumission. Rappelons, ou informons les plus novices d’entre nous qu’en effet, au sein de notre communauté, des Dominants exercent sans pour autant inclure le sexe dans leurs pratiques. Leurs motivations ou raisons peuvent être variées (choix idéologique, moral, éthique, blocages, absence de désir, complexes, impuissance, culpabilité, volonté de dissociation et de cloisonnement avec la vie vanille, etc). Cette logique et leurs motifs me semblent tout aussi valables et légitimes en ce qui concerne les aspirants et aspirantes à la soumission ! Le domaine du sexe nous offre donc de considérer la pluralité des pratiques au sein du cadre BDSM dans toutes leurs nuances, puisque par exemple, une vraie distinction est à faire entre l’absence totale de pratiques à caractère sexuelle et le fait d’encorder, d’entraver, de suspendre un corps partiellement ou totalement dénudé, de fesser un cul nu, de travailler et malmener une pointe de sein, de cravacher, d’entraver, d’épiler, d’exposer, de malmener un appareil génital etc…avec au bout du paradigme en objet, des pratiques impliquant des attentes et une disponibilité de nature sexuelle consenties, laissant place à la stimulation, à l’intromission et à toutes formes d’interactions et de pénétrations à caractère sexuelle. Dans le même ordre d’idée, pour illustrer que l’univers BDSM offre autant de pratiques nuancées, qu’il contient de pratiquants mobilisés par une expérience, une culture et des motivations différenciées, sans doute faut-il mentionner que tout aspirant(e) à la condition de soumis(e), ne cherche pas à se projeter dans une relation d’appartenance et de considérer son partenaire Dominant comme « son Maître à faire et à penser » ! À ce propos, selon mon interprétation personnelle, un Maître n‘est pas tant « celui qui dirige et possède une soumise », qu’une figure référente, reconnue par des tiers, des pairs et des soumis(ses), pour son expertise concrète et appliquée, comme l’art des cordes par exemple, la photographie, ou bien encore celui d’être un guide spirituel, un éducateur à la pédagogie efficiente…mais aussi et presque surtout, pour ses capacités et son expertise à transmettre son savoir et ses connaissances en vue de les perpétuer…et ce, qu’il le fasse en conscience avec cet objectif, ou qu’il soit devenu une sorte d’influenceur inspirant. Que cela implique ou non le concept d’appartenance et celui de propriété, si l’on s’accorde à penser que le principe d’une certaine iniquité fonde « grossièrement » le socle d’une relation dite D/s, dans le sens où cela constitue une sorte de déterminisme conditionnant non pas nécessairement le principe d’une hiérarchie, mais peut-être plus encore, l’articulation efficiente et fonctionnelle d’une interdépendance relationnelle qui vient faciliter l’expression de nos fonctions respectives, il n’en reste pas moins qu’il appartient à chacune et chacun d’en faire son interprétation et d’aménager son cadre d’expression, pour vivre le BDSM qui lui correspond, en lien étroit avec sa personnalité, ses aspirations et ses limites du moment. Pour ma part, j’estime que je ne suis Dominant et légitime à l’être, que dans la mesure où celle qui me confie son appartenance me reconnaît comme tel. C’est donc ma complice et protégée @Txoria swann, qui me confère actuellement, et depuis plusieurs années maintenant, le statut, le rôle, la responsabilité et le privilège, d’être reconnu comme Dominant légitime à jouir de son appartenance et de sa dévotion. Mais sur quelle base précisément ? Sans doute moins sur mes déclarations d’intentions que sur mes actes !!! Swann et ses congénères pourront peut-être apporter leur contribution sur ce point dans le fil d’actualité de ce post !?? Pour aller un peu plus loin, toujours est-il que dans le cadre de ma fonction, j’assume et je revendique même ma propre servitude…, car ma fonction, je considère qu’elle m’oblige, qu’elle m’engage et me contraint. Je me soumets à ses exigences, plus précisément, je me soumets aux exigences que j’estime inhérentes à ma fonction de Dominant. J’en fais donc une interprétation personnelle, en lui donnant une dimension de « mission », dans laquelle je m’impose des obligations de résultats, des objectifs, une méthode, des règles, une éthique et autant de devoirs). Le tout étant régulièrement réinterrogé ! En tant que Dominant résolument cérébral, déployant une démarche à vocation clairement éducative, il m’est impensable, impossible, d’envisager mon rôle comme celui d’un « jouisseur autocratique et consumériste d’une volonté sans droits, décérébrée, ou plus franchement aliénée » ! Quand bien même celle-ci n’aspire qu’à se montrer servile, obéissante et respectueuse de mes attentes comme de mon enseignement. Quand bien même celle-ci soit animée par le désir d’être traitée comme une véritable chienne dépravée ou une vraie petite pute. Rien ne m’est plus inspirant, gratifiant et jouissif, que de me savoir considéré et reconnu par un esprit aspirant au lâcher prise et à l’abandon, qui soit à la fois équilibré, instruit, bien formé, animé de de profondes valeurs, se montrant curieux, éclairé et exigeant par nature. Au-delà de m’obliger à me dépasser, cela donne à sa soumission une saveur bien plus intense qui pose le défi permanent d’être cohérent, structurant et pertinent, ce qui augure une relation au combien plus enrichissante et satisfaisante. Personnellement, j’ai besoin de me dépasser et de m’estimer exemplaire et méritant à jouir d’une servitude ! J’ai besoin de donner du sens à ma mission et d’être reconnu compétent, en premier lieu par celle que je tiens en laisse ! Depuis mes premiers pas de Dominant, je suis porté par cette idéologie qui consiste à viser l’excellence et qui implique de me l’imposer (sans jamais omettre de me savoir limité, perfectible et faillible) et ce, avant l’attendre et de l’exiger de ma complice. Cela n’est d’ailleurs pas sans conséquences, car si je me sens relativement cohérent, en accord avec moi-même, j’ai pour autant bien du mal à m’auto évaluer compétent, ou à prendre pleinement conscience de ce que ma démarche et mon attitude peuvent inspirer en termes d’exigence. Pourtant, il me suffit d’observer ma protégée, pour constater combien elle doute et redoute, parfois avec angoisse et tiraillement, de « ne pas se sentir à la hauteur de mes attentes ». Pourtant il n’en n’est rien bien au contraire, car au-delà du tâtonnement, des erreurs, des rares manquements et des échecs, au-delà même des contraintes qui limitent sa disponibilité et qui l’obligent à de véritables contorsions organisationnelles et psychologiques pour s’extraire de sa vie vanille et professionnelle, afin de se tenir à ma disposition, je regarde et considère avant tout les efforts, la pugnacité, la détermination, les batailles successives qu’elle livre avec elle-même, tout ce qu’elle entreprend, manifestes et déploie afin de m’offrir absolument tout d’elle-même, pour s’en remettre humblement à moi dans la perspective d’évoluer, de progresser, de performer, de jouir de sa condition de soumise et de femme, tout en cherchant à faire de ma satisfaction, de ma fierté et de mon plaisir, une priorité quasi existentielle. C’est juste aussi impressionnant que colossal ! J’en profite pour saluer le courage et les efforts de toutes celles et ceux qui se reconnaîtront dans cette quête et dans leur quotidien ! Aussi, qu’il s’agisse d’Éros, de Vénus, d’Aphrodite ou de toutes autres références divines, réputées compétentes à faire rayonner une certaine idée de l’érotisme, d’une beauté pure, tantôt exaltée et débridée, de l’Amour et de la dévotion inconditionnelle aussi, je suis persuadé que le comportement de ma dévouée swann n’inspire pas que de l’admiration, de l’envie, certaines convoitises et autres érections terrestres…que si celle-ci parvient à faire aussi bien bander les hommes qu’à faire parfois couler les femmes ici-bas, je suis certain qu’elle attire aussi sur elle le regard contemplatif et bienveillant de certains anges, qu’ils soient de confession masculine ou féminine… Je parle ici de quelques rares élu(e)s célestes, qui ont atteint une hauteur de vue suffisante, tels les gardiens du Temple, pour insuffler et inspirer des vocations, apprécier et reconnaitre tous les efforts entrepris et concédés par celles et ceux qui à travers le sens et la force qu’ils donnent à leur engagement de Dominant et de soumis(se), font d’une apparente dépravation, une invitation à l’élévation de soi, une véritable ascension spirituelle… Cette idéologie de l’excellence, je n’en suis pas le seul aspirant au sein de notre communauté, puisque poursuivie, cultivée et brillamment mise en application sur ce seul forum, par certains confrères tels que @TK-o-, @Miangel ou encore @Parloire, pour ne citer qu’eux. Chacun officiant avec son interprétation, son domaine d’expertise, ses particularismes et sa singularité. Cette quête d’excellence n’étant pas la seule préoccupation de quelques-uns de mes pairs, masculins comme féminins, avec lesquels je partage certaines valeurs et concepts, je souhaite saluer celles et ceux, avec ou sans collier, qui à travers leur vœu de soumission, ont le désir de s’inscrire avec dévouement dans la recherche d’une telle ambition et qui contribuent à donner ses lettres de noblesse à notre « petit monde », quand d’autres n’en seront que les consommateurs. Très loin de considérer ma démarche comme supérieure ou plus valable qu’une autre, je ne néglige ni ne dénigre par ailleurs, en aucune façon, toute autre forme de gouvernance et de soumission, de la plus soft à la plus rugueuse, qui s’en éloignerait, si ce n’est, celles qui mobilisent ces esprits sournois et manipulateurs, qui à défaut d’avoir l’honnêteté et parfois la conscience d’eux même, mettent intentionnellement à l’œuvre des forces malveillantes à vocation destructrice… De cette reconnaissance à être légitime par la démonstration et l’exemplarité, par l’observation du plaisir, du bien-être, de la détermination et des efforts de celle qui se met à mon service, c’est la fermeté et la vigueur de mes érections spirituelles, émotionnelles et même physiques qui en dépendent ! Je jouis avant tout du cerveau…Comme la majorité des femmes !!! Ainsi que celle de mon égo…car il existe, bien que je tente de le faire taire le plus souvent possible, pour limiter son influence sur ma perception, mes analyses, mes initiatives et sur ce qui en découle dans le cadre de ma fonction de Dominant à savoir…mon attitude, mes orientations, mes choix et mes directives !!! De fait, je me considère comme « un instrument au service d’une volonté d’abandon ». Un moyen humain se proposant de poser les conditions de l’accomplissement d’une volonté féminine consciente, dans l’expression de sa soumission, en incluant (pour ce qui concerne ma démarche), le parti pris de cultiver son libre arbitre, son esprit critique, veillant à la rendre attentive, capable de discernement, lucide et expressive, en lui transmettant les clefs de compréhension des enjeux et des mécanismes qui se jouent en elle, comme dans notre relation, laquelle par conséquent, ne s’inscrit pas dans un rapport unilatérale, mais au contraire, dans une véritable interdépendance relationnelle. C’est ce que j’appelle dans ma démarche « Vous rendre actrice de votre soumission » ! Progressivement, en m’appuyant sur la notion fondamentale de « Lâcher prise », il s’agit pour moi d’accompagner une femme aspirant à s’éveiller, à se trouver, à se réaliser, de la guider sur la voie de son épanouissement, de lui faire sonder son animalité pour lui permettre de se rapprocher de son humanité… À terme, au-delà de m’engager à vous faire éprouver un sentiment d’accomplissement, de quiétude et de liberté, l’enjeu repose sur un gain de conscience et d’estime de vous-même. Autrement dit, je m’autorise à croire que je conduis une démarche qui dans sa finalité, comme dans sa méthode de mise en œuvre, se trouve être précisément l’exact inverse de toute posture gouvernante portée par des velléités de prédation et d’asservissement mental. Mais une fois encore, je ne me sens ni omnipotent, ni infaillible et il m’arrive régulièrement de me demander si, au motif de poursuivre ce qui me semble être un louable dessein, je ne commets pas malgré moi, des impairs et des cicatrices. Peut-être que ma swann pourra venir ici pour en témoigner librement et à cœur ouvert ?! Je n’expose pas tant ici mes convictions personnelles, que ma manière d’entrevoir mon rôle et de déployer ma gouvernance, en lien étroit avec mon identité, mes singularités et mes aspirations. Par ailleurs, il n’est jamais vain de se rappeler qu’il n’y a pas qu’une façon d’exprimer sa condition, que chacun est légitime (mais aussi responsable) à explorer et poursuivre sa voie et qu’à ce titre, si l’on ôte de l’équation « la comparaison », « les jugement de valeur », « les idées préconçues et les préjugés », mais également « les imposteurs, les faux profils, les fantasmeurs, les opportunistes, les affabulateurs, les dominants et soumis(ses) auto proclamés », ainsi que « les manipulateurs toxiques, obsessionnels et narcissiques… », il n’y a pas de soumises ou de Dominants plus ou moins valables que d’autres…il n’y a qu’un phénomène de microcosme social (ou communautaire), dans lequel se pose à chacun de nous « la problématique de la bonne adéquation relationnelle », en particulier si l’on est dans la recherche d’une relation D/s suivie et durable incluant le concept de développement personnel et de transmission éducative sous collier (c’est-à-dire sous appartenance), ce qui ne correspond pas aux aspirations de tous et de chacun, faut-il le rappeler et en informer les plus novices d’entre nous. « Ordonnez et j’obéirai… » Ma très attentive et méritante complice en conviendra certainement, il en est d’autres, des mots, plus explicites et prégnants encore qui l'accompagnent et bordent son cheminement, que je lui demande parfois de prononcer devant moi, ou qu’elle me fait la joie de déclamer à mon intention exclusive, sur sa propre initiative, dans une posture toujours appropriée ! N’est-ce pas ma jolie brune ?! Ces mots qu’elle connait par cœur, ils expriment sa condition, sa volonté de soumission, le socle de son appartenance. Ils orientent, justifient et guident le sens de ses actions quotidiennes sous ma gouvernance... Des mots que j’ai certes rédigés moi-même jadis, mais non sans avoir pris soin de m’assurer qu’ils lui parlent et résonnent en elle, prenant parti de lui en faire valider le sens et la portée, avant de l’en imprégner, jusqu'à ce qu'ils transpirent et coulent d'évidence pour elle...aussi surement et naturellement que ses épanchements incontrôlés de cyprine traduisent son excitation de mouilleuse docile, servile et dépravée ! Des mots désormais intégrés, gravés dans son esprit, presque tatoués dans sa chair, qui s’inscrivent, palpitent et vivent en elle tel « un repère philosophique, une guidance spirituelle ». Des mots et rien que des mots, savamment semés, patiemment cultivés, renvoyant aux racines de son appartenance ! Des mots qui lui ont été transmis, qui l’encadrent, l’engagent, l’obligent et l’enlacent fermement, mais qu’elle chérit et vénères religieusement, qu’elle honore et glorifie dans une forme de devoir passionnel qui vient paradoxalement supplanter toute notion de contrainte et d’obligation foncièrement aliénante. Ces mots choisis, indépendamment de ma propre volonté à en solliciter parfois l’écho profond et retentissant, je lui ai offerts plus qu’imposé, afin que qu’elle puisse alternativement, en fonction des circonstances de son existence, de ses besoins, de ses élans émotionnels et de ses propres désirs, « exprimer et rappeler toute la détermination de son vœu pieux d’obédience », « Donner vie à sa condition, Honorer son statut et celui de son Guide et Maître », « Répandre à ses pieds son infini respect, sa confiance et sa reconnaissance, m’Exposer le résultat de son éducation », mais aussi pour « l’Aider à basculer endosser sa fonction », à « Signifier sa disponibilité », « Invoquer l’exercice de l’emprise…Introduire la pose de son collier, Appeler sa condition et Convoquer la mienne », et surtout, pour que dans les moments de doute, dans la difficulté, elle puisse « s’y référer, s’y réfugier », « y puiser sa substance nourricière, se ressourcer et le cas échéant, y trouver des appuis pour se recentrer »… Bien au-delà d’être ta devise ma jolie brune…ces mots constituent dorénavant un emblème, notre emblème, ton Serment de soumise confirmée ! Je te demande ma belle, au titre d’un témoignage à verser au domaine public, de venir ici même, déclamer ce Serment, tel un exercice d’exhibition illustrant ta condition et de considérer cette demande comme une directive.
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Par : le 06/11/21
LA FÉRULE qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les punitions sexuelles, La férule du latin ferula, « férule, baguette pour corriger les enfants, pour frapper les esclaves », est une plante méditerranéenne dont les tiges, qui durcissent en séchant, servaient à fabriquer des attelles pour soigner les fractures ou des baguettes servant aux professeurs de la Rome antique à punir des élèves indociles. À partir du XIVe siècle, le terme désigne la règle bois ou de cuir qui servait aux maîtres à frapper leurs élèves sur les doigts. C’est par métaphore un objet qui sert à punir, à faire mal, comme on le lit dans cet exemple : Un Chat contemporain d’un fort jeune Moineau Fut logé près de lui dès l’âge du berceau. La Cage et le Panier avaient mêmes Pénates. Le Chat était souvent agacé par l’Oiseau. L’un s’escrimait du bec, l’autre jouait des pattes. Ce dernier toutefois épargnait son ami. Ne le corrigeant qu’à demi. Il se fût fait un grand scrupule D’armer de pointes sa férule. (La Fontaine, Le Chat et les deux moineaux.) < La férule désigne ici la patte du chat la férule désigne aussi parfois par extension « l’autorité » >. < La férule est aussi le bâton liturgique du pape : Bâton pastoral liturgique surmonté ou non d’une croix sans crucifix. Il est exclusivement réservé au Pape >. Sous la férule de : définition & origine « Être sous la férule de » signifie : être sous une autorité rigoureuse (de quelqu’un ou quelque chose), être sous une direction sévère. Contrairement à « être sous la houlette de » ou « être sous l’égide de », cette expression est en général négative (mais cela dépend de la perception de l’expression qu’à l’usager). Qui tient la Férule Moi, Monsieur, Maitre-Homme accompli, âme libre et plume voyageur, Artiste, Architecte de fantasmagories, Tisseur de rêves, chuchoteur et écouteur de ce qui bruit là ici-bas.
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Par : le 03/11/21
Révision du monde, sous le signe du "patriarcat". En lieu et place de proposer des études et des connaissances qui se fondent sur les cadres scientifiques, de plus en plus de publications sociologiques, ethnologiques et cramouille sur le paternalisme, en phénoménologie. Ainsi, pour déconstruire le concept du "mâle alpha" créer de toute pièce par un incertain Schenkel tout juste après la Seconde Guerre mondiale. A-t-on la nécessité, en ce début de troisième décade du XXIe siècle, de forger des arguments à la sauce woke afin de ne pas sombrer dans un propos qui ne serait pas compatible avec la déconstruction et le féminisme politique extrêmes. Autant en résumé la connaissance contemporaine : —— Le mâle alpha n'existe pas chez le loup. Pas plus qu'il n'existe dans la nature animale mammifère, la moindre démonstration d'une prévalence d'un mâle sur la communauté. Voilà-voilà. Un monde devrait s'écrouler, non pas pour les kéké-alpha, ceux-là ont depuis toujours brillé par la niaiserie de leurs besoins de faire plus que le voisin, sans se soucier de la viande à l'étalage, de la grasse qui accepte volontiers d'exposer ses bourrelets à la cadavérique qui n'a plus de peau sur les os, quiconque à jeter un oeil distrait sur l'iconographie BDSM, à largement de quoi prendre du cliché le plus anorexique aux bottérines silhouettes, que le corps soit mâle ou femelle, cela ne se genre pas ces choses-là, Môssieur ! Qu'ont-ils donc besoin de justifier par des biais méandreux, des sophistications malsaines, dans le but d'acculer le quidam qui n'est en rien responsable de la situation induite par ces sophismes? En quoi, la terreur, les harcèlements des intersectionnels se légitimeraient du fait qu'un ethnologue à la petite semaine ait un jour cru voir (dans un zoo) un loup qui castagnait les autres et en fit une déduction hasardeuse et oisive. Qu'est-ce qui pourrait justifier les violences scripturales en bande organisée, lorsque les amateurs de rôles de pouvoir, questionnent les degrés de responsabilité? Par quelle tricherie, les sectaires de la wokosphère, peuvent-ils détruire les échanges que certaines spécialistes de la philosophie ou de la sociologie des sexualités alternatives et plus particulièrement le BDSM, considèrent comme un des environnements particulièrement conscients des principes de consentements de l'équité des rapports de pouvoir dans le couple, dans les rapports de genre ? Force est de constater que nous vivons, dans le péribole BDSM, un encerclement par une armée de colons qui s'en prennent aux groupes les plus progressistes de la relation humaine dans ses aspects sensuels, sexuels, sentimentaux, un environnement qui est probablement des plus sensibles aux abus, aux excès, aux dépassements des responsabilités communément engagées. Comment les acteurs du BDSM peuvent-ils tolérer ces assauts quotidiens, cette pollution des débats, ces attaques jusque dans les plus infimes espaces des relations de pouvoir. Comment, celles et ceux qui s'inclinent, se soumettent, aspirent à être sous le joug d'une amante, car il est notoire que la demande de lien asymétrique est d'abord et avant tout recherché par des individus du genre mâles, loin des salamalecs patriarcaux des porteuses de lances ultra-féministes. En niant ici, dans le cénacle BDSM, le fait que les personnes qui s'intéressent aux relations de pouvoir, qui s'éveillent aux sensualités atypiques, aux sexualités alternatives, sont soucieuses du bien être psychique, physique de leurs partenaires. Que les notions de genre sur ici, des plus fluides et des mieux partagées, de la soumise phallique à la prêtresse enculeuse, du Totor réac et sectaire à Monsieur Switch for ever, qu'icelle se réveille en icelui, que celui qui dort au pied du lit se réveille perclus de saines douleurs qui font son bonheur d'être sous le joug d'une amante intraitable. Toutes ces variations amoureuses, sensuelles, sexuelles, démontrent que les attaques dans le domaine du BDSM sont le fruit de personnes ayant ostensiblement le désir de créer de la difficulté, de perturber les débats, de parasiter les progrès et les consciences prudentielles, en détournant du fond, par des artifices, des sophismes pervers, les êtres en désir de sensualité, de plaisir, de jouissances, sont harcelés, poursuivis par quelques intrus véhéments dont la santé mentale est à questionner. Pour s'en convaincre, il nous suffit de regarder quelques mois, quelques années en arrière, pour nous rendre compte que les vindicatifs, les intégristes déterminés qui ont promu ces idées, qui ont violenté par le verbe de nombreuses personnes nouvellement venues, sans connaissance ou conscience de la présence de ces régiments de forcenés du devoir de culpabilisation de tout homme blanc hétérosexuel. Il est interdit de nommer ici, fait est. Il n'en est pas moins vrai que nous pouvons regarder vers l'Est et ses quelques crânes rasés au genre diffus et à la personnalité définitivement troublé. Nous pouvons sans aucun doute mettre en évidence les propos délétères de personnes transitionné, qui par leurs maux, n'ont de cesse de diffuser une haine des personnes à la vie sociale ordinaire. Il est frappant que des "alliés" des intersectionnels, nous prouvent quotidiennement, qu'à 45, 50, 60 ans et plus, les "grandes révélations" du non-binaire et de la fluidité de genre ou des affres du patriarcat justifie leurs agressions perpétuelles à l'endroit de quiconque s'exprime dans les normes sociales en vigueur aujourd'hui. Aucune volonté de ces bandes organisées pour instruire toute présence nouvelle, d'y apporter peu à peu une bienveillante instruction, les "éveillés" (comme ils se définissent) agissent comme une secte ou celles et ceux qui ne sont pas dans leurs extrémismes, dans leurs volontés de dresser les femmes contre les hommes, les indéterminés contre le mâle-cis, dans l'unique but de pourrir, de brûler les terres d'un espace que sociologues et philosophes considèrent, à la lumière de leurs études, comme un univers avant-gardiste, précurseur, sensible aux notions de pouvoir et à ce qui en découle tant sur les champs intimes que dans les domaines sociaux. Les sexualités alternatives ont le bénéfice d'éduquer à la prudence. Les sensualités atypiques permettent de stimuler les consciences à la responsabilité de soi, conséquences de ses choix, de ses actes pour soi comme sur autrui. Les amours différentes offrent à celles et ceux qui s'en approchent, le pouvoir de cheminer dans des pratiques qui s'accompagnent de réflexions dont la qualité dépasse le cadre du pret-à-penser, il n'y a que de très rares comportements marginaux, qui sont rapidement mis en lumière, pour démontrer combien ces d'explorations de soi sont propices à la recherche d'un épanouissement intime et non une zone borgne, de non-doit, de prédation hors norme. Je sais, simplement, que mes pairs dans cet environnement sont largement instruits sur les devoirs de prudences, sur les examens de responsabilités, sur les consciences de la qualité de la communication, qu'ils sont attachés à la qualité de leurs paroles, à la sincérité de leurs émotions, à la vigueur de leurs désirs. Tout ce dont les miliciennes et la soldatesque woke abhorrent. Par delà de ces êtres acariâtres et malséants, il est un fait : l'amour, le désir, les jouissances seront plus grands, indéniablement riches d'universalités. ➖ /V\✗✗ ————————————— • Science : Les meutes de loups n'ont pas réellement de mâles alpha et de femelles alpha, l'idée est basée sur un malentendu.https://phys.org/news/2021-04-wolf-dont-alpha-males-females.html • Clichés : « Mâles alpha », « violence naturelle », « exclus du sexe » : ces mythes d’extrême droite qui grignotent le discours sur la sexualité. https://www.nouvelobs.com/idees/20210504.OBS43637/males-alpha-violence-naturelle-exclus-du-sexe-ces-mythes-d-extreme-droite-qui-grignotent-le-discours-sur-la-sexualite.html
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Par : le 03/11/21
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ? Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance. 1 - Chacun ses besoins ! Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure. Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid. Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française. - Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!) - Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel. - L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir. Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus. Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même. 2 - Les inconvénients de la distance Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité. La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os. Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ? Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense. Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison). Et pourtant malgré tous ces inconvénients, on peut initier une relation à distance avant de la concrétiser par une rencontre. Ou maintenir une relation en cas d'éloignement temporaire pour raison professionnelle, par exemple. Ou même s'en contenter car elle apporte juste ce qu'il faut à notre vie. 3 - Faire de la distance un atout J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ? a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime ! Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer. Attention, il faut savoir ce que votre partenaire désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message avec une soumise qui aime être insultée et humiliée : - "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître" - "Va chier connard, chuis pas ta pute !" Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse. b - La valeur variable de l'engagement La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle épanouie ! Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer. La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ? c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous ! Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi. La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 ! Pour que ça marche, il faut pouvoir apporter à l'autre ce que personne d'autre ne lui apporte. Et pour cela il n'y a pas de secret, il faut connaître l'autre comme sa poche, mieux que cette personne ne se connaît elle-même. La communication est le seul moyen d'apprendre à se connaître, de s'apprivoiser et de gagner sa confiance. Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui.
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