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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
On va dans le parking et ces garces ouvrent le coffre d'une voiture. Les hommes me mettent dedans, tandis que Sarah me dit :
— Sois sage.
La voiture démarre. Je suis attachée et bâillonnée dans le noir. Je panique, mais bien ! Une pensée un tout petit peu rassurante tourne en boucle dans ma tête : demain, je dois jouer Cléopâtre. Impossible qu'elles me vendent pour de vrai ! On est dans la voiture de Sarah et elle roule vite, je suis secouée dans ce coffre.
On roule un bon moment, tandis que je récite mon mantra : elles ne vont pas me vendre – je tourne un film. Enfin, on s'arrête et les deux femmes me sortent du coffre. Je reconnais le parking du "Slave Paradise". C'est une sale blague, c'est tout. On coupe les cordes qui lient mes chevilles et Summer me dit :
— Marche derrière nous.
Elles se dirigent vers l'ascenseur. Je ne bouge pas. Elle ajoute :
— Faut qu'on trouve un fouet.
Je vais vite me mettre derrière elles. On prend l'ascenseur. À l'accueil, quelques gardes nous attendent en souriant. Comment on dit encore ? Un coup monté, voilà, c'est ça. Et ils jouent tous, les rats. Un homme dit :
— Bravo les filles, vous l'avez rattrapée.
N'importe quoi ! Je suis un cocktail : 50 % de trouille, 50 % de rage ! Elles me le paieront ! Avec les mains attachées dans le dos, si je tombe, je me casse le nez. On va dans le hangar où des dizaines de filles sont enfermées dans des cages. Maintenant, c'est 75 % de trouille. Summer me dit :
— J'espère que tu te souviens des positions que doit prendre une esclave.
Un garde défait les liens de mes poignets et arrache le morceau de tape que j'ai sur la bouche. Un autre avec qui on a mangé à Venice arrive, armé d'un fouet. Ils sont une dizaine devant moi. Le garde fait claquer son fouet en disant :
— Position 1, esclave.
J'écarte les jambes et je me cambre les mains dans la nuque.
Le fouet claque.
— Position 2.
Je ne sais plus ce que c'est, mais je me mets à genoux, puis je pose mon front sur mes mains. Le fouet claque et le garde dit :
— Debout et saute.
Je me relève et sautille.
— Plus haut, esclave !
Je saute bien cinq minutes, tandis qu'ils rigolent en regardant mes seins et mes fesses danser. Claquement de fouet et cri du garde :
— Stop !
Je suis en nage. Cette garce de Sarah va encore dire que je sens la sueur. Summer dit :
— Mesdames et Messieurs, ce soir, on vend une esclave un peu défraîchie, mais à un tout petit prix. Qui la veut ?
Un garde dit :
— 50 cents !
Ça monte jusqu'à 5 $. Summer dit :
— Adjugée à Mademoiselle Sarah. Esclave, va aux pieds de ta maîtresse.
Le fouet claque et je cours me mettre à genoux. Le garde crie :
— Mieux que ça.
Je me baisse et j'embrasse les chevilles de Sarah. M'en fous de faire ça, moi !
Elle me dit :
— Tu as quelque chose à me dire, esclave.
— Oui maîtresse, votre esclave attend vos ordres.
Elle me tend la main, je l'embrasse. Les gardes rigolent et applaudissent. Sarah leur dit :
— J'ai pas envie de la prendre ce soir. Vous pourriez me la garder jusque demain, les gars ?
Un garde répond :
— Oui, bien sûr. Les cages sont pleines, mais les filles n'auront qu’à se serrer.
C'est un jeu de rôle !
Un garde me prend par une oreille. Je crie et je le suis jusqu'à une cage, courbée en deux. Il sort une grosse clé, ouvre la porte et me pousse contre les autres filles. Il y a déjà 10 filles dans cette cage et elles ont vraiment besoin de déodorant. J'entends Summer dire :
— Pour vous remercier, Sarah et moi, on vous invite à un barbecue sur la plage. Homards grillés, T-bone steak, gâteau au chocolat, bière et tequila.
Les gars sont ravis. Je me suis assise contre les barreaux, les jambes repliées contre la poitrine. C'est un jeu de rôle !!
Le Texan, qui m'a... emmenée dans les toilettes du restaurant dit :
— Il faudrait des esclaves pour nous servir.
— C'est vrai.
Le garde qui a la clé ouvre la porte et désigne des filles en disant :
— Vous deux, dehors.
Sarah crie :
— Prend aussi Ashley.
Il me dit :
— Va vite aux pieds de ta Maîtresse !
Je bondis hors de la cage... et je vais me mettre à nouveau genoux devant Sarah qui me regarde en souriant. C'est un jeu de rôle !
Je suis nue comme les deux autres filles, mais moi, je ne suis pas marquée et demain, je serai la vedette du film. Un garde nous montre ce qu'on doit prendre : des frigos portables, des boîtes de gâteaux, des bouteilles. À trois, on porte les provisions et on va vers la plage. C'est lourd... J'aime pas faire l'esclave, mais alors, pas du tout ! Même si c'est un jeu. Quand est-ce qu'une des filles va dire "Pouce, le jeu de rôles est fini, tu redeviens la future star d'Hollywood" ? Dans peu de temps, j'en suis sûre... En attendant, je suis nue et je fais le service. Les gardes allument le feu en dessous de la grille. Les deux filles cuisent la viande et les homards, pendant que moi, je sers à boire, bière, tequila... J'allume des cigarettes... Ils ont tous quelque chose à demander et pas gentiment, genre "Et ma bière ? Tu dors ?"
C'est un jeu... À un moment, je prends mon courage à deux mains et je vais me mettre à genoux devant "ma maîtresse". Elle est à côté de Summer et elles parlent. J'attends qu'elle me regarde et je lui dis :
— J'ai compris la leçon. Je vous obéirai. S'il vous plaît, je voudrais arrêter le jeu.
Elle se tourne vers Summer en disant :
— T'en penses ?
— On dirait qu'elle a compris. On peut arrêter.
Ouf !! Je leur dis :
— Merci. Vous voulez bien enlever le collier, s'il vous plaît.
Summer le fait. Il n'était pas fermé à clé. Elle me dit :
— Pas plus de deux bières pour toi, sinon tu passes la nuit en cage.
— Oui Summer.
J'appelle une esclave et je lui dis :
— Apporte-moi une bière.
Trois minutes plus tard, elle me la tend en s'inclinant. Je la bois en 3 fois... J'avais trop soif... Ensuite, je m'assieds dans le sable. Faut que je récupère... En fait, je n'ai pas envie de m'amuser... Je ne suis pas obligée, je ne suis pas une esclave. Je trouve que les gardes ont trop bien joué le jeu. Il y en a un qui aurait pu me faire un clin d'œil, genre "c'est un jeu". Non, tous des sales rats. Sauf, peut être le beau Texan qui est arrivé à la fin du "jeu". Il vient s'asseoir à côté de moi et me tend une assiette avec un grand morceau de tarte aux noix de pecan. J'adore ça, mais je réponds :
— Non merci.
Il murmure :
— C'est une sale blague qu'elles t'ont faite, mais change d'humeur, sinon Summer va te faire passer la nuit dans une cage.
Il met son bras autour de mes épaules et là, je craque, je mets mon visage dans son cou et je pleure mais en faisant le moins de bruit possible. La nuit est tombée et personne ne va remarquer que je pleure. Enfin, presque personne, parce que Summer, qui est occupée de se faire baiser par un garde, dit bien fort :
— Y a un bébé ? J'entends pleurer.
Pas besoin de chercher quelque chose à répondre, parce que, malgré mes larmes, Tex m'embrasse sur la bouche... Oui, ça dégénère, dans le bon sens du terme. Une des deux esclaves suce un garde. Tex appelle l'autre :
— Mulot, viens lécher la demoiselle.
Hé oui, ils donnent des noms amusants aux esclaves. Mulot bondit, se met entre mes jambes et colle sa bouche à ma chatte. Tex me dit :
— Tu veux que je la fouette pour la stimuler ?
— Euh, non... ça va...
Impossible de dire que mulot ne fait pas ça bien ! J'ai l'impression que ma chatte est dans une machine à laver, qui la fait tourner, l'essore, la malaxe... C'est trop bien, je vais battre le record du monde de l'orgasme le plus rapide. Sale mulot, je vais le faire fouetter pour lui apprendre à lécher trop bien... Aïe, ça, c'est la goutte de sécrétion qui fait déborder le vase ! Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la nuit... C'est une image... Sarah dit :
— Vous entendez ? On dirait que le bébé ne pleure plus, il a l'air très content.
M'en fous de ce qu'elle dit. Je me sens un peu apaisée, enfin....Tex me prend contre lui... Je lui dis :
— Tu es le seul gentil.
— Ce jeu, c'est pour que tu acceptes l'autorité de Sarah.
Je réponds tout bas :
— Ce sont des sales garces.
— Ce sont des dures, Sarah a fait son service militaire dans les forces spéciales en Israël et Summer a été 5 ans dans les Marines...
— Tu connais bien Sarah ?
— On se connaît tous.
Il m'embrasse. Je lui dirais bien, "Mais Monsieur, je ne connais même pas votre vrai prénom. Qu'est-ce que vous me faites ?" Mais bon, quand on s'est fait tirer dans les chiottes par un Monsieur, difficile après de jouer, les oies blanches effarouchées... J'appelle Mulot pour qu'elle me serve d'oreiller.
Tex se couche sur moi et aussitôt, je lève les jambes et mes chevilles se croisent sur ses reins. Son gland humide vient flairer ma chatte qui devient encore plus humide. Oh putain ! Je suis plus chaude que les braises qui ont servi à faire griller les homards.
Ensuite, je chante... enfin, les paroles ne sont pas très originales, c'est "oh oui... oh c'est bon... oui... défonce-moi, oooohhhh..."
Summer dit :
— Y a le bébé qui reprend son pied.
Mais, qu'elle change de disque ! M'en fous d'elle. Je regrimpe aux rideaux... en enfonçant le plus profondément Tex en moi... Il arrose mes petits organes intimes ravis de cette douche tiède... Quand je le relâche, après quelques minutes, il se me à côté de moi et crie :
— Mulot !
— Oui Maître.
— Nettoie la demoiselle...
Elle colle à nouveau la bouche à ma chatte et aspire le cocktail de mes sécrétions et du sperme de Tex.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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Elle a honte.
Elle a honte d’avoir choisi cet homme pour sa bite.
Elle a honte d’avoir choisi cet homme parce qu’il a une grosse bite.
Mais tel est son désir. Son fantasme. Son désir.
Elle en veut. Elle veut une grosse queue. Elle veut se sentir pleine. Déchirée. Investie. Forcée. Obligée de subir cette grosse queue énorme. En avoir le souffle coupé. Et en jouir. En jouir !
Maintenant c’est une réalité.
Et elle a honte et elle a peur.
Comment va-t-elle faire pour engloutir ce monstre dressé là devant elle, pour elle ?
Elle qui pourtant en a subi des bites, des moyennes, des petites, des longues. Et par tous les trous.
Mais là…. Cette bite est vraiment énorme…
Et elle reste là, accroupie, fascinée… par cette énorme bite qu’elle va prendre. Et par tous les trous. Elle le veut. Elle l’a voulu. Elle le veut…
– Ne fais pas timide, lui dit l’homme.
Son humour la rassure… un peu.
Elle, timide ?
Pas si timide que ça. Même si elle est fondamentalement, viscéralement soumise, c’est bien elle qui l’a contacté. Parce qu'au fond de son ventre elle veut se sentir pleine, remplie. Elle veut suffoquer quand il va la prendre. Elle veut sentir qu’il la force.
Et maintenant là voilà nue, accroupie devant cette queue dressée. Enorme. Si énorme que les couilles dures et pleines paraissent ridiculement petites.
Elle ne voit plus que cette queue.
Elle la contemple. Elle la dévore des yeux. Elle prend son temps avant de s’en approcher. De la toucher.
Intimidée ? Oui.
Mais quand l’homme pose sa main sur sa tête, cela la rassure. Il la touche. Cela crée le lien. Alors elle aussi pose sa main sur sa queue. Sa main qui ne peut pas faire le tour du membre, alors elle la serre dans ses deux mains. Voilà. Elle la tient.
Elle la tient et elle la serre. Elle s’y accroche. Elle la fait sienne.
La bite de l’homme devient la bite de son désir.
Elle est dure et pleine comme son désir. Elle est énorme et monstrueuse comme son désir. Elle pourrait la battre, la gifler, la griffer, la mordre. Elle la veut.
Cette bite est à elle. Elle bande pour elle.
Et elle la malaxe. Elle ne la branle pas. Ne la caresse pas. Mais elle s’en empare. La presse, la serre, la malaxe.
Et c’est avec rage qu’elle la prend en bouche.
Tout de suite.
Brusquement brutalement.
Elle l’enfourne dans sa gueule. Tout ce qu’elle peut. Obligée d’écarter largement les mâchoires, de forcer. De ravaler sa langue et ses dents. Elle veut sa bite au fond de sa gorge. Elle insiste. C’est énorme. C’est trop. Rien que le gland. C’est énorme. Elle force encore pour s’ouvrir. Les larmes lui montent aux yeux. Sa salive remplit sa bouche. Mais impossible de déglutir les mâchoires prises…
Mais elle sent la main de l’homme sur sa nuque se faire plus pressante.
Alors elle s’acharne, se fait mal aux mâchoires, empoigne les hanches de l’homme, pousse la bite dans sa bouche. Elle la veut. Elle en veut encore. Encore plus…
Mais rouge de confusion, le visage défait, en larmes, elle doit reprendre souffle… Et elle ose relever son visage. Le regarder… Avant de replonger sur la queue…
Et elle recommence. Elle s’en étouffe. Elle bave. Elle enfourne tout ce qu’elle peut. S’en arrache pour respirer. Reprend souffle. Repart. Elle s’acharne. Elle en veut. Elle aime ça.
Quand elle relève la tête, des fils de bave relient la bite à sa bouche. Le gland énorme luit, sa salive mousse autour.
Et elle recommence.
Jusqu’à ce que brutalement brusquement il l’empoigne. Par les cheveux la tire, la bascule, l’allonge. D’instinct elle s’ouvre. Ecarte les cuisses. Elle s’ouvre pour l’accueillir.
Haletante, elle se redresse sur les coudes pour voir cette bite énorme qui se rapproche de sa chatte, le gland qui se glisse entre ses lèvres, alors elle s’abandonne, et elle est heureuse quand il serre son cou dans sa poigne et commence à l’investir.
Il faut qu’il prenne sa place, qu’il la force et la fore. Il faut qu’il ouvre son trou comme il n’a jamais été ouvert.
La bite énorme lui coupe le souffle.
Elle se sent déchirée. Blessée. Elle a mal. Et pourtant elle mouille comme une folle. Mais il la prend sans ménagement. Elle l’a voulu ainsi. Elle le lui a dit. « Prends-moi. Baise-moi. Remplis-moi ».
Elle a mal. Mais c’est ce qu’elle veut : avoir mal. Elle veut la sentir passer. Mais là c’est trop, c’est épouvantablement trop. Ce n’est pas possible…
Elle est au bord de la panique. Prête à se rebeller.
Mais il la tient.
Il pèse sur elle.
Il appuie sur ses épaules et la cloue sur le lit. Il la tient, la maintient. Impossible de s’échapper.
Il pèse sur elle pour enfoncer son pieu. Et ça va passer.
Elle a beau crier, agiter sa tête dans tous les sens. Il est sans pitié.
Et le monstre poursuit son chemin. Il se glisse petit à petit. Elle halète et elle crie. Elle martèle le dos de l’homme de ses poings. Elle l’insulte. Mais la queue poursuit son chemin. Il pousse toujours sa bite en elle. Toujours plus loin. Elle se sent complètement distendue. Ecartelée. Ouverte. Brisée. Anéantie. Investie. Fouillée. Pleine. Pleine. Enfin !
Elle sent qu’il est au fond. Qu’il ne peut pas lui en mettre plus.
Alors elle pousse un râle et s’abandonne.
Elle s’abandonne, elle se donne, elle se rend. Elle se laisse investir. Au plus profond.
Enfin ! Enfin il la baise !
Et elle s’abandonne au plaisir. Elle se laisse aller. Manipuler. Manipuler comme il le veut. Quand il soulève ses reins. Quand il presse brutalement ses seins. Quand il serre son cou pour l’étrangler. La queue énorme va et vient. D’abord lentement. Puis plus fort. Au rythme de son désir. La queue énorme qui la laisse béante et vide quand il se retire presque entièrement d’elle, alors elle ressent cette angoissante du vide au fond de son ventre et se tend vers lui pour qu’il la remplisse vite. Vite. Vite ce bonheur de se sentir pleine. Cette plénitude qui la remplit et la fait monter. Le salaud la baise comme un dieu. Le salaud la fait monter. Elle sent qu’elle va jouir. Alors elle râle, bave, et elle rit. Nerveusement. Cela vient de son ventre. Elle s’agite dans tous les sens, crie, rit. Jouit. Jouit comme une folle. Jouit comme une bête. Jouit et jouit encore. Car il ne cesse pas. De la baiser. De la pilonner. Avec cette queue énorme. C’est son bourreau. Il la fait jouir jusqu’à ce qu’elle le supplie d’arrêter. Crie qu’elle n’en peut plus. Mais elle doit subir encore ses assauts avant qu’il se calme. Qu’il arrête vraiment. Ne bouge plus. Laisse sa queue palpiter au fond de son ventre. Elle est heureuse. Elle est bien.
Ils en rient.
Mais il n’a pas joui.
Et quand il se retire et qu’elle voit cette queue, cette queue dressée, gonflée, magnifiquement, incroyablement dressée et gonflée, cette queue énorme qu’elle vient de prendre, elle en veut, elle en veut encore.
Ses yeux brillent. De gourmandise. De convoitise. Elle a faim. Elle est affamée. Son ventre a faim. Elle veut sentir encore la bite en elle. Au plus profond. Elle veut encore être écartelée, brisée par cette queue. Et elle se précipite, bouche ouverte, pour l’absorber, à nouveau s’en goinfrer, remplir sa bouche de cette belle grosse queue qu’elle dévore.
Mais il ne lui laisse pas le temps d’aller jusqu’au bout.
Il l’attrape, l’empoigne et la retourne.
Appuie sur sa tête, soulève ses hanches pour la mettre à genoux, écarte largement ses cuisses, appuie à nouveau sur sa tête, il l’écrase sur le matelas, appuie sur ses reins pour faire saillir son cul, il la dispose, il dispose d’elle, elle est son jouet entre ses mains, elle est son jouet pour sa bite qui aussitôt retrouve sa place, s’engouffre, d’une seule poussée, à nouveau la déchire, et à nouveau elle crie, à nouveau c’est horrible et horriblement bon, de la sentir là, de sentir cette belle grosse bite l’ouvrir et la remplir, distendre les chairs, les forcer, les forcer encore, toujours plus loin, jusqu’à ce qu’elle soit pleine, à en feuler, à en râler, à en baver, et ses ongles griffent le drap, elle agite sa tête dans tous les sens, grogne, grogne comme un animal, grogne ses cris rauques, ces cris de gorge de femelle pleine, de femelle tenue qui subit le mâle. Elle est sous lui et il la baise. La tenant aux hanches, la tenant par les cheveux. Il la baise. Il la baise en force. Il la baise de toute la grosseur de sa queue, empoignant ses fesses, soudain les claquant. Il frappe. Il lui échauffe la croupe. Il frappe en la baisant. Il frappe ses fesses comme sa queue cogne au fond de son ventre. Il frappe, empoigne les fesses, les écarte, les sépare, ses mains ouvrent ses fesses, il la prépare. Elle a compris. Elle le redoute, elle le craint, elle en a peur, vraiment peur d’être enculée par cette queue énorme. Mais pourtant elle le veut…
Elle sait qu’il va l’enculer quand il crache entre ses fesses, quand il ouvre son trou de ses doigts. Elle sait que cela va être épouvantable, mais pourtant elle veut. Prendre cette énorme bite dans son cul.
Et elle le crie. Dans sa rage et sa crainte, elle le crie :
– Vas-y encule-moi ! Déchire-moi ! Défonce-moi !
Elle ose et tend la croupe.
Elle le veut… là maintenant. Sentir sa bite entre ses fesses. Sentir sa bite forcer son cul. L’élargir. Le remplir. Elle le veut.
Et c’est presque un soulagement quand elle la sent entre ses fesses, quand elle sent le gros gland buter contre son trou, son trou ouvert par les doigts de l’homme qui la baise, son trou gluant de ses crachats, son trou qu’il va remplir.
Et la bite lourde et chaude pèse sur son cul, travaille son trou pour y prendre sa place, elle pousse et pèse, irrésistiblement pousse, entre les fesses écartelées, entre les doigts de l’homme qui la travaille au corps. Et millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, lentement, inexorablement, l’énorme bite entre sans son cul. Tant pis si elle a mal, tant pis si elle souffre. A en crier. A en gueuler. A en chialer. Elle l’a voulu. Il l’encule. Et la bite est chaude et lourde dans ses entrailles. Présente. Horriblement présente. Délicieusement présente. Elle la remplit. Elle la remplit toute. Elle sait qu’il l’encule de toute la longueur de sa queue. Qu’il la lui met profond. Son cul est plein. Son cul est chaud. Elle est bien.
Elle est heureuse de le sentir aller et venir dans son cul. Heureuse de l’entendre râler et grogner son plaisir. Heureuse de sentir ses mains qui se crispent dans ses hanches, qui la poussent et la tirent, qui la bousculent, qui la manipulent. Elle est chienne, sa salope. Il l’encule !
Et son cul est chaud. Bouillant. Brûlant. C’est du feu qui lui brûle le cul. Qui remplit son cul. Plein, rempli, bourré, pilonné, plein. Elle va jouir. Elle le sent. Elle va jouir par le cul. Elle le sent. Elle le sent venir cet orgasme. Ça gonfle en elle. Ça bouillonne dans ses entrailles. Ça bouillonne dans son ventre. C’est chaud et puissant. Cette montée de lave. Elle sent qu’elle va exploser. Et c’est un cataclysme qui la submerge. Elle explose, oui, elle explose par le cul, elle hurle comme elle n’a jamais hurlé. Elle jouit dans son cri, le cul en fusion, le cul bouleversé, ça vibre dans sa chatte, ça explose dans sa poitrine. Et le salaud la pilonne, la martèle, bourre son cul de sa bite, il la cogne dans son cul jusqu’à ce qu’il crache son foutre en hurlant lui aussi, et se vide les couilles en elle, au fond d’elle, tout au fond, au cœur de sa jouissance.
Quand il se retire, elle se sent vide. Horriblement vide. Abandonnée.
Mais son désir est toujours là. Elle est repue, mais elle en veut encore. Encore. Encore.
Il va lui falloir réveiller la bête
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BDSM
La sodomie du soumis et de l’esclave
Il existe mille façons pour une Maîtresse de prendre son soumis ou son esclave, de l’enculer, de le sodomiser.
Il peut s’agir d’une punition ou au contraire d’un moment de plaisir partagé, d’une sorte de récompense pour le soumis, parfois aussi, mais, dans un cas comme dans l’autre, c’est surtout le moment privilégié durant lequel la Maîtresse va symboliquement affirmer son pouvoir sur le soumis : elle devient le mâle, lui devient une femelle.
1. Les milles et un visages de la sodomie
Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie en portant un plug anal dont la taille augmente généralement avec le temps. La durée de port change, elle aussi, en fonction des ordre de la Maîtresse.
A ce stade, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui.
Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectif de faire avaler à leur soumis des godes ou des strap-on de plus en plus gros et utilisent les plugs (parfois gonflables).
On entre alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques extrêmes font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes.
Une fois, l’orifice préparé, la Maîtresse dispose de dizaines de façon de prendre son soumis. A l’aide d’un gode ou d'un gode-ceinture, en levrette ou face à face, par elle-même ou en ordonnant au soumis de s’enculer sous ses yeux. Elle peut le prendre habillée ou nue, lui ordonner de baisser simplement son pantalon et le prendre directement sur la table du salon ou, au contraire, entourer la sodomie de rituels préétablis.
Elle peut enfin, tout à loisir, ordonner au soumis de couiner quand elle l’encule ou au contraire lui intimer de se taire ou même le bâillonner. C’est l’imagination et la symbolique que la Maîtresse veut donner à cette pratique qui sont les chefs-d’orchestre de la « cérémonie », chaque Dominatrice et chaque soumis a donc sa propre expérience de ce rituel incontournable des rapports D/s.
Les milliers de vidéos disponibles sur Internet montrent à ceux qui auraient envie de pratiquer la sodomie, toute l’étendue des possibilités, il n’est donc pas nécessaire, et surtout impossible;-) d’en dresser ici le catalogue exhaustif.
2. Une symbolique essentielle
Certaines Maîtresses – rares – refusent de sodomiser leurs soumis, elles n’y prennent pas de plaisir, mais dans l’immense majorité des rapports D/s la sodomie provoque un plaisir partagé par la Maîtresse et par le soumis. Il existe bien d’autre pratiques SM dans lequel le plaisir est tout aussi partagé mais aucune d’entre elles – si l’on excepte les punitions – ne porte en elle une telle charge symbolique.
Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomisé soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ».
C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le gode-ceinture sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement.
Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait.
3. Le sort particulier de l’esclave
Dans leur immense majorité, soumis comme esclaves connaissent donc les joies de la sodomie, toutefois le sort réservé aux esclaves gynarchiques diffère parfois profondément de celui – plus enviable – que les Maîtresses réservent aux « simples » soumis. Comme dans toutes relation D/s, la sexualité de l’homme est réorientée vers la satisfaction du plaisir féminin, mais dans la relation gynarchique cette réorientation est souvent beaucoup plus radicale que dans une relation SM ou D/s moins élaborée.
Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices gynarchistes peut avoir plusieurs finalités.
Réalisée le plus souvent , elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul et très souvent il n’est même pas autorisé à couiner.
Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes , l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.
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Peu de personnes l'ont entraperçu et seules 2 personnes l'ont vu réellement, l'une a voulue s'en éloigner quitte à me laisser aller chercher mon plaisir ailleurs tout en conservant mon amour, l'autre a ressentie une peur dont je me suis délecté, nourri... pourtant elle y reviendra car prise dans mes filets elle réalisera qu'elle ne peut s'en passer.
Cachée sous les différentes strates de ma personnalité, elle était là... Attendant son heure, à l'affût de sa proie, prête à lui sauter à la carotide ne lui laissant aucune chance...
Enfin je suis Moi, enfin je suis vivant, enfin elle m'a permis de comprendre ce que j'étais...
Sustentée elle s'est retirée à l'intérieur de moi, au fond, dans les zones d'ombre mais ne vous y tromper pas, elle est toujours là prête à ressurgir quand elle en aura l'occasion...
... LA BÊTE
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Je suis nu, Madame m’ordonne: va chercher ton portable, interloqué, je le lui tend.
Débloque le, ce que je m’en presse de faire…, tête baissée, je voit ce qu’elle fait.
Voila, c’est fait, mets toi à 4 pattes, je m’exécute, elle se met derrière moi, écarte mes cuisses, je voit juste l’enveloppe d’un préservatif tomber.
Elle me pénètre avec ce que je saurait plus tard, un gros plug, qu’elle bouge, afin qu’il soit bien en moi.
Lèves toi!
Elle prend son téléphone, et commence à jouer avec.
Tout d’un coup, le plug se met à vibrer très fort, puis s’arrête, puis recommence. Je me tortille, surpris…
Tu va le garder, tu ne l’enlèvera que quand je te le dirais, et ce sera pour le recharger.
Et il faudra le remette en place en suite.
J’ai téléchargé une application qui me permet à tout moment de commander ton cul, et en plus, je saurait où tu est à tout moment.
Maintenant, habille toi, et je contrôlerais ton obéissance..
Je prends congé respectueusement.
Je rentre et je me couche, je m’habitue au plug qui est d’un bon diamètre, et j’oublie qu’il est vibrant.
Le lendemain matin, c’est ses vibrations qui me réveille, avec un message: port de bas ce jour sous le pantalon, sans slip, pour aller travailler.
Je choisit un pantalon un peu ample, met le PJ et les bas avant que de passer le pantalon. J’ai peur que cela se voit de l’extérieur…, j’ai toujours ressenti aussi que ma démarche est différente quand j’ai un plug en moi.
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Le propre d'un fantasme est-il qu'il nous excite parce qu'il est non réalisé ?
C'est le désirer, l'attendre, parfois le culpabiliser ou le craindre qui fait sa force. C'est quelque chose de très mental, dont on a souvent déjà imaginé les tenants abouttissants de nombreuses fois, un rêve qu'on entretient pour ce qu'il est : quelque chose d'interdit, d'innateignable mais que l'on considère pourtant possible.
Dans tout les cas c'est quelque chose de personnel, d'intime, subjectif.
Pour toutes ces raisons, le réaliser peut être souvent grandement décevant car la réalité ne se produit pas toujours exactement comme on l'aurait désiré.
Parfois on parvient à créer les conditions exactes de notre fantasme et c'est alors des moments d'une rare et puissante jouissance.
La différence avec les désirs, c'est que les désirs s'estompent généralement une fois assouvis.
Mais les fantasmes : même une fois réalisés, ils perdurent. Je dirais même qu'une fois devenus réels, ils grandissent, s'enrichissent, se précisent et se multiplient !
Comme les émotions sont des reflexes, et les sentiments des constructions d'émotions produisant une histoire ( sentiment amoureux = désir, fusion, crainte, jalousie, plaisir etc ) ; les fantasmes sont eux aussi des constructions de désirs qui restent en nous même une fois qu'on les a vécu. Tout comme la succession des émotions du sentiment amoureux ne font pas disparaître le sentiment.
Maintenant la question : doit-on les vivre ?
Ça dépend !
Chercher obsessionnellement à ne réaliser que ses fantasmes a deux inconvénients :
- Le premier étant qu'alors on utilise notre/nos partenaires comme des moyens, des outils nous servant à réaliser notre plaisir unique.
Si le bail est clair et consentis par les deux partis : ok !
Mais attention tout de même à être donc sur la même longueur d'onde.
-Le second écueil est la déception. Car souvent le fond véritable du fantasme nous échappe !
Certains fantasmes simples sont liés à des sollicitations de sensations. C'est assez mécaniquement réalisable et il y a peu de chance de se tromper.
Mais certains fantasmes sont très subtils et profonds ; tant qu'ils touchent en fait quelque chose d'inconscient et d'émminement psychologique. C'est alors que peuvent se produire des obsessions et des frustrations et déceptions destructrices.
Du coup dans tout les cas je concluerais de cette manière :
Ce qui m'importe est moins de réaliser exactement mes fantasmes que de chercher à m'en rapprocher !
Comme la destination terminale d'une longue randonnée, je sais que je souhaite l'atteindre mais je m'amuse à chaque pas et à chaque croisement en me dirigeant vers, en me voyant progresser !
Comme un phare éclairant mes attentes et angoisses, mes fantasmes guident mes pratiques. J'aime emmener mes partenaires et moi même sur le chemin de leurs/mes/nos fantasmes, nous en approcher, même les réaliser ! Car il faut bien atteindre la destination qu'on s'est fixé ! Pourvus qu'en chemin on ait pris du plaisir pour y arriver ! Et ne pas avoir simplement foncer bille en tête pour arriver au plus vite et s'essoufler ...
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Putain que ce monde est con ! Tout est devenu trop moche! De grandes villes sinistres et même sinistrées, des usines, des gadgets de consommation pour nous rendre encore plus débiles et dépendants. Brenda a tout refusé, elle est partie en sandales avec son banjo. Elle s'est faite sauter partout le long des chemins qui ne mènent nulle part, en tout cas ni à Rome ni à Compostelle. Elle ne s'attache pas. Elle est comme le vent, elle est douceur et murmure le long des champs. Elle est si belle avec ses longs cheveux bouclés, ses yeux rieurs, ses lèvres si chaudes, ses longues jambes si bien galbées. C'est comme une apparition dans un rêve érotique. Qui voit Brenda a de suite envie de coucher avec elle. Si douce en apparence et tempêtes dans les cœurs.
Brenda ne dit jamais non. Elle couche et adore faire l'amour. Elle se donne, se laisse caresser, se laisse défoncer la chatte ou l'anus ou se laisse brouter le minou. En amour elle aime tout pourvu que l'on ne veuille pas la garder pour toujours. La vie est si courte et si belle alors pourquoi travailler pour ne posséder que de la poussière. Elle préfère les fleurs des champs.
Elle arrive sur une haute terre, perdue au milieu de nulle part. Là vivent des gens comme elle, nus au bord d'une paisible rivière. Pas de gourou, pas de règles, c'est un lieu où il ne sert à rien de faire quoi que ce soit. Juste vivre et être heureux sous le soleil. Pourquoi s'inquiéter. Le Père dans les Cieux sait ce dont les hommes ont besoin et il donne tout en abondance. On rit, on chante, on danse et on le remercie.
Mais là encore, Brenda ravage les cœurs. Il est temps pour elle de reprendre la route avec son banjo. Elle ne voudrait plus vivre que de prana. Mais voilà males et femelles veulent suivre son si joli cul.
Un jour elle arrive près d'un monastère et elle rencontre un jeune moine d'une beauté ténébreuse, enfin un homme qui ne lorgne pas ses jambes et ses seins voluptueux. Elle sort son banjo et joue pour lui. Le moine racle la terre amère et feint l'ignorer. Il doit prier, semer, et encore prier. Il pense sans doute que Brenda est un démon venu l'arracher à ses voeux de chasteté. Il s'avance menaçant avec sa pioche levée.
-Vas tu donc cesser de me troubler avec ton banjo diabolique! Vas t'en de là, femme adultère et maléfique, tu es infestée de démons.
Brenda l'a regardé et lui a adressé son plus délicat sourire. Ses joues sont devenues rouges. Enfin un homme qui ne bande pas pour elle.
-Fouette moi ! Chasse les démons qui sont en moi !
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Je m'avancai vers Prune qui tortillait son cul de façon obscène. A la portée de ses fesses dodues, je m'agenouillai pour les couvrir de baisers et de caresses mais ceci ne fut pas du gout de Madame K. Le fouet vibra dans l'air et s'abattit sur mon dos. Une fois, deux fois, trois fois, la douleur intense me fit plier le genou, ma tête plongea bien malgré moi entre les fesses de la plantureuse servante. Aussitôt une main ferme appuya ma tête contre le fessier rebondi.
"Je te paye pour m'obéir, tu comprends" Je voulus répondre mais mes paroles étaient étouffées par les doux vallons de celle que j'aurai du rosser de coups. Madame renforça son étreinte et m'ordonna de lécher la raie de la prisonnière. Je résistai quelques secondes mais compris que ma tortionnaire me privait peu à peu d'oxygène. Mon nez, ma bouche s'imprégnait des odeurs de la domestique, des odeurs de transpiration, des odeurs de jouissances et d'autres encore plus subtiles.
"Met la langue maintenant. Lubrifie bien son conduit."
Nouveau refus et de nouveau cette privation d'oxygène. je n'avais plus d'autre choix que d'obeïr. Ma langue pénétra comme dans du beurre dans ce conduit déjà dilaté. Prune gémit tandis que je tournai et aspirai son cul sous les recommandations de Madame. Je sentis alors les chairs autour de moi se contracter, La belle blonde se crispa avant de jouir abondamment sur le gode enfoncé en elle. Maitresse me fit m'agenouiller et me donna le gode à sucer. Il était chaud, odorant, j'avais l'impression moi aussi d'être une trainée soumise en acceptant cette nouvelle humiliation.
"Embrasse la maintenant' m'ordonna Madame d'un sourire pervers.
Nos lèvres s'approchèrent, je lisai dans les yeux de celle que j'embrassai le manque de sommeil, les humiliations successives des derniers jours et je devinai, par dessus tout, son corps fatigué d'avoir tant souffert et tant joui. Nos langues s'apprivoisèrent et entamèrent un ballet langoureux mêlée de salive à l'odeur de cyprine. Un coup d'œil sur ma droite confirma mes plus sombres pensées. Madame avait installé un trépied et une caméra, elle filmait la scène avec délectation.
"Les films amateurs rapportent énormément sur internet, cela aidera à payer les frais de la propriété...continuez." Elle revint vers nous masquée d'un loup de dentelle qui ajoutait encore à son charme. D'un geste brusque, elle se saisit d'un sein de Prune toujours à cheval sur son arçon. Elle caressa un téton puis l'autre jusqu'à ce que les 2 framboises se raidissent. Puis elle y fixa deux pinces fines reliées à des câbles. je voulus protester mais par lâcheté sans doute me laissait faire lorsqu'elle entoura ma verge et mes couilles d'un anneau de plastique reliés au même réseaux électrique.
"Encule ce gros cul, tu en as tellement envie"
Comme je tardai, elle appuya sur un boitier, une décharge électrique intense parcourut ma verge et les seins de la domestique. Maitresse ne put s'empêcher de rire en voyant notre surprise. Elle m'enfila un préservatif retardant, prit mon sexe en main et l'introduisit au bord de la rondelle palpitante. Une dernière décharge m'invita à tringler la bonne. Je limai son cul déjà bien ouvert appliquant les conseils de Madame.
"Avec un cul si large, je suis sur qu'elle pourra accueillir ceci" dit Madame en se fixant un impressionnant gode ceinture fuschia.
Lorsqu'elle jugea la jeune fille bien distendue, elle me poussa sans ménagement et appliqua ce membre surhumain à l'entrée du trou déjà béant. Prune gémit de douleur lorsque le membre viril s'enfonça en elle mais ces cris furent vite masqués par ma queue qui forçait sa bouche. Un plaisir bestial s'emparait de moi tandis que je faisais suffoquer la jeune femme mais le préservatif lubrifiée de crème anesthésiante entravait mon plaisir. La jouissance ne m'était pas permise.
Prune prise par devant et derrière ne tarda pas à jouir une nouvelle fois. Elle émettait des cris de plaisir semblable à des jappements que Madame fit cesser en nous envoyant de puissantes décharges électriques. Victorieuse, elle sortit l'immense sexe maculé et força les lèvres de Prune contrainte de subir une énième humiliation. L'engin "nettoyé" elle enchaina l'infortunée jeune femme dans un coin de l'écurie. Une litière paillée comme unique couchage.
Madame fixait maintenant Sonia des yeux. Attachée sur une croix de saint André, la pauvre essayait vainement de se débattre. Son regard se tourna vers moi et se fit implorant. J'aurai dû agir mais ma volonté fondait devant la détermination de notre geôlière.
Madame s'approcha de Sonia et la toisa d'un regard malsain. Puis, elle prit deux gros élastiques qu'elle plaça à la base des seins la domestique. La pauvre la suppliait des yeux, un filet de bave coulait misérablement de ses lèvres closes par un baillon de latex. Maitresse se détourna de sa victime quelques instants pour aller farfouiller dans un box. Moi, je restais à genoux, impuissant, incapble de réagir aux muettes suppliques de la prisonnière. Quand notre hôte revint, elle avait dans ses mains gantées une botte de paille. Avec perversion, elle regardait les seins de Sonia gorgés de sang. Les tétons mordus par les lèvres métalliques de puissantes pinces viraient maintenant au violet.
"Approche" m'intima celle qui quelques minutes plus tôt m'avait fixé au cou un collier de cuir munis d'une laisse.
"Le BDSM doit mêler plaisir et souffrance. Si la victime prend trop de plaisir, la tension sexuelle diminue et si la douleur prend le pas sur le plaisir, cela s'apparente plus à de la torture. L'art d'une maitresse et de trouver l'équilibre fragile entre les 2 faces de cette discipline.Je vais battre cette truie lubrique avec cette botte de paille. Vois tu, ses seins sont gorgés de sang, réceptifs à la moindre caresse, à la moindre douleur."
Sonia remua fébrilement sur sa croix lorsque Madame chatouilla les aréoles boursouflés par les pinces. On pouvait lire un cruel sourire s'esquisser sur les lèvres de notre tortionnaire lorsque Sonia poussa un cri rauque assourdi par le bâillon.
"Approche simon et vient bouffer la chatte de cette salope, regarde comme elle mouille"
Je m'agenouillai et vis l'abondante cyprine ruisseler sur les cuisses de la domestique. Je glissai ma langue entre les grandes lèvres pour avaler ce nectar à la source lorsque Madame asséna sur les seins meurtris les premiers coups avec la botte de foin. Sonia ruait, essayait par tous les moyens de se soustraire à l'implacable châtiment mais ces dérobades semblaient accentuer la perversité de Madame.
"Cale lui le bassin et continue de la brouter, si tu ne l'as pas fait jouir dans les prochaines minutes, il t'en cuira."
Je m'appliquai à maintenir ma partenaire d'infortune en lui pompant le clito. Maitresse, de son côté, alternait griffures et baisers les tétons de la jolie garçonne qui prenait maintenant plaisir à cette double caresse. Sans prévenir, Madame retira les pinces qui entravaient ses mamelles. Le sang afflua massivement provoquant une vive douleur au moment même où elle jouit. Sous les ordres de maitresse, je détachait la jeune esclave pour la déposer sur un matelas crasseux. Maitresse m'ordonna de la tringler avec force. J'avais 5 minutes pour jouir après quoi, mon sexe retournerait dans sa cage.
Aussitôt, je pénétrai le sexe chaud de Sonia. vaincu par tant de perversité, elle poussa un léger gémissement lorsque je lui fis relever les jambes pour que mon sexe vienne buter au fond de sa grotte humide. Puis je la ramonai d'abord lentement puis plus vigoureusement. Il fallait que je jouisse, Madame chronométrait. Mais le préservatif retardant anesthésiait complètement ma queue.
"1 minute" lança Madame
Je m'activai plus que jamais, mes couilles claquaient avec frénésie le pubis de la domestique languide. J'étais au bord de la jouissance quand Madame annonça avec satisfaction la fin du temps imparti.
"Tu n'es qu'un bon à rien" me dit-elle en contemplant ma queue encore raide.
"Tu es incapble de jouir avec une femme..." Elle fixa mon collier à un anneau puis amena Sonia dans un box voisin.
"Tu t'occuperas des domestiques, tu me les remettras d'aplomb, elles doivent encore servir cette semaine..." lâcha Madame mystérieusement. Pour le moment, couche toi.
Je m'executai croyant pouvoir profiter des faveurs de Madame. Après tout, j'avais obéi scrupuleusement à ses ordres. je me laissai menotter au sommier et lorsqu'elle banda mes yeux, je crus que le moment tant attendu arriverait. Madame avait retiré le préservatif et me branlait langoureusement. Ma queue, peu à peu, retrouvait des sensations. Puis tout cessa.
Mon sexe sous l'effet du viagra quémandait encore quelques caresses, quelques minutes pour pouvoir libérer ses tensions. Soudain, quelque chose vint se fixer à ma verge. Puis un bruit mécanique et ma queue fut aspirée par une trayeuse. Madame me retira le bandeau des yeux pour que je puisse voir le spectacle.
"Je reviens dans une heure pour te remettre sous cage" susurra-t-elle.
"Toi qui voulais jouir, te voilà servi".
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Depuis presque dix ans maintenant tu habites en moi ... ou plutôt, je vois depuis des années que tu habitais en moi. Nous n'avons pas toujours été d'accord. Te souviens tu les premiers temps comme tu m'étais interdit ? Oh que j'avais peur de toi ! Oh que je te désirais !
Il avait suffit que la première Muse évoque une idée mythique, digne d'un scenario de mauvais polar : Et si le meilleur de moi était mû par le pire de toi !? Merde ! Moi qui ai construit mon être pour devenir Jésus, tu es le Satan que j'ai laissé se former par excès de zèle. Non ne parlons pas de la première Muse s'il te plaît, tu sais que je ne veux plus que tu la regardes ! Surtout depuis qu'elle me regarde enfin ...
Au début tu étais bien caché au chaud et tu m'as donné des sueurs froides. C'est dire que j'ai toujours eut une imagination fertile, et toi coquin tu savais semer en moi ! Je récoltais le courroux de mes valeurs insécables, le plaisir coupable de mes mains bonnes à briser. Quelles hontes ! Quels supplices je t'ai fait endurer ! Quelle culpabilité tu m'as fait ressentir ! Dans quelle folie j'ai crains que tu me fasses sombrer !
Puis on s'est apprivoisé par les mots, comme j'apprivoise toute chose : intellectuellement et sensiblement, en poésie. Tu te souviens ces nuits blanches à faire crever de fantasmes des inconnus par scenarios/jeux de rôles ? Tu te souviens ces poèmes glauques et érotiques que je brûlais de suite ? Tu te souviens cette pornographie hardcore qui me laissait le goût étrange de te violer ... toi, le violent de nous deux ! Non, j'ai vite compris ce que tu désirais. Et ce n'était pas quelque chose de sale ou de morbide au final. C'était la même chose que moi.
Tu m'as épuisé les premiers temps à gesticuler comme ça dans mon être aux contours trop présents, et je t'ai boudé pour ça le plus souvent. Et le pervers des deux c'était moi, car je revenais toujours vers toi quand tu étais enfin calmé ! On a appris ensemble à se respecter à force de cette respiration entre nous presque méditative et pour la première fois j'acquis la sensation d'avoir un contrôle rassurant. Je savais que tu ne disparaitras pas, jamais. Alors que moi, je peux disparaitre.
On est resté plus longtemps en bon termes qu'en mauvais finalement ! On est resté bons amis et on se donnait quelques nouvelles parfois. Trop occupé que j'étais à vivre là dehors ces aventures humaines dont tu n'avais cure.
Oui on a écris beaucoup de poésie ensemble c'est vrai ! Comment oublier ? On a séduis tant de muses d'un soir sur les forums et sur les chats de ce pays kinky. On ne faisait pas de mal, on s'expliquait dès le début : Je suis un poète, et vous allez m'a Musé s'il vous plaît. On a jamais eut de relation D/s virtuelle. On a jamais pris le risque de faire du mal à qui que ce soit.
On a appris beaucoup de choses sur nous grâce à ça. Rencontrer beaucoup de personnes, surtout des femmes, d'une grande intelligence qui révélaient finement et sensiblement les tenants et aboutissants de notre relation à toi et moi. Merci à elle toutes.
Et quand on a été prêt : elle est arrivée. La seconde Muse ... Dieu qu'on l'a aimé tout les deux ! Et par tout les poètes, lequel de nous deux a-t-elle aimé !? Je crois qu'elle te désirait et qu'elle m'aimait. Rarement l'inverse. Nous on l'aimait et la désirait autant l'un que l'autre. On a rarement été tout les deux aussi d'accord qu'avec elle.
C'est une autre histoire mon ami, nous n'en parlerons pas ici.
La où je voulais en venir c'est aujourd'hui. Là maintenant. Il nous a fallu bien des années, bien des mots et bien des rencontres pour se retrouver si proche l'un de l'autre comme on l'est aujourd'hui. Va savoir, peut-être qu'un jour, nous ne serons plus qu'une seule et unique personne !
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Au 'chômage depuis un moment, je voyais le marché de l'emploi se refermer peu à peu. Les aides déjà s'amenuisaient et la perspective du RSA n'avait rien de réjouissant. Il n'est pas si facile de trouver un boulot en passant de l'autre côté de la rue pour un presque quarantenaire dont les jobs consistaient essentiellement à traduire des notices d'appareils ménagers domestiques et à cachetonner dans les piano bars. L'arrivée des traducteurs en ligne avait définitivement mis fin à ma carrière de traducteur et les bars en cette période de COVID ne recrutaient plus. Bref, je ramais depuis un moment regardant l'argent fondre de mon compte en banque comme l'ours blanc regarde la banquise fondre sous lui. Sans véritable attache familiale, sans véritable ami, trop fier pour demander de l'aide, je restai enfermé chez moi par cet été caniculaire. Les journée étaient rythmées par des recherches sur pôle emploi et le visionnage de films pornos. Si ces sites étaient payants, j'aurais sans doute été ruiné depuis bien longtemps. Sur un forum dédié à la recherche d'emploi, une annonce un peu étrange attira mon regard.
"Recherche valet pour entretien de notre demeure
"Cette personne devra effectuer des tâches ménagères, de jardinage et d'intendance
"Elle aura la possibilité de distraire Madame
"La maîtrise du piano serait un plus
"Le savoir vivre, la discrétion ne sont pas une formule mais une règle que le postulant devra appliquer avec la plus grande fermeté
"La propriétaire assure le gîte et le couvert ainsi qu'un salaire d'un montant de 1900 euros brut par mois (primes non incluses)
"Contacter Madame K pour tous renseignements au
"56 chemin du Petit Parc Rambouillet, Domaine Les chasseressesannonce était pour le moins bizarre, le ton employé avec le mot "fermeté", la "possibilité de distraire Madame", tout cela faisait vraiment très 19ème siècle. Je souriais intérieurement en imaginant une vieille rombière pleine de principes. Le genre de vieil maudissant à l'époque actuelle tout en regardant avec tendresse la photo de son défunt mari. La fin du message confirma ma première impression. il n'y avait pas de téléphone, juste une adresse où postuler. Peut être cela valait il la peine d'essayer. Le domaine des "chasseresses" offrait un bon salaire et sûrement pas mal de temps libre. L'idée de quitter Paris, de me rapprocher de la nature m'avait traversé l'esprit en cette période de confinement. Coincé sous les combles, mon logis devenait par cette chaleur un vrai four, se rapprocher de la forêt, de sa fraicheur me ferait le plus grand bien. Je pris donc ma plus belle écriture afin de répondre à l'annonce. Je laissai mon mail et mon numéro de téléphone souriant intérieurement de l'incongruité de ces renseignements pour celle qui, j'imaginais, serait une octogénaire à cheval sur les principes. Le lendemain, je trompais l'ennui sur internet lorsqu'un message me parvint d'un étrange Domainedeschasseresses@gmail.fr
"Monsieur, votre candidature a été étudié avec attention,
"Veuillez vous rendre au domaine pour subir une période de mise à l'essai dès demain 11 heures afin d'évaluer vos compétences
Encore une fois, cette Madame K ne manquait pas d'audace, elle m'ordonnait de me rendre chez elle pour "subir" selon ses mots une mise à l'épreuve. Je l'imaginais plus jeune en maitresse d'école. Peu souriante, vêtue d'une robe longue et austère , elle devait régner sur sa classe à la baguette. Moi qui avait toujours eu des rapports complexes avec l'autorité, je me voyais déjà me prélassant dans cette vaste demeure pendant les longues siestes de Madame. Et puis, 1900 euros, la possibilité d'une bonne paye, même pour quelques mois, me plaisait aussi.
Le lendemain, j'enfilai mon unique costume, pris le train jusqu'à Rambouillet. Arrivé à la gare, il m'a fallu louer un "Uber" pour me rendre chemin du Petit Parc. L'adresse était en dehors de Rambouillet, perdue dans la forêt. Les arbres centenaires se refermaient sur mon taxi d' (in) fortune recouvrant de leurs couverts ombrageux le chemin mal carrossé que empruntâmes.
"C'est paumé chez vous," lança le chauffeur pour rompre la glace. oui possible, mais c'est aussi là que je postule pour un job...Un travail d'homme à tout faire" dis je, fier à l'idée de gagner de nouveau de l'argent, de retrouver une dignité."
"C'est encore loin? " Dis je maussade à l'idée de passer mes journées loin de toute grande ville et de toute distraction.
Le chauffeur sourit de toutes ses dents comme pour partager mon bonheur. Il me détailla ses difficultés, l'idée de faire Uber mais voyant que je n'écoutai qu'à demi son monologue, il m'annonça que 8km me séparait désormais de mon nouvel emploi. Un peu stressé, j'avais arrêté d'entretenir la conversation
"Ca vous dérange si je met RTL?" S'enquit celui qui sans le savoir allait bouleverser ma vie.
"Faites" dis je en consultant mon téléphone portable.
La radio crachota quelques paroles indistinctes tandis que mon portable annonçait la fin du réseau. Le chauffeur me regarda ennuyé et presque navré pour moi.
"Ce doit être une zone blanche"
Nous arrivâmes à destination. Il s'agissait d'une porte d'acier forgée il y a bien longtemps, les arabesques dessinaient un K stylisé comme à l'époque victorienne. Le chauffeur déposa mes bagages au sol et repartit rapidement, heureux de regagner la civilisation. La grille s'ouvrit seule, majestueusement. Sur le moment, j'étais presque inquiet mais je compris lorsque je perçus une caméra perchée sur un chêne en bordure de la propriété. Je m'engageai dans le domaine non sans jeter un œil aux hauts murs couverts de tessons qui jetaient leurs ombres sur l'allée principale menant à la propriété. J'étais déjà dans le sous bois menant au jardin lorsque la porte se referma dans un bruit métallique. A l'époque j'étais loin de penser que cette porte scellerait celle de ma vie passée. Le sous bois franchi, le domaine des chasseresses s'offrait à moi. La demeure, plutôt massive, comportait 2 étages avec balcon. deux petites tours défiaient la cime des arbres, donnant aux propriétaires une vue imprenable sur la forêt.
Je longeai un joli jardin à la française qui, comme moi, aurait eu besoin d'un rafraichissement, puis je contournais une fontaine où une diane d'albâtre terrassait un serpent en le foulant de ses pieds. Finalement un double escalier de marbre me permis d'arriver sur le perron. Une jeune fille en livret de domestique m'y attendait. Mains jointes, les yeux rivés sur son tablier de dentelle, elle rajusta sa coiffe lorsque je vins à sa hauteur.
"Madame vous demande de l'attendre un moment " dit elle en m'indiquant le hall d'entré où une banquette m'y attendait. Je m'assis, heureux de trouver un peu de fraicheur tandis que la domestique montait à l'étage. La fille était jolie, belle même. Son uniforme quoique strict mettait en valeur la jeune fille. Derrière le chignon serré, on imaginait une chevelure fougueuse, blondie par le soleil. Sous le triste tablier blanc et la chemise noire brodée des seins lourds aux aréoles dressés pointaient. Le rouge à lèvres légèrement vulgaire dessinait ses lèvres charnues. Une tension sexuelle habitait visiblement ce lieu. Je fus dérangé dans ma rêverie par le bruit de talons aiguilles martyrisant le damier du sol.
Une silhouette me faisait face dans le contrejour du couloir. Aveuglé, je cherchai à distinguai celle qui de son ombre me dominait.
"Allons à mon bureaux" dit elle en gagnant prestement l'extrémité du couloir.
"Dépêchez vous un peu" lança t elle sèchement tandis que je ramassai mes bagages.
Le bureau était spacieux et Madame déjà installé lorsque je franchis la porte. Assise, elle me regardait admirer les curiosités et les objets rares qui peuplaient le lieu. Ses yeux aciers vinrent se poser dans les miens. Contre toutes attente, Madame n'était pas octogénaire. La cinquantaine tout au plus. Ses traits étaient fins et pouvaient certainement être durs. Sa coupe de cheveux, un carré dégradé renforçait ce coté dynamique qu'elle avait. Elle se cala dan son fauteuil, ajusta sa veste de chasse sur son chemisier blanc et me fit signe d'approcher. Je cherchais une chaise mais n'en vis aucune et restai donc debout face à elle. Mon embarras parut la satisfaire. Un mince sourire s'affichait sur ces fines lèvres. Quelque chose de magnétique m'attirait chez cette femme, quelque chose d'indéfinissable, comme un penchant un peu malsain.
"Bonjour Simon, tu permets que je t'appelles ainsi puisque c'est ton prénom" Le ton était froid, presque tranchant. il n'impliquait en aucun cas une forme de réciproque.
"Je lis que tu as une expérience de jardinier, quelques mois dans un restaurant également ainsi qu'une formation au conservatoire, un premier prix de piano."
J'opinai du chef, la bouche un peu sèche à l'idée qu'elle découvre les petits mensonges distillés dans le CV concernant mes compétences dans les domaines manuels.Madame jouait avec son collier de perles tout en me parlant. Sans le vouloir mon regard fut attiré par ses mains blanches qu'on devinait douces, ses mains qui manipulaient de façon hypnotique les perles et dessinaient de mystérieuses arabesques.
"Dites, vous m'écoutez ou vous regardez mes seins!" se fâcha celle qui dirigeait le domaine.
Je bafouillait, m'excusant confusément mais elle ne parut pas satisfaite. L'obéissance, au domaine devait être totale, il n'était pas permis de resquiller ou d'avoir des pensées d'ordre sexuel. Madame avait du personnel à gérer, elle n'entendait pas que sa demeure se transforme en un "bordel".
Elle sonna Mademoiselle Sonia, une jeune fille d'une vingtaine d'année. Sonia portait une jupe et un sous pull en fines mailles noires. Comme l'autre jeune fille, elle n'avait pas de soutien gorge et on pouvait deviner les piercing qu'elle avait sur chacun de ses tétons. Sans rien laisser paraitre, la brunette à la coupe garçonne me fit faire le tour des cuisines, du salon et du jardin précisant les tâches les plus urgentes à accomplir. Elle me présenta ma chambre. Celle ci était au second, un œil de bœuf donnait sur la piscine du jardin. La chambre ou plutôt la cellule était monacale, un lit à ressort, une table de chevet, une penderie et un tapis de sol constituaient avec le lavabo les quelques aménagements de ces 9m². Je remerciai Sonia qui quitta la chambre non sans l'avoir fermée et vis qu'on avais posé sur le lit un uniforme noir ainsi qu'un bouillon clair et une tranche de pain sur la table de chevet. Il était passé midi et mon estomac gargouillait. J'allai entamer mon maigre déjeuner quand un objet attira mon attention. Il s'agissait sous l'uniforme d'un objet oblong, court et courbe. A coté, une notice pour l'enfiler avec une note de Madame.
"Nous ne tolérons pas les écarts à la conduite,
"Toute faute fera l'objet de sanction
"Lisez la notice et enfilez cette cage de chasteté.
"Vous pourrez sortir de votre chambre après la sieste soit dans 2 heures.
J'hallucinai! Mon employeur ne maquait pas de culot. Je voulus lui dire en face que les employés avaient des droits, j'essayai d'ouvrir la porte avant de me souvenir qu'elle était close. Je pestai, tournai en rond dans ma cellule puis finalement, appâté par le salaire et l'ambiance étrange du domaine, je me résolus à porter cette cage.
Lorsque Sonia ouvrit la porte de ma chambre, ses yeux trainèrent sur mon pantalon. On pouvait clairement deviner la bosse dessinée par la cage qui enfermait mon sexe.
"Je vois que tu as accepté" me dit-elle d'un sourire énigmatique. Humilié, je fulminai. Même les employées étaient au courant de cette chasteté imposée. Je devins rouge pivoine et tentai une échappatoire. J'allais me plaindre auprès de Madame, cela ne pouvait se passer comme ça. On ne pouvait isoler ses employés en les enfermant dans leur chambre et les traiter ainsi. Remonté comme une pendule, j'ouvris la porte du bureau un peu violemment.
Madame pianotait sur son ordinateur et mon entrée fracassante lui fit froncer les sourcils.
Elle se leva et pris machinalement une cravache qui trônait sur son bureau. Elle était magnifique. Sa tenue de chasse mettait en évidence ses formes et j'eus du mal à me concentrer lorsque ses yeux perçant s'abattirent sur moi tels des rapaces sur leur proie.
Elle se leva et fit claquer dans ses mains la cravache comme pour tuer dans l'oeuf toute forme de contestation de son autorité.
"Je suis occupée simon, qu'as tu à me déranger?
Elle tournait maintenant dans la pièce et vint se placer derrière moi. je sentais son parfum capiteux m'envahir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, je ne savais plus quoi dire. Curieusement, mon sexe se débattait dans sa cage métallique. Complètement confus, je me perdis en excuses.
"Vois tu, pendant que tu penses à ton petit confort personnel, à ta queue qui en ce moment aimerait bien pouvoir se raidir devant mes domestiques; moi je travaille. Je passe des contrats. Je fais en sorte que mes serviteurs ne manquent de rien. "Annonça t 'elle en s'asseyant sur son bureau. J'étais maintenant face à elle qui écartait largement les cuisses les 2 mains refermées sur sa cravache.
"Maintenant, que ta minute de protestation est passée, je te conseille de te mettre rapidement au travail. La taille des arbres et des arbustes doit être exécutée rapidement. Quand tu auras fini, ce ne sera pas du luxe de rafraîchir les peintures dans vos chambrées. Et puis... Tu es trop gras, il est plus que temps de te mettre à l'exercice et à la diet. Tu peux disposer, je n'ai plus besoin de toi ici."
Je retournai à mon nouvel emploi penaud. Les filles préparaient déjà le déjeuner. Je m'assis pour prendre mon petit déjeuner voyant le plateau qu'avait à peine touché Madame. Les viennoiseries, le jus d'orange pressé dans sa carafe de cristal me faisaient de l'oeil. lorsque Prune, la blonde pulpeuse déposa devant moi un porridge froid et gluant,je m'esclaffai.
"Tu ne peux pas me donner ce truc à manger alors qu'il y a des croissants et du jus d'orange pressé sur la table!"
"Ordre de Madame" décreta Prune dont les seins lourds et les hanches rebondies invitaient tant à la caresse.
Je mangeais la bouillie insipide rapidement sans prêter attention aux chuchotis et rires étouffés des filles. La journée fut consacrée au jardin et particulièrement à l'art topiaire. Même avec la meilleure volonté du monde, le résultat ne fut pas des plus brillants. Le soir tomba rapidement et après un bref dîner avec Sonia et Prune (un bouillon clair), on me renvoya dans ma chambre. Je notai cependant un changement, on avait laissé la porte ouverte de ma "cellule". La confiance semblait tout de même se gagner.
La nuit, je fus réveillé par des bruits étranges provenant du bureau. Des plaintes s'échappaient de la nuit entrecoupées de claquements secs. Intrigué, je descendis à pas de loup pour surprendre un éventuel cambrioleur.
La porte du bureau était ouverte. J'y jetai un oeil discret.
Prune avait les deux mains sur le bureau de Madame. Complètement nue, elle présentait son cul rebondi aux lanières de cuir qui claquaient et imprimaient de jolies boursouflures sur la peau de pêche de la domestique. Pour éviter qu'elle ne crie, un bâillon l'entravait. Un filet de bave s'échappait rendant la scène un peu plus obscène.
"Tu as mérité ce qui t'arrive ma petite Prune et tu connais le châtiment. Je vous ai vu vous caresser toi et Sonia. Avez-vous eu mon autorisation?"
Sans attendre la réponse, elle cala un énorme gode ceinture entre les fesses de l'infortunée soubrette. L'engin était de bonne taille et comportait des aspérités qui le rendait à proprement parler terrifiant. Sans plus de formalité, elle s'empala dans la chatte mouillée de Prune qui émit un long feulement.
"Tu veux jouir, petite salope, tu veux savoir ce que c'est d'avoir d'être bien ramonée" lança Madame comme pour l'humilier davantage
Les pénétrations qui suivirent furent profondes, chaque coup de boutoir de Madame amenait sa victime à gémir. De ma cachette, je pouvais voir les joues de Prune en feu, son sexe baveux répandait sa mouille sur le parquet lustré. Madame passa à la vitesse supérieure. Elle agrippait maintenant les seins de sa victime, griffait ses hanches. L'autre beuglait assaillie par des vagues de plaisirs. Mon sexe cognait maintennant dans ma cage. j'imaginai Sonia en train de me sucer pendant que Madame besognait Prune. Avais-je fait du bruit? Madame jeta un coup d'œil dans ma direction et cessa ses mouvements.
Le plus discrètement possible, je me retirai de ma cachette. la dernière image que je vis ce soir là c'est l'énorme sexe de latex sortir du con dilaté de la jeune domestique et le regard perçant les ténèbres de ma patronne. Si j'avais su ce qui m'attendai, j'aurai, cette nuit-là, agi tout autrement.
lendemain et les jours qui suivirent furent relativement calmes. Madame K, comme elle désirait être appelée, m'ordonna de faire de multiples tâches. Je progressais peu à peu et trouvais un certain plaisir à ne plus réfléchir, à m'abandonner aux décisions de la maîtresse de maison. Le régime strict et l'exercice physique qu'elle m'imposait depuis mon arrivée avait fait fondre mes quelques kilos superflus. Affûté, j'étais assez heureux de ma nouvelle condition si ce n'est cette cage qui contraignait ma queue de jour comme de nuit.
Cette tension peu à peu me pesait et je devenais plus irritable. J'avais l'impression que Sonia cherchait, en permanence, à m'exciter. Ces jupes toujours d'un noir sobre et rigoureux se faisaient de plus en plus courtes. Un jour, lors du déjeuner, Madame fit tomber sa fourchette. Sonia qui avait pour ordre de veiller à ce que notre patronne ne manquât de rien se baissa pour ramasser le couvert. Venant de la cuisine, je m'arrêtais à la hauteur de Madame pour voir l'appétissant spectacle. Les fesses musclées de la servante étaient mises en valeur par un porte jarretelle maintenant ses bas coutures. Madame referma sa main sur la mienne et me chuchota.
"Vois tu Simon, ma demeure est pleine de petites salopes. regarde Sonia, elle n'a même pas pris la peine de mettre une culotte aujourd'hui"
Tandis que la jeune domestique se relevait, Madame poursuivit ses confidences.
"Je crois que Sonia mérite une bonne correction, elle sera punie comme Prune, elles veulent de la queue, elles vont en avoir". La froide étreinte se relâcha sur mon poignet puis d'un revers de main elle me chassait. J'étais sur le point de quitter la pièce lorsqu'elle m'ordonna de me rendre aux écuries à 16 heures précises.
Je n'étais jamais allé dans cette partie du parc et il me fallut du temps pour retrouver le lieu isolé. Le SUV BMW de Madame m'indiqua qu'elle était déjà à l'intérieur. Dans ma tête je cherchais mille et une excuses pour éviter une sanction mais cette fois, je n'en eu pas le temps. Madame sortit d'un box, elle portait un legging en simili cuir qui mettait ses formes parfaitement en évidence. Instinctivement, je baissai la tête mais elle me releva le menton de sa main de cuir gantée.
Ses yeux plongèrent dans les miens comme pour juger de ma valeur, je voulus baisser la tête mais sa main s'était refermée sur mon menton. Madame me parlait mais j'étais hypnotisé par ses lèvres d'un rouge carmin, son maquillage loin d'être austère réhaussait la beauté opaline de son fin visage. La sève montait dans mes bourses, gonflait inutilement mes testicules d'un plaisir qui m'était défendu. Madame lut mon malaise.
"Déshabille toi "
"ici?" Dis je très mal à l'aise.
"Tu crois peut-être que je n'ai jamais vu une queue?" répliqua t elle d'un ton qui n'admettait aucun refus.
Je m'exécutai et tentai de masquer mon sexe enferméedans sa cage chromée. Un coup de cravache s'abattit sur mes doigts qui cachaient mon pubis. Puis un autre.
"Mains dans le dos!" aboya celle qui m'avait progressivement dressé à obéir. Sous le choc, j'obtemperai évitant de croiser les prunelles d'aciers de celle qui affichait un sourire sadique de satisfaction. D'un geste souple, presque habituel, elle libéra mon sexe de ses entraves. Aussitôt, le sang se mit à affluer et ma verge entra en érection.
"Ce n'est pas si mal" lâcha Madame qui scrutait mon malaise avec délectation. Elle s'approcha de moi et m'enlaça. Je sentai ses tétons sous son fin chemisier. Ses cuisses serrées contre ma jambe, elle vint de sa main gantée de cuir presser mon sexe déjà dur. D'autorité, elle m'embrassa ou plutôt, elle prit possession de ma bouche. Sa langue imposait un jeu électrique à la mienne, tournait autour de la mienne comme un serpent autour de sa proie. Lorsqu'elle vit qu'un peu de liquide séminal perlait sur la paume de son gant, elle me le fit lécher de force avant de me glisser dans la bouche un comprimé bleu.
"Du viagra..., tu en auras besoin pour ce qui t'attend".
Entre dit elle en ouvrant les portes de l'écurie.
Le spectacle, que je contemplai, aurait fait pâlir d'envie le marquis de Sade en personne. Sonia était crucifiée nu sur une croix, des traces rouges de flagellation parcouraient son corps. Ses seins étaient mordus par des pinces à linge qui lui faisaient déjà des ecchymoses. Des poids maintenus par une chaîne étaient fixés aux piercing de ses aréoles. La jeune fille nous regardait avec des yeux horrifiés se demandant quels jeux pervers Madame allait inventer.
En face de la jolie brune, Prune était attachée à un chevalet. Un bâillon et un loup privaient la blonde plantureuse de la parole et de la vision. Si elle avait vu la scène, elle aurait rougi de honte, elle aurait vu le porte jarretelle de latex qui entravait son joli cul, elle aurait vu les marques rouges virant au parme sur ses fesses, elles aurait vu l'énorme gode qui pénétrait sa chatte humide et lubrifiée mais elle n'aurait pu crier.
"Occupe toi de ces traînées simon" me dit-elle en me tendant une paddle cloutée.
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Bilan de 3 mois de soumission avec vous Madame…
Vous m’avez fait découvrir un monde que finalement je connaissais très peu…
Avec vous je suis totalement sous votre emprise, je vous crains car je sais que vous pouvez être très sévère…
Je me suis rendu compte que je devenais de plus en plus anal avec vous, je ne pensais pas y trouver un tel plaisir, et d’adoré souffrir pour votre plaisir entre cravache, cire, et pinces… et j'adore ma récompense de venir entre vos cuisses tout à votre plaisir très longuement...
Vous êtes maintenant dans mes pensées au quotidien, et je vous supplie de continuer à me faire évoluer dans ma soumission, je suis à votre service totalement maintenant et le plus souvent possible 😍😘❤️
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Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte.
- " Entrez" répond une voix d'homme.
Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début.
Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête.
J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi :
- "Suce le"
Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement.
-" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire.
Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter :
-" Toi aussi !"
Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre.
Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul.
- "c'est à toi que je parle, petite lopette."
En même temps, je sens que Maitresse me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse.
A suivre...
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Premier jour de tournage.
Je regarde Summer partir. C'est comme si c'était mon premier jour à la petite école... Pourquoi ma maman m'abandonne ? Ashley, pitié ! Arrête de bêtifier ! Oui, bon, ça va. "Mon assistante" me dit :
— Je suis très contente de travailler pour vous, Mademoiselle. Vous êtes très belle. Vous allez devenir une star.
Je l'aime bien, mon assistante. Je réponds :
— C'est gentil... Dis, j'ai pas eu le temps de déjeuner, tu pourrais me trouver du café et quelque chose à manger ?
— Certainement Mademoiselle, je vous conduis dans le studio et j'y vais.
Mon assistante m’amène dans le hangar qui nous sert de studio. Madame Wolf, la productrice est là, assise derrière une table couverte de papier. Kim lui donne le papier de Summer. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, plutôt forte et très noire de cheveux. Je lui serre la main... Elle me dit :
— Tu es à l'heure, c'est bien, je vais te présenter l'équipe. Voici Lee Varella qui remplace le réalisateur que tu as vu. Comme on a dû changer de film, on change de metteur en scène. Monsieur Varella est le grand spécialiste des scènes de combats.
Ensuite, elle me présente trois acteurs du film. Ceux qui vont jouer Jules César, Antoine et le frère de Cléopâtre. C'est lui, le plus séduisant. Je me taperais bien mon frère et les autres aussi d'ailleurs. Elle ajoute :
— Tu tourneras certaines scènes avec une perruque, mais on a décidé que ce serait mieux que tu retrouves ta couleur naturelle. On va s'occuper de ça et de t'épiler aussi. À l'époque, les femmes étaient épilées. Pas les paysannes, bien sûr.
Elle ne me demande pas si je suis d'accord. Mais bon, j'aime bien la couleur naturelle de mes cheveux et puis c'est à House of Pussies qu'ils avaient fait tout un cirque de ma ressemblance avec Marilyn. Elle n'aurait pas pu tourner Cléopâtre. Je ne discute pas, je suis une future star facile.
Je vais avec Kim chez le coiffeur. Il est sympa... Elle m'apporte du café et des pains au chocolat, une spécialité française délicieuse !
Il y a d'autres coiffeurs et d'autres filles qui se font coiffer. Je dis bonjour de loin. Je mange plus ou moins facilement pendant que le coiffeur me teint les cheveux. Il travaille très vite. Il me dit :
— C'est comme ça dans le cinéma, faut aller vite. On va laisser poser et l'esthéticienne va vous épiler. Ça ne vous dérange pas qu'il y ait du monde ?
— Pas du tout...
J'enlève ma robe et, pendant que la teinture "prend", une fille m'épile avec des bandes de cire, des aisselles aux chevilles. On le sent, mais je suis une star stoïque, c'est-à-dire que je crie mais pas trop fort. Ensuite elle m'enduit de crème pour que des marques rouges n'apparaissent pas. Elle pourrait continuer à me masser la chatte, mais le coiffeur m'installe dans un fauteuil. Il sèche mes cheveux qui sont dans les bruns et me coiffe à l'égyptienne, un chignon compliqué. Quand c'est fini, il me dit :
— Venez vous regarder.
Je vais devant un grand miroir et je me vois. Oh ! Qu'est-ce que je suis belle et plus nue que nue depuis que je suis complètement épilée. Des filles viennent aussi me regarder. Il y en a même deux qui me font des compliments, ça doit être rare dans ce milieu...
L'étape suivante, c'est l'habilleuse. Aujourd'hui, c'est simple, une Noire sympa couvre ma nudité à l'aide de quelques voiles.
Après ça, Cléopâtre retourne dans son palais, accompagnée de son esclave ou alors, Ashley retourne au studio avec son assistante. On croise des ouvriers et là, j'ai des vrais compliments : "Trop belle" "Toi quand tu veux" "Le plus beau cul du monde". Oui, les voiles ne dissimulent rien de mes charmes. Cléopâtre fait de grands sourires à ses sujets. On arrive dans le studio. Ils sont surpris de me voir, même Madame Wolf. Elle me dit :
— Si tu joues bien... on va faire un carton, petite.
Je dois absolument me souvenir de ce que j'ai appris chez les sœurs. Si je joue bien... je pourrai avoir ce que je veux.
La première scène, j'en ai déjà beaucoup parlé. Cléopâtre est au pieu avec son frère et ils parlent politique en se caressant. Miracle à Hollywood : je me souviens bien de mon texte et je joue bien... On fait la scène en plan-séquence, c'est-à-dire sans interruption. Monsieur Lee me dit :
— On recommence la réplique 24. Toi, joue de la même façon, Ashley.
Cool, on refait quelques répliques et c'est bon, Madame Wolf nous dit :
— On refait toute la séquence, mais nus tous les deux.
Oui, il y a une version érotique... Je serais même partante pour une version hard. On refait la scène, nus... Mon frère me caresse la hanche puis un sein. On termine par un baiser de cinéma, sauf que j'ouvre un peu la bouche et que la langue de mon frère envahit ma bouche.
J'aime bien le cinéma ! On doit refaire certaines scènes nues, mais dans l'ensemble je suis bonne à la première prise. À midi, je mange avec Madame Wolf, le metteur en scène, les comédiens, le chef opérateur... Les figurants et les techniciens sont à une autre table. Je suis à côté de Madame Wolf, elle est contente, tout se passe bien. On mange froid et c'est bon...
À la fin du repas, je vois arriver une jeune femme dont le visage me dit quelque chose. Quand elle embrasse Madame Wolf sur la bouche, je me souviens d'elle ! C'est la petite garce qu'on a rencontrée au sommet de l'immeuble. C'est elle qui jouait les esclaves et qui m'a dit que je devais utiliser un déodorant. Elle n'a plus de collier ni de tunique qui laisse voir un sein, mais un jean et un chemisier sans manches, tout bêtement. Elle dit bonjour à tout le monde. À moi, elle dit :
— Alors, tu travailles bien ?
Vous voyez le ton condescendant ? C'est Madame Wolf qui répond à ma place :
— C'est surprenant, mais elle joue bien.
Pourquoi surprenant ? Elle me dit :
— Je dois partir. Quand je ne suis pas là et Summer non plus, c'est Sarah qui nous remplace. Fais ce qu'elle te dit !
— Mais... elle n'est plus votre esclave ?
— C'était un déguisement, sotte. On revenait d'une soirée.
Elle s'en va... Je râle... J'entends que Sarah discute dans une langue que je ne connais pas avec la script. Tout est bizarre chez cette fille, mais ce qui est sûr c'est que je n'en veux pas ! Summer, je l'ai choisie... et j'y suis attachée, mais celle-ci, elle n'a rien à me dire. On termine le repas et on reprend le tournage. J'ai du mal à me concentrer. Monsieur Varella me dit :
— Qu'est-ce que tu as ? Tu étais si bonne ce matin.
Sarah, la petite connasse, dit :
— Je sais ce qu'elle a, je vais arranger ça.
Elle se lève et me prend brutalement par une oreille. Je crie :
— Vous me faites mal !
Je suis obligée de le suivre pliée en deux.
Elle m'entraîne dans un coin du studio et me colle contre un mur, puis elle met son visage à 3 cm du mien. Elle est dans ma bulle !! Elle me dit :
— Ou tu joues aussi bien que ce matin, ou je prends un des fouets et je te punis devant tout le monde ! Tu as compris ?
— Mais...
— Pas de mais. Tu as compris ?
— Ouiii....
— Oui, qui ?
— Oui Mademoiselle Sarah.
— Bien... À propos, tu n'as toujours pas mis de déodorant, toi !
Elle rit ! Je m'en fous ! Je le dirai à Summer et elle lui fera sa fête à cette petite garce ! En attendant, je vais me concentrer et bien jouer... Ensuite, je m'occuperai d'elle... enfin, pas personnellement !
Je recommence la scène que j'avais ratée et cette fois, c'est bon. Tout le reste se passe bien car je suis très concentrée.
En fin d'après-midi, Summer arrive... et tandis que je vais me démaquiller, je vois qu'elles discutent toutes les deux. Summer va lui dire !
Quand je reviens habillée et démaquillée, je vois qu'elles boivent une bière et discutent ensemble. Pire, elles rigolent. Je vais près d'elles. Summer me dit :
— Alors, ça s'est bien passé ?
— Oui, sauf elle qui m'a menacée !
Je m'en fous, je le dis. Summer répond :
— Qu'est-ce qu'elle t'a fait, pauvre petite ?
Elle se fout de moi ? Sarah lui dit :
— Elle râle parce je lui ai dit qu'elle sentait la transpiration.
Je dis très vite :
— Pas que ça... Toi, je t'ai choisie et tu es payée et...
Sarah me coupe et dit à Summer :
— Tu vois ? Tu sais ce qu'on devrait faire ?
Elle se penche et parle à l'oreille de Summer. Eh ! Mais c'est pas poli ça !! Et ça dure ! À la fin, Summer éclate de rire, puis elle dit :
— D'accord, on fait ça.
Quoi ?? Qu'est ce qu'elles veulent me faire ? Summer me dit :
— On va faire un jeu de rôle. Après ça, tu obéiras à Sarah aussi bien qu'à moi. Ton mental acceptera l'idée.
Qu'est-ce que c'est, ce charabia ? Je réponds :
— Tout le film repose sur moi. Si on me fait mal, je ne tourne pas demain, je le jure.... Je dirai à Monsieur Sam et aussi à Madame Wolf et aussi à mon agent qui est très influent et...
— Et au Président et au pape ?
Elles rigolent toutes les deux. Sarah me dit :
— On ne va pas te faire mal, on va jouer.... On disait que tu étais une esclave en fuite...
Elle se tourne vers Summer, qui ajoute :
— Et nous, on est des chasseurs de primes. On doit te rattraper et te ramener au "Slave Paradise" où tu seras vendue.
Ce qu'il reste de techniciens et de figurants s’est rapproché pour voir le spectacle. Je leur dis :
— Je ne m'enfuis pas, je me rends.
— Ah non, c'est pas du jeu. Cours...
— Mais non, je...
— COURS !!!
Je cours et bien sûr, elles me rattrapent. Qu'il est con, leur jeu... Mais elles ne font pas que m'attraper, elles me déshabillent. Je crie :
— Je ne joue plus, lâchez-moi... Au secours !
Ceux qui regardent ne bougent pas, ils sont ravis du spectacle. Elles m'attachent les chevilles et les poignets dans le dos. Ensuite, elles me mettent une large bande de tape sur la bouche. Je veux crier "Vous n'avez pas le droit, je me plaindrai" mais tout ce qui sort de ma bouche, c'est "mmmmfffff".
Deux techniciens me prennent par les pieds et les épaules. On va vers le parking. Comme on croise des gens, j'essaie de me débattre, mais les hommes serrent leurs prises et j'arrête... Une femme demande :
— Qu'est-ce qu'elle a fait ?
Summer répond :
— C'est une esclave qui s'est échappée, on la ramène à son propriétaire.
Cette fois, je veux crier "C'est pas vrai, on m'enlève !" mais ça fait de nouveau "mmmmfffff". La femme dit :
— Faudra la fouetter pour qu'elle ne recommence pas.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Elle est de tristesse ou de joie
Elle ne connaît pas très bien l'heure
Elle s'enlève du bout des doigts
Ou bien dans un mouchoir elle meurt
Si elle habille tes yeux bleus
D'un petit voile de rosée
C'est qu'elle souligne tes aveux
D'un verte triste ou bien gai
Quand elle s'élance lentement
De tes paupières aquarelles
Elle ruisselle en gros diamants
Goûtant tes lèvres sensuelles
Elle s'accoude à nos paupières
Et regarde la vie passer
Elle est pure elle est sincère
C'est le sujet du verbe aimer
C'est la maîtresse de nos yeux
Qui nous invite de temps en temps
Que l'on soit jeune ou bien vieux
A faire parler nos sentiments
Une larme c'est un câlin
Que l'on pose le matin
Sur le front d'un bambin
Ou dans le creux de ta main
Une larme c'est pourquoi
Une larme c'est pour qui
Une larme c'est parfois
Le miroir d'une vie.
Les larmes jolies témoins de nos sentiments profonds et souvent les plus purs...
Le 19 06 2022
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Un jour, j'ai fait connaitre le plaisir anal à mon amant.
J'ai commencé par lui caresser l'anus pendant les fellations et il s'est laissé faire , il faut dire que lui me léchait l'anus pendant les cunnis et que j'avais accepté la sodomie dès nos premières relations sexuelles, je lui avais demandé si il avait eu des relations homos, il m'avait répondu qu'il n'était pas du tout attiré par les hommes, j'avais rajouté que si cela le gênait, je ne lui toucherai plus les fesses, il m'avait dis que non, qu'il aimait bien, fait par une femme.
Un jour, pendant une pipe, je lui ai demandé d'écarter les jambes pour lui lécher les testicules, il adore, et ma langue a glissée dans sa raie que j'ai léchée de tout son long en m'attardant sur son petit trou qui ne s'est pas contracté et j'en ai profité pour le masser en cercle en le lubrifiant avec de la salive.
Il s'ouvrait sous mes caresses, j'ai raidie ma langue et l'ai fait pénétré dans son orifice, je le branlais d'une main et lui écartais les fesses de l'autre, il avançait le bassin à la rencontre de mes pénétrations, ce qui me fit passer au niveau supérieur de l'initiation au plaisir anal, le doigtage.
Couvrant mon index de salive, je le fis pénétrer doucement dans sa rosette de puceau, il eu un sursaut et je lui demandais s'il voulait que j'arrête, il dit non, je dis tu aimes?, il bredouilla, gêné, que oui, alors la, je lui annonçais d'une voix suave, que j'allais l'enculer avec mes doigts, il ne dit rien et je demandais, tu veux que je t'encule?, il dit oui, et je lui enfonçais entièrement mon index, et je commençais des vas et viens dans son sphincter tout en continuant à le masturber.
C'était serré, sa rondelle vierge ensairait mon doigt, je déposais de la salive dessus et mon index coulissa mieux, je le ressortis pour aussi le lubrifier et mon majeur aussi et lui enfonçais les deux doigts dans son cul, doucement, il poussa un râle de douleur et de plaisir mélangés, j'enfonçais toujours et lui dit de pousser pour détendre son sphincter, il poussa et mes doigts le pénétrèrent entièrement, j'enculais un homme, je mouillais comme une chienne et me frottais la vulve sur les plis des draps pour me donner du plaisir, j'animais mes doigts dans son anus, les écartant, les vrillant, je les retirais et les renfonçais, je sentis sa queue palpiter, j'accélérais le vas et viens, il cria et son sperme gicla très haut, plusieurs jets, son anus s'est resserré autour de mes doigts pendant l'éjac et je l'ai limé à fond, j'ai jouie de le voir jouir.
Depuis, nous sommes passés aux pénétrations avec vibros puis godes ceinture, une fois je lui ai mis un concombre devant une amie qui voulait savoir comment faire avec son amant, cela l'a vraiment excité de se faire enculer devant une femme, et je lui ai demandé de se faire dépuceler par un homme bien qu'il soit hétéro, il faut qu'il connaisse le plaisir d'une vraie bite dans l'anus, ça n'a rien à voir avec un gode, et j'espère assister à cela, pour vraiment le soumettre et en faire une vraie lopette.
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Tu ne jouiras pas !...
Alors qu’elle est allongée sur le dos, leur visage si près, il lèche ses lèvres. Elle est sous lui. Et elle subit. La douceur de sa langue qui passe et repasse, s’immisce à peine, se glisse entre les lèvres gonflées, à peine, frôle, passe et repasse, lèche, tandis que sa main, posée sur son pubis, couvre sa vulve, l’ouvre d’un doigt, écarte les lèvres humides, se glisse jusqu’à son clitoris, doucement la branle, il la caresse, de son doigt et de sa langue, doucement il la fait monter, guettant l’accélération de son souffle, la crispations de ses reins, il la fait monter, se cambrer, se tendre, sous son doigt et sous sa langue, il la fait monter – et la maintient : au bord du jouir.
Il la tient. En son pouvoir, il la tient. Il en joue
La caresser pour la faire monter, la tenir, la maintenir, d’un imperceptible mouvement du bout de son index, suspendre son geste et qu’elle en râle, ravale sa rage et sa salive, aussitôt reprise, du bout du doigt, elle remonte vite, le souffle suspendu, elle s’accroche, se crispe, attend : son bon vouloir.
Il la sent tendue. Aussi tendue que sa bite est dure.
– Tu me fais bander, dit-il, en empoignant sa vulve, toute sa vulve qu’il presse, il voudrait la broyer, là, fasciné par son beau visage défiguré par la douleur, son masque de femme fatale qui geint des sons rauques, hoquète son souffle, souffre.
Elle voudrait jouir et elle souffre.
Brutalement il lâche sa chatte, la libère, lui laisse calmer le rythme de sa respiration, avant de se glisser le long de son ventre et d’enfouir sa tête entre ses cuisses.
*
Alors qu’il a enfoui sa tête entre ses cuisses, il la caresse, du bout de la langue la frôle. Sa langue frétille et s’agite sur son clito.
La petite salope mouille, creuse les reins, frotte sa vulve et ses lèvres sur son menton, cherche le contact. Son souffle s’accélère, elle monte et se cambre, tandis qu’il empoigne ses seins, les presse, pince ses tétons, les écrase jusqu’à ce qu’elle se torde sous lui en criant, et il doit la maintenir pour qu’elle n’échappe pas à sa langue. Bien malgré elle.
Alors il empoigne ses fesses, écartant largement ses cuisses de ses bras, écartant ses fesses avec ses pouces, il lui bouffe la chatte et le cul. Littéralement. Sa bouche et sa langue s’énervent dans le con et le cul. Son nez plonge dans le con quand il vrille sa langue dans son anus ; il lape, il lèche, il mâchouille. Reprend les seins dans ses mains. Pince et tord ses tétons.
Quand il sent qu’elle va jouir : il l’abandonne.
*
Plus tard, il s’empare de ses seins, de ses tétons tendus, il les pince pour qu’elle respire plus vite, laisse échapper de sa bouche de petits cris, il les pince pour lui couper le souffle, il sent bien qu’à la fois elle résiste et se laisse emporter par le plaisir et la douleur qu’il lui inflige en pinçant fort, écrasant ses tétons, les tordant, les tirant, pressant tout le sein dans sa main, l’écrasant comme il le ferait d’une orange pour en exprimer le jus.
Il lui travaille les seins, les torture, les presse et les pétrit, les écrase l’un contre l’autre. Il les fait gonfler, durcir. Ses seins bandent.
Secouée de spasmes, « je pourrais en jouir », dit-elle.
Alors il la gifle.
Il la gifle encore.
Plusieurs fois.
Puis lui ouvre brutalement les cuisses.
Ecarte les lèvres de sa chatte :
– Mais tu en trempée !...
Vite, il enfonce deux doigts dans son con : et la branle.
Il la branle vite et fort.
Sous les coups de boutoir de ses doigts, toute sa main qui cogne en elle, elle halète, râle, mais aussitôt qu’elle va jouir, il cesse, reste immobile, planté là dans son ventre, attend qu’elle redescende.
*
Elle n’en peut plus. Elle le hait.
A quatre pattes sur le lit, elle lui fait face. Les yeux fauves, la bouche mauvaise :
– Ça vous amuse ?
Alors il l’attrape, la retourne, l’agrippe ferment par les hanches et lui fout brutalement sa queue dans la chatte, la baise à peine, un peu, puis, lui écartant les fesses, il plonge sa pine dans son cul. Elle crie et elle subit.
Il l’encule.
Fort.
Violemment.
Appuyant sur ses reins, tirant ses cheveux pour qu’elle se cambre, qu’elle prenne sa pine, toute sa pine au fond de son cul.
– Je suis qui pour toi ?
– Vous êtes mon Maître !
– Tu ne jouiras pas…
*
Elle n’en peut plus.
Cela combien d’heures qu’il s’occupe d’elle ? Qu’il la caresse, qu’il la torture ? Cela fait combien d’heures qu’elle est en son pouvoir ? Qu’elle le subit, qu’il la fait monter… sans la faire jouir ?
Elle n’en peut plus.
Alors du fond de son ventre, elle crie :
– Vous êtes mon Maître ! Vous êtes mon Maître et je vous aime ! Je vous aime, Monsieur. Faites-moi jouir ! Faites-moi jouir ! Je vous en supplie…
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Maintenant que j ai réussi à sauter le pas, que j'ai "restitué" mon collier à ma façon, faut que je m'autogere. Je vais m'éditer (mediter aussi) mes propres règles. Mes 7 + 7 commandements.
1. N'OUBLIE PAS QUE TU AS DE LA VALEUR. Ta soumission ne doit pas être bradée. Tu veux lui appartenir.... il doit le mériter.
2. SI IL N'A JAMAIS LE TEMPS, QU'IL EST AU BORD DU BURN OUT ..... c'est qu il n'a pas la capacité d'être un Maître en ce moment, ou qu'il n'a pas réellement envie. Passe ton tour.
3. CE N EST PAS PARCEQU IL TE METS EN GARDE CONTRE LES FAKE DOM QU IL N'EN N'EST PAS UN. Surtout si il te dit de faire attention, y a des vilains (mais pas moi) et qu'il ne t'explique pas comment les repérer.
4. L'AFTERCARE C EST POUR TOUT LE MONDE. Ca n est pas réservé au profit du Maître. Ok tu aime le masser, seul moment où tu peux le toucher de partout sans demander. Mais toi aussi tu as besoin d'un peu d attention. Te remplir à nouveau. Revenir doucement à la réalité.
5. TU NE DOIS PAS PARTIR EN PLEURANT D'UN MOMENT PASSÉ AVEC TON DOM. C'est à lui de s'assurer que tu as bien assimilé la soirée, que tu t'es remise. Que tu vas bien. Ce n'est pas être une chochotte. C'est un trop plein où un trop peu que tu n'as pas pu évacuer.
6. TU MERITES QU'IL TE CONSACRE DU TEMPS.
si il ne le prend pas pour demander des nouvelles, t'éduquer, t'informer qu'il sera absent c'est qu'il ne s'interesse pas tant que ça à toi et à ta progression.
7. TU N'AS PAS A GERER TOUTE SEULE TES MOMENTS DOWN. Déjà si ils arrivent régulièrement, c'est que cette relation ne t'équilibre pas. Et si même en l'ayant informé de ton émotion, il n'a pas compris, il n'a aucun créneau pour t'aider à rebondir.... bien sûr que tu vas y arriver seule à te reprendre. Mais quand on se donne à un Dom, c est aussi pour etre accompagnée et éduquée. Fuis.
Et maintenant que tous les signaux sont au VERT, Voici mes devoirs, parceque le but final n'est pas d'éviter les mauvais mais bien de profiter des bons. (Enfin du bon, je suis pas gourmande, un seul me suffit 😜)
1. TU LUI OBEIRAS. Faut vraiment que je développe ? Il connaît tes limites, s'il te demande quelque chose c'est qu'il t'en pense capable, alors réfléchis pas et obéi. Plus le temps passera, plus il te montera que tu peux avoir confiance et plus tu obeiras.
2. TU ES A SA DISPOSITION. C'est quand il veut, comme il veut, ou il veut. Et ce n'est pas l'inverse. Il connaît tes contraintes.
3. TU SERAS A L'ECOUTE. Pas qu'avec les oreilles, mais les yeux, les doigts aussi. C'est important de l'observer dans le non verbal pour connaître ses désirs, ses plaisirs ....physiques mais pas que.
4. TU SERAS ASSIDU ET RÉGULIÈRE. Le but est d'apprendre et de progresser et d'ailleurs tu prends plaisir à ça. Alors fais tes exercices, soit concentrée.
5. TU NE MENTIRAS POINT. La base c'est la confiance et dans les deux sens. Soit la plus transparente possible avec lui pour qu'il te guide au mieux.
6. TU LE LAISSERAS SE REPOSER. Il ne peut pas être constamment derrière ton cul (au propre et au figuré.) Donc laisse le un peu souffler aussi. Ai confiance et gère toi un peu toute seule . Patiente. C'est encore plus bon quand tu le retrouves en pleine forme.
7. TU VAS SUCER, SUCER, SUCER... MAIS PAS QUE. Mais t'aimes ça , et t'aimes le voir aimer ça
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J'ai décidé de faire cet article suite à celui d'Allotei sur la communication, afin de vous exposer mon ressenti sur le sujet.
Tout comme elle, cette notion de communication est venue heurter ma réflexion et quoi de mieux que de nourrir son esprit au réveil, quand tout vos sens sont en éveil.
Ce matin, je me lève sans la présence de mon Maître et même si mon esprit est auprès de lui, mes Rituels s'en trouvent un peu bouleversés ce qui me fait prendre conscience de l'importance de la communication autre que verbale.
Dans la vie, nous cherchons toujours à communiquer et le plus direct est la parole, mais voilà, la parole est trompeuse : une personne peut dire quelque chose et vouloir dire toute autre chose ou induire en erreur délibérément son interlocuteur en mentant ( chose qui normalement ne doit pas arriver dans une relation D/S qui est basée sur la franchise et l'honnêteté,). Tromper quelqu'un par son langage corporel est en revanche nettement plus compliqué, car il est en grande partie inconscient. À partir des gestes, des expressions faciales et également de la posture générale, il est possible de déduire chez beaucoup de personnes ce qu’elles pensent à un instant précis. Il suffit simplement de savoir interpréter les signes.
Quand je suis aux pieds de mon Maître cette perception me donne paradoxalement de la hauteur. Je peux scruter le moindre signe d'expression de mon Maître, mais pas que…
Cela me permets aussi d'avoir une interprétation silencieuse sur les interactions sociales que nous pouvons avoir mon Maître et moi dans le monde BDSM comme dans le monde Vanille.
En sachant déchiffrer correctement le langage corporel, on a un gros avantage pour communiquer avec les autres. Il peut s’adapter à l'état émotionnel de son interlocuteur et créer plus facilement une ambiance de confiance, propice à la discussion. Cela peut s'avérer utile aussi bien dans la vie privée (même si la mienne appartient à Maître) que professionnellement que BDSM. Parallèlement, la compréhension des signes non-verbaux est la première étape pour pouvoir utiliser son propre langage corporel de manière ciblée. Il n’est pas question ici de tromper délibérément les autres, mais d'accompagner nos propos d’une façon d’être authentique et confiante.
Le langage corporel est la principale forme de communication non-verbale, car nos gestes, nos expressions faciales et nos postures expriment nos sentiments de manière essentiellement indirecte. Cela me permet de garder mon attention envers mon Maître et me donne des informations autant sur son état mental que physique. Mais je sais qu'il en est de même de sa part. Cela est dû au fait que la plupart de ces signaux sont envoyés de manière inconsciente. Lors des moments chargés d’émotion, en particulier, que ce soit de la joie, de la peur, de la colère ou de la tristesse, il est presque impossible de les réprimer.
J'en ai encore fait l'expérience, il y a peu, où nous avons vu comment des paroles mal exprimées ou mal comprises peuvent entraîner des expressions non verbales qui interpellent immédiatement l'autre. Mais ceci à condition de garder une attention allocentrée.
Cependant, il existe aussi des signaux émis consciemment par le corps qui peuvent être utilisés de manière bien précise pour communiquer. Les gestes de la main donnent plus de poids aux arguments, tandis que les expressions faciales peuvent indiquer une envie ou au contraire un besoin de tranquillité.
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Qui n'a pas connu l'effervescence de ces premiers instants.
les premiers regards où s'installe un sentiment puissant.
Une mélodie d'approche, une émotion inouïe troublant notre âme.
Une joue effleurée par un mouvement d'hésitation qui nous enflamme.
Les bouches se rapprochant, les lèvres se touchant, la respiration haletante.
Un baiser langoureux vient de naître, ils se savourent d'un goût enivrant.
Le baiser se fait plus violent, plus frénétique, plus poétique.
Les caresses font leurs apparitions de par leur contact romantique.
Les vêtements s'envolent, le toucher devient plus chaud, plus frémissant.
L'étreinte devient plus érotique, magie des plaisirs languissants.
Les deux corps dansent, ils gémissent, se cherchent, se trouvent enfin.
La jouissance en attente fait se tendre ces êtres repoussant la fin.
Ils se regardent encore, se sourient, s'apprécient, se défient.
Ils ne savent pas, ne savent plus comment cela s'intensifie.
Et c'est dans un feu d'artifice, suivi de gémissements qu'ils se lâchent.
Se tordant dans tous les sens, le corps en sueur, l'amour en panache.
Le 10 06 2022
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Ce jour là, nous nous sommes donnés rendez-vous sur une route calme et forestière. Pique nique au fond du sac, je vous rejoins en lisière de forêt. Quelques jours plus tôt, vous m'aviez demandé de trouver un coin tranquille pour nous retrouver.
Les roches d'Angennes s'offrent à nous, vous me tendez un sac assez lourd qui pèse un peu sur mes épaules. J'imagine des jouets bdsm en pagaille, mon sexe s'affole dans sa cage. Vous sentez mon trouble, sourire avant de m'embrasser avec fougue. Je sens votre main descendre sur ma cage, caresser le conduit de métal et descendre jusqu'à mes bourses. Sans prévenir, vous frappez doucement mes testicules tendues dans leur cage chromée. Doucement je gemis et reste debout jambes écartées, offrant mon sexe à cette première punition. Comme pour me tester, vous portez un coup plus appuyé qui me courbe en 2. Satisfaite, vous m'invitez à démarrer notre balade de 30 minutes.
Nous parlons de tout et de rien, de bdsm, de cette envie qui ensemble nous lie. Enfin, nous cheminons vers un promontoire. Les cimes des arbres en contrebas dessinent une mer ondulante sous la brise légère. Le temps est beau, la vue superbe.
J installe la nappe et dresse notre rapidement notre déjeuner. Je vous vois sourire devant ma maladresse. Assise sur un transat, vous interrompez votre lecture.
" enlève tes habits, tu n'en as plus besoin " me lancez vous espiègle. Je rougis, un sentiment de honte me gagne . Si quelqu'un nous découvrait, je serai non seulement nu mais aussi encagé. Ma soumission serait visible de tous...
Pourtant je m'exécute. Rouge pivoine.
Comme pour me féliciter, vous me faites allonger sur le ventre et m'enduisez le dos de crème solaire. Pourtant, vous ne passez pas partout et je n'ose faire une remarque de peur d'une sanction. ( je verrai la surprise que vous m'avez réservé quelques heures plus tard )
Le soleil est maintenant au zénith. Tandis que vous vaquer dans les bois, j'installe le déjeuner. Une salade composée, quelques toasts accompagnent un bloc de foie gras. La bouteille de champagne est encore fraiche lorsque vous sortez de l'ombre des bois de jeunes branches de noisettiers à la main.
Nous trinquons à cette belle journée. Les bulles pétillent, le paysage s'offre à nous, un sentiment de bien être m'envahit. Je me sers un peu de salade lorsque soudain vous m interrompez.
"As tu oublié avec qui tu es ?"
Je souris, gêné, cherchant ma faute.
"Non maitresse " dis je un peu confus
" Tu n'es pas avec une amie, tu es avec moi, ta maitresse..."Dites vous en fixant mon assiette déjà pleine.
"A genoux " lancez vous d'un ton sévère.
Vous me toisez nu et à genoux, prenant le temps de finir votre coupe. Mes genoux me font mal mais je n'ose me plaindre de cette juste punition. Pourtant, mon tourment ne fait que débuter.
Vous m'attachez un collier autour du cou et tirez sans ménagement sur la laisse qui me lie à vous. Je suis comme je peux mais ce supplice est de courte durée.
Rapidement vous m'attachez les mains et les chevilles à un pin. Les liens sont serrés, presque douloureux.
D'un geste impérieux vous m ordonnée d ouvrir la bouche pour y fourrer un tissu soyeux.
"Jespere que tu apprecies ma culotte d'hier. Je savais qu'elle aurait son utilité. "
Vos odeurs imprègnent ma bouche, j'essaie une excuse tardive qui se perd dans ce bâillon improvisé.
Soudain, l'air vibre non loin de moi. Puis une morsure brûlante s'abat sur ma fesse droite. Mon corps se cambre, surpris par la douleur mais déjà le fouet marque ma fesse gauche. Une chaleur envahit mon cul, une chaleur mêlée de douleur. Les morsures du fouet dessinent des courbes, des traits, des boursouflures sur mon postérieur. Mes liens sont si serrés qu'il n y a aucune échappatoire.
La punition cesse aussi brutalement qu'elle avait débutée. Je sens vos mains caresser mon cul, admirer le travail. Frôlant mon oreille vous murmurez
"As tu compris la leçon simon?"
Ne pouvant parler, j'opine du che, je devine alors un sourire s'esquisser. Rapidement vous me détachez pour poursuivre ce charmant déjeuner soleil darde ses rayons sur notre déjeuner improvisé. Demain, j'aurais quelques coups de soleil me dis je en débarrassant les restes de notre repas.
Dépêche toi lancez vous en me cinglant les fesses d'une jeune branche de noisetiers alors que je passe à votre portée.
Le dos tourné, jambes écartées, je sens vos doigts descendre sur mes fesses. Un doigt se glisse dans le repli et s'insinue doucement dans mon intimité. Votre âtre main, agile, caresse mes bourses. Mon sexe lutte contre les barreaux de sa cage sans pour autant pouvoir bander. Un filet de sperme s'échappe mollement de mon meat. Le plaisir me fait mouiller, je me cambre davantage pour sentir votre doigt jouer en moi.
Hmmm, qu il est bon de vous appartenir.
Mais soudain, vous cessez le va et viens de vos caresses et saisissez mes coquilles pour les étirer. Surpris, je me cambre et reçois une volet de claques sur les bourses. Bâillonné par votre culotte, je ne peux crier et me tortille essayant, en vain, d'échapper à vos coups.
"C'était trop tentant" dites vous de votre plus beau sourire.
"Finis de débarrasser et met moi de la crème solaire "
Je m'exécute rapidement en prenant soin de vous servir une nouvelle coupe de champagne. Mes gestes sont doux, rapidement, je vous vois soupirer d'aise. Après m'avoir remercier, vous retirez votre culotte et m'ordonnez de me coucher. Vous placez le transat au dessus de ma tête mais celui-ci est d'un genre particulier...
Largement découpé, le tissu permet un accès direct à votre sexe, à votre cul.
" Lèche moi, maintenant "
Je titille vos lèvres, joue avec votre clito qui rapidement se gonfle de désirs.
La branche de noisetier cingle l'intérieur de mes cuisses pour m'inciter à enfoncer ma langue en vous.
Je vous bois, je vous pénètre. Sensation douce de vous appartenir totalement. Vous vous crispez aux accoudoirs tandis que vos mains caressent votre bouton. Votre sexe se contracte lorsque votre jouissance m'envahit.
Je suis,à ce moment précis, le plus heureux des soumis
L'horizon azur est troublée par l'ascension d'un rapace qui profite des colonnes d'air chaud. Vous vous perdez un moment dans sa contemplation profitant de ses vagues successives de plaisir qui tel le ressac se rappellent à vous.
Ma langue caresse votre sexe doucement pour prolonger cet instant. Le temps se cristallise en cet instant.
Après un moment, votre esprit joueur s éveille. Vous descendez le transat et après un repositionnement vos fesses s'imposent à ma vue.
"Embrasse moi "
Je tente quelques chastes baisers sur vos globes d'albatre mais soudainement vous me pincer les tetons.
"Ne fais pas ta fillette, n'as tu pas dit que tu aimerais tout ce que je t'ordonnerai de faire?"
Je sens deux tubes se plaquer sur mes tetons et aspirer, la douleur est soutenable mais déjà envahissante.
"Lèche ou ..." sans terminer votre phrase vous accentuez la pression sur mes aréoles. La douleur est plus lancinante, j'imagine 2 ecchymoses se dessiner sur mon torse. Je tente un baiser sur votre rondelle. Je vous sens vous caler sur le transat comme pour m'inciter à continuer.
Je lèche et embrasse votre bouton de rose lorsque vous m'ordonnez d'y mettre ma langue.
Pour m'inciter, vous accentuez la pression sur mes seins avant de cingler l'air d'une branche trouvée plus tôt.
"C est un honneur de pouvoir me lécher, quand tu y auras pris goût, tu ne pourras plus t'en passer " dites vous d'un ton coquin.
Écartant légèrement vos fesses, vous m'engager à une nouvelle expérience. Ma langue s'insinue en vous...lèche, lappe, longuement votre croupe tendue. Je vous sens prendre un réel plaisir à ces caresses. Vos mains agrippent un objet oblong qui vibre au contact de votre sexe.
Je me tortille jusqu'à votre con et tente de le lécher. Une volée de coups viennent rougir mes cuisses.
"Occupe toi de mon cul, c'est tout ce que tu auras pour aujourd'hui."
Tandis que le vibro vous pénètre, je joue avec votre rondelle. La pénétration de ma langue, celle du vibro, vos caresses intimes bous font jouir une seconde fois. J'embrasse vos fesses adorées pendant un moment délicieux. Je vous imagine le feu aux joues savourant ce second plaisir avec volupté.
Mais l'humiliation est une condition nécessaire à mon devoir de soumis. Après ce moment de plaisir, vous ouvrez ma cage de chasteté. Monsexe ainsi libéré s'érige en quête de plaisir. D'un air joueur, vous m'ordonnez de me branler.
" Tu n auras que 3 minutes pour jouir et tu ne le feras que sur mon ordre sinon..."
Aussitôt je m'active sous votre regard impassible. Pour m'aider, vous vous mettez au dessus de moi. Votre sexe gonflé de désir, votre cul que j'ai apprivoisé me font rapidement mouiller. Mes mains jouent sur ma queue, mes doigts parcourent mon gland mais le temps file...Au bord de l'extase, je parviens à vous demander la permission de jouir et là...
Sur le point de partir, vous couvrez mon sexe d'une douche dorée abondante. Mon foutre se mêle à votre nectar généreux qui cascade et inonde maintenant mon corps.
Plus tard, nous reprendrons nos esprits ravis de ces jeux improvisés. Je vous demanderai une serviette et vous me repondrez qu'ainsi, je garderai votre odeur
Rentré chez moi, nos jeux tumultent encore dans ma tête. Je vous revois m'innondant de votre champagne, je revis vos orgasmes et vos délicieuses punitions. Fatigué de nos jeux et le fessier douloureux, je me vautre devant la télé. Ma cage de chasteté, directement réinstallée après ma jouissance, gêne un peu mes mouvements comme pour me rappeler ma nouvelle condition de soumis.
Peu à peu, une torpeur me gagne. Je suis brutalement réveillé par ma fille réclamant son émission préférée.
"Ça sent bizarre" dit elle en fronçant sa jolie frimousse. Je réalise soudain que je porte encore l'odeur de nos ébats. Le goût de votre sexe imprègne mes lèvres, mon nez. Je file aussitôt dans la salle de bain.
Nu, je constate les marques qui zebrent mes fesses. Elles partiront d'ici 2 jours mais pour le moment, elles me chauffent le postérieur. Après une telle promenade, je scrute les empreintes de nos ébats passés comme on chercherait à remonter un fil d'Ariane.
Soudain, mon regard s'attarde sur mon dos. Il est rouge écrevisse car ce midi, le soleil dardait. Mais, au centre, un K magistral de peau blanche est tracé. Je me rappelle alors la crème solaire que vous m'aviez passé sur le dos dès le début de nos jeux.
Intérieurement, je souris de cette ultime perversité.
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Il est debout et elle est assise, face à lui.
Il est debout et il la domine. De son regard et de ses mots.
– Ecarte les cuisses. Montre- moi ta chatte. Je veux voir comment tu t’ouvres pour moi. Comment tu attends ma bite.
Et elle obéit, docile, quand elle voit ses yeux, son regard, son regard planté entre ses cuisses. Qu’elle ouvre pour lui. Pour le faire bander.
Elle voudrait voir sa queue. Elle a hâte qu’il sorte sa bite et se branle. Devant elle.
Elle est fière de voir sa bite fièrement dressée. Pour elle.
Alors elle écarte les cuisses, elle s’ouvre, elle ouvre sa chatte, écarte ses lèvres, lui montre son trou où le regard de l’homme se plante. Il ne quitte pas son con des yeux. Fasciné, hypnotisé. Elle est sûre qu’il bande. Comme elle mouille…
Elle est tellement trempée !
Son con bave, elle dégouline. C’est dégueulasse…
Mais comment pourrait-elle faire pour rester sèche devant sa bite dressée ?
Elle coule. Elle coule comme une folle. Et se caresse. Lentement. Pour lui, pour elle. Elle lui offre son plaisir. Elle se caresse sous son regard tandis qu’il la baise des yeux.
Elle ne sait pas tout ce qu’il imagine.
Tout ce qu’il imagine lui faire subir. Avec sa langue, avec ses doigts, avec sa bite, avec ses dents.
Il voudrait mâchouiller les lèvres de son con, les mâcher, y planter ses dents. Et qu’elle en coule encore. Qu’elle en crie et qu’elle en jouisse.
Il s‘imagine, agenouillé entre ses cuisses, ce terrible face à face avec son con, sa chatte sous sa bouche, sa langue qui passe et repasse entre les lèvres ouvertes de son sexe, sa langue qu’il vrille dans son trou, sa langue sur son clitoris, et ne plus le lâcher jusqu’à ce qu’elle se rende, qu’elle capitule et jouisse. Dans sa bouche.
– Petite pute !
Il l’insulte.
Oui, elle est sa petite pute.
Sans vergogne, elle fourrage sa chatte, se branle, écarte ses lèvres, enfonce ses doigts, caresse son clito. Elle se fait pute pour lui.
Jusqu’à ce qu’il vienne enfin, s’approche, glisse une main sous son menton. Et la gifle.
– Petite pute !
Enfin !
Enfin, il a franchi la distance. Enfin, il la touche. Il la gifle. Elle l’a bien mérité. Et elle aime ça, qu’il s’occupe d’elle ainsi.
Il la gifle.
Et elle se branle plus vite.
Il la gifle.
La tenant d’une main sous son menton, pour lever son visage, ses yeux plongés dans ses yeux, il la gifle, elle va jouir sous les coups.
Elle va jouir quand il serre son cou entre ses mains et lui coupe le souffle.
Elle va jouir quand il fout sa queue à l’entrée de son con. Et barbote là dans sa mouille.
Et elle jouit quand il l’enfile, la prend, la prend pour la foutre : elle jouit. Recroquevillée sous lui au fond du canapé, cuisses écartées pour l’accueillir, pour qu’il la baise enfin : elle jouit. Parce qu’il la domine, l’écrase contre son torse, elle est sous lui : elle jouit. Et il la baise. Il la prend, la fouille, il s’impose dans son ventre. Il la fout.
Elle n’est plus que cette chose, sa femelle, elle subit, remplie, baisée, pleine, il la mène, les cheveux tirés, le cou serré par sa poigne, il la mène, elle sait qu’elle acceptera tout de lui, elle le veut : qu’il l’humilie, qu’il la souille, qu’il l’oblige à faire des choses sales, qu’il lui fasse mal, qu’il la maltraite, elle le veut : être à lui ainsi. Quand il crache dans sa bouche, quand il étale sa bave sur son visage, quand il mord ses lèvres et sa langue : elle est à lui et elle jouit.
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Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques !
Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris :
- "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche.
- "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus".
Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche.
Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent.
- "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises".
Encore au sol, je répond à voix basse :
-" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie".
-" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens".
Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ?
A suivre...
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1 - L’ascenseur.
***
Je devais avoir cinq ou six ans quand j'ai vu un film à la télé, genre « Les mille et une nuits ». On y menaçait une esclave du fouet. Ça m'a tellement impressionnée que j'ai voulu "garder" ce mot. Je savais écrire un S, alors j'ai demandé à mon grand-père :
— Comment on écrit "clave" ?
Il m'a répondu :
— Ça n'existe pas.
Je repensais très souvent aux esclaves. Dans les jeux avec les copains, j’étais la voleuse arrêtée par des policiers ou l'Indienne attachée à un arbre.
Plus tard, mes petits amis étaient toujours des garçons... décidés.
Durant mes études, j'ai été obligée de faire des petits boulots. J'ai travaillé "en cuisine" et dans des grandes surfaces. Un jour, alors que je devais mettre des boîtes de conserve dans un rayon, un jeune employé est passé et il m'a dit :
— Faites des piles bien droites, Mademoiselle.
J'ai un peu rectifié les piles de boîtes, mais il a ajouté :
— Enlevez toutes les boîtes et recommencez. Je veux voir des piles impeccables.
J'ai obéi. Par la suite, il est souvent venu vérifier ce que je faisais. Quand il m'a invitée à aller boire un verre chez lui, j'ai accepté et quand il m'a dit de me déshabiller... j'ai obéi.
Ensuite... on s'est mariés. Sexuellement, c'est très bien mais dans la vie de tous les jours, nettement moins. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même et à ma fascination pour le mot "esclave". Comme à l'époque du magasin, il me contrôle. Il ordonne et j'obéis... Je sais, ce n'est pas glorieux. C'est un maniaque de l'ordre et je suis bordélique. Il est très économe et je suis très dépensière, je le reconnais. Il y a environ un mois, j'ai fait une folie... non, deux folies. J'ai acheté une paire d'escarpins rouges à très hauts talons, trop beaux, très chers. Ensuite, j'ai craqué pour de la lingerie La Perla. Je savais que j'allais avoir droit à une scène et je serrais les fesses en attendant le relevé de la banque. Quand il est arrivé, je me suis retrouvée devant lui, comme une écolière qui a fait une grosse bêtise. Il n'y a pas eu d'engueulade, il m’a prise par le poignet et il m’a couché sur ses cuisses. C’est une position que connais hélas, trop bien. Même si la soumission me plaît, la douleur physique, je déteste ! Il a relevé ma jupe et comme je n’avais pas de culotte, j’ai reçu une vingtaine de claques sur les fesses, j’ai crié, pleuré… en vain. J’avais les fesses en feu. Il m’a dit :
— Donne-moi ta carte Visa et ta carte de banque.
J’ai été les chercher je lui ai données et il les a mises dans sa poche en disant :
— Confisquées.
— Mais, euh... comment, je vais faire pour...
— Je te donnerai de l'argent de poche.
Il m'a remis une petite somme d'argent, pas beaucoup. À partir de ce moment-la, le dimanche, il me donne de l'argent pour la semaine... Le gros problème, c'est qu'il prend un malin plaisir à le faire devant quelqu'un, des copines à moi, des amis à lui, sa mère... Il y a 15 jours, il m'a donné mon argent de poche devant sa sœur et ses deux enfants. L'aînée a dit :
— Ah, c'est comme chez nous, Papa nous donne notre argent de poche si on a été sages.
La plus jeune a ajouté :
— Tu as été sage, Tante Mia ?
Ça a fait rire tout le monde... sauf moi. Par contre, j'étais toute rouge.
Alors, j'ai imaginé une petite vengeance. Dans mes rêveries, je m'imaginais le tromper. C'est une revanche excitante. Je dois ajouter deux petites choses à mon sujet. D'abord, je ne suis pas farouche. Ensuite, d'après mon mari, j'ai huit ans d'âge mental, car j'ai peur du noir, des araignées, des serpents et des ascenseurs.... Un jour, quand j’étais petite, je me suis retrouvée bloquée dans un ascenseur et de peur, j’ai fait pipi dans ma culotte.
Depuis, je ne prends plus les ascenseurs. Manque de pot, notre appartement est au quatrième étage. Moi, j’aurais voulu habiter un rez-de-chaussée, mais quand mon mari a su que c’était à cause de ma peur des ascenseurs, il m’a simplement dit :
— Prends les escaliers, c’est bon pour tes cuisses fesses.
C’est ce que je fais, sauf quand je reviens des "grosses courses" et que mon caddy est rempli. Il m’arrive alors de le prendre, la peur au ventre...
Ce samedi après-midi, je rapporte une tonne de nourritures et de boissons. Dans l’entrée de l’immeuble, un voisin attend l’ascenseur. On se salue et il me tient la porte pour que j’entre. C'est un homme d'une quarantaine d'années, assez grand, pas mal. Je le remercie et on se retrouve à trois dans la cabine d’ascenseur : lui, moi et mes courses. Je lui demande :
— Ce n'est pas trop lourd pour l'ascenseur ?
— Mais non, on peut être quatre. Aucune raison d'avoir peur.
Il a à peine dit ça que l’ascenseur s’arrête et la lumière s’éteint. Je pousse un grand cri, car même dans mes pires cauchemars, je ne me retrouve jamais dans un ascenseur en panne plongé dans le noir. Avec en plus des araignées, si ça se trouve. Le voisin essaie de me calmer en disant :
— C’est juste une coupure de courant, il va repartir.
— On va tombeeeerrr !!!
— Mais non... D’ailleurs, on se trouve presque au premier étage, on ne tomberait pas de très haut.
Je m’accroche à lui en expliquant d'une voix tremblante ce qui m’est arrivé dans mon enfance :
— J’ai failli avoir un accident d’ascenseur... quand j’étais petite. J’ai peur...
— Première chose à faire, pousser sur le bouton « alarme ».
Il allume son briquet. La flamme éclaire notre prison, il pousse sur le bouton et... rien ne se passe. Je dis :
— Je vais appeler pour qu’on nous sorte de là.
— D’accord.
Je crie de toutes mes forces :
— Au secours ! On est bloqués dans l’ascenseuuuuur !
On entend une porte s’ouvrir et quelqu’un demande :
— L'ascenseur est en panne ?
— Ouiii, c’est Mia du quatrième... S’il vous plaît, appelez la concierge !
— Mia, celle qui met des jupes tellement courtes qu’on voit la moitié de son derrière ?
Merde, ça doit être la bigote du troisième ! Je mets des jupes courtes, c'est vrai, mais on ne voit pas mes fesses ! Je crie à nouveau :
— Au secouuuuurs !!
L'homme me serre contre lui. Ça me rassure, je lève la tête pour le remercier et là, on se retrouve bouche à bouche. Que faire ? S'embrasser... Je me colle à lui tandis que ses mains vérifient la longueur de ma jupe. Oooooh.... Il vérifie bien !
— Tu es coincée dans l'ascenseur, Mia ?
C'est la voix de mon mari. Je réponds :
— Oui... et j'ai peur.
Plus trop en fait... Il ajoute :
— Tu es seule ?
Mon compagnon de galère répond :
— Non, je suis le locataire du cinquième et j'ai rassuré votre femme.
— C'est gentil, c’est la reine des trouillardes. Je vais prévenir la concierge et je reviens.
— Oh oui, j'ai peur.
En fait, nettement moins parce que le voisin m'embrasse à nouveau. Mon mari remonte avec le concierge et un couple qui vient d'arriver. Ils parlent tous ensemble, mon mari plus fort que les autres. Une femme dit :
— Il faut faire réviser complètement cet ascenseur !
Plus personne ne s'occupe de moi... sauf mon nouvel ami. Il me dit à l'oreille :
— Tu veux que je te rassure encore ?
— Oh ouuuiiiii....
Il glisse sa main sous ma jupe, qui est courte comme vous savez. Et là, tout en entendant mon mari et les autres râler au sujet de la gestion de l'immeuble, il me caresse jusqu’à ce que je jouisse... C'est la première fois que je trompe mon mari. Mais, jouir sous la main d'un inconnu, est ce que c’est tromper ?
***
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Je devais attendre mon Maître à quatre pattes, dos à la porte, les jambes bien écartées et les fesses cambrées, bien en évidence. A côté de moi, toutes mes culottes étaient étendues sur le sol, les propres et les sales, dont une sur mon dos, la plus sale. Les accessoires étaient devant moi, prêts à être utilisés par mon Maître. Il n’était pas encore là que je me sentais déjà sous son entière domination, excitée, apeurée, réduite à l’état de chienne soumise prête à prendre très très cher. Ma chatte était déjà toute trempée, je pouvais le sentir sans la toucher. J’étais attentive au moindre son que j’entendais, toujours persuadée que c’était lui qui arrivait. Quand j’ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressée, tendue et impatiente qu’il ouvre enfin la porte. Je savais qu’il aurait une vue imprenable sur mon anus qui était tout offert à lui. Je l’ai senti s’approcher de moi, et j’ai senti la tension se faire de plus en plus forte. Il m’a tout de suite bandé les yeux, m’empêchant de voir ce qu’il se passait. La moindre de ses paroles me mettait dans un état indéfinissable. Je savais qu’il allait regarder de près mes culottes sales, et vérifier si j’avais bien mis en évidence la plus sale. Mon intimité entière était sous ses yeux, je n’étais plus qu’un objet, j’étais sa propriété, et il allait disposer de moi comme bon lui semblait. Très rapidement, je me suis retrouvée avec ma culotte sale dans la bouche. Je pouvais sentir mon odeur, l’odeur de ma chatte qui avait imprégné ma culotte et qui me remplissait maintenant la bouche. C’était très humiliant, et je me suis surprise à aimer ça. Quand il m’a enfermé dans les toilettes et attachée très fermement pour ensuite m’abandonner, avec ordre de ne pas bouger ni faire de bruit, l’humiliation était encore bien présente, et l’excitation encore plus. Je ne savais pas combien de temps j’allais rester plantée là, dans l’incapacité de bouger et de parler, et plus le temps passait, plus j’oubliais où j’étais. Je n’existais plus que pour satisfaire mon Maître je n’avais qu’une hâte : qu’il vienne me chercher. Je savais qu’il n’y avait aucune issue, aucune possibilité de me détacher. J’étais à lui, et j’allais devoir le satisfaire. Et j’en avais tellement envie ! Quand j’ai dû l’attendre face à la porte, les jambes écartées et la langue tirée, ayant à peine eu le temps de me préparer, j’étais extrêmement nerveuse. Encore sous le coup de l’adrénaline, mes jambes tremblaient et j’avais beaucoup de mal à les maintenir écartées, comme il me l’avait demandé. Je devais garder les fesses bien ouvertes pour que l’objet que je m’étais insérée dans l’anus reste bien à sa place. J’avais encore passé un cap dans l’humiliation, tant la position me semblait dégradante. J’avais envie de rentrer ma langue dans ma bouche, mais je m’efforçais de la garder tirer, comme une chienne qui réclame son maître. Quand il est enfin arrivé, j’ai dû lécher ma culotte sale. Encore une humiliation, je pouvais sentir l’odeur de ma mouille dans ma bouche, et cette odeur est restée très longtemps en moi. J’étais sa chienne, et il avait bien l’intention de me le rappeler. Interdite de me lever et obligée de le suivre à quatre pattes, tirée en laisse ou par les cheveux, tendant les joues pour recevoir ses gifles, cambrant les fesses pour prendre ses fessées, ses coups de cravache ou ses coups de bâtons, chaque minute, chaque seconde, me rappelait mon statut de soumise, et son entière domination sur moi. Mon excitation était à son paroxysme, et je le sentais également très excité. Dans sa voix, dans sa manière de me toucher, de me prendre, quand je sentais sa bite au fond de ma gorge et qu’il me donnait l’ordre de la garder toujours plus au fond de ma gorge et toujours plus longtemps. Quand il m’a baisée, brutalement et sans ménagement, récompense ultime de la soumise, j’étais dans un autre monde, incapable de savoir qui j’étais, juste bonne à recevoir son sexe au fond du mien et à le sentir bien profondément en moi, à me faire baiser comme une bonne chienne que j’étais. C’était tellement bon…
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