La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/09/23
Je me présente vite fait homme proche de la quarantaine marié et je pratique le self bondage depuis mes 15 ans environs. Donc voici mon récit qui est réel et que lorsque je regarde les vidéos j'ai toujours aussi peur de me faire attraper. Depuis quelque temps et comme dans toutes les entreprises la période juillet août et signe de ralentissement niveau charge de travail, donc il m'est sorti comme folie de repéré tous les endroits disponible de l'entreprise ou je pourrai m'attacher avec plus ou moins de risque et je pèse le pour et le contre de chaque endroit si je le fais à cet emplacement ou définitivement non. Le repérage terminé et de retour chez moi je regarde quels équipements je vais emmener et si cela passe dans mon sac sans que cela ce voit. J'ai donc pris ma cage de chasteté, mon crochet anal avec 3 boules, de la corde et des pinces à tétons. Le matin en me levant je m’équipe de la cage et je sors promener le chien en rentrant je me prépare et je pars au travail. Sur place, je réfléchis à quel endroit ce jour là je pratique mon activité favorite et je commence par le plus sécurisé, car c'est un local à coté de mon bureau qui se fermer à clé et que cette clé je sais qu'il y a que moi qu'il l'ait. donc je prépare le matos passe les cordes pour pouvoir m’attacher les mains et attacher aussi le crochet anal. je me déshabille mets les pinces et m'enfonce le crochet je prends mon téléphone et le passe en mode enregistrement vidéo et le pose à un endroit où je peux être dans le cadre entièrement. Là je passe la corde dans le trou du crochet anal et tire sur la corde jusqu’à que je sois sur la pointe des pieds et je fais un nœud ensuite je m'attache les mains au dessus de ma tête, et je reste comme ça pendant environ 5 min tout en me positionnant de façon à ce que la camera enregistre tout ce que j'ai sur moi et en moi . Je me détache me rhabille et passe au lieu suivant. En fait sur les 5 lieux que j'avais gardé j 'ai réussi à faire les 5 dans la même journée en prenant une vidéo à chaque fois. tout en ayant déjà eu une première alerte j'ai un collègue qui est venu en astreinte ce jour la et qui est passé à 10 mètres de moi sur le dernier endroit ou je m'étais attaché. Fort de cette réussite et poussé par l’adrénaline je me suis auto convaincu que pour le lendemain j'allais pousser la chose encore plus loin. oui car cette journée était terminé sur le sujet bondage puisque mon collègue est parti au moment ou moi je partais . A la maison je décida de prendre le reste du rouleau de corde et de la mettre dans mon sac pour pouvoir réaliser le défi que je m'étais imposé. A savoir relier entre elles les 3 cordes (celle des mains, du crochet et le rouleau restant) afin de pouvoir avoir 45 mètres de corde disponible. de fixer une extrémité au point du local à coté de mon bureau qui m'avait servi la veille) de mettre le crochet anal et fixer l'autre extrémité au trou du crochet, d’être en cage de chasteté et d'avoir les pinces au tétons et de marcher dans le couloir jusqu'à la limite de la corde. Ainsi le lendemain au travail, je me préparai et contrôlai que personne n'était présent dans le couloir. et je sorti de mon local et c'est comme que je débuta ma marche jusqu’à l 'arrêt de la corde, il m'a fallu sortir du local parcourir le couloir de mon bureau descendre l'escalier et le crochet me fit faire stop sur la dernière marche de l'escalier. je fis quelque plan de mon cul avec la camera et remonta au local et me rhabilla. Quelques heures plus tard je suis toujours excité et l’adrénaline et toujours à son paroxysme dans mon corps. je décidai donc de recommencer cette expérience mais ce coup ci avec un challenge supplémentaire. c'est que le bout de la corde soit fixé sur la rampe en haut des escaliers. Je me ré équipe mais ce coup ci dans mon bureau de toute façon personne ne peut me voir ni entrer sans autorisation. Et je sors du bureau, fait les 2-3 mètres qui me séparent des escaliers et fixe la corde je regarde si il y a personne et je commence à descendre. Je ne sais pas si c'est parce que mes sens sont en alerte maximale du fait de la situation, mais le bruit que fait la corde dans les escaliers est énorme je trouve. j'arrive à la limite de tout à l'heure, un dernier coup d’œil et je me mets à avancer , j'ai eu l'impression que la corde ne finissait jamais tant je me rapprocher du point limite ou j'aurais pu être découvert. Mais au moment ou j’arrête cette réflexion je sens le crochet me stopper. Comme tout à l’heure je capture l'endroit à la camera. et je remonte et je finis ma journée. Le lendemain, je décide de faire un défi encore plus fou de fixer la corde en bas des escaliers. Je me prépare, et prépare le nœud pour la rampe à l'avance afin de la fixer le plus rapidement possible. je sors du bureau me positionne en haut des escaliers et check une dernière fois l'absence de personne et je commence à descendre. Une fois en bas je passe le nœud dans la rampe et commence à avancer j'arrive au premier virage je m’arrête je passe en mode espion et contrôle qu'il n'arrive personne dans le couloir suivant. Et je reprend ma route, je dépasse le point d’arrêt de la veille, je regarde vite fait ce qu'il reste de corde et je me maudis car il en reste encore beaucoup, A partir de la j'avance très prudemment et très lentement, arrivé à la partie ou de la où je suis je peux voir le croisement des autres couloirs et potentiellement des gens qui arrivent. Je fais encore 1 mètre je me stoppe et contrôle si personne n'arrive, et justement une personne sors de son bureau et entre dans le couloir qui fait le croisement avec celui ou je suis , il me voit et essaie de me dire quelque chose mais moi je fait demi tour en faisant un sprint de malade remonte les escaliers et m'enferme dans mon bureau. je me rhabille et je descends pour voir ou est mon collègue que j'ai croisé, pour savoir ce qu'il a vu. je le retrouve dans les toilettes de mon couloir. De ce qu'il me dit, il a vu la corde quand je m’enfuyais mais a juste vu ma tête pas mon corps. je suis soulagé et remonte à mon bureau. J'aurais du m’arrêter là, mais mon excitation me disait non nous n'avons pas réussi le défi, refait le, et moi comme un con j’obéis. je me re prépare et redescends les escaliers remets la corde et j'avance d'un pas ferme, arrivé à l'endroit de tout à l’heure je me baisse pour essayer de me convaincre que personne ne me verrais et j'arrive au bout de la corde, je suis beaucoup plus loin que je l'avais imaginé. Là où je suis arrêté, n'importe qui entrant dans l'un des 3 couloirs me voit directement, je dis adieu à mon poste ou soit elle me fait chanter (ce qui sur le coup m'excite encore plus) je commence à repartir, et là par la fenêtre du magasin je vois une personne, qui ne peut voir que ma tête du fait que la fenêtre est très haute. Ne lui laissant pas le temps de relever la tête je me mets à courir et rentrer dans mon bureau je me rhabille, et j’attends 30 min que l’adrénaline s'en aille. Une fois calmé, je pars à la recherche de la personne présente dans le magasin, et un collègue m’arrête et me dit:"y a 45 min environ j'étais au magasin et j'ai vu une tête passer très vite et quand j'ai regardé par la fenêtre il avait une grosse corde autour du ventre ou de la cheville j'ai pas bien vu. tu as rien entendu?" . Bien moi j'ai feins l’innocent en lui disant qu'à ce moment la je n'étais pas à mon bureau. En regardant la vidéo, je vois bien que j'ai oublié de contrôler s'il y avait une personne dans le magasin. du coup je ne fais plus ce défis parce que d'un le fait de me faire attraper est trop grand et de deux le défi est réalisé je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Cependant je me lance quand même de temps en temps le défi d'aller chercher un verre à la fontaine à eau complètement nu. J’espère que cette histoire vraie vous plait.
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Par : le 15/09/23
Le jeu d'aiguille, également connu sous le nom de needle play, est une pratique BDSM qui implique l'insertion contrôlée d'aiguilles à travers la peau pour stimuler les sensations et le plaisir du partenaire soumis. Cette activité nécessite des accessoires spécifiques pour garantir la sécurité, l'hygiène, et le bien-être de tous les participants. Dans cet article, nous explorerons les accessoires indispensables pour le jeu d'aiguille. 1. Les aiguilles "spécial BDSM" Les aiguilles utilisées dans le cadre du jeu d'aiguille sont spécialement conçues pour cette pratique. Elles sont généralement plus épaisses que les aiguilles médicales standard, ce qui les rend plus visibles et peut accentuer la sensation de pénétration. Les aiguilles BDSM sont disponibles dans différentes longueurs et diamètres pour s'adapter aux préférences de chacun. Il est essentiel de toujours utiliser des aiguilles stériles et jetables pour minimiser les risques d'infection. 2. Les aiguilles à usage médical Outre les aiguilles BDSM spécifiques, il peut être judicieux d'avoir des aiguilles médicales à portée de main, notamment pour les pratiquants expérimentés. Les aiguilles médicales sont généralement plus fines et moins visibles, ce qui peut convenir à certaines préférences ou à des scénarios de jeu plus avancés. Comme pour les aiguilles BDSM, il est impératif de maintenir un haut niveau d'hygiène en utilisant des aiguilles médicales stériles. 3. Le désinfectant L'hygiène est d'une importance capitale lors du jeu d'aiguille pour prévenir les infections et les complications. Un désinfectant approprié, tel que de l'alcool isopropylique à 70 %, doit être utilisé pour nettoyer soigneusement la peau avant l'insertion des aiguilles. Il est également essentiel de désinfecter les aiguilles avant et après chaque utilisation pour minimiser les risques. 4. Les pinces Les pinces sont des accessoires utiles pour maintenir la peau tendue pendant l'insertion des aiguilles. Elles aident à réduire l'inconfort et la douleur du partenaire soumis. Il existe différents types de pinces disponibles, telles que les pinces de préhension, les pinces à épiler médicales, et les pinces spécialement conçues pour le BDSM. Le choix dépendra des préférences personnelles et du niveau de confort du partenaire. 5. Le kit de premiers secours Même avec toutes les précautions prises, des accidents peuvent survenir pendant le jeu d'aiguille. Il est donc essentiel de disposer d'un kit de premiers soins à proximité. Ce kit devrait contenir des éléments tels que des pansements stériles, des gants jetables, une solution saline pour le nettoyage, des ciseaux à bouts arrondis, et des antiseptiques pour traiter les blessures mineures.
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Par : le 15/09/23
Le needle play, ou jeu d'aiguille, est une pratique BDSM avancée qui peut offrir des sensations uniques et intenses lorsque réalisée de manière réfléchie et consensuelle. Pour ceux qui souhaitent explorer cette pratique pour la première fois, il est essentiel de comprendre les techniques d'insertion d'aiguilles, les différents types de sensations procurées, et l'importance de la communication avec le partenaire. Les différentes techniques d'insertion d'aiguilles L'insertion directe : Cette technique consiste à insérer l'aiguille directement à travers la peau en un seul mouvement. Il est essentiel de maintenir la peau tendue pour réduire l'inconfort de la personne soumise. Cette méthode est souvent utilisée pour créer des motifs artistiques ou symétriques. L'Insertion parallèle : Dans cette approche, l'aiguille est insérée sous la peau le long de la surface, créant une sensation de frottement à mesure qu'elle glisse sous la peau. Cela peut procurer des sensations différentes de l'insertion directe, mais cela nécessite également de maintenir une bonne tension cutanée. L'Insertion en vague : L'insertion en vague consiste à insérer l'aiguille en un mouvement ondulatoire, créant ainsi une sensation de picotement le long du chemin parcouru par l'aiguille. Cette méthode peut être utilisée pour une stimulation plus subtile et peut être particulièrement adaptée aux zones sensibles. L'Insertion en crochet : Avec cette technique, l'aiguille est insérée sous la peau, puis elle est tirée légèrement vers l'extérieur avant d'être replongée, créant ainsi une sensation de tension et de torsion. Cela peut ajouter une dimension de plaisir plus complexe.     Les ressentis Douleur : Le needle play peut être douloureux, mais la douleur peut varier en intensité en fonction de la technique d'insertion, de la zone du corps et de la tolérance individuelle. Certains pratiquants apprécient cette douleur, tandis que d'autres l'utilisent pour explorer leurs limites. Plaisir : Certaines personnes trouvent que le needle play peut provoquer une sensation de plaisir intense, soit par l'effet de l'endorphine libérée en réaction à la douleur, soit par la stimulation directe des terminaisons nerveuses. Sensations de chatouillement ou de picotement : L'insertion en vague ou en crochet peut générer des sensations de chatouillement ou de picotement le long du chemin parcouru par l'aiguille. Cela peut être une source de plaisir pour certains.   La communication avec le partenaire La communication est le pilier central de toute pratique BDSM, y compris le needle play. Voici quelques points essentiels à prendre en compte : Le consentement : Avant de commencer, assurez-vous que tous les participants ont donné un consentement éclairé et volontaire pour la pratique. Discutez des limites, des préférences, et des mots de sécurité. La communication continue : Pendant la session de needle play, maintenez une communication continue avec votre partenaire. Vérifiez régulièrement son état, demandez-lui comment il se sent, et assurez-vous qu'il est à l'aise. Les signaux d'urgence : Établissez des signaux de sécurité clairs pour que le partenaire soumis puisse indiquer s'il a besoin de mettre fin à la séance ou s'il éprouve un inconfort excessif.            
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Par : le 13/09/23
L'homme impatient et pressant avait enfin décidé de bousculer sa femme. Pourtant, autour d'elle, tout à l'air étrangement calme et inanimé, les fenêtres sur la cour sont restées ouvertes et le silence s'est engouffré dans l'appartement, s'installant dans les moindres recoins, tout en résonnant différemment de pièce en pièce. Jamais l'endroit ne lui a paru si vaste et si abandonné. Le temps lui-même semble figé, inerte, exactement comme si cet instant de sa vie, ce morceau d'après-midi, s'était tout entier contracté et que rien ne lui succéderait jamais. La jeune femme n'est pas seulement fantaisiste, elle est un bloc radical de liberté, menant une vie totalement affranchie des convenances et rythmée par des tribulations luxurieuses aux inclinaisons sensuelles exotiques. Ses embardées érotiques ne sont jamais en demi-teinte. Charlotte est une amante unique, passionnée, ambivalente et infatigable. Coulée d'un bloc, elle n'en est pas moins diablement féminine, gracieuse, aguicheuse. Car elle aime les hommes. Elle adore plaire et séduire, elle veut avant tout se sentir désirable et désirée. Quand elle le veut bien, ses yeux coquins ne font aucun quartier. Peu bavarde sur ses pratiques sexuelles, elle n'en demeure pas moins très ouverte d'esprit et même si elle n'a jamais essayé la chose, elle est une bisexuelle convaincue. C'est sa religion, son credo. C'est lorsqu'elle se met sur les genoux et les coudes que je préfère alors Charlotte Inconditionnellement. Moi positionné derrière, avec une vue imprenable sur ses atouts éclairés par une lumière tamisée. Ses formes harmonieuses sont alors projetées en ombres voluptueuses sur les draps frais. Entre ses atouts et ses courbes vénérables, ce sont ses fesses musclées que je préfère devançant de peu, ses seins superbes et hauts placés. Tout comme sa poitrine, ses reins sont délicieusement attirants, ils s'abandonnent parfois lorsqu'elle est amoureusement passive et qu'un désir primitif se réveille en moi. Alors il n'y a pas meilleur sort pour moi que de les admirer, juste avant de les embrasser et de les lécher, pour y frotter mes joues, ma barbe naissante ou mes lèvres gourmandes. C'est ainsi que commence un doux ballet sensuel, durant lequel son corps unique ondule sur mon visage. Après un long examen de son fessier qui satisfait mes yeux curieux, j'embrasse son anus comme s'il s'agissait d'une seconde bouche, d'abord doucement avant d'y impliquer ma langue. Je prends parfois une pause pour contempler ses fesses luisantes de ma salive, à son grand mécontentement, car Charlotte se met à grogner de protestation, en dodelinant ses fesses de gauche à droite. Je les recueille dans mes mains pour les calmer, tandis que je replonge ma langue le plus loin possible dans son rectum caverneux et humide, entre ses reins offerts.   Elle se montrerait amoureuse et consentante. Elle est prête. Son mari a besoin d'avoir une histoire. Tous les hommes, à un moment donné, ont sans doute besoin d'avoir une histoire à eux, pour se convaincre qu'il leur est arrivé quelque chose de beau et d'inoubliable dans leur vie. Cette conviction, son mari continue à se répéter qu'il a épousé la plus intelligente et la plus aimante des femmes, la plus à même de le rendre heureux, et que si c'était à refaire, il n'hésiterait pas une seconde. En réalité, son affection conjugale n'a jamais été aussi véhémente qu'il le prétend, et leur relation, en dépit de liens de complicité et de tendresse intermittente, est devenue à peu près incompréhensible. C'est une relation sans explication logique, comme dans les histoires fabuleuses. N'ayant pas besoin d'une forte dose d'apparence pour vivre, le réel lui suffit. Elle gémit alors, en reprenant ses lents mouvements d'avant en arrière pour mieux y faire pénétrer ma langue. J'aime particulièrement la sentir réagir, frémir quand je lèche le profond sillon de ses reins, quand je me rapproche de cet épicentre que représente son anus extensible et succulent, tel un festin royal, un buffet divin. Au moment où je suce son muscle, Charlotte agite frénétiquement ses grands pieds, telle une Lolita diabolique, sortie tout droit de l'imagination de Nabokov, rien de plus sensuel et de plus délicat. Ses gémissements se font aigus, perçants, totalement différents de ceux qu'elle peut émettre quand elle est pénétrée traditionnellement. Je me sers de ma langue pour dilater, agrandir et ramollir les intimes sphincters couronnant son orifice étroit. Doucement, j'enfonce mon index, suscitant chez elle un long grognement, une plainte d'approbation qui m'amène bientôt à extirper mon doigt de son logis pourtant très accueillant pour y substituer ma langue besogneuse. Charlotte s'arc-boute. Je pose mes mains sur son dos large, admirablement bâti. Puis, je reprends mes mouvements pour la dilater, toujours plus, jusqu'à ce que son anus friand de caresses forme un grand cercle ouvert, dans lequel je peux désormais insérer trois doigts sans forcer. Bientôt, elle ne pousse que des gémissements plaintifs, étouffés. Avec une seule main, je pénètre ses deux orifices, mon pouce dans son vagin et quatre doigts dans son cul offert. Quand elle se cambre, j'éprouve l'envie pressante de la plaquer contre moi, pour étreindre son corps fabuleux, en plaçant une main en coupe sous son ventre, ma queue massive logée entre ses fesses, à l'orée de son sillon anal pour la sodomiser. Toutefois, sachant ce qu'elle préfère, je résiste à la tentation en conservant mes doigts toujours actifs dans ses deux orifices, ma bouche posée sur son rectum, prête à prendre son tour. Charlotte adore prendre tout son temps avant de se rendre.    Démoniaquement impudique, elle se serait allumée toute seule, comme une des torches vivantes des jardins de Néron. Elle a chaud partout: devant le feu lui brûle le visage, les seins, les jambes. Derrière, je l'incendie. Elle s'appuie à moi comme à un vaste mur de chair et de muscles. C'est voluptueux, car c'est maudit. Je substitue donc ma langue à mes doigts dans son rectum en m'attendant à ce que Charlotte crie grâce à tout instant, en se livrant, mais elle s'accroche, tenant à pousser son orgasme jusqu'au bout, à prolonger le plaisir, à tirer le maximum de sa jouissance. Comme dans un rêve, j'entends son feulement monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhale de sa chair sur laquelle mes lèvres se posent. La source qui filtre de son ventre devient fleuve. Elle se cambre de tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrent autour de ma tête puis s'écartent dans un mouvement d'abandon brutal. Elle devient outrageusement impudique, ainsi plaquée contre moi, les seins dressés, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale, me livrant les moindres recoins de sa chair la plus étroite. Quand elle commence à trembler de tout son être, je viole de nouveau de ma langue précise l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abat sur elle avec une violence inouïe. Charlotte est une amoureuse accomplie. Elle a des désirs immodérés comme des rages et des concupiscences monstrueuses. Elle sait aimer jusqu'au sang, mais ce sang-là, c'est celui qu'elle a dans les veines. Celui qui perle parfois sur la chair de son corps. Car pour jouir réellement de tout son être, elle demande souvent à son mari de l'attacher, nue et debout dans leur chambre, les poignets menottés au-dessus de sa tête, et reliés à une chaîne qui descend du plafond. Il n'y alors plus besoin de lui ordonner de se taire. Il devient alors la main qui lui bande les yeux et le martinet tant attendu. Il l'embrasse et avant de la flageller, la prend tendrement et lentement, allant et venant dans les deux voies qui lui sont offertes, pour finalement se répandre sur son ventre. Il la regarde se balancer lascivement tel un pendule divinatoire, oscillant autour de la chaîne. Elle est alors plus que consentante mais ne peut parler. Cette volonté que son mari lui demande, c'est la volonté de faire abandon d'elle-même, de dire oui d'avance à tout ce quoi elle désire assurément dire oui, et à quoi son corps supplie et conjure, surtout pour le fouet. La souffrance lui va bien. Il lui avait promis de la déchirer. La première fois, elle ne crie pas. Il s'y reprend plus brutalement, et elle crie. Son mari la voit sourire. Elle crie de bonheur autant que de douleur, et il ne s'y trompe pas. Lorsqu'il a fini, et après l'avoir libéré, il lui fait remarquer que ce que de lui était répandu sur elle allait se tenter du sang des blessures. Charlotte s'agenouille à ses pieds, et il se sert de sa bouche comme celle d'une putain. Elle accomplit cette fellation avec application et déférence. Il est bientôt temps de la satisfaire, Il s'enfonce entre ses reins, cette fois sans préliminaire pour la faire jouir.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 12/09/23
Anne Lezdomme, auteure émérite, nous plonge dans un monde fascinant où la Gynarchie devient le point central de sa nouvelle œuvre intitulée "Le Triangle Gynarchique". Ce livre ambitieux offre une vision audacieuse de la société, de la sexualité et des relations humaines à travers le prisme de la domination féminine. C'est à la fois un essai psycho-sexuel, un pamphlet socio-politique, un guide pratique et un recueil d'expériences, qui invite le lecteur à réfléchir sur les rapports de pouvoir entre les sexes. Un essai polyvalent "Le Triangle Gynarchique" s'articule autour de multiples facettes de la Gynarchie moderne. Il commence par évoquer un nouvel art de vivre, une philosophie qui propose une alternative aux schémas traditionnels de la société patriarcale. L'auteure explore également le concept de la cellule familiale, offrant une perspective novatrice sur la façon dont les relations familiales pourraient être redéfinies dans un monde dominé par les femmes. Un guide pour les femmes Anne Lezdomme s'adresse directement aux femmes, mariées ou non, qui aspirent à se libérer du joug masculin. Elle offre des conseils et des réflexions sur la manière dont elles peuvent trouver leur propre voie dans cette nouvelle réalité gynarchique. L'ouvrage encourage les femmes à embrasser leur pouvoir et à redéfinir leur identité dans un monde où la domination féminine est le maître-mot. Exploration de la dynamique lesbienne Le livre ne se limite pas à la seule perspective hétérosexuelle. Il explore également la dynamique lesbienne dans le contexte de la Gynarchie. L'auteure examine comment les lesbiennes peuvent jouer un rôle central dans cette nouvelle organisation sociale, que ce soit en conquérant des femmes mariées ou en établissant des relations durables au sein de couples lesbiens. Cette approche inclusive fait de "Le Triangle Gynarchique" un ouvrage novateur qui considère toutes les facettes de la Gynarchie moderne. Le masochisme et la soumission masculine Anne Lezdomme va plus loin en analysant le désir masochiste des hommes de se soumettre à la femme. Selon elle, cette tendance est compatible avec l'aspiration saphique commune à toutes les femmes. Elle examine la place des hommes dans cette nouvelle organisation sociale, tout en reconnaissant que leur rôle est radicalement différent de ce que la société traditionnelle leur a assigné. Une continuation de la théorie de la gynarchie Les critiques comparent Anne Lezdomme à Aline d'Arbrant, une théoricienne de la Gynarchie bien connue. "Le Triangle Gynarchique" est le premier volet d'une trilogie, ce qui suggère une exploration approfondie de ce sujet fascinant. L'auteure semble être la digne fille spirituelle d'Aline d'Arbrant, poursuivant la réflexion et l'expérimentation sur la Gynarchie. Des analyses justes et pertinentes Les lecteurs qui ont découvert "Le Triangle Gynarchique" louent l'ouvrage pour ses analyses d'une justesse fantastique. Il semble toucher un public qui se reconnaît dans les idées de l'auteure. Certaines personnes ont même témoigné que leurs épouses étaient de plus en plus intéressées par le mode de vie gynarchique après avoir lu le livre. Cela témoigne de l'impact puissant de cette œuvre sur la réflexion individuelle et les relations personnelles. "Le Triangle Gynarchique" d'Anne Lezdomme est un livre qui bouscule les normes établies et invite le lecteur à repenser la société, la sexualité et les relations de genre. C'est un ouvrage audacieux qui offre une perspective intrigante sur la Gynarchie moderne et qui continuera probablement à susciter des débats et à inspirer des réflexions profondes sur les rôles des femmes et des hommes dans notre monde en constante évolution.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 12/09/23
Le needle play, (jeux d'aiguilles), peut offrir une expérience intense et sensuelle, à condition d'être réalisée avec précaution et consentement mutuel. Mais quelles sont les différentes zones du corps à considérer pour la pratique du needle play, en soulignant les précautions à prendre pour garantir la sécurité et le plaisir de tous les participants. Le Dos Le dos est l'une des zones les plus couramment choisies pour le needle play en raison de sa surface relativement plate et de sa peau épaisse. Les aiguilles peuvent être insérées le long de la colonne vertébrale, créant un motif esthétique ou symétrique. Cependant, il est essentiel de faire preuve de prudence pour éviter de toucher la moelle épinière. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé ou un praticien expérimenté pour s'assurer que cette zone est sûre à explorer. Le Torse Le torse, y compris la région pectorale, offre de nombreuses possibilités pour le needle play. Les aiguilles peuvent être utilisées pour créer des motifs artistiques ou simplement pour stimuler les sensations. Les participants doivent faire preuve de prudence pour éviter les zones sensibles, telles que les mamelons ou les côtes, et éviter de toucher les organes internes. Les Seins Les seins sont une zone érogène populaire pour le needle play. Cependant, cette pratique nécessite une attention particulière, car les tissus mammaires sont sensibles. L'insertion d'aiguilles dans cette région doit être effectuée avec une grande précision pour minimiser les risques de blessure. Il est recommandé de discuter des limites et du niveau de confort avec le/la partenaire avant de s'engager dans cette zone. Les Fesses Les fesses offrent une surface charnue et adaptée au needle play. Les aiguilles peuvent être insérées dans la chair des fesses pour créer des motifs visuels ou pour stimuler les terminaisons nerveuses. Assurez-vous de choisir des zones sans risque pour les organes internes et de communiquer ouvertement avec le/la partenaire pour garantir une expérience agréable. Les Parties Génitales Les parties génitales sont une zone extrêmement sensible, et le needle play dans cette région doit être abordé avec une extrême prudence. Il est essentiel d'obtenir un consentement explicite et de discuter des limites avant d'explorer cette zone. L'expérience doit être réalisée par des praticiens expérimentés, car les risques de blessure sont plus élevés. Les Pieds Les pieds sont une zone à explorer pour ceux qui recherchent une expérience unique de needle play. Les aiguilles peuvent être insérées dans la plante des pieds ou entre les orteils pour créer des sensations nouvelles. Cependant, soyez conscient que cette zone est sujette à l'infection en raison de la marche, donc une hygiène rigoureuse est cruciale.   Les Mains Les mains offrent une autre option intéressante pour le needle play. Les aiguilles peuvent être insérées à travers les paumes ou les doigts pour une expérience sensorielle unique. Assurez-vous de choisir des zones sans risque pour les tendons et les articulations.      
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Par : le 07/09/23
(Texte de BDSM que je remercie chaleureusement)   Dans l'univers complexe et diversifié du BDSM, de nombreuses variantes et niches attirent l'attention des amateurs de pratiques érotiques alternatives. L'un de ces sous-groupes, le fétichisme de Catwoman, émerge comme une fusion intrigante entre la séduction féline et l'esthétique BDSM. Plongeons dans ce monde de désirs sombres et de fantasmes félins, où le jeu de rôle et la puissance érotique se rencontrent. Catwoman : L'élégance féline de l'érotisme Le fétichisme de Catwoman trouve son origine dans le monde du petplay, une forme de jeu de rôle où les participants adoptent le comportement et les traits d'animaux domestiques ou sauvages. Dans ce cas, l'icône de Catwoman, avec son mélange unique de grâce féline et de charme mystérieux, devient le pivot central du jeu. Ce fétichisme met en avant les éléments qui caractérisent Catwoman : sa combinaison moulante en latex ou en cuir, sa démarche sensuelle, et sa capacité à être tantôt câline, tantôt sauvage. Les participants se glissent dans la peau de cette figure emblématique, adoptant son attitude audacieuse et provocante. Le jeu consiste à fusionner les sensations et les émotions associées à Catwoman avec les dynamiques de pouvoir et de contrôle inhérentes au BDSM. Un monde de possibilités sensuelles Le fétichisme de Catwoman ouvre un éventail fascinant de scénarios et de rôles. Les adeptes de cette pratique peuvent se livrer à des jeux de rôle où l'un endosse le rôle de Catwoman, séduisant et provocant, tandis que l'autre incarne un adversaire ou un partenaire consentant, explorant ainsi les dynamiques de domination et de soumission. Les éléments de la tenue de Catwoman, des combinaisons ajustées aux masques en passant par les bottes, jouent un rôle crucial dans la création de l'atmosphère érotique Un groupe de discussion dédié à l'érotisme sauvage de Catwoman dans le pet play Le fétichisme de Catwoman offre une voie unique vers la réalisation de fantasmes érotiques en fusionnant l'esthétique captivante de cette icône avec les dynamiques complexes du BDSM. Ce mélange de jeu de rôle, de sensualité féline et de pouvoir érotique permet aux participants d'explorer leurs désirs sombres dans un environnement contrôlé et consentant. Que vous soyez attiré par l'élégance féline de Catwoman ou par d'autres facettes du BDSM, l'exploration de vos fantasmes et de vos désirs est une aventure personnelle qui mérite d'être abordée avec soin, respect et enthousiasme.
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Par : le 07/09/23
(Texte de BDSM que je remercie chaleureusement)   La masturbation, souvent considérée comme l'une des premières expressions de la sexualité humaine, a longtemps été entourée de mythes, de tabous et de malentendus. Pourtant, au fil des décennies, la science et la société ont progressivement reconnu son rôle crucial dans la découverte de soi, le bien-être émotionnel et la santé sexuelle. Elle est non seulement une source de plaisir, mais aussi un moyen d'explorer et de comprendre son propre corps, ses désirs et ses limites. Dans le vaste univers du BDSM, où les jeux de pouvoir, la douleur, le plaisir et la confiance se croisent et s'entremêlent, la masturbation trouve une place unique. Elle peut être à la fois un acte d'affirmation de soi et un outil de soumission ou de domination. Alors, comment cet acte intime et personnel s'intègre-t-il dans le monde complexe et nuancé du BDSM? Cet article se propose d'explorer les intersections fascinantes entre la masturbation et le BDSM, en mettant en lumière les différentes façons dont ils peuvent se compléter et s'enrichir mutuellement. La masturbation de l'antiquité aux donjons BDSM La masturbation, bien que présente depuis la nuit des temps, a traversé une histoire tumultueuse, oscillant entre acceptation et réprobation. Dans l'Antiquité, certaines cultures la considéraient comme une pratique normale, voire bénéfique. Les Grecs anciens, par exemple, n'avaient pas de mot spécifique pour désigner la masturbation et la percevaient comme une autre forme d'expression sexuelle. Cependant, avec l'avènement de certaines doctrines religieuses au Moyen Âge, la masturbation a été stigmatisée, associée à la culpabilité et considérée comme un péché. Au fil des siècles, la science a tenté de comprendre la masturbation, la classant parfois comme une maladie mentale ou une déviance. Ce n'est qu'au XXe siècle, avec les travaux de sexologues tels que Kinsey et Masters & Johnson, que la masturbation a commencé à être reconnue pour ce qu'elle est : une composante naturelle et saine de la sexualité humaine. Dans le contexte du BDSM, la perception de la masturbation a également évolué. Dans les premières communautés BDSM, la masturbation, en particulier masculine, était parfois vue comme un signe de faiblesse ou d'incapacité à trouver un partenaire. Cependant, à mesure que la culture BDSM s'est développée et diversifiée, la masturbation a été réévaluée et intégrée dans de nombreux jeux et scénarios. Elle est devenue un outil de pouvoir, un moyen d'explorer la douleur et le plaisir, et une façon d'approfondir la connexion avec soi-même ou avec un partenaire. Aujourd'hui, dans la culture BDSM moderne, la masturbation est célébrée pour sa capacité à renforcer la confiance en soi, à explorer des fantasmes spécifiques et à jouer avec les dynamiques de pouvoir. Qu'elle soit pratiquée en solo ou sous les ordres d'une personne dominante, elle est devenue un élément essentiel de l'expérience BDSM pour de nombreux pratiquants. Masturbation et jeux de pouvoir Le BDSM, dans son essence, joue avec les dynamiques de pouvoir, créant un équilibre délicat entre le contrôle et la reddition. La masturbation, en tant qu'acte intime et personnel, peut être intégrée dans ces jeux de manière profonde et significative. La masturbation comme acte de soumission ou de domination Dans le contexte BDSM, la masturbation peut être utilisée comme un acte de soumission ou de domination. Pour le soumis, se masturber sur ordre d'un dominant peut être une expérience d'humiliation ou d'exposition, où il est vulnérable et ouvert à l'observation et au jugement. Inversement, un dominant peut se masturber devant un soumis pour affirmer son pouvoir et sa position, transformant un acte généralement privé en une démonstration de contrôle. Ordres, contrôles et restrictions liés à la masturbation Les jeux de pouvoir autour de la masturbation ne se limitent pas à l'acte lui-même. Les dominants peuvent donner des ordres spécifiques sur quand, comment et où un soumis peut se masturber. Ces ordres peuvent inclure des restrictions sur la durée, l'intensité, ou même les fantasmes auxquels le soumis est autorisé à penser. De tels jeux peuvent intensifier le sentiment de contrôle du dominant et la sensation de soumission du soumis, renforçant ainsi leur dynamique BDSM. La chasteté et les dispositifs de chasteté comme outils BDSM La chasteté joue un rôle particulier dans le BDSM, en particulier dans les jeux de pouvoir liés à la masturbation. Les dispositifs de chasteté, qu'ils soient pour hommes ou pour femmes, sont conçus pour empêcher la masturbation ou l'orgasme. Ils peuvent être portés pendant des périodes prolongées, avec le dominant détenant généralement la clé ou le moyen de libération. Ces dispositifs renforcent la dynamique de pouvoir, où le dominant contrôle non seulement le plaisir du soumis, mais aussi son propre corps. Pour le soumis, cela peut être une expérience profondément érotique, mêlant frustration et anticipation. Masturbation et auto-BDSM L'auto-BDSM, ou la pratique du BDSM en solo, est une forme d'exploration personnelle qui permet à l'individu de naviguer entre les rôles de dominant et de soumis, tout en étant à la fois l'exécuteur et le récepteur. La masturbation, dans ce contexte, devient un outil puissant pour explorer les limites entre douleur et plaisir. Exploration de la douleur et du plaisir en solo L'auto-BDSM offre une opportunité unique de découvrir ses propres limites et d'expérimenter la douleur et le plaisir à son propre rythme. Sans la présence d'un partenaire, l'individu peut se concentrer pleinement sur ses propres sensations, apprendre ce qui fonctionne pour lui et ce qui ne fonctionne pas, et ajuster l'intensité en conséquence. Cela peut être une expérience libératrice, permettant une introspection profonde et une meilleure compréhension de ses propres désirs. Utilisation de jouets et d'accessoires BDSM pendant la masturbation L'intégration de jouets et d'accessoires BDSM peut enrichir l'expérience de la masturbation. Menottes, pinces à tétons, fouets, plumes, et bien d'autres, peuvent être utilisés pour stimuler, punir ou récompenser. Les jouets vibrants, en particulier, peuvent être utilisés en conjonction avec d'autres accessoires pour intensifier le plaisir. L'utilisation de ces outils permet de créer une ambiance, de renforcer le jeu de rôle et d'ajouter une dimension supplémentaire à l'expérience. Les précautions à prendre lors de la pratique de l'auto-BDSM Bien que l'auto-BDSM puisse être une expérience enrichissante, il est essentiel de prendre certaines précautions. Sans la présence d'un partenaire pour surveiller et intervenir en cas de problème, la sécurité devient primordiale. Il est crucial de connaître ses propres limites, d'avoir un moyen de se libérer rapidement en cas de besoin (surtout lors de l'utilisation de contraintes) et d'éviter les situations qui pourraient entraîner des blessures. De plus, il est recommandé de ne jamais se bâillonner seul et d'éviter toute pratique qui pourrait compromettre la respiration. Les bienfaits de la masturbation dans le BDSM La masturbation, bien au-delà de sa fonction biologique et de son rôle dans le plaisir personnel, offre une multitude de bienfaits, en particulier lorsqu'elle est intégrée dans le contexte du BDSM. Ces avantages transcendent le simple acte physique pour toucher des aspects plus profonds de la psyché et du bien-être émotionnel. Renforcement de la confiance en soi et de la connaissance de son propre corps La masturbation permet une exploration intime et personnelle du corps. Dans le cadre du BDSM, où le corps peut être à la fois un instrument de plaisir et un terrain d'exploration des limites, se masturber peut aider à renforcer la confiance en soi. En découvrant ce qui procure du plaisir, ce qui est inconfortable ou ce qui est douloureusement agréable, on apprend à mieux connaître son propre corps. Cette connaissance peut renforcer l'estime de soi, car elle permet de s'affirmer dans ses désirs et ses limites lors d'interactions BDSM avec des partenaires. Exploration de ses propres limites et désirs La masturbation, surtout lorsqu'elle est combinée avec des éléments BDSM, offre un espace sûr pour tester et repousser ses propres limites. Sans la pression ou les attentes d'un partenaire, on peut explorer des fantasmes, des jeux de rôle ou des scénarios spécifiques. Cela peut aider à identifier des désirs latents ou à clarifier des aspects du BDSM qui sont particulièrement stimulants ou gratifiants. Réduction du stress et amélioration de la santé mentale De nombreuses études ont montré que la masturbation peut aider à réduire le stress, à libérer des endorphines et à améliorer l'humeur. Dans le contexte du BDSM, où la libération émotionnelle peut être amplifiée par des jeux de pouvoir, de douleur et de plaisir, la masturbation peut offrir une évasion mentale profonde. Elle peut servir de mécanisme d'adaptation, permettant une pause des tracas quotidiens et offrant un moment de concentration purement sur soi-même et ses sensations.   A lire également : La masturbation - lorsqu'on vous en impose la vue [Homme] ou [Femme] Masturbation sans orgasme … ou pas
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Par : le 07/09/23
Le petit matin était déjà là. On aurait pu croire que la nuit n'avait pas existé. Les deux amantes avaient alterné les moments d'éveil et d'assoupissement, mélangeant ainsi les frontières entre le rêve et la réalité. Qu'on imagine cette belle jeune fille, d'une ingénuité désarmante, élévée entre un père passionné de musique baroque, une mère qui s'est réfugiée dans un univers de paysages naïfs et de personnages de contes de fées, une institutrice qui n'apportait du monde extérieur que l'abstraction mathématique ou des formules chimiques vides de sens, qu'on imagine cette belle jeune fille découvrant que l'objet de ses amours enfantines, puis adolescentes, est au prise avec une autre femme dont, avec une maladresse inaccoutumée, il ne sait pas se débarrasser pour l'accueillir, elle l'immaculée, et on comprendra que la blessure soit profonde et triste. Mais il y a dans cette âme d'étonnantes ressources de hauteur et de dignité. La révélation du monde inouï de Rochechouart où elle avait été si longtemps confinée, sans effacer la déception si grande qu'elle paraissait même irréelle, impossible, cette révélation préserve Charlotte du désespoir. Il y a aussi en elle une farouche énergie, un mépris absolu du temps. Elle achète un piano. Il serait exagéré de dire qu'elle est une virtuose, mais elle a hérité de son père, une approche généreuse de la musique italienne des XVIIème et XVIIIème siècle, et un doigté si léger que ses mains semblent dessiner des arabesques au-dessus du clavier sans le toucher. La pièce est pratiquement plongée dans la pénombre. Le clair-obscur idéalise le beau visage fin aux longs cheveux noirs. Charlotte, accoudée à la fenêtre de sa chambre, regardait le soir descendre sur la vallée. Le soleil venait de passer derrière les grandes collines, presque des montagnes, que le contre-jour rendait noires, avec des franges de lumière sur le dos des châtaigniers qui montaient courageusement en escalade jusqu'à leurs faîtes. Elle se sentait en paix. Il y avait le tintement des cloches de vaches dans l'ombre, de rares grondements de moteurs d'automobiles que l'on ne pouvait discerner sur la route sinuant sous les arbres, là-bas en bas. Des fumées, par-ci, par là, s'élevaient des toits de tuiles des fermes tapies à la lisière des bois. Quelle merveille d'ajouter les fumerolles d'une cigarette aux volutes qui montaient aux flancs des collines, un verre de meursault à portée de la main. La petite ville de Rochechouart était bâtie sur une corniche de rochers dominant la vallée. Les quelque cents maisons qui la composaient se groupaient en troupeau au pied d'un château féodal dont deux tours ébréchées subsistaient seules. Le clocher de l'église, un peu plus bas, ne s'élevait pas très haut au dessus des toits pointus des maisons anciennes. C'était un village typique, les habitants disaient ville, ils y tenaient, "bien de chez nous", dominant de façon assez abrupte, un des plus beaux paysages du monde. Maintenant, il règne un silence parfait, un silence villageois, à l'heure où les travaux des champs sont abandonnés, un concert de chiens emplit la maison. Le soir qui tombe est un ravissement sous les grands arbres fantomatiques, éclairés par les premiers rayons de Lune qui attirent des myriades de papillons de nuit dont la danse est comme une chute de neige. Sur la route, plus bas, le long de la plaine, les phares des voitures défilent sans bruit et la cascade est si isolée, si intemporelle que Charlotte oublie le bonheur simple de cette fin de journée. Un souffle passe, purifiant l'air qu'elle respirait. L'apparition d'une jeune femme douée de grâce est un moment magique dans la vie et l'œuvre d'un romancier qui a toujours besoin de retrouver des sentiments dépouillés d'artifices. Sa quasi nudité évanescente était délicieusement indécente.    C'était comme un endroit qu'il fallait reconquérir, où il fallait ajouter du souvenir au souvenir. Sa peau, assuraient ses douces amies, avait le goût des abricots mûris au soleil. À la tombée de la nuit, elle ferma les yeux et nous pensâmes qu'elle ne les rouvrirait pas. Elle noyait toujours sa mélancolie dans l'ironie ou de longs silences. Charlotte, en déshabillé noir, cache pudiquement son corps bruni par le soleil. Elle pense à Juliette. Elle n'oublierait jamais leur première rencontre, la mémoire de leur amour à naître, brûlante, glacée, courbées par le désir, comme une bataille d'enfants avec la même innocence et les mêmes rêves. Les yeux fermés, à sa fenêtre, sans pensée, toute envahie de son absence, elle ne peut interdire sa main de glisser le long de son corps et de se caresser. Les amours l'avaient laissé indemne jusqu'à Juliette. Elle adore voir la joie de vivre dans ses yeux malicieux, avec la parfaite connaissance de ses doigts soyeux du corps féminin, jamais lasse d'étreintes fiévreuses, toujours à l'assaut. Pour Charlotte, les hommes sont le mensonge, avec leurs mains fausses, leur appétit, la politique dont ils parlent; ils font impression jusqu'au jour où leur faiblesse éclate; pour la plupart, ils sont peureux et paresseux, et la faiblesse engendre la vulgarité. Juliette était la femme de sa vie. Avec le temps, les corps s'apprivoisent et les caractères se sculptent. Elle avait accepté de se soumettre à elle dans une totale abnégation. La flagellation et les humiliations sexuelles, ça faisait partie de la poésie de Charlotte. Entre douleur et langueur, supplices et délices, telle de la glace sur du granit, le désir était devenu une terre ardente où s'épanouissait son corps. Quand Juliette évoquait l'anatomie altière de Charlotte, sa grâce brune et allongée, sa femme-enfant, fragile et éternellement adolescente, ses seins parfaits, ses longues jambes toujours brunies par le soleil, elle avait peur pour elle, du soleil, des coups de cravache trop violents qui semblaient devoir la brûler. Elle l'aurait voulue, idéalement dans la pénombre d'un boudoir, dans un décor vaporeux qu'elle aurait éclairé de la lueur de ses longs cheveux noir de jais croulant en cascade sur ses épaules nues. Fragile et forte, forte mais attendrissante de faiblesse pensait Charlotte en regardant la nuit monter dans le ciel immense. Que ferais-je sans elle, je serais un peu perdue, désemparée. Charlotte s'ouvrit et se cambra au contact de son doigt qui remontait et qui se mit à masser doucement son bouton de chair turgescent qui gîtait dans l'ombre de son pubis. Ineffable lui fut la caresse de son index à l'orée de sa voie la plus étroite, provoquant en elle une sensation de plaisir telle que jusqu'au fond de son ventre et de ses reins, elle fut traversée d'une tension exquise, presque insoutenable. Elle s'abandonna à cette jouissance, à cette extase irradiante. C'était comme si son être entier, tout son corps, tous ses nerfs, tout son sang bouillonnant affluaient dans son hédonisme solitaire. Elle eut un éblouissement d'impudicité. Elle cria sa lasciveté, avec des saccades et des soubresauts. Elle demeura debout, les cuisses écartées, les bras mous immobiles le long du corps. Elle avait encore en elle des ondes d'orgasme qui se répandaient dans une fréquence de plus en plus lente, comme les vagues qui meurent sur le sable quand la mer est calme sous un ciel étale. Une femme experte n'aurait pas été plus habile à lui donner autant de plaisir, sauf Juliette. Mais elle était heureuse de dormir seule dans le grand lit, avec le calme de la campagne tout autour. Elle allait tirer les rideaux, laisser entrer la lumière du soir recouvrir ses rêves et la Lune éclairer les arbres. Dehors défilaient la route, les arbres, les collines et les ruines du vieux château. Même dans l'obscurité, elle vivait le regard de quelqu'un qui l'aimait.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/09/23
Rêves - Fantasmes ou Illusion? Pour  me promener autour du camping naturiste, j'avais mis un short bien court( ouvert sur le cotés!), un débardeur à fines bretelles avec dans le dos écrit "BDSM" et devant une impression d'une corde, de menottes ainsi qu'une cagoule. Difficile d'être plus clair :* Nues pieds, je me baladais sur le coté gauche de la route. pas de sac à dos, juste une casquette et une paire de lunettes de soleil! Les voitures ralentissaient en me croisant, par fois klaxonnaient en me doublant. Après une heure de marche en plein soleil, vers 14 heures et un bon début de transpiration, un premier véhicule s'arrête et je ne sais pas trop pourquoi, à la tête du chauffeur, je continue ma marche de célibataire. Un second, puis un troisième, puis au cinquième je décide à me laisser prendre en stop. Assis coté passager, je mets ma ceinture lorsque le chauffeur s'arrête, me mets des lunettes très foncées  et me passe des menottes dans le dossier du siège! C'était sur, j'étais tombé sur un Dominateur sans aucun doute : il avait des menottes dans la boite à gants, Je ne connaissais rien de lui et réciproquement, jusqu'où irait-il ? J'avais pas mal de limites, par exemple, je ne pratique pas la sodo, ni le Fist et de plus je n'aime pas sucer un sexe! Je ne tirais pas trop sur les menottes pour avoir vu les conséquences et les effets, les blessures qu'elles peuvent causer  sur les poignets. Pour le moment, j'étais satisfait et excité par la situation! Mais la suite à quel sauce j'allais être cuisiné ? Mon sexe me faisait mal d'excitation et mon sein gauche devenait de plus en plus douloureux. Où allait-on ? Je ne vois rien avec ces lunettes et nouvel arrêt, comme mon débardeur ne peut être enlevé avec le port de la ceinture et mes poignets liés dans le dos, ce que je craignais arrive : il est vigoureusement déchiré.   J'avais mis tant de temps à le fabriquer!   Désormais torse nu ( je serais bien obligé de rentrer ainsi!) , dans la voiture d'un inconnu, fermeture éclair du jean descendue, il y avait déjà un bon moment que mon sexe se sentait à l'étroit dans mon string! Le moteur tournait toujours et les mains du chauffeur n'ont guère tarder à me pincer les seins de plus en plus fort. Ré départ et comme c'était une voiture automatique, la main droite libre du chauffeur continuait à triture mon  sein gauche en alternance avec mon sexe. Pour des raisons pratiques mon sein droit était ignoré. La voiture repart et je sens très vite une main baladeuse déboutonner mon jean afin de mieux pouvoir tâter mes parties génitales. Après plusieurs ralentissements et arrêts, Mon chauffeur remonte la fermeture éclair de mon short et coupe le moteur. Je ne peux descendre à cause de la ceinture, le chauffeur ouvre ma portière, défait ma ceinture et libère une des menottes, je peux alors bouger et à l'aveugle je descends du siège pour me retrouver aussitôt bras menottés devant, tiré par la chaine des menottes. J'entends le, bruit d'une serrure, on entre dans une pièce sombre et je dois mettre les mains sur la tête. Je sens mon short et mon slip descendre sur les chevilles! Me voila tout nu, menottés devant un inconnu dans un endroit inconnu! Impossible même de marcher, mon short sur les chevilles m'empêche de bouger. J'ai pris le risque de monter dans cette voiture et maintenant que va-t-il m'arriver ? J'ai pris le risque et aussi provoquer un peu avec mon débardeur bien ciblé en dessins sans équivoque ! Je reste nu debout, les mains menottées au dessus de la tête et short sur les chevilles qui m'empêchent de marcher un peu ! J'attends la suite, nu comme un vers, mon corps offert librement & volontairement sans trop savoir ce qui pourrait m'arriver ! En effet pour un soumis, il est bien difficile et délicat de se livrer sans prendre de risque, principalement avec un nouveau Maître. Ce qui est bien le cas aujourd'hui, puisque c'est ce que cherchais et que j'ai bien voulu, sans regrets pour l'instant! Mon Dominateur d'occasion m'enlève mes nus pieds et en profite pour enlever mon short, afin de m'écarter un peu les jambes ! Je sens mes bras tirés vers le haut par les menottes, je bande toujours comme un excité qui ne sait pas trop ce qui va se passer ! Au vrai, pour dire : je n'aime pas le port des menottes métalliques, je préfère nettement un bon bondage, ou des bracelets  même un peu serrés ! Les menottes en métal peuvent faire très mal si on force ou tire dessus, les os du poignets étant juste sous la peau. Debout, bras tendus, toujours nu, je reste la sans un mot. Enfin, ce qui devait arriver, arriva, je sens tout mon corps momifié d'un film plastique qui va désormais m'empêcher tout mouvement et bien sur toute possibilité de partir de cette situation bien excitante!   Profitant de cette totale immobilisation, Mon Dominateur du jour en profite pour changer les menottes par des bracelets très serrés, ce qui bien soulage quand même mes poignets endoloris. Combien de temps, suis-je resté ainsi à transpirer, à sentir la sueur dégouliner sur l'ensemble de mon corps ( on est en été et je ne sens pas de climatiseur!) Sexe toujours en rut, je devine Mon Maître du jour me frotter le sexe et les seins de plus en plus fortement! Les pointes des seins deviennent dures et  je sens bientôt la mise en place de pinces à travers ou sous le film plastique. Mon sexe est toujours prisonnier du latex, je transpire de plus en plus et je commence à avoir sérieusement aux bras trop tirés en haut ! La momification fait bien son effet d'emprisonnement et augmente sérieusement la transpiration. Les bras tirés vers le haut commencent à être douloureux et je commence à sentir des fourmis dans les mains. Je suis toujours aussi excité bien que je ne puisse rien deviner de la suite des événements à venir. Je ne connais rien des envies de Mon nouveau Dominateur Enfin, je sens mes bras libérés de la tension verticale et toujours momifié je me laisse aller lentement à m'allonger au sol, sur le dos. Temps de repos bien court ou commence, ou plutôt continu un travail précis de connaisseur sur mes seins déjà bien endoloris! Les pinces sont enlevées et comme je m'y attendaient un peu, vite remplacé par de grosses pompes à seins. Par expérience, je reconnais l'aspiration, mais celle ci cette fois me semblent bien plus monstrueuses et beaucoup plus aspirantes ! Auparavant, j'ai senti mon Maître déchirer le film plastique qui enserrait mes seins, et surtout de les lubrifier généreusement afin d'augmenter encore plus l'aspiration. Mes seins en folies doivent avoir au moins triplés de volume et la très forte aspiration commence à devenir de plus en plus douloureuse. Mon sexe suit l'excitation quand je sens un lien qui l'emprisonne avec les testicules augmentant encore un peu plus mon excitation sexuelle. C'est sur, j'ai bien affaire à un dominateur expérimenté, qui sait prendre son temps et mener aussi un soumis au paroxysme de l'excitation. J'ai l'impression que mon sexe est en feu et que je vais jouir rapidement, sauf que le bondage très serré de mon sexe et des testicules m'empêche une éjaculation salvatrice. Sur le dos, au maximum de ce que j'ai pu connaître auparavant, j'ai très envie de pouvoir me branler et de me faire enfin jouir pour clôturer un peu cette cérémonie un peu bizarre. Je ne suis pas encore au bout de mes surprises quand je sens un doigt me lubrifier l'anus, aussitôt suivi de la pénétration d'un petit gode électrique. Il ne manquait plus que cela pour parfaire mon excitation. Le gode s'enfonçait de plus en plus et mon sexe devenait fou à ne pouvoir jouir, tandis que mes seins semblaient devoir exploser sous l'aspiration indécente et voluptueuse. Enfin une main s'est acharné sur mon sexe, pas assez longtemps à mon gout, et à ma grande surprise vite remplacé  par une bouche gourmande et très aspirante, mes seins presque aussitôt libérés des pompes ont étés virilement et douloureusement malaxés, ce qui a inévitablement provoqué une formidable éjaculation dans la bouche de ...... Je suis resté assez longtemps au sol exténué par la momification et l'excitation générale, et je ne me suis pas trop rendu compte de l'enlèvement du film plastique qui momifiait l'ensemble de mon corps.   Enlèvement des  bracelets !J'ai même du dormir un petit moment avant de revenir au réel. Mon Nouveau Maître temporaire  était parti, m'abandonnant dans la solitude sans savoir si un jour je pourrais le retrouver et ainsi renouveler cette extraordinaire expérience bien insolite et très agréable! J'ai ramassé les reste du film de momification que j'emmènerais avec moi. pour le jeter dans  la première poubelle que je trouverais une fois dehors. Seul, je me suis permis d'aller faire un tour à la salle de bain pour prendre une douche chaude, bien agréable, un coup de serviette pour finir. Je me suis rhabillé et tranquillement, sorti d'un mobil-home pour rentrer torse nu dans le mien : c'était donc probablement un campeur d'ici ? Bien sur, je n'ai aucune photo de cette fameuse et inoubliable rencontre, puisque Mon Maître d'occasion est parti clandestinement ! Je suis sorti libre et heureux du dénouement de mon escapade bien risquée quand même!
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Par : le 03/09/23
C'est un peu par hasard que nous sommes tombés sur un article concernant le Free use. On s'est rendu compte que la manière de percevoir le freeuse variait pas mal d'une personne à l'autre, et que la pornographie était assez réductrice quant à cette pratique. Le freeuse repose sur une séparation entre un partenaire utilisateur et un partenaire objet. Les videos pornos mettent souvent en scène des femmes qui servent les hommes, souvent dans des relations où la pluralité improbable. On essaie dans cet article de vous proposer une synthèse de ce que nous semble être la pratique du Freeuse en synthétisant ce que l'on a pu lire sur le sujet. Mais on ne détient pas la vérité. C'est une vision parmi d'autres. N'hésitez pas à commenter pour partager votre perception différente, si vous en avez une. Bonne lecture !!! :) --- Le terme "freeuse" (l'espace entre les deux a fini sur certains sites par disparaitre aboutissant à créer un mot presqu'à part !)  a récemment gagné en popularité dans les alcoves comme dans les médias, suscitant à la fois curiosité, débat voire controverses (notamment sur certains réseaux sociaux).. Mais qu'est-ce que le freeuse exactement ? Et comment se positionne-t-il par rapport à d'autres pratiques ( est-ce du BDSM ? du fétichisme ?) ou ce que beaucoup considèrent comme le sexe "normal" ? Vous avez dit "freeuse" ?!? Le terme "free use" provient de l'anglais, on pourrait le traduire littéralement par "usage libre", ou en se rapprochant de la réalité de la pratique "en livre service". Dans le contexte sexuel, il fait référence à une dynamique où un ou une partenaire est disponible pour l'autre à des fins sexuelles, souvent sur pulsion de la première (la personne "utilisatrice") et sans nécessité de séduction ou de préliminaires prolongés pour entamer la relation. C'est toujours plutôt bestial. Cette disponibilité de la personne "objet" est basée sur un consentement préalable, où le/la partenaire "utilisé(e)" accepte d'être disponible pour l'autre. Il est crucial de noter que, bien que cette dynamique puisse sembler unilatérale, elle repose sur le consentement mutuel et une communication ouverte entre les partenaires. Le freeuse peut prendre différente formes, allant de simples attouchements ou caresses à des actes sexuels plus hardcore. La clé est que le partenaire "utilisé" a accepté cette dynamique et est d'accord pour être "utilisé" de cette manière. Au cours des dernières années, le concept de "freeuse" a gagné en visibilité, notamment du sait de sa mise en lumière par Internet et les médias sociaux. Des forums de discussion aux plateformes de partage de vidéos, en passant par des récits érotiques, le freeuse est devenu un sujet de curiosité pour beaucoup et d'attirance parfois.. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette montée en popularité. Tout d'abord, la nature même du freeuse, qui joue avec les dynamiques de pouvoir et les tabous, peut être intrinsèquement intrigante pour certains couples. Dans une société où la sexualité est de plus en plus débattue ouvertement, de nouvelles formes d'expression sexuelle émergent et sont explorées. Cependant, il est important de noter que, comme pour toute tendance ou phénomène culturel, ce qui est représenté dans les médias ne reflète pas toujours la réalité ou la complexité des relations réelles basées sur le freeuse. Les représentations dans les vidéos (du genre Youporn/Pornhub) peuvent souvent être exagérées ou scénarisées pour l'effet "dramatique". Pour comprendre le "freeuse" et l'intégrer dans vos pratique, il est essentiel de bien distinguer la fiction de la réalité. Le free use, avec sa dynamique unique de consentement et d'utilisation, soulève de nombreuses questions quant à sa classification dans le vaste spectre des pratiques sexuelles. Est-ce une forme de BDSM, compte tenu de ses évidentes dynamiques de pouvoir ? Peut-on le considérer comme un fétichisme, étant donné que l'acte d'"utiliser" un partenaire peut être attirant et source d'excitation ? Ou est-ce simplement une autre facette de ce que l'on pourrait qualifier de sexe "normal", une variante parmi tant d'autres dans la diversité des relations intimes ? Ces questions ne sont pas seulement académiques ou théoriques. Elles ont des implications réelles pour ceux qui envisage de pratiquer le freeuse ou ont deja franchi le pas. Comprendre où se situe le freeuse peut aider à décomplexer r la pratique, à établir des limites claires et à assurer une expérience positive et consensuelle pour toutes les parties impliquées. En fait, le "freeuse" peut prospérer dans un cadre le BDSM, dans le fétichisme ou tout simplement dans le sexe vanille, et dans la pratique, explorer l'une ou l'autre de ces facettes, ou un peu toute.   Comprendre le concept de "freeuse" Le concept de "freeuse", bien que relativement récent comme on l'a vu, trouve ses racines dans des dynamiques plus anciennes de relations et de sexualité. Pour comprendre pleinement son émergence, il est essentiel de retracer son histoire et ses origines. Précurseurs historiques À travers les âges, différentes cultures et sociétés ont eu des pratiques où un partenaire était à la disposition de l'autre, souvent dans des contextes de hiérarchie ou de pouvoir. Bien que ces situations ne soient pas directement comparables au freeuse moderne basé sur le consentement, elles montrent que l'idée d'une disponibilité sexuelle n'est pas nouvelle. Dans nos sociétés patriarchales, il s'agissait surtout d'une mise à disposition du corps de la femme pour le mâle dominant. Émergence dans la culture érotique Avec l'avènement d'Internet et la démocratisation de la pornographie et de la littérature érotique, de nouveaux genres et niches ont vu le jour. Le free use, en tant que concept, a commencé à gagner en popularité dans ces cercles, souvent présenté comme une pratique où un partenaire est constamment (dans des intervalles de temps convenus, tout de même) disponible pour l'autre. Apparition du mot "freeuse" Le terme "freeuse" lui-même semble avoir émergé au début des années 2010, principalement sur des forums et des plateformes de partage de contenus pour adultes. Sa popularité a augmenté à mesure que la pratique gagnait en visibilité (en s'invitant dans la presse grand public) et que les discussions autour de celui-ci se multipliaient Le rôle et l'influence des réseaux sociaux Avec l'essor des médias sociaux, le freeuse a trouvé une plateforme pour une discussion plus large. Des communautés dédiées ont vu le jour, permettant aux adeptes d'échanger des expériences, des conseils et des réflexions, contribuant ainsi à façonner et à définir davantage le concept. Le freeuse et le BDSM Free use et BDSM ont des points communs À première vue, le freeuse et le BDSM peuvent sembler partager de nombreuses similitudes. Freeuse et BDSM ont des différences Bien que le freeuse et le BDSM partagent donc certaines similitudes, ils diffèrent également à plusieurs égards. Ces différences se manifestent principalement dans les objectifs poursuivis, les pratiques spécifiques et les limites établies. Le free use et le fétichisme Le fétichisme est un terme qui englobe une vaste gamme de fanstames sexuels. Pour certains, il s'agit d'une fascination pour un objet spécifique (example, fétichisme des escarpins), pour d'autres, d'une partie du corps (fétichisme du pied par exemple), et pour d'autres encore, d'une situation ou d'un scénario particulier (fantasme de l'infirmière par exempleà. Mais comment le freeuse s'inscrit-il dans le cadre du fétichisme ? Définition du fétichisme Dynamiques de pouvoir : Au cœur du BDSM et du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir. Dans le BDSM, cela peut se manifester par la domination et la soumission, tandis que dans le freeuse, cela se traduit par la disponibilité d'un partenaire pour l'autre. Dans les deux cas, un partenaire assume un rôle plus "actif" ou "dominant", tandis que l'autre adopte un rôle plus "passif" ou "soumis". Consentement : Le consentement est fondamental dans les deux pratiques. Sans consentement, ni le BDSM ni le freeuse ne sont considérés comme acceptable. Dans le BDSM, le consentement est souvent formalisé à travers des discussions préalables, des contrats et des safewords (mots de sécurité). Dans le freeuse, bien que les modalités puissent varier, le consentement est tout aussi crucial, garantissant que les deux parties sont à l'aise avec la dynamique, et revêtir, là encore, une formalisation..   Négociation : Avant d'explorer le BDSM ou une relation basée sur le freeuse, une négociation est souvent nécessaire. Cela permet aux partenaires de définir leurs limites, leurs désirs et leurs préoccupations. La négociation assure que les deux parties sont sur la même longueur d'onde et qu'elles ont une compréhension claire de ce à quoi s'attendre. Dans le freeuse, cela pourrait inclure des discussions sur quand et comment la "disponibilité" s'applique, ou quelles sont les limites à ne pas franchir. Objectifs : BDSM : Les adeptes du BDSM cherchent souvent à explorer des dynamiques de pouvoir, à repousser leurs limites physiques ou émotionnelles, ou à vivre des scénarios spécifiques. Il peut s'agir d'une exploration profonde de soi, d'une catharsis émotionnelle ou d'un jeu de rôle. Freeuse : L'objectif principal du freeuse est la disponibilité constante d'un partenaire pour l'autre. Il s'agit moins d'une exploration des limites que d'une immersion dans une dynamique spécifique de disponibilité et d'utilisation. Pratiques : BDSM : Le BDSM englobe une vaste gamme de pratiques, allant du bondage à la discipline, en passant par la douleur, la domination et la soumission. Ces activités peuvent nécessiter des outils, des équipements et une formation spécifique. Freeuse : Le freeuse est généralement plus centré sur l'acte sexuel lui-même, sans nécessiter d'équipement ou de préparation spécifique. Il s'agit davantage d'une disponibilité spontanée que d'une mise en scène élaborée. Limites : BDSM : Dans le BDSM, les limites sont souvent clairement définies avant une session. Les partenaires peuvent utiliser des "safewords" pour signaler leur inconfort ou leur désir d'arrêter. Les limites peuvent concerner des actes spécifiques, des zones du corps ou des scénarios. Freeuse : Bien que le consentement soit toujours primordial, les limites du freeuse peuvent être plus fluides. Par exemple, la disponibilité peut être constante, mais avec des exceptions spécifiques. Les limites peuvent également évoluer avec le temps, en fonction du niveau de confort des partenaires. Bien que parfois contractualiser, le freeuse est plus "souple" dans sa pratique. Le fétichisme se réfère à une attirance sexuelle intense pour un objet non vivant, une partie du corps non génitale, ou une situation spécifique qui n'est pas typiquement considérée comme sexuellement stimulante pour la majorité des individus. Cette attirance peut être si intense qu'elle est nécessaire pour la satisfaction sexuelle de l'individu.   Le free use comme fétichisme Objetification : Au cœur du freeuse se trouve l'idée d'objetification consensuelle. Un(e) partenaire est "utilisé" par l'autre, souvent sans les préliminaires ou la phase de séduction traditionnelle. Cette objetification peut être perçue comme un fétichisme en soi, où l'acte d'utiliser ou d'être utilisé est la principale source d'excitation. Le rôle : Dans le freeuse, les rôles sont clairement définis : un partenaire est l'utilisateur, l'autre est celui qui est utilisé. Pour certains pratiquants, c'est cette dynamique de rôle qui est la principale source d'excitation. De la même manière que certains fétichistes peuvent être attirés par des rôles spécifiques, les adeptes du freeuse peuvent être attirés par le rôle d'utilisateur ou d'utilisé. La situation : Le free use est souvent basé sur des situations spécifiques : un partenaire est toujours disponible pour l'autre, quelles que soient les circonstances. Cette constante disponibilité, et les situations qui en découlent, peut être le fétiche en soi. Que ce soit la spontanéité, l'absence de préliminaires, ou la nature "à la demande" du freeuse, la situation elle-même peut être la principale source d'excitation. Le fétichisme est-il toujours présent dans le freeuse Le freeuse, avec sa dynamique unique d'utilisation et de disponibilité, peut certainement présenter des éléments qui rappellent le fétichisme. Cependant, tous les actes ou relations basés sur le freeuse ne sont pas nécessairement fétichistes : Diversité des motivations : Tandis que certains peuvent être attirés par le freeuse en raison d'un fétichisme spécifique (comme l'objetification ou une certaine dynamique de pouvoir comme on vient de le voir), d'autres peuvent être attirés par le freeuse pour des raisons complètement différentes. Par exemple, certains peuvent voir le freeuse comme une expression de confiance et d'intimité profonde, sans nécessairement avoir une fixation fétichiste. La centralité de l'attirance : Dans le fétichisme, l'objet, la partie du corps ou la situation spécifique est souvent central pour l'excitation ou la satisfaction sexuelle de l'individu. Dans le freeuse, bien que la dynamique d'utilisation soit centrale, elle n'est pas toujours la principale source d'excitation. Pour certains, le freeuse peut être une partie d'une relation sexuelle plus vaste, et non la seule source d'intérêt. Fluidité des rôles : Alors que le fétichisme peut souvent être centré sur un intérêt ou une fixation spécifique, le freeuse peut être plus fluide. Par exemple, bien que le freeuse puisse souvent impliquer une dynamique unilatérale, les rôles peuvent parfois être inversés ou adaptés en fonction des désirs et des besoins des partenaires. Contexte culturel et social : Il est également important de reconnaître que la perception du freeuse comme fétichisme peut être influencée par des contextes culturels et sociaux. Dans certaines cultures ou communautés, le freeuse peut être vu comme une pratique marginale ou fétichiste, tandis que dans d'autres, il peut être perçu comme une expression normale et acceptable de la sexualité. Et si le "freeuse" était en fait l'antichambre de la Domination/soumission ? Le freeuse, avec sa dynamique d'utilisation et de disponibilité, a souvent été comparé à d'autres pratiques sexuelles, notamment le BDSM. Mais pourrait-on aller plus loin et suggérer que le freeuse est en réalité une introduction, ou une "antichambre", à la Domination ? Ou du D/s light. Le freeuse : une initiation aux dynamiques de pouvoir Au cœur du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir claire : un partenaire est disponible pour l'autre, souvent à la demande. Cette disponibilité, basée sur le consentement, introduit une asymétrie dans la relation. Pour certains, cette première expérience de dynamique de pouvoir peut éveiller un intérêt pour des jeux de domination/smoussion plus poussés.   Des rôles clairement définis Tout comme dans la Domination, le freeuse repose sur des rôles clairement définis. L'utilisateur/utilisatrice et l'utilisé(e) ont des responsabilités et des attentes spécifiques. Cette clarté peut préparer le terrain à des rôles plus élaborés, comme ceux de dominant(e) et de soumis(e), présents dans les relations BDSM.   La communication et le consentement comme fondements Le freeuse, lorsqu'il est pratiqué de manière éthique, repose sur une communication ouverte et un consentement mutuel. Ces compétences sont essentielles dans toute relation de domination. Ainsi, le freeuse peut servir de terrain d'entraînement pour développer ces compétences cruciales.   Limites et exploration : Le freeuse encourage les partenaires à définir leurs limites et à les communiquer clairement. Cette exploration des limites peut naturellement évoluer vers une exploration plus approfondie des désirs, des dantasmes et des dynamiques de pouvoir, conduisant potentiellement à la Domination. Les 7 obligations sexuels de la "personne objet" dans une relation "freeuse" Disponibilité : Être prêt et disponible pour des activités sexuelles selon les termes convenus, cela peut aller d'être réceptif à tout moment ou seulement pendant des périodes spécifiées à l'avance (exemple : pas durant le sommeil). Réceptivité : Répondre aux avances de la personne utilisatrice avec volontarisme et entrain,, en se conformant aux désirs et aux scénarios préalablement convenus. Préparation : Selon les préférences du couple, cela peut signifier s'assurer que le corps est propre, rasé, ou préparé d'une manière spécifique pour l'acte. Utilisation de protections : Si nécessaire, s'assurer que des protections comme des préservatifs ou d'autres méthodes contraceptives sont utilisées pour garantir la sécurité des deux partenaires. Participation active : Même si la personne "objet" est dans un rôle plus "passif", elle doit s'assurer de participer activement pour le plaisir de l'utilisateur, que cela signifie répondre aux stimulations Respect des scénarios : Si un scénario spécifique a été convenu (par exemple, jouer un rôle particulier ou adopter une certaine attitude), la personne "objet" doit s'y conformer. Utilisation de jouets ou d'accessoires : Si cela fait partie de l'accord, être prêt à utiliser ou à être utilisé avec des jouets ou des accessoires sexuels. Les 5 droits fondamentaux de la "personne utilisatrice" sur la "personne objet" Dans le cadre du freeuse, la personne "utilisatrice" est encouragée à embrasser pleinement son rôle, profitant de la dynamique unique offerte par cette relation. Ces droits, toujours basés sur le consentement mutuel, sont conçus pour maximiser le plaisir et l'expérience de l'utilisateur. Voici une liste incitative des droits de l'utilisateur, spécifiquement axée sur la dimension sexuelle de la relation. Droit à l'initiative : En tant qu'utilisateur, vous avez le droit de guider l'interaction sexuelle selon vos désirs, sans vous poser de questions sur le consentement (puisqu'il a été établi en amont). C'est où vous voulez, quand vous voulez, à la fréquence que vous voulez (plusieurs fois par jour, ou deux fois par an, c'est vous qui décidez). Droit à la disponibilité : Votre partenaire "objet" est là pour votre plaisir. Aucune autre considération ne compte. Vous avez le droit de vous attendre à ce qu'il/elle soit prêt(e) et réceptif/ve à vos avances, dans les limites que vous avez définies ensemble en amont. Exemple : Si une envie vous prend en pleine nuit, votre "objet" devrait être prêt à faire ce que vous lui demandez pour satisfaire pleinement vos désirs. Droit à l'exploration : Vous avez le droit d'explorer vos fantasmes et vos désirs, en utilisant votre partenaire "objet" comme instrument de votre plaisir. Droit à la satisfaction : Votre plaisir est au cœur de cette relation. Vous avez le droit de chercher à être pleinement satisfait à chaque interaction. Exemple : Si vous n'avez pas atteint l'orgasme, vous êtes en droit de guider votre "objet" jusqu'à ce que vous y parveniez, y compris en lui indiquant en quoi il/elle s'y prend mal.. Droit à la communication : Bien que vous soyez dans le rôle dominant, vous avez le droit d'exprimer vos besoins, vos désirs et vos limites clairement. Vous avez le droit d'arrêter un rapport en plein milieu si vous avez changez d'avis ,sans justification.  
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Par : le 03/09/23
Pour les pressés : Accepter de se faire hypnotiser prouve une grande confiance en l'hypnotiseur. Ce dernier ne peut pas vous faire de mal mais peut vous donner les moyens de vous dépasser. Cela fait longtemps que j'hypnotise des gens pour plein de raisons différentes. Ne l'ayant pas inscrit sur mon front et n'en ayant pas fait ma profession, j'ai souvent droit au mêmes réactions : je ne te crois pas, de toute façon ça marche pas sur moi, ou encore, j'ai trop peur de ce que tu pourrais faire, etc. Poutant la plupart des gens finissent par se laisser hypnotiser et en ressortent toujours, soit satisfaits, soit persuadés que ça n'a pas marché. Pour les seconds, c'est très marrant de voir leur tête quand je leur fais écouter l'enregistrement audio de la séance. Car l'hypnose ça marche ! Et en ce qui nous concerne, c'est un puissant levier dans les relations basées sur la domination puisque la soumise commence par donner son consentement à l'hypnotiseur. Et ça c'est le début de toute relation D/s. Explication. L'hypnose, c'est quoi et comment ça marche ? Oubliez tout de suite les films américains et les séries télé. L'hypnose ce n'est pas un pouvoir magique digne de Harry Potter. C'est un état de conscience modifié très bien documenté et enseigné à l'université, au profit des professions médicales, car il permet de mieux gérer la douleur et les traumatismes. C'est logique quand on sait que l'un des pionners de l'hypnose est James Esdaile, un chirurgien écossais qui opérait ses patients sous hypnose en Inde. À l'époque, le chloroforme n'avait pas encore été découvert et une opération consistait souvent à amputer un membre. Et oui, James Esdaile découpait les jambes de ses patients après les avoir hypnotisés pour supporter la douleur. Effectivement, on pourrait croire que c'est de la magie mais c'est beaucoup plus simple que ça : c'est une suggestion qui fait du bien et donc on l'accepte. L'hypnose ce n'est rien d'autre que des suggestions que l'hypnotisé accepte ou pas en fonction de sa conception du monde (éducation, croyances, etc.). On dit que l'idée est congruente avec son système de valeiurs.  En pratique, on commence par "hypnotiser" ou plutôt induire la personne dans cet état de conscience modiifé. C'est un état entre rêve et conscience, celui-là même que l'on ressent quand on se laisse aller et qu'on fait un rêve éveillé. Souvent, le praticien commence par vous inviter à vous relaxer et à vous laisser aller, presque vous endormir. Félicitations, vous venez d'expérimenter votre premier phénomène hypnotique ! L'hypnose est une série de suggestions, il n'y a pas besoin de vous "endormir" pour cela. C'est juste que c'est rassurant pour les gens et ça les persuade qu'ils sont sous hypnose et rend la suite plus facile. Car au fond "vos paupières sont lourdes, vous êtes de plus en plus relaxés, etc." ce sont des suggestions que vous acceptez parce que c'est plus agréable d'être relaxé que tendu comme un string. L'hypnose, ça commence au moment où vous acceptez ce que l'hypnotiseur vous dit. Vous savez, la phrase après bonjour : "Asseyez-vous" ou "Alongez-vous"... Et ça s'arrête à l'instant où l'hypnotiseur dit quelque chose qui vous perturbe. Car si c'est facile de créer un environnement propice aux suggestions positives, il est encore plus facile de briser cette dynamique par une suggestion ratée comme : "vous flottez sur un nuage" à quelqu'un qui souffre de vertige ou "vous nagez dans un océan de douceur" à quelqu'un qui ne sait pas nager. Donc oui, l'hypnose c'est facilement réalisable mais c'est un équilibre très fragile. Et ça Hollywood l'a complètement oublié. La notion de consentement face à l'impossible Comme je viens de l'expliquer, pour hypnotiser quelqu'un il faut son consentement. Et ça va même plus loin, il faut son consentement conscient et inconscient. Avec l'hypnose, on va explorer ce que veut réellement la personne hypnotisée. Il n'y a pas de triche possible. La moindre incohérence ou mauvaise intention va gêner l'hypnotisée et la faire sortir de cette dynamique. Mais alors comment font les hypnotiseurs de spectacle pour vous faire oublier votre prénom ou faire le canard ? Parce que c'est ce que veut la personne hypnotisée. Dans une salle de 300 spectateurs, il y en a toujours une vingtaine qui aimerait bien être sur scène, être le centre d'attention, la star du moment ! Et la volonté de se donner en spectacle est plus forte que la peur du ridicule. Parce qu'après tout, durant un spectacle, il ne peut rien vous arriver de grave et tout le monde le sait. Même s'il vous fait sauter dans le vide, vous savez pertinemment que c'est sans danger et que vous allez atterrir sur un matelas ou être retenu par un elastique. C'est cette notion de sécurité absolue qui sera prédominante et permettra à l'hypnotiseur de faire tout ce qu'il veut avec vous. Ou plutôt, ce que vous lui autorisez à vous faire faire. Car quoi qu'on en pense, on ne cède jamais le contrôle absolu. L'instinct de survie et de protection veille au grain. Mais alors, comment s'envoyer en l'air sur un petit nuage sous hypnose ? Mon inconscient sait bien que ce n'est pas possible ? En effet, tout le monde sait qu'on ne peut s'allonger sur un nuage, sans risquer une chute vertigineuse et d'un gros boum. Mais l'idée de pouvoir le faire est séduisante. Elle ne dérange en rien mon instinct de survie. Elle n'est pas néfaste. Et elle est surtout super agréable ! Alors à la suggestion "imaginez vous flotter sur un nuage..." la plupart des gens vont se dire "ah ouais... c'est bien..." et voilà comment l'impossible devient possible. Voyager à Tokyo en moins de temps qu'il n'en faut pour réserver un billet d'avion, c'est possible. Retrouver la vigueur de ses vingt ans, c'est possible. Ressentir plus de plaisir que jamais... ça s'appelle l'hypnose érotique ! L'hypnose ne va pas changer le monde qui vous entoure mais guider votre imagination là où vous le voulez. Par contre, si vous voulez aller Tokyo, les élans et les pancakes au sirop d'érable ça ne va pas fonctionner. Le consentement et la congruence sont les clés de tout ! Même de l'impossible. L'hypnose et le dépassement de soi Depuis le début de cet article, j'insiste sur l'importance du consentement qu'il soit conscient ou insconscient. Et c'est ce même mécanisme qui définit la relation D/s : la soumise donne sa soumission et donc son consentement à son Maître. Elle accepte de lui obéir en échange de la possibilité de se laisser aller en toute confiance, de pouvoir s'en remettre complètement et totallement à Lui. Et grâce à l'hypnose son Maître peut créer l'environnement parfait pour la faire évoluer. Il peut guider son imagination dans le plus beau des donjons. Transformer le clic clac d'une chambre de bonne en un palais vénitien qui embaume le plaisir et la luxure. Le remplir de personnages célèbres et lui faire croiser le Divin Marquis en plein débat avec Pauline Réage. Juste en distillant quelques suggestions que la soumise va faire grandir, telle que "des nombreux auteurs d'oeuvres érotiques fréquentent ce donjon". Tout est dans sa tête et elle cherchera ce qui est le plus en adéquation avec sa conception du monde. Attention, cela ne signifie pas forcément quelque chose d'agréable. Une masochiste aime la douleur et acceptera la souffrance sans aucun problème sous hypnose. Mais peut-être pas notre soumise... Et si on ne peut faire que des choses que l'on accepte sous hypnose, comment se dépasser ? C'est là que vont intervenir le savoir-faire et le talent de l'hypnotiseur. Comme dans le monde réel, il va faire progresser sa soumise petit-à-petit. En s'armant de patience et d'attention. Sauf que sous hypnose, le temps est relatif. Avancer ou reculer dans le temps c'est comme faire un pas devant ou derrière car l'imagination n'a pas de limite. Ainsi, on peut facilement suggérer un futur dans lequel la soumise a déjà largement dépassé une certaine limite.Lui montrer à quel point elle est heureuse dans ce futur. Et  qu'elle est la fierté de son Maître qui ne parle que de sa soumise capable de faire ce qu'elle cherche à réaliser dans le présent. Que pensez-vous qu'il se passe quand la soumise revient à la réalité avec le sentiment de déjà-vu quand on lui demande de faire cette chose qui lui était jusque-là impossible ? Et les possibilités sont infinies. Elles n'ont comme limite que l'imagination de l'hypnotiseur  Avec l'hypnose, le Maître détient un outil supplémentaire pour dominer sa soumise. L'hypnose a trois avantages majeurs : elle n'est pas dangereuse ; il n'a aucun effet si elle est incongrue ; et pourtant c'est l'un des outils les plus puissant de tous. En conclusion, l'hypnose est une technique qui permet de suggérer des idées et de les faire germer et grandir en un temps record dans l'esprit d'une soumise. Cependant, par la nature même d'une idée, elle sera rejetée immédiatement si elle ne s'accorde pas avec le système de valeurs de la personne hypnotisée. Ce mécanisme inconscient d'auto-défense permet d'offrir la plus parfaite des protections pour la soumise qui peut avoir l'assurance qu'elle peut se laisser aller complètement. Et c'est en toute sécurité qu'on peut lui ouvrir les portes des possibilités infinies de l'imagination et les mettre au profit d'une soumission bien réelle. Car comme le dit mon profil : "Les plus belles chaînes sont dans la tête..."
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Par : le 29/08/23
La gynarchie et la domination féminine La gynarchie, du grec "gyné" signifiant femme et "archie" signifiant règne, est un système social, politique ou familial où les femmes détiennent le pouvoir principal. Dans le contexte du couple, cela se traduit par une domination féminine, où la femme prend des décisions majeures et guide la dynamique relationnelle. Cette domination peut s'exprimer de différentes manières, allant de la gestion des finances à la prise de décision en matière de sexualité. La cage de chasteté : un outil de transformation Le livre de Sylvia Labiche introduit la cage de chasteté comme un instrument symbolique et physique de la domination féminine. En détenant la clé de cette cage, la femme assume un rôle d'autorité, contrôlant la sexualité de son partenaire. Mais l'impact de cet accessoire va bien au-delà de la simple restriction physique. Il s'agit d'une méthode pour remodeler la psyché masculine, renforçant l'attachement et la dévotion de l'homme envers sa compagne. Les bénéfices de la chasteté masculine contrôlée (CMC) Selon Sylvie Labiche, la CMC offre plusieurs avantages tangibles pour le couple : Renforcement de l'attachement : L'homme devient plus amoureux, dévoué et attentif à sa partenaire. Élimination des comportements indésirables : Les traits machistes et les sentiments de jalousie sont réduits, voire éliminés. Revitalisation de la passion : La dynamique du couple est ravivée, rappelant les premiers jours de leur relation. L'empowerment féminin à travers la Gynarchie La Gynarchie conjugale, telle que décrite par Sylvia Labiche, n'est pas seulement une pratique pour le plaisir ou la curiosité. Elle est présentée comme un moyen pour les femmes de reprendre le pouvoir, d'affirmer leur autorité et de gagner en confiance. En contrôlant la sexualité de leur partenaire, elles peuvent également guider d'autres aspects de la relation, créant un équilibre qui leur est favorable. Contenu du guide Le livre de Sylvia Labiche est un guide complet pour ceux qui souhaitent explorer la CMC et la Gynarchie conjugale. Il est enrichi d'illustrations, de conseils pratiques, d'exercices à réaliser en couple et de témoignages de personnes ayant adopté cette pratique. Ces éléments permettent aux lecteurs de comprendre les nuances de la CMC et de la mettre en œuvre de manière éclairée.   "Guide pratique de la chasteté masculine contrôlée et de la Gynarchie conjugale" est plus qu'un simple manuel sur un accessoire érotique. Il s'agit d'une exploration profonde de la dynamique du pouvoir dans les relations, offrant aux femmes un moyen d'affirmer leur autorité tout en renforçant l'attachement et la dévotion de leur partenaire. Pour ceux qui sont curieux ou qui cherchent à revitaliser leur relation, ce guide de Sylvia Labiche pourrait bien être la clé.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 25/08/23
III  Prières du matin. Au nom du B du D du S et du M.… Ainsi soit-il.   Acte de Foi. Mon Maître / Ma Maîtresse tout-puissant(e), je Vous adore avec des sentiments de l’humilité la plus profonde, et je Vous rends de tout mon cœur les hommages qui sont dus à votre souveraineté. Acte d’Espérance. Mon Maître / Ma Maîtresse tout-puissant(e), je crois fermement en Vous et j’espère que Vous m’accorderez votre grâce et me dédierez votre plaisir si j’observe vos commandements. Acte d’amour. Mon Maître / Ma Maîtresse tout-puissant(e), je Vous aime de tout mon cœur, et par-dessus toutes choses, parce que vous êtes infiniment bon(ne) et infiniment aimable avec votre soumis(e). Remerciements. Mon Maître / Ma Maîtresse tout-puissant(e), je Vous remercie très humblement de toutes les grâces que vous m’avez faites jusqu’ici. C’est encore un effet de votre bonté que de demeurer auprès de Vous. Je veux profiter de l’honneur que Vous me faites pour uniquement Vous servir. Je veux Vous appartenir et progresser auprès de Vous. Je veux Vous consacrer toutes mes pensées, mes paroles, mes actions et mes peines. Bénissez-moi Mon Maître / ma Maîtresse, bénissez mes souffrances et mes plaisirs. Faites que chacun de mes actes soit offert à votre plus grand plaisir. Résolutions. Adorable Maître / Maîtresse, modèle de perfection, idole de mon amour, je vais m’appliquer, autant que je le pourrai, à me bien comporter pour Vous, à rester humble, obéissant(e) chaste ou impudique, empressé(e) de faire selon vos caprices, zélé et patient(e) comme vous-même. Je ferai tous mes efforts pour ne pas retomber dans mes fautes et mes hésitations passées, présentes dont je souhaite sincèrement me défaire et dont Vous savez indulgemment me corriger. Demande de grâce. Mon Maître / Ma Maîtresse, Vous connaissez ma faiblesse. Menottez-moi à Vous. Je ne suis rien sans le secours de votre grâce. Ne me repoussez pas, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, proportionnez vos coups à mes désirs, donnez-moi la force du masochisme ou du vice, pour pratiquer ce plaisir-désespoir de la douleur, pour accomplir tout ce vous attendez de moi et pour souffrir toutes les peines qu’il Vous plaira de m’envoyer. Invocations. Je me place sous la tutelle du B du D du S et du M. Et je me jette avec confiance dans le sein de ses pratiques. Je me place sous l’égide de son fouet lubrique, aujourd’hui, tous les jours de ma vie, et cela jusqu’à l’heure de ma mort. Que les pratiques du B du D du S et du M. éclairent mon existence jusqu’au dernier soupir. Que les pratiques du B du D du S et du M. me guident, m’inspirent et règlent mes pas, que je ne m’écarte en rien de la voie des commandements de Mon Maître / Ma Maîtresse. Mon Maître / Ma Maîtresse que j’ai l’honneur d’accompagner sur la voie du B du D du S et du M., protégez-moi, priez pour moi, afin que je puisse Vous servir de soumis(e) sur cette Terre et Vous exaucer dans le Ciel du Subspace. Ainsi soit-il.
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Par : le 23/08/23
II  La prière au nom du B., du D., du S., et du M.   Oraison. Notre Maître/esse qui est O-Dieux (se), donnez-nous aujourd’hui des fils et des filles effrontés, pardonnez-leur leurs offenses, nous saurons bien les attacher, les fesser, les faire jouir… Au nom du B du D du S et du M.…   Gloire au Maître / à la Maîtresse. Gloire au Maître / à la Maîtresse. Je crois au Maître / à la Maîtresse tout-puissant(e), Créateur/trice du ciel de béatitude intense et de la terre ensanglantée du plaisir-désespoir, maintenant et pour toujours, maintenant et pour des siècles et des siècles. Ainsi soit-il.   Confession. Je confesse au Maître / à la Maîtresse tout(e) puisant(e), que j’ai beaucoup péché, par pensées, par paroles et par actions. C’est ma faute. C’est ma faute. C’est ma très grande faute. C’est pourquoi je supplie mon/ma Maître/esse de pratiquer sur moi Bondage Domination Sexe et Merveilles. Que le Maître / la Maîtresse tout-puissant(e) me fasse miséricorde, qu’il me punisse de mes faiblesses et me mène au plaisir et à la captivité perpétuels. Ainsi soit-il. Que le Maître / la Maîtresse tout-puissant(e) et miséricordieux, m’accorde ses caresses, ses pinces et son knout, pour le châtiment de mes provocations. Ainsi soit-il.   Acte de contrition. Ô Mon Miséricordieux Maître / Ma Miséricordieuse Maîtresse, j’ai un très grand regret de Vous avoir provoqué, parce que vous êtes infiniment bon (ne), infiniment aimable et que mes provocations vous déplaisent ; je prends la ferme résolution avec le secours de votre Sainte Grâce de vous offenser à nouveau, d’en recevoir un juste châtiment et d’en faire pénitence.
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Par : le 20/08/23
Une petite promenade culturelle par ces fortes chaleurs, nue chez soi, volet tirés. J'aime pas les clims. Rien sur la peau, c'est encore le mieux. C'est ainsi que je suis tombé sur un des premiers nus à taille humaine de la Grèce Ancienne.  Aphrodite, la déesse du sexe plus que de l'amour.  C'est un peu une évidence pour moi, tant je me retrouve dans les descriptifs de cette sublime déesse, la plus belle de toutes, suivant le choix de Paris, grand amoureux des femmes.  Un choix surprenant, une déesse transexuelle, qui compte un hermaphrodite dans sa descendance, qui participe à des fêtes ou hommes et femmes doivent changer leurs vêtements, une fête bien amusante qui devrait être rétablie. Une journée ou les femmes s'habilleraient en hommes et les hommes en femmes. Cela permettrait de lutter contre toutes les pratiques sexistes et aussi d'aller vers plus de respect entre sexes et surtout d'amour.  Les divinités grecques décrivent ce que notre psyché contient de plus profond, de plus descriptif de nos comportements humains. Une façon amusante de faire de la psy des milliers d'années avant Jung ou Freud.  Aphrodite n'est pas seulement déesse de l'amour, du sexe, du porno, de la prostitution, de tous les vices charnels, de toutes les passions amoureuses, c'est aussi une guerrière fort honorée à Sparte et Troie, sa cité chérie qui donnera Rome.  Elle peut se transformer en dominatrice impitoyable.  J'aime cette déesse androgyne, la plus belle de toutes. 
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Par : le 17/08/23
Le départ Cela ne pouvait pas durer. Je comprenais que je n'avais pas vraiment ma place chez mon maître, que j'y subissais davantage une initiation, un dressage qu'une intégration. Mais pourquoi ? Bien entendu, je ne posais pas de questions. Tout était fait pour m'éprouver. Longues séances attaché dans le jardin. Argent laissé en évidence. Ordinateur du maître allumé dans le salon. Médicastre toujours aussi brusque. Cela ne me perturbait pas mais je sentais bien que j'étais particulièrement étudié, analysé, scruté. Et un matin, le maître vint m'annoncer mon départ immédiat. "Mets ce pantalon, je t'amène chez ton nouveau maître." Et il chargea mes valises que je n'avais jamais rouvertes. C'était l'hiver et c'était la première fois que je quittais son logis. J'ignorais que je n'y reviendrais pas. Il neigeait quand nous traversâmes un village et arrivâmes à une allée menant à une maison isolée, ce qui n'empêcha pas mon maître de m'intimer de me déshabiller pour sortir du véhicule. C'est donc nu, en espadrilles, que je marchai dans la neige en portant les valises et attendis qu'un senior plus âgé ouvre la porte, il fit une accolade à mon maître mais ne me regarda même pas. Je rentrai après eux, posai les valises et attendis dans le couloir, la porte du salon ayant été fermée. Alors que je tentais toujours de me réchauffer, mon maître passa avec le nouveau qui le raccompagna en laissant la porte d'entrée ouverte. J'entendis la voiture partir. Je remarquai alors que le senior entendait mal malgré des appareils auditifs. Il se servit de sa canne pour que j'avance vers une petite pièce à droite où je découvris un lit d'internat, métallique. Quand il me tapota les fesses, je compris qu'il voulait que j'y grimpe à quatre pattes. Dans un tiroir, il prit des sangles pour lier mes poignets à l'avant du lit et les chevilles à l'arrière de façon à bien m'écarter. Et il commença à frapper avec sa canne mais comme il se fatiguait vite, il utilisa un martinet et retrouva rapidement de la vigueur. Il étala ensuite un torchon sur le lit et m'enfonça un plug dont les vibrations se multipliaient dans mon séant encore frigorifié. Il prit ensuite un étui en silicone, saisit mon sexe pour l'entourer. Je commençais déjà à jouir. Il me laissa ainsi...   Nouvelle vie Quand il me libéra, je lui en fus reconnaissant tant j'étais exténué mais ne dis rien comme à mon habitude. Il ouvrit une porte sur le côté et me montra une grande chambre décorée à l'ancienne. Il agita une clochette que j'allais souvent entendre pour me mettre à sa disposition, me montra une armoire avec ses habits et des draps puis une salle de bains avec un lave-linge, un WC, une grande douche, une vasque, et sur des étagères les serviettes et des protections urinaires. De retour dans la petite chambre, il ouvrit un placard avec uniquement des pantalons de jogging et des polos. Je posai les valises en bas. Il me montra le lavabo et la douche qui m'étaient destinés dans un recoin. Les autres pièces étaient le salon, avec un ordinateur déjà ancien, la cuisine au frigo rempli de plats pour les vieux et une arrière-cuisine avec les produits et le matériel d'entretien. Puis il me fit signe de me décrasser sous la douche en m'observant comme un animal de zoo. Je m'habillai évidemment d'un polo et d'un jogging. Nous mangeâmes des plats réchauffés au micro-onde qu'un traiteur apportait trois fois par semaine, complétés par une livraison mensuelle pour les autres produits. Ma fatigue était encore évidente lorsque j'entendis sonner à la porte. Mon maître se leva péniblement et revint avec un grand gaillard qui me toisa, s'assit et m'appela du geste. Il me saisit pour m'allonger sur ses genoux et commença à me fesser d'une manière que je qualifie de professionnelle, sans trop de brutalité, avec une régularité et une force qui devinrent insoutenables, m'obligeant à bouger les pieds et à me débattre. Il me releva et je restai avec le pantalon baissé comprenant qu'il s'agissait d'un avertissement. il m'amena ensuite dans un coin où je me retrouvai à genoux les mains sur la tête.   Première nuit   Quand le géant partit, j'entendis la clochette, remontai mon pantalon et suivis le maître. Il se déhabilla, et quand je lui retirai les chaussettes je devinai une protection dans son slip. En pyjama, il se rendit dans la salle de bain. Quand il revint, je l'aidai à se coucher avant qu'il me fasse signe de partir. Je me suis écroulé sur le lit qui de toute façon n'avait pas encore de draps. Mon maître a certainement insisté avec la clochette au milieu de la nuit pour que je vienne l'aider à se lever. Les draps n'avaient rien, je savais que ce ne serait pas toujours ainsi. La clochette me servit encore de réveil. Je le suivis pour l'aider à se doucher puis à s'habiller. Quand il fut prêt, il me raccompagna dans ma chambre où il me regarda uriner, reprit les sangles et recommença l'installation des appareils vibratoires. Je restai encore longtemps ainsi harnaché et travaillé en tortillant du cul. Enfin il me libéra, m'indiqua de me laver et je pus déjeuner. Le cérémonial s'est répété chaque jour avec cette autre manie : quand j'ai commencé les tâches ménagères, il a abaissé mon pantalon avec sa canne et je le retire donc chaque jour à ce moment laissant le vieux lubrique me tripoter et m'asticoter pendant que je nettoie les lieux. Il en profite aussi dès que je me penche ou me baisse, ou met sa main sur ma bouche en me presssant le pénis. Si un livreur ou autre sonne, je retourne dans ma piaule.   Les jeux L'après-midi, trois habitués venaient jouer aux dés ce qui me laissait un peu quartier libre. J'entendais les exclamations montrant leur emprise à ce jeu jusqu'au cri final. C'était alors à mon tour de participer. Le gagnant choisissait un accessoire dans un placard : jupe, short, chasuble, menottes, sifflet, dossier... et commençait dans le thème choisi avec un grand sens de l'humour que je n'appréciais pas toujours. Plus le prof me donnait d'ordres contradictoires, plus il m'engueulait. La confession de l'enfant de chœur était de plus en plus orientée et intrusive. Je devais mimer les scènes demandées par le juge, pas simple avec les menottes et le pantalon baissé. Impossible de suivre le rythme exigé par l'entraîneur. Le mari tyrannique me ridiculisait. Le vigile recommençait sa fouille de manière de plus en plus approfondie car il avait un doute. Le directeur était de plus en plus directif et me faisait du chantage à l'emploi. Ils ne manquaient vraiment pas d'imagination sauf pour la punition finale et l'enculade pas seulement par le gagnant. Tant pour le jeu que pour la phase finale, ils faisaient durer leur plaisir. Certains après-midis, chacun tirait au sort un gage que je devais exécuter et le résultat final était le même. Mais si le géant passait dire bonjour, ils adoraient le voir officier. Quand ils me rasaient, ils me décoraient avec des tags et graffitis sur toutes les parties de mon corps que j'avais des difficultés à effacer en frottant. Je fus un jour attaché écartelé sur la table du salon à subir toutes leurs envies, notamment la cire chaude.   Jeannot Le médecin décida que mon maître devait faire un séjour en maladies respiratoires à l'hôpital. Quand il partit en ambulance, Jeannot, le plus volubile des joueurs de l'après-midi vint fermer les portes et volets et m'emmena dans sa 4L. Il habitait une ancienne ferme peu entretenue. Son vieux tracteur lui servait encore pour l'affouage dans les bois de la commune. Quelques poules pour les œufs, un chien qui était pratiquement toujours dans la cour. Pas d'appareils récents, pas de télévision, et pourtant un écran, pour l'interphone pensai-je. Il me montra qu'il pouvait visionner toutes les pièces de la maison de mon maître, Pierrot et Paulo, ses comparses de jeu, le pouvaient aussi. Cet ancien cultivateur, avait gardé l'habitude de se lever tôt et était resté très actif. Après le repas qu'il préparait avec des produits de son jardin ou du marché, pendant que je lavais la vaisselle, il me lisait les titres du journal local et les commentait. Il écoutait aussi aussi la radio pour les actualités. Les après-midis, il m'embauchait dans son jardin surtout pour du désherbage. Au retour, il me décrassait dans la baignoire en n'oubliant pas de vérifier le fonctionnement des génitoires. Les soirées étaient calmes, assis derrière la maison. Puis je dormais sur le divan avec le chien près de moi. Le dimanche matin, il m'emmena à la pêche dans un coin dont il avait le secret donc difficilement accessible. Il s'installa sur son siège pliant, cala ses cannes à pêche et attendit en m'observant frissonner. J'aimais observer la rivière avec les brumes et les oiseaux furtifs. Quand il n'y tint plus, il m'entraîna dans les fourrés humides pour son envie matinale. J'en ressortis avec des égratignures et le pantalon trempé que je tins devant moi pour tenter de le faire sécher alors que la brise fouettait mes jambes et mes fesses. Heureusement qu'il avait apporté un casse-croûte et du café. Le lundi, il alla aux champignons dans une forêt où je n'aurais pas risqué de me perdre. J'imaginais les animaux dont j'entendais les bruits, je chassais les insectes et pataugeais allègrement avec des bottes. Les grognements ne provenaient pas d'un animal quand il me coinça contre un arbre. Le mardi, en allant au marché, il passait prendre le panier de son copain Max qui était en fauteuil roulant. Il m'y laissa et il ne fallut pas longtemps pour que je n'aie plus rien à cacher affalé ou allongé sur une table, ou bien suspendu à une poutre. L'antre de mes fesses fut exploré et je subis des pincements fort désagréables. Le mercredi, il sembla heureux de me faire découvrir sa contrée au cours d'une longue randonnée où il n'arrêtait pas de me peloter les fesses et de me tenir les couilles. Quand on n'était pas trop visibles, il me retirait le pantalon et me fouettait avec une baguette. Le jeudi, je découvris un trans qui prit son temps pour raidir ma verge avec différents artifices afin que je remplisse mon office et son orifice même si ce n'était pas ma tasse de thé. Le vendredi, en allant chez le médecin, il me déposa chez le géant qui après m'avoir souhaité la bienvenue à sa façon, me mit un collier, me fit marcher à quatre pattes dans son jardin, manger dans la gamelle et coucher dans le panier. Un peu plus longtemps et je n'aurais pas pu me retenir d'uriner. Le samedi, il retourna au marché en me déposant au passage chez Max qui voulut que je l'allonge "pour mieux en profiter". Effectivement... Le dimanche était le jour de grand ménage interrompu par les visites de ses comparses qui s'ennuyaient visiblement de ne pas pouvoir disposer de moi.   Retour chez mon maître Deux semaines après, mon maître revint de l'hôpital avec un respirateur, un appareil pour l'aider la nuit, qui rythma mes nuits de concerts de trompette et de klaxon de camion. En effet le masque en caoutchouc laissait rapidement l'air s'échapper sur les côtés. Cet appareil compliquait aussi ses levers d'où des changements de draps. Il reprit exactement le cours des journées : le cérémonial du matin avec ces vibrations intérieures incontrôlables que je savais maintenant observées par ses comparses, le ménage ouvert à ses caprices et les jeux de l'après-midi. Bien sûr, je sentais qu'il n'acceptait pas la dépendance qu'il ressentait de plus en plus même s'il ne s'en plaignait pas. C'est certainement la raison pour laquelle il se montra parfois cruel dans ses propos et même assez violent ; il me dérangeait sans raison. J'en venais à attendre les après-midis alors que ce n'était pas une partie de plaisir, du moins pour moi, ou à m'évader dans des phantasmes. Cela devint évident quand un après-midi il me griffa au point de me faire saigner. Si les autres ne lui firent pas de reproche, je sentis cependant une légère hésitation. Par la suite, le ton était souvent faussement enjoué et je fus insensiblement mis à l'abri de ses accès d'agressivité. Au fil des mois, son état se dégrada. Il demanda à Jeannot de venir me harnacher le matin, tenant à ce que je bénéficie du plug comme on va promener son chien. Il participait encore volontiers à ma mise en spectacle de l'après-midi mais se montrait moins actif. Je retrouvai les moments difficiles que j'avais connus avec mon conjoint sans subir en plus l'immense solitude qui m'avait alors accablé. Toute la préparation avec le précédent maître, l'entraînement quasi commando, m'avait endurci et je supportais un peu mieux les moments de doute me disant que l'intérêt porté à mon maître devait être ancien de la part de l'équipe de Jeannot et que si quelqu'un avait été jugé plus apte à remplir mon rôle, ils n'auraient pas hésité à me remplacer.   L'année suivante, quand mon maître s'éteignit, Jeannot m'aménagea une place dans sa ferme. Depuis j'y vis de nombreuses expériences prenantes et souvent inattendues comme il en a le secret.
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Par : le 16/08/23
Chapitre 1 : L’amie Emma   Emma est une amie de très longues dates , depuis l’adolescence, nous avons toujours eu contact mais toujours de manière à la fois brève et passionnel .. Nous parlons peu sur les réseaux sociaux , nous nous voyons peu . Mais quand on se vois et quand on se parle c’est toujours bienveillant et passionnant , on se fait évoluer l’un l’autre , on se fait des confidences sans pour autant être intrusif. Ça fait maintenant des années que nous sommes amis , on à des vies différentes mais on s’apporte mutuellement des choses et aussi dans nos métiers respectifs .. elle est comédienne / actrice , elle commence a avoir une belle renommée et tout les ennuis qui vont avec . Elle se confie à moi , me demande conseils.  Un beau jour je regarde l’un de ces tournages pour lui donner mon avis comme je le fais souvent , durant ce tournage elle joue une scène plutôt hot.. il n’y a jamais rien eu avec cette fille mais la voir comme ça m’excite .. je me rends compte à ce moment que je ne sais rien d’elle à propos de sa sexualité, je l’ai toujours connue seule , célibataire , sans histoire amoureuse ,.. je ne doute pas un seul instant qu’elle en ai eu , mais je n’ai aucune information à ce propos .. il faut dire que notre relation est très distinguée , je ne sais d’ailleurs pas pourquoi , mais notre langage est souvent soutenu quand on se parle.  Elle me demande mon avis sur le tournage et elle me demande ce que j’ai pensé de cette scène.. Je lui avoue avoir été surpris de la voir sous un tel angle , bien sure je n’ose pas lui dire que ça m’a excité car nous avons une relation très polie et très respectueuse. La conversation se transforme un peu et nous en venons à oublier le tournage et à parler de sexe .. sans que je ne parle de mon coté dominant , elle me parle de son envie d’être dominée.. Je reçois pas mal d’informations que je note dans ma tête , je ne me met pas trop en avant je suis à l’écoute je sous entends simplement que j’ai déjà pratiquer ce genre de choses.. Elle fini par me souhaiter la bonne nuit et me laisse seul , avec mes pensées et cette nouvelle visions d’elle ..  Le lendemain nous ne parlons pas , mais le jour d’après la conversation reprends .. je décide de poser un peu plus de questions .. ces réponses sont assez clair , elle fantasme sur la perte de contrôle .. et en même temps elle a peur. En effet , elle est plutôt connue , l’impact que cela peut avoir sur elle et sur sa carrière si quelqu’un le savait pourrait être dévastateur.  Elle a besoin de découvrir , mais de découvrir des choses simples , et avec quelqu’un de confiance , quelqu’un de confiance ? Je ne peux me retenir et lui envoi «  de confiance comme moi ? »  Le message est VU mais elle ne réponds pas , j’hésite à l’enlever et je stress .. j’ai peur de l’avoir vexer .. elle écrit .. la réponse arrive .. « personne d’autre que toi » me dit elle . Je me demande ce qu’elle veux .. ce que je dois faire pour que ça lui convienne , la conversation est très clair on se dit les choses tels qu’on les penses , tels qu’on les ressents. Au bout d’un moment elle m’écrit «  vendredi chez moi ? » j’accepte ..  Nous sommes mercredi et dans 2 jours je m’occuperai d’elle , j’ai hate et en même temps je redoute !  Que vas t’il se passé ? 
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Par : le 14/08/23
Évolutions Je constatais progressivement des changements. Bien que je ne sois jamais bâillonné et que je n'aie pas signé de contrat ou autre engagement, je ne m'exprimais pas sur mon sort, l'intensité de mes gémissements étant bien interprétée par les intervenants qui décidaient de prolonger ou modifier mes épreuves. Je sais aussi que le maître les guidait en observant tout par le visionnage permanent totalement intrusif. Pour éviter l'accoutumance et un certain aguerrissement, l'impromptu resta de mise. Des décharges électriques ou une branlette me réveillèrent parfois en pleine nuit m'avertissant de quitter ma nuisette pour rejoindre mon entravement avec le médicastre qui, en plus de l'examen déjà décrit, triturait maintenant longuement mes gros testicules pendant qu'il me demandait de chantonner doucement. Certains jours, un message me précisait de prendre un comprimé tel que je devais vaquer à mes tâches ménagères et mes occupations avec un priapisme fort gênant qui me faisait désirer la délivrance par une séance qui n'arrivait pas toujours. C'en devenait même douloureux et la marche sur le tapis était compliquée. Quand le maître rentrait le soir, il reproduisait le rituel du premier jour qui semblait nécessaire pour lui permettre d'évacuer le stress accumulé dont je pouvais estimer l'importance selon l'intensité de ses gestes.   Première sortie Un jour, le maître m'apporta un pantalon de survêtement qui se fermait sur le côté. Cela m'intrigua car la température était toujours suffisante en son logis. Et le vidoyeur revint pour ses bas offices, m'épargnant cependant la sonde urinaire. Il m'aspergea enfin d'une sorte de déodorant. Le soir, le maître m'indiqua d'enfiler le pantalon et une chemisette et emporta une de mes capuches. Le trajet ne fut pas très long. Il me couvrit la tête, retira mes habits et me guida dans un escalier extérieur. Découvrant de nombreuses voix, je me retrouvai avec les mains attachées en hauteur. Je sentais du monde passer en me palpant, pinçant, triturant parfois avec une certaine brutalité. Puis on m'emmena toujours avec les mains attachées qui furent fixées plus bas, je devinais d'autres présences près de moi qui échangeaient quelques paroles. On m'enduisit abondamment l'anus et je compris que l'abattage commençait en entendant les gémissements de mes voisins de bât. Tous les assaillants avaient, semble-t-il, une capote, j'eus l'impression d'un godemichet mais au contact des couilles, je compris qu'il s'agissait d'un bourrin comme je n'en avais jamais éprouvé. À la fin, nous les soumis fûmes mis en cercle face au public avec une main entre les fesses bien enflammées du voisin de gauche et l'autre main branlant le voisin de droite, de nombreuses excitations (notamment d'un meneur qui s'était placé au centre) et quolibets retentissant. Nous finîmes la soirée attachés comme au début pendant que les participants devisaient tranquillement, ne se gênant pas pour nous tripoter et tester nos réactions. À aucun moment je n'ai entendu de cri torturé ou de supplication comme on les imagine dans des soirées de sadiques. J'ai eu l'impression d'une confrérie qui nous connaissait déjà par des échanges vidéos.   L'apprenti Par un message vidéo, le maître m'annonça un grand bouleversement. "Une de mes connaissances de ton âge a trouvé un jeune de 25 ans qui lui est très attaché mais qu'il voudrait être certain de garder. Il ne veut pas le confier à des sados qui ne jouissent que par la souffrance des autres et qui vont l'esquinter. Nous t'avons longuement observé sur les vidéos et il a décidé de te le confier pour lui apprendre à être dominé et soumis. Tu commenceras samedi après-midi, avec tout le matériel que tu trouveras, sans te faire voir et sans lui parler." Effectivement, il fut amené au garage, mit la capuche et monta nu à l'étage où je l'attendais. Ce que je n'avais pas prévu, moi qui n'ai jamais été attiré par les jeunes, c'est d'être troublé par sa beauté encore gironde et son apparente fragilité. Heureusement qu'il n'en voyait rien. Lui tremblait comme une feuille et je manquais d'assurance. Je réussis à lui mettre un collier avec une laisse, appuyai sur ses épaules et le fis marcher à coups de martinet. Son érection fut impressionnante dès que je le suspendis, je passai derrière lui et le masturbai jusqu'au résultat qui ne s'est pas fait attendre. Son érection ne cessant pas, je commençai légèrement mais régulièrement à lui donner des coups de badine et de martinet y compris sur la verge et entre les fesses. Je me replaçai derrière lui et lui triturai les seins jusqu'à ce qu'il se débatte. Puis je lui plaçai les jambes sur la table pour lui glisser un gode qui le fit frétiller. Bien entendu j'ai pris du temps pour faire durer son émoi. Pour finir, je l'ai amené dans la salle d'eau, en me plaçant derrière lui j'ai tenu sa verge jusqu'à ce qu'il urine, enfin je l'ai douché et frotté sans ménagement. À la deuxième séance, je le vis arriver sûr de lui et apparemment souriant. Dès qu'il eut repris sa posture de chien, je m'assis sur lui pour glisser ma main dans son cul, il avait de bons sphincters mais se laissait faire, je lui ai relevé la tête pour lui faire sentir longuement mon gant avant de lui faire croire que j'allais le lui mettre dans la bouche. Il perdit aussitôt de sa superbe. Ensuite, dans la douche, j'ai uriné sur lui afin qu'il comprenne qu'il n'était plus le petit dieu vénéré. Après un rapide rinçage, je l'ai ramené au donjon pour reprendre les pratiques initiatoires sans jamais le marquer durablement ni le blesser. Bien que je sache que nous étions évidemment observés, aucun commentaire ne m'a été fait. Ce fut une expérience compliquée entre le désir de faire évoluer un être humain pour accepter la dépendance et celui de l'aider à trouver son épanouissement dans les interactions, la tentation de me rapprocher de lui et la nécessité de ne pas lui en susciter l'envie.   Les loisirs Le dimanche et le lundi, mon maître restait habituellement chez lui. Mon heure de réveil ne changeait pas, il l'avait programmé à 5 heures. Après quelques gorgées, direction le tapis de marche pour 20 minutes à 4 km/h (les autres exercices dépendaient du déroulé de la journée). Toilette approfondie et déjeuner impérativement avant celui du maître que j'assistais en restant debout près de lui. Les tâches ménagères m'occupaient alors en veillant à ne pas déranger ses conversations téléphoniques, mais je devais être présent au sortir de son bain pour répondre aux moindres désirs. L'après-midi, à la réception du message "disparais", je regagnais mon étage pour ne pas perturber l'arrivée d'un jeune homme beau et vigoureux, pas toujours le même. Je le sais car après son départ, j'étais convié dans le salon afin d'assister au visionnage de ces ébats, les mains sur la tête, et quand l'érection se pointait, je devais me masturber de la main gauche, l'autre main entre les fesses devait être assez rapide pour recueillir le sperme que je nettoyais enfin avec la langue. Si le maître n'était pas satisfait, capuche et direction la palissade en plein après-midi (je n'ai jamais su si quelqu'un m'y voyait) ou si le temps ne le permettait vraiment pas, dans un réduit du sous-sol, les pieds attachés aux mains. Quand il était de bonne humeur, il me sortait parfois dans le jardin après avoir attaché une laisse discrète à la base de mon sexe.  
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Par : le 12/08/23
Cet article je vais l'écrire au fur et à  mesure. J'ai vu qu'on pouvait faire cela. Comme j'écris depuis mon tel et quand j'ai le temps, n'hésitez pas à  y revenir s'il vous intéresse, j'ai plein de choses à  échanger et partager. Bisous et belle journée.   Mael, c'est mon amant, et ce jour là, il m'a filé un rencart comme il aime, en pleine nature, dans un endroit isolé sous un grand chêne majestueux.  Un endroit qu'il m'a fait connaître et que j'aime beaucoup. J'arrive avec ma petite voiture en tenue sport. Jogging et tennis. Comme femme trans, je ne me maquille presque jamais, je préfère être nature, juste bien epilee, et ma seule crème  c'est de l'huile d'olive. Je mange bio, je fais du sport, je pratique les arts martiaux chinois, et j'ai un passing naturel sans forcer quoi que ce soit. J'ai pris un peu des hormones, mais j'ai du arrêter très vite. Je ne supportais pas. J'ai des petits seins fermes, de très jolies fesses musclées et ce que j'adore le plus,  ce sont mes jambes. Parfois je les caresse pour mon plaisir. C'est hyper sensuel, se caresser les jambes . Cela fait monter l'envie de faire l'amour.  Mael m'attend avec un sac. -j'ai trouvé tout ce qu'il te faut pour tester ton estrapade. C'est préférable de savoir où on va, avant d'en construire une avec un treuil électrique et autre. On va déjà voir si ton idée fonctionne. Tu veux toujours tester?  - bien sur que je veux tester....et pas que l'estrapade.  Je dis cela avec un fin sourire. Mael ne se fait pas prier. Il me chope de ses grosses mains et déjà sa langue est au fond de ma bouche. Il dévore mes lèvres, me couvre de baisers et il m'empoigne fermement les fesses. Il les masse très durement, sans le moindre ménagement et il sait que j'adore cela. Je sens ma chatte anale et mon clito suinter.  Je ne suis plus qu'une poulette qui va finir à la broche.  Il est dominant comme moi et donc ensemble c'est très vanille, mais,  excusez moi, putain que c'est bon de bien se faire troncher par son amant. En plus il a horreur d'avoir la saucisse sous cellophane. Et comme je ne couche qu'avec lui et qu'il sait être tres safe ailleurs, je le laisse toujours me prendre sans capote. C'est si bon de sentir sa chatte anale tapissée de sperme chaud.  Bon j'arrête pour l'instant. Il faut que je file. Mais promis je vais revenir. Pour expliquer comment j'aime faire l'amour en femme trans, cette séance test d'estrapade  et autres. Juste pour partager et échanger avec vous.  il faut un peu de savoir faire pour bien sauter une trans.  Il faut beaucoup de savoir faire pour une partie d'estrapade. Je me suis décidée à écrire cet article parce j'ai pensé que je pouvais aider. Passe 60 au compteur, cela commence à  faire de l'expérience et des expériences en vie. La première chose qui me semble plus que évidente pour moi, c'est que je ne suis pas et que je ne serais jamais une femme biologique. Peu importe que je sois une femme a l'intérieur,   comme des garçons se sentent hommes à l'intérieur de corps de femmes, eux aussi ne seront jamais vraiment  des hommes. Alors il faut s'accepter tels que nous sommes, c'est à dire des personnes trans et pas des hermaphrodites, c'est encore autre chose. Non juste des personnes avec une psyché complètement à l'opposé du corps qui l'héberge.  Comprendre cela aide beaucoup. J'ai vite eu un passing extraordinaire lorsque je n'ai pas voulu m'habiller comme une femme, certainement pas comme un homme, non, comme il m'a plu de le faire. Rien à faire des jupes, des maquillages, des soutiens gorges, des chaussures à talons, le fait de savoir que je n'étais pas une femme ma beaucoup aidé.  Plus de liberté de choix et surtout des choses qui collent vraiment à ce que l'on est au fond de soi. Et j'ai fait lever beaucoup de queues de mâles en rut,  être soi même, être bien dans ses fringues et son look, cela aide à être complètement naturelle dans la rue. Si on vous remarque, c'est pour trouver que vous avez un joli petit cul bien bombé, un beau sourire, des yeux brillants de joie de vivre. Vous êtes un homme ou une femme trans, alors rayonnez, vibrez. La vie est belle. Fini le ghetto.  Non, vous ne serez jamais ni homme, ni femme, alors autant être vous même  Ce qui compte c'est la beauté de votre âme. Il ne faut pas faire de généralités mais dans mon cas, pour me faire l'amour,  il ne faut surtout pas me palucher le pénis comme le ferait un garçon.  J'ai vraiment horreur de cela. Bander, c'est pas du tout mon truc, même si cela marche toujours très bien. Non, dans ma tête j'ai un clito et un clito cela se caresse, cela ne se paluche pas. Je sais bien que des hommes aiment les femmes trans pour leur pénis, parce qu'ils ont envie d'être sodomisés. Ce n'est pas mon cas, je ne sodomise personne et même dans mes rares aventures avec des femmes, au tout début, j'avais beaucoup de mal. La sexualité trans est en concordance avec la psyché.  Je n'ai donc qu'un clito et une chatte anale. Et les FtM n'ont pas de vagin, ni de clito mais un petit pénis et envie d'une greffe pour le rendre actif.  Mael me connaît bien. Comme avec Maso pendant la longue période où il a été mon compagnon, c'est comme si je n'avais plus de pénis.  Avec eux deux je me sens femme et j'oublie trans. J'adore me donner complètement, être prise. C'est ma sexualité.  Une sexualité de femme qui aime être baisée. Je pose mes mains contre le gros chêne. Je reste debout et cambre les reins. Mael me baisse mon pantalon de jogging et ma culotte de coton. Je ne porte que du coton en sous vêtements. Ma croupe est bien tendue, offerte. J'attends l'assaut de mon mâle.  Deux mains puissantes m'empoignent les hanches. Je suis pénétrée d'un coup. Je n'aime pas les préliminaires.  J'aime être violée un peu par mon amant. Il sait rester fiché sans bouger, bien au fond, le temps que ma douleur se dissipe. Puis il commence à me ramoner. Je coule. Il pincé mon gland entre son pouce et son index et masse. Je coule encore plus. Des vagues d'électricité me secouent. Mes jambes tremblent. De l'autre main, il caresse mes tetons qui durcissent. Je me dresse sur la plante des pieds. Le premier orgasme arrive. Je suis tétanisée.  Je gicle. Mael doit stopper pour ne pas partir lui aussi.  Une femme trans peut facilement arriver au mode multiorgasmes. Ils se suivent très vite en cascade. Je tremble encore plus. Mes fesses ne cessent de se contracter. Je suis de plus en plus serrée, comme si je voulais éjecter ce penis qui me defonce sans le moindre ménagement. Et encore des orgasmes, encore ce clito qui coule, qui coule. Et mes jambes complètement tétanisée par le plaisir. Je n'en peux plus. Mael explose. Il grogne comme un ours. Je sens ses giclees de sperme au fond de moi. C'est adorable.  Il a prit son pied en moi, et j'en suis heureuse. Il me couvre de baisers.  La différence dans cet amour au féminin c'est que c'est plus long pour une femme trans pour redescendre. J'ai des vagues de tremblements. Il me faut bien quinze minutes pour reprendre mes esprits. Le cerveau est toujours en état d'hyper excitation, c'est délicieux. Je me love dans les bras de mon homme. Nous sommes assis sous le beau chêne.  Il faut attendre que le plaisir diffuse partout. C'est le moment magique de l'amour universel.  -Bon on se le fait cette séance de test de l'estrapade ?  Mael est déjà debout. Il ne s'occupe plus de moi. Il trie son matos. J'entends des mousquetons claquer.  Je remet ma culotte de coton blanche et mon pantalon de jogging. Je sens le sperme qui coule le long des cuisses. Je pue l'amour. Cela me fait sourire. - prête.  Mais juste une minute, il faut que je me change. Je suis presque vegan. Comme je ne trouve pas ce qui me convient dans le commerce, je me le fabrique. Comme ces pagnes en coton par exemple. Très pratique pour se changer rapidement après l'amour. Et surtout très sexy.  Mael se remet à bander.  Son gros gland est de nouveau gorgé de désir. C'est plus le moment. J'enfile vite mon pantalon de jogging. Quand je pense à toutes ces lingeries hyper chères sensées être erotique. Une simple bande large de coton nouée avec soin. Un beau pagne comme les égyptiennes.  Ça c'est erotique et cela fait bander les mâles.  De plus c'est unisexe.  Cela va aussi très bien aux hommes. Leur sexe est bien plus libre et aéré dedans. J'adore nouer mes pagnes. C'est tout un art.  Mael vient d'étaler une couverture sur le sol, juste en dessous d'une grosse branche horizontale. Il m'enfile un harnais de sécurité de via ferrata à l'envers, avec le système d'accrochage dans le dos. Je m'allonge à  plat ventre et il noue solidement mes chevilles et mes poignets ensemble dans mon dos. - on dirait une grosse corbeille, me dit il amusé.  T'es canon dans cette position. Il ne me laisse pas le temps de répondre et m'enfonce un mors dans le bouche et le relié à mes chevilles et poignets dans le dos.  Je prends le temps de bien "ressentir" la position. Quand ce sera le tour de Maso, je suis toujours très précise, il faut qu'il soit bien. Il devrait pouvoir tenir une heure sans risques. C'est relativement confortable même si peu usuel en bdsm. Une position pourtant très intéressante.  Voilà,  je suis solidement harnachee. Mael hisse sans problème mes 65 kg. Il faut dire que lui en fait plus de 100. Arrivée à  la bonne hauteur, il bloque tout avec ses appareils de sécurité en falaises. Il vérifie chaque détail. Je suis bien. Flap. Pas le temps de réfléchir. Je viens de prendre un premier choc. Une chute de 50cm pour commencer. Cela peut sembler peu. Pourtant le choc est bien réel. Heureusement que ma tête est bien tenue et que les élastiques o t bien absorbé.  Nouvelles vérifications. Mael me remonte plus haut. 1m ..... Flap ! Nouvelle chute! Nouvel arrêt brutal. Je me rend compte que ce jeu est dangereux. Avec des problèmes circulatoires ce n'est bon, ni pour le cerveau, ni pour le cœur. Heureusement, je n'ai pas ce genre de problèmes, Maso non plus. Je réclame les 1m 50.  Mael me hisse encore à la bonne hauteur. Il a mis des scotchs pour marquer la corde. Surtout ne pas se tromper  sans quoi, j'irais me gauffrer au sol, face contre terre, sans protections.  Flap! Nouvelle chute! Choc encore plus violent. Les élastiques absorbent bien. Pas de douleurs. Mes articulations dans le dos ne travaillent pas. Je réclame les 2 m. Facteur de chute 2. Mael me sourit.  Il me connaît et sait que j'aime tester et essayer les choses nouvelles. Pas le temps de réfléchir. Flap! Nouveau gadin! Cette fois, je le sens bien partout. Je comprends pourquoi ils ont mis des airbags dans les bagnoles. Un bon choc. Sans les élastiques pour absorber, je serais en danger. Pourtant cela semble rien 2m de chute.  Mael remballe déjà.  Il est l'heure. J'aime bien être précise. Maso m'attend à la maison pour sa séance.  Il en a besoin. La position de la corbeille me donne des idées. Juste un dernier bisous à  Mael, et je file. Je conduit toujours très vite ma petite auto très sport. Une voiture de bourge qui se la péte turbo. Je me caresse les jambes en conduisant.  Au carrefour  ma copine, l'adjudante de gendarmerie est occupée. D'habitude elle m'arrête toujours pour faire un brin de causette. Je ne sais pas si c'est de la drague, mais je l'aime bien. Elle est très belle dans son uniforme. Je crois qu'elle aimerait bien me sauter. C'est pas un homme dans un corps de femme, non, juste une femme très phallique. Dommage, je suis très fidèle et je sens que cela l'excite encore plus. La chose inaccessible.  Elle doit se dire comme dans la pub: " je l'aurais un jour  je l'aurais" . Je lui adresse tout de même un bisou de la main avec un beau sourire. Elle est vraiment ravissante. C'est toujours aussi mystérieux les attirances. Je n'ai aucun doute sur le fait qu'elle a une très forte envie de me sauter depuis qu'elle a vu lors d'un contrôle que sur mon permis, très vieux, presque en loque, il était écrit....sexe masculin. Avec mon look femme bourge ecolo vegan bronzée, cela ne collait pas. Depuis c'est charmant, relax, amical, presque comme avec des mecs qui savent ne pas aller trop loin.    Je prend soin de bien crisser les pneux en me garant devant chez moi. Histoire d'avertir Maso.et de marquer mon territoire.  Un rideau se tire. Il me fait un signe de la main. Je lui répond par un bisou. Cela veut dire:  - tu vas déguster mon chéri.  Je pete la forme ce soir. Tu as voulu une domina à la maison, tu vas être servi.  Maso baisse les yeux et m'ouvre la porte. Je ne suis plus sa femme  je suis devenu sa déesse. Désormais il me voue une adoration quasi mystique. C'est lui qui m'a tant aidé pour ma transition, qui m'a modelée suivant ses goûts, pour mon plus grand bonheur. Je suis toujours à lui, mais sous une autre forme. Il devine à mes gestes que je suis bien excitee ce soir. Il devine qu'il va morfler. Des frissons de plaisir commencent déjà à courir sur son beau corps de maso   :kiss::kiss::kiss:
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Par : le 11/08/23
Premier contact   Il m'avait répondu si rapidement... Après dix années de vie commune, interrompues par ce qui est devenu la fatalité, j'avais proposé de partager le quotidien et les fantasmes d'un senior qui m'accueillerait durablement. Tout de suite, j'ai eu l'impression d'être considéré, ce qui m'était devenu étranger, occupé à des tâches de plus en plus fastidieuses au fil de la dégradation de mon conjoint. Je n'avais jamais utilisé de webcam, ce fut fait naturellement comme lors de mes rares séances bdsm, je me déshabillai dès qu'il le demanda et me laissai examiner longuement, découvrant mon gland, écartant les fesses, me pinçant les seins. Bien que déjà âgé, mon physique n'est pas déplaisant sinon une peau ingrate qui ne lui disconvint pas. Dès le lendemain, il est venu me chercher et le sentiment de confiance ne m'avait pas quitté. Ne connaissant pas beaucoup la ville, je ne sais pas exactement où se situait le garage au sous-sol d'un pavillon que j'entrevis à peine. Il ne parlait pas, moi aussi étant de nature taiseux. Arrivés à l'étage, il me fit signe de me déshabiller, ce que je fis aussitôt, puis je le suivis en espadrilles, dans l'escalier. Dans une pièce ressemblant à une salle de sport, il m'attacha avec des menottes à une poutre et m'entrava les pieds avec une barre. Puis il partit. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. Il passait de temps à autre, me donnait de légères tapes, excitait ma verge puis repartait. À un moment, il l'enduisit d'un liquide qui accentua l'érection. Il revint vêtu d'une culotte en cuir qui mettait en valeur son corps harmonieux et musclé, équipé d'un martinet qu'il utilisa avec parcimonie me faisant apprécier et désirer ces légères brûlures, il me cingla ensuite avec une baguette souple. Sentant mon excitation, il entreprit ensuite de me tâter en me pinçant tout le long du corps particulièrement entre les jambes. Et je sentis sa main enduire mon anus d'un liquide visqueux avant de procéder à ce qui ressemblait à un examen de la prostate. Il me couvrit d'une capuche de pénitent descendant sur les épaules et légèrement resserrée au niveau du cou, avec l'unique ouverture ovale au niveau de la bouche, et reprit l'usage du martinet et de la baguette y compris sur la verge. Le plaisir m'envahit de ne pouvoir prévoir ses gestes. Quand il me détacha les bras, je m'appuyai sur un meuble bas, une table d'examen, devant moi ce qui lui permit de me sodomiser immédiatement me semble-t-il avec un gode. Moment de jouissance indescriptible. Il me fit m'agenouiller malgré la barre qui maintenait mes pieds et je le suçai avec avidité, sa capote sentait l'orange... Et me sodomisa directement avec force et intensité. Ma verge étant toujours dressée, il me rattacha à la poutre. Ne voyant toujours rien, je me sentais rempli d'une chaleur intense. Je ne sais au bout de combien de temps, il revint pour me masturber jusqu'à l'éjaculation, mais était-il parti ? Mon érection n'ayant pas cessé, il recommença plus tard. Quand il me détacha, j'éprouvai du regret mais aussi une immense gratitude. Puis il parla.   L'installation   "Voici ta chambre." Dans une pièce à côté, un lit une place, un petit bureau, une armoire. Dans celle-ci une série de shorts courts colorés et transparents, des chemisettes à pressions très faciles à retirer, ainsi que quelques nuisettes. Pas de sous-vêtements. "Tu me donneras tes affaires actuelles en attendant que tu en aies besoin." Comme précédemment, je ne pose aucune question. Sur le bureau, un ordinateur "qui ne sera connecté à internet qu'à certaines heures et sous surveillance directe comme l'ensemble de la maison". Dans la salle d'eau attenante, un WC, une douche, un lavabo. Aucune possibilité de fermer les portes à clé, "je contrôle tout à distance". "Tu devras faire le ménage complet de cet étage. À mon étage, un robot nettoie les sols, tu t'occuperas du reste". Découvrant l'équipement électroménager, je me rends compte que cela ne sera pas fastidieux. "Les appareils étant connectés, un livreur vient deux fois par semaine apporter les commandes directement dans le réfrigérateur et le congélateur. Tu ne te montreras pas." "Tu porteras toujours cette montre, tu seras ainsi averti de mes messages et je surveillerai tes déplacements et tes constantes. Pas d'utilisation du téléphone sans mon autorisation. Pas de télévision. Tu peux écouter ces CD de musique classique". Cela ne me gêne pas, je suis si solitaire... "Tu recevras sans être prévenu des visites de personnes qui s'occuperont de toi en mon absence, ce qui sera fréquent." Je n'ai posé aucune question et je n'ai jamais cherché à connaître la nature de ses activités ni les motifs de ses déplacements. Un jour où je gémissais, il me confia (ce qui était extrêmement rare) faire partie d'un groupe d'hommes très visibles médiatiquement qui pour décompresser de la pression constante et de leurs responsabilités exigeaient des pratiques de plus en plus hard. En ce qui me concerne, je pense qu'il tenait compte de mon âge. Étant manifestement très expérimenté, il m'utilisait comme un homme de compagnie, un robot qu'il fallait garder en bon état de fonctionnement. Sa jouissance était de parvenir à me contrôler, à me rendre complètement dépendant sans violence physique ou morale, ce que je ne pouvais qu'apprécier. Deux jours après, j'arrivais dans ce logis avec mes deux valises qui comme convenu, restèrent dans un placard.   Le médicastre   Le premier à venir me surprendre, celui que j'appelle le médicastre, était certainement un (ancien) médecin tant il m'a paru professionnel, un médecin qui se permettait des pratiques bien singulières. Il est arrivé derrière moi sans que je l'entende, alors que j'époussetais, non sans trouble, l'impressionnante collection d'Apollon de mon maître. Sans parler, il m'a fait signe de monter dans ce que je nommais maintenant le donjon, m'a enlevé la chemisette pour attacher mes mains puis mon short pour entraver les pieds, toujours bien écarté. Après s'être connecté à mes relevés de pouls qu'il consultait sur sa tablette, il passa une sorte de stylo sur mon corps même aux endroits très sensibles, ce qui déclenchait des décharges fort désagréables et lui permettait de voir les variations de mes constantes. J'éprouvais une réelle souffrance et mon érection commença. Il m'examina ensuite sous toutes les coutures et corrigea certaines imperfections sans ménagement. Pour ensuite m'asperger de ce qui m'a semblé être un antiseptique. Il enduisit ensuite mon gland bien décalotté et mon anus d'une crème qui me chauffa terriblement. Puis il pinça mes tétons jusqu'à ce que je bouge pour tenter de lui échapper. Détaché, je dus m'allonger sur la table d'examen où il procéda à un examen approfondi de mon anus. Il me délaça pour me retourner et m'attacher à nouveau sur le dos, les jambes ballantes, pendant qu'il me palpait particulièrement sur le ventre, il me posa des questions sur mes pratiques sexuelles, étonné par le peu de réponses que je pouvais lui apporter. Enfin il me branla avec brutalité jusqu'à ce que mon sperme jaillit, il en recueillit sur son gant et le sentit. Ce médicastre est revenu pratiquement chaque semaine toujours en me surprenant. Je n'ai jamais su s'il ressentait de l'animosité envers moi ou s'il me considérait comme un animal de laboratoire. Cela me fait penser à la médecine, il n'y a pas si longtemps, qui considérait la souffrance comme nécessaire à la guérison.   Le délaideur   La première fois, il me surprit quand je marchais sur le tapis pour mon exercice quotidien. Il sentit ma sueur et devina ma fatigue passagère. Je ne savais pas pourquoi il était là. Il commença par s'assoir, me fit signe de venir et de me placer sur ses genoux, évidemment pour une fessée que par la suite je compris pour s'assurer de ma soumission. Il frappa d'abord lègèrement, abaissa le short, tritura mes fesses et mes cuisses, puis commença à asséner des frappes de plus en plus fortes avec une telle régularité que je sentais mes fesses rougir. Puis accoudé sur la table d'examen, je dus subir le martinet qui me fit gémir. Le rasage intégral qui s'en suivit alors que j'étais à nouveau entravé, fut renouvelé chaque semaine, alors que je commençais à peine à m'habituer au duvet qui réapparaissait. C'est avec la peau à vif qu'il me conduisit à la douche où je dus garder les mains sur la tête. Après avoir bien amplifié les irritations avec l'eau, il prit un gant jetable et me frotta de la tête au pied jusqu'à ce que je sois couvert de mousse. Évidemment, il insista sur la verge puis profondément sur l'anus. Après m'avoir abondamment rincé, il me reconduisit sans m'essuyer pour m'entraver comme j'en avais maintenant l'habitude. Il revint avec une préparation verte (de l'argile ?) dont il me couvrit une bonne partie du corps. Avant de me laisser avec cette boue qui commençait à sécher, il m'attacha le pénis à la table d'examen pour m'empêcher de bouger. Après un long temps, il réapparut avec un appareil, détacha mes pieds pour les poser sur la table d'examen et me sodomisa avec le gode vibrateur. Complètement vaincu, je le laissai m'entraîner vers la douche pour un décapage au jet d'eau. Ce délaideur est venu plusieurs fois chaque semaine toujours d'une manière imprévisible.   Le vidoyeur   Je découvris très vite que le vidoyeur venait me préparer. Il me suspendit les bras à une poutre et les pieds à l'endroit habituel pour les mains. Mon sexe étant alors à sa disposition, il l'équipa de la pompe à sperme ce qui après quelques instants et des coups de baguette sur les fesses provoqua son gonflement. J'étais à son entière disposition. Il me stimula sur tout le corps par des caresses et des pincements provoquant une extase au bord de l'évanouissement et ne fut satisfait que lorsque j'éjaculai abondamment. De retour sur la table d'examen, il sortit une pompe à lavement cette fois qu'il utilisa plusieurs fois m'obligeant à de grands efforts pour ne pas me laisser aller jusqu'à ce qu'il m'ordonne d'utiliser le seau à moitié rempli d'eau pour m'assouvir. Bien éprouvé, je me remis sur le dos, jambes ballantes, mes mains étant aussitôt attachées. La canule que je découvris alors, je ne l'avais jamais subie, il la glissa avec ses mains expertes dans mon pénis où je ressentis la progression jusqu'à ce qu'un jet d'urine jaillisse. Ce fut une nouvelle sensation inimaginable jusqu'alors. Enfin satisfait, il m'ordonna de tout nettoyer, me conduisit à la douche pour un lavage à grandes eaux. Il veilla à ce que je me rince bien la bouche avant de procéder au brossage. L'interdiction de manger le soir m'intrigua mais je m'assoupis après de telles épreuves.   Première soirée   Le maître vint me réveiller alors que j'avais la sensation d'avoir peu dormi, m'enfila la capuche de pénitent pour seul vêtement et me fis descendre sans difficulté car j'étais maintenant accoutumé aux lieux. Les conversations étaient, elles, inhabituelles, peu de personnes venant le soir, et portaient sur la situation économique. Elles ne cessèrent pas quand je me sentis palpé comme on juge de la qualité d'un animal sur une foire. Je me laissai guider de main en main, la verge fermement tenue puis les fesses écartées pendant qu'une partie de poker commençait déclenchant des gestes plus nerveux et des pincements au fur et à mesure des enjeux. Je devinai qu'il ne s'agissait pas d'argent mais que j'en étais l'enjeu. À un moment, on m'appuya sur la tête pour me pousser sous la table et je me retrouvai coincé entre les jambes d'un joueur qui sortit son sexe et me le mit dans la bouche pour que je le suce pendant qu'il appuyait sur ma tête. Quand ce joueur attint une bandaison qu'il jugeait satisfaisante, il me poussa entre les jambes du joueur suivant. Je découvris alors qu'ils étaient trois. L'exclamation montra que la partie était terminée, on me poussa à coups de pied en dehors de la table. Deux joueurs me saisirent par les bras pour m'appuyer sur la table pendant que le troisième lubrifiait déjà mon anus puis s'excita en me frappant sèchement sur les fesses jusqu'à ce que la douleur me fit gémir. Il s'empara alors de moi avec sauvagerie et puissance pendant de longues minutes pendant que j'étais fermement maintenu. Cette pénétration fut reproduite par les autres joueurs. Je fus alors amené à l'extérieur et attaché à une palissade où je restai seul. De nombreuses sensations me titillèrent. Était-ce des insectes, des courants d'air, un animal ? Peut-être une heure après, je sentis qu'on crémait ma verge qui durcit comme à la première rencontre et restai avec un besoin impérieux mais inassouvi. Finissant quand même par m'assoupir, je fus réveillé par quelqu'un qui utilisait mon braquemard entre ses fesses alors que je ne pouvais que subir. Au petit matin, mon maître vint me détacher sans un mot et tout reprit son cours.
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Par : le 08/08/23
Un de nos clients du gîte fétichistes souhaitait vivre une expérience de selfbondage associant couche, BDSM, féminisation, Espace-game, chasteté mais quelque chose de long et contraignant. Il m’a demandé si je pouvais le guider puis lui organiser quelque chose et surtout, le sécuriser. (Nous avons des hommes seuls qui viennent s'amuser et parfois sous prétexe de voyage d'affaire ou mission...)  Avant toute chose, je lui ai posé quelques questions en lui demandant de me préciser un peu plus ses envies en terme de jeu et pratiques. Lors de cet échange, il n’a pas arrêté d’insister sur le fait qu’il voulait que cela soit à la fois long sans pour autant être attaché toute la nuit. Il me fallait donc lui trouver un scénario adapté à ses besoins. Je lui ai demandé si il voulait vraiment quelque chose de long et vraiment contraignant avant de lui proposer un scénario, ou plutôt, d’associer plusieurs scénarios. Comme il a accepté mes idées de pervers (rire) je suis donc allé lui chercher le matériel de base : couche + culotte plastique + le plug en lui demandant de s’équiper pendant que j’allais chercher les vêtements + sous-vêtements nécessaires. Le pauvre ! Il portait déjà sa cage de chasteté et s’est donc mis un plug dans les fesses puis une des couches puis avec une culotte plastique que FranceABDL nous a offertes pendant que j’allais lui chercher ses « tenues ». A mon retour, il était très gêné. Je l’ai rassuré et surtout félicité pour son courage car rares sont ceux qui s’assument. Pour l’aider à garder son plug, je lui ai fait voir comment se faire un string avec une corde passant bien entre les fesses sur la couche mais sans trop serrer le devant de la couche. Ensuite, je lui ai prêté un de nos serres taille en lui demandant de se le mettre sans trop serrer quand même puisque il allait devoir le garder longtemps. Il voulait aussi des pinces à sein, comme le scénario allait durer longtemps, encore une fois je l’ai dissuadé de prendre les modèles de notre placard à « jouets » car sur la durée, cela risquait de poser de réels soucis, surtout lors du retrait. Il s’est donc mis des pinces à linge soft d’un air de dire « « que ce n’était rien pour lui » ». « Oui, oui, cause toujours, on verra demain »  ai-je pensé à ce moment là. A la suite de quoi, je lui ai passé une brassière et lui demandait de l’enfiler et de s’en servir pour plaquer les pinces à linge vers le bas. Pour concrétiser sa féminisation et aider au maintien de la couche, il a ensuite enfilé un de nos bodys. Si ce n’était pas très esthétique, c’était déjà très efficace ! Pour finaliser son habillage, il a enfilé la grenouillère d’été qu’il a du fermer avec un de nos cadenas. Là, il n’était « pas belle du tout » RIRE, mais c’était son trip, alors, il était parfait pour moi, le principal était qu’il s’amuse. LE SELFBONDAGE Je suis allé déposer les clés (pas celles de sa cage ni ne la grenouillère) sous le sling au fond du couloir. Je lui ai ensuite passé des chaînes + deux cadenas pour qu’il attache ses chevilles. Et pour ça, il a du s’asseoir par terre et, à sa grimace, j’ai bien compris que le plug... Je lui ai passé des menottes qui ne s’ouvrent pas sans clés en lui disant de les bloquer dans la chaîne attachant ses pieds mais SANS les fermer. Ensuite je lui ai prêté une cagoule d’isolation BDSM en lui expliquant qu’une fois qu’il l’aurait mise et bien fermée, il ne verrait plus rien et devrait donc bloquer ses poignets dans les menottes bloquées dans la chaîne de ses chevilles à l’aveugle puis, qu’il devrait aller chercher les clés comme il pourrait. J’ai déposé le premier indice de l’Espace Game n°1 sur le bar en lui souhaitant « bon jeu et bonne nuit ». Et là, je l’ai laissé seul, j’avais de la marche à pied et du vélo à faire. (Si si, c’est important pour la suite) Je suis donc allé déposé les indices sur le terrain que je connais parfaitement pour qu’il puisse trouver la clé de la grenouillère et l’indice lui indiquant où se trouvaient les clés de sa cage de chasteté. Là, je me suis amusé... Il a du me maudire X fois ! MDR En effet, comme il était 22 heures, ce n’est pas avec la lumière de son téléphone mobile qu’il risquait de trouver les indices dans les arbres au milieu de la nuit. Étant tranquille, je ne suis allé cacher les clés de sa cage de chasteté en vélo électrique que le lendemain. Sauf que ces clés étaient dans une boite en plastique cachée dans un sac plastique en dehors de la propriété. Si moi j’avais fait 10 minutes de vélo à 7 heures du matin, lui allait devoir marcher au moins 30 minutes avant de se faire son « self service ». RESULTATS D’après lui, il a mis plus d’une heure à trouver les clés des menottes et cadenas dans le donjon. Si il a bien aimé la cagoule d’isolation, faire du « sport » habillé comme il était, lui a donné si chaud qu’il n’osait plus ouvrir les yeux à cause de la transpiration. Il a bien essayé ensuite d’aller trouver les indices de l’Espace Game, mais a rapidement changé d’avis, car de nuit, cela lui paraissait impossible. Son téléphone mobile n’éclairait pas assez loin. Il n’avait jamais mis de serre taille et a donc « goûté » à cette contrainte physique que les femmes s’imposent souvent pour se plaire mais aussi plaire à nos yeux. En clair, il a mal dormi déjà à cause de ça. Ensuite, une des causes du trouble de son sommeil a été la brassière bloquant les pinces à linges qu’il portait sur ses tétons. N’aimant pas dormir sur le dos, cela a été compliqué pour lui. Il m’a avoué avoir essayé de retirer les pinces, mais qu’avec la brassière rembourrée et la grenouillère il n’y était pas arrivé. (Comme si cela n’avait pas été le but.... heureusement pour lui que je l’avais dissuadé de mettre des pinces à sein plus sévères) Si ce n’était pas la première fois qu’il mettait une couche, marcher le lendemain sur le terrain avec ce « truc » lesté d’urine entre les jambes ne l’avait pas beaucoup amusé surtout qu’il avait peur d’être vu en grenouillère par le voisin venu travailler sa terre. Arrivé dans son gîte après 30 à 40 minutes de marche et de recherche, son déshabillage fut, d’après lui, compliqué. Je pense qu’il parlait des pinces à linges sur ses tétons, une nuit entière c’est long et dur le lendemain lors du retrait. En plus, cela devait presser « derrière » avec son plug et que la corde avait du se mouiller quand il a transpiré. Défaire les noeuds d’une corde mouillée n’est pas facile. Il voulait du long, alors.... Monsieur s’est offert une grasse matinée, je le sais parce qu’il m’a dit avoir souffert de la chaleur pour aller chercher les clés de sa cage de chasteté. Logique, en Espagne on part marcher de bonne heure car après 11 heures, le soleil commence à taper. Lorsque nous nous sommes croisés à la piscine le soir, il m’a dit, avec humour, que j’étais un sacré enfoiré de pervers. Je l’ai remercié de ce compliment en lui demandant s’il désirait un autre scénario. Sa réponse a été « oui mais sans pince à sein », on se demande pourquoi ? (Rire au départ, il les avait trouvées trop soft...) Il avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou encore plus taré que moi a souhaité que je l’associe à un Espace game.  Le pauvre.... Je vous raconte ça un autre jour. TSM (qui s’est bien amusé en lui faisant plaisir)       
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Par : le 04/08/23
Disclaimer : Ce texte était a la base pour le couple que je fréquentais et a qui j'appartenais jusqu'à peu, je le met ainsi a disposition pour que les gens puissent le lire et découvrir une relation que j'ai pu avoir.   18/03/23 Une soirée de plus passée aux côtés de mes Propriétaires, je ne m'attendais pas du tout à tout ce qu'il s'est passé, mais j'ai adoré... J'arrive chez Maître et Maîtresse vers 19h15, l'on discute quelques petites minutes puis l'on me prépare. Mes Propriétaires m'ont préparé plusieurs choses ce soir, car je ne vais pas être n'importe comment... Je vais être la servante de la soirée... Cela me stresse énormément, car j'avais déjà vu d'autres personnes le faire mais moi je ne l'avais jamais fait, sauf pour K et mes soeurs de soumission mais je n'avais pas besoin non plus d'être toujours aux aguets si quelqu'un a besoin de quelque chose, et je n'avais pas non plus la pression de bien représenter mes Propriétaires. Un joli petit bar est là pour que je puisse servir tout le monde, des petites choses à grignoter sur une petite table qui doit être préparés également. Maitresse me montre comment est rangée la cuisine, ce que je dois servir comme boissons. C'est quand même assez simple, les consignes sont claires et je sais ce que je dois faire. Je la suis à nouveau avec mon sac en main afin de me préparer à être la servante de la soirée. On monte dans la salle de bain puis je défais mon corset afin d'etre plus a l'aise dans mes mouvements, je prends ma cagoule en main et puis je regarde Maîtresse qui m'observe. Elle vient doucement vers moi, défais mon collier en acier puis se met à lentement déboutonner ma chemise. Je regarde Maîtresse faire, me mettant à frissonner de plaisir et à me détendre avec ma cagoule en main, étant comme paralysée, laissant faire Maîtresse. Elle vient à me regarder avec un très joli regard, étant comme satisfaite de ce qu'elle découvrait sous cette chemise, elle vient me la retirer avec douceur puis je me retrouve les seins nus face à elle, légerement intimidée. Je reprends doucement la mise en place de la cagoule puis Maîtresse me passe un collier en cuir assez épais autour du cou, avec une jolie boucle. Je mets en place le body puis la jupe, gardant le collant que j'avais sur les fesses et Maîtresse vient finir la tenue en rajoutant un petit tablier en soie blanc qui est magnifique. Maitresse passe une laisse sur mon collier puis-je la suis, rejoignant Maître. Je viens à me mettre à genoux entre Maître et Maîtresse puis Maîtresse passe la laisse à Maître, je viens doucement me rapprocher à quatre pattes, caressant son joli pantalon en cuir et venant me détendre de plus en plus sous ses caresses mais comme il est déjà 19h45, il faut que j'aille me mettre en position. Monsieur m'amène jusqu'à la cuisine, je le suis à quatre pattes puis je me lève, il me rappelle les consignes, me rassure et me dit que si besoin, Maîtresse peut prendre la relève, je lui réponds simplement que tout va bien se passer pour moi et que je le dirais si quelque chose ne va pas. Puis au bout de quelques minutes l'interphone vient à sonner... J'ai préparé deux trois choses en attendant, rempli les bols qui attendaient sur la petite table et servi un verre à Maître et j'ai passé un coup d'éponge lorsque je débordais un peu. J'ai également beaucoup regardé les photos de Maître et Maîtresse sur le tableau blanc à côté des boissons que je peux servir. J'ai également beaucoup écouté les discussions entre Maître et Maîtresse. La première invitée arrive, elle a été décrite comme assez timide, elle vient dans la cuisine avec Maîtresse. Je la rencontre et on parle assez peu, étant moi-même assez intimidée et timide à ce moment-là, puis je suis trop concentrée sur faire le service. Je lui sers un verre puis il se mettant à discuter entre eux a nouveau j'ai également beaucoup écouté les discussions entre Maître et Maîtresse. La première invitée arrive, elle a été décrite comme assez timide, elle vient dans la cuisine avec Maîtresse. Je la rencontre et on parle assez peu, étant moi-même assez intimidée et timide à ce moment-là, puis je suis trop concentrée sur faire le service. Je lui sers un verre puis ils se mettant à discuter entre eux à nouveau Je lui sers un verre puis ils se mettent à discuter entre eux à nouveau. Je continue de faire ce que j'ai à faire, d'écouter, de regarder les photos puis à réfléchir sur deux trois choses pas vraiment importantes. Les invités arrivent petits à petit, ils ramènent des petites choses dont l'on s'occupe avec Maîtresse de ranger ou de servir, même si la manière de conserver deux trois choses reste assez obscure pour moi, je ne suis pas habituée à stocker de l'alcool. Je continue de servir des verres, de faire ma mini-routine au bar jusqu'à ce que tout le monde soit arrivés, et que les petits fours soient prêts afin que je puisse les rejoindre avec les petits fours prêts. Je les sers avec les petits fours puis je dépose l'assiette sur la petite table auprès des bols avec des choses à grignoter avant de me mettre à genoux à côté de Maître, me mettant à nouveau à écouter la conversation tout en restant présente si quelqu'un a besoin d'être servi. Je ne sais même pas quelle heure il est à peu près, Juste on discute et on se détend pour le moment, en faisant connaissance entre N/nous, mais il commence à y avoir les filles qui montent et on entend des fessées qui sont données à l'étage. Maitre me donne l'autorisation de monter alors je monte aussi. Il y a une fille qui donne des assez grosses fessées à une autre et autant l'une que l'autre, elles adorent ça. Maitresse part en donner à une autre fille puis-je les regarde faire en souriant, elles se plaisent et prennent du plaisir. C'est ainsi pendant un long moment, ou je les regarde juste en souriant, en les regardant découvrir ou alors juste prendre du plaisir. Maitre monte avec le reste des invités qui étaient restés en bas et c'est à ce moment-là, que la personne sur qui les filles testaient des jouets est arrivée à ses limites à cause de Monsieur qui a utilisé la badine. Les filles vont faire autres choses mais il y en a une qui a encore envie de plus, elle me voit disponible et donc viens me demander si elle peut me fesser et utiliser des outils d'impact sur moi. Je lui dis que ce n'est pas moi qui décide, que c'est Maître et Maîtresse alors elle va les voir et leur demander. Maitre me demande mon avis mais je lui dis que c'est lui qui décide, alors il accepte. Je la suis alors, je m'allonge sur elle, les fesses dans sa ligne de mire et elle commence par me les caresser avant de commencer à me fesser. Je me détends doucement, je me relâche au fur et à mesure des fessées qui sont plutôt douces au début. Elle augmente sa force et sa cadence au fil du temps, je sens ma peau chauffer petit à petit, me mettant à gémir de douleur entremêlé de plaisir... Elle baisse mon collant puis continue sur mes fesses à nu, continuant d'y aller avec une certaine vitesse et force. Mes fesses continuent de chauffer puis elle se met à vouloir essayer les martinets sur mes fesses, je me mettent en position sur le lit, les fesses cambrées prêtes à recevoir. elle commence doucement mais comme ma peau est déjà très sensible, les coups ressentis sont assez forts. Je continue de gémir entre ses mains, essayant de ne pas me contracter et lui faisant part comme elle a demandé, de la douleur procurée par les différents martinets. Elle s'arrête petite à petit, j'étais arrivée a ma limite au niveau impact pour ce soir-là, elle caresse tendrement mes fesses, les embrasses puis me Caline en me remerciant et en me disant que c'était bien, je la remercie également puis-je la regarde en souriant, même si j'aurais préféré que ce soit mes propriétaires qui s'amusent avec mon popotin, j'ai passé un bon moment. Je redescent doucement puis je me remets aux aguets afin de servir si besoin, tout en regardant deux invitées se faire attacher grace à l'ami shibariste de Maître et Maîtresse avec fascination. À un moment je reste en haut, les invités ont de moins en moins besoin d'être servis en boissons mais au contraire plus en jouets, ce que je fais. Je regarde Maître s'amuser avec l'invitée qui m'avait fessée il y a quelques dizaines de minutes, allant chercher ce dont il a besoin. Cela continue pendant une petite trentaine de minutes puis ensuite une invitée sort un sort de grosses baguettes qui conduit l'électricité, les filles jouent un peu avec puis Maître le voit, il me demande si j'ai déjà testé ce genre de choses et je lui réponds que non. Monsieur me regarde, il me demande si je veux essayer, je lui réponds que c'est lui qui décide, il sourit puis me dit d'une voix calme que du coup je vais essayer. Je stresse un peu, je n'ai jamais fait d'électro et ça a l'air de faire très mal... Les filles viennent à le tester sur Maître et il prend la baguette pour la tester sur lui, ça ne lui fait pas grand-chose puis il le teste sur moi, cela me fait un petit choc lorsque la baguette est à proximité mais si elle est collée à la peau ça ne fait rien, Maitre réessayé sur lui en suivant mes conseils puis il lâche un petit cri de douleur puis rend la baguette aux filles qui rigolent et qui réessayent de leur côté. On s'amuse à embêter Maître un peu avec la baguette puis il m'ordonne d'aller avec les filles pour que j'arrête de l'embêter, ce que je fais. Je les regarde s'amuser entre elles en souriant et je reste plutôt passive. Maitresse nous rejoints et essaie elle aussi la baguette, elle l'essaie avec une plaque en métal qui la rend conductrice d'électricité, elle essaie sur moi et sur une des filles puis elle voit ma poitrine à nu face à elle... Elle se met à titiller mes tétons et la presque instantanément, je me sens m'envoler... Mes tétons qui sont déjà sensibles à la base, titillés et électrocutés c'est vraiment génial... Il y a de la douleur mais énormément de plaisir... Je ferme les yeux, je gémis, je respire de façon saccadée, je deviens excitée... Je me sens gonfler dans ma cage de chasteté... Maitresse s'arrête puis je rouvre les yeux, je redescends doucement, je calme ma respiration, je reprends tout doucement mes esprits puis Maîtresse continue de s'amuser avec les filles pendant ce temps.   La soirée continue et tout le monde continue à prendre du plaisir de différentes manières, j'essaie de ranger deux trois choses qui trainent pour pas que les invités ne se les prennent dans les pieds ou les cassent puis je remonte afin de regarder à nouveau et être présente si besoin. À un moment la plupart des invités commencent à partir et d'autres descendent dans la cuisine. Je suis en haut avec Maître qui discute avec un de nos invités. J'écoute sagement jusqu'à ce que l'on m'adresse la parole, l'on commence à parler bdsm, pratique, les commencements. Maitre s'allonge sur le sol pendant la discussion. On continue à discuter puis l'invitée a envie de descendre dans la cuisine avec les autres. Maitre me dit que je peux faire la même chose mais je viens juste m'allonger contre lui, venant doucement lui caresser le torse et discutant légèrement avec lui. Au bout d'une petite minute, il lève son t-shirt puis viens mettre ma tete contre son téton en m'ordonnant de lecher, ce que je commence à faire. Je passe ma langue sur son téton doucement, je l'entends gémir légèrement, me guidant de sa voix, m'ordonnant d'y aller plus fort, plus vite, ce que je fais au mieux que je peux, me sentant bien, me laissant aller et juste léchant le téton de Maître... Je continue ainsi un petit moment, si bien que j'ai un peu mal à la langue et aux cervicales, dès que j'arrête de bouger la tete tout va mieux. Maitre viens a prendre ma main gauche afin de me faire toucher son entrejambe qui commence a rentrer en erection. Je continue a lecher tout en gardant la main sur son sexe, essayant de rester concentrée sur son téton... Maitre vient doucement reprendre ma main et cette fois-ci la fais passer à l'intérieur de son boxer, venant doucement commencer à le masturber tout en continuant de lecher du mieux que je peux, je perds pied... Je continue ainsi quelques petites minutes puis Maître vient baisser légèrement son pantalon et prends ma tete afin que je le prenne en bouche, je me laisse glisser et commence à faire des vas et viens comme je peux, et cela est ainsi pendant quelques minutes, alternant de léchage et masturbation à fellation pendant qu'il titille mes tétons à la guise de Maître, me laissant juste porter et guider par sa voix et ses mains... Maitre dit que c'est trop tot pour que tout cela vienne à se finir ce soir et du coup m'ordonne de m'arrêter ce que je fais. Je reprends doucement mes esprits peuvent je me redresse en regardant Maître qui souhaite que l'on descende. Je reste à genoux à ses pieds, le regardant toute contente des moments que j'ai pu passer ce soir. Il caresse ma tete en souriant puis viens me prendre fermement par les cheveux m'emmenant près des escaliers puis il prend ma laisse, m'autorisant à me mettre debout ce que je fais. Je le suis doucement dans les escaliers puis il rapproche fermement la laisse vers lui, devant me coller à lui pour descendre les escaliers. Une fois en bas il lâche la laisse puis je me remets à quatre pattes pour le suivre avec ma laisse en bouche, rejoignant tout le monde qui restait dans la cuisine qui discutait, je m'asseoir ainsi et attend, écoutant ce qui se disais mais il est déjà tard, très tard. Les invités restants se préparent petit a petit a partir. J'attends dans le salon, je dis au revoir aux invités puis je regarde Maître et Maîtresse les raccompagner jusqu'à la porte. Je les vois revenir, Maître s'installe dans le canapé a côté de moi puis commence à me caresser la tete doucement puis l'on parle quelques petites minutes mais il va également falloir que je parte, il est très tard et Maite est extrêmement fatigué. Je me prépare et mes Propriétaires me prennent un taxi pour que je rentre à la maison. Nous avons à peine le temps de se dire au revoir qu'il est déjà là, un dernier câlin et puis je file. M'enfin c'était une superbe soirée où j'ai pu découvrir des choses, me libérer physiquement et psychologiquement. Une soirée surement réussi voyait le sourire sur les visages des invités et de mes Propriétaires et vu tout ce qui a pu s'y passer. Avec toute ma dévotion. Votre soumise.
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 31/07/23
C'est bien bdsm.fr, c'est là que je viens piocher des idées pour renouveller mes jeux avec Maso. C'est mon homme, celui avec lequel je vis. Nous nous connaissons depuis si longtemps. C'est lui qui m'a aidé, épaulé, pour ma transition. C'est lui qui a fait de moi sa femme. Au début c'était très vanille, et puis nous avons doucement glissé vers les jeux pour pigmenter notre relation. C'est ainsi que j'ai découvert que j'étais une domina impitoyable et lui un pur maso. Je l'appele ainsi désormais.  Je suis toujours en recherche de nouvelles pratiques pour lui donner ce qu'il recherche, du plaisir dans la souffrance. C'est très sain, je trouve, d'aller à la découverte de ce que l'on est vraiment, et de le vivre. C'est bien le couple, car c'est appaisé. Depuis que j'ai basculé dans le hard, je n'ai plus du tout envie de faire l'amour avec lui, d'etre prise par lui, je veux dire, car faire l'amour c'est bien plus complexe que cela. Pour qu'il ne soit pas en manque, je le libère après chaque séance, et même la nuit. Je contrôle totalement sa jouissance et sans moi, il n'a droit à rien et surtout pas se toucher pour se donner du plaisir. Je ne le domine pas en dehors des séances, à par ce contrôle total de sa sexualité. Et pas besoin d'une cage de chasteté, il obéit parfaitement. Pour mes désirs à moi j'ai eu des aventures au début et à present je me comporte en bourgeoise sage avec un amant unique. Une petite vie en apparence tranquille de femme à la maison avec son homme. Ceci c'est pour le coté Jekill. Reste le coté Hyde. C'est mon amant, avec qui je n'ai qu'une relation vanille, et qui est aussi sur bdsm.fr, qui m'a suggéré ce nouveau jeu à faire avec mon maso. Il est dominant, mais il n'assiste jamais et ne pratique jamais dans mes séances avec Maso. c'est bien pour tout le monde lorsque les choses sont claires. Mon amant a beaucoup d'imagination. Hier, après avoir fait l'amour, en fumant son cigare, il m'a expliqué "Spirit of Ecstasy". Vous savez, l'emblème des Roll Royce, ces superbes voitures de grand luxe. Cela m'a donné envie d'essayer. Maso ne sait jamais ce que je vais faire lors d'une seance. Je parle le moins  possible. J'adopte des gestes très lents et je porte toujours des gants blancs comme une japonaise. je commande par gestes le plus souvent. Et Maso comprend de suite.  Ce rituel, c'est un rituel pour faire peur. et il marche très bien. Maso est nu. Je lui attache les mains dans le dos. Il se met à genoux. J'attache ses chevilles au sol.  Nous avons bricolé notre pièce de torture dans la maison, avec tout ce qu'il faut, anneaux acier, poulies, barres, croix,, et autres. C'est très bien pour s'amuser en sécurité. J'attache ses mains dans le dos à une corde qui passe par une poulie au plafond, puis je l'oblige à se baisser en avant. Il se retrouve dans la position "Spirit of Ecstasy". Superbe! je lui donne un mors à macher que j'attache aussi à ses mains dans le dos. Il est complètement à ma merci. je lui caresse doucement les fesses. il bande dur. Je ne le sodomise jamais. Pas même un doigt pour lui masser la prostate. Non, son plaisir c'est la souffrance.  Je lui montre une latte en bois, une belle latte de sommier. Les coups commencent. Je le sens se cabrer mais il ne peut fuir. Il oscille dans cette position. Cela donne la mesure. Les coups sont de plus en plus forts. Précision. Ne pas le marquer, juste le rougir. Il bande encore plus fort. Son gland est bien rouge et gonflé.  Je passe par devant, lui enlève le mors. C'est la séance des giffles. C'est redoutable une giffle bien faite. Il faut bien relacher le bras, laisser la main prendre beaucoup de vitesse et presque s'arreter à l'impact. Cela claque comme un fouet. L'onde lui monte au cerveau. Rien n'est pire qu'une seance de gifles. Rien n'est plus humiliant. Il bande encore plus, prêt à éjaculer. Du geste je lui dit : NON ! Et cela marche, son désir est coupé net.  Je sors les florentines. il faut faire des huit pour eviter les mains, comme dans le symbole de l'infini. Très vite la douleur devient insuportable. Il hurle. J'arrête. Quelques bonnes baffes. Et du geste je lui indique qu'il doit hurler en silence, garder ses cris à l'intérieur. Et de nouveau les florentines. Il se tétanise, il tremble. J'ai plaisir à le voir se tordre de douleur.  Il est au bord de l'évanouissement, ce moment ou le cerveau disjoncte, seule façon pour lui de supporter la douleur. je le laisse récupérer. De toute façon c'est assez pour ce soir.  Je le laisse seul dans le noir.  Lorsque je reviens, il est bien, détendu, incroyablement paisible. Je glisse ma main vers son entrejambe. Son pénis redevenu mou se met aussitot à gonfler et devenir très dur. Je le caresse très doucement. Lorsque je sens qu'il va exploser, je pince le gland. cela coupe tout. Et je recommence. Un veritable supplice que ces orgasmes qui montent et ne peuvent se libérer. Il me supplie des yeux. Je ne suis pas préssée. Enfin, je le laisse aller au bout. Je recupère sa semence dans mes gants blancs et il doit tout lecher; Je le laisse encore récuiperer dans le noir. Je vais prendre un verre en attendant.  Lorsque je le libère enfin, il est tout tremblant mais je sens qu'il baigne dans une immense paix intérieure. Je le laisse venir se lover à mes pieds pendant que je finis mon verre. Il les embrasse pour me remercier.  Finalement "Spirit of Ecstasy" est une position qui me plait beaucoup. Je cherche déjà des idées pour la prochaine séance. Bon je file, j'ai un rendez vous avec mon amant. Puis retour à la maison où Maso m'aura surement préparé un bon repas qu'il me servira nu, debout derrière moi. Pas de baffes ou de fouet en dehors des seances, il est parfaitement dressé et très heureux de son sort. Il aime me servir et m'obéir.   
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Par : le 29/07/23
Pour sa milice privée сталин, le général Valéri se fout des titres et médailles. Ce qu'il veut c'est de l'efficacité sur le terrain. Il n'a aucune idée préconçue pour recruter. Il  juge sur les compétences réelles et rien que cela. C'est ainsi qu'il a selectionné Hans, un combattant hors pair,  né femme et qui voulait etre depuis toujours un homme et un soldat. Un F t M qui en a bavé jusqu'à ce que le général Valéri l'incoropore dans sa redoutable milice сталин.  Depuis qu'il sait que son gros clito en erection est plus gros que le plus gros des penis, il ne veut plus faire de phalloplastie. 90% d'un clito n'est pas visible, un peu comme un iceberg, sauf que là c'est chaud et très innervé. Son engin lui suffit pour prendre son pied avec Line, sa superbe épouse, complètement folle de lui. Un homme avec un vagin et un gros clito. Hans se dit que les Dieux se sont moqués de lui. Depuis qu'il a rencontré Line, qu'il bosse pour Valeri, il est très heureux. Alors, il trinque parfois à la santé des Dieux pour cette blague. Le plan du Président Vladimir est d'encercler l'Europe, pas moins. Personne ne sest méfié.  Il a commencé  par la Syrie, puis la Lybie, l'Égypte, l'Algérie, la Tunisie, le Mali, .....et cela continue. Pendant que l'attention de l'Europe est tournée vers la prétendue offensive Zelenski avec du matériel occidental, lui avance ses pions en Afrique et ailleurs. Pendant que les contribuables américains et occidentaux se saignent pour une victoire qui n'arrivera jamais, que les corrompus ukrainiens passent des vacances de luxe dans les îles avec leurs impôts, Vladimir cache bien son jeu. En fait comme tous les menteurs, il sait que la meilleure façon de dissimuler c'est de dire la vérité.  Il peut être certain d'une chose, les occidentaux croiront qu'il ment.  Le général Tchiani vient de commencer son coup d'état au Niger. C'est un roublard. D'abord rassurer américains et Français qui ont des bases militaires dans ce pays. L'expulsion viendra après. Assoir son pouvoir, neutraliser tous les opposants.  Il agit de façon calme.  Hans et Line sont depuis des mois déjà à Niamey. Lui se fait passer pour un reporter photographe et line pour une commerciale d'un grand groupe pharmaceutique.  Ils donnent très bien le change.  Le réseau de la milice de Valeri au Niger à son QG dans l'arrière salle d'un café sombre. Ce lieu est réservé aux pratiques vaudou, aux messes noires, à  l'occultisme étrange et au paranormal. Aucun occidental n'ose s'aventurer dans cet univers glauque qui pue le sexe, la drogue, l'hyperviolence.  Tout cela n'est qu'une diversion pour tromper les services ennemis. Tout se passe au denier étage de l'hôtel de luxe ou Hans et Line ont loué  leur chambre, avec un beau balcon. Une arme nouvelle absolument terrifiante mise au point par le professeur Barbokov. Un accélérateur électromagnétique portable. Des aiguilles d'uranium propulsees à plus de 3000km/h. Une précision incroyable sur très longue distance. Pour détourner l'attention des drones, line prend des bains de soleil sur le balcon, sagement, en bonne épouse, en bikini. Des agents, des fonctionnaires d'ambassade, des militaires, des opposants à Tchiani sont abattus en pleine rue.  Le faux réseau des messes noires fait croire  à  des tirs depuis des drones.  Les américains sont sur les nerfs. Aucune piste. Toutes les victimes ont le cerveau explosé avec juste un petit trou dans le crane. Une arme nouvelle qu'aucun casque ou gilet pare-balles ne peut stopper.  Il est temps de démonter et de rentrer via l'Algérie et la Russsie. Line veut déguster encore une fois le beau clito de son homme. Elle adore lui donner du plaisir en le suceant.  Il est si doux. Hans se laisse faire. Il appuie sur la nuque de Line. Il aime jouer au macho.  Hans passe un gros sexe réaliste en silicone avec harnais. Il retourne Line qui roucoule de plaisir. Il la sodomise d'un coup. Il prend soin de lui administrer une terrible fessée.  Line supplie. Elle a mal. Ses fesses sont rouges et brulantes. Hans ejacule par petites saccades. Se comporter en macho le fait toujours jouir. 
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Par : le 23/07/23
Exposition temporaire N°3 suspension Dans les deux derniers récits d'exposition publique, j'ai bien aimé les contraintes physiques et la sensualité : le tout dans un mélange bien subtil et inoubliable!*Cette fois-ci ce sera encore bien différent : une suspension par les pieds imprévue et pour moi  bien originale  impressionnante et encore plus excitante! Mes récits d'exposition sont bien personnels et réels, comme les photos ! Un rendez-vous pour  21 heures  au donjon bien équipé : Après m'être déshabillé, Mon Maître me pose des bracelets aux chevilles, poignets ainsi qu'une cagoule. Je garde mes belles chaussettes blanches épaisses. Allongé au sol sur le dos, je sens petit à petit une tension forte sur mes jambes et je me retrouve suspendu, tête en bas : drôle de sensation de balancement! Avec mes mains, je ne peux toucher le sol ! L'effet est bien nouveau, pas désagréable et je me demande combien de temps je vais pouvoir tenir la tête en bas Un long moment de silence puis une main vigoureuse parcoure l'ensemble de mon corps suspendu et nu en s'attardant plus particulièrement sur mes fesses puis mon torse et plus spécialement sur mes seins, puis descendant sur mon sexe en plein rut! Une paire de fessées bien vigoureuse à mains nues augmentent sérieusement mon balancement et chauffe sérieusement mon arrière train. Je suis aux anges de me sentir ainsi suspendu parce que je l'ai bien souvent rêvé, voulu et souhaité! Tous les dominateurs ne sont pas équipés pour pratiquer la suspension par les pieds! je reçois une nouvelle fessée  encore un peu plus forte, ce qui accentue encore  plus le balancement,. Enfin un temps de repos bien mérité et apprécié, mais rapidement Mon Maître me pose des pinces aux seins! Encore une vigoureuse fessée ( elles doivent être désormais bien roses ?) puis Mon Maître augmente la pression des pinces sur mes seins. Je trouve que je supporte assez bien la suspension quand Mon Maître m'attache les bras  bien écartée en croix et enlève enfin aussitôt les pinces de mes seins qui commençaient à être bien douloureux! Pour la quatrième fois, nouvelle fessée un peu plus sensuelle et surprise quand je sens un doigt pénétrer mon petit anus vierge et bien fragile! Mon sexe me semble être en feu! Temps de repos bien agréable mais toujours suspendu par les pieds. ( depuis combien de temps ?) Je sens Mon Maître ficeler mon sexe, mais je ne peux rien voir avec la cagoule. Subitement je sens une bouche engloutir mon sexe et simultanément deux paluches viennent me triturer les seins tout juste remis de la forte pression des pinces! Je ne connais de situation plus excitante, plus explosive qu'une fellation accompagnée d'un travail simultané des seins: résultat je n'ai guère tarder à jouir violemment! Avant de me descendre j'ai encore droit à une belle fessée à mains nues, ce qui est beaucoup excitant et sensuel qu'avec un instrument telle qu'une palette! Mon Maître me tire en arrière par les bras tandis que le treuil descend et me libère et soulage de la suspension. Sur le dos, un peu mal aux fesses, je ne peux me retourner à cause des bras toujours écartés en croix attachés à une barre de fer d'écartement. Combien de temps de récupération suis-je resté  au sol, sur le dos, avant que Mon Maître m'enlève enfin la cagoule et les bracelets ??? Je ne sais, mais ce fut une première expérience inoubliable que j'aimerais bien pouvoir renouveler !
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Par : le 19/07/23
Le Triangle de Karpman dans le BDSM Attachez vos ceintures (et vos laisses) parce que nous allons explorer un sujet qui me tient à cœur : la manipulation dans notre cher monde kinky. Aujourd'hui, je vais débattre sur des commentaires que j'ai lu sur fetlife qui m'ont fait bondir de mon trône de princesse. On y parle de sauver les âmes, de détruire les limites, et d'autres stupidités qui me donnent envie de dire : "Stop, ça suffit !" 🔥🤚 "Sauver" les âmes : T'es pas Superman, mec ! Oh là là, arrêtons-nous un instant et rappelons-nous que nous ne sommes pas des super-héros en capes de latex (même si le latex c'est magnifique) ! Le besoin de sauver les autres peut sembler noble, mais désolé de briser votre illusion, c'est tout simplement impossible. Chacun doit prendre en charge sa propre guérison et chercher l'aide d'un professionnel compétent si nécessaire. Nous pouvons accompagner et soutenir, mais nous ne pouvons pas jouer les sauveurs. 🦸‍♂️❌ "Ma vérité est LA vérité" : Oh, le gourou a parlé ! Tenez-vous bien, parce que voici le grand gourou qui déclare détenir LA vérité universelle. Désolé de vous décevoir, mais nous sommes tous différents et il n'y a pas qu'une seule vérité. Chacun a le droit de penser par lui-même et d'exprimer ses opinions. La manipulation commence lorsque quelqu'un essaie d'imposer sa vision du monde sans laisser de place à la diversité des perspectives. Soyez ouverts d'esprit et laissez les autres exprimer leur vérité aussi. 🗣️🔓 Détruire des personnes : Vous avez dit quoi ? Euh, pardon ? On parle bien de BDSM ici, pas de films d'horreur psychologiques ! La notion de détruire quelqu'un, même de la "bonne façon", est tout simplement aberrante. Les conséquences émotionnelles et psychologiques peuvent être dévastatrices, sauf si vous êtes un thérapeute qualifié (et je parle de vrais thérapeutes, pas des "Dom-gourous"). Il est temps de respecter les limites et de reconnaître qu'il y a des lignes qu'il ne faut pas franchir. 💔🚫 Soumis(e) = victime : Pas de stéréotypes, pitié ! Oh, mais attendez une minute ! Prétendre que dans la généralités les personnes soumises sont des personnes blessées, brisées ou traumatisées, c'est comme dire que tous les dominant(e)s portent des fouets à la ceinture. Ce n'est tout simplement pas vrai ! La soumission est une forme d'expression saine et consensuelle, et il est temps de mettre fin à ces stéréotypes débiles. Une personne soumise n'est pas une personne qui a des traumatismes à régler ! Au secours, arrêtons de juger les préférences des autres et acceptons que chacun puisse explorer librement sa sexualité et ses désirs. 👥✨ La soumission ne guérit pas : Faites appel à un professionnel ! Mes amis, il est grand temps de rappeler une vérité fondamentale : la soumission n'est PAS un substitut à la thérapie. Le BDSM peut apporter du bien être EVIDEMMENT, mais il ne peut pas remplacer un traitement professionnel pour guérir des traumatismes. Si vous avez besoin de vous reconstruire, cherchez l'aide d'un thérapeute compétent qui comprendra réellement vos besoins. La santé mentale est primordiale, et il n'y a pas de raccourcis magiques vers la guérison. 🌈🧠 Voilà, voilà, les gens, il est temps de mettre fin à cette culture de manipulation qui s'insinue dans nos pratiques. Ne soyons pas des moutons aveugles guidés par des gourous autoproclamés, mais plutôt des individus éclairés, ouverts d'esprit et respectueux. Le consentement, le respect des limites et la communication claire sont les piliers de nos relations BDSM saines. Il est temps d'éduquer, de remettre en question et de faire évoluer les attitudes et les comportements dans notre communauté. Soyons des éclaireurs du plaisir consensuel, sans compromettre notre intégrité ni celle de nos partenaires. 🌟💪 Rappelez-vous toujours : le BDSM est un jeu ou une philosophie de vie, mais la manipulation n'en fait pas partie! Restons sains d'esprit, passionnés et engagés envers une expérience BDSM éthique et sécuritaire pour tous ! 🖤✨ Sortir des relations toxiques et identifier une personne toxique – Madame_Bliana
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Par : le 19/07/23
Dans notre couple, nous pratiquons la discipline domestique comme d’autres font du libertinage ou du BDSM. A chacun son mode de vie, ses peines et ses plaisirs. Pour moi, la fessée est utile dans le sens où j’ai besoin de cadre, cela me permet de m’épanouir, de me sentir aimée aussi. Et comme je suis un peu bordélique, un peu tête en l’air et parfois un brin feignante, je zappe beaucoup de choses et fais pas mal de bêtises. La dernière en date c’est d’avoir voulu vérifier mon maquillage en reculant la voiture. J’ai fracassé sa voiture de société et bien abîmé la nôtre. Ce qui l’a rendu le plus furieux c’est qu’en reculant j’ai aussi failli percuter le fils du voisin sur son vélo. Ça, c’est quelque choses que je ne ferai plus et pour cause, entre la franchise et la très sévère fessée que j’ai prise, sur ce coup là, j’ai compris la leçon. Mes fesses étaient quasiment bleues et j’en ai gardé le cuisant souvenir pendant une semaine chaque fois que je me suis assise. Technicien commercial dans une grosse entreprise internationale, mon mari part souvent en déplacement pour des durées pouvant aller jusqu’à quinze jours. Cela n’est pas incompatible avec la vie de couple, il m’appelle quasiment tous les jours et bien souvent on se fait le bisou du soir en visio. Plusieurs fois, j’ai eu la surprise de le trouver à la maison en arrivant de travailler. Et comme je suis bordélique, autant dire clairement qu’à chaque fois je me suis faites déculotter et tanner les fesses. C’est toujours la même rengaine : « et si j’étais venu avec un collègue, j’aurai eu honte de ma maison ». Depuis il a trouvé une solution ennuyeuse en installant une webcam wifi sur batterie et parfois, me demande à visiter la maison. Sauf que, j’arrive encore à me faire piéger. Je sais pourtant qu’il risque de me le demander, mais bon.... Tout cela m’a valu des kilomètres de ligne qui ne me pose plus de souci, j’arrive sans ennui à les faire en regardant la télé. Le jour où il a appris ça, il est passé au carnet de punition. Le souci est qu’il y a beaucoup de fessées en retard dans le carnet, parce qu’après 15 jours d’absence, il ne peut pas toutes les donner en deux jours. C’est là qu’un vendredi soir, il est arrivé avec une machine à fessée ! Et moi, provocatrice comme d’habitude, je lui ai demandé si il avait mal à la main et comme il a 15 ans de plus que moi, si il sentait déjà arriver le poids des années. Je peux vous affirmer que ce n’était ni un souci avec sa main, ni le poids des années, parce qu’à peine avais-je fini ma tirade de chipie, qu’une main m’a happée, couchée sur ses genoux pour une sévère déculottée. Envoyée au coin avec interdiction de me retourner, je l’ai entendu déballer et installer la machine à fessée. Ayant un peu triché, j’ai pu constater qu’il l’avait fixée sur la table du salon face à l’ordinateur. Viens te mettre à genoux sur cette chaise en regardant l’ordinateur, ce n’est pas la peine de remonter ta culotte, on va l’essayer ! M’a ordonnée mon daddy. Il avait placé une canne droite et fine, celle que je déteste car plus elles sont fines, plus cela fait mal. Au début, j’ai cru qu’il s’était fait avoir avec sa machine à fessée car les coups étaient des caresses. Oui mais ça, ce n’était qu’au début ! ! ! En effet, il testait les niveaux des puissances proposées. Quand il est arrivé au niveau 6, j’ai commencé à serrer les dents et sur 7, je les ai serrées pour de bon ! Bien ma puce, il faut que tu la démontes et que tu la remontes puis que tu la testes seule ! Autant dire que j’ai trouvé que c’était compliqué et nul comme idée ! N’ayant pas ma langue dans ma poche, cela m’a value de prendre deux minutes de fessée à la machine sur le niveau 7 qui pique vraiment avec une canne fine. Bien, à partir de maintenant, en mon absence elle sera mon allié pour te discipliner et te rappeler tes devoirs ! On mange quoi ce soir ? A conclu mon mari en démontant la machine. J’ai bien failli lui répondre, « de la soupe à la grimace » mais avec ce que j’avais déjà pris comme fessée et celles en retard, pour une fois, j’ai réussi à me taire. Pendant le week-end, j’ai pris deux fessées en retard et donc indiquées sur le carnet, plus une petite juste avant d’aller au lit le dimanche soir. La dernière était plus un prétexte, une envie de sa part de me rougir un peu les fesses avant de me faire l’amour. Au dodo, mon mari hummmm alors pour la petite fessée en préambule, j’étais plus que d’accord ! Il était partie une semaine aux Londres, quand il m’a appelée. Pendant la discussion il m’a demandée si je n’oubliai rien. Sur le coup, j’ai répondu « non » avant de me rappeler que j’avais été en retard de trente minutes au travail. Et oui, c’est ça l’amour, on se met des traceurs sur le téléphone pour savoir où on est, si tout va bien sauf que, ces saloperies peuvent cafter si la personne regarde où on est sur son mobile... Il m’a donc demandée d’aller chercher la machine à fessée et de la fixer sur la table du salon puis d’y installer la chaise comme quand nous l’avons testée. Ensuite, il a exigé que nous passions en visio pour contrôler que je m’étais bien la machine comme il faut et sur niveau 6. Ce méchant a tenu à ce que je place la webcam sur la table face à mon visage. Et là, après m’être déculottée, j’ai du programmer cinq minutes de fessée avec le niveau 6 et cette saloperie de canne. Dès les premiers coups, j’ai bien senti que cela allait être long... et horriblement désagréable surtout qu’il n’arrêtait pas de commenter. J’adore les expressions de ton visage. Tu ne regrettes pas d’avoir été en retard ? Tu sais que tes seins ballottent pendant la fessée. Pourquoi tu fais la grimace ? Ce qu’il y a de génial avec cette machine, c’est que je ne me ferai plus mal à la main, tu te souviens de ta provocation, et puis quand je serai vieux, cela sera très pratique. Il n’avait pas oublié mes provocations le soir où il a déballé sa machine. J’avais vraiment les fesses en feu lorsque la machine à fessée s’est enfin arrêtée et les larmes n’étaient pas loin. Tu vois, nous allons pouvoir rattraper le retard que nous avons dans ton carnet de punition. Mais avant, je veux voir l’état de tes fesses, lèves-toi que je les vois ! Ah oui quand même ! Elles sont bien rouges, tu auras sûrement quelques marques cette semaine. Et moi comme une conne, je lui ai demandé si cela l’avait amusé ! Sa réponse n’a pas tardé ! Oui parce que franchement j’ai tellement savouré la beauté de ma femme pendant une fessée que je doute de pouvoir me passer des expressions de ton visage dans ces moments là ! Tu étais si désirable que je suis ultra excité. Par contre, comme tu étais encore en mode provocatrice, tu vas reprendre ta place nous allons rajouter deux minutes ! Je l’ai supplié, il m’a demandé si je voulais qu’on programme quatre minutes. J’ai abdiqué et repris place pour deux minutes de fessée supplémentaire. A la fin, il m’a demandée de tout ranger fesses à l’air afin de pouvoir se sustenter de la vue du corps de sa « sublime femme » avec les fesses bien rouges. Comme j’avais oublié de dire « merci daddy » j’ai du m’asseoir sur le paillasson dédié aux punitions pendant la fin de notre conversation. J’avais hâte qu’elle se termine parce que le paillasson c’était devenu hard pour mon popotin. Après le bisou du soir et avoir coupé la visio, j’ai senti comme un grand vide, il me manquait déjà. Ce rappel à l’ordre avec la machine à fessée n’a aucun rapport avec les lignes, quand il est loin de la maison, c’est un peu comme si il était là juste le temps de la fessée. Faudra que j’écrive à *** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) *** pour leur demander comment mettre la machine en panne. Quoi que, grâce à elle, mon mari s’est occupé de moi même à distance. Et puis il m'a dit que nous pourrions jouer avec aux dès ce qui pourrait être amusant puisque je suis aussi très joueuse. Fin TSM Acheter une machine à fessée pour votre little ou pour vous même
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Par : le 17/07/23
Je suis donc l'instructeur qui interroge Catherine avec le jeune milicien comme assistant. Je suis assis à mon bureau, plongé dans l'examen du dossier et écoutant les réponses de la femme. Le jeune milicien intervient : « Madame je vois que vous ne jouez pas le jeu ! Vous ne gardez pas la poitrine gonflée ! - mais si, je, je...enfin si ! - Non Madame, vous vous ne gardez pas la poitrine tendue, tant pis pour vous. Retirez votre chemisier. Allons, vite ! » Catherine se tourne vers moi implorante : « Oh, s’il vous plaît Monsieur, pas cela ! Je, je… - Obéissez si vous ne voulez pas goûter encore à la canne de bambou. » Rouge de honte, Catherine sort les pans de son chemisier de son pantalon et commence à le dégrafer puis retire le vêtement et le pose sur une chaise à côté d'elle ; elle croise pudiquement les bras. « Madame, placez les mains sur la tête et ne cachez pas votre soutien-gorge. Respirez, tendez votre poitrine... ! » Depuis mon bureau, je me régale du spectacle des seins lourds dans le soutien-gorge tendu. Le milicien place carrément sa badine sous les seins de Catherine et les soulève : « Bien, parfait ; gardez la position. » Je reprends le dossier sachant que les questions qui arrivent vont la déstabiliser : « Madame, de quand date votre dernier rapport sexuel ? » Catherine suffoque : « Oh mais Monsieur, je… je… C'est très intime, je ne peux pas... » Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : la badine du milicien frappe ses seins sur le soutien-gorge de haut en bas, visant les tétons. « Aïeee, noooonn, aïïe ! » Catherine se tortille mais garde les mains sur la tête, le milicien lui impose de se redresser. « Je vous écoute, Madame… - Euh, il… Il y a quatre jours, sanglote-t-elle, vendredi soir, Monsieur... - Avec votre mari ? - Oh oui, bien sûr : je suis une épouse fidèle, je... Je n'ai pas d'aventure... - Jamais ? - Oh non Monsieur... » Je prends mon temps et relis un peu le dossier. « Vous avez joui ? » Catherine se liquéfie, les questions devient très intimes. Elle bafouille : « Euh oui… Oui Monsieur. - Vous aimez jouir ? - Euh… Bien, oui…Oui Monsieur. - Vous pratiquez la fellation, Madame ? » Catherine est très choquée mais elle sait qu'elle doit répondre, le milicien promène sa badine sur son soutien-gorge, prêt à frapper, cela fait un moment qu'il lui agace et caresse les tétons qui pointent sous le soutien-gorge. « Je… Oh mon Dieu, je… Noon, noon, jamais Monsieur, c'est pas bien, c'est... » Je me lève en souriant et viens vers Catherine avec le dossier ; arrivé à son niveau, sans un mot, je la gifle d’un aller-retour avec le dos de la main. « Aïïeii ! Ooooh mais je… je… Pourquoi ? Sanglote-t-elle. - Madame, cela fait un moment que vous vous moquez de nous ! J'ai reçu votre mari il y a une semaine pour remplir avec lui votre dossier, écoutez sa réponse à cette question : "Oui, ma femme pratique la fellation. Elle aime d'ailleurs beaucoup cela ; pendant les préliminaires elle le fait systématiquement, cela l'excite beaucoup, je peux même dire que c'est une très bonne suceuse, experte. Par contre, elle a beaucoup de réticence à avaler le sperme, il m'arrive parfois de le lui imposer, cela lui donne envie de vomir… Mais sucer, oui : elle adore !" Alors, qu'avez-vous à dire, Madame ? Votre mari est un menteur ? » Catherine est blême, elle commence à transpirer beaucoup. « Non monsieur, il a raison : je… je… Oui, je pratique la fellation... - Vous êtes donc une menteuse ? - Oui Monsieur, désolé. - Vous allez être punie, Madame... Retirez votre soutien-gorge. Allons, vite ! » Malgré sa honte, Catherine sait que rien ne sert de résister. Elle dégrafe le sous-vêtement, fait glisser les bretelles et le maintient devant sa poitrine. « Allons Madame : retirez-le ! Et montrez-nous vos seins ! » Catherine est morte de honte ; elle obéit et se présente seins nus. Je suis ravi de pouvoir humilier cette femme, ronde, sensuelle ; je me place derrière elle, lui bloque les mains dans le dos et ordonne : - Cinq coups... sur les seins... Cela lui apprendra à mentir... - NOOOOOON, aïe, pas sur les seins, aïïïïe, nonn, c'est trop douloureux ! Snifff… Aïïe, pas les tétons, pas les tétons !... Aïïïïe ! » Je lâche Catherine, le milicien lui impose de se tenir droite, seins tendue mains sur la tête. Ces gros seins sont zébrés de 5 stries rouges, " passent à travers les tétons. « Bien, que cela vous serve de leçon. Vous allez obéir ? - Oh oui Monsieur ! - Vous ne mentirez plus ? - Non Monsieur. » Je fais un signe au milicien qui commence à ouvrir le bouton du pantalon de Catherine puis descend la fermeture éclair... et attend. Je lui fais signe de continuer et il commence à descendre le pantalon, la femme apparaît en culotte, le jean baissé aux genoux, nous pouvons l'admirer. « Faites ballotter vos seins de droite à gauche Madame ! » Catherine, qui ne veut pas recevoir une seconde punition, obéit malgré sa honte, elle balance ses seins doucement. « Plus vite et plus fort, Madame ! » Elle obéit ; ses seins claquent une fois à droite, une fois à gauche et deviennent douloureux. Catherine transpire beaucoup ; malgré tout, ses tétons sont érigés, gorgés de sang. « Stop ! » Elle éclate en sanglots. « Retirez votre pantalon, complètement... Vite ! » Elle obéit, il ne lui reste que sa culotte. Elle est déjà pieds nus depuis la salle d'attente, c'est le premier principe d'humiliation : quand une femme arrive au centre, elle retire ses chaussures, ses chaussettes ou ses collants, elle se présente pieds nus devant l'instructeur. Je reprends le dossier. « Bien. Madame, depuis ce rapport sexuel, il y a euh, quatre jours, vous vous êtes masturbée ? » Catherine sombre un peu plus, hésite et du coup, reçoit un coup de canne sur les fesses. « Aïïïïee ! - Alors ? - Non Monsieur, non ! - Vous vous masturbez régulièrement ? » Catherine sait que son mari a dû parler de ses pratiques, elle doit être franche. « Euh, non Monsieur, pas très souvent mais parfois cela m'arrive. Je euh, oui, pas très souvent mais régulièrement, mon mari me demande de le faire devant lui. Au début, je n’aime pas mais après, cela euhh, cela m'excite, Monsieur. - Et vous jouissez ? » Catherine baisse les yeux. « Oui Monsieur. - Répondez par une phrase, je vous prie : "oui Monsieur, je jouis". - Oh pardon. Je, je… Oui Monsieur, je jouis. - Bien. Vous utiliser des accessoires pour vous masturber, ou uniquement vos doigts ? - J'utilise uniquement mes doigts, Monsieur. - Bien. Je vois que vous êtes devenue plus docile, c'est parfait. » Je pose le dossier et m'approche d'elle, je la regarde dans les yeux et lui empaume les seins. Je lui soupèse, je les palpe... Elle a toujours les mains sur la tête, les seins offerts c'est un vrai régal. Au bout d'un moment, ce que j'attendais arrive : elle craque, elle se secoue et libère ses seins. « Arrêtez, laissez-moi ! Je, je… » Le milicien s'apprête à frapper je lui fais signe d'arrêter : « Non, attends ! Apporte le tabouret... » Il place au centre de la pièce une espèce de caisse d'environ soixante centimètres de haut et, saisissant Catherine, lui menotte les mains dans le dos. Je m'approche d'elle ; je vois à son regard qu'elle est terrorisée. Je lui caresse doucement le ventre puis, pour marquer ma domination, j'écarte l'élastique de sa culotte et regarde son sexe poilu et brun... « Tu as déjà été épilée ? Complètement ? - Oh non Monsieur, jamais ! » Je fais claquer l'élastique sur son ventre : « Monte sur la caisse. Comme tu manques encore d'obéissance, tu vas être punie... Saute ! » Catherine saute. Ses seins claquent douloureusement contre son ventre. « Remonte ! Saute ! Remonte, saute ! » Les nichons claquent, ballottent dans tous les sens, rougissent, deviennent douloureux et extrêmement sensibles, les tétons sont gonflés. « Remonte ! Saute ! Remonte ! Saute… » Au dernier saut, Catherine chute au sol et se met à sangloter. « Allons, Madame Aldo, relevez-vous et arrêtez de pleurnicher comme une gamine. » Elle se relève péniblement, ses mains étant toujours menottées derrière son dos, et, ne voulant pas être à nouveau punie, se tient droite et gonfle la poitrine. « Je pense que cette fois vous avez compris la leçon ? Durant votre séjour ici, vous devez être dans l'obéissance TOTALE ! - Oui, oui Monsieur, je serai obéissante, promis ! - Durant votre séjour ici, vous serez considérée comme un objet sexuel, les maris de femmes présentent au Centre auront accès à votre cellule de jour comme de nuit grâce à leur carte magnétique ; seul votre mari ne pourra pas accéder à votre cellule. Mais bien sûr, à celles de toutes les autres pensionnaires. Quoi qu'ils vous demandent vous devrez obéir c'est compris ? - Oui Monsieur. - Vous pourrez également être louée à de riches personnalités qui souhaitent réaliser leurs fantasmes, seuls ou avec leurs épouses ou des amis... Ce qui plaît beaucoup en ce moment, est le scénario de la visite médicale en tenue de collégienne... » L'homme sourit. « … Mais l'arrestation par la Gestapo et l'interrogatoire plaisent également beaucoup. Dès demain votre dossier, avec photos nue, sera diffusée à notre clientèle privée. - Oh mon Dieu... - En tout cas, vous avez intérêt à être obéissante sinon, la prochaine fois, vous allez goûter aux plaisirs de la suspension mammaire... » Catherine n'ose pas parler, terrorisée. Je m'approche et commence à lui palper les seins, qui sont douloureux et bleus après le dernier exercice. Cette fois Catherine ne dis rien malgré sa honte elle se laisse palper. « Vous avez les seins douloureux ? - Oh oui Monsieur. - Retire lui les menottes. » Le jeune milicien les lui retire. « Vous allez masser vos nichons, Madame. - Euh mais je, je... - Allons, ne discutez pas. » Catherine passe ses mains sous ses seins et commence à les masser, les soupesant, cela calme un peu la douleur. Pendant qu'elle se masse, je l'observe, tourne autour d'elle. - Vous portez toujours des culottes aussi... enveloppantes... Taille haute... ? - Oh euh, oui, oui Monsieur. » Pendant qu'elle continue à se masser, je saisis l'élastique de sa culotte et remonte le sous-vêtement fermement vers le haut... « Aiiiie ! Ohhh, sniff… » Cela a pour effet de faire pénétrer le tissu dans sa raie culière et dans sa fente, puis je roule l'élastique sur ses hanches jusqu'à dévoiler environ quatre centimètres de son pubis et le haut de son sillon fessier ; aussitôt, je la sens tendue, humiliée à l'extrême. Je ricane : « Voici une culotte plus conforme à ce que nous exigeons ici... Massez également vos bouts, Madame. Allons, obéissez. » Catherine pose ses paumes sur ses bouts et les frotte, je vois bien que cela les fait gonfler... « Vous êtes excitée Madame ? » Elle rougit de plus belle. « Euh, je, non, je ne sais pas pourquoi… - Votre dossier mentionne que lorsque votre mari vous impose de vous masturber devant lui, vous commencez toujours par vous caresser les seins, donc je me pose la question. - Oh mais... Je… » Bien sûr, j'ai remarqué qu'elle commençait à respirer plus fort en se caressant les seins et qu'elle commençait malgré elle à être un peu excitée. « Tirez sur vos pointes de seins, Madame. - Oui monsieur. Aïeee, aïïee, hummmm ! - Plus fort Madame : pincez bien vos tétons... - Aïeee ! - Bien. Stop, mains sur la tête… Parfait ! Nous allons vérifier un point du dossier. » Je fais signe au jeune milicien d'approcher. « Baisse ton pantalon. » Il s'exécute. « Baisse ton caleçon. » Catherine voit apparaître le sexe en demi-érection du jeune homme, elle est stupéfaite quand d'une main, je saisis les testicules du jeune homme et de l'autre, je commence à le masturber... « - D'après votre dossier, vous êtes une très bonne... "suceuse". Vous allez nous montrer cela ! À genoux ! Gardez les mains sur la tête ! Avancez sur les genoux... » Stupéfaite, Catherine regarde le sexe du jeune milicien que je suis en train de masturber sans pudeur. Ayant encore les seins bleuis et douloureux suite à la première punition, elle a peur d’être encore corrigée et s’empresse d’obéir. Elle avance sur les genoux avec les mains sur la tête, en se tortillant de façon ridicule. Elle sait qu’elle va devoir sucer le milicien, puisque son mari a affirmé qu’elle était une bonne suceuse. C’est vrai qu’elle aime faire les fellations mais à son mari, pas à des inconnus, ni sous la contrainte... « Approchez-vous plus près, Madame. » Son visage couvert de larmes est à cinq centimètres du sexe du garçon que je masturbe encore et qui est devenu très dur. « Vous allez commencer par lécher ce sexe de la base au gland, en sortant bien la langue et en salivant fortement. » Terrorisée, Catherine s’exécute et même s’applique, malgré sa honte et son dégoût, elle lèche, sort la langue en grand… « Les testicules maintenant. Allez, léchez ! » Elle a horreur de cela : le jeune homme à les testicules poilues et cela lui donne des haut-le-cœur mais je la stimule avec ma baguette en tapotant ses fesses. « Bien. Maintenant, prenez le sexe en bouche et sucez. » Le jeune homme respire fort et gémit, Catherine s’applique redoutant une nouvelle correction. Elle pense : "Pourvu qu’il ne me mette pas tout dans la bouche". Mais elle suce avec ardeur, aspirant bien la verge, serrant bien ses lèvres autour, et passant souvent sa langue sur le gland du garçon qui gémit de plus en plus... Quand elle sent que la verge gonfle et devient de plus en plus dure, elle essaye de retirer le sexe de sa bouche pour éviter la décharge... Mais le garçon plaque ses mains sur sa nuque, enfile sa verge au fond de sa gorge et immédiatement, éjacule un sperme gras et abondant au fond de sa gorge. Catherine éructe, tousse, est prise de vomissements, mais le jeune homme la maintient fermement, ce qui l’oblige à avaler l’intégralité de sa liqueur. Le milicien prend son temps ; Catherine étouffe, manque d’air... Puis il relâche sa pression et retire son sexe repu. Catherine s’affale au sol et sanglote. « Allons, cessez vos jérémiades et vos pleurnicheries. Debout, vite ! » Catherine se relève et se place mains sur la tête, bien droite, poitrine tendue mais encore secoué de sanglots. Du regard j’interroge le milicien : « Oui, son mari a raison : elle suce parfaitement, sa langue est douce sur le gland. - Bien, c’est parfait. » Je remplis son dossier en même temps. « Madame, nous allons maintenant procéder à l’examen de vos orifices, puis au marquage. » Catherine, entre deux sanglots, me regarde avec un regard affolé mais ne semble pas tout comprendre. « Retirez votre slip madame et tendez-le-moi. » Catherine est effondrée : cette fois, elle va être toute nue devant les deux hommes sans aucun rempart pour sa pudeur. Néanmoins, elle obéit, descend son slip en se baissant, puis l’enjambe et, honteuse, me le tend avant de reprendre sa pose. Nous pouvons enfin apprécier sa touffe fournie de poils bruns. J’examine le fond de sa culotte et je lui fais remarquer qu’il est humide, Catherine rougit et baisse le regard. « Il me semble que le fait de sucer provoque un grand émoi chez vous, Madame. - Je euh, noon, je, je ne sais pas… Sniff ! » Cette femme ronde et pudique, nue, presque indécente, me donne très envie de l’humilier et me provoque une forte érection. J’enfile des gants d’examen et m’approche de Catherine qui, par réflexe d’obéissance, rectifie sa position et tend la poitrine dont les tétons semblent durcis. Je commence à examiner ses cheveux en disant que cela sera agréable de la voir être tondue par le coiffeur du centre. Puis saisissant sur la table un spéculum auriculaire, j’inspecte ses oreilles en veillant à n’être pas trop doux afin que l’examen soit douloureux. « Penchez la tête en arrière, Madame, je vais inspecter vos narines, penchez plus ! Allons… - Oui, aïeeee, oooh c’est désagréable ! - Bien. Redressez-vous ! Ouvrez grand la bouche ! Tirez la langue ! » J’enfile deux doigts au fond de sa gorge et lui maintiens la nuque... « Allons, résistez : ne vomissez pas ! » Catherine bave beaucoup tousse, manque de s’étouffer… « Allons, reprenez votre calme ! » Je la gifle, elle se redresse automatiquement. « Oh pardon, excusez-moi Monsieur. » Je continue mon examen un peu approfondi : mes mains descendent sur ses seins. Pour la première fois, je les palpe avec plaisir puis je saisis les tétons et les tords en les tirant vers le haut. Catherine se retrouve sur la pointe des pieds, le visage grimaçant, elle essaye de résister à la douleur puis craque : « Aïïïe ! Arrêtez, arrêtez, je vous en supplie : c’est trop douloureux ! Aïïïïeeeee ! » Je la laisse reprendre la pose mais pas de répit : je descends ma main sur ses fesses et les caresse longuement, juste pour qu’elle sente que j’ai tous les droits sur son corps... Je joue un peu avec sa raie, mais ne touche pas encore son sexe... J’effleure à peine son anus. Puis je lui indique la table gynécologique : « Installez-vous, Madame... Les pieds dans les étriers... » Catherine hésite, tremblante ; le jeune milicien la saisit par un bras et la dirige de force vers la veille table gynécologique entièrement en métal, un peu rouillée... « Allongez-vous Madame... » Catherine obéit, le métal froid lui donne la chair de poule. Le jeune milicien commence à l’immobiliser sur la table : il passe une sangle de cuir autour de son cou, une au niveau des hanches, bien serrée ; il positionne ses pieds correctement dans les étriers et passe une sangle au niveau des chevilles et une au niveau des genoux. Catherine se sent complètement impuissante. Pour le moment, seuls ses bras ne sont pas attachés. Le jeune garçon écarte les étriers au maximum. Catherine sent son sexe s’ouvrir, son intimité se dévoile, impudique ; elle sanglote de honte. Je passe des gants d’examen propres... « Bien. Madame, nous allons continuer l’examen de vos orifices. - Oh noon… S’il vous plaît… C’est terriblement humiliant ! Je… oh mon Dieu ! » Je commence à palper longuement son ventre et son pubis, fouillant son nombril. Cela est douloureux, elle gémit. « Humm, c’est bien ce qu’il me semblait : votre vessie est pleine... Passez-moi une sonde, je vous prie.... - Mais enfin nonn… Pourquoi, je… » Le jeune homme me passe un sachet chirurgical d’où j’extrait un cathéter. Catherine essaye de se débattre ; le milicien saisit ses mains et les maintient au niveau de sa tête... J’ouvre son sexe d’une main et découvre sans ménagement le méat urinaire ; j’enfile le tube de plastique. Catherine gémit... Rapidement, le tube se remplit d’urine. « Bien. Nous sommes dans la vessie. » Je plonge l'extrémité du tube dans un bocal et ouvre le robinet... L’urine s’écoule rapidement et emplit le bocal bruyamment, pour la plus grande honte de Catherine qui se sent se vider sans pouvoir se contrôler. Dès la dernière goutte dans le bocal j’arrache la sonde sans ménagement. Catherine hurle de douleur... « Allons Madame, modérez-vous, je vous prie. Bon. Vous êtes droitière ? - Euh oui, oui, pourquoi ? Je, je... » Le jeune milicien lui attache le bras gauche le long du pied de la table. « Bien. Madame, je vais devoir procéder à un examen en profondeur de votre vagin ainsi que de votre utérus. Pour cela, vous devez être bien lubrifiée, et rien ne vaut la lubrification naturelle... » Catherine ne comprend pas mes propos jusqu’à ce que l’ordre tombe : « Masturbez-vous, Madame. » Catherine est estomaquée, abasourdie. - Me...Oh non, jamais… Je ne peux pas faire ça devant vous, jamais ! » Je fais un signe au milicien qui approche une table à roulette avec dessus des câbles et un générateur. Le jeune homme m’interroge du regard : « Sur les bouts de seins. - Bien Monsieur. » Le jeune homme pose des pinces sur les tétons de Catherine et les relie à la machine. « Mais arrêtez ! Mais que faites-vous... Je, je.... » Sur un signe de tête, le milicien déclenche une décharge. Catherine hurle, son corps s’arc-boute... La douleur est terrible. Après la coupure, elle tremble. « Ah, ah ! Pas cela, arrêtez... Je vous en prie… Ahh ! - Bien, alors soyez obéissante, sinon la prochaine fois, ce sera une décharge sur le clitoris. » Catherine baisse le regard. « Oh mon Dieu, je vous en prie, pas là... Oui Monsieur, je serai obéissante. » Je prends sa main droite et la pose sur son sein. « Bien... Commencez par vous caresser les seins, Madame. » Catherine rougit et hésite, mais les pinces du terrible générateur sont toujours fixées sur ses tétons et elle redoute une nouvelle décharge. Avec sa main droite, elle se touche les seins sous le regard vicieux des deux hommes. Au bout de quelques minutes, je prends sa main et la guide... Je passe sur son ventre puis place sa main entre ses cuisses ouvertes, sur sa vulve ; elle frémit au contact de sa propre main... « Allez-y, Madame : masturbez-vous... » Sa main commence timidement à bouger entre ses cuisses, massant sa vulve... Catherine respire de plus en plus fort... Nous regardons attentivement ses gestes. Ses doigts deviennent de plus en plus précis, son index décalotte son clitoris et le masse... Elle gémit... « Hummmmm’ohhhhh huummmm ! - Vous aimez que l’on vous regarde en train de vous masturber, Madame ? - oh mon Dieu, noon : c’est terriblement gênant... - Gênant certes, mais cela vous excite... » Catherine est rouge de honte et d’excitation, jamais elle n’avait fait cela devant deux hommes... Parfois son mari lui demandait de le faire, pour lui seul. « Ooohhh oui, oui Monsieur, c’est honteux et excitant... Hummmm hummmm, oui, c’est bon… J’aime que vous me regardiez... Faire ça ! » Catherine est de plus en plus excitée… Elle mouille terriblement. Sanglée sur la table gynéco Catherine continue à se masturber avec ardeur malgré sa honte. Je lui impose de garder les yeux ouverts et de nous regarder... Son corps nu est trempé de sueur... Elle gémit de manière indécente... À sa tension et à ses gémissements, je remarque qu'elle va jouir... Je fais signe au jeune milicien qui, aussitôt, saisit sa main et l'attache à la table, la laissant dans un état de frustration terrible. « Ohhhh ! Non, je vous en prie, laissez-moi prendre du plaisir... Je, je, oh j'ai trop envie... de… de jouir, oh mon Dieu ! » Elle éclate en sanglots « Allons Madame, reprenez-vous. Restez digne, je vous prie. » Le milicien lui envoie une décharge électrique dans les seins... pour la calmer. « Aiiiiiiiieeeee ! Non, non, stop ! - Je ne souhaitais pas que vous ayez un orgasme... Je voulais juste que vous soyez parfaitement lubrifiée pour examiner votre vagin ainsi que votre utérus... » Une suite à l'admission de Catherine... Elle est nue, sanglée sur la table gynéco, et je viens de lui annoncer que j'allais examiner son vagin et son utérus. Je passe calmement des gants d’examen puis prépare sur un plateau métallique les instruments. Le générateur est toujours branché sur les tétons de Catherine. Elle me regarde les yeux ronds, terrorisée... Elle vient de se masturber de force devant nous et d'être frustrée de son orgasme. « Bien, voyons cela, Madame... » J'écarte sans ménagement ses petites lèvres et la pénètre à deux doigts... Elle gémit doucement. - Bien. Vous êtes parfaitement lubrifiée, Madame... Vous mouillez toujours comme cela ? » Elle est rouge de honte. « Euhh, oui, je pense, oui Monsieur. » Je fais allez et venir mes deux doigts dans son vagin. Catherine se raidit, elle gémit... « Hummm, ohhhh, hummmm ! Oh, je vous en prie, arrêtez... Vous, ohh, vous allez me... me faire jouir ! - Ce n'ai pas le but, Madame. » Je pousse mes doigts au fond de son vagin et palpe le col de l'utérus... L'examen est douloureux ; à plusieurs reprise, Catherine crie de douleur. « Allons Madame, restez digne je vous prie. Je vais mesurer votre utérus. » Je prends sur le plateau un longue tige métallique terminée par une forte boule. La tige est graduée et une bague coulisse dessus. Je pose l'instrument froid sur le ventre de Catherine. Puis je prends un fort spéculum métallique et le lui présente : « Je vais vous ouvrir, Madame. - Oh noon, s’il vous plaît, noon, pas ça ! » Je la pénètre avec l'instrument et actionne la molette. « Aïïïe ! Non, pas plus ! Aïïïe, c'est douloureux ! - Je sais, Madame, mais je dois vous examiner. » Son sexe est béant, humide, tellement ouvert que son clitoris est décapuchonné et complètement tendu, gorgé de sang... hypersensible… Je demande au milicien de me passer une petite pince aux bords dentés. « Je vais vous poser cette pince sur le clitoris pour vous calmer, Madame. - Noooon, noooon, je vous en prie ! » Je place la pince sur le petit bourgeon. Catherine hurle, essaie de bouger dans les sangles et pleure de douleur. Sans la laisser respirer, je la pénètre avec la tige, place la boule sur le col et d'un geste sec, la fait entrer dans son utérus. Catherine hurle un bref moment puis s'évanouit… Avec une pince, je fais coulisser la bague contre le col pour prendre la mesure. Puis m'adressant au milicien : « Comment tu la trouves, cette femelle ? Un peu ronde mais baisable ? - Oui plutôt. J'aime bien ses gros nichons et elle semble une salope au lit. - D'après son dossier, elle apprécie la sodo en plus, cette chienne ! » Les hommes ricanent. Profitant de son évanouissement je décapuchonne fortement son clitoris tourmenté. -« Tu as vu : elle à un gros clito. » Les hommes rient encore. « Bon, allez, réveille-la. » Le milicien appuie sur le bouton et envoie une décharge dans les seins de Catherine qui se réveille en gémissant. Je retire la tige : « Bien. Profondeur utérine sept centimètres et demi, vous êtes dans la moyenne, Madame. »        
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 08/07/23
La mer n'avait pas changé. Sa rumeur et son odeur étaient les mêmes, les vagues allaient et venaient comme celles de jadis. Vingt ans plus tôt, Juliette avait contemplé l'océan depuis cette même plage en songeant à la vie qu'elle avait devant elle, et à présent, elle sentait le sable râpeux sous ses pieds et la brise iodée emmêler ses cheveux. Elle inspira profondément et ferma les yeux. Le noir derrière ses paupières l'aidait mieux que celui de la nuit à se perdre dans le passé pour éviter de penser à l'avenir. En ces derniers jours du mois de mai, le fond de l'air était encore frais, et son chemisier et sa jupe de coton ne lui tenaient pas très chaud. Elle croisa les bras sur sa poitrine pour se réchauffer, en pensant, cependant, que ses frissons étaient une réaction appropriée aux souvenirs de cet été désormais si lointain qui revenaient en trombe. Les souvenirs qu'elle avait de lui, jeune écrivain d'une force et d'une précocité monstrueuses. Vingt ans durant, elle avait essayé de l'effacer de sa mémoire, pour se retrouver, de retour sur la plage de Donnant, tout aussi incapable de l'oublier qu'elle l'avait toujours été. Elle leva le visage, et la brise repoussa ses cheveux en arrière. Elle ouvrit la bouche pour l'avaler et s'en régaler. L'odeur iodée emplit ses narines et enveloppa sa langue, saisissant son esprit comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle était stupide et trop âgée pour croire aux contes de fée. Et les voyages dans le temps n'existaient pas, il n'y avait aucun moyen de retourner en arrière, aucun moyen, même de rester simplement au même endroit. Son seul choix, le seul choix que quiconque avait, c'était d'aller de l'avant. Cette pensée en tête, elle avança. Un pas, puis un autre. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable et elle se tourna pour regarder la terrasse de sa maison et la bougie solitaire qui y luisait. Un coup de vent agita la flamme et la fit vaciller, et Juliette s'attendait à ce que cette frêle lumière s'éteigne, mais celle-ci résista vaillamment derrière sa cloche de verre. La maison se trouvait pratiquement isolée à l'époque, se rappela-t-elle, tandis qu'à présent, il fallait supporter la joie bruyante des enfants et celle des surfeurs en herbe osant affronter les rouleaux de Donnant. Elle avait découvert à son arrivée la villa tapageuse de trois étages construite juste derrière la maison centenaire, aussi nouvelle pour elle que les dunes tachetées d'algues, inexistantes vingt ans plus tôt. Cependant, au mois de mai, les vacanciers n'avaient pas encore pris leurs quartiers d'été, et, à l'exception d'un bungalow au loin dont elle voyait les fenêtres éclairées, les autres habitations acadiennes semblaient vides. Elle fit encore un pas. La mer était trop froide pour nager, sans compter que le reflux risquait d'être puissant. Pourtant, poussée par les souvenirs et le désir, elle ne résista pas à son envie d'avancer vers les flots. Juliette s'anime de mouvements amples et se tend à la rencontre de l'autre, à leur accords et à leurs noces.   L'océan lui avait toujours donné une conscience aiguë de son corps et de ses cycles. Les marées soumises à la force d'attraction de la lune, lui avaient toujours paru un phénomène très féminin. Elle n'avait jamais été une grande nageuse, mais lorsqu'elle se trouvait au bord de la mer, Juliette se sentait plus vivante et plus sensuelle. Elle avait connu les eaux chaudes des Bahamas et les vagues froides de la côte bretonne, la douce houle du golfe du Morbihan, mais aucun de ces lieux ne l'avaient autant ensorcelé que ce bout de terre isolé et les eaux qui le baignaient. Belle île en mer était unique dans la cartographie de sa mémoire. Et vingt-ans après, de façon heureuse, le charme était plus fort que jamais Elle sentit sous ses pieds le sable compact et humide que la dernière vague venait de lécher. L'écume blanchissait ici et là le rivage, mais l'eau ne touchait pas encore sa peau. Elle avança avec précaution en tâtonnant avec ses orteils pour ne pas trébucher sur un rocher ou se couper avec un coquillage. Un pas de plus, et elle sentit le sable plus mouillé, doux et fuyant. Elle rouvrit la bouche pour aspirer les gouttelettes invisibles que l'air charriait, et les savoura comme elle l'avait fait avec la brise. Avant qu'elle ait fait un autre pas, une nouvelle vague échoua sur ses chevilles et la tiédeur enveloppa ses mollets en éclaboussant ses jambes nues. Juliette s'accroupit lentement et les flots embrassèrent son corps tel un millier de baisers, l'écume trempant son short. Elle frissonna de plaisir, et se laissa aller en arrière pour que l'eau couvre son visage de sa volupté iodée. Elle contint sa respiration jusqu'à ce que la vague se retire. Elle ouvrit les bras, mais l'océan ne se laissait pas étreindre, et elle referma les paupières, ses yeux la brûlaient à cause du sel de la mer et du soleil. Ils avaient fait l'amour sur cette plage, leurs cris couverts par la clameur de l'océan. Il l'avait caressé et embrassé jusqu'à la faire trembler. Elle avait guidé son sexe en elle, croyant lier leurs corps pour toujours. Elle s'était fourvoyée. Peu importait qu'ils aient vécu un été de passion, leur histoire n'avait pas tenu. Le plaisir était éphémère, elle le savait, et tout avait une fin. Elle commença par se caresser.   C'est le soleil qui la tira d'un sommeil bienheureux, un soleil ardent, né de tout. Le sable érafla sa peau lorsqu'elle pressa ses seins. Juliette écarta ses cuisses pour que la mer lèche son sexe et elle souleva ses hanches, nostalgiques du poids qui répondait à son mouvement, autrefois. Les eaux se retirèrent, laissant son corps exposé à l'air froid de la nuit. D'autres vagues bercèrent son corps. Cela faisait très longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir, si longtemps que ses mains semblaient appartenir à une autre femme. Il n'avait pas été son premier amant, ni le premier homme à la conduire à l'orgasme. Il n'avait même pas été son premier amour. Mais il avait été le seul à la renverser rien qu'avec un sourire, et le seul à la faire douter d'elle-même. Son immense talent littéraire et sa grande modestie. Pour lui, la vie était un roman. C'était un personnage de roman. C'était avec lui qu'elle avait plongé au plus profond de la passion, pourtant elle ne s'y était pas noyée. Pourquoi cet amour d'une saison continuait-il à l'habiter ? Ce n'avait été qu'un chapitre dans le livre de sa vie, à peine quelques pages. Elle avait passé plus d'années sans lui qu'avec lui, beaucoup plus. Mais plus rien de cela ne comptait. Lorsqu'elle se caressait, c'était à son sourire qu'elle pensait, à sa voix murmurant son prénom, à ses doigts enlacés aux siens. La main qui saisit sa cheville était aussi tiède que l'eau, et le temps d'une seconde, elle pensa qu'il s'agissait d'une algue. Le poids d'un corps, un poids solide, la recouvrit. Elle ouvrit la bouche et ses lèvres rencontrèrent un vrai baiser. Elle aurait dû crier et se défendre de cet inconnu qui arrivait de nulle part, sur la plage de Donnant dans le noir. Mais ses mains ne lui étaient pas inconnues. Ce n'était qu'un fantasme, une simple chimère, mais peu lui importait. Elle s'ouvrit à lui comme elle s'était ouverte à la mer. Demain, lorsque le soleil se lèverait sur sa peau écorchée et rougie par le sable, elle aurait le temps de se traiter de folle, mais, cette nuit, l'appel du désir était trop fort pour s'y soustraire, son corps la poussait à céder. Elle sentit ses mains puissantes s'enfoncer dans ses cheveux, il l'attira contre lui pour s'emparer de sa bouche. Sous elles, elles pouvait sentir le relief de ses vertèbres. Les vagues allaient et venaient, mais la marée baissait et les flots ne les couvraient plus. La mer le lui avait ramené, et elle accepta ce don sans se poser de questions. Tout ce qui venait de se passer lui sembla irréel à la lumière du jour, et tant mieux. Alors elle se relèverait pour quitter la plage de Donnant et regagner son lit. Mais ce moment qui n'avait pas existé, lui sembla aussi réel que le ciel et le sable, elle ne voulut plus penser à rien d'autre de peur que tout disparaisse. Elle souhaita alors fermer les yeux. Sur sa bouche, la bouche de l'autre se posa.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/06/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2016 C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle ville et une nouvelle école pour un nouveau départ ! Ayant appris de mes erreurs et étant dorénavant consciente de mes démons, j’emménage dans une collocation avec deux étudiantes que je ne connais absolument pas. La colocation était une manière de partager le loyer et d’avoir de l’aide pour les tâches ménagères mais c'était aussi surtout une solution pour ne ne pas vivre seule afin d’avoir une vie sociale m'assurant une présence limitant ma capacité à faire une rechute ou me laisser aller. C'est ainsi que je fais la connaissance d’Ines et Delphine mes deux colocataires de 19 et 20 ans qui faisaient également leurs études loin de chez elles. Ines est dans mon université, elle est studieuse, d’un naturel calme et a une joie de vivre contagieuse, elle est célibataire. Delphine est plus turbulente, a un sens de l’humour affuté et est plus bordélique, elle est en couple. Nous devinrent rapidement copines et vivre avec elles au quotidien était très agréable, ça me changeit de mon année précédente avec pour seules compagnes ma solitude et la déprime. Je ne vais pas détailler plus que ça de la manière dont nous vivions par contre je vais aborder les deux seuls points qui ont de l’intérêt : - Les garçons étaient interdits à l’appart - Nous n’avions pas le droit d’entrer dans la chambre des autres. Le premier point était une règle nous permettant de rester concentrées sur nos études, de ne pas imposer la présence de nos fréquentations ou petits copains aux autres et ça m’allait très bien car cela posait des barrières autour de mon addiction au sexe tout en évitant que les filles m’entendent jouir ou me faire défoncer (ce qui valait aussi pour elles). Le second point était essentiel pour que l’on garde une vie privée et un semblant d’intimité, ma chambre était comme mon havre de paix, la pièce dans laquelle je pouvais me couper de mes colocs afin de réviser, me détendre ou... me faire du bien. Cette chambre ressemblait à la chambre de la parfaite petite étudiante, un lit double, un bureau, une armoire et du matériel de make-up, elle était toujours propre et rangée. Pour autant si vous regardiez sous mon lit, vous y découvririez une valise avec à l’intérieur toute une collection de sex-toys et si vous aviez le mot de passe de mon pc portable pour le déverrouiller vous y découvririez un historique internet et des favoris cochons, l’étudiante studieuse en prends un coup ! Les premières semaines je me masturba calmement dans mon lit en repensant à Kévin ou quelques fantasmes habituels mais très vite je recommença a consommer du porno et me goder savourant ce plaisir secret et intime à l’abri du regard de mes colocs. Plus les jours passèrent et plus je passai du temps sur les sites de rencontres où je m’étais inscrite à parler avec des mecs en quête de mon premier plan cul, il était temps que je me fasse sauter ! Mon envie de bite se faisait de plus en plus ressentir et ma concentration en cours commençait à en pâtir car je me surpris plusieurs fois à scruter des garçons en me demandant s’ils feraient l’affaire ... Je voulais m’amuser et j’avais décidée de rencontrer des mecs pour leurs queues et rien que leurs queues ! Je ne voulais plus durant les prochains mois m’intéresser à eux mais uniquement à ce qu’on allait faire ensemble ... Se rencontrer, Se déshabiller, Se consommer et Se séparer. J’y avais mûrement réfléchi et j’avais décidée de m’assumer en tant que salope et d’enchainer les aventures, de profiter de ma jeunesse, de m’épanouir sexuellement et de jouir de ce physique si durement retrouvé ! Quelques garçons me tournaient autour en cours, comparée à l’année dernière j’étais mieux intégrée et j’avais réussie à me faire des amis (filles comme garçons) mais j’étais trop dévouée a mes cours et mes révisions pour flirter avec eux. Je m’appliquais à avoir de bons résultats afin de ne pas revivre une désillusion scolaire et ma mère payant cette fois-ci le loyer afin de m’éviter de prendre un petit boulot à côté, il était primordial d’avoir une bonne moyenne pour lui prouver que je n'allais pas me foirer et que cet effort financier portait ses fruits. L'école nétant donc pas un terrain de chasse propice a des coups d'un soir (surtout que je me serais rapidement fait une réputation) et bien je me tourna naturellement et rigoureusement vers les sites de rencontres. Alors pourquoi après plusieurs semaines n'avais-je pas encore trouvée ma prochaine conquête ? Vous devez vous demandez pour quelle raison prenais-je autant de temps à sélectionner ce mec ? Il allait être ma 10ème bite …   Jusqu’ici je tenais le compte et même si j’avais prise la décision de les enchainées prochainement et de ne plus me soucier de mon nombre de partenaires, le fait de passer la dizaine me donnait envie de bien la choisir, qu’elle soit mémorable car je savais que ce gars allait être la fin de cet intérêt pour mon nombre d’amants mais aussi l’amorce de quelque-chose donc je ne voulais pas me précipiter et m’assurer d’avoir un amant inoubliable ou une bite extraordinaire pour ce premier plan cul … J’ai conversé avec beaucoup de garçons. J’étais très sélective physiquement, je cherchais un mec qui me fasse de l’effet ... Un beau-gosse qui serait mignon de visage et à la carrure plutôt sportive, le gars qui me ferait mouiller comme une folle ! Mon profil, mes photos et ma bio étaient équivoques, je n’étais sur ces sites que pour du cul ! J’avais postée 3 photos de moi : - L' une prise du dessus qui plongeait dans mon plus beau décolleté afin de montrer que j’avais « du monde au balcon », - Une seconde de mes jambes dans la baignoire avec de la mousse sur mon entrecuisse (camouflant mon pubis) où l’on pouvait voir tout le bas de mon corps sans que mon intimité ne soit révélée et où j’affichais fièrement mes pieds pour les fétichistes (je me trouvais super sexy sur cette photo). - La troisième de derrière où l’on me voyait de dos en bikini sur la plage pour avoir un aperçu de mes fesses. J’enchainais les matchs et les conversations mais je me rendais vite compte que la plupart des mecs étaient tous les mêmes, peu bavard et bien souvent trop rentre dedans dès le départ en cherchant un rendez-vous immédiatement … La rançon de la gloire quand on a fait la fille facile dans sa bio et son allumeuse avec ses photos … Mon plan cul devait être excitant physiquement mais aussi psychiquement, je voulais que cette 10ème bite soit parfaite, que cette baise soit inoubliable et pour ça il me fallait un gars qui sache me stimuler. La plupart ne sortait pas du lot quand je commençais à les chauffer ou leur demander ce qu’il me ferait si je venais chez eux ce soir (il fallait qu’ils puissent recevoir étant dans l’impossibilité d’en ramener un a l’appart). Leurs réponses étaient peu originales et c'était rarement excitant de lire ce qu’ils avaient en tête ou ce qui les excitaitent. Quelques gars se démarquèrent parfois mais au moment de discuter de nos pratiques ou fantasmes c’était là encore plutôt fade et convenu ... Celui qui se démarqua apparu fin octobre alors que j’allais avoir mes premiers jours de vacances de l’année, j’avais fait le choix de rester à l’appartement pour me reposer, réviser et rattraper mon retard sur une série TV mais c’est une soirée chez ce beau-gosse que je programma finalement le soir du départ en vacances. Il avait de beaux cheveux longs qu’il attachait avec un chignon, c’était un mec musclé qui affichait de beaux abdominaux et de gros pectoraux/biceps sur ses photos torse nu, physiquement une bombe, je me voyais déjà promener mes mains sur son corps pendant qu’il me baiserait ! Il m’avait fait de l’effet par messages en me disant qu’il aurait aimé prendre ce bain avec moi pour glisser sa main entre mes cuisses et m’ôter cette mousse (visible sur ma photo) ... On s’était alors chauffer quelques jours et il m’avait dit être très endurant, accroc au sexe et incapable de se poser avec une fille tant il aimait séduire. Cela me vendait du rêve et puis au moins c’était clair, avec lui aucune chance ou de s’attacher ce qui en faisait un coup d’un soir de choix ! Il avait eu le courage et l'audace de m’envoyer sa bite en photo quand je lui avait demander s’il en avait une grosse et la photo avait été une réponse des plus convaincantes, elle était épaisse, bien veineuse et imposante donc j’étais ravie. Pour être honnête, je ne me rappelle plus de son prénom mais je me souviens qu’il avait 5 ans de plus que moi (25 ans), son propre appart en plein centre-ville et qu’il fournissait les capotes donc puisqu’il m’excitait à mort physiquement et par messages, je décida de foncer !   Nous avions choisis de nous rencontrer dans un bar proche de chez lui, je me rendis là-bas avec un décolleté plongeant mettant en avant mes atouts, un pantalon simili cuir et des talons de pétasse. Coté lingerie, un string noir à dentelle que je portais avec un soutif rouge lui aussi à dentelle. Je me souviens avoir été toute excitée en me rasant la chatte quelques heures avant, de m'être caressée en sortant de la salle de bain et d'avoir été fière de l'allure que j'avais dans mes sous-vêtements face a mon mirroir. Le régime et mes nombreuses séances à la salle avaient payées ! Je m'étais maquillée avec soin, j'avais mis mon plus beau rouge à lèvres, je m'étais faites aussi belle que possible et habillée de façon sexy pour lui. Dans la rue, je vois plusieurs hommes me reluquer, je me sens sexy et leurs regards me confirme que j’ai probablement choisie une bonne tenue pour stimuler rapidement ce beau mâle qui m’attends. J’entre dans le bar, il est comme prévu assis à une table au fond. Je ne suis pas déçue, il est encore plus beau en vrai que sur ses photos. Je m’installe à sa table timidement et légèrement mal a l’aise n’ayant jamais encore "date" un parfait inconnu, il semble a l’aise et sûr de lui, le feeling passe bien. Après quelques minutes, deux trois échanges de banalités et l’arrivée de nos verres, il lance enfin un sujet plus croustillant en me complimentant sur mon physique. Je lui demande alors si je lui plais car il n’avait aucune photo de mon visage ? Il me confirme son attirance, ce a quoi je lui réponds ne pas être déçue également, une tension sexuelle s’installe, elle est palpable, son regard dans le mien est électrique, il me déstabilise autant que j’ai envie de foncer chez lui ! Il commence a poser sa main sur la mienne au fil de notre conversation, on évoque mon inexpérience en dates et que c’est la première fois que je viens à la rencontre d’un gars pour du sexe, il m'expose alors le contraire, son habitude à ce type de rencontres et me rassure sur le fait qu’il va prendre soin de moi et que tout va bien se passer, qu’on va se régaler … Une pulsion m’anime alors et je lui demande « qu’est-ce qu’on attends pour y aller dans ce cas ? » Il sourit, termine son verre d’une seule gorgée et me réponds « allez, c’est parti » ! J’avale d’une traite le mien à mon tour et prends mon sac pour le suivre, on rigole, il prends ma main, mon cœur s’emballe ... Que suis-je en train de faire ? On marche quelques instants, il passe sa main par-dessus mon épaule et m’explique qu’il habite à deux rues d’ici, il sent bon, j’aime l’odeur de son déo/parfum, le soleil est en train de se coucher et illumine son visage d’une sublime teinte. Je le trouve si beau … Me voici dans son appartement, un léger stress s’empare de moi au moment où il ferme la porte a clé, il se retourne et me sourit, je lui rends timidement son sourire sans un mot. Il s’approche, pose ses deux mains sur mes joues et m’embrasse langoureusement. Mon stress s’envole et mon bas-ventre s’éveille. Alors que nous nous embrassons plus sauvagement et que nos langues se mêlent, il me pousse en arrière tout en me gardant contre lui, je recule en continuant notre baiser avant de basculer a la renverse sur son canapé. Ses lèvres et sa langue quittent ma bouche pour plonger dans mon décolleté et m’embrasser le haut des seins !  J’adore sa fougue et qu’il y aille aussi franchement sans même me dire un mot depuis qu’on entrés chez lui ... Il m'excite. Ce garçon que je ne connaissais pas il y’a 20 minutes est en train d’enlever mon haut et sortir mes seins de leur soutif pour me dévorer les mamelons, je gémis comme la salope que je suis alors qu’il me suce les pointes et malaxe d’une poigne ferme ma poitrine. Mes gémissement de plaisir semblent le déranger car il enfonce rapidemment deux doigts dans ma bouche comme pour me faire taire ou m’ordonner d’essayer d’endurer sa fougue le plus discrètement possible. Je commence alors a sucer ses doigts, promener ma langue autour de ceux-ci, ce qui a pour effet de le faire devenir plus bestial, il commence à mordiller mes tétons et m'assenne même des claques sur les seins. J’aime qu’il me traite ainsi, je me sens comme une Femelle réduite à l’usage de ce Mâle, il est si sauvage que plaisir et souffrance se mêlent mais j’ai la sensation d’être sa chose et ça m’excite carrément.  Je commence à avoir mal aux seins, mes tétons ont étés maltraités et le tripotage sans retenue ainsi que les multiples coups administrés a ma poitrine me donne la sensation de n’être plus que deux énormes bleus ... Je n’allais pas tarder à arrêter de lui sucer les doigts pour lui demander de laisser un peu de répit a ma pauvre poitrine quand il se redressa de lui meme pour déboutonner son pantalon face a moi et me donner un ordre des plus directs « Suce moi ! ».   Je me redresse sur le canapé alors qu’il grimpe dessus, la situation m’embarrasse, son sexe est en érection face a moi, je l’ai littéralement sous le nez et je trouve cela légèrement rabaissant, il ne m’a pas laissé le plaisir de découvrir sa queue, de l’extirper de son pantalon/caleçon, la prendre en main, la lécher, jouer avec avant de le prendre en bouche … Il me l’a mise directement sous le nez, à quelques centimètres de moi et m’a donné l’ordre de le pomper, cette posture avec les mains sur les hanches alors qu’il bande aussi virilement devant moi me gêne, c’est comme si cette situation affirmait sa supériorité sur le jouet sexuel que je semblais être pour lui, ça m’excitait autant que ça me gênait qu’il soit si à l’aise. Je m’exécute tout de même, j’empoigne sa grosse queue gonflée de désir, elle est chaude et plus dure que toutes les queues que j’ai le souvenir d’avoir un jour prise en main ...  Je le branle délicatement alors que ma langue se pose sur sa verge, je prends conscience du morceau et réalise qu’elle est vraiment monstrueuse, une vraie bite d’acteur porno … Je lèche cette queue d’une rigidité inquiétante en me demandant si elle ne va pas me faire mal quand je l’aurais en moi ? Ma langue parcourt son chibre et ses veines donnent du relief à « l’objet », sa queue est encore plus impressionnante qu’en photos, il était définitivement le meilleur choix ! Son énorme bite me fait fondre d'excitation autant que je la crains pour la suite ... Je suis complètement excitée par la situation, être les seins à l’air avec le soutif encore agrafé sur mon ventre dans le salon d’un parfait inconnu en train de goûter à la bite la plus virile qu’il m’a été donnée de voir est super excitant. J'adore cette liberté que je m'accorde, cet interdit que je brave, je me sens cochonne et supérieure à celles qui n'osent pas vivre ça. Je décalotte pleinement le gland de mon partenaire et enfonce sa queue dans ma bouche, je la lèche, la suce, l’aspire, la pompe et la goûte comme si je n’en avais pas eue en bouche depuis des années, je me sens affamée, j’ai envie de la déguster encore et encore, je prends du plaisir à le sucer. Je commence à me laisser totalement aller et faire tout ce qui me passe par la tête, ma fellation devient plus obscène et baveuse, je lui fais du « sâle » alors que ma chatte est en feu, j’ai l’impression d’être trempée, j’ai envie de me caresser le clito pendant que je le pompe, d’enfoncer un doigt en moi pour constater l’effet qu’il me fait … D’un coup, il se mets à me tenir le crâne et me baiser la bouche, ses pouces sont au-dessus de mes oreilles alors que ses 8 autres doigts m’écrasent le crâne, il ne fait preuve d’aucune délicatesse dans sa manière de me tenir la tête et encore moins dans la manière dont il me baise la bouche. Ses couilles volent au rythme de ses vas et viens, elles claquent parfois contre mon menton tellement il y va vite, il me fourre la bouche comme si c’était une chatte, je le trouve encore une fois beaucoup trop a l’aise et humiliant pour un plan avec une parfaite inconnue mais là aussi ça m’excite d’en être déjà à faire des choses si obscènes/intimes avec un mec que je connais à peine ... Il me fait soudainement basculer en arrière bloquant ma tête entre le dossier du canapé et son pubis afin de me la mettre plus profondément, j’ai son énorme queue en plein dans la bouche, j’étouffe comme je n’ai jamais étouffé mais je prends sur moi … Ma langue est coincée sous sa queue, il a trouvé la bonne inclinaison pour se payer ma gorge, il me baise la bouche plus calmement mais bien plus loin ! Je n'y arrive pas, sa queue tient à peine dans ma bouche et me coupe totalement la respiration, son énorme morceau de chair appuie sur ma langue et me donne envie de vomir. Ma gorge se fait malmener un moment sans que je puisse gérer ce qu’il se passe, m'avouant vaincue, je commence à taper sa cuisse pour lui demander de me laisser respirer mais sans succès, il ne m’écoute pas et continue son œuvre. J’essaie alors de m’extirper mais il me tient fermement par les cheveux, coincée contre le canapé et le poids de ce gars sur moi, je n’y arrive pas. J’ai l’impression que je vais lui gerber sur la queue et m’étouffer par manque d’oxygène, c’est un énorme relent qui m’aidera finalement à le dévier en m’extirpant dans un rejet qui frôla le vomissement ! Ce fut un véritable haut de cœur et j’en bondissa hors du canapé pour saliver abondemment sur son parquet comme une vulgaire pute … « Mec, c’était quoi ça ? T’es malade ! » lui reproche-je alors que je reprends péniblement mon souffle et ravale ma salive. Il me redresse, essuie mon eye-liner qui dégouline sur mes pommettes, m’embrasse à pleine bouche alors que je suis encore pleine de bave, dégrafe mon soutien-gorge qui tombe au sol puis me pousse de nouveau sur le canapé où il se mets a enlever mon pantalon, je reprends encore mes esprits après avoir étouffée sur sa queue lorsqu’il me donne un nouvel ordre : « A quatre pattes maintenant » … Il me fait cambrer devant lui afin d’admirer mon cul en string puis l’écarte pour plonger un doigt en moi, il m’informe que je suis trempée (comme si j’en doutais) puis il baisse mon string avant de venir plonger son visage entre mes fesses afin de me lécher les deux trous avec gourmandise. Je suis décontenancé, il ne s'est meme pas excusé pour m'avoir faites presque vomir avec sa gorge profonde. J'en reviens pas qu'il ne m'a même pas répondu quand je me suis plaintes. Ce mec m'a embrassée, déshabillée et mis dans la position qu'il souhaite et je me suis docilement laissée faire ... Il me traite comme un jouet dont il peut disposer et je le laisse faire ...  Je prends conscience de la chienne qu'il croit avoir chez lui, son attitude me renvoit brièvement a mes séances de psy ... Suis-je capable de me laisser encore traitée ainsi par un homme ? Puis-je laisser un homme faire ce qu'il veut de moi ? Suis-je d'accord avec ça ? Est-ce normal de finir toujours dans cette posture, ce rôle, cette façon de coucher ? Est-ce qu'une femme est faites pour se faire prendre de la manière dont l'homme en a envie ? Ne suis-je pas faites pour ça ?  Voulais-je baiser avec un inconnu ou me faire utiliser par un inconnu ? Pourquoi ce traitement toxique m'excite-t-il ? Suis-je une chienne qui ne veut que ça ? Servir les besoins des hommes ? Ces questions se bousculent dans ma tête alors qu'il me dévore sucessivement les trous. Sa façon de me bouffer le cul est animale et sale, il salive beaucoup trop et ma raie finit trempée ce qui est loin d’être agréable. Il enfonce plusieurs fois sa langue dans mon anus ce qui n’est pas ce que je préfère. En revanche, sa manière de me lécher la chatte est plus maitrisée et fait mouche, il embrasse mes lèvres du bas avec les siennes et sa langue se promène dans mon trou ou sur mes lèvres, de bons coups de langues bien précis et quelques frottements du doigt titille à souhait mon clitoris et me font fondre sous ce traitement. Je m’agrippe au dossier du canapé totalement excitée par le fait de sentir son front et son nez complètement enfoncés dans mon cul, lui aussi est a son tour en apnée entre mes fesses. Mes pensées s'estompent pour ne laisser place qu'à une image où je me vois à quatre pattes en train de prendre mon pied avec l’intégralité du visage de cet animal dans mon cul, on ne m’avait jamais fait ça dans cette position ! Il se redresse après de longues et délicieuses minutes, il me dit de ne pas bouger, fait quelques pas puis revient vers moi avec une capote, il la déchire et l’enfile avant de venir frotter sa queue contre ma chatte. Je me crispe instantanément en me demandant si commencer par la levrette est une bonne idée avec une telle bite ? Il ne me laissera pas le temps d’en débattre et me la mets lentement, cela me coupe le souffle, elle est énorme et l’absorber est incroyable. Je me fais prendre avec patience et maitrise, ma chatte s'habitue à son membre avec bonheur, elle est trempée et était finalement totalement prête à l’accueillir. Mon amant est bon, on vient de commencer mais je sens instantanément qu’il sait y faire, il me lime doucement pour bien que je sente sa verge sur toute la longueur.  Je constate qu'il sait se jouer d'une femme quand il me lime l’entrée plusieurs fois rapidement en me pénétrant peu puis pousse d’un coup vif et puissant au fond pour me faire l’encaisser profondément et m'arracher a coup sûr un cri/gémissement ! Je m'habitue a le laisser m'entendre jouir sous ce traitement, il tape deux fois tout au fond avant de reprendre une dizaine de courtes pénétrations pour me faire saliver et espérer de plus gros coups de reins, pas de doute, il sait y faire pour asservir une femme à sa queue. La véritable levrette débuta après m'avoir totalement décomplexée, de vrais coups de reins en cadence me faisaient dorénavant couiner comme une chienne en chaleur et ma chatte aspirait son épaisse bite comme si elle avait toujours été aussi dilatée. Ses mains parcourent mes fesses, il les malaxent, les écartent, les remuent ! Il s'aggripe à mes fesses et les broient entre ses doigts, il me secoue le cul sur sa bite sans qu'on bouge comme pour se branler avec ma chatte, il me fait remuer dessus seule, il profite de tout ce que j'ai à offrir ... Les minutes passent et ma chatte se fait pulvériser, de grands coups de bites s'abattent dorénavant en moi pendant qu'il me tient par les hanches, il me frotte l’anus du pouce, passe une main sous mon ventre pour me caresser le clito ou par moments il tripote mes seins qui pendent dans le vide. Il m'arrache de nombreux gémissements intenses et me fait jouir a répétitions. « T’as l’air d’apprécier être ma chienne, dis-moi que t’aimes cette queue !  - Je l’adore, elle est trop bonne ! Et toi ? T’aimes ma chatte ? - Tu mouilles abondement, ma bite glisse si facilement en toi ! J'aime le bruit que ta chatte de salope fait, ça m’excite grave ! - C’est parce-que tu me rends folle, baise-moi plus fort ... - Oh, tu veux y aller à fond ? Voyons ce que tu peux encaisser ! - Défonce-moi, je suis là pour ça » Une levrette brutale, intense et mémorable débuta.   Il retire sa queue de ma chatte, me repositionne à l’avant du canapé alors qu’il se met cette fois debout face a mon cul. Il ôte mon string que j'avais sur les chevilles depuis un moment, j'allais l'aider a retirer mes talons quand il refuse et me dit de les garder, ça l'excite. Il rentre de nouveau en moi et débute alors une série de coups de bites bien plus brutaux. Je suis le cul en l’air avec le visage contre le canapé, un étalon me prends sans retenue et fracasse mes pauvres fesses contre lesquelles son pubis et ses cuisses claquent a toute allure. Il est brutal, ses coups de reins sont effrénés et sa lance me perfore trop profondément, j’ai l’impression qu’il tape contre mon utérus, j’en ai mal au ventre mais l’intérieur de ma chatte et mon clito se régalent, mes parois vaginales sont limées sans ralentissements, j’hurle de plaisir/surprise/douleur sous ses assauts. Quelques insultes/compliments accompagnent ses coups de reins, on se lâche complétement verbalement et physiquement, il n’est plus qu’un chien en rut, vulgaire et violent et je ne suis plus qu’une chienne en chaleur, obscène et soumise. Le bruit de son corps qui s’entrechoque avec mon fessier, nos gémissements décomplexés, nos obscénités verbales et le bruit que fait son canapé qui avance sur son parquet par moments me font penser aux voisins qui doivent nous entendre, ça m’excite, on est des putains d’animaux. Je prends mon pied, je couine, gémis, hurle par moments et j’ai les larmes aux yeux car je commence à ne plus supporter tout ça, j’en perds le souffle, la tête et ma chatte ressent trop de choses, du bon comme du mauvais, il me la broie de l’intérieur, j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou béant qui ne se refermera plus, sa grosse queue me fait autant de bien que de mal et je ne sais pas si j’ai envie de pleurer de plaisir ou de douleur. Une fessée puis deux puis trois s’abattent sur mes fesses, je sens déjà ma peau rougir, il m’insulte de chienne et autres joyeusetés alors qu’il me frappe. Le paradoxe se fait de nouveau sentir, est-ce que j’aime qu’il fasse ça ? Pourquoi je me sens mal à l’aise ou humiliée/rabaissée à être traitée ainsi ? Pourquoi est-ce que ça me dérange qu’il se permette ça sans m’en avoir parler ? Pourquoi est-ce que je ne l’arrête pas alors que ça fait mal ? Pourquoi est-ce que je me sens excitée par le fait qu’il me manque de respect comme ça, me réduise a ça, se permette ça, me traite comme ça ? Pourquoi est-ce que je le trouve viril et excitant a se comporter ainsi ? Pourquoi est-ce que j’aime du coup qu’il fasse ça ? Est-ce que ça fait du bien ou juste mal ? Je suis partagée et est-ce que ce n’est pas cette dualité entre mes sensations/sentiments qui m’excite autant justement ?   Quelque-chose grimpe en moi, quelque-chose d’intense, j’ai envie d’ouvrir les bras a cette sensation autant que la fuir pour qu’elle s’éloigne. Mon bras commence alors à freiner instinctivement mon partenaire, je pose ma main contre son ventre pour réduire sa capacité de pénétration et sa vitesse, je constate qu’il est en sueur. Cela m’excite ... NON !!! Ce n’est pas le but ... Pourquoi je n’arrive plus à me tenir ? Il me prend alors le bras puis l’autre et me voici encore plus vulnérable avec les deux poignets l’un sur l’autre alors qu’il me menotte de sa main. Il me baise moins vite mais pas moins fort, je n’arrive plus à tenir, ça fait mal, ma chatte n’est plus en mesure de le servir, je le supplie d’en finir l’informant que je suis hors-service ! Il me soulève alors le haut du corps a la force de ses bras en tirant sur les miens, il bascule son dos légèrement en arrière et me pilonne sans aucune retenue ou pitié alors que je viens de lui dire être détruite ... Mes seins volent dans tous les sens, je suis droite, à gémir de douleur et de bonheur sous le traitement que je subis, je suis empalée sur sa queue, il va définitivement me détruire la chatte, je serre les dents et attends qu’il finisse me fiant a sa respiration haletante et la vivacité de son assaut, il ne tiendra plus longtemps. C’est alors que l’impensable arriva, dans un dernier élan destructeur pour moi et salvateur pour lui. Il passe son bras droit entre mon dos et mes deux bras, fermant mes bras entre son avant-bras et son biceps et me redresse contre lui, je me retrouve le dos contre son torse avec les deux bras maintenus fermement par le sien ! Sa main gauche me malaxa un moment les seins et les tétons avant de se fermer sur mon cou, il m’étrangla alors dans un dernier élan de sauvagerie et ce n’était pas un étranglement délicat ou pour le jeu sexuel ... C’était un étranglement réel, bestial, brutal qui aurait pu s’avérer fatal car je sentais qu’il ne relâcherait qu’après avoir joui. J’entends cet homme en rut râler de plaisir alors qu’il me déboite, mon corps est tordu en deux, mon cul et mes hanches sont cambrés sur sa queue et le haut de mon corps fait une arche, ma tête est sur son épaule, il me lèche la joue alors qu’il m’étrangle de toute ses forces comme s’il allait me tuer. Je n’arrive plus à parler, je ne respire plus depuis un moment, j’ai mal au dos, à la chatte et je commence à perdre connaissance, je ne l’entends bientôt plus gémir, le bruit de ses coups de reins disparait et je ne ressens plus rien. Rien sauf sa queue qui me pilonne, la sensation que j’ai cherchée à éloigner accélère subitement et je me tords alors sentant le bas de mon ventre imploser, c’est intense, c’est comme s’il avait rompu quelque-chose en interne dans ma chatte. J’essaie d’hurler mais j’étouffe, je suis de retour dans le monde réel et me débat, j’essaie de me jeter en avant tout en remuant ma tête dans tous les sens, il relâche subitement ma gorge, je tousse et m’écroule, ses bras me libèrent, je suis sur son canapé à trembler de partout et m’agripper à l’accoudoir ... Je pousse enfin un long gémissement de plaisir alors que ma chatte semble jaillir, je viens d’avoir mon premier orgasme. Je reste un moment affalé sur le canapé avec les jambes qui tremblent, je reprends mon souffle péniblement, quelques larmes coulent, j’ai la gorge en feu et ma chatte semble n’être plus qu’un trou béant. Mon corps accuse un sérieux contre-coup, j’ai mal partout mais je suis aussi comme sur un petit nuage, je me sens légère, je flotte hors du temps et je me sens en paix. Une palpation de mes fesses me ramène avec lui alors qu’il s’approche de ma chatte détruite. Je m’extirpe aussitôt hors de son contact refusant qu’il me la touche de nouveau. Je me retourne face a lui pour lui dire que je suis hors-service et que je vais le finir avec ma bouche mais je constate qu’il commence à débander et que la capote est pleine de sperme. « Doucement, je suis plus en capacité de te laisser la toucher … - Haha, ok ! - Je ne savais pas que t’avais joui, t’es venu quand ? - Bah en même temps que toi, quand tu te tordais dans tous les sens, j’étais en train d’envoyer la sauce. - Tu veux dire qu’on a … jouis en synchro ? - Oui, ensemble, te voir avoir un orgasme m’a achevé ! - Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme ... En tout cas pas d'avoir joui aussi intensément et ça ne me parle pas non plus d’avoir joui en même temps que mon partenaire, je trouve ça fou ... - On était compatibles, que veux-tu ! - Ouais … plutôt … - En tout cas, peu de filles arrivent a encaisser ma bite comme tu l’as fait ! - C’est vrai ? Bah, je dois avouer que j’ai super mal au ventre maintenant mais c’était le pied. - C’est normal, j’ai tellement tapé dans le fond … Tu veux boire un truc ? - Un verre d’eau s'il te plait puis je vais y aller … - Ah ouais, tu ne veux pas passer la nuit ici ? On pourrait recommencer tout à l’heure puisque t’as l’air d’avoir aimé ça ? - Haha j'apprécie ton entousiasme mais je suis plus du tout en état, je t’assure que là c’est impossible. - Ok, pas de soucis, c'est toi qui vois - Ta salle de bain est où, je vais aller me passer un coup d'eau » Il retire sa capote, la jette dans la poubelle de la cuisine, m'indique la salle de bain et ouvre son frigo. Je m'éclipse péniblement, mes jambes flageolent, j'atteins la salle de bain et découvre une fille en piteux état ! Mon maquillage est ruiné, je ressemble a un panda, mon eye-liner a coulé partout, mes cheveux sont en bataille, je suis hideuse. Je me rince le visage, tente de me redonner une apparence présentable et me passe un coup d'eau sur les cuisses. Je retourne dans le salon pour y retrouver mon hôte, il est toujours nu, je suis encore nue aussi ne portant que mes talons, on boit un dernier verre ensemble en se complimentant mutuellement physiquement et pour cette bonne baise puis je me rhabille et quitte ce dangereux étalon. Il m’embrasse sensuellement devant le bas de sa porte, mon cœur s’emballe, je rentre chez moi avec une sensation de plénitude. C'est dingue, je pourrais tomber amoureuse du premier mec qui me baise ? Je m'étais jurée de ne jamais remettre le couvert une autre fois avec mes futurs plans culs alors pourquoi j'ai déjà envie de le revoir ? Je sais depuis le début que ce queutard est incapable de se poser et qu'il va en baiser d'autres alors un peu de sérieux Charlotte ... Il m'a fait prendre mon pied comme jamais ce mec, bien foutu, bon coup, un brin dangereux et pervers, quelle rencontre ! Raison de plus, si un parfait inconnu peut me baiser aussi bien, autant en essayer pleins d'autres et vivre d'aussi bons moments ! En rentrant dans l'appartement je croise Ines qui me demande si j'ai passée une bonne soirée, je lui dis avoir été au restaurant avec un mec mais qu'il n'était pas très intéressant. Elle me réponds que c'est dommage. Je lui mens ouvertement afin qu'elle ne se doute pas un instant que sa coloc vient de se faire démolir par un inconnu. Je lui explique que je suis morte et que je file prendre une douche avant d'aller dormir. Une fois nue dans la salle de bain, je constate les dégats ! Mes seins ont des rougeurs, mes fesses gardent des traces de ses fessées, ma chatte est hyper-sensible, le passage du jet d'eau ou de mes doigts est une sensation trop vive. Comment ce gars a-t-il pu me faire jouir plus fort que tous mes exs et me démolir plus que tous mes partenaires ? J’ai envie de me toucher en me mettant au lit mais je n’y arrive pas, je ne suis pas en état alors que j’en crève d’envie. Je m’endors péniblement, je repense a sa main sur ma gorge, a sa grosse bite dans ma bouche, a ce qu'il a fait de ma chatte ... Ma chatte resta sensible le lendemain, impossible encore de me masturber, mes seins et mes fesses gardèrent quelques jours des ecchymoses, les voirs m'excitait, ça me ramenait à lui, aux coups que j'ai pris, au traitement que j'ai subis, au plaisir qu'il m'a donné. Ces bleus étaient de courts trophées, ils s'estompèrent comme mon envie de le recontacter laissant place a une soif d'aventures, de nouvelles bites, de nouveaux amants, de nouveaux souvenirs mais cette 10ème bite me resta en mémoire comme l'une des meilleures baises de ma vie et je m'étrangla moi-meme en solitaire quelques fois dans les semaines qui suivirent en me masturbant ... L'année ne faisait que commencer, ce premier coup d'un soir avait été un franc succès et avait éveillé de nouveux vices en moi, plus motivée que jamais a me découvrir sexuellement et profiter des hommes pour ce qu'ils sont, je débuta ma nouvelle vie.  
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Par : le 26/05/23
CONFIANCE / RECIPROCITE / COMPLICITE / SENSUALITE :    1 CONFIANCE Ce n'est pas anodin que de pratiquer une relation BDSM ! En premier lieu, le Soumis doit avoir une confiance aveugle envers son Maître, car il y a des risques à  se laisser librement & volontairement dominer autant sensuellement, physiquement & sexuellement! Le soumis peut en effet se retrouver dans une situation bien délicate où alors il lui sera impossible de demander une libération ou de pouvoir se libérer lui-même ! C'est déjà arrivé de trouver un soumis incapable de se libérer! Le Maître doit également avoir une entière confiance avec celui qui a accepté de se livrer, une fois bien clairement établi les limites des deux complices bien réciproques! J'ai pu ainsi me laisser entraver dans des lieux privés ou publics en toute confiance envers celui qui aimait ainsi voir mon corps offert et disponible en toute sérénité et confiance ! Je savais qu'il prenait du plaisir à me voir ainsi immobilisé autant que j'en prenais à me savoir à sa disposition !    2 RECIPROCITE : Ce n'est guère évident de trouver une réelle réciprocité entre le soumis et son Dominant : j'avoue avoir eu le bonheur et la chance d'avoir pu expérimenter une réelle réciprocité avec deux de mes anciens Maîtres ! Je suis toujours venu chez mes Dominateurs sans crainte du risque de pouvoir me trouver dans une situation indésirable ! 3 COMPLICITE : Pas toujours sur de trouver une agréable complicité entre les deux partenaires complémentaires et pourtant bien opposés ! Quels bonheurs et plaisirs surement partagés de se savoir réellement complice de son dominateur ! Savoir et parfois voir que son Dominateur prend autant de plaisirs à Vous contraindre qu'il en à Vous dominer physiquement, sensuellement et sexuellement ! Avoir la possibilité de sentir son corps à la complète disposition d'un Maître qui est vraiment complice d'une relation Dominant-Dominé !   4 SENSUALITE :   Personnellement c'est un passage obligé : je n'entrevois guère une relation Domi/soumis sans une réelle sensualité ! Le Maître doit exercer une sensualité forte sans brutalité qui doit mener son soumis à une soumission réelle, non exclue d'une forte sensualité bien réelle! Le Maître doit pouvoir parcourir l'ensemble du corps de son soumis sensuellement jusqu'à la limite du supportable sans devoir exercer une brutalité trop souvent inutile! La Domination n'exclue pas la sensualité, bien au contraire : elle peut être d'une violence souvent plus efficace que la brutalité!
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Par : le 26/05/23
Dans le BDSM, le piétinement peut avoir une symbolique forte de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut aussi procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Le piétinement : une pratique BDSM Le piétinement est une pratique BDSM où une personne (généralement la dominante) piétine l'autre personne (généralement la soumise) avec ses pieds nus ou chaussés. Cette pratique peut inclure plusieurs variantes, notamment : Piétinement en talons hauts : Cette variante consiste à piétiner la personne soumise avec des chaussures à talons hauts, ce qui peut intensifier la sensation de douleur ou d'inconfort. Les talons peuvent être pointus ou larges, en fonction des préférences des participants. Piétinement sur des parties spécifiques du corps : Cette variante implique de piétiner une partie spécifique du corps, comme le ventre, le visage ou les parties génitales. Cela peut être particulièrement stimulant pour la personne soumise. Piétinement avec des accessoires : Cette variante implique d'utiliser des accessoires tels que des bottes, , des bas ou des chaussettes pour piétiner la personne soumise. Ces accessoires peuvent ajouter une texture ou une sensation supplémentaire. Marche sur le corps : Cette variante implique que la dominante marche sur le corps de la personne soumise, de la tête aux pieds. Cette pratique peut être particulièrement intense, surtout si elle est pratiquée en talons hauts. Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut également procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et doivent être pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. La communication entre les participants est essentielle pour établir les limites et les règles de la pratique. La symbolique du piétinement dans le BDSM Dans le BDSM, le piétinement a une symbolique forte de domination et de soumission. La personne soumise est littéralement sous les pieds de la personne dominante, ce qui peut être interprété comme une représentation de son infériorité et de sa soumission totale à la volonté de la personne dominante. Le piétinement peut également symboliser la punition ou la correction. En effet, si la personne soumise a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre, la dominante peut lui infliger une punition en le piétinant. En outre, le piétinement peut être utilisé pour créer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, ce qui peut renforcer le sentiment de soumission et de contrôle de la personne dominante. Enfin, le piétinement peut également être utilisé comme une pratique de fétichisme. Certaines personnes trouvent les pieds très érotiques et peuvent être excitées par l'idée d'être piétinées ou de piétiner quelqu'un d'autre.   Les dominatrices et le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement peuvent varier en fonction des préférences et des motivations personnelles de chaque personne. Cependant, voici quelques raisons courantes pour lesquelles les dominatrices peuvent être attirées par cette pratique : 1. La domination : Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination dans le BDSM. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de pouvoir contrôler et dominer complètement la personne soumise, qui se trouve sous leurs pieds. 2. Le fétichisme des pieds : Certaines dominatrices peuvent avoir un fétichisme des pieds, ce qui signifie qu'elles sont sexuellement excitées par les pieds. Le piétinement peut leur permettre de satisfaire leur fétichisme tout en dominant leur partenaire. 3. La punition : Le piétinement peut être utilisé comme une forme de punition pour la personne soumise, si elle a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre. Les dominatrices peuvent trouver cela satisfaisant de pouvoir punir leur partenaire de cette manière. 4. La stimulation : Le piétinement peut être utilisé pour créer une stimulation physique pour la personne soumise. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de voir la réaction de leur partenaire à la sensation de douleur ou d'inconfort créée par le piétinement. La relation entre la dominatrice et le soumis dans le piétinement Le piétinement dans le BDSM implique une relation de domination et de soumission entre la dominatrice et le soumis. La dominatrice est celle qui domine et contrôle la situation, tandis que le soumis est celui qui est soumis à sa volonté. Le piétinement est l'un des moyens pour la dominatrice de manifester cette domination. Dans une relation BDSM, la dominatrice et le soumis ont établi des règles et des limites claires avant de commencer la pratique. Ils ont également discuté de leurs désirs et de leurs attentes en ce qui concerne le piétinement, afin que chacun soit conscient des attentes de l'autre. Le soumis est prêt à se soumettre à la volonté de la dominatrice, qui est prête à assumer la responsabilité de la sécurité et du bien-être de son partenaire soumis. Lors du piétinement, la dominatrice peut demander au soumis de se mettre à genoux ou à plat ventre, afin qu'elle puisse le piétiner. Elle peut utiliser ses pieds nus ou chaussés pour piétiner différentes parties du corps, en fonction de ce qui a été convenu au préalable. Le soumis peut ressentir de la douleur, de l'inconfort ou de l'excitation en fonction de l'intensité du piétinement. La dominatrice peut également communiquer avec son partenaire soumis pour savoir comment il se sent et s'assurer que les limites établies sont respectées. Dans le cadre d'une relation BDSM, le piétinement est une pratique consensuelle qui peut renforcer la relation de confiance et de respect mutuel entre la dominatrice et le soumis. En effet, le soumis fait confiance à la dominatrice pour respecter ses limites et pour le protéger, tandis que la dominatrice respecte les limites établies et assume la responsabilité de la sécurité de son partenaire soumis. Cette pratique peut également permettre aux participants de mieux comprendre leurs désirs et leurs limites, ainsi que de renforcer leur connexion émotionnelle et physique.  Les aspects psychologiques et physiques du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement par une dominatrice peuvent varier en fonction de l'intensité de la pratique, de la durée et des parties du corps impliquées. Cependant, voici quelques sensations courantes que le soumis peut ressentir : 1. Douleur : Le piétinement peut être douloureux, surtout si la dominatrice applique une pression importante sur une zone sensible du corps. Cette douleur peut être ressentie comme une sensation de brûlure ou de piqûre. 2. Inconfort : Même si le piétinement n'est pas nécessairement douloureux, il peut être très inconfortable pour le soumis. Il peut ressentir une pression sur les parties de son corps piétinées, qui peuvent devenir engourdies ou endolories. 3. Excitation : Certaines personnes soumises peuvent trouver le piétinement excitant, surtout s'il est pratiqué avec une certaine intensité. Cette excitation peut être ressentie comme une montée d'adrénaline ou une augmentation de la tension sexuelle. 4. Soumission : Le piétinement est une pratique BDSM qui implique une relation de domination et de soumission. Le soumis peut ressentir une sensation de soumission en étant sous les pieds de la dominatrice, qui contrôle la situation et a le pouvoir de décider de la suite des événements. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. Les limites et les règles de la pratique doivent être clairement établies avant de commencer, et la communication entre les participants est essentielle pour s'assurer que chacun est à l'aise avec ce qui se passe.   L'impact psychologique du piétinement sur les participants DOMINATRICE : Le piétinement dans le BDSM peut avoir un impact psychologique sur la dominatrice qui le pratique, même si cette pratique peut être source de plaisir et d'épanouissement pour elle. En effet, cette pratique implique une relation de domination et de soumission qui peut avoir des répercussions psychologiques sur les participants. Dans le cas spécifique de la dominatrice, le piétinement peut renforcer son sentiment de pouvoir et de contrôle sur son partenaire soumis. Elle peut ressentir une satisfaction à l'idée de dominer et de soumettre son partenaire, ce qui peut renforcer son estime de soi et son sentiment de puissance. Cependant, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur la dominatrice si elle se sent mal à l'aise ou coupable d'infliger de la douleur ou de l'inconfort à son partenaire. Si elle ne parvient pas à distinguer clairement la frontière entre le jeu BDSM et la réalité, cela peut entraîner des sentiments de culpabilité et de confusion chez la dominatrice. De plus, la pratique du piétinement peut être mentalement éprouvante pour la dominatrice. Elle doit être en mesure de gérer les émotions et les sensations de son partenaire soumis tout en restant concentrée sur la pratique elle-même. Si la dominatrice a du mal à gérer ses propres émotions ou à maintenir une communication claire avec son partenaire soumis, cela peut rendre la pratique difficile et épuisante sur le plan mental. Il est donc important que la dominatrice soit consciente de ses limites personnelles et qu'elle s'assure que son partenaire soumis respecte les règles et les limites établies. La communication ouverte et honnête est essentielle pour que les deux participants puissent tirer le maximum de plaisir et de satisfaction de cette pratique BDSM. SOUMIS : Le piétinement dans le cadre d'une relation BDSM peut avoir un impact psychologique sur le soumis qui peut être à la fois positif et négatif. D'une part, le piétinement peut provoquer une excitation sexuelle chez le soumis, ce qui peut renforcer son désir et son attraction pour la dominatrice. Il peut également ressentir une sensation de soumission qui peut être source de plaisir et d'épanouissement, en étant sous les pieds de la dominatrice et en se soumettant à ses désirs. D'autre part, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur le soumis si les limites sont dépassées ou si la pratique est trop intense. La douleur et l'inconfort peuvent être ressentis comme extrêmement désagréables et traumatisants, ce qui peut avoir des conséquences psychologiques à long terme. Le piétinement peut également avoir un impact sur l'estime de soi du soumis. Si la dominatrice utilise cette pratique pour humilier ou dévaloriser le soumis, cela peut affecter son image de lui-même et le faire douter de sa valeur personnelle. Il est donc important que le soumis soit en mesure de fixer des limites claires et de communiquer ouvertement avec la dominatrice afin de s'assurer que ses besoins et ses désirs sont respectés. En fin de compte, il est important que les participants à une pratique BDSM comme le piétinement soient conscients des risques potentiels et de l'impact émotionnel que cela peut avoir sur eux. La communication ouverte, l'établissement de limites claires et le respect mutuel sont essentiels pour que cette pratique soit pratiquée en toute sécurité et pour que les participants en retirent une expérience positive et enrichissante.  
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Par : le 15/05/23
On entend souvent parler de lâcher prise dans les pratiques bdsm. Voici un petit essai de reflexion à ce sujet : Lâcher prise en revient à mon sens à quelque chose de méditatif : C'est à dire qu'on est seulement dans l'instant présent, à accueillir l'expérience telle qu'elle se présente, sans peser dessus de nos histoires ou de nos projets. Juste là maintenant ici. Sans chercher à prévoir ou sans comparer. Pas de passé ni de futur en jeu. Rien que le présent absolu. Sans se polluer de quoi que ce soit d'autre que l'expérience qui est en train de se dérouler. Sans se polluer de jugement, d'auto dénigrement, d'auto-satisfaction, sans se penser ou se regarder. Sans commenter ou sans juger autrui, sans le regarder par le prisme de nos attentes ou de nos peurs. Ca ne veut pas dire s'abandonner. Ca ne veut pas dire maitriser : C'est être absolument présent. Et être ainsi véritablement présent, c'est éprouver la sensation de liberté. Car ce qui entrave notre liberté c'est tout ce qui est hors de l'instant consciemment présent. Finalement ce que cherchent les soumis-es souvent c'est à ne plus penser ; et les domima-nts c'est aussi ce qu'on cherche ! Pour ma part : c'est de ne plus me sentir coupable. Être libre de mes propres pensées sur ce que je vie. Alors celui qui maîtrise maîtrise vraiment et celui qui s'abandonne s'abandonne vraiment. Moi je ressens facilement cela dans une sexualité primal : Je suis tout entier seulement à mon désir d'elle. Rien que l'envie puissante de jouir de toutes mes forces. Parce qu'elle me le permet : elle a consentis à ce que je puisse être tout entier à mon désir et nous avons vu ensemble ce qu'il m'est possible de faire, ou du moins  ce qu'il m'est impossible de faire ! Mais je le ressens aussi quand je suis absolument attentif et concentrer de toutes mes facultés sur l'impact de mes mains sur son corps qui jouit d'être ainsi tant sollicité. Car pour son bien et son plaisir, je cherche à être totalement connecté à elle sans être pollué. Lâcher prise c'est pas lié à ce qu'autrui fait, ce n'est pas autrui qui permet de lâcher prise. C'est soi, et uniquement soi qui lâche prise. Car il n'y a que soi qui tenait prise ! ^^ C'est plus facile de croire que lâcher prise est la conséquence mécanique d'une causalité : Il me frappe, j'ai de l'endorphine, je lâche prise. Ce n'est pas lâcher, ça c'est perdre prise ! Lâcher prise c'est s'en remettre à ce qui se passe maintenant. Pas sen remettre à quelqu'un. Ca s'est autre chose. C'est parler de responsabilité. Lâcher prise ce n'est pas être irresponsable ! Sinon les dominants ne pourraient jamais lâcher prise ! Tranmettre sa responsabilité c'est ok ! Dès lors que c'est communiqué, compris et conscentis de toues parts. Alors évidemment pour lâcher prise, quand on est pas habitué, il faut crée un contexte rassurant, qui limite les pollutions de l'esprit. Les doms sans le savoir ne font en fait qu'offrir un terrain favorable à ce que leur soum puisse lâcher prise. Mais lâcher prise ce n'est pas obligatoirement donner la prise à quelqu'un. La preuve, moi je lâche prise en prenant la prise de quelqu'un ! ^^ Donc lâcher prise c'est une histoire personnelle et individuelle d'attention à l'instant présent. Et la pratique du bdsm doit, je pense, ammener à se questionner sur la qualité de l'attention qu'on porte à l'instant présent qui est en train de se dérouler. Comment être véritablement au service d'un maître, dans le don de soi, si on est pas absolument là à ce qu'on fait juste maintnant ici ? Comment mâitriser une situation quand dans le contrôle qu'on opère on est parasité par des questionnements, des doutes, des peurs, ou des distractions ? Bonne reflexion à vous. Je vous souhaite paix, amour et plaisir ! Crédit illustration Artiste : Matija Peček https://www.artplaymagazine.com/shibari-matija-pecek/
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