La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/02/16
Salut à toutes et tous, dans la série je reprend un vieil article que j'ai écrit pour lap révention, je recycle. si j'en sauve un ou deux avec, ça sera déjà pas mal! Aujourd'hui donc, voyons les dangers du port de la cage de chasteté. On parle souvent de l'aspect excitant du bousin, ses soit disant avantages toussa, mais.....des soucis qui vont avec, nada walou, et faut vraiment bien chercher pour trouver des références là dessus croyez moi! Dans mon ex relation D/s, j'ai par le passé porté une cage de chasteté, d'abord une CB, puis ensuite une Prison de Morgane en acier sur mesure, quasi en 24/7 sur des mois. Nous avions fait une pause...puis retour en cage, avant que je ne lise des Maitresses sane safe and consensual sur un autre forum. En ayant subit plusieurs désagréments la première fois(port très régulier voire permanent sur plusieurs mois) ma Maitresse a alors préféré passé au port de ballstretcher en sa présence, notamment la nuit, devant mes craintes et interrogations du moment, plutôt qu'à celui de la cage. Je portai encore la cage quand je n'étais pas avec elle.... J'ai alors souhaité me renseigner un maximum sur le net sur les effets de la cage, notamment avec plusieurs avis médicaux. Et là....c’est le drame...difficile de trouver des avis tout à fait semblables. Si chaque médecin a son propre avis sur la question, on retrouve quand même certaines tendances. Je vous livre ici les différents avis médicaux que j'ai pu trouver, qui sont pas légion, pris à droite à gauche. Merci aux posts judicieux des Maitresses du Château des Dames notamment, j'espère qu'elles m'en voudront pas de partager ici ces infos pour faire vivre le débat hors de leurs murs, la plupart de ce qui suit n'étant pas de moi, mais un simple travail de rassemblement des infos sur la toile : 1 : "Selon elle(une médecin généraliste), deux sorties hebdomadaires le temps d'une branlette (par exemple) sont largement suffisantes pour conserver un pénis en bonne santé, cad afin que les corps caverneux conservent leurs élasticité. Donc en clair vous pouvez rester en cage 24/7, du moment que votre KH vous accorde ces deux sorties hebdomadaires(avec éjaculation), votre pénis restera en pleine forme et ne perdra aucune de ses qualités érectiles ou même fertilisant" 2 : "Bonjour Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d’une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c’est que le risque d’impuissance liée au port prolongée d’un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n’est que rarement évoqué...... .......Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles...... ........Néanmoins, le port prolongé d’un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l’inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l’exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s’avérer plus capricieuse si la chasteté s’est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n’aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s’en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n’engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l’impuissance pourrait s’avérer définitive. Au bout d’un an, l’inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d’érections normales. Pour ma part, j’ai noté un raccourcissement de plus d’un centimètre en trois ans de port sans rémission........ .........Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n’a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s’agit seulement d’un état de fait lié à l’âge. Chez la majorité des hommes, la « vidange » de la prostate n’a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d’où vient ce mythe réitérée de la nécessaire « traite » de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l’éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s’écouler tout seul lors de « pollutions nocturnes ». Il n’y a lieu à « dégorger » la glande que dans de rares cas pathologique de d’épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. En règle générale et hors rarissimes cas d’inflammation, il n’y a nul besoin de laisser s’écouler le liquide prostatique, pas plus qu’il n’est obligatoire de dégorger les glandes de Skene des dames." 3: "La fonction érectile, comme toutes les autres fonctions de notre organisme, pour durer a besoin de fonctionner : ce n'est pas "la pile Wonder qui ne s'use que si l'on s'en sert" (les plus âgés comprendront), mais tout le contraire. Voici les bases scientifiques du raisonnement qui devrait tous nous conduire au tact et à la mesure quant à l'usage de la cage sur le long terme. Sur le principe il a donc un consensus; mais là où la médecine ne peut répondre, faute d'étude scientifique réelle, c'est sur la situation exacte du seuil du danger (durée, fréquence du port, taille de la cage, fréquence et type d'éjaculation, orgasme ou ruine..). Comme pour tous les risques médicaux, il est sans doute extrêmement variable d'un individu à l'autre, en fonction de tout un tas de critères: âge, tension, cholestérol, diabète, etc... Tous les soumis ayant porté une cage connaissent les réveils douloureux en pleine nuit dus à une érection. Ces mêmes soumis décrivent une amélioration au fil du temps. Cela signifie t-il qu'ils s'y habituent.. Je le pense pas: mais plutôt d'une raréfaction des érections, début de la spirale... En conclusion, le risque patent est la perte des érections au fil du temps. Mais est-ce un danger? Non car l'individu n'est pas en danger, et peut-être même que pour certains, cette disparition prématurée correspondra à un renforcement de leur psyché. La tête du soumis dirigeant pour une fois son fonctionnement." 4: "Vous parlez de cette si célèbre cage(la CB), je relève en effet "il ne peut plus s'en passer" ... L'outil a fait un fameux chemin dans les chaumières n'est ce pas ? De mon côté, ma modeste expérience médicale extérieure m'alerte justement sur ce côté Pavlovien quasi et sur l'impuissance à long terme qui menace le soumis-toutou. Je préfère, comme me disait une de mes "collègues" la cage mentale que j'impose à mon soumis et qui m'amuse tellement pour le carnet de fausses notes qu'il rempli à force de gaffes. Encore de quoi rire et punir. Étant de près dans le milieu médical et ayant les infos à la source (mdr ... je ne peux en dire plus mais c'est tout à fait cela), le port prolongé au delà du côté Pavlov si on peut dire :D , empêche les fonctions érectiles si l'objet est bien choisi. Hors donc plus de fonction érectile = impuissance à long terme puisque c'est le manque de fonction érectile nocturne qui est le premier symptôme de l'impuissance à traiter. Donc dixit source (lol) au lieu de traiter on provoque indubitablement le problème. Voilà en très bref .... .... Plus de fonction érectile nocturne du tout = impuissance à long terme. Combien de temps ? Sur quelle durée ? Pas de réponse mais risque existant. -Comment ensuite y remédier et est-ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !! -Donc on revient au mode jouet . Un jouet est un jouet et ne peut être pris comme mode de vie total sous peine de ne plus être un jouet mais un déformation de la personne. Si je suis ce que dit le forum ce n'est plus du sûr, sain et consensuel . En abrégé le corps médical avisé dit : " si on s'amuse à provoquer ce que nous tentons de soigner avec difficulté, notre profession a des beaux jours devant elle..... .....On l'a dit : le mental a sa part dans l'érection. Donc tout jeu mental portant sur l'interdiction d'érection, la restriction de celle ci, la privation, la récompense etc... Porte automatiquement au terrain glissant de risques à la longue d'accoutumances de la personne à ces jeux au point de ne plus pouvoir fonctionner que par ceux- ci. Si le sujet est d'accord pour prendre ces risques il ne se rend évidement pas compte de la puissance de ceux-ci et de la difficulté ensuite à le "déprogrammer" le jour où il voudrait l'être. La encore on revient à la case plus haut : - Comment ensuite y remédier et est- ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !" Voilà pour la partie citation, je reprend le clavier....et les avantages de la cage dans tout ça? Je vais faire court, tant les infos abondent sur le net à ce niveau: -Le port de la cage est agréable mentalement, vous maintenant dans un état de désir constant, mélangé à la frustration, obnubilant le cerveau(très agréable si vous êtes quelqu'un de très cérébral), et à terme vous trouvez ça souvent plus fort qu'un orgasme finalement si court..... Plus à fleur de peau, le soumis devient parfois aussi une vraie chienne en chaleur.... -Il assure que le soumis soit plus attentif, obéissant, moins agressif, dévoué envers sa Maitresse puisque moins concentré sur son pénis. -L'encagé doit faire pipi assis, donc les toilettes sont propres et les dames contentes ^^ Résumé des dangers lors d'un port prolongé de la cage(en 24/7 sur de longues périodes). Désolé c'est long, donc pas si anodin que ça: -Avec le temps, le pénis va rétrécir un peu en longueur. Ce n'est pas forcément irréversible s'il recommence à pouvoir bander souvent -Comme vôtre sexe ne peut pas bander la nuit pour sa bonne santé, vous perdez peu à peu la puissance et la longueur de vos érections. -Chez la plupart des sujets, le port de la cage prolongé vous rend aussi de plus en plus précoce pour éjaculer, car à peine libéré, vôtre corps ne pense plus qu'à une chose, se soulager rapidement.... -La nuit l'encagé sera réveillé par une tentative de bandaison douloureuse, parfois plusieurs fois dans la même nuit. C'est surtout valable les premiers temps...l'encagé dort mal, puis il s'habitue car ses érections se raréfient. Il n'est donc jamais au meilleur de sa forme, que ce soit professionnellement, quant à sa vie familiale et de fait, pour servir sa Maîtresse. -Le port prolongé, mais surtout les premiers temps là encore, va irriter la peau, en particulier au niveau du scrotum(en tentant de bander ça fait remonter les bourses, et donc étire la peau). Attention à ce que ça devienne pas des plaies. -Qui dit port de la cage dit moins de production de testostérone. La diminution du taux de Testostérone impacte ces organes cibles : Le Cerveau par une : - diminution de l'agressivité et de la concentration - tendance à la déprime et à l'insomnie - baisse voire une disparition du désir sexuel - diminution de la fréquence des érections Les Muscles par une : - diminution de leur volume - fatigabilité physique croissante lors de l'exercice Les Os : -par une réduction de l'hématopoïèse dans la moelle osseuse et une déminéralisation : La Peau : -qui devient plus fine, plus fragile, plus sèche, plus ridée Le Visage : -par un teint pâle, un regard terne, les muscles des joues relâchés, des ridules au coin des lèvres et des yeux Les Organes sexuels : -par une diminution ou une disparition de la fertilité, un manque de sensibilité clitoridienne, une perte du désir sexuel Le Système immunitaire : -par une diminution des lymphocytes T et des défenses immunitaires contre les mitogènes Il en résulte une sensation de " mal-être ", accentuée par les modifications de l'image corporelle (obésité, rides, calvitie, taches brunes, raideur et douleurs articulaires...) et de certains comportements (fatigue permanente, tendance à la dépression, manque de confiance en soi, sommeil agité, pertes de mémoire, manque de créativité, bouffées de chaleur). Dans quels domaines agit-elle ? L'action de la Testostérone porte principalement sur les organes génitaux et sur le cerveau. Ses autres cibles sont le système pileux, le tissu musculaire, la masse graisseuse, les cellules sanguines et les os. Elle agit de manière identique chez l'Homme et chez la Femme dans les domaines suivants : Surcharge pondérale : La Testostérone régule la répartition entre la masse maigre et la masse grasse : la diminution de son taux amène ainsi à un excès de graisse s'accumulant principalement dans la ceinture abdominale chez l'Homme et dans les cuisses chez la Femme. Ostéoporose : La Testostérone et l'Oestrogène peuvent augmenter la densité des os et contribuent à la prévention de l'ostéoporose. Le déficit en Testostérone caractéristique de l'andropause et de la ménopause a des répercussions sur la fragilité des os. L'ostéoporose peut donc exister chez l'Homme comme chez la Femme. Masse musculaire : La testostérone contribue au renforcement de la masse musculaire de façon conséquente. C'est pour cette raison que les sportifs en sont " friands" bien que la prise de Testostérone soit interdite en compétition pour des raisons d'égalité de chances. Cholestérol : La Testostérone contribue à une bonne circulation sanguine et aide à favoriser le taux de " bon " cholestérol et à réduire les taux sériques de cholestérol total et de triglycérides. Système cardio-vasculaire : Un lien étroit a été établi entre de faibles niveaux de Testostérone et les maladies cardiaques ; l'augmentation de la quantité de Testostérone entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins stoppant ainsi l'amincissement des artères ; l'hypertension artérielle et les maladies coronariennes sont concernées par cet effet. Troubles de la Libido : Chez l'Homme comme chez la Femme, de faibles taux de Testostérone entraînent une diminution voire une perte de désir et d'efficacité sexuels. Même si l'homme en produit 10 à 20 fois plus que la femme, la diminution de production de celle-ci ne fait donc pas qu'éteindre son désir sexuel. -Une hygiène douteuse....même si avec les cages "ouvertes", il n'y a pas de souci -Risque de formation d'œdème gros souvent au niveau du prépuce, occasionné par une circulation lymphatique ralentie par la cage compressant le dessous de la base du pénis. C’est totalement insensible et se résorbe après une libération de quelques heures. -Risque de peau irritée, surtout les premiers temps. Si on ne retire pas la cage à ce moment, on risque que ça se transforme en plaie.... Voilà pour la liste des risques purement anatomiques. Vous trouvez pas que ça fait beaucoup? Moi si. Quelques questions essentielles à se poser selon moi: -L'équilibre mental...et bien, oui, pour certains hommes porter une cage c'est résoudre un souci par un autre, par exemple un soumis éjaculateur précoce dont le psychisme rejette la relation sexuelle, l'érection et l'éjaculation. Être encagé le plus souvent possible lui permet de mettre de côté des soucis psychologiques qui n'auraient peut être nécessité plutôt un traitement psycho-médical et médicamenté? -Que devient un soumis impuissant, habitué à être 100% sous cage et sans relation sexuelle lorsque, par accident , aléas de la vie ou tout simplement séparation ou divorce, celui ci se retrouve seul ? -Quand la médecine dit et redit que les érections nocturnes sont signe de bonne santé , comment un/e simple quidam peut il/elle affirmer que l'en priver ne comporte aucun risque ? Pour sa santé physique et morale, pour son avenir ? -L'homme encagé vieillit sexuellement très rapidement (au bout de quelques mois)... Sa libido baisse pour devenir inexistante, ce parfois assez jeune. Certains n'ont plus aucune érection même pour leur Maîtresse... et c'est bien le but de certaines femmes pour qui cette cage est une aubaine pour ne plus se cacher derrière des migraines, maux de têtes, fatigue etc au moment du sacro-saint "devoir conjugal"... -Faut-il qu'un homme porte une cage de chasteté pour être un "bon" soumis ? Mais alors, cet homme n'est il pas soumis à sa cage plutôt qu'à sa Dame ? Il suffit pour s'en convaincre de prendre ça et là quelques déclarations de ces "soumis" encagés : "sans ma cage je me sens nu", "sans ma cage je ne me sens pas/plus "soumis" etc... -Quid des Dominas qui aiment dominer et/ou pratiquer une sexualité avec pénétration? -Cet objet n'est il pas un prétexte à manipulation de l'un ou de l'autre? Je t'offre ma chasteté et fais de toi la reine de mes désirs dont tu as la clef (trad : sous clef je suis bien tranquille et tu n'auras aucune idée de mes problèmes sexuels) J'accepte ou je désire que tu sois sous la clef que je garde afin d'être le soumis parfait que tu désires tellement être (trad : ainsi je suis bien tranquille, tu ne m'ennuiera plus avec des désirs sexuels qui ne m'intéressent pas et m'ennuient plus que tout) -Pourquoi une Dame qui n'a plus de désir ne fait elle pas l'effort de consulter pour en connaître la raison (la ménopause peut être belle) et saute plutôt sur l'occasion sur la cage comme bouée de sauvetage? On parle de la bonne santé du soumis par sa sexualité, les études prouvent que la bonne santé de sa Dame passe par la même chose. Conclusion: La cage de chasteté n'est pas un jeu BDSM anodin. Si on passe à du port prolongé, on est en droit de se demander si on est encore dans du safe sane and consensual, car on entre rapidement dans une addiction, avec tous les risques des dangers cités que celà comporte. La cage "mentale" de la Maitresse qui ordonne à son soumis de rester chaste mais sans cage peut être une meilleure solution, et de plus très gratifiante pour le soumis qui va résister, tout en éliminant une bonne part des dangers et désagréments de la cage. La cage mentale a comme supériorité par rapport à la cage de chasteté qu'elle devient en plus un jeu intellectuel entre deux êtres pensants. La domination de l'un par L'Une est alors au stade ultime de l'interpénétration, de la connivence. Elle n'apporte aucune souffrance physique, ce qui est bon pour les non-masos, et favorise l'imagination. Maintenant au vu de tous les témoignages que j'ai pu lire, jouer en mode ludique occasionnel sur quelques jours, voire au max quelques semaines, ne semble pas dangereux, surtout si des libérations sont fréquentes, donc que cela ne refroidisse pas trop ceux qui veulent s'y essayer. Simplement, j'espère qu'après lecture de tout ça, tous sont prévenus de ce qu'ils risquent en voulant passer à du port permanent. PS: Je serais très curieux d'avoir d'autres avis argumentés, notamment de médecins sur la question Eenwë
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Par : le 14/08/20
Contrat de soumission BDSM 1. Lieu et durée : Le soumis accepte de se soumettre complètement à sa Maîtresse. Il n'y aura aucune limite de lieu, de temps, ou de situation dans lesquelles le soumis puisse refuser d'obéir à un ordre de sa Maîtresse. 2. Plaisirs : Le soumis accepte, aussitôt ce contrat signé, que son corps devienne la propriété totale et exclusive de sa Maîtresse, qui pourra en disposer comme bon lui semble. Cela signifie désormais que sa jouissance appartient à sa Maîtresse, que celle-ci pourra par conséquent lui interdire tout plaisir, ou au contraire fixer à sa guise ses rapports avec toute autre personne et l’offrir à toute autre personne. Lorsque la Maîtresse et son soumis se livreront à des attouchements, il va sans dire que le plaisir de sa Maîtresse prime sur le plaisir de son soumis, et que le seul plaisir de contenter sa Maîtresse pourrait suffire au plaisir du soumis. 3. Respect : Le soumis parlera toujours de sa Maîtresse en des termes d'amour et de respect. Le soumis s'adressera toujours à elle en tant que " Maîtresse ou Madame…». En retour, la Maîtresse pourra appeler son soumis « petit soumis », ou autre surnom qui lui plaira sans que le soumis ne puisse s'en offusquer. 4. Sincérité : le soumis répondra sans hésitation à toutes questions posées honnêtement et directement, par sa Maîtresse et il inclura toute information, même intime, afin que sa Maîtresse soit parfaitement informé de tout ce qui se passe dans la vie intime de son soumis. L’intimité du soumis appartient désormais à sa Maîtresse. 5. Plaintes et critiques : La Maîtresse exige de son soumis, qu’il s'exprime honnêtement et spontanément sur tout ce qui la tracasse, le soumis ne pourra se plaindre ou critiquer sa Maîtresse qu'avec une infime précaution, beaucoup de respect, et toujours dans le souci de renforcer leur relation. 6. Apprentissage : Le soumis recherchera, pendant la période de soumission, à plaire à sa Maîtresse et acceptera gracieusement toute critique de la part de sa Maîtresse, et ce peu importe la forme que celle-ci prendra, évidement ces critiques devront toujours être constructives et respecter les limites définies dans ce contrat. II. Rôle de la Maîtresse : Le soumis, qui accepte de devenir sa chose, son soumis, doit en retour pouvoir vivre sa relation avec sa Maîtresse en toute confiance, ce qui signifie que sa Maîtresse s'engage à respecter le contrat et à prendre soin de son soumis, s'assurer de sa sécurité et de son bien-être. La Maîtresse accepte donc de traiter le soumis comme il se doit, de le dresser, de le punir, de l'aimer, et de l'utiliser au gré de sa volonté, mais toujours dans le souci de : - lui procurer du plaisir, de satisfaire ses fantasmes, ses penchants, sa libido. - le dresser pour en faire un soumis parfait, c'est-à-dire docile et perver et une bonne pute. - le respecter, dans son intégrité physique et morale, sa vie familiale et professionnelle III. Exigences de la Maîtresse : 1. Refus : la Maîtresse ne permettra jamais certaines pratiques dans le cadre des relations qui le lie au soumis : la scatologie, toutes marques de sang. Toutes ces pratiques sont catégoriquement refusées par le soumis et marquent des limites à ne jamais franchir. 2. Supériorité : la Maîtresse ne permettra jamais que le soumis ne soutienne en public des positions contraires aux siennes, ou ne défie son autorité, sous peine d'une très sévère punition. Le soumis reconnaît et accepte à l'avance la supériorité de sa Maîtresse, dans quelques domaines que ce soit. 3. Position et culotte : la Maîtresse ne permettra pas à le soumisde croiser les jambes ni de fermer totalement les cuisses en sa présence ou devant son ordinateur lors de chat ou lors de prêts de la soumise à des tiers. Le soumis ne devra porter aucun sous-vêtement en présence de sa Maîtresse et lors des prêts ou utilisation du soumis par des tiers, et parfois même en son absence. Le but étant que les orrifices et le sexe de l'esclave soit disponible et accessible à toute caresse ou pénétrations diverses choisies par sa Maîtresse, quel que soit l'heure et le lieu et les tiers autorisés par celui-ci. 4. Politesse : la Maîtresse exigera que le soumis inclus toujours le vouvoiement, le mot Maîtresse ou Madame dans ses réponses lorsqu'ils seront seuls, ou parmi d’autres dominants. 5. Internet : la Maîtresse pourra déterminer le temps que le soumis passera sur Internet et y publier sur son blog ou des sites dédiés, les photos de son soumis dans toute tenue et positions. Les images de la soumise appartiennent à sa Maîtresse. 6. Dilatation anale : la Maîtresse pourra dilater l'anus du soumis et y introduire tous les objets qu'il désirera, (doigts, godemichés, etc.) ou bien exiger du soumise qu’il le fasse lui-même lors de séances de domination virtuelle ou par lui-même. 7. Achats : la Maîtresse pourra exiger que le soumis lui demande son avis pour acheter ou porter ses vêtements. La Maîtresse pourra décider des tenues vestimentaires que son soumis aura à porter. Les tenues vestimentaires en présence de la Maîtresse ou de prêt à des tiers devront être très explicites sur le statut du soumis. 8. Collier : la Maîtresse pourra exiger que le soumis porte un collier en cuir discret, mais avec un petit anneau pour que la Maîtresse puisse y accrocher une laisse. Le soumis pourra néanmoins retirer son collier sur son lieu de travail et en famille. 9. Laisse : la Maîtresse pourra si elle le désire obliger le soumis à se promener en laisse et ce, où il le désirera, En extérieur tant que cela ne porte pas préjudice à sa carrière, sa famille ou à sa réputation. 10. Demande de châtiment : la Maîtresse pourra exiger du soumis que celui-ci demande spontanément matin et soir le châtiment de son dressage soit ; coups de fouet, badine, cravache, martinet, ceinture ou à la main. 11. Relations sexuelles : la Maîtresse pourra si elle le désire, interdire toute relations sexuelles au soumis et ce pour une période que seul la Maîtresse déterminera. Le soumis ne pourra pas refuser de relation sexuelle avec toute personne qui lui sera présentée par la Maîtresse ni à l’occasion des prêts. 12. Prêt du soumis : la Maîtresse pourra si elle le désire, donner, prêter le soumis à d'autres Maîtres ou Maîtresse, des connaissances et amis en qui elle a confiance. Le soumis pourra aussi être amenée à obéir ou à s'exhiber devant certains amis et complices de la Maîtresse en présence ou non de la Maîtresse. 13. Masturbations et frustrations : la Maîtresse exige de son soumis qu’il se masturbe au moins deux fois par jour en pensant à Maîtresse mais sans se donner le plaisir libérateur. Le but étant de maintenir le soumis dans un état d'excitation permanent. 20. Clause de sauvegarde : la Maîtresse s'engage à ne pas compromettre la vie de famille et professionnelle du soumis en révélant sa soumission à sa famille ou ses collègues, y compris par des actes ou des punitions qui trahiraient son statut de soumis. IV. Punitions : 1. Justification : Le soumis accepte de recevoir toute punition que sa Maîtresse décidera de lui administrer, qu’il l'ait mérité ou non. 2. Forme et intensité : Le soumis accepte qu'une punition sévère puisse lui être administrée pour toute infraction à la lettre ou à l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion de la Maîtresse. Il pourra évidemment s'agir de châtiments corporels : fessée, cravache, martinet, badine... Mais aussi de punitions psychologiques, des contraintes, des obligations, des humiliations, des exhibitions... 3. Date et lieu : la Maîtresse devra faire clairement savoir au soumis qu’il est puni et ce, quand la punition lui sera infligée : en sa présence immédiatement, ou ultérieurement lors d'un rendez-vous, dans le lieu et à l'heure qu’elle aura choisis. 4. Intensité : la Maîtresse s'engage à ne causer aucune blessure corporelle au soumis tout comme il s'engage à ne pas la tatouer ou la percer. Néanmoins, le soumis s'engage à endurer toutes les punitions, que ce soit sur les fesses, les seins ou toute autre partie du corps que le Maître aura envie de martyriser. Si toute marque ou cicatrice sont proscrites, des fesses bien rouges ou des zébrures sur les fesses du soumis seront acceptées. V. Règles de conduite au travail : Aucune partie de ce contrat n'est prévue pour nuire à la carrière, à la famille ou à la réputation du soumise. La Maîtresse, souhaite que son soumis travaille fort et honnêtement et qu’il se conduise le plus normalement du monde. Pendant les heures de travail, le soumis aura la permission de s'habiller d'une manière appropriée, ce qui signifie sans excès ou provocation, et sa maitresse ne pourra exiger aucune exhibition ou acte à caractère sexuel sans le consentement de son soumis. VI. Signature du soumis : De son consentement libre et éclairé et par désir d'exprimer son amour et sa dévotion pour sa Maîtresse, il s'offre en soumis à sa Maîtresse. Malgré le fait qu’il se considère comme soumis à sa Maîtresse, l soumis s'engage à se dévouer complètement et totalement au plaisir et désirs de sa Maîtresse et ce sans aucune hésitation ou autre considération. Le soumis a lu et compris le présent contrat dans son entier. Le soumis accepte de remettre son corps et son âme à sa Maîtresse. Le soumis comprend qu’il sera façonné et dressé à servir en pute et en chienne et d’être puni en cas de désobéissance à sa Maîtresse ou lors de prêts et ce dans son meilleur intérêt et il promet de se consacrer à combler le moindre des désirs de sa Maîtresse. Je reste le soumis de ma Maîtresse sans limite de durée de façon irréversible. Je ne peux rompre ce contrat, seul ma Maîtresse peut le rompre. Note ajouté par la Team BDSM : Merci à francksoum33 de partager son contrat BDSM. Il constitue un excellent exemple de contrat d'appartenance. Ce contrat de soumission pourra servir de modèle aux membres de la communautés. A chacun d'adapter ce contrat pour en faire le modèle qui lui sera propre en fonction des ses pratiques (les contrats BDSM type pour un esclave peuvent être formuler différemment). A lire également : Soumettre un homme Trouver et hoisir son maître Soumis par une domina
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Par : le 16/02/20
Je précise que le terme "urologie" est plutôt en rapport avec l'étude (médicale) des fonctions urinaires, et donc est impropre aux activités évoquées ici.  Urophilie et golden shower : Définitions, pratiques et hygiène  « Soumission », « humiliation », « intimité », « don », « partage », « marquer son territoire », « fantasme », « bienfaits thérapeutiques », voilà autant de termes qui reviennent dans la bouche des personnes pratiquant l’urophilie comme de celles qui l’observent avec un regard extérieur. Egalement appelé ondinisme ou urolagnie, cet ensemble de pratiques sexuelles, souvent associées au BDSM et consistant entre autres à uriner sur son partenaire, sur son corps ou dans sa bouche, demeure aussi mystérieux que tabouisé par la société. P lacée par les spécialistes de la sexualité, les urologues et les psychiatres, dans la liste des paraphilies, c’est-à-dire des pratiques sexuelles hors normes et "déviantes" voire considérées comme des délits ou des crimes sexuels pour certaines d’entre elles, l’urophilie provoque chez certaines personnes une très puissante excitation érotique. La « golden shower », comme les anglophones l’appellent et que l’on peut traduire littéralement par « douche dorée », fait ainsi partie de ces choses qui inspirent autant la fascination que le dégoût. Elle n’est cependant pas interdite par la loi, pourvu qu’elle soit effectuée dans une relation de consentement entre les différents participants et participantes d’âge adulte. Entre jeu érotique sadomasochiste, fétichisme, mode d’alimentation et médecine naturelle pour les uns, tabou, perversion et trouble clinique pour les autres, difficile d’y voir clair et de se faire un avis objectif sur la question. Au travers de cet article sur l’urophilie, ses différentes variantes, les motivations de ses adeptes, les observations cliniques et les critiques de ses détracteurs, je vais donc essayer de faire tomber cette chape de plomb qui entoure ce terme flou et les pratiques qui se cachent derrière. L’ondinisme est en effet un ensemble de pratiques et de jeux sexuels qui font fantasmer plus d’un et d’une, que certains et certaines pratiquent dans le cadre de jeux sexuels BDSM (jeu de pisse), mais qui peuvent aussi susciter de violentes critiques. Des critiques portant aussi bien sur l’aspect dégoûtant que sur les risques sanitaires et de transmission de maladies sexuellement transmissibles (MST) et d’infections sexuellement transmissibles (IST). Des critiques que l’on peut bien entendu adresser à d’autres pratiques sexuelles bien moins marginales…  Définition de l’urophilie : « Ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel »  Sur le plan purement théorique, l’urophilie est sommairement définie comme une « attirance sexuelle d’un urophile pour l’urine ou l’urination ou la miction ». Cette définition simplifiée n’explique cependant que très superficiellement ce qu’est l’urophilie. L’ondinisme constitue en réalité un ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel, une sorte d’aphrodisiaque pour ainsi dire. Il serait donc plus juste de parler de définitions (au pluriel) de l’urophilie, car, en plus de la diversité des pratiques liées à la pisse ou à l’action d’uriner, les urophiles n’ont pas forcément les mêmes motivations, les mêmes fantasmes, les mêmes sensations, ni les mêmes façons de pratiquer l’urophilie. De plus, il y a ceux et celles qui reçoivent et les autres qui aspergent – l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre. Il est en effet nécessaire de préciser que certains urophiles sont à la fois receveurs et donneurs. Dans ce cas-là, ils alternent en fonction de leurs envies, de celles de leur partenaire ou bien au gré des opportunités. Il parait donc nécessaire d’aborder maintenant les différentes pratiques urophiles, tout en précisant d’emblée qu’un ou une urophile ne les pratique pas nécessairement toutes à la fois. En outre, il serait également bon de rappeler que l’urophilie peut être pratiquée aussi bien par les hétérosexuels que par les homosexuels, les lesbiennes urophiles, les pansexuels, etc.  Les pratiques urophiles : De la douche dorée à l’urophagie (boire l’urine de son partenaire) Comme vu ci-dessus, l’urophilie englobe tout un tas de pratiques érotiques liées à l’urine et à l’acte d’uriner. En voici les principales pratiques.  Douche dorée ou golden shower :  Comme l’indique cette expression, la douche dorée consiste à se faire uriner dessus ou à uriner sur son partenaire. Il s’agit d’une des pratiques de base de l’ondinisme. Certaines personnes lui donnent parfois le nom de « pluie dorée » ou de « fontaine dorée ». Ce jeu de pisse peut aussi bien avoir lieu dans un lieu privé que dans un donjon SM ou un club libertin lors d’une soirée exclusivement dédiée à l’ondinisme (plan pisse).  Urophagie : Ce terme désigne le fait de boire l’urine de son partenaire. Si cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux sexuels, certaines personnes décident de boire de l’urine à des fins thérapeutiques (urinothérapie). Les adeptes de cette thérapie hors du commun parlent de l’urine comme d’un « élixir de vie », d’un « breuvage divin » ou d’un « remède ancestral ».  Omorashi : Plus qu’une pratique, l’omorashi est un terme japonais signifiant « fuite de liquide » et/ou « se mouiller » et désignant plus particulièrement un fétichisme sexuel dans lequel une personne éprouve de l’excitation et du plaisir à voir une vessie pleine. Le summum de l’excitation intervient la plupart du temps au moment où la personne ne peut plus se retenir et se fait pipi dessus. C’est pourquoi certaines personnes la surnomment « désespoir de vessie » ou « slip trempé ».  Urophilie visuelle (vidéo ondinisme) : Davantage individuelle que collective, cette pratique consiste à prendre du plaisir, souvent accompagnée d’une masturbation, devant un film urophile. Ce genre pornographique peut d’ailleurs attirer et être apprécié par des personnes, hommes ou femmes, qui n’ont jamais uriné sur quelqu’un ou qui ne se sont jamais fait uriner dessus. « Vidéo ondinisme », « femme qui urine en vidéo » ou encore « golden shower » sont les principaux mots clés utiliser pour trouver des vidéos d’urophilie sur internet.  Uriner à l’intérieur du vagin : Cette pratique consiste, comme son nom l’indique, à uriner à l’intérieur du vagin, le plus souvent après l’éjaculation. Certaines personnes le font lors d’une sodomie. Pour la personne qui reçoit la pisse, une vague de chaleur l’envahit. Celle-ci peut néanmoins s’accompagner d’une sensation de brûlure. Pour l’homme, lâcher les vannes après une éjaculation s’avère être une sensation très agréable. Mais ne le plaisir ne s’arrête pas là : la vue du mélange de sperme et d’urine s’écoulant des orifices est une source d’excitation supplémentaire ou complémentaire.  Soupeur et soupeuse : Ces deux termes désignent avant tout les adeptes d’une pratique dangereuse sur le plan sanitaire, car elle consiste à manger du pain imbibé d’urine. Le pain ayant trempé plusieurs heures dans un urinoir public (vespasienne), le mélange de plusieurs urines ainsi que toutes les bactéries qui ont pu s’y développer en font un « met » potentiellement dangereux, avec un risque très élevé de MST et d’autres infections (Hépatite A et B, notamment) Une dernière définition qui nous permet de faire la transition avec la question de l’hygiène dans l’ondinisme.  Urophilie et hygiène : Les choses à savoir  Urophilie et hygiène vont de pair. Difficile en effet de parler d’ondinisme sans évoquer l’hygiène et les éventuels risques qui peuvent découler d’une ingestion de pisse, et plus particulièrement quand le donneur a une infection urinaire. Et les risques ne sont pas uniquement liés à la seule action de boire du pipi. Uriner sur son partenaire, et notamment sur le visage, les yeux ou sur le sexe, peut parfois engendrer des complications médicales, du moins des sensations de brûlures. Néanmoins les risques ne sont pas très élevés chez les personnes en bonne santé n’ayant ni infection ni MST. Cependant j’ai entendu dire par des médecins que les yeux, comme le sang, seraient de possibles voies de transmission, à vérifier. Recevoir de l’urine sur le corps : Sensations, plaisirs et risques sanitaires  Selon les différents témoignages que l’on peut retrouver facilement sur internet et notamment sur les forums, recevoir de l’urine sur le corps offre de nombreuses sensations et émotions qui peuvent s’avérer très excitantes pour la personne qui reçoit — comme pour celle qui donne d’ailleurs. Le fluide chaud, les odeurs qui en émanent, la vue du sexe laissant couler la pisse, tout cela représente des sources de stimulation, de désir et de plaisir. L’aspect psychologique n’est non plus pas à oublier ni à négliger dans la pratique de l’uro. Recevoir la pisse de quelqu’un sur soi peut aussi produire une impression de soumission et un sentiment d’humiliation qui sont deux ressorts du plaisir dans les pratiques BDSM. De la même façon, un pisseur ou une pisseuse pourra ressentir un fort sentiment de domination. C’est entre autres ce type de sensations et de plaisirs que recherchent les adeptes de jeux BDSM impliquant l’urine. Mais ce n’est pas tout. L’urine peut aussi être considérée comme un « présent », un « cadeau », un « don ». Dans ce cas-là, la reconnaissance prend le dessus sur les autres sentiments et sensations. Certes beaucoup moins grands que dans l’urophagie, les risques sanitaires ne sont pas inexistants. Même si l’urine est composée à 95% d’eau (avec certaines variations constatées en fonction du niveau d’hydratation), elle contient des déchets rejetés par l’organisme. Ceux-ci ne sont pas forcément très dangereux si les deux personnes sont en bonne santé et ont un bon système immunitaire. Mais si le donneur a une maladie ou une infection, il vaut mieux qu’il évite de pisser sur son ou sa partenaire, et cela même si la peau est une barrière naturelle contre les bactéries. Une petite coupure peut suffire à la transmission de la maladie ou de l’infection. En outre, l’urine peut être un désinfectant pour des plaies et des brûlures superficielles (brûlure d’ortie ou de méduse, par exemple). On recommande cependant de bien désinfecter la plaie et de consulter un médecin en cas de complications.  Boire de l’urine : Goût, sensations, élixir de vie et risques d’infection  Boire de l’urine, notamment l’urine d’autrui, est beaucoup plus risqué que de se faire asperger le corps de pipi. Néanmoins cela n’arrête pas certaines personnes de consommer leur propre urine ou celle de leur partenaire — et dans le cas des soupeurs, celle d’inconnus. Question goût, il s’avère beaucoup plus difficile qu’on ne le croit de trouver un dénominateur commun, même si l’acidité et la sapidité légèrement salée sont les deux saveurs plus évoquées. En effet, le goût de l’urine est propre à l’alimentation de la personne, mais également à son hydratation. Une pisse claire, c’est-à-dire une urine composée en grande partie d’eau, n’aura pas le même goût qu’une pisse foncée et très acide, ou qu’une urine imbibée d’alcool. De la même manière, manger des asperges ou des pâtes au beurre influera grandement sur le goût de la pisse. Les sensations et l’excitation sexuelle pour celui ou celle qui avale de l’urine sont proches de celles procurées par un jet de pisse coulant sur la peau. Néanmoins la saveur et l’odeur sont beaucoup plus présentes, ce qui est logique puisque ce sont surtout le goût et l’odorat qui sont mis à l’épreuve. Comme pour la douche dorée, les questions « domination/soumission » « don/réception » font partie intégrante de l’urophagie. Boire de l’urine est aussi un mode de vie, ou plutôt un mode d’alimentation. Certaines personnes boivent quotidiennement leur urine pour se purger. « Breuvage divin », « élixir de vie », « remède ancestral », le régime urinothérapeutique aurait des bienfaits sur la santé. C’est du moins ce que certaines personnes avancent, arguant notamment que l’urine est utilisée comme un engrais ou du compost (preuve en est, la Mairie de Paris a installé les premiers pissoirs écolos dans la rue). Il est cependant recommandé d’en parler à son médecin quand cette pratique devient quotidienne. Sur le plan sanitaire, il faut être conscient des risques de transmission du VIH, d’IST et de MST. Le risque zéro n’existe pas. Au moindre doute, il vaut mieux s’abstenir et/ou en parler à son médecin. Cela nous mène à notre prochaine partie, à savoir l’urophilie et le VIH/Sida.  Urophilie et VIH/Sida : Faites un dépistage avant un plan pisse !  Comme pour n’importe quelle pratique sexuelle impliquant un contact entre des muqueuses et/ou des sécrétions génitales, le risque de transmission du VIH (Sida) subsiste aussi pour l’ondinisme. Néanmoins il faut que le pisseur ou la pisseuse soit porteur du virus. Donc si vous souhaitez faire un plan pisse avec quelqu’un ou plusieurs personnes, assurez-vous que tout le monde ait fait un test de dépistage du VIH. Vous pouvez également vérifier que vous ne portez pas en vous l’hépatite A ou B et que vous n’avez pas de problème urinaire et/ou rénal — cela ne gâchera pas le plaisir, au contraire !  Histoire de l’ondinisme :  Encore tabou, l’ondinisme n’est pas un thème ayant fait l’objet de recherches historiques très poussées. On ne trouve en effet que très peu de sources sur l’histoire de l’ondinisme — pour ne pas dire aucune. Pour l’instant, l’ondinisme a surtout fait l’objet de recherches cliniques réalisées notamment par l’association française d’urologie secondée par des sociologues, des psychiatres, des spécialistes des paraphilies et troubles sexuels. Ces derniers cherchent avant tout à déceler les origines de ces pulsions sexuelles et à les traiter — des pulsions sexuelles qu’ils considèrent comme une « perversion », une « déviance sexuelle » ou une « fantaisie ». Certains chercheurs ont par ailleurs trouvé des traces de pratiques urophiles ou de cultes de l’urine dans d’autres civilisations. Mais encore une fois, on ne dispose pas encore d’études suffisamment approfondies et de recherches historiques vérifiées pour ériger une histoire de l’urophilie. Néanmoins, l’urophilie apparait dans la culture littéraire et cinématographique.  L’urophilie dans la culture littéraire et cinématographique (Friends, Céline, film porno, etc.)  La littérature du XXème siècle a osé aborder l’urophilie à plusieurs reprises, comme dans les œuvres de Louis-Ferdinand Céline et d’Auguste Le Breton. Ces derniers ont surtout évoqué les soupeurs et leurs habitudes « répugnantes ». Dans l’épisode 1 de la saison 4 de la série américaine Friends, l’urophilie est mise en scène indirectement puisqu’on ne voit pas la scène où Chandler urine sur Monica qui vient d’être piquée par une méduse. Ce qui est intéressant dans cet exemple, c’est que le thème est abordé de façon détournée sans même être cité explicitement. Les notions de remède désinfectant et antidouleur, de répugnance et de tabou sont mises en avant par les personnages qui ne prononcent d’ailleurs jamais le mot. Mais encore une fois, l’urophilie demeure marginale dans les arts comme dans les médias.  Pourquoi la pratique de l’urophilie ?  Si on se place d’un point de vue clinique, l’urolagnie est une paraphilie. Les notions d’anormalité et de perversion sont ainsi très présentes dans le discours des praticiens spécialistes de l’urologie. Ceux qui se basent sur la psychologie et/ou la psychanalyse y voient surtout un retour à la petite enfance (vers 2 ans), période à laquelle les enfants n’éprouvent pas de dégoût pour les excréments et l’urine, mais plutôt une fascination. Du point de vue de ceux et celles qui fantasment ou qui pratiquent l’urophilie, le discours est évidemment tout autre. Les notions de partage, de plaisirs corporels et sensoriels dus à la chaleur et à l’odeur, de confiance en l’autre, mais aussi de domination et de soumission, sont des remarques souvent faites par les adeptes, qu’ils soient pisseurs ou receveurs. Précisons par ailleurs que certains adeptes admettent ne pas aimer le goût ni l’odeur de la pisse, mais être très excités par le fait de voir le fluide sortir de l’orifice de leur partenaire.  Quelques conseils pratiques pour pratiquer l’urophilie  En plus des tests de dépistage de MST et IST, il est conseillé de bien s’hydrater avant de pratiquer l’urophilie, quelle que soit sa forme. Comme vu plus haut, il vaut mieux veiller à son alimentation. Certains aliments colorent, donnent du goût et de l’odeur de l’urine plus que d’autres (les asperges, par exemple). Pour plus d’informations concernant l’ondinisme, vous trouverez ci-dessous plusieurs liens.  Sources et références  Cet article sur l’ondinisme base sur plusieurs sources d’origines scientifiques, journalistiques et sociologiques et sur des témoignages d’adeptes, dont voici les principales sources :  www.urofrance.org  www.planpisse.com  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-1/  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-2/  www.afrosantelgbt.org/chapitre/urophilie/ indepedants.over-blog.com/  www.heteroclite.org/2016/12/urophilie-pratique-risque-37573  www.sexshop-ilxelle.com/blog/bdsm-bondage-sm/urophilie-et-ondinisme/  www.69desirs.fr/experience-urophilie
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Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 07/04/15
Pour savoir ce que vous en pensez, je l'ai écrite pour moi. Les remarques, critiques, conseils et suggestions sont les bienvenus, et plus particulièrement s'ils sont argumentés. LETTRE D'ENGAGEMENT MUTUEL A LA DOMINATION ET A L'ESCLAVAGE Cette lettre lie dans un engagement mutuel : ….............................., qui sera désigné par la suite comme l'esclave. Et : ….............................., qui sera désigné par la suite comme le Maître. Par cette présente lettre, l'esclave s'engage sur l'honneur à se soumettre à la volonté du Maître, à se laisser asservir, exploiter, violer, séquestrer et torturer par lui de toutes les manières qu'il lui plaira, ainsi que par toutes les personnes à qui il donnera son autorisation. La suite de cette lettre présente un exemple de vie que souhaiterait vivre l'esclave, même s'il n'impose pas cet exemple précis au Maître. L'esclave s'engage sur l'honneur à ne jamais tenter de s'émanciper lui-même. Par cette présente lettre, le Maître s'engage sur l'honneur à exploiter à volonté l'esclave, mais aussi à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à chercher à le rendre globalement heureux dans l'esclavage et la torture qu'il lui infligera. S'il donne à une tierce personne l'autorisation d'utiliser l'esclave, il s'engage sur l'honneur à veiller que cette tierce personne l'utilisera de manière responsable, en respectant lui-même l'engagement précédent du Maître sur la santé et le bonheur de l'esclave. Le Maître s'engage sur l'honneur à ne jamais donner ou vendre à titre définitif l'esclave à une tierce personne, en gardant toutefois le droit de le prêter ou de le louer. Signature de l'esclave : Signature du Maître : EXEMPLE DE VIE DESIREE PAR L'ESCLAVE Dès la signature de ce contrat d'esclavage, toutes les possessions de l'esclave sont remises au Maître, et l'esclave devient une possession du Maître. Toutes possessions que l'esclave obtiendrait à titre définitif et d'une manière ou d'une autre par la suite doivent être au plus vite données en offrande au Maître, de manière à ce que l'esclave ne possède plus jamais rien. Les possessions qu'il obtiendrait dans le but de les donner, de les transmettre ou de les rendre par la suite à une tierce personne doivent leur être remises à la première occasion, et ne seront donc pas offertes au Maître. Par amour pour le Maître, l'esclave accepte de se faire asservir par lui. A partir de ce moment, l'esclave garde en permanence une attitude docile et servile, et garde les yeux baissés quand il est face à son Maître. L'esclave appelle alors son Maître «Maître» et le vouvoie, tandis que le Maître le tutoie en retour et l'appelle comme bon lui semble. Chaque fois que le Maître et l'esclave se retrouvent dans la même pièce, l'esclave salue le Maître en s'inclinant respectueusement. Quand le Maître s'absente et revient chez lui, l'esclave l'accueille en s'agenouillant devant lui. L'esclave est dressé à être efficace au travail, heureux et plaisant à côtoyer dans sa servitude, et à la fois humble et fier de sa condition d'esclave, ayant appris à se sentir honoré par son asservissement. Il est dressé à servir aussi bien son Maître que toute autre personne à qui le Maître le prête ou le loue. Il a appris un minimum sur la cuisine, le jardinage, le bricolage et la mécanique automobile pour mieux servir son Maître. Il est aussi entraîné à être violé sans ménagement par son Maître et par les amis de son Maître, et à être torturé de manière de plus en plus extrême et de plus en plus fréquente pour pouvoir supporter toujours plus de douleur. Les séances de tortures seront toutefois sécurisées avec, au minimum, un safeword que doit respecter le Maître. L'esclave est entraîné à accepter sans broncher toutes les humiliations, et à les recevoir comme des preuves d'amour de son Maître. Les journées de l'esclave sont généralement divisées en trois périodes, que le Maître peut déplacer, raccourcir et allonger à loisir. Durant la période de travail, l'esclave est relativement libre. Le Maître lui met ses fers au cou, aux poignets et aux chevilles, et l'esclave vaque à ses tâches domestiques. C'est principalement durant cette période que le Maître utilise son esclave, pour des relations sexuelles, pour des séances de tortures, ou pour des choses plus simples comme discuter avec lui ou regarder un film avec lui si le Maître le désire. De temps en temps, l'esclave peut aussi accompagner le Maître à l'extérieur (sans ses fers s'ils sortent en public, mais en portant toujours au moins un collier de chien pour indiquer clairement sa condition servile), pour que l'esclave porte les courses du Maître ou conduise sa voiture par exemple. L'esclave n'a jamais le droit de sortir seul de la demeure du Maître, et si celui-ci s'absente pendant cette période, l'esclave est au moins enchaîné dans une pièce de la maison pour éviter toute tentative de s'enfuir. Durant la période d'écriture, l'esclave est enchaîné à son bureau pour écrire. Un ordinateur est mis à sa disposition pour cela, avec une connection internet. L'esclave a le droit de lire des livres, de faire des recherches, de regarder des images, d'écouter de la musique et d'entretenir des interactions avec d'autres internautes, car cela peut aider à faire germer des idées pour l'écriture et à enrichir ses discussions avec le Maître, mais le Maître surveille son historique de navigation et ses discussions, et n'hésite pas à lui bloquer l'accès des sites où il va perdre mon temps. Le but premier de cette période reste en effet que l'esclave écrive pour le Maître, qui apprécie son écriture. Si l'esclave parvient à vendre des livres, les bénéfices sont donnés en offrande au Maître. Durant la période de repos, l'esclave est enfermé et enchaîné dans un cachot ou une cage, de manière plus ou moins contraignante selon les envies du Maître, qui le laisse alors ainsi se reposer et dormir. Bien entendu, rien n'empêche le Maître de venir voir l'esclave et de le réveiller de la manière qui lui plait le plus et pour n'importe quelle raison qu'il puisse avoir, même aucune en particulier, car l'esclave est à son service de manière permanente et il a le droit de faire tout ce qu'il désire de lui. L'esclave porte en permanence une cage de chasteté, et il n'est autorisé à jouir qu'en de très rares occasions. Le reste du temps, il est trait pour ne pas avoir d'éjaculation nocturne. De son côté, le Maître peut le violer à volonté, et accumuler autant de partenaires qu'il le désire, à qui il peut prêter l'esclave sexuellement ou pour être torturé ou pour n'importe quel autre service. Il est interdit à l'esclave de manger quoi que ce soit sans permission, tout autant qu'il lui est interdit de boire autre chose que de l'eau sans permission. L'eau quant à elle lui est la plupart du temps laissée à disposition dans une écuelle pour chien. La nourriture lui est généralement donnée dans une gamelle pour chien, ou à même le sol, ou alors l'esclave la mange directement dans la main de celui qui la lui donne, de manière docile et soumise. L'esclave ne porte pas sa nourriture à sa bouche avec ses mains, c'est sa bouche qui va à la nourriture là où elle se trouve. A moins qu'on donne temporairement à l'esclave le droit de participer à une discussion, ou que l'on lui adresse directement la parole et qu'il doive répondre, l'esclave doit systématiquement demander l'autorisation de parler avant de pouvoir le faire. Des demandes trop fréquentes ou une demande de prise de parole inutile ou impertinente peuvent l'exposer à une punition. Dans certains cas d'urgence, il peut lui être pardonné de prendre la parole sans permission. Le Maître a appris à l'esclave à hurler, à aboyer, à grogner, à gémir et à japper comme un loup ou un chien, ainsi qu'à marcher et à courir à quatre pattes. Il lui a appris à se considérer non pas comme un homme, mais comme un canidé, et chaque fois qu'il le lui ordonne, il se conduit comme un véritable chien, obéissant et bien dressé. L'esclave est ainsi l'esclave de son Maître, 24 heures par jour, 365 jours par an, et ce pour le reste de sa vie. Il peut ainsi à loisir le faire tatouer, scarifier ou marquer au fer rouge pour représenter le caractère permanent et définitif de son asservissement. En échange de ce dévouement, et par amour pour l'esclave, le Maître s'engage à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à le rendre globalement heureux dans la servitude et la souffrance. Ce sont, au final, les seules limites fixées à la façon dont il peut traiter l'esclave, ce qui laisse de grandes marges de manœuvre au Maître étant donné le goût prononcé de l'esclave pour la servitude et la souffrance.
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Par : le 15/08/20
Vous avez une envie de pimenter la soirée en dominant Monsieur mais voilà, vous ne savez pas par ou commencer et sans aller jusqu’aux extrêmes (BDSM) Voici quelques petits conseils. Introduction : Votre mari a-t-il des désirs cachés de soumission ? Une séance de domination est une période, plus ou moins longue, où votre mari devient votre serviteur corps et âme. Il doit oublier ses besoins et ses désirs pour se concentrer sur les vôtres. Il doit obéir sans discuter à vos ordres et si possible anticiper vos envies. Toute désobéissance doit être punie moralement ou physiquement. Votre soumis doit accepter sa punition comme une chose normale qui lui permet de progresser dans son rôle de soumis afin de mieux vous servir. Au début, les périodes ou votre mari acceptera d’être dominé seront sans doute limitées à l’acte sexuel. Le but étant de faire durée de plus en plus longtemps ces périodes. La chose la plus importante et de doser le dressage, selon l’humeur de votre mari. Si vous le sentez disponible à être dominé profitez-en pour avancer dans votre dressage, mais si vous le sentez, réfractaire, lâchez du leste… Vous ne transformerez jamais un homme en soumis sans son consentement. S’il montre des envies de se soumettre à vous Le plus facile est de commencer la période de soumission avant l’acte sexuel. Un mari excité est un mari obéissant ! Au fil du temps, vous arriverez à faire en sorte que votre mari ne jouisse pas pendant vos jeux sexuels. Vous pourrez ainsi très facilement faire durer les périodes de soumission en dehors de votre chambre à coucher. Votre mari sera soumis en permanence, pourvu que vous gériez bien sa libido et qu’il soit frustré sexuellement. Mais souvenez-vous que cela prendra sans doute beaucoup de temps pour en arriver là. Il y aura des progrès fulgurants et des périodes où il n’en fera qu’à sa tête, ne lâchez pas prise, relâchez simplement un peu votre domination pour la reprendre un peu plus tard. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine/       Voir également : Soumettre un homme Chasteté et contrôle d'orgasme Candaulisme BDSM en Couple
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Par : le 18/04/21
Contrat d’esclavage la Maîtresse et son esclave Le soussigné … agissant librement et à cœur ouvert, demande à … qu’Elle accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu’Elle me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne, afin que nous puissions croître en amour, confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatibles avec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. A cette fin, je Lui offre l’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec une humilité sincère que, en tant que ma Maîtresse, Elle accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuels, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera. De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la Femme que j’aime et que j’adore, je m’offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le … et se terminant le … . Me considérant comme l’esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée , je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres. Je demande qu’Elle me guide dans tout comportement sexuel, sensuel ou lié à une scène, avec ou sans Elle, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne. Je demande à … , en tant que ma Maîtresse, qu’Elle utilise le pouvoir dont Elle est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’Elle continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1. D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités. 2. De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à La servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis. 3. D’entretenir une communication honnête et ouverte. 4. De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle. 5. De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne. 6. De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’Elle est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits. 7. De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8. De travailler avec Elle pour devenir une personne heureuse et accomplie. 9. De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs. Règles générales 1. L’esclave accepte d’obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu’Elle en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. 2. L’esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. 3. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d’autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. 4. L’esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. 5. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit qu’il fait, le bâillonne ou prenne d’autres mesures pour le réduire au silence. 6. L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu’Elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte. 7. L’esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s’adressera à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». 8. La Maîtresse a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement. 9. L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. 10. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et Celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. 11. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. 12. La Maîtresse et l’esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus. 13. Il est permis à l’esclave de s’engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et Elle peut les exercer comme bon Lui semble. Règles de conduite en privé 1. Les jours où sa Maîtresse est à Son travail, l’esclave La saluera, portera Son collier, des entraves aux poignets et un chemisier appartenant à sa Maîtresse. Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. 2. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l’esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l’esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l’esclave servira sa Maîtresse et s’assoira à Ses pieds pendant qu’Elle mange. 3. La nourriture de l’esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. 4. Quand il s’adressera à sa Maîtresse, ou quand Celle-ci lui parlera, l’esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d’instructions contraires. Règles de conduite en public 1. En tout temps l’esclave se conduira d’une façon telle à ne pas attirer l’attention sur sa Maîtresse et sur lui-même. Il s’adressera à sa Maîtresse en l’appelant par Son nom seulement si l’usage de « Maîtresse » est non approprié. 2. L’esclave se conduira d’une manière déférente envers sa Maîtresse en public. 3. L’esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l’approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. 4. Sauf stipulation contraire, l’esclave ne portera pas de sous-vêtements. Règles de conduite au travail 1. Aucun article du présent contrat n’a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l’esclave. 2. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu’il se conduise d’une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. 3. Durant ses périodes de travail, il est permis à l’esclave d’organiser ses rendez-vous, de s’habiller d’une manière convenable pour son travail et de quitter la maison si nécessaire. 4. Pendant ses périodes de travail, l’esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse. Consentement Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m’avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations professionnelles et familiales, rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants, ni limiter mes devoirs de père. Ceci étant, moi, … demande instamment, avec lucidité et en en réalisant la pleine signification, tant explicite qu’implicite, que cette offre soit comprise dans l’esprit de confiance, d’attention, d’estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée. Si l’un de nous devait se rendre compte que ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu’Elle/il souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat, chacun peut le faire en le notifiant verbalement à l’autre en concordance avec la nature consensuelle de cet accord. Nous comprenons l’un et l’autre qu’une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de notre relation en tant qu’amis et amants. En cas d’annulation, chacun accepte d’expliquer à l’autre ses raisons et d’évaluer ensemble nos besoins et notre situation d’une manière ouverte et affectueuse. Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies. Acceptations Par ma signature ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres que ma Maîtresse choisira d’ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée. J’offre mon consentement à ma soumission à … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour du mois de … de l’année …. Signature du soumis J’accepte le désir de Mon soumis de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté. J’offre Mon acceptation à la soumission de … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour de mois de … de l’année … . Signature de la Maîtresse
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Par : le 17/09/12
  Voici une histoire de domination soumission où je serais soumis à une femme. A chaque fois j'en écrirai un petit morceau. J’imagine ma maîtresse toute de cuir vêtue, portant des bottes avec de hauts talons, des bas, une mini jupe, un corset et des gants. Elle a une cravache en main afin d’asseoir son autorité. Elle me demande de venir chez elle un vendredi en début de soirée, et une fois arrivé, d’ôter tous mes vêtements qu'elle s'empresse d'aller cacher. Elle m’impose ensuite ma tenue. Elle veut que je sois travesti en cuir. Elle choisit tout ce qu’il y a de plus difficile à porter, me justifiant à chaque fois pourquoi elle a fait ce choix. Elle commence par une catsuit en latex. Avec cet habit, elle veut que je transpire et me sente mal à l’aise. Elle me fait porter des bottines ballet boot. La raison première est évidente : avec ce genre de chaussure il m’est impossible de me tenir debout et marcher. Comme pour tous les accessoires qui vont suivre, elle va les verrouiller avec un système de lanière et de cadenas. Au niveau de la taille elle me passe un corset qu’elle serre au maximum, n’hésitant pas à me planter son talon dans le dos pour resserrer mes liens. Ainsi elle me force à garder le dos droit à cause de l’armature métallique du corset, et me donne du mal à respirer. Ensuite elle me pare d’un collier minerve pour me bloquer le cou en position. Ce collier est verrouillé par deux cadenas et possède quatre anneaux : à droite, à gauche, devant et derrière mon cou. Elle poursuit en m’attachant les bras dans le dos au moyen d’un armbinder. Là aussi elle ne me fait aucun cadeau et le serre comme il faut. Puis elle attache mes chevilles à une barre d’écartement. La raison, je la découvre après lorsqu’elle ouvre ma catsuit au niveau de l’entre jambe, prend mes testicules entre ses mains pour y passer un ball stretcher. Lorsqu’elle a fini, elle attache l’anneau situé en bout de l’armbinder au ball stretcher, me bloquant totalement les bras. Si je les bouge, je tire sur mes testicules. Elle termine de me préparer en me coiffant d’un cagoule de privation sensorielle. Cette cagoule ne possède qu’un petit œillet au niveau de la bouche. Elle est rembourrée au niveau des yeux, me forçant à garder les paupières fermées, ainsi qu’au niveau des joues pour que j’ouvre la bouche. Comme toute les cagoules elle se lace par derrière, mais en plus elle a trois lanières verrouillables afin de totalement me museler totalement. Ainsi soumis, son premier jeu consiste à me branler quelques secondes, puis à me mettre un petit coup de cravache sur mes testicules. Évidemment, je ne sais pas quand elle va me cravacher. Quelque fois elle me caresse avec la cravache au lieu de me frapper. Le but est de tenir un quart d’heure ainsi. Même si la situation est très contraignante, je suis très excité et jouis au bout de quelques minutes. Elle essuie ma queue et referme en partie ma catsuit. Elle prend une corde et l’attache d’un coté à la barre d’écartement, et de l’autre à l’anneau situé en haut de ma cagoule, me forçant à me cambrer et à rester ainsi. Elle tend la corde comme il faut. Elle me laisse ainsi et prend plaisir à me voir me tortiller et gémir à la fois de plaisir et de douleur. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais cela devient très vite insupportable. Je suis forcé d’endurer car elle me laisse longtemps ainsi. Pour moi cela a duré une heure, mais ayant perdu toute notion d’espace et de temps, ils se peut que je sois resté ainsi seulement un quart d'heure, ce qui semble plus réaliste. Elle m’enlève ensuite la corde, la barre d’écartement et détache l’armbinder des testicules. Elle me laisse me reposer ainsi un moment avant de passer à la suite. Elle me repasse la barre d'écartement et attache mes poignets à mes chevilles. Elle m'enlève ensuite la cagoule et me demande de lécher ses bottes. Ne la voyant pas devant moi, je la cherche et la trouve assise sur le canapé à l'autre bout de la pièce. Elle veut que je rampe ainsi jusqu'à elle. Je fais ce que je peux, mais n'avance pas beaucoup. Elle menace de me rattacher comme avant si je n'y mets pas plus du mien. Lorsque je suis à ses pieds, elle ouvre ma catsuit pour dégager mes testicules qu'elle caresse avec sa cravache. Elle m'ordonne de lécher ses bottes. Cela me rebute et j'y vais lentement. Du coup elle me cravache les fesses pour me donner le rythme. Si je n’obéis pas à ses coups, j'ai droit à la même chose sur les testicules. C'est cruel et dur mais il faut ça pour dresser un chien. Aucune tolérance. Elle arrête ses coups et me laisse continuer à la lécher. A la moindre hésitation ou ralentissement de ma part, la punition tombe à nouveau. Lorsqu'elle estime que c'est suffisant, elle me coiffe d'une cagoule et me laisse ainsi. Ma maîtresse étant cruelle et exigeante, elle me fait lécher une autre de ses paires de bottes avec une cagoule ayant une ouverture au niveau de la bouche.
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Par : le 10/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 2 - Les principes fondamentaux : a - L'engagement : Avant toute chose, une relation D/s est une relation entre deux personnes consentantes. En effet, pour dominer ou se soumettre, il faut en avoir envie et être prêt à s'engager dans cette relation. Idéalement, dans la durée mais on peut très bien se jeter à corps perdu dans une séance unique et sans lendemain. Quelle que soit la durée, il faut une ferme volonté des deux parties de faire le maximum pour assouvir ses envies et les désirs de l'autre. S'engager dans une relation D/s, c'est aussi accepter de subir l'autre. Il faut se rendre disponible et accepter d'être dérangé quand on s'y attend le moins. Non, posséder une esclave n'est pas reposant du tout ! Il faut s'en occuper ! Et obéir n'est certainement pas facile, non plus. Dans les deux cas, il faut donner de sa personne pour récolter ce que l'on sème. Et quand la relation dure suffisamment longtemps, l'engagement finit par se matérialiser. Il prend une forme physique et généralement celle d'un collier. Vous savez le collier, le symbole d'appartenance par excellence. b- la communication : Parlez-vous ! Encore et toujours plus. Il y a toujours quelque chose que l'on ignore de sa partenaire et c'est toujours un frein à une relation épanouie. Connaître les envies de sa partenaire, c'est bien. Connaître ses peurs, c'est mieux. Ses envies, elle fera tout pour les assouvir. Par contre elle fera tout pour cacher ses craintes, par peur de devoir les affronter. Il n'y a pas de petit secret. Surtout en ce qui concerne les problèmes médicaux. On peut en avoir honte mais il ne faut pas les cacher, ça peut avoir des conséquences dramatiques. La communication, c'est un tout, elle peut être verbale et non verbale. Les yeux résument les états d'âme en un regard. Et une crispation, un spasme, un relâchement, sont autant de signaux et d'informations qu'il faut prendre en compte. Bien souvent, le corps exprime plus de choses que les mots. Et bien entendu, la communication marche dans les deux sens. Lorsqu'on se livre à quelqu'un on lui donne envie de faire de même et c'est un cercle vertueux qui se met en place et bientôt on n'a plus aucun secret l'un pour l'autre. Je termine ce paragraphe par le droit au mensonge. C'est paradoxal mais c'est quelque chose à prendre en considération : on peut avoir besoin de mentir pour vivre pleinement sa relation. Car parfois, se mentir à soi-même procure une sensation de liberté et mentir à son partenaire, une sensation de culpabilité qui peut être délicieuse. Et n'oublions pas que je parle de relation D/s à distance. Et je pense au cas précis des gens mariés qui ont une relation D/s illégitime. Le D/s est une parenthèse dans leur vie, une échappatoire, ils vont tout donner en séance mais cacher le reste de leur vie. c- La confiance : On ne peut pas tenir une relation dans le temps s'il n'y a pas une confiance absolue. Accepter de montrer son côté D ou s, c'est accepter de dévoiler ce que l'on a de plus secret : sa véritable personnalité. Sans fard et sans masque, on retire l'armure qui nous protège de la société. On se met à nu. Ainsi, on se rend vulnérable. Et pour cela, il faut avoir une confiance aveugle en son partenaire. La confiance peut se donner de prime abord mais avec certaines restrictions. C'est à force de discuter et de communiquer que la confiance va grandir et que la relation va devenir fusionnelle. Se soumettre, c'est comme s'arracher le cœur de la poitrine pour le déposer dans la main de son Maître. Il faut avoir la confiance absolue qu'il ne referme pas son poing. Une soumise peut ainsi donner tous ses mots de passe à son Maître et lui donner le contrôle absolu sur sa vie sociale. Pour le Maître, la confiance c'est aussi accepter le fait que l'on ne puisse pas tout contrôler. N'étant pas 24/7 avec sa soumise, il faut lui faire confiance quand elle dit avoir porté son plug pendant les 4 dernières heures. Ou que malgré les traces de chantilly sur ses joues, elle n'a pas englouti le bon gâteau qu'on lui a interdit de manger et qui s'est mystérieusement évaporé du frigo ! Pour finir, dans une relation à distance, on utilise souvent des outils de communication vidéos. Et trop souvent, on s'exhibe à son partenaire dans des mises en scène tout à fait normales durant une séance... mais que l'on détesterait voir diffusées à tout son carnet d'adresse. Et pourtant, je contemple les magnifiques seins de ma soumise tous les soirs et elle n'a aucun problème à me les montrer. Pourquoi ? Parce que nous avons une confiance absolue l'un envers l'autre. d - Les rituels : Une soumise, ça a besoin de se sentir soumise ! Ca parait évident mais je crois que c'est le truc le plus important dans une relation à distance. Comme le D n'est pas tout le temps présent, il faut sanctuariser certains rituels, les graver dans le marbre ! Ne cherchez pas midi à quatorze heures, inutile de chercher des trucs trop compliqués. N'importe quelle action à répéter quotidiennement fera l'affaire. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une obligation régulière pour la soumise et un échange avec son Maître. Je préconise un contact par jour au minimum mais en fonction de la relation, ça peut être moins (si vous êtes mariés... et pas l'un avec l'autre). Utilisez des obligations qui existent déjà : la pilule, prendre un médicament, se brosser les dents ou même aller aux toilettes... Ce n'est pas le quoi qui est important, c'est le comment ! Exemples en vrac : envoyer une photo de la plaquette de pilule/médicament, imposer un nombre d'aller-retour quand on se brosse les dents, limiter le nombre de feuilles pour s'essuyer... Lorsqu'un Maître impose une contrainte quotidienne à sa soumise, elle ressent sa domination et par conséquent se sent soumise. Et une soumise qui se sent soumise est une soumise heureuse ! Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 2 - Les principes fondamentaux : a - L'engagement : Avant toute chose, une relation D/s est une relation entre deux personnes consentantes. En effet, pour dominer ou se soumettre, il faut en avoir envie et être prêt à s'engager dans cette relation. Idéalement, dans la durée mais on peut très bien se jeter à corps perdu dans une séance unique et sans lendemain. Quelle que soit la durée, il faut une ferme volonté des deux parties de faire le maximum pour assouvir ses envies et les désirs de l'autre. S'engager dans une relation D/s, c'est aussi accepter de subir l'autre. Il faut se rendre disponible et accepter d'être dérangé quand on s'y attend le moins. Non, posséder une esclave n'est pas reposant du tout ! Il faut s'en occuper ! Et obéir n'est certainement pas facile, non plus. Dans les deux cas, il faut donner de sa personne pour récolter ce que l'on sème. Et quand la relation dure suffisamment longtemps, l'engagement finit par se matérialiser. Il prend une forme physique et généralement celle d'un collier. Vous savez le collier, le symbole d'appartenance par excellence. b- la communication : Parlez-vous ! Encore et toujours plus. Il y a toujours quelque chose que l'on ignore de sa partenaire et c'est toujours un frein à une relation épanouie. Connaître les envies de sa partenaire, c'est bien. Connaître ses peurs, c'est mieux. Ses envies, elle fera tout pour les assouvir. Par contre elle fera tout pour cacher ses craintes, par peur de devoir les affronter. Il n'y a pas de petit secret. Surtout en ce qui concerne les problèmes médicaux. On peut en avoir honte mais il ne faut pas les cacher, ça peut avoir des conséquences dramatiques. La communication, c'est un tout, elle peut être verbale et non verbale. Les yeux résument les états d'âme en un regard. Et une crispation, un spasme, un relâchement, sont autant de signaux et d'informations qu'il faut prendre en compte. Bien souvent, le corps exprime plus de choses que les mots. Et bien entendu, la communication marche dans les deux sens. Lorsqu'on se livre à quelqu'un on lui donne envie de faire de même et c'est un cercle vertueux qui se met en place et bientôt on n'a plus aucun secret l'un pour l'autre. Je termine ce paragraphe par le droit au mensonge. C'est paradoxal mais c'est quelque chose à prendre en considération : on peut avoir besoin de mentir pour vivre pleinement sa relation. Car parfois, se mentir à soi-même procure une sensation de liberté et mentir à son partenaire, une sensation de culpabilité qui peut être délicieuse. Et n'oublions pas que je parle de relation D/s à distance. Et je pense au cas précis des gens mariés qui ont une relation D/s illégitime. Le D/s est une parenthèse dans leur vie, une échappatoire, ils vont tout donner en séance mais cacher le reste de leur vie. c- La confiance : On ne peut pas tenir une relation dans le temps s'il n'y a pas une confiance absolue. Accepter de montrer son côté D ou s, c'est accepter de dévoiler ce que l'on a de plus secret : sa véritable personnalité. Sans fard et sans masque, on retire l'armure qui nous protège de la société. On se met à nu. Ainsi, on se rend vulnérable. Et pour cela, il faut avoir une confiance aveugle en son partenaire. La confiance peut se donner de prime abord mais avec certaines restrictions. C'est à force de discuter et de communiquer que la confiance va grandir et que la relation va devenir fusionnelle. Se soumettre, c'est comme s'arracher le cœur de la poitrine pour le déposer dans la main de son Maître. Il faut avoir la confiance absolue qu'il ne referme pas son poing. Une soumise peut ainsi donner tous ses mots de passe à son Maître et lui donner le contrôle absolu sur sa vie sociale. Pour le Maître, la confiance c'est aussi accepter le fait que l'on ne puisse pas tout contrôler. N'étant pas 24/7 avec sa soumise, il faut lui faire confiance quand elle dit avoir porté son plug pendant les 4 dernières heures. Ou que malgré les traces de chantilly sur ses joues, elle n'a pas englouti le bon gâteau qu'on lui a interdit de manger et qui s'est mystérieusement évaporé du frigo ! Pour finir, dans une relation à distance, on utilise souvent des outils de communication vidéos. Et trop souvent, on s'exhibe à son partenaire dans des mises en scène tout à fait normales durant une séance... mais que l'on détesterait voir diffusées à tout son carnet d'adresse. Et pourtant, je contemple les magnifiques seins de ma soumise tous les soirs et elle n'a aucun problème à me les montrer. Pourquoi ? Parce que nous avons une confiance absolue l'un envers l'autre. d - Les rituels : Une soumise, ça a besoin de se sentir soumise ! Ca parait évident mais je crois que c'est le truc le plus important dans une relation à distance. Comme le D n'est pas tout le temps présent, il faut sanctuariser certains rituels, les graver dans le marbre ! Ne cherchez pas midi à quatorze heures, inutile de chercher des trucs trop compliqués. N'importe quelle action à répéter quotidiennement fera l'affaire. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une obligation régulière pour la soumise et un échange avec son Maître. Je préconise un contact par jour au minimum mais en fonction de la relation, ça peut être moins (si vous êtes mariés... et pas l'un avec l'autre). Utilisez des obligations qui existent déjà : la pilule, prendre un médicament, se brosser les dents ou même aller aux toilettes... Ce n'est pas le quoi qui est important, c'est le comment ! Exemples en vrac : envoyer une photo de la plaquette de pilule/médicament, imposer un nombre d'aller-retour quand on se brosse les dents, limiter le nombre de feuilles pour s'essuyer... Lorsqu'un Maître impose une contrainte quotidienne à sa soumise, elle ressent sa domination et par conséquent se sent soumise. Et une soumise qui se sent soumise est une soumise heureuse !
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Par : le 18/01/16
Salut à toutes et tous, envie de partager avec vous aujourd'hui mes anciens écrits. Le sujet: la Gynarchie, la fameuse suprématie féminine, et ses dangers. Sortez vos stylos vous avez deux heures! :) De ci de là sur le net, je vois énormément de personnes fantasmeuses ou pas assez informées employer ce terme sans comprendre ce qu'il y a réellement derrière, galvaudant et sous estimant totalement les idées de haine, mépris, déni, règlements de compte avec les hommes qui vont trop souvent avec. Pire, aujourd'hui la gynarchie est à mon sens trop souvent érigée sur le web comme l'unique modèle de couple Maitresse/soumis. Ça devient un effet de mode, avec ses recettes miracle, alors que dans les faits elle n'est que minoritaire, les pratiquants d'une domination SSC (sane safe and consensual) étant bien plus nombreux pourtant dans les faits. J'ai synthétisé ici pas mal de mes lectures sur le sujet, mais ça ne va pas m'empêcher de tailler un costard trois pièces façon puzzle à ce que je considère parfois comme une dérive dangereuse, extrémiste, et je pèse mes mots. Pas de plagiat, ni de gloire à en tirer, juste une vraie envie de remettre les points sur les i, les barres sur les t, en mode coup de gueule. D'habitude j'ai coutume de ne plus répondre à pareille immondice, tel ce cher Audiard "je parle pas aux cons ça les instruit". Mais là c'est plus fort que moi, j'en ai ras le bol de voir cette lavasse érigée régulièrement en modèle sur la toile. Alors en avant Guingamp, je suis pas là pour jouer à la dînette. Avant d'en venir aux réflexions, questions et démonstrations..... faisons la démarche de définir ce concept, comme pour un devoir de philo. Si on tape sur wikipédia, on obtient ceci: "Du grec ancien gunê « femme » et arkhia « pouvoir ». Exercice du pouvoir par les femmes. Systême politique où les trois pouvoirs (législatif, judiciaire et exécutif) sont détenus par les femmes. Systême social et familial donnant la primauté à la femme." Quel rapport avec le BDSM me direz vous? Dans les années 90, une écrivain du nom d'Aline d'Arbrant écrit plusieurs bouquins porno ou érotiques où les hommes sont des esclaves dans une société dominée par les femmes. Dans ces ouvrages on nage en plein déni de la sexualité masculine, c'est un monde lesbien. L'homme est considéré comme un animal, il est appelé le "mâle", qui doit être conversé juste en tant qu'esclave géniteur, domestique ou agent de service(sinon on supprime les bébés mâles). Ce dernier ne doit trouver son épanouissement que dans la servitude et la soumission à la femme. Sous cage de chasteté en permanence(avec tous les dangers pour sa santé qui vont avec...cf ma récente synthèse sur ça), il doit accepter d'être cocufié par sa maitresse, et n'a pas voix au chapitre. Les hommes féminisés y sont valorisés. Les récalcitrants travaillent en usine ou dans des fermes avec un encadrement féminin très dur. Les condamnés sont euthanasiés. Rien que ça....si on en était restés au stade du roman, à la limite why not? Bon on se croit quand même un peu dans Mein Kampf mais admettons....D'autres femmes auteurs s'en sont par la suite inspiré, comme Marika Moreski. Aline d'Arbrant avait elle besoin de se venger des hommes? A t elle simplement exploité le filon dans un but lucratif? Ou bien étaient ce simplement ses fantasmes les plus extrêmes couchés sur papier? Peut être un peu des trois.... J'ai envie de dire...quoique...car la création d'un tel bouquin ne pourrait elle pas être le fruit d'un esprit malade, totalement retord, visant par sa lecture à faire détester les femmes, les dominatrices? Quand on sait qu'Elise Sutton(je vais revenir sur ce personnage) qui a gommé certains aspects de la gynarchie dans ses préceptes pour faire plus soft avec sa simple suprématie, édite ses bouquins aux mêmes éditions(éditions Lulu)que nôtre fameuse Aline d'Albrant, on peut se poser quelques questions sur le réel but du truc. En poussant un peu, on se rend bien compte finalement que la gynarchie est un vraie pompe à fric... Toujours est il qu'une certaine frange du mouvement lesbien féministe américain a érigé ça en modèle de société parfaite. Le terme "gynarchy" est né. Une secte s'est créée sur cette base, et depuis ici ou là on voit naitre des "sororiétés", ou communautés gynarchiques, qui appliquent la doctrine plus ou moins à la lettre, le principe de départ restant le même. En France, c'est Anne Lezdomme qui a été la tête de pont de ce mouvement, ainsi que Josiane Sapho. Evidemment, des hommes maso, soumis ignorants, fragiles, fantasmeurs ou encore naïfs les rejoignent, prenant souvent leurs écrits pour du pain béni. Souvent considérés avant tout comme des porte feuille sur pattes, ils obtiennent rarement quelque chose en retour à part des coups, quand c'est pas des arnaques. Tout au plus ne sont ils bons qu'à travailler au confort de leur pseudo maitresse.... Si dans le monde moderne occidental, le phénomène reste encore marginal, il est aujourd'hui de plus en plus répandu au Japon, où la femme japonaise longtemps soumise de force prend sa revanche par ce biais. Il y existe des écoles de formation gynarchistes, où on apprend aux jeunes femmes cette ligne de conduite extrême. Au Japon sachez le, les femmes seraient plus nombreuses que les hommes à chercher ce type de relation, allant jusqu'au mariage gynarchique, que certaines n'hésitent pas à faire respecter dans ses termes par la suite par l'intervention des Yakuza. Ici vous entendrez souvent parler d'Elise Sutton, chantre de la suprématie féminine, qui reconnaît la sexualité masculine, mais préconise de la réprimer pour la satisfaction de la femme. Selon elle, la suppression des orgasmes chez l'homme le rend plus attentif à son service auprès de la femme, ça devient un objet de chantage..etc..etc.... Le monde d'Elise Sutton est plus proche de celui du BDSM que de la gynarchie. Maintenant il faut savoir que cette personne a été retirée de wikipédia, puisque personne ne l'a jamais vue, alors qu'elle prétend par ailleurs être psy. Selon le milieu BDSM américain, un homme se cacherait derrière ce personnage.... Il fut un temps, j'ai pratiqué un forum francophone de domination féminine, que je ne citerai pas car hors de question de faire de la pub , prônant en fait officieusement la gynarchie, issu du blog d'Elise Sutton. Tout discussion constructive y fut impossible, dès que vous entriez en contradiction avec leurs préceptes en leur mettant le nez dans leur merde. Vous auviez tort seulement parce que vous êtes un "mâle". L'équipe admin du forum modèrant par ailleurs sur cette base, bonjour l'objectivité et l'éthique. Si vous argumentiez de façon logique sans vous laisser marcher sur les pieds, c'est pire, vous vous faisiez lyncher par les mili maitresses soutenues par leurs sous fifres mâles, dégoulinant de miel condescendant bien entendu. Nombre de femmes que j'y ai croisées sont hautaines, arrogantes, méprisantes et elles ont surtout un gros problème de vengeance à régler avec les mecs. Dans ce cas là, on est pas Maitresse, et on va vite voir un psy...j'dis ça, j'dis rien hein. Certains me diront que chacun est libre de faire penser et dire ce qu'il veut. Voltaire a même dit: “Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Perso ça me pose un vrai problème car le paradoxe est total, je m'explique: Si je suis prêt à débattre avec ces gens là, même en tant que Don Quichotte contre les moulins à vent, je sais pertinemment qu'eux n'ont pas eu, et n'auront jamais à mon égard la tolérance que je peux avoir envers eux. Ça me fait penser à l’extrême droite qui se présente aux élections démocratiques, mais qui une fois qu'elle sera élue, balayera peu à peu de démocratie qu'il reste. Bref, démontons point par point cet extrémisme qu'est la gynarchie, en prenant quelques extraits d'une interview donnée par Anne Lezdomme aux Inrocks: -"Naturellement, la femme sera alors totalement les­bienne/ la transcendance des rapports sexuels lesbiens qui ne sont pas seulement une préférence sexuelle, quoique vous en disiez, vous, les mâles, mais un mode de vie féminine supérieur." Ça commence bien. On nage en plein surréalisme. Si l'homosexualité est parfaitement normale dans le règne animal(450 espèces), la plupart des individus restent hétérosexuels (et beaucoup sont également bisexuels mais l'ignorent). Si jamais vous demandez à ces gourdes ce qu'elles pensent et ce qu'on doit faire pour les femmes soumises et heureuses de l'être dans le cadre BDSM, bien sur elles ne vous répondront pas. Allons plus loin...si on interroge des lesbiennes dominatrices qui sont dans le BDSM, quelles réponses obtient on? Elle vous répondront qu'elle ignorent plus ou moins les hommes. Ni haine hi amour. Parfois de l'amitié. On est en droit de se demander sérieusement si ce n'est pas un homme en fait, qui a des fantasmes d'hétéro et qui n'a aucune idée de comment pensent les homosexuels et les dominants quels qu'ils soient, qui a pondu toutes ces conneries. Faites lire ces conneries à des lesbiennes....elles seront mortes de rire, effet garantit. -"Elles leur permettent en effet de se libérer d'un truc fondamentalement emmerdant si on veut bien y songer la aussi : la sexualité." Quid des Dominas qui aiment faire la pénétration ou la sexualité avec leurs soumis? -"La suite a confirmé les choses : vous, les mâles, avez une intelligence qui ne vous permet que de repérer les coups francs et les hors-jeu, parfois la cylindrée des automobiles. Le reste le votre comportement ne dépend que de ce que vous avez entre les jambes." No comment? S'il est vrai que les mecs sont plus gouvernés par leur sexe....car c'est anatomique(7m pour atteindre le paroxysme de l'orgasme, contre 15 - 20 minutes pour une femme)....faudrait peut être pas exagérer. Einstein, De Vinci, Darwin, Pasteur, pour ne citer qu'eux... c'est de la merdasse? -"car il est prouvé scientifiquement que le chromosome Y est en régression et sa disparition inéluctable" Via quelle étude? MDR! -"En gy­narchie, l'homme consentant n'a qu'une seule raison d'être : Obéir. Ramper. Travailler pour ses maîtresses. Renoncer à toute sexualité. Pour être finalement euthanasié comme une bête par sa maîtresse le jour venu. il n'a pas d'âme, il n'est qu'un animal." Comment peut on vociférer de tels dégueulis? Désolé mais là, je pense à Hitler(et je conchie le point godwin). Vive la barbarie, la haine, le crime contre l'humanité.... - "La communauté, la sororité des cigales": Il y a eu ici ou là certains projets de formation de ces communautés ici ou là (j'avais vu ça sur le net dans le sud est de la France, et en Espagne). On persuadait les soumis de participer financièrement, avec de belles promesses évidemment. Je vous laisse imaginer la suite: une grosse arnaque. On retrouve aussi ce phénomène dans le money slavering, pratique extrême que je ne cautionnerai jamais, qui n'est là bien souvent que pour satisfaire des opportunistes vénales qui plument de pauvres pigeons. Faut il en rajouter pour convaincre? Oui...j'ai envie de rajouter...et l'Amour dans tout ça? En frustrant l'autre de sexe, de tendresse...et en le traitant avec mépris, donc parfois pire même qu'un animal, je me demande bien comment on peut prétendre remettre avec ça un couple sur de bons rails, puisque c'est le cheval de bataille d'Elise Sutton. Quelle fumisterie! Et dangereuse avec ça, car de nombreuses personnes qui débutent dans le BDSM se voient conseiller ces sites et forums qui arrivent en tête sur Google, avec ces idées, qu'ils prennent souvent au pied de la lettre, ce qui risque fort de mener leur couple à la ruine, car ce n'est pas une recette miracle. Si jamais ils sont fragiles, naïfs, dans une mauvaise passe de couple, en pleine découverte du BDSM, c'est encore plus facile. "Plus c'est gros mieux ça passe" - Chirac. A l'arrivée bonjour les dégâts.... Comment en est on arriver là? Avec la vulgarisation du BDSM qui va de pair avec l'avènement d'internet j'imagine. Parce que l'ère du temps capitaliste donne la part belle aux idées de plus en plus individualistes, consommatrices, financières, extrémistes, intégristes au détriment des piliers humanistes tel que le respect, la complicité, la consensualité, l'amour, le dialogue.... J'ai envie de dire pour conclure: Attention où vous mettez les pieds avec la gynarchie et la suprématie féminine! Messieurs les soumis, sachez réprimer vos bas instincts. Les hommes sont faits ainsi qu'ils ont des pulsions sexuelles très fortes. Ce n'est pas pour autant que vous serez mieux en cage de chasteté. Ce n'est pas pour autant que vous êtes si nombreux et les dominas si peu nombreuses, que vous devez tout accepter pour pallier à vos frustrations.Respectez vous que diable! Lorsque vous vous soumettez avec amour aux pieds de celle qui vous avez choisit, c'est un beau cadeau que vous lui faites, peut être le plus beau. Un cadeau qui se mérite, fait pour quelqu'un qui doit s'en montrer digne. Alors réfléchissez avec un peu de bons sens. Si au fond de moi, il réside un léger fantasme d'esclavage à ma Maitresse, celui là doit le rester....et c'est une travestie adoratrice de la féminité qui vous le clame! Mesdames les Maitresses, ne cédez pas à ces pseudo préceptes miracle. A chacun de construire sa D/s. Vôtre homme qui se soumet vous aime et vous admire. Le mettre en cage c'est de la facilité, et c'est dangereux. Non la femme n'est pas supérieure à l'homme. Tous deux sont simplement différents et complémentaires, ainsi que nous a fait la nature, et nous nous enrichissons mutuellement de nos différences. Si vous avez la haine d'un homme pour x raisons, il est injuste de la transposer à tous les hommes. Tous les hommes ne sont pas responsables du passé et présent si phallocrate, ou de ce que font certains hommes dans certains pays aux femmes. Revendiquer un monde où la moitié doit être mise en esclavage est une pure folie. Appliquer une telle doctrine n'est rien d'autre que de la barbarie. Sur ce, bonne méditation à toutes et tous. J'ai essayé de faire court, mais voilà en gros ce qui se cache derrière la gynarchie et la suprématie féminine. Des intégristes qui tendant à être aussi cons, voire plus cons encore de ce que l'homme a fait de pire dans l'Histoire. "Ceux qui ne tiennent pas compte des événements qui ont eu lieu au cours de l'Histoire sont condamnés à répéter les mêmes erreurs" - Goethe Le débat est ouvert dans les commentaires, mais je préviens à l'avance les quelques rageux de service passant par là que je me réserve le droit de modérer tout commentaire injurieux et non argumenté. Eenwe
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Par : le 05/06/22
Je devais attendre mon Maître à quatre pattes, dos à la porte, les jambes bien écartées et les fesses cambrées, bien en évidence. A côté de moi, toutes mes culottes étaient étendues sur le sol, les propres et les sales, dont une sur mon dos, la plus sale. Les accessoires étaient devant moi, prêts à être utilisés par mon Maître. Il n’était pas encore là que je me sentais déjà sous son entière domination, excitée, apeurée, réduite à l’état de chienne soumise prête à prendre très très cher. Ma chatte était déjà toute trempée, je pouvais le sentir sans la toucher. J’étais attentive au moindre son que j’entendais, toujours persuadée que c’était lui qui arrivait. Quand j’ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressée, tendue et impatiente qu’il ouvre enfin la porte. Je savais qu’il aurait une vue imprenable sur mon anus qui était tout offert à lui. Je l’ai senti s’approcher de moi, et j’ai senti la tension se faire de plus en plus forte. Il m’a tout de suite bandé les yeux, m’empêchant de voir ce qu’il se passait. La moindre de ses paroles me mettait dans un état indéfinissable. Je savais qu’il allait regarder de près mes culottes sales, et vérifier si j’avais bien mis en évidence la plus sale. Mon intimité entière était sous ses yeux, je n’étais plus qu’un objet, j’étais sa propriété, et il allait disposer de moi comme bon lui semblait. Très rapidement, je me suis retrouvée avec ma culotte sale dans la bouche. Je pouvais sentir mon odeur, l’odeur de ma chatte qui avait imprégné ma culotte et qui me remplissait maintenant la bouche. C’était très humiliant, et je me suis surprise à aimer ça. Quand il m’a enfermé dans les toilettes et attachée très fermement pour ensuite m’abandonner, avec ordre de ne pas bouger ni faire de bruit, l’humiliation était encore bien présente, et l’excitation encore plus. Je ne savais pas combien de temps j’allais rester plantée là, dans l’incapacité de bouger et de parler, et plus le temps passait, plus j’oubliais où j’étais. Je n’existais plus que pour satisfaire mon Maître je n’avais qu’une hâte : qu’il vienne me chercher. Je savais qu’il n’y avait aucune issue, aucune possibilité de me détacher. J’étais à lui, et j’allais devoir le satisfaire. Et j’en avais tellement envie ! Quand j’ai dû l’attendre face à la porte, les jambes écartées et la langue tirée, ayant à peine eu le temps de me préparer, j’étais extrêmement nerveuse. Encore sous le coup de l’adrénaline, mes jambes tremblaient et j’avais beaucoup de mal à les maintenir écartées, comme il me l’avait demandé. Je devais garder les fesses bien ouvertes pour que l’objet que je m’étais insérée dans l’anus reste bien à sa place. J’avais encore passé un cap dans l’humiliation, tant la position me semblait dégradante. J’avais envie de rentrer ma langue dans ma bouche, mais je m’efforçais de la garder tirer, comme une chienne qui réclame son maître. Quand il est enfin arrivé, j’ai dû lécher ma culotte sale. Encore une humiliation, je pouvais sentir l’odeur de ma mouille dans ma bouche, et cette odeur est restée très longtemps en moi. J’étais sa chienne, et il avait bien l’intention de me le rappeler. Interdite de me lever et obligée de le suivre à quatre pattes, tirée en laisse ou par les cheveux, tendant les joues pour recevoir ses gifles, cambrant les fesses pour prendre ses fessées, ses coups de cravache ou ses coups de bâtons, chaque minute, chaque seconde, me rappelait mon statut de soumise, et son entière domination sur moi. Mon excitation était à son paroxysme, et je le sentais également très excité. Dans sa voix, dans sa manière de me toucher, de me prendre, quand je sentais sa bite au fond de ma gorge et qu’il me donnait l’ordre de la garder toujours plus au fond de ma gorge et toujours plus longtemps. Quand il m’a baisée, brutalement et sans ménagement, récompense ultime de la soumise, j’étais dans un autre monde, incapable de savoir qui j’étais, juste bonne à recevoir son sexe au fond du mien et à le sentir bien profondément en moi, à me faire baiser comme une bonne chienne que j’étais. C’était tellement bon…
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Par : le 31/01/19
Ce récit est extrait du Blog de Mlle EMILIE. " J'écris pour témoigner sur ma condition d'homme soumis, afin d'expliquer ici mon réel bonheur à servir et aimer une femme en choisissant délibérément la soumission. Beaucoup d'hommes en effet ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre mon attitude et ma dévotion envers la Femme que j'ai choisi d'aimer. Et je dis bien choisi, car ce n'est ni par contrainte ni par faiblesse que j'ai décidé d'obéir à celle qui est devenue ma Maîtresse, mais simplement par amour et par passion. Et en m'abandonnant à elle, c'est le bonheur que j'ai découvert. La soumission n'est pas une prison, ou alors avec la porte grand ouverte car aujourd'hui, rien ne m'empêche de partir. Mais quand on a découvert le bonheur, le plaisir et la sérénité, on n'a plus envie de le quitter. C'est aussi simple que ça. L'abandon de soi n'est pas un sacrifice,mais un acte d'amour. Quel autre plaisir aussi fort peut-il y avoir que de rendre une femme heureuse ? Car ce que j'ai découvert dans l'évolution de notre relation domination soumission, c'est qu'en donnant beaucoup à ma Maîtresse, je recevais dix fois plus d'amour qu'avant. Ma Maîtresse ne m'aime que davantage devant mon amour pour elle. Et depuis que je la sers et lui obéit, elle est beaucoup plus attentionnée à mon égard, plus câline, plus amoureuse. Notre relation s'est trouvée enrichie. Alors aujourd'hui, pour rien au monde je ne voudrais quitter ma douce vie d'homme soumis, pour retrouver la vie de couple monotone de monsieur et madame tout le monde qui finit souvent par une séparation après tant de déboire et de chamailleries. Que de temps perdu inutilement, et quel dommage de passer à côté du bonheur qui souvent nous tend les bras. Bien sûr, j'imagine que certains hommes en me lisant doivent être sceptiques, et se demandent comment on peut trouver le bonheur en étant un esclave. C'est justement que je ne suis pas un esclave, comme beaucoup de gens ont tendance à penser quand on parle de domination. En effet, beaucoup de gens parlent sans savoir, et dès que l'on prononce le mot soumission, beaucoup y perçoivent immédiatement le côté dégradant et vulgaire. Alors qu'il n'en est absolument rien. La relation de Maîtresse soumis n'est pas une relation de force ni un abus de pouvoir, c'est en fait un échange, ou chacun occupe sa place qu'il a librement choisie. C'est une relation d'amour qui ne peut évoluer que dans le respect mutuel, et quand on a compris ça, on peut enfin entrevoir le bonheur qui se propose à nous. Aujourd'hui, je suis un homme parfaitement épanoui, et cela grâce à la Maîtresse merveilleuse qui saura me guider. Chaque jour je vais travailler, je peux voir mes amis et ma famille aussi souvent que je le veux, je peux faire du sport et sortir pour me détendre comme c'est le cas pour beaucoup d'entre vous. La seule chose qui change avec tous les autres couples, C'est que la femme domine. Et je dois dire aussi qu'aujourd'hui, j'y trouve beaucoup d'avantage. Beaucoup plus que dans une vie dite " normale ", où l'homme doit sans cesse prouver et décider. Mais bien sûr on ne devient pas soumis en quelques jours. C'est un long cheminement, une progression lente avec beaucoup d'amour et de complicité. Il faut d'abord aimer la Femme avant de vénérer sa Maîtresse et que celle-ci aime d'abord son homme avant de dominer son soumis. Sans respect mutuel, sans amour et sans complicité, cette relation n'a aucune chance d'aboutir. Il n'était nullement question de domination. On s'est aimés comme n'importe quelle couple, partageant amour, plaisir, et complicité. Cela a commencé lentement. D'abord par notre vie sexuelle. Ma femme n'avait rien de la femme qui s'allonge sur le dos et qui attend que l'homme lui donne du plaisir, alors tout naturellement, dès les premiers instants elle prit les initiatives. Si cela m'a un peu perturbé la première fois, je dois dire que je me suis habitué très vite. Car c'était très plaisant pour moi. Je n'avais rien du macho de base qui se sent obligé de jouer les hommes virils en montrant sa puissance. Toutes les autres femmes que j'avais connues avant ma femme étaient plutôt du genre à attendre, à me laisser toutes les initiatives. Et je dois avouer que si cela ne me déplaisait pas, je n'éprouvais pas pour autant une grande satisfaction à diriger. Et pour tout dire, je trouvais à l'époque que faire l'amour n'avait rien de bien transcendant. Cela me plaisait, mais sans plus. Alors quelle différence avec une Maîtresse femme ! Le fait de faire l'amour avec une Femme active qui assumait pleinement ses désirs fut une révélation pour moi. En la laissant prendre les initiatives, elle me fit découvrir tout le bonheur à faire l'amour. Elle jouait avec mon excitation, faisant monter mon plaisir, avant de le freiner pour mieux le laisser rejaillir. Et quelle force dans la jouissance quand vous ne la contrôlez plus. Quel plaisir de se laisser bercer, caresser, cajoler. Je découvris grâce à elle ce que voulait dire faire l'amour. Les Femme sont une vraie connaissance et une vraie sensibilité à l'érotisme, à la sensualité, à l'amour. Et je découvris en même temps le plaisir qu'il y avait, non pas à obéir, mais à se laisser guider. Car comme je lui laissais les initiatives pour mon plus grand plaisir, elle m'indiquait ce qu'elle aimait elle. Je me laissais faire, et comme elle me donnait tellement de plaisir, c'est avec bonheur que je répondais à ses demandes. Je crois qu'inconsciemment, c'est là que j'ai pris conscience du plaisir à donner, à offrir, à me laisser guider. Plus de questions à se poser, plus de réponses à trouver, plus de pression. Je n'avais plus besoin de réfléchir sur comment rendre ma Femme heureuse. Elle m'indiquait où était son bonheur, et moi je me soumettais volontiers, et lui offrais ses désirs pour la rendre heureuse.Quel plaisir et quel confort de s'abandonner à ses désirs. Je n'avais jamais éprouvé un tel sentiment d'importance, de bonheur et de liberté. Pour le reste, tout a été lent et progressif. Mais néanmoins, le plaisir de me laisser guider, d'être soumis à ma reine se fit encore plus présent et plus évident. Je me sentais bien, et j'avais envie de la rendre encore plus heureuse, d'être un homme protecteur et attentionné. Je voulais veiller sur elle, sur son bonheur. Alors naturellement, comme elle rentrait tard du travail, je me mis à préparer le repas, à mettre la table et la servir. Ses yeux étaient brillants chaque soir, et je savais que cela la rendait heureuse de trouver le dîner prêt à son retour à la maison. Et il était naturel pour moi qu'elle se détende après une dure journée de travail. Un dimanche, alors que je débarrassais la table, je surpris ma femme en train de commencer la vaisselle. Sur le moment, je fus surpris. Et cette image me déplut. Je me suis alors approché de ma femme, je l'ai enserré amoureusement,et gentiment, je lui ai retiré ses mains du bac à vaisselle. Tendrement je lui ai alors glissé à l'oreille qu'elle n'avait pas à faire ça, que j'étais là et qu'elle devait plutôt se détendre et profiter de son dimanche. Son sourire était radieux et j'étais heureux de pouvoir lui offrir tant de bonheur. A partir de ce jour, je me mis naturellement à m'occuper de la maison. Ma femme ne me dominait pas encore comme elle le ferait aujourd'hui, mais il devenait évident pour moi que je m'occupe des tâches ménagères. J'admirais ma femme, qui n'était pas encore ma Maîtresse mais que je commençais à voir comme telle. Et naturellement, cela devenait inconcevable pour moi que ma femme, travaillant dur la semaine, fragile, tendre et amoureuse, fasse ces choses-là pendant son temps libre. Je voulais la décharger de tous ces petits soucis du quotidien. Je voulais qu'elle se détende, qu'elle soit heureuse. Les jeux de domination soumission se sont développés comme une suite logique. Cela a commencé en douceur. J'avais toujours eu un petit faible pour les pieds des Femmes. J'étais en quelque sorte sans vraiment le savoir un fétichiste des pieds. Et un jour naturellement, alors que ma femme rentrait du travail, épuisée après de long moment de marche, je me proposais du lui retirer ses chaussures et lui faire un petit massage des pieds pour la détendre. Et comme elle appréciait beaucoup, je recommençais ainsi chaque jour pour son plaisir. Et une fois, sans vraiment m'en rendre compte, je lui fis un petit bisou sur le pied. Elle a souri immédiatement, me disant que c'était très agréable d'avoir son homme à ses pieds, et de se les faire embrasser. Ce qui était un simple petit jeu, est devenu par la suite un rituel auquel je prenais moi aussi beaucoup de plaisir. Alors chaque soir, c'était devenu un moment incontournable. Quand ma femme rentrait du travail, elle s'asseyait dans le canapé, et je venais tout naturellement la déchausser, et les petits bisous du départ sont devenus de gros bisous, et une véritable vénération pour ses pieds. Je prenais chaque soir un grand plaisir, et je dois avouer qu'avec l'habitude, c'était devenu un rituel dont aucun de nous deux ne voulait se passer. Comme je l'ai dit plus haut, tout se fait dans le respect mutuel et dans la complicité. Car sinon rien ne pourrait se passer. Et si tout est concentré en quelques lignes, je rappelle qu'il faut du temps, et que cette relation ne se développe qu'avec la patience et au fil des mois. Mais bien sûr, ici je suis obligé de regrouper les événements. Bien plus tard, alors que ce petit rituel durait depuis plusieurs mois,ma femme est un jour rentrée avec de jolies et longues bottes en cuir noir. Je l'ai d'abord félicitée sur leur beauté. Je la trouvais plus belle encore. Plus femme. Mais lorsqu'elle s'est trouvée assise et que je m'apprêtais à lui retirer, elle m'arrêta avec un sourire. Elle s'est juste contentée de me dire "embrasse les avant, fais-moi plaisir ". Je ne fus pas vraiment surpris de cette demande, et comme dans un rêve, sans vraiment chercher à comprendre, je me suis penché et avec amour j'ai embrassé ses bottes. Elle m'a demandé ensuite de me mettre nu pour le faire. Ce qui m'a gêné à ce moment-là, ce n'était pas vraiment d'être nu, mais plutôt de lui montrer ma belle érection. Car cela m'excitait énormément. Je ne pouvais donc plus lui cacher davantage mon trouble à être à ses pieds et lui embrasser ses bottes. Je dois avouer qu'à cet instant, ma crainte était plutôt de la décevoir. Mais devant son énorme sourire, je fus immédiatement rassuré. A partir de ce moment-là, chaque jour je me mettais nu pour la recevoir, et c'est avec un immense plaisir que je lui embrassais ses chaussures avant de lui retirer. Ma femme n'ordonnait pas, ne me forçait pas. Elle me guidait juste dans le plaisir de ces jeux. Elle m'éduquait avec subtilité et tendresse, pour me faire progresser à ma vitesse, vers un jeu où nous prenions beaucoup de plaisir. Et c'est avec une grande joie que j'accueillais à chaque fois ses nouvelles idées. C'est le collier qui est arrivé ensuite. Ma femme savait me présenter les choses, en utilisant les allusions bien placées. Et un jour, alors que je lui embrassais ses escarpins, je l'entendis me dire que je serais certainement plus beau avec un collier, et que cela devrait m'aller très bien. Pendant quelques jours, je me demandais ce qu'un collier pourrait apporter de plus. Comme d'habitude, ma femme ne m'imposait rien. Elle se contentait de me suggérer les choses, et elle me laissait le temps d'y réfléchir, d'y penser librement. Et lentement dans ma tête, a germé la notion de symbole fort. Un symbole d'appartenance dans la complicité, dans l'amour. Une sorte d'alliance qui montre à la personne aimée à quel point on l'aime. Je me suis rendu compte du merveilleux cadeau que je pouvais lui faire. Et c'est donc moi, un samedi après-midi, qui ai formulé la demande pour aller acheter un collier. Nous l'avons donc choisi ensemble. Et le soir même, j'éprouvais une grande fierté à le porter pour elle. Ma femme était ravie. Ce fut, je dois le dire un grand moment qui restera gravé dans nos mémoires. Et sans m'en rendre compte, je me suis aperçu que je ne le quittais plus. C'est ma femme qui me le fit remarquer. Un peu surpris, et ayant peur de la décevoir, je lui demandais alors si cela lui déplaisait. Elle me répondit avec un grand sourire qu'au contraire, cela lui plaisait beaucoup, et qu'elle était heureuse que je lui montre mon bonheur en portant ce collier. Quelques semaines plus tard, c'est la laisse qui vint pimenter nos jeux. Je découvris alors le plaisir de la promenade avec ma femme. Depuis quelques temps déjà, elle s'amusait à me faire marcher à quatre pattes, me disant qu'elle me trouvait très beau et que c'était très excitant à voir. Alors dès qu'il y avait quelque chose à aller chercher, j'y allais à quatre pattes pour faire plaisir à ma femme. La laisse est donc venue naturellement. Si le collier est un symbole d'amour et d'appartenance que j'aimais porter, la laisse représente un autre symbole. Celui qui nous relie ensemble physiquement. Quand ma femme me tenait en laisse, c'est son amour qu'elle tenait fort près d'elle pour que personne ne lui prenne. Et je me sentais fort, important, aimé et respecté. Les choses ont évolué petit à petit, comme une progression normale, sans jamais que je ne sois forcé ni contraint. Mais ce qui était acquis devait le rester. Et c'est comme ça que la notion de punition est arrivée. Elle aussi, naturellement. Quand ma femme me trouvait un peu mou ou peu enthousiasme, elle avait trouvé la solution de m'envoyer au coin pour me motiver. Et en revenant,je me sentais encore plus soumis, ce qui l'a rendait heureuse. Je dois même avouer, que non seulement ces punitions me faisaient beaucoup de bien, mais aussi que parfois je les provoquais pour vérifier son amour. Puis, nos jeux ont évolué et vont donc beaucoup plus loin. Ma femme a su m'éduquer pour faire de moi un parfait soumis à son plaisir. J'ai progressé, pour mon bien et pour notre bonheur, et à chaque fois, ses nouvelles idées me transportent de plaisir car je sens vraiment ma femme heureuse et épanouie. Alors comme je le disais plus haut, qu'y a-t-il de mieux dans la vie que de rendre sa Femme heureuse ? Dans la relation femme et soumis, le jeu est important, et je dois dire que ma femme aimait particulièrement jouer avec moi. Bien sûr, certains hommes en me lisant peuvent être surpris à la lecture de certains actes ou certaines positions que je suis amené à faire pour notre plaisir. Mais il faut replacer les actes dans leurs contextes, car en les lisant comme ça, à froid, on peut les trouver ridicules. Mais quand on est soumis, et que notre femme nous domine avec amour, tout cela se fait naturellement. Par exemple, ma femme aimait particulièrement me promener à quatre pattes. Et un jour, pour pimenter le jeu, elle a posé devant moi un bol d'eau fraîche. Dans le contexte, j'ai trouvé cela tellement naturel que j'ai bu l'eau en lapant sans me poser de questions. Ma femme était fière de moi, et la récompense fut grande et intense pour moi. Et logiquement, après quelques semaines où je prenais l'habitude de boire dans mon bol, ma femme me fit manger à ses pieds, dans une gamelle. Je dois avouer que la première fois, je fus assez hésitant et elle dut m'encourager pour prendre mon repas complet à ses pieds. Mais aujourd'hui, c'est un véritable plaisir. Et comme je ne le sais jamais à l'avance, à chaque fois que je vois ma gamelle sortie dans la cuisine, je suis toujours très impatient et très excité à l'idée de manger à ses pieds après une bonne promenade. La sodomie est aussi arrivée comme une logique. Ma femme m'avait déjà suggéré son envie de me faire l'amour ainsi. Alors, pour lui faire plaisir, je lui ai offert moi-même à un Noël un gode ceinture. Elle fut très heureuse de son cadeau. Depuis, elle prend un plaisir immense à me faire l'amour. Elle m'a sodomisé toujours avec douceur, écoutant avec passion mes gémissements que je lui offrais par la pénétration. Au début, comme tous les hommes qui pratiquent la sodomie, j'avais quelques craintes. Mais bien vite, grâce à la tendresse, la patience et le savoir-faire de ma femme, mes peurs ont vite disparues pour laisser place à un plaisir commun. Notre vie sexuelle se trouva vraiment enrichie et très excitante à vivre. J'ai pris du plaisir comme jamais auparavant une femme ne m'en a donné. Ma femme ma fait toujours découvrir de nouveaux jeux, dans l'amour et le respect mutuel, ce qui est la base de notre relation. A travers ce témoignage, je voulais simplement, non pas faire l'apologie de la soumission, mais essayer d'éclairer certains et certaines d'entre vous sur le bonheur qu'il peut y avoir à se laisser dominer. Je voulais juste essayer d'expliquer que c'est avant tout une relation d'amour. Je me suis décidé à écrire mon histoire, parce que beaucoup trop de gens confondent les jeux de soumission dans le couple, avec le SM, ou la domination par intérêt, par perversion ou par dépendance. Dans une relation telle que la nôtre, il n'y a que de l'amour, de la complicité et un grand respect. Aujourd'hui, je suis un homme malheureux. Je ne suis ni un esclave, ni une machine qui obéit et qui n'a pas le droit à la parole. Trop de gens ont tendant à faire l'amalgame entre être soumis, et être une espèce de bête de foire qu'on enchaîne à la cave. Je voulais juste remettre les choses à leur place et montrer que la soumission peut être un merveilleux rêve éveillé. A l'heure où je termine d'écrire ce témoignage ma femme est décédée. Depuis 20 ans. "
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