La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 10 heure(s)
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
63 vues 2 aime
Par : le Il y a 11 heure(s)
Parlons du rôle le plus important d’un dominant. Ce n’est pas le contrôle. Ce n’est pas le pouvoir. Ce n’est pas d’être obéi. C’est la sécurité. Car sans sécurité, il n’y a pas d’abandon. Pas de véritable échange de pouvoir. Seulement de la performance. Et de la peur. On peut répéter tous les rituels. Utiliser les bons mots. Tenir la bonne posture. Mais si le système nerveux ne se sent pas en sécurité, le corps ne s’ouvre pas. Il se crispe. Il sursaute. Il fait semblant. La vraie question n’est donc pas : « Comment dominer ? » C’est plutôt : « Quelqu’un peut-il lâcher prise en ma présence et se sentir en sécurité ? » « Peut-il me montrer toutes les facettes de lui sans avoir besoin de se protéger de moi ? » « Suis-je capable de recevoir ce qu’il m’offre sans ramener ça à moi ? » Allons plus loin. Nommons ce que la sécurité implique réellement et ce qu’elle exige de nous. 💬 1. Cela commence par la présence, pas la performance Un dominant qui se concentre sur l’idée de “jouer le rôle”, avoir le bon ton, la bonne apparence, imiter ce qu’il a vu dans les livres ou en ligne, passe complètement à côté. Car le système nerveux ne réagit pas à une performance. Il réagit à la présence. Calme. Constante. Connectée. Pas une intensité vide. Pas une pression déguisée en “entraînement.” Mais une énergie stable et ancrée qui dit : « Tu n’as rien à prouver ici. Ta place est déjà là. » 🚩 2. La sécurité ne dépend pas que des mots, elle se manifeste dans les actes Tout le monde peut dire « Tu es en sécurité avec moi ». Ce n’est pas suffisant. La sécurité se construit par des actes cohérents qui soutiennent les paroles. On la crée quand : On dit ce qu’on pense et on pense ce qu’on dit. On ne promet pas plus que ce qu’on peut vraiment tenir. On reste stable, surtout quand les émotions sont fortes. On respecte ses limites et celles de l’autre avec la même rigueur. Ce n’est pas une question de douceur. C’est une question de fiabilité. Quand vos actes prouvent que l’on peut vous faire confiance, le corps apprend à se relâcher, pas seulement une fois, mais encore et encore. 🧭 3. Il ne s’agit pas d’être obéi, mais d’être digne de confiance Il y a une différence entre l’obéissance dictée par la peur et l’abandon enraciné dans la confiance. La peur engendre la soumission. La confiance offre la vérité. Si quelqu’un agit toujours pour éviter de vous décevoir, il n’est pas dans la dévotion, il est dans la survie. Un vrai dominant ne réclame pas le contrôle. Il crée les conditions pour qu’on le lui offre, librement, consciemment, sans contrainte. C’est ce qui le rend sacré. 💞 4. Si vous avez rompu cette sécurité, vous pouvez toujours la réparer Nous avons tous fait des erreurs. Allé trop vite. Mis trop de pression. Utilisé un ton ou une énergie qui a fait se refermer plutôt que s’épanouir. Mais la sécurité peut être reconstruite. Pas avec des justifications. Pas avec des détournements. Avec ceci : « Je vois où je ne t’ai pas tenu comme j’aurais dû. J’en prends l’entière responsabilité. Tu n’as pas imaginé ce que tu as ressenti. » Ce genre de responsabilité répare plus que la confiance, il restaure la dignité. Pour vous deux. 💡 5. La sécurité n’est pas une faiblesse. C’est la base de tout ce qui est puissant Ce n’est pas une question de dorloter. C’est une question de profondeur, qui n’existe qu’en sécurité. Vous n’avez pas besoin d’élever la voix pour être entendue. Vous n’avez pas besoin d’écraser pour mener. Les dominants les plus puissants sont les plus sûrs. Car c’est seulement dans la sécurité que le système nerveux peut dire : « Ici, je peux cesser de jouer un rôle. Ici, je peux m’ouvrir. Ici, je peux être entièrement moi. » 🎯 Conclusion La chose la plus puissante qu’un dominant puisse offrir, ce n’est pas son contrôle. C’est sa capacité de contenance. Sa capacité à tenir l’autre avec clarté, profondeur et stabilité inébranlable. Sans cela, il n’y a pas de confiance. Et sans confiance, il n’y a pas d’abandon. Seulement la survie. Alors si vous guidez, guidez ainsi : Avec intégrité. Avec présence. Avec constance. Parce qu’au fond ? Le vrai signe d’un dominant, ce n’est pas combien de pouvoir il peut prendre mais combien de sécurité il peut offrir. Et après tout… La véritable soumission, celle qui est offerte librement et non jouée, n’est-ce pas là ce qu’il y a de plus sensuel ? Ce genre de don qui n’est ni exigé, ni manipulé, mais gagné à travers la présence, la constance et la bienveillance. C’est cela, l’art. C’est cela, la différence.
37 vues 4 aime
Par : le Hier, 17:03:04
G. Les préparatifs.  Jean démarre la voiture et aussitôt Sabine lance un appel téléphonique « Tu as pu avoir ce que je t’avais demandé ? Ok ! Tu mets tout sur l’étagère libre et tu les classes par catégorie et par taille. Vérifie que tout est en ordre dans la pièce et aussi que tout soit prêt dans la salle d’eau… Oui on est en route, on sera là dans environ ½ heure. À tout de suite ! » Jean se dit que c’était certainement Martin qui était au bout du fil. Puis dans la foulée elle appelle un autre numéro. « Oui rebonjour. J’ai réfléchi à ta demande en ce qui concerne le projet que je t’ai présenté. [………] Oui ç’est ça. Et… comment dire ? Ça te dirait d’assister au parcours depuis le début ? Ton avis me sera surement utile. […..] D’accord ? Super je t’appelle plus tard. […….] Non, mais je rentre chez moi. Je te rappellerai une fois arrivée. […..] Ok à plus ! ». Jean n’a rien compris à la conversation. De toute cela ne me regarde pas. Pensa-t-il. Une fois arrivés Sabine dit « Allez au salon, Martin doit déjà y être. Vous connaissez le chemin ! ». Pendant qu’il se dirige vers le salon elle accroche son manteau et son sac à main dans la penderie du hall d’entrée, récupère le paquet de chez Nanette, son téléphone et prend l’escalier de droite. Au premier étage il y a sa chambre qu’elle partage avec Martin, deux chambres d’amis et au fond du palier une porte qui donne sur un escalier. Elle le gravit et arrive sur un petit palier, ouvre une autre porte située à droite et entre dans un couloir dont les murs sont tapissés de velours couleur fuchsia. À gauche se trouve une penderie encastrée et juste après il y a une porte avec, au-dessus, un boitier ressemblant à ceux des issues de secours mais en plus petit. Elle prend son téléphone portable, active une application, le boitier s’éclaire en vert, elle appuie sur la poignée, la porte s’ouvre, elle la referme, pose son index sur l’écran du portable, le boitier passe au rouge, elle appuie à nouveau sur la poignée qui, cette fois, reste bloquée et il est impossible d’ouvrir la porte. Sabine loua les avantages de la domotique. Elle continue d’avancer dans le couloir, sur le mur de gauche une croix de Saint-André noire d’environ un mètre de haut, ceinturée de petites lampes à Led, éclaire la première partie du couloir. Quelques pas plus loin, sur la droite, un passage voûté permet d’entrer dans une pièce meublée d’un sofa, une table pouvant accueillir quatre à six personnes et une kitchenette, en face une fenêtre offre une belle vue sur le parc. Elle ouvre le réfrigérateur et vérifie son contenu puis retourne dans le couloir. Au fond se trouve la porte qui donne sur le donjon et entre cette porte et le passage voûté des chaînes alternées avec des guirlandes descendent le long du mur. Sabine se dirige à nouveau vers la porte où elle avait testé le système de fermeture et entre dans une petite pièce destinée à la préparation et à l’attente des soumises et des soumis, avec les murs et les portes recouverts d’un isolant phonique aux couleurs chaudes, éclairée par des lumières tamisées, comprenant un placard, deux banquettes rembourrées de cuir, en face une autre porte et au fond une troisième. Au-dessus de chacune de ces portes il y a le même type de boitier, elle teste la fermeture et l’ouverture ainsi que les lumières puis pousse la porte qui donne sur un coin toilette avec une douche multi jets et du matériel de lavage intime, vérifie qu’il ne manque rien et que tout est d’une propreté irréprochable. Malgré qu’il y ait une porte qui donne directement sur la pièce principale, elle revient dans la salle d’attente, dépose le slip en cuir acheté chez Nanette et un masque sur la banquette puis va directement dans la pièce principale. Là, c’est son domaine, un donjon aménagé avec l’aide des membres du groupe dont elle fait partie et avec qui elle continue d’apprendre. C’est une salle rectangulaire, spacieuse, aux murs revêtus de bandes de velours rouges et noires en alternance et suffisamment équipée pour un début. Croix de Saint-André, Fauteuil et table de bondage, cage, carcan et balançoire, plus tout le matériel de flagellation, de contraintes et gadgets en tous genres. Elle a commencé son véritable rôle de dominatrice ici, d’abord avec son groupe lors de l’inauguration puis seule avec Martin mais c’est la première fois qu’elle va exercer ses talents sur un non initié qui, d’ailleurs ne sait pas vraiment ce qui l’attend et c’est pour cela qu’elle a besoin de Vanessa. Ah ! Vanessa, il faut que je l’appelle, j’ai failli oublier pensa-t-elle. Elle fait le numéro et met le haut-parleur. « Allo Vanessa, je suis dans le donjon, je vérifie que tout est en ordre ! » Vanessa – « Ok. Donc tu as besoin de moi ! » Sabine – « Tu sais, c’est une première pour moi et même si je sens qu’il est mûr je ne voudrais pas faire d’erreur et qu’il n’ait plus envie de revenir, de rester sous mon emprise ! » Vanessa -  « Il faut qu’il ait les yeux bandés. D’abord pour qu’il ne sache pas que je suis présente mais surtout que tu l’amène à avoir confiance en toi-même s’il ne peut pas voir ce que tu vas lui faire avant qu’il le sente sur son corps. Au début il va être tendu et, normalement il devrait se relâcher ! » Sabine – « Ok je vois ! » Vanessa – « Tu vas commencer soft et on verra comment il réagit. On va mettre un code en place. Pouce levé, tout va bien. Sourcils froncés, tu arrêtes. Je bouge la main avec la paume vers le haut, tu peux monter en intensité. Si je bouge la main avec la paume vers le bas, tu baisses en intensité. Mais ne passe pas tout ton temps à me regarder car il pourrait se douter de quelque chose. Est-ce que Martin sera présent ? » Sabine – « Oui et Jean le sait et je crois même qu’il pense que je vais leur faire faire quelque chose ensemble ! » Vanessa – « Et Martin il en pense quoi ? » Sabine – « Sur ce point il faut aussi commencer doucement. Je te laisse voir ça avec Martin !  Par contre dès que j’aurai un signe à te faire je donnerai un coup de coude à Martin pour qu’il émette un son qui attirera ton attention vers moi. Passe-lui la consigne et entendez-vous sur le son !» Sabine – « Super, je crois que l’on a tout prévu. On va manger vers 21h00 dans la petite cuisine du donjon. Donc tu peux venir entre 19h00 et 19h30 ? » Vanessa – « Oui bien sûr, j’ai déjà prévenu Patrick que j’irai chez toi ce soir ! » Sabine – « On boira l’apéro , on parlera de notre visite au salon de l’érotisme, vers 21 h00 tu feras semblant de prendre congé et tu iras te garer dans le garage. Je t’enverrai un sms quand tu pourras monter. Martin t’attendra pendant que Jean sera dans le vestiaire et que je ma préparerais ! » Vanessa – « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi ma chérie ! » Sabine – « Tu es un amour, bisous, à tout à l’heure ! » Ensuite Sabine sort la cage de sexe de son emballage, se familiarise avec son système de fermeture, car il est un peu différent de celui de la cage qu’elle impose parfois à Martin, et la pose sur l’étagère où trônent les plugs et les godemichets. Elle se dirige vers le fond de la salle. Le mur est tapissé d’un capitonnage rouge, un canapé en cuir noir accompagné de deux fauteuils y est adossé avec au-dessus un grand miroir et vers l’angle gauche une porte également capitonnée mais en noir. Elle ouvre la porte et entre dans une petite pièce tout en longueur. Sur le mur de gauche des portants exposent de nombreuses tenues pour dominatrice mais aussi quelques-unes pour soumis et soumises. Contre le mur du fond il y a un meuble bas à tiroirs et différents modèles de bougeoirs posés dessus et à côté un petit réfrigérateur sur lequel sont rangés des plateaux en argent et des flûtes à champagne. Côté mur droit il y a l’autre face du miroir qui permet de voir ce qu’il se passe dans la salle, deux tables hautes rondes et quatre sièges de bar. De chaque côté du miroir sans tain il y a des haut-parleurs qui permettent d’entendre ce qu’il se passe dans le donjon et un petit écran plat. Sabine essaye plusieurs tenues de dominatrice et en accroche une sur une patère. Elle prend la direction des escaliers pour rejoindre Martin et Jean car Vanessa ne va pas tarder à arriver. Les deux hommes sont en train de discuter, verre à la main, lorsque Sabine entre dans la pièce. Ils sont assis chacun dans un fauteuil et elle s’installe sur le canapé qui fait face. Martin lui propose un apéritif, elle opte pour un cocktail sans alcool car elle veut garder la tête froide pour la soirée et surtout la nuit qui promet d’être longue. La sonnette retentit. « Ce doit être Vanessa. On s’est rencontrées au salon de l’érotisme cet après-midi et je l’ai invitée à boire l’apéro. Tu t’en occupes s’il te plait. » dit-elle à Martin. Il prend son téléphone portable, se connecte en visio au portail d’entrée de la propriété et voyant Vanessa il dit « Bonjour Vanessa, on est au salon, tu connais le chemin ! » et sans attendre de réponse il appuie son index sur l’écran, vérifie que le portail s’ouvre et repose son téléphone. Martin n’apprécie pas trop Vanessa car il sait qu’elle et Sabine ont une relation sexuelle mais qu’il n’a jamais pu y assister et encore moins participer, ce qui le rendait jaloux. Jean a un mal fou à détourner son regard de ces parcelles blanches qui contrastent avec le noir des cuissardes et de la jupe que porte Sabine, comme deux îles paradisiaques perdues au milieu de l’océan, prêtes à offrir l’asile au malheureux naufragé. Jean semblait parfois gêné et Martin s’en amusait. Vanessa arrive, s’assoie à côté de Sabine et ces dames commencent à détailler et comparer ce qu’elles ont vu au salon, les hommes écoutant avec intérêt leurs impressions sur telle ou telle tenue, tel ou tel objet, avec des mots et de gestes sans équivoque. Soudain, Vanessa se tourne vers Jean, le regarde avec des yeux pleins de malice et demande « Et toi petit chou ! Tu as vu des choses intéressantes ? ». Jean, très embarrassé, ne sait pas quoi répondre et bredouille « Euh oui ! ». Sournoisement et sèchement Sabine insiste sous le regard amusé de Vanessa « Soyez plus précis ! Ou faut-il vous y forcer ? On peut parler de notre passage chez Nanette !». Elle commençait à tester son emprise psychologique sur lui. Jean est devenu tout rouge et Martin faisait semblant de ne rien voir ni entendre étant plus intéressé par les glaçons qu’il faisait tinter dans son verre dont il venait de boire la dernière gorgée de whisky. Vanessa, pour souffler le chaud sur le froid, elle et Sabine qui étaient amies depuis le collège avaient l’habitude de jouer la bad girl – good girl à tour de rôle, dit « Arrête, tu vas nous le bloquer le pauvre petit chou ! » tout en pensant à ce qui allait arriver à celui qu’elle appelait « Petit chou » et déjà toute excitée en sachant qu’elle allait y assister. Tout à coup Sabine a une idée et demande « Sabine tu restes manger avec nous ? On mange à l’étage dans la petite cuisine ! » et s’adressant à Martin « les hommes vous montez en premier, on vous rejoint ! ». Une fois les hommes sortis Vanessa dit à Sabine « Ce n’est pas ce qui était prévu ! », ce à quoi Sabine répond « Eh bien, tu n’aimes plus l’imprévu ? À la fin du repas tu feras semblant de partir et je viendrai te chercher sur le palier Le moment venu ! » Bien évidemment Vanessa aime l’imprévu et ne se fait pas prier pour emboiter le pas à son amie. Pendant ce temps les deux hommes étaient arrivés à l’étage. Jean fut intrigué par l’aménagement du couloir, lui laissant entrevoir qu’il entrait dans un endroit spécial qui dépassait probablement tout ce qu’il avait pu imaginer et une certaine émotion non dénouée d’excitation commençait à l’envahir tout en se demandant à quoi peuvent bien servir ces lumières au-dessus des portes. « Tu peux me passer ton blouson s’il te plait ? » Jean sursaute « Hein ? Euh, oui ! ». Ensuite il suit Martin dans la kitchenette et ils mettent couverts, victuailles et boissons sur la table. Ces dames arrivent et au cours du repas Vanessa ne cesse pas de poser des questions à Jean. Vie personnelle, professionnelle, elle voulait tout savoir, puis prend congé et Sabine la raccompagne jusqu’au palier. Sabine dit à Vanessa en chuchotant «On fait comme on a dit. Tu mets ta voiture dans le garage, tu remontes et tu m’attends sur le palier ! ». Sabine revient et s’adressant à Jean « Bien ! Parlons du rôle maintenant ! ».
45 vues 5 aime
Par : le Hier, 07:28:53
Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences. Je me suis changée en Trav dépravée  dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil. Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer. À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout. Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi. J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale. Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit. Je continuait de jouer avec Didier qui est  gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement. Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche.  Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir. Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième  gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy. Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit. Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces. La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle. Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné. Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant. Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal ! Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement. Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité. Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre. Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche. Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement. Il me pelota les seins et je lui fit vite  comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte. En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale. Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon). L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité. Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.  Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser. Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne. Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif  et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie. Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe. Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument. Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée. Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes. Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP. Merci ma sœurette. Ce fut reparti pour la saillie de la chienne. Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte. Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça. Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
74 vues 2 aime
Par : le Hier, 03:18:34
Aprés avoir choisi sa place, celle qui lui convenait le mieux, celle ou elle voulait être, Vanessa était elle vraiment consciente que le train qui était en marche, ou plutôt l'avion qui était en vol dans un voyage ou elle ne voulait plus redescendre, ou elle ne pouvait plus redescendre à cette altitude-là, n'était pas sans risques. Même avec un bon pilote, l'atterrissage peut être parfois brutal  lui disait sa dernière petite voix raisonnable encore présente, cette dernière petite voix qui vous parle , que vous écoutez  , mais auquel vous savez déjà que vous ne serez pas d'accord . Sur le chemin du retour, Ludovic et Manon étaient plus seuls au monde, ils étaient seuls, mais dans leur monde . ils  riaient de certaines anecdotes de la soirée, ce genre de rire naturelle et généreux, contraire a celui dont on se force par politesse ou par séduction. Leurs fous rires complices pouvaient durer de longues secondes pour Vanessa qui n'existait plus pendant  ces moments-là,se faisant très discrète à l'arrière de la voiture, admirant le spectacle romantique parsemé d'humour de ceux qu'elle avait jetés dans les bras l'un de l'autre. Au bout d'une dizaine de kilomètres parcouru, un silence s'installa , un silence gênant pour Vanessa qui préférait encore les voir rire à gorge déployée que d'affronter celui ci . En effet face à lui, face à cette atmosphère silencieuse Vanessa, n'osa plus bouger, et encore moins parler, arriverait elle à s'exprimer d'ailleurs . Aprés ce silence pesant pour Vanessa, mais loin de l'être pour Ludovic et Manon qui eux sont parfaitement à l'aise, cette dernière d'un geste toujours aussi gracieux, posa sa main qui ne l'était pas moins sur la nuque de Ludovic  pendant qu'il conduisait, le caressait comme pour lui dire qu 'elle voulait qu'il soit à elle ce soir, passant sa main dans ses cheveux comme le ferais un couple de longue date qui filerait encore le parfait amour . Ce dernier caressait la cuisse de Manon entre deux changements de vitesse, remontant parfois Jusqu'à son indicateur rose et mouiller pour évaluer son degré d'excitation qui augmentait au même rythme que les kilomètres qui défilaient . Une fois joué de sa sensualité et voyant la fin du trajet arriver, Manon malgré son désir et son excitation pour ce beau brun , voulait quand même avoir la confirmation de Vanessa et de celui ci également, après tout elle ne les connait que depuis peu .  Manon se retourne vers vanessa la regarde et se concentre à la mettre le plus mal à l'aise possible, elle veut pas seulement le corps de Ludovic elle veut aussi le cérébral de vanessa. Car elle aussi ce soir a pris beaucoup de plaisir à dominer et a humilié celle-ci , elle aussi ressent couler un cours d'eau entre son entrejambe, certes loin de l'océan de Vanessa , mais un joli fleuve tout de même. " Que veux-tu Vanessa "  Posa Manon comme question a celle-ci aprés l'avoir fait transpirez de partout avec son regard d'actrice d'Hollywood , qui avait cependant changé de rôle . Face à cette question , ou plutôt cette ambiance, cette atmosphère de plus en plus chaude pour tout le monde,l'attitude de Vanessa ne frôle plus le pathétique, elle l'est à cet instant, à la voir, on pourrait la croire à la barre d'un tribunal et qui a peur de donner la mauvaise réponse à la méchante juge Manon. " Que veux-tu Vanessa  " insiste Manon, qui n'a rien de méchant et rien d'un juge non plus,tu veux que je couche avec ton mari c 'est bien ça lui dit elle sans même lui laisser le temps de répondre , en mettant une main sur le torse de Ludovic à travers sa chemise qui venait de garer la voiture devant la maison de celle-ci. " Oui, je le veux " dit Vanessa ,  " oui qui "rétorqua aussitôt Manon d'une voix une peu plus autoritaire.  " oui Manon pardon " reprit vanessa  " Oui, quoi "  insista manon .  " oui je veux que tu que vous  pardon avec mon....  ' Vanessa bégaye , bug, elle est touchée, sa rivale est plus forte , plus subtile , sa rivale a eu ce qu'elle voulait , la rendre pitoyable devant son mari ,  ce qui l'excite fortement .  " Oui je veux que vous couchiez avec mon mari s'il vous plaît Manon " arrivera à dire Vanessa après avoir repris ses esprits et sa respiration. Devant cette situation , Manon et Ludovic se regardent un instant dans les yeux, toujours aussi complice, et rétiaire un nouveau fou rire, 2 rires communicatifs qui se mélangent, 2 rires qui feront comprendre définitivement a Vanessa devant cette nouvelle humiliation, et le siège arrière encore intacte, heureusement protéger par la robe de celle-ci, que c'est bien ça qu'elle était venu chercher. Elle ne s'est pas trompé de destination, c'est bien de ce voyage-là que lui ont tant parler ses voix et ses pulsions obsessionnelles . Vanessa ne veut pas seulement voir son mari couché avec Manon , elle veut aussi lui être soumise, elle aime être humilié et rabaisser par celle-ci, elle le sait, elle le sent, a cet instant même elle le veut. Suite à cette confirmation et cette demande ridiculement courtoise de Vanessa, Manon cesse son fou rire, regarde Ludovic de ses yeux plissé et ravageur tel un jour de casting, rapproche son visage au plus près du sien, et de sa voix la plus allumeusement douce, dit a Ludovic , " et vous mon chère monsieur voulez vous  bien être à moi ce soir " , a quoi Ludovic répondra d'un baiser tendre, d'un baiser tendrement langoureux  pendant une trentaine de secondes, peut être 1 minute, ou alors peut être 2 , Vanessa ne sait plus, Vanessa ne veut plus savoir,  elle c 'est conditionner a seulement y assister. Mais ou est cette Vanessa  si élégante et charismatique au quotidien, cette Vanessa si dominante et arrogante dans le cadre professionnel , visiblement, est n'est pas là , existera elle a aprés , existe elle toujours d'ailleurs .Arrivé chez Manon , l'adrénaline et l'excitation augmentaient pour chacun, mais l'ambiance restait la même, Ludovic et Manon était toujours aussi complices et festifs  pendant que Vanessa continuait de rester discrète , honteuse et mouillé. Manon leur faisait visiter le salon de sa maison, une jolie maison donnant sur un jardin au décor assez propre à elle . Un jardin auquel on pouvait apercevoir de magnifiques fleurs pures, arborées de différentes couleurs, entourées de roses épineuses tout aussi particulières. Après avoir fait le tour de la décoration aussi élégante que sa propriétaire, Vanessa et Ludovic s'installent sur le canapé pendant que Manon mets une musique d'ambiance après avoir allumé la cafetière et s'absente quelques minutes. Ludovic se retrouvant seul avec Vanessa, regarde celle ci avec les mêmes yeux qu'un homme loyal a forte épaule peut avoir pour la rassurer,  et lui mets la main délicatement , mais légèrement ferme  entre son entre-jambe . A cet instant Ludovic comprend , regarde sa femme en essayant de lui parler sans mot quand Manon revient dans une tenue beaucoup plus aisé, mais pas moins raffiné. Manon est l'ennemie de l'inélégance, le contraire de la vulgarité, même dans un rôle de chienne, elle serait chic . En voyant ce petit bonbon revenir , le pouls cardiaque de Vanessa augmente autant que la testostérone de ludovic. Aprés avoir augmenté la tension de chacun, Manon parcourt la pièce , viens s'asseoir sur les genoux de Ludovic, et dit a Vanessa d'aller dans la cuisine cherchez le café pour leur servir d'une façon enfantine que Manon c 'est si bien faire  avec elle . Quand Vanessa reviens pour apporter les cafés , sans se bruler , et sans faire de tache sur le tapis  beige de Manon devant ce qu'elle voit  , elle comprend que plus personne ne joue, ou plutôt que le jeu est parti. La douceur de Manon avais fait place à sa bestialité  , la fleur pure se transformait en rose épineuse . Ludovic et elle  n'avaient plus aucune retenue, surtout elle , la chemise de celui ci  n 'était plus qu'un joli souvenir, préférant lui-même enlever son jean pour ne pas rentrer sans ceinture. Manon était sur Ludovic  , sans culotte mouillé ce coup-ci , qui lui même était sans jean et sans caleçon . Manon frottait son bouton de plaisir et les lèvres de son trésor , en se déhanchant légèrement , sur le sexe tendu de Ludovic et en faisant ressortir ses courbes parfaites . Les mains de Ludovic parcouraient le bas du dos de Manon jusqu'a son fessier , qu 'il dirigeait au rythme des mouvements de cette dernière . Vanessa regardait, ou plutôt fixait comme un film qu 'elle avait attendu toute sa vie, mais un film bien réel, un film tourné en directe  ,un film ou elle en était elle même la réalisatrice, mais sans maîtriser  le scénario . Manon et Ludovic mélangeaient leurs corps, leurs odeurs, leur salive, leurs excitations. Vanessa ne voyait plus sa posture si ridicule ou voulait peut être plus la voir, elle ne pensait qu'à ne pas se toucher pour éviter l'orgasme incontrôlé . Manon arrêta un instant son léger déhanché sur la fusée qui était sur le point de la faire décoller, les joues rougis, mais  pas à cause de la honte contrairement a ceux de vanessa , inclina légèrement la téte en arrière , les yeux pas encore révulser , et dit a celle-ci .  " Vanessa peux tu regarder dans mon sac et prendre ton parfum préféré si tu ne veux pas que ton chéri  me fasse une mini Manon " dit cette dernière d'un fou rire franc toujours aussi ironique , car évidemment Manon prend la pilule  , mais Manon ce soir est la fleur pure de Ludovic, très douce, et la rose épineuse de Vanessa , elle pique . Aprés avoir choisi un parfum qui n'était pas vanille , Vanessa tend à Manon ce qui lui garantit que cette dernière n 'aura pas de nausées dans les mois à venir, quand Manon lui dit , façon prof d'école botanique, " voyons Vanessa enfin nous allons pas tout faire tout seul , aide nous un peu, nous allons pas tout te dire, c 'est ton souhait , c 'est toi qui le veut , nous te faisons plaisir , alors fait un effort s'il te plait  , mets toi à genoux et protège ton mari "finira elle par dire don ton amusé et d'un rire étouffé . Vanessa se mit à genoux, prit le sexe dure de son mari , lui mit le préservatif  les mains tremblantes  , le visage a quelques centimètres du fessier de Manon  et de sa source au liquide commun , qui d'ailleurs coulait autant l'une que l'autre ,, le dirigea contre l'entre-jambes en ébullition de celle ci , frotta quelques instants le sexe de son mari contre celui de Manon , avant de le voir disparaître  dans un cris de plaisir fusionnel , absorber par la volcan de le fleur pure.....a épines.  
86 vues 5 aime
Par : le 26/05/25
Déjà trois mois que nous nous connaissons. Après trois mois la première flamme s'affaiblit et il faut venir l'entretenir si nous voulons qu'elle devienne feu péren. Par habitude, j'ai fini par faire de cette affirmation une vérité générale afin de m'éviter toute déception. Cet élément, lié au manque de vous qui se fait de plus en plus ressentir et à mes angoisses, me poussent à vous parler du sentiment de stagnation que je commence à ressentir depuis quelque temps. Quelques messages en moins et voilà que les signaux d'alerte hurlent dans ma tête. Je crains une perte d'intérêt et d'engagement de votre côté mais,.paradoxalement, je crains aussi une envanilisation de la relation qui nous rendrait davantage simples amants que dominant et soumise. Sacré comble pour la femme de la nuit que d'être restreinte à vivre lors des horaires de bureau. Nous nous sommes mis d'accord sur le fait que nous n'allions pas empiéter sur la vie de couple de l'autre mais comment gérer la frustration de vous savoir qu'à quelques mètres de chez moi une fois le soir venu sans qu'on ne puisse se voir? Et comment regagner le contrôle sur mon corps qui se met bêtement a trembler lorsqu'il vous croise en compagnie de vos proches ?    Je vous ai prévenu, la communication est importante pour moi et ce autant pour les aspects positifs que négatifs. Je vous partage donc tout mon bazar et armé de vos mots vous commencez a arranger tout cela. Vous reprenez doucement la main sur la borne de contrôle et éteignez un a un les voyants qui s'étaient allumés. Ce partage nous permet de faire le point sur le chemin déjà accompli et nos désirs pour la suite. C'est l'occasion aussi pour vous de vous livrer plus en profondeur. Notre relation a engendré l'apprentissage pour chacun de nous de nouveaux rôles qui ne sont pas forcément les plus confortables. Celui de maîtresse d'école, je connais, maîtresse domina, j'ai déjà pu y goûter mais alors maîtresse amante , c'est nouveau pour moi et je ne sais quoi en penser. C'est ma morale qui en prend pour son grade même si bon ce n'est pas comme si elle avait été bien présente jusque-là. Oui, nous nous sommes attachés et bien que le destin nous mette au défi, il n'impacte pas notre envie de construire une relation d.s. Votre réponse a su me rassurer. Vous avez réussi à rendre étincelantes les noirceurs de mon âme.    Une étincelle de génie vous frappe vous aussi. Cela fait un moment que je ne me suis pas sentie soumise ? Vous n'allez tout de même pas me laisser en manque comme ça... Je devais aller faire une session shopping ? Eh bien ces achats se feront en étant comblée! Vous m'envoyez un message m'ordonnant de porter un plug en public pour ma sortie de l'après-midi. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la lecture de ce message. J'ai donc tant fait ressortir le diablotin dominant qui sommeille en vous. J'ai bien l'impression que vous vous êtes senti mis au défi mais j'accepte le vôtre. L'idée d'être pluggué en public me plaît. Elle permet de marier les deux faces de la même pièce, celles qui ne se montrent normalement jamais en même temps. La face de la femme de la nuit serait connue que de vous alors que je devrais garder intact le masque de la femme sage perçu par le reste de la société. Oui, l'idée me plaît, elle me plaît beaucoup même . Elle me plaît tant et si bien qu'elle me fait mouiller.   Sur vos ordres je vous partage les images de l'installation du plug. Je ne peux m'empêcher de vous faire connaître mon état et vous demander l'autorisation de me goder. Vous me l'accordez. Je suis assez mouillée et ouverte pour que je le fasse rentrer directement. Je commence les vas et viens qui se font de plus en plus rapides et profonds. Je veux me sentir entièrement remplie, faire complètement ressortir la salope en moi avant de devoir remettre mon masque. Je veux profiter pleinement de ce moment de plaisir libre. Vous m'envoyez un nouveau message. Vous voulez voir mon orgasme, me savoir réellement comblée. Vous savez que dernièrement j'ai des difficultés à atteindre l'orgasme, le maître-mot est donc le lâcher prise. Je veux être prise profondément, je me mets donc debout et empoigne le gode de mes deux mains pour recommencer les vas et viens. Je me relâche au maximum. Je sens un plaisir nouveau prendre place lorsque je suis relâchée ainsi. Je me suis déjà approchée du squirt sans jamais réussir à assez lâcher prise pour aller jusqu'au bout. Dans le doute, je tends le bras et saisis une serviette que je lance a mes pieds. Le gode vient stimuler le point parfait. Je sens l'envie monter mais on m'a toujours dit que si je commençais à avoir envie de pisser c'était bon signe et qu'il ne fallait pas le retenir car il s'agissait de squirt. Je ne retiens donc pas jusqu'à ce que je ressente un jet d'abord léger mais qui se fait de plus en plus gros et surtout de plus en plus chaud couler sur mon gode et sur mes mains. J'ai déjà vu une femme squirter et laissez moi vous assurer que le jet ne ressemblait pas à ça. Au vu de la flaque qui imbibe maintenant la serviette je coupe tout et ris en courant aux toilettes. Ah bah pour du lâcher prise ça en est du beau ça ! Je pensais d'abord que l'uro faisait partie de mes limites non négociables puis certaines lectures ici ont su planter quelques graines. Il faut croire que ces graines viennent d'être arrosées ! L'uro fait partie des pratiques souvent perçues comme crades et humiliantes et pourtant , je me sens fière, fière d'avoir lâcher prise et de dépasser un peu plus mes limites. Cette découverte et ce passage aux toilettes m'auront quand même valu un orgasme mais tant pis ! Je me nettoie rapidement et retourne dans mon lit . J'hésite d'abord à vous le dire. Le dernier message reçu de votre part me demande si je me rapproche de nouveau de l'orgasme. Je sous - entends. Vous tendez l'oreille et percevez la vérité. Vous me rassurez sur le fait que je peux tout vous dire et me demandez si j'ai bien aimé. Étonnamment, je crois que oui, j'y trouve même un côté excitant. Vous m'avouez alors que cela vous excite vous aussi et que vous auriez aimé assister à la scène. Espérons donc que les graines arrosées continueront à grandir dans ce sens.   L'heure a tourné, il est désormais 15h et je dois filer à ma séance de shopping en étant toujours aussi bien accessoirisée. Je me lève et me rhabille. Je n'ai jamais autant senti le plug en moi. Il n'est pas très gros mais je ne sais pas si me masturber avant de sortir ainsi était vraiment très tactique, je me sens resserrée dessus. Et c'est là que l'évidence me frappe : je ne vais pas pouvoir l'enlever avant mon retour chez moi à 20h30! Je vais donc devoir le garder pour faire mon babysitting et le porter pendant 5 heures ! Sacré défi pour une première fois en étant plugguée en public . Je ne sais si je vais assumer si longtemps. Je sors de chez moi et descends dans la rue. Chaque pas me fait ressentir un peu plus le plug. J'ai l'impression que les gens savent, que les regards qui se tournent vers moi ne peuvent que relever une démarche inhabituelle. Je prends une profonde inspiration qui j'espère va me détendre et surtout moins me faire sentir ce satané cœur. N'oublions pas le masque, il doit rester intact. Vous seul me savez plugguée, le reste est le fruit de mon imagination.    J'arrive dans le magasin et choisis plusieurs tenues, cinq au total, ça va en faire du temps d'essayage... Je cherche une robe pour un mariage et vous partage mes trouvailles. Vous me complimentez dès la première tenue que je vous montre, une longue robe fluide verte. Le vert, votre couleur préférée, couleur dont une pointe se cache dans vos yeux (oui oui je vous l'accorde, le soleil vous donne raison) et surtout couleur de l'espoir. Je suis déjà plus détendue, j'oublie même parfois ce qu'il se cache entre mes fesses. C'est pas si affreux que ça au final.. du moins c'est ce que je me dis en restant debout. J'enchaîne les tenues et hésite longuement mais me décide finalement sur la verte. Va pour l'espoir! Il nous en faut pour voir le verre à moitié plein. On aura plus de verres a vider comme ça ! Je passe à la caisse et fonce à mon babysitting. Oh j'ai eu espoir bien trop vite ! Le plug se fait toujours autant sentir lorsque l'on marche en fait. Plus que 3h à tenir et je crois bien que j'ai gagné en assurance dans ma démarche!     Je récupère la petite et nous profitons de la présence rare du soleil à Lille pour aller au parc. Je joue avec elle et la surveille tout en gardant un œil sur mon téléphone pour voir si je n'ai pas reçu un message de votre part. Vous êtes rentré chez vous et cela me vaut un message des plus immoraux. Vous avez pris une satanée habitude de m'envoyer une photo de vos plaisirs solitaires lorsque vous me savez au parc. Il faut croire que cela vous amuse de m'imaginer rougissant de gêne au milieu de ces enfants. J'écarquille les yeux et me dépêche de cliquer sur la notification pour supprimer la photo le plus discrètement possible. Vous jouez à des jeux bien dangereux et pas adaptés à l'âge des personnes autour de moi. Je range mon téléphone et vais m'asseoir sur un banc. Je ressens alors la présence du plug. Je ne saurais dire ce qui est le plus déplacé entre le fait d'être plugguée dans un parc pour enfants en faisant du babysitting ou le fait d'y recevoir un nude mais ce qui est sur c'est que le combo des deux risque de nous envoyer en enfer. Je crois bien que le feu est plutôt péren là bas.    Le babysitting se finit. Je rentre chez moi et retire enfin le plug. Il a beau être enlevé, je me sens toujours autant comblée. Nous avons tous deux répondu à nos défis respectifs. Merci monsieur pour cette journée riche en sensations et découvertes.
97 vues 5 aime
Par : le 25/05/25
Cette nuit, j'ai continué ma transformation, la poursuite du chemin vers mon épanouissement dans la nouvelle vie à laquelle mon cœur et mes tripes aspirent. Un couple d'amis m'a fait découvrir la soirée mythique berlinoise Gegen (techno, déshinibition, libération du corps) qui s'est exportée du Kitkat Club allemand, pour une nuit, à la "Machine du Moulin Rouge" à Paris. Deux salles, une scène avec des performances, des DJ berlinois, un dress code encourageant la nudité, une back room, des espaces play réservés aux "Finta" et, surtout, du respect et de la bienveillance.   J'avais toujours voulu faire ce genre de soirées sentant bien ce qui bouillonne en moi depuis très très longtemps, ces tendances non conformistes dans ma vision de la sexualité qui s'exacerbent chaque jour un peu plus. Un ami m'a dit "quand tu vas voir des gens faire l'amour devant toi pour la première fois, tu verras, ça va te faire de sacrées sensations". __________________________ Noue pénétrons la Machine vers 2h du matin. L'ambiance est chaude, feutrée. Je longe le bar pour me diriger vers l'escalier qui mène à la piste. Je n'ai pas encore descendu les quelques marches que je croise les premiers sexes masculins profitant de l'air libre. Quinze minutes plus tard, j'entrevoie, de loin, un couple dans la pénombre ; leurs corps se meuvent dans une lumière bleutée qui permet juste de deviner ce qu'il se passe.. Ce ne sont pas de "sacrées sensations", dignes d'une vanille-citoyenne-modèle (no offense) se retrouvant dans un univers de débauche, non. Je me suis juste sentie "à ma place", là où je devais être depuis longtemps. Quelques heures plus tard, je pense à vous, chers membres de cette belle communauté, quand entre en scène un homme gigantesque, portant un masque à faire pâlir Dark Vador, accompagné d'une femme portant les attributs d'une Soumise .. le temps de poser un instant mon regard sur autre chose, qu'elle est déjà tournée, dos à nous, mains derrière la tête. L'homme sort un fouet qu'il commence à manier avec beaucoup de précision. Il poursuit avec un martinet, avec professionnalisme. Puis, son œuvre terminée, il s'approche d'elle, l'enlace d'une longue et douce étreinte. Là. Sur la scène ; comme s'ils étaient seuls au monde, parmi la foule de gens devant eux. Je m'y suis vue. Là. Mise à nue, devant ces gens.. entre les mains d'un Maître. Lassée un peu d'assister à des ébats exclusivement masculins, la soirée ayant malheureusement (du point de vue d'une femme hétéro) peiné à attirer des hétéros (et même des femmes, très peu nombreuses au final), je promène mon regard qui se lève par hasard sur le balcon du 1er étage, juste au-dessus de moi. Là, une femme, face à la ballustrade, un homme derrière elle.. elle baisse ses dessous, avec un geste trahissant une certaine impatience. J'aperçois son sexe mis à nu. L'homme la pénètre doucement puis accélère ses mouvement, les plongeant dans une danse tant sexuelle que sensuelle. Mon corps s'arrête de danser, immobile. Là, au milieu de la piste de danse. Mes yeux, en l'air ; braqués sur eux. Je n'en loupe pas une miette. L'on pourrait penser que mon côté voyeur s'exprime. Mais non.. c'est l'énergie bouillonnante au fond de moi qui commence à monter. Celle d'abord, voyant son sexe de femme, imberbe, d'imaginer ma bouche et ma langue s'y poser, pendant que l'homme s'occupe d'elle. Celle, surtout, de mes envies, l'énergie qui m'anime encore et toujours... mon corps vibre, mes yeux sont bloqués sur elle. Je veux être elle, mais entre les mains de ce Maître qui sera un jour le mien, m'exhibant, me dominant, me baisant, là, à la vue de tous. J'étais elle, au plus profond de mes chairs. Affaire à suivre.  
116 vues 6 aime
Par : le 25/05/25
« Esclave du camp du bien. Tel est ton destin » Les moqueries de Microbite et Bitemicron résonnent dans ma tête comme la rengaine insupportable d’une chanson niaise. Au pilori devant l’entrée d’honneur du Ministère de la Vérité, je suis l’attraction du jour. Le camp du bien est très fier d’exposer sa prise, nue, humiliée. Deux gardes armés me protègent de la vindicte populaire, tout en se délectant des regards haineux qui m’entourent. Hier encore, j’étais libre – libre d’échapper à ce funeste destin [1]. Quelle est donc cette force étrange qui m’a poussée à franchir le seuil d’un obscur siège local des Brigades de Défense de la Démocratie, au cœur des Alpes Suisses ? La confiance ? L’espoir ? Le visage du jeune milicien de service s’est décomposé quand j’ai commencé à avouer mes crimes. Cette force de la nature semblait soudain écrasée par une affaire dont l’ampleur le dépassait. « Déshabillez-vous, je vais chercher mon chef ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire, après de multiples hésitations et bégaiements. Les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements – c’est la loi. J’avais préparé un scénario vaguement crédible pour expliquer comment je m’y étais prise pour détruire la Lune rouge de Davos [2], mais le milicien m’a à peine laissé le temps d’en esquisser les prémices. Est-ce que le chef sera plus avide de détails ? C’est un petit homme bedonnant qui fit son entrée. Dans un réflexe dérisoire je cachai ma chatte avec ma main droite. « Tsst... » fit-il, d’un air réprobateur. Pas besoin de mots… Pendant que je me résignais à adopter une attitude plus convenable, exposant ma fente épilée à tous les regards, comme la loi l’exige, un claquement sec me fit sursauter. Des émanations de fumée m’en indiquèrent l’origine : la caméra de surveillance du local venait de griller, dégageant une infâme odeur de plastique brûlé. « Nous n’avons pas beaucoup de temps, Ysideulte – Écoutez bien » me dit-il. « Quand je vous interrogerai, laissez-vous guider par mes questions. Soyez coopérative et saisissez les perches que je vous tendrai ». Je n’en croyais pas mes oreilles… Ca alors… Le pangolin fou aurait infiltré la milice ? On tambourina à la porte. « Tout va bien, chef ? La vidéo est HS. » « Oui, un court-circuit visiblement - remplacez-moi ça ». Il ne fallut que quelques minutes pour que le système soit de nouveau opérationnel. L’interrogatoire put commencer. Je ne saisis pas vraiment où le chef voulait en venir, tant ses questions paraissaient confuses, lubriques et sans intérêt, mais je m’employai à y répondre avec docilité. Toujours est-il qu’à l’issue de cet interrogatoire, je ne fus pas incarcérée en attendant mon exécution. Contre toute attente, je fus conduite à Bruxelles, au Ministère de la Vérité. Pas n’importe lequel : le Ministère fédéral, celui qui chapeaute tous les Ministères de la Vérité des nations composant la Suprême Alliance Démocratique. Le Saint des saints du narratif officiel. Le transfert des ennemies de la démocratie est toujours l’objet d’une mise en scène, pour donner l’exemple, dissuader les récalcitrants, et divertir les moutons en attisant leurs pulsions les plus malsaines. Une douzaine de femmes étaient pour l’occasion mes compagnes d’infortune. Après avoir reçu la fessée réglementaire, administrée par un Maître fesseur, c'est nues, enchaînées les unes aux autres, que nous traversâmes la moitié de la ville en file indienne, sous les huées et le regard complaisant des caméras de télévision. Autant il m'arrivait souvent d'éprouver de l'excitation lorsque j'étais fessée par mon Maître, autant je me suis sentie ridicule, profondément humiliée et blessée, d'être ainsi fessée en public comme une gamine, devant des millions de téléspectateurs. Le contexte change tout. Je pensais de surcroît à mes connaissances, mes collègues de travail, ma famille, qui seraient sans nul doute témoins un jour ou l'autre de ce spectacle dégradant, s'ils ne le suivaient pas déjà en direct, et la honte m'envahit. J’occupais la première position dans la file - un honneur lié à la gravité de mes crimes, sans nul doute. Un milicien à l’allure de racaille ouvrait fièrement la marche, tenant fermement la chaîne reliée à mon collier. En d’autres temps il aurait été dealer ou proxénète, aujourd’hui il est défenseur de la démocratie. La lourde chaîne qui reliait mon collier à celui de la suivante me passait entre les cuisses et me martyrisait la chatte à chaque fois que son pas ralentissait. C’était insupportable. « Putain ! Avance ! » lui hurlai-je à la figure en me retournant brusquement. La vue de son visage en larmes me fit immédiatement regretter mon emportement. Je ne connais rien de son histoire ni du destin qui l’attend. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, on peut connaître les pires tourments pour des raisons absurdes. Le totalitarisme progressiste ne s’embarrasse pas de logique ni d’humanité. La violente décharge d’un aiguillon électrique pour bétail me rappela à l’ordre. « Silence, femelle ! » L’arrivée sur le tarmac de l’aéroport et la montée à bord de l’Embraer 120 qui nous conduisit à Bruxelles marqua, pour un temps, la fin de notre supplice. Arrivées à destination, nous fûmes séparées. Je ne saurai sans doute jamais ce que mes compagnes d’infortune sont devenues. Pour ma part j’appris que j’avais été spécialement sélectionnée par le ministre de la Vérité et sa charmante épouse, pour devenir l’une des esclaves de leur couple. L’esclavage n’est pas officiel au sein de la Suprême Alliance Démocratique, mais les ardents défenseurs du camp du bien jouissent d’une impunité totale – jamais un journaliste ou un magistrat ne posera une question dérangeante – alors pourquoi s’en priver. Est-ce que les questions bizarres du chef avaient pour but de susciter des réponses qui attireraient l’attention de ce couple diabolique ? Est-ce dans cet objectif qu’il m’a amplement questionnée sur mon passé de femme soumise et d’esclave sexuelle, entièrement dévouée à mon Maître ? En tout cas, pour le moment cela me procure un sursis. Rien d’autre à faire que de me perdre dans mes pensées, d’occuper mon esprit, histoire de rendre plus supportable l’humiliation du pilori. Personne n’a pris la peine de m’interroger concrètement sur mon mode opératoire. L’incompétence a atteint son paroxysme. Visiblement le réel leur importe peu et seule la narration qu’ils pourront en faire a de l’importance. Le visage pervers du ministre me sort de l’évocation intérieure de ma journée d’hier. Ce type pue la perversion, à un point qui donne froid dans le dos. Ce n’est pas pour rien qu’il a été nommé ministre de la Vérité. La Suprême Alliance Démocratique met les psychopathes les plus incompétents et les plus tordus aux postes de haute responsabilité, tout en chargeant le système médiatique de les présenter comme des virtuoses dévoués au bien commun. Il me libère de mes entraves et m’aide à me redresser. Des heures au pilori, c’est terrible pour les reins. « Viens, on parle de toi à la télé » Comme toutes les personnes profondément perverses, il aime souffler le chaud et le froid, apparaître en sauveur pour résoudre des problèmes qu’il a lui-même créés. Il m’invite à m’installer dans un salon au décor atroce, aux côtés de sa charmante épouse. C’est la première fois que je la vois sans sa perruque. Elle aussi se révèle soudain mielleuse et avenante, mais je sais à quoi m’en tenir. Ce couple de pervers narcissiques transpire le mépris et les rictus fugaces sur leurs visages trahissent leur moi intérieur. La manière dont ils ont saccagé ce palais autrefois somptueux, en refaisant toute la décoration à leur goût, en dit long sur les personnages auxquels j’ai affaire. A la télévision, les journalistes sont surexcités. Il y a de quoi : on vient de capturer la responsable de la destruction de la Lune rouge de Davos. J’hallucine : les experts défilent sur le plateau pour expliquer les détails de l’incroyable enquête menée sous l’égide du ministre de la Vérité – enquête extraordinaire qui a conduit à ma capture. Tout est faux – je suis bien placée pour le savoir – mais je dois reconnaître que cette opération de communication à la gloire de Microbite est percutante. Le blabla glorificateur est entrecoupé d’interviews du ministre de la Vérité en personne – l’air grave – qui explique son combat contre les forces du mal.  Cette affaire tombe fort à propos. Bien que le Ministère de la Vérité et les hordes de censeurs et de fact checkers à sa botte lui permette de donner libre cours à son sadisme et à sa mégalomanie, il a de plus grandes ambitions. L’élection anticipée du prochain président de la Suprême Alliance Démocratique approche. Il est devenu nécessaire de remplacer la marionnette sénile dont la décrépitude mentale ne peut plus être masquée, malgré tout le zèle des journalistes. A la télévision le ministre de la Vérité profite de l’occasion pour faire son auto-promotion « Avec moi, un barrage infranchissable se dressera devant les ennemis de la démocratie. Je serai votre protecteur. Aidez-moi à faire barrage ! ». La vie démocratique est maintenant bien rodée au sein de la Suprême Alliance: l’heure venue, les castors assureront le résultat qui convient. « Merci à toi de nous aider à castoriser les pigeons, une fois de plus ! Ah ah ah ». Convaincus que je ne retrouverai jamais ma liberté, ils affichent sans complexe le mépris de leurs électeurs et jouissent ouvertement de ma contribution involontaire au succès de leur idéologie. J’espère que le pangolin fou sait ce qu’il fait, car pour l’heure j’ai le sentiment de marquer un but contre mon camp. « Il voit loin, il ne pense pas comme nous » m’avait dit mon Maître pour me rassurer. Cet intermède n’est que de courte durée. Ils appellent un gardien qui me conduit sans ménagement dans la cour intérieure du palais, au mur d’exposition contre lequel je passerai la nuit. D’autres esclaves y sont déjà exposés – de beaux gladiateurs au corps d’ébène. Certains arborent fièrement et bien malgré eux de belles bites épilées. D’autres ont été émasculés. D'autres encore ont de lourdes charges suspendues à leurs couilles, qui les étirent à un point que je n'imaginais même pas possible. Les gémissements des malheureux témoignent du supplice qu'ils subissent. Alignés en rang d’oignons, les poignets attachés au mur, au dessus de leurs têtes, ils forment un tableau vivant. Le gardien, jouissant visiblement de ma sidération, me laisse observer longuement ce tableau, tout en me laissant entendre qu’il s’agit des esclaves sexuels du couple. Ma présence déclenche quelques gonflements de bites. Cela doit faire un moment qu’ils n’ont pas vu une femme, a fortiori complètement nue. Ayant été placée en position d’honneur au milieu du tableau, je remarque une fenêtre éclairée derrière laquelle Microbite observe son cheptel. Je me risque à interroger mes voisins à voix basse, mais, visiblement terrifiés, ils ne me donnent que peu d’information. Épuisée, je finis par m’endormir, debout, malgré l’inconfort de la position. Au milieu de la nuit, des voix me réveillent. La Maîtresse des lieux, accompagnée de gardiens, est en train de sélectionner un esclave. Elle palpe les bites, soupèse les couilles, et en choisit un. « La femelle aussi ! » ordonne-t-elle aux gardiens, qui me libèrent à mon tour. Le ministre de la Vérité nous attend au salon, nu comme un vers. Un gardien me pousse si violemment que je m’étale à ses pieds. « Baise-la ! » lui ordonne son épouse. Microbite, l’air dégoûté, se résigne à obéir. C’est donc lui le soumis dans le couple. Je m’en doutais... Il ne bande pas. Les femmes, ce n’est vraiment pas son truc. Mais sa charmante épouse a la solution. Une grosse seringue et une injection massive d’Erector, directement dans la bite. Le dernier produit sûr et efficace de la Bill & Alvértos Fucking Corporation fait fureur au sein de l’élite mondialiste. Il me baise sans conviction, pressé d’en finir. « Aïe ! » hurle-t-il. « Qu’est-ce que tu m’as fait, salope ? ». Il se retire brutalement et examine sa bite avec inquiétude. Moi aussi je l’ai sentie cette douloureuse décharge électrique tout au fond de ma chatte. Une migration de zébralyvox gémellaires ? Quelle ironie, si celui qui a été un acteur zélé de l’extermination des zébralyvox contribuait maintenant contre son gré à la renaissance de l’espèce [3]. « Continue, chochotte ! ». Bitemicron est très fâchée de cette interruption qu’elle considère comme une désobéissance. Tout penaud, le ministre m’introduit à nouveau. « C’est bien » le félicite-t-elle, après qu’il m’ait baisée, et peu importe que ce fut avec un dégoût manifeste. « Maintenant tu as le droit de te faire enculer avant que je lui coupe la bite » ajoute-t-elle, en désignant le bel esclave au corps d’ébène qu’elle a choisi pour lui.  « Dans ma jeunesse, on m’appelait coupe-zizi » m’annonce-t-elle avec un rictus satanique. Obligée d’assister à ce spectacle obscène, l’espoir qu’il me restait encore est à deux doigts de se désagréger. « Tout est fichu » me dis-je. La société est profondément malade et ses « élites » dépravées et intouchables ne sont que le symptôme d’un mal profond. Il est trop tard pour redresser la barre. Incapable de supporter ce spectacle plus avant, je détourne le regard. Au loin, sur un écran d’ordinateur resté allumé, des motifs étranges apparaissent. Peu à peu, un pangolin se dessine, comme pour me donner tort. « Je ne sens rien ! »  s'écrie le ministre, affolé, pendant que l'esclave, pourtant superbement membré, l'encule vigoureusement. « C'est cette salope! Elle m'a fait quelque chose, je ne sais pas quoi ». Les zébralyvox ont déjà détourné l'influx nerveux. J'avais remarqué qu'ils étaient devenus incroyablement rapides ces derniers temps. Je m'approche discrètement du préservatif usagé, qu'il a utilisé pour me baiser et qu'il a déposé de manière dégueulasse sur le bureau. Suffisamment près pour deviner trois paires de petits trous à son extrémité. Trois paires de zébralyvox ont transpercé le préservatif simultanément... Heureusement que cet idiot est trop bête pour comprendre ce qui lui arrive et même s'il fait des examens il y a peu de risque - les zébralyvox gémellaires sont extrêmement difficiles à détecter m'avait assuré Satoshi et pour l'instant seule l'université Kitasato est équipée de têtes Doppler à couplage quantique [4]. Je réprime un sourire... Les plans du pangolin fou sont machiavéliques. à suivre   Contexte et références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) [1] Voir « Alea Jacta Est »   https://www.bdsm.fr/blog/10475/alea-jacta-est/ [2] Voir « Les Lunes de Davos »   https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/   [3] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/ [4] Voir « Attracteur étrange - l'ordre caché dans les profondeurs du chaos »,  https://www.bdsm.fr/blog/9106/Attracteur-%C3%A9trange-%E2%80%93-L%E2%80%99ordre-cach%C3%A9-dans-les-profondeurs-du-chaos/    
219 vues 4 aime
Par : le 23/05/25
Me voici maintenant préférant restée seule jusqu'au jour où je trouverais celui qui sans rien me demander en échange, sans rien dire m'acceptera telle que je suis. En attendant, je parcours le mur, en silence. Il se peut qu'un jour quelqu'un(e) y perçoive le son qui en ressort. Ces mots je les ai posés le 21 avril 2025 dans mon premier article.   Puis il y a eu cet hommage, qui sans me l'expliquer moi même, à attirer mon attention. Une demande d'ajout d'ami, laquelle sur 1500 vue de mon profil ce jour là, a retenue ma curiosité. Je l'ai accepté, et nous avons commencés un échange. Très courtois de sa part, sans attente, ni de l'un ni de l'autre. Juste des mots, nos maux qui défilaient sur nos claviers. Une fluidité, une telle clarté, qui sans le vouloir nous rapprochait au fil de nos discussions.   Puis il y a eu ce voyage, ahhh ce voyage, lui dans son train, moi échangeant avec lui. C'est là que sans réfléchir, je lui ai suggérer ce que je lui demanderais s'il m'appartenait. C'est là que tout à commencé, c'est là qu'il a plié sans même que je lui ordonne.   Parce qu'il faut savoir lorsque cela se présente. Une pureté d'obéissance, de dévotion, loyal.   D'aventure en aventure, je le cherchais. Il se cachait dans mes plus grands fantasmes de posséder un jour un Soumis comme lui. J'ai rencontré de multiples « soumis » où chacun me soumettant leur exigence, me faisait fuir. Mais lui ! Je n'y croyais pas, je l'ai même mis face à mes doutes alors qu'il y croyait déjà. Aujourd'hui il est là. Il ne demande jamais rien que d'assouvir mes moindres désirs. A aucun moment il ne m'a fait part d'un souhait. Il reste là, dans l'attente de mes directives en silence, plié, à genoux. Et il s'exécute au plus vite qu'il le peut.   Nous nous nourrissons aujourd'hui l'un de l'autre, et notre appétit est bien présent. Il sait que le feu jaillit en moi, et il est prêt. Prêt à recevoir ces flammes sans reculer. Il est là et il attend prosterné à mes pieds, que le Volcan naisse enfin. Il a perçu le son de mon silence, et il accueille son bruit... Dédicace à @Elio
104 vues 3 aime
Par : le 22/05/25
Ludovic voyait l'état de sa femme et savait parfaitement ce que se disait cette dernière, la fête et l'alcool aidant Ludovic en jouait et en rigolait sans vouloir franchir la limite, tout du moins c 'est ce que se disait Vanessa . A la fin du repas et continuant leur conversation très peu de fois couper pendant ce délicieux dîner, voyant les invités de plus en plus distrait par l'ambiance et la musique, Manon s'approcha de l'oreille de Ludovic et lui murmura de son souffle chaud et frissonnant une phrase que Ludovic entendit à peine et pas à cause de la forte sonorité, mais qu'il compris au mot cigarette. Nous allons assouvir notre vice du tabagisme dit Ludovic d'un air blagueur en quittant la table et en regardant d'un air complice Vanessa qui devenait de plus en plus rouge et transpirante comme si la température de la salle augmentait au gré de son excitation, vanessa avait de plus en plus de mal à parler, à réfléchir , à faire bonne contenance devant les invités, mais elle s'y forçait bien que son esprit soit si loin. Une quinzaine de minutes interminables plus tard pour Vanessa , celle-ci aperçoit son mari revenir à la table sans Manon parti sur la piste de dance,elle est rassurée de voir  Ludovic regagner sa place à la table. Une fois assis seul avec Vanessa a la table désertée par les invités pour quelques instants, ils se regardèrent avec un regard qui en dit beaucoup, ils se connaissent et s'aiment, c'est tout du moins ce qui en ressort de leurs conversations oculaires a cet instant. S'approchant de Vanessa d'une manière douce et rassurante, lui remettant la mèche de ses cheveux derrière l'oreille, lui déposa un bisou très furtif sur les lèvres et  posa la question droit dans les yeux de sa femme de la manière la plus sérieuse qu'il soit. Tu es sûr que c 'est ce que tu veux vraiment mon amour, tu en es bien certaine, réfléchis bien, tu sais cette femme me plaît beaucoup et nous avons l'air de très bien nous entendre elle et moi, donc je te le répète c 'est vraiment cela que tu veux, que je couche avec . A cet instant la bouche de Vanessa n'émet aucun son, voilà ce que l'on va faire repris ludovic , je te laisse réfléchir et m'envoyer la réponse au cours de la soirée sur mon téléphone portable, un oui et je serai que je pourrais là faire jouir longuement et m'occuper de cette jolie beauté, a l'entente de ses mots la ce ne sont plus des gouttes qui tombe sur la dentelle préférée de Vanessa , c 'est une rivière qui coule, et si c 'est un non nous continuerons la soirée normalement . Mais attention continua Ludovic, tu pourras toujours arrêter pendant si tu ne le supporte pas, mais dans ce cas-là, je voudrais plus jamais entendre parler de cela hormis nos rapports parfois, ce à quoi Vanessa répondit très rapidement, oui mon chéri c 'est parfaitement clair. Ok je retourne sur la piste de danse voir où est cette jolie Manon lança Ludovic avec un sourire complice et malicieux  à sa femme . Vanessa avait besoin de prendre l'air et de réfléchir au chemin à prendre , quel choix faire,  allait- elle franchir ce saut dans l'inconnu et répondre à ses pulsions, briserait elle ses barrières mentales ou allait- elle rester au niveau du fantasme . Vers 23h la fête bat son plein, l'ambiance est très festive, mais également très chaleureuse, Manon et Ludovic se sont retirer dans un coin plutôt discret sans être Suspect non plus aux yeux des autres, d'ailleurs pas grand monde n'y passe voir personne quand Ludovic entend une sonnerie de sms qu'il vient de recevoir. Oui mon chéri, je le veux, j'en suis sur je le veux, je t'aime et j'ai confiance en toi auquel Ludovic répondra, ok retrouve nous dans 15 min a l'endroit indiquer . Et revoilà Vanessa repartie pour 15 min encore plus interminables que celle de tout à l'heure, le temps d'un petit remontant, elle en a bien besoin . Après ce laps de temps et se rendant sur le lieu indiqué par Ludovic, Vanessa aperçu au loin et de plus en plus près et au fur et à mesure de ses pas, son mari enlaçant Manon dans ses bras par-derrière admirant le ciel étoilé, la joue contre la sienne, on dirait un parfait petit couple pour quiconque qui ne les connaîtrait pas . A cette vue que découvre Vanessa, les émotions sont trop nombreuses à se mélanger, sa jalousie lui donne un hypercut dans le cœur, mais son excitation remplace sa rivière par un océan, Vanessa n 'est pas décontenancé ni perturber, a ce stade elle ne l'est plus , Vanessa est dans un état presque Semi-hypnotique, rêve elle ? est ce la réalité ? se demandait son corps cérébral. Arrivant les jambes tremblantes et la culotte inondée, Vanessa baissa instinctivement les yeux et n'osa pas regarder Manon quand celle-ci et Ludovic se retournent après avoir tracé la grande ourse et prédit le temps ensoleillé de demain , un long silence s'installa ce qui déstabilisa encore plus Vanessa , en effet pourquoi Manon est si sur d'elle et décontracté dans les bras de son mari a la vue de la femme de celui-ci , était elle au courant, Ludovic l'avait elle mise au courant de ses envies , tellement de questions se posait elle  . Mais vanessa savait ce qu'elle voulait au fond d'elle-même , et depuis trop longtemps , elle savait ce qu'elle était venu chercher , elle était venu chercher ce genre d'humiliation même, cette humiliation qu'elle ressent a cette instant, rouge de honte, les yeux baissés , incapable de sortir le moindre mot de ses cordes vocales , parfois observer , parfois devisager par manon qui fait ressortir un multitude d'expression les plus moqueurs et sarcastique venant de ses magnifiques yeux marron vert si particulier auquel ludovic a été séduit . Vanessa c 'est bien ca lui posa comme question manon d'une facon la plus normal possible , un oui inaudible presque muet essaya d'emettre vanessa , pardon je n'entend pas insista manon , oui je m'appel vanessa , trés bien la coupa aussitot manon d'une voix calme et sur d'elle . Vanessa tu vas allez surveillez quelques instant au cas ou quelqu'un nous voit , tu voudrais quand meme pas qu'ont surprenne ton mari en train d'embrasser une autre dit elle en rigolant elle et Ludovic déjà visiblement complice, mais attention nous te voulons quand même dans notre champ de vision insista Manon  . Sans même se poser de question, Vanessa exécuta l'ordre dès l'instant, partis quelques mètres plus loin surveiller les alentours, sans entendre ce que pouvait se dire Manon et son mari a cette distance-là, elle pouvait simplement les voir s'embrasser, se goûter, se déguster même, leurs désirs était flagrant, leurs baiser de plus en plus fougueux, pendant que l'excitation de cette humiliation en donnait mal au bas-ventre de Vanessa, elle les entendait rire en là regardant , se moquait-il  , probablement se disait elle , voyant Manon sur les genoux de son mari assis sur le banc avec sa jupe cachant à peine sa dentelle rose qui masquait son intimité . Au bout d'une trentaine de minutes à surveiller les alentours ou plutôt à observer ce que faisait  Manon et son mari , Vanessa fut appelé au loin d'un geste de la main par Manon , une fois arrivé a leur hauteur du banc ou les 2 presque inséparables depuis quelques heures maintenant, semblait seul au monde . Vanessa, tu vas aller nous chercher 2 coupes de champagne pour fêter cette magnifique soirée dit Manon de la façon dont elle sait si bien faire,ironique et douce mais surtout subtil et fine, à l'inverse de Vanessa au travail qui elle est, sec cassante et arrogante , Manon elle est tout le contraire mais pas moins dur et surtout beaucoup plus humiliante , elle commençait à comprendre ce que voulait  vanessa ,le genre d'humiliation mental, cérébral qu'elle Recherchait . A ce nouvel ordre et sans dire un mot  vanessa tourna les talons instantanément pour aller chercher les 2 coupes de champagnes quand Manon la rappela aussi sec , avec un ton de plus en plus sur d'elle . Dis-moi Vanessa dit Manon comme si elle s'adressait à une adolescente timide, viens t'asseoir a coté de nous continua Manon , ce que fit Vanessa exactement comme une adolescente timide , sait tu que quand quelqu'un s'adresse à toi il est impoli de ne pas lui répondre poursuivi Manon .  Ce n 'est plus comme à une adolescente que s'adresse Manon mais comme à une petite fille à laquelle on éduque à apprendre la politesse . Devant cette humiliation grandissante au fil du temps qui s'écoule, Vanessa n 'est plus dans un état semi-hypnotique , mais presque hypnotisé, ces fantasmes, ces envies, ces désirs , ces pulsions, cette obsession constante qui lui parcourt son corps et sa boîte crânienne depuis tant de temps sont plus fort qu'elle , l'émotion corporelle l'emporte sur sa raison , a ce stade elle ne pense plus, ne réfléchis plus , son entre jambes  coulant tel une fontaine depuis le début de la soirée lui a fait comprendre qu'elle avait déjà perdu la parti face à sa conscience. Après cette remontrance enfantine de Manon et les excuses de Vanessa du même niveau, l'élégance de celle-ci a totalement disparu, sa docilité et son obéissance en Frôlerait même le pathétique en la voyant aller chercher d'un pas vif voir presque courir pour rapporter les remontants demandés par sa rivale . Que se passait-il dans la tête de Vanessa se demandait Ludovic , celui-ci savait les désirs profonds d'adultère de sa femme , il savait que Vanessa aimait être soumise Parfois  dans l'intimité, mais fut quand même surpris par la docilité et l'obéissance de celle-ci envers Manon . Était ce l'alcool, l'excitation d 'assouvir son fantasme , l'humiliation d'obéir a Manon , sûrement tout ce cocktail se disait il . Quand Vanessa revient une dizaine de minutes plus tard tenant les coupes de champagne a la main de façon machinal et toujours aussi docile, ce qu'elle voit pourrait presque lui faire tomber quelques gouttes de millésime qu'elle tient entre les mains, elle a comme une impression d'assister a un début de scène érotique, manon est à califourchon sur Ludovic , l'atmosphère est légèrement plus animalières , ils ne se dégustent plus , ils se dévorent, Ludovic remonte la jupe de manon de la main gauche pour caresser la cambrure de son fessier presque parfait il faut le dire  , qui d'ailleurs en joue bien et en rajoute plus qu'il en faut devant Vanessa , pendant que la main droite lui caressait l'entre-jambe , seulement 2 doigts avaient franchi la frontière protéger pas un tissu mouillé, les 2 doigts qui auraient probablement fait jouir à ce moment la Vanessa devant ce qu'elle voyait, Manon poussait des petits gémissements en embrassant Ludovic cette fois-ci plus langoureusement, parcourant parfois par petit coup de langue les lèvres de Ludovic comme le ferait une actrice chic et sexy d'Hollywood jouant le rôle d'une femme fatalement douce  . Pendant un instant Vanessa se demanda s'ils n 'allaient pas arriver ce qu'elle a tant de fois imaginer dans sa tête ici devant elle , mais ne voulant pas jouer avec le feu , ludovic et manon ineterrompu leur voyage auquel il était parti , demandairent les coupes a vanessa qu'elle tenait depuis aumoins 5 bonnes minutes et lui dit d'allez continuer  surveillez , ce que fit vanessa presque contente d'allez surveillez par sécurtié , mais presque tout aussi decu de ne pas assister a la suite des évements , qui sera fera toutefois avec beaucoup moins d'ardeur. Manon et Ludovic sirote leur grand cru accompagné d'une cigarette , rigolant se touchant s'embrassant comme un petit couple auquel vanessa les a trouver tout a l'heure sous les étoiles .Une trentaine de minutes plus tard , l'aiguille de la montre défilant toujours trop rapidement dans ce genre de situations, sauf peut- être pour Vanessa qui contente de revoir son mari mais également Manon marché de façon  normale pour regagner la soirée. Au fait mon amour dit Ludovic a Vanessa , qui a l'entente de ce mot reçoit un peu de réconfort dans cette épreuve volontaire ,Manon habite à une vingtaine de minutes de chez nous, je pense que cela ne te dérange pas que nous la raccompagnons ce soir  poursuivi Ludovic , ce qu'accepta Vanessa d'une manière de peur de décevoir son mari et Manon étrangement, en fait Vanessa se découvrait elle même , elle ne fuyait pas cette situation , au contraire, l'attirance d'allez plus loin était une nouvelle fois plus forte qu'elle . Après avoir dit au revoir a certains invités, Ludovic prit Vanessa  à part seul ,et d'un geste toujours aussi rassurant, carressant de sa main la joue de sa femme comme un mari aimant , pose une nouvelle fois la question a vanessa . Et tu sur que c 'est vraiment ce que tu veux mon amour , elle m'attire beaucoup , elle me fait beaucoup d'effet et nous avons l'air d'avoir beaucoup de points communs , es tu sur des conséquences mon amour si je passe la nuit avec elle , elle  peut etre dominante et humiliante avec toi tu l'as bien vu je suppose ,si c 'est cela que tu veux , je le veux bien aussi,  mais je te demande de reflechir une derniere fois  , alors quand nous irons à la voiture pour ramener Manon , si tu prends la place de devant cela voudra dire que  l'on arrête et nous raccompagnerons Manon de façon normal et courtoise ,si tu t'assois derrière cela voudra dire que je ferai l'amour ce soir a Manon , je la baiserais fort peut être , je ferais tout pour la faire jouir je veux que tu le sache mon amour .A ces dernières mises en garde de Ludovic , le cerveau de Vanessa était en ébullition et son bas- ventre une bombe à retardement . Ce fut une soirée ravissante et un joli mariage se réjouit Ludovic pendant la marche qui les ramena a la voiture Manon sa femme et lui , ho je dirais même encore mieux rajouta Manon d'un rire étouffé, et toi Vanessa qu'en pense tu demanda manon une fois arriver à la hauteur de la  voiture , dans un dernier gloussement et d'émotions nombreuses, Vanessa répondit , oui cela était une très bonne soirée mais  j'ai peut être un peut trop bu ce soir  , je vais  laisser la place de devant a Manon car j'ai peur d'être malade , je vais m'asseoir a la place de derrière dit vanessa a ludovic , tu es sûr que ça vas allez répondit Manon ,  sur  quoi Vanessa confirma ,  oui oui ne vous inquiétez pas Manon ça va allez  j' en suis sur , je vous en prie prenez la place  devant installez- vous..... 
280 vues 10 aime
Par : le 21/05/25
F. Préambule à l’initiation Jean est arrivé en avance devant l’entrée du palais des expositions un peu en avance et attend patiemment. Il ne voulait surtout pas être en retard et passer pour un malotru. Par contre il est 14h15 et pour l’instant aucune nouvelle de Sabine. Il s’inquiète, est-il devant la bonne entrée ? Apparemment oui. Il regarde sans cesse sa monte. 14h30 Sabine arrive enfin. Elle est tout de cuir vêtue avec un long manteau ouvert qui laisse apparaître des cuissardes qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées, Une jupe arrivant à mi-cuisse et un bustier qui semblait dire « Regardez mais ne touchez pas ! ». Elle était magnifique, une nouvelle déesse, oui, la déesse de l’inconnu, celle qui peut vous entraîner dans le tourbillon de sa volonté en vous noyant dans son monde de volupté jusqu’à vous faire oublier que vous avez existé auparavant, que vous êtes encore vivant. Les gens s’écartaient devant elle comme les eaux devant Moïse. Martin la suivait, habillé d’un pantalon de ville gris, d’un blazer bleu ouvert sur une chemise blanche, col ouvert et un foulard rouge noué autour du cou. Jean qui était en tenue décontractée, comme il le faisait toujours lorsqu’il allait dans des endroits où il y a de la foule, se sentait un peu ridicule. « Bonjour » dit Jean d’une voix enrouée. « Suivez-nous » lança Sabine sans aucune forme de politesse. Jean restant immobile Martin lui fait signe de le suivre fissa. Tous deux emboitent le pas à Sabine. Sabine présente les billets d’entrée, récupère un plan du salon et dit « On va aller boire un verre, comme ça je pourrai voir le circuit que l’on fera ». Les deux hommes la suivent comme des toutous. En buvant leur boisson Sabine étudie le plan puis elle s’adresse à Jean « Vous étiez déjà venu au salon de l’érotisme ? ». « Non ! » répond Jean. Sabine s’esclaffe de rire et dit « Tu as entendu Martin ? Le pauvre petit chou qui nous accompagne n’est jamais venu au salon de l’érotisme ! ». Puis s’adressant de nouveau à Jean « Vous avez une vie vraiment triste. Mais, si vous êtes sage, cela va changer ! » Puis approchant sa bouche de l’oreille de Jean elle chuchote « Vous n’imaginez même pas ce dont je suis capable de faire pour changer votre vie. Vous l’imaginez ? » totalement désarmé, Jean regarde Martin qui lui fait un simple clin d’œil tout en ayant un sourire malicieux. Finalement Jean répond « Non, je vous avoue que je ne sais pas que penser ! » Sabine lui souffla dans l’oreille tout en disant « Aaaahhh ! Vous avez répondu OUI alors il ne sert plus à rien de penser. Moins vous penserez et plus vous saurez, et plus vous saurez moins vous imaginerez ! Vous êtes comme Faust ! Je suppose que vous connaissez l’histoire de Faust et Méphistophélès ! » Elle se lève et dit « Martin, tu sais ce que tu as à faire, Jean vous venez avec moi ! ». Le premier stand qu’il visitent est un stand de lingerie pour femme comme pour homme. Dentelle, maille, cuir, Lycra… Il y en a pour tous les goûts et tous les genres. Tenues vanille ou plus orientées et différentes panoplies sont accrochées sur des portants. Elle attrape un string en cuir pour homme l’approche du bas ventre de Jean et fait Hum, elle répète le geste avec plusieurs vêtements y compris avec une panoplie de soubrette. Jean pense qu’il sert de mannequin afin que Sabine choisisse des tenues pour Martin. Ensuite ils se rendent sur un stand de piercings et demande à Jean son avis sur les différents modèles. Le même stand propose des cages et des ceintures de chasteté. Cette fois Sabine ne parle pas, ne fait pas de présentations sur Jean mais arbore un large sourire à la fois mutin et énigmatique. Ils passent devant un stand qui présente du matériel et mobilier de donjon (C’est le nom que l’on donne à une salle aménagée pour les pratiques BDSM) mais Sabine ne s’y intéresse pas. Jean se dit que chez eux il n’y a peut-être pas la possibilité d’installer un donjon. Cela le rassure car il se vois mal être immobilisé à la merci de ses hôtes. Dans les jeux de rôle il préfère garder en partie le contrôle. Une voix de femme retentit soudain. « Coucou Sabine ! » Sabine se retourne, s’esclame « Ah Vaness ça va ? » et l’embrasse sur la bouche « Patrick n’est pas avec toi ? ». « Oh, il traîne par-là ! Et Martin ? » dit la femme. « Il était là tout à l’heure mais il est parti car il avait une course à faire ! ». « Mais je vois que tu n’es pas seule ! » répondit la femme. « Ah oui, je te présente Jean, un ami ! Jean, je vous présente Vanessa ma meilleure amie ! » Après un échange de « Enchanté.e » de part et d’autre Vanessa attrape Sabine par le bras et l’emmène à l’écart pour s’éloigner de Jean. Vanessa - « Ce n’est qu’un ami ? » Sabine - « Chuuut, c’est ma proie pour de nouvelles expériences ! » Vanessa - « Martin est d’accord ? » Sabine – « Évidemment ! Tu connais notre histoire et que ce que nous faisons ensemble est le ciment de notre couple ! » Vanessa – « Le moment venu n’oublie pas ta meilleure amie, j’aimerais voir ça ! «  Sabine – « Promis et tu pourras même participer si tu veux ! Et peut-être plus tôt que ce que tu penses ! » Vanessa – « Salope ! Tu sais que tu m’as fait mouillé ? » Sabine – « Si tu n’avais pas mis un pantalon j’aurais glissé ma main pour vérifier ! » Elle se mettent à rire puis s’embrassent à nouveau sur la bouche. Vanessa – « Au revoir Jean, à très bientôt j’espère ! » Jean – « Au revoir Madame ! » Vanessa s’éloigne en riant « Madame, ah ah, il est trop mignon ! ». Puis Sabine s’adressant à Jean « Bien, j’ai vu ce que je voulais voir ici. Vous êtes en voiture ? » Jean – « Oui, elle est sur le parking à gauche en sortant ! » Sabine – « Eh Bien, pour une fois, c’est moi qui vous suis ! » Jean – « Je vous dépose quelque part ou je vous ramène chez vous ? » Sabine – « Vous vous souvenez des consignes ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « C’est-à-dire ? » Jean – « Que je sois ici à 14h00 et que je me rende disponible jusqu’à demain midi ! » Sabine – « Prenez la direction du centre-ville et je vous guiderai ! » Arrivés au niveau de la place principale elle lui demande de se garer puis ils s’engagent à pied dans une petite rue et arrivent devant un petit magasin de lingerie dont la devanture et la vitrine n’ont pas été changés depuis les années 1950 . Ils entrent, faisant teinter une clochette située en haut de la porte. Une dame âgée arrive et prend Sabine dans ses bras en disant « Bonjour ma chérie quel plaisir de te revoir ! » puis s’adressant à Jean « Bonjour jeune homme ! » Jean répond par un bonjour timide en se demandant ce que l’on pouvait bien trouver d’intéressant dans un tel magasin. Sabine à la vielle dame – « Martin est passé ? » La dame – « Oui il est passé dans l’après-midi et il m’a remis une liste ! Je n’ai pas tout mais viens, je vais te montrer ce que j’ai ! » Sabine à Jean – « Venez ! » Jean les suivit dans l’arrière-boutique. Il y avait des rayonnages en bois, remplis de ce qui semblait être des vêtements et des sous-vêtements emballés dans des sachets transparents et au-dessous des tiroirs, comme il y en avait dans les anciennes merceries , un petit canapé deux places en cuir rouge et en face une cabine d’essayage. La vielle dame sort la liste de sa poche et prie Sabine de s’assoir dans le canapé puis attrape un mètre ruban puis s’approche de Jean en disant « Je vais prendre quelques mesures jeune homme ! » Surpris, il recule. Sabine – « Ne faites pas votre mijaurée, Nanette ne veux pas vous manger elle doit juste prendre des mesures ! » Finalement Jean se laisse faire, Nanette fait ce qu’elle a à faire, se dirige vers les rayonnages montre un sachet à Sabine qui acquiesce et le tend à Jean. « Prends ça et vas l’essayer ! » lui dit la vieille dame. C’était un slip qui paraissait être en cuir avec des boutons pression devant et derrière. Interloqué, Jean regarde Sabine qui pousse un soupir d’exaspération et lui fait signe d’aller dans la cabine d’essayage. Jean entre et attrape le rideau pour le fermer. « Non, non le rideau reste ouvert ! » lui lance Sabine. Bien que Sabine ne lui ait pas encore dit quel est son rôle, il comprend que le jeu a commencé et qu’il doit se soumettre à tous les ordres. Jean se met donc entièrement nu devant Sabine mais aussi devant la vieille dame et devient tout rouge, ce qui fait rire aux éclats les deux femmes. Puis tout en continuant à rire Nanette dit « Voila, je vais pouvoir prendre les autres mesures. Approche toi jeune homme. Ne t’inquiète pas, des bites j’en ai vu, tenu et sucé tellement dans ma vie qu’aujourd’hui je préfère manger une saucisse de Toulouse avec des lentilles ! » Une fois les mesures prises Jean enfile le slip et à la demande de Sabine il se présente face à elle puis fait demi-tour. Elle se lève du canapé puis dégrafe les boutons pression arrière et avant. « C’est bon vous pouvez vous rhabiller et attendez-nous dans la boutique ! » lui dit Sabine. Jean se rhabille devant ces dames goguenardes et part dans la boutique. Sabine à Nanette – « Montrez-moi ce que vous avez ! » Nanette – « Je n’ai pas la ceinture mais j’ai des cages ! Je te montre ? » Sabine – « Oui bien sûr ! » Nanette ouvre un des tiroirs et dit « Celles-ci correspondent aux mesures que j’ai prises sur le sujet ! » Sabine en examine plusieurs, hésite, puis en choisit une dont elle est certaine que toute érection sera forcément douloureuse. En connaisseuse, Nanette approuve ce choix puis glisse la cage et le slip dans un sachet opaque et propose à Sabine de faire son choix de ceinture sur catalogue. Sabine en choisit une et Nanette lui fait remarquer qu’il faudra bien préparer le sujet (Sujet est le terme que Nanette emploie pour nommer les hommes et les femmes qu’elle a dominé une grande partie de sa vie avec fermeté et sévérité. Son arrière-boutique actuelle était un donjon et la boutique de lingerie était tenue par une de ses soumises. C’était il y a longtemps). Sabine met le sachet dans la poche de son manteau et les deux femmes rejoignent Jean qui attend dans la boutique puis Sabine et Jean retournent à la voiture. « Maintenant nous allons à la maison ! » dit Sabine.
177 vues 7 aime
Par : le 21/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jours plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
200 vues 3 aime
Par : le 19/05/25
E. Le défi Jean dormait profondément lorsqu’un bruit le fit sursauter. Toc ! Toc ! Toc ! « Monsieur Jean ? » lui demanda une voix qu’il ne connaissait pas. Il répondit par l’affirmative. La voix lui dit qu’il était 7h00 et s’enquit de ce qu’il prenait au petit déjeuner. Il répondait de façon mécanique, comme un robot, à cette voix qui semblait être celle d’une femme d’un certain âge, tout en émergeant et se souvint qu’il n’était pas chez lui. Il se prépara à la hâte et descendit dans la salle à manger. Un plateau garni de tous les ingrédients pour un copieux petit déjeuner était posé sur la table. Il n’osait pas s’assoir car n’étant pas chez lui il ne savait si ce plateau lui était destiné. Une femme aux cheveux gris apparut et lui dit « Asseyez-vous, je vous en prie ! Madame m’a demandé de vous remettre cette enveloppe ». C’était bien la voix qu’il avait entendue par la porte. Elle lui tendit l’enveloppe qu’il plia et mit dans sa poche. Il regardera plus tard ce qu’elle contient. Pour le moment il doit se dépêcher pour ne pas être en retard à son travail. Lorsqu’il eut terminé la femme lui dit qu’un taxi l’attendait. Il monta dans le taxi qui prit l’allée menant au portail et alors qu’il s’éloignait de la demeure Jean se retourna pour voir si Sabine n’était pas derrière une fenêtre pour le regarder partir. Non ! Elle devait encore être en train de dormir. Jean se souvint de l’enveloppe. Il la sortit de sa poche et l’ouvrit. À l’intérieur se trouvait un carton bristol sur lequel était inscrit Sabine avec un numéro de téléphone et dessous était écrit à la main ; J’ai un jeu de rôle à vous proposer. Si vous acceptez ce ne sera qu’au moment où le jeu commencera que vous saurez quel est ce rôle. Un peu comme les acteurs qui font des jeux d’improvisation. Pour accepter vous m’envoyez OUI par sms sous 24 heures et je vous donnerai des instructions. Sinon adieu. Jean relu plusieurs fois le mot puis le remit dans sa poche. Arrivé à destination il monta dans sa voiture et prit la route pour aller à son travail en essayant de se recentrer sur tout ce qui l’attendait cette journée. Finaliser mon dossier pour la réunion de cet après-midi, que dois-je répondre à Sabine… Non, non, non… Il faut que je me recentre sur mon travail. Ça va être une journée compliquée. En effet, elle fut compliquée et le soir, une fois rentré chez lui, il ressortit le carton de sa poche et le relu, le relu, le relu encore et encore tout en tournant en rond dans son salon. Il ne s’était toujours pas décidé et dans le mot, il y avait une précision qui lui torturait l’esprit. 24 heures pour répondre… c’est à dire demain matin puisque j’ai eu le mot ce matin ou demain dans la journée voire le soir ? Bon, je vais analyser tout ce qu’il s’est passé depuis cette rencontre. Il prit une feuille de papier, un stylo et commença à tout noter dans l’ordre chronologique. La façon dont ce couple l’a approché, des questions qui se sont rapidement orientées vers la sexualité, l’invitation à venir chez eux, les confidences sur leur mode de vie avec Sabine qui est devenue dominatrice pour faire plaisir à son mari qui souhaitait être soumis, l’insistance sur les jeux de rôle et le carton donné le matin. Après réflexion il se dit : Ces gens veulent partager un moment de leur intimité avec moi dans le cadre de leur relation spéciale, ça c’est certain à 90 pourcent. Mais quel sera mon rôle ? Y aura-t-il d’autres personnes ? Ce qui m’inquiète c’est ce côté sexe entre hommes. Y serai-je obligé ? Si j’accepte le rôle je ne pourrai pas refuser telle ou telle situation puisque j’ai dit qu’en acceptant j’assumerai jusqu’au bout. Il s’enfonça profondément dans son canapé, tête en arrière pour regarder le plafond puis ferma les yeux et fit le vide dans sa tête. Mais Plein de scénarios lui venaient à l’esprit et malgré lui, son excitation était à son comble. Finalement, d’un geste déterminé, il attrapa son téléphone, saisit OUI et envoya le message au numéro indiqué sur le carton. Il paraît que la nuit porte conseil et c’est justement ce que Jean ne voulait pas car, une fois la tension redescendue, il risquait de ne pas répondre et de regretter de ne jamais savoir ce que Sabine à dans la tête. Il se releva, alla se faire chauffer des raviolis en boite et mangea en regardant une émission de téléréalité qui d’ailleurs, ne l’intéressait pas. Il sourit en se disant : finalement je préfère la réalité à la télé. Mais surtout il attendait les instructions venant de Sabine. Son téléphone restant muet il alla se coucher. Au réveil son premier réflexe fut de regarder ses messages mais rien de la part de Sabine. Il se dit qu’il s’était fait prendre pour un idiot, certainement à juste titre parce qu’il n’y a aucune raison qu’une personne comme elle s’intéresse vraiment à quelqu’un comme lui. Elle a joué avec lui et est passée à autre chose se délectant qu’il ait répondu OUI sans intention de donner suite. Il buvait tranquillement son café en faisant le point sur ce qu’il avait à faire durant sa journée de travail lorsqu’il entendu qu’il avait un nouveau message sur son téléphone. C’était un message de Sabine. Son cœur se mit à battre plus fort et ouvrit le message. Bonjour je vous contacterai dans la journée pour les consignes Sabine. Elle joue avec moi comme un chat avec une souris. Se dit-il. Mais, finalement, cela ne lui déplaisait pas. Alors qu’il travaillait sur un nouveau projet il reçu enfin le message qu’il attendait tant. Soyez à 14h00 devant l’entrée du palais des expositions et rendez-vous disponible jusqu’à dimanche matin. Ce sont des consignes qui ressemblent à des ordres stricts. Se dit Jean en fronçant les sourcils car il ne savait toujours pas ce qui l’attendait. . En voyant la tête de Jean le collègue, qui partage avec lui le bureau de recherche et développement d’une société qui fabrique des pièces pour les machines-outils, demanda « Un problème avec le nouveau dossier ? ». « Hein ? Euh… Non, non ! » répondit Jean. Il chercha sur internet quel évènement il pouvait bien y avoir le weekend prochain et découvrit que c’était le salon de l’érotisme. Ok, ça promet se dit-il.
165 vues 8 aime
Par : le 19/05/25
Le troisième grand pot de fleur sur la gauche en sortant. Ces 11 mots tournent en boucle dans ma tête alors que je scrute le panorama qui s’offre à moi en sortant de la gare. Onze mots d’une banalité sans égal pris séparément mais qui mis bout à bout dans le contexte qui m’à conduit à structurer cette phrase, ouvrent devant moins un espace infini dans lequel je vais bientôt devoir décider de m’aventurer. Car c'est la qu'Elle m'a dit qu'Elle se trouverait. Ça y est, j’ai repéré les pots de fleur. Ils sont effectivement immenses et habillent l'esplanade qui fait face à la gare. Je passe le premier, mon cœur commence à s’accélérer. Mon regard scrute chacune des personnes assises sur les chaises qui bordent les fameux pots. Pas de veste en jean avec des fleurs. Je passe le deuxième, toujours rien mis à part une accéleration et une intensification incontrolables de mes battements  cardiaques. Je continue a avancer, chaque pas me donne le sentiment de parcourir des kilomètres tant le point vers lequel je me dirige, je le sais, va me donner accès a une porte ouvrant vers un espace infini de possibles. Le troisième grand pot de fleur en sortant à gauche,.... je m’en rapproche,......, quand soudain j’aperçois une silhouette, droite, coiffée d’une longue chevelure, tournée vers moi et m’observant,.... Mon souffle s’accélère, le sol me donne l’impression de se dérober sous mes pas. Ça y est, j’y suis, Elle est là, Elle m’attend, Elle me possède déjà. C’est ma toute première rencontre avec Déesse Nyx. N/nous avons déja longuement échangé par messages interposés. Échanges à l’occasion desquels j’ai eu l’opportunité de Lui remettre ma dignité, et de Lui offrir ma docilité. Elle connaît déjà pratiquement tout de mon anatomie et de mon intimité que je Lui ai exposées au travers de photos et au fil de requêtes et directives successives. Habillé, en sous vêtements, intégralement nu, debout, assis, à quatre patte, en position offerte, le séant dressé vers le ciel et laissant une vue imprenable sur ma petite chatte de soumise,  Déesse a déjà eu l’opportunité de me scruter sous de nombreuses coutures. Sous Son emprise virtuelle, je Lui ai deja offert le spectacle afligeant de ma petite queue dressée et dégoulinante d’exitation, enfermé comme une petite perverse dans des toilettes de train. Mais N/nous ne sommes pour l’instant pas formellement engagés. Nous sommes convenus de ce premier rendez-vous pour en décider. Determiner l’Une et l’autre si oui ou non N/nous irons plus loin  et franchirons cette porte qui ouvre sur un monde dans lequel je serai Sa chose et elle sera mon Tout. Le code est simple, N/nous allons prendre un verre et discuter afin de mieux N/nous connaître. Si je décide de m’offrir à Elle, je devrai me lever, me rendre dans les toilettes, hoter mes sous vetements, me prendre en photo la queue à l’air et revenir Lui poser mon calecon sur la table. Elle décidera alors de le prendre ou pas,..... Un bonjour échangé, un croisement de regard et N/nous N/nous dirigeons vers une brasserie non loin de là.
177 vues 7 aime
Par : le 18/05/25
Paris, 21h17. L’appartement sent le cuir, le bois ciré et une trace subtile de parfum musqué. Tu attends, à genoux sur le tapis noir du salon, les poignets croisés derrière le dos, le dos bien droit — mais ton regard, lui, brille d’insolence.   Tu as mis exprès cette jupe trop courte, celle qu’il t’a interdit de porter sans culotte. Évidemment, tu en portes. Une provocation calculée.   Tu veux qu’il te corrige.   Lorsque la porte du bureau s’ouvre enfin, il entre sans un mot. Grand, calme, en chemise noire retroussée, il a cette lenteur dans les gestes qui trahit une maîtrise glaciale. Il te regarde de haut en bas. Pas un sourire. Juste ce silence tendu, presque oppressant.   — Tu n’as pas suivi mes instructions, constate-t-il.   Tu hausses un sourcil, faussement innocente.   — Peut-être que je voulais voir si tu t’en souviendrais…   Le claquement sec du cuir fend l’air avant même que tu ne réalises : il a sorti la cravache. Un coup, net, sur l’intérieur de ta cuisse nue.   — Ne me teste pas, petite garce. Tu sais comment ça finit.   Tu frissonnes de tout ton corps, entre douleur et excitation. Mais tu tiens bon. Tu le veux furieux. Dominant. Implacable.   Il se poste derrière toi et écarte lentement tes genoux du bout de sa botte. Tu dois cambrer davantage, et la position devient vite intenable — mais tu ne bouges pas. Tu aimes cette douleur sourde dans les cuisses. Tu sais ce qu’elle annonce.   — Retire cette culotte, maintenant.    Tu obéis, te penchant en avant, mordant tes lèvres et la glissant lentement à tes pieds, pleinement consciente de l’humiliation volontaire de la scène. Tu sais qu’il t’observe avec attention. Il n’a pas besoin de parler pour contrôler la pièce. Tout en lui respire l’autorité     Tu es contre le mur, les joues en feu. La main sur ta gorge ne serre pas, mais tu sens parfaitement qui commande ici. Tu veux résister. Tu veux qu’il te force à plier, qu’il t’arrache chaque once de défi.   — Retourne-toi.   Tu obéis, mais à ta façon : lentement, en cambrant délibérément, provocante. Il te connaît. Il sait que tu ne t’abandonnes jamais sans combat. Tu n’es pas docile. Tu es soumise, oui, mais indomptable jusqu’à ce que tu sois brisée à genoux, haletante, les cuisses tremblantes d’avoir trop été privée.   Ses doigts glissent sous ta jupe. Ils frôlent tes lèvres déjà humides, s’arrêtent à peine sur ton clitoris. Un effleurement. Juste assez pour te rendre folle. Et puis rien.   — Tu crois mériter plus que ça ? Tu crois que ton insolence mérite la jouissance ?   Tu ne réponds pas. Tu veux. Tu veux si fort. Mais tu refuses de lui offrir le plaisir de ta supplique si facilement.   Le cuir frappe.   Une fois. Deux. Puis trois. Des coups nets, parfaitement espacés, sur tes fesses. La brûlure monte, délicieuse, rageante. Il s’arrête, caresse la peau rougie. Et recommence. Cette fois, il ajoute la voix.   — Dis-moi pourquoi tu es punie.   Tu restes silencieuse.   Le quatrième coup tombe plus fort.   — Dis-le.   Tu craques, entre les dents.   — Parce que j’ai désobéi…   — Et ?   — Parce que j’ai porté cette putain de culotte exprès.   Le mot l’arrête. Il sourit. Tu viens de céder un peu plus. Il adore t’amener à t’humilier toi-même.   Tu sens sa main entre tes cuisses. Cette fois, elle presse, frotte, cherche ton bouton enflammé. Tu halètes. Tu ouvres un peu plus les jambes, comme une supplique muette.   Mais il s’arrête.   — Non. Pas encore.   Et il t’emmène.   Par les cheveux, doucement mais fermement, jusqu’au fauteuil. Il s’assoit, te fait te mettre sur ses genoux, ventre contre ses cuisses, les fesses bien présentées. Là, il recommence. La main nue cette fois. Lente, pesante. Chaque claque résonne dans tout ton corps.   — Tu crois pouvoir me défier sans conséquences ? Tu crois que je vais te laisser jouir tant que tu n’es pas mienne corps et esprit ?   Tu te tortilles, mi-douleur, mi-désir. L’humiliation te brûle autant que les gifles.   — Tu vas supplier.   Tu veux tenir. Mais sa main glisse entre tes lèvres à chaque série de claques. Frôle. Stimule. Puis s’éloigne. Encore. Encore. Jusqu’à ce que ton ventre se contracte, ton dos se tende.   — Tu es au bord, hein ?   Tu gémis. Tu hoches la tête. Il appuie juste assez, juste ce qu’il faut…   — Non.   Et il retire sa main. Tu cries. De frustration. De honte. D’excitation.   — Tu ne jouis que quand je le décide. Et je ne vois encore qu’une petite insolente qui n’a pas assez pleuré de ne pas jouir.   Il te fait lever, sans un mot. Tu chancelles un instant, entre désir et colère, les cuisses glissantes, les fesses encore vibrantes de sa main. Il te guide jusqu’au miroir, grand, encadré de bois sombre, posé contre le mur. Tu t’y vois : les joues rouges, le regard trouble, la bouche entrouverte. Une image indécente de toi-même.   — Regarde.   Tu baisses les yeux. Il saisit ton menton, relève ton visage pour que tu affrontes ton reflet.   — Non. Regarde ce que tu es. Regarde ce que je fais de toi.   Il s’éloigne quelques secondes, puis revient avec un petit objet noir entre les doigts. Tu reconnais le plug. Petit, mais lourd. Il aime commencer par là — pas pour la sensation physique seulement, mais pour ce que ça signifie : la prise, la possession. L’humiliation parfaite, discrète et profonde.   — Penche-toi. Écarte les jambes. Et ne détourne pas les yeux.   Tu obéis. Lentement, cette fois sans provocation, juste cette tension constante entre la honte et l’envie. Tu sens ses doigts écarter doucement tes fesses, une pression froide contre ton intimité. Il a pris le soin de lubrifier, bien sûr. Il aime que tu le sentes glisser, que tu le sentes entrer en toi, lentement, irrésistiblement.   — Regarde-toi être remplie.   Tu hoquettes. Il pousse, tourne légèrement, te fait sentir chaque millimètre. Et quand le plug s’enclenche enfin, quand il se niche au creux de toi, il pose une main sur ton dos.   — Voilà. Maintenant, tu vas rester comme ça. À regarder.   Tu es debout, cambrée, le visage à quelques centimètres du miroir. Il s’assoit derrière toi, dans le fauteuil, à sa place d’observateur, de maître, de spectateur de ton humiliation.   — Touche-toi.   Tu hésites. Il n’aime pas que tu obéisses trop vite. Il préfère quand tu luttes. Quand tu n’as pas le choix. Alors tu glisses une main entre tes cuisses, tremblante, mal assurée. Et tu te regardes. Tu vois tes doigts se glisser là où tu n’as pas eu le droit d’aller seule depuis des jours. Tu vois le reflet du plug noir entre tes fesses, cette image indécente de toi-même, offerte et retenue.   Il parle doucement.   — Tu es si belle quand tu luttes. Si sale quand tu veux trop. Tu veux jouir, hein ? Comme une chienne affamée ?   Tu halètes. Tu ne réponds pas. Tu continues à te caresser, à observer cette version de toi-même que tu hais d’aimer : celle qui mendie sans mot, qui se montre sans honte, qui attend l’ordre comme une délivrance.   — Tu ne viens pas. Pas encore. Tu restes là, le plug bien enfoncé, les jambes écartées, à te regarder devenir exactement ce que tu méprises… et que tu adores être.   Il se lève. Il s’approche. Il t’enlace par derrière, sa bouche tout près de ton oreille.   — Tu es à moi. Et tant que tu n’es pas brisée… je continue.   Il est juste derrière toi, son souffle contre ta nuque, sa main posée sur le bas de ton dos. Le plug te remplit encore, froid et lourd, et ton reflet — cette image obscène de toi-même — ne te quitte pas des yeux. Tu es cambrée, offerte, et tu ne tiens plus. Tout ton corps vibre d’un besoin qui t’échappe.   — Tu veux jouir ? Alors tu vas devoir le mériter.   Il se recule légèrement, te fait pivoter face à lui, face au miroir. Puis il s’assoit, jambes écartées, et d’un geste, il sort son sexe, dur, prêt. Il le tient dans sa main, lentement, volontairement provocant.   — À genoux. Là, juste devant. Que tu puisses bien voir ce que tu fais.   Tu obéis. Tu te laisses tomber, docile, entre ses jambes. Ton regard croise le sien dans le miroir, puis descend sur sa verge. Tu ouvres la bouche, mais il ne te laisse pas faire.   — Pas comme ça. Les mains derrière le dos. Tu n’en as pas besoin. Ta bouche suffit.   Tu poses tes mains derrière toi, le dos droit, le regard fixé dans le miroir. Il saisit ta nuque, guide ta tête vers lui. Tu sens le contact de sa peau contre tes lèvres, le goût de sa domination. Il te pénètre lentement d’abord, puis plus profondément. Il tient ta tête, contrôle le rythme, te fait l’avaler centimètre par centimètre, jusqu’à ce que tu suffoques à peine. Il aime te pousser à la limite. Il aime voir les larmes dans tes yeux, la salive qui coule de ta bouche pleine.   — Regarde-toi. Regarde comme tu sais bien obéir, quand je décide.   — Regarde-toi. Un petit corps trop facile à faire plier. Une cervelle qui pense encore pouvoir résister. Mais tu comprends, maintenant ? Tu ne m’appartiens pas parce que tu as envie. Tu m’appartiens parce que tu n’as plus le choix.   Il te force à parler. À répéter. Encore et encore. Des phrases humiliantes, sales, indignes. Jusqu’à ce que tu les croies. Jusqu’à ce qu’elles sortent de ta bouche sans réfléchir.   — Dis-le. Que tu n’es rien d’autre qu’une petite chose docile, baisable, modelée pour mon plaisir. Dis-le. Et tu pourras respirer.   Il te tient là, quelques secondes. Il bouge doucement, puis plus vite, te forçant à prendre chaque coup de rein sans pouvoir protester, sans pouvoir fuir. Tu es là pour lui, juste une bouche, un regard brisé dans le miroir.   Puis il te relâche. Tu respires, haletante, les lèvres rouges, le menton trempé.   — Tu crois que tu mérites de jouir, maintenant ?   Tu hoches la tête, la voix presque inaudible.   — Oui…   — Oui quoi ?   — Oui, je vous en supplie…   Il te saisit alors, te fait te relever, te retourne encore, brutal mais précis. Il t’adosse au miroir cette fois, ton dos glacé contre la surface, ton regard qui se perd dans cette image de toi, offerte, défaite, les cuisses ouvertes, le plug bien enfoncé toujours. Il tombe à genoux. Tu t’y attendais. Tu l’espérais.   Sa langue touche tes lèvres, d’abord en surface. Puis il s’y applique. Lentement, comme une caresse interdite, méthodique, jusqu’à ce que tu perdes la tête. Il te tient les cuisses bien écartées, et chaque mouvement de sa langue te pousse plus près du bord.   — Tu veux venir ? Tu es prête à supplier pour ça ?   Tu gémis, incapable de répondre. Alors il s’arrête.   Tu cries. Tu tords les doigts. Tu le fixes dans le miroir, furieuse et suppliante. Et tu cèdes.   — Je vous en supplie… faites-moi jouir… je n’en peux plus…   Son sourire contre ta peau est une torture. Il reprend. Cette fois sans pitié. Sa langue frappe juste, ses doigts pressent contre le plug pour accentuer la sensation. Ton corps se tend. Ta voix se brise.   — Tu jouis quand je dis.   Il accélère. Tu trembles.   — Maintenant.   Et tout explose. En toi, autour de toi. Tes jambes lâchent, ta gorge gémit, ton ventre se contracte avec violence. L’orgasme est arraché, comme un cri, comme une libération. Tu n’es plus qu’un corps qui cède, qu’un reflet ruiné, ivre de soumission.   Il ne dit rien. Il n’a pas besoin. Tu sais que ce n’est que le début.   Tu reprends à peine ton souffle, les muscles encore noués, les cuisses tremblantes, le visage marqué par le plaisir trop longtemps retenu. Mais il ne te laisse pas retomber. Il t’attrape, te remet debout contre le miroir, les mains à plat sur la surface froide, les jambes écartées.   — Ce n’est pas fini. Tu crois que tu as gagné le droit au repos ? Tu n’as fait que commencer à payer.   Tu le sens retirer lentement le plug. Ta chair se resserre instinctivement, mais il murmure :   — Relâche. Tu vas en prendre plus.   Il s’éloigne un instant, et tu l’entends derrière toi préparer ce qui vient. Le son d’un flacon. L’odeur du lubrifiant. Puis il revient, derrière toi, imposant, décidé. Il saisit tes hanches. Tu le sens contre ton intimité, dur, prêt à te reprendre, à t’envahir à nouveau.   Mais cette fois, ce n’est pas tout. Il pousse en toi — ta fente glissante s’ouvre aussitôt, accueillante malgré la fatigue, chaude, trempée de ton plaisir précédent. Il gémit, satisfait. Il reste là un instant, profondément ancré en toi.   Puis il sort à moitié, ses doigts s’activent à nouveau derrière, à l’entrée plus étroite. Il glisse un, puis deux doigts, sans t’offrir le choix. Ton corps proteste, mais ton esprit capitule.   — Tu vas me prendre partout. Je veux te sentir m’appartenir des deux côtés. Tu es à moi.   Il retire ses doigts. Tu le sens se replacer. Et puis, lentement, irrémédiablement, il t’envahit. L’autre voie. Celle que tu crains, que tu désires, que tu refuses parfois de nommer. Il est lent, précis, mais inflexible. Il s’enfonce. Ta bouche s’ouvre sans son. Tu te vois dans le miroir : tendue, tordue de tension, offerte dans une posture indécente, ta bouche ouverte, les larmes prêtes.   Et puis il pousse encore. Tu es remplie. Devant. Derrière. Il te possède.   Il commence à bouger. Le rythme est lent au départ, calculé, pour que tu sentes chaque mouvement, chaque glissement. Tes jambes flanchent. Tes ongles griffent le miroir. Tu veux fuir. Tu veux qu’il continue.   — Regarde-toi. Regarde ce que tu es devenue. Prise. Dominée. Ouverte.   Il accélère. Il te pilonne, ses mains ancrées à ta taille. Tu n’es plus qu’un pantin. Un corps rempli, utilisé. Ton plaisir revient, brutal, incontrôlable, absurde après l’intensité de tout à l’heure.   — Tu vas jouir encore. Remplie comme une chienne. Et tu vas le faire sans honte.   Tu hoches la tête, incapable de parler. Tes gémissements sont brisés, sauvages, humiliés.   — Jouis.   Et ton corps obéit. Sans retenue. Un spasme plus fort encore que le premier. Tu cries. Tu te cambres. Tu perds pied. Et lui continue encore, quelques coups plus profonds, jusqu’à ce qu’il s’abandonne en toi dans un râle guttural, haletant.   Il reste là, quelques secondes. En toi. Posé sur ton dos. Sa main sur ton cœur, qui bat à toute vitesse.   Puis doucement, il se retire. Tu sens chaque vide. Chaque absence.   Ton corps s’effondre doucement contre le sien. Tu n’as plus de force. Tes muscles tremblent, tes jambes ne te portent plus. Il te soutient sans rien dire, te soulève dans ses bras, comme on recueille quelque chose de précieux qu’on aurait malmené trop fort.   Il t’amène jusqu’au lit. Pas pour te prendre, cette fois. Pour t’envelopper. Il t’allonge avec une lenteur presque religieuse, replace une mèche de cheveux collée à ta joue, essuie du pouce la trace humide qui s’y mêle — sueur, larmes, salive… Tu ne sais plus.   Il se couche derrière toi, te tire doucement contre lui. Sa main passe sur ton ventre, sur tes seins, sur tes hanches encore rouges des claques. Mais ce n’est plus pour dominer. C’est pour apaiser.   — Tu es là… c’est fini.   Sa voix est basse, grave, posée. Rien d’impérieux. Juste la présence. L’assurance. Il n’a plus besoin d’ordonner, il est simplement là. Et tu sens que tu peux relâcher ce qui reste encore tendu en toi.   Il te parle doucement. Te murmure des mots que tu ne comprends pas tous. Mais le ton suffit : tu es en sécurité. Il t’a prise, il t’a poussée, il t’a cassée — et maintenant il te tient.   Ses mains massent lentement tes muscles, surtout là où il t’a frappée. Il embrasse ta nuque. Tes épaules. Tes tempes. Il couvre chaque marque de gestes lents, patients.   — Tu as été parfaite. Indomptable. Mienne.   Tu frissonnes, non plus de tension, mais de gratitude. Il tire une couverture sur vous, t’enroule tout entière contre lui. Ses bras t’entourent. Son souffle berce ta nuque. Il ne parle plus. Il te laisse pleurer si tu dois. Soupirer. Revenir.   Et dans le silence, il pose sa main sur ton cœur, une dernière fois.   — Je suis fier de toi.   Tu t’endors là. Épuisée. Brisée. Refaite.   Et profondément aimée.
128 vues 6 aime
Par : le 17/05/25
Première séance pour un esclave. Il est allé chercher l’esclavage dans une tour du 13e, dans un appartement minuscule. C’est dans la chambre que ça s’est passé. Un réduit miteux qui avait renforcé en lui l’impression d’abandon dans l’humiliation. Son Maître avait été clair, ce serait « baise et suce hard et soft selon mes envies ». Il était tellement en manque de tout qu’il acceptait même de payer pour se faire traîner dans l’ordure. Dès que le Maître eut reçu l’enveloppe et qu’il eut vérifié l’exactitude de la somme, il lui cria de se foutre à poil. Ensuite, le Maître s’assit sur le lit et, comme un adjudant, lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Pendant ce temps, il enlevait ses Nike, ses chaussettes et il baissa son pantalon qu’il jeta par terre. Il mit un pied sur le visage de son esclave en devenir et lui ordonna de lécher. Ça dura un certain moment. Le soumis dut lécher les deux pieds et sucer les orteils aux cris de « applique-toi ». Puis, le Maître lui enfonça la pointe d’un pied au fond de la bouche. Ce n’était qu’une mise en bouche, si l’on peut dire… Il y avait une petite table, le Maître a empoigné son esclave par les cheveux et l’a plaqué dessus. L’autre a gémi que son cul était étroit, qu’il fallait le lubrifier abondamment. Le Maître, trop bon, l’a tartiné en lui enfonçant les doigts profondément. Ensuite, avec sa queue bien dure, il l’a enfilé. C’est presque rentré facilement. L’esclave se tortillait, plaqué sur la table, en gémissant. Le Maître lui a giclé dans le cul, abondamment, en longs spasmes qui le faisaient tressaillir de tout son corps. C’était comme un baptême pour l’esclave, il a reçu l’onction du sperme répandu dans son cul. Le Maître s’est laissé tomber sur le lit et s’est fait nettoyer la queue ramollie par la langue de son nouvel esclave. Presque aussitôt il s’est remis à bander très dur. Il a empoigné la tête de l’esclave et l’a attirée pour enfoncer sa queue dans sa bouche, bien profond, jusqu’à presque l’étouffer. Après, il s’est fait lécher et sucer, toujours aux cris de « applique-toi », pour finir par remplir sa bouche de son foutre débordant. Difficile de dire si le Maître était pleinement satisfait, mais, comme pour marquer son pouvoir, il acheva cette brève séance par des coups de ceinture en cuir sur son esclave qui se roulait à terre.
306 vues 5 aime
Par : le 17/05/25
Madame, Je le confesse de bonne grâce: j’éprouve une joie sans limites à vous dominer. Non pas pour le mesquin plaisir de m’adonner à la violence gratuite. Ni pour venger une frustration ou soigner un ego malade. Non plus pour me sentir exister lorsque je vous diminue. Non, si je vous veux Soumise et moi Maitre, c’est sans aucune malveillance mais, bien au contraire, parce que c’est un plaisir délicat que nous partageons tous deux.  Je m’épanouis autant dans le contrôle que vous dans l’emprise. J’aime à prendre l’ascendant sur votre chair et votre esprit autant que vous aimez me les confier.C’est un équilibre sain et heureux dont nous jouissons l’un et l’autre. Et si nos ébats sont d’apparence crus, violents, dégradants, voire abjects dans la forme. Nous les apprécions d’autant plus car ils sont le reflet de qui nous sommes vraiment: épanouis, assumés, chacun à la place qu’il a choisi et qui résonne avec sa propre nature. Aussi, si je vous violente aujourd’hui et que vous y prenez plaisir, c’est parce que c’est notre manière de communier. Si mon rôle est bel et bien d’être votre Maître, sachez qu’il me ravi et m’honore à la fois. Celui-ci me confère, certes, de multiples privilèges et plaisirs que vous me réservez mais également tout autant de responsabilités. Ainsi, est-il évident pour moi de savoir honorer celles-ci du mieux qu’il m’est possible. Ainsi, parmi celles-ci je me dois tour à tour d’être le gardien de votre sécurité, de votre confiance et de votre plaisir.  Aussi, m’incombe-t-il avant toute chose de vous assurer la sécurité physique et psychologique en toute situation et à tout instant. Et ce, malgré les multiples risques, déviances ou autre chemins sinueux que nos corps perdront ensemble à la recherche de nos vices et de nos extrêmes secrets. Je me dois ensuite d’être celui qui saura être digne de votre confiance; afin que vous puissiez sereinement explorer et repousser vos propres limites. Sans jamais douter de mes intentions envers vous. Naviguer parmi certains plaisirs singuliers ne peut être entrepris qu’avec un guide dont la bienveillance reste l’assurance du respect mutuel.  Enfin j’ai également le devoir et l’honneur cumulés de vous faire prendre autant de plaisir qu’il vous en sera possible, dans les limites sans cesse repoussées de votre chair et de votre psyché. Je me dois, avec votre concours, d’être un artiste suffisamment talentueux afin de pouvoir faire de notre union un véritable chef-d’œuvre. Un esthète des sens qui saura maîtriser avec tout autant de passion les souffrances et la violence de nos actes que les mécanismes délicats du plaisir qu’ils nous procurent tous deux. Enfin, sachez Madame, qu’afin de vous mériter pleinement; je dois être celui dont le contrôle, la perversité et la créativité sans limites sauront vous ravir et vous envoûter chaque jour pour. Afin que vous ne puissiez jamais résister à l’envie de m’appartenir  …
167 vues 6 aime
Par : le 16/05/25
Beaucoup de soumis(es), de Dommes et de Doms m’ont écrit après un précédent article. Certains voulaient savoir : Comment reconnaître les signes d’une personne qui n’est pas sérieuse ? Comment l’aborder avec clarté, sans honte ni peur ? À ceux qui se reconnaîtront, je rajoute ceci : Si tu penses avoir mené quelqu’un en bateau, consciemment ou pas, tu serais surpris de voir à quel point un vrai pardon peut faire du bien. À toi comme à l’autre. Alors, allons-y. Entrons dans le sujet du jour : Quand on cherche une vraie connexion, comment reconnaître les signes qu’on s’égare ? Et comment poser des mots clairs, sans s’excuser d’exister ? 💬 1. Tu n’es pas “trop”, tu es juste clair(e). On t’a peut-être dit : • “Tu vas trop vite.” • “Tu demandes trop.” • “Tu prends ça trop à cœur.” Mais la vérité ? Tu ne fais pas trop. Tu ressens avec intensité. Tu nommes les choses. Tu veux du vrai. Et ça, ça fait peur à ceux qui préfèrent la zone grise. 🚩 2. Les signes qu’il/elle n’est pas prêt(e) (ou pas sincère) Tu ne te fais pas des idées. Les signaux sont souvent là : • Présent par intermittence, mais absent quand ça compte. • Évite les vraies conversations. • Tu fais tous les efforts. Tu poses les questions. Tu restes sans réponse. • Tes besoins sont minimisés. Ou ignorés. • Tu sens que ton cœur est un poids à porter, pas un lieu à accueillir. Ils ne sont pas “mauvais”. Mais ils ne sont pas disponibles. Et ça suffit à dire stop. 🧭 3. Comment aborder le flou, sans t’excuser d’exister Tu n’as pas besoin de crier. Juste d’être direct(e), doux(ce) et vrai(e) : “Je cherche quelque chose d’ouvert, sincère, aligné. Parfois, ce qu’on vit me semble flou ou déséquilibré. J’aimerais savoir où tu te situes, pour qu’on n’avance pas à contre-courant.” Aucune accusation. Juste de la lucidité. Et s’ils ne peuvent pas répondre ? C’est déjà une réponse. 💞 4. Et si c’est toi qui as blessé quelqu’un sans le vouloir ? Peut-être que tu n’étais pas prêt(e). Peut-être que tu as aimé la connexion, sans vouloir la profondeur. Peut-être que tu t’es tu par peur. Mais si quelqu’un s’est attaché, et que tu es resté flou/floue, il mérite de savoir que ce n’était pas de sa faute. Même si ça fait des semaines. Même si tu as fui. Même si tu es honteux(se). Tu peux encore dire : “Je n’étais pas prêt(e). Tu n’as pas rêvé notre lien. J’aurais dû parler plus tôt. Je suis désolé(e).” Ce genre de vérité ne ferme pas une porte. Il restaure la dignité. Pour vous deux. 💎 5. Personne ici n’est “trop” Pas celui/celle qui a osé demander plus. Pas celui/celle qui a pris peur. Pas celui/celle qui n’a rien dit, parce qu’il/elle ne savait pas comment. On fait tous de notre mieux. Mais certains apprennent plus vite que d’autres à aimer avec clarté. 🔑 6. Tu mérites une connexion claire Tu as le droit : • De savoir où tu en es. • Que tes émotions soient accueillies, pas tolérées. • D’être vu(e), pas deviné(e). • De partir si la clarté n’est pas là. • De recevoir ou offrir une excuse, même tardive — surtout tardive. 🎯 En résumé Ne rétrécis pas ton cœur pour tenir dans l’indécision d’un autre. Ne réduis pas ta lumière pour ménager leur peur. Et ne confonds jamais confusion avec amour. Sois clair(e). Sois courageux(se). Dis ce que tu ressens. Non pour faire pression, mais pour être vu(e). Tu n’es pas “trop”. Tu es exactement assez, pour quelqu’un qui est vraiment prêt. PS : Si tu fais partie de ceux qui jouent avec les autres consciemment, pour les blesser, les plonger dans l’incertitude, nourrir ton ego ou chercher une dose de dopamine parce que tu manques d’estime de toi, je te rappelle que le karma existe bel et bien. Demande-toi un instant : que ressentirais-tu si quelqu’un traitait ainsi un membre de ta famille, ou une personne que tu aimes profondément ? Probablement pas quelque chose de plaisant.
173 vues 9 aime
Par : le 15/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jour plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
324 vues 7 aime
Par : le 14/05/25
D. Révélations Dès que chacun eut son verre à la main et après avoir trinqué, Sabine commença à lui raconter comment elle et son mari s'étaient rencontrés, pourquoi et comment leur relation avait évolué. Elle lui expliqua que Martin dirige une entreprise et qu’il a donc de grandes responsabilités. Au fil du temps il a commencé à la délaisser et leur relation est devenue platonique, si bien qu’ils étaient prêts à divorcer. Puis ils ont eu une discussion pendant laquelle Martin a expliqué qu’en dehors de son travail il avait besoin de déstresser mais qu’elle n’était pas en mesure d’assumer ce rôle. Afin d’éviter que leur couple ne se brise et par amour pour son mari elle a tout mis en œuvre pour assumer ce rôle qu’il attendait d’elle. Jean écoutait stoïquement sans dire un mot tout en avalant de petites gorgées de cognac. Soudain Sabine sembla énervée et lui demanda « Ça ne vous intéresse pas de savoir quel est ce rôle ? » Surpris, Jean s’exclama « Oui, oui bien sûr ! ». Martin qui pendant le monologue de Sabine était affalé dans son fauteuil la tête en arrière et les yeux fermés paraissant dormir se redressât et resservit quelques doigts de ce fameux nectar qui faisait sa fierté puis se rassit au fond de son fauteuil. Il était là mais paraissait ailleurs, comme s’il n’était pas concerné par ce que Sabine racontait. « Bien » dit Sabine. Elle reprit ses explications. « En fait, dans son travail c’est lui qui prend les décisions, qui donne des ordres et les autres qui obéissent. Il a donc une grosse pression sur ses épaules. Donc ce qu’il souhaitait c’est que je prenne ce rôle dans notre relation. Je n’étais pas du tout formée mais surtout, pas du tout formatée pour assumer cette tâche, ce n’était pas dans mon ADN. Même avec notre fils, qui aujourd’hui vit à l’étranger, je n’ai jamais fait preuve d’autorité. J’en ai parlé à une amie en lui disant que je n’avais pas une âme de cheffe d’entreprise.  Elle a pouffé de rire et m’a expliqué que cela n’avait rien à voir avec le travail d’un chef d’entreprise. Devant mon étonnement elle m’a expliqué que Martin souhaitait tout simplement une relation de domination/soumission, lui étant le soumis et moi la dominatrice. Je lui ai dit que je ne comprenais rien. Qu’était-ce qu’une relation domination/soumission ? Finalement, devant mon ignorance, elle m’a proposé de rencontrer un groupe d’amis qui pratiquaient ce genre de relation en me précisant que c’est un cercle très fermé qui demande une grande discrétion. Ma curiosité étant à son comble j’ai répondu que j’étais partante pour rencontrer ces gens. Le soir même j’ai demandé à Martin s’il savait ce qu’était ce genre de relation. Il m’a souri,  m’a dit que oui et que c’était très intéressant. Je me suis sentie soudainement survoltée de connaitre de nouveaux horizons qui allaient peut-être me faire sortir de ma condition de petite bourgeoise cantonnée à faire du shopping et à avoir une maison propre et confortable. Du shopping j’en fait toujours mais c’est un peu plus spécial. Bref. À chaque fois que j’apprenais quelque chose auprès de ce cercle je le proposais à Martin qui, bien évidement se réjouissait d’être mon cobaye. Au bout de quelques mois le rôle était devenu mon être à part entière, dominer m’apportait une jouissance que je n’avais jamais connue, que je n’avais même pas imaginée et je devenais de plus en plus perverse, parfois cruelle. Maintenant il est ma chose, il m’appartient totalement et notre couple n’a jamais été autant solide.   Pour ne pas entrer dans la routine et la lassitude j’imagine de nouvelles situations, de nouvelles preuves qu’il est ma propriété. À chaque fois que je mets un dièse sur la partition il doit suivre s’il ne veut pas que je monte d’une octave, mais je sais très bien que s’il veut directement passer à une octave au-dessus il va ignorer mon dièse. Je peux le suivre ou lui imposer un bémol. Au final c’est moi qui décide, qui tiens la baguette de la cheffe d’orchestre. C’est ce qui fait que, moi dominante et lui soumis, nous ne faisons qu’un. Bien entendu je reste attentive à ses souhaits et s’il a été suffisamment docile et que je suis d’accord, je lui permets de réaliser son souhait sachant qu’en tant que dominatrice je peux apporter toutes les modifications à mon gré. » Martin était à nouveau dans la posture d’une poupée gonflable que l’on aurait posée négligemment dans un fauteuil, tête en arrière et yeux fermés, son verre étant prêt à aller faire profiter de ce vieux cognac, le tapis qui apparemment n’était pas persan, ni percé d’ailleurs, mais de très bonne qualité. Jean, perdu dans ses pensées, n’avait toutefois pas manqué un seul mot, une seule nuance de ce que Sabine avait dit, il s’imaginait déjà à la place de Martin. Il avait chaud, il était quasiment fiévreux, le cognac plus le narratif de Sabine avaient eu raison de son esprit, il se sentait au bord de l’évanouissement. Ces messieurs furent brusquement sortis de leur torpeur par un « Bon, tout le monde au lit ! » quasiment vociféré par Sabine ajoutant « Jean, je suis désolée mais vous allez dormir ici. Il est hors de question que l’un d’entre nous prenne le volant car avec l’alcool et la fatigue ce serait trop risqué. Cela ne vous dérange pas ? ». Jean fit tourner sa tête d’avant en arrière puis de droite à gauche, ce que Sabine prit pour un accord. « Bien, je vais vous accompagner jusqu’à votre chambre, et toi Martin monte te coucher tout de suite ! Ils sortirent du salon, Martin montât par le premier escalier tandis que Jean suivant Sabine dans le hall. Ils prirent le deuxième escalier Sabine passant devant. Jean voyait les fesses de Sabine onduler juste au niveau de son visage et une longue jambe fuselée sortant régulièrement de la robe fendue de sa divine hôtesse. Il sentait son sexe gonfler et espérait qu’elle viendrait se glisser avec lui dans le lit. Ils entrèrent dans une chambre coquette meublée de meubles d’antiquaire avec un grand lit qui avait des barreaux dorés munis d’anneaux à la tête et au pied. Curieux pensât-il. Sabine lui montra la salle de bain attenante puis lui demanda à quelle heure il devait se réveiller. « À sept heures ! » lui répondit Jean. « La femme de ménage viendra taper à votre porte à 7 heures, quand vous serez prêt vous irez dans la salle à manger, c’est la porte qui se trouve de l’autre côté du hall en face du salon où nous étions. Ensuite quelqu’un vous ramènera à votre voiture. Je vous souhaite une bonne nuit même si elle va être courte, alors ne tardez pas à aller vous coucher ! » Sabine tourna les talons et se dirigea vers la porte. Bon, je vais dormir seul, se dit Jean dépité. Mais arrivée au niveau de la porte elle se retourna et lui demanda sur un ton sérieux « Tout à l’heure, dans la voiture, quand vous m’avez dit : j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement ! Vous étiez sincère ? ». « Oui si j’accepte le rôle je l’assume ! » lui répondit-il. Sans dire un mot Sabine repartit en fermant la porte. Jean s’assit sur le lit se sentant tout bête, prit un anneau du lit, le fit bouger de bas en haut plusieurs fois puis se décida à aller se coucher malgré les mille questions qui le torturaient.
162 vues 7 aime
Par : le 14/05/25
La vie m’a appris à vivre dans l’ombre autant que dans la lumière. Mon passé a été une succession de tempêtes, des moments où la douleur m’a laissée dévastée, et pourtant, je me tiens debout aujourd’hui. J’ai cette part de moi, sombre et sauvage, attirée par ce que d’autres fuient, par ce qui me rappelle la complexité de mon âme. Oui, il y a des zones obscures en moi, des cicatrices qui ne se referment pas, des parts de mon histoire qui m’appellent. Mais cette ombre n’est pas ma prison, elle est mon moteur. Elle m’appelle à explorer ce qui me fait frissonner, ce qui me défie, ce qui me pousse à me libérer encore et encore.   Le BDSM est encore un territoire nouveau pour moi, une zone de découverte. Il n’est pas question de tout savoir ou de tout avoir vécu, mais plutôt d’explorer lentement ce qui résonne en moi. Cette part d’ombre, j’ai envie de l’apprivoiser, de la comprendre, de la transformer. C’est une aventure où je me laisse guider, un pas après l’autre, apprenant à faire confiance à mes désirs, mais aussi à celui qui peut me montrer un autre chemin. Peu à peu, je sens que cette dynamique de soumission et de domination peut m’aider à comprendre mes limites, mes envies, et à les dépasser. Il est encore tôt pour dire où cela me mènera, mais je suis prête à me laisser guider dans cette exploration. C’est Lui qui, doucement, me montre le chemin, en respectant chaque étape de mon évolution, en étant attentif à ce que je ressens. J’ai encore tant à découvrir, mais chaque petit moment partagé avec Lui, chaque geste, chaque échange me permet de m’ouvrir à une nouvelle forme de liberté et de pouvoir. Même dans la nuit, je choisis de garder ma lumière vivante. Cette lumière est solaire, vibrante, et je la nourris chaque jour, à ma manière. C’est cette lumière que je cherche à préserver tout en m’aventurant dans l’obscurité. Je crois que dans cette dualité, je peux m’épanouir. Ce chemin, je le parcours lentement, avec l’espoir qu’il m’amène à une compréhension plus profonde de moi-même et de ce que je désire. Avec lui, j’apprends à goûter à cette danse. Doucement, mais sûrement. CET homme qui voit cette dualité en moi, qui la respecte et me guide dans cette exploration, un pas à la fois.
94 vues 9 aime
Par : le 14/05/25
Elle avait tout consenti. Chaque clause. Chaque condition. Non pas par soumission aveugle, mais par volonté lucide d’aller au bout d’elle-même. Elle ne voulait plus choisir. Elle ne voulait plus contrôler. Elle voulait céder. Cesser d’être sujet, devenir objet — au moins un temps. Une manière de fuir le vacarme du monde. De faire taire cette voix intérieure qui doutait, jugeait, exigeait. Dans l’abandon, elle cherchait la paix. Elle avait lu, longtemps, des récits de soumission, des témoignages troubles, des pages noircies de violence et de silence. Ce n’était pas tant les actes qui la fascinaient, mais ce qu’il y avait derrière : le vertige du lâcher-prise total Le reste… n’était plus qu’un jeu d’ombres. Le sac sur la tête était arrivé un soir, comme convenu, sans prévenir. Une porte fracturée, deux bras puissants qui l’avaient saisie dans son lit, un cri étouffé avant le noir. Puis le trajet. Long. Silencieux. Ligotée, secouée par les cahots d’une camionnette, nue sous le tissu rêche du sac. Quand on lui retira, elle était dans une cave. Froide. Mauvaise odeur de terre humide et de métal rouillé. Lumière blafarde d’un néon qui clignotait. Et la cage. Serrée. En fer forgé, à peine plus grande qu’un chenil. À l’intérieur, elle. Nue, en position de soumission, le regard égaré. Elle grelottait. Ils étaient trois. Masqués. Aucun ne parlait. L’un d’eux ouvrit la cage. Il l’attrapa par les cheveux, la tira violemment hors de sa prison. Elle glissa sur le sol sale, les genoux râpés, les seins ballottant, offerte malgré elle. Elle tenta un regard vers l’un d’eux, mais il répondit par une claque, brutale, qui la fit gémir. — Tais-toi. Une voix grave, rauque. Puis plus rien. Ils la forcèrent à se mettre à genoux. Une sangle serra sa gorge. Un bâillon boule fut coincé entre ses lèvres, l’ouvrant de force. Elle haletait déjà. Les hommes se déshabillèrent. Trois bites dressées. Grosse. Dure. Sale. Ils la prirent à tour de rôle. Sans ménagement. La gorge d’abord. Des coups de reins secs, violents, qui la faisaient étouffer, baver, suffoquer. Ils riaient dans leur silence. La regardaient lutter, s’habituer à l’humiliation, au goût, à la violence. Puis ce fut son sexe. Écarté de force. Deux d’entre eux la tenaient au sol, pendant que le troisième s’enfonçait en elle d’un seul coup, sans préparation, sans douceur. Elle cria, mais le cri resta enfermé derrière le bâillon. Elle se cambra. Ses ongles grattèrent la pierre. Et ils continuèrent. Longtemps. Brutalement. L’un la prenait pendant que l’autre lui pinçait les tétons jusqu’au sang. Le troisième la giflait, lui crachait au visage. Aucun répit. Aucune parole tendre. Juste des ordres : « Tends-toi. », « Ouvre. », « Ferme-la. » Quand elle croyait que c’était fini, ils recommençaient. En levrette, à genoux, suspendue à une chaîne qui lui déchirait les poignets. Parfois deux en même temps. Sa bouche et sa chatte remplies. Puis sa bouche et son cul. Ils la forçaient. Elle pleurait, bavait, jouissait malgré elle. Encore. Et encore. Ils la fixèrent à une croix de Saint-André, jambes ouvertes, sexe offert. Un vibro fut enfoncé en elle, puis un plug. Maintenus par des sangles. Ils les allumèrent à pleine puissance. Et ils la laissèrent là. Tremblante. Hurler dans le silence. Secouée d’orgasmes incontrôlés, hurlants, humiliants. Ils regardaient. Parfois, l’un revenait et lui offrait une nouvelle dose de brutalité : un doigt, une bite, un coup. Elle n’était plus qu’un trou à leur merci. Et dans la cage, à la fin, recroquevillée, couverte de sperme, de salive et de sueur, elle souriait. Elle ne savait plus l’heure, ni le jour. Le temps n’existait plus ici. Dans la cage, son corps était marqué. Sa peau portait les traces de leur passage : hématomes sur les cuisses, morsures autour des seins, griffures dans le dos. Chaque douleur était un souvenir. Chaque coup une signature. Elle n’était plus une femme. Elle n’était plus un nom. Ils l’appelaient la chienne. Et elle avait fini par l’accepter. La routine était simple : on la réveillait à coups de botte. Ils la traînaient hors de la cage par une chaîne attachée à son collier de métal. À genoux, toujours. Si elle se levait sans ordre, c’était la cravache. Un claquement sec sur les cuisses, les seins, ou directement sur sa chatte, jusqu’à ce qu’elle tombe à terre en hurlant. Ils la forçaient à lécher leurs bottes, leurs semences, parfois le sol. Elle était leur chose. Leur jouet. Leurs trous. Un jour, ils apportèrent une gamelle. Du lait. Une gamelle posée au sol, comme pour un animal. Elle hésita. Une seconde. — Tu bois, ou tu bouffes ta merde, salope. Elle plongea la tête, et but. Ce jour-là, ils comprirent qu’ils l’avaient brisée. Et ils décidèrent de la reconstruire. Ils la dressèrent. Chaque geste, chaque posture, chaque respiration devait être contrôlée. Dos cambré, poitrine offerte, bouche entrouverte. Elle apprit à garder cette position immobile pendant des heures. À sourire quand ils entraient dans la pièce. À se masturber sur commande, devant eux, yeux fixés au sol. La cage devint sa maison. Elle y dormait enchaînée, jambes écartées, parfois les chevilles reliées à des anneaux vissés au sol. Ils y plaçaient des caméras. D’autres hommes regardaient. Peut-être des maîtres, des clients, des futurs participants. Parfois, un inconnu entrait. Sans dire un mot. Il s’approchait. Déshabillé. La forçait. La prenait. Elle ne savait plus combien de bites elle avait prises. Combien d’orgasmes elle avait subis. Combien d’hommes elle avait dû lécher, sucer, avaler jusqu’à l’étouffement. Ils l’utilisaient même pendant son sommeil. Elle se réveillait parfois avec le goût du foutre encore chaud sur sa langue, la sensation d’un vibro encore actif enfoncé profondément, les jambes trempées. Une semaine passa. Peut-être deux. Elle n’avait plus de repères. Ils la rasèrent. Corps entier. Plus un poil. Pas même sur la tête. Puis marquer d’un numéro . Sur une fesse : PROPERTY Sur le bas-ventre : USE ME Chaque fois qu’un nouvel homme entrait, il la tournait, lisait les mots, et agissait en conséquence. Un jour, ils l’attachèrent à un chevalet. Les jambes totalement écartées, le corps étendu, offert. Cinq hommes, cette fois. L’un à la bouche, l’un aux seins, deux pour les trous. Le cinquième filmait, en silence. Elle était secouée de spasmes. Trop. Trop longtemps. Trop fort. Mais elle ne disait rien. Elle ne criait même plus. Juste des râles, une respiration animale, les yeux révulsés. Elle était devenue une fonction. Un outil. Un orifice. Plusieurs, même. Quand ils eurent fini, ils ne la détachèrent pas. Ils la laissèrent là, nue, ouverte, suintante, tremblante. Un seau d’eau glacée lancé sur son corps. Puis le noir. Et dans le noir, une voix douce, presque tendre, lui murmura : — Tu es prête pour la dernière étape. Elle ne savait plus parler. Pas parce qu’on lui avait interdit. Mais parce qu’elle avait oublié comment. À force de bâillons, d’ordres secs, de punitions immédiates à chaque mot prononcé sans autorisation, son esprit avait intégré la règle : le silence est la forme la plus parfaite de soumission. On l’appelait uniquement par un numéro. Zéro-sept. Ses gestes étaient codifiés. Chaque position était ancrée par la douleur. Genoux ouverts, front au sol, bras derrière le dos : position de repos. À plat ventre, cuisses écartées, les doigts écartant sa propre chair : position d’invitation. Accroupie, langue tirée, regard fixé sur une verge en érection : position de demande. Elle n’était plus une femme. Elle était leur chose. La salle de dressage était différente : plus grande, éclairée de projecteurs, équipée de crochets, de chaînes, de miroirs. Des caméras. Des sièges en gradins. Elle y fut amenée nue, en laisse, marchant à quatre pattes. Sur son dos, une plaque métallique vissée à un harnais disait : PROPERTY - 07 - LIVE USE ONLY. Ils l’avaient préparée : plug lourd enfoncé dans son anus, vibro relié à une télécommande dans son sexe, seins pincés dans des anneaux métalliques reliés à des poids. Ses lèvres avaient été cousues pour la journée — pas celles de la bouche : celles de sa chatte. Symbole de fermeture. De soumission temporaire. Bientôt, ce serait l’ouverture définitive. Devant les gradins, ils la firent monter sur une table d’exposition. Lumière crue. Regards anonymes. Une vingtaine d’hommes, peut-être plus. Aucun ne parlait. Tous observaient. Un maître s’approcha. Le seul qui parlait. Le formateur. — Zéro-sept est prête. Ce corps ne lui appartient plus. Ce corps est fonctionnel. Ce corps est docile. Ce corps est à utiliser. Il appuya sur une télécommande. Le vibro s’activa d’un coup. Fort. Brutal. Elle hurla à travers ses dents serrées. Les contractions étaient immédiates, incontrôlables. Des spasmes secouaient son bassin. Ses cuisses claquaient contre la table. Des fils de salive pendaient de sa bouche entrouverte. Les poids sur ses seins se balançaient à chaque secousse. Un premier homme s’approcha. Sans un mot. Il enleva son pantalon. L’attrapa par les hanches. Et s’enfonça en elle. Sec. Profond. Brutal. Elle se cambra. Pleura. Mais ne bougea pas. Le public regardait. D’autres se masturbaient déjà. Un deuxième homme vint derrière. Il retira le plug. Cracha dans son poing. Et força l’entrée plus étroite. Elle gémit. Gronda. Puis céda. Double pénétration. En public. Comme bétail. Elle perdit conscience quelques secondes. Revint. Suffoqua. Puis un troisième lui attrapa la gorge. Et l’embrassa. Férocement. Il s’assit sur son visage. Elle sut ce qu’on attendait. Ses narines obstruées. Elle étouffait. Mais elle léchait. Tête bloquée. Esprit noyé. Ils la retournèrent. L’étirèrent sur un cheval de bois, les jambes sanglées. Chaque spectateur put venir. Tour à tour. Sexe en bouche. Sexe en elle. Fessée. Doigts. Instruments. L’un d’eux urina sur elle. Elle resta immobile. Elle n’était plus une chose. Elle était la chose. À la fin, elle fut remise dans sa cage, trempée, marquée, vidée. Mais elle souriait. Vraiment. Ils l’avaient transformée. Et elle n’avait jamais connu un tel bonheur. Le jour de sa sortie, il n’y eut ni mots, ni promesses. Juste une clé dans une main gantée, une porte entrouverte, et un regard furtif de l’un d’eux — non pas de domination, mais de quelque chose d’autre. Un bref éclat. De respect, peut-être. Elle marcha, pieds nus sur le gravier. Son corps portait encore les marques : cicatrices, traces d’anneaux et de chaînes. Mais elle marchait droite. Calme. Dehors, la lumière était plus forte que dans ses souvenirs. Elle ferma les yeux. Inspira. Le monde n’avait pas changé. Elle, si. Elle apprit à vivre avec un corps qu’elle ne reconnaissait plus. Trop léger, trop silencieux. Chaque caresse de tissu, chaque regard, chaque geste banal dans la rue avait un poids nouveau. Elle n’évitait pas les miroirs. Elle les regardait en face, longuement. Il lui arrivait de pleurer, sans comprendre pourquoi. Elle ne parlait pas de ce qu’elle avait vécu. Pas parce que c’était honteux — mais parce que les mots étaient trop petits. Trop plats. On lui aurait dit qu’elle exagérait, ou qu’elle délirait. Et surtout : on aurait voulu comprendre, expliquer, juger. Elle ne voulait plus rien prouver. Elle avait été au fond d’elle-même. Et elle en était revenue. Parfois, la nuit, les sensations revenaient. Les postures. Les réflexes. Les ordres. Elle se réveillait haletante. En sueur. Mais elle restait couchée. Et elle murmurait : C’est fini. Non pas avec regret. Pas non plus avec soulagement. Juste avec une forme de gratitude étrange. Parce que ce chapitre l’avait traversée, consumée, révélée. Elle n’était plus une femme brisée. Ni une victime. Ni une esclave. Elle était une femme qui avait exploré l’extrême. Et qui avait décidé, un jour, de revenir. Elle reprit un travail. Modeste. Silencieux. Elle n’aimait plus les bruits forts, ni les foules. Mais elle souriait aux gens. Écoutait. Offrait une forme d’attention rare. Dans ses gestes quotidiens, il y avait une lenteur nouvelle. Une précision. Comme si chaque acte était un choix conscient. Elle avait réappris à parler. Mais elle choisissait ses mots avec soin. Elle ne comblait plus les silences. Elle avait compris, quelque part au fond, que ce qu’elle avait cherché dans l’oubli de soi, c’était une vérité. Un noyau dur. Et maintenant, elle portait cette vérité comme une cicatrice lumineuse, invisible. Elle n’appartenait à personne. Pas même à elle-même. Et dans cette pensée, il y avait — enfin — une paix.
347 vues 2 aime
Par : le 14/05/25
Quelques personnes se sont senties visées par mon dernier article. Certaines un peu critiquées. D’autres… trop bien décrites. À cela je réponds : Si la chaussure vous va… mangez-la. Ou mieux encore : reconnaissez vos comportements, mettez un mot dessus, et faites le travail pour changer. L’élégance commence là où le déni s’arrête. Maintenant, entrons dans le sujet du jour : Comment gérer la transition entre soumise et domina quand on est switch ? On dirait deux pôles opposés. Et pourtant, pour certaines femmes, ces deux dynamiques vivent en harmonie… ou en tension. Mais attention : ce n’est pas un jeu de costumes. C’est un glissement d’énergie, une façon de canaliser deux parts d’une même puissance. Voici ce que j’ai appris : 🩸 1. La soumise en moi a besoin de sécurité. La domina, elle, incarne la sécurité. Quand je suis en soumission, je cherche un homme qui voit clair, qui guide sans vaciller. Quand je suis en position dominante, c’est à moi d’offrir cette clarté. Pas par dureté, mais par présence stable. 💡 2. Ce n’est pas une contradiction. C’est une conscience du moment. Je n’ai pas à "choisir un camp". Je ressens. J’écoute. Je m’adapte. La clé, c’est la lucidité émotionnelle, pas le contrôle rigide. 🌊 3. Certains jours, j’ai besoin d’être tenue. D’autres, c’est moi qui tiens. Ce n’est pas de l’instabilité. C’est une écoute fine du rythme de mon monde intérieur. Et je m’entoure de partenaires capables de suivre — ou de guider — selon le moment. 🔥 4. Mon autorité vient de ma vulnérabilité comprise. Ce n’est pas en rejetant ma part soumise que je deviens une bonne domina. C’est en la connaissant intimement que je peux incarner l’autre rôle avec vérité. 🎯 En résumé : Je ne "joue" pas la soumise. Je ne "prétends" pas être une domina. Je suis. Et je choisis consciemment où je place ma puissance, selon le moment, selon l’homme, selon moi.
173 vues 16 aime
Par : le 13/05/25
Il est facile de constater en réel que je ne suis pas aussi extravertie que ne le laisse paraître les reseaux. Je suis une boule d'émotion que je dois gère constamment, ma voix et ma gestuelle me trahissent souvent. J'oscille entre crainte de maladresse et c'est souvent là où je le suis le plus😅 et la crainte d'être rejeter. Hier soir je me suis rendu à mon premier Munch and Play j'ai eu un démarrage plutôt long même si l'envie était la. Il me fallait prendre le risque de demander et peut-être être confronter à un refus. Ce n'est pas simple quand on n'a jamais pratiquer en-dehors d'une relation. 22h je me secoue et j'ose enfin demander à Lady Spencer si elle serait d'accord de faire de l'impact sur moi. Elle accepte, je suis soulager et super contente. Quand elle est prête, je la suis et m'installe comme elle me le demande. J'ai les mains poser de chaque coter du carcan. Elle me demande comment je signal que c'est trop je lui dit que je lèverais la main gauche si jamais, Je sais que je ne suis pas du genre expressive. Lady spencer me demande si je suis d'accord que son ami Khaos_Wolf se joigne a elle j'accepte sans hésité si elle le considère comme un ami je lui fait confiance par procuration. Lady spencer commence et moi je me bulle dans mes ressentis "je suis simplement" je ressens mon corps ce qu'ils lui font vivre j'ai plus aucune penser qui m'habite je ne fais que sentir les impacts sur ma peau je me sens bien je suis bercée, impactée, claquée... il y a les sons, les courant d'air et les sensations j'enregistre toute ses données. J'entends un soumis qui gémit en choeur avec mes ressentis sa maîtresse c'est mis au même rythme que Khaos_ Wolf j'ai le sourire qui me vient aux lèvres. je suis bien, j'ai pas envie que ça se finisse mais toute les bonnes choses en on une de fin. Je vous remercie encore une fois tout les deux parce que cette expériences m'a permise de comprendre que c'est ça que j'aime dans les jeux d'impacts c'est ma bulle c'est le repos de mon esprit parce qu'il est occuper a géré mes ressentis et j'aime ressentir. Durant ce temps je n'ai pas eu a géré mes peurs n'y mes angoisses et pas non plus de pense parasite... Parce qu'ils n'avaient simplement pas leurs place Merci a vous deux de m'avoir offert ce répit. C'est une facette de mon masochisme que je saurais exprimer maintenant grâce a vous même si c'est de façon involontaire...
296 vues 16 aime
Par : le 12/05/25
I. Prologue Il n'est pas très long, il est épais, bien tendu avec son gland turgescent, arrogant et ses bourses bien serrées. Il ressemble au sien mais ce n'est pas le sien. Jean qui est si amoureux du sexe féminin qu'il a honoré maintes et maintes fois, comment s'est-il retrouvé avec ce sexe masculin dressé en face de son visage, qui le menace tel un sabre prêt à s'abattre sur sa proie ? il ne sait pas, il ne sait plus, son esprit se brouille, il reste figé, il a l'impression d'être fiévreux et son cœur bat la chamade. Tout à coup il ressent une douleur au niveau du dos, accompagnée d'un claquement sec et il entend derrière lui la voix d'une femme lui dire sur un ton autoritaire :"Qu'est-ce que tu attends ?". Le coup de martinet l'a fait sursauter mais il n'a pas pu se redresser et a failli s'étrangler, son cou étant harnaché d'un collier muni d'anneaux dont l'un était savamment relié à des menottes de chevilles. En un instant il s'est souvenu pourquoi il était ici dans cette situation. II. Acte 1 A. Une curieuse rencontre Jean est un homme assez solitaire mais, ayant eu une semaine difficile, il décida d'aller en discothèque. Après avoir commandé un verre au bar il est allé s'assoir sur un pouf devant lequel se trouvait une table basse déserte et en face une petite banquette vide de tout occupant. La musique ne lui plaisait pas vraiment mais il aimait bien observer les gens et cela le distrayait. Tandis qu'il s'amusait à regarder cette foule qui se dandinait, gesticulait et parfois vociférait, un homme qui tenait un verre dans chaque main lui demanda tout en désignant la banquette ;"La place est prise ?" "Non apparemment il n'y a personne !" répondit Jean. L'homme posât les verres sur la table, une femme le rejoignit aussitôt et tous deux s'assirent sur la banquette. L'homme était grand, les cheveux gris assez courts, il portait un costume et une chemise noirs et une chaîne, probablement en or, brillait autour de son cou. La femme portait une jupe noire avec un chemisier rouge un peu échancré sur sa poitrine généreuse. Elle était de taille moyenne, cheveux châtains, mi longs et bouclés. Elle paraissait plus jeune que lui mais devait avoir une cinquantaine d'années et Jean était impressionné par sa beauté. Jean se dit qu'il avait de la chance car il craignait que s'installent de jeunes gens en fin d'adolescence un peu bruyants et turbulents.  Apparemment ils n'étaient pas venus là pour danser. Ils regardaient ce qu'il se passait autour en sirotant leur cocktail et en se chuchotant à l'oreille de temps en temps. Chuchotements suivis de sourires et de hochements de tête. Puis ils ont commencé à engager la conversation avec Jean. Des banalités du genre "Vous venez souvent ici ?"…  Ils ont continué à discuter de choses et d'autres avec leurs verres à la main. Voyant que Jean était seul la femme lui demanda "Vous n'avez pas de copine ?". Jean lui répondit par la négative. Ils ont enchaîné sur une autre question "Un copain ?". Jean leur a également répondu par la négative tout en avalant de travers et dit en toussotant "Ce n'est pas ma tasse de thé !". B. L'intimité dévoilée Étonnés, ils ont cherché à en savoir plus sur lui. En fait, c'était surtout elle qui lui posait des questions et face à cette beauté il ne pouvait pas faire autrement que d'y répondre franchement. Il était comme hypnotisé. Jean se mit à leur parler un peu de sa vie. "J'ai eu plusieurs femmes dans ma vie, j'ai même été marié plusieurs fois et ai des enfants mais les circonstances de la vie ont fait qu'aujourd'hui je vis seul". Puis d'une voix presque déçue elle lui a posé la question suivante : "Donc, avec un homme vous n'avez jamais essayé ?". Tout en étant surpris et très gêné par la question, nul ne sait pour quelle raison, il finit par lui répondre par l'affirmative et lui a expliqué les circonstances. "Il y a pas mal d'années en arrière alors que j'étais représentant de commerce je dînais seul dans un restaurant de Narbonne avant de rejoindre mon hôtel. En face de moi se trouvait un autre homme et nous avons engagé la conversation. Au cours du repas j'ai compris qu'il me draguait ouvertement et comme je suis ouvert à toute expérience j'ai accepté d'aller chez lui pour boire un verre. Puis nous nous sommes retrouvés sur son lit et avons fait un soixante-neuf. Il avait un sexe si petit que j'avais l'impression de sucer un clitoris. Mais ce clitoris-là a fini par éjaculer dans ma bouche sans que je m'y attende. Finalement je suis rentré à ma chambre d'hôtel dégoûté et très déçu car je n'avais eu aucun plaisir.". Apparemment ravie de la réponse de Jean elle lui demanda "Retenteriez-vous l'expérience ?". Jean lui répondit "Non jamais, à moins de m'y forcer !". Le visage de la femme s’éclaira d’un sourire malicieux et dit : "Oh pardon ! Nous ne nous sommes pas présentés ! Martin, mon mari et moi c'est Sabine !" Ravi de ne pas passer la soirée seul dans son coin Jean répondit "Enchanté ! Moi c'est Jean !". "Enchanté également !" dit Martin tout en serrant la main de Jean. "Nous sommes ravis de vous avoir rencontré !" s'exclama Sabine  Puis elle a pris une forte respiration et sur un ton enjoué elle l'a invitée à venir boire un verre chez eux pour faire plus ample connaissance. Son mari acquiesça tout en vantant la qualité d’un cognac hors d’âge qu’il avait dans son bar. Jean accepta l'invitation. C. En route pour l'aventure Ils sont donc sortis de la discothèque et lui ont proposé de monter dans leur voiture, pour éviter qu'il se perde en route, en lui promettant de le ramener plus tard afin qu'il récupère la sienne. L'argument lui paraissant valable il est monté dans leur voiture. Jean regardait le paysage nocturne défiler tout en se demandant s'ils habitaient loin, car il commençait à trouver le temps long et qu'il régnait un grand silence dans le véhicule. Soudain, alors qu'elle conduisait, son mari assis sur le siège passager et lui à l'arrière, elle a recommencé à lui poser des questions tout en l'observant dans le rétroviseur. "Lorsque vous dîtes "à moins de m'y forcer" cela veut-il dire que vous êtes du genre soumis ?". Jean lui a répondu que dans la vie il y a des moments où l'on maîtrise une situation et des moments où l'on s'y soumet. Puis il ajouta instinctivement "j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement !". Il regretta instantanément ses paroles et se demanda pourquoi, dès que Sabine a commencé à lui poser des questions sur sa vie intime, il y répondait spontanément, sans réfléchir. Mais, finalement, cela lui faisait du bien de parler de ces besoins inassouvis, ancrés au plus profond de son être à des personnes qu’il n’avait jamais vues et qu’il ne reverra probablement jamais. Donc, peu importe leur jugement. À travers le rétroviseur il vit qu'elle esquissait un sourire et qu’ elle caressait la cuisse de son mari qui lui, restait impassible. À ce moment il a compris qu'il partait dans une aventure dont il ne connaissait pas l'issue et cela l'excitait et il commençait à sentir une chaleur bizarre monter en lui. Comme si tout le poussait à s'abandonner totalement à ce couple si cordial mais si intrigant sachant que, s'ils avaient de mauvaises intentions il était capable de se défendre. Ils ont pris une rue bordée de jolies propriétés puis sont arrivés devant un portail en fer qui s'est ouvert lorsqu'elle a actionné la télécommande et ils ont remonté une petite allée dont les graviers crissaient sous les pneus pour enfin s'arrêter devant une maison bourgeoise datant probablement de la fin du XIXème siècle. Ils sont descendus de voiture et jean les a suivis en prenant une grande bouffée d'air, pendant qu'ils montaient les quelques marches surplombées par un magnifique porte, afin de reprendre ses esprits et de rester sur ses gardes car, même s'il est toujours partant pour découvrir l'inconnu, il est toujours vigilant. Une fois à l'intérieur sa première impression s'est révélée exacte. C'est bien une maison du style victorien. Ses hôtes l'invitèrent à les accompagner dans un salon se trouvant à gauche de l'entrée. Le mobilier était moderne et confortable. Ils le prièrent de s'assoir dans un fauteuil et tandis que Sabine s'installait dans le canapé juste en face, en découvrant largement ses longues jambes fuselées, Martin lui proposait son fameux cognac. À ce moment il ne savait plus trop que penser. La finalité était peut-être une relation sexuelle. Mais laquelle ? Sabine voulait-elle se faire prendre en sandwich ou Martin était-il adepte du candaulisme ?    
134 vues 8 aime
Par : le 12/05/25
Un soir de février. La nuit tombe tôt en cette période de l'année. La lueur de la lune réveille la femme qui se cache derrière elle. Un soir de février, des plus banals pour la plupart du monde mais pas pour cette femme. Elle l'a méticuleusement choisi pour se dévoiler. La date a été fixée, le lieu de rendez-vous aussi. L'heure fatidique approche, la femme s'apprête le cœur battant de plus en plus fort. Elle allume une cigarette à sa fenêtre pour tenter de calmer son esprit.    La femme c'est moi et plus je m'apprête plus je me dis qu'il n'est pas possible de faire machine arrière. Je dois apprendre à embrasser mes vices. Oui, je suis sur le point d'aller rencontrer un inconnu avec qui j'échange depuis quelques jours sur un site BDSM. Est-ce que je l'assume ? A moitié seulement je crois bien. Est-ce que je suis sereine? Certainement pas. L'expérience est nouvelle pour moi. Jusqu'à là, je m'étais tenu à distance des sites de rencontres. Je me suis toujours dit que cela devait quand même être bien étrange de voir quelqu'un pour la première fois en ayant déjà un enjeu en tête. Où est la part de naturel et de spontanéité qui fait le charme d'une rencontre? Puis parano comme je suis, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a toujours un risque de tomber sur un fou, une personne mal intentionnée. Que se passerait-il si mon radar n'était pas si bien aiguisé, si je m'étais trompée et que le scénario kidnapping dont on a discuté ne soit pas tant scénario que cela. Alors oui, je l'avoue, j'ai partagé à une amie de confiance l'identité de la personne que je devais rencontrer ainsi que le lieu de cette rencontre. Mais malgré tout, me voilà ici en train de choisir une tenue dans laquelle j'espère lui plaire. Ce sera une jupe en cuir marron avec un pull noir décolleté dans le dos.    J'éteins ma cigarette. Elle n'aura pas fait grand effet malheureusement mais il est temps de partir. J'enfile mon manteau avant de sortir dans la rue. L'air y est frais, une fine pluie se fait ressentir. Je fais partie de ceux qui aiment la pluie, elle m'ancre et me détend. Je lève la tête et regarde la lune tout en ressentant la pluie qui vient apaiser le coup de chaud que je viens d'avoir sous l'effet du stress. Mes pas me dirigent lentement vers le bar que l'on a choisi pour lieu de rendez-vous.   Une silhouette se devine au loin, cachée sous un parapluie aussi sombre que la nuit. C'est bien vous. Plus de doute possible lorsque vous m'approchez tout en riant du fait que je ne vous ai pas reconnu. Je remets la chose sur ma piètre vue et le fait que vous vous cachiez. Pourtant , vous n'avez rien à cacher. Loin de la même... Vous avez un charme troublant allié à une prestance rassurante. Un sacré mélange qui a de quoi faire perdre pied. Les nôtres nous mènent à l'intérieur du bar où nous nous dirigeons vers le comptoir. Vous avez retenu ce que j'aimais boire. Un vin blanc sec? Pas pour ce soir, du moins pas pour le moment. Je crois bien que j'aurais besoin d'un peu plus ... disons une bière rouge en 50 .. ça devrait faire l'affaire. Un "tu" m'échappe alors. Décidément, je n'ai vraiment pas l'habitude du vouvoiement, je vais devoir travailler là-dessus. Ce "vous" est le symbole d'une soumission nouvelle que je découvre au gré de la soirée.    Une fois nos verres en main, nous nous installons dans un canapé dans le fond du bar. Ce coin nous offre une intimité limitée mais agréable. Un groupe de jeunes se trouve quelques tables plus loin. A peine assise, je renverse déjà une gorgée de mon verre. "C'est l'effet que je te fais?" Faut croire oui, ça et ma maladresse habituelle. Les verres se vident au cours des discussions riches et variées. Je ne pensais pas pouvoir me livrer de cette manière à un inconnu. Vous n'avez pas menti, vous savez mettre les gens à l'aise, tant et si bien que je me retrouve à parler BDSM de manière déconcertante lorsque l'on sait que des oreilles qui peuvent être indiscrètes se trouvent à quelques mètres de nous. Il y a ce feeling, cette complicité naissante mais naturelle que je cherchais. Je profite de l'un de vos passages aux toilettes pour répondre à mon amie qui me demande si tout va bien. Oui, tout va bien, même parfaitement bien. Pas de kidnappeur fou mais un coup de coeur qui se confirme. Un coup de coeur qui risque de me pousser à faire des folies par la suite.    Je me lève pour aller chercher un autre verre. Vous en profitez pour me faire passer devant vous afin de mieux me reluquer. Vous me complimentez sur le choix de ma tenue. Note à moi-même: ne pas hésiter sur les jupes en cuir par la suite.    Je reviens avec un nouveau verre à la main, un verre de blanc sec cette fois. La bière à jeun a fait son effet, il est temps de lever un peu le pied si je ne veux pas finir bourrée. Je repasse devant vous et me rassois à vos côtés , un peu plus proche cette fois et sans rien renverser, ce qui relève de l'exploit attention!    Je l'ignorais mais une surprise m'attend. Vous m'aviez dit vouloir tester mon potentiel de soumise au cours de la soirée, apparemment, le moment est venu. Vous me tendez le fond de votre bière blonde et m'annoncez très sérieusement et de manière très sensuelle que vous avez laissé une partie de vous dans ce verre. Vous n'avez pas besoin de finir votre phrase que j'en devine déjà la fin. Vous attendez de moi que je le boive avec le filet de votre salive que vous y avez déposé pendant mon absence. Je le saisis d'une main assurée tout en vous regardant dans les yeux et le bois d'une traite sans vous lâcher du regard. Il y a de quoi être surpris venant de quelqu'un qui n'aime pas la bière blonde mais il faut croire que votre salive y a ajouté un certain goût qui n'est pas déplaisant, et puis, vous le comprendrez bien assez vite, mais j'ai également un certain goût pour les défis. Un sourire satisfait se dessine alors sur votre visage ce qui vous rend encore plus charmant, ou peut-être que c'est ce désir naissant que je devine dans votre regard pénétrant.    Tous les voyants sont au vert depuis le début de la soirée et celle-ci prend une tournure un peu plus intime. Nous avions évoqué le sujet de nos zones érogènes par message. Votre mémoire sélective s'en rappelle très bien voire même un peu trop bien pour me laisser impassible. Le terrain de jeu est ouvert. Votre main remonte à mon cou et le caresse sensuellement. Un frisson me parcourt le dos. Vos doigts se baladent et dessinent une ligne invisible. Mon cou est trop nu à votre goût, il lui manque quelque chose comme un collier. Vos doigts repassent sur cette même ligne invisible et cette fois, je le ressens, je le visualise ce collier. Il arrivera à temps et m'habillera fièrement lorsque nous l'aurons tous deux mérité. Je me tais et profite du moment. Le silence n'a rien de gênant, il fait partie intégrante du jeu et nourrit la tension. Vous reprenez alors la conversation et me posez une question. Je regagne mes esprits et m'attelle à vous répondre mais c'était sans compter sur votre main qui a décidé, mine de rien, de changer de terrain de jeu. Elle remonte le long de ma cuisse déclenchant un feu en moi. Votre main trouve le foyer du feu et vient le recouvrir. "Bah alors.. je t'écoute !" . Plus d'esprit à regagner, il est parti, enfoui six pieds sous terre, là où se cachent les vices abyssaux. Je reste bouche bée, le masque s'est fissuré laissant ainsi la chaleur se propager. Au secours de l'air et de l'air le plus toxique possible s'il vous plaît! Une cigarette, voilà ce qu'il me faut!    Vous m'accompagnez sur la terrasse. Il pleut encore mais pas assez pour éteindre le feu en moi. Je me sors une cigarette et m'apprête à l'allumer. "Passe-moi une cigarette". Où est donc passée votre politesse ? " Passe-moi une cigarette, chère soumise". Voilà qui est déjà mieux. Vous avez une manière de dire ce titre qui donne envie de l'entendre encore et encore.    Nous retournons à notre place une fois la cigarette finie. Le bar commence à se vider. Nous continuons à parler et à rire. Qui aurait pu croire qu'on se voyait pour la première fois.. peut être ces oreilles qui doivent s'étonner du fait de m'entendre vous vouvoyer mais je n'ai plus que faire de ce qu'ils peuvent penser de nos échanges. Nous restons jusqu'à ce que le barman vienne nous mettre à la porte car le bar ferme. Cela signifie qu'il va être l'heure de se quitter. Une heure bien trop prématurée à mon goût mais nous nous sommes mis d'accord sur le fait qu'on voulait prendre notre temps avant d'aller plus loin. Vous me proposez de me raccompagner chez moi. Nous prolongeons ainsi encore un peu ce délicieux moment passé ensemble que l'on ne veut pas se voir finir. Mon immeuble se profile au bout de la rue. Nos pas ralentissent histoire de grappiller encore quelques instants. Il est pourtant temps de se dire au revoir. C'est là que nos lèvres se rencontrent pour la première fois. Un baiser doux et sensuel qui me transporte dans un autre monde, un monde de BDSM.    Je vous quitte alors pour rejoindre ma porte. Je me retourne une dernière fois en tournant les clés dans la serrure. Vous êtes encore là à me regarder. Je vous fais un signe de la main en souriant avant de vous observer retourner dans l'obscurité de la nuit. La femme de la nuit a donc trouvé son homme. A très vite, cher homme de la nuit.  
115 vues 10 aime
Par : le 11/05/25
(Fiction inspirée d’un jeu élaboré avec une jolie complice) L. apprécie les scénarios imprévus, les surprises, les attentions dédiées, pour ces raisons, j’imagine toutes sortes de situations personnalisées pour que ce petit démon succube reste éveillé et lié aux arts S-M. Elle m’en offre elle-même parfois l’occasion, pour exemple, un soir,  son arrivée avec un simple blazer et un foulard aux couleurs de la Brit-Air (compagnie d’aviation). Et nous voilà juste avant l’embarquement « Bienvenue à bord pour un vol de la compagnie « 7ième Ciel », le commandant de bord va vous attachez par une ceinture et vous maintenir en attitude mal élevée, la vitesse de vol sera de 1000 nœuds de shibari. Vous risquez de subir quelques perturbations. Veuillez mettre un bandeau sur vos yeux le temps du viol… pardon du vol ! » Mais… mais les distances séparent parfois les êtres, et il y a des lustres que nous n’avions pas joué. Voici que, en ce samedi soir se dessine une nouvelle opportunité de nous revoir, rendez-vous est pris pour l’emporter vers un nouveau voyage, à moi de me renouveler ! Un voyage statique puisqu’il sera pour elle celui de la captivité ! J’invente donc une histoire un peu mêlée de sa propre vie et d’une totale fiction inspirée des événements rennais de la semaine. Pour le matériel… je récupère l’indispensable, une chaîne à maillons noirs capable des bruits les plus empreints de notre imaginaire carcéral, 2 cadenas et surtout une multitude d’éléments qui doivent la mettre en situation de rage, de folle impatiente et l’amener à me maudire de mes stratagèmes machiavéliques, et plus ils seront nombreux et plus il faudra invoquer St Léonard pour opérer sa délivrance. Tout est en place dans le donjon, avec en évidence la boite du sésame convoité, je valide la longueur de la chaîne idéale pour rester hors de portée de la liberté. Reste plus que la longue attente jusque l’annonce de sa présence sur le seuil de la porte. « Ding ! Dong ! » Dans cette soirée à peine entamée, une ombre illumine la nuit, elle est là ! L. resplendit, et ce n’est pas l’attente insupportable qui pourrait calmer mon emploi de superlatifs, elle est très apprêtée, parfait maquillage de séduction, long cheveux noirs, belle comme dans mon souvenir, décolleté offrant sa généreuse poitrine, ses jambes sont gainées de noir et de longues bandes élastiques remontent vers ses cuisses à l’abri des regards vers un hypothétique corset ou porte-jarretelles. Le stationnement est relativement aisé à très courte distance de ma porte et c’est une chance, car j’aurais pu l’attendre le reste de ma vie, dans le cas ou un « facheux » aurait croisé sa route. C’est un appel au vice qui se présente à mon entrée. Invitée à prendre place, les bulles servies nous rapprochent et nous font nous retrouver, mon regard n’a de cesse que de s’égarer dans le couloir pigeonnant fermé par son cardigan cintré. Il me faut taire l’énoncé du plat servi sous l’éclairage du bougeoir à trois branches, car ma mémoire ne saurait en décrire le détail et surtout, ami lecteur, il ne vous est pas nécessaire que je vous le conte par le menu, il y a mieux à dire et décrire. Dans l’escalier je fais acte de précédence, je monte devant elle tourne au demi-étage, et commence l’ascension des 8 dernières marches dressant l’oreille. J’entends qu’elle pose le pied sur la 1ère marche pour quitter le demi-pallier. Moi « Non ! » Je me suis vivement retourné, elle est toute surprise « Non ! Vos épreuves commencent ici » Je pose mon index sur son plexus. « Veuillez monter les dernières marches à genou ! » L. sourit, ça y est le jeu commence, sans se départir de son caractère contradicteur « Je n’ai vraiment pas adopté la bonne tenue pour marcher à 4 pattes »  Mais L. s’exécute, nous entrons dans le donjon. La partie est lancée. Je précise d’un ton ferme « Nous savons tout de vous, nous suivons votre parcours depuis la capitale en fait, tous vos faits et gestes sont suivis, vous êtes sur écoute depuis des mois ». L. se demande ou je veux en venir « Vous avez il y a quelques mois offert vos faveurs à une personne détentrice de l’autorité en la qualité d’un commissaire de police, ainsi vous avez réussi à soudoyer un fonctionnaire de l’état, ne niez pas ! Nous savons tout ! » L. se confirme maintenant dans le fait que le peu de son passé qu’elle m’a révélé va être utilisé pour construire l’histoire de la soirée. Moi « Je me présente, je suis le directeur du centre de rééducation, j’ai lu vos états de faits, ils nous ont révélé que vous aviez voulu infiltrer les services de police pour aider les réseaux mafieux de la capitale, le grand banditisme, les narcotrafiquants » L. ne dit rien, portée semble-t-il par la pièce que je lui livre. Je la pousse rudement en dehors du coin « Vanille » depuis l’entrée vers la partie dédiée aux sévices et autres pratiques contraignantes. Nous sommes maintenant dans le parc d’attraction, pour ceux qui n’auraient pas encore connaissance de ma tanière, il s’agit tout simplement d’un donjon fort agrémenté de mobilier BDSM. Moi "La capitale n'a pas réussi à vous prendre au collet, et donc vous avez perpétué vos activités pour faciliter les agissements du milieu du banditisme, mais ici vous êtes à Rennes. Il y a 3 jours des hommes ont ouvert le feu place Kennedy, il n’aura fallu que quelques heures à nos services pour arrêter les 4 protagonistes de l'affaire, on ne badine pas ici, ou plutôt si ! Moi ! Je "Badine", mais l'action est différente, tenez-vous le pour dit et préparez vos fesses " Au sol, je saisis la chaîne accrochée au pied de la croix de St André par un cadenas déjà fermé et dont la clef est à l’abri dans ma poche. Au bout de la chaîne un autre cadenas attend. Je fais un tour complet de sa cheville gauche avec une dizaine de maillons et referme le cadenas accroché en bout de chaîne sur un maillon au plus serré de l’autre côté de sa botte. Je retire la clef du cadenas. Prise comme un oisillon avec un fil à la patte, même se sauver en enlevant la botte est impossible car le bracelet de cheville constitué par la chaîne est trop serré. Moi « Regardez bien cette clef ! » L. m’observe m’éloigner de dos, la clef bien en évidence relevée à hauteur de tête Moi « Et maintenant ouvrez bien vos oreilles » Je l’espère attentive aux bruits. Je me dirige vers la sortie, j’ouvre la porte et je laisse tomber la clef dans le vide de l’escalier, un petit silence puis le bruit de la clef 2 étages plus bas. Je reviens vers elle. « Voilà plus aucun moyen de vous libérer hormis retrouver l’autre clef cachée ici dans le donjon, et sur laquelle il va falloir mettre la main pour vous tirer de ce mauvais pas, car nos intentions à votre égard sont claires, nos services ont choisi de vous épargner les 2 ans en maison de redressement qui sont retenus contre vous, à condition !... Que vous travailliez pour nous » Je saisis L. dans mes bras et commence à relever sa jupe, tiens ! Elle a les fesses nues, c’est donc un collant ajouré. Je lui administre une gentille fessée et continue à la convaincre qu’elle a tout intérêt à collaborer. Moi « Nous cherchons à vous retourner, il va sans dire que le test de ce jour auquel vous êtes « Soumise » est conditionnel à votre libération, si vous réussissez à vous en extirper, c’est que vous avez les compétences requises, vous travaillerez donc à infiltrer le milieu de la prostitution pour nous. Surveillance, observation, rapport à nous remettre, mais… interdiction de pratiquer. Votre site de travail sera le trottoir, protégée par nos services et payée par les deniers de l’état, une retraite rêvée n’est-ce pas ? » Moi « Voilà maintenant c’est à vous de jouer, la longueur de votre chaîne vous autorise largement à repérer la solution qui est devant vos yeux, à hauteur, non dissimulée, il vous suffit de parcourir la pièce. Par contre le sésame que vous cherchez est hors d’atteinte, votre rayon d’action est insuffisant pour réussir à poser la main sur la clef recherchée » Je m’assieds dans un fauteuil de cuir pour profiter du spectacle. Intéressant de suivre le cheminement qui va conduire notre coupable agent du milieu mafieux à trouver comment résoudre son problème. Moi « Vous devez trouver le double de la clef perdue, elle est là ! A votre vue certes, mais quant à dire à votre portée, c’est une autre affaire…  votre chaîne restreint vos possibilités » L. « Je vois pas ! Ah ben ! Je dois être belle ! » Tout en regardant sa cheville enchaînée. Moi « Si vous voulez rester chez nous, notre maison de redressement vous est acquise, je vais par contre moi vous abandonner, car j’ai fort à faire » L. « Un truc en vue ! C’est gros, C’est petit ? C’est en haut, c’est en bas ? » Moi « A hauteur, ni gros ni petit, visible vous avez déjà posé les yeux dessus, là  bien en évidence ! » L. « Ben ! C’est toujours comme ça ! » Elle pressent qu’elle a devant les yeux l’objet qu’elle cherche et çà l’agace. L. « Vous allez kiffer l’expression donner sa langue au chat ». Mais de mon côté j'ai bien l'intention de l'amener d'une manière ou d'une autre vers la solution. L. est incrédule, je vois son regard qui arpente les espaces du donjon, elle ose aller au maximum autorisé par la chaîne, pose les yeux sur ce qu’elle cherche mais ne prend pas conscience que ce petit panier de bois tout simple en fond de pièce contient de quoi résoudre son problème. Moi « Ah ! On a brûlé un instant ! Maintenant c’est plus froid ! » En haut, en bas, à gauche, à droite son regard s’égare, et puis revient sur le panier posé sur un mini tabouret. Curieux que ce soit là ! Loin derrière les instruments de tortures. L. s’aventure au plus loin de la distance autorisé par son cordon ombilical relié à sa cheville et se dresse sur la pointe des pieds. L. « Ah ! Il y a des clefs à l’intérieur ! » On a franchi un pas, entrevoir que le panier contient l’objet convoité est encourageant. Elle s’allonge au sol pour obtenir le maximum d’allonge en direction du tabouret et constate qu’à peine 60 cm manquent à son rayon d’action pour arriver à ses fins. Un objet ! Il faut trouver un objet pour faire relais à sa capacité de préhension. Sa recherche est de courte durée, de gauche à droite sont rangés… mon fouet, mon Cat-O-Nine, mes martinets, mes cravaches, mes paddles et puis… 3 bâtons ainsi qu’une barre d’écartement de chevilles, c’est sur cette dernière que se porte son choix Si de mon côté j’avais imaginé qu’un simple bâton suffisait en le glissant sous l’anse du panier pour le soulever et le rapprocher, la solution choisie par L. n‘en est pas moins efficace, l’écarteur est muni d’anneaux à chaque extrémités, sans avoir l’efficacité d’un crochet, l’anneau se montre parfaitement opérant et voici qu’elle s’évertue à rapprocher le tabouret sans faire tomber le panier. L’instant est à mettre au compte des moments les plus appréciés de la soirée. Mon inestimable petite mutine, dans sa quête du St Graal, est écartelée entre un panier hors de portée et une chaîne la reliant à une croix de St André. Et pour réussir dans cette épreuve, elle est allongée par terre et son bras est étiré vers son but ce qui entraîne une jupe largement relevée sur ses cuisses, ma vue est imprenable et je m’autorise à quelques clichés voyeuristes. C’est ainsi que rapproché de 40 cm le panier se trouve tout de suite en main de L. pour lui révéler la fourbe manigance que j’avais ourdie pour lui compliquer la tâche. Trente et une clefs de cadenas sont dispersées dans le panier. Au sourire affiché par ma petite délinquante j’aurais dû quitter mon état de jubilation. Une multitude de clefs à essayer avant de trouver la bonne, je vais pouvoir la déconcentrer, ironiser, me moquer et la voir perdre patiente. Au lieu de ça ! Elle affiche un sourire… étrange ! L. « C’est celle-là ! » Une seconde, une seule seconde aura suffi à comprendre comment elle a pu trouver si vite. Plus tôt, quand je m’éloigne de dos en montrant la clef que je vais jeter par-dessus la balustrade, L. a eu tout loisir de la voir, de mémoriser, d’en faire une image gravée dans sa mémoire. Et là, tout bonnement elle vient de saisir la seule clef dont la partie qui reste extérieure à la serrure, celle-là même que chacun d’entre vous pourrait manipuler entre pouce et index, est de couleur noire. Pourquoi ne me suis pas mis dans la situation de chercher la clef avant de monter ce scénario ? Il était évident que de se servir du seul cadenas à clef noire, résumait l'identification du dit objet à une fraction de seconde, on ne m’y reprendra plus ! En spectacle comme en jeu, la base c’est… la pré-pa-ra-tion ! L., de son côté jubile, elle ne diffère pas  plus son élargissement et un genou au sol l'autre replié à la verticale, elle saisit le cadenas sur sa cheville et déclenche son ouverture. La voici qui passe de captive à libre, alors que je suis en mode frustration. L'impatience et l’agacement causés par les essais clef après clef que j'avais imaginés se sont vus réduits à néant et s'est un crève-cœur d'être passé si prêt de la voir se dégonder de ses humeurs naturelles. Quoiqu'il en soit, il me faut bien reconnaître qu'elle a réussi l'épreuve avec brio, force est de constater que les qualités requises pour la mission sont présentes chez L. Moi " Bienvenue dans les services secrets de la BADASS « Brigade Anti Demi-mondaines et ASphalteuses Sauvages ». Pour nos services votre pseudo sera Éva. L’arrivée d’un nouvel agent de la BADASS, une nouvelle naissance, Éva, l’évanescence symbolique d’un service occulte. Considérez que vous êtes une nouvelle recrue qu'il va falloir mater, votre formation commence à l'instant et croyez-moi je vais me charger avec délectation de cette tâche »  C’est le moment de profiter des subtils artifices féminins qui mettent en valeur le corps de L.  Alors qu’elle est face à moi, je fais glisser mes mains le long de sa ceinture pour atteindre la fermeture éclair de sa jupe, et chariot d’abord, puis vêtement glissent à terre. Je pose la jupe sur le prie-Dieu. De ses bottes de cuir s’arrêtant au genou monte un collant au pouvoir mimétique puissant, en effet, ce confondant trompe-l’œil imite à la perfection l’image des bas soutenus par 2 jarretelles sur le devant de ses cuisses, je suppose que l’arrière est configuré de la même sorte. Je m’occupe alors de libérer le haut, je saisis son chemisier noir à la taille et le remonte par-dessus les épaules doucement en profitant un maximum de la vision offerte par son décolleté. Le chemisier rejoint la jupe sur le prie-Dieu. Maintenant libérée de l’inutile, la voici en pleine flamboyance. Et le retour en contact avec le corps de L. est un privilège qui ne laisse pas de marbre, je suis excité et cependant je dois prolonger le jeu de rôle amorcé. Reprise de mes avances ciblées et conquérantes. Moi «  Je vais devoir vous apprendre les bases qui font une bonne prostituée, les règles du tapin, car à partir de maintenant vous êtes une petite pute » et ma phrase s’accompagne de 3 gifles de ma main droite. « Une bonne tapineuse se doit de comprendre qui est son mac’, vous êtes maintenant dans la tenue parfaite pour vos futures activités de bonne racoleuse » Nos bouches se mélangent, ça devient fougueux. L’un comme l’autre nous sommes bien échauffés, la suite semble s’orienter vers autre chose que de la récitation de haïkus japonais dans une ambiance de théâtre No. Car c’en est trop pour tous les deux, le jeu n’a que trop duré, place à l’action. Je descends à ses pieds, je n’ai habitude de ce comportement que pour la bonne cause, et c’est en prenant pour cible sa culotte de dentelle noire que mes mains s’évertuent à faire glisser un élastique rebelle à mes intentions. L. comprend que mes entreprises au sol n’ont d’autre but que de la débarrasser du dernier rempart à sa pudeur. Par le bruit métallique entendu au-dessus de moi je sais qu’elle a saisi, pour mieux assurer son équilibre, une des 4 chaînes qui suspendent le sling au plafond. Elle facilite son déshabillage en levant une jambe puis l’autre. Opération culotte-break achevée ! Je me relève en griffant ses collants, je retrouve sa bouche et nos langues pactisent à grands renforts de succion. Je cesse brutalement pour ne pas lui offrir une pause et je la fais pivoter sur sa droite sans ménagement, elle est maintenant placée face au sling et encadrée par les 2 chaînes de jambes de chaque côté de ses épaules, je descends ma main gauche à l’horizontale sur son ventre et de la main droite pousse brusquement ses épaules en avant pour qu’elle tombe à plat sur le cuir. C’est un peu la panique, elle saisit de justesse les chaines d’épaules du sling et couche sa tête de profil pour éviter au nez de se fracasser sur le collet. C’est un déchainement de cliquetis de maillons pris d’une crise d’épilepsie, le sling est balloté comme un rafiot en pleine mer sous une tempête. La position est idéale pour lui libérer la poitrine des 2 coupes de dentelles qui la retiennent, je m’y atèle mais… encore quelques secondes perdues à m’acharner sur les 2 foutus crochets d’attache du soutien-gorge. Qui a inventé le seul truc qu’une femme dégrafe en 1 seconde lorsque le meilleur mécanicien du monde y passe 5 de plus ? Y’a pas une discrimination flagrante là-dedans ? L. n’est n’a plus besoin des mots, elle suit, elle subit, elle encaisse les injonctions mécaniques et les ordres donnés, elle obéit au doigt et à l’œil, que se passe-t-il dans son esprit ? Est-ce le grand chambardement ? Une  apathie attentiste et résolue ? L’appel de son masochisme qui résonne à son esprit ? Je me dois de le lui demander dès que l’occasion se représentera. Je glisse mes mains vers ses fesses et commence une lente fessée, d’abord d’une main, puis des 2 mains alternées, puis de plus en plus vite et surtout… de plus en plus fort, pas de réaction répulsive. Qui ne dit mot, consent !… Et qu’on sent… acquise à une poursuite de la pratique. Il me plait à faire ce qui lui plait à subir ! Voilà ami lecteur ! La partie de « ça va, ça vient » qui s’en suivit n’est pas à mettre à la connaissance de vos yeux chastes, chacun ayant connaissance des teneurs brûlantes des ébats amoureux, chacun saura s’inventer les détails croustillants qui ont su nous étreindre. Désolé ! Si suite se voit écrite… elle n’aura qu’une lectrice !
173 vues 2 aime
Par : le 08/05/25
Récit fictionnel le retour.. Thème : une soirée dans un donjon privé Au moins 4 personnages  Aucune contrainte littéraire   Ma tête repose sur sa jambe. J’aime sentir la texture de son jean, douceur de ce tissu noir dont je caresse ma joue par de doux mouvements. Sa main, posée sur ma tête, joue avec mes cheveux et descend jusque dans mon cou.  Ma respiration est calme, apaisée. Elle suit celle de SweetS que je devine en regardant son dos. Il est aux pieds de sa Maîtresse, LadyM. Par de beaux mouvements, il caresse ses pieds, les masse, les chérit. Je suis si bien là, à ma place, aux pieds de mon Monsieur. Mon dos et mon cul chauffent encore de ce qu’ils viennent de vivre. Le ronron des voix me berce, Je m'endormirais presque.   Mon cerveau tourbillonne encore de sensations. Que ce fut bon…   Ce soir, j’ai rejoint mon Monsieur chez lui. Je savais que la soirée serait spéciale. Il avait dit vouloir me présenter à une de ses amies de longue date. La fameuse LadyM. Des bribes de leur complicité m’étaient parvenues au travers de nos différentes conversations. J’allais enfin la rencontrer ! J’étais très impatiente !   Mon Monsieur avait préparé une tenue pour moi. J’aime tellement qu’il le fasse. J’aime revêtir ce qu’il choisit avec tant de soin. Des bas couture noirs, un magnifique porte-jarretelle, un ensemble de lingerie que nous avions acheté ensemble (hum quel délice ce moment..) et une veste de smoking, longue, couvrant mes fesses et largement échancrée devant. Et des talons, évidemment. Juste cela. Agrémentée de notre collier, reliée à mon Monsieur je suis, par une laisse de chaîne qui cliquette au moindre geste. “Un détail ma Louve, culotte par-dessus le porte-jarretelle”. Ah, d’accord Monsieur…la soirée s’annonce vraiment bien…   LadyM nous a invités chez elle. SweetS, son soumis, nous invite à entrer. Il porte un magnifique anneau métallique en guise de collier, ainsi qu’un boxer en dentelle. Superbe corps que le sien, athlétique, sculpté, légèrement hâlé. Un regard brillant et malicieux. Une traction de ma laisse me rappelle à l’ordre. Sourire. “Pardon Monsieur”.   SweetS nous installe dans ce petit salon où je reprends mes esprits en ce moment. Fauteuils confortables, ambiance feutrée. Il nous propose des boissons puis vient prendre place aux pieds de sa Maîtresse. Les deux amis de longue date discutent, se détendent…Moi je n’ai d’yeux que pour ce qui m’entoure : le mobilier est superbe. Bois et métal, une croix trône au centre de la pièce. Elle est magnifique. Imposante, robuste, austère.  Un crochet au plafond, un râtelier où je vois pendre des lanières sans pouvoir distinguer les détails.  Atmosphère propice aux jeux, pour laisser le perversion de nos dominants jouer avec nous.   Une traction sur ma laisse me fait lever les yeux vers Monsieur. Son regard brille. J’y vois ce délicieux moment où les choses commencent à basculer. Ma respiration s’accélère. Il emprisonne mon regard du sien et me guide vers le centre de la pièce. Des mains capturent les miennes alors que je vois ses pupilles se dilater. Je me retrouve menottée en un instant. Bruits de chaîne, de poulie, me voila suspendue au crochet. Sa main glisse sur mes fesses, les caresse, les presse. Et je sens ma culotte glisser à terre. Toujours respecter les consignes en matière d'habillement !!   Une musique forte envahit la pièce. De l’opéra. Musique inconnue pour moi. L’air vibre de ces voix.  Un murmure dans mon oreille : “sois sage, ne bouge pas…et profite”. Et je perds la vue, un bandeau recouvre mes yeux.   Je suis prête. A quoi je ne le sais pas. Mais mon corps est tendu, dans cette position à la limite de l’inconfort. Mes pieds ne reposent au sol que sur la pointe des orteils. J’essaie de ne pas bouger. Mais que font-ils ? Je sens que ça bouge autour de moi, que des choses sont déplacées. Et le premier impact tombe….Enfin ! Je reconnais la sensation du martinet. Mon dos, mon cul. Les impacts chauffent ma peau. J’aime cette douce brûlure. Elle me rassure, m’emmène doucement à me connecter avec mon corps. Que c’est bon. Progressivement l’intensité monte. Et fluctue. Plus fort, plus doux. Dos, épaules, fesses, cuisses. Une claque magistrale sur le cul me rappelle à l’ordre. “Ne bouge pas !” Difficile, Très difficile. La chambrière fait alors son apparition. La musique est toujours aussi présente mais je sens les respirations s’intensifier. Les coups ciblent d’abord mon dos. Ca pique. Et ça s’insinue plus en profondeur. Je suis la trajectoire sous ma peau. Doux lâcher prise que ce moment où mon cerveau se tait et me laisse regarder mon corps de l’intérieur. Impact, sensation profonde. Impact, je descends. Impact, je ressens. Impact, j’oublie tout. Impact, je suis vivante. Impact, j’aime cette douleur qui m’appartient. Impact…   Aille, c’est quoi ça ? Alors que la chambrière s’acharne à laisser des traces sur mon cul, une lanière vient de cingler ma poitrine. Je comprends alors. Ils ont décidé de jouer à quatre mains ! Devant, derrière. Les impacts pleuvent. Je tourne, je vire. Incapable de rester sage et immobile. Ils sont partout, prennent possession de tout. Mon cerveau a foutu le camp. Je ne suis que sensations. Mon bandeau m’est arraché. Et je le vois. Mon Monsieur. Son regard est noir, intense, possessif, animal…bestial. Il se délecte de me voir ainsi et il veut voir le plaisir que je prends sous leurs coups, sous leur sadisme à tous les deux. Quelle intensité ! quelle possessivité à l’état brut ! pas besoin de mots, je lui appartiens complètement, il me possède. Chaque partie de mon corps, de mon âme lui est reliée par cette lanière en cuir qu’il  fait jouer sur ma peau, et qui m’imprègne en profondeur. Je chauffe de tous les pores. Je brûle.   Ivre de sensations, mes mains sont détachées. Je suis placée à quatre pattes devant mon Monsieur. Il se dresse devant moi de toute sa hauteur..  “Lève la tête, ouvre la bouche, tire la langue”. Ses doigts prennent possession de ma bouche. Je les suce, les lèche, les aspire. Ses mains agrippent mes cheveux, sa queue a pris la place de ses doigts. Sur mes lèvres, ma joue, dans ma bouche. Alors que je prends un plaisir incroyable à jouer avec sa queue, on écarte mes jambes. SweetS se glisse sous mon corps. Une main vient appuyer sur mon dos pour que j’abaisse mon cul sur son visage et je sens alors sa langue glisser sur ma chatte. Sensations exquises de mon corps stimulé à ses deux extrémités. Monsieur baise ma bouche comme il sait si bien le faire. Il prend son plaisir, tout en connaissant parfaitement celui que j’y prends également. Il sait que j’aime qu’il me brutalise, qu’il me maltraite ainsi. Je perds pied. Je sens que ça monte. Mais ça reste bloqué. C’est insupportable. Encore, plus loin, il m’en faut plus.. Les coups de langue de SweetS vibrent, sont saccadés. Fouet. Je sens le fouet de LadyM s’abattre sur mon dos. Je comprends alors qu’elle fouette son soumis pendant qu’il me donne ce plaisir. “De quel droit tu te retiens petite salope ?” “Qui t’a autorisé à décider d’en vouloir encore ?”. “Lâche tout, maintenant !”. Et comme une digue retenant mon orgasme depuis des décennies, la barrière saute, cède…Je suis emportée par mon plaisir, le fouet cinglant mon cul, la chatte torturée par une langue experte et la queue de Monsieur inondant ma bouche. Je tremble, je largue les amarres. J’abandonne tout. Je vis. Je suis là et je ne suis plus là. Vivante, enfin, à mort.   Mes yeux se ferment. Ma joue caresse la douce texture de ce pantalon noir. Sa main parcourt encore mes cheveux. Je suis moi, à ma place, à ses pieds.  
220 vues 10 aime
Par : le 08/05/25
Ce matin, le centre équestre était plutôt calme quand Juliette arriva. Dans son haras de Normandie, elle profitait d'une vie au grand air, tout en passant ses journées à enseigner l'équitation avec passion. Sitôt son Range Rover poussiéreux garé près de la barrière, elle se dirigea vers son bureau, longeant les boxes. Il lui fallut quelques minutes pour remettre la main sur son trousseau de clés, enfoui au fond des nombreuses poches de sa veste de randonnée. Elle commença par mettre en route la cafetière, rassembler des tasses et vérifier que la bouilloire était pleine. Les premiers arrivés appréciaient souvent de discuter un peu autour d'une boisson chaude avant de se mettre en selle. Soudain, deux chevaux au pré tournèrent la tête vers la barrière. Un nouveau véhicule venait d'arriver sur le parking. Comme ils se mirent en marche pour accueillir le visiteur, Juliette en déduisit qu'il s'agissait d'un habitué et continua à consulter l'emploi du temps de la semaine. Puis elle distingua des pas dans l'allée. Des bruits de sabots et de bottes en caoutchouc sur les graviers. Charlotte franchit alors la porte du bureau, le cheval restant comme d'habitude sur le pas de la porte. Sa plus fidèle cavalière, au caractère affirmé et au franc-parler connu dans les environs, se dirigea vers le bureau massif pour la saluer. Les deux jeunes femmes s'étaient rencontrées dix ans auparavant, alors qu'elles intégraient toutes deux la formation pour devenir cavalières professionnelles. Bien qu'assez différentes physiquement, elles avaient de nombreux traits de caractère semblables. Juliette était une jolie jeune femme brune, au teint hâlé par le soleil et les heures passées en extérieur, aux longs cheveux bruns nattés et aux mains restées fines malgré les travaux d'écurie. Elle savait faire preuve de réserve et de diplomatie, analysait finement le caractère de ses interlocuteurs.   Sa voix douce mettait en confiance les plus timides, aidait à surpasser les appréhensions. Mais la monitrice savait aussi faire preuve de fermeté pour conserver la sérénité de son centre. Charlotte, au contraire, avait une silhouette plus androgyne et n'avait gardé de la belle chevelure blonde de son adolescence que quelques boucles qui lui tombaient de la nuque. Sa peau claire lui donnait un air faussement fragile, vite balayé par son franc regard bleu. Les deux jeunes femmes entretenaient secrètement une relation amoureuse depuis six mois. Avant de la rencontrer, Juliette n'avait alors jamais eu d'expérience homosexuelle, mais depuis, elle n'éprouvait plus aucune répulsion à l'idée d'avoir des relations charnelles avec une femme, à plus forte raison, si elle était jeune et jolie. Dès le premier jour, Charlotte avait partagé sa vie. L'oisiveté n'était pas la règle car il fallait maintenir l'activité du centre, et s'occuper du haras. Mais entre deux reprises, elle était libre de monter à cheval, de se promener dans le parc ou de s'étendre au soleil pour se brunir. Parfois, elle restait assise, nue, sans rien dire aux pieds de Juliette. La nuit, elle se faisait caresser ou la caressait, avant de se rendormir dans leur chambre aux rideaux blancs, à demi tirés seulement, que le jour naissant colorait de doré. Charlotte disait que Juliette était aussi belle et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait qu'inlassable dans ses exigences. Il faut dire que depuis quelque temps, son amante avait pris l'ascendant sur elle au point, de ne plus se contenter de l'étreindre, mais de l'amener à merci dans la soumission, en la fouettant parfois, non pour lui faire mal, mais pour satisfaire son tempérament masochiste. Jusqu'à sa rencontre avec Juliette, il était impossible pour elle de s'imaginer dans une situation qu'elle jugeait alors scabreuse. Elle n'aurait jamais osé, à cette époque, jouer le rôle d'une soumise.   Elle s'y serait refusé, prétextant que cet état ne lui convenait pas, car il ne faisait pas partie de ses fantasmes. Son expérience avec Juliette lui avait appris que si elle était incapable de devenir une habile et authentique putain, elle acceptait avec joie de jouer ce rôle pour le plaisir de son amante. Sa fierté à sa soumission lui procurait maintenant une exaltation proche de la jouissance. Était-ce alors seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou le fait déjà de se livrer sans condition à un tabou et de le transgresser ? Ou simplement l'humiliation de se faire traiter de petite pute qui lui donnait ce plaisir et l'évasion dans un univers fascinant où elle n'aurait jamais osé pénétrer seule, sans elle ? Installée à l'ombre d'un hêtre pourpre, à l'une des tables de jardin, au bout du parc, Juliette terminait son café. La matinée avait été bien remplie, trois heures de cours et la visite du maréchal-ferrant, mais pour l'heure, le centre était désert, reprenait son souffle avant la nouvelle vague de l'après-midi. Elle appréciait ces moments où elle pouvait revenir en pensée sur les moments passés avec Charlotte. Quand elle arriva, il était deux heures de l'après-midi, le haras dormait. Elle portait une robe légère en coton bleu, dont la couleur mettait en valeur ses yeux azurés. Dessous, elle était nue, exauçant ainsi le désir de Juliette. Elle se leva et l'embrassa sur les lèvres et lui demanda d'aller dans la chambre et de se déshabiller. La pièce était fraîche, bien qu'éclairée par les rayons du soleil qui passaient au travers des rideaux. Charlotte fit glisser sa robe, et la posa sur une petite chaise devant la coiffeuse. Elle se regarda un instant dans la glace. Puis, elle ressortit lentement, éblouie par le soleil, avant de regagner l'ombre du hêtre. Juliette était toujours là, son chien à ses pieds. Ses cheveux noirs, pour une fois dénoués, brillaient comme s'ils étaient huilés. Elle était vêtue d'un jean et d'un chemisier blanc, une ceinture à la taille. Charlotte s'agenouilla, les bras croisés derrière le dos, la pointe des seins frémissante.   L'airedale terrier fit semblant de s'élancer sur elle. Juliette lui demanda de se coucher. "- Charlotte, consentirais-tu à te donner à un homme en ma présence ?- Oui, dit Charlotte. À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche et un chemisier blanc sous lequel elle était nue. Les bains de soleil avait rendu son corps intégralement bronzé. Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes nues mais des chaussures à talons hauts. Paul les attendait dans le salon plongé dans l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement, ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient sous le chemisier, Paul admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses de Juliette. Ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait, très prometteur. Juliette demanda à Charlotte de dégrafer son corsage pour faire jaillir ses seins. Elle lui prit ses mains et la força à se caresser les seins, qui frémirent sous le désir, et de se toucher le ventre, et l'anneau entre les reins. Elle obéissait en silence, et quand l'homme lui dit qu'il lui en ferait de même, elle n'eut pas un mouvement de recul. Charlotte tournait le dos à Paul légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cédant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement, Paul se reput de ce spectacle, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes.   Elle la regardait si intensément qu'elle était convaincue de récolter bientôt les fruits de sa patience. Elle ne se souciait plus d'être vue en état de tendre abandon. Paul admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions, de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile et musclé se colla au sien. Paul frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des cuisses écartées dans un gémissement de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos, cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter ses lèvres intimes. Paul, à genoux, baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun. Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Paul. Dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir, sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue, jusqu'au fond de la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée. Dans le silence, s'éleva le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Paul, lui offrit ses seins pour qu'il les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Paul était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Paul posa ses mains sur la tête de Charlotte. Il désirait se répandre dans sa bouche. Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble. Elle fit signe que oui et Paul s'abandonna. Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. Elle se redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les cuisses, et Paul, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée. Ils laissèrent Charlotte se reprendre. Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées, colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir.   Elle se blottit contre elle, haletante et grisée, respirant avec recueillement son haleine. Tout était grâce, délice, surprise venant  de cette fille admirable: même la sueur qui perlait sur sa nuque était parfumée. Paul, penché sur Juliette, lui caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes, tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Paul qui se glissait entre ses fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Paul penché sur le dos de sa soumise. Charlotte ne trichait jamais, même si le sort la condamnait plusieurs jours. Elle devait le subir jusqu'au bout. Il le comprit, lui appuya d'une main à la taille contre l'accoudoir pour qu'elle ne pût glisser, l'entrouvrant de l'autre. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise. Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais. Paul poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de Charlotte sur son sexe béant et celle-ci recommença à la sucer. Mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frôlèrent ses chairs exacerbées. Paul continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile, sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux, tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins.   Elle ne voyait personne, n'entendait rien sinon les battements de son cœur faisant écho à son désir. Avec la fluidité d'une eau, elle se laissait aller, établissant le contact avec tout son corps. Il était clair à cet instant que Juliette désirait rencontrer le regard de Charlotte. Ses yeux noirs brillants et durs fixés sur les siens, dont on ne savait pas s'ils seraient ou non indifférents, ou s'ils exprimeraient de la satisfaction, voire de l'amour. Elle décida seulement qu'une fois la nuit tombée, elle la flagellerait jusqu'au sang et la laisserait dormir seule. Paul s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples. Alors, il sodomisa la jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie. La chaleur montait à sa tête déjà chavirée. Ses mains libérées s'agrippèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Paul eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine. Paul sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il accéléra le coït dans les reins offerts. De la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus. Elle sombra dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un orgasme et sentit entre ses reins heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
793 vues 19 aime
Par : le 08/05/25
  Tu attends. Debout immobile, enveloppé dans un manteau trop court pour vous protéger, le corps tremblant sous l'air de la nuit. Les yeux baissés, le cœur bat la chamade. Un coin de rue. Le rire se déverse d'un bar voisin, ainsi que des regards - certains éphémères, d'autres s'attardants.   Tu restes. Parce qu'il t'a dit de le faire.Quand il arrive, il ne dit rien. Il vous entoure comme un prédateur, silencieux. Puis, avec un geste net, il soulève le bord de votre manteau. Pas de mots. Pas de sous-vêtements. Juste toi - pris entre la peur et le désir.   - « Regarde-toi », dit-il enfin. « Ils te voient. Ils voient ce que vous êtes. »   Votre gorge est sèche, vos pensées sont floues.   — « Dis-le. Dis ce que tu ressens. Dites ce que vous êtes. »   Tu avale fort. Puis, doucement :   — « Je... J'aime ça. Être vu. Être exposé. »   Il vous étudie, expression illisible.   — « C'est ce que je pensais. »   Il ne te prend pas la main. Il n'en a pas besoin. Il marche. Et vous suivez. Chaque pas ressemble à une confession. Le vent soulève le manteau. La ville veille. Ou vous imaginez que c'est le cas.   À l'hôtel, il s'enregistre. Tu t'agenouilles à côté de lui sans un mot. Pas parce que vous devez, mais parce que vous en avez besoin. Les regards reviennent. Mais vous vous concentrez uniquement sur lui.   Dans l'ascenseur, il vous tourne pour faire face à votre reflet.   — « Regarde. C'est ce que vous êtes maintenant. »   Vous hésitez. Il tape votre menton doucement, mais fermement.   — « Pas un jouet. Pas une victime. Autre chose. Quelque chose de brut. Prêt. »   Dans la pièce, la porte se ferme derrière vous, et le monde s'estompe. Il n'y a que lui maintenant. Et toi. Et la ligne que vous franchissez ensemble.   - « Déshabiller. Lentement. »   Tu le fais. Pas pour la séduction, mais pour l'abandon. Chaque mouvement est délibéré, cérémoniel. Lorsque le manteau glisse de vos épaules, il marche autour de vous. Silencieux. Présent. Dominant.   Vous vous agenouillez sur le sol froid, la peau sur le bois, et vous sentez le changement. La perte du contrôle. Le don de quelque chose de plus profond que le corps.   Ce qui suit est intense. Difficile. Il vous guide, non seulement par la commande physique, mais aussi par les endroits à l'intérieur de vous-même que vous n'avez pas osé visiter seul. À chaque acte, il ne vous prend pas - il révèle. Retire les couches. Teste.   La douleur devient le langage. La retenue devient libération. Vous pleurez - non pas par peur ou par tristesse, mais parce que quelque chose en vous est en train d'être défait, réécrit. Et il est là pour tout ça.   Quand c'est fini - non, pas fini, mais en pause - il ne disparaît pas dans le silence. Il est là. Contre vous. Te tenir.   - « Tu respires », murmure-t-il. « Parce que je suis toujours là. Parce que tu es à moi. Et parce que je t'aime. »   Et dans cette immobilité, dans ses bras, vous découvrez une vérité non pas de soumission, mais d'être vraiment vu.   Tu t'endors. Non diminué. Mais entier.
157 vues 6 aime
Par : le 05/05/25
Au début de mon cheminement dans le BDSM, j’ai été confrontée à un obstacle qui me semblait insurmontable : l’incapacité à rester dans un état de soumission après l’orgasme. Dès que le plaisir retombait, mon envie de servir, d’obéir ou de m’abandonner disparaissait presque instantanément. Cela me frustrait, car je sentais en moi une volonté sincère d’explorer une dynamique de soumission plus profonde, plus stable — mais mon corps et mes pulsions me freinaient. C’est à ce moment que j’ai décidé d’essayer la cage de chasteté. Ce fut un outil puissant. Le simple fait de ne plus pouvoir céder à la tentation a changé beaucoup de choses dans ma manière de percevoir ma position. J’étais plus réceptive, plus patiente, plus vulnérable aussi. Mais malgré cela, ce n’était pas encore suffisant. Il manquait un véritable basculement intérieur. J’ai alors commencé à expérimenter d’autres approches. J’ai adopté une tenue permanente de soumise, que je portais même seule, pour renforcer mon identité. Je me suis mise à me filmer, à documenter mon comportement, à me regarder vivre dans ce rôle. Et j’ai aussi franchi un cap psychologique : celui de me rendre disponible à tout moment, peu importe la personne ou le contexte. C’était un choix risqué, mais profondément révélateur. Peu à peu, sans que je m’en rende compte sur le moment, ma soumission est devenue naturelle. Ce n’était plus une mise en scène, ni une excitation passagère. C’était devenu mon état de base. Même sans désir, même sans stimulation, j’étais esclave. C’est aujourd’hui ce que je suis, profondément. Disponible, docile, et pleinement moi-même dans cette dynamique.  
474 vues 12 aime
Par : le 02/05/25
Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon. -Attention, ce texte raconte une scène de non-consentement. "Rose s'appliquait à défaire méthodiquement les œillets lorsque la porte s'ouvrit. Lily se tenait dans l'encadrement, son visage fatigué suintait à la lueur de la bougie qu'elle tenait. Malgré tout sa posture restait droite et digne. Son corset semblait avoir été quelque peu desserré. —Dame Lily… murmura Rose. Sans un mot, Lily posa sa bougie sur la commode et s'avança dans la pièce. Elle passa ses deux mains dans sa longue chevelure et la secoua en respirant profondément. Son regard se fixa sur Rose, qui interrompit immédiatement son travail sur le corset de Violet. —Rose, appela Lily. Sa voix était ferme malgré sa fatigue évidente. —Viens ici. Un tantinet soucieuse, un tantinet confuse, Rose quitta le lit de Violet et s’approcha lentement de Lily. — Rose, dit Lily, tu as bien conscience, je suppose, de l’énorme faute que tu as commise ce matin ? — Ou… Oui, dame Lily. Je vous demande pardon. Et je vous remercie d’avoir pris ma protection face au maître. Elle s’inclina face à Lily. — Dans cette demeure, poursuivit cette dernière, une discipline stricte est de rigueur. Elle est demandée par le Maître et il est plus que nécessaire d’être à sa hauteur. Rose écoutait le sermon avec attention. Elle était consciente de sa faute. — C’est pourquoi, nous avons une règle simple à laquelle on ne déroge jamais. Toute faute, la plus petite soit-elle, appelle à une correction disciplinaire. Rose écarquilla les yeux. — J’ai été corrigée par le Maître, car j’ai failli à mon rôle. Celui de t’inculquer une discipline stricte. Il est donc temps que je commence à le faire selon les règles de notre petite maison. Lily tapota ses cuisses. — Couche-toi sur mes cuisses. Rose fut prise de panique. Elle avait instinctivement compris ce qui lui était demandé. Cette position, elle l’avait souvent tenue dans l’enfance. Mais ici ? Maintenant ? Elle avait le cœur qui s’emballait.  —Je… je… —Tu fais partie de la demeure, oui. Alors, tu te soumets à ses règles, expliqua Lily. Quelques secondes passèrent sans réaction de Rose. —À moins que tu ne décides de nous quitter ? À la première difficulté. —Je… non, dame Lily. J’ai besoin de cet emploi, Madame. —Alors dépêche-toi. Sur mes cuisses. Mais Rose restait immobile. — Maintenant ! s’écria Lily. Ne me force pas à venir te chercher. La tension augmenta d’un coup dans la pièce. Rose dévisagea Lily avec un regard apeuré. Mais elle finit par s’approcher.  Une fois à côté de Lily, elle hésita longuement. Elle avait déjà subi une première humiliation durant l’après-midi. Pourtant, elle était toujours debout. Entière. Elle était plus forte que toutes ses règles dégradantes.  Lily tapota ses cuisses de nouveau. Rose s'allongea sur ces dernières. Sa chemise de nuit remontait légèrement sur ses mollets. Une vague de honte la saisit aux tripes. Elle, une femme de vingt-deux ans, allongée comme une gamine pour recevoir une fessée… Le sang lui monta aux joues tandis que sa position la ramenait brutalement à l'enfance. À ce sentiment d'impuissance et d'humiliation qu'elle croyait avoir laissée derrière elle. —Relève ta chemise de nuit. Chaque phrase était donnée sur un ton si autoritaire, Rose savait qu’elle n’aurait jamais la force de les contester. Au fond, elle le savait bien. Elle avait toujours été une petite chose docile et soumise. Les mains tremblantes, elle remonta sa chemise jusqu’à sa taille. Exposant ses cuisses, puis ses fesses. L'idée que Violet assistait à sa punition redoublait sa honte. —Culotte sous les genoux. Encore une fois, Rose se soumit. Lily posa sa main sur le fessier de la servante. C’est à ce moment-là que, pour la première fois elle le réalisa. Rose était dotée d’une silhouette gracieuse. Ses hanches étaient larges et ses fesses rebondies. Elle en fut frustrée. L’idée que son précieux Maître puisse ressentir de l'excitation pour Rose fit monter en elle une pointe de jalousie. Elle leva la main bien haut, elle avait l’occasion parfaite d’évacuer cette jalousie. — Dans ce manoir, dit-elle fermement, chaque action a des conséquences. Elle abattit sa main dans un claquement sec. — Oui, dame Lily, gémit Rose. Lily la fessa deux fois encore, sans retenue. Le son humiliant des fessées résonnait dans la chambre silencieuse. Rose sentait la brûlure grandir sur sa peau. — Compte, ordonna Lily. Et elle la frappa encore. — Un, geignit Rose. La main s'abattit à nouveau. —Deux… Au cinquième coup, de petites larmes montèrent aux yeux de la servante. Chaque claquement était ponctué par sa voix tremblante. Au dixième coup, elle dut étouffer un sanglot. Sa peau brûlait, mais plus encore, c'était son orgueil qui souffrait. Être ainsi réduite à l'état d'enfant punie, c’était une humiliation cuisante. Elle tourna le regard vers Violet, espérant que celle-ci ne regarde pas la scène. Malheureusement, elles tombèrent les yeux dans les yeux. Violet ne manquait pas une miette du spectacle. —Les yeux baissés, Rose. Tu me baisses ton regard. —Oui dame Lily, geignit Rose. Elle baissa puis ferma les yeux alors que la main de Lily s'abattait pour la treizième fois.  —Treize, murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Les coups suivants furent plus mesurés, comme si Lily dosait précisément sa force pour infliger une douleur constante. À chaque impact, Rose prenait conscience que ce rituel pourrait se répéter chaque fois qu'elle commettrait une erreur, même minime. Cette réalisation s'insinuait en elle petit à petit. Au manoir, ses fautes ne seraient jamais pardonnées sans conséquence. —Dix-huit, geignit-elle. Sa fesse claqua encore. —Dix-neuf. Un autre coup retentit. —Vingt. Lily reposa sa main sur la peau brûlante de Rose, lui arrachant un frisson. Elle fit des vas et viens avec ses ongles. Elle se surprit à trouver les fesses de Rose érotiques. Pourquoi se sentait-elle enivrée par une femme ? Ce n’était pas une sensation qu’elle avait déjà eue avant. Elle tapota la fesse droite de Rose et, d’un mouvement inattendu, vint la saisir et la peloter. Rose gémit un souffle chaud, se mettant à haleter. Ce fut le son de sa respiration qui sortit Lily de sa petite transe pleine de désir. —Violet, dit-elle, dans le tiroir. Rose entendit Violet quitter son lit. Qu’y avait-il dans le tiroir ? Elle mourrait d’envie de tourner son regard, mais dame Lily avait été claire dessus. Ses yeux resteraient donc rivés vers le sol. C’était tout ce qu’elle méritait. Tout à coup, elle sentit un contact froid sur sa fesse. Presqu’apaisant en contraste avec la chaleur de son derrière. Qu’était-ce ? Elle aurait dit du bois. Elle n’eut pas le temps de se poser la question. L’arme s’abattit et une nouvelle douleur sèche irradia tout son fessier.  — Compte ! ordonna Lily. Et elle la frappa encore avec la cuillère en bois. — Vingt-deux, dame Lily. Alors, la fessée disciplinaire se poursuivit." Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon.
380 vues 7 aime