La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 31 minutes
D.  Rétrospection et introspection Jean monte dans sa voiture et se maudit d’avoir mis un pantalon serré mais, il n’avait pas prévu de se retrouver avec une cage de chasteté. Il maudit aussi la ceinture de sécurité qui ne fait qu’accroitre la sensation de douleur sur ses tétons torturés. En route il se souvient qu’il n’y a rien à manger chez lui. Il se serait bien arrêté à la superette qui est ouverte le dimanche mais il ne se voit pas arpenter les rayons avec son sexe encagé et serré dans son jean, donc il opte pour le drive du fastfood, surtout qu’à chaque mouvement de bras ses tétons le rappellent à son bon souvenir. Il se gare dans le parking souterrain de sa résidence et met le sac du fastfood afin de cacher la bosse qui pourrait faire croire qu’il a une érection. Une fois arrivé chez lui il se hâte d’enlever son pantalon, son boxer et sa chemise, bref, hormis les chaussettes, il se retrouve dans la même tenue que ce matin chez Sabine et Martin. Il va prendre une bière dans le réfrigérateur, met de la musique, prend son ordinateur portable et s’assied sur le canapé. Puis Jean se parle tout haut à lui-même. « Le BDSM j’en avais entendu parler bien évidemment, mais pour moi c’était une déviance, une pratique anormale. Si j’avais su à l’avance ce que Sabine avait prévu je n’aurais peut-être pas répondu - Oui - à la proposition de jeu de rôle. Mais elle a bien joué. Elle m’a posé des questions des plus banales aux plus intimes, m’a tiré les vers du nez, sondé et profité de ma curiosité naturelle pour m’amener à faire ce qu’elle voulait. Bien, maintenant je vais chercher des témoignages sur Internet ». Il est impressionné par la quantité de sites et de blogs qui traitent de ce sujet. Il commence par regarder les blogs de soumis qui décrivent leurs expériences et constate qu’il y a une grande diversité de pratiques avec autant de ressentis. Il comprend qu’il n’a eu qu’un échantillon de ce qu’il est possible. Il fait d’abord un tri en fonction de ce qu’il a vécu, et à la lecture des témoignages, lui, qui pensait avoir surmonté quelque chose d’incroyable, avait seulement gravi une petite colline alors que d’autres sont déjà en train d’affronter le versant nord d’une haute montagne, ce qui donne un sacré coup dans l’aile de son égo. Il constate aussi que ces soumis ou soumises s’enorgueillissent de donner satisfaction à leur Maîtresse ou Maître et que ce qu’ils endurent leur donne le plaisir du devoir accompli. Il s’allonge sur le canapé en prenant soin de soulever la cage et donc ses testicules afin de ne pas tout coincer entre ses cuisses, regarde le plafond, passe en revue chaque situation vécue entre samedi après-midi et dimanche midi, puis fait le point. - Qu’est-ce que je n’ai pas aimé ? Au départ je dirais tout, mais rétrospectivement rien ne m’a foncièrement déplu. - Qu’est-ce qui m’a gêné ? Le plug qui devient difficilement supportable au bout d’un moment. La cage, mais elle est toujours là et il va falloir s’y faire. La nudité alors que tout le monde est habillé, même si Martin était déguisé en soubrette. Il sourit en y repensant. Mais le manque d’habitude doit être la cause de cette gêne. - Qu’est-ce qui m’a fait mal ? La torture des tétons. Il n’ose même plus les toucher mais il croit que le lendemain cette ultra sensibilité sera partie. - Qu’est-ce qui m’a laissé indifférent ? Le collier et la laisse je ne vois pas l’intérêt, du moins pour moi. - Qu’est-ce qui m’a plu ? Tout le reste avec une mention spéciale pour le bondage et le poids au sexe. Il sait que Sabine l’a ménagé pour cette première et se demande ce que sera la suite, car il y aura obligatoirement une suite puisqu’elle va devoir lui enlever cette cage de chasteté. Tout à coup lui vient un doute. Je suis en train de penser uniquement à moi, mais si elle n’est pas fière de moi peut-être va-t-elle m’enlever la cage et me dire adieu. J’appellerai Martin, je pense qu’il pourra me renseigner, c’est surement pour ça qu’il m’a laissé son numéro de téléphone. Il se met à rire du fait qu’il a envie de continuer et même pourquoi pas passer à un niveau supérieur. Mais pour l’instant il va essayer de penser à autre chose, il éteint son ordinateur, allume la télé, va chercher son repas et commence à marcher de façon naturelle en oubliant pratiquement la cage de chasteté. Malgré la qualité des programmes diffusés le dimanche après-midi – sourire ironique de l’auteur – il ne peut pas s’empêcher de penser et de s’interroger. Il rallume son ordinateur et fait une nouvelle recherche pour essayer de savoir ce qu’il se passe du côté des dominatrices, il est surpris de constater que lorsqu’elles parlent de soumis elles les appellent les clients et se prévalent du titre de professionnelles. Il ne doute pas qu’elles soient compétentes, mais qu’elle est la part de plaisir, de passion par rapport à l’appât du gain ? Il se dit que la motivation de Sabine n’est pas financière, car elle et Martin vivent plus qu’aisément et ce sont eux qui sont venus le chercher et ce n’est sûrement pas pour lui demander de passer à la caisse. Par acquis de conscience il regarde si la société de Martin serait en difficulté apparemment ce n’est pas le cas. Je n’en saurai pas plus aujourd’hui se dit-il. Il prend une douche et se couche en prenant soin de se mettre en chien de fusil afin que la couette ne touche pas sa poitrine toujours aussi sensible. Le lendemain matin le réveil sonne, Jean l’arrête et se lève. C’est un lundi matin comme les autres. Comme les autres ? Non, pas vraiment. Il touche sa poitrine et, même si ce n’est plus une douleur assez vive ses tétons sont encore sensibles et il y a ce truc métallique dans son entre-jambe. Pour s’habiller il choisit une chemise ample qui ne colle pas à la peau, puis un caleçon et un pantalon de ville qui donnera plus de liberté à son sexe encagé. Malgré tout, que ce soit en voiture, au travail ou au restaurant où il prend ses repas du midi avec ses collègues, chaque mouvement lui rappelle ce week-end de folie. Il est là physiquement mais son esprit est ailleurs, ses collègues et même le patron du restaurant ne cessent pas de lui dire de se réveiller. Pour rire le restaurateur lui dit « Le plat du jour, c’est oreilles de lapin farcies ! Ça te convient ? » Jean répond « Hein ? Oui c’est parfait ! » ce qui déclenche l’hilarité de l’assistance et un « Allo la lune ! Ici la terre ! ». N’en déplaise à Mirabeau Il n’est pas dans « L’empire de la lune » mais encore dans « L’emprise de Sabine » lorsque privé de vue il a senti ses seins appuyés sur son dos, ses bras l’entourer, ses doigts lui martyriser les tétons et son souffle dans le cou. Il regrette d’avoir mis cette chemise ample qui le prive d’un souvenir sensible sauf à passer les paumes de ses mains sur sa poitrine pour frissonner de plaisir, un plaisir qui a pris la place de la douleur éphémère occasionnée par les doigts qui pincent, tournent et tirent, de celle que, dorénavant, il appelle Maîtresse. Par-contre la cage fait bien ressentir sa présence, le gêne parfois dans ses mouvements, lui rappelle que son sexe ne lui appartient plus, qu’il est la propriété de sa Maîtresse, et ce n’est pas fait pour lui déplaire. Le reste de la journée il essaye de se concentrer sur son travail mais il n’y arrive pas et prend du retard sur son programme. Le mardi il s’attache à rattraper le retard pris la veille. Il a de nouveau les pieds sur terre, surtout que ses tétons ont perdu beaucoup de sensibilité et qu’il commence à s’habituer au port de la cage. Le soir en rentrant chez lui il se rend compte qu’il n’a toujours pas appelé Martin et se promet de le faire le lendemain. Le mercredi midi, au lieu d’aller manger avec ses collègues, prétextant qu’il avait des courses à faire. Il va dans un bar quelques rues plus loin, commande un sandwich et une bière puis appelle Martin. Martin – « Allo ! » Jean – « Bonjour Martin, c’est Jean ! » Martin – « Attend une seconde ! » il parle à quelqu’un puis « Bonjour Jean, comment ça va ? » Jean – « Ça va merci, j’appelle comme promis ! » Martin – « Oui, je voulais savoir ton ressenti sur ce week-end dernier ! » Jean – « Sincèrement, je suis content d’avoir fait cette expérience dans un univers que je ne connaissais pas, mais je suis aussi très gêné parce que Sabine c’est ta femme ! » Martin – « Ah, ah ! Excuse-moi si je rigole, je te rassure, je ne me moque pas de toi, bien au contraire. Il ne faut pas être gêné, tout est fait d’un commun accord entre Sabine et moi. Comme elle te l’a expliqué le premier soir où on t’a fait venir chez nous, c’est moi qui ai été à l’origine de notre relation BDSM. Elle a accepté mais les sentiments que l’on a l’un pour l’autre font qu’à un moment donné on bloque, on n’arrive pas à évoluer et on a tendance à retomber dans une relation vanille. On va dans des réunions où on se retrouve entre adeptes mais, pour diverses raisons, cela ne nous apporte pas grand-chose si ce n’est le plaisir de se retrouver entre amis. Donc on a décidé d’intégrer une tierce personne dans notre intimité BDSM et, par hasard, nous avons eu la chance de te rencontrer. Tu as dû être étonné par les questions de Sabine mais ce sont tes réponses qui nous ont conforter que tu étais le bon choix et ce qui a suivi nous l’a prouvé. Nous te considérons comme un ami et j’espère que c’est partagé ! » Jean – « Oui, mais je ne sais pas où tout cela me mène. J’ai l’impression de me prendre un orage sur la tête alors qu’il n’y a aucun nuage dans le ciel. Et j’avoue que j’ai peur de te trahir en tombant vraiment amoureux de Sabine ! » Martin – « Pour répondre à ta première remarque je te dirai que je comprends tes doutes et que le choix de continuer ou pas t’appartient. Si tu décides de continuer et d’évoluer en même temps que nous cela nous fera vraiment plaisir et si tu décides d’arrêter, je te rassure, nous n’allons pas te retenir de force, nous n’allons pas te séquestrer. Par contre j’espère que nous resterons amis. En ce qui concerne le risque que tu tombes amoureux de Sabine, nous l’avons envisagé. Sabine a un fort pouvoir de séduction, je suis bien placé pour le savoir, et le risque est le même que celui encouru par les nombreux couples échangistes. Je crois savoir que Sabine a des sentiments pour toi, mais, ce sont des sentiments d’amitié profonde qui font qu’une grande complicité peut se former, pas de l’amour au sens littéral du terme. À toi de ne pas confondre fascination et amour. Tu comprends ? » Jean – « Je comprends. Il faut que je retourne au travail. Au revoir Martin ! Martin – « À bientôt Jean ! » Jean commence à y voir plus clair, ses doutes s’estompent et sa décision est prise. Les propos de Martin l’ont revigoré et donné envie de continuer. Maintenant il va attendre impatiemment que Maîtresse Sabine le contacte et lui donne ses ordres. Il sourit, finalement cette situation met du piment dans sa vie qui était monotone et, compte tenu des innombrables possibilités qu’offre la relation BDSM il n’est pas près de s’ennuyer en attendant de retrouver la femme idéale.
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Par : le 05/06/25
Après de nombreux échanges pour rédiger le contrat de soumission (les pratiques, les limites, les safewords, ...). Les échanges furent rapides et intenses, et une rencontre est prévue lors d’un petit séjour pour une nuit dans une “love room” ambiance BDSM (table de massage/torture, balançoire, différentes attaches et contraintes, barre d’écartement, collier, laisse, bâillon, … ainsi que 2 lieux de détente : jacuzzi et sauna). Rien qu'au téléphone, la connexion cérébrale était déjà présente et intense tant mon corps l’exprime. Ma petite nouille était souvent dure et mouillée.   Arrive le jour J, je suis arrivé en premier (vers 17 h 30). Les règles étaient claires, je devais attendre à genoux sur le pas de l’entrée ainsi que la tête baissée. Je me posais 1000 questions : « Est-ce qu’elle va arriver ? », « Dans combien de temps ma Maîtresse va arriver ? », « Est-ce que je vais être à la hauteur ? », « Est-ce que j’ai bien fait de m’aventurer là-dedans ? ». Plein de questions qui trottaient dans ma tête, sans réponse à l’instant T, mais j’allais vite le découvrir. Soudain, j’entendis une voiture entrer dans la cour au bout de (15-20 minutes) à genoux : « Ça y est, ma Maîtresse est arrivée. » Ce fut un soulagement d'entendre ma Maîtresse arriver avec des pas déterminés et ses bottes à talons qui claquent le sol à chaque pas. J’ai l’impression de l’entendre à des kilomètres, telle sa prestance est immense. Après avoir déchargé tous les bagages de ma Maîtresse, j’ai dû donner ma clé de voiture, mon portefeuille, mon téléphone. Je lui donne clairement ma vie, mon identité, ma liberté, et je ne peux plus faire machine en arrière, je suis dorénavant sien, ne pouvant pas m’échapper aux risques d’être nu et sans papiers sur la voie publique. L’entrée en matière fut directe et très humiliante, mais j’avais confiance en ma Maîtresse. Sous son ordre, je me mets complètement nu pour que ma Maîtresse contrôle l’entièreté de mon corps, les différentes épilations demandées, mais aussi l’hygiène de mon corps de la tête aux pieds. Puis cette douche avec de l’eau froide fut si éprouvante que mon corps en tremble encore. De plus, ce lavage de mon petit trou à de nombreuses reprises (lavement anal) me vide totalement. Mais j’ai cette impression que ma Maîtresse me possède et m’avait déjà pris en main de nombreuses fois et que mon corps à l’intérieur de moi est totalement nettoyé et à ELLE. Prêt à subir tous les ordres et désirs que ma Maitresse s’apprête à me faire vivre dans ce séjour. Mon cul est dilaté d’entrée, prêt à travailler pour ELLE. C’est même sa priorité, puisque c’est la première pratique qu’elle exerce sur mon petit trou anal vierge. Maîtresse y va en douceur avec ses doigts de fées, mes gémissements montrent que j’ai énormément de travail à effectuer dans ce domaine pour pouvoir accueillir ses 5 doigts entiers dans mon cul. Les va-et-vient avec ses doigts, j’adore cela : c'est à la fois excitant pour le plaisir prostatique (1 doigt ça va) mais également douloureux à encaisser pour mon petit trou (2 ça tire fort déjà). Contraint à 4 pattes, attaché aux mains et pieds par une barre d’écartement qui m’empêche de resserrer mes jambes et offre mon trou. Mes bourses sont à disposition, ma Maîtresse en profite pour donner quelques coups de pieds et mains pour tester ma résistance au ballbusting. Je vous le dis, c’est dur de recevoir ces impacts sur cette partie fragile du corps... Ensuite, je suis mis sur la table de massage (ou plutôt de torture), totalement contraint et attaché de A à Z sur le dos par une longue corde avec mon sexe, mes tétons, mon visage à sa disposition. Mais avec la vue totalement masquée (je ne vois rien, je suis dans le noir), ce qui décuple les sensations de l’ouïe et de l’odorat, entendre son souffle, ses bruits de pas, me demander à quelle sauce je vais être mangé... Être touché par ELLE, sentir sa peau, sa voix, sa respiration, je suis clairement au 7ᵉ ciel. Mais cela est de courte durée, car ma Maîtresse est sadique et la torture de mes tétons est un de ses grands plaisirs. De plus, je suis fragile et très sensible de cette partie là, et elle le sait, je souffre déjà... Elle s’attaque à mon sexe également qui est en érection depuis de longues heures où ma maîtresse le malmène sans ménagement (même sans le toucher) et l’excite avec désir et frustration, un mélange explosif. J’ai envie de "balancer la sauce", mais j’en ai l’interdiction sans l’autorisation de ma Maîtresse. C’est dur, c’est tellement dur que mon corps refuse qu’elle me touche et je tente de me tortiller pour éviter qu’elle me touche. Mais je n’y arrive pas, elle utilise même tout son corps pour jouer sur moi et me contraindre un peu plus. Je sens son fessier, ainsi que sa culotte mouillée. Elle me bâillonne même avec sa culotte trempée. Après de longues minutes à me battre contre l’idée de jouir, elle retire mon bandeau ; ses seins sont juste au-dessus de mes yeux, j’ai enfin l’autorisation de jouir. Quelle récompense, mais d’une courte durée, car c’est un orgasme ruiné suivi d’une masturbation post-orgasme. Une vraie torture où je bouge comme une anguille prise au piège hors de l’eau. Je suis détaché, le bandeau remis, et je perds de nouveau la vue. Amené avec la laisse près d’un fauteuil, elle m’ordonna de lui prodiguer un cunnilingus pour tester mes capacités à lui servir de sex-toy, et tester ma langue et mon niveau de pratique. Après quelques minutes, ma maîtresse me repoussa brutalement de son sexe et prit son jouet pour se faire plaisir et obtenir un orgasme. J’ai tout de suite compris que je n’étais pas à la hauteur de ses espérances dans cette pratique là. Je suis NUL et MAUVAIS, je me sentis comme un moins que rien et pas capable de donner du plaisir à ma Maîtresse, je suis humilié, j’ai honte de moi. Après avoir obtenu sa jouissance avec un vrai jouet de qualité, elle me tira par les cheveux pour que je lèche et nettoie son orgasme, son nectar, qu’il n’y reste aucune goutte. Suite à ce désastre, ma Maîtresse eut envie de se délasser dans le spa et de prendre du bon temps pour elle. Pendant que j’étais contraint au sol par un humbler avec les couilles et mon sexe tiré vers l’arrière de mon fessier. J’ai dû clairement faire la statue au musée du Louvre, car chaque mouvement me faisait terriblement mal. Après ce moment de détente pour ma Maîtresse et ce long moment d’attente en mode « ne pas bouger » pour ma part. Ma Maîtresse testa mes qualités de masseur. À ce moment-là, je me suis dit : « Il faut que je me rattrape, je ne peux être que meilleur que lors de la pratique d’un cunni ; en tout cas, on ne peut pas faire pire, du moins. » Donc j'ai tout donné pour lui prodiguer un bon massage, afin qu’elle soit fière de son soumis. Elle s’allongea sur la table de massage sur le ventre avec une serviette qui remontait jusqu’à son bas du dos pour ne pas avoir froid. Je me croyais masseur professionnel tellement l’endroit correspondait avec l’ambiance des jeux de lumière tamisée (rouge), la table de massage ainsi que l’huile parfumée. Elle était sur le ventre, j’ai donc à disposition son dos, ses épaules, ses bras à masser dans un premier temps. Je pris l’huile de massage et l'ai frotté entre mes mains pour la faire chauffer. Je m’applique à passer sur tous ses membres avec force, énergie et dextérité, en passant à de multiples reprises et en appuyant plus ou moins fort pour détendre les muscles du corps de ma Maîtresse. Je sens que Maîtresse est plutôt détendue, qu’elle apprécie ce moment et qu’elle est satisfaite de ce massage. Et elle me l’exprime que « je suis meilleur (ou moins pire) en qualité de masseur que pour faire des cunnilingus ». Après avoir effectué le dos, les épaules, les bras et les mains de ma Maîtresse. Elle se retourne et j’ai eu la chance d’apercevoir et de prodiguer un massage sur sa poitrine et son ventre. Et autant vous dire que ses seins, c’est la partie préférée que j’admire chez ma Maîtresse, avec ses doigts de fées qui arrivent en second. Ma Maîtresse a 2 magnifiques obus qui auraient pu mettre fin à de nombreuses guerres, tellement les soldats auraient été éblouis et la rétine complètement transpercée par cette vue magnifique. Je prends le temps de contempler, toucher, masser, malaxer sa poitrine qui est si moelleuse et agréable au contact. Après ce moment de massage auprès de ma Maîtresse, j’ai eu la chance qu’elle m’autorise à l’accompagner dans le jacuzzi pour un moment de détente assez sensuel. Ce fut un moment inoubliable avec une première partie où ma maitresse joue de ses pieds pour toucher et exciter mon sexe avec plus ou moins de pression de sa part pendant que je prodigue un massage à son deuxième pied. Puis nous sommes amenées à discuter, à échanger, et je lui fais part d’une envie et de mon attrait pour le water bondage. Et ce n’est pas tomber dans l’oreille d’une sourde. Maîtresse prit une corde et m’attacha le haut du corps, bras et mains liés dans le dos en "shibari". Ce fut un moment suspendu dans le temps, où la complicité et le jeu étaient présents. Je tentai de me révolter un petit peu, mais c’était sans compter la pression et la force de ma Maîtresse qui me plongea dans l’eau, où ma respiration était coupée. Je devais me retenir, me concentrer et résister sous l’eau pour ne pas boire la tasse, et quand j’avais le souffle court, je tentai de remonter à la surface, mais ELLE jouait de cela pour me contraindre encore quelques secondes dans l’eau. C’était clairement mon moment préféré, ce moment de complicité, de jeu, mais aussi de proximité avec le corps de ma Maîtresse. C’était clairement un moment qui était magique durant ce séjour. Après ce moment intense et inoubliable, il était temps de prendre une douche et d’aller se coucher, car il se faisait très tard, même si je n’avais aucune notion du temps et de l’heure (j’ai su après qu’il était dans les 5 h du matin). J’ai eu l’occasion de dormir aux côtés de ma Maîtresse et c’était agréable de sentir sa présence, son corps, de la toucher avec son autorisation, mais aussi de la masser pour s’endormir. La nuit fut courte, puisque nous devions rendre le logement le matin même (avant 11 h). Mais le réveil était agréable avec ce réveil en douceur peau à peau avec la tendresse auprès d’ELLE. Mais tout d’un coup ma Maîtresse eut une envie de jouer avec moi et mon corps dès le réveil en m’attachant sur ce lit avec les membres aux extrémités en étoile de mer avec les attaches de lit. Je n’avais point le droit de jouir et ma maîtresse jouait de mon sexe et me fit découvrir une nouvelle sensation, la wand sur mon sexe. Quelle incroyable sensation de sentir les vibrations, mais quelle torture quand on n’a pas le droit d’éjaculer. Heureusement pour moi et pour cette éjaculation qui n’a point eu lieu puisque je n’ai pas eu l’autorisation de ma Maîtresse, hélas c’est l’heure de partir et nous devions ranger et quitter les lieux. Ce fut un moment triste, car je devais déjà quitter ma Maîtresse. Je fais le rangement et le ménage, elle charge sa voiture, et elle me rend ma liberté avec la remise de mon portefeuille, de mon téléphone et ma clé de voiture... Ce séjour fut très court, trop court, mais c’était une rencontre intense et excitante qui laissera surement place à d’autres séjours BDSM avec ma Maîtresse. A suivre... NB : Récit écrit à ma demande par mon soumis SMD96 https://www.bdsm.fr/profile-84957/info/
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Par : le 03/06/25
B. Premiers pas de soumis. Partie 2 « Bon, il a assez macéré, j’y retourne ! » dit Sabine. Vanessa préfère rester dans la pièce prétextant que Sabine s’en sortait très bien sans son aide et Martin retourne s’asseoir sur le canapé. Jean entend le pas cadencé de Sabine s’approcher de lui. Mais est-ce vraiment elle ? Si oui, que va t’elle inventer ? Avec quels jeux pervers elle va le tourmenter ? Il est surpris de constater que le simple fait de se poser la question fait monter en lui le désir à un tel point que cela lui procure du plaisir et est impatient de connaitre la suite. Par contre, contrairement à tout à l’heure, il ne perçoit aucun autre bruit. S’il y avait des spectateurs ils ont peut-être été déçus et sont partis. Ses interrogations sont interrompues car il sent qu’on décroche ses mains tout en lui laissant les menottes, pareillement pour les chevilles et, enfin, sa taille est libérée ce qui lui permet de respirer plus facilement. Jean ne bouge pas. Privé de toute vision il n’ose pas faire le moindre mouvement et attend qu’on le guide. Maintenant il est certain que c’est Sabine car il a reconnu son parfum. Sabine observe ce corps ruisselant de bave, elle décide de lui laisser le bâillon boule pour l’instant et, toujours sans prononcer le moindre mot, elle attrape la laisse et tire dessus pour le faire avancer. Jean parait moins tendu, elle constate qu’il la suit avec plus de facilité. Apparemment, ce moment où elle l’a laissé seul dans une position sans équivoque, lui permettant de faire face à sa condition de soumis a porté ses fruits. Elle l’amène jusqu’à un carcan sur pied, lui enlève le collier et se dirige vers le meuble où sont rangés tous les accessoires classés par catégories. C’est un meuble de couleur Chêne foncé qui fait penser aux vaisseliers d’antan. Sur la partie haute sont accrochés les fouets, martinets, cravaches, paddles, cordes et chaînes. Juste au-dessous une étagère présente des godemichets de différentes formes et tailles et encore au-dessous il y a celle des plugs. Le plateau permet  de préparer des objets ou de les déposer après utilisation et avant leur rangement. Le bas est divisé en trois parties. À droite une rangée de tiroirs dans lesquels on trouve des petits accessoires, au milieu une porte s’ouvre sur le matériel d’électro stimulation et à gauche il y a deux tiroirs dans lesquels sont fixés des sac poubelle. Le tiroir du haut pour mettre le matériel à nettoyer ou stériliser et celui du bas pour les déchets à jeter. Sabine ne voulait pas que des choses répugnantes trainent n’importe où, elle a fait faire ce meuble adapté à ses besoins par un artisan de la région. Tant-pis pour les fabricants suédois de meubles en kit. Tant pis aussi pour les aficionados de la canne et de la badine, elle n’en a pas car elle n’aime pas infliger des douleurs extrêmes. Elle se défini elle-même comme une Dominatrice romantique. Elle dépose le collier avec la laisse sur le plateau à côté de la cage de chasteté qu’elle avait mis là plus tôt, attrape une cordelette d’un mètre et retourne vers Jean qui cherche à deviner ce qu’elle mijote. Sabine se baisse et enroule la cordelette autour du scrotum en serrant assez fort, fait une boucle d’une vingtaine de centimètres sur le bas, elle regarde son travail, elle estime que les testicules sont suffisamment séparés de la verge puis tire sur la boucle qui résiste à la tension. Satisfaite elle se redresse, se place de l’autre côté du carcan, ouvre la partie haute et dit « Lève tes bras à l’horizontale et avance de deux pas ! » Il a vraiment l’impression de jouer à Colin-maillard. Elle lui attrape les deux poignets « Penche-toi en avant. N’aie pas peur ! » Elle positionne les deux poignets dans la partie basse puis le cou en appuyant sur sa tête, rabat la partie haute puis verrouille le tout. Elle termine en fixant les menottes à un piton fermé du carcan. Elle règle la hauteur du carcan afin qu’il ait le dos à plat et retourne au meuble, prend une cravache, ouvre un tiroir, hésite et se décide pour un poids de cinq cents grammes puis attrape une barre d’écartement métallique et retourne vers jean. Elle règle la barre pour un écartement de quatre-vingt centimètres, pour un début ça ira, elle pose la barre derrière les pieds de Jean, s’accroupit et ordonne « Écarte tes pieds ! », en tapant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache elle arrive à attacher les chevillières à la barre. En se relevant elle constate que le dos n’est plus à l’horizontale, donc elle règle à nouveau la hauteur du carcan, fait deux fois le tour pour vérifier le résultat et en profite pour mettre une bonne tape sur les fesses de Jean, sachant qu’avec le cuir il n’aura pas mal mais juste pour lui faire comprendre que maintenant elles sont à sa mercie. Sabine se retourne vers Martin et Vanessa qui est derrière le miroir sans tain et fait mine de s’essuyer le front pour leur faire comprendre que ça n’a pas été une sinécure. Vanessa est morte de rire mais sent la chaleur monter dans son bas ventre. Sabine ramasse le poids, l’accroche à la boucle qui dépasse sous les testicules et avec sa cravache s’amuse à faire aller le poids d’avant en arrière comme le balancier d’une horloge. Depuis le début Jean fait des efforts surhumains pour réfréner chaque début d’érection en se conditionnant psychologiquement. Il s’était transformé en simple objet et y prenait du plaisir, un plaisir différent du plaisir phallique dont il avait l’habitude mais il est encore incapable d’analyser cette nouvelle sensation. Il ne s’en rend pas compte mais un filet gluant coule de son méat. Cela n’échappe pas à Sabine qui s’exclame « Voyez-vous ça. C’est qu’il est tout excité et en plus il bave. On dirait un escargot ! »  Elle lui enlève le bâillon, enfile des gants en latex, lui essuie la bave avec du papier absorbant, va récupérer la mouille qui coule encore du sexe de Jean avec son index et son majeur puis va lui mettre les doigts dans sa bouche « Suce mes doigts. Nettoie tes cochonneries ! Tu aimes sucer mes doigts ? » Il répond par un « oui Maîtresse ! » obligatoire. Sabine retourne au meuble, prend du lubrifiant dans un des tiroirs, revient et dégrafe la partie arrière du slip qui donne accès à l’anus. « On va vérifier si c’est bien propre ! » Elle enduit ses doigts, couverts par le gant, de lubrifiant et commence par en mettre autour de l’anus de Jean puis insère son index et fait quelques va-et-vient. Elle recommence en y ajoutant son majeur et là, il pousse un petit cri. Sabine se moque de lui – « Oh la chochotte ! Tu es puceau du cul ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Bon, c’est propre mais très serré ! » Elle va chercher un plug en silicone de dix centimètres de long et deux centimètres et demi maxi de diamètre. Pour un dépucelage ce sera parfait se dit-elle. Elle lubrifie copieusement l’objet, elle exerce une pression soutenue sur le bas du dos de Jean avec sa main gauche et dit « Respire profondément et lentement, décontracte-toi ! » Elle introduit lentement le plug jusqu’à ce qu’elle sente une résistance, glisse sa main gauche vers le torse de Jean, attrape le téton, le tord très fort et en même elle pousse d’un coup sec le plug qui, cette fois, a forcé le passage du sphincter et est en place. La douleur soudaine du téton a fait que Jean s’est à peine aperçu que l’objet était entré dans son fondement jusqu’à la garde. Il sentait juste qu’il avait un corps étranger en lui et que son anus était élargi mais il n'avait pas été traumatisé. Instinctivement il s’était mis en apnée au début de l’introduction mais, maintenant il a repris une respiration normale, son cœur bat un peu vite probablement à cause de l’émotion mais curieusement il se sent bien. Vanessa qui n’a rien raté de l’opération et s’introduisait deux doigts dans sa chatte au même rythme que le plug s’introduisait dans l’anus de Jean pousse un couinement et jouit. Martin qui, lui non plus n’a rien raté du spectacle, regrette de ne pas être à la place de Jean, même si lui, il est déjà à un niveau supérieur. Sabine contrôle la position du plug et referme le slip afin que le plug ne soit pas éjecté et dit « Maintenant je vais éveiller ta conscience ! C’est-à-dire que tu vas voir où tu es et ce que je fais ! Tu vas réaliser que tu n’es pas dans un monde imaginaire mais dans un monde réel ! » Elle lui ôte le masque et, effectivement, il prend conscience de sa condition mais, compte tenu de sa position il ne voit pas grand-chose de son environnement. Coincé dans le carcan il peut juste tourner la tête de droite à gauche et seulement une vision limitée surtout que, Sabine qui a récupéré la cravache qu’elle avait posée sur le dos de son apprenti soumis vient de positionner devant lui. Sabine – « Ouvre la bouche ! » Elle lui met la cravache dans la bouche. « Tiens la bien entre tes dents et elle deviendra ta meilleure amie. Si tu la lâches elle me demandera de te punir ! » Ensuite elle décroche les chevillières de la barre d’écartement et s’amuse à tirer sur le poids qui pend toujours au bout de la corde de bondage du scrotum avant de le faire balancer. Elle déverrouille le carcan, décroche les menottes et lui permet de se relever. Elle lui remet le collier avec la laisse qu’elle prend, cette fois, par la dragonne et tire pour l’emmener au milieu de la pièce. Jean marche maladroitement, gêné par le poids qui ballotte entre ses jambes. Il voit Martin assis dans le canapé et craint que ce dernier soit invité à participer. Elle le fait stopper et lui donne l’ordre de se mettre à genoux. Elle tire à nouveau sur la laisse « Viens jusqu’à moi ! » Il avance en étant obligé de garder les cuisses légèrement écartées à cause du poids mais aussi du plug qui, depuis que Jean s’est relevé fait vraiment sentir sa présence. Elle soulève sa mini-jupe « Lèche la chatte de ta Maîtresse comme un bon toutou ! À quatre pattes ! » Sabine étant perchée sur ses talons-hauts Jean a un mal fou à lécher régulièrement. Elle s’énerve « Debout ! Puisque tu es incapable de satisfaire ta Maîtresse on va passer à autre chose ! » Elle l’emmène avec brutalité jusqu’à la croix de Saint-André, le fait mettre face vers le mur, accroche les menottes et les chevillières mais, cette fois, ne le ceinture pas à la taille. Ne voulant pas le traumatiser le premier jour elle un martinet en crin de cheval. Et dit « Pour ta faute je te condamne à dix coups de martinet ! » Le cœur de Jean s’emballe, Sabine ajoute « Après chaque coup tu devras dire pardon Maîtresse ! » Le premier coup s’abat sur le dos de Jean, il demande pardon, cela dix fois de façon métronomique avec une brève pose entre chaque coup. N’étant pas attaché par la taille le corps de Jean tressaute et ondule à chaque fois. Vanessa frissonne et jouit une deuxième fois même sans se caresser. Lorsqu’elle fouette quelqu’un ou qu’elle voit quelqu’un se faire fouetté cela lui déclenche systématiquement une forte jouissance. Cette fois Martin ne regrette pas de ne pas être à la place de Jean. Quoique, parfois il aime bien car cela le déstresse. Sabine laisse Jean reprendre ses esprits, s’approche, se colle à son corps en frottant ses seins sur son dos rougi et lui dit doucement « Tu vois ce qui arrive quand on me déçoit ! » Elle le détache, le fait se retourner face à elle, enlève le poids et la cordelette qui entoure le scrotum, les menottes, les chevillières et va poser le tout sur le plateau du meuble. Elle revient avec la cage de chasteté, décroche la laisse du collier et l’accroche au bout de la cage en fil d’acier puis fait passer les testicules et la verge dans l’anneau métallique, fait glisser la verge dans la cage et la verrouille sur l’anneau. En voyant les testicules séparés de chaque côté de la cage et bien proéminents il lui vient une idée. Elle va chercher une roulette à pics et la passe sur les testicules en appuyant légèrement. Les picotements font frissonner Jean comme s’il recevait une légère décharge électrique. Sabine se relève et dit « Il se fait tard et je suis épuisée. Il est temps que j’aille dormir ! » puis s’adressant à Martin « Cette nuit tu dors seul je vais dans la chambre rose ! » Vanessa comprend qu’elle va finir la nuit avec son amie. Elle attrape la laisse et tire légèrement par à-coups pour faire comprendre à Jean qu’il devait la suivre de près s’il ne voulait pas être émasculé. Une fois qu’ils sont partis Vanessa rejoint Martin dans le donjon. Elle sait qu’elle va dormir avec Sabine car la chambre rose est celle qui est réservée à leur intimité et que Martin en est interdit d’accès et elle lui dit « Ne t’en fait pas demain je te la rendrai, et il vaut mieux qu’elle finisse la nuit avec moi plutôt qu’avec Jean ! » « Salope ! » murmure Martin. Vanessa s’en va en disant « J’ai entendu. Mais tu sais quoi ? Tu as raison. Je suis une salope et j’en suis fière ! » Sabine a amené Jean dans la chambre où il avait déjà dormi, a décroché la laisse, enlevé le collier puis elle est sortie. Mais avant elle lui a donné l’autorisation d’enlever le plug et le slip, sachant qu’il ne pourra pas les supporter très longtemps. Jean regarde son sexe encagé et se demande s’il va pouvoir dormir avec ça. Mais le plus urgent est d’enlever le plug qui commence à se faire douloureux. Il va dans la salle de bain, enlève le slip et se débarrasse non sans mal du plug puis va se coucher et s’endort sans même avoir le temps de repenser à tout ce qui lui était arrivé durant cette longue journée er partie de nuit. Sabine et Vanessa se retrouvent dans la chambre rose.  « Alors comment c’était ?  J’ai été à la hauteur ? » demande Sabine. Vanessa – « Tu as été parfaite ma chérie. Tu sais que j’ai jouit deux fois ! » Sabine – « Ah oui ? Quand je l’ai fouetté ça j’en suis sûre, mais l’autre fois ? » Vanessa – « Quand tu lui as mis le plug. Sincèrement c’était du grand art ! » Sabine – « J’ai été à bonne école mais il est vrai que pratiquer sur un non initié dont on ne sait pas s’il est vraiment volontaire, s’il va apprécier, s’il va vouloir recommencer et surtout vouloir aller plus loin, ce n’est pas évident. Avec Martin ça a été plus simple puisque c’est lui qui était demandeur. Mais porter son dévolu sur un inconnu et faire en sorte qu’il devienne ta propriété, ta chose, c’est excitant et angoissant à la fois. C’est vraiment compliqué ! » Vanessa – « J’y suis bien arrivée avec Patrick. Alors pourquoi tu n’y arriverais pas ! » Sabine – « Patrick et toi c’est différent. Vous étiez tous les deux célibataires, c’est lui qui t’a draguée et pour te garder il a tout accepté sans même chercher à savoir pourquoi tu avais besoin de dominer que ce soit un homme ou une femme, parfois avec cruauté ! » Vanessa – « Toi, je ne te domine pas ! » Sabine – « Au collège j’étais la seule à prendre ta défense quand tous les autres se moquaient de toi. C’est pour ça que tu ne te venges pas sur moi ! Mais je me méfie quand même ! » Elles éclatent de rire puis s’embrassent fougueusement puis Sabine dit avec un sourire mutin « Grâce à moi tu as joui deux fois aujourd’hui. Moi par-contre… » Vanessa – « Ma pauvre chérie. Docteur Vanessa va te guérir ! » Elle l’embrasse Sabine dans le cou, descend vers sa poitrine suce ses tétons tout en dégrafant sa robe qui tombe sur les pieds et pousse son amie en arrière qui se retrouve à moitié allongée sur le lit. Elle se met à genou, fait glisser la robe et les escarpins sur le côté, tire sur les jambes de Sabine pour amener ses fesses au bord du lit, caresse le sexe lisse qui lui est offert puis elle écarte les grandes lèvres, avance son visage et titille le clitoris avec sa langue. Sabine se met à onduler du bassin, Vanessa alterne succion et coups de langue sur tout le sexe et parfois des mordillements. Soudain Sabine attrape la tête de Vanessa à deux mains, soulève brusquement son bassin, lance un long ouiiiiiiiiii puis retombe sur le lit, bras écartés, inerte. Les deux amantes se déshabillent et s’endorment enlacées. Martin, seul dans son grand lit, ne trouve pas le sommeil. Il espère que dans quinze jours il pourra être acteur lors de la grande réunion kink.
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