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Par : le 22/05/24
"Adieu, plaisant pays de France, O ma patrie, la plus chérie qui a nourri ma jeune enfance. Adieu, France, adieu mes beaux jours. Adieu France, adieu, hélas, je ne te reverrai plus jamais. N'y ayant si pauvre, vil et abjet, criminel et prisonnier à qui cette permission, de faire l'aumône à sa cousine, me soit à jamais par aucune loi refusée. Elle ne pouvait s’empêcher d’être troublée de sa vue, et d’avoir pourtant du plaisir à le voir. Mais, quand elle ne le voyait plus, et qu’elle pensait que ce charme qu’elle trouvait dans sa vue était le commencement des passions, il s’en fallait peu qu’elle ne crût le haïr, par la douleur que lui donnait cette pensée. Vous m’avez donné de la passion dès le premier moment que je vous ai vue. Vos rigueurs et votre possession n’ont pu l’éteindre. Elle dure encore. Je n’ai jamais pu vous donner de l’amour, et je vois que vous craignez d’en avoir pour un autre. Et qui est-il, madame, cet homme heureux qui vous donne cette crainte ? Depuis quand vous plaît-il ? qu’a-t-il donc fait pour vous plaire ? " Le huit février 1587, dix heures du matin. Marie Stuart, ancienne reine d’Écosse et de France et légitime reine d’Angleterre pour les catholiques, est décapitée sur les ordres de sa cousine Élisabeth d’Angleterre. La raison. Elle aurait comploté l’assassinat de cette dernière dans le but de la remplacer sur le trône. L’exécution est terrible. Marie n’a pas droit au glaive, pourtant réservé aux personnes de la noblesse, mais à la hache, et on lui arrache sa croix catholique. Le premier coup de hache s’abat sur l’occiput. Pas encore morte, on lui assène un second coup sur la nuque qui ne l’achève toujours pas. Il faudra scier ce qui reste pour que le calvaire de Marie Stuart s’arrête enfin. Cette exécution est entrée dans la légende. L’horreur des faits ne fait qu’accentuer l’image d’une Marie Stuart martyre, image que les catholiques souhaitent à tout prix lui octroyer. Mais Marie Stuart est-elle réellement la pauvre victime innocente d’une Élisabeth intransigeante et inhumaine ou bien a-t-elle vraiment attenté à la vie de sa cousine anglaise ? Pour tenter de répondre à cette question, il faut tout d’abord remonter à l’enfance de la reine écossaise au destin tragique et replacer alors les faits un contexte historique plus large.   "Quel chemin a-t-il trouvé pour aller à votre cœur ? Je m’étais consolé en quelque sorte de ne l’avoir pas touché, par la pensée qu’il était incapable de l’être. La confiance et la sincérité que vous avez pour moi sont d’un prix infini. Vous m’estimez assez pour croire que je n’abuserai pas de cet aveu. Vous avez raison, madame, je n’en abuserai pas, et je ne vous en aimerai pas moins. Vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais une femme ait donnée à son mari. Si vous jugez sur les apparences, vous serez souvent trompée. Ce qui paraît n'est presque jamais la vérité. La magnificence et la galanterie n'ont jamais paru en France avec tant d'éclat que dans les dernières années du règne de Henri second. Les autres règnes furent entachés par tant de guerres". Marie Stuart naît le huit décembre 1542 au palais de Linlithgow, en Écosse. Son père, le roi Jacques V d’Écosse meurt six jours après. Marie se retrouve alors reine. Sa mère, la française Marie de Guise-Lorraine, assure la régence. Dès lors, la petite fille va devenir l’objet de convoitises de la part du roi Henri VIII d’Angleterre. Alors qu’elle n’a qu’un an, il émet le souhait de la marier à son fils Edouard. Son objectif est d'annexer l’Écosse à son royaume. Soutenue par le Parlement écossais, Marie de Guise refuse la proposition d’Henri VIII. Ce dernier, furieux, tente alors d’enlever la petite reine lorsqu’elle n'a que quatre ans. C’est un échec, mais un événement révélateur pour Marie de Guise. Elle doit protéger l’Écosse des désirs impérialistes de l’Angleterre, donc sa fille. Elle prend la décision de l’envoyer en France, sa terre natale, avec laquelle elle négocie alors un engagement. Pour resserrer l’alliance entre les deux gouvernements, Marie Stuart devra épouser le futur roi de France, François, de deux ans son cadet. Débute alors pour elle une vie de bonheur. En effet, jamais elle ne sera plus heureuse que lorsqu’elle fut en France. La reine Catherine de Médicis prend grand soin de son éducation et de son instruction. Elle est aimée et choyée, elle grandit auprès de François, son fiancé, avec lequel elle entretient une complicité. Ils se marient dans la cathédrale Notre-Dame le vingt-quatre avril 1558, alors qu’ils sont respectivement âgés de seize et quatorze ans. En juillet 1559, le roi de France Henri II meurt suite aux blessures subies lors d’un tournoi quelques jours plus tôt. François hérite de la couronne et prend le nom de François II, Marie se retrouve alors reine. Le destin semble être parti sous de bons augures pour la jeune fille.   "Quoi madame, une pensée vaine et sans fondement vous empêchera de rendre heureux un homme que vous ne haïssez pas ? Quoi ! J’aurais pu concevoir l’espérance de passer ma vie avec vous. Ma destinée m’aurait conduit à aimer la plus estimable personne du monde. J’aurais vu en elle tout ce qui peut faire une adorable maîtresse. Elle ne m’aurait pas haï, j'aurais trouvé dans sa conduite tout ce qui peut être à tendrement désirer". Environ au même moment, en Angleterre, Élisabeth, fille du roi Henri VIII, monte sur le trône après la mort de sa demi-sœur, la reine Marie Tudor. Fidèle aux désirs de son père qui avait rompu avec le Pape opposé à son divorce avec Catherine d’Aragon, créant alors ce que l’on va appeler l’anglicanisme, son régime est protestant. Pour les catholiques, Élisabeth est donc une souveraine hérétique mais aussi illégitime. Elle est en effet la fille qu’Henri VIII a eue de Anne Boleyn, sa seconde épouse et surtout la femme pour laquelle il y a justement eu schisme religieux. Pour les catholiques, Élisabeth est donc en réalité une usurpatrice. Pour eux, la véritable reine d’Angleterre est Marie Stuart. Mais par quel lien familial peut-elle prétendre au trône ? Car tout simplement la grand-mère de Marie Stuart, Marguerite Stuart qui épousa en 1503 Jacques IV, roi d’Écosse, n’est autre que la sœur aînée du roi Henri VIII. Marie Stuart, aux yeux d’Élisabeth, représente donc alors un véritable danger.    "Car enfin, madame, vous êtes peut-être la seule personne en qui ces deux choses se soient jamais trouvées au degré qu’elles sont en vous. Tous ceux qui épousent des maîtresses dont ils sont aimés, tremblent en les épousant, et regardent avec crainte, par rapport aux autres, la conduite qu’elles ont eue avec eux. Mais en vous, Madame, rien n’est à craindre, et on ne trouve que des sujets d’admiration. N’aurais-je envisagé, dis-je, une si grande félicité, que pour vous y voir apporter vous-même des obstacles ? Mais je voudrais qu’elle ne fût pas seule à s’en apercevoir. Il y a des personnes à qui on n’ose donner d’autres marques de la passion qu’on a pour elles, que par les choses qui ne les regardent point. Et, n’osant jamais leur faire paraître qu’on les aime, on voudrait du moins qu’elles vissent que l’on ne veut être aimé de personne. Aimer, c'est également se taire". D'autant plus que son pouvoir, remis en cause par les papistes, est fragile. En effet, le début de son règne est difficile. Elle doit se montrer ferme dans ses décisions et faire sans cesse ses preuves pour renforcer sa légitimité aux yeux non seulement de son pays, mais aussi de l’Europe tout entière. Les choses deviennent encore plus ardues lorsque Marie Stuart, soutenue par l’Église et le Pape et déjà forte de ses titres de reine d’Écosse et reine de France, revendique officiellement le trône d’Angleterre. La guerre entre les deux femmes est déclarée. Mais alors que la position de Marie Stuart semblait bien confortable, un événement imprévu va précipiter son destin. De santé déjà fragile, le roi François II meurt le cinq décembre 1560 d’une otite mal soignée. Son frère Charles lui succède. Marie se retrouve veuve et sa vie bascule. Catherine de Médicis, qui détient la réalité du pouvoir, ne veut plus d’elle à la cour de France. Marie ressent une solitude absolue. Elle n’a qu’un seul recours, retourner en Écosse qu’elle a quittée, rappelons-le, alors qu’elle n’avait que six ans. C’est pour elle un pays inconnu.    "L’on voudrait qu’elles sussent qu’il n’y a point de beauté, dans quelque rang qu’elle pût être, que l’on ne regardât avec indifférence, qu’il n’y a point de couronne que l’on voulût acheter au prix de ne les voir jamais. Les femmes jugent d’ordinaire de la passion qu’on a pour elles, continua-t-il, par le soin qu’on prend de leur plaire et de les chercher. Mais ce n’est pas une chose difficile, pour la plupart, pour peu qu’elles soient tendres et très aimables". Marie n’est pas préparée au pouvoir. Son retour s’annonce difficile, d’autant plus que les protestants, menés par John Knox, sont à la tête du gouvernement. Son titre de reine d’Écosse est par conséquent plus formel que réel. Pourtant, elle va tenter de faire basculer la situation. Pour cela, elle songe à un mariage qui renforcerait sa position. Elle pense alors à son cousin Lord Darnley, qui a alors le double avantage d’être un successeur potentiel au trône d’Angleterre et d’être catholique. Au départ mariage de raison, cette union va se révéler pour elle un véritable désastre sentimental. Marie tombe folle amoureuse de son époux qui lui rend son amour par coups d’infidélités et de maltraitances. Humiliée, déprimée malgré la naissance d’un fils, Marie prend un amant, Lord Bothwell, un de ses conseillers. Dès lors, l’image de la reine Marie Stuart, déjà négative, va être de plus en plus dépréciée.   "Ce qui est difficile, c’est de ne s’abandonner pas au plaisir de les suivre, c’est de les éviter, par la peur de laisser paraître au public, et quasi à elles-mêmes, les sentiments que l’on a pour elles. Et ce qui marque encore mieux un véritable attachement, c’est de devenir entièrement opposé à ce que l’on était, et de n’avoir plus d’ambition, ni de plaisir, après avoir été toute sa vie occupé de l’un et de l’autre. Je ne me trouve plus digne de vous. Vous ne me paraissez plus digne de moi. Je vous adore, je vous hais. Je vous offense. Je vous demande pardon. Je vous admire, j'ai honte de vous admirer. Enfin, voyez-vous, Monsieur, il n'y a plus en moi ni de calme, ni de raison". On lui attribue les maux féminins que sont la passion des sens et la légèreté sexuelle. Par ailleurs, Lord Bothwell n’est pas apprécié par une grande partie de la noblesse écossaise. Marie, qui voulait consolider son pouvoir, se voit de plus en plus discréditée. Mais les choses ne s’arrêtent pas là et sa passion amoureuse va l’amener à empirer la situation. En effet, Lord Bothwell est extrêmement ambitieux. Il désire épouser Marie Stuart pour accéder au trône d’Écosse. Il doit alors éliminer l’époux de cette dernière, Lord Darnley. Le neuf février 1567, il le fait étouffer dans son jardin après avoir incendié sa demeure. Marie Stuart est accusée de complicité, bien qu’il n’y ait jamais eu de preuves de sa participation à ce crime. Et, comble de l’intolérable pour ses ennemis, elle finit par épouser Lord Bothwell le quinze mai 1567. Cette union fait scandale, à tel point qu’un soulèvement populaire a lieu. Les protestants, menés par des nobles écossais, profitent de ce désordre pour tenter d’évincer Marie du trône. Dans leur lutte, ils sont soutenus par Elisabeth d’Angleterre. Les deux armées s’affrontent et la défaite est cuisante pour Marie. Arrêtée, elle est enfermée au château de Lochlaven. Bothwell l’abandonne à son malheur et s’enfuit.   "Eh bien! Monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux, je vais vous faire un aveu que l'on n'a jamais fait à son mari. Il est vrai que j'ai des raisons de m'éloigner de la cour et que je veux éviter les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge. Conduisez-moi, ayez pitié de moi, et aimez-moi encore si vous le pouvez". Le deux mai 1568, Marie parvient à s’échapper de la forteresse de Lochlaven. Ne sachant où aller, elle décide de trouver refuge chez sa cousine Élisabeth d’Angleterre. Cela semble fort paradoxal, mais Marie se sent confiante. En effet, depuis des années, sans l’avoir jamais rencontrée, elle entretient une correspondance avec la souveraine anglaise qui, malgré qu’elle soit son ennemie politique, se montre fort courtoise et bienveillante. Marie n’a pas conscience du danger. Or, la reine Élisabeth ne sait que faire d’elle. Elle décide alors de la placer en résidence surveillée. Cette détention va durer dix-neuf ans. Élisabeth n’ayant pas un mauvais fond, les débuts de la captivité sont assez dorés. Marie a des serviteurs, des dames de compagnie, elle chasse, se promène. En bref, elle mène une vie agréable. Cependant, au bout de quelques années, la tension monte. Marie se sent prisonnière et n’a toujours pas renoncé à ses prétentions au trône d’Angleterre. Sous l’influence du duc de Norfolk qui souhaite renverser Élisabeth et ensuite épouser Marie qui deviendrait par conséquent reine d’Angleterre, elle accepte le complot. C’est un échec. Norfolk est alors arrêté et exécuté. La surveillance vis-à-vis de Marie se restreint drastiquement. Elle n’a notamment plus le droit de correspondre et ses conditions de vie ne sont plus celles des débuts. La belle jeune femme élancée vivra désormais dans des forteresses glaciales, sans aucun confort.   "J'ai de la force pour taire ce que je crois ne pas devoir dire. L'aveu que je vous ai fait n'a pas été par faiblesse. Et il faut plus de courage pour avouer cette vérité que pour entreprendre de la cacher. Comme je n’avais plus rien alors qui me partageât, la reine était assez contente de moi. Mais comme les sentiments que j’ai pour elle ne sont pas d’une nature à me rendre incapable de tout autre attachement, et que l’on n’est pas amoureux par sa volonté, je le suis devenu de Madame. Les personnes galantes sont toujours bien aises qu'un prétexte leur donne lieu de parler à ceux qui les aiment. Les hommes conservent-ils de la passion dans ces engagements éternels ?". Les choses s’accélèrent dans les années 1584-1585. Une partie de l’entourage d’Élisabeth, dont son plus proche conseiller William Cecil, considère Marie Stuart comme une menace permanente dont il faut se débarrasser. En effet, elle pourrait fort rallier les catholiques et les mécontents du régime anglais. Mais Élisabeth, qui n’est pas une sanguinaire, répugne à exécuter une personne de sang royal.  Elle refuse, ou plutôt repousse toujours à plus tard une décision qui se fait pressante. Devant tant de tergiversations, ses conseillers décident alors, et sans la mettre au courant, de monter un complot contre Marie Stuart. Ils envoient des hommes, dont un certain Guilford, auprès d’elle, afin de lui faire croire qu’ils souhaitent l’aider à renverser sa cousine et s’emparer de son trône. Leur but, faire conspirer Marie Stuart contre Élisabeth afin de créer des preuves. Marie Stuart, pour son plus grand malheur, tombe dans le piège. Elle écrit alors des lettres à destination de la France et de l’Espagne, dont elle espère un soutien, et correspond avec un groupuscule catholique qui lui offre de faire assassiner Élisabeth. Marie accepte la proposition. Elle signe là son arrêt de mort, ces lettres sont interceptées par les services secrets anglais.   "Dois-je espérer un miracle en ma faveur ? Et puis-je me mettre alors en état de voir certainement finir cette passion dont je ferais toute ma félicité ? Ma destinée n’a pas voulu que j’aie pu profiter de ce bonheur. Peut-être aussi que sa passion n’avait subsisté que parce qu’il n’en aurait pas trouvé en moi. Mais je n’aurais pas le même moyen de conserver la vôtre. Je crois même que les obstacles ont fait votre constance. Mais l’innocence de ma conduite et de mes intentions m’en donne la force. Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour, et que je veux éviter les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon jeune âge. Je n’ai jamais donné nulle marque de faiblesse". Pourtant, lorsqu’Élisabeth apprend la nouvelle, elle hésite encore quant à l’exécution de sa cousine. Mais, pressée encore une fois par ses conseillers et le Parlement, son incertitude ne dure pas longtemps. Marie Stuart est alors arrêtée et un procès a lieu. Il est naturellement inutile de dire que ce procès n’est qu’une formalité. Car dans la loi anglaise, comploter contre le souverain équivaut à la peine de mort. Marie maintient pourtant son innocence, tentant d’expliquer qu’elle n’a été que la victime d’une conspiration. Déclarée coupable, elle est condamnée à la décapitation. Seule Élisabeth peut alors encore lui faire grâce. On sait qu’elle mit un très long moment à signer l’ordre d’exécution. Dans les semaines qui précèdent sa mort, la foi catholique de Marie Stuart se ravive et elle fait preuve d'un courage admirable. Elle confie à ses proches qui pleurent sa fin prochaine: "Non, non, ce terrible pèlerinage de ma vie prend fin." Le huit février 1587, à dix heures du matin, après avoir écrit une longue lettre de pardon à Élisabeth, elle monte à l'échafaud, drapée de noir. Elle prie en latin. Avant de mourir, Marie Stuart a eu une formule qui semblait ne rien vouloir dire à ses contemporains: "En ma fin est mon commencement". Or, à la tragique lumière de son exécution, qui laisse d'elle un souvenir impérissable, cette phrase prend tout son sens. Marie Stuart entre effectivement dans la légende comme une reine martyre, victime de la politique et de ses ambitions. Le seul tort qu’elle eut, au regard de l'Histoire, outre son innocence, ce fut alors d’être plus légitime aux yeux des catholiques que sa cousine anglaise.    Bibliographie et références:   - Josie Rourke, "Marie Stuart, reine d'Écosse" (film 2018, avec Saoirse Ronan) - Antoine Monchrestien de Watteville, "La reine d’Écosse" - Joseph Brodsky, "Vingt sonnets à Marie Stuart" - Antoine de Baecque, "Marie Stuart" - Thierry Crépin-Leblond, "Marie Stuart, Le destin français d'une reine d'Écosse" - Michel Duchein, "Marie Stuart, la femme et le mythe" - Irène Fasel, "Les écrits en vers de Marie Stuart" - Antonia Fraser, "Marie Stuart, reine de France et d'Écosse" - Jean de Marlès, "Marie Stuart" - Luc Mary, "Mary Stuart, la reine aux deux couronnes" - Anka Muhlstein, "Élisabeth d'Angleterre et Marie Stuart" - Stefan Zweig, "Marie Stuart" - Alexandre Notario, "La légende de Marie Stuart" - Richard Verstegen, "Marie Stuart"    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir. 
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Par : le 21/05/24
Le général Valeri n'a pas pu s'empêcher d'aller en première ligne avec un commando d'élite de sa milice privée Stalin. Il a besoin d'action. Il aime entendre siffler les balles au dessus de sa tête.  Il aime sentir l'adrénaline couler dans ses veines chaque fois qu'un obus éclate à proximité. Le danger lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Certains prennent du viagra ou des drogues, lui pas besoin, savoir qu'il vit peut être ses derniers instants, le met en érection.  Et les hommes et les femmes de son commandos sont comme lui, ils adorent la guerre.  De toute façon, nous sommes des mortels. La caste des guerriers ne craint pas la mort, non, elle craint la peur,   la lâcheté, les couilles ou les ovaires molles. La caste des guerriers ne craint pas les blessures ou la douleur, non  elle craint les pleurs dus à la trouille. Et pour cette caste il n'est plus grand plaisir que de vaincre sa peur. Encore un obus qui vient d'éclater tout près. Juste eu le temps de se coucher. La terre sale projetée par l'explosion retombe sur Valeri.  Cela sent la poudre et le cramé.  Devant lui le joli cul bombé de Lena. Il se rapproche et se couche sur elle, comme s'il voulait la protéger. Mais aucun des deux n'est dupe. Lena aussi a une furieuse envie de baiser. Elle embrasse Valéri à pleine bouche. Leur langues se mêlent, les braguettes s'ouvrent et la jeune capitaine entame une fellation sur son général.  Ce dernier n'en peut plus. Il retourne Lena, lui baisse son pantalon trempee de cyprine et la sodomise d'un coup de rein violent. Il ejacule vite dans ce si joli cul bien serré de sportive de haut niveau. Putain que c'est jouissif avec toutes ces balles qui sifflent.  Ils reprennent leurs esprits. Valeri rallume un de ses cigares usagés qui trainent dans ses poches.  Ils les fume en plusieurs fois, suivant les envies. Fumer tue...cela le fait toujours rire. - Tu as vu Lena,  150m à gauche, un bunker. Encore des occidentaux avec un uniforme ukrainien. On va les nettoyer. - il me reste une grenade spéciale. Je vais les flamber.  J'espère que c'est des macdo ou de rosbeef....ils sentent meilleur bien grillés.  Lena place la grenade au bout de son fusil. Un tir précis.  Le bunker planqué dans une grange flambe. On entend des cris. Valeri arrose la position.  Ils se remettent en route. Valeti et Lena adorent la guerre à pied, sans chars, ni autre. Qui sait, dans le bois plus loin, peut etre un sniper bien dissimulé? La mort rode partout, mais c'est étrange, elle sent bon. Le soir tombe. Ils trouvent un abri sous un grand arbre.  Lena se love dans les bras de Valeri, leurs lèvres se trouvent. La nuit va être longue. La nuit c'est fait pour les grands fauves.  Deux ombres se glissent dans le noir à la recherche de proies endormies..... Lena est ravissante avec son maquillage camouflage.  Elle se retourne et regarde Valeri de ses splendides yeux de panthère. Un sourire illumine ses belles lèvres si douces.  - à Paris, dit elle, à Paris ! En 44, la glorieuse armée rouge, disait: à Berlin! à Berlin! Valeri embrasse Lena à pleine bouche et rit de bon cœur. -oui, à Paris! A Paris ! Comme en 1814, après la raclée infligee à leur Napoléon.  
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Par : le 06/05/24
Entrée en matière... Je possède tous les attributs d'une mère de famille rangée. En couple depuis 25 ans et heureuse maman de charmants enfants, je pourrais aisément être qualifiée de petite bourgeoise, qualificatif que je ne renie d'ailleurs pas. Physiquement, je fais beaucoup plus jeune que mon âge. Mon minois est agréable, d'après les compliments que je reçois régulièrement de la part de personnes des deux sexes. Brune à la peau matte, j'ai les cheveux très longs. Je suis plutôt petite, mais bien proportionnée. Mes formes sont généreuses et attirent le regard. Ma poitrine affichant naturellement un arrogant 85D, j'ai longtemps eu l'impression qu'elle était beaucoup trop grosse... mais à une époque où certaines dépensent des fortunes en implants mammaires, j'apprécie aujourd'hui, bien plus qu'à vingt ans, les atouts dont j'ai été dotée.  Perchées au sommet de jambes bien galbées, mes fesses sont rondes, rebondies et, je crois, appétissantes. Mes pieds sont petits et fins et apprécient les sandales qui les mettent bien en valeur. Vous l'aurez compris, je suis assez coquette et soigne toujours ma tenue lorsque je sors. Même en mode "décontracté", je choisis des vêtements qui se combinent parfaitement. J'aime les bijoux et les accessoires féminins.  Après être passée par tous les stades vestimentaires (fashionista, classique, chic, casual...) je m'amuse à présent à jongler entre les styles et peux porter dans la même journée un tailleur strict puis un short en jean... Ma vie intime est également contrastée voire paradoxale. En quête d'affection et de tendresse, j'ai connu des relations cahotiques avant de me "caser". Ayant du mal à assumer mes errements passés,  j'ai cherché à composer un personnage "bien sous tous rapports", ce qui a longtemps entravé mon épanouissement car je bridais ma sensualité et refoulais mes désirs. Jusqu'à ce que la crise de la quarantaine nous plonge dans une remise à plat de notre vie de couple, je me cantonnais dans les rôles de la bonne épouse et de la bonne mère,  feignant de n'avoir ni désirs ni fantasmes... Mais des événements ont fait éclater ces apparences trop sages. J'ai dû reconnaître que j'étais moi aussi tiraillée par mes instincts, mes pulsions, mes besoins et que la séductrice que j'avais été sommeillait en moi et ne demandait qu'à se réveiller. Ainsi, à la quarantaine bien tassée,  j'ai ré-appris à laisser ma sensualité s'exprimer, à assumer la part animale de ma féminité et à jouer ostensiblement de mes appâts pour satisfaire mon envie de plaire. Encouragée par un mari qui voyait là le moyen de sauver notre couple en reconstruisant notre relation sur des bases plus saines, plus sincères, plus complices, j'ai petit à petit entrepris de concilier ma soif d'érotisme et mes obligations sociales et familiales. Ce ne fut pas facile tous les jours, car la tentation de me replier et de retourner dans mon jardin secret revient parfois. Mais je suis motivée et je m'efforce de m'assumer de plus en plus. ...à suivre.
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Par : le 05/05/24
Il l'attache. Il lui met les bracelets en cuir : autour des poignets et autour des chevilles. C'est un cérémonial. Et elle sait que ça va commencer. Quelque chose se passe qui la fait advenir. Quand elle a les poignets et les chevilles serrés, elle se sent tenue. Comme lorsque elle est dans les chaînes ou les sangles.   Il l'attache. Couchée sur le dos, il lui attache les poignets aux chevilles. – Tu as l'air d'un crapaud... Tu n'es qu'une bête... Une bête infâme... Il la prend dans ses mots... Il lui crache ses mots... Se penche sur elle, pour, littéralement lui cracher au visage... Il balance sur sa gueule ses crachats... Il la macule... Et comme elle est entravée, elle ne peut s'essuyer, ne peut que, maladroitement, tenter d'attraper ses glaviots avec la langue... – Ouvre ! Il n'a pas besoin de préciser, elle comprend et elle ouvre largement la bouche pour qu'il crache dedans... – Avale ! Si tu étais dans la baignoire, je pisserais sur toi... Dans ta bouche... Et tu boirais... Oui, elle boirait... Elle boit toujours sa pisse quand il l'ordonne. Vite, elle s'agenouille et prend sa bite plus ou moins dure en bouche, et elle boit le jet chaud... Elle aime sentir la pisse chaude couler sur elle, sur son visage, sur ses seins, couler sur son ventre jusqu'entre ses cuisses... Elle s'en caresse le visage et les seins... C'est comme ça. Cette évidence de leur intimité. Mais pour l'heure, ce sont ses crachats qu'elle avale.   Il pourrait en rester là. S'éloigner. La laisser seule. Qu'elle attende. Qu'elle craigne. Qu'elle espère.   – Pauvre fille ! Pauvre femme ! Pauvre chose ! Il la bafoue. Il l'insulte. Les mots tombent et les lanières du martinet la cinglent. Tombent sur son ventre, sur sa vulve, sur ses seins. Et si elle resserre instinctivement les jambes : – Ouvre ! Écarte ! Elle ne peut qu'obéir. Elle ne peut que s'offrir à la douleur. Et en mouiller ! En mouiller. S'ouvrir. Couler. Ce qu'il vérifie en enfonçant brièvement ses doigts dans son con. Brutalement. Sans ménagement. – Elle mouille bien la chienne !... Tu aimes ça !... Dis-le que tu aimes ça !... Et le con vide, abandonné, le ventre et les cuisses cinglés, elle ne peut que crier : – J'aime ça ! Oui, j'aime ça ! Oh ! Sa voix qui toujours l'émeut... Sa voix dans la rage de cet aveu...   Le martinet cingle et elle doit subir, s'ouvrir, s'offrir... Ne pas lutter. Mais se donner...   Jusqu'à ce qu'il vienne s'agenouiller sur le lit à côté d'elle, et enfonce deux doigts dans sa bouche. Il sait qu'elle déteste ça... Et pourtant, là, véritablement, il la dresse. Et comme un animal docile, elle se donne et se laisse prendre. Par la bouche. Elle suce ses doigts. Les aspire. Elle avance la tête pour les enfoncer plus profond. Pour qu'il soit en elle. Au plus profond. Dans sa gorge. Tout au fond. Ses doigts dans sa bouche, sur sa langue, au fond de sa gorge. Elle veut les sentir loin en elle. Totalement s'offrir, se donner. Si elle pouvait, elle les avalerait. Parce qu'elle est sa femelle, sa chose.   Alors, vite, ses doigts bien plantés dans sa gorge, de son autre main il la fouille et la prend. De tous ses doigts, il la branle. – Entre mes deux mains... Tu es entre mes deux mains... Je prends tes deux bouches... Et je voudrais t'écraser !... Faire que mes deux mains se rejoignent... A l'intérieur de toi... Et il se couche sur elle. Pèse. De tout son poids. Il l'écrase. Il écrase ses seins. Il pèse. Et il la branle ! Ses doigts dans sa bouche et dans sa chatte, il la branle... – Tu vas en jouir ma salope ! Tu vas en jouir ! C'est ta seule issue... Tu n'as pas le choix !
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Par : le 19/05/24
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Vendredi soir ! Enfin le week-end et un week-end qui s'annonce spécial pour toi. Tu es à quatre pattes à l'entrée de notre pièce. Ton collier autour de ton cou. Laisse attachée. Lingerie noire. Mais cette fois, tu ne rentreras pas comme d'habiture. Tu ne rentreras pas seule pour venir me retrouver, comme la parfaite chienne soumise que tu es en train de devenir, chienne qui désire tout ce qui va lui arriver. Cette fois, je t'ai bandé les yeux et je tiens la laisse. Je te force à marcher derrière moi. Suffisamment vite pour que ça soit inconfortable pour toi. On s'arrête. Ne bouge plus ! Je t'enlève ta laisse. je t'ordonne d'avancer de 30 centimètres. Et je donne le signal en faisant résonner sur ton cul une immense claque. - Lève bien les mains et les genoux en avançant - C'est bon. Immobile ! J'enlève ton bandeau et tu t'aperçois que tu es à l'intérieur d'une belle cage en acier. Une cage plus longue que haute qui t'oblige à te tenir couchée ou assise, la seconde option étant beaucoup moins confortable. La cage vient avec beaucoup d'options que tu vas découvrir tout ce week-end. Première surprise, l'avant de la cage s'ouvre pour que tu puisses passer la tête et se referme pour la bloquer à n'importe quelle hauteur. Le haut de la cage s'entrouvre et je peux attraper par les cheveux, te faire avancer de force et coincer ta tête tout en bas de la cage, front collé au sol. Je place une barre en travers de la cage pour maintenir ton cul en hauteur, offert. La position est aussi humiliante qu'elle semble inconfortable. Tu ne peux rien voir. - ça va être un week-end particulier. Il n'y aura pas un nouveau jouet mais un chaque session si je veux. Et surtout, surtout, tu vas rester enfermé tout le week-end. Et tu devras supplier mais surtout payer pour tout ce dont tu pourrais avoir besoin. La nourriture, tu devras la payer. L'eau aussi bien sûr. Un esclave doit gagner tout ce dont elle a besoin. L'accès aux toilettes. Evidemment que ça sera très cher. À tout à l'heure. Je te laisse bien réfléchir à ce que tu vas devoir subir, penser à qui tu es. Mon esclave mais aussi un simple objet pour mon plaisir. Dont je peux disposer à ma guise. Je vais te laisser quelque temps mais avant laisse moi prendre quelques photos pour les poster sur internet. Je veux que tout le monde sache quelle salope tu es ! Et pendant que je te dis ça, je me rapproche par derrière toi et je vérifie ce que je sais déjà. Tu es complètement trempée. Le week-end s'annonce sous les meilleurs auspices.
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Par : le 03/05/24
Bonjour Mesdames, bonjour Messieurs, Que fais-je pour me sentir soumis sans appartenir à quiconque ? Hier après-midi je suis allé au sauna libertin de Brive-la-Gaillarde. C’est un sauna assez petit mais très propre dans lequel il est extrêmement rare de voir une Femme. Il est considéré comme un sauna gay par les habitués dont je fais parti. je portais mon ballstretcher pour la cinquième journée consécutive. Une fois arrivé, je prends une douche et me dirige vers le hammam devant lequel des serviettes aux portes manteaux laissaient supposer de la présence. Quatre Hommes étaient là. Deux mâles alpha assis jambes écartées et deux lopettes à genoux en train de les sucer. lopette, c’est ce que je suis lorsque je veux me sentir soumis au sauna. Je m’assaillais entre les deux Hommes et regardais tour à tour à droite et à gauche les lopettes sucer avec gourmandise. j’étais un peu jaloux car la fréquentation était faible. Assez rapidement la suceuse à ma droite s’est relevée pour sortir du hammam, il n’est pas toujours facile de sucer dans cette atmosphère. je posais donc ma main droite sur le genoux de l’Homme délaissé, puis en l’absence de signe contradictoire prenais la place à genoux devant lui. Il avait une belle queue comme je les aime, un beau diamètre sans être excessif et environ 15 à 16 cm de long. J’aime sucer lentement en promenant ma langue le long du chibre en même temps que mes lèvres serrées entament un va et vient. Manifestement ma façon de faire plaisait à mon partenaire qui poussait de petits soupirs, posait Ses mains sur ma tête en de délicates caresses et m’affligeait de compliments tels que « c’est bon salope continue ». je ne risquais pas de m’arrêter tellement les balancements du ballstretcher au rythme de mes sucions me faisait du bien entre jambes. La porte s’ouvrit deux fois pendant que j’étais occupé à donner du plaisir. Je me cambrais alors un peu plus à chaque fois pour que le nouveau venu voit bien la chienne que je suis en plein travail. Je commençais à souffrir de l’atmosphère chaude et humide mais résistais du mieux que je pouvais lorsque l’Homme assis devant moi se leva et interrompit la fellation que je lui prodiguais. Je sortais moi aussi du hammam pour aller prendre une douche rafraichissante. Il y avait peu de monde, je faisais un tour du côté des cabines et de la salle vidéo qui étaient tristement vides. Je me décidais à rejoindre dans le jacuzzi un Homme manifestement de plus de cinquante ans aux traits longilignes. Je prenais soin avant de poser ma serviette, de lui demander si je pouvais le rejoindre. Je m’installais en face de lui décalé sur sa gauche, une jambe posée au fond du jacuzzi au plus prêt possible de lui, l’autre écartée au maximum de ce qu’il était possible de faire. J’aime, lorsque je suis au jacuzzi, montrer que je suis une femelle en chaleur. Je restais un petit moment dans cette position sans rien faire, profitant des jets d’eau les yeux fermés. Mon compagnon de baignade ne bougeait pas, je posais une main sur sa jambe, sur son mollet, sur sa cuisse. Je le caressais très sensuellement un petit moment avant de venir effleurer sa bite qui était déjà bien dure et fièrement dressée. Il ne bougeait pas, il n’y avait pas de réciprocité dans les caresses. Je me sentais alors véritablement pute en train d’essayer d’amener un client à moi. Mes efforts finirent par être récompensés lorsque je senti ses doigts se poser sur ma cuisse. J’écartais les jambes au maximum et poussais mon bassin en avant en même temps que je soupirais de bonheur. mon ballstretcher tirait mes couilles vers le bas, Ses doigts s’agitaient sur mon clitoris qui avait du mal à durcir. Il s’aventurait sur mon périnée, j’avais peur que le contact du ballstretcher le stoppe comme c’est quelquefois le cas. Non, Ses mains se posaient sur la peau tendue de mes noisettes et je balançais mon bassin d’avant en arrière en espérant qu’Il pousse Ses caresses jusqu’à l’ouverture de ma grotte intime. Ce ne fut pas le cas. Ses caresses et les miennes nous prodiguaient à tous deux un plaisir bien visible jusqu’au moment où il se leva et sorti du jacuzzi sans mot dire. J’attendais quelques minutes et faisais de même. Quelques clients étaient entrés mais ce n’était pas vraiment la foule. Je m’installais dans une cabine face à la porte grande ouverte, adossé au mur les jambes grandes écartées en attendant le client. mes mains caressaient délicatement ma poitrine et mes cuisses, ma langue se promenait sur mes lèvres lorsque quelqu’un passait devant la cabine, je mettais le bout du doigt sur ma tige molle et l’amenais à la bouche en une sucions provocante. j’étais pute tout simplement mais le client ne venait pas. Les mêmes têtes passaient dans un sens puis dans l’autre sans aucune touche. Deux Hommes regardaient un porno gay en se masturbant. Ils arrêtaient leur mouvement lorsque je m’approchais. je commençais à croire que ce n’était pas mon jour d’autant que les quelques aller retour que je faisais entre la hammam, la sauna, le jacuzzi et les cabines restaient stériles. je m’accordais donc un moment de détente et ne me consacrais plus qu’à moi-même. j’étais au sauna lorsqu’un beau brun, jeune, un peu ventru est passé devant la porte vitrée pour aller au hammam. Toutes les salopes du sauna étaient derrière Lui. j’en profitais pour m’installer seul dans le jacuzzi et profitais des différents jets pour me faire masser. Les yeux fermés, jambes largement écartées, je profitais. C’est alors que le beau brun est venu me rejoindre. je Lui ai fait une place et nous nous sommes installé tous deux jambes allongées en croix, les miennes au dessus des Siennes. Comme à mon habitude, j’attendis quelques courts instant avant d’effleurer sa cuise de la paume de la main, puis sans réaction de Sa part je me lançais dans de délicates caresses sur Sa cuisse, Ses testicules et Son sexe qui devint vite bien dure. Il ne bougeait pas profitant des caresses de la pute qui était dans le jacuzzi avec Lui. je massais avec application le membre viril, en décalottant lentement le gland, en titillant du bout des doigt le mea urinaire et le frein au prépuce. j’avais toujours les jambes largement ouvertes quand sa main s’immisça sur ma nouille toute molle. Il me caressait la peau tendu des couilles qui supportaient le ballstretcher, je poussais des soupirs de bien être. Sa main se balada un long moment de mon clitos à mes couilles avant de descendre un peu plus bas, à l’entrée de mon cul que je tendais pour l’offrir dès le premier effleurement. Il me fit mijoter de longues minutes à m’exciter de la sorte avant que je ne sente un doigt forcer l’entrée. j’étais totalement offert. Son index fut rejoint par son majeur et je me suis fait labourer le fondement de cette manière un long moment pendant lequel mon corps se crispait sous les jouissances prostatiques. je n’étais plus que plaisir à chaque fois que Ses doigts entraient et sortaient de mon petit trou d’amour. Il me proposa d’aller en cabine. je le suivis. Il s’assit sur la banquette de la cabine vouée aux exhibitionnistes, sans porte et avec une fenêtre de l’autre côté. je m’installais en face de lui et Ses doigts reprirent leur place au plus profond de moi. j’ondulais, je me cambrais, je criais, je chancelais sur mes jambes tremblantes, excité encore plus par les quelques mâles voyeurs qui se branlaient en profitant du spectacles. Sur une explosion de jouissance plus forte que les précédentes, mon partenaire se retira après m’avoir demandé si ça allait. je le remerciais et allais m’étendre dans une autre cabine pour me reposer un moment. j’étais allongé sur le ventre, jambes écartées et je récupérais de mes orgasmes successifs quand une main se posa sur mes couilles pour les tirer en arrière. Quel pied ! Quelqu’un qui voulait me traiter comme je le méritais. je tournais la tête et reconnu le beau brun revenu me tourmenter. Deux doigts enfoncés en moins en train de faire des va et viens, son autre main qui me tirait les couilles, j’étais aux anges. Mes spasmes reprirent de plus belle. La main qui torturait mes testicules les lâcha. Du coin de l’œil je vis qu’il mettait une capote. Sa bite se pointa à l’entrée de mon cul, il poussa et pénétra en même temps que je criais. Il me ramona un long moment à des cadences variées, avec de grands coups de boutoir et quelques claques sur mes fesses. Il se retira soudain sans avoir poussé le moindre cri de jouissance et déposa sa capote dans la poubelle avant de partir. Encore une fois je le remerciais avant de récupérer Son sperme et de me l’étaler sur le visage en masque de beauté. Je restais un moment à récupérer avant d’aller prendre la douche et rentrer chez moi. Merci encore une fois à Vous beau brun !
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Par : le 05/05/24
. Sentir l'étirement, le pincement, la pression.. Du léger picotement, à la douleur stridente.. De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler.. Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint. Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe.. Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés. Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux, seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort.. Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin. En soi : Pas grand chose. Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même, Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement. Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères. Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder.. Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité, de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes. M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un, et où je ne m'appartiens plus.   La suite à vivre sous mon appartenance, ChatMOnYou. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Par : le 01/05/24
La sonnette retentit dans l’entrée, je sursaute. Mon Maître s’interromps un instant, reprends quelques lents vas et viens dans ma bouche comme pour savourer encore un peu la sensation puis se retire et se rhabille. « Notre invité est arrivé ! » Sa voix est enjouée. « Je veux que tu termines ce que tu as à faire ici. Tu es toujours interdite d’accès au salon. Je te ferais venir quand je le déciderai. Quand tout sera prêt dans la cuisine, tu iras te doucher avec soin, tu mettras la tenue que j’ai choisie pour toi et tu patienteras à genoux dans l’entrée. C’est bien compris ?  Oui Mons… Maître ! Toutes mes excuses ! » J’ai encore failli l’appeler « Monsieur » ! Mon cœur bas la chamade et je n’ose plus lever le regard vers lui. « Je vais mettre ça sur le compte de la nervosité. File maintenant ! » Je risque un coup d’œil qui me confirme ce que me disais déjà le ton de sa voix : il est tout sourire. L’arrivée de notre invité semble le ravir au point de le rendre plus indulgent. Maître est déjà parti vers la porte d’entrée, je ne me fais pas prier pour galoper me cacher dans la salle de bain. Je referme la porte derrière moi et découvre la tenue que mon Maître a retenue pour cette soirée : ma robe noire moulante, celle qui dessine tous les contours de ma silhouette avant de l’abandonner à mi-cuisse et qui offre une perspective généreuse sur mes épaules et mon décolleté. Sur la robe, une paire de bas noirs autofixants avec un liseré de dentelles. Rien de plus, rien de moins. Au moment de me déshabiller, je prends conscience que le plug est toujours présent, délicieux intrus pour lequel je n’ai reçu aucune consigne. Le stress commence à sérieusement monter. Que dois-je faire ? Je l’enlève ? Je l’appelle pour lui demander ? Mais je ne peux pas le déranger pour ça… Je décide de prendre une grande inspiration et de reprendre le fil de ses consignes. Il ne m’a rien dit de spécifique vis-à-vis du plug. Donc il ne m’a pas autorisé à le retirer. Mais il m’a dit de me doucher avec soin… Le plus logique serait que je le retire le temps de me laver  et que je le remette en place. Oui, je vais faire ça. L’eau chaude qui s’écoule sur mon corps détends mes muscles et m’aide à reprendre un peu de contenance. J’essaie de me vider la tête au maximum et de me concentrer sur ma respiration pendant que je m’habille, me coiffe et me maquille à son goût. J’ai envie de trainer un peu dans la salle de bain pour retarder l’échéance, mais je sais que ce sera mal perçu par mon Maître alors je m’abstiens. Je dois faire bonne figure et me montrer digne de lui devant notre invité. Je sors de la salle de bain et m’en vais patienter dans l’entrée, à genoux. Ma robe est courte et mes jambes écartées dévoilent mon intimité qui déja se prépare. Mon ventre se serre, j’entends la voix de mon Maître et de notre invité qui discutent gaiement dans le salon. Ils semblent enthousiastes. La voix de l’autre homme me laisse supposer qu’il s’agit de quelqu’un de plutôt jeune, sans doute pas très éloigné de notre âge. Tant mieux ! Cela me rassure un peu. Maître sait que j’ai une appréhension à l’idée de rencontrer quelqu’un de plus âgé. Même s’il m’a bien prévenue qu’il attendait de moi que je puisse être baisée par absolument n’importe quel genre d’homme sur sa demande. Ce soir marquera le premier pas de mon éducation en ce sens… Maître ne me fait pas attendre très longtemps. Je sais que je dois conserver le regard vers le sol et je m’y oblige. J’aperçois tout juste la silhouette des mollets et des pieds de notre invité derrière ceux de mon Maître. Ne pas relever la tête ! « Oh elle est plus petite que je ne pensais ! Elle est mignonne. » Maître rit avec légèreté. « Haha c’est souvent trompeur les photos, c’est vrai. » Sa main se pose sur ma tête de chienne silencieuse et docile. Je savoure ce premier contact rassurant. Maître continue de parler de moi comme si je n’étais pas là : « C’est encore une jeune chienne, elle a beaucoup à apprendre, mais j’ai bon espoir qu’elle s’assagira avec le temps, l’éducation et l’expérience.  On est là pour ça ! La période de socialisation c’est primordial, plus tôt tu t’y prends, plus elle verra de mâles différents, et plus elle saura naturellement comment se comporter et sera sereine dans sa vie de chienne.  Exactement ! Je suis content que tu aies accepté d’être mon premier invité. J’ai envie que ça soit une bonne expérience. On va bien s’occuper d’elle. » J’assiste à leur dialogue en silence. Je suis malmenée par un flot d’émotions contradictoires. Me faire comparer à un chiot en période de sociabilisation me déstabilise profondément. J’ai l’impression de ne plus être humaine. Et en même temps, j’aime sentir cette main sur ma tête qui me rappelle que je suis sienne et qu’il est là pour moi. J’ai peur de ce que cette soirée me réserve, mais je me mentirais si je n’avouais pas aussi mon excitation. Excitation que mon corps ne sait cacher. Notre invité accompagne sa dernière phrase d’une caresse sur ma joue qui se termine sous mon menton, je frissonne. Je continue de regarder le sol. Maître ouvre un tiroir du meuble de l’entrée et en sort plusieurs objets que je ne vois pas. Un bandeau est passé sur mes yeux et noué derrière ma tête, coinçant une mèche de cheveux au passage. Je ne peux désormais plus voir à quoi ressemble notre invité ni ce qui m’attends. Paradoxalement, cela me rassure. Un sens en moins à gérer, c’est une quantité importante d’informations que mon mental n’aura pas le loisir d’analyser et de surexploiter. Il me semble que je me relâche un peu. Je sens ensuite que mon Maître me passe un collier autour du cou. C’est une sensation nouvelle. Je me sens tenue d’une manière que je n’avais jamais connu. Jusque-là, il n’avait jamais été question de collier entre nous, Maître considérant que la profondeur de la relation peut se mesurer autrement. Mais ça me fait quand même quelque chose. Je sens que l’on clipse quelque chose sur le collier puis une traction vers le haut m’intime de me relever. Je m’exécute. Je suis en laisse. Je suis vraiment en train d’être reléguée au rang de chienne…
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Par : le 03/05/24
J'ai écrit pour toi pendant 3 mois. Après chaque séance. Je voulais écrire une dernière fois. Cela fait 1 semaine que j'attends ce moment. Il est 11h, je l'attends impatiemment.  Celui qui était mon Maitre il y a encore 9 jours. Mon bon Maître. Depuis 9 jours j'avance seule. Funambule sur un fil sans filet pour adoucir la chute. Je peux tomber à tout moment. Mais je m'en sors bien. Ce matin en me réveillant, j'ai senti que j'allais mieux, que je serais capable de le voir, de parler avec lui, sans larme. Enfin il arrive, à peine a t'il franchi la porte que je me jette dans ses bras. Je ne veux plus jamais en sortir. Plus jamais. Je ne veux pas les quitter. Je respire son odeur comme pour la capturer et la garder pour toujours. Les larmes montent.  Je lutte, résiste, les retiens.  Je ne veux pas pleurer. Je tiens. Plus ou moins. A l'endroit exact où il m'a embrassé la première fois. Cette fois où j'étais terrorisée que cet homme s'approche de moi. Maintenant je ne veux plus le quitter. Je cesse le combat. Je pourrais pleurer des heures. Tout revient à ma mémoire.  Et plein d'autres choses encore. Je pleure pour tout ce que j'ai perdu, contre lui, dans ses bras, où je me suis toujours sentie protégée. Est ce que je retrouverai un jour un tel sentiment de sécurité ? Quelques minutes plus tard, un café,  un thé,  sur le canapé je retourne dans ses bras. A la fois si proche et si inaccessible.  Comment exprimer tout ce que je voudrais lui dire ? Mais en fait il n'y a plus grand chose à dire. Il me conseille de trouver quelqu'un.  Quelle erreur. Rien ne saurait me desservir plus que ça.  Il s'inquiète pour moi. Alors qu'il revienne! "Tu mets trop d'énergie dans cette relation ". Je n'ai pas compris cette phrase. Il a fait de moi sa soumise. Il était mon Maitre, celui qui décidait de tout. Celui qui avait ma vie entre ses mains lors de nos séances.  Comment pouvais-je mettre trop d'énergie? C'est justement parce que  l'énergie me quittait que je l'ai perdu. Non, vraiment je ne comprend pas ce que cela signifie. Dans ses bras, je finis par lâcher qu'il n'avait pas le droit.  Pas le droit de changer d'avis comme il a fait. Petit con ! Je me sens alors mieux. Beaucoup mieux.  Il faut croire que j'avais vraiment besoin d'exprimer cela à haute voix. De lui dire en face. Je me relève,  il me suit.  A nouveau debouts dans l'entrée,  je retourne dans ses bras. Il attrape et tire mes cheveux. Geste réflexe qui ne dure pas, mais tellement ancré, tellement normal, qu'à cet instant je trouve absurde et incohérent que la suite ne vienne pas.  Je veux une dernière fois. Il trouve cela inutile, insensé. J'obtiens un dernier baiser. Pour la dernière fois je peux goûter ses lèvres, sentir sa langue, sa main dans mes cheveux. Dernier baiser. Tellement incompréhensible. Mon cerveau ne comprend toujours pas. N'intègre pas. Pourtant je le sais, j'ai perdu mon Maitre. Il me dit de le détester si cela peut m'aider. Quelle horreur! Jamais je ne pourrai détester mon Maitre ! Il m'a initié,  m'a éduqué, m'a faite évoluer. Qu'il le veuille ou non, il sera toujours mon Maitre. Je reviendrai toujours s'il me le demande. Si un jour la danse reprend. Mais aujourd'hui la musique s'est éteinte,  la danse s'est arrêtée.  Je dois réapprendre à marcher. Sans tournoyer,  sans valser. Juste marcher. De manière si conventionnelle,  si ennuyeuse, sans lui pour égayer,  alléger le quotidien. Sans mon Maitre pour me guider dans la ronde. 
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Par : le 08/05/24
Je ne sais pas si vous avez déjà dormi avec les poignets attachés dans le dos ? Je peux vous dire que c'est terriblement inconfortable, surtout si, comme moi, vous dormez justement sur le dos….  Bref après une nuit particulièrement courte et agitée, je me suis réveillé à 6 heures. Monsieur Gilles était déjà réveillé, mais ne semblait pas  décidé à se lever,  Viens que je te détache Je m'approchai du lit, et lui tournant le dos je lui tendis autant que je le pus mes poignets....     - Tu as vraiment un joli petit cul !!!  Tu vas faire des ravages !! Je rougis sous ce commentaire, surtout que sa main me caressait de plus en plus précisément !            - Vas vite prendre ta douche et j'irai en faire autant pendant que tu me préparas mon petit déjeuner ! Une bonne claque sur mon cul fut le signal pour que je bouge.... J'ai pris ma douche et me suis mis à préparer le petit déjeuner de Monsieur. Je me suis interrompu pour aller lui frotter le dos ... et le sécher délicatement. Je me suis naturellement retrouvé à lui "sécher" le sexe et les fesses de ma bouche.... Quand il a été bien nettoyé Monsieur m'a pris longuement et lentement pour que je sente bien sa queue me pénétrer et m'envahir pleinement. Je ne pensais pas que cela pouvait être aussi bon!! Après le petit déjeuner de Monsieur, nous avons été faire des courses dans une petite superette à proximité. Avant de partir Monsieur, ma remis la laisse. Dans l'ascenseur il me tenait par elle. Une fois dans le hall d'entrée, il l'a fait passer dans mon dos et l'a glissé à l'intérieur de mon blouson. On voyait quand même bien mon collier et l'attache de la laisse. J'avais honte et avais l'impression que tous les regards étaient braqués sur mon collier... Mais de marcher dans la rue avec mon collier de soumis autour du cou me troublait beaucoup, j'étais très fier de porter ce collier ! De retour à l'appartement je me mis nu comme il se doit quand je suis chez Monsieur Les courses faites, nous sommes rentrés à l'appartement. J'ai fait le ménage, l'aspirateur toujours attaché par une cordelette à la base de mon sexe et à mon gland. Ce fut plus pénible quand il a fallu passer la serpillère...Soulever le seau attaché de la même façon pour le déplacer m'a demandé beaucoup d'essais et pas mal de douleur.... Mais une fois la technique enregistrée cela se passa assez bien, je pus "sincer" comme on dit chez nous, sans faire tomber de l'eau sur le lino. Je préparai ensuite le déjeuner et le servit à Monsieur de la même façon que le diner d'hier... Pendant que Monsieur faisait sa sieste, je suis resté attaché au pied du lit, couché sur mon matelas au sol. En fin d'après-midi, Monsieur, m'a remis mon plug et mon collier. Comme je lui demandais ou nous allions, il m'a dit ;"tu verras bien!". Tu mets juste ton pantalon, cela suffira largement, avec ton blouson bien sur! La laisse n'était pas dans mon dos, tout le monde pouvait la voir pendante au dessus de mon blouson, mais cela ne semblait pas troubler Monsieur le moins du monde ! Dans la voiture, j'ai dû baisser mon pantalon et ouvrir mon blouson Monsieur m'a mis une vieille écharpe qui trainait derrière sur les cuisses "au cas où..."       - Voilà tu es très bien ainsi, quand je te le dirai tu enlèveras le tout sans discuter, compris ?       - Oui Monsieur       - Parfait Après quelques minutes de route, nous sommes arrivés sur un grand parking à plusieurs niveaux séparés par de petits terre pleins plantes darbres et d'arbustes.     - Tu vois nous reviendrons là ce soir et je t'exhiberai ! Tu devras te laisser faire...tu as bien compris?      - Oui Monsieur j'ai  bien compris que je devrai me laisser faire et ne pas refuser les avances,,,      - Très bien tu comprends vite...  Tu vois pour le moment il n'y a personne mais tu verras ce soir ce sera autre chose !  Nous mettrons exactement au même endtoit pour que tu sois bien visible de tous...      - Mais cela peut etre dangereux... je peux tomber sur un taré !       - Ne t'inquiète pas, je connais bien ce parking et il n'y a jamais eu de problème ! En plus je serai là pour te protéger si besoin!      - Bien Monsieur...      - Tu vas te mettre nu et sortir de la voiture. Mets toi devant à 3 ou 4 mètres que je te vois bien.     - Mais tout le monde peut me voir, Monsieur!     - Tu vois quelqu'un?     - Non, Monsieur     - Alors... Je suis sorti de la voiture, j'ai complètement retiré mon pantalon et mon blouson est je me suis posté devant la voiture....     - Bien mets toi face à moi, les jambes écartées..... Je me suis mis comme le voulait Monsieur    - Très Bien, tu es superbe ainsi...un vrai soumis obéissant... je vais faire de toi ma pute, tu sais?    - Je vous appartient, faites de moi ce que vous désirez, Monsieur, vous savez mieux que moi ce qui est bien pour votre soumis, Monsieur!    - Allez on rentre, Même si j'avais honte, je dois reconnaître que j'ai pris beaucoup de plaisir à cette exhibition. Nous sommes rentrés,  j'ai préparé le dîner de Monsieur... je l'ai servi et me suis mis à genou à  ses pieds . Une fois fini son repas, j'ai eu le droit de finir son assiette.... Pendant que je faisais la vaisselle, Monsieur, à passé plusieurs coups de fil.... puis je me suis mis à  ses pieds pendant qu'il regardait un film à la télé.  Quand le film fut terminé Monsieur m'a préparé pour sortir. Collier acier avec un anneau qu'il a fermé avec un petit cadenas, bracelets cuir aux poignets. Il m'a attaché les deux anneaux de mon sexe avec un petit cadenas.... ainsi courbé mon sexe ne pouvait plus se dresser...    - Personne ne pourras te sucer ainsi!    - Tu es parfait ainsi.. Comme laisse il m'attachat une longue chaine    - À cette heure tout le monde est rentré dans l'immeuble et la voiture n'est pas loin.... donc tu sors comme cela, on va prendre l'escalier !     - Bien Monsieur... J'étais mort de honte, je tremblais en suivant Monsieur, j'avais peur que nous ne tombions sur un retardataire... Mais non heureusement, nous n'avons vu personne!  Et dehors pareil, il n'y avait personne! Arrivé sur place, il y avait plus de monde que dans l'après-midi, je comptais une demi douzaine de voitures et quelques personnes en train de déambuler. Nous nous sommes arrêtés au même endroit. A croire que la place était réservée... Monsieur m'a demandé de sortir et de me poster comme il m'avait fait voir dans l'après-midi. Je tremblais en sortant de la voiture, mais je me suis posté comme Monsieur le désirait. Il est sorti également de sa voiture, a repris la chaine, et a été l'attacher un pied d'un des arbres à proximité. Puis il est revenu vers moi, à détaché le mousqueton de mon collier pour attacher la chaine directement au collier mais en laissant pendre quelques centimètres de laisse dans mon dos.... Il a pris mes poignets et les a fixés au mousqueton en les relevant dans mon dos...       - Tu ne pourras pas te refuser ainsi! m'a t il dit en souriant...mais ne bouge pas j'ai une surprise pour toi! Je suis resté comme Monsieur le désirait, les jambes écartées, les bras remontés dans le dos ne pouvant pas bouger, je sentais sur moi un certain nombre de regards, et une présence de plus en plus forte derrière mois. Monsieur était à peine à la voiture que je sentais les premières mains glisser sur mes fesses.  Des mains de plus en plus impérieuses prirent petit à petit le contrôle de mon corps... Mes tétons furent tiraillés, caressés, pincés. Ma queue fut vite le centre d'intérêt le plus recherché, visiblement mon sexe attaché attirait la curiosité. Monsieur chassât tout le monde quand il revint avec dans les mains une barre de métal à laquelle était attaché deux bracelets en cuir. Il se mit à genoux pour me les fixer aux chevilles.       - Ainsi tu ne pourras même plus refermer tes cuisses!       - Messieurs, il est à vous mais seule sa bouche est utilisable ! Monsieur s'est éloigné pour aller parler avec le conducteur d'une voiture, me laissant à la merci de ces hommes. Les mains se sont faites beaucoup plus précisent, certaines me pinçaient les tétons pendant que d'autres jouaient avec mon sexe emprisonné. Cela a duré un petit moment, jusqu'à ce que 4 bras me soulèvent pour me mettre à genoux. Un premier sexe vint heurter mes lèvres, une main ferme me tint par les cheveux m'imprimant un rythme soutenu et me forçant à avaler de plus en plus loin ce sexe heureusement pas trop gros. En quelque minute il se soulagea dans ma bouche ! J'avalais une bonne partie de son sperme, chaud, salé, avec une légère amertume ...je n'eus pas le temps de le gouter plus que cela un deuxième membre veut le remplacer, et le même jeu se renouvela, une main ferme dans les cheveux me forçait à avaler de plus en plus loin jusqu'à avoir des hauts le cœur .... Cela les faisait beaucoup rire, mais ils ne ralentissaient pas pour autant !!! J'avais parfois du mal à reprendre mon souffle ! Le troisième changea de technique, il me tint lui aussi par les cheveux, mais se recula petit à petit jusqu'à ce que je sois en déséquilibre...il laissa ensuite le poids de ma tête et de mon corps faire tout le travail...je le sentais pénétrer de plus en plus loin dans ma gorge...Il me remontait de temps en temps pour que je reprenne mon souffle puis me laisser retomber sur son membre long et épais... Très vite mon nez toucha son pubis et mes lèvres  touchèrent la base de son sexe...Il se recula pour que je respire et s'enfonça facilement jusqu'à la garde.... Quand il me remit droit il put m'enfoncer son sexe tout entier sans que j'oppose la moindre résistance. Je le reçus entièrement dans ma bouche et avala en totalité son sperme épais et légèrement sucré...malgré tout j'étais fier d'avoir réussi à l'avaler en entier ! Quand le dernier fut satisfait, ils m'ont relevé et je suis resté à dispo pour qu'ils jouent sur mon corps comme ils le désiraient... Un des hommes, a été voir Monsieur, et a longuement discuté avec lui. Je ne sais pas ce qu'ils se sont dit mais ils semblaient contents au retour ! Il a été cherché une petite branche fine d'un des arbres et s'est amusé à me fouetter avec...fesses, cuisses et surtout sexe.... Les brulures des coups étaient vives et douloureuses mais en même temps elles me procuraient une forte jouissance, comme une apothéose à cette soirée d'initiation. Monsieur m'a laissé encore un peu aux mains de ces hommes puis il leur a demandé de me laisser.       - Allez, cela suffit pour ce soir!  Je suis fier de toi, pour une première tu as été plus qu'à la hauteur ...tu es une vraie salope !  Il m'a détaché, m'a enlevé la chaine mais pas le collier et j'ai suivi Monsieur dans la voiture.  Il m'a mis la main sur la cuisse et m'a redit  qu'il était fier de moi.     - on va aller boire une bière,  tu mérites bien cela!     - Mais... Monsieur, je suis nu! Je ne peux pas sortir comme cela ?!     - tiens prends cela. Et il me donne un sac ou il y a une robe chemisier saharienne.... J étais trop fatigué pour répondre...j'ai  enfilé la robe et nous sommes partis... Pendant le trajet, Monsieur,  me caressait tendrement la cuisse remontant de plus en plus haut....c'était bon cette tendresse après  cette soirée mouvementée !  Nous sommes arrivés au même bar qu'hier au soir, il semblait  fermé...Mais quand monsieur à poussé la porte, il y avait encore un certain nombre de personnes à l'intérieur !  Pieds nus et en robe je ne passais pas inaperçu... Mais là, ce soir je m'en fichais,,, Nous avons retrouvé les mêmes personnes qu'hier... Monsieur s'est assis, et il m'a fait mettre à  ses pieds à même le plancher...    - Alors cela a donné quoi cette soirée ?     - il avance vite, il n'a pas rechigné et n'a pas cherché à se dérober.. je suis fier de lui...A la troisième queue il a été capable de l'avaler entièrement... par contre il n 'avale pas encore avec plaisir...on voit quil se force pour le faire.    - Très bien s est un bon début. Pour demain je veux qu'il ne soit pas attaché ni les mains ni les pieds. N'oublie pas il a rendez-vous à  l'institut pour son épilation et sa visite médicale      - lève toi! Je me levai et me mis derrière Monsieur     - Approche toi! L'homme avec qui parlait Monsieur, me fit me mettre nu devant lui... il me fit tourner devant lui... il me caressa le sexe, le soupesa, tritura mes couilles...ce qui provoqua une érection,  certes vite maîtrisée par les cockrings, mais qui n'échappa au regard de cet homme.     - C'est  qu'il réagit vite , la salope ! Pour demain son cul sera libre aussi.     - Très bien, À demain... Penses à  lui donner ses remontant pour qu' il  soit en forme demain!    - Pas de souci, il a déjà commencé à  les prendre depuis hier...    - Très bien, alors augmenté la dose à 30 gouttes 2 fois par jour.. Je ne comprenais rien...qu'est-ce que c'était ces gouttes ? Mais la seule chose qui comptait à  ce moment là c'était la main de cet homme jouant avec ma queue...ses caresses étaient à la fois douces et puissantes, et mon bas ventre se tendait vers sa main... Monsieur m'a fait me rhabiller et nous sommes sortis... Nous sommes rentrés directement à  l'appartement...Heureusement nous n'avons croisé personne. A la maison j'ai demandé à  Monsieur si je pouvais prendre une douche, il m'a ordonné de retirer mon plug, l'eau chaude me fit le plus grand bien... Je me suis couché au pied du lit de Monsieur je n'avais qu'une envie dormir ! Mais Monsieur m'a demandé de venir à côté de lui, il m'a offert un verre de jus d'orange pendant que lui prenait une bière.... Tout en me demandant ce que j'avais pensé de cette soirée il jouait avec mon sexe... Je lui ai avoué que j'avais quand même beaucoup aimé faire cela pour lui.... La honte, la peur avaient décuplé mon plaisir !  Tous en lui parlant je le caressai également…C'était bon de le sentir régir sous mes doigts...et malgré la fatigue je me suis mis à le sucer tendrement mais en l'avalant tout entier... Très vite il m'a mis à 4 pattes et m'a enculé lentement, longuement ...C'était divin et j'ai explosé en même temps que lui... Je l'ai nettoyé comme il faut et je me suis couché sur mon petit matelas à ses pieds après lui avoir souhaité une bonne nuit ! A suivre
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Par : le 03/05/24
Les jours suivants, une espèce d'écrin s'est installé, tendre, doux, comme un grand voile de soie. Dès que nous étions libre de nos obligations, à la sortie du travail et moi du lycée, une seule idée, être ensemble, je ne pensais même plus à trainer avec les copines, aux sorties du samedi, d'ailleurs je n'ai pas échappé aux commentaires du genres " on ne te vois plus, tu réponds pas aux messages, t'es amoureuse, il est comment, tu l'a déjà fait avec lui, tu peux bien nous raconter, c'est ça, t'es toute rouge, hahaha ! " je n'avais qu'une envie c'était de rentrer. Bien avant eux à la maison, je sautais sur mes cours pour terminer au plus vite. Un petit maquillage, un peu de parfum, j'adorais celui de Julien "Eau Sauvage" je recherchais le sourire, le commentaire, tous les soirs ne se ressemblent pas et parfois, un peu triste. Difficile à cet âge, tout change, le corps, les envies, la vie de chaque jour, parce qu'on a évolué et sauté quelques étapes mais j'étais encore un gamine, juste une ado  avec un peu d'avance , qui avait encore beaucoup à apprendre. C'était un de ces soirs où je rêvais du "Prince charmant " bien plus entreprenant que dans le comte, que ma sœurette se glisse sous ma couette, comme souvent, blottie dans mon dos, des frissons partout, à voix basse, Lydia me demande un coup de main pour le cadeau de St Valentin de Julien, en vrai,  " j'aimerais lui faire la surprise de sa vie et je pense avoir trouvé la merveille, qui en a envie aussi depuis longtemps" je suis passée de la douce chaleur de nos corps à la sueur de la trouille d'avoir compris qui était le cadeau 🎁 surprise. Jusque-là les caresses, les baisers et les doigts inquisiteurs suffisaient à ma curiosité mais là... Il faisait très chaud sous ce duvet, wouha. Je laissais échapper un "oh non" . Attends je t'explique: " nous allons souper au restaurant tous les trois, j'ai réservé, aussi au cabaret, après la soirée, on rentre à la maison, je préparerais les petits 📦 sur la table du salon à ouvrir après la soirée. On rentrent, comme d'habitude, on se déshabillent, on passent à la douche. J'ai achetais du ruban 🎀 en velour rouge, il est dans le tiroir des strings, je viendrais t'aider, pour faire de jolis nœuds à tes chevilles, aux poignets, autour de ta taille et à ton cou. Le reste sera noué au ruban à ton cou, dans son petit paquet cadeau il y aura un petit mot disant, qu'il lui faut trouver, le bout de ruban rouge au salon, il le trouvera près de la porte de ta chambre et devra le tirer, tu va sortir de ta chambre avec ta mine de petite souris et je lui dirais que mon cadeau de St Valentin c'est toi, j'aimerais que tu dises que nous lui offrons ta virginité en gage de notre 💘 que tu ne veux personne d'autre pour la première fois. On a un mois pour te préparer et je serais avec toi, je te tiendrais la main si tu as peur, je vais te montrer en détails ce que tu devra faire, Julien n'est pas un sauvage et tu sais qu'il t'adore, il a respecté sa parole quand vous étiez seul non? Je peux pas faire ça, il va se moquer de moi, je ne suis pas aussi jolie que toi, je n'y connais rien et je ne saurais pas quoi faire ni quand... Pas de panique, tu en as envie je le vois bien, on t'entend glousser le soir dans ton lit, depuis quelques semaines tes petits seins on prit du volume, tu es parti plusieurs fois au lycée sans culotte avec ta jupe plissée, j'espérais que tu n'avais pas un copain trop entreprenant... Non j'ai personne, juste exitée de sentir l'air sur ma vulve, je te jure rien de plus. Tu ne peux imaginer la peur et l'envie qui me brûle en même temps, tu sais, je vous aime mais suis complètement perdue, si j'ai mal ? Terrifiée ? Si je saigne et la honte de salir partout ? Je vais mourir. Non je te promets, on va tout voir ensemble, la seule chose que tu dois supporter c'est le passage de fille à femme, être déflorée, une minute de douleur avant un immense plaisir, je vais t'aider en préparant l'entrée pour limiter le côté pénible. Et d'ici là rien ne t'empêche de continuer avec 2 doigts... Même si je te tiens la main, tu dois lui appartenir entièrement toute la nuit et je te guiderai, penses y, pour nous trois, accepte ma Choupette 💋💝
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Par : le 12/05/24
Sur les plateformes de dédiées à la rencontre comme Tinder ou partiellement dédiées à la rencontre comme notre site BDSM.FR, tout à chacun a pu constater le déséquilibre marqué entre le nombre de femmes et le nombre d'hommes. Ce déséquilibre impacte lourdement l'expérience des utilisateurs, hommes comme femmes.. Ce problème n'est donc pas cantonné à Tinder, mais c'est un symptôme généralisé sur toutes les plateformes de rencontres. Certains nouveaux membres de BDSM.FR s'en plaignent de manière assez critique et voir de manière acerbe comme si nous étions responsables et coupables de la disparité de nombre entre les femmes et les hommes sur le site (il n'y a pas une semaine sans qu'on se fasse littéralement insulter par le biais du formulaire de désincription). Dans le cas de Tinder, Nicolas Kayser-Bril et Judith Duportail ont effectué un test, il y a quelques années, et le résultat de l'expérience est à peine surprenant et en tout cas très significatif. L'expérience de Judith et Nicolas sur Tinder A des fins expérimentales les deux enquêteurs ont voulu voir "ce que ca faisait" d'être du sexe opposé sur l'application phare de la rencontre en ligne, Nicolas, s'est ainsi créé un profil féminin sur Tinder, et a rapidement dû fermer son compte, véritablement submergé par les sollicitations tournant parfois assez vite à l'agressivité. Judith, quant à elle, a constaté un manque de sollicitation sur son profil masculin, à l'inverse de ses expériences habituelles sur Tinder ou elle avait du succès, mettant en lumière que l'expérience entre un homme et une femme est radicalement différente en fonction du sexe. En effet, selon leurs recherches, le taux de match est de 50 % pour les femmes contre seulement 2 % pour les hommes sur Tinder. Causes et conséquences de cet état de fait Sur-sollicitation des femmes : les femmes sur les plateformes de rencontre sont souvent sursollicitées à un point tel qu'elles peuvent se sentir harcelées. Ce phénomène n'est pas seulement inconfortable; il peut conduire à jusqu'à des sitations réelles de cyberharcèlement. Frustration des hommes : les hommes, confrontés à un faible taux de réponse, peuvent ressentir une grande frustration. Cette situation est exacerbée par le modèle économique de Tinder, qui encourage les hommes à acheter des fonctionnalités supplémentaires pour augmenter leur visibilité, sans pour autant que les résultats soient à la hauteur des espérences que la monétisation fait naître. Conséquences : les femmes deviennent plus sélectives n'ayant que l'embarras du choix et voulant s'épargner les plus "collants" des hommes, et en arrivent juger de manière expériditive les dizaines (voire centaines) de solicitations qu'elles recoivent, tandis que les hommes peuvent se sentir floués et devenir agressifs face aux échecs répétés au quotidien (en ayant pourtant parfois bourses déliées). Et BDSM.FR dans tout ça ? BDSM.FR, comme tous les sites permettant l'interaction homme/femme et le contexte "Rencontre" pour bon nombre d'utilisateurs/utilisatrices, nous avions consience de cette problématique dès la création du site en 2012 et avons fait dès la genese ce que nous pouvions pour "soulager" les dames, tout en restant gratuit pour les hommes. Ce système repose depuis 2012 sur une prise de contact (demande d'ami) avant de pouvoir échanger, et sur un volontairement bridé (court) message introductif, pour que les dames est assez vite des éléments pour se faire une première impression sur leur correspondant (ne serait-ce pour voir les hommes qui font l'effort de personnaliser leur demande en quelques mots). Voici ainsi comment nous abordons la situation depuis 2012 (putain, 12 ans !): Gratuité, non discrimination par l'argent : BDSM.FR est un site entièrement gratuit qui ne repose pas sur un modèle économique poussant à l'achat de visibilité ou d'avantages supplémentaires. Chaque utilisateur, indépendamment de son genre, a les mêmes chances de réussite à partir de ses qualités intrinsèques (plutôt qu'à partir de son compte en banque), sans coût supplémentaire. Respect et sécurité : nous avons mis en place des mesures strictes pour éviter le harcèlement et assurer un environnement le plus sûr possible pour tous nos utilisateurs et surtout utilisatrices. Nous nous efforçons au quotidien, d'écarter les malfaisant(e) le plus rapidement possible, les fondateurs sont en cela bien aider par une équipe de modérateurs bénévoles, que nous ne remercieront jamais assez. Favoriser le dialogue et la convivialité : en offrant des espaces publics pour que les utilisateurs et les utilisatrices puissent se "vivre" pour se découvrir sans nécessairement encore avoir "matché" (demande d'amitié aboutie, sur BDSM.FR), nous encourageons une communauté basée sur le respect mutuel et l'ouverture. BDSM.FR se veut bien plus qu'une plateforme de rencontre; mais à l'ambition d'être un espace où les individus peuvent discuter, apprendre et explorer en toute sécurité et sans engagement. L'expérience de Tinder des deux journalistes montre clairement les limites et les défis des plateformes de rencontre traditionnelles. Sur BDSM.FR, nous nous efforçons de créer une alternative à la disparité homme/femme en nous efforçant à ce que chacun puisse se sentir valorisé et respecté. Nous invitons nos utilisateurs à contribuer à cette communauté, tout en profitant d'une expérience si possible la plus positive et la plus équilibrée, en espérant que certains puissent se rencontrer, s'il le souhaite, dans de bonnes conditions. Voir l'article sur Huffing Post A découvrir, le livre "L'Amour sous algorithme" de Judith Duportail Judith Duportail, est une journaliste qui, suite à une rupture amoureuse, décide de s'inscrire sur Tinder pour se distraire et reprendre confiance en elle. Alors qu'elle se laisse emporter par la frénésie de l'application, échangeant des textos avec une multitude d'hommes et profitant de l'attention qu'ils lui portent, elle découvre par hasard que Tinder utilise secrètement des données personnelles pour attribuer une note de « désirabilité » à ses utilisateurs. Cette révélation la choque profondément, car cela signifie que l'application manipule les rencontres en classant ses membres sans leur consentement. À travers son récit autobiographique, Judith partage non seulement les détails de son enquête, mais aussi ses expériences personnelles et émotionnelles, illustrant les impacts psychologiques des mécanismes de l'application de rencontres. Le livre offre ainsi une perspective unique sur la manière dont les technologies de rencontre influencent la séduction et les relations amoureuses, tout en mettant en lumière les enjeux de pouvoir et de domination, particulièrement en ce qui concerne la place des femmes dans ces dynamiques. 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