Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je suis dans mon fauteuil
A renifler mes doigts sans orgueil
Je pense à lui de temps en temps
Je pense à lui souvent
Jamais nos regards ne se sont croisés
Mais sa voix en moi est ancrée
Je fus sienne sans être l'unique
Il fut le seul et l'unique
Je viens de me caresser
Alors que je suis abîmée
Mes entrailles en flammes
Mais en feu mon âme
Parfois je rêve d'être à lui
Mais je sais qu'auprès de lui
Si je m'abandonne au Maître
Je ne serai plus femme honnête
Je devrais vivre l'inavouable
Mais je me raconte des fables
Je ne suis pas de celles
Qui se coupent les ailes
Même si j'admire parfois
Ce qu'elles y mettent de foi
J'ai fait gonfler mon bouton
Sous mes doigts la pression
Sans penser aux conséquences
D'une telle séance
Je me suis sentie vivante
Ma bouche béante
D'un soupir inachevé
D'un plaisir non partagé
Serais je un jour sienne ?
Serais je un jour sa chienne
Suis je prête à cela ?
Suis je prête en moi ?
986 vues
13 aime
Il vient de partir et je sens son sperme couler entre mes cuisses... quel pied !
Nous avions convenu de nous voir en fin de matinée car je vais bientôt être en stand by pour un mois et nous voulons profiter un maximum avant.
Je suis allée faire une marche ce matin avec un ami, presque 6 km en une heure. Je me disais que j'allais avoir du mal à chevaucher mon magnifique amant après une telle marche.
Je me suis précipitée dans la douche en arrivant. Un trait de mascara, un soupçon de rouge à lèvres, mes talons rouge et or vertigineux et un déshabillé très sexy (en photo).
Il arrive en tenu décontractée mais toujours classe. C'est un homme avec beaucoup de prestance et de charisme. Nous nous embrassons mais des bisous sur les lèvres, il n'embrasse pas avec la langue. Et nous nous enlaçons, contents de nous retrouver. Nous ne nous sommes pas vus depuis 10 jours. Nous prenons le temps d'un petit café avant de passer aux choses sérieuses.
Nous nous embrassons après qu'il ait déboutonné son pantalon, pour que je puisse branler sa belle queue pendant qu'il me caresse la chatte. Étant très sensible du clito, je tressaute au fur et à mesure de ses caresses. Je me retourne pour lui signifier que je souhaite qu'il me prenne là debout dans la cuisine. Il glisse sa queue entre mes fesses et s'apprête à me sodomiser car il est très grand, je lui signifie que je préfére quand même que l'on commence par ma chatte. Je fini par me retourner et m'asseoir sur un tabouret de bar que je monte pour être à la hauteur de son sexe. Je le saisie et le mets dans ma chatte. Et là il rentre en 2,3 fois en entier et il commence à me limer comme j'aime. Je me tiens à lui et lui a les mains posés sur le plan de travail. Je me dégage de temps en temps pour voir sa queue rentrer dans ma chatte, j'adore ça. Je commence à me caresser de la main droite, mon bras gauche autour de son cou. Je parviens presque à l'orgasme, trop bon.
Je lui demande à changer d'endroit et il m'amène au canapé. Il s'assoit et je m'empale sur sa grosse queue. Je commence à me caresser et je parviens rapidement au premier orgasme, fort, intense, que je lui offre dans les yeux. Je pense à la fenêtre de la salle de bain qui est ouverte et mes cris de jouissance qui doivent s'entendre dans la rue et je souris intérieurement. Je m'appuie sur mes genoux et entâme des vas et vient sur sa queue. Nous nous embrassons. Je m'assois à nouveau mais en restant proche car il avait saisi un de mes seins dans sa bouche et je ne voulais pas l'en priver (sourire). Je recommence à me caresser le clito. Il me dit à quel point ma chatte est bonne, je lui réponds quelle est bonne pour les grosses queues. Je me décale un peu pour mieux titiller mon bouton, tant pis pour mon sein. Et un deuxième orgasme me secoue le corps, je gueule encore plus fort, je manque de souffle, mon clito est tout gonflé et si sensible à mes caresses. Qu'il est bon d'éprouver autant de plaisir. Il m'allonge sur le dos et me prends les jambes relevées. Ses vas et vient sont si bons. Nous mettons un peu de gel, je suis un peu sèche après ma période rouge. Et là sa queue glisse à nouveau dans ma chatte. Je regarde ce bel instrument à orgasme me pénétrer à fond.
Nous passons dans ma chambre et là je me mets à 4 pattes sur mon lit, je remets un peu de gel sur sa queue et lui demande de me prendre le cul. J'ai les jambes serrées et suis presque à genoux, j'adore cette position pour la sodomie. Il rentre son sexe presque en entier de suite ! Je lui fais part de ma surprise en lui disant que je suis vraiment bien excitée pour être ouverte comme ça et l'accepter de la sorte. La taille de son sexe est vraiment conséquente. Il commence à m'enculer à fond, de plus en plus fort. Et plus il tape au fond, plus je l'encourage !
"Oh oui c'est bon ! Vas y encules moi !"
Mes cris se font rauques et sortent du fond de ma gorge. L'orgasme est intense car il est continu dans cette position pour moi en sodo. Son sexe en entier au fond de mon cul, élargissant mon cul à chaque passage est un bonheur. Je gueule de plus en plus et de de plus en plus fort.
"Oh oui vas y encules moi ! Encules moi fort !"
"Putain c'est bon ! Ta grosse queue dans mon cul !"
Le plaisir est immense pour moi et pour mon amant qui me gratifie d'une ou deux fessées. Puis il ralentit et fini par se retirer. Je m'étonnes qu'il ait joui car il est assez sonore lui aussi et il me dit "non, non, je vais encore prendre ta ptite chatte"
Il va se laver le sexe, j'en profite pour aller faire pipi et passer une petite lingette pour me nettoyer. Il revient et s'allonge sur le lit, je me positionne à genoux entre ses jambes. Position idéale pour sucer. Je prends sa belle queue en bouche et commence à l'avaler, doucement, en passant bien ma langue en dessous et en serrant bien les lèvres. J'adore sucer et quand la queue est belle, je prends vraiment beaucoup de plaisir. La sienne est toute lisse avec une peau bien tendue de circoncis, un régal. Et je réussis à lui faire 2 gorges profondes, preuve de mon excitation.
Il me demande alors de venir m'empaler à nouveau sur lui. Ce que je fais de suite pour mon plus grand plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour aller caresser ce petit curseur à jouissance. Je le sens se durcir, mes doigts accélérer leur mouvement, ma respiration se saccader, et mon corps se cambrer pour un ultime orgasme, me faisant tousser d'étouffement tellement mon souffle s'est coupé. Je prolonge encore et encore en passant mes doigts sur mon clito tout dur et tout gonflé.
Mon amant attend que mon plaisir soit totalement pris et me bascule sur le dos dans un missionnaire tendre, mais intense. Il prend ma jambe droite pour la lever et je tiens la gauche en l'air également pour bien le sentir au fond de moi.
"J'adore regarder ta queue rentrer et sortir !"
Puis je m'agrippe à lui du bras gauche, je pince son téton droit, et quand je le sens venir, je le prends dans mes bras pour partager avec lui, peau contre peau, sa jouissance explosive.
Je suis repue de plaisir, la chatte pleine de sa semence, avec un sentiment de satisfaction absolue.
Il me laisse après avoir échangé des baisers et en nous souhaitant un bon dimanche. Je sens son sperme couler le long de mes cuisses et j'adore ça.
1.2000 vues
5 aime
Cette bouche qui ne peut s empêcher de me susurrer milles mots défendus et qui trouble ma vertu .
Je vous le demande faites la taire.
Qu elle ne m emmène pas loin, trop loin de mes pensées et qu elle me laisse seule à dériver.
A présent, je vous en supplie faites la taire. Elle qui tour à tour vous charme pour mieux vous énerver, vous caresse pour mieux vous faire baver ... de rage.
Par pitié, faites la taire pour m éviter des charges retenues contre moi et contre mon gré.
Car si vous ne la faites pas taire ... c est sur ce soir je prendrai cher.
735 vues
10 aime
Nous étions tellement en phase
Nous étions tellement dans l'attente
Une relation bdsm suivie
Une relation de couple uni
Malgré la distance
Malgré ma vie de libertine
Mais la magie n'a pas opérée
Et nous avons dû nous séparer
Sachez que j'ai aimé chacune de vos fessées
Aussi dures et douloureuses furent elles
Chacune de vos claques sur vos lèvres
Aussi mâchée que ma tendre chaire fût
Vos doux baisers dans un souffle de désir
Votre main sur mon collier
La laisse tirée
Vos mains douces sur mon corps
Pour apaiser le feu de vos rougeurs
Je garderai de nos échanges
Une très grande complicité
De notre rencontre
Notre dernière étreinte
1.2000 vues
7 aime
Elle est le symbole, la justification, l’instrument de ton pouvoir
Elle est ta virilité triomphante
Elle est l’épée qui m’a conquise
Elle est le sceptre de ta royauté
Je suis accro à ta queue
Je vénère ta queue
Tout ce qui en sort est sacré
Mon corps est le violon
dont elle est l'archet
et toi le virtuose
Merci de l'offrir à mon adoration
1.2000 vues
2 aime
* Voir sur mon blog l'article du Lundi 18 février
Nous n'avons passé qu'une journée de sexe ensemble jusqu'à présent et je ne l'ai rencontré ni dans le milieu libertin ni dans le milieu bdsm. Mais il a réussi à me faire couler en préliminaire alors que je ne coule généralement qu'après pénétration et orgasme, et encore, quand le sourcier est doué ! (rire)
Au deuxième round de la journée, je lui ai demandé de me pincer les tétons en l'informant du fait que je n'ai aucune sensation à la caresse ou au léchage, seule la douleur m'excite. Il a commencé alors doucement et avec mes encouragements, il a accentué la pression afin de m'arracher des petits cris de douleurs, enfin de plaisir...
Et enfin au troisième round en levrette, il m'a gratifiée de magistrales fessées, comme je les aime, avec la main pleine.
J'ai hâte de lui montrer petit à petit ma boîte à malice avec mes jouets divers et variés, en espérant ne pas le faire fuir et lui donner le goût de la correction et de la domination.
1.2000 vues
7 aime
Aux Maux qui Me submergent...
Comme un fard'O du Coeur...
A aujourd'hui Emprisonnés mes mots et mon Cœur...et bien d'autres choses
A ne plus voir ailleurs...
Si un Monde meilleur puisse Être
Éternels Maux Comme un Mur
Devenant ma Prison
Château des Ombres tu es mon Fard'O, Ma prisOn
Ou seul, mes cries et pleures
Peuvent résonner...
Mais sans plus Jamais trouver le Soleil de l'extérieur...
Car Seul, Toi, en a à jamais la clé
Et tu t'es envolée...
Et Seule Toi pourra lui rendre sa liberté....
Si un jour, il t'est ..
de lui redonner....
Alors, de ces murs qui m'entourent aujourd'hui...
Les mots de Nous en serons
Le voile qui m'entoure
Aux yeux du Monde
Comme un souvenir qui sera à jamais
Et qu'il t’appartiendra
De le brûler...
un jour peut-être
Pour en faire ce Feu qui me fera Être
Et t'aimer comme je t'aime
A jamais
1.1000 vues
8 aime
Mes yeux machinalement se posèrent sur ce petit calepin…
« Quand la scène fut terminée, le projecteur s’est braqué sur moi…Comme un rayon de Lumière et de chaleur…Et cela me faisait penser à toi…Un mois que je n’ai de nouvelles de ta part….Et ce petit rayon me fit un terrible Frison, car d’habitude c’est toi qui étais derrière ce Spot… Mon téléphone ne sonne plus de tes messages…Et je suis triste de ne plus rien savoir de toi…Tes joies, tes peines, tes pensées….»
Arf, cruel absence, cruel dilemme d’un silence que l’on espère moins pesant…Mais qui nous est plus terrible que tout…Combien je comprenais l’émoi de la Belle Damoiselle…
« Nos amis me disent de ne pas m’inquiéter, tu es juste de l’autre côté de la mer… et que prochainement tu reviendras…Ce n’est l’espace que d’un mois encore…Mais ton Silence m’est d’une torture incroyable… »
Arf, les Amis…. Chanceuses qu’est cette Damoiselle…Je me suis rendu compte, en mon Histoire, qu’avec du recul…on voit combien certains que l’on pensait Amis sont des plus Faux…parfois même médisant de Mots…
Etrange le comportement de certains…Mais ainsi est l’Etre humain…
On me pousse même parfois à devoir haïr ...Mais pourquoi donc ?....Pourquoi faire ?...
Le Tome de cette histoire est fermé….Un choix qu’Elle a fait… Elle connaît le « reproche » fait…Le reste n’étant que conséquence…Et Elle sait aussi ce qui m’est envers Elle…enfin je crois…
Un autre Tome s’ouvre…dans un autre contexte, c’est tout…
L’avenir dira de ces choix faits…Et de ce que nous serons l'un pour l'autre...
« Bientôt, cela sera notre date de rencontre, j’irai là où l’on s’est embrassés la première fois…Je regarderai le ciel, vers chez toi…Et j’espère que mon téléphone sonnera… »
Délicieux mots pour la personne qu’elle aime…L’émoi de cette particulière attention me toucha profondément…
Elle revient le sourire un peu présent…s’assit…
D’émotions et touchés par la lecture de ces mots…
Je retirais mon casque…
« Mademoiselle, excusez-moi de vous importuner …Je n’ai pu résister à lire vos mots et Maux…J’espère que vous ne m’en voudrez pas de cette lecture et intrusion en votre vie privée… »
Je sentis une certaine méfiance et gêne en mes mots
« Rassurez-vous, ce n’est que pour vous encourager à vous épancher ainsi dans l’écriture quand de maux votre vie est…je fais de même ...Et encore plus aujourd’hui, cela est un très bon exutoire ...je ne connais pas votre histoire je ne désire pas la connaître, mais je sais combien cela aide…quand nos cœurs sont en douleurs… »
Elle fut surprise de mes mots…
Je lui souris simplement…
Et me souris en retour…
« Je vous souhaite son retour rapidement…et de ces mots qu’aujourd’hui vous lui écrivez, n’ayez craintes de lui partager à son retour, il n’en sera que des plus honoré de Vous »
« Merci Monsieur ... »
Je lui souris à nouveau….
Et je remis mon casque, replongeant dans mes songes…
Le train continu son chemin…
Elle me semblait plus détendue. ..Écrivant encore plus…
Et étrangement, plus amoureusement…
De temps à autres nous échangeons regards et sourires…sans autres mots…
Elle me donna envie d’écrire …
De mon ordinateur, je commençais un nouveau texte…de mon présent ressentie…
Je sentais parfois son regard se poser sur mes propres mots…
Je prenais cependant garde à ne pas trop dire de cette univers si atypique…
Et à mesure de mes mots, phrases….
A mesure de ces propre propos en ce petit Calepin…
Nous échangeons encore sourires et regards…
1.1000 vues
5 aime
8 Heures de trajet, juste pour une heure...Décidément ce travail ne m'apporte que des contre-mots...
L'aller me fut Froid, souvenir de délices, mais aussi de Froid...
Mon Esprit vagabonde...A mesure que le train avance...
Quelques échanges très matinale avec Salomé...
Un grand froid me parcours...
Le besoin de La saluer...Mais pas l'envie qu'Elle me réponde...Et je lui dis...
Juste par un
"Chut, ne dites rien"
J'avais juste Besoin....Par mes mots virtuels, pour Elle, d'évacuer et me réchauffer le cœur...de bons souvenirs de Nous
Le retour en cette après-midi de début de semaine, fut un étrange mélange...
La foule des grand-parents bousculant tout sur leurs passages...
Les enfants qui sourient, d'autres qui pleurent de laisser leurs Parents, leurs Mamans...
Pour un départ de Vacances...
Je m'installe dans ce train, pour enfin reprendre un peu de Soleil et de Bon air...et retrouver un peu de réconfort auprès de mes Chairs...
J'ouvre mon ordinateur, fixe mon casque sur les oreilles, pour ne pas entendre ce vacarme ambiant et parfois tristes...de ces enfants si tristes...de quitter leurs Parents...
Une personne s'assoit juste à coté de moi...
Elle semble en émois...
Son visage jeune, triste où j'y devine une certaine mélancolie...qui m'est familière...
"Bonjour..."
"Bonjour, Mademoiselle"...
Un échange de sourire courtois, je l'aide dans ce brouhas de monde où tout le monde s'ignorent... se bousculent...A prendre place...
Elle dépose sur la tablette, un cahier et un stylo...
Un petit livret d'une pièce de théâtre...
Et, modernisme oblige, son téléphone...
A peine assise, ce dernier scintille...
Promptement elle s'en saisit...
S'absente...Pour y répondre...Probablement...
Je me replonge dans mon écran...
Le train part doucement...
Le bruit se fait moins présent...
La jeune Damoiselle, revient...
Se pose
Marque un long temps d'arrêt...
Semblant chercher un moyen de résoudre quelques choses...
Je regarde son visage en catimini,
Il est alors plus Marqué...
Plus triste...
j'y devine des larmes naissantes...
Mais je laisse la Damoiselle tranquille...
Replongeant dans mon écran...
Ne voulant pas Être dérangeant en ces Moments...
Mais cette triste mine me ramène à mes propres Maux...
Le train continue sa route...
Elle tente de lire sa pièce...
Mais elle n'est vraiment pas dans cette lecture...
Sa main tremble...
Elle ouvre alors son petit calepin
Prend la plume...
Y griffonne quelques mots..
En barre certains...
Je me force à ne pas regarder ces propres Mots...
Plusieurs fois elle s'arrête dans cette écriture...
Regard son téléphone...
Semble-t-il...recherchant, attendant un message qui ne vient pas...
J'en suis triste pour Elle...Connaissant bien ces Maux de ces absents messages...que l'on attend, juste pour un petit rayons de soleil...Et qui jamais ne viennent quand on en a besoin...
Une heure que le train roule...
Son téléphone scintille...
Un appel semble-t-il
Promptement elle se lève...
Collant rapidement son téléphone à l'oreille...
Laissant son petit calepin ouvert...
Elle sort du Wagon...
Je repense à ces moments de mon propre passé...
D'attentes et d’engouements lors qu’enfin..
Sonne un rayon de soleil...
Et je souris de ces bons souvenirs...
Machinalement, mes yeux se posent en ce petit Calepin....
Laissé ouvert maladroitement..
1.4000 vues
8 aime
Je cours vers elle, son silence… et toujours ce regard… je l’embrasse, attirance, je ne parviens pas à me détacher… elle devient féline, joueuse, et son sourire m'enivre… je la laisse prendre le dessus, ses morsures, ses mains fermes sur mon corps, décidée, elle glisse ses doigts en moi… nos regards liés, elle s’enfonce… ma main se glisse entre ses cuisses, elle m'accueille avec délice, elle plonge en moi et je fais de même… son corps palpite sous mes doigts. Nos langues se rejoignent… un tourbillon de plaisir… je coule sous ses doigts, ouverte, offerte… je sens sa main qui bouge et mon corps qui se crispe… ma main bloquée en elle, elle jouit au même rythme que moi, nous ne formons qu’une...mon orgasme se propage en elle… plus rien n’existe… apesanteur… je m’empale sur elle, en elle… je jouis et elle jouit… c’est puissant, troublant… je veux la garder contre moi, la sentir en moi… elle va repartir, je ne veux pas… je la sers contre moi. Sa morsure me surprend et provoque un orgasme qui me ravage, je ferme les yeux...
1000 vues
11 aime
Merci à ces profils amis d'ici avec lesquels j'ai partagé de belles et souvent profondes conversations, dont l'humour et la bonne humeur n'étaient cependant pas exclues !
C'est incontestablement pour eux que je reste, eux que je n'ai peut-être pas eu le plaisir de croiser dans la vie réelle mais dont le cheminement m'intéresse et que je ne souhaite pas perdre de vue.
De nouvelles connaissances de cette qualité sont toujours possibles, je ne ferme aucune porte, mais je ne me fais plus guère d'illusions quant à la possibilité pour moi de trouver ici ou ailleurs celle qui pourtant existe forcément quelque part. Je n'attends plus rien.
J'ai été pourtant actif et persévérant, j'ai continué encore et encore à tenter le pari de séduire avec probité, pensant naïvement que cela finirait par payer. Trop idéaliste ? Non, je crois que c'est l'inverse : trop réellement concret, trop concerné avant tout à mettre en pratique plutôt qu'à chanter de faux espoirs. J'exècre l'hypocrisie des belles paroles et les vendeurs de rêves : un vrai rêveur enchante le réel par des actes et ses paroles sont indexées sur des faits probants, pas sur des promesses fumeuses ni des postures de coq fièrement dressé sur son ego de plumes hypnotiques.
Le charisme ? Je n'en ai aucun ! Je ne mise pas sur la représentation égocentrique qu'une société me reconnaitrait, fût-elle underground et éliste comme celle du BDSM. Le charisme je le laisse au grandes gueules qui savent par leur agitation d'apparât subjuguer les encore moins épais qu'eux. Tant mieux s'ils se trouvent et nombreux !
Est-ce à dire que je n'ai point d'ego ? Bien sûr que si ! Mais je ne l'étale pas comme une confiture visqueuse pour attirer des mouches… Les papillons m'intéressent plus, même encore sous leur forme larvaire : je sais voir le diamant avant qu'il ne soit taillé pour laisser pénétrer la lumière.
Spirituel ? Assurément ! Mais ne venez pas vous frotter si le mot n'est qu'un leurre de votre intelligence. Le mental m'est un outil précieux, je prétends bel et bien le maitriser, mais j'ai la sagesse de savoir que ce n'est pas lui qui supporte mon esprit.
Je suis libre, humblement comme il se doit, discrètement, terriblement ! Oui, car être libre s'accompagne d'une solitude qu'il est bien plus facile de fuir que d'affronter. Je ne prétends pas être le seul de ce bois-là, mais il faut pour nous débusquer être soi-même un peu mieux qu'un dormeur inconscient.
J'ai millle failles, faiblesses et défauts, ce sont mes meilleures armes pour me fondre dans la masse. Ni vu ni connu, c'est ainsi qu'on observe le mieux car il vaut mieux voir qu'être vu !
Vous ne comprenez pas ? Je n'expliquerai pas.
La domination ? Quelle prétention ! Qui peut prétendre se dominer en toute circonstance avant de prétendre dominer l'autre ?
La soumission ? Finalement une bien plus véridique voie de compréhension de sa nature humaine. Alors, quoi ?? Je suis dominant, c'est à dire soumis au service de la vie. Et si mon rôle m'amène à accompagner l'autre dans cette voie, ce n'est peut-être que pour y progresser aussi, par le partage sublime d'une complémentarité où nul ne domine mais les deux s'élèvent.
Ne laissons pas les mots nous enfermer, ils ne sont là que pour libérer de l'indicible, transmettre une énergie, vivante, mouvante, évolutive. Je ne suis pas dominant : rien ne me définit. Ce n'est qu'un point de repère, un nuage de fumée blanche pour qui cherche à s'orienter.
Je m'interdis de me vanter, mais cela ne doit pas m'interdire de parler. Je connais ce que risquer veut dire. Pour tout gagner il faut être prêt à tout perdre. Pour me trouver, il a bien fallu me perdre. J'ai survécu, maintenant je vis. Je suis en mesure de le prouver, combien font de même ? Combien prétendent connaître le chemin sans reconnaître qu'ils ne naviguent qu'à vue ? Il n'y a pas de chemin. Il n'y a que le présent et ce qu'on en fait.
Le présent : l'offrande et le cadeau.
Je continuerai de m'offrir, je continuerai de recevoir les présents. C'est tout, il n'y a pas à demander plus. Et celles et ceux qui l'entendent ainsi le partagent avec moi.
Aux autres, que le passé déborde des ses échos, je souhaite de rencontrer la vacuité qui libère. Aux autres, que l'avenir obsède de projections complexes, je souhaite de dépasser les souffrances qu'ils appellent sans conscience.
« Il n'y a que la spiritualité » m'a-t-elle dit avant de lancer des mots dont elle ne maitrisait pas la première lettre du premier mot. « C'est lourd comme dialogue » a-t-elle conclu sans avoir même commencé d'y participer. Oui, c'est lourd : lourd comme une pierre autour du cou quand on prétend s'envoler plus déplumée qu'une poulette du KFC !
Elle ne me lira malheureusement pas, et me lirait-elle qu'elle ne se reconnaitrait même pas, mais je l'en remercie : grâce à son involontaire participation, elle me permet de me libérer de tout ce que je chercherais encore. Résolûment, je continuerai de trouver personne à qui parler pendant que tous les Polyphèmes aveuglés continueront de lancer leurs rochers à l'amer !
Merci.
760 vues
9 aime
Ceci est un portrait Québécois que m'a réclamé une amie il y a quelques temps je vous en fait part ici
1- D'après des tests mon Q. I se situe aux environs de 120
2- Je me définis comme un curieux compulsif par thème.
En clair... Quand un sujet précis m'intrigue, je me concentre exclusivement sur lui pour en connaître le maximum en oubliant pratiquement tous le reste (à l’exception du BDSM), jusqu’à être satisfait. Je n'aime pas me disperser. Le thème du moment ? L'affaire "Lizzie Borden".
3-A l'exception de Jules Verne j'ai vraiment du mal à apprécier les grands écrivains Français... De ce fait j'en ai lu très peu. Par contre les auteurs Britanniques je les ai dévorés.
Stevenson, Shelley, Stocker, Shakespeare, Tolkien, Marlowe, et je passe les plus anciens. Plus proche de notre époque, Brown, Rice et Rowling m'ont aussi fait rêver.
4-De tous les auteurs cités ci-dessus, c'est à Bram Stoker que je dois mon livre favori "Dracula", pour la sensualité et l’érotisme si habilement liés au fantastique de cet univers gothique de l'époque Victorienne. (Au passage l'adaptation de Coppola pour le cinéma est superbe)
5-Je suis aussi une mine de savoir « inutile ou alternatif » du genre... Saviez-vous que d’après certaines personnes, Peyo, le « papa » des schtroumpfs était un fervent propagandiste à la solde de l'ex-urss, qui a travers ses œuvres faisait l'apologie du communisme pour les enfants ?
Un petit peuple vis en autarcie où chacun a son rôle, avec à sa tête un vieux sage barbu, vêtu de rouge que certain interprète comme une allégorie de Marx. Plus le fait qu'un des tomes de la série soit nommé « le schtroumpf cosmonaute » il n'en fallait pas plus pour lancer les rumeurs (A l’époque de la conquête spatiale et encore de nos jours les Russes appellent les hommes et femmes envoyés dans l'espace « cosmonaute » contre « astronaute » pour l’Europe et les U.S.A)
6-Quand je suis chez moi, ma télé est toujours allumée sur des chaînes de documentaires en tous genres, voyages, sciences humaines, technologies nouvelles etc. Tout y passe, ce qui fait que j’apprends des choses très diverses parfois sans même y prêter attention.
7-Je fait souvent des crises d'insomnies. Je n'arrive pas à mettre mon cerveau sur pause, et même si je sais que c'est faux ça me donne l'impression de perdre du temps.
8-Du fait des méthodes d'analyse extrêmement pragmatiques et dénuées de sentimentalisme que j'ai développé à force d'observer l'Histoire de notre monde. Je suis capable de dire du mal (de manière objective et réelle) de n'importe quels hommes ou femmes portées aux nues par intelligentsia et de dire du bien de l’être le plus innommable qui ait foulé notre terre, du coup je fais grincer pas mal de dents chez les gens « bien-pensants » et j'adore ça !
9- sur le plan philosophique, Hegel, Descartes et Nietzsche sont mes plus grandes influences.
10- J'ai un grand attrait envers les rousses et les femmes à la peau extrêmement pâle, qui marquent facilement. Mais je ne suis pas sectaire je vous rassure.
11-Vous voulez me faire un beau cadeau . Je suis amoureux de « La Nuit étoilée » de Van Gogh. Mais de manière plus globale mes artistes favoris, viennent de l’ère de la renaissance.
L'art contemporain je n’accroche pas du tout.
12-J'ai longtemps fait partie des meilleurs jeunes joueurs d’échecs du pays (de la fin de ma primaire à l'entrée au lycée) je suis aujourd'hui loin de mon meilleur niveau mais je me défends toujours.
13-L'occultisme et le paranormal en règle générale me fascinent pour la simple raison que même si énormément de choses dans ce domaine relèvent de la supercherie. D'autres choses, posent des questions fascinantes. Les travaux dans le domaine de John Dee, Nicolas Flamel, Léonard de Vinci Nostradamus m’intéressent énormément. Au passage si vous avez une idée de comment « cracker » le code du manuscrit de Voynich je suis preneur !
14-Il semble que je suis très pédagogue, en famille les enfants adorent discuter avec moi et me poser plein de questions et je suis parfois surpris moi-même de voir à quel point j'arrive à capter leur intention pour des sujets parfois difficiles pour leurs âge. De ce fait j'ai eu droit à pas mal de petit nom de leur part... « L'atlas », « Wiki » « prof » etc.
15-Je suis un grand fan de cinéma et de séries télé, avec tout ce que je vous et déjà appris à mon sujet je vous laisse deviner mes séries, films et réalisateurs favoris ! (J'offre un verre au premier qui trouve 10 références qui me plaisent dans le domaine, autres que celles déjà citées dans cet article évidemment.)
16- J'ai de plus en plus le sentiment de vivre dans « 1984 » d'Orwell, c'est moi qui fais de la parano ou vous aussi ?
738 vues
0 aime
(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues)
.
Les preuves d’amour éclairent nos vies.
Cette lumière nous invite à explorer,
Ou nous pousse à l’envie de nous libérer.
Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur.
Elle nous met au centre de tout,
Mais nous enveloppe d’obscurité.
Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
625 vues
1 like
(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues)
.
Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique.
Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même.
Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme.
Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut.
Etre Dominant ; Toujours plus vite.
Etre Maître ; Toujours plus haut.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
818 vues
2 aime
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Oriane" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
1) j'ai un franc parlé qui choque depuis mes 5 ans du coup vive les bras de fer familiaux
2)J'étais le chevalier servant de ma mère du coup je n'avais pas le temps de penser à moi
3)je me suis fait botter le cul à l'âge de 8 ans et j'y ai pris plaisir au point que c'est devenu un jeu entre mon bourreau et moi, du coup il à été mon coup de coeur... les amours de jeunesses...sourire
4)Je me prenait des coups et des insultes à la place de ma mère... là par contre je ne prenait pas de plaisir
5) J'étais privée de loisirs et les punitions était mon quotidien parfois je ne savait même pas pourquoi j'etais punie du coup je m'en foutais
6) Dés mes 8 ans j'ai été accroc à la lecture, lire des livres était une drogue, ils me permettaient de me sentire libre
7) C'est mon père qui m'as appris à me sortire des pires situations auxquelles j'ai été confrontées et j'en suis fière
8) je n'étais pas une romantique contrairement à la majorité j'étais loin du ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, je voyais plus l'amour comme un outils de manipulation qui asservit les plus faibles, les crédules, les naifs, les romantiques
9)Mon premier petit ami m'as quittée parce que j'étais vierge, ça ne m'as pas déboussolée plus que ça
10) Mon 2eme plan à trois dus à ma bissexualité et mon jemenfoutisme était avec un couple bdsm une domina et un soumis, j'avais 17 ans. Je n'étais pas choquée juste curieuse
11) Par la suite j'ai pris un sexfriend qui était dominateiur sauf que je ne le savait pas. Il avait la réputation d'être un salop mais je l'ai trouvé adorable. Il est le premier à m'avoir appris à dépasser mes limites pour son plaisir... et pour le mien
12) c'est un grand nounours de plus de 40 ans aux griffes acérées qui m'as initiée aux griffures, je l'ai provoquée et il m'as fait mes premières griffures brûlantes, j'en étais folle et d'ailleurs nous sommes restés amis... c'est ainsi que je me suis rendue compte que j'aimais vraiment ce genre de choses et que c'était naturel pour moi
13) il m'as fallut du temps pour accepter mon corps du coup j'ai fais des photos dénudées sur un forum pour lesbiennes et bi fan de manga et surtout de yuri
14) Les photos ont tellement bien marchée qu'une canadienne est venue en France pour qu'on soit ensemble...
15) Cette relation n'a pas marchée car Tara était trop douce et gentille pour moi. Même si l'appréciait il me manquait une certaine force et je la bouffait à petit feu.
16)J'ai toujours eu une attirance très prononcée pour les hommes plus âgés que moi. J'avais plus en communs avec eux qu'avec les garçons de mon âge dont j'avais l'impression d'être la mère
17) Je suis maladroite parfois et il m'arrive de blesser les gens sans le vouloir que ce soit par mes gestes ou par mes mots
18)j'ai l'habitude de tout controler dans ma vie y compris ma famille, mes amis mais pas mon Maitre... sourire, ce qui fait que je suis tombée sous son charme
19) J'ai fais de mon attirance pour mon Maitre un jeu qui a duré 2 ans et pendant ce temps il n'a eu de cesse de me surprendre ce qui n'est pas une mince affaire
20) Je fais tourner en bourrique mon entourage avec mon honnêteté et mes penchants qu'ils ont du mal à comprendre
21) Je refuse de me cacher ou de faire semblant d'être quelqu'un que je ne suis pas.
22) La relation que j'ai avec mon Maitre est récente ça fait 3 mois que nous sommes ensemble ce qui fait peu
23)J'ai l'impression que mon Owenn et moi on se connait depuis toujours et juste un regard peu me faire frissonner ou sourire selon son regard
24) J'ai été plusieurs fois soumise mais je n'ai jamais reussie à me donner de façon aussi entière qu'avec Owenn car j'ai du mal à faire confiance.
25) Je m'ennuis facilement et je ne suis pas de tout repos
26) le shibari est un art qui me fascine, on m'en a fait trop peu à mon goût et j'espère avec le temps que ça arrive plus souvent car ça me mets en trance je me sens plus sereine
27) Je suis une voyeuse
28)j'adore être exhiber du moment que je ne suis pas à coté de chez moi... pas envie qu'on m'embête
29) Je suis une femme très fière, et je prends plaisir à ce qu'on sache que j'appartiens à Owenn tout comme je suis fière d'être soumise
30) J'aime les défis que mon adoré me donne régulièrement
31) j'aime les pervers autoritaire...Owenn ;)
32) La brutalité et les contraintes m'excite
33) je suis sensible à un tout...Les bruits, le goût, l'odeur, la vue, le toucher, je jouis de cette ensemble plus d'un état d'esprit
34) J'ai du mal à me canaliser au quotidien il n'y a que quand je suis soumise que je suis vraiment à l'aise, je n'ai pas à me soucier de comment je suis sensé réagire, ce que je suis sensé dire ou faire
35) J'aime les mots crus et dans l'intimité ça echauffe ma tête et mon corps
36) Je ne me juge pas intéressante et ce jeu n'est pas facile pour moi
37) Je suis maman
38) Je ne vouvoie pas mon Maitre et je le regarde dans les yeux car pour nous c'est important... Les règles habituelles ne nous correspondent pas et nous créons nos propres codes
39)Mon Maître à voulut me relire et valider avant que je l'envois... sourire
915 vues
1 like
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues)
.
Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme.
Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ?
Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non.
Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine.
Comment devient une/un "Cum-Slave" ?
Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser.
Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou).
Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment.
Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ?
L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite.
Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source.
Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet).
Amour et "Cum-Slave" ?
Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie.
Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant.
L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs.
Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable.
Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête.
Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ?
Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être.
Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave".
Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave".
Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière.
(Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave")
En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre.
Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu.
C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée.
Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ?
Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte.
Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin.
Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ?
Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle.
Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme.
Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé.
Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda.
Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation.
En conclusion ;
Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM.
Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail.
Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b)
Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
1.8000 vues
6 aime
Animal rebelle, prédatrice... elle se promène, cherche sa proie, la repère et devient joueuse, féline... telle une succube qui use de ses charmes. Danse lassive, jeu de séduction, la femelle attire... Désir animal, le mâle ne resiste pas, il s'approche... la femelle s'éloigne, garde une certaine distance, tout en se pavanant.
Jeu de regard, lutte silencieuse... moment de trouble, chacun savoure cet instant un peu particulier. La femelle se veut Maîtresse... devient soumise? Ne soyons pas dupe, c'est Son plaisir qu'elle choisit de prendre... d'un bon, sa proie est entre ses giffres, elle prend, se sert...
L'homme est au sol, la femme sur lui, ses griffes sur sa poitrine... son pieu en elle, elle choisit Son rythme, Son envie, Son plaisir.
915 vues
10 aime
Dérouillons ce vermeil que tu as aux joues petite joueuse
Fais pas ta plume à l'oeil d'ivoire face au corbeau de mon âme
Tu n'as aucune horizon de lune ni oraison de lutte
Ton sort est en accomplissement le con déplissé
Exhibons ce lustré qui m'éclabousse le toucher
Ma très chère enchainée du bout de ma chaire
Mon trésor de finistère au goût de terre outrancière
Mienne hôtesse amarée au quai de mes orfèvreries !
Quoi tes mains attachées
Quoi s'il Te plait Maitre
?
Mais puisqu'il me plait d'être injuste amant
Pour t'apprendre à tenir ta place justement
!
Non tu ne jouiras pas
Aphrodisiaque môme agaçante
Tu obéiras à la bouche qui te commande
Tu te débattras peut-être dans les cordes
Mais il n'y aura nulle miséricorde
Pleures-tu maintenant mais de quels pleurs ?
De ceux qui hurlent de frustration ?
De ceux capricieux qui supplient ?
De ceux d'une dignité déchirée ?
De ceux trop longtemps endigués ?
De ceux qu'une magie éparpille ?
De ceux qui apaisent un feu cul tanné ?
De ceux qui explosent comme une bulle ?
De ceux de la libération des cellules ?
Pleures-tu ta liberté ma désormais délivrée ?
Rivée-là comme tu es, fragile et contrainte
Avec ton petit coeur de fer fondant
Avec ton petit volcan palpitant
Privée de l'éruption de ton Vésuve
Tu t'accroches aux pulsations de ta vulve
Qui se réduisent comme rides sur un lac
Ou pleures-tu ton ego sacrifié dans l'évasion ?
Déverrouillons à présent ces pupilles
Le bandeau t'aidera à entendre pulsatile
La trille d'or de ton silence central
Ce phénix spirituellement indestructible
Miracle existentiel jailli de ta reddition même
Une sérénité t'emporte enfin en un souffle
Plus rien ne compte en toi les secondes
Et tu flottes sur les débris de tes peurs
Si légère d'être toi sans ton « Moi »
Si légère d'être devenue cette inconnue
Qui s'oublie en offrant son sourire nu
Et Moi je vois et je sais à ton visage
Que dans ce grand plaisir tout à l'heure interdit
Tu as trouvé par bonheur ton trésor inédit
Mais toi, tu ne peux voir mon sourire...
767 vues
3 aime
Mes talons claquaient sur le trottoir que je remontais rapidement pour me rendre au rendez-vous. Je me dirigeais vers l’appartement qui deviendrait peut-être mon prochain logement. Arrivée devant le porche, je sonnais. A son ouverture, je m’engageais dans un couloir encombré de vélos. N’ayant pas pris le soin d’enclencher la lumière et naviguant dans la pénombre, mon mollet droit heurtait une pédale que je n’avais pas calculé. La douleur me fit grimacer et je marquais une pause en bas des escaliers pour examiner la blessure. Cette satanée pédale m’avait entaillé sur 3 bons centimètres et ruiné définitivement mon collant, un filet de sang ruisselait sur le voile écartelé.
La rage au ventre, je montais les marches 2 par 2. Au troisième palier, je m’engageai par la porte entrouverte d’où s’échappait le son de pas perdus.
- Bonjour Madame, bienvenue
Je devinais à contre jour le sourire de l’agent immobilier qui me tendait la main. Je la saisie pour le saluer tout en remarquant immédiatement la lumière éclatante qui éclairait naturellement les lieux ; ce qui adoucit mon humeur.
- Comment allez-vous ?
- Pas très bien, cette visite commence mal, je me suis accroché sur un vélo en bas.
- Ah ! Oui, c’est le seul problème de cet immeuble, certains locataires ne font pas l’effort de les garer dans la cour à l’arrière, désolé, pourtant nous avons bien affiché un panneau et distribué une note à ce sujet dans les boites aux lettres, mais que voulez-vous… termina t-il dépité.
- Auriez-vous un mouchoir ou quelque chose de semblable, je saigne. Je lui indiquais mon mollet.
Il ouvrit grand le yeux en prononçant un « aie-aie-aie »
- Ne bougez pas
Il s’accroupit et sortie de sa sacoche un paquet de mouchoir en papier, en prit un, et tout en me maintenant la cheville d’une main, il commença à tamponner la petit plaie. Il leva les yeux pour trouver mon regard et me déclara - je reviens, il partit dans la cuisine humecter le mouchoir, revint et repris son entreprise de soin pour finalement exercer une pression ferme pour arrêter l’hémorragie.
- Voila, c’est propre mais il faudra vous soigner, par contre pour le collant, je ne peux rien faire mais il me semble qu’il y a une boutique, en face dans la rue, où vous en trouverez un neuf je pense.
S’en suivit une visite conventionnelle mais tout à fait professionnelle. J’étais séduite par les volumes et leur disposition, l’appartement correspondait à ce que je souhaitais et nous convenions d’un rendez-vous à l’agence pour compléter le dossier de location.
L’agent m’adressa un mot de compassion avant notre séparation lorsque je me dirigeai vers la sortie. Une fois en bas de l’immeuble, je trouvais effectivement quasiment en face ce qui semblait être une mercerie, je traversais la rue pour m’y rendre et une fois devant j’eu la sensation que les éléments se trouvant en vitrine étaient là depuis bien longtemps. Le délicat tintement d’une clochette marqua mon entrée.
- Bonjour, vous avez un rayon collant s’il vous plait ?
- Bonjour, oui, vous trouverez ça sur le tourniquet.
Je me dirigeais vers un présentoir à étagères rondes, le fit tourner jusqu’à ce que j’identifie une boite convenable. Taille 2, 15 deniers, voile de jour, teint gazelle, ça ferait l’affaire pour rentrer en bus. Je balayais du regard l’étagère se trouvant derrière le présentoir et mes yeux s’arrêtèrent sur un pile de boites blanches marquées au crayon « bas couture ». Bien que légèrement poussiéreuses, j’en saisie une et l’entrouvrit. Elle contenait des pochettes de bas Cornuel. La marque me parlait vaguement mais m’inspirait un sentiment de qualité.
- Il faut des jarretelles pour ceux là, vous savez ?
- Oui, je connais, ce sont des bas nylon, ce sont des vrais ?
- Oui, c’est tout ce qu’il me reste, la marque n’existe plus depuis longtemps, je vous laisse la boite complète pour 10 euros
Convaincue de tomber sur un véritable petit trésor, je n’hésitais pas deux secondes, refermait la boite, sous tirait les autres de la pile et posait l’ensemble avec le collant sur le comptoir
- Je prends le tout, vous me laissez la cabine d’essayage que je puisse changer mon collant ?
- Bien sûr, faites, c’est derrière vous, le rideau bordeaux.
Une fois enfilé et ajusté, je réglais la vendeuse et prenais le chemin du retour avec hâte pour essayer sans tarder ces bas nylon couture prometteurs, d’autant que Stéphanie m’avait convié le soir même à venir diner. Xavier, son amant, serait là avec un ami à lui m’avait t‘elle indiqué. J’espérai que ce dernier serait à mon goût.
A peine rentré, je posais sur la table les boites aux trésors et les ouvrait, j’en sortais pas moins de 10 pochettes par boite que j’ouvrais une à une. les bas était dans un état parfait, pliés, repassés et accompagnés d’une feuille les décrivant. J’adorais lire ces textes pleins d’emphase et légèrement surannés. Heureusement le lot comportait une belle variété de teintes. Il était déjà 18 h et je passais dans la salle de bain pour me préparer. J’en avais oublié ma blessure qui se révélait plus superficielle que je pensais. Après une chaude douche parfumée, je n’eu qu’à y appliquer un pansement fait de gélatine médicale pour masquer l’entaille. Je pouvais passer maintenant au choix de mes bas nylon. Je m’arrêtai sur la teinte « fumée », une couleur entre le marron et le noir, mais la finesse du voile ne faisait que teinter légèrement la peau en lui donnant un galbe et une brillance incomparable. J’allais dans mes tiroirs chercher un ensemble de lingerie assortie avec un serre-taille équipé de 6 jarretelles. Je le passais autour de ma taille et l’ajustait. Je m’emparai d’un premier bas que je fis délicatement rouler entre mes doigts pour ensuite le glisser sur la pointe de mon pied droit, j’emboitais le talon, et continuai de le dérouler sur ma cheville, mollet, genoux et finir de le tendre sur ma cuisse. Je contemplais le galbe brillant qu’il donnait à ma jambe. J’ajustai les jarretelles pour passer ensuite à ma seconde jambe. Je glissais mes pieds gainés de nylon dans mes escarpins à talon puis me dressait pour me regarder dans le miroir de plein pied. Je pivotais, fis passer mes doigts sur les coutures pour m’assurer de leur alignement sur mes jambes. Un sourire irradiait mon visage et un sentiment de joie m’envahit. J’étais trop heureuse d’avoir mis la main sur de véritables bas couture d’époque qui semblait n’attendre que moi. Je terminai de m’apprêter pour rejoindre Stéphanie et ses convives : jupe longue en polyamide aérien, légèrement brillant, chemisier beige semi transparent et lingerie marron glacé, le tout porté par des talons hauts mais pas trop. Je commandais un taxi.
J’arrivai alors dans de parfaites disposition. Je sonnais et Stéphanie m’accueillait avec un large sourire.
- Attends, je vais te débarrasser
Je pivotais pour qu’elle prenne mon manteau sachant également qu’elle me détaillerait du regard
- Oh, ils sont chouettes tes collants avec la couture, tu as trouvé ça où ?
- Ce ne sont pas des collants et ensuite il est hors de question que je te révèle ma source, répondais-je pleine d’espiéglerie
par contre j’ai ça pour toi, tu l’ouvriras plus tard.
Elle m’accompagna au salon où se trouvait Xavier et son ami qu’il me présenta. Gilles se leva pour m’approcher avec l’intention certaine de me faire la bise, je l’arrêtait en lui tendant la main. Cet abruti pensa que je lui indiquait de me faire un baise main, ce qu’il tenta maladroitement. Une fois encore je l’arrêtai en lui prenant totalement la sienne et l’agitai pour le saluer. Ça commençait mal, mais je n’ai rien contre les ahuris, bien au contraire, ils sont évidemment facile à diriger.
La table basse était garnie de nombreux amuses-bouche et je félicitais Stéphanie pour sa créativité. L’apéritif était lancé et nous nous racontâmes nos dernières journées. Chacun avait des épisodes cocasses à narrer sauf Gilles qui avait tendance à parler sport, ce qui était assez ennuyeux. Bien évidement je racontais pour ma part le fait d’avoir trouvé un appartement ainsi que l’épisode de l’accrochage, la découverte de la boutique et ses trésors. Gilles demanda où se trouvait le logement, et bien que je le trouvais bien indiscret, je l’invitai à me suivre sur la terrasse pour lui désigner approximativement le lieu de l’index . Sa proximité me révéla qu’il dégageait une odeur plutôt agréable, ce qui équilibrait sa lourdeur d’esprit. Il continuait de me questionner et passant du coq à l’âne me demanda si je portais des collants ou des bas en fin de compte.
- Vous êtes bien indiscret, vous rendez-vous compte ?
- C’est à dire que vous en parliez tout à l’heure alors je me posais la question
- Et bien gardez la pour vous. Par exemple moi je vois bien que vous bandez, alors est ce que je vous demande pour autant si vous avez une érection ?
Estomaqué, il se tût et se raidi, je devinais même une légère rougeur sur ses pommettes
- Parce que je la vois bien cette bosse qui s’est formée sur votre entre-jambe, pas besoin d’en parler pour le comprendre.
Sans hésiter je dirigeais mes mains vers sa braguette, la caressais de mes ongles et entrepris de l’ouvrir pour en dégager sa queue tendue. Il était pétrifié par mon audace, ce qui en était le but d’ailleurs. Excité comme un âne, je pris le contrôle de son plaisir sur le champ, encerclant d’une main la base de sa verge et de l’autre imprimant un savant mouvement du poignet. Je dégageai mon escarpin de mon pied droit, pour le rapprocher de ses narines afin qu’il hume le parfum du cuir mélé à celui de ma plante de pied. Continuant à le branler d’une main, je présentait maintenant la chaussure, tournée vers l’ouverture, devant sa bite. J’accélérai le rythme jusqu’a ce que l’abruti décharge sa semence qui atterrie dans la chaussure, comme je l’avait prévue. Tandis que Gilles, haletant, s’écroulait sur la chaise derrière lui, j’engluai mon pied de son foutre lorsque je l’engageai dans ma chaussure maculée. Je laissai Gilles pantelant et partais en quête d’une serviette pour essuyer mes mains, je traversais le salon étonnement désert et me dirigeai vers la salle de bain dont je poussai la porte. Je découvrais avec stupéfaction Stéphanie en appuie sur le baignoire en train de se faire pistonner le postérieur par Xavier. Ils ne m’avaient pas remarqué, tout en restant postée à l’entrée je tendais discrètement le bras pour me saisir d’une serviette et je m’essuyais lentement les mains sans perdre une miette de ce qui se déroulait devant moi. L’épisode précédent et l’actuel avait définitivement fait fondre mon abricot, je relevais ma jupe pour ensuite plonger mes doigts dans ma culotte et ressentir toute l’onctuosité de mes lèvres humides et stimuler mon bouton d’amour, mon corps se mit à vibrer au rythme de mes caresses. Le sixième sens de Stéphanie lui fit tourner la tête vers moi et entrouvrir les yeux qu’elle écarquilla en me découvrant me donnant du plaisir. Dans un râle, elle émis un « viens ». Sur ce, Xavier pensant recevoir un ordre s’écarta de Stéphanie pour lui arroser la croupe de toute sa semence en poussant à son tour des soupirs rauques. Stéphanie compris la méprise mais n’interrompra pas la jouissance de Xavier. Une fois terminée, elle déclara en riant :
- Quel nigaud tu fais, ce n’est pas à toi que je m’adressais.
Interloqué, Xavier tourna la tête pour me découvrir en pleine masturbation à laquelle je mis fin dans l’instant. Laissant retomber ma jupe sur mes jambes gainées, je me dirigeai ensuite vers le couple munie de la serviette que j’avais gardé en main. J’essuyais les fesses de Stéphanie puis le gland et la verge de Xavier encore dégoulinants de sperme puis jetais de coté la serviette imbibée. Nous rigolions tous les trois de la méprise cocasse.
De retour au salon, Gilles attendait sagement en picorant dans les plateaux disposé sur la table basse. Il ne pouvait ignorer totalement la nature des sons perçu hors de la salle de bains. Il souriait lui aussi.
- Après cet apéritif mouvementé, il serait peut être temps de passer à table. Déclara Stéphanie. « Béatrice s’assiéra en face de Giiles et moi en face de Xavier, une sorte de partie carrée si vous voulez » conclua t'elle d’un clin d’oeil tout en nous désignant la table de l’espace repas. Je rejoignis Stéphanie dans la cuisine pour l’aider tandis que les gars s’occupait des boissons. Nous disposions sur la table le gratin de poissons tout juste sortie du four ainsi qu’un accompagnement de riz parfumé. Les verres de vin blanc étaient remplis et nous portions un toast à cet agréable moment. Nous entamions le diner et les discussions reprirent autour de sujets nous concernant et Stéphanie voulu en savoir un peu plus sur ma découverte de l’après-midi. Je leur expliquait dans le détail comment j’avais pris possession de l’ensemble du lot de bas.
Gilles risqua une fois encore une remarque qui révéla son manque de finesse.
- tu portes donc bien des bas couture alors, asséna t-il avec assurance
- On se tutoie maintenant ? rétorquais-je, mais puisque tu en prends l’initiative je t’invite à le vérifier par toi même en venant me lécher la chatte. Une fois encore, l’audace de ma réponse crue le figea et après un instant de silence, Xavier hilare lui indiqua :
- Alors Gilles ? Je crois que tu viens d’avoir des instructions.
Tout en nous regardant d’un regard éberlué, il compris qu’il devait s’exécuter, c’est alors qu’il passa à quatre pattes sous la table. Le voyant disparaitre, j’entrepris de relever ma jupe puis de saisir ma culotte de chaque coté et tout en basculant le bassin pour la faire chuter sur mes chevilles. Je m’en dégageai en soulevant lentement chacun de mes pieds par alternance. Je savais que Gilles assistait au spectacle avec un point de vue imprenable et j’écartais doucement mes cuisses en espérant le mettre en rut. Je sentis ses doigts de positionner derrière mes chevilles sur les coutures de mes bas et remonter lentement sur mes mollets où il marqua une pose, sa bouche déposait de petits baisers sur l’intérieur de mes cuisses puis ses mains commencèrent à caresser mes jambes.
- Tu as trouvé réponse à ton interrogation Gilles ? Questionna Xavier sur un ton rigolard.
- Je suis sur le point de l’avoir. répondit Gilles qui avait le souffle court.
Je m’avançai sur ma chaise et basculait le pubis vers l’avant de sorte que Gilles puisse y avoir accès, il entama alorsl’exploration de ma vulve avec sa langue. Manquant clairement de finesse par le verbe, il se rattrapait par l’agilité d’une autre pratique orale. Je lui caressait la nuque et mon souffle devint court, je fermais les yeux pour me laisser emporter par des vagues de plaisir. Il fit une pause en embrasant mes cuises à travers le voile de nylon et me caresser le clito de son index. J’ouvrais les yeux pour découvrir à ma droite que Stéphanie engloutissait la bite de Xavier, cela me mis en appétit. Je me dressais, jambes tendus sur mes talons, fis chuter ma jupe, me tournais et me penchais de façon à offrir ma croupe à Gilles resté à genoux. Je pu ainsi me rapprocher de Stéphanie pompant le dard de Xavier, je le pris à sa base et Stéphanie me le laissa quelques instant. A mon tour, je le pris dans ma bouche et le serrant de ma main pour le faire gonfler plus encore, je remontais doucement afin de sentir ses veines irriguées. Tandis que je suçais Xavier, Gilles me lubrifiait en me léchant largement la fente et la raie du cul. D’un mouvement, Stéphanie réclamant le membre de son amant, je tournais le visage vers Gilles pour lui ordonner de me saillir sans tarder, il s’exécuta me prenant sans effort tant je dégoulinais. Je prenais appuie sur le torse de Xavier pendant que Gilles me burinait en m’emportant dans des vagues de plaisir semblant infinies. La salive m’envahissant la bouche j’eu une envie irrésistible de recevoir Gilles dans ma bouche, je me dégageais, me tournais et m’accroupissais pour me saisir de sa queue de la main gauche et de la droite je commençais un doux mouvement rotatif autour de son gland tandis que ma langue flattait son frein. Le salaud avait les couilles parfaitement rasées et lisses.
Autant sa bite était dressée et tendue, autant sa paire de boules pendait lourdement, miam ! Sans attendre, j’en gobait une, la faisant rouler dans ma bouche. Je passais à la seconde lui réservant le même sort, puis revenait à la première. Enfin, je m’amusais à les faire sautiller sur le bout de ma langue agile. S’en était assez, j’attaquais le braquemart, tout en prenant les grelots de ma main gauche. Je remontais sa queue en mordillant la hampe, puis fit glisser le gland rubicond entre mes lèvres goulues. Tout en suçant, j’ouvrais les yeux pour observer mes voisins. Stéphanie chevauchait maintenant Xavier en lui dictant le rythme, celui-ci m’observait également, je lui fit un clin d’œil auquel il répondit. J’adore ces instants de complicité. Je quittais le regard de Xavier pour observer Gilles. Les yeux révulsés, la bouche entre ouverte, il râlait de plaisir. J’étais déterminé à le faire jouir dans ma bouche, il vint, gicla dans celle-ci, sur ma langue, mes lèvres, sa semence dégoulinant sur mon menton. Gloups ! Elle avait un goût de noisette, ce Gilles recelait d’agréables surprises et je m’en régalais en lapant attentivement sa verge. Je me redressais et saisie la première serviette de table à ma portée pour m’essuyer. Entre temps, Stéphanie chevauchait toujours son Xavier et son corps se cambra pour manifestement vibrer, elle jouit ainsi de longues secondes, à son tour Xavier la rejoignit en poussant un intense râle de jouissance.
Chacun reprenait ses esprits pendant que moi je réclamais :
- Est ce qu’il reste y a un dessert ?
Tous sourire et Stéphanie gloussa :
- Tu n’as pas eu ta dose ? Ouvre le frigo, tu trouveras les pâtisseries que Gilles a apporté.
Décidément, ce mec remontait dans mon estime. Je restais ainsi, sans jupe, exposant mes dessous et mes bas nylon à couture au regard de tous, ouvrit la porte du réfrigérateur pour en ramener la boite affichant le nom d’un fameux pâtissier de la ville.
Il était tard et après s’être réajusté, avoir repris des forces, non sans commenter notre entrevue, nous échangions quelques politesses amicales avant de nous séparer sur le palier. Je demandais à Gilles de me raccompagner tandis que Stéphanie me fit cette requête :
- Te voir ainsi m’a donné envie de faire un après-midi shopping lingerie avec toi, tu me fourniras en bas nylon ?
- Faut voir, tu sais mon stock est compté. En vérité je disposais dorénavant de plusieurs dizaines de véritable bas nylon vintage dont la qualité et l’attrait n’avait pas fait défaut ce soir. Mais l’idée d’un après-midi avec Stéphanie ne pouvait que m’enchanter, je lui promettais de planifier cela dans le mois
Sur le chemin du retour Gilles se remit à me vouvoyer, et j’interprétais cela comme une victoire, celle d’avoir un nouvel amant soumis à mes exigences. Enfin, cela n’était pas non plus suffisant pour me satisfaire et me divertir totalement. Un homme avec une bonne queue mais sans cervelle était vite lassant, on verrait bien ce qu’il pourrait donner dans des situations demandant un minimum d’imagination et d’initiative...
799 vues
3 aime
1 je suis née un 2 octobre et j'ai reçu 5 prénoms
2 j'ai eu une enfance très heureuse et des parents aimants.
En lisant certaines révélations, je me demande si dans le BDSM il y a beaucoup de personnes ayant connu une enfance malheureuse ou a tout le moins une épreuve émotionnelle marquante? Et si cela est en lien avec leur tendance au BDSM?
3 j'ai toujours admiré mes parents: mon père arrivé de Yougoslavie en vacances et hébergée chez l'amie d'un ami... Ma maman. Il l'a demandé en mariage après une semaine et ils sont toujours ensemble! Cela fait 42 ans.
4 première masturbation? Heu... J'étais petite 8/9 ans? Et je n'ai jamais arrêté depuis!
5 j'ai vu pleurer mon père une fois et cela m'a fendu le cœur: c'était pour la guerre de Yougoslavie.
Un père ça peut pleurer?
6 j'ai décidé a 13 ans que je serai commissaire de police. J'ai fait tout mon droit pour ça.
Un médecin a décidé en 10mn lors du concours que je ne le serai pas.
7 j'ai perdu une partie de mes cheveux a 8 ans. La Raison? Ché pô....aucun médecin n'a su me dire...Maintenant je suis boule a Z et je me plais comme ça. Et a priori... Ça me va pas trop mal.
J'assume cette différence.
Aussi au travers du regard des autres...
8 j'ai envie d'un tatouage sur le côté de la tête et qui descendrai dans le cou...
9 un jour de fin d'année 1992, une salle et un examinateur... Il me demande de traduire un texte espagnol en français. Et sort de la pièce... J'ai sorti mon dico.
C'était lors de mon BAC ! Oui j'ai donc triché! Mais pourquoi il m'a laissé seule avec mon sac!!!!!! La tentation était trop grande!
10 dépucelée a 18 ans et 2 jours et ce fut une réussite! Suivi de 8 ans de passion avec ce jeune homme: Christophe.
11 je regardais des films érotiques dès 10 ans... Hummmmm
12 je ne voulais pas d'enfant: la grossesse était pour moi l'équivalent d'un alien dans le ventre ... Juste horrible.
13 je suis tombée enceinte par surprise ... De celui qui deviendra mon mari. Et ce fut la révélation. Alors que je me disais qu'être enceinte serait impossible au regard du 12, Au moment de l'annonce, Je pense avoir ressentie la même sensation qu'un croyant qui voit la vierge!
14 mon plus grand regret: ne pas avoir accouché de mes enfants... 2 césariennes.
La loose.
15 j'ai eu un geste que je regrette envers mon premier fils qd il avait 2 jours: il ne tétait pas et la montée de lait était tellement douloureuse et j'étais si fatiguée ...j'ai fait le geste d'une "fessée" sur sa couche. Il n'a rien senti car franchement ce n'était qu'un geste sans le coup. Mais ce geste m'a fait peur.
Je le regrette encore.
Ce fut la seule "fessée" de sa vie.
16 qd on m'a amené mon premier fils après la césarienne je ne me suis pas du tout sentie sa mère. C'était pour moi un inconnu pour lequel je ressentais de l'indifférence.... Et cela a duré 3 jours. Je me suis dit que j'étais une mère indigne. Je n'en ai parlé à personne sur le coup
17 mes fils sont ce que j'ai fais de mieux dans ma vie (je ne suis pas si indigne que ça finalement!)
18 je ne porte jamais de montre. Mon grand père paternel est mort écrasé par un tram a Belgrade quand mon père avait 6 ans, car il se dépêchait... Il était en retard.
19 j'enveux a mon père de ne pas nous avoir transmis une culture yougoslave et la langue serbe... Parait qu'on est Français. Un point c'est tout...
Mes enfants ont tous les 2 des prénoms serbes... Et TOC.
20 un 2 octobre j'ai été au salon de l'auto ... Et suis repartie en buggy. Je me suis offert un beau cadeau d'anniv... Plus tard, j'ai eu envie d'un bobber... J'ai visiter un atelier de moto... Promis on ne fait que regarder... Et je suis ressorti avec la commande d'un bobber sur mesure.... Rouge et noir. Quand j'ai une envie... Je fais tout pour qu'elle soit satisfaite
21 je n'ai jamais été fidèle à mon mari. Je sais c'est moche...
Le profil de mes amants est toujours le même: grand/brun/musclé. Parceque tant que je peux avoir des beaux mecs ... Pourquoi s'en priver !!!
Tant qu'on a l'embarras du choix et pas le choix de l'embarras!!! ;)
22 je ne fais que ce que je veux quand je veux... Je n'aime pas les contraintes... Et j'ai une haute conscience de l'importance de la LIBERTÉ
23 je n'aime pas être dans le troupeau. La pire phrase qu'on peut me dire c'est : fais ça! Pourquoi? Parceque ça se fait!
Il faut se marier! Pourquoi? Parceque vous avez des enfants!
A l'église! Pourquoi ? Parceque c'est comme ça!
Il faut les faire baptiser! Pourquoi ? Parceque ça se fait!
AAAARRGGHHH ma belle mère!!!!!!
24 lors de mon mariage (oui j'ai cédé.... Pour la robe... Mais pas d'église! Faut pas exagérer) et à la lecture des articles du code civil... J'ai croisé les doigts dans le dos quand le maire a parlé d'obligation de fidélité: parait que les croiser, ça permet de ne pas respecter la promesse faite...
A ce moment là j'ai croisé le regard de mon pote notaire... J'me suis toujours demandé s'il avait vu...
25 il y a 6 ans j'ai avorté... J'me demande toujours si c'était une fille ou un garçon et comment ce bébé aurait été.
Je regrette...
Mais il n'était pas de mon mari...
26 J'aime les émotions fortes en tout genre car vibrer c'est se sentir vivant
27 j'aime sauter des avions en bon état de marche. Avec un parachute et à 4000m. J'ai passer ma PAC et j'ai qq sauts en chute libre à mon actif...
28 j'ai été une "autorité administrative" en protection de l'enfance pendant plusieurs années: j'ai vu les pires choses concernant des enfants: de la VRAIE violence et de la VRAIE perversion.
Et la mort.
A côté, le BDSM, c'est gentillet...
29 je pense souvent à M'rick N. et Irvin P... Aurais-je pu mieux faire pour les sauver?
30 j'ai détesté E. I. Substitut du procureur qui a classé l'un de mes signalements ... La suite a été dramatique pour le gamin et je savais que cela finirait ainsi.
31 je n'aime pas les gens qui se plaignent de leur vie sans se donner les moyens de la changer.
j'ai changé de vie il y a un an et demi, et je n'exclu pas de la changer encore. N'écoutez pas les gens autour: ils vous freine toujours dans vos rêves. Sachez que tout est possible si on s'en donne les moyens.
32 je me demande si ce que je raconte intéressera quelqu'un?
33 j'ai rencontré un homme exceptionnel dont j'ai fait un Dom MON Dhom. J'aime savoir que j'ai changé le cours de sa vie... J'en suis amoureuse. D'un amour inconditionnel.
34 j'ai une peur terrible de l'électricité... ce qui a tendance à plaire à mon Dhom
35 je prends les gens comme ils sont et je n'attends rien de leur part... pour éviter d'être déçue.
Parfois, j'ai de très belles surprises.
36 j'aime la photographie, c'est peut être génétique...
37 je suis bienveillante et j'ai appris à ne pas juger les gens ou a ne pas me laisser emporter par mes émotions, de par mes fonctions professionnelles...
Et j'en ai rencontré des personnes en grandes difficultés ds mon boulot ...et fort détestables....qui m'ont insultée et menacée de mort.
Mais je suis fière : je n'ai jamais changé (ou ne me suis jamais abstenue de prendre) une décision par peur.
38 je suis une passionnée, exaltée et curieuse de tout. Je n'aime pas l'ennui. J'aime apprendre. J'aime l'autre.
39 faut pas me faire chier. Je respecte les autres même (avec du mal) ceux qui sont irrespectueux.
40 j'ai vu Barbara en concert et je regrette de ne pas avoir croisé Jacques Brel...
RÈGLES DU JEU
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sandra »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
1.3000 vues
5 aime
J'ai gagné le droit de jouer .... Le principe : si vous likez cette publication, je vous donnerai un chiffre et vous devrez en faire de même. Bon et bien je me lance... Nous verrons bien.
1/ humaniste et surtout optimiste, j'espère que la race humaine ne me décevra pas, même si cela n'a pas toujours été le cas par le passé.
2/ Je suis marié et ma famille est ma priorité .
3/ Si j'étais autre chose qu'un homme, pas possible, je ne serais plus moi.
4/Si je suis de nature a m'éparpiller, non, je suis fidèle, mon cœur est une forteresse imprenable, pour mon sexe c'est moins sur, lol.
5/Cartésien, ouvert, volontaire.
6/ Un café sans sucre mais avec du lait peut me suffir, si c'est bien servi, mais je peux me servir seul si on ne veut me faire ce plaisir, lol..
7/L'art, je n'ai pas choisi cette voie, aussi j'admire et je rêve de cette vie sans l'envier, je sais les sacrifices et renoncement que cela demande, et le manque d'objectivité de la discipline et surtout de certains juges, le vrai art n'est parfois pas reconnu du vivant, et il faut bien vivre, lol
8/Je suis dessinateur en mécanique, et père, ce qui prend du temps.
9/Je ne suis pas contrariant, conciliant, conciliateur, arrangeant, en discutant on peut, avec des compromis, satisfaire et combler au mieux possible,
10/La solitude, elle est au fond de nous, même au milieu d'une foule, il n'y a que moi dans mon cerveau, bienvenu dans mon monde, lol.
11/Le vertige est une peur irrationnelle que je combats, en hauteur il faut s'attacher ou s'accrocher, que la tête tourne ou pas, la vie et la sécurité d'abord.
12/J'aime observer les animaux, après tout nous sommes des animaux comme les autres.
13/Le don qui manque aux habitants de cette terre? le respect pour la terre elle même, et ses habitants, de mesurer tous les jours la chance que l'on a tous de vivre sur cette terre et d'en donner le meilleur à tous et pour tous.
14/Si je pouvais arrêter le temps, il serait 00h00... l'heure du crime, ne pas savoir quel jour on est, avoir le temps de profiter à l'infini des dons de la nature, des corps humains et des intellects qu'ils recèlent.
15/Je ne danse pas, je ne suis pas un bon danseur, même si j'ai besoin de musique et qu'elle m'inspire, la danse est trop frustrante, trop de faux semblant et de code, mais j'aime qu'on danse pour moi, mon coté plus voyeur qu'exhib sans doute, hihi.
16/Ma couleur préférée, le vert, relaxant, appaisant, naturel, sain.
17/Tant que faire les boutiques ou les courses reste un plaisir et pas une corvée. J'aime sans me presser.
18/Je veux choisir, mais les opportunitées franches et claires sont rares, j'aime quand c'est clair, affirmé, généralement le choix s'impose par mes critères et ma ligne de conduite, directrice, pour améliorer ou aider, tant que c'est bénéfique mais pas qu'à moi.
19/J'aime l'ordre même si j'ai du mal à ranger.
20/ Je ne met plus de sucre dans mon café, pas bon pour la santé, les dents et trop énergétique, faut que j'évite les excitants, je le suis bien assez naturellement (excité, excitant je ne peux me juger).
a+
Al
685 vues
0 aime
(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues)
.
A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté.
Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait.
L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué.
Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant).
Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration.
Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement.
Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde).
Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est).
La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir.
Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres.
L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres...
Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés.
Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
996 vues
2 aime
Pfiouuu ... merde j'ai liké, me rappelais plus de la règle ... ça compte même si on a déjà fait ???
Allez, ok, je m'y met, vous aurez ainsi une lecture d'une évolution je présume ...
1- Je sors récemment d'un relation forte, une novice qui ne connaissais rien au BDSM mais qui n'avait peur de rien, qui a souhaité se vivre intensément
2- J'espère lui avoir rendu l'intensité qu'elle désirait (je crois que c'est le cas ... oui, j'aime la modestie aussi)
3 – Je crois bien qu’elle a pris goût au bdsm … faire une adepte, c’est déjà une belle victoire ;-) !
4- Ma perversité ne cesse de progresser … je pensais pourtant avoir atteint un niveau indécent mais je m’aperçois que j’évolue encore
5- Même pas ça m’effraie … si, quand même, ma prochaine soumise, il faudra qu’elle ait une grande volonté quand même ^^ !
6- J’admire chez tous les « déviants », « hors normes », cette façon d’aller concrètement vers leurs fantasmes, leurs envies … ce passage à l’acte est un acte admirable
7- J’y vais aussi à mon rythme, au rythme de mes rencontres également
8- purée 38 !! c’est sévère là … plus que 30 … pffiouuu
9- J’ai acheté de meilleures cordes récemment, j’ai commencé par les passer à la machine à laver … j’ai oublié de fixer les extrémités … la cata … effilochage !! pffff
10 – je sais faire des nœuds marins, ça compte pour le shibari ?? j’ai pas tant l’impression …
11 – plus que 27 ^^
12 – je n’ai pas eu d’enfance (trop) difficile – l’enfance est toujours un peu un calvaire quand même. C’est pour contribuer au sondage « êtes-vous dans le BDSM pour rattraper votre enfance ou parce que vous avez eu une enfance difficile ? » … bah nan, j’ai eu de l’amour, des vacances, du bateau, de la mer, de l’amer aussi parfois évidemment, je me suis fait chier à l’école comme bcp, j’ai commencé à prendre mon pied à la majorité certes … mais rien de terrible !
13 – Je suis né un 1er avril … cette bonne blagounette !!
14 j’aime bcp les femmes grandes, et pourtant là, je noue peut-être (c’est tellement neuf que le « peut-être » est important !) une relation avec une femme d’à peine 1m60 … Va falloir qu’elle aie plein de qualités !! mais elle semble avoir de la ressource … à voir !
15 – Zèbre, à qui ça parle … mes deux chiards aussi, et bizarrement ils sont mal adaptés à ce monde !
16- oui, j’ai 2 héitiers, sont adorables mais spéciaux quand même ^^
17- le grand va faire des dessins animés, le deuze va être un champion du recyclage et de l’informatique (dans le futur c’est compatible, alors !!)
18- la vie est un jeu qui ne dure qu’un temps …
19- ma sexualité a commencé à vraiment s’enrichir à 38 ans … faut pas désespérer !!
20- j’ai découvert le bdsm à cette époque, sans m’y intéresser vraiment (pas autrement qu’un vague fantasme en tous cas)
21- une amante vanille m’a mise sur la piste sans le savoir … Elle a été le début de la réflexion
22- Quelques essais, heureux ou moins heureux, puis quelques soumises plus tard, de belles et fortes histoires, la puissance de ces liens … énorme !
23- Aujourd’hui, je n’arrive plus à avoir une amante vanille
24- euh … j’ai effacé, je n’peux pas dire ça …
25- Je m’interroge sur mon avenir … pas professionnel, là je n’ai aucun souci, mais sentimental plutôt
26- j’enjoins tout le monde à écouter les rolling stones sur les derniers disques, ça balance, et une voix en fait incroyable j’ai réalisé
27- Pour ceux (celles) qui connaissent, Thutale m’a énormément touchée, je déplore qu’elle n’intervienne plus vraiment ici
28 – Un souvenir de ce club à Toulouse … Salomée attachée par Thutale, deux fois, une découverte pour cette première je crois
29- J’aime que les gens autour de moi soient heureux (heureuses), mais je connais pas mal de personnes à rassurer, entourer, récupérer éventuellement … bon je peux faire cela, mais je préfère quand les gens que j’aime sont heureux à dire vrai !!
30- J’ai évité le suicide d’une amie, ça compte ou bien ?
31- Je pense être fiable, pour mes amis / amies
32- A 10 ans, je massacrais la façade de la maison de mon institutrice, que je ne supportais pas … mauvaise graine je suis resté.
33- Je manie le martinet mais point le fouet … je vais m’acheter un fouet et m’entrainer !
34- Le chat à 9 queues ça compte ? Je le manie de mieux en mieux, me manque juste un cul pour finir de m’exercer !
35- J’adore les soumises … cette abnégation, ce don d’elles, je trouve cela magnifique
36- Instant émotion … Je voudrais remercier toutes les soumises pour leur don désintéressé, et tous les soumis également, vous êtes magnifiques, splendides, votre don force le respect. Merci à vous de nous donner autant de vous. Sans vous, nous ne serions que des frustrés.
37- Une pensée pour ma dernière soumise, une personne exceptionnelle. Le cœur me chauffe encore quand je pense à elle.
38- une pensée pour ma prochaine soumise, le cœur me chauffe déjà quand je pense à elle. J’espère quelle sera une personne exceptionnelle !
Terminato !!
680 vues
2 aime
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour luc" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
1. Je suis du sexe masculin, sans intention d’en changer, et hétéro, avec une seule rencontre, d’ailleurs assez plaisante, avec un homme.
2. A ce jour, j’ai eu un nombre de partenaires sexuels, hors fessée, à peine dans la moyenne française.
3. Je pratique le sport.
4. La fessée est un fantasme qui remonte à l’enfance.
5. J’ai été fessé une douzaine de fois, toujours par des hommes.
6. Je suis persuadé que la présidence de Trump va être un test des institutions américaines.
7. Les fessées trop douces m’ont franchement ennuyé; celles qui m’ont plu m’ont fait mal et laissé des marques pour quelques jours.
8. J’ai toujours été du côté du soumis, mais n’exclue pas d’essayer la domination.
9. Ma très heureuse relation actuelle m’empêche d’être fessé, ne pouvant exhiber des marques.
10. Je suis allé un peu au Québec.
11. Je vois plus les fautes d’orthographe des autres que les miennes.
12. Les photos de fesses d’un beau rouge uniforme me plaisent beaucoup.
13. Je n’ai rencontré que des fesseurs, sinon compétents, du moins fiables et respectueux, ce qui est le plus important, et leur en suis reconnaissant.
14. Je ne révélerai pas ici grand chose sur moi et, entre autres, pas que je trouve la pose de pinces à linges sur mes tétons très douloureuse, mais excitante.
15. La fessée, consentie et entre adultes, peut être une pratique très sensuelle.
16. Les hommes aussi peuvent avoir de belles fesses.
17. Le seul homme que j’ai “connu” m’a sucé dans sa voiture; j’avais malheureusement éjaculé trop vite. Il aurait bien voulu me revoir, mais pour des raisons oubliées, cela n’eût pas lieu.
18. Je suis très famille.
19. Ma consommation d’alcool est très modérée, je déteste la tabagie et n’ai jamais essayé aucune autre drogue que le chocolat.
20. J’aime me photographier nu.
21. Mes fesseurs sont restés habillés.
22. Les détails m’importent.
23. Quand je tenais un blog, j’avais rédigé un lexique de la fessée.
24. Une fessée commence par un échauffement progressif à la main, à la rigueur avec une tawse en cuir, d’une vingtaine de minutes.
25. Le racisme m’est incompréhensible.
26. Si j'éjacule, la fessée se termine; je prends donc mes précautions.
27. Le centralisme (jacobinisme) français m’exaspère.
28. L’humour est indispensable.
29. Le consentement est à la base de toute pratique sexuelle.
30. J’ai beaucoup travaillé.
31. Je rêve de recevoir à nouveau la fessée (flagellation) par un homme ou une femme qui saurait fixer mes limites et les faire progresser.
32. La musique est une nécessité.
33. J’entretiens une relation très amicale avec le martinet et très inamicale avec le tape-tapis, et ce pour la simple raison que je ne suis pas un tapis.
34. Tout comme une phrase se termine par un point, une fessée doit se terminer par une série de coups plus forts.
35. Je ne veux recevoir la fessée que nu, pour le sentiment d’être sans défense; la recevoir partiellement déshabillé me donnerait le sentiment d’être puni.
36. J’ai vécu dans plusieurs pays.
37. La guerre me fait horreur.
38. Mon dernier, et plus fréquent, fesseur, m’a trouvé endurant; il lui a manqué de savoir me faire accepter, entre autres par des caresses sur les fesses, plus que un ou deux coups de fouet.
39. Je suis très fesso-centrique.
40. Pour le reste, demandez-moi; je répondrai peut-être.
1.2000 vues
1 like
1 je suis grande
2 je suis une vrai blonde
3 je porte des lunettes depuis 5 ans
4 je ne fais pas le métier de mes rêves ,mais il me permet de vivre moi et mon fils
5 je suis éducatrice canine et comportementaliste
6 j aime vivre a la campagne
7 je me bat pour la préservation de la faune et la flore
8 j ai découvert le BDSM il n y a pas très longtemps et j ais comprit ce qu il n avais manqué avant
9 je suis soumise ,mais seulement a mon Dom
10 dans mon travail je suis chef et je fait un métier d homme
11 je n ais toujours pas confiance en moi
12 de mauvais souvenirs me rappel que je doit me méfier
13 j aime papoter avec mon ami Alter le vendredi soir
14 j aime papoter tout les autres jours avec mon Dom Leo
15 j aime être avec mon Dom Leo
16 j aime la musique et je vit avec
17 je préféré la montagne a la mer
18 je ne suis un peu suisse sur les bords
19 je n aime pas trop le chocolat ,élevée avec
20 je chausse du 40
21 j ai un chat noir ,enfin une vieille chatte poilue
22 une chienne de 8 ans ,un rott dessolée j aime
23 mon plat préféré ,celui que je mange avec mes amis
24 je suis des fois un peu dur dans mon travail ,pas le choix
25 j adore les brocantes
26 j aimes bien aussi les marchés
27 j adore porter des talons ,pffff je m en fout d etre grande
28 je suis fidèle en amour et en amitié
29 j aime le vin blanc ,mais aussi le rouge et bin un peu le rosé
30 un petite passion pour le champagne
31 et j aime etre ton amie Lily
970 vues
3 aime
00 -Vous avez un moment à perdre ? Tant mieux parce que je suis aussi comme ça
01- Ne pas cliquer n'importe où j'apprendrais.
02- D'un naturel joueur je suis.
03- D'un naturel curieux et explorateur je suis.
04- Il est indéniable que je suis attiré pas cette "chose" incompréhensible, surprenante, instable, caractérielle, et pourtant adorable qu'est la femme.
05- Je suis grand, beau, intelligent, tatoué, rêveur et surtout modeste et réaliste ! la preuve :
06- A vendre ? Mais vous faites pas une affaire ! Et c'est très cher !
07- A marier ? Pas avant mes 77 ans ! (maladie d'amour)
08- A essayer alors ? Vous avez une assurance ?
09- A inviter à manger ? Si c'est trop bon vous risqueriez de m'avoir sur le dos !
10- A fréquenter ? Y en a qui ont essayé !!!
11- A suivre ? Ça pourrait ne pas être simple surtout s'il est à moto...
12- Donc, Je serais vous, je mettrais une option de suite car il pas encore immobilisé le lièvre... Sinon essayez la dynamite ou le gaz (si ce n’est pas un jour de grève).
13- Le grappin aussi mais y s'débat l'animal.
14- Le câlin (ça peut marcher...)
15- Le lapin (ça va pas lui plaire !!!)
16- Le parpaing (y penser, c'est pas bien!)
Ah oui, aussi et avant tout, S'il vous plait, mesdames :
17- Si vous cherchez une passe... passez ailleurs!
18- Si vous cherchez un bon coup... je suis un mauvais coup
19- Si vous cherchez un mec, un dur, un tatoué... je n'ai que le tatouage
20- Si vous cherchez un mec fortuné... je continue à jouer au loto
21- Si vous cherchez une bête de sexe... je suis effectivement bête avec le sexe
22- Si vous cherchez un amant... ce n'est probablement pas moi
23- Si vous cherchez un amour... C'est pas le bon jour
24- Si vous cherchez un confident.... je l'ai été souvent
25- Si vous cherchez un Maître... là, je suis peut-être celui ci
Sinon, munissez-vous d'un bon système d'alarme... ) Et tout cas, faudra voir ! ! ! )
http://www.dailymotion.com/video/x8ask4_alarme-orgasmique_fun
26- Zodiacalement : Je suis un verseau et un chien aussi... sachez-le
27- J'ai aimé et j'aime encore :
L'informatique pas mal, mais c'est surtout parce que je n'avais pas de jolie copine pour m'en sortir je pense...
28- Le jeux, tous les jeux, beaucoup ! ... mais il parait que je suis parfois mauvais joueur. C'est certainement surfait !!!
29- la moto !!!
30- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est VRAI !!!
31- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est très VRAI !!!
32- La moto, ah oui je l'ai déja dit... et ben c'est très très VRAI !!! ok, ok, je continue...
33- La plongée sous-marine, je suis moniteur. J'ai tout stoppé il y a quelques années pour cause de hernie discale en bas du dos. Mais j'ai refais des essais cet été... CA BAIGNE !!!
34- J'aime les dragons et plus particulièrement les dragons dit européens (avec des ailes) et je collectionne bien sur. Si vous vous débarrasser de livres, œufs ou figurines, photos...pensez à moi, merci.
35- J'aime le jeu de rôle (JDR) et plus particulièrement dans les domaines du médiéval fantastique (Seigneur des anneaux, Conan le barbare..., Eragon,..., Donjons et Dragons...)
36- La science fiction. L'avenir de l'humanité passera par les étoiles car nous tuons trop vite notre planète. Il faudra la laisser se régénérer quelques siècles.
37- Un bon feu de bois et/ou de cheminée.
38- Un diner aux chandelles. Rare !
39- Une promenade au clair de lune... trop rare !
40- Un petite rando nature... encore trop rare !
40.1- Un levé de soleil sur le mer... (dommage de devoir se lever tôt... ou alors de ne pas de coucher )
40.2- Une bonne petite pipe, mais je ne fume plus, snif !
40.3- Heu... RIEN ne vaut le Nuthella ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
40.4- Les crêpes (et surtout le nutella dessus!!!)
40.5- La vodka orange !
40.6- Une coupe colonel, de l'Izarra (une liqueur basque, vous connaissez ?), le Cappucino, La réglisse sous toutes ses formes.
40.7- AUSSI et SURTOUT :
L'accélération immense et infinie de ma moto lorsque je pars en 3ème de 40 à l'heure et que j'accélère jusqu'à 240 avant de passer la 4ème et puis la 5ème et puis la 6ème... c'est une griserie insensée. Une montée vers l'absolu. Une montée d'adrénaline unique au monde. La tendance vers l'infini et le no-limit.
C'est peu dire. Une petite idée ? ? ? (mais ça ne rends pas !)
http://www.dailymotion.com/video/x8ziqs_moto-ninja-300-kmh_auto
40.8- Et heu, si vous n'aimez pas la moto, essayez donc le motard ! ;-)
40.9- J'aimerai aussi PARTAGER des passions ! PARTAGER surtout !
Bonus :
tout ceci est vrai ! c'est après que j'ai abordé le monde de la D/S et du BDSM qui semble mieux correspondre et canaliser les envies, mes aspirations, mes craintes et ma recherche du plaisir pour moi et pour ma soumise.
_____________________________________________________________________________________________________________________________________
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Paradoxal »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
1.2000 vues
1 like
1. Vous suscitez en moi un mouvement de désir
2. C est délicieux et je vous en suis très reconnaissante
3. Je sais très exactement ce que je vous veux
4. Je ne vous le dirais que si vous me le demandiez explicitement
5. Je n ai toujours pas atteint mon objectif sexuel de 2014
6. La seule liste que je tiens à jour est celle de mes amants
7. Je ne sais plus où je l ai mise et je crois que je n ai pas noté les 5 derniers
8. Le premier blog que j ai créé était pour draguer un collègue , il s appelait "toutestdansladresse" :p
9. J ai un penchant à l exhibition très prononcé mais aucun de mes partenaires n a eu le désir d'en comprendre les rouages et d en jouer.
10. J ai usé d internet pour des rencontres pour la première fois en 2014.
11. J adore les temps non rentables et non productifs
12. Je suis une petite bourge : j adore traîner dans les cafés. Je consomme ...ahhhhh
13. Je me suis demandée sérieusement si j allais m inscrire à droite pour dégager Sarkozy aux primaires
14. J ai encore les mains qui sentent d avoir voté Chirac au deuxième tour en 2002 :/
15. Je pleure en moyenne 3 fois par semaine
16. Je rêve d un trek dans un désert
17. Dans le top 10 de mes films préférés il y a 12 hommes en colère (avec Henri Fonda), les 7 samouraï de Kurosawa, Mon nom est personne.
18. J ai grandi entre les polars et la SF
19. J ai failli me professionnaliser comme comédienne . Aujourd hui je suis très heureuse d avoir fait un autre choix
20. J ai bcp bcp bcp d énergie , je la canalise mal et j ai une certaine complaisance vis à vis de cela
21. Ma plus grande peur est le néant, le vide , l inexistence
22. Je suis très surprise d écrire sincèrement , il semble bien que tout est dans l adresse :p
23. Selon mes critères, vous êtes quelqu un de bien
24. J ai en moyenne une crise de rage par jour
25. Ma plus grande qualité est ma joie de vivre
26. Mon plus grand frein est mon avidité
27. Je m aime en vérité
28. Juste à l instant dans le café passe noir désir et ça me fait super plaisir
29. Je n ai pas l impression de vieillir mais de grandir
30. Le couple classique me fait horreur
31. Je vis dans une coloc à 5 et c est absolument génial
32. J aime passionnément mon taf ET je n en ai rien à foutre
33. Je ne crois plus à mes propres mélodrames et franchement c est cool
34. Mes questions actuelles sur ma sexualités sont : parmi mes fantasmes lesquels ai je envie de concrétiser
35. J aimerais que discipline et rigueur deviennent mes compagnes
36. En dessous de 30 degrés j ai froid
37. Morphée est l amant avec lequel je suis le plus ambivalente : autant je le désire, autant je le fuis
38. Il y a pas mal d humains que j aime et cela m enivre
39. Il y a une couleur d iris qui me fait pâlir de désir
40. J ai acheté des sex toys pour la première fois en juillet 2015. Grâce à objetdeplaisir j ai fait un très bon choix :p
41. Être excitée sexuellement me donne une sensation de puissance
42. Le truc qui m a le plus excité sexuellement appartient à une zone trouble à laquelle j évite de penser et que je n explore pas. Je me demande si je désire explorer cela ou pas
43. J ai deux mouvements antinomiques au niveau érotique..je me contiens dans un..(voire 42)
44. Je serai ravie de discuter avec vous de Mode et travaux ou de Libération :p
45. Le seul intérêt des promesses est le parjure :p
46. Le bdsm m a délivrée de ma peur de tuer
47. J aime transgresser les règles que je me fixe. En l occurrence rester fort discrète sur mes attirances et mes manœuvres sur bdsm.fr :p
48. Mes désirs dépendent fortement de mes partenaires.
49. J en sais de moins en moins ! Mes repères sont des sensations (certaines sont un signe de "vas-y", d autres de "barre-toi")
50. Autant je sais ce que je vous veux, autant je l ignore...
1.3000 vues
2 aime
1- j'ai un angiome tubéreux sur le visage, beaucoup moins visible que ds mon enfance mais ca m'as valu les jolis surnom de "la cramé" et la "contagieuse"...et mon crapouillot de la part de ma mère mais c’était affectueux
2- je regrette d'avoir du être la nounou pour un couple d'amis de mes parents, a la finale je devais m'occuper bien plus souvent du papa que des enfants. j'avais 14 ans
3- je suis pas maternelle
4- a 16 ans, je me suis prise des droites dans la gueule accompagné de "salope" pendant une demi heure par ma mère quand elle a découvert ma sexualité active.
5- quand les gendarmes on dit a mon ex "elle vous a peut être quitter en douce", il a répondu "impossible, elle serait jamais partie sans son PC"
6- je supporte mal le silence ambiant
7- la mort n'est qu'une étape, j'ai vu des fantomes
8- Mon père aurait préféré que je ne vois jamais le jour
9- dans la disposition de mes meubles, les portes sont toujours dans mon champs de vision
10- je suis plus salé que sucré... j'adore les gateaux apéro
11- Madame rêve...un peu trop.
12- j'ai beaucoup de mal a parler de moi
13- je suis pas tjrs delicate quand je suis franche
14- je m'entends mieux avec les hommes que les femmes, elle n'aiment pas ma liberté d'esprit et ma tolerance dans le couple...ni que je leur dise que leur bonhomme ont bien du courage pour les supporter...(délicatesse légendaire je vous dit...)
15- pendant longtemps, ma 1ere pensée du matin, au reveil, c'etait merde...je me suis encore reveillée
16- je suis partie de chez ma mere a 18 ans et 1 mois
17- j'ai accouché de ma fille a l'aube de mes 19 ans
18- je suis pas comme ma mère
19- j'aime tt ce qui touche a l'erotisme et la sexualité
20- je bois 2L de coca par jour
21- je suis ponctuelle
22- vers 10-11 ans j'ai decouvert que les jets de la piscine donnaient d'agreable sensations sur ma mimine
23- un homme torse nu en jeans attise mes sens et rendent mes yeux tt brillant
24- comme si cela suffisait pas, mon vrai prenom est aussi atypique que mon visage, l'histoire de ce prenom m'as toujours fait sourire...jaune...
25- quand je n'ecoute pas de musiqque, je la marmonne
26- mon meilleur ami a aussi été mon 1er Dom
27- je ne sais pas etre egoiste
28- chieuse, mais pas chiante
29- je n'ai jamais été amoureuse du pere de mes deux grands, il a été une "excuse" pour quitter le domicile familiale
30- qd je fais une nuit blanche, je deteste entendre au petit matin les 1er petit zozios et voir le jour se lever, c'est en generale là que je part me coucher
31- la 1ere BD erotique sur laquelle je suis tombé, chez des amis de mon pere, au milieu des luky luke et lagaffe, etait ex libris eroticis, j'ai adoré du haut de mes 12 ans et demandais souvent qd est ce qu'on retournait labas... pour la collection de lagaffe...biensure quoi d'autre ?
32- a 7 ans j'ai vu ma mere et celui qui allait devenir mon pere faire des galipettes, je les ai regardé jusqu'a la fin
33- la seule chose de bien rangé chez moi c'est mon PC
34- j'aime la sensualité, pas la vulgarité
35- j'adore scene de menage
36- j'ai souvent héritée du petit nom "ma puce"...vu que je depasse pas le metre 50
37- Mon fils et moi aurions pu mourir le 18 septembre 2014, 106 contre deux camions de chantier,
3 tonnes x2 contre 700kg, bizarrement j'ai pas fait le poids...
38- le matin j'ai une tete de con et je parle pas
39- je deteste d'ailleurs le matin...quand mon reveil sonne je lui reponds avec amabilité de fermer sa gueule
40- ah oui je parle un peu vulgairement parfois...bon ok souvent
41- j'aime l'ironie et l'humour noir
42- je prend tres bien les choses, parfois trop bien, alors que parfois je devrais pas, je me vexe pas facilement
43- j'aime pas les fleurs, a part la rose noire, mais j'aime les plantes vertes, dommage j'ai reussi a faire crever un ficus, pourtant on peut pas dire que ca demande beaucoup d'entretiens...
44- je m'ennui devant la télé
45- je suis tres frileuse, moi qui adore ne porter qu'un tee shirt, je suis malheureuse en hiver, pas de bol la Normandie c'est pas la meilleur region niveau chaleur...
46- ma mere a lacéré ma passion pour les chevaux en refusant que j'en fasse mon metier, motif : ecole trop loin de la maison pour me surveiller
47- j'avais 50 francs d'argent de poche par mois a partir de mes 16 ans
48- j'ai commencé ma premiere cigarette a 13 ans, une gitane piqué avec des copines lors d'une soirée des parents a la maison, ptin c'etait degueu...je suis devenue fumeuse reguliere a 16 ans
49- a 17 ans, mon petit ami m'as bourré la gueule pour coucher avec moi
50- tant qu'on est dans le sujet je bois rarement, 2-3 verres de malibu on va dire tous les 6 mois ou tt aussi rarement et qu'un seul, ca monte vite au crane, kir vin blanc au resto
51- j'aime qd MON HOMME me dit les choses cash, plutot que de me sortir les violons...et l'orchestre j'en parle meme pas...
"Cheri ce soir tu me vois pas! - ah bon tu sors? - non je t'encule." par exemple...quel romantisme...j'ai bien dit MON HOMME !
52- sinon je ne trouve plus rien a rajouter.
53- ma plus grande terreur est de voir une défenestration.
54- j'aime pas lire, je depasse rarement le titre, le seul livre que j'ai avaler jusqu'au dernier mot, c'etait antigone de Jean Anouilh.
55- j'ai herité du gene nocturne de papa, donc couche (trop) tard
56- je cherche pas le contacte humain, plutot solitaire
57- je suis caline
58- il m'as fallu 6 mois et un cauchemar pour comprendre et accepter que mon 1er fils etait mon fils et non pas une erreur de parcours
59- j'ai des enfants formidable...
60- je deteste parler au telephone
61- j'ai un genoux foireux, j'ai peur que ca me pose des soucis pour les cordes
62- j'adore commencé une gaterie au repos et la sentir prendre forme sous mes va et vient
63- j'ai pas le souvenirs de bons moments passées avec ma mère
64- la seule personne avec qui je n'ai aucun mauvais souvenirs etait ma grand mere
65- j'aime pas les chats, enfin si, chez les autres, le mien s'apelle mimine...ou connard...
66- j'ai du bosser pas plus de 3 mois dans ma vie
67- je suis pas venale, pas depensiere, parait meme pas assez, je sais pas vraiment me faire plaisir
68- je n'ai ni Dieu ni Maitre, mais je respecte les croyances et convictions des autres
69- un peu raleuse, mais souvent avec humour
70- je suis pas la meilleure femme de menage, mais j'aime faire la vaiselle avec la musique ds les oreilles
pour finir une anecdote signé mon deuxieme et dernier fils:
fils dit : merde !!!
maman dit: non on dit zut
plus tard papa taquine maman et maman dit : je t'emmerde
fils repond: non maman on dit je t'enzut !!
*********************************************************************
08/08/2016
Je me qualifierai pas de Soumise, ni dans l’âme, ni dans le caractère, mais je peux l’être dans l'attitude je dirai plutôt borderline, j'aime le D/s, la cérébralité, le douceur comme la violence, un peu maso, ouverte d'esprit et plutôt débridée.
La première fois que j'ai entendu parlé du BDSM, c'etait via une plateforme de jeu 3D, en 2013, la discussions s'est engagée et nous avons longuement parlé du sujet, enfin plutôt lui du coup, puis çà m'as intrigué....rien d’étonnant pour quelqu'un qui aime la sexualité et qui en est curieuse quelque soit sa forme, donc j'ai fouiné le sujet, par différent forum, site, et discussions avec des Doms, très vite je me suis faite mon idée....Moi Soumise ? JAMAIS !!!... mouai on en reparlera hein....ceci dit, j'ai vite compris le cotés sain de ses relations, cette façon de tt dire, d’être honnête, dont les choses sont posées et claires, contrairement au vanille ou finalement tous l'monde y l'sais, mais personne y'l'dis.
J’étais en couple à ce moment là, couple qui commençait à vaciller. la décadence à continuer et moi pendant cette année je continuais à m'informer sur ce monde, puis viens septembre 2014, le 18 précisément, jour où j'ai eu un accident important de voiture avec mon fils, pour faire court, une tite 106 contre deux camions de chantier type master et taille au dessus bah j'ai pas fait trop le poids hein, et puis s'en ai suivi une série de coup de massue sur le coin de la gueule durant 1 an, mon couple vacillait de plus en plus, et moi, je réalisais de plus en plus que je ne voulais plus vivre comme ça... jusqu’à ce que rien ne soit plus sauvable, une lutte acharnée pour lui faire comprendre qu'il me perdait, mais en vain, dans cette période le D/s a pris un peu plus de place ds ma tete, je ressentais un besoin qu'on prenne la relève, qu'on me décharge de mes responsabilités, et surtout qu'on m'aide à surmonter ma séparation qui était inévitable, j'ai du moi même l'accepter et ca a pris 6 mois, sauf que mon ex lui la refusait catégoriquement, ça a pris 1 an pour qu'il déménage, et çà a été dur, durant ces 1 an, je lui demandais de partir...et il répondait que non. il était bien ici, qu'il me ferait chier jusqu'au bout "parceque je t'aime MOI."
J'ai eu un guide, virtuel, beaucoup par sms, plus qu'un Dominant, un soutiens morale et un coup de pied au cul aussi qd je faisais les choses de travers ou que je me laisser bouffer.
je continuais toujours à fouiner le sujet, mais je n’étais pas prête a passer au réel, vu le contexte, un peu logique, je n’étais pas dans des conditions sereine pour me lancer la dedans, puis même en perdition, il était hors de question de tromper mon ex, je voulais faire les choses ds l'ordre, d'abord clore ce chapitre. mais une chose devenait de plus en plus limpide pour moi, c’était un monde qui correspondait a ma façon de penser et a ma liberté sexuel, refoulé et bridé jusqu'ici.
Octobre2015....enfin il part....après 12 ans de couple....
Le jour de son départ, le1er, ce fut dur, pour tt le monde,
même si il était hors de question que je lui montre.
Une fois passé la porte, mon fils l'a regardé partir à la fenêtre, il m' a dit "Maman, tu viens pas dire au revoir à Papa" "Non mon Cheri...".
J'avais mal, mal d'avoir échoué, il a fallu que je paraisse forte et que je console mon fils, lui expliquer ce qu'il savait déjà,
que c'était mieux ainsi.
Le soir arrive, mon fils couché, je me suis assise sur une chaise, les coudes posés sur mes cuisses, les bras ds le vide, j'ai regardé chaque recoins du salon comme si c'était la première fois, écouté ce lourd silence, et je me suis dit à haute voix " putain..." Je venais de me prendre la réalité en pleine gueule...j' étais désormais seule, avec la responsabilité de mon fils. "et maintenant...tu fais quoi...?"
A ce jour, je n' ai tjrs pas trouvé de réponse à cette question.
le calme et la sérénité reviennent, et puis je ne me reconnais plus....mes pensées changent, mon passé si lourd que je portais depuis toujours s'apaise, semble reprendre sa place, dans le passé, et non plus dans le présent, je change d'optique petit à petit, de façon de voir les choses, moi qui était tt le temps stressé du lendemain, a présent je m'en foutais, enfin c'est pas le mot, disons que je ne trouvais pas les réponses, et je n'arrivais meme pas à me poser de questions, je ne voyais pas d'avenir, tt semblait flou et totalement inconnue. tout çà s’étend et évolue petit à petit jusqu'a aujourd'hui.
7 mois avant ce fameux octobre, sur mon jeu, je croisais un homme de temps en temps, nous parlions de tt de rien, on apprenait à se connaitre sans grande intention, enfin pour moi, vu le flinguage que je subissais je ne voyais rien d'autre.
en décembre, après un sale coup de mon ex (2 mois seulement après la séparation, et alors que la veille il me pleurait de revenir, Monsieur se tape une gonzesse....et qui plus est, en présence de mon fils -_-"), et en même temps cet homme commençait a être un peu plus explicite dans ces propos....ou c'est moi qui les entends plus clairement, alors je me laisse aller vers cette relation, après tout, ce n’était que virtuel, un jeu, et puis ça m'occuperait un peu....et le temps passe....et la relation deviens plus serieuse, moins "in game", on descends clairement tt les deux une pente "dangereuse" : le reel....les personnages s'effacent, les personnalités plus ou moins jouées, sont remplacées par notre propre personnalité, la vrai, le virtuel s'efface pour faire place au réel, Monsieur sors du placard et Mademoiselle née doucement entre ses mains....ai je dis "Moi Soumise ? JAMAIS !!!" ? ....ah bah ravale tes mots cocotte.....
le lien, les sentiments, l'emprise, et ce, des deux cotés, deviennent de plus en fort et le D/s s'installe, son cotés latin y fait beaucoup, et ça me plait, énormément, ça en devient une relation a double sens, il me fais évoluer autant que moi je le fais grandir et le révèle à lui même, une belle, forte, intense histoire qui prend fin 6 mois après, donc en juin 2016...bah vi....le vanille à découvert le chocolat....et nous voila comme deux cons chacun de notre cotés, a morfler du manque de l'autre....mais c'est comme ça, nous sommes tjrs en contacte qd même, mais plus de la même façon.
disais-je dans mes premiers mots que je ne me qualifierai pas de Soumise ? je me souviens même d'un com posté sur une de mes photos "bon courage à celui qui voudra entendre Maître dans ma bouche"
Mais j'ai été Sa Soumise...et il a été Mon Patron...comme quoi...il suffit parfois de croiser une personne, une seule...
Voilà... un complément aux 70 verités, qui abordait le passé
Voilà... ou nous en sommes aujourd'hui.
1.3000 vues
4 aime
Article original de Gaëlle-Marie Zimmermann : http://www.hellocoton.fr/to/16J4g#http://autourdusujet.free.fr/index.php/2013/11/21/le-romantique-de-la-bite-un-vrai-prince-charmant-pour-les-sentimentales-de-la-chatte
"Aujourd’hui, Ô Lectrice à la fesse rieuse (donc les culs tristes peuvent aller jouer ailleurs), j’ai envie de te parler de romantisme… Car le romantisme, c’est un peu une valeur phare, sur ZoneZeroGene.
(Un ange passe)
J’aimerais par conséquent rendre hommage à une catégorie d’hommes particulièrement chère à notre chatte notre coeur… Ces hommes qui, tout en délicatesse et en subtiles attentions, savent nous combler, nous les femmes. Nous gratifier, nous émouvoir jusqu’au plus profond de nous-même (c’est-à-dire loin derrière le clitoris et juste avant les amygdales).
Ces hommes, plus nombreux qu’on ne le croit et tout entiers dévoués, ce sont les romantiques.
De la bite.
Oui.
Parce que le romantisme classique (restau feutré, porte de la bagnole tenue ouverte, regards languissants et déclarations enflammées), c’est adorable et on ne va cracher dans la soupe, hein, mais à côté du romantisme de la bite, c’est un peu le hard-discount du dévouement amoureux.
Et je vais même aller plus loin et te donner un bon conseil, chérie : si tu as la chance de croiser le chemin d’un romantique de la bite, SURTOUT ne le laisse pas filer. Accroche-le sans scrupules à la touffe de ton ticket de métro, suspends-le à ta bouche grande ouverte, adore-le de tous tes nichons et savoure ta chance. Parce que ces mecs-là, ce sont des joyaux.
Alors attention, le romantique de la bite n’est ni un goujat, ni un rustre, ni un ours des bois handicapé de la communication. Non, c’est juste un mec logique, qui s’évite bien des malentendus relationnels.
Saint-Exupéry a écrit : « On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux« . Et il avait raison. Mais je peux t’affirmer une chose : si on ne voit bien qu’avec le coeur, et que les émotions se cachent au-delà du visible, on ne ressent bien qu’avec son corps ; car les sensations ne mentent jamais. Sauf quand on leur enjoint de fermer leur gueule ou qu’on refuse de les écouter, auquel cas le sentiment amoureux peut sublimer de la baise très médiocre et te rendre aveugle du cul : tu te retrouves alors à te mentir avec adresse, te racontant des histoires comme quoi tu es merveilleusement heureuse, que ce sentiment magique embellit tout le reste et que l’orgasme n’est pas tout dans la vie, que ce que tu éprouves va bien au-delà. Ouais, c’est ça. Seulement j’ai envie de te dire que pour aller bien au-delà de quelque chose, il faut déjà l’avoir atteint, sans vouloir faire ma chieuse.
Alors le romantique de la bite, ton corps, il l’apprécie à mort. Il aime tellement te baiser qu’il prend soin de toi comme si tu étais le plus précieux des diamants ; et son dévouement va bien au-delà de sa dextérité (dextérité incontestable, au demeurant, mais ce n’est même pas ça qui compte le plus). Grâce à lui, le romantisme devient tout à coup une notion… revisitée.
Tout d’abord, le romantique de la bite est un généreux du cul. Un vrai gourmand, à l’avidité voluptueuse. Et sa gourmandise se nourrit de ton propre plaisir. Ton désir l’émerveille, et chacun de tes frémissements le mène au bord de l’extase. Tout ça sans aucune lourdeur : il ne te fera pas de grands discours, ne se répandra pas en compliments fleuris (donc pour celles qui ont besoin de s’entendre psalmodier qu’elles sont des déesses vivantes, faudra repasser) et ne fondra pas en larmes de gratitude devant ton orgasme.
Non, le romantique de la bite, il sait que le sexe, c’est une fête charnelle, une réjouissance de tout le corps. Il t’appréciera parce que tu ne penses pas nécessaire de lui faire mériter sa première pipe au prix de trois dîners aux chandelles ; car si tu as envie de sa queue dans ta bouche, tu fonces, et dans le cas contraire, tu t’abstiens ; mais tu ne te demandes pas si une fille qui suce d’emblée peut être respectée, et tu ne fais pas du sexe une monnaie d’échange relationnelle. Et il t’adorera parce que tu auras cédé sans chichis à tes propres désirs (en gros, tu as pigé qu’ouvrir grand tes cuisses pour y attirer sa tête n’est pas une faveur que tu lui fais mais un orgasme que tu t’offres). Il savourera que tu t’en paies une bonne tranche en tortillant tes fesses sous ses coups de langue, sans te préoccuper de l’impression que tu donnes à ce moment-là : oui, tu as l’air d’une chaudasse en combustion spontanée et pas d’une lady. C’est comme ça).
Il te fera jouir avec délectation, non pas pour te montrer à quel point il est le meilleur, mais parce que contempler ton orgasme le met en joie. Une joie totale, pure, sans arrière-pensée, aussi débridée que celle de la première gorgée de bière fraîche.
Le romantique de la bite sait que Clitoris n’est pas un nom de divinité antique, mais le point d’ancrage très actuel d’un plaisir à ramifications multiples. Du coup, il a très bien compris qu’une fête sans lui n’est jamais vraiment réussie, et qu’une partie de cul sans le clito, ce serait un peu comme une boum sans la boule à facettes (qui te donne une mine scintillante et sublime ta jupe en lycra), ou une soirée chez l’ambassadeur sans Ferrero Rocher (inutile de te rappeler comment c’est bon quand ta langue touche enfin la noisette).
Le romantique de la bite tutoie également tes nichons avec une infaillible élégance. Leur prodiguant des soins soutenus sans jamais se lasser, il peut même, dans un élan d’enthousiasme, constater avec un scepticisme ravi que ses mains, pourtant king size, ne parviennent pas à les contenir totalement. [A ce stade, je sais bien que la Lectrice à petits nichons est à deux doigts de s’agacer (je ne vous jette pas la pierre, Pierre), et je la comprends mais ne peux rien pour elle (enfin je rigole, mais je dis pas de mal, promis).]
Par ailleurs, le romantique de la bite voue un culte à ton cul, et lui rend hommage avec passion. Mais ton dos, tes hanches, ta bouche, donc grosso modo l’ensemble de ton corps, bas-morceaux et abats compris, sont autant de motifs de palper, caresser, étreindre, tout ça en s’en mettant plein les mirettes. Ah oui, parce qu’il ne faut pas escompter que tes complexes merdiques vont empêcher le romantique de se rincer l’oeil. Tu n’es plus de première fraîcheur (ou tu ne fais pas du 36 / tes cuisses t’évoquent un flan pâtissier / ton ventre n’est pas concave) et tu crains les spotlights ? Prends sur toi si tu y arrives : tu ne voudrais pas le priver, non ? De toute façon, il ne voit rien, il a la gaule (= cerveau vachement moins irrigué, les quelques gouttes de sang encore accrochées à son hémisphère gauche n’étant là que pour lui assurer une parfaite coordination motrice). Et puis mets-toi bien ça dans le crâne : quand cet homme-là te regarde, il te rend belle.
Le romantique de la bite n’est pas forcément un grand bavard. Ce n’est pas qu’il n’en veut qu’à ton cul, loin de là : ce que tu as dans le crâne l’intéresse également (dans le cas, évidemment, où tu aurais quelque chose dans le crâne) ! Mais il n’éprouve pas le besoin de mettre un mot sur chaque chose, et c’est dans l’intimité érotique qu’il va construire avec toi que tu décèleras les preuves tangibles de son attachement. A cet homme-là, tu finis par te donner totalement, sans jamais le regretter d’ailleurs. Et comme il ne considère pas tes faveurs comme acquises, il se trouvera bien veinard de faire du sexe avec toi. Si tu lui dis que c’est toi qui as de la chance, il s’en défendra avec conviction, pour finir par décréter avec le sourire que vous êtes tous deux exceptionnels et uniques (il a raison). Et au final, il se donnera également, en toute confiance, et se remettra entre tes mains avec une ferveur bien plus authentique que celle des déclarations enflammées.
Donc, le romantique de la bite te baise et te choie, ce qui peut être fatiguant (les orgasmes, comme ça, tout plein d’orgasmes en quelques heures, ça crève). Il voudra te requinquer, du coup, et cuisinera pour toi. Non, laisse, ça lui fait super plaisir. Et si après une partie de cul échevelée tu traînes au pieu comme une feignasse, il t’apportera un plateau chargé de clapiotes et te mettra un verre dans la main. Te lever en protestant ? N’y pense même pas, princesse : c’est pas plus cool de prendre l’apéro au pieu ? Euh, si, mais… Mais rien, te rétorquera-t-il. Profite, pendant qu’il prépare le repas.
Il sera également à l’écoute de tes moindres envies, dans le cas (plutôt rare) où il ne les aurait pas devancées : que tu souhaites, là tout de suite, un cunni, une petite levrette en vitesse, un long et tendre missionnaire avec galochage intensif ou encore un câlin la tête dans son cou et ses mains qui te frottent le dos, tu n’as qu’une phrase à prononcer et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu te retrouveras les cuisses autour de ses épaules / à quatre pattes / sur le dos / dans ses bras.
Il n’aura pas forcément l’idée de t’offrir des fleurs ni de te décorer de trucs brillants comme un sapin de Noël, mais si après une journée passer à cavaler tu lâches que tu as les jambes en compote, il s’abstiendra du vomitif « ôôôôô ma pauvre chérie », et optera pour l’efficacité. Il t’apportera donc à boire, des coussins pour caler confortablement tes reins, prendra en main les poteaux qui te servent de guiboles, et te les massera longuement en t’écoutant bavarder. Pendant plus d’une heure. Jusqu’à ce que tu sois parfaitement détendue.
Si tu passes la nuit entière avec le romantique de la bite, sache que tu seras éventuellement réveillée par un délicat massage. Massage qui se conclura par ton embrochage en règle, à moins que l’embrochage ne soit simultané, option très probable également, vu que le romantique de la bite est sexuellement multifonctions, comme un four à chaleur tournante. D’ailleur, c’EST un four à chaleur tournante. Ou alors, il te caressera avec une charmante inventivité, assortie de fervents pétrissages. Mais c’est toi qui vois en fait… Ce sont tes envies qui comptent avant tout… Et si ton envie du moment c’est juste un café bien sucré, c’est faisable aussi.
Le romantique de la bite est avare de mots sirupeux, et c’est bien. Comme il sait ce qu’aimer veut dire, il ne galvaudera pas dans n’importe quel oreille des phrases sucrées et vides de sens. Mais pendant qu’il te baise, il est entièrement là, présent, impliqué. Et quand il ne te baise pas, il est présent aussi : tu sais toujours où le trouver et seule une indisponibilité peut l’empêcher de t’accorder du temps. En cas de pépin, de moral en berne ou d’états d’âme (si tu as une âme, bien sûr, supposition audacieuse contredisant les doutes de Desproges à ce sujet), il est là, toujours. Attentionné et à l’écoute.
Le romantique de la bite est le genre de mec qui ne s’abandonne qu’une fois apprivoisé, sans pour autant faire son mystérieux ni sa pétasse. Et pour apprivoiser le bestiau, la paire de bas, le porte-jaja et le croupion joyeux ne suffiront pas, même si c’est une bonne base de discussion. Non, pour l’apprivoiser, ce qu’il faut, c’est de la simplicité et du temps. Le temps que l’intimité et la confiance s’installent. Le temps qu’il constate que ses sens et son flair lui envoient de très bons signaux, et que tu es exactement ce qu’il désire : une femme à la fesse chaleureuse, à l’esprit sain, et qui n’a précisément pas pour objectif de l’apprivoiser.
En gros, avec lui, tout est simple : tu peux lui faire confiance, et tu ne t’en prives pas. C’est comme si le sexe cimentait tout le reste. De son côté, il te fait confiance également, et t’affirme sans emphase que vraiment, tu le cernes bien. Comme ce n’est pas le genre de type à faire des déclarations d’intentions juste pour la beauté du geste, tu le crois.
Parfois, tu as de tendres échanges verbaux avec le romantique de la bite. Tu lui dis des mots doux, des phrases touchantes, comme « Ta queue, c’est une pure merveille », ou « Quand je pense à ta langue, la moquette de mon salon prend feu ». C’est beau comme du Ronsard.
Un jour, le romantique de la bite te dit tranquillement, en sirotant son café : « Personne ne m’a jamais baisé comme toi » . Bon Dieu de merde. Tu en es toute émue dis-donc, d’autant plus que tu sais que ce n’est pas ton ego qu’il vise. Il l’a juste dit parce qu’il le pense (sinon, il n’aurait rien dit).
Mais toujours est-il que là, tu sens bien que tu es en face d’un prince charmant, un vrai."
805 vues
5 aime
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique
______________________________________________
Enfances
(Récit pathétique)
Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite.
J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer.
Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer.
Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé.
Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux.
Invariablement, l’autre est hostile.
Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement...
...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit.
Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ?
Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise…
Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif.
________
988 vues
17 aime
Loi n° 2016-444 du 13 avril 2016 sur la pénalisation des clients apporte son lot de nécessaires précisions et de nombreuses interrogations.
L’article 611-1 de la nouvelle loi dispose que «le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.»Des amendes de1500euros pour l’achat d’actes sexuels et de 3750euros pour récidive sont prévues.
On punit le fait de «solliciter, d'accepter ou d'obtenir». Cela signifie-t-il que dans les deux premiers cas, c'est la tentative (par exemple une promesse de rémunération suffit ) qui est visée, alors que dans le dernier, c'est l'infraction consommée. Dans le cas d'une sollicitation ou d'une acceptation, en pratique, l'intervention des forces de police agissant en flagrant délit est donc possible dès lors qu'il apparaît qu'un accord a été conclu entre le client et la Maitresse (vénale), sans qu'il soit nécessaire d'attendre le commencement d'un attouchement ou d'un rapprochement sexuel pour intervenir. (source justice.gouv.fr)
Puis se pose la question de «relations de nature sexuelle» Que cela signifie-t-il? Tout d'abord, il est étonnant que cela soit au pluriel. Une seule relation de nature sexuelle sollicitée, acceptée ou obtenue ne saurait donc être sanctionnée. Que signifie en droit «relation de nature sexuelle» ?
On peut, d'ors et déjà, affirmer qu'une exhibition n'est pas une relation sexuelle car l’article 227-22 du Code Pénal fait une distinction «...comportant des exhibitions ou relations sexuelle ...».
Cette loi ne sanctionne pas toute relation de nature sexuelle, seuls étant réprimés les comportements qui interviennent dans le cadre d'une relation de prostitution.
Mais qu'est-ce que la prostitution ou qu'est-ce qu'une personne prostituée? En droit, le régime de cette dernière avait été défini par le décret du 5 novembre 1947. Désormais, la seule définition juridique de la prostitution est jurisprudentielle : l’arrêt de la Cour de Cassation a considéré en 1996 que la prostitution consiste « à se prêter, moyennant rémunération, à des contacts physiques de quelques natures qu’ils soient, afin de satisfaire les besoins sexuels d’autrui ». C’est ainsi que l’arrêt de principe de la Chambre criminelle du 27 mars 1996 pourvoi n° 95-82016 donne de la prostitution une définition qui comporte deux éléments: d’une part, la vénalité du comportement, et d’autre part, des contacts physiques de «quelque nature qu’ils soient». Le terme de "rémunération" peut être pris au sens large: argent mais également objets à valeur marchande ou même services.
Les investigations
Les ordinateurs sont surveillés et les mobiles écoutés. Pas tous, bien entendu, les traces numériques seront des indicateurs. Cette cyberinvestigation se traduit par le fait que les mouvements sur Internet des clients présumés seront traqués sans qu’ils en sachent rien et ceci est d'autant plus aisé, à présent, avec l'utilisation IMSI-catcher(International Mobile Subscriber Identity) autorisé par la loi relative aux renseignements de 2015. Matériel pas plus gros qu'un attaché case qui intercepte tout trafic numérique et téléphonique
En DSM (Domination ou sado-masochisme)
Dès lors qu'il y a «contacts physiques de quelques natures qu’ils soient», c'est assimilé à de la prostitution s'il y a offrande ou autre échange ou même «promesse» d'un tel avantage, alors le client tombe sous les fourches caudines du code pénal .
Cependant, la CEDH, dans un arrêt très important, souvent cité, du 11septembre 2007, «Tremblay contre France», dans son considérant25, souligne, en des termes très forts et assez rares , que «la prostitution, en général, n'est incompatible avec la dignité de la personne humaine» - «que lorsqu'elle est contrainte» ou, comme elle l'indique dans l'arrêt du 17/02/2005 «K.A. et A.D. contre Belgique» allant jusqu'à des mutilations effrayantes
Nonobstant les cas de mutilations effrayantes, l'interdiction apparaît lorsqu'il y a contrainte, quand il n'y a plus acceptation, que le consentement s'est volatilisé sous la pression.
En définitif la jurisprudence de la CEDH, à laquelle nous sommes soumis: chacun est maître de disposer de son corps, pourvu qu'il soit adulte, dans le respect de l'intimité de la vie privée, et à condition qu'il n'y soit pas contraint. » (Badinter commission Sénat du 14 mai 2014)
Donc se pose, aussi avec acuité la question du consentement
Le consentement est au coeur de toutes relations: vanille, sm ou D/s .
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006 reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal, par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex, pour entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur ou par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
L'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447) Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste.
La Cour européenne des droits de l’homme a une position contraire, d'autant qu'il y eut un revirement jurisprudentielle par son arrêt précité K.A et A.D c/ Belgique du 17 février 2005. Après avoir rappelé que la vie sexuelle est une composante de la vie privée, elle indique qu'un Etat ne peut porter atteinte au droit à la vie privée, que si « les juridictions nationales ont soulevé la question du « consentement de la victime ». Pour la CEDH, le sadomasochisme ne peut-être condamné que pour « des raisons particulièrement graves » et que si la victime n'est pas en mesure de faire cesser les actes (par un safeword par exemple) ou que sa volonté n'est pas respectée.
Il est résulte qu'il est de bon conseil, après avoir épuisé tous les recours de droit interne, de saisir la CEDH.
1.2000 vues
0 aime
Depuis quelques années, je constate avec grande circonspection la montée de cette mode du développement personnel où tout est galvaudé à qui mieux-mieux, pour le plus grand plaisir de quelques charlatans sachant bien cibler et attirer les gogos crédules.
J'ai un bon nombre de connaissances dans mon entourage qui se proclament pseudo-thérapeutes ou qui proposent d'on ne sait où des ateliers ou stages de yoga de ceci-cela ou "découverte du soi sacré", etc... et ça marche !
Certains m'ont convaincu en 2010 de m'inscrire à un forum, ou plutôt un petit réseau social de gens "cools" détenteurs d'une "zénitude" positive...
J'y suis allé, mais j’ai vite constaté qu’on y trouvait tout et n’importe quoi, notamment des ateliers proposés par des inititateurs autoproclamés, payants bien sûr, et souvent les repas non-fournis, ni le couchage (camping), bref tout bénef pour l’organisateur.
En voici un exemple (copié/collé, je n’ai rien modifié) :
__________________________
ÉVEIL DE L’ÊTRE
L’ÊTRE SACRÉ...
Rassemblement
8-14 AOÛT
Le Sacré...
Accepter, accueillir, respecter... Tout sur Terre ;
Honorer le Vivant ;
Célébrer chaque instant.
Le Sacré se regarde, se respire, s'écoute, se touche,
se goûte, se partage, se parle, se vit consciemment.
Le Sacré EST LE TOUT : Ciel et Terre réunis.
« Il est temps que le rassemblement des Êtres ait lieu sur la Terre.
Ensemble, acceptez votre rôle, vivez et pratiquez le Sacré dans votre quotidien. »
Pierre ****
Invitation à s'incarner pleinement ;
Invitation à la réalisation, à la concrétisation ;
Invitation à savourer la Vie
Invitation à Vivre le Sacré...
Lieu du stage
Domaine des *****
(15 mn d'Orléans)
Stage
Prix exceptionnel 300€ (collations non comprises)
__________________________
Deuxième exemple :
__________________________
Week- end d’exploration corporelle de notre être intérieur……….
pour les hommes comme pour les femmes...
Je suis un Homme, je désire aller vers plus d’intériorité, oser des instants de vulnérabilité, en déposant le masque de l’homme tout puissant pour mieux vitaliser mon énergie de vie.
Je suis une Femme, je désire relier mon intériorité à mon expression créatrice pour danser en pleine lumière ma vie de femme.
OBJECTIFS :
Prendre conscience de sa dualité féminin –masculin, les mettre en relation, pour vivre l’HARMONIE & l’EQUILIBRE de leur UNION
Apprendre à déplacer nos rôles figés d’homme et de femme
Sentir la diversité et la richesse de notre nature en parcourant ses forces opposées
Explorer la rencontre et l’union de ses forces dans la nature environnante
Les outils mis en place :
Marche consciente
Pratique corporelle d’intérieur et d’extérieur
Souffle de l’arbre
Mise en situation d’éveil sensoriel
Programme :
Vendredi 13 août :
-accueil au **** entre 18H et 19H : rencontre et mise en place de la synergie du groupe,
Samedi 14 et dimanche 15 août: ateliers de 10H à 17H30 avec pause pique-nique
Dimanche : fin du week-end à 18H.
Renseignements pratiques :
Le prix de notre week-end de ressourcement (150 €) comprend :
Les ateliers de Isabelle ***** soit 100€ pour les deux jours,
La pension complète (petit déjeuner, repas pique-nique et repas du soir) soit 49€ pour les deux jours,
Ne comprend pas :
Le logement :
En camping : 12€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 12 personnes : 22€ par personne pour les deux nuits,
En dortoir de 6 personnes : 31€ par personne pour les deux nuits,
En chambre double : 34€ par personne pour les deux nuits,
Le transport : co-voiturage organisé en fonction des inscriptions.
Matériel nécessaire :
Chaussures souples, tenue décontractée, sac à dos, gourde.
Conditions :
Nombre de participants limité à 12 personnes. Inscription avant le 15 juillet. Bulletin à remplir ici :
Participation garantie dès réception de l’acompte de 80€ sur le compte de *****
__________________________
J’avais commenté cette dernière annonce ainsi :
Je suis en train de me demander si je ne vais pas organiser un stage de jeûne et méditation en pleine nature. "Rencontrez votre être intérieur sacré par le jeûne et la méditation"
150 € par personne me paraîtrait honnête, et ça ne me coûterait rien en bouffe (hé hé), ni en hébergement. Juste avoir l'air un peu "gentil" et béat pendant un week-end, et me retenir de ne pas me foutre des gogos présents, je pense y arriver.
Je me tâte...
[je me tâte tellement, que je me demande si je ne vais pas proposer aussi un atelier de tâtonnements (sacrés, bien sûr), 50€/h]
Je suis aussi intervenu dans quelques débats, j’ai posté un coup de gueule, sur l’abus qui est fait des termes "yoga" par exemple (le rire, le son, la voix, ...et on peut en inventer encore plein, le mot "yoga" se chargera toujours apparemment de séduire un certain public). j'étais même intervenu avec humour sur une annonce de "yoga du rire", pour proposer d'inventer le "yoga du vélo", le "yoga de la cuisine", du massage, et autres yogâteries diverses et variées.
Je me suis fait modérer et tous mes posts et coms ont été supprimés.
Pourtant je proposais également des références utiles pour comprendre ce qu'est réellement le yoga, le vrai, tel que défini par la Bhagavad Gita, et qui est en premier lieu une voie de dévotion aux dieux hindous (Bhakti yoga).
Ce n'était pas un commentaire méchant ; sur le ton de l'humour, j'invitais à réaliser ce qu'est le vrai yoga, et à quel point l'utilisation de ce terme est fausse, galvaudée, et limite insultante à la BV.
Ainsi que d'autres termes à la mode, dont les utilisations interchangeables dans différents "ateliers" porteraient à rire si ce n'était pas aussi pathétique (et commercial, car n'oublions pas que ces soi-disant ateliers sont pour la plupart payants) ; des termes comme "sacré", "karma", "énergies", "être intérieur", "shamanisme", "méditation", "shakra", "ressourcement", "lumière intérieure", etc...
D'ailleurs, ce n'est pas compliqué à imaginer : on pourrait faire un petit jeu qui consisterait à créer un atelier ou stage, pseudo-thérapeutique ou non, contenant certains de ces termes à la mode, ou d'autres assimilés, voire inventés, par exemple "Atelier de thérapie par la méditation shamanique", ou "Découvrez votre lumière intérieure sacrée par le massage des énergies", ou encore "Stage d'ouverture des shakras et de prise de conscience du karma", etc.
Une fois qu'on a le truc,avec les bons mots-clefs, tout est possible : il y aura toujours des gens branchés, du moment qu'on cible dans les sphères adéquates, comme sur la plateforme en question.
D'ailleurs je vous propose ci-dessous de vous prêter au jeu et de proposer des faux stages de développement personnel selon ce principe, avec les bons mots-clefs !
Bref, je me suis amusé à surfer là-dessus à la limite de la provoc, tout en étant bien conscient que je risquais encore la censure, en leur proposant un atelier fictif intitulé "Yoga du sexe".
Son énoncé était assez crédible, les activités proposées et l'argumentaire tenaient debout, sans marcher sur les platebandes de la sexologie ou des yogas kundalini ou tantra.
L'événement est resté affiché pendant plus de deux semaines, a été abondamment consulté. Beaucoup de gens étaient intéressés. Faut dire qu'en plus le critère sexe était un atout ! Quelques jours avant l'échéance, j'ai mis un commentaire pour expliquer ma démarche, par souci d'honnêteté, et pour révéler qu'il s'agissait d'un gentil canular, destiné à éveiller un peu les consciences, à montrer à tous ces gens crédules, béats et avides d’expériences pseudo-mystico-exotico-ésotérico-bio-énergético-spirituelles qu’il ne faut pas se faire aussi facilement avoir.
Aussitôt, l'événement a été supprimé, avec mon commentaire.
Je ne l'ai pas ramené, me disant que c'était probablement de bonne guerre, mais j'y vois là tout de même une attitude relativement obscurantiste visant à entretenir à tout prix un certain esprit reposant sur cette béatitude crédule, un pseudo-mysticisme et autres spiritualités de pacotille à la mode.
Enfin, voici le texte de mon atelier-canular :
Après le yoga de la voix, le yoga du son, le yoga du rire, le yoga du visage, le yoga du cœur, le yoga de la nutrition, yoga du soleil, yoga du rêve éveillé, et autres yogâteries dont la liste n'arrête pas d'augmenter grâce à la bienveillante vogue du développement personnel new age, voici un nouveau yoga qui, lui, ne se prend pas au sérieux : le yoga du sexe.
À ne pas confondre avec le tantra yoga, le kundalini yoga, ou les consultations de sexologie.
Le sexe a trop longtemps souffert de diabolisation, tabous, morale, ignorance, traditions, routines, complexes, etc, alors qu'il est désormais communément admis que faire l'amour est bon pour la santé, l'énergie, l'assurance de soi, bref pour le corps et l'esprit.
Or, le sexe peut être un medium vers une conscience et une connaissance de soi et de l'autre, un moyen de ré-unification du corps et de l'esprit (comme le yoga, justement) et de transcendance, trop méconnu et qu'il est temps de faire connaître. Oser en parler honnêtement, au delà des tabous sociaux et religieux.
Côté observation scientifique, grâce au sexe, l'espérance de vie est augmentée, certains problèmes cardiaques peuvent être repoussés, voire même certaines formes du cancer.
Les chercheurs de l'Epidemiol Communitty Ealth ont démontré en 2002 que les risques cardiaques diminuent à mesure que la fréquence des relations sexuelles augmente. Le coït permet en effet d'éliminer des toxines, d'activer la circulation veineuse, de muscler le cœur.
Pour les hommes, le risque de développer le cancer de la prostate par exemple pourrait être réduit de 15% en faisant l'amour au moins trois fois par semaine (JAMA, 2004).
Pour les femmes la stimulation des mamelons et l'orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique aux seins (Breast Cancer Res Treat, 1995).
Le désir lui-même produit une amphétamine naturelle : la phényléthylamine (que l'on trouve aussi dans le chocolat). Elle active les neurones, efface toute trace de fatigue et anesthésie la faim.
Par ailleurs, faire l'amour permet au cerveau de produire de la sérotonine, de la dopamine, et surtout libère des endorphines, bref tout ce qui est bon pour les insomnies, les angoisses et le stress.
De manière générale, le sexe renforce également les défenses immunitaires.
En fait, tout l'organisme et le psychisme profitent des effets bénéfiques de l'acte sexuel.
Le yoga du sexe apprend tout d'abord à oser, à vaincre les inhibitions. Les séances sont plutôt naturistes, mais pas obligatoirement, l'atelier est chaleureux et invite au bien-être, dans un cadre à la fois feutré et confortable.
Chacun est invité au lâcher-prise sans aucun tabou, d'abord en s'exprimant oralement face aux autres sur ses atouts et ses faiblesses, ses refoulements et ses obsessions. Selon ceux-ci, des complémentarités sont vite définies : on s'aide soi-même en aidant les autres.
La honte, les complexes, les limites, les hésitations sont vite surmontés par un effet d'émulation et de disponibilité inévitable, les barrières tombent, et chacun peut s'exprimer à sa manière.
Le sujet du libertinage est abordé, de façon à redéfinir son authentique acception.
Une initiation anatomique est également comprise au programme, car peu de gens connaissent véritablement leur corps et à fortiori celui de leur partenaire, ainsi que certaines mises au point utiles (à titre d'exemples, sont abordés : le point G, les glandes de Skene, l'éjaculation féminine, l'importance de l'odorat, le contrôle du périnée, celui du shakra-racine, la prostate, l'intellectualisation lors d'un rapport, le problème de la taille, la peur de la sodomie, la recherche obsessionnelle de l'orgasme, les pratiques extrêmes, la domination, le BDSM, les frontières entre hétérosexualité, homosexualité et bisexualité, les réels risques de MST et les manières de se protéger, etc).
Une initiation aux massages érotiques et à l'art de la caresse est également proposée.
Pourront être abordés à la demande les problèmes de traumatismes, de frigidité, d'impuissance, d'insensibilité post épisiotomie, etc.
Un accompagnement psycho-thérapeutique et/ou pratique peut alors être induit au besoin, même en dehors des séances, après en avoir défini préalablement et mutuellement les limites et la portée.
La détente, l'humour et la bonne humeur sont encouragés tout au long de la séance.
Chaque participant est libre de partir quand il le veut.
Les séances sont proposées aux couples et aux femmes seules, mais les hommes seuls ne sont hélas plus acceptés en raison d'abus récurrents (des exceptions sélectives peuvent être faites après argumentation).
Les places sont limitées, les séances ne pouvant pas accueillir plus de 8 personnes.
Interdits aux mineurs, sinon pas de limitation d'âge.
La discrétion et l'anonymat peuvent être respectés à la demande.
Durée de la séance : 2 à 3 heures
Tarifs : 60€ par personne, 100€ pour un couple.
Filo
780 vues
1 like
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
874 vues
6 aime
Il y a trois ans, je répondais sur FB au défi de lister mes dix livres préférés. Avant tout, sélectionner seulement 10 livres parmi mes favoris, impossible... Ma première liste faisait le double et j'ai dû en sacrifier douloureusement, et j'arrive ici difficilement à 11 entrées, dont certaines débordent un peu (cycles) :
1) LE SINGE GRAMMAIRIEN de Octavio Paz (Skira/Flammarion)
Mon livre fétiche, une œuvre rare et précieuse, d'un immense poète, et illustrée. C'est de la prose, mais extrêmement poétique, frisant avec le surréalisme et la philosophie. Le livre est épuisé depuis longtemps, et je ne comprends pas qu'il ne soit pas réédité, même s'il est à classer dans des ouvrages trop intellectuels pour le commun, il est tout à fait à part dans l'œuvre de Paz et dans la prose poétique en général, à part dans le sens "au dessus".
2) LE LIVRE DE L'INTRANQUILLITÉ de Fernando Pessoa (Christian Bourgois)
De la prose, uniquement, jetée apparemment sur le papier dans un geste spontané, ça se sent, dans une fièvre de dire et de créer. Mais une prose essentiellement poétique, évidemment. Une révélation, au même titre — sinon plus — que Rimbaud dans l'incontournable "Saison en Enfer".
À lire aussi bien sûr "Les poèmes païens" et "Le gardeur de troupeaux".
Pessoa signifie "personne", il était l'auteur aux mille visages, a écrit sous une multitude de pseudos, dont trois au moins ont connu le succès indépendamment.
Cet auteur m'a toujours fasciné, un vrai "virtual pretender", un écorché vif de génie.
3) LE PENDULE DE FOUCAULT d'Umberto Eco (Grasset)
ECO était un érudit, un auteur subtil, intellectuel et passionné.
Certes, au début, ce roman impressionne un peu le lecteur moyen par son vocabulaire assez haut-perché littérairement et intellectuellement, mais ce n'est qu'au début.
Ensuite c'est de l'ésotérisme, du symbolisme, de l'aventure, du polar, du roman historique, du suspense, et plusieurs rebondissements vers la fin, qui remettent tout en cause. Écrit certainement avec délice et, pour ma part, lu avec délice.
Un de mes livres cultes.
4) LE CYCLE DE DUNE de Frank Herbert (Robert Laffont)
Bon, je triche puisque le cycle comporte 6 volumes.
Ceux qui me connaissent savent à quel point ce récit est pour moi un des meilleurs de science fiction. En effet, il combine une écriture intelligente et riche avec des références érudites, la psychologie, la spiritualité, la subtilité (énorme). Il s'agit ici d'une dystopie (contraire d'utopie), c'est à dire une histoire qui présente une société sous des hospices peu optimistes, mais tellement riches. Ce n'est même pas de la science-fiction pour moi, ça dépasse ce concept.
À noter que le cycle devait comporter sept volumes au lieu de six, mais qu'Herbert est mort avant d'avoir pu l'achever, au moment où sortait le malheureux film de David Lynch qui est une insulte ridicule à son œuvre.
Doublement hélas, le sort s'est acharné sur celle-ci en la personne de son fils, Brian Herbert, mauvais écrivaillon, qui a décidé de la prolonger en s'adjoignant les services d'un écrivain au kilomètre sans saveur, Kevin J. Anderson. Ce fut d'abord une trilogie de préquelles (action se situant avant) décevante tant au niveau de l'écriture que du fond, privilégiant l'action, comme dans des blockbusters du cinéma américain, puis d'une autre trilogie de préquelles de préquelles, encore plus catastrophique et bourrée d'incohérences par rapport au cycle, puis du fameux septième volume concluant le cycle (faisant revenir tous les premiers héros morts grâce au clonage, hum, puis introduisant un personnage créé par eux pour les préquelles, double-hum), puis d'un recueil de textes courts mélangés à un passage inédit de la plume de Frank Herbert, et maintenant ils s'attaquent à écrire des volumes s'insérant entre les volumes du cycle, comme si ça ne suffisait pas (il faut dire que ça marche, alors pourquoi s'en priver).
L'œuvre d'Herbert père se retrouve donc noyée sous le flot de cette logorrhée de seconde zone, et les jeunes lecteurs ne peuvent pas éviter de passer par leurs livres s'ils décident de tout lire dans l'ordre chronologique désormais présenté. J'en suis révolté, comme la plupart des amateurs d'Herbert.
Les autres livres de Frank Herbert sont bons également, comme La Mort Blanche par exemple, mais Dune restera son chef d'œuvre.
5) HISTOIRES EXTRAORDINAIRES, NOUVELLES HISTOIRES EXTRAORDINAIRES et POÈMES de Edgar Allan Poe
C'est par ces livres et cet auteur que j'en suis vraiment venu à envisager sérieusement d'écrire. L'art de l'étrange, de la narration ciselée, de l'écriture sachant aller à l'essentiel tout en gardant le souci du détail, de l'inventivité (inspirateur de Conan Doyle pour Sherlock Holmes, quand même), du romantisme, de la noirceur de l'âme... Tout m'a séduit dans Poe, le poète maudit par excellence, mon maître !
6) LE CYCLE DE LA TOUR SOMBRE de Stephen King (Albin Michel)
Cycle de 7 volumes (hé hé).
J'aurais pu citer d'autres livres de lui, car je les ai tous lus et j'en ai préféré certains, même si d'autres m'ont déçu, mais le Cycle a la particularité d'être improvisé pour les quatre premiers volumes, et particulièrement bien ficelé pour les trois derniers. On y retrouve plein de références à plusieurs de ses autres romans, ce qui donne une cohérence rare à toute son œuvre. Il s'agit là d'une épopée, épique, symbolique et fantastique, bourrée d'inventivité, de suspense et de sensibilité.
7) SOIE de Alessandro Baricco (Folio)
Encore un auteur latin après le trio de tête, (et encore j'ai dû sacrifier Alejandro Jodorowsky de ma liste) moi qui pourtant ne suis pas sensible aux cultures latines en général... Un petit livre, mais fort riche, qui s'intéresse au Japon dans ses aspects les plus délicats. Il est au roman ce que le haïku est à la poésie. J'ai envie de conseiller du même auteur le roman OCÉANS MER.
8) LE FEU DU DEDANS de Carlos Castaneda (Témoins Gallimard)
Le septième des neuf volumes retraçant l'expérience initiatique de cet auteur tour à tour adulé et dénigré. Ce volume est mon préféré, d'abord parce qu'il est celui par lequel j'ai commencé à dévorer le cycle (que j'ai repris dans l'ordre après), ensuite parce qu'y est révélé le principe majeur par lequel tout le reste fonctionne.
En bref, c'est le parcours d'un étudiant thésard de Los Angeles s'intéressant aux sorciers indiens qui va suivre les enseignements secrets lui permettant de devenir un shaman héritier des connaissances des "grands anciens" toltèques.
Certains détracteurs prétendent qu'il a tout inventé. Si c'est le cas, c'est un écrivain parmi les plus géniaux et inventifs de sa génération ; si tout est vrai, c'est l'expérience spirituelle la plus importante du siècle !
9) LE CHAOS ET L'HARMONIE (La fabrication du réel) de Trinh Xuan Thuan (Folio)
LE livre à lire si on s'intéresse à l'univers et comment il fonctionne : astro-physique, espace-temps, big bang, infini, étoiles, trous noir, mécanique quantique, infiniment petit... Tout y est expliqué et vulgarisé simplement, passionnément, reléguant Hubert Reeves au rang d'"astro-physicien pour la télé". En plus, Thuan termine par la dimension spirituelle, remettant tout en place en témoignant de ses propres questionnements et de sa foi.
10) ISHMAEL suivi de PROFESSEUR CHERCHE ELEVE AYANT DESIR DE SAUVER LE MONDE de Daniel Quinn (J'ai lu)
Ces deux petits livres m'ont permis de mettre des mots sur des idées que j'avais déjà sur l'évolution de l'humanité entre la période où l'homme vivait en harmonie avec la nature & les autres espèces et la période où il a commencé à les dominer et les détruire, y compris sa propre planète.
Ses théories, plus que probables, sont présentées sous forme de dialogues propres à la maïeutique, entre un gorille télépathe et le narrateur, ce qui est symboliquement astucieux. Il semble que ces ouvrages soient hélas épuisés, et c'est bien dommage.
Mais évidemment ça remet tellement en question la bienséance et la pertinence de notre civilisation de plus en plus libéralo-mondialiste que certaines instances ont peut-être préféré ne pas permettre sa réédition.
11) LA REVOLUTION DU SILENCE de Krishnamurti (Stock+plus)
Là encore, révélation : j'ai découvert avec surprise et satisfaction toutes mes théories personnelles spirituelles et philosophiques, mais déjà exposées de façon claire et développées comme je n'aurais jamais pu le faire, par un penseur reconnu et adulé en son temps. Son nom hindou peut laisser croire qu'il s'agit d'un gourou de plus, prônant une pensée religieuse hindoue, bouddhiste ou autre, mais pas du tout au contraire : Krishnamurti est un agnostique éclairé et redéfinit certaines grandes notions comme l'introspection, la liberté, la méditation, la vie en société, la religion (justement), le paraître, la sagesse, etc sous forme de dialogues ou d'extraits de conférences.
J'ai choisi ce titre car c'est le premier ouvrage que j'ai lu de lui, mais ils sont tous aussi riches et intéressants.
Je ne peux m'empêcher d'au moins citer LA MAISON DES FEUILLES de Mark Z. Danielewsky, LA MEMOIRE DOUBLE de Igor et Grishka Bogdanov, LE SOUFFLE DU MONDE de Yves Simon, L'ÉCHELLE DES ANGES de Alejandro Jodorowsky, NEIGE de Maxence Fermine, LES PILIERS DE LA TERRE de Ken Follett, LA JEUNE FILLE ET SON FOU de Marcel Moreau, STANCES À SOPHIE de Christiane Rochefort, et et... je vais arrêter, c'est bon.
Filo
632 vues
0 aime
ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Maël"
3)le publier dans la section " articles"
4)me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
1. La seule chose qui compte pour moi c'est vivre. Suivre ce que je ressens comme un mouvement vivant (interne). Toute relation, travail,etc...est secondaire, je ne m'y identifie plus et je met un terme à n'importe quel lien si mon mouvement m'emmène ailleurs.
819 vues
1 like
Pour écouter la version voix + musique :
https://soundcloud.com/filo-deva/co-naissance-co-errance
Quelque part
ailleurs
un homme naît maintenant
émerge d'un sourire
dont il fera sa quête
comme les autres
une vie de plus
Que va-t-on lui faire croire?
des statistiques lointaines
nous informent qu'il ne faut surtout pas
bouleverser nos vies
mais un jour
s'il fait certains choix
il pourra tout faire basculer
La roue des possibles s'arrête-t-elle
sur le point de non-retour?
Quelles sont les chances?
Nous faufilerons-nous
entre les gouttes?
Saurons-nous trouver notre trajectoire?
Le corps sait
se rit des apparences
et des faux espoirs
il palpite en silence
La lune naît, liquide,
s'amarre à l'horizon
ponctue la mélancolie
de ce soir opaque
Elle offre un regard cyclopéen
à l'engeance magique
que les troupeaux
d'une voix unique
appellent à genoux
de peur de se connaître
de se reconnaître
Mais
jamais de réponse
jamais de réponse !
Les pas perdus
ou pas
les chemins improbables
creusés ou pas
pavés ou pas
d'intentions
et de rêves
parfois jamais ne se croisent
Nous errons cernés
d'enchevêtrements
de croisements
toutes ces trajectoires
qui parfois relient des solitudes
à d'autres solitudes
des vies entières
au basculement
d'un instant
Le poète errant
n'a pas de trajectoire
son sentier n'est pas battu
il n'existe que sous son pied
au moment où il se pose
Son passé est mort
son lendemain hypothétique
Croiser son chemin
ne relève pas de l'intention
mais du hasard
ou du destin
parfois de la perception
Alors ouvrons des portes
Les sentiers battus
se trouvent derrière
des portes déjà ouvertes
Ouvons des portes nouvelles
Franchissons-les
Assurons-nous une errance éclairée
Peut-être nous y rencontrerons-nous
Quelque part
ailleurs
un homme naît maintenant
émerge d'un sourire
dont il fera sa quête
comme les autres
une vie de plus
Mais la lune sait
la vanité de l'errance
les ambitions ensevelies
le poids du vide
Le poids du vide.
Filo
299 vues
9 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances