La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/05/24
Sur les ordres du Maitre, je m'agenouille en attendant qu'il prépare ce qu'il faut pour le fireplay. Quand il me le demande, je m'allonge sur le lit. Il attache mes mains de chaque côté du lit. Je ne peux plus rien faire. D'aucune façon je ne peux me détacher. Ainsi liée, je suis totalement vulnérable, à sa merci. Il dépose la mousse sur mon corps, puis l'enflamme  et recommence, sur mon ventre, ma poitrine, mes seins. J'adore sentir ce doux stress monter, cette chaleur froide, voir ces flammes s'élever depuis mon corps. Souvent il les éteint avec une serviette. Mais parfois il les laisse mourir d'elles-mêmes. Ces fois-là,  je ne peux m'empêcher de retenir mon souffle. Betement je ne peux m'empêcher de me dire, et si je prenais feu?! Après le fireplay, les couteaux.  Des lames neuves. Le premier a une lame bleue chromée.  Il est beau, tout arrondi. Le Maitre joue sur mon ventre, sur mes cuisses, de la pointe de la lame. Il fait glisser le tranchant autour de mon sein. J'ai peur, vraiment peur. Une peur excitante, je le regarde faire, envoûtée et paralysée. Je ne peux ni ne veux bouger. Juste le regarder prendre du plaisir à faire glisser cette lame sur mon corps. Le Maitre semble se lasser de la lame bleue, il sort alors le deuxième couteau.  Une lame rouge cette fois. Au premier contact de la lame sur ma peau, je sens qu'elle est beaucoup plus aiguisée,  plus pointue que la précédente.  Là encore le Maitre joue à la promener sur mon ventre, près de mes seins, mes cuisses. À certains endroits je me demande s'il ne me coupe pas. Mais je n'ose pas regarder. Je ne peux détourner mes yeux du Maitre. Le Maitre si appliqué,  attentif dans ses gestes, doux et coupant à la fois.  Quand il décrète avoir suffisamment joué avec ses couteaux  il les remplace par la bougie. Je me demande ce que va faire la cire chaude sur les traces de lame. Mais j'aime tellement la cire... Il part de très haut et descend la bougie de plus en plus, se rapprochant de mon corps, le liquide devenant de plus en plus chaud. Quand le Maitre considère que j'ai suffisamment de cire sur le corps, il recommence à enduire mon ventre de mousse. Et la danse des flammes reprend. Pour finir, le Maitre prend un troisième couteau et gratte méticuleusement toute la cire sur mon corps. J'aime sentir cette lame glisser sur ma peau, guidée par ses mains sûres d'elles. En récompense, le Maître m'offre une série d'orgasmes tous plus puissants les uns que les autres. Une envolée dans une autre temporalité,  un autre espace. Sa langue, ses doigts, sa main... Toujours attachée,  je ne peux pas m'empêcher de crier de plaisir. La jouissance est ininterrompue. J'en ai la tête qui tourne, j'implose, mon corps se disloque, mes os fondent, mes muscles se tétanisent, je respire comme je peux... Enfin il me détache,  je me jette sur lui pour le sucer. Retrouver mes esprits, sa queue dans ma bouche, avant qu'il me prenne et que nous jouissions ensemble.
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Par : le 15/05/24
Je pense avoir toujours été attiré sexuellement par le fait d'avoir le sexe glabre. Cela fait parti intégrante de ma sexualité depuis l'adolescence. Je ne me l'explique pas, c'est un trait de ma personnalité fétichiste. Déjà au collège, je m'amusais à couper les poils de mon sexe avec une paire de ciseaux. Je précise que c'était avant les débuts d'internet et le sexe épilé n'était absolument pas encore démocratisé par les films ou les magasines porno. J'avais terriblement envie de me raser le sexe mais je n’osais pas. J'avais peur que quelqu'un le remarque. Puis un jour, à la période du lycée, l'envie était trop grande et j'ai sauté le pas. Enfermé dans la salle de bain, le cœur battant, j'ai pris un rasoir et de la mousse et je me suis rasé intégralement. Le processus était hyper excitant. Petit à petit, les poils disparaissaient et mon sexe se dénudait. J'ai trouvé le résultat incroyable. Mon pubis était glabre pour la première fois depuis l'enfance. Mon sexe était nu et je le trouvais à la fois indécent et magnifique. Ce qui m'a le plus surpris, c'était la sensation de mes doigts parcourant mon pubis et mes parties intimes parfaitement glabres. C'était ultra doux et sensuel... Au lycée et dans les lieux publiques en général, étant de nature timide, j'oscillais entre honte et excitation avec mon sexe rasé. C'était des sensations assez contradictoires, sûrement les prémices d'une sensation bdsm...Si quelqu'un l'avait remarqué, j'aurais sûrement été la risée des camarades de classe... Surtout dans un lycée techno majoritairement masculin. Il n'y avait en réalité que peu de raison que ça se remarque. La peur n'était pas rationnelle. L'excitation était, elle, bien réelle. Il m'arrivait dans mes rêveries en classe de me mettre à durcir en sachant que sous mon pantalon, mon sexe était dépourvu de poils. La contrainte principale était que depuis tout petit, tous les étés, j'allais en vacances dans un village naturiste où je retrouvais, en plus, mes ami(e)s de vacances. Pas moyen de me retrouver le sexe lisse dans cette situation. Au printemps je laissais donc repousser mes poils et les vacances terminées, avec impatience, je prenais un malin plaisir à me raser à nouveau et redécouvrir les délices de mon intimité imberbe.   J'ai une pensée ému pour toutes les femmes qui ont partagé ma vie et qui m'ont accepté tel que j'étais, avec mon fétichisme prononcé pour les sexes glabres. Elles ont joué le jeu et m'ont toutes autorisées à leur raser le sexe. Quelque fois avec une légère crainte au début, elles y ont toutes pris goût, sûrement rassurée de savoir que leur vulve glabre m'excitait énormément, et que malgré les apparences, elles n'avaient rien d'une petite fille, avec leurs hanches, et leurs sexes développés. Le fétichisme de l'acomoclitiste n'est-il pas d'ailleurs l'excitation de la vision d'un sexe glabre là où justement il devrait y avoir des poils pour le cacher ? Elles ont aussi découvert les sensations décuplées et la sensibilité d'un sexe épilé. Pour ma part, il va sans dire que je mettais un poing d'honneur à les raser moi même avec application pour mon plus grand plaisir.     Celle qui partage ma vie aujourd'hui s'épile aussi. Elle y a pris goût et elle aime mon sexe ainsi dénudé. Je ne me lasse jamais d'apercevoir sa fente lisse quand elle s'habille et se déshabille. Elle est magnifique. Moi je suis passé du rasoir, à l'épilateur et la pince à épiler, c'est plus long mais tellement plus doux...   Aujourd'hui, l'épilation intime s'est démocratisée pour les femmes et un peu chez les hommes aussi. Cette pratique est rentré dans les mœurs et n'est plus assimilé à la pédophilie ou lorsque l'on criait au scandale quand une femme avait le sexe glabre pour mieux l'asservir et l'infantiliser dans ce monde patriarcal.   Je vais toujours en vacances dans ce même village naturiste. Contrairement à mon époque, les ados restent aujourd'hui habillés et semblent être plus complexés qu'avant. Beaucoup d'adultes ont le sexe épilé aujourd'hui. Je dirais même une majorité. J'ai mis du temps à assumer le fait que je m'épile le sexe. La première année où j'ai décidé de rester épilé au village naturiste où je retrouve toujours mes ami(e)s d'enfance, je me suis mis en condition de soumis à ma femme. Puisqu'elle me préfère ainsi, je reste ainsi. Cela m'a beaucoup aidé puisqu'en quelque sorte je n'avais pas à l'assumer, ce qui est assez lâche de ma part. Ça a eu l'avantage de me décentrer et de me rendre compte que ça n'a choqué personne. Aujourd'hui je l'assume enfin presque totalement mais ne le vante pas auprès de certains de mes amis ou collègues à qui je sais que ça pourrait encore choquer.   C'était mon premier article, je n'espère pas le dernier. Merci de m'avoir lu.
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Par : le 14/05/24
  Le rendez-vous   Pour financer ma nullification et me faire quelques sous, j’ai le droit de recevoir un peu de monde. Un gars a pris rendez-vous pour une pipe. Il sonne, je vais ouvrir, je suis en fauteuil roulant. Dans l’encadrure de la porte se tient une sorte de géant, presque deux mètres et bâtit comme un bucheron. Il me suit dans ma pièce. Je n’ai pas le temps de parler qu’il sort son membre, il est énorme et sent la transpiration. Je me retrouve avec ce membre dans ma bouche, lui debout devant moi assise dans mon fauteuil. Il me tient la tête et commence un mouvement de vas et viens. Il se retire, m’arrache du fauteuil, arrache mon leggins et me retourne comme une crêpe. Je lui dit : » met une capote » Il en sort une, se la met et sort aussi un petit pot, je pense que c’est de la crème, mais je réalise que c’est du baume du tigre. Il en met généreusement sur sa queue recouverte de la capote. M’en tartine la rondelle et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je hurle d’abord de douleur par la taille et ensuite par le sentiment de brûlure. Il explose en moi et reste un moment collé . Il se retire, j’ai el cul en feu, la tête qui tourne. Il pose quelques billets et s’en va sans un mot.
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Par : le 12/05/24
Steve m'a invitée à une sortie en ville pour visiter un musée qui venait de se rouvrir : Le Manoir Médiéval. Comme je me soumets toujours à ses désirs, je me suis levée tôt car il voulait le voir dès le matin. Nous sommes arrivés en avance, mais le préposé était content d'avoir ses premiers clients et il nous laissa rentrer avant l'heure officielle. Le manoir médiéval vous plonge dans l'ambiance glauque du moyen-âge avec tous les accessoires de l'époque et, bien entendu, une salle de torture au beau milieu. Mine de rien, c'est ça que les visiteurs et surtout les visiteuses préfèrent venir contempler, en échangeant des propos réprobateurs quant à la barbarie des ancêtres, mais en éprouvant d'étranges sensations dans le secret de leurs parties intimes en imaginant les tortures qu'on y pratiquait. Tous les objets exposés sont soigneusement gardés hors de portée des mains trop curieuses sauf, sur un podium, un gros pilori (stocks comme on dit en anglais) avec sa planche à trois trous, un central pour la tête, deux plus petits pour les poignets, laissé en accès libre pour les inévitables photos faites par des amateurs rigolards. Steve me demanda évidemment de m'y installer pour un cliché souvenir. Il souleva la moitié supérieure de la planche, me laissa m'installer à genoux, tête et poignets placés dans les encoches prévues et rabattit la partie supérieure sur mon cou.  Le conservateur du musée avait bien fait les choses car les trois trous étaient gainés d'un cuir tout frais qui les rendait confortables mais qui diminuait leur diamètre jusqu'à enserrer tout juste tête et poignets. J'étais immobilisée comme une condamnée, prête pour la photo. Steve ouvrit son sac, selon moi pour prendre son iphone, mais au lieu de celui-ci, c'est un gros cadenas qu'il exhiba devant mes yeux avant de le faire claquer sinistrement, verrouillant les anneaux reliant les deux planches. Je commençai par rire mais rapidement, avec horreur, je constatai que j'étais réellement prisonnière, sans pouvoir me dégager, malgré mes contorsions de plus en plus furieuses. Je le menaçai d'appeler au secours, mais il sortit de son sac un des objets que je déteste le plus au monde : un bâillon à boule, car le salaud avait tout prémédité. Me pinçant fermement le nez, il m'obligea à ouvrir la bouche et y introduisit prestement l'objet, me condamnant à ne plus émettre que des grognements étouffés. Ce n'est pas tout. Après avoir solidement fixé le lanière du bâillon, il passa derrière moi et, soulevant mon top jusqu'aux épaules, il dégrafa mon soutien-gorge et en coupa les bretelles avec son couteau de poche pour l'enlever facilement. J'ai une poitrine opulente et ma position, à genoux, le corps horizontal, la tête à cinquante centimètres du sol, faisait pendre de façon indécente mes lourdes mamelles. Puis, Steve disparut dans la pièce voisine, me laissant seule et sans défense. Que faire, hurler mais impossible à cause du bâillon; soulever la barre supérieure, impossible à cause du cadenas; le supplier de me délivrer, il avait disparu. Toute moite de transpiration, je sentis mon coeur s'affoler, d'autant plus que des bruits commençaient à se faire entendre du côté de l'entrée. Tout à coup, la lumière d'un projecteur dirigé sur mon instrument de supplice s'alluma et les premiers touristes firent leur entrée : tout un autocar d'asiatiques, ravis du tableau vivant que je leur offrais ! Moi, paniquée et envahie par une honte indescriptible, je fermai les yeux et sentis une onde irrépressible me parcourir. Un orgasme foudroyant me dévasta face à des centaines d'yeux incrédules et fascinés. Puis je me mis à sangloter, le corps violemment secoué de spasmes irrépressibles.
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Par : le 11/05/24
"La soumission volontaire est la clé qui ouvre les portes de l'authenticité et de la plénitude de soi." Dans une relation, être la propriété de son Maître dépasse les limites de la simple soumission. C'est une immersion profonde dans un océan de confiance et de dévotion, où chaque acte de soumission est empreint d'une communion intime avec sa volonté. Elevée au sommet de ses préoccupations, au cœur de ses pensées et de ses actions. Être sa priorité signifie bien plus que d'être simplement désirée ; c'est être au centre de son monde, le point focal de son attention et de son affection. Dans cette position privilégiée, être  chérie, protégée et respectée,  sa première préoccupation en toutes circonstances. Cette dévotion et cette priorité se manifestent dans tous les aspects de cette relation. Que ce soit dans ses paroles douces, ses gestes attentionnés ou ses instructions fermes. Ressentir constamment son engagement envers cette connexion profonde et  l'épanouissement mutuel. En lien constant, les pensées s'entremêlent, les  émotions se répondent, créant une symbiose incomparable. Chaque moment passé ensemble est imprégné de sa présence, de sa guidance, renforçant le lien d'une manière qui transcende les mots et les gestes. L'obéissance devient alors un acte de dévotion, une manière de témoigner de  l'engagement envers lui et envers la relation. Chaque ordre exécuté avec précision renforce le lien, renforçant la confiance en lui et tout le  respect pour son autorité. La pression de l'attente de ses ordres est palpitante, électrisante, emplissant chaque instant de cette interaction d'une excitation intense. Le cœur bat la chamade à chaque notification de message, signe de  lien constant, alimentant l'anticipation de ses mots, de ses désirs. En attente de ses directives, on retient son souffle, captivés par la profondeur de cette connexion. Dans cette tension délicieuse, chaque instant est chargé d'une intensité palpable, chaque geste et chaque parole devenant un pas de danse dans ce rituel d'intimité partagée. Il y a également une notion profonde d'engagement dans cette relation, un engagement mutuel à se soutenir, à se comprendre et à se compléter au sein de cette dynamique unique, où la soumission devient un acte d'amour et de confiance partagés. Dans cette communion intime, où les liens de l'âme se tissent avec passion, chaque moment est un poème en mouvement, où l'intime révèle sa splendeur la plus profonde. LifeisLife
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Par : le 08/05/24
Je ne sais pas si vous avez déjà dormi avec les poignets attachés dans le dos ? Je peux vous dire que c'est terriblement inconfortable, surtout si, comme moi, vous dormez justement sur le dos….  Bref après une nuit particulièrement courte et agitée, je me suis réveillé à 6 heures. Monsieur Gilles était déjà réveillé, mais ne semblait pas  décidé à se lever,  Viens que je te détache Je m'approchai du lit, et lui tournant le dos je lui tendis autant que je le pus mes poignets....     - Tu as vraiment un joli petit cul !!!  Tu vas faire des ravages !! Je rougis sous ce commentaire, surtout que sa main me caressait de plus en plus précisément !            - Vas vite prendre ta douche et j'irai en faire autant pendant que tu me préparas mon petit déjeuner ! Une bonne claque sur mon cul fut le signal pour que je bouge.... J'ai pris ma douche et me suis mis à préparer le petit déjeuner de Monsieur. Je me suis interrompu pour aller lui frotter le dos ... et le sécher délicatement. Je me suis naturellement retrouvé à lui "sécher" le sexe et les fesses de ma bouche.... Quand il a été bien nettoyé Monsieur m'a pris longuement et lentement pour que je sente bien sa queue me pénétrer et m'envahir pleinement. Je ne pensais pas que cela pouvait être aussi bon!! Après le petit déjeuner de Monsieur, nous avons été faire des courses dans une petite superette à proximité. Avant de partir Monsieur, ma remis la laisse. Dans l'ascenseur il me tenait par elle. Une fois dans le hall d'entrée, il l'a fait passer dans mon dos et l'a glissé à l'intérieur de mon blouson. On voyait quand même bien mon collier et l'attache de la laisse. J'avais honte et avais l'impression que tous les regards étaient braqués sur mon collier... Mais de marcher dans la rue avec mon collier de soumis autour du cou me troublait beaucoup, j'étais très fier de porter ce collier ! De retour à l'appartement je me mis nu comme il se doit quand je suis chez Monsieur Les courses faites, nous sommes rentrés à l'appartement. J'ai fait le ménage, l'aspirateur toujours attaché par une cordelette à la base de mon sexe et à mon gland. Ce fut plus pénible quand il a fallu passer la serpillère...Soulever le seau attaché de la même façon pour le déplacer m'a demandé beaucoup d'essais et pas mal de douleur.... Mais une fois la technique enregistrée cela se passa assez bien, je pus "sincer" comme on dit chez nous, sans faire tomber de l'eau sur le lino. Je préparai ensuite le déjeuner et le servit à Monsieur de la même façon que le diner d'hier... Pendant que Monsieur faisait sa sieste, je suis resté attaché au pied du lit, couché sur mon matelas au sol. En fin d'après-midi, Monsieur, m'a remis mon plug et mon collier. Comme je lui demandais ou nous allions, il m'a dit ;"tu verras bien!". Tu mets juste ton pantalon, cela suffira largement, avec ton blouson bien sur! La laisse n'était pas dans mon dos, tout le monde pouvait la voir pendante au dessus de mon blouson, mais cela ne semblait pas troubler Monsieur le moins du monde ! Dans la voiture, j'ai dû baisser mon pantalon et ouvrir mon blouson Monsieur m'a mis une vieille écharpe qui trainait derrière sur les cuisses "au cas où..."       - Voilà tu es très bien ainsi, quand je te le dirai tu enlèveras le tout sans discuter, compris ?       - Oui Monsieur       - Parfait Après quelques minutes de route, nous sommes arrivés sur un grand parking à plusieurs niveaux séparés par de petits terre pleins plantes darbres et d'arbustes.     - Tu vois nous reviendrons là ce soir et je t'exhiberai ! Tu devras te laisser faire...tu as bien compris?      - Oui Monsieur j'ai  bien compris que je devrai me laisser faire et ne pas refuser les avances,,,      - Très bien tu comprends vite...  Tu vois pour le moment il n'y a personne mais tu verras ce soir ce sera autre chose !  Nous mettrons exactement au même endtoit pour que tu sois bien visible de tous...      - Mais cela peut etre dangereux... je peux tomber sur un taré !       - Ne t'inquiète pas, je connais bien ce parking et il n'y a jamais eu de problème ! En plus je serai là pour te protéger si besoin!      - Bien Monsieur...      - Tu vas te mettre nu et sortir de la voiture. Mets toi devant à 3 ou 4 mètres que je te vois bien.     - Mais tout le monde peut me voir, Monsieur!     - Tu vois quelqu'un?     - Non, Monsieur     - Alors... Je suis sorti de la voiture, j'ai complètement retiré mon pantalon et mon blouson est je me suis posté devant la voiture....     - Bien mets toi face à moi, les jambes écartées..... Je me suis mis comme le voulait Monsieur    - Très Bien, tu es superbe ainsi...un vrai soumis obéissant... je vais faire de toi ma pute, tu sais?    - Je vous appartient, faites de moi ce que vous désirez, Monsieur, vous savez mieux que moi ce qui est bien pour votre soumis, Monsieur!    - Allez on rentre, Même si j'avais honte, je dois reconnaître que j'ai pris beaucoup de plaisir à cette exhibition. Nous sommes rentrés,  j'ai préparé le dîner de Monsieur... je l'ai servi et me suis mis à genou à  ses pieds . Une fois fini son repas, j'ai eu le droit de finir son assiette.... Pendant que je faisais la vaisselle, Monsieur, à passé plusieurs coups de fil.... puis je me suis mis à  ses pieds pendant qu'il regardait un film à la télé.  Quand le film fut terminé Monsieur m'a préparé pour sortir. Collier acier avec un anneau qu'il a fermé avec un petit cadenas, bracelets cuir aux poignets. Il m'a attaché les deux anneaux de mon sexe avec un petit cadenas.... ainsi courbé mon sexe ne pouvait plus se dresser...    - Personne ne pourras te sucer ainsi!    - Tu es parfait ainsi.. Comme laisse il m'attachat une longue chaine    - À cette heure tout le monde est rentré dans l'immeuble et la voiture n'est pas loin.... donc tu sors comme cela, on va prendre l'escalier !     - Bien Monsieur... J'étais mort de honte, je tremblais en suivant Monsieur, j'avais peur que nous ne tombions sur un retardataire... Mais non heureusement, nous n'avons vu personne!  Et dehors pareil, il n'y avait personne! Arrivé sur place, il y avait plus de monde que dans l'après-midi, je comptais une demi douzaine de voitures et quelques personnes en train de déambuler. Nous nous sommes arrêtés au même endroit. A croire que la place était réservée... Monsieur m'a demandé de sortir et de me poster comme il m'avait fait voir dans l'après-midi. Je tremblais en sortant de la voiture, mais je me suis posté comme Monsieur le désirait. Il est sorti également de sa voiture, a repris la chaine, et a été l'attacher un pied d'un des arbres à proximité. Puis il est revenu vers moi, à détaché le mousqueton de mon collier pour attacher la chaine directement au collier mais en laissant pendre quelques centimètres de laisse dans mon dos.... Il a pris mes poignets et les a fixés au mousqueton en les relevant dans mon dos...       - Tu ne pourras pas te refuser ainsi! m'a t il dit en souriant...mais ne bouge pas j'ai une surprise pour toi! Je suis resté comme Monsieur le désirait, les jambes écartées, les bras remontés dans le dos ne pouvant pas bouger, je sentais sur moi un certain nombre de regards, et une présence de plus en plus forte derrière mois. Monsieur était à peine à la voiture que je sentais les premières mains glisser sur mes fesses.  Des mains de plus en plus impérieuses prirent petit à petit le contrôle de mon corps... Mes tétons furent tiraillés, caressés, pincés. Ma queue fut vite le centre d'intérêt le plus recherché, visiblement mon sexe attaché attirait la curiosité. Monsieur chassât tout le monde quand il revint avec dans les mains une barre de métal à laquelle était attaché deux bracelets en cuir. Il se mit à genoux pour me les fixer aux chevilles.       - Ainsi tu ne pourras même plus refermer tes cuisses!       - Messieurs, il est à vous mais seule sa bouche est utilisable ! Monsieur s'est éloigné pour aller parler avec le conducteur d'une voiture, me laissant à la merci de ces hommes. Les mains se sont faites beaucoup plus précisent, certaines me pinçaient les tétons pendant que d'autres jouaient avec mon sexe emprisonné. Cela a duré un petit moment, jusqu'à ce que 4 bras me soulèvent pour me mettre à genoux. Un premier sexe vint heurter mes lèvres, une main ferme me tint par les cheveux m'imprimant un rythme soutenu et me forçant à avaler de plus en plus loin ce sexe heureusement pas trop gros. En quelque minute il se soulagea dans ma bouche ! J'avalais une bonne partie de son sperme, chaud, salé, avec une légère amertume ...je n'eus pas le temps de le gouter plus que cela un deuxième membre veut le remplacer, et le même jeu se renouvela, une main ferme dans les cheveux me forçait à avaler de plus en plus loin jusqu'à avoir des hauts le cœur .... Cela les faisait beaucoup rire, mais ils ne ralentissaient pas pour autant !!! J'avais parfois du mal à reprendre mon souffle ! Le troisième changea de technique, il me tint lui aussi par les cheveux, mais se recula petit à petit jusqu'à ce que je sois en déséquilibre...il laissa ensuite le poids de ma tête et de mon corps faire tout le travail...je le sentais pénétrer de plus en plus loin dans ma gorge...Il me remontait de temps en temps pour que je reprenne mon souffle puis me laisser retomber sur son membre long et épais... Très vite mon nez toucha son pubis et mes lèvres  touchèrent la base de son sexe...Il se recula pour que je respire et s'enfonça facilement jusqu'à la garde.... Quand il me remit droit il put m'enfoncer son sexe tout entier sans que j'oppose la moindre résistance. Je le reçus entièrement dans ma bouche et avala en totalité son sperme épais et légèrement sucré...malgré tout j'étais fier d'avoir réussi à l'avaler en entier ! Quand le dernier fut satisfait, ils m'ont relevé et je suis resté à dispo pour qu'ils jouent sur mon corps comme ils le désiraient... Un des hommes, a été voir Monsieur, et a longuement discuté avec lui. Je ne sais pas ce qu'ils se sont dit mais ils semblaient contents au retour ! Il a été cherché une petite branche fine d'un des arbres et s'est amusé à me fouetter avec...fesses, cuisses et surtout sexe.... Les brulures des coups étaient vives et douloureuses mais en même temps elles me procuraient une forte jouissance, comme une apothéose à cette soirée d'initiation. Monsieur m'a laissé encore un peu aux mains de ces hommes puis il leur a demandé de me laisser.       - Allez, cela suffit pour ce soir!  Je suis fier de toi, pour une première tu as été plus qu'à la hauteur ...tu es une vraie salope !  Il m'a détaché, m'a enlevé la chaine mais pas le collier et j'ai suivi Monsieur dans la voiture.  Il m'a mis la main sur la cuisse et m'a redit  qu'il était fier de moi.     - on va aller boire une bière,  tu mérites bien cela!     - Mais... Monsieur, je suis nu! Je ne peux pas sortir comme cela ?!     - tiens prends cela. Et il me donne un sac ou il y a une robe chemisier saharienne.... J étais trop fatigué pour répondre...j'ai  enfilé la robe et nous sommes partis... Pendant le trajet, Monsieur,  me caressait tendrement la cuisse remontant de plus en plus haut....c'était bon cette tendresse après  cette soirée mouvementée !  Nous sommes arrivés au même bar qu'hier au soir, il semblait  fermé...Mais quand monsieur à poussé la porte, il y avait encore un certain nombre de personnes à l'intérieur !  Pieds nus et en robe je ne passais pas inaperçu... Mais là, ce soir je m'en fichais,,, Nous avons retrouvé les mêmes personnes qu'hier... Monsieur s'est assis, et il m'a fait mettre à  ses pieds à même le plancher...    - Alors cela a donné quoi cette soirée ?     - il avance vite, il n'a pas rechigné et n'a pas cherché à se dérober.. je suis fier de lui...A la troisième queue il a été capable de l'avaler entièrement... par contre il n 'avale pas encore avec plaisir...on voit quil se force pour le faire.    - Très bien s est un bon début. Pour demain je veux qu'il ne soit pas attaché ni les mains ni les pieds. N'oublie pas il a rendez-vous à  l'institut pour son épilation et sa visite médicale      - lève toi! Je me levai et me mis derrière Monsieur     - Approche toi! L'homme avec qui parlait Monsieur, me fit me mettre nu devant lui... il me fit tourner devant lui... il me caressa le sexe, le soupesa, tritura mes couilles...ce qui provoqua une érection,  certes vite maîtrisée par les cockrings, mais qui n'échappa au regard de cet homme.     - C'est  qu'il réagit vite , la salope ! Pour demain son cul sera libre aussi.     - Très bien, À demain... Penses à  lui donner ses remontant pour qu' il  soit en forme demain!    - Pas de souci, il a déjà commencé à  les prendre depuis hier...    - Très bien, alors augmenté la dose à 30 gouttes 2 fois par jour.. Je ne comprenais rien...qu'est-ce que c'était ces gouttes ? Mais la seule chose qui comptait à  ce moment là c'était la main de cet homme jouant avec ma queue...ses caresses étaient à la fois douces et puissantes, et mon bas ventre se tendait vers sa main... Monsieur m'a fait me rhabiller et nous sommes sortis... Nous sommes rentrés directement à  l'appartement...Heureusement nous n'avons croisé personne. A la maison j'ai demandé à  Monsieur si je pouvais prendre une douche, il m'a ordonné de retirer mon plug, l'eau chaude me fit le plus grand bien... Je me suis couché au pied du lit de Monsieur je n'avais qu'une envie dormir ! Mais Monsieur m'a demandé de venir à côté de lui, il m'a offert un verre de jus d'orange pendant que lui prenait une bière.... Tout en me demandant ce que j'avais pensé de cette soirée il jouait avec mon sexe... Je lui ai avoué que j'avais quand même beaucoup aimé faire cela pour lui.... La honte, la peur avaient décuplé mon plaisir !  Tous en lui parlant je le caressai également…C'était bon de le sentir régir sous mes doigts...et malgré la fatigue je me suis mis à le sucer tendrement mais en l'avalant tout entier... Très vite il m'a mis à 4 pattes et m'a enculé lentement, longuement ...C'était divin et j'ai explosé en même temps que lui... Je l'ai nettoyé comme il faut et je me suis couché sur mon petit matelas à ses pieds après lui avoir souhaité une bonne nuit ! A suivre
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Par : le 06/05/24
Entrée en matière... Je possède tous les attributs d'une mère de famille rangée. En couple depuis 25 ans et heureuse maman de charmants enfants, je pourrais aisément être qualifiée de petite bourgeoise, qualificatif que je ne renie d'ailleurs pas. Physiquement, je fais beaucoup plus jeune que mon âge. Mon minois est agréable, d'après les compliments que je reçois régulièrement de la part de personnes des deux sexes. Brune à la peau matte, j'ai les cheveux très longs. Je suis plutôt petite, mais bien proportionnée. Mes formes sont généreuses et attirent le regard. Ma poitrine affichant naturellement un arrogant 85D, j'ai longtemps eu l'impression qu'elle était beaucoup trop grosse... mais à une époque où certaines dépensent des fortunes en implants mammaires, j'apprécie aujourd'hui, bien plus qu'à vingt ans, les atouts dont j'ai été dotée.  Perchées au sommet de jambes bien galbées, mes fesses sont rondes, rebondies et, je crois, appétissantes. Mes pieds sont petits et fins et apprécient les sandales qui les mettent bien en valeur. Vous l'aurez compris, je suis assez coquette et soigne toujours ma tenue lorsque je sors. Même en mode "décontracté", je choisis des vêtements qui se combinent parfaitement. J'aime les bijoux et les accessoires féminins.  Après être passée par tous les stades vestimentaires (fashionista, classique, chic, casual...) je m'amuse à présent à jongler entre les styles et peux porter dans la même journée un tailleur strict puis un short en jean... Ma vie intime est également contrastée voire paradoxale. En quête d'affection et de tendresse, j'ai connu des relations cahotiques avant de me "caser". Ayant du mal à assumer mes errements passés,  j'ai cherché à composer un personnage "bien sous tous rapports", ce qui a longtemps entravé mon épanouissement car je bridais ma sensualité et refoulais mes désirs. Jusqu'à ce que la crise de la quarantaine nous plonge dans une remise à plat de notre vie de couple, je me cantonnais dans les rôles de la bonne épouse et de la bonne mère,  feignant de n'avoir ni désirs ni fantasmes... Mais des événements ont fait éclater ces apparences trop sages. J'ai dû reconnaître que j'étais moi aussi tiraillée par mes instincts, mes pulsions, mes besoins et que la séductrice que j'avais été sommeillait en moi et ne demandait qu'à se réveiller. Ainsi, à la quarantaine bien tassée,  j'ai ré-appris à laisser ma sensualité s'exprimer, à assumer la part animale de ma féminité et à jouer ostensiblement de mes appâts pour satisfaire mon envie de plaire. Encouragée par un mari qui voyait là le moyen de sauver notre couple en reconstruisant notre relation sur des bases plus saines, plus sincères, plus complices, j'ai petit à petit entrepris de concilier ma soif d'érotisme et mes obligations sociales et familiales. Ce ne fut pas facile tous les jours, car la tentation de me replier et de retourner dans mon jardin secret revient parfois. Mais je suis motivée et je m'efforce de m'assumer de plus en plus. ...à suivre.
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Par : le 05/05/24
. Sentir l'étirement, le pincement, la pression.. Du léger picotement, à la douleur stridente.. De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler.. Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint. Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe.. Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés. Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux, seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort.. Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin. En soi : Pas grand chose. Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même, Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement. Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères. Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder.. Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité, de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes. M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un, et où je ne m'appartiens plus.   La suite à vivre sous mon appartenance, ChatMOnYou. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Par : le 04/05/24
Je veux te voir lâcher ce rôle que tu tiens devant tous et qui te coûte tant. Je veux te voir abandonner ce fardeau que la société t’as mis sur les épaules. Que ton corps se réveille, et que ton cerveau lâche le contrôle, au moins pour un instant. Que sous les coups de ceinture, ton corps se tende, tes fesses se dandinent, ta peau frissonne, appelant à plus, toujours plus. Que ta tête se redressant d’un coup et ton souffle saccadé m’indiquent quand je m’approche du but. Pour que finalement tu lâches et tu t’écroules sur la table, des larmes dans les yeux, mais le sourire aux lèvres. Heureuse d’avoir pu enfin t’abandonner, lâcher prise un instant, un court instant, cet instant qui sublime tous les autres... (image du net)
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Par : le 04/05/24
Cette nuit. Douceur absolue. J'ai le bonheur de faire la rencontre d'une personne qui me touche. Je me refais nos échanges en boucle dans ma tête. Son imagination m'a émoustillé. Je me refais le film, je m'endors. Rêve incroyable!! Mon imagination a très bien travailler. Mes rêves sont la continuité de nos échanges!! Douceur !!😇 Chaleur! Me voilà sorti de mes songes dur!! Très dur! Haletant et déboussolé ! Un peu humide même... Je reprend mes esprits et me rend compte que ce n'est pas mon lit, pas chez moi... Je regarde auprès de moi, j'y trouve des pieds divins. Je suis donc aux pieds de quelqu'un... Ma curiosité me pousse à découvrir à qui appartiennent ces pieds. Je remonte donc délicatement toujours très dur... Je découvre avec délice un long corps. Des jambes interminables d'une douceur que je ne peux me retenir de carresser de ma joue, mes lèvres. Mes lèvres carressent ce corps de plus en plus haut. Une fleur que je préfère laisser tranquille. Je ne sais toujours pas qui j'ai le bonheur de goûter. Un nombril mignon me fait un clin d'œil sur mon passage. Une jolie petite poitrine dont les tetons sont fièrement dressés. Ce doit être la fraîcheur nocturne... Voilà que mes lèvres rencontrent un cou que je me suis plu à imaginer mordre. Je commence à comprendre. Je me redresse et devine dans la semi obscurité un magnifique sourire dont je connais la malice. Un œil s'ouvre légèrement sur un iris perçant. Me voilà figé par cet œil! Une voix magnifique, suave... JOUJOU! Au pied!!!!! Je gémis. Cet ordre... Je m'entend répondre : Dame, j'ai rêver de vous. On me retorque: Tu es dur?? Ma réponse ne fut qu'un gémissement acquiesseur... Le second œil apparaît avec une lueur d'envie dans le fond du regard. J'explique: Dame, j'ai rêver de vous et c'était bon. Je suis humide de désir... Cet œil se durci, l'ordre fuse ! ALLONGE TOI!!! Cette voix suave qui claque dans la nuit ne me laisse pas le choix. Je m'allonge donc avec soumission. Je crois que l'être divin que j'ai réveiller tiens à reprendre le plaisir que je lui ai voler dans mes songes. Je sent du cuir froid autour de mes poignets... Il se réchauffe très vite tellement ils sont serrés. Ce même cuir sur mes chevilles. Douleur chaude et prometteuse. Ma Déesse passe ensuite une lanière de lin avec minutie dans chaque anneaux de mes liens. Je me délecte de sentir son parfum de fleur à chacun de ses passages prêt de mon visage. Sa voie suave me demande si je suis prêt. J'acquiece en gemissant. Cette domination si douce m'enlève tout les mots de la bouche. D'un geste habile et grâce à la minutieuse préparation de ma Dame, tout mes membres se retrouvent liés entre eux. J'attrape donc mes chevilles avec les mains, c'est tout ce que je peux faire. Ce sourire de contentement de ma déesse me rempli de fierté. Elle est fière d'elle et me glisse à l'oreille.. Bon Jouet! Je fond!! Elle me crache au visage pour me faire comprendre que je vais servir. "Tu n'as pas le droit de jouir sans moi!!! Tu es donc puni pour ça!!" La violence de ces propos contraste avec la douceur de cette voix dans laquelle j'entends de l'amusement. Je ressens un nouveau sentiment indescriptible... Mélange de fierté, d'appartenance... Mon corps est tremblant. Nouvelle pluie de salive sur mes lèvres. C'est bon!!! Voilà maintenant une fleur qui s'offre à mes lèvres. Ma Dame veut jouir. Elle m'ordonne de lui rendre l'orgasme que j'ai pris dans mes songes. Je m'y attele avec toute mon âme. Ma langue est en émoi. C'est si bon, chaud, floral. Je sens avec délice le corps de cette déesse faire des vas et viens sur mon visage. Je suis dur c'est intenable... ma Dame le sent et gifle mon intimité en m'ordonnant de me retenir! Ses mouvements divins se font de plus en plus intenses. Me coupant le souffle par moment. Dame gémis. Moi aussi! Nouvelle gifle sur mon sexe. Ses mouvements s'amplifiant, ses gemissements se transformant en cris... Mon bonheur est total! Ma Déesse jouie !!! Me voilà humide de son bonheur!!! Délicieuse pluie odorante sur mon visage! La fierté d'un devoir de jouet accompli. ma Dame se repose sur le côté. J'aperçois avec délice ses yeux gratifiants. Je bratte en lui demandant si je peux lui en offrir un autre avec mon sexe... Elle rit! Qu'il est beau ce rire!!!! Elle s'en va me laissant attaché, dur, souillé de son plaisir. J'entends sa douce voix : Pour ta prétention, j'en veux un autre, mais ton sexe restera inutile!! Je le prend comme je le veux!!! dit elle en me bâillonnant avec un sexe en plastique... Je gémis. Je gémis. Je ne peux faire que ça. Je m'abandonne à ses désirs si doux qui me transcende ! La voilà de nouveau assise sur mon visage!! Cette fois ci elle se fait pénétrer par un jouet qui prend naissance dans la bouche de son autre jouet. MOI!!! Quel délice de faire équipe!! Ses vas et viens incessants avec cette fleur si proche de mon regard me rendent fou... Elle le sent et me gifle de nouveau le sexe. Ses courbes idylliques se mouvant tel les vagues qui frappent une plage.... Ses gemissements doux comme des nuages... Sa peau habillée de la fraîcheur nocturne... Ses vas et viens sont pour moi le rythme de l'amour pour son jouet sur une symphonie de plaisir partagé! Sa main frappant mon sexe avec plus de vigueur, sa fleur frappant mes lèvres avec plus d'intensité. Mes joues se remplissent à nouveau de sa pluie d'amour. Ses cris se mêlant à mes gemissements. Son amour me coule dans la nuque... Elle continue de plus en plus fort, et avec ses hanches, et avec ses gifles si bien jetées sur mon sexe... Quel bonheur d'être le jouet d'une déesse ! Elle hurle de plaisir!!! Me voilà inondé!!! Son bonheur étant le mien, je jouis à mon tour... Elle cris de plus belle. Je gémis encore plus fort. Nos bonheur partagés, j'entends un doux "merci Joujou" tu as bien travailler. Fierté non dissimulé !! Elle défait doucement mes liens pour se blottir au creux de mon épaule. Elle s'endort avec douceur, son souffle dans ma nuque. Ses paroles résonnent dans mon esprit "merci joujou" je m'endors donc à mon tour avec le sentiment d'appartenance si doux... Mais mon réveil sonne... Je viens bel et bien de rêver... Douce frustration... Mes draps s'en souviennent... J'espère m'en souvenir longtemps…
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Par : le 03/05/24
Bonjour Mesdames, bonjour Messieurs, Que fais-je pour me sentir soumis sans appartenir à quiconque ? Hier après-midi je suis allé au sauna libertin de Brive-la-Gaillarde. C’est un sauna assez petit mais très propre dans lequel il est extrêmement rare de voir une Femme. Il est considéré comme un sauna gay par les habitués dont je fais parti. je portais mon ballstretcher pour la cinquième journée consécutive. Une fois arrivé, je prends une douche et me dirige vers le hammam devant lequel des serviettes aux portes manteaux laissaient supposer de la présence. Quatre Hommes étaient là. Deux mâles alpha assis jambes écartées et deux lopettes à genoux en train de les sucer. lopette, c’est ce que je suis lorsque je veux me sentir soumis au sauna. Je m’assaillais entre les deux Hommes et regardais tour à tour à droite et à gauche les lopettes sucer avec gourmandise. j’étais un peu jaloux car la fréquentation était faible. Assez rapidement la suceuse à ma droite s’est relevée pour sortir du hammam, il n’est pas toujours facile de sucer dans cette atmosphère. je posais donc ma main droite sur le genoux de l’Homme délaissé, puis en l’absence de signe contradictoire prenais la place à genoux devant lui. Il avait une belle queue comme je les aime, un beau diamètre sans être excessif et environ 15 à 16 cm de long. J’aime sucer lentement en promenant ma langue le long du chibre en même temps que mes lèvres serrées entament un va et vient. Manifestement ma façon de faire plaisait à mon partenaire qui poussait de petits soupirs, posait Ses mains sur ma tête en de délicates caresses et m’affligeait de compliments tels que « c’est bon salope continue ». je ne risquais pas de m’arrêter tellement les balancements du ballstretcher au rythme de mes sucions me faisait du bien entre jambes. La porte s’ouvrit deux fois pendant que j’étais occupé à donner du plaisir. Je me cambrais alors un peu plus à chaque fois pour que le nouveau venu voit bien la chienne que je suis en plein travail. Je commençais à souffrir de l’atmosphère chaude et humide mais résistais du mieux que je pouvais lorsque l’Homme assis devant moi se leva et interrompit la fellation que je lui prodiguais. Je sortais moi aussi du hammam pour aller prendre une douche rafraichissante. Il y avait peu de monde, je faisais un tour du côté des cabines et de la salle vidéo qui étaient tristement vides. Je me décidais à rejoindre dans le jacuzzi un Homme manifestement de plus de cinquante ans aux traits longilignes. Je prenais soin avant de poser ma serviette, de lui demander si je pouvais le rejoindre. Je m’installais en face de lui décalé sur sa gauche, une jambe posée au fond du jacuzzi au plus prêt possible de lui, l’autre écartée au maximum de ce qu’il était possible de faire. J’aime, lorsque je suis au jacuzzi, montrer que je suis une femelle en chaleur. Je restais un petit moment dans cette position sans rien faire, profitant des jets d’eau les yeux fermés. Mon compagnon de baignade ne bougeait pas, je posais une main sur sa jambe, sur son mollet, sur sa cuisse. Je le caressais très sensuellement un petit moment avant de venir effleurer sa bite qui était déjà bien dure et fièrement dressée. Il ne bougeait pas, il n’y avait pas de réciprocité dans les caresses. Je me sentais alors véritablement pute en train d’essayer d’amener un client à moi. Mes efforts finirent par être récompensés lorsque je senti ses doigts se poser sur ma cuisse. J’écartais les jambes au maximum et poussais mon bassin en avant en même temps que je soupirais de bonheur. mon ballstretcher tirait mes couilles vers le bas, Ses doigts s’agitaient sur mon clitoris qui avait du mal à durcir. Il s’aventurait sur mon périnée, j’avais peur que le contact du ballstretcher le stoppe comme c’est quelquefois le cas. Non, Ses mains se posaient sur la peau tendue de mes noisettes et je balançais mon bassin d’avant en arrière en espérant qu’Il pousse Ses caresses jusqu’à l’ouverture de ma grotte intime. Ce ne fut pas le cas. Ses caresses et les miennes nous prodiguaient à tous deux un plaisir bien visible jusqu’au moment où il se leva et sorti du jacuzzi sans mot dire. J’attendais quelques minutes et faisais de même. Quelques clients étaient entrés mais ce n’était pas vraiment la foule. Je m’installais dans une cabine face à la porte grande ouverte, adossé au mur les jambes grandes écartées en attendant le client. mes mains caressaient délicatement ma poitrine et mes cuisses, ma langue se promenait sur mes lèvres lorsque quelqu’un passait devant la cabine, je mettais le bout du doigt sur ma tige molle et l’amenais à la bouche en une sucions provocante. j’étais pute tout simplement mais le client ne venait pas. Les mêmes têtes passaient dans un sens puis dans l’autre sans aucune touche. Deux Hommes regardaient un porno gay en se masturbant. Ils arrêtaient leur mouvement lorsque je m’approchais. je commençais à croire que ce n’était pas mon jour d’autant que les quelques aller retour que je faisais entre la hammam, la sauna, le jacuzzi et les cabines restaient stériles. je m’accordais donc un moment de détente et ne me consacrais plus qu’à moi-même. j’étais au sauna lorsqu’un beau brun, jeune, un peu ventru est passé devant la porte vitrée pour aller au hammam. Toutes les salopes du sauna étaient derrière Lui. j’en profitais pour m’installer seul dans le jacuzzi et profitais des différents jets pour me faire masser. Les yeux fermés, jambes largement écartées, je profitais. C’est alors que le beau brun est venu me rejoindre. je Lui ai fait une place et nous nous sommes installé tous deux jambes allongées en croix, les miennes au dessus des Siennes. Comme à mon habitude, j’attendis quelques courts instant avant d’effleurer sa cuise de la paume de la main, puis sans réaction de Sa part je me lançais dans de délicates caresses sur Sa cuisse, Ses testicules et Son sexe qui devint vite bien dure. Il ne bougeait pas profitant des caresses de la pute qui était dans le jacuzzi avec Lui. je massais avec application le membre viril, en décalottant lentement le gland, en titillant du bout des doigt le mea urinaire et le frein au prépuce. j’avais toujours les jambes largement ouvertes quand sa main s’immisça sur ma nouille toute molle. Il me caressait la peau tendu des couilles qui supportaient le ballstretcher, je poussais des soupirs de bien être. Sa main se balada un long moment de mon clitos à mes couilles avant de descendre un peu plus bas, à l’entrée de mon cul que je tendais pour l’offrir dès le premier effleurement. Il me fit mijoter de longues minutes à m’exciter de la sorte avant que je ne sente un doigt forcer l’entrée. j’étais totalement offert. Son index fut rejoint par son majeur et je me suis fait labourer le fondement de cette manière un long moment pendant lequel mon corps se crispait sous les jouissances prostatiques. je n’étais plus que plaisir à chaque fois que Ses doigts entraient et sortaient de mon petit trou d’amour. Il me proposa d’aller en cabine. je le suivis. Il s’assit sur la banquette de la cabine vouée aux exhibitionnistes, sans porte et avec une fenêtre de l’autre côté. je m’installais en face de lui et Ses doigts reprirent leur place au plus profond de moi. j’ondulais, je me cambrais, je criais, je chancelais sur mes jambes tremblantes, excité encore plus par les quelques mâles voyeurs qui se branlaient en profitant du spectacles. Sur une explosion de jouissance plus forte que les précédentes, mon partenaire se retira après m’avoir demandé si ça allait. je le remerciais et allais m’étendre dans une autre cabine pour me reposer un moment. j’étais allongé sur le ventre, jambes écartées et je récupérais de mes orgasmes successifs quand une main se posa sur mes couilles pour les tirer en arrière. Quel pied ! Quelqu’un qui voulait me traiter comme je le méritais. je tournais la tête et reconnu le beau brun revenu me tourmenter. Deux doigts enfoncés en moins en train de faire des va et viens, son autre main qui me tirait les couilles, j’étais aux anges. Mes spasmes reprirent de plus belle. La main qui torturait mes testicules les lâcha. Du coin de l’œil je vis qu’il mettait une capote. Sa bite se pointa à l’entrée de mon cul, il poussa et pénétra en même temps que je criais. Il me ramona un long moment à des cadences variées, avec de grands coups de boutoir et quelques claques sur mes fesses. Il se retira soudain sans avoir poussé le moindre cri de jouissance et déposa sa capote dans la poubelle avant de partir. Encore une fois je le remerciais avant de récupérer Son sperme et de me l’étaler sur le visage en masque de beauté. Je restais un moment à récupérer avant d’aller prendre la douche et rentrer chez moi. Merci encore une fois à Vous beau brun !
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Par : le 03/05/24
J'ai écrit pour toi pendant 3 mois. Après chaque séance. Je voulais écrire une dernière fois. Cela fait 1 semaine que j'attends ce moment. Il est 11h, je l'attends impatiemment.  Celui qui était mon Maitre il y a encore 9 jours. Mon bon Maître. Depuis 9 jours j'avance seule. Funambule sur un fil sans filet pour adoucir la chute. Je peux tomber à tout moment. Mais je m'en sors bien. Ce matin en me réveillant, j'ai senti que j'allais mieux, que je serais capable de le voir, de parler avec lui, sans larme. Enfin il arrive, à peine a t'il franchi la porte que je me jette dans ses bras. Je ne veux plus jamais en sortir. Plus jamais. Je ne veux pas les quitter. Je respire son odeur comme pour la capturer et la garder pour toujours. Les larmes montent.  Je lutte, résiste, les retiens.  Je ne veux pas pleurer. Je tiens. Plus ou moins. A l'endroit exact où il m'a embrassé la première fois. Cette fois où j'étais terrorisée que cet homme s'approche de moi. Maintenant je ne veux plus le quitter. Je cesse le combat. Je pourrais pleurer des heures. Tout revient à ma mémoire.  Et plein d'autres choses encore. Je pleure pour tout ce que j'ai perdu, contre lui, dans ses bras, où je me suis toujours sentie protégée. Est ce que je retrouverai un jour un tel sentiment de sécurité ? Quelques minutes plus tard, un café,  un thé,  sur le canapé je retourne dans ses bras. A la fois si proche et si inaccessible.  Comment exprimer tout ce que je voudrais lui dire ? Mais en fait il n'y a plus grand chose à dire. Il me conseille de trouver quelqu'un.  Quelle erreur. Rien ne saurait me desservir plus que ça.  Il s'inquiète pour moi. Alors qu'il revienne! "Tu mets trop d'énergie dans cette relation ". Je n'ai pas compris cette phrase. Il a fait de moi sa soumise. Il était mon Maitre, celui qui décidait de tout. Celui qui avait ma vie entre ses mains lors de nos séances.  Comment pouvais-je mettre trop d'énergie? C'est justement parce que  l'énergie me quittait que je l'ai perdu. Non, vraiment je ne comprend pas ce que cela signifie. Dans ses bras, je finis par lâcher qu'il n'avait pas le droit.  Pas le droit de changer d'avis comme il a fait. Petit con ! Je me sens alors mieux. Beaucoup mieux.  Il faut croire que j'avais vraiment besoin d'exprimer cela à haute voix. De lui dire en face. Je me relève,  il me suit.  A nouveau debouts dans l'entrée,  je retourne dans ses bras. Il attrape et tire mes cheveux. Geste réflexe qui ne dure pas, mais tellement ancré, tellement normal, qu'à cet instant je trouve absurde et incohérent que la suite ne vienne pas.  Je veux une dernière fois. Il trouve cela inutile, insensé. J'obtiens un dernier baiser. Pour la dernière fois je peux goûter ses lèvres, sentir sa langue, sa main dans mes cheveux. Dernier baiser. Tellement incompréhensible. Mon cerveau ne comprend toujours pas. N'intègre pas. Pourtant je le sais, j'ai perdu mon Maitre. Il me dit de le détester si cela peut m'aider. Quelle horreur! Jamais je ne pourrai détester mon Maitre ! Il m'a initié,  m'a éduqué, m'a faite évoluer. Qu'il le veuille ou non, il sera toujours mon Maitre. Je reviendrai toujours s'il me le demande. Si un jour la danse reprend. Mais aujourd'hui la musique s'est éteinte,  la danse s'est arrêtée.  Je dois réapprendre à marcher. Sans tournoyer,  sans valser. Juste marcher. De manière si conventionnelle,  si ennuyeuse, sans lui pour égayer,  alléger le quotidien. Sans mon Maitre pour me guider dans la ronde. 
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Par : le 03/05/24
Les jours suivants, une espèce d'écrin s'est installé, tendre, doux, comme un grand voile de soie. Dès que nous étions libre de nos obligations, à la sortie du travail et moi du lycée, une seule idée, être ensemble, je ne pensais même plus à trainer avec les copines, aux sorties du samedi, d'ailleurs je n'ai pas échappé aux commentaires du genres " on ne te vois plus, tu réponds pas aux messages, t'es amoureuse, il est comment, tu l'a déjà fait avec lui, tu peux bien nous raconter, c'est ça, t'es toute rouge, hahaha ! " je n'avais qu'une envie c'était de rentrer. Bien avant eux à la maison, je sautais sur mes cours pour terminer au plus vite. Un petit maquillage, un peu de parfum, j'adorais celui de Julien "Eau Sauvage" je recherchais le sourire, le commentaire, tous les soirs ne se ressemblent pas et parfois, un peu triste. Difficile à cet âge, tout change, le corps, les envies, la vie de chaque jour, parce qu'on a évolué et sauté quelques étapes mais j'étais encore un gamine, juste une ado  avec un peu d'avance , qui avait encore beaucoup à apprendre. C'était un de ces soirs où je rêvais du "Prince charmant " bien plus entreprenant que dans le comte, que ma sœurette se glisse sous ma couette, comme souvent, blottie dans mon dos, des frissons partout, à voix basse, Lydia me demande un coup de main pour le cadeau de St Valentin de Julien, en vrai,  " j'aimerais lui faire la surprise de sa vie et je pense avoir trouvé la merveille, qui en a envie aussi depuis longtemps" je suis passée de la douce chaleur de nos corps à la sueur de la trouille d'avoir compris qui était le cadeau 🎁 surprise. Jusque-là les caresses, les baisers et les doigts inquisiteurs suffisaient à ma curiosité mais là... Il faisait très chaud sous ce duvet, wouha. Je laissais échapper un "oh non" . Attends je t'explique: " nous allons souper au restaurant tous les trois, j'ai réservé, aussi au cabaret, après la soirée, on rentre à la maison, je préparerais les petits 📦 sur la table du salon à ouvrir après la soirée. On rentrent, comme d'habitude, on se déshabillent, on passent à la douche. J'ai achetais du ruban 🎀 en velour rouge, il est dans le tiroir des strings, je viendrais t'aider, pour faire de jolis nœuds à tes chevilles, aux poignets, autour de ta taille et à ton cou. Le reste sera noué au ruban à ton cou, dans son petit paquet cadeau il y aura un petit mot disant, qu'il lui faut trouver, le bout de ruban rouge au salon, il le trouvera près de la porte de ta chambre et devra le tirer, tu va sortir de ta chambre avec ta mine de petite souris et je lui dirais que mon cadeau de St Valentin c'est toi, j'aimerais que tu dises que nous lui offrons ta virginité en gage de notre 💘 que tu ne veux personne d'autre pour la première fois. On a un mois pour te préparer et je serais avec toi, je te tiendrais la main si tu as peur, je vais te montrer en détails ce que tu devra faire, Julien n'est pas un sauvage et tu sais qu'il t'adore, il a respecté sa parole quand vous étiez seul non? Je peux pas faire ça, il va se moquer de moi, je ne suis pas aussi jolie que toi, je n'y connais rien et je ne saurais pas quoi faire ni quand... Pas de panique, tu en as envie je le vois bien, on t'entend glousser le soir dans ton lit, depuis quelques semaines tes petits seins on prit du volume, tu es parti plusieurs fois au lycée sans culotte avec ta jupe plissée, j'espérais que tu n'avais pas un copain trop entreprenant... Non j'ai personne, juste exitée de sentir l'air sur ma vulve, je te jure rien de plus. Tu ne peux imaginer la peur et l'envie qui me brûle en même temps, tu sais, je vous aime mais suis complètement perdue, si j'ai mal ? Terrifiée ? Si je saigne et la honte de salir partout ? Je vais mourir. Non je te promets, on va tout voir ensemble, la seule chose que tu dois supporter c'est le passage de fille à femme, être déflorée, une minute de douleur avant un immense plaisir, je vais t'aider en préparant l'entrée pour limiter le côté pénible. Et d'ici là rien ne t'empêche de continuer avec 2 doigts... Même si je te tiens la main, tu dois lui appartenir entièrement toute la nuit et je te guiderai, penses y, pour nous trois, accepte ma Choupette 💋💝
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Par : le 02/05/24
Châtiée, à cru et à cuirs - partie III Toilettage canin de Luxe   Un bruit. De la lumière. Une cloison a coulissé.   Allongée, je fais semblant de dormir, les yeux clos, juste un rai de vision. Respiration lente.   Deux paires de sabots de bloc opératoire verts. Des pieds féminins. Un pantalon vert, des jambes nues.   " ... Le Setter irlandais est trop commun, trop gentil. Elle veut une chienne de garde et d'attaque. La bête est taillée pour. Belle bête. Peut-être un peu trop grande. Une vraie rousse. Faut choisir une race rouge. Faudra garder du pelage rouge aussi. Une chienne rouge de Hanovre ferait l'affaire. Mais celle-ci est vraiment puissante, athlétique, bien bâtie. Du muscle.  Une Chienne rouge de Bavière, elle est parfaite. Ce sont des chiennes obéissantes. Sa Maîtresse veut de l'Obéissance, une vraie obéissante. Physiquement, elle convient, au top du muscle! Le dressage sera intéressant. très intéressant. Fermeté, douceur et sanctions sèches. Il faudra pas mal de séances et de séjours ici. Allons-y. La Maîtresse sera contente. En attendant, tire la de là et fais un toilettage complet. Tu me l'amènes après."   La porte grillagée d'acier s'ouvre, silencieuse, la chaîne d'acier tire sur "mon collier". "Avance la chienne, à quatre pattes".   Obéissante, j'avance, maladroite, contractée sur mes mains et les genoux, sur le carrelage dur.   "Stop". Je m'arrête.   La femme s'agenouille et commence à me caresser. Des doigts longs, fins, secs. Des mains douces et chaudes.   Les doigts fouillent mes cheveux, longs, défaits. Les mains lissent à plat les muscles, dos, flancs, cuisses, bras. Elles dessinent le cou, le buste, les seins. Elles s'attardent sur le ventre.   "Aboie ma chienne". J'aboie. "Oui, continue". Je continue. Une main se glisse sous mon ventre, une main se glisse entre mes cuisses. Elles caressent la vulve, le pubis, les lèvres, le clitoris. Elles écartent les petites lèvres, les doigts pincent le clitoris. j'halète. Ma honte mouille mon sexe, ma vulve mouillée me rend écarlate.   "Aboie". J'aboie, les yeux fermés, le ventre mouillé, ouvert.   J'explose dans les aboiements, mes aboiements. Explosion d'un orgasme de chienne.    volcans de soleil explosion d'étoiles chaos de lumières    .../...   j'erre entre nuages et mers alanguie abandonnée nuages ivoire et gris ciel bleu pâle mers vert de jade violet et pourpre la douceur de la brosse étirant mes cheveux m'endort odeurs d'herbes et de lavande   Une main retire l'Oreiller d'herbe, ma tête mise délicatement sur le sol. Elle décroche rapidement mon lourd collier d'enchiennement ; défait les bracelets des chevilles et ceux des poignets.    Privée de mon collier, je me sens dénudée, je suis nue.   Les doigts griffent derrière mes oreilles, la nuque, le haut du dos, le bas de la colonne vertébrale. "Ca t'as fait du bien. Peut-être manques-tu de caresses. A voir".   "A quatre pattes, avance derrière moi. A la toilette".   J'avance, un panneau glisse : un large box carrelé du sol au plafond.   Les mains écartent mes cuisses, curieusement docile je me laisse faire. "Oui, bien ouverte, c'est bien". Les mains appuient sur mes reins "Bien cambrée ma chienne". Un bruit, un frottement, j'aperçois une bassine rose sous mon ventre, entre mes cuisses. "On ne bouge plus". La canule pénètre mes reins. "Doucement".  Le fluide tiède me prend, envahit mon ventre, mes intestins. Je suis tendue, inquiète.  Je gonfle, attiédie.  "Un bon énema, un bon lavement pour la chienne". La canule sort. Un claquement, un deuxième claquement. Deux mains gantées massent mon ventre. Lentement. Je me sens grossie, pleine. Les mains pressent. Vidée, brutalement, libérée. Mes yeux pleurent un peu.  Mes reins sont offerts, je me sens offerte, je me cambre. Inquiète mais désirante contre mon gré.   Le jet d'eau frappe mon corps et fait résonner ma peau, elle est chaude. "Le lavage pour commencer". L'eau s'arrête. Le savon liquide est froid. Il est étalé partout. Rapidement. Le rinçage est bref, il pénètre les recoins, même les plus intimes. Mon ventre ondule, discret, en silence. Je suis ravie, aux sens propre et figuré. Je me livre à ces soins, sans défense.   "Ferme les yeux". Le shampoing est rapide. Le rincage long, il se conclut à l'eau froide, je frissonne ; elle rit. "Beaux cheveux!". Je pense à ma Maîtresse, elle me manque.   Le peigne défait mes cheveux, lent, précis, ubiquitaire. Je tremble de plaisir. La brosse à cheveux descend, revient, un travail en finesse. Je suis disponible, mon ventre mouille, mes tétons pointent, mes joues chauffent, mes cuisses aussi.Le plaisir du brushing me domine, doux et puissant. La peeling avec une brosse en alufa m'échauffe, il est interminable, ma peau exfoliée, mise à vif, mon corps frotté, échauffé partout, comme impitoyablement, le dos, le ventre, les seins, devenus lourds et douloureux, les cuisses, les bras, les jambes, jusqu'aux talons. Je tremble, je gémis.  violentes, deux claques sur les fesses, étalée à plat ventre je jouis, une jouissance lente, répétée, répétée. "Aboie". J'aboie, aboiements signes de mon plaisir. Elle rit; Un rire fin. Je suis heureuse, libre.    J'attends, rassasiée, pleine d'un érotisme rare. Elle me retourne. Sa poitrine s'impose à moi, dans l'ouverture de sa blouse médicale verte. Petits seins, ronds, élégants, la peau ambrée, le grain très fin. Des tétons bruns sombres, courts, en érection, rehaussés d'auréoles étroites, plus claires. L'envie me surprend., fascinante. Je la désire. Son visage est beau, coréen sans doute. Elégant, sobre, cultivé aussi. Un maquillage sobre. "On va préparer les griffes." Elle coupe rapidement, avec sécheresse mes ongles, les mains, les pieds, presque à ras. Je surprends l'inscription "Jiwo, Dr vétérinaire", brodée en noir. Elle retire rapidement, le vernis, surprise, je m'affole un peu. Elle me regarde. L'ordre est immédiat: "A quatre pattes".   Un moteur rapide s'impose dans le silence. Une main remonte mes cheveux, le rasoir électrique brûle la nuque. Je crie "Non". Elle rie "Je rase ta nuque. Interdit de parler ; tu seras punie pour ça". Le rasage est haut sur la nuque, je le sens, inquiète et honteuse, ainsi : le rasage de ma nuque se remarquera. Ma servitude exposée sans fard aux "connaisseuses".    Le silence s'installe. "Cesare Beccaria l'a dit : la meilleure politique pénale de prévention consiste à appliquer des peines certaines et immédiates." "Cambre-toi".  Docile, je creuse mon dos, je pousse mes fesses. Je ferme les yeux. J'attends soumise ma punition "certaine et immédiate". "Ici tu fautes, tu es châtiée sur le champ. Proportionnellement. Si tu comprends, aboie deux fois." "Sur le champ", à quatre pattes, nue, la croupe offerte cambrée, j'aboie deux fois. Je n'ai ni honte, ni désir, je suis seulement obéissante. Ma fesse droite brûle, j'aboie. "Plus fort !" Une nouvelle brûlure, plus intense, les larmes me piquent les yeux, appliquée j'aboie le plus fort possible. "Bien. On va en rester là pour la première fois. La prochaine fois, en cas de récidive, ce sera, évidemment, une peine plus lourde. Aboie trois fois si tu comprends." Sans réfléchir, j'aboie trois fois. Sa main glisse entre mes cuisses, elle explore mes lèvres, mon clitoris, me pénètre de deux doigts, va-et-vient. Je tremble. "Et la punition te fait mouiller. Tu es de ces chiennes maso, ça confirme ta fiche".  Mon visage me brûle d'émotion, je redoute et j'ai besoin des châtiments corporels. La honte et le plaisir.  Mon ventre s'ouvre encore, chaud, liquide. Elle rit sans retenue : "Il faut intégrer ça à ton dressage".   Brusque, elle me retourne sur le dos. Excitée, j'envie sa beauté. Ses cheveux sont brillants, lisses, noirs, coupés au carré. "Pour les épilations, nous verrons là-haut ! " "Ce sont aussi des choix de transpéciations". Je suis intriguée.   Elle me retourne encore, à quatre pattes, lavée, brossée, exfoliée, baisée, docile. J'attends. Un mince collier emprisonne mon cou. Elle tire sur ma laisse. Je la découvre, assise sur le sol, cuisses écaté, sexe lisse offert. "Viens payer ton toilettage de Luxe". Obéissante, je m'approche, fascinée par la tête de jument qui orne son pubis, les deux étriers, l'un d'acier, l'autre en Or, qui ferrent ses lèvres intimes.   ma langue entrouvre ses pétales de  camélias grenat elle dresse son pistil des plaisirs je m'abreuve de ses miels mouillés de sa féminité  les jets de sa jouissance bruyante violente m'arrache un orgasme animal   à suivre   
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Par : le 01/05/24
La sonnette retentit dans l’entrée, je sursaute. Mon Maître s’interromps un instant, reprends quelques lents vas et viens dans ma bouche comme pour savourer encore un peu la sensation puis se retire et se rhabille. « Notre invité est arrivé ! » Sa voix est enjouée. « Je veux que tu termines ce que tu as à faire ici. Tu es toujours interdite d’accès au salon. Je te ferais venir quand je le déciderai. Quand tout sera prêt dans la cuisine, tu iras te doucher avec soin, tu mettras la tenue que j’ai choisie pour toi et tu patienteras à genoux dans l’entrée. C’est bien compris ?  Oui Mons… Maître ! Toutes mes excuses ! » J’ai encore failli l’appeler « Monsieur » ! Mon cœur bas la chamade et je n’ose plus lever le regard vers lui. « Je vais mettre ça sur le compte de la nervosité. File maintenant ! » Je risque un coup d’œil qui me confirme ce que me disais déjà le ton de sa voix : il est tout sourire. L’arrivée de notre invité semble le ravir au point de le rendre plus indulgent. Maître est déjà parti vers la porte d’entrée, je ne me fais pas prier pour galoper me cacher dans la salle de bain. Je referme la porte derrière moi et découvre la tenue que mon Maître a retenue pour cette soirée : ma robe noire moulante, celle qui dessine tous les contours de ma silhouette avant de l’abandonner à mi-cuisse et qui offre une perspective généreuse sur mes épaules et mon décolleté. Sur la robe, une paire de bas noirs autofixants avec un liseré de dentelles. Rien de plus, rien de moins. Au moment de me déshabiller, je prends conscience que le plug est toujours présent, délicieux intrus pour lequel je n’ai reçu aucune consigne. Le stress commence à sérieusement monter. Que dois-je faire ? Je l’enlève ? Je l’appelle pour lui demander ? Mais je ne peux pas le déranger pour ça… Je décide de prendre une grande inspiration et de reprendre le fil de ses consignes. Il ne m’a rien dit de spécifique vis-à-vis du plug. Donc il ne m’a pas autorisé à le retirer. Mais il m’a dit de me doucher avec soin… Le plus logique serait que je le retire le temps de me laver  et que je le remette en place. Oui, je vais faire ça. L’eau chaude qui s’écoule sur mon corps détends mes muscles et m’aide à reprendre un peu de contenance. J’essaie de me vider la tête au maximum et de me concentrer sur ma respiration pendant que je m’habille, me coiffe et me maquille à son goût. J’ai envie de trainer un peu dans la salle de bain pour retarder l’échéance, mais je sais que ce sera mal perçu par mon Maître alors je m’abstiens. Je dois faire bonne figure et me montrer digne de lui devant notre invité. Je sors de la salle de bain et m’en vais patienter dans l’entrée, à genoux. Ma robe est courte et mes jambes écartées dévoilent mon intimité qui déja se prépare. Mon ventre se serre, j’entends la voix de mon Maître et de notre invité qui discutent gaiement dans le salon. Ils semblent enthousiastes. La voix de l’autre homme me laisse supposer qu’il s’agit de quelqu’un de plutôt jeune, sans doute pas très éloigné de notre âge. Tant mieux ! Cela me rassure un peu. Maître sait que j’ai une appréhension à l’idée de rencontrer quelqu’un de plus âgé. Même s’il m’a bien prévenue qu’il attendait de moi que je puisse être baisée par absolument n’importe quel genre d’homme sur sa demande. Ce soir marquera le premier pas de mon éducation en ce sens… Maître ne me fait pas attendre très longtemps. Je sais que je dois conserver le regard vers le sol et je m’y oblige. J’aperçois tout juste la silhouette des mollets et des pieds de notre invité derrière ceux de mon Maître. Ne pas relever la tête ! « Oh elle est plus petite que je ne pensais ! Elle est mignonne. » Maître rit avec légèreté. « Haha c’est souvent trompeur les photos, c’est vrai. » Sa main se pose sur ma tête de chienne silencieuse et docile. Je savoure ce premier contact rassurant. Maître continue de parler de moi comme si je n’étais pas là : « C’est encore une jeune chienne, elle a beaucoup à apprendre, mais j’ai bon espoir qu’elle s’assagira avec le temps, l’éducation et l’expérience.  On est là pour ça ! La période de socialisation c’est primordial, plus tôt tu t’y prends, plus elle verra de mâles différents, et plus elle saura naturellement comment se comporter et sera sereine dans sa vie de chienne.  Exactement ! Je suis content que tu aies accepté d’être mon premier invité. J’ai envie que ça soit une bonne expérience. On va bien s’occuper d’elle. » J’assiste à leur dialogue en silence. Je suis malmenée par un flot d’émotions contradictoires. Me faire comparer à un chiot en période de sociabilisation me déstabilise profondément. J’ai l’impression de ne plus être humaine. Et en même temps, j’aime sentir cette main sur ma tête qui me rappelle que je suis sienne et qu’il est là pour moi. J’ai peur de ce que cette soirée me réserve, mais je me mentirais si je n’avouais pas aussi mon excitation. Excitation que mon corps ne sait cacher. Notre invité accompagne sa dernière phrase d’une caresse sur ma joue qui se termine sous mon menton, je frissonne. Je continue de regarder le sol. Maître ouvre un tiroir du meuble de l’entrée et en sort plusieurs objets que je ne vois pas. Un bandeau est passé sur mes yeux et noué derrière ma tête, coinçant une mèche de cheveux au passage. Je ne peux désormais plus voir à quoi ressemble notre invité ni ce qui m’attends. Paradoxalement, cela me rassure. Un sens en moins à gérer, c’est une quantité importante d’informations que mon mental n’aura pas le loisir d’analyser et de surexploiter. Il me semble que je me relâche un peu. Je sens ensuite que mon Maître me passe un collier autour du cou. C’est une sensation nouvelle. Je me sens tenue d’une manière que je n’avais jamais connu. Jusque-là, il n’avait jamais été question de collier entre nous, Maître considérant que la profondeur de la relation peut se mesurer autrement. Mais ça me fait quand même quelque chose. Je sens que l’on clipse quelque chose sur le collier puis une traction vers le haut m’intime de me relever. Je m’exécute. Je suis en laisse. Je suis vraiment en train d’être reléguée au rang de chienne…
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Par : le 30/04/24
Depuis que je suis née je suis soumise, oui ça peut être difficile à croire où pas mais c'est la réalité.  Je suis née dans une famille constitué d'un papa, d'une maman et d'un frère et une sœur. Une famille tout à fait normal en apparence, mais Mon père utilisait sont pouvoir d'homme de la maison pour faire du mal. J'ai mis beaucoup de temps à m'en rendre compte car j'étais une enfant, mais il pouvais s'énerver sans qu'il y ait vraiment une raison valable, à ces moment-là les coups fusées.  Je ne sais toujours pas comment exprimer ce que je ressentais à ces moment-là. La personne qui était censé me protéger était aussi la personne qui me faisait le plus de mal.  Pourtant j'ai essayé, j'ai tellement essayé d'être parfaite à ses yeux mais je n'ai jamais réussi.  Je n'ai jamais vraiment parlé de ce qui se passait quand la porte de la maison était fermée car à l'extérieur mon père était un homme parfait.  Beaucoup de gens l'aimaient, l'admirer car il avait une famille parfaite, oui je peux dire que ma famille était parfaite car les ordres étaient clairs quand on est à l'extérieur, on se tient bien, on parle correctement, on ne fait pas de vagues et nous l'avons fait ça toute notre enfance. À l'instant où nous mettrons un pied à l'extérieur, nous faisions tout pour cacher ce qui se passait à l'intérieur, tout le monde nous féliciter car dans les soirées où tous les enfants courent dans tous les sens, nous trois, nous étions gentiment assis à table sans bouger, sans rechigner, à attendre la permission de pouvoir faire comme les autres et ça m'a convenu car c'est très plaisant quand des personnes te disent que tu es bien élevé. Dans cette histoire, ma mère aussi était soumise elle ne le savait pas encore. Car elle était tellement sous son emprise qu'elle avait du mal à voir la réalité dans laquelle elle était. Moi de mon côté, j'ai grandi sous les coups. Je me suis forgée une carapace pour me protéger. Et avec le temps et l'adolescence qui est arrivé les coups on cessé.  À ce moment-là j'ai eu l'espoir de ne plus être soumise, mais après la soumission familiale a commencé la soumission sociale.  C'est celle qui dit qu'une jeune fille doit se comporter de telle ou telle manière, qu'elle doit être bonne à l'école, qu'elle doit penser à son avenir et qu'elle ne doit surtout pas faire honte à sa famille.  Pour cela je me suis efforcé durant de nombreuses années à essayer de rester dans la case qu'on avait dessiné autour de moi, j'ai parfois eu beaucoup de mal mais j'ai fini par y arriver.  Et je suis devenu une jeune adulte, à ce moment-là j'ai vraiment cru que la soumission allez enfin sortir complètement de ma vie, mais la réalité m'a rattrapé. On a commencé à me dire, si tu veux allé quelque part il faut avoir ton permis et je l'ai eu, après on m'a parlé de l'assurance et du gasoil pour cela très simple il te faut un travail, donc j'en ai trouvé un.  Et là je pensais avoir vraiment trouvé ma liberté mais je travaille, donc je suis libre mais que le weekend, et maintenant je dois travailler un weekend sur deux ce qui veut dire que je suis libre un weekend sur deux.  Mais quand je pense être libre c'est le moment de profiter pour faire ses courses, le ménage, voir les copines et passer du temps avec la famille. Le weekend se termine et je retourne travailler.  J'ai découvert la troisième soumission, la soumission de la vie d'adulte et du monde du travail.  J'ai rapidement compris que dans la vie la soumission est partout, tout le temps. Mais j'ai aussi compris que ça n'a jamais été ce que moi je voulais.  Plusieurs fois dans ma vie j'ai eu des pensées sur le style de relation que je voulais. Mais à chaque fois je m'efforçais d'oublier ses pensées car elles ne correspondaient pas à la société. J'ai essayé de m'informer et très vite les lettres BDSM on commençait à avoir du sens dans mon esprit, je suis tombé vers l'âge de 12,13 ans sur des vidéos assez explicite sur le sujet, à cette époque j'étais trop jeune et dans ma tête de petite fille je me suis sentie sale d'aimer regarder ce genre de chose j'ai donc arrêté. À l'âge de 15, 16 ans ses pensées ont persisté je me suis donc dit que ce n'était pas très grave je devais seulement en parler à personne pour pas que l'on puisse me juger. Et puis j'ai essayé, j'ai essayé d'oublier ses pensées là, de me convaincre que ce n'était pas ce que je voulais, et ses pensées venez repartait, pendant de nombreuses années et ça ne m'a pas dérangé.  Mais du haut de mes 22 ans je n'ai jamais réussi à être vraiment en couple, à trouver la bonne personne, la relation idéale pour moi. Quand je me pose la question, qu'est-ce que je veux pour moi, et qu'est-ce qui est bon pour moi, je ne trouve pas la réponse.  La seule chose que je sais c'est que j'ai essayé beaucoup de choses pour être heureuse, sur le moment ça me convient mais je me rendrai vite compte que ce n'est pas fait pour moi mais dans cette histoire, dans mon histoire il y a une chose que je n'ai jamais essayé et pourtant, c'est la chose qui me donne le plus envie. Le BDSM, le fait d'être qu'à une seule personne que j'aurais pris le soin de choisir, la seule et unique personne qui aura les pleins pouvoirs sur moi et sur ma vie, la personne qui me permettra d'explorer des parties de moi jamais explorer. Cette personne qui me fera lâcher prise. Alors oui aujourd'hui et pour la première fois de ma vie je choisis. Je choisis d'être une femme soumise.  
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Par : le 30/04/24
Je m'endors, mes dernières pensées vont vers mon Maître, je me réveille il en est de même. La nuit, je rêve de la vie qu'il me fait découvrir, et le jour je voudrais le satisfaire tout le temps. Cela pourrait être perçu comme de l'obsession.. en est-ce? Ou simplement l'excitation d'une rencontre aux saveurs inconnues, grisantes ? Prise de conscience de quelque chose de tellement complexe et en même temps si simple. Les règles sont prédéfinies, tout est clair dès le début. Pas de questions interminables concernant les sentiments. Respect et dévotion. 2 mots qui donnent le tempo, 2 mots qui suffisent à évaluer l'état de la relation. Alors que les lettres SM inspirent crainte et méfiance au 1er abord, il s'agit plus de sécurité et de limites infranchissables. Je  me suis déjà sentie bien moins respectée dans des relations vanille avec des hommes soit-disant attachés à moi. L'attachement. Ou privation de liberté non consentie, inconsciente. L'attachement qui incite à aliener l'autre pour assouvir son propre besoin de sécurité ; pour remplir son vide intérieur. L'attachement que l'on confond avec l'Amour alors qu'il nous en éloigne. Amour de soi, amour des autres. Fusion/confusion. "J'attends de toi que tu viennes combler mon manque, cicatriser mes blessures, le jour où tu ne remplis plus ce rôle, la relation se déchire. Viens me soigner, à tout prix. J'ai tellement besoin d'être sauvé que je peux bafouer tes propres besoins, tes valeurs,  involontairement, en te criant que je t'aime, en y croyant profondément." Ici plus d'attachement. Relation qui invite à aller explorer ses propres limites. Relation qui expose les blessures au grand jour. Plus d'autre choix que d'aller à leur rencontre. Personne pour y poser un pansement. Juste Soi, et sa propre conscience. Les ressentis sont exacerbés. Les traumas reviennent en force. Prétérisation. C'est depuis le présent de l'adulte que je suis que j'observe mon passé. Avec un regard nouveau, sous un angle nouveau. Le regard de la soumission, qui invite à lâcher prise, à changer le référentiel en place. Sortir de la dualité pour aller explorer les nuances. Les notions de bien et de mal sautent. Tout comme le jugement. Lâcher prise. Lâcher prise et explorer : limites, douleur, passé. Accompagnée par ces 2 mots : respect et dévotion. Exploitation de la force intérieure, pour dépasser. Dépasser la douleur du présent et affronter celle du passé. Force pour accepter de se guérir, sans chercher refuge chez un autre que soi-même. Se peut-il que domination / soumission soit une forme de relation plus honnête, plus claire, plus transparente qu'une relation vanille ? Peut-être suis-je juste entrain de trouver une excuse pour valider cette expérience. Si tel est le cas, est-ce grave? Suis je entrain de me mentir face à une situation parfaitement malsaine ? Ou est-ce que je réussis enfin à mettre du sens sur une expérience en sortant du jugement et de la dualité? Le jugement. Valeur humaine, qui n'existe que sur notre plan d'existence. Au niveau de l'âme, il n'y a ni bien, ni mal. Il n'y a que des expériences sources d'évolution. C'est pour cela que je cherche à mettre du sens dans mes actes. Pour cela que je tiens absolument à en mettre dans cette relation. Pour pouvoir plus facilement sortir du jugement. Pour pouvoir réduire ce vécu à ce qu'il est : une expérience. Qui dit expérience, dit observation des résultats. Expérimenter, ressentir, éprouver, exprimer. Sans jugement. Libéré des contraintes d'une relation sans règle pré-definie. Libéré de l'attachement. Relation dans laquelle cette notion d'attachement est clairement exposée et limitée dans ses contours. Comme un filet de sécurité. Combien de fois ai-je dit que je ne voulais plus de libre arbitre ! Que les guides et l'univers n'avaient qu'à se démerder, me mettre en pilote automatique et m'amener directement vers ma mission d'âme. Alors aujourd'hui, je ne sais pas si je suis ma mission d'âme, mais entout cas je n'ai plus de libre arbitre dans le cadre de cette relation. Encore une preuve qu'il faut vraiment faire attention à ce que l'on demande ! Ce n'était pas tout à fait ce à quoi je pensais. Mais après tout. Peut-être est-ce la meilleure voie pour moi pour réussir à lâcher prise, à lâcher mon libre arbitre. Peut être qu'avant de me mettre au service des guides et de mon âme je dois me mettre au service de mon Maître. Peut être ai-je besoin de cela pour prendre la mesure de ce que signifie réellement servir. Sans doute l'engagement est-il moins lourd de conséquences. Je commence à percevoir le sens de la danse...  
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Par : le 29/04/24
"Dans la danse sensuelle du BDSM, le lien est la mélodie qui unit le dominant et sa soumise. Comme une partition exigeante, il demande à la fois finesse et force pour créer une symphonie d'harmonie et de désir, où chaque corde tirée résonne avec l'âme." Dans l'univers complexe de mon  BDSM, le lien qui se construit, que l’on nourrit de façon quotidienne, transcende les frontières de la norme sociale pour plonger au cœur même de l'essence humaine. Il s'agit d'une alchimie subtile où la domination et la soumission se marient pour former une symphonie d'intensité, de profondeur, et de connexions émotionnelles inexplicables. Ce lien, comme une toile tissée avec les fils de la confiance, de la passion, et de la compréhension mutuelle, dépasse les limites du physique pour explorer les recoins les plus sombres et les plus lumineux de l'âme humaine. Il est le reflet d'une relation où chacun se dévoile sans retenue, où chaque geste est chargé de sens et de symbolisme, où chaque étreinte révèle un écho de son autre. Au cœur de cette relation réside un dialogue constant entre le pouvoir et la vulnérabilité, où le dominant guide avec fermeté et bienveillance, tandis que la soumise offre son obéissance avec confiance et dévotion.  C'est dans cet échange de contrôle consenti que naît un lien d'une intensité inouïe, où la frontière entre le soi et l'autre s'estompe pour laisser place à une fusion d'identités, discrètement imprégnée d'émotions indicibles. Ce lien, loin d'être figé dans le temps, est en perpétuelle évolution, façonné par les expériences partagées, les épreuves surmontées et les émotions vécues ensemble. Il est le fruit d'un engagement mutuel à explorer les profondeurs de l'âme humaine, à dépasser les limites des conventions pour atteindre des sommets d'intimité, de connexion, et d'émotions fugaces (que nous gardons en mémoire tel un trésor), mais puissantes. Dans cette relation, la douleur devient plaisir, la soumission devient liberté, et chaque instant devient une exploration de soi et de l'autre, empreinte d'une tendresse tacite et d'un amour non-dit. C'est dans cette union sacrée de l'esprit et du corps que le lien  trouve sa véritable essence : une communion d'âmes en quête de vérité, de passion, et de connexions profondes, dissimulées derrière un voile de mystère et de subtilité." LifeisLife        
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Par : le 28/04/24
Mon petit monde douillet déroulait ses heures, entre les études, Lydia et Julien. Une agréable sensation de calme, je demandais bien souvent, de quelle surprise elle avait parlé ? Mais silence. Nos petits jeux me semblaient plus hardis, plus épanouis, très ciblés, les caresses anal et les doigts, indifféremment, de Lydia ou Julien, me faisait grimper au ciel, au point que j'avais hâte d'arriver au journal de 20 h ... Je ne pouvais plus me passer de nos câlins du soir. Un de ces soirs justement, une main a prit la mienne pour la poser sur le sexe de Julien, je le voyais souvent se relever, devenir plus rose, là je le sentais, plus dur que je l'avais imaginé, je retirais la main, Lydia, pour montrer son accord me guida, sa main par-dessus la mienne, des allés retours qui découvraient le gland, de plus en plus rouge, très exitée, les larmes aux yeux, je tremblais, les doigts de Julien doucement frôlait mes petites lèvres, ma sœur appuyait sur mon cou pour que je me rapproche, je résistais un peu mais l'envie était trop forte, ma bouche s'est ouverte toute seule, toujours guidée dans ce va et vient, je n'en pouvais plus, envahie par la jouissance je me suis laissée aller à ce nouveau plaisir. Je finissais à peine de trembler, que la main ferme, ma sœur poussa ma tête, le sexe entrait dans ma gorge, en panique, des petits sursauts de cette verge, une chaleur dans ma bouche, un goût âcre, la sensation de devoir avaler, toute rouge et la bouche gluante je me suis redressée, les dernières gouttes couler du sexe, c'est Julien qui tremblait et Lydia qui léchait ma bouche et embrassait Julien... J'avais observé leur jeux, j'avais vu ma sœur sucer Julien mais j'imaginais pas, j'avais avalé le sperme de Julien à ma premières pipe. C'est une maladie chez moi chaque l'émotion me transforme en pleureuse honteuse. Dans ma chambre, sur mon lit, en sanglots, j'arrivais pas à réaliser, ma sœur qui m'encourage à sucer son chéri et qui appuie sur ma nuque jusqu'à ce que la semence coule dans ma gorge. Le summum de la honte, je surprenais le bout de ma langue à rechercher, dans ma bouche et sur mes lèvres le goût du sperme, je ne rêvais pas, toute rouge quand ils sont venus dans ma chambre, sort de ta couette Choupette, bravo on est surpris de voir que tu pleure mais c'est clair tu as aimé, arrête de pleurer, viens dans nos bras si tu veux te cacher mais c'est plus la peine sœurette, tu dois être certaine qu'avec Julien on t'adore, nous ne sommes plus qu'un. Tu passe ta langue sur tes lèvres, tu es comme moi, dis moi que tu as aimé, ne ment pas, je vois tes yeux... Oui, en vous regardant, j'étais un peu écœurée mais j'ai osé et très heureuse d'avoir fait ce pas, je crois que mon amour pour vous vient de changer, merci je rêve de ne plus avoir honte, un immense bisou à trois avant la douche. Je pensais dommage la douche est petite... (L'image est du net mais très ressemblante ou presque. ) À bientôt la suite.
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Par : le 27/04/24
 Alors on danse. La danse de la domination et de la soumission. Valse où chacun s’élance en suivant les mouvements de l’autre. Maitre mène la danse, serrant soumise contre lui. Il donne le rythme, guide soumise qui se plie au tempo, s’abandonne et accepte les directives. Ensemble ils ne font plus que trois : lui, elle et la confiance. Cette confiance issue de la connaissance parfaite de chacun, des désirs, des possibilités et des limites. Soumise sait qu’elle peut suivre Maitre les yeux fermés. Elle sait qu’il l’emmènera toujours plus loin, plus profondément en elle-même, et qu’il la retiendra sans jamais faillir. Elle ne pourra jamais se perdre ; quoi qu’il arrive, Maitre sera toujours là pour la rattraper. Ainsi accompagnée, sécurisée, soumise peut suivre les pas, elle peut tournoyer en répondant à toutes les exigences de Maitre. Soumise n’est pas faible, soumise est une Femme forte, qui fait face seule aux épreuves, sans jamais faiblir. Mais être Femme peut devenir épuisant, parfois ce pouvoir est si lourd que Femme oublie que ce n’est pas qu’un poids qu’elle traine derrière elle. Alors Elle décide de devenir soumise, de confier son pouvoir à Maitre, le temps d’une danse, le temps de tout oublier. Et c’est en virevoltant dirigée par Maitre que soumise revient à elle. C’est en suivant les pas de Maitre, qui ravive son pouvoir, que soumise se souvient. Elle se remémore qu’elle est Puissance, Invulnérable. C’est dans les bras de Maitre, au contact de sa souveraineté, qu’elle reprend contact avec ce qu’elle est : Divine. Soumise redevient Déesse, Grâce. En transcendant la danse, soumise retrouve le chemin, elle peut reprendre son pouvoir si précieusement choyé par Maitre. Maitre qui use de sa propre énergie pour encourager soumise. Maitre qui accepte la responsabilité de cette danse. Maitre qui offre le souffle salvateur, l’espace de vie nécessaire au réveil de la flamme, au ressourcement, à l’abandon. Parfois la danse est intense, souvent délicieusement douloureuse. Les pas devenant complexes peuvent faire peur à soumise. Une peur suave, qui invite à la réflexivité. Ainsi contrainte, dominée, soumise n’a plus d’autre luxe que de plonger en elle-même. Maitre lui offre ici cet espace de découverte de soi, au moment le plus important de toute vie : Maintenant. C’est dans ce précieux espace-temps que soumise va pouvoir, sous le regard bienveillant de Maitre, se découvrir, se gouter, reprendre contact avec son Féminin Sacré. Evoluer, danser dans l’ici et maintenant. Alors on danse...
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Par : le 27/04/24
Après cette mise en confiance, on a prit l'habitude de recevoir Julien de la même façon, Lydia et Julien ne se cachaient plus, sans participer, je ne perdais rien de leur jeux, j'essayais de copier les caresses, parfois j'entendais leur rire, parce que j'avais laissé échapper un petit gémissement, quelques mois de quiétude. Et un matin Lydia m'a annoncé que Julien viendrai habiter à la maison. Grande confusion, je savais,  que l'on allaient, inévitablement, se retrouver seul, sans ma sœur. J'aurais voulu être une souris pour me cacher au fond d'un trou. Je me suis réfugiée dans ma chambre, cachée sous la couette. Lydia se glisse contre moi, "pourquoi tu pleure, tu connais Julien depuis longtemps, qu'est-ce qui te donne tout ce chagrin, cela ne va pas changer grand chose s'il vit avec nous et j'en ai très envie " En sanglotant, j'ai fini par dire que j'étais terrorisée à l'idée de me trouver seul avec lui, que cela allait fatalement arriver, comme on est nue le plus souvent... "Tu ne dois pas avoir peur, on a un accord, il ne tentera rien, promis jurée. Léa fait le pour moi s'il te plaît. " Au chaud, dans ses bras sous la couette j'ai dit oui sœurette, j'accepte, mais j'ai très peur tout de même. Le vendredi soir et le week-end, on a déménagé les affaires de Julien, chaque nuits je fermais ma porte, je faisais des rêves étranges, je courrais sans fin, pour fuir une ombre qui me suivait, elle finissait par se jeter sur moi.... Et je me réveillais, en pleure, toute mouillée, avec une immense envie de me toucher, ce que je faisais, jusqu'à une petite jouissance. Même la journée, au lycée, je ne pouvais m'enlever ce rêve de la tête, une obsession.... J'ai fini par le dire à ma sœur, qui m'a expliqué que les doigts de Julien avaient fait leur job... Que j'étais une ado, une femme... Qu'elle avait prévue un cadeau pour moi, surprise... J'ai fait des pieds et des mains pour savoir mais elle n'a rien dit. Le soir devant la télé, sur le grand canapé, je me trouvais entre Julien et Lydia, de plus en plus souvent, après quelques interrogations, je laissais ma sœur me caresser, certains soirs jusqu'au frison final, la chaleur de Julien dans mon dos, décuplait l'effet des attouchements de Lydia. Insensiblement Julien a ajouté ses caresses, je ne pouvais plus stopper, l'envie était trop forte, rouge de honte je me suis retournée pour voler un baisé sur la bouche de Julien, puis je me suis enfuie dans ma chambre, rejoint par ma sœur, qui me demandait pourquoi je pleurais, pardon j'aurais jamais du faire un truc pareil, c'est ton chéri pas le mien " tout doux, Léa rien de grave, il a été surpris mais pas fâché au contraire, tu peux le refaire quand tu veux, Julien aimerait un supplément" Ahaha !! Allez ma chérie soit cool, il n'y a rien de grave entre nous trois... Je suis revenue au salon, entre Julien et Lydia, j'ai demandé pardon et en réponse, un long 💋 , mon premier vrai 💋... Bientôt la suite ?      
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Par : le 27/04/24
Je ne comprends pas pourquoi, je ne comprends pas comment. Une rencontre Tinder, quelques échanges et c'est arrivé. Je l'invite à venir chez moi. Sans même le connaître, sans même l'avoir vu ailleurs qu'en photo. Je ne connais pas son prénom, je ne sais pas si j'en ai envie. J'ai peur que son pseudo se rapproche de son prénom, auquel cas je ne pourrai que fuir. S'il avait le même prénom que toi ! Je ne veux pas savoir. Peur et excitation se mêlent, s'infusent dans mon esprit, dans mon corps. Cette nuit là, mon sommeil est agité. Il doit venir cet après midi. Le réveil est empreint d'une grosse montée de stress. Je veux tout arrêter ! Avant qu'il ne soit trop tard. J'ai l'intuition qu'il va se passer quelque chose d'irremediable. Suis-je en danger? Suis-je complètement folle pour oser faire une chose pareille? Jouer le rôle d'une soumise pendant 1h. Et s'il me viole? Me fait mal, me frappe? Si je ne revoyais jamais mes enfants ? Je dois tout annuler. Je m'apprête à le faire, mais cette part intuitive m'en dissuade, me dit d'avoir confiance, que tout est bien. Habituée à l'écouter je me recentre dans le coeur, demande protection et je prie ainsi dans la chaleur de ma douche pour me redonner du courage. Show Time! Il arrive. Je lui ouvre. Je suis pétrifiée. Pourtant, tout de suite, son regard me rassure, sa voix aussi, mais je suis figée sur place, je ne peux plus parler, plus bouger. Il m'embrasse. Il sent bon, une odeur que je connais, qui me plonge dans ma mémoire sans que j'arrive à en toucher le souvenir. Il me caresse, vérifie que je ne porte pas de sous vêtements comme il l'avait demandé. Nous nous dirigeons vers ma chambre, je passe devant lui mais il attrape mes cheveux, me tire vers lui et m'embrasse à nouveau. Il passe sa main sous ma robe, vérifie que je sois "libre et accessible" comme il me l'a demandé. Il fouille mon intimité avec ses doigts. Le plaisir est instantané. Pour autant je ne suis toujours pas moi-même. Moi qui contrôle, moi l'égale des hommes, indépendante et autonome. Qui suis-je à cet instant ? Dans ma chambre il m'intime de m'agenouiller, continue de m'embrasser. Il sait que j'ai peur, il est doux, précautionneux, attentif à mes ressentis. Il ôte ma robe et place mes mains derrière ma tête. C'est à ce moment là je pense que le point de non retour s'est amorcé. Il l'a fait. Il m'a installée dans une position de soumission. Doucement il continue de m'embrasser, masse mes seins puis pince les tetons. Et cela continue ainsi, lui me caressant avec ses doigts, les introduisant dans mon corps qui réagit à chaque mouvement. Je veux garder la position mais je sens tout mon corps qui s'effondre sur lui même. Je lutte, je résiste, mais le plaisir est intense. Le plaisir et autre chose, je ne sais pas exactement quoi. Cette séance est longue, agréable, il m'autorise à m'asseoir sur les talons. Je ne sais plus, j'ai perdu le fil du temps et des évènements. Je me souviens être allongée sur le dos, lui assis sur moi, enserrant ma gorge avec ses mains, posant mon bras sur le sien pour que je gère la pression. Il réagit à la moindre contraction de mes doigts sur son bras. J'ai l'impression qu'il lit dans mon regard, sait sans que j'ai besoin de parler. Cette fluidité est incroyable. Je n'ai rien à faire ou à dire pour être comprise. C'est tellement bon. Puis il me retourne sur le ventre, glisse ses doigts dans mon sexe, puis en introduit un dans mon cul. 1ere claque sur ma fesse. Il recommence, s'assure que j'aime ça et continue. Doux et violent, mélange de plaisir et douleur. Quand il a fini, il me remet sur le dos, allongée contre lui et me prend dans ses bras. J'ai alors l'impression que cet homme ne me fera jamais de mal. Que je peux avoir une totale confiance en lui. Nous finissons moi à genoux, lui dans ma bouche. Il prend son plaisir ainsi, bien profondément dans ma gorge. Puis à nouveau il m'intime de m'allonger et me prend dans ses bras. Ainsi en sécurité dans les bras de cet homme que je ne connais pas et qui vient de faire de moi sa soumise, je glisse dans un état second.
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Par : le 26/04/24
"La vérité est retrouvaille,  il faut du temps pour Re-devenir soi"   Le rapport à l'autre est la plus énigmatique des relations, je rajoute dans cette équation, la philosophie de mon BDSM. Ce qui m'est le plus intérieur est de l'ordre de l'âme, de ma conscience, de mon esprit. Je suis un animal social, j'ai besoin d'appartenir.  La question du comment de mon existence se confond avec la Sienne ; Je suis moi, au-dela de moi. Je vais briser ma coquille, en retirer la pulpe pour appartenir, pleinement consciente d'être son fragment de matière. Le meilleur usage que je puisse faire de ma liberté, c'est de la placer entre ses mains.  Lorsque je déclare lui appartenir,  j'accomplis un acte d'abdication total. Je le consens et le souhaite. J'ai le désir et le besoin d'être à lui, d'exposer mes passions, mes instants de grâce, mes forces mes faiblesses et autres émotions ; d'être sous son autorité. Il peut disposer de moi comme il l'entend, sa confiance est le miroir de la mienne. Aucune autre personne ne peut détenir l'ascendant qu'il a sur moi.  Nous sommes deux individus, dont l’identité est en perpétuelle construction, nous nous investissons dans un univers où nous fixons nos propres règles. Ma constante d'équilibre se stabilise dans cette appartenance ; Je t'appartiens, tu m'appartiens. Je respire ce sentiment d'appartenance, et ce qu'il  fait naître en moi est une conscience d’identité. J'ai le sentiment de dépendre de ce dont il fait partie. Chacun doit se soutenir et s'encourager mutuellement. Mon appartenance est invisbile à l'oeil nu mais totalement morale.   L’appartenance ne désigne pas seulement un lien, elle en fait partie intégrante LifeisLife
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Par : le 26/04/24
Châtiée, à cru et à cuirs - partie II le chenil de w324   La pièce est fraîche, carrelée, "clinique", propre, impeccable. Elle sent l'eau de javel. Le sol est carrelé, les murs aussi, sans doute une couleur claire, je l'imagine blanche.   Mes yeux s'habituent à la pénombre, le bandeau a été retiré. Les odeurs se mêlent : eau de javel, savon bon marché. Les sons ne reviennent pas : tout est silencieux ; c'est sans doute encore la nuit. J'ai soif. Un peu froid aussi. J'ai un peu mal au articulation, allongée sur le carrelage, de larges carreaux lisses. Mon cou est rigide, il est irrité, je le frotte, je découvre le cuir, épais, lourd, rugueux, des anneaux fixés au cuir, un collier. Une chaîne, épaisse elle aussi, fixée au collier. Froide. Des anneaux larges, lourds. Je tremble, effrayée.   J'essaye de me lever, je me cogne. Je roule à droite, c'est impossible. À gauche aussi. Je bute sur des barres en rampant. Une cage !   J'allonge les bras : un grillage de fers entrecroisés, assez fins, métalliques. Une paroi rigide, je m'aperçois que la vision est facile au travers, les barres sont distantes d'une dizaine de centimètres. La paroi est solide, un peu souple, elle expose, exhibe. J'ai peur. Je suis nue, la prise de conscience est soudaine, brutale, elle me pénètre. Exhibée à nue, offerte à l'observation.   Mes yeux cherchent dans la faible lumière, anxieux, rapides. Des éclairages sur les murs, en mode soft. Une inscription sur un mur : "Chenil des Fossées" en grandes lettres noires, majuscules, simples. En dessous en plus petit : " Saintes Maures". Intriguée, je peine à réfléchir. Où suis-je ? Enfermée dans un chenil ? Pourquoi ? Où ? J'ai un peu froid, soif, un peu peur.    J'écoute attentivement. Aucun bruit. Tout est silencieux. Un peu ankylosée, je frotte mes pieds pour les réchauffer, ils frottent des cuirs. Je comprends soudain, saisie : des bracelets entourent mes pieds ! Mes poignets ! Comme mes chevilles. Comment n'ai-je pas perçu ces anneaux, ils sont lourds, serrés, rugueux. Je suis vraiment sous le choc.    Je m'effondre sur le sol lisse, froid, dur. Sans volonté. Anéantie. Résignée.   Envie de pleurer.    Je tremble.   Lentement, j'émerge de ma paralysie.   Je parcours les grilles, elles sont solides, comme neuves. J'en perçois d'autres. Toutes fixées au sol. De diverses tailles. Vides.   Sans doute des caméras aux angles de la pièce. Ont-elles des micros ? Qui est derrière.   Je ressens fiévreusement l'enfermement de la cage. Doublée du contrôle du collier de cuir et de sa chaîne d'acier. Les bracelets de cheville et de poignet. Les murs sans ouvertures apparentes. Les caméras, les micros.   Ma première prison : un chenil. Ma deuxième prison : une cage.   Je l'explore. Elle est longue de plus de 2 mètres, j'y place allongée mon 1,84 m sans problème. Elle n'est pas large, environ un mètre. C'est aussi sa hauteur.   Surprise, je découvre une étiquette sur le haut de la paroi d'entrée. Comment m'a-t-elle échappé ?    Sa lecture est sans appel. Tout est dit.    Chenil des Fossées. Niche n° 7. Chienne w324. A dresser - fouet, électricité. Propriétaire : Lady Scarlett.
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