La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/08/23
Premier contact   Il m'avait répondu si rapidement... Après dix années de vie commune, interrompues par ce qui est devenu la fatalité, j'avais proposé de partager le quotidien et les fantasmes d'un senior qui m'accueillerait durablement. Tout de suite, j'ai eu l'impression d'être considéré, ce qui m'était devenu étranger, occupé à des tâches de plus en plus fastidieuses au fil de la dégradation de mon conjoint. Je n'avais jamais utilisé de webcam, ce fut fait naturellement comme lors de mes rares séances bdsm, je me déshabillai dès qu'il le demanda et me laissai examiner longuement, découvrant mon gland, écartant les fesses, me pinçant les seins. Bien que déjà âgé, mon physique n'est pas déplaisant sinon une peau ingrate qui ne lui disconvint pas. Dès le lendemain, il est venu me chercher et le sentiment de confiance ne m'avait pas quitté. Ne connaissant pas beaucoup la ville, je ne sais pas exactement où se situait le garage au sous-sol d'un pavillon que j'entrevis à peine. Il ne parlait pas, moi aussi étant de nature taiseux. Arrivés à l'étage, il me fit signe de me déshabiller, ce que je fis aussitôt, puis je le suivis en espadrilles, dans l'escalier. Dans une pièce ressemblant à une salle de sport, il m'attacha avec des menottes à une poutre et m'entrava les pieds avec une barre. Puis il partit. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. Il passait de temps à autre, me donnait de légères tapes, excitait ma verge puis repartait. À un moment, il l'enduisit d'un liquide qui accentua l'érection. Il revint vêtu d'une culotte en cuir qui mettait en valeur son corps harmonieux et musclé, équipé d'un martinet qu'il utilisa avec parcimonie me faisant apprécier et désirer ces légères brûlures, il me cingla ensuite avec une baguette souple. Sentant mon excitation, il entreprit ensuite de me tâter en me pinçant tout le long du corps particulièrement entre les jambes. Et je sentis sa main enduire mon anus d'un liquide visqueux avant de procéder à ce qui ressemblait à un examen de la prostate. Il me couvrit d'une capuche de pénitent descendant sur les épaules et légèrement resserrée au niveau du cou, avec l'unique ouverture ovale au niveau de la bouche, et reprit l'usage du martinet et de la baguette y compris sur la verge. Le plaisir m'envahit de ne pouvoir prévoir ses gestes. Quand il me détacha les bras, je m'appuyai sur un meuble bas, une table d'examen, devant moi ce qui lui permit de me sodomiser immédiatement me semble-t-il avec un gode. Moment de jouissance indescriptible. Il me fit m'agenouiller malgré la barre qui maintenait mes pieds et je le suçai avec avidité, sa capote sentait l'orange... Et me sodomisa directement avec force et intensité. Ma verge étant toujours dressée, il me rattacha à la poutre. Ne voyant toujours rien, je me sentais rempli d'une chaleur intense. Je ne sais au bout de combien de temps, il revint pour me masturber jusqu'à l'éjaculation, mais était-il parti ? Mon érection n'ayant pas cessé, il recommença plus tard. Quand il me détacha, j'éprouvai du regret mais aussi une immense gratitude. Puis il parla.   L'installation   "Voici ta chambre." Dans une pièce à côté, un lit une place, un petit bureau, une armoire. Dans celle-ci une série de shorts courts colorés et transparents, des chemisettes à pressions très faciles à retirer, ainsi que quelques nuisettes. Pas de sous-vêtements. "Tu me donneras tes affaires actuelles en attendant que tu en aies besoin." Comme précédemment, je ne pose aucune question. Sur le bureau, un ordinateur "qui ne sera connecté à internet qu'à certaines heures et sous surveillance directe comme l'ensemble de la maison". Dans la salle d'eau attenante, un WC, une douche, un lavabo. Aucune possibilité de fermer les portes à clé, "je contrôle tout à distance". "Tu devras faire le ménage complet de cet étage. À mon étage, un robot nettoie les sols, tu t'occuperas du reste". Découvrant l'équipement électroménager, je me rends compte que cela ne sera pas fastidieux. "Les appareils étant connectés, un livreur vient deux fois par semaine apporter les commandes directement dans le réfrigérateur et le congélateur. Tu ne te montreras pas." "Tu porteras toujours cette montre, tu seras ainsi averti de mes messages et je surveillerai tes déplacements et tes constantes. Pas d'utilisation du téléphone sans mon autorisation. Pas de télévision. Tu peux écouter ces CD de musique classique". Cela ne me gêne pas, je suis si solitaire... "Tu recevras sans être prévenu des visites de personnes qui s'occuperont de toi en mon absence, ce qui sera fréquent." Je n'ai posé aucune question et je n'ai jamais cherché à connaître la nature de ses activités ni les motifs de ses déplacements. Un jour où je gémissais, il me confia (ce qui était extrêmement rare) faire partie d'un groupe d'hommes très visibles médiatiquement qui pour décompresser de la pression constante et de leurs responsabilités exigeaient des pratiques de plus en plus hard. En ce qui me concerne, je pense qu'il tenait compte de mon âge. Étant manifestement très expérimenté, il m'utilisait comme un homme de compagnie, un robot qu'il fallait garder en bon état de fonctionnement. Sa jouissance était de parvenir à me contrôler, à me rendre complètement dépendant sans violence physique ou morale, ce que je ne pouvais qu'apprécier. Deux jours après, j'arrivais dans ce logis avec mes deux valises qui comme convenu, restèrent dans un placard.   Le médicastre   Le premier à venir me surprendre, celui que j'appelle le médicastre, était certainement un (ancien) médecin tant il m'a paru professionnel, un médecin qui se permettait des pratiques bien singulières. Il est arrivé derrière moi sans que je l'entende, alors que j'époussetais, non sans trouble, l'impressionnante collection d'Apollon de mon maître. Sans parler, il m'a fait signe de monter dans ce que je nommais maintenant le donjon, m'a enlevé la chemisette pour attacher mes mains puis mon short pour entraver les pieds, toujours bien écarté. Après s'être connecté à mes relevés de pouls qu'il consultait sur sa tablette, il passa une sorte de stylo sur mon corps même aux endroits très sensibles, ce qui déclenchait des décharges fort désagréables et lui permettait de voir les variations de mes constantes. J'éprouvais une réelle souffrance et mon érection commença. Il m'examina ensuite sous toutes les coutures et corrigea certaines imperfections sans ménagement. Pour ensuite m'asperger de ce qui m'a semblé être un antiseptique. Il enduisit ensuite mon gland bien décalotté et mon anus d'une crème qui me chauffa terriblement. Puis il pinça mes tétons jusqu'à ce que je bouge pour tenter de lui échapper. Détaché, je dus m'allonger sur la table d'examen où il procéda à un examen approfondi de mon anus. Il me délaça pour me retourner et m'attacher à nouveau sur le dos, les jambes ballantes, pendant qu'il me palpait particulièrement sur le ventre, il me posa des questions sur mes pratiques sexuelles, étonné par le peu de réponses que je pouvais lui apporter. Enfin il me branla avec brutalité jusqu'à ce que mon sperme jaillit, il en recueillit sur son gant et le sentit. Ce médicastre est revenu pratiquement chaque semaine toujours en me surprenant. Je n'ai jamais su s'il ressentait de l'animosité envers moi ou s'il me considérait comme un animal de laboratoire. Cela me fait penser à la médecine, il n'y a pas si longtemps, qui considérait la souffrance comme nécessaire à la guérison.   Le délaideur   La première fois, il me surprit quand je marchais sur le tapis pour mon exercice quotidien. Il sentit ma sueur et devina ma fatigue passagère. Je ne savais pas pourquoi il était là. Il commença par s'assoir, me fit signe de venir et de me placer sur ses genoux, évidemment pour une fessée que par la suite je compris pour s'assurer de ma soumission. Il frappa d'abord lègèrement, abaissa le short, tritura mes fesses et mes cuisses, puis commença à asséner des frappes de plus en plus fortes avec une telle régularité que je sentais mes fesses rougir. Puis accoudé sur la table d'examen, je dus subir le martinet qui me fit gémir. Le rasage intégral qui s'en suivit alors que j'étais à nouveau entravé, fut renouvelé chaque semaine, alors que je commençais à peine à m'habituer au duvet qui réapparaissait. C'est avec la peau à vif qu'il me conduisit à la douche où je dus garder les mains sur la tête. Après avoir bien amplifié les irritations avec l'eau, il prit un gant jetable et me frotta de la tête au pied jusqu'à ce que je sois couvert de mousse. Évidemment, il insista sur la verge puis profondément sur l'anus. Après m'avoir abondamment rincé, il me reconduisit sans m'essuyer pour m'entraver comme j'en avais maintenant l'habitude. Il revint avec une préparation verte (de l'argile ?) dont il me couvrit une bonne partie du corps. Avant de me laisser avec cette boue qui commençait à sécher, il m'attacha le pénis à la table d'examen pour m'empêcher de bouger. Après un long temps, il réapparut avec un appareil, détacha mes pieds pour les poser sur la table d'examen et me sodomisa avec le gode vibrateur. Complètement vaincu, je le laissai m'entraîner vers la douche pour un décapage au jet d'eau. Ce délaideur est venu plusieurs fois chaque semaine toujours d'une manière imprévisible.   Le vidoyeur   Je découvris très vite que le vidoyeur venait me préparer. Il me suspendit les bras à une poutre et les pieds à l'endroit habituel pour les mains. Mon sexe étant alors à sa disposition, il l'équipa de la pompe à sperme ce qui après quelques instants et des coups de baguette sur les fesses provoqua son gonflement. J'étais à son entière disposition. Il me stimula sur tout le corps par des caresses et des pincements provoquant une extase au bord de l'évanouissement et ne fut satisfait que lorsque j'éjaculai abondamment. De retour sur la table d'examen, il sortit une pompe à lavement cette fois qu'il utilisa plusieurs fois m'obligeant à de grands efforts pour ne pas me laisser aller jusqu'à ce qu'il m'ordonne d'utiliser le seau à moitié rempli d'eau pour m'assouvir. Bien éprouvé, je me remis sur le dos, jambes ballantes, mes mains étant aussitôt attachées. La canule que je découvris alors, je ne l'avais jamais subie, il la glissa avec ses mains expertes dans mon pénis où je ressentis la progression jusqu'à ce qu'un jet d'urine jaillisse. Ce fut une nouvelle sensation inimaginable jusqu'alors. Enfin satisfait, il m'ordonna de tout nettoyer, me conduisit à la douche pour un lavage à grandes eaux. Il veilla à ce que je me rince bien la bouche avant de procéder au brossage. L'interdiction de manger le soir m'intrigua mais je m'assoupis après de telles épreuves.   Première soirée   Le maître vint me réveiller alors que j'avais la sensation d'avoir peu dormi, m'enfila la capuche de pénitent pour seul vêtement et me fis descendre sans difficulté car j'étais maintenant accoutumé aux lieux. Les conversations étaient, elles, inhabituelles, peu de personnes venant le soir, et portaient sur la situation économique. Elles ne cessèrent pas quand je me sentis palpé comme on juge de la qualité d'un animal sur une foire. Je me laissai guider de main en main, la verge fermement tenue puis les fesses écartées pendant qu'une partie de poker commençait déclenchant des gestes plus nerveux et des pincements au fur et à mesure des enjeux. Je devinai qu'il ne s'agissait pas d'argent mais que j'en étais l'enjeu. À un moment, on m'appuya sur la tête pour me pousser sous la table et je me retrouvai coincé entre les jambes d'un joueur qui sortit son sexe et me le mit dans la bouche pour que je le suce pendant qu'il appuyait sur ma tête. Quand ce joueur attint une bandaison qu'il jugeait satisfaisante, il me poussa entre les jambes du joueur suivant. Je découvris alors qu'ils étaient trois. L'exclamation montra que la partie était terminée, on me poussa à coups de pied en dehors de la table. Deux joueurs me saisirent par les bras pour m'appuyer sur la table pendant que le troisième lubrifiait déjà mon anus puis s'excita en me frappant sèchement sur les fesses jusqu'à ce que la douleur me fit gémir. Il s'empara alors de moi avec sauvagerie et puissance pendant de longues minutes pendant que j'étais fermement maintenu. Cette pénétration fut reproduite par les autres joueurs. Je fus alors amené à l'extérieur et attaché à une palissade où je restai seul. De nombreuses sensations me titillèrent. Était-ce des insectes, des courants d'air, un animal ? Peut-être une heure après, je sentis qu'on crémait ma verge qui durcit comme à la première rencontre et restai avec un besoin impérieux mais inassouvi. Finissant quand même par m'assoupir, je fus réveillé par quelqu'un qui utilisait mon braquemard entre ses fesses alors que je ne pouvais que subir. Au petit matin, mon maître vint me détacher sans un mot et tout reprit son cours.
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Par : le 31/07/23
C'est bien bdsm.fr, c'est là que je viens piocher des idées pour renouveller mes jeux avec Maso. C'est mon homme, celui avec lequel je vis. Nous nous connaissons depuis si longtemps. C'est lui qui m'a aidé, épaulé, pour ma transition. C'est lui qui a fait de moi sa femme. Au début c'était très vanille, et puis nous avons doucement glissé vers les jeux pour pigmenter notre relation. C'est ainsi que j'ai découvert que j'étais une domina impitoyable et lui un pur maso. Je l'appele ainsi désormais.  Je suis toujours en recherche de nouvelles pratiques pour lui donner ce qu'il recherche, du plaisir dans la souffrance. C'est très sain, je trouve, d'aller à la découverte de ce que l'on est vraiment, et de le vivre. C'est bien le couple, car c'est appaisé. Depuis que j'ai basculé dans le hard, je n'ai plus du tout envie de faire l'amour avec lui, d'etre prise par lui, je veux dire, car faire l'amour c'est bien plus complexe que cela. Pour qu'il ne soit pas en manque, je le libère après chaque séance, et même la nuit. Je contrôle totalement sa jouissance et sans moi, il n'a droit à rien et surtout pas se toucher pour se donner du plaisir. Je ne le domine pas en dehors des séances, à par ce contrôle total de sa sexualité. Et pas besoin d'une cage de chasteté, il obéit parfaitement. Pour mes désirs à moi j'ai eu des aventures au début et à present je me comporte en bourgeoise sage avec un amant unique. Une petite vie en apparence tranquille de femme à la maison avec son homme. Ceci c'est pour le coté Jekill. Reste le coté Hyde. C'est mon amant, avec qui je n'ai qu'une relation vanille, et qui est aussi sur bdsm.fr, qui m'a suggéré ce nouveau jeu à faire avec mon maso. Il est dominant, mais il n'assiste jamais et ne pratique jamais dans mes séances avec Maso. c'est bien pour tout le monde lorsque les choses sont claires. Mon amant a beaucoup d'imagination. Hier, après avoir fait l'amour, en fumant son cigare, il m'a expliqué "Spirit of Ecstasy". Vous savez, l'emblème des Roll Royce, ces superbes voitures de grand luxe. Cela m'a donné envie d'essayer. Maso ne sait jamais ce que je vais faire lors d'une seance. Je parle le moins  possible. J'adopte des gestes très lents et je porte toujours des gants blancs comme une japonaise. je commande par gestes le plus souvent. Et Maso comprend de suite.  Ce rituel, c'est un rituel pour faire peur. et il marche très bien. Maso est nu. Je lui attache les mains dans le dos. Il se met à genoux. J'attache ses chevilles au sol.  Nous avons bricolé notre pièce de torture dans la maison, avec tout ce qu'il faut, anneaux acier, poulies, barres, croix,, et autres. C'est très bien pour s'amuser en sécurité. J'attache ses mains dans le dos à une corde qui passe par une poulie au plafond, puis je l'oblige à se baisser en avant. Il se retrouve dans la position "Spirit of Ecstasy". Superbe! je lui donne un mors à macher que j'attache aussi à ses mains dans le dos. Il est complètement à ma merci. je lui caresse doucement les fesses. il bande dur. Je ne le sodomise jamais. Pas même un doigt pour lui masser la prostate. Non, son plaisir c'est la souffrance.  Je lui montre une latte en bois, une belle latte de sommier. Les coups commencent. Je le sens se cabrer mais il ne peut fuir. Il oscille dans cette position. Cela donne la mesure. Les coups sont de plus en plus forts. Précision. Ne pas le marquer, juste le rougir. Il bande encore plus fort. Son gland est bien rouge et gonflé.  Je passe par devant, lui enlève le mors. C'est la séance des giffles. C'est redoutable une giffle bien faite. Il faut bien relacher le bras, laisser la main prendre beaucoup de vitesse et presque s'arreter à l'impact. Cela claque comme un fouet. L'onde lui monte au cerveau. Rien n'est pire qu'une seance de gifles. Rien n'est plus humiliant. Il bande encore plus, prêt à éjaculer. Du geste je lui dit : NON ! Et cela marche, son désir est coupé net.  Je sors les florentines. il faut faire des huit pour eviter les mains, comme dans le symbole de l'infini. Très vite la douleur devient insuportable. Il hurle. J'arrête. Quelques bonnes baffes. Et du geste je lui indique qu'il doit hurler en silence, garder ses cris à l'intérieur. Et de nouveau les florentines. Il se tétanise, il tremble. J'ai plaisir à le voir se tordre de douleur.  Il est au bord de l'évanouissement, ce moment ou le cerveau disjoncte, seule façon pour lui de supporter la douleur. je le laisse récupérer. De toute façon c'est assez pour ce soir.  Je le laisse seul dans le noir.  Lorsque je reviens, il est bien, détendu, incroyablement paisible. Je glisse ma main vers son entrejambe. Son pénis redevenu mou se met aussitot à gonfler et devenir très dur. Je le caresse très doucement. Lorsque je sens qu'il va exploser, je pince le gland. cela coupe tout. Et je recommence. Un veritable supplice que ces orgasmes qui montent et ne peuvent se libérer. Il me supplie des yeux. Je ne suis pas préssée. Enfin, je le laisse aller au bout. Je recupère sa semence dans mes gants blancs et il doit tout lecher; Je le laisse encore récuiperer dans le noir. Je vais prendre un verre en attendant.  Lorsque je le libère enfin, il est tout tremblant mais je sens qu'il baigne dans une immense paix intérieure. Je le laisse venir se lover à mes pieds pendant que je finis mon verre. Il les embrasse pour me remercier.  Finalement "Spirit of Ecstasy" est une position qui me plait beaucoup. Je cherche déjà des idées pour la prochaine séance. Bon je file, j'ai un rendez vous avec mon amant. Puis retour à la maison où Maso m'aura surement préparé un bon repas qu'il me servira nu, debout derrière moi. Pas de baffes ou de fouet en dehors des seances, il est parfaitement dressé et très heureux de son sort. Il aime me servir et m'obéir.   
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Par : le 29/07/23
Pour sa milice privée сталин, le général Valéri se fout des titres et médailles. Ce qu'il veut c'est de l'efficacité sur le terrain. Il n'a aucune idée préconçue pour recruter. Il  juge sur les compétences réelles et rien que cela. C'est ainsi qu'il a selectionné Hans, un combattant hors pair,  né femme et qui voulait etre depuis toujours un homme et un soldat. Un F t M qui en a bavé jusqu'à ce que le général Valéri l'incoropore dans sa redoutable milice сталин.  Depuis qu'il sait que son gros clito en erection est plus gros que le plus gros des penis, il ne veut plus faire de phalloplastie. 90% d'un clito n'est pas visible, un peu comme un iceberg, sauf que là c'est chaud et très innervé. Son engin lui suffit pour prendre son pied avec Line, sa superbe épouse, complètement folle de lui. Un homme avec un vagin et un gros clito. Hans se dit que les Dieux se sont moqués de lui. Depuis qu'il a rencontré Line, qu'il bosse pour Valeri, il est très heureux. Alors, il trinque parfois à la santé des Dieux pour cette blague. Le plan du Président Vladimir est d'encercler l'Europe, pas moins. Personne ne sest méfié.  Il a commencé  par la Syrie, puis la Lybie, l'Égypte, l'Algérie, la Tunisie, le Mali, .....et cela continue. Pendant que l'attention de l'Europe est tournée vers la prétendue offensive Zelenski avec du matériel occidental, lui avance ses pions en Afrique et ailleurs. Pendant que les contribuables américains et occidentaux se saignent pour une victoire qui n'arrivera jamais, que les corrompus ukrainiens passent des vacances de luxe dans les îles avec leurs impôts, Vladimir cache bien son jeu. En fait comme tous les menteurs, il sait que la meilleure façon de dissimuler c'est de dire la vérité.  Il peut être certain d'une chose, les occidentaux croiront qu'il ment.  Le général Tchiani vient de commencer son coup d'état au Niger. C'est un roublard. D'abord rassurer américains et Français qui ont des bases militaires dans ce pays. L'expulsion viendra après. Assoir son pouvoir, neutraliser tous les opposants.  Il agit de façon calme.  Hans et Line sont depuis des mois déjà à Niamey. Lui se fait passer pour un reporter photographe et line pour une commerciale d'un grand groupe pharmaceutique.  Ils donnent très bien le change.  Le réseau de la milice de Valeri au Niger à son QG dans l'arrière salle d'un café sombre. Ce lieu est réservé aux pratiques vaudou, aux messes noires, à  l'occultisme étrange et au paranormal. Aucun occidental n'ose s'aventurer dans cet univers glauque qui pue le sexe, la drogue, l'hyperviolence.  Tout cela n'est qu'une diversion pour tromper les services ennemis. Tout se passe au denier étage de l'hôtel de luxe ou Hans et Line ont loué  leur chambre, avec un beau balcon. Une arme nouvelle absolument terrifiante mise au point par le professeur Barbokov. Un accélérateur électromagnétique portable. Des aiguilles d'uranium propulsees à plus de 3000km/h. Une précision incroyable sur très longue distance. Pour détourner l'attention des drones, line prend des bains de soleil sur le balcon, sagement, en bonne épouse, en bikini. Des agents, des fonctionnaires d'ambassade, des militaires, des opposants à Tchiani sont abattus en pleine rue.  Le faux réseau des messes noires fait croire  à  des tirs depuis des drones.  Les américains sont sur les nerfs. Aucune piste. Toutes les victimes ont le cerveau explosé avec juste un petit trou dans le crane. Une arme nouvelle qu'aucun casque ou gilet pare-balles ne peut stopper.  Il est temps de démonter et de rentrer via l'Algérie et la Russsie. Line veut déguster encore une fois le beau clito de son homme. Elle adore lui donner du plaisir en le suceant.  Il est si doux. Hans se laisse faire. Il appuie sur la nuque de Line. Il aime jouer au macho.  Hans passe un gros sexe réaliste en silicone avec harnais. Il retourne Line qui roucoule de plaisir. Il la sodomise d'un coup. Il prend soin de lui administrer une terrible fessée.  Line supplie. Elle a mal. Ses fesses sont rouges et brulantes. Hans ejacule par petites saccades. Se comporter en macho le fait toujours jouir. 
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Par : le 14/07/23
-Bonjour Valeri, j'ai un cadeau pour vous. Voici vos étoiles de général de brigade de 1er classe et la medaille de diamant de la Croix de Saint Georges. -Vous savez bien Président Vladimir que je me fous des titres et décorations. -C'est pas pour vous Valeri, mais je suis bien renseigné, c'est pour votre épouse, Roxana, cette noble perse, qui adore les grades, médailles et décorations. -Si c'est pour elle, alors OK. C'est vrai qu'elle veut toujours faire l'amour lorsque je suis en uniforme de cérémonie. -Une femme remarquable et qui nous rend bien des services pour conduire les drones vers des cibles militaires. Mais je ne vous ai pas convoqué pour cela. Le camarade Prigojine a pété un cable. il braille comme un chien enragé. Il faut lui clouer le bec.  -définitivement camarade Président ? -oui, par substitution d'un sosie. Nous en avons fabriqué un qui fera parfaitement l'affaire. Voici les détails de la manip. Valéri les examine rapidement, assi sur le bureau de Vladimir, pose des questions. -C'est Ok, j'ai la tueuse qu'il nous faut. Xian, une manchoue redoutable.  -Bon, vous avez les directives. A vous de jouer, mais sans droit à l'erreur, comme d'habitude. -Bien ce sera fait suivant vos plans. Par contre, si Roxana aime les médailles, moi j'aimerai bien avoir une résidence pres de Stochi, pour les vacances et faire du ski en hélico dans le Caucase. -Pas de problèmes, vous serez récompensé comme il se doit, et vous aurez même une médaille de plus pour faire plaisir à Roxana.  Valeri n'a pas perdu de temps. il a convoqué Xian, la tueuse manchoue. Avant de lui expliquer quoi que ce soit, il a commencé par bien la sauter. C'est sa façon de faire avec son effectif feminin. Cela permet des echanges en profondeur par mélange de fluide. Xian sait cela et elle est arrivée sans culotte, histoire de ne pas perdre de temps avec la bagatelle. C'est une tueuse pro. Baiser c'est pas son truc. Par contre, cette fois Valeri veut lui forcer les reins.  -Non, pas par la, j'ai l'anus trop serré et votre pénis est bien trop gros. Valeri n'a même pas écouté. Il s'est empalé d'un coup. Xian n'a plus rien dit. Dans ce petit cul de manchoue, Valeri a vite joui. Il a senti Xian se détendre et finalement aimer cela. Ils discutent à présent de l'opération en buvant un thé. Après l'amour c'est plus détendu. Une espionne doit savoir baiser, même si c'est pas son truc, c'est du moins la doctrine de Valeri. La colone de véhicules et blindés légers fonce sur Moscou. Le Prigojine est tombé dans le piège et il ne se doute de rien. Depuis Rostov, le trajet est long et une halte est prévue pour satisfaire à des besoins et se ravitailler. C'est là ou se trouve le piège, dans cette aire d'autoroute pour refaire les pleins et se sustenter.  Prigojine a voulu aller pisser. Avec son pistolet et une balle dans le canon, il croit ne rien risquer. Son garde du corps l'attend devant la porte. Il baisse son pantalon. Tout est allé très vite. Un plouf, et le garde du corps s'est effondré. Xian est entrée comme une ombre. Trois frappes très précises sur des points vitaux secrets et Prigo ne pouvait plus ni bouger, ni parler.  Xian sort un fin couteau manchou et émascule d'un coup le Prigo. Elle arrose la plaie de gel d'azote liquide pour empecher le sang de couler. elle jette les organes de Prigo dans la cuvette et tire la chasse. Un extra qu'elle a rajouté au plan. Prigo n'a pas mal à cause de son bas ventre gelé à l'azote. Pourtant ses yeux expriment toute sa terreur. C'est fini pour lui. Deux frappes simultanées avec les pouces pliées sur ses tempes. un éclair dans son cerveau. il a déjà rejoint le territoire des ombres.  Le faux Prigojine sort de sa cachette. Tout est nettoyé. Plus aucune trace de l'élimination. Le faux Prigojine rejoint le restaurant, même démarche, même voix, même gouaille. Ses hommes n'y voient que du feu. Quelques heures plus tard, le faux Prigo annonce sa redition. La manip a parfaitement réussi. Valeri decouvre sa nouvelle résidence sur les bords majestueux de la Mer noire. Il a passé son bel uniforme de gala avec ses étoiles et ses décorations. A ses bras Roxana est rayonnante. Valeri devine que la culotte de sa femme est trempée de délicate cyprine parfumée. Il ne perd pas de temps à visiter. Il a une furieuse envie de baiser lui aussi. Il la viole presque sur une peau d'ours de siberie dans le salon. Roxana est insassiable ce jour là. Elle a envie d'etre fouéttée et sodomisée. Pas de problème pour Valéri. Il enfonce sa petite culotte dans la bouche de sa femme aux anges. il la ligote et sort son fouet de chasseur de loups. il fouette les fesses sublimes de son épouse et une fois qu'elles sont bien rouges et brulantes, il la sodomise d'un coup. Elle se cabre puis se détend. Roxana jouit mieux lorsqu'elle est prise par les reins. Une vrai chatte perse. Ses yeux sont révulsés. elle explose les orgasmes. Valeri prend tout son temps.  Après l'amour, il allume un bon havane et se sert un excellent cognac local. Roxana, nue, le dos zébré de longues marques rouges vient le rejoindre et ses love dans ses bras. -Toi tu sais parler aux femmes. -c'est de l'humour perse? Tu sais bien que je ne cause pas pendant l'acte et même avant.  Roxana n'a pas répondu. Elle est au courant de toutes les infidelités de son époux. Elle n'en est pas jalouse, au contraire , elle en est fière. En Perse, les hommes riches se doivent d'avoir femmes, concubines et aventures. Seule l'épouse doit rester totalement soumise et fidèle.  -j'aimerai bien que tu prennes une deuxième épouse. Je pense que je l'aimerai beaucoup moi aussi. Pourquoi pas cette manchoue si redoutable. -Non pas elle, elle est froide comme un iceberg. Mais promis je vais en chercher une qui te plaise à toi aussi. 
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Par : le 26/06/23
Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM. - Allo - Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte. - Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ? - Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ? - Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres. - On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ? - Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle. - C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ? - Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  - J’ai encore une question ? - Je vous en prie ! - Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ? - La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes. - Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places. - Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ? - Oui c’est ça ! - A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location. Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM. Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client. Pauvre Damien.... Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.   Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence.... A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».    Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres) A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage. - Cela vous plait ? Demande Damien    - Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier ! - Au gîte fétichistes ! - C’est assez surprenant répond Master Paul. - Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider ! Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou. Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting. Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien. Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.   Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit. Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques. Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky. Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony. - La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter. Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain. - Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier ! - Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ? - Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ? - Non jamais ! - Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter. Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ». Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout. Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.      Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.   Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour. Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^. N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir... Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive. Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné. - Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices. Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain. Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage. - Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café. Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui. La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes. Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner. C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max. - Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir. C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Par : le 14/06/23
Après tout ses succés, le colonel Valeri du GRU a été promu. Mais bon, vous connaissez Valeri depuis que je décris ses aventures pendant l'opération militaire spéciale. Alors il a tout refusé et il a fait comme les autres, il a crée sa milice privée. C'est totalement illégal, contraire à la constitution de la Fédération de Russie, mais la légalité et les milices privées. Bien sûr, le GRU lui a immédiatement apporté son soutien et Vladimir en personne l'a reçu, ....pour lui ouvrir l'accès aux fonds spéciaux.  -Tu as fait un boulot incroyable camarade Valeri, je te donne les moyens de créer la plus redoutrable milice privée de la planète. Fais à ton idée et va terroriser les mercenaires de l'OTAN en Ukraine. -Avec Plaisir, camarade Président, surtout que comme ils ne sont pas là, d'après leur propagande, nous ferons en sorte que leurs balivernes deviennent realité pour eux.  Valéri a appris les arts martiaux en Corée du Nord, les vrais arts martiaux, pas les trucs des chochotes nipones ou les trucages des films made in Hong Kong. Il est donc allé recruter là bas et rendre visite à son vieux Maitre. Il n'a eu aucun mal a s'entourer d'une equipe de tueurs et tueuses professionnels.  Il a baptisé sa milice сталин  c'est à dire Stalin. Il a recruté aussi en Sibérie, en Iran.  Il a patiement attendu que les forces de l'Otan sous drapeau bleu et jaune se lancent dans leur suicidaire "contre offensive". Sa milice est partie de nuit, par petits groupes de deux, sur toute la ligne du front, là où il était possible de traverser toutes les lignes de façon invisible. Valéri, avec sa soif d'action, n'est pas resté dans un quelconque bunker à attendre. Il est accompagné de la sublime capitaine Kim, une des pires tueuses d'Asie. Une femme dont la seule presence fout la trouille. C'est comme cela. Une sorte d'emanation propre aux tueurs. C'est à se demander s'ils ont une âme. Kim est d'autant plus effrayante qu'elle est belle. C'est peut être un démon incarné. Et comme toujours, c'est cela qui excite Valéri et donc il l'a sautée dès qu'il l'a vue. Un truc electrique qui ne s'explique pas. Et c'est reciproque chez kim. En presence de Valeri sa chatte souvre, elle mouille et son clito se dresse. Dès que Valéri la penètre, elle jouit et ne peut retenir les vagues d'orgasmes. Un plaisir de traverser les lignes adverses comme si elles n'existaient pas, de dormir le jour, de baiser et de jouir de chaque instant comme si c'etait le dernier. Plus le risque est fort et plus l'envie de baiser devient furieuse. Kim est remplie de sperme par tous les trous. elle est resplendissante. C'est vrai que le sperme est bon pour les femmes.  Valéri est heureux de bosser pour son compte. Désormais il facture ses services le plus cher possible directement au Président Vladimir. Il pense bientôt aller offrir ses services en Afrique ou chez quelque richissime potentat oriental. Il est toujours marié avec Roxana mais il est totalement libre. Roxana est une bonne épouse perse, merveilleusement intelligente. Sa place est d'obéir en tout et pour tout à son homme. Valeri peut tout lui demander. Il claque des doigts et elle s'execute. Kim aussi a vite compris les règles avec Valéri. Obéir et écarter les cuisses. ne pas se poser de questions. Executer les ordres et ne parler que sur autorisation. Il n'est pas bon de laisser parler les femelles. Elles sont intelligentes et donc elles gambergent trop.  Valeri et Kim accomplissent la mission quils se sont fixée. Liquider un poste de commandement loin derrière le front. Récuperer toutes les informations sensibles. Une vraie ballade avec ce beau mois de juin. Kim est heureuse. Elle adore obéir. Valéri est devenu son Maitre. Rien de tel qu'un peu d'action et d'adrénaline pour bien bander ou mouiller. La morale de cette histoire c'est:  ne laisse pas ta soumise gamberger, c'est pas bon pour elle.
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Par : le 22/04/23
Résumé : Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.    Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils. Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne. Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petite pause nettoyage dès le début de la soirée.    Située au fond d’un fin pertuis, la petite voie ne servant initialement que dans un sens s’est soudainement ouverte d’esprit. Comme quoi, tout est une question de motivation... Pour la première fois, Lucie a donc laissé Max jouer avec son anus, pour le laisser lui insérer le plug de la queue de chienne. Elle s’est aussitôt enfuie du salon en riant comme une folle et en bougeant ses fesses dans tous les sens pour aller chercher ses genouillères avant de revenir à quatre pattes avec son collier et sa laisse entre les dents. Le si beau sourire de Lucie dévoilant ses canines blanches version OralB n’a pas tardé à disparaître derrière sa cagoule de chien. La « chienne » était très en forme ce soir là, Max a eu l’impression de faire un marathon dans leur petite maison isolée située à l’orée d’un petit bois, leur terrain de jeu lorsque la météo le permet.       Après une bonne heure de jeu, Lucie ne pouvait qu’avoir envie d’être prise en levrette, ce qui n’étonnera pas le lecteur. Etre prise avec un truc dans les fesses fut aussi une grande première pour la petite chienne, elle découvrit de nouvelles sensations qu’elle apprécia tellement que les lapins du bois très inquiets se sont demandés, si un loup s’était installé dans la région.   En clair, une femme malheureuse.... ************* Par une belle journée de printemps, Max équipa Lucie de tous ses accessoires de chienne pour la sortir au bois. Prudent, dans son sac, il avait toutefois glissé une robe d’été. La petite chienne s’amusa à renifler, à faire semblant de partir en courant puis à lever la patte. Max lui rappela que ce n’est pas ainsi que les chiennes se soulagent. Elle dut donc adapter sa position et, au dernier moment, il eut la présence d’esprit de soulever la queue pour l’épargner d’un jet d’urine, la little n’y pensant pas. Si les pinsons et rouge gorges pouvaient parler, ils vous diraient qu’ils ont trouvé mignons ses tourtereaux jouant à chien chienne en chaleur aux pieds de leurs arbres. Arrivés à la maison, Lucie décida de rester dans ce rôle qui lui colle à la peau et frise parfois un réel besoin. Elle alla s’allonger dans son panier où elle se mit en boule pour une petite sieste sous les yeux attendris de son mari. Au départ, Max était un libertin. Tombé fou amoureux de Lucie dès le premier regard, il a tout arrêté, sa chérie étant un peu bloquée sur ces pratiques. L’idée de revenir à la charge lui vint à l’esprit en la regardant dormir. Si bien que le soir après le repas, il ouvre la discussion sur ce sujet entre deux mamours.    - Tu sais, il faudra bien un jour que je te fasse couvrir par un chien ! -  Heu.... Je rêve ou tu me parles de zoo là ? - Mais non banane, d’un chien humain ! Imagine-toi en tenue, à quatre pattes attachée en train d’attendre d’être saillie par un beau mâle. Nous pourrions délirer, te faire prendre et lui promettre de lui donner un des chiens de la portée. Bien entendu, je serai là et te tiendrai pour pas que tu t’échappes ou le morde. A moins que je t’attache et me contente de te regarder couiner pendant qu’il te saute. Qu’en penses-tu ? - Du libertinage quoi ? - Oui et non ! Une chienne ne choisit pas, son maître sélectionne le reproducteur. La chienne n’a qu’à se laisser couvrir. D’ailleurs, pour t’habituer à ton statut de vraie chienne, je vais t’offrir une niche que nous mettrons dans la chambre. Qu’en penses-tu ? - Tu as toujours refusé qu’on mette une niche dans la chambre ! Mais tu ne serais pas jaloux ? - Jaloux de voir ma femme prendre du plaisir et jouir ? Non pas du tout, et puis n’oublie pas que je suis libertin. *********** Revenant régulièrement sur le sujet lors de leurs jeux, Max décida un jour d’attacher la chienne puis de la laisser méditer après avoir inventé une histoire de reproducteur. Entravée à quatre pattes au bord de la table basse, lorsqu’il a éteint la lumière pour venir la sauter comme un chien, Lucie a découvert cette nuit là, le plaisir de l’abandon sexuel sous bondage. Cette idée nouvelle et lubie de son Maître de la faire sauter par un inconnu commença à faire son chemin chez Lucie. Un jour, dans son délire, après avoir attaché sa chienne, Max lui déclara qu’il y avait deux chiens. Il joua le jeu de la prendre une première fois comme dans leurs câlins habituels mais il se retira avant de jouir pour la laisser mariner et fantasmer. Il enfila des gants, un pantalon et, toujours dans le noir vint la prendre en essayant d’être différent de d’habitude. Au départ, Lucie y cru, cela ne dura pas mais elle garda en mémoire cette sensation d’être réellement plus qu’une chienne. Si l’idée de l’inconnu lui avait déplu, sa queue très active ne l’avait pas laissée de marbre, même si il ne lui avait pas fallu  beaucoup de temps pour reconnaître son mari. Les femmes sont parfois surprenantes quand elles se lâchent. Lucie finit donc par dévoiler à son mari que finalement ses idées de reproducteurs commençaient à lui plaire. Elle ajouta même que trois ou quatre seraient bien, une réponse surprenant énormément Max. - Le libertinage pour le libertinage ne m’attire pas du tout. En fait, j’aimerai bien vivre une fois l’expérience de soumise sexuelle comme sur certaines vidéos de Fessestivites. Tu sais, quand les filles attachées passent à la casserole..... Mais si j’accepte, je ne veux pas voir la tête des mecs et encore moins les sucer, ça cela t’es réservé ! Oh mon dieu, qu’est-ce que je te raconte.... - Un de tes fantasmes tout simplement ma chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir que tu te confies comme ça. *********** Le temps passa et, entre les jeux de pets-play et câlins débridés Max ne lui reparla pas de cette idée de reproducteurs. Plutôt que de la gêner avec ce sujet, il se lança dans le bricolage. Pendant tout un week-end, Lucie n’eut pas le droit de rentrer dans leur garage pour cause de préparation d’une surprise. Le soir de son anniversaire, la petite chienne se retrouva attachée comme de la charcuterie. Il lui fit un bondage de façon à lui imposer la position à quatre pattes avec les membres maintenus pliés avec du cellophane. Une fois entravée, il passa la laisse du collier sous l’un des pieds de leur lit et quitta la chambre en lui souhaitant une bonne sieste. Autant dire que Lucie tenta de s’échapper mais en vain, les mains cellophanées et les bras pliés, elle dut se résoudre à être sage. Pendant la sieste de Lucie, il installa une niche très BDSM dans leur salon. Si elle ressemblait à celle que l’on peut voir dans les jardins, cette niche avait comme particularité d’avoir une sorte de porte d’entrée ajustable avec un trou en son centre permettant d’en faire un pilori. Décorée avec goût avec son nom écrit au dessus de la porte, cette niche molletonnée fut une sacrée surprise pour Lucie lorsqu’il la délivra. Toute émue, la petite chienne libéra quelques larmes de bonheur à défaut de pouvoir sauter sur son Maître. Le cadeau surprise ne s’arrêta pas là. Après que la petite chienne se soit amusée à entrer, sortir de sa niche, il lui fit découvrir la fonction pilori dans les deux sens. Il la bloqua à l’intérieur avec juste la tête dépassant par la porte. Ni une ni deux, il ouvrit la braguette de son pantalon, se mit à genoux devant la porte pour se faire lécher par sa pets-girl devant s’appliquer dans cette fellation, sous peine de passer la nuit comme ça. La pipe étant « satisfaisante », il la fit sortir pour la bloquer dans le pilori en ne laissant dépasser que son corps. La tête bloquée à l’intérieur de la niche, la chienne se fit « couvrir » sans pouvoir voir l’extérieur de la niche. Rusé et très joueur, il utilisa le téléphone de sa femme pour faire sonner le sien. Bloqué la tête dans sa niche, Lucie l’entendit discuter avec quelqu’un sans rien voir. Elle bondit de peur quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Il caressa la belle croupe de sa femme, après avoir trempé ses mains dans l’eau froide et les avoir séchées. Elle crut que comme cadeau d’anniversaire, il avait invité un reproducteur ! Lucie était un peu furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue. La suite fut bien pire !!!!! Amoureux fou de sa soumise, Max s’était acheté dans une boutique de déguisements d’animaux un costume intégral de furry dog à poils longs. Si il n’enfila pas la cagoule de chien poilu, lorsqu’il se plaça contre les adorables petites fesses de sa chérie, les poils la traumatisèrent. « Non, il ne va pas me faire sauter par un vrai chien » se dit Lucie pour se persuader que cela ne pouvait pas lui arriver, que son mari n’était pas zoo ! ! ! Max s’amusa un instant à jouer le chien avec ses « pattes » avant et sa verge cherchant la faille du temple de la fécondité. La tête bloquée dans sa niche pilori, Lucie tétanisée finit par se rendre compte que ce n’était pas un vrai chien derrière elle mais un homme, un pets-boy. La surprise passée et rassurée, elle finit par se détendre et apprécier de se faire couvrir sans ménagement. A l’intérieur de la niche, des plaintes mélodieuses ne tardèrent pas à se faire entendre et pour cause : elle réalisait le fantasme d’être couverte par un inconnu en position de soumise sexuelle et qui plus est en chienne. Le pied ! Des « pieds » elle en eut plusieurs, traduction, la belle jouit plusieurs fois. N’étant qu’un homme, tout seul, Max ne put « copuler » ad vitam æternam. Après avoir copieusement ensemencé la chienne, il installa leur machine à baiser qui elle, est infatigable.  La machine oeuvrant ardemment dans le chaton naturellement lubrifié et agrémenté de semence bio, il put à loisir claquer le beau fessier offert à sa guise ou jouer du magic wand massager sur le clitoris de la belle hurlant son plaisir à pleins poumons dans sa niche. Jugeant que même jeune, le coeur de sa femme avait ses limites, il décida de la libérer. Lucie fondit en larmes entre les bras de son mari. Ces larmes n’étaient pas de tristesse comme vous vous en doutez mais de trop de bonheur, trop d’émotions, trop de jouissances.  Depuis cette soirée spéciale, il leur arrive de faire venir un ou deux hommes pour faire couvrir la chienne qui se fait prendre la tête enfermée dans  « sa niche ». En échange de tant de bonheur et de générosité d’âme, Lucie a décidé de faire un cadeau spécial à son Maître. Il faut que je vous raconte ! Pendant qu’il faisait sa sieste, la belle a dessiné deux flèches sur ses fesses en désignant son délicat petit orifice. Elle a également préparé un petit mot avec des coeurs dessinés sur un papier avec comme indication « dépucelle-moi en me v i o l a n t par derrière ». Elle a attaché ses jambes pliées avec du cellophane avant de bloquer sa tête dans la porte pilori de sa niche. Une fois « pilorisée » elle s’est menottée de façon à ne plus pouvoir s’échapper. Lorsque Max se leva, il dut se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Lucie lui offrait son petit cul jusqu’à présent refusé. Autant dire qu’il ne prit pas le temps de se servir un café. Fin TSM          
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 27/12/22
I) une rencontre d’âmes : la prise de contact fin du début des années 2000, 2007 pour être précis ; je naviguais dans les sphères du BDSM depuis quelques années, je me remettais d'une rupture sentimentale et de la fin d'une relation que certains nommeront D/s mais qui, a mes yeux, était bien plus. Une situation financière catastrophique se terminait, je touchais a la fin de ma première carrière professionnelle ; j’étais en quelque sorte dans des limbes sociales et personnelles fortes, brumeuses et accablantes. En ce mois de janvier, je parcourais les sites afin de pouvoir revenir vers le BDSM, je ne pouvais pas envisager une autre forme de relation, comme si je voulais éprouvé ma volonté de me soumettre, de vivre ma sexualité ou émettre un cri des émotions. En naviguant de site en site, et ce depuis la fin 2006, je finissais immanquablement par revenir sur celui d'une Dominatrice reconnue dans le milieu, Sa façon de présenter les relations, Son physique, Ses tenues et l univers que peignait chacun de ses mots, chacune de ses photos me troublait de façon certaine et forte. J'avais déjà écris un mail de présentation a cette Dame, Elle m'avait répondu et dans une forme de lâcheté je n'avais donné suite, incapable de pouvoir réunir l'offrande et pris de la peur de m'attacher, en un mot me croyant indigne. Mais en ce début d'année, mon esprit semblait ne pouvoir se détacher de l envie, du souhait de rencontrer cette Dame, Lady Morrigàn, de me confronter une fois encore a ce que je nommais mes démons, de poursuivre un cheminement, que je savais incontournable. Je me décidais a ré écrire a Lady Morrigàn afin de pouvoir obtenir la possibilité d'un appel téléphonique pour fixer une possibilité de rendez vous, lui exposer si possible l’émoi qu'elle suscitait en moi, quitte a passer pour un fou. Sa réponse ne tarda pas, elle m'expliquait qu elle ne serait pas disponible avant février, et que je pourrais réfléchir et que si cette envie de la La rencontrer était toujours présente, alors je devrais la rappeler a une date et une heure précises. Bien sûr je répondais par retour de mail, que j'acceptais les conditions et je m'engageais même a respecter Sa volonté quant a la date de l'appel. Durant la période entre cet échange et la date, mon esprit fut comme quasi dédie a l’élaboration d'une présentation, je commençais même a faire des calculs pour pouvoir prévoir l offrande (dont je me doutais du montant). Le mois et demi passa, sans doute bien trop lentement pour l'impatient que j’étais encore a l’époque, malgré une relation précédente m'ayant déjà apporté les bases d'une éducation D/s. Le jour et l'heure de l'appel arriva, je composais le numéro avec une grande nervosité, sans masquer mon numéro comme demandé ; les sonneries s’enchaînèrent jusqu'à déclencher le répondeur et j'entendis pour la première fois cette Voix qui allait me pénétrer, envelopper mon esprit ; a la voix douce et autoritaire, une diction troublante, les mots semblaient prendre une autre dimension et mon esprit commença a se délecter et se perdre dans ces chants hypnotiques. Je laissais un message, tentant de rendre ma voix la moins chevrotante possible malgré l’émotion. A peine avais je poser de le téléphone sur mon bureau, avec une touche de déception qui me poussa a allumer une cigarette, que celui ci sonna, numéro masqué ; alors que d'habitude je ne réponds pas a ces appels, là je décrochais et immédiatement je reconnu Sa voix envoûtante qui prononçait mon pseudo, j’éteignais la cigarette et lorsque un « merci d'avoir laisser un message, nous allons pouvoir échanger » parvint a mon esprit et aussi impulsif que cela puisse paraître, je me mis a genoux naturellement, comme si la présence de Lady Morrigàn venait a moi par Sa voix, comme si le soumis en moi reconnaissait d'instinct un règne l'appelant. La conversation était axée, entre autre, sur les conditions de rencontre et au fur et mesure, elle prit une tournure plus « intime », sur ce que Lady Morrigàn appréciait chez des soumis, sur les blogs et sites internet et sur l’expérience. Je découvrais alors que Lady Morrigàn possédait un cheptel de soumis « proches » qui lui rendait des services, elle me parlait alors d'un blog que je tenais et où j'exposais mes écrits et dessins, un compliment me fit vaciller. Il fut alors convenu que avant d'envisager quoique ce soit, je devais répondre a un questionnaire qui me serait envoyé via mail, rédiger une lettre exposant comment je voyais mon parcours et les motivations les plus exactes quant au fait de vouloir venir aux pieds de Lady Morrigàn. au cours de ce dialogue,je me rendais compte que certains aspects étaient en commun, certaines affections, visions. Je mettais cinq bonnes minutes a redescendre après cet échange, et dans la foulée je ne pus m’empêcher d’écrire un texte relatif a ses mots, sa voix et ce que je ressentais. Dans le jours qui suivirent, je recevais le questionnaire et m'appliquais a rédiger une lettre de motivation, la plus complète possible où je ne cachais rien de mes expériences, ressentis et situations. Il s'en suivi un échange de quelques mails, et l'envoi du texte écrit lors de notre dialogue téléphonique, puis quelques semaines plus tard , il me fut demander d’appeler Lady Morrigàn. cet appel était en vue de poser un rdv. La date fut convenue, l'offrande également, un geste me fut accordé égard a ma situation financière a la seule condition que j apporte le texte envoyé par mail , ainsi qu'un autre posant mon imaginaire sur le rdv a venir, sur papier a l'encre bleue. Le jour de la première rencontre : la date tant attendue était là, j'avais repéré le temps de trajet, je m’étais apprêté de manière a être le plus courtois et respectueux pour ce rendez vous, pour cette venue dans le lieu de règne de Lady Morrigàn. une grande nervosité me tiraillait la gorge et le ventre ; durant le trajet en transport, je me répétais les gestes, les mots et les attitudes que je Lui devais de respecter. Une fois sorti du métro avec de l'avance sur le rdv, une envie de fumer me prenait, je la réprimais difficilement, j'allais a l'adresse fournie, passais l'appel convenu a l heure convenue. Alors que mes doigts saisissaient le code d'entrée, je voyais mon tremblement augmenter,tout en moi me faisait penser que ce rdv allait devenir une référence, que je m’apprêtais a franchir un cap important, que cette rencontre allait compter. Je pris l'ascenseur, un ancien modèle des immeubles parisien, dans cette cage mouvante je me sentais comme en élévation vers un lieu unique, mystique. La voix de Lady M, son image étaient en moi et plus je montais, plus c’était le cas. La porte se trouvait juste en face de l'ascenseur, il ne semblait pas y avoir d'autres appartement sur le palier. Comme demandé, je ne sonnais pas mais me servait du butoir de porte, pas de réponse, devais je re frapper ? Alors que ma main était devant le butoir, j'entendais un bruit distinct, celui de talons sur le sol ; la porte s'ouvrait sur un couloir dans la pénombre, et se faisant une odeur, un parfum vint me saisir comme une main a la fois ferme et chaleureuse ; la voix de Lady Morrigàn m'invitait a entrer, elle se tenait derrière la porte ; alors je faisais trois pas dans le couloir , la porte se referma avec un bruit quasi de loquet, une sensation me prenait alors, celle de me dire que désormais un chemin pouvait s'ouvrir. Je sentais alors Lady Morrigàn passer sur mon coté, mon regard se baissa d'instinct. Elle se tenait face a moi, je restais bloqué comme idiot a regarder ce que je devinais être des bottes a talons aiguilles, noires et a lacets, je ne montais pas mon regard plus haut. Une main vint alors se placer a mi hauteur, je mettais la mienne a ma poche de revers afin de sortir l enveloppe de l offrande. Un « pas maintenant, suivez moi » un brin agacé me fit remettre l enveloppe dans ma poche. Je suivais Lady Morrigàn dans le couloir, en ne quittant pas ses talons des yeux, nous arrivâmes dans le boudoir, une belle pièce plongée dans une pénombre, je distinguais une console sur ma gauche, devant moi un petit tapis circulaire posé devant une cheminée, au dessus de laquelle un miroir entouré de bougeoirs triple étaient placés. Sur le mur face a moi, un bouclier et deux épées prêts d'une porte menant a une autre sale, sur le même mur après cette porte, en allant sur la gauche, un tableau sous le lequel étaient situés deux anneaux métalliques, en dessous se trouvait un guéridon au dessus de cuir. En continuant un regard circulaire sur la gauche, devant une fenêtre aux épais rideaux noirs tirés, se trouvait une méridienne Joséphine empire aux couleurs pourpres, un guéridon a gauche et entourée de plantes, puis mon regard revint sur la console a coté de laquelle je remarquais un valet. La musique que je remarquais enfin était de type underground fantasy. Lady Morrigàn me demanda de poser l'enveloppe sur la console, d’ôter ma veste sur le valet et de prendre place sur le tapis circulaire, je m’exécutais sans oser la regarder, d'autant que le ton employé a mon arrivée indiquait sans équivoque , que j'avais commis un impair. Une fois que je m’étais placé sur le tapis, regard baissé et mains derrière le dos, Lady Morrigàn me lançait : « allez vous, vous décidez a oser me regarder ou n'aurais je droit qu'a un regard fuyant d'animal coupable ? -Maîtresse, c'est que je sens avoir commis une faute -oh oui vous en avez commis une et venez d'en refaire une autre, je vous indiquerais lesquelles en temps voulu -bien Maîtresse » j'osais enfin lever les yeux, et là je la vis superbe, en position de reine sur la méridienne. Elle portait de superbes bottes montantes au dessus du mollet, lacées et noires, une jupe en vynil dont l'ouverture sur la cuisse laissait deviner des bas soyeux, un chemisier en dentelles blanches laissant deviner un bustier noir ; son visage exprimait de la vie, un teint pâle, des lèvres cerises, un regard perçant vous scrutant au plus profond, des cheveux blonds platine quasi blancs aux boucles travaillées sur les tempes, ses mains gantées d’élégance noire en cuir. Telle une aphrodite guerrière et rayonnante, elle était posée sur sa méridienne, une jambe légèrement pliée sur l'autre, une de ses mains en poing sur sa joue ; cette vision me conquit d'emblée, sa voix allait si bien avec son corps. Tout en Elle dégageait, grâce et force, une présence comme on en croise peu dans une vie,son être vibrait ses ondes jusqu' a mes souffles, s'en emparant en un battement de cils. Je me sentais si chanceux d’être en la présence d'une telle Femme et dans le même, je savais déjà que je signais là l'acte qui pourrait me mener a ma perte, tant je pressentais que cette Femme pourrait me menait a la damnation que je la suivrais alors avec un sourire reconnaissant et dévotion. Déjà je rêvais de l'honneur de pouvoir embrasser ses bottes, de lui livrer mon corps et mon cœur ; certaines rencontres sont ainsi faites que vous sentez jusqu'à votre moelle, qu'elles vous marqueront a jamais. Lady Morrigàn me demanda alors de me dénuder a l'exception de mes sous vêtements et de poser mes affaires correctement pliées aux cotés de la cheminée ; alors que je reprenais ma position initiale, debout et mains dans le dos, je me rendais compte que Lady Morrigàn s’était levée, alors que je me retrouvais face a elle, elle commençait a avancer vers moi. Une démarche a la fois féline et aristocrate, puissante et raffinée ; chaque pas qu'elle faisait en ma direction soulevait en moi des tornades d’émotions, je sentais une envie de reculer comme pris de panique et dans le même temps, une envie irrésistible de me jeter a ses pieds ; plus elle avançait, plus j’étais captivé, non seulement par son physique mais aussi et surtout par son aura, je sentais alors distinctement une fissure se dessiner en moi. Alors que son souffle se résonnait sur ma peau, elle m indiquait que l'inspection pouvait commencer, ainsi que le questionnaire. Ses mains commençaient a sinuer sur ma peau, de la base de la gorge a l abdomen en passant par les flancs, mes yeux se fermaient a son contact a la fois doux et inquisiteur. Entre des questions sur mes goûts musicaux,mentalité, des remarques sur ma condition physique venaient piquer mon orgueil, un peu trop mou, manque de fermeté (oh comme elle se servait bien de mes confidences sur mon manque d'assurance en mon physique).
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Par : le 06/11/22
Ce n'était pas notre première envie, il faut bien l'avouer. Nous étions plutôt bandeau, menottes, un peu de bondage pour débutants, etc. Bref, à nos débuts, nous étions assez mainstream, biberonnés à 50 nuances de Grey ! Et puis de jeux en jeux, l'idée a fait son chemin dans sa tête. Il me disait que j'étais sa chienne, lors de nos jeux... Alors après tout ... J'avais regardé les colliers dans les sexshops SM en ligne mais je trouvais plus excitant les vrais accessoires destinés aux animaux. Je ne voulais pas un collier qui soit un bijou ou un accessoire de mode. Je lui ai donc dit que je voulais bien mais que je voulais un vrai collier en cuir de chienne avec une vraie laisse en métal, vous savez celles avec des maillons très lourd authentiquement prévus pour l'animal. Je trouve que cela participe au symbole et à la cérébralité du truc ! Il s'est donc débrouillé en allant en animalerie et m'a fait la surprise et faut offert un bon gros collier et la laisse qui va bien. Il m'a avoué plus tard qu'il avait même envisagé d'acheter un collier d'occasion déjà porté par un animal, sur le bon coin, mais n'a rien trouvé de probant. Il ne s'agissait évidemment pas d'économiser dans l'achat du collier, mais que ce soit de facto un vrai collier de chien. L'idée m'aurait profondément excitée au demeurant. Bref. Mais le tout neuf était très bien aussi, de bonne qualité, très classique, en cuir de couleur noire, avec une grosse boucle en inox pour la fermeture, et la force du tout neuf c'est sans doute la plus forte odeur du cuir, j'y reviendrais. On a fini par essayer et j'avoue avoir tripé sur la connotation de possession et de domination/soumission. Comme l'expérience était faite avec préméditation, j'ai essayé de me concentrer sur les sensations et le ressenti du port du collier et de la laisse. La sensation de possession J'ai adoré cette nouvelle manière d'être son objet, d'être SA chienne, cela m'a vraiment bouleversé. Même si je suis un peu brat, je sais bien, et lui aussi, que je suis une soumise dans l'âme, qui ne switche que parce que j'aime les expériences et pour faire plaisir. Quand il a ajusté le collier autour de mon cou, j'en ai eu le cœur qui s'est affolé. Ceci pour dire que porter un collier et être tenue en laisse, m'a semblé très "gratifiant" ... Qualificatif un peu bizarre, j'en conviens. Je me suis sentie un peu plus possédée encore. Mon partenaire devenait vraiment mon maître. Et en plus de la sensation du cuir sur ma peau, la sensation sur mon cou, j'ai trouvé l'expérience enivrante de par l'odeur du cuir. Et maintenant, quand je sens l'odeur du collier, je me fais un peu chienne de Pavlov ;-) La sensation d'être dominée avec le collier Alors la sensation de soumission, d'être dominée, je commence à bien connaitre. Mais là, la sensation m'a semblé un peu plus forte encore que d'habitude une fois le collier en cuir et la laisse posée est dans le prolongement de la sensation de possession qui était le premier à m'être venu. Mon Maître a quasi aussitôt tiré sur la laisse pour voir (en réalité pour voir si le collier était bien fixé et pour vérifier les points d'attache). Moments d'appartenance, de soumission et de dévotion qui m'ont fait terriblement mouiller (et lui bander, c'était manifeste) ! J'ai senti que j'étais sous son contrôle, et à cet instant-là, j'étais habitée par le désir d'obeïr à toutes ses exigences. J'étais une bonne chienne, avec mon collier et ma laisse (de vous l'écrire maintenant, même avec le recul m'excite encore ...). La sensation d'être contrainte par le collier Ca m'a fait quelque chose de particulier d'être limitée dans mes mouvements , même si ce ressenti m'était moins inconnu puisque nous avons une panoplie d'accessoires de contraintes (menottes etc...). Cela fait vibrer les mêmes cordes que le bondage, grosso modo. Mon collier de chienne et la laisse, avait peut-être cela de différent qu'ils contraignent moins les mouvements (sauf quand mon partenaire a enrouler la laisse dans sa main pour me tenir au plus court, en mode dressage ... ouahhhh) mais qu'il sert (avec prudence je vous rassure) le cou : cela fait se sentir davantage encore à la merci. Je me suis sentie très vulnérable et le sentiment de devoir obéir allait au delà du jeu consenti. Le collier facilite la contrainte par le Maître. Un collier (bizarrement) rassurant J'ai trouvé aussi, encore un paradoxe, que cela avait quelque chose de rassurant. Difficile à expliquer ... mais dans l'idée que je m'en fais le maitre d'un chien ou d'une chienne, en prend grand soin, veille sur lui, se fait caressant sauf si la chienne désobéit. La sensation d'être tenue en laisse à un côté libérateur, finalement. Mon Dominant a globalement été attentif à mon bien-être, cela rejoint sans doute ce que l'on récent dans les pratiques d'infantilisation (je ne connais pas cette pratique, je ne fais que supputer). De ce point de vue le collier et la laisse offre une sensation d'importance et de valorisation, que je n'imaginais pas. Avant qu'on explore les pratiques BDSM et la domination/soumission, je crois que j'aurais trouvé ces histoires de colliers et de laisses assez dégradantes. Et très cliché, genre un soumis soixantenaire et bien en chair avec sa cagoule, sa laisse et son collier. Mais maintenant que nous connaissons mieux ce milieu et que nous avons de l'expérience, mon vécu me donne à ressentir tout ce que je pouvais ignorer quand j'étais vanille. Devenir une chienne, être d'une autre façon à la merci de mon dominant m'a donner des sensations complètement inattendus... et délicieuse. J'avais été dominée de bien des façons. Mais la force du symbole, la collection de sensations qui en découle, le lien que la laisse et le collier tissent entre les partenaires. Il y a plein d'autres ressentis qui m'ont traversé : le froid du métal est par exemple très érotique, surtout quand la chaine courre sur les tétons ... Rhaaa !!!), la posture de chienne avec son collier autour du cou est bien plus qu'une mise à quatre pattes ! J'ai adoré cette expérience. Ca se sent, hein ? ^_^ Je me retrouve attachée (c'est le cas de le dire) comme rarement à ce collier au point que nous avons décidé d'en acheter un second collier bdsm pour que je fasse vivre l'expérience à chouchou qui lui aussi aime bien être dominé à ses heures (mais pas trop souvent quand même :) ). Cette fois ci c'est donc moi qui vais l'acheter. Probablement dans une boutique spécialisée cette fois, j'ai vu quelques belles pièces sur les boutiques SM mais celles orientées gay. Je crois que cela lui irait très bien... A lire également : https://www.bdsm.fr/blog/8226/Bondage-:-conseils-et-accessoires/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/3763/Cagoule/ https://www.bdsm.fr/collier-appartenance/  
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Par : le 15/09/22
*** Avertissement Il s’agit d’un texte que j’avais initialement écrit pour le plaisir de mon Maître et qu’il m’a finalement ordonné de rendre public, après l’avoir édulcoré et débarrassé de passages trop hards ou trop personnels (néanmoins il reste quelques passages susceptibles de heurter les esprits hypersensibles, psychorigides, ou formatés par une idéologie, auquel cas il est sans doute préférable de passer votre chemin). Je vous souhaite une bonne lecture et j’espère que ce petit texte vous plaira comme il a plu à mon Maître. Dans tous les cas, rappelez-vous qu’une fiction n’est rien d’autre qu’une fiction, un récit sans prétention dans lequel l’auteur(e) laisse libre cours à son imagination.   *** Episode 1 : Le procès Je revivais en rêve la première rencontre avec mon Maître lorsque l’allumage automatique de la télévision me sortit de ma torpeur. Des images aériennes de grande qualité montraient d’immenses poteaux, bien plus hauts que nos éoliennes, juchant un sommet himalayen. Je fus saisie par la beauté de ces images qui tranchaient avec les murs grisâtres de ma cellule. L’allumage intempestif de la télévision, à des heures aléatoires, fait partie du programme de rééducation citoyenne auquel je n’ai eu d’autre choix que de me soumettre. Mon procès avait été expéditif. J’ignore qui m’a dénoncée, mais ensuite les choses sont allées très vite. Des preuves accablantes montraient que j’avais entretenu pendant de nombreuses années une relation Maître/esclave illégale, jusqu’à la malheureuse disparition de mon Maître l’année passée. Non pas qu’une relation Maître/esclave fût illégale en soi – nous sommes en démocratie – mais depuis la loi du 5 mai 2025, aucune relation de couple, aucune relation sexuelle, de quelque nature que ce soit, n’est autorisée sans l’obtention préalable du pass délivré par la Bill&Alvértos Fucking Corporation. Cette société tentaculaire, ainsi nommée en hommage à deux milliardaires bienfaiteurs de l’humanité qui sauvèrent le monde d’une redoutable pandémie au début de la décennie, dispose du monopole de la validation des couples et des relations sexuelles. Chaque mois, Eurytion, la puissante Intelligence Artificielle de la BAFC, prend en compte des milliards de caractéristiques génétiques, morphologiques et psychologiques pour réaliser le meilleur appariement possible entre les prétendants à une union, et leur délivrer le précieux « fucking pass », qui donne le droit de baiser en toute légalité avec le partenaire désigné par l’IA. Toutes les orientations sexuelles sont possibles – il n’y a pas de discrimination en démocratie. Même les couples déjà formés ont dû se soumettre à cette formalité depuis la promulgation de la loi, ceci pour le bien de l’humanité. L’intelligence artificielle est très bienveillante : lorsque le couple est préexistant et dispose d’un bon solde de crédit social, le pass est généralement attribué sans obligation pour les deux partenaires de se soumettre à un réappariement. Les démarches pour prétendre à l’obtention du fucking pass coûtent 6 mois de salaire moyen – il faut bien rémunérer la haute technologie – mais cela en vaut vraiment la peine car, comme l’a expliqué le Docteur Tedros, nouveau directeur exécutif de la BAFC, c’est ensuite la certitude d’un avenir radieux, en harmonie au sein du couple et de la société, et c’est surtout la satisfaction de respecter de la loi. Bonus ultime, 120 points de crédit social sont attribués le jour même de la délivrance du fucking pass. C’est un cadeau très apprécié. Je fus déclarée « ennemie de la démocratie, raciste et fasciste ». Bien que je ne compris pas le rapport avec ma faute, le procureur semblait très sûr de lui, et tous les journalistes qui couvraient l’évènement ont vanté l’excellence de sa plaidoirie, alors c’est sûrement vrai. Dès l’annonce ma sentence, je dus me dévêtir entièrement car les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements, et je fus conduite nue à mon lieu d’incarcération sous l’œil des caméras. La retransmission de ce type de procès était devenue monnaie courante depuis la formation de la suprême alliance démocratique. L’humiliation publique sert d’exemple pour faire réfléchir ceux qui seraient tentés par des comportements anti-démocratiques, et, cerise sur le gâteau, fait une audience monstre qui rapporte un pactole en contrats publicitaires à la filiale « Information& Entertainment » de la BAFC. Alors que le drone de la télévision s’approchait de l’un des pylônes, on commençait à distinguer la petite plateforme convexe qui le surplombait, associée à une structure qui ressemblait à un perchoir. Plusieurs anneaux et crochets y étaient judicieusement disposés. Puis la caméra pivota rapidement et l’on put apercevoir au loin le vol majestueux du grand chrysaor cendré, un oiseau à l’envergure impressionnante qui vivait dans les cimes himalayennes, espèce nouvelle apparue lors de l’accident nucléaire de 2022. Résultat de mutations accélérées, l’oiseau puissant et véloce migra rapidement vers les montagnes Tibétaines, dont le climat correspondait mieux à sa nouvelle physiologie. La retransmission fut interrompue pour relater, images à l’appui, le succès d’une opération militaire éclair en Asie centrale. Les meutes de drones de la suprême alliance, les « Freedom Spikes », puissamment armés, constituent le fer de lance de l’avancée de la démocratie dans le monde. « Peints aux couleurs de la liberté, ils représentent pour les populations encore sous le joug de la tyrannie, le formidable espoir d’un avenir meilleur » commentait, avec enthousiasme, le journaliste. Puis un petit intermède rappela comment l’humanité avait pris le chemin du meilleur des mondes lorsque les dirigeants Occidentaux et Chinois, devant l’évidence sans cesse croissante de la convergence de leurs modèles sociaux, décidèrent de mettre fin à un antagonisme qui n’avait plus lieu d’être et d’œuvrer de concert pour former la suprême alliance démocratique, une puissante fédération aux objectifs progressistes. Le siège du pouvoir central a été localisé à Pékin, berceau de la démocratie moderne. *** Episode 2 : La préparation C’est alors que la porte de ma cellule s’ouvrit et qu’un gardien, sourire aux lèvres, vint m’en extraire. Les gardiens faisaient des pieds et des mains pour être affectés au bâtiment Est, dans lequel les ennemies de la démocratie sont incarcérées, nues en permanence. Je fus conduite de salle en salle, pour des examens médicaux approfondis. Bien qu’interminables, les examens n’avaient rien de pénible, et pourtant, de temps à autre, j’entendais les hurlements de prisonnières qui m’avaient précédée, ce qui n’était guère rassurant. Arrivée dans la dernière salle, je fus solidement attachée en position gynéco, pour la mise en conformité de ma chatte. Ce fut à mon tour de hurler. Pourtant je savais que cette opération était indispensable et qu’il en allait de mon intérêt et peut-être même de ma survie. Bien que pratiquée sans anesthésie, la mise en conformité réglementaire des chattes est réalisée avec le plus grand soin par du personnel expérimenté. Après l’élimination de tout le superflu et une épilation définitive accélérée – telle que permise par les progrès de la technologie – les grandes lèvres sont soigneusement cousues après avoir été scarifiées au point de contact. Elles fusionneront solidement, laissant juste une minuscule ouverture pour les besoins naturels, et les fils seront retirés lorsque l’assemblage sera jugé suffisamment solide. L’opération terminée, je n’avais plus de larmes ni de salive tellement j’ai hurlé, pleuré et bavé. Je pensais être reconduite dans ma cellule à l’issue de ma mise en conformité, mais c’est dans une grande pièce commune que je fus conduite. Cinq cages y étaient disposées et après m’avoir introduit un plug anal, le gardien me fit entrer dans l’une des deux encore libres. C’est là que je passai les jours suivants, le temps que ma chatte cicatrise. L’espace restreint permettait peu de mouvements et l’inconfort était pesant. Les sorties de cage étaient rares, mais à chaque fois vécues comme un moment de bref bonheur. Le temps est long quand on n’a rien à faire et interdiction de communiquer avec ses voisines sous peine de punition. Bien que je ne pus les interroger, je vis que leurs chattes également avaient été mises en conformité, ne laissant plus guère de doute sur le fait que nos destins étaient à présent liés. Le protocole était toujours le même : introduction d’un plug anal à l’entrée en cage, retrait à la sortie. A mesure que le temps passait les diamètres augmentaient. C’était franchement désagréable mais je savais que cette dilatation contribuerait à ma sécurité dans un proche avenir, alors je mettais toujours la meilleure bonne volonté pour faciliter mon introduction. Depuis le début de la décennie, l’état de santé d’une grande partie de la population s’est peu à peu dégradé. Certains scientifiques ont mis cela sur le compte de l’accident nucléaire, d’autres sur le compte de la pandémie du début de décennie. Quelques uns, minoritaires, ont évoqué une autre cause, mais ils ont été rapidement internés en hôpital psychiatrique et on n’en entend plus parler. Fort heureusement, le chrysaor cendré nous apporte de grands espoirs pour répondre efficacement à ce fléau. Les jours, peut être les semaines, ont passé, lentement, très lentement. Je sus que le grand jour était arrivé lorsque j’entendis le brouhaha des journalistes, qui allaient à présent nous suivre pas à pas. Extraites de nos cages, sous l’œil des caméras qui ne se gênaient pas pour faire des gros plans sur nos chattes lisses et définitivement fermées, et les commentaires des journalistes qui expliquaient pourquoi nous avions été préparées ainsi, nous fûmes conduites par hélicoptère jusqu’à un bâtiment situé au pied des pylônes. Depuis trois jours nous n’étions plus nourries – cela faisait partie du protocole de sécurité. Arrivées dans le bâtiment, nous dûmes néanmoins, par mesure de précaution, subir plusieurs lavements profonds pour garantir que nous étions totalement vides à l’intérieur. Suite à quoi nos anus furent copieusement lubrifiés. Le médecin chef, en charge du programme scientifique, ne tenait à prendre aucun risque. Il en allait de sa responsabilité. Les pylônes ont été érigés l’année dernière. Ils ont d’abord servi de lieu de supplice pour les condamnés. Attachés nus en haut des pylônes, ils devenaient la proie facile du grand chrysaor cendré, qui les déchiquetait et se nourrissait de leurs chairs. Retransmis en direct par les caméras de la filiale Information&Entertainment de la BAFC, ces évènements firent des records d’audience. Ce spectacle, qui aurait pu paraître choquant il y a seulement une dizaine d’années, était à présent très apprécié et regardé en famille et entre amis. Les mentalités ont beaucoup évolué en peu d’années. Les journalistes ont efficacement sensibilisé les citoyens aux dangers que représentent ceux qui s’écartent du droit chemin en mettant en doute la réalité du progrès social apporté par la suprême alliance et attisé la haine envers ceux qui ne respectent pas scrupuleusement les lois relatives aux multiples pass qui cadrent à présent la vie sociale, pour le bien commun. La très grande majorité de la population considère que les suppliciés méritent amplement leur sort. Le mois dernier, le monde entier a été témoin en direct d’un évènement inattendu. Pour la première fois, une femme, Ysideulte, faisait partie des suppliciés. Auparavant les femmes étaient dispensées de ce supplice cruel, mais la police du net ayant découvert qu’Ysideulte diffusait sur un réseau crypté clandestin des informations tombant sous le coup de la loi anti fake news, sa dangerosité pour la démocratie a été jugée suffisamment grave pour qu’elle subisse, elle aussi, le supplice. Contrairement à toute attente, le grand chrysaor l’a enveloppée de ses ailes dans un mouvement protecteur, et l’a ainsi choyée et réchauffée pendant de longue minutes, avant de lui pénétrer la chatte avec sa bite phénoménale. Chaque spectateur a pu percevoir à quel point la vigueur avec laquelle il l’a baisée traduisait l’excitation qu’elle lui procurait, et beaucoup en ont été émus jusqu’aux larmes. Par chance, malgré d’importantes blessures, Ysideulte a survécu à cet accouplement brutal. Une fois redescendue du pylône, les scientifiques ont pu faire sur elle de multiples prélèvements et découvrir les propriétés exceptionnelles des spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré. Depuis cette découverte, les pylônes ne servent plus au supplice de condamnés, mais à des expériences scientifiques. Ysideulte a été réhabilitée, pour services rendus à la démocratie, bien malgré elle, et en son honneur le lieu a été rebaptisé « le perchoir d’Ysideulte ». De par leurs analyses, les scientifiques ont estimé que lors de l’éjaculation, le sperme du grand chrysaor cendré est éjecté avec la pression phénoménale de 50 à 200 Newtons au cm carré. C’est ce qui a causé des blessures à la pauvre Ysideulte, comme si elle s’était mise un karcher dans la chatte. L’ironie de l’histoire est que le grand chrysaor ne voulait certainement pas lui faire de mal mais au contraire lui témoigner son affection en l’ensemençant comme il se doit. D’après l’examen des vidéos haute résolution, l’éjaculation est précédée d’une sortie continue de sperme, à faible pression, pendant toute la durée de l’accouplement. Il a été estimé qu’au total la quantité de sperme pouvait atteindre le demi-litre, mais ce n’est qu’une estimation car Ysideulte n’en avait retenu qu’une très faible partie en elle. Les modèles informatiques ont montré qu’une injection anale et non vaginale réduirait considérablement les risques de blessures. Sous réserve, évidemment, que la femelle ait été bien préparée, lubrifiée, et son colon parfaitement vidé, afin qu’il puisse servir de vase d’expansion et ainsi atténuer la violence de l’éjaculation. C’est la raison pour laquelle ma chatte a été fermée : s’assurer que je serai sodomisée et ainsi réduire les risques de séquelles graves. Car, oui, en tant que condamnée pour la cause la plus infâmante qui soit, j’ai été intégrée de force à ce programme scientifique, qui permettra peut être à l’humanité d’éviter l’extinction. Les spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré traversent sans difficulté les tissus humains et se répandent dans tout le corps. Par un mécanisme non encore élucidé, ils ont un effet réparateur sur les organismes humains affaiblis. La filiale pharmaceutique de la BAFC espère reproduire artificiellement ce mécanisme et ouvrir ainsi un formidable marché dans lequel la population humaine à la santé déclinante s’engouffrera sans hésiter. *** Episode 3 : Sur le perchoir Un système entièrement automatisé me hisse en haut du pylône et, arrivée à destination, des bras robotisés m’attachent solidement. Aucune intervention humaine n’est nécessaire: ce serait bien trop dangereux, mes gardiens risquant d’être déchiquetés par l’oiseau. Malgré sa puissance bestiale, le grand chrysaor cendré est un oiseau méfiant et extrêmement intelligent. Personne n’a jamais réussi à le capturer ni à le suivre jusqu’à sa tanière. Il sait brouiller les pistes et semer les drones envoyés à sa poursuite. On a bien tenté de mettre un piège sur la plateforme, mais son instinct l’en a éloigné. Cela fait des dizaines de minutes que je suis attachée et toujours aucun oiseau à l’horizon. Le vent est glacial sur ces sommets et je suis totalement nue, en bas pour les besoins de la sodomie, mais aussi en haut parce que les spectateurs aiment que les mamelles soient visibles et bien pendantes. Pour celles qui ont une modeste poitrine comme moi, de lourdes charges oscillantes sont suspendues aux mamelles, pour les étirer et en amplifier le mouvement. Nous devons respecter les désirs de nos téléspectateurs a déclaré le directeur de la filiale Information&Entertainement de la BAFC. Je ne suis pas la seule. Au total 5 pylônes ont été érigés et une femelle a été attachée au sommet de chacun d’eux. C’est meilleur pour l’audience, et en général le grand chrysaor cendré a assez de ressources pour ensemencer 2 ou 3 femelles à la suite. Cela permet de multiplier les prélèvements et les analyses. Celles qui n’auront pas eu la chance d’avoir ses faveurs n’échapperont pas pour autant à leur sort car elles feront automatiquement partie du groupe suivant. Autant dire que chacune d’entre nous nourrit le secret espoir d’être plus attirante que ses voisines. Les minutes passent, interminables, et malgré l’angoisse, je sens que je m’assoupis. L’effet du froid, probablement. Le bruit d’un puissant battement d’ailes me sort de ma torpeur, juste à temps pour voir l’oiseau fondre sur ma voisine de droite et lui témoigner son affection avant de la sodomiser sans ménagement. C’était sans conteste la plus jolie de nous cinq. L’oiseau a bon goût. Les hurlements de terreur de la pauvre fille me glacent le sang, et pourtant, désirant ardemment être la prochaine, pour que l’on en finisse, je remue les fesses du peu que mes liens me le permettent, espérant attirer le volatile. Le voilà sur moi. Malgré le stress, la douceur de ses plumes et la chaleur de son corps me procurent une sensation de réconfort. Je crois avoir un avantage sur mes voisines : ayant vécu une relation Maître/esclave pendant plusieurs années, j’ai l’habitude d’être sodomisée sans ménagement et j’ai été dressée à la dure. J’espère, sans trop y croire, que cela rendra mon supplice plus supportable. La grosse bite du volatile me pénètre d’un coup et me ramone copieusement avec une vigueur qu’aucune fucking machine ne pourrait atteindre, m’arrachant des hurlements de terreur, qui se poursuivent par des cris d’agonie alors que l’éjaculation me déchire les entrailles. Je n’ai plus qu’une vision floue de ce qui m’entoure et je lutte pour rester consciente, me rendant néanmoins compte que le grand chrysaor cendré est toujours là et s’affaire autour de mes liens. Son puissant bec finit par en venir à bout et il m’emporte dans un mouvement si violent que je perds connaissance. *** Epilogue Je me suis réveillée dans un lieu qui ressemblait à une grotte, et j’ai eu un mouvement de recul lorsque j’aperçus l’oiseau près de moi, me regardant fixement. Je n’eus pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre ce qui m’était arrivé. Aujourd’hui, je ne sais plus exactement depuis combien de semaines ou de mois je suis là. J’aurais dû noter les jours. Le grand chrysaor cendré est très attentionné, voire affectueux, mais si je ne lui présente pas correctement mon cul dès qu’il bande, il me rappelle à l’ordre d’un coup de griffes qui me laisse marquée pendant plusieurs jours. Maintenant ça va mieux. J’ai appris à surveiller sa bite en permanence et à me mettre en position sans traîner dès les premiers signes. S’il m’apporte quotidiennement quelques fruits collectés dans la plaine, c’est principalement par le cul qu’il me nourrit, de son sperme bienfaisant. Chaque jour j’en ressens un peu plus les effets : plus forte, l’esprit plus clair, en meilleure santé. Mon corps et mon esprit s’habituent peu à peu à ces sodomies brutales, mais je n’arrive toujours pas à réprimer mes hurlements pendant qu’il m’encule. La douleur est trop intense et la brutalité de l’accouplement trop terrifiante. J’ai appris à bien garder le sperme en moi pour profiter au maximum de ses bienfaits et j’avoue prendre du plaisir à me sentir ainsi remplie. De plus, cela a un effet réparateur sur les blessures causées par chaque sodomie et procure un lubrifiant naturel en prévision de la prochaine pénétration. L’oiseau s’est pris d’une grande affection pour moi, il me réchauffe quand il fait froid et me sodomise plusieurs fois par jour. Depuis peu, j’ai entrepris de danser pour lui chaque soir, peu avant la tombée de la nuit, et il semble apprécier, me regardant calmement et attentivement. Parfois j’ai l’impression qu’il me parle, mais peut-être est-ce mon imagination qui me joue des tours. Je crois qu’il ne visite plus les pylônes depuis qu’il a une esclave sexuelle à sa disposition 24h/24. Dommage pour le programme scientifique. Lorsqu’il part à la chasse, je m’approche du bord de sa tanière à flanc de falaise – pas trop car j’ai peur de tomber - où je peux admirer un magnifique paysage propice à la méditation. Parfois j’aurais aimé que ma chatte soit encore ouverte et fonctionnelle mais je sais que cela me ferait courir de grands dangers. Finalement je me suis faite à ma nouvelle esthétique – parfaitement lisse entre les cuisses, la fente n’étant plus qu’un lointain souvenir - et plus je me regarde, plus je me trouve jolie ainsi. La compagnie des humains me manque, même si, malgré le programme de rééducation citoyenne que j’ai subi, je suis encore un peu dubitative quant au meilleur des mondes promu par la suprême alliance démocratique. Mais je me console en me disant que mon Maître aurait aimé cette issue. Sperme, sodomie et discipline, c’est tout ce dont une femelle a besoin, se plaisait-il à dire. [Edit] Ce n'était pas prévu initialement, mais les encouragements des lecteurs m'ont ultérieurement incitée à écrire d'autres articles - pas directement une suite de celui-ci, mais une histoire parallèle, connectée à celle-ci, une vision du même monde à travers d'autres yeux. Si cet article vous a intéressé et que vous souhaitez découvrir les autres, la liste est ici (à lire de préference dans l'ordre chronologique de publication): https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog
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Par : le 16/08/22
-Colonel Valeri, j'ai encore une mission spéciale pour vous. -S'il s'agit d'aller botter le cul des $$££#!! américains, des anglais et autres qui se battent en Ukraine, je suis toujours partant. Vous le savez bien. -Oui, c'est de cela dont il s'agit. Les Américains et les anglais bombardent la centrale de Zaporijia pour essayer de provoquer une catastrophe nucléaire. Ils pensent qu'ils ne risquent rien sur leur ile ou de l'autre coté de l'Atlantique. Les nuages radioactifs seront pour l'Europe. -on pourrait raser toutes les villes américaines et anglaises et couler tous leurs portes avions. Ils ne peuvent pas arrêter nos missiles hypersoniques. Le général Makarov rit de la boutade et sort une bouteille de Vodka. -Pour l'instant les ordres c'est de les laminer sous des déluges d'obus et de missiles et d'avancer doucement pour protéger nos hommes. Rien ne presse. Votre nouvelle mission c'est d'aller repérer des batteries étrangères à 50 km de Zaporijia et de les signaler. Nos missiles feront le reste. Ce qui va vous intéresser c'est qu'un ensemble de lance missiles est tenu par une générale US, Jennifer, gradée de Wespoint, une lesbienne pure, une folle qui oblige ses marines à pisser accroupis comme des gonzesses. C'est pour leur sécurité il parait. Pisser debout c'est faire de vous des cibles, qu'elle leur raconte. Voici ses photos. Elles vont vous plaire. -Pas mal du tout cette bouffeuse d'hamburgers et de chattes humides. Pas mal du tout. Elle doit avoir un cul bien serré. -Vous aller avoir l'occasion de vous la taper. Nous avons réussi à l'alpaguer avec la sublime Lena, notre agent spécial parmi les forces ukrainienne. Jennifer est devenue complètement folle de sa chatte blonde. Elle se la tape tous les soirs. Nous la tenons. -Da, entre des cuisses bien humides. Le général remet une enveloppe avec toutes les instructions au Colonel Valeri. Ils trinquent encore, avec une excellente Vodka. -A la Russie éternelle. -Au joli cul de cette $$$###! de jennifer. Avant il faut que je passe aux transmissions voir mon officier de liaison. Ils rient de bon cœur et trinquent encore. Le Colonel Valeri s'eclipse et file vers le bunker des transmissions retrouver la sublime Assya, une bombe sexuelle, blonde et bien galbée de partout avec des yeux de félin gris bleu avec des pointes d'émeraude. Il la trouve devant son ordi et des écrans. Il se glisse comme une ombre, l'empoigne par la crinière, la couche sur son bureau, la trousse et la sodomise d'un coup violent. Assaya hurle de douleur. Valeri n'en a que faire. il la pistonne comme un sauvage. A présent elle hurle de plaisir. On doit l'entendre dans tout le bunker. Valeri explose sa jouissance en elle. Il n'en a rien à foutre du plaisir d'Assya. De toute façon, les femmes russes sont comme des poêles en céramiques. Longues à chauffer et inarrétables ensuite. Quelle belle salope cette Assya. Elle en redemande encore et encore. Il faut être le colonel Valeri pour tenir la cadence avec cette championne nympho de l'armée russe. Assya ne le laisse qu'après l'avoir complètement vidé de tout son sperme et plus. Elle rajuste sa jupe et reprend son travail comme si rien n'était, redevenue plus froide qu'un glaçon de l'Arctique. -On fait comme d'hab. Allez file. Je vais prendre soin de toi. Veleri s'éclipse, sa grosse enveloppe à la main. Il va l'étudier dans sa cabine. Il est entrainé à tout mémoriser. aucune note. Il est heureux d'avoir Assya comme officier de liaison. C'est presque une partie de lui même. Elle ne fait jamais défaut dans cette guerre impitoyable du renseignement militaire. Ce que le Colonel Valeri adore c'est traverser les lignes ennemies comme une ombre. Le loup de l'Oural, c'est son surnom, est vraiment incroyable. Personne ne le voit, ne l'entend, pourtant lui observe tout et transmet tout à Assya qui fait le reste pour l'artillerie. Plus de 50 km parcourus, il se rapproche des lances missiles commandés par Jennifer. Cela l'amuse. Il adore prendre des risques et cela lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Il contourne des postes de sentinelles, toutes américaines. Cela le fait sourire quand il pense à la propagande occidentale et à ses conneries sur le rôle défensif de l'otan, la non belligérance et j'en passe. Ils sont bien là et tirent bien sur l'armée russe avec le meilleur de leur technologie. Il repère le logement de Lena à l'intérieur du périmètre de défense des américains. Encore une sentinelle, une femme black superbe avec son fusil d'assaut sur la poitrine. La garde du corps de Jennifer probablement. Il en renifle la présence. Il neutralise cette sentinelle au couteau, sans le moindre état d'âme. De toute façon elle n'a rien senti avec sa lame noire plus coupante que le meilleur des rasoirs. Valeri arrive dans la chambre. Il trouve Jennifer en train défoncer la chatte de Lena qui couine au feeldoe. Un bon atemi derrière la nuque et Jennifer s'effondre ko. -Nous n'avons pas beaucoup de temps. Allons à la cave. Il soulève jennifer, qui pourtant fait bien son poids comme beaucoup d'américaines, comme si de rien n'était. A la cave il trouve de quoi l'attacher et la bâillonner. Quelques baffes suffisent pour la réveiller. Elle est tétanisée de peur. Elle se pisse dessus. C'est vrai que Valeri pue la mort. Elle sait qu'elle vit ses derniers instants. Valéri la retourne et la sodomise d'un coup. Le pire outrage pour une lesbienne. il lui remplit les fesses et la chatte de son sperme puis la neutralise pour toujours. Il remonte avec Lena dans la chambre. Là il ne fait pas semblant. il la bâillonne, la tabasse hard et l'attache. Puis il prend une latte en bois et lui marque bien son joli cul bombé. Il lui enfonce dans les fesses le feeldoe de Jennifer. Il essaie de bien maquiller pour faire croire à une agression par un détraqué sexuel. La survie de Lena en dépend. Il pose un baiser d'adieu sur son front et repart comme une ombre. Dans quelques heures l'alerte sera donnée et les ricains voudront couper les couilles du détraqué qui a liquidé leur générale. Il est temps de refranchir les lignes ennemies comme une ombre. Il transmet toutes les positions à Assya. les missiles russes ne tardent pas à faire un bon nettoyage. Cela lui donne du temps. Quelques jours plus tard il retrouve Assya dans son bunker. -Cela te dit quelques jours de permission avec moi en Crimée? La bombe sexuelle ne s'est pas faite prier. De toute façon elle dit toujours oui au Colonel Valeri. Elle aussi adore son job. La morale de cette histoire c'est que les hommes ne doivent pas pisser assis comme des gonzesses.
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Par : le 08/08/22
Valeri a toujours aimé l'armée et la guerre. Depuis tout petit il ne rêve que d'aller se battre sur tous les fronts, entendre les obus éclater, les chars rugir comme des fauves d'acier. La chute de l'Union Soviétique a été un traumatisme pour lui. Quel con ce Gorbatchev a croire les balivernes de l'occident. Quel ivrogne cet Eltsine à laisser dépecer l'héritage de Staline. Il s'est engagé tôt et a demandé à rejoindre les forces spéciales, les redoutables spetnaz. Il a combattu partout, Tchétchénie, Ossétie, Syrie. A présent il est toujours en première ligne en Ukraine. Il est bardé de décorations et ses hommes l'appellent le loup de l'Oural. Il adore se glisser seul et de nuit dans les lignes ennemies, repérer les positions adverses et les signaler à l'artillerie qui écrase tout ensuite dans un déluge d'obus. Il aime joindre l'utile à sa passion pour la guerre. Il drague les ukrainiennes pro russes de l'autre coté de la ligne de front et part les retrouver de nuit. Il apporte toujours du caviar et de la bonne vodka. Le danger lui donne toujours envie de baiser. Il fait nuit noire. il se glisse entre les arbres tel une ombre. c'est un as du camouflage. Il adore le no man land, cette zone étrange et si paisible parfois. Il est déjà sur la ligne des ukrainiens. il repère les sentinelles, observe et se glisse. il est bien le loup de l'Oural, il voit mais lui reste invisible. Il signale les coordonnées précises de toutes les positions qu'il observe, là un nid de mitrailleuses, là un obusier, là une batterie anti char. Dans quelques heures, ses potes de l'artillerie feront le travail de nettoyage à l'obus de 122 mm. Il est temps pour lui de rejoindre la belle Elena. Ce doit être là, dans cette maison. Il se méfie. Une fois les commandos adverses lui ont tendu un piège avec une fausse annonce sur Tinder. Visiblement ils voulaient le choper et lui couper les couilles. Mais bon, on ne coince pas comme cela le loup de l'Oural. Il les a tous envoyé dans l'Hadès avec son noir couteau plus coupant qu'un rasoir. Personne, il se glisse dans la maison, Elena est là, nue sur son lit. Il pose sa main sur sa bouche. Elle ne se débat pas. Elle offre sa croupe généreuse. Valéri deteste les péliminaires. Il ouvre son pantalon, sort son gros sexe tendu et il la sodomise d'un coup. Elena voudrait hurler tant la douleur est forte mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent ...et c'est chose étrange, comme une ombre de mort sur elle et au plus profond d'elle. La douleur se dissipe. Elle s'offre et s'ouvre. Les coups de pilon lui arrachent des ondes de plaisir. elle se pisse dessus. Cde n'est pas une femme fontaine, c'est une femme piscine. Valéri explose de plaisir dans ses reins. Pas un mot. ils boivent la vodka et dégustent l'excellent caviar. Puis Valéri la prend debout, toujours par derrière. Il adore sodomiser une nana au joli cul bien bombé. Il explose encore. Il l'a reprend a quatre patte sur le parquet, toujours dans les fesses. un vrai marteau piqueur. Il jouit encore lorsque les premiers obus russes tombent sur les positions qu'il a signalées. Une douce musique pour lui. - tu peux brailler maintenant. Elena ne se prive pas et hurle ses orgasmes. Les bombes qui pleuvent, la mort qui rode, cela l'excite beaucoup. Valéri a prévu de rester toute la journée avec elle. A présent il fait jour. l'artillerie s'est tue. On entend les cris et les ambulances. Elena se love contre son amant. -fouette moi fort, j'aime cela. Valeri ne s'est pas fait prier. Il attache Elena avec des câbles électriques et prend le temps de bien la rougir. C'est vraiment une jeune femme superbe. Le danger omniprésent les excitent au plus au point. Là nuit est de nouveau là. Il est temps pour le loup invisible de l'Oural de repartir. Il laisse un paquet de roubles sur la table de nuit d'Elena. Ce n'est pas une prostituée, mais Valeri est généreux, surtout avec les fonds spéciaux. -A bientôt Elena, et reste prudente. Dans quelques jours nous viendrons te libérer de ces $£"# urkrainiens shootés à la propagande occidentale. Patience, nous sommes en train de réparer les conneries de Gorbatchev et de l'ivrogne. La morale de cette histoire c'est qu'un ivrogne sur le dos d'un faible, c'est pleurs, larmes amères et pluie de 122mm.
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Par : le 04/12/21
LE PETPLAY Le BDSM comporte une myriade de pratique, allant du plus soft jusqu'à l'extrême, de l'ordinaire en passant par l'exotique. Parmi les pratiques les plus anciennes de l'homme, il y en a une qui a su se démocratiser au cours des années 90 / 2000 : Le Pet Play, le fait d'incarner plus ou moins un animal que l'on a au fond de nous. Le Pet Play généralement se découpe en plusieurs archétypes d'animaux récurrent, mais rien empêche la personne d'en choisir un qui n'est pas dans la liste (mais qui sera en contrepartie forcément moins documentée, voir inexistant en termes de communauté). Les Canidés [Chiot / Chien / Loup] Félins [Chat / Chaton / Lion] Équidés [Poney / Cheval] ========================================================= DIVERSES ORIGINES Le PetPlay à beau paraitre neuf au regard de beaucoup de personne, elle est pourtant une des pratiques les plus vieilles du monde au sein de l'humanité. Les premières tribus humaines possédaient toujours un shaman qui incarné le croisement de la vie sur terre, faisant le lien entre le terrestre (la faune et la flore) et le Divin (aspect céleste / spirituel immatériel), ne faisant qu'un avec l'ensemble et formant ainsi un tout réunie en son sein. Si la figure du Shaman c'est quelque peu perdu au fil des siècles en Occident, elle perdura du côté de l'Afrique et de l'Amérique Amérindienne (Animisme). Le PetPlay peut se retrouver aussi dans une commune mesure dans l'antiquité, que cela sois à travers la figure des Amazones, femme farouche comme des "lionnes", ou encore et surtout, de par la figure du Minotaure revêtant à la perfection la notion de (demi) Dieu Homme - Animal. L'histoire de sa conception fait elle-même écho à sa propre nature. Puisque la légende raconte que Minos pour obtenir le trône, fit intervenir Poséidon en personne qui lui envoya un taureau ayant son nul autre pareille au monde. Plutôt que d'honoré sa promesse, Minos se moqua de Poséidon en sacrifiant non pas le taureau envoyer par ses soins, mais un vieil animal malade. Le Dieu rentra par la suite dans une colère noire lorsqu'il se rendit compte du vulgaire subterfuge. Il decida d'échafauder un stratagème pour punir Minos de son inconduite : Envouter sa femme Pasiphaé pour la faire tomber amoureuse du taureau. Avec l'aide de l'architecte Dédale, elle conçut un costume sous forme d'habitacle afin qu'elle puisse être en phase totale avec son nouveau rôle et enfin assouvir sa passion dévorante... 9 mois plus tard je vous laisse devinez la surprise. En dehors de l'aspect historique, c'est bien entendu dans l'art que l'on peut retrouver une certaine représentation de Petplay et ce, jusque dans la pop culture. On pourrait parler des Fury, sans l'aspect sexuel voir comportemental mais avec une simple projection d'eux même en animal virtuel, tout autant que l'aspect filmique, à l'instar de long métrage comme Cat People. Dans le film en question une femme a le pouvoir de se changer en Panthère, entrainant tout un tas de situation allant du plus burlesque au plus dramatique. Je vous épargnerai bien entendu la figure du Loup Garou, la synthèse parfaite entre un homme et un loup. Mais, cela serait oublié que dés notre enfance nous sommes aussi exposé à ce genre de représentation : Les Comics en simple exemple. Et la ce n'est pas ce qui manque niveau diversité, entre Spiderman, Le Fauve, Wolverine, Catwoman, Stargod (l'homme loup), Black Cat, Batman... Difficile de faire la fine bouche ou, de ne pas trouver chaussure à son pied lorsqu'on est un tant sois peu sensible au sujet. ========================================================= LES DIFFÉRENTS PROFILS Le PetPlay dans le BDSM compte comme adepte les PetGirl (femme) et, PetBoy (Homme), il se découpe généralement en 3 catégories : Chien, Chat, Cheval généralement. En termes de proportion, difficile d'établir une base de donné en l'absence de chiffre, mais de mon expérience personnelle, je découperai cela ainsi: 60% de Chien / 30 % de Chat / 9 % de cheval / 1% de autre. Ressentir le fait d'être un animal n'est pas anodin, et il est rare que quelqu'un décide d'en incarner plusieurs à la fois. Le PetPlay permet de se rapprocher d'une animalité que l'homme a perdu avec le temps, à chaque animal son tempérament et sa nature qui correspond à un adepte en qui cela résonnera. Dog Play: Il est ici question de comportements canins ou, plus communément appeler "chien" ou "chienne". On lui associe souvent le cuir mais ce n'est pas un impératif, loin de là. Le PetPlay est loin d'être uniforme, on pourrait associer cela à des paliers d'animalité. Certaines personnes se contenteront d'être promener en laisse, tandis que d'autre iront un cran au dessus en mangeant en gamelle, voir en faisant ses besoins en litière ou dehors. On peut encore aller plus loin pour les plus investies, en faisant en sorte que la personne adopte totalement et entièrement le rôle d'un chien. Celui-ci fonctionne en attachement avec son Maitre certes, mais il doit aussi pouvoir s'inclure dans un groupe de Petplay, avec une attitude à avoir selon le profil du ou, de la soumise (Alpha / Bêta / Omega) au sein de la meute. Quelque sois le niveau du pratiquant : Le dressage est de mise pour pouvoir parfaire ou, évoluer dans sa pratique. Un os peut être fourni, une niche de construit, seule vos limites et votre imagination mettront un frein à tout cela (et peut être aussi votre portefeuille ;) Cat Play: Nos amis les chats sont à l'honneur ici, et même si une large partie des personnes joue le rôle d'une chienne, certain préfère celui d'une petite chatte... Avec ses différences de comportements à noter. Un chat par nature est bien plus indépendant qu'un chien qui restera la plupart du temps aux pieds de son Maitre. Le PetPlay en incarnant / dirigeant un chat, est bien plus observateur qu'acteur. On intervient mais peu en tant que Maitre, le chat fait sa vie, viendra se blottir à vous ou non. Vous pouvez bien entendu tenter de dresser votre chat comme un chien, mais rappeler vous avant tout de son caractère et surtout, de la nature de son rôle choisie. Pour les plus rigoureux, les gamelle d'eau et de nourriture sont à prévoir, ainsi qu'une litière et, peut être, si vous avez de la chance : une chatière afin de bien faire les choses jusqu'au bout (ainsi que quelque bout de carton, les chats adorent s'amuser avec). Pony Play: Cas plus rare mais on ne peut plus intéressant : Le Pony Play. Assez différent du Dog et du Cat Play, le Pony Play s'accentue davantage comme un faire-valoir d'usage pour son Maitre (on peut en tout logique chevaucher son cheval ou sa jument). L'adepte au niveau de sa pratique peut rester soft (léger accoutrement, quelque tour dans la nature en galopant), voir aller plus loin en recevant des coups de cravache ou,en ayant une grange aménager voir, un charriot tiré pour son Maitre pour les plus engagés. ========================================================= VIE QUOTIDIENNE : Comme pour toute pratique lier au BDSM, cela rentre dans le contrat qui lie le ou, la soumise à son Maitre / Maitresse. En d'autre terme : il n'y a pas d'obligation à respecter pour dire que votre pratique est valable ou non (c'est plus votre engagement lorsque vous décidez de l'incarner qui fera la différence). Vous pouvez très bien définir avec votre Maitre / Maitresse que vous ne ferez cela uniquement que le week-end, quand d'autre demanderons quelque chose de plus soutenu et donc, déborderont sur la semaine... Sans oublier ceux pour qui tout cela est une évidence, désirant vivre cela H24 en dehors de leur obligation (pro, ami, famille etc...). Le plus important, est votre bien être, prenez le temps de réfléchir si cela vous parle et, si c'est le cas : jusqu'à quels degrés ? En faisant cela vous éviterez les déconvenues avec votre Dominant, tout en profitant de ce que vous aimez vraiment sans retenu. Giovanni Scaletta *Le dessin fut réalisé par mes soins pour illustré l'article, afin qu'aucune ressource artistique ne soit volé.
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Par : le 15/10/21
*Je recommence à rapatrier mes textes de fetlife enfin celleux que je préfére* C'est toujours tellement touchy une relation D/s enfin moi j'ai toujours trouvé ça tellement touchy. Surement parce que toute ma vie, j'ai du obéir à des ordres. Des ordres genrés, des ordres religieux, des ordres d'attirances, des ordres de respectabilité, des ordres d'avenirs... Il fallait se respecter et envisager l'avenir. Mais que fais t-on quand aucun avenir ne nous intéresse ? Que fait-on quand on a pas envie de se respecter ? Que fais t-on quand on a en nous juste une colère sourde et indistincte qui nous tenaille le ventre. On désobéit je suppose. On apprend à désobéir jusque que ça en devienne absurde. Juste comme ça, par principe, par ténacité, par habitude. Alors oui les jeux d'obéissance ont toujours été difficile pour moi. Je ne suis pas venue au bdsm pour ça de toute façon. C'est juste un accident de parcours la soumission. "J'ai vu de la lumière" comme dirait l'autre... Il y a deux ans et demi après un événement traumatique j'ai choisi de me trouver un maitre et je le voulais plus violent que les autres, plus impitoyable. Parce que je voulais arrêter de sentir les choses, parce que je voulais que mes émotions soient étouffés dans une gaine de douleur, parce que je voulais que quelqu'un décide à ma place et n'être qu'une poupée entre ses bras. Juste en définitive parce que je me sentais pas la force de faire les choses et qu'à part gober des cachets je ne voyais pas bien quoi faire de ma vie. C'est comme ça que j'ai rencontré sam, qui sa mysogynie et sa transphobie mis à part est quelqu'un que j'ai toujours trouvé assez fascinant. Il cherchait quelqu'un qui n'avait pas peur de perdre et j'ai toujours eu un grand amour pour la tragédie alors on s'est assez rapidement bien entendu. Récemment on m'a demandé quels étaient mes meilleurs souvenirs avec lui et je me suis rappelée de ce banc. Un lieu rituel qu'on avait instauré sur ma demande pour quand j'avais besoin de faire un point ou juste faire une pause dans le type de relation qu'on avait instauré ensemble, pour quand ça devenait un peu trop étouffant. C'étais juste en face de chez lui, entre deux rues désertes dévoré par le silence et l'ennui. Le lieu idéal pour parler de nous. Sans règles, sans protocole, juste deux personnes queer paumés qui cherchaient à donner du sens aux choses. Je me souviens de ce jour, il me tenait par la main car j'étais pas capable de marcher toute seule. Il tapait toujours assez fort mais en même temps j'avais besoin de ça pour encaisser ma semaine, un nuage de douleurs pour dessiner un azur qui nous aurait donné envie de rêver. Et ce sentiment que t'es tellement défonce que tu pourrais t'évanouir la maintenant et peut être ne plus jamais te réveiller. Ce sentiment extatique d'être au bord du gouffre et de sentir le vide sous tes pieds. Je sens le contact du banc sur mes blessures, c'est frais et apaisant. Il gèle. Après la chaleur de son sous sol, le froid a quelque chose de doux. C'est toujours moi qui commence à parler, une maniére pour moi de reprendre le controle et d'être à l'initiative des choses : Merci pour la pause, j'en avais besoin. Oh c'est le deal trésor. Et puis je t'ai fais suffisamment morflé pour t'accorder ça sans soucis je pense. Il a la voix chaude, étrangement douce. Cela contraste tellement avec le reste. Parfois j'ai le sentiment que je pourrais tomber amoureuse de lui mais... Mais j'ai trop peur. Jamais je pourrais vivre ça h24. Pour le coté punk ça va mais mon coté walt dysney me manquerait trop. J'ai toujours eu un coté culcul la praline et c'est un coté qu'il n'aime pas. Sam...? Oui lilas je t'écoute (Je souris) J'aime bien quand tu m'appelle comme ça. Ca fait bizarre c'est sur mais je t'avais dis que je respecterais ça. Même si je comprend pas, je respecte. Tu m'avais dis la dernière fois que tu me dirais comment tu es devenu dom ? Il brossa sa barbe de trois jours d'un revers de la main l'air un peu embarrassé. C'étais rare qu'il manifeste une gène quel qu'elle soit et ça me rendait "avide" d'assister à ça. Il finit par dire en tendant les mains vers le lointain. Je pensais que tu avais deviné depuis longtemps. Ca semble évident non ? En fait je sais pas, on a rarement l'occasion de parler tu sais. Même si je te suis très reconnaissante pour chaque moment d'intimité que tu m'accordes. Une bouche ça peut mentir tu sais ? C'est simple en fait, suffit de parler et d'aligner les mots. Mais un corps ça s'est différent. Je préfère laisser parler les corps. Il avait en lui une espèce de douleur contenue en permanence. Comme quelque chose qui menaçait d'imploser d'une minute à l'autre. Au final c'étais la tout le problème de notre relation : on se ressemblait trop. Sa poésie sauvage faisait beaucoup trop écho à la mienne. Oui mais en l'occurrence mon corps communique beaucoup plus que le tien. Je ne suis pas vraiment pas à mon avantage à ce niveau la... Mais tu n'es pas venue me voir pour être à ton avantage non ? Oui touché en effet. Carrément pas pour ça. Je suis séropositif lilas. C'étais pas le genre à faire des blagues et en même temps il avait dit ça d'un ton extrêmement calme. Son ex était décédé du vih, l'une des rares choses qu'il m'avait dit sur lui, ceci expliquait cela... Je suis vraiment désolée. J'aurais du m'en douter oui et vraiment si j'ai été blessante par rapport à ça... Il se mit à rire. A rire assez fort en fait, le genre de rire qui désarme, un rire qui vous donne envie de pleurer tellement on y sens la rage. Tu vois c'est ce que j'adore avec toi. N'importe qui se serait mis en colère en entendant ces mots. Et toi tu es désolée ? C'est moi qui devrait être désolé... Quoi parce que tu m'a pas dis quand on s'est rencontré ? Tu n'avais pas à me le dire c'est ta vie pas la mienne. Si les autres abrutis sont pas capable de se protéger c'est leur problème. C'est pas ce qu'ils disent quand tu leur annonce. Souvent je me faisait insulter voir menacer tellement les gens étaient furax. Qu'ils aillent se faire foutre avec leur "t'es safe" à tout bout de champ. C'est qu'un ramassis de classiste/raciste/validiste et j'en passe et des meilleurs. Eux safe ? Fais moi rire. En fait être "maitre" ça éludait le problème. Je pouvais imposer mes règles du jeu. Et si ça plaisais pas ? Basta tu dégage ! Je comprend... Je pense que dans ces moments la ou au final j'étais le plus à lui. Quand je sentais quels douleurs le traversaient. Mon masochisme ne s'est jamais limité à ces moments de jeu qu'on appelle bdsm, c'est aussi chaque fois que je sens une douleur me percuter, que je la reçois, que je l'écoute. Que je sens à quel point elle vit la quelque part et à quel point elle est jolie. Il y eu un long silence après ça et peut être que ce jour la j'ai crié plus que d'habitude, j'ai encaissé plus qu'il n'aurait fallu, je me suis poussé plus loin que la raison ne voudrait. Pas pour se la jouer compétitive non, juste pour lui dire "Moi je te désire comme tu es et je te trouve joli comme tu es. Avec moi tu ne sentiras pas ce regard qui dit "ah désolée je savais pas..." et ce mouvement de recul, horrible et ignoble que certains se permettent." Oui surement que ce jour la je lui ai dis je t'aime. Mais à ma manière avec la discrétion d'un corps qui gémis. Son langage à lui en somme.
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Par : le 21/09/21
Deux semaines se passèrent sans que nous nous voyions. Nous avions chacun nos activités et vies professionnelles qui ne nous permettaient pas de caler nos agendas. C’était ainsi et nous ne faisions pas de plan sur notre prochaine entrevue. Quelques questions me trottaient en tête. Avait-elle été trop loin et la gêne l’aurait-elle emporté ? Si c’était le cas, cela ne changerait rien de toute façon. Je réfléchissais à la suite sans m’encombrer l’esprit du pourquoi et du comment. Toutefois, afin de tester son envie de continuer, je pris le temps d’aller jusque sa boîte aux lettres ou j’y déposais un petit colis. Une fois de retour chez moi, je lui envoyais un texto pour lui dire qu’elle avait un colis en attente dans sa boîte, mais qu’elle ne devait pas l’ouvrir jusqu’à notre prochaine entrevue. Je passe sur la série longue comme le bras de textos pour essayer de savoir ce que contenait ce colis. J’ai d’ailleurs coupé cours en lui disant que trop de questions finiraient par faire que je le reprendrai. Silence radio depuis ! J’avais pris soin de mettre une petite pastille avec un tampon spécifique pour être sûre que lors de notre prochaine séance, elle ne puisse tricher. Je ne fus pas étonné qu’elle me recontacte le lendemain. Le rendez-vous était pris pour dans deux jours. La connaissant, je l’imaginais aisément tourné en rond à se demander ce que pouvait contenir cette boîte. Deux jours étaient passés. Je regarde ma montre et me mets à la fenêtre. Elle est pile à l’heure. Pressée de savoir ce que contient la boîte sans aucun doute. Elle porte encore l’une de ces robes moulantes outrancières avec des talons hauts. J’entends ces pas dans l’escalier de ma maison. Je la devance et me place en haut des marches. Elle est surprise. – Bonjour ! Me lance-t-elle. – Bonjour ! Ne monte pas encore ! Je veux que tu montes ces marches à 4 pattes. Lui dis-je. https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-iii/
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Par : le 06/09/21
Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis. Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée. Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones. Découvrir l’objet Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres… Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Par : le 26/07/21
On a l'air de vouloir les différents types de dom. Je ne peux pas faire çà car je suis moi même dom. Mais je peux au moins vous parler des différents type de pulsion que j'ai pue ressentir quand je pratiquai. 1- Le fétichisme : La femme et l'homme sont beaux. Ils sont beau physiquement. Leurs formes sont parfaites, courbes, riches et érotiques. Leurs façon de bouger aussi, leur système nerveux, leurs émotions, les idées pure et délirantes qui les traversent quand on les stimule assez. On peut avoir envie de les posséder, de les collectionner et de les sublimer par le bondage. Les cordes se marie très bien avec les formes féminines. Les contrastes que l'on peut faire entre leur fragilité et un environnement dure sont enivrants. Les hommes sont symétriques et carrés, vigoureux, en lignes ils ont l'air parfait et on peut projeter sur eux les fantasme de puissance les plus inavoué. On a parfois envie d'instrumentaliser la femme et l'homme, en faire une statue, une œuvre d'art qu'on aimerait immobiliser et conserver indéfiniment. 2- Le possessif : La plupart des hommes ont eu des manques maternels ou bien de grandes frustration sexuel à leur adolescence. Pour cause, il leur manquait une ressource, la femme. Qu'il y a t il de plus rassurant pour un homme que d'avoir un harem? De posséder des femmes? La garanti de ne plus jamais subir le manque. On a envie de prendre la soumise, de la marquer au fer rouge avec nos initiale, de lui faire comprendre qu'elle est à nous pour toujours. On veut lui préparer une chambre, un collier, un cadenas, une chaîne, des règles d'étiquettes pour qu'elle reste toujours à sa place soumise à nos cotés. On la veut tout le temps disponible, entièrement nue. On veut pouvoir l’attraper par les cheveu et la jeter sur la table avant de la prendre par devant ou par derrière sans somation. On veut l'attraper par la cheville quand elle dort ou lui mettre directement la bite dans la bouche. L'homme on veut l'habiller, le mettre dans l'uniforme de son empire, on veut qu'il soit prés a mourir pour ses ordres, on veut qu'il nous doivent tout et qu'il ne soit rien sans nous. 3-Le contrôle : N'avez vous jamais était blessé par une femme qui vous humilie ou un homme qui vous abandonne? Ha le contrôle, la garanti de ne plus être déçut. Un bracelet à chaque main et à chaque cheville, des cadenas de partout et une seul clé autour de votre coup. Votre soumis(e) qui vous supplie de l'autoriser à aller uriner et vous qui reflechissez en le(la) fixant pendant ses plaintes. Le(la) nourrir à la cuillère les bras attaché dans le dos. Le(la) pluger tout les soir avant de lui ouvrir la porte de sa cage pour qu'il(elle) rentre dormir dedans. Enfermé elle (il) attendra que vous veniez lui ouvrir pour l'en ressortir. La(le) voir tendre ses mains pour qu'on les enchaînes à chaque fois qu'on le demande. Baisser la tête et découvrir son cou pour qu'on y place le collier avant la promenade. Apporter la cravache avec les yeux brillants, effrayé et désolé avant de découvrir ses fesses pour être punie. Le(la voir) trembler et sursauter à chaque coup et exiger qu'il(elle) compte. L'écouter remercier à la fin. 4-Le sadisme : te voila nue et fière devant moi, les bras attaché, les jambes qui tremblent légèrement. La nuit va être très longue. j'aime entendre tes cries a chaque coup, j’aime que tu essais de m'échapper sans y parvenir et que je te fouette encore plus fort. A la fin, je vois le violet sur tes fesse et je me rend compte de l'amplitude des souffrance que je t'ai infligé. Je te voit tremblotant(e), et j'ai envie de te mettre des claques parce que ça m’excite encore plus. Cela ne fait que monter, je sais qu'il y a des limites à ce que tu peux endurer mais je n'arrive plus à les sentir, il m'en faut toujours plus et toujours plus cruel. 5-L'empathie : J'aime la pureté de tes émotions par ce que moi je ne peux pas être pure. J'aimes voir disparaître ton humanité quand je te retire ta dignité car je sent la mienne disparaître en même temps. Quand tu n'est plus qu'un animal lubrique dépassé par ses propres pulsions j'ai l'impression d'être un chien qui renifle le cul d'une chienne. Comme les choses peuvent être simple pour les soumis(e) et comme c'est agréable d'être soit même sans avoir a regarder derrière soit.
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Par : le 15/07/21
Je dois avouer que je 'ennuis dans les uses sociales. C'est utile de se le cacher, mais les conventions au delà du confort qu'elles procurent servent surtout à aplanir nos vies. Ne jamais être déstabilisé, toujours savoir ce qui va arriver, rester dans un cadre strictement informel. Je trouve que cela nous enlève notre humanité, nos émotions, notre sensibilité. Cela ne nous rend pas meilleurs, cela nous rend fourbe. Prenez une femme en costume, bien élevé, fière de son travail. Emmenez la loin, cassez les conventions, déshabillez la, faites lui oublier sa honte. Chassez la. Elle va courir effrayé au début, prenez votre temps. Rapprochez vous d'elle, saisissez la. Si elle crie, lâchez la, recommencez. A moins que vous soyez vraiment affreux, il va y avoir un moment où elle va se donner à vous. Elle va se donner à vous parce que les choses sont simple. Nue, loin et sans convention, il y a finalement beaucoup moins de raisons de refuser. La course poursuite est très excitante sexuellement (il faut lui plaire quand même). Il y a un moment à la fin où tout le reste ayant disparue, il ne reste que cette excitation. Forcement, les sensations et les souvenirs laissés par cette expérience seront beaucoup plus pures et intenses que ceux laissés par un dîné aux chandelles suivi d'un hôtel et d'une boite de préservatifs. Évidement ce procédé est compliqué à mettre en œuvre et glissant, sans parlé du fait qu'il y a des femmes plus accrochés aux conventions que d'autres. Pour tout dire, ça serai bien d'avoir un moyen qui cumule les avantage de la convention et de la sauvagerie. Tadaaa, le bdsm.
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Par : le 18/04/21
Contrat d’esclavage la Maîtresse et son esclave Le soussigné … agissant librement et à cœur ouvert, demande à … qu’Elle accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu’Elle me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne, afin que nous puissions croître en amour, confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatibles avec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. A cette fin, je Lui offre l’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec une humilité sincère que, en tant que ma Maîtresse, Elle accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuels, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera. De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la Femme que j’aime et que j’adore, je m’offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le … et se terminant le … . Me considérant comme l’esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée , je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres. Je demande qu’Elle me guide dans tout comportement sexuel, sensuel ou lié à une scène, avec ou sans Elle, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne. Je demande à … , en tant que ma Maîtresse, qu’Elle utilise le pouvoir dont Elle est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’Elle continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1. D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités. 2. De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à La servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis. 3. D’entretenir une communication honnête et ouverte. 4. De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle. 5. De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne. 6. De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’Elle est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits. 7. De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8. De travailler avec Elle pour devenir une personne heureuse et accomplie. 9. De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs. Règles générales 1. L’esclave accepte d’obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu’Elle en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. 2. L’esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. 3. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d’autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. 4. L’esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. 5. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit qu’il fait, le bâillonne ou prenne d’autres mesures pour le réduire au silence. 6. L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu’Elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte. 7. L’esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s’adressera à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». 8. La Maîtresse a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement. 9. L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. 10. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et Celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. 11. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. 12. La Maîtresse et l’esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus. 13. Il est permis à l’esclave de s’engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et Elle peut les exercer comme bon Lui semble. Règles de conduite en privé 1. Les jours où sa Maîtresse est à Son travail, l’esclave La saluera, portera Son collier, des entraves aux poignets et un chemisier appartenant à sa Maîtresse. Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. 2. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l’esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l’esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l’esclave servira sa Maîtresse et s’assoira à Ses pieds pendant qu’Elle mange. 3. La nourriture de l’esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. 4. Quand il s’adressera à sa Maîtresse, ou quand Celle-ci lui parlera, l’esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d’instructions contraires. Règles de conduite en public 1. En tout temps l’esclave se conduira d’une façon telle à ne pas attirer l’attention sur sa Maîtresse et sur lui-même. Il s’adressera à sa Maîtresse en l’appelant par Son nom seulement si l’usage de « Maîtresse » est non approprié. 2. L’esclave se conduira d’une manière déférente envers sa Maîtresse en public. 3. L’esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l’approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. 4. Sauf stipulation contraire, l’esclave ne portera pas de sous-vêtements. Règles de conduite au travail 1. Aucun article du présent contrat n’a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l’esclave. 2. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu’il se conduise d’une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. 3. Durant ses périodes de travail, il est permis à l’esclave d’organiser ses rendez-vous, de s’habiller d’une manière convenable pour son travail et de quitter la maison si nécessaire. 4. Pendant ses périodes de travail, l’esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse. Consentement Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m’avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations professionnelles et familiales, rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants, ni limiter mes devoirs de père. Ceci étant, moi, … demande instamment, avec lucidité et en en réalisant la pleine signification, tant explicite qu’implicite, que cette offre soit comprise dans l’esprit de confiance, d’attention, d’estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée. Si l’un de nous devait se rendre compte que ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu’Elle/il souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat, chacun peut le faire en le notifiant verbalement à l’autre en concordance avec la nature consensuelle de cet accord. Nous comprenons l’un et l’autre qu’une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de notre relation en tant qu’amis et amants. En cas d’annulation, chacun accepte d’expliquer à l’autre ses raisons et d’évaluer ensemble nos besoins et notre situation d’une manière ouverte et affectueuse. Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies. Acceptations Par ma signature ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres que ma Maîtresse choisira d’ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée. J’offre mon consentement à ma soumission à … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour du mois de … de l’année …. Signature du soumis J’accepte le désir de Mon soumis de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté. J’offre Mon acceptation à la soumission de … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour de mois de … de l’année … . Signature de la Maîtresse
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Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 05/11/20
Caro et Anna sont deux copines de fac, lesbiennes et fort jolies toutes les deux, au désespoir de tous les males qu'elles font craquer et qui ne pourront jamais les sauter. Elles ont sauté de joie, justement, à l'annonce du confinement. Les parents de Caro possèdent une petite maison en province, loin de tout et l'ont laissée à disposition pour leur fille et cette retraite imposée. Elles sont vite parties en train. Déjà elles avaient du mal à ne pas se rouler des pelles sur la banquette. Mais masque et covid oblige, elles sont restées sages. Puis il a fallu prendre un bus et au final continuer à pied. La maison n'est qu' à un kilomètre du dernier village, mais elles n'ont pas pu attendre jusque là. Caro a plaqué Anna contre un grand arbre et l'a embrassée goulument. Elle a baissé son jean et son mini slip et fourré sa langue dans les plis intimes de sa compagne tétanisée de plaisir. Anna a joui très fort et Caro a bu son plaisir avec délectation. Le confinement est un plaisir. La petite maison est agréable, sans voisins autour. Elles peuvent se bronzer nues au soleil, faire l'amour devant la cheminée le soir et bosser tranquillement les cours via internet. Elles aiment étudier et aussi les longues promenades à vélo ou à pied dans la campagne drapée de superbes couleurs d'automne. C'est Caro qui a eu envie de jouer au bdsm et qui s'est improvisée dominatrice. Anna a été un peu rétive au début et puis elle s'est révélée très douée. Une parfaite soumise. Caro a commencé par l'attacher, la fesser, puis la flageller. Anna a trouvé du plaisir à être sévèrement punie et à devoir dire merci. Maitresse Caro a pris de plus en plus d'assurance. C'est la soumise qui fait la maitresse. Le joli petit cul d'Anna est vierge et Maitresse caro s'est fait un plaisir de le sodomiser avec un doigt, puis deux et enfin sans le moindre ménagement au god ceinture. Depuis c'est devenu une pratique quotidienne. Anna obéit bien mieux après avoir été sodomisée par sa Maitresse. Les suspensions, la cire chaude et le fouet c'est pour bientôt. Pourvu que le confinement dure jusqu'à Pâques ou à la Trinité.
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Par : le 14/10/20
Se donner à l'autel des perversions. Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être. Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand. Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu. A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter. Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies. Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes. Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien. Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques. Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
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Par : le 10/10/20
???? Avertissements aux lecteurs ???? ?? https://maxxence.tumblr.com/post/630128234598711296/avertissements-aux-lecteurs]?--- { ?? TABOU } L'emprise amoureuse > L'amour, la mort, peut-être > Tout son être s'impose à nous > Trouver enfin peut-être un écho > Et son âme sœur > On l'espère on l'attend, on la fuit même — Innamoramento — M. Farmer. —————— L'emprise, son envers la dépendance. La dévotion ? L'emprise, le graal du BDSM ? Emprise : Ascendant intellectuel ou moral exercé par quelqu'un ou quelque chose sur un individu Domination physique il ne se passe pas quelques jours sans qu'une haine féroce vienne dénoncer une affaire d'emprise. Une emprise malveillante, force est de le constater. Est-ce qu'il est possible d'envisager une emprise bienveillante, une addition au bonheur, une joie d'être ensemble, le manque de l'autre pour le bon et le bien qu'il nous procure ? Est-ce possible d'imaginer qu'une emprise puisse être de l'ordre de la "prévenance" au sens de porter attention à l'autre que cette considération soit addictive et que celle, celui qui est l'objet de toutes ces attentions soit devenu accro aux précautions dont il ou elle est l'attention? Pourquoi l'emprise ne serait-elle que maux et toxine ? L'ascendant, c'est quoi ? De façon sommaire : «Influence, autorité morale exercée par quelqu’un sur une personne ou un groupe.», est-ce qu'une autorité est réductible qu'au mal ? Le Pape, une autorité morale. Le Dalaï-Lama, une autorité morale. Bouddha, le Bienheureux, une autorité morale. Sont-ils des incarnations du mal ? «L'autorité morale, définie comme « une réalité psychique, une conscience, mais plus haute et plus riche que la nôtre et dont nous sentons que la nôtre dépend », trouve sa source dans la société.» nous informe gracieusement l'Encyclopédie Larousse en ligne. Puisse-t-il être une emprise, qui fasse que l'on puisse juger bon d'abandonner toute autonomie et s'en remettre à une personne qui sera celle qui vous "prend en charge", au sens de l'autorité et du charme. N'oublions pas le contexte, mes bien chers frères, surtout mes sœurs, qu'ici nous parlons de BDSM, d'asservissement, de domination, de sadisme, de masochisme. L'emprise, n'est-elle pas une des clés de ces festins ou l'œuvre de l'autorité morale s'exerce pleinement, il revêt le nom de Maître, de Dom, de Top, il guide, oriente, dirige. Rôle d'éminence grise ou non, de précepteur, de mentor-d'égérie. Directeur de conscience ? Pourquoi la personne épanouie aux pieds de son précepteur, n'en ferait-elle pas des élégies ? Pour quelle raison l'emprise, la mainmise, l'addiction «a autrui» ne se ferais que par le biais de ce qui détruit, et non de ce qui élève et façonne ? Ou est la dignité d'être Mentor, de modeler une personne qui n'a d'autre ambition que d'être façonnée à la main du suzerain qu'elle s'est choisie ? Auquel, avec force détermination, un individu abandonne toute raison de se refuser. L'emprise, aurait-elle un versant du gris-clair au blanc, d'une blancheur virginale ; telle une première neige immaculée ou l'on ne discerne plus les à pics, les roches, ou l'ensemble des rochers anguleux, saillants, tranchants se sont transformés en suaves drapés, en soyeuses rondeurs, en galets polis, soyeux, par des millénaires du ressac des vagues ou des roulis de torrents qui ont traversé des cimes à la baie ? La cime devrait-elle être saillante, coupante, vive et risquée ? N'y a-t-il pas des monts, ces cimes ondulantes, ronde tel un séant hottentote ? Sous l'emprise d'un amour inconditionnelle, faudrait-il une passion foudroyante qui aveugle et oblitère le discernement de celle qui choisit délibérément ses chaines ? *«la liberté c'est de savoir danser avec ses chaines.»* (Nietzsche)? Si ce n'est d'être libre de tout, de disposer de soi même et d'être l'écrivain de sa vie, d'être l'ouvrier de ses maillons qui viendront promettre de trouver l'attache. Victor Hugo, dans l'œuvre foisonnante qu'il offrit à l'humanité n'en as jamais moins joui, que de cavaler d'un cœur à l'autre, sans qu'il ne sois raison, unique, que de saillies sauvages. Il misait sur l'autonomie, sur la faculté de ses fréquentations à penser par elle-même et défendre le droit d'être possédées, par celui qui n'avait de cesse d'aimer ; n'affirmait-il pas, convaincu : *«La liberté d'aimer est le même droit que la liberté de penser ; l'un répond au coeur, l'autre à l'esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience.»* Lumineuse conscience de la reconnaissance que chacune des personnes qui se lie doit le faire en conscience, par choix, avec raison. En quoi faudrait-il s'interdire l'emprise, puisque ce n'est pas le moyen, mais l'enjeu qui détermine si celle-ci est bienveillante ou non. L'unique critère devrait être ***l'intention***. Quel est donc le dessein de cet amour, de ce lien. Quelles sont les ambitions qui se trament dans le fait de s'abandonner, ou de recevoir le sujet de cet abandon ? L'ambition, l'exigence, les buts, la destinée, dans quelle démarche s'oriente l'emprise ? Savoir recevoir cette intention, ce souhait, cette volonté, savoir l'accueillir avec le sens que confère le fait de devenir le récipiendaire d'une confiance éclairée, à l'opposée totale de l'aveuglement, de la cécité, qui s'inscrit dans un choix savamment, subtilement, intelligemment réfléchit. Une détermination profonde. L'abandon de soi, réalisé en conscience. Nous ne sommes pas dans la capitulation, dans l'abdication, le renoncement face à l'épuisement fruit d'un harcèlement. C'est tout le contraire qui naît de l'abandon de soi entre les mains de l'autre. Parce que cet autre est choisi en conscience, pour être celui qui va cueillir cet abandon. Comme la rose tant prisée par le Petit Prince, dont il estime la charge, sans cesse, la nécessité d'en prendre soin. De trouver les mots pour exprimer l'attachement, l'amour qu'il lui témoigne. Du chemin qui mène à elle, de l'incarnation d'une responsabilité. C'est se donner du temps. Prendre soin de soi afin de pouvoir prendre soin de l'autre. Tel est l'enseignement que nous prodigue Saint-Exupéry. Pour chérir, encore faut-il être aimable, avant d'être aimant. L'intention, ce n'est pas un acte sans conséquence ni densité. C'est une ambition, une envie ; par delà le désir, c'est l'exigence, c'est l'appétit de vivre, c'est une volonté, c'est une attirance qui est forte de revendications, de responsabilités, procédant d'une démarche, d'un processus de choix. L'intention, c'est la responsabilité du choix, c'est une formulation qui suppose une interaction avec des choix, y compris la possibilité de renoncer à gérer tout ou partie de pans entiers de sa vie intime, personnelle. Apprivoiser le temps, d'accepter l'intention de l'autre et ce qu'elle à d'obligeant, d'engageant. Dépendre de toi, ce n'est pas un engagement léger. M'en remettre à ton jugement n'est pas une frivole sentence. Attendre d'être, parce que je choisis d'être l'objet, c'est apprivoiser l'absence. L'emprise, est-ce le mal ? Pour te posséder, j'ai dû vaincre plus de démons que tu n'as eu de hussards à vaincre. Pour accepter de prendre la longe d'un licol qu'un être à choisi de se poser, il m'a fallu entendre, recevoir et comprendre que cela impliquait de créer, que ton abandon me commandait d'être deux pour former le nous. Que ce que tu n'attendais pas serait ce qui me surprendrait, que ce que tu n'espérais pas serait ce qui m'éclairerait, ce que nous n'imaginions pas, serait notre unisson. Tu t'es livrée, désormais mon jouet. Toute abandonnée. C'est léger, c'est solennel. C'est ludique et foutrement engagé. C'est définitivement paradoxal. Jouer à se faire peur, mutuellement, sans que l'un ne puisse avoir la moindre prise sur les gages. Un jeu ou l'amour est en jeu, ou l'on a tout à perdre, puisque c'est toi que je perdrais si jamais je faillissais à mon œuvre. Elle m'oblige, sans que je ne puisse savoir si toutes ces années sont solides ou fragiles, si ton sourire est destiné à me rassurer ou bien me condamner. L'emprise que tu as souhaitée, c'est la fragilité qui s'est imposée. Tout, absolument tout reposait alors sur mes arbitrages, toi poupée, léguée, qui a choisi de renoncer à tout choix. Je t'habille, te rosse, je suis injuste, je fais de toi une sainte, une catin, un pantin, un objet ou un être, j'habille toute en sobriété, une veuve. Je déshabille, une fleur de macadam, il 'mincombre de guider les pas. Stigmate ou pas. Graver sur ta peau, un temps ou pour l'éternité. Rien, rien n'est choix pour toi. Tu as donné, offert, livré, par choix, ayant longuement cherché, malmener tes convictions, bousculé tes certitudes, songé aux conséquences, envisagé le pire, cherché quelle serait la pire des souffrances, fait le tour de toi, de fond en comble, cherché une porte dérobée, un soupirail, une infime fente dans le mur. Sans cesse jamais te résoudre à envisager autrement, que d'être "sa chose", sans raison de trouver l'opposition à te délivrer de toi même. Jour après jour, maillon après maillons, alourdissant la charge, complexifiant le dénouement, tu as souhaité ne plus exister, ne plus choisir, ne plus conduire, ne plus regarder, ne plus sentir autre chose que ce qu'un tiers déciderais pour toi. Bien avant de savoir qu'il en existe, tu voulais déjà ne plus t'appartenir. Faut-il une raison à cela ? Faut-il raisonner nos choix ? Tu n'as jamais rien demandé de moins que de tout céder, quitter ta vie "de choix", que celui qui prendra doit tout prendre, y compris jusqu'à l'abandon, te livrer aux lions ou bien te planter là ; au pied d'un immeuble. L'arbitraire, ne jamais savoir, la vie d'une attente, longue, parfois. Brève, selon. Tout t'oblige à qui tu t'en remet, rien ne l'oblige, lui. Cette abandon-là, cette emprise-là, c'est cela que tu as choisie, cherché, désiré, fantasmé, rêvé. Ne plus être. Que devenir. Risquer d'être abandonner, à ton tour. Maxen Lascombe Octobre 2020 —————— ???? La liberté d'aimer est le même droit que la liberté de penser ; l'un répond au coeur, l'autre à l'esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience. (Victor Hugo) ???? La liberté consiste à choisir soi-même ses chaînes. (Romain Guilleaumes)
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