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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Avant-propos
Ce récit plonge dans une soumission totale, brute et sans concession. Chaque mot est une tension, chaque geste une offrande, chaque regard un jugement. Loin des fantasmes édulcorés, il explore la domination sous sa forme la plus crue, où plaisir et crainte se mêlent dans un rituel implacable.
J’aimerais savoir ce qu’il provoque en vous. Vous a-t-il captivé, troublé, dérangé ? Le style est-il immersif, les scènes assez puissantes ? Vos retours sincères sont essentiels : dites-moi ce qui vous a marqué, ce qui fonctionne ou non. Votre regard critique sera la clé pour aller encore plus loin.
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La Nuit du Jugement et du Plaisir
La nuit s'annonçait sulfureuse, une promesse murmurée à l'oreille du destin. Je me tenais dans la chambre, observant ma soumise qui, docile, attendait mes instructions.
"Prépare-toi, nous sortons."
Sur le lit, j'avais disposé sa tenue. Un collier serti d'une laisse, un plug anal, un long manteau. Rien d'autre. Ses yeux se levèrent vers moi, surpris, mais aucun mot ne fut prononcé. Elle savait. Elle acceptait.
Elle s'agenouilla devant moi, présentant entre ses mains tremblantes le plug, une offrande silencieuse. Je l'attrapai, laissant s'installer un silence pesant. Puis, avec lenteur, elle se courba jusqu'à ce que son front touche le sol, ses fesses offertes dans un geste de dévotion parfaite. "Merci, Maître."
Un peu de lubrifiant, juste assez pour que la douleur se confonde avec le plaisir. Sans préavis, je l'introduis en elle, l'entendant retenir un soupir. Je la laissai ainsi, figée dans sa reddition, avant de la relever. "Habille-toi. Nous y allons."
Nous marchions dans les rues de Paris, elle, nue sous son manteau, le plug ancré entre ses fesses, soumise à chaque pas. Son trouble était visible dans la tension de ses mouvements. Un secret brûlant entre nous deux, exposé à chaque regard croisé, sans que personne ne soupçonne à quel point elle était déjà livrée.
Nous arrivâmes devant une demeure imposante, un hôtel particulier aux portes de fer forgé. Un cadre plus intime, plus élitiste que nos sorties habituelles. Je l'arrêtai, mon regard captant le sien. "Sois parfaite. Ne me fais pas honte."
"Oui, Maître." Sa voix était un murmure, une promesse.
La porte s'ouvrit, et une femme nous accueillit. Drapée dans une robe rouge au décolleté vertigineux, elle émanait une autorité naturelle. Ses yeux glissèrent sur ma soumise, s'attardèrent avec une lueur d'intérêt manifeste.
"Le divertissement est arrivé."
Elle esquissa un sourire, tendit la main vers ma soumise. "Laissez-moi vous débarrasser de ce manteau."
Je vis les joues de ma soumise s'empourprer, un rictus fuyant trahissant son trouble. Mais elle obtempéra. Le tissu glissa de ses épaules, révélant son corps nu, son collier brillant à sa gorge, le plug encastré entre ses fesses.
Un frisson la parcourut lorsqu'elle sentit le regard de la femme détailler chaque courbe avec une satisfaction sans pudeur. Instinctivement, elle chercha à couvrir sa poitrine, mais un claquement de mes doigts l'arrêta net. Rapidement, elle reprit la posture que je lui avais inculquée : dos droit, mains croisées derrière, regard baissé. Elle était belle dans son humilité, offerte et fière à la fois.
La dame en rouge nous fit signe de la suivre. Je pris la laisse de ma soumise et nous avancâmes dans un grand salon. Autour d’une table richement dressée, six hommes et quatre femmes, visages tournés vers nous, observaient avec anticipation.
Un sourire se glissa sur les lèvres d'un convive. "Nous pouvons commencer."
Je pris place, laissant ma soumise debout à mes côtés. Chaque respiration faisait tressaillir sa poitrine, son corps vibrant entre crainte et excitation. Elle était parfaite.
"Va te présenter à chaque invité. Ils ont payé cher pour ce spectacle."
Elle pinça légèrement ses lèvres, un tressaillement furtif traversant son corps. Mais elle obéit.
Elle pinça légèrement ses lèvres, un éclat d’orgueil blessé traversant son regard lorsqu’elle comprit que les invités avaient payé pour sa présence ce soir. Mais elle ne broncha pas.
"Oui, Maître." Sa voix s’éleva, docile, soumise.
Elle tourna d’un quart de tour vers le premier convive, le dos droit, le regard baissé.
"Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir."
L’homme esquissa un sourire appréciateur. "Fais un tour sur toi-même que je puisse t’admirer."
Sans hésitation, elle pivota lentement, chaque mouvement mesuré, offert au regard avide du convive. Lorsqu’elle lui tourna le dos, sa main s’abattit sur ses fesses, les agrippant fermement. Elle s’arrêta net, attendant son bon vouloir. Il pressa la chair sous ses doigts, jaugeant son obéissance, puis, sans prévenir, la marqua d’une gifle sonore.
Elle vacilla à peine, mais un frisson parcourut sa peau. "Merci, Monsieur," souffla-t-elle aussitôt.
L’homme observa la rougeur naissante sur sa fesse et hocha la tête. "Je vois que tu es bien éduquée." Il relâcha son emprise. "Va te présenter aux autres."
Elle s’exécuta, avançant d’un pas mesuré vers le deuxième convive, un homme plus jeune au sourire narquois. Il s’attarda sur elle avec une gourmandise à peine voilée avant d’effleurer ses lèvres du bout des doigts. Puis, sans douceur, il lui attrapa fermement la mâchoire, forçant sa bouche à s’ouvrir. Son pouce glissa sur sa langue, caressa l’intérieur de sa joue, testant la souplesse de cette cavité offerte.
"Une bouche qui doit savoir servir," souffla-t-il, son ongle traçant un sillon invisible le long de sa lèvre inférieure avant qu’il ne la repousse négligemment.
Elle recula d’un pas fluide avant de pivoter vers la troisième convive. Une femme élancée, aux yeux perçants, qui lui offrit un sourire lent, prédateur. Sans un mot, elle s’empara d’une poignée de ses cheveux et tira d’un geste sec, forçant sa tête en arrière, exposant sa gorge vulnérable. Ses ongles, effilés comme des griffes, tracèrent des arabesques sur sa peau frémissante.
"Un cou parfait pour un collier plus serré," murmura-t-elle avant de mordiller le lobe de son oreille, savourant le léger tressaillement qui parcourut le corps de la soumise. Puis, ses doigts glissèrent lentement, serpentant jusqu’à ses seins dénudés. D’un geste paresseux, elle fit courir ses ongles sur la peau sensible, griffant légèrement, traçant des sillons invisibles avant de pincer sans ménagement un téton durci.
"Regarde-moi ça," souffla-t-elle, moqueuse, en tirant sur la chair offerte. "Tellement réceptive… Tu aimes qu’on joue avec toi, pas vrai ?"
Elle relâcha le téton et le gifla aussitôt d’un claquement sec, arrachant un hoquet silencieux à Sophie. Un sourire amusé étira les lèvres de la convive.
"Et ici ?" poursuivit-elle, sa main quittant les seins pour descendre lentement le long de son ventre, caressant du bout des doigts la courbe de ses hanches avant de s’insinuer entre ses cuisses. "Oh… mais tu es trempée." Un ricanement s’échappa alors qu’elle appuyait du bout des doigts sur la moiteur évidente de son intimité.
"Un vrai petit spectacle ambulant," conclut-elle en levant les doigts brillants de son plaisir à hauteur de ses propres lèvres, les effleurant sans les lécher. "Dommage que tu sois déjà prise."
Le quatrième invité, un homme au regard flegmatique, lui tendit la main, paume tournée vers le haut. "Offre-moi tes poignets."
Elle obéit aussitôt, déposant ses mains fragiles dans la sienne. Ses doigts puissants les entourèrent, les pressèrent légèrement, jaugeant la fermeté de sa prise avant d’exercer une légère torsion, forçant ses bras à se tendre.
"Un jouet docile, bien dressé," constata-t-il, avant de relâcher sa prise et d’ignorer sa présence.
Elle continua, avançant vers un cinquième convive, une femme dont le regard langoureux semblait la dévorer de l’intérieur. Celle-ci fit glisser une main le long de son flanc, s’arrêtant sur sa hanche avant de descendre plus bas, caressant lentement l’intérieur de sa cuisse. Son souffle chaud effleura son oreille lorsqu’elle murmura : "Tu trembles… Une sensibilité exquise."
Les derniers convives ne furent pas plus tendres. Certains marquèrent leur territoire en griffant sa peau, d’autres en pinçant la chair tendre de ses seins, faisant naître sur son corps une mosaïque de rougeurs et d’empreintes entremêlées. Chaque contact ajoutait une nuance à la toile de sa soumission, chaque geste scellait davantage son abandon à cette assemblée.
Enfin, elle atteignit la dernière invitée, la dame en rouge. Elle inspira profondément et, avec la même soumission qu’aux autres :
"Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir."
La femme l’observa longuement, un sourire carnassier jouant sur ses lèvres. Elle étendit lentement une jambe, traçant un sillon invisible sur le sol du bout de son talon. "Écarte un peu tes jambes. Je veux sentir la moiteur entre tes cuisses."
Obéissante, Sophie obtempéra. La main de l’hôtesse glissa contre son sexe, exploratrice, impitoyable. Son souffle se bloqua lorsqu’elle sentit deux doigts pénétrer sa chaleur, jouant avec son plaisir exposé.
"Cette petite chienne est prometteuse," déclara la dame en rouge en retirant ses doigts, brillants de sa dépravation. "Ouvre la bouche."
La bouche entrouverte, Sophie les accueillit, goûtant sa propre soumission.
"Bien." L’hôtesse se leva, tirant doucement sur la laisse. "Maintenant que tu t’es régalée de ton plaisir, nous allons pouvoir manger."
Elle la conduisit au centre de la table, où elle fut installée en position d’attente, prête à être contemplée. La fête ne faisait que commencer.
La dame en rouge s'assied avec une lenteur calculée, savourant la tension dans la pièce. Ma soumise demeure à la vue de tous, figée dans une posture d'attente parfaite. L'instant est suspendu.
Les plats arrivent, portés par trois jeunes hommes entièrement nus. Chacun porte un collier de cuir, orné d’un anneau d’attache, marquant sans ambiguïté leur appartenance. Leurs sexes, enfermés dans des cages métalliques, témoignent d’une soumission absolue. Leur démarche est mesurée, empreinte de discipline. Le silence qu’ils imposent à leur propre existence est presque fascinant.
Ma soumise, toujours figée dans sa posture d’offrande, les observe à travers ses cils baissés. Je capte la manière dont son souffle s’altère légèrement à leur passage, la curiosité qui tente de percer sous sa soumission impeccable. Mon regard la frôle, un avertissement silencieux. Elle comprend, aussitôt, et ravale toute distraction.
L’un des esclaves, pourtant, vacille. Son regard s’élève, un instant trop long, vers elle. Une hésitation infime, mais suffisante.
La voix de la dame en rouge tranche l’air.
— Viens ici, esclave numéro 1.
Le jeune homme tressaille, tombe à genoux dans un réflexe de terreur. Sa tête s’abaisse aussitôt, ses mains tremblantes reposant sur ses cuisses. Je perçois la tension dans ses épaules, la crainte viscérale d’avoir brisé l’ordre établi.
La dame en rouge tend un pied verni. Il comprend aussitôt l’ordre implicite et presse ses lèvres contre sa peau, multipliant les baisers en un rituel servile. Elle l’observe d’un regard amusé, savourant la manière dont il se dissout dans sa soumission.
— Notre distraction te plaît-elle ?
Sa voix est douce, presque caressante. Au centre de la table, ma soumise ne peut qu'entendre, privée du moindre contact, offerte aux regards de l'assemblée. Je perçois la légère crispation qui raidit son dos, la lutte invisible qui l'anime alors qu'elle se force à ne pas réagir. Son trouble est à vif, exposé, et je savoure cette tension muette qui l’enlace. Même sans mes mains sur elle, je la possède entièrement.
— Oui, Maîtresse. Elle est très jolie.
Un sourire effleure les lèvres de la dame en rouge.
— Elle te fait envie ? Tu aimerais qu’elle te fasse jouir ?
Je sens l’immobilité de ma soumise, son corps qui lutte contre l’instinct de réagir. L’esclave hésite, le souffle court. Sa cage métallique trahit un tressaillement presque imperceptible.
— Oui… si vous me le permettez, Maîtresse.
Un éclat de rire s’élève autour de la table. Les invités savourent l’audace désespérée du jeune homme. La dame en rouge le scrute, ses doigts pianotant distraitement sur la nappe, avant d’arborer un sourire cruel.
— Quelle audace… Tu aimerais souiller notre précieuse offrande ? Qui t’a autorisé à poser les yeux sur elle ?
Elle laisse flotter un silence pesant avant de lâcher, comme une sentence implacable :
— Va chercher le paddle. Et vite.
L’esclave bondit sur ses pieds, se précipitant vers un meuble où sont soigneusement disposés divers instruments de correction. Lorsqu’il revient, il tend le paddle de cuir, ses mains tremblant de la peur extatique qui le consume déjà.
La dame en rouge tourne alors son attention vers ma soumise.
— Viens le chercher, ma belle.
Un tressaillement parcourt son corps nu exposé. Son regard se lève timidement vers moi avant qu’elle n’obéisse, glissant hors de sa posture d’attente pour s’avancer vers la table. Lorsqu’elle prend le paddle dans ses mains, je capte l’hésitation dans son souffle, l’ombre d’un frisson qui secoue son échine.
— C’est toi qui vas le punir, ordonne la dame en rouge, son ton soyeux dissimulant une autorité implacable.
Ma soumise se fige. Sa prise sur le paddle se raffermit imperceptiblement, mais elle hésite encore.
— N’aie crainte, continue la maîtresse de cérémonie. Je vais te montrer.
Elle se place derrière elle, glissant ses mains sur ses épaules, sa bouche frôlant son oreille.
— Lève le bras… Voilà… Maintenant, frappe.
Ma soumise obéit, l’instant suspendu dans une tension brûlante. Le paddle s’abat sur la chair nue de l’esclave dans un claquement net. Un sursaut le traverse, et un murmure de surprise parcourt la salle.
— Encore. Plus fort.
Le deuxième coup résonne, plus assuré. Je vois sa respiration se modifier, ses lèvres s’entrouvrir à peine alors que la maîtrise lui échappe peu à peu. Son regard se perd un instant dans l’ombre d’un trouble que je connais bien, avant de glisser vers moi. Une seconde suspendue où elle cherche, presque instinctivement, mon approbation. Je hoche imperceptiblement la tête, fier de son application. Mais déjà, la dame en rouge claque la langue, un rappel sec à l'ordre. "Ne perds pas ta concentration, ma chère. Continue."
La dame en rouge effleure son poignet, sa main froide contre la peau brûlante de ma soumise. Elle guide son geste avec une patience calculée, imposant un tempo impitoyable. Le paddle s’élève et retombe, traçant sur la chair de l’esclave des marques écarlates qui s'impriment en lignes vibrantes de douleur. Chaque coup résonne, un écho brutal dans la pièce suspendue au spectacle.
Ma soumise tremble, non pas de peur, mais d’un trouble plus insidieux. Chaque impact lui arrache un souffle plus court, chaque gémissement étouffé de l’esclave alimente ce feu qu’elle ne contrôle pas encore. Elle lutte, vacille entre l’ordre donné et ce qu’il provoque en elle. Sa posture est tendue, ses muscles vibrants sous l'effort de maintenir son obéissance. Mais je la vois, je ressens l’ombre d’un frisson qui traverse sa nuque, ce vertige subtil qui la fait osciller à la frontière du contrôle.
— Plus lentement, murmure la dame en rouge, son souffle glissant contre l’oreille de ma soumise. Ressens la vibration de chaque coup, savoure le frémissement sous ta main.
Ma soumise obéit, ralentit son mouvement. Chaque frappe devient plus calculée, plus intense. La peau de l’esclave se teinte d’un rouge sombre, chaque impact sculptant sa soumission à vif. Je bois la scène, captivé par cette transformation subtile, par le basculement qui s’opère en elle. Son regard vacille encore vers moi, cherchant un ancrage. Je lui offre un sourire lent, chargé de fierté et d’une exigence muette : va jusqu’au bout.
Elle inspire profondément, raffermit sa prise, et abaisse le paddle dans un claquement plus net, plus précis. Un frémissement visible parcourt sa peau alors qu’elle s’approprie le geste, se fondant dans ce rôle qu’on lui impose… et qui, lentement, s’empare d’elle.
Lorsqu’enfin la dame en rouge pose une main sur la sienne pour l’arrêter, la tension s’étire encore un instant, comme une corde vibrante sous la caresse d’un archet.
— Regarde-moi ça, souffle un invité, admiratif. Magnifique.
La dame en rouge interrompt ce moment d’un claquement de doigts sec.
— Reprends ta place, chérie. Ce n’est pas encore ton heure.
Ma soumise tressaille légèrement, puis obéit sans un mot. Avec une lenteur calculée, elle repose le paddle sur le plateau d'argent que lui tend la dame en rouge. Ses mains tremblent à peine, un frisson discret trahissant l’intensité de ce qu’elle vient de vivre. Puis, elle se redresse, recule avec grâce et regagne le centre de la table.
Elle s’agenouille en position Nadu, les genoux écartés, le dos droit, les mains posées avec une perfection étudiée sur ses cuisses. Sa poitrine nue se soulève au rythme de sa respiration encore erratique, mais son regard reste baissé, offerte dans toute la splendeur de sa soumission. Les convives l’observent avec un intérêt renouvelé, appréciant chaque infime tension de son corps, la lueur de trouble qui danse encore sur sa peau frémissante.
— Quant à toi, esclave, reste là, dos tourné à l’assemblée. Ils doivent voir ce que coûte l’indiscipline.
Le jeune homme demeure figé, ses épaules tremblant sous l’humiliation imposée. Sa peau rougie porte la marque brûlante de la correction, exposée comme un avertissement vivant.
La dame en rouge effleure du bout des doigts la coupe de cristal devant elle, savourant l’électricité dans l’air.
— Maintenant, mes chers amis, mangeons. Nous avons tant à savourer…
Le murmure des conversations reprend, ponctué de rires feutrés.
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Depuis quelques jours, une obsession s’empare de moi, brûlante et indomptable. Une connexion inattendue, violente dans son intensité, douce dans sa promesse d’abandon. Une silhouette entre les lignes, une présence qui s’immisce dans mes pensées, qui s’attarde dans l’ombre et s’invite dans mes désirs.
Je t’imagine derrière ton écran, frissonnante, ton souffle court à la lecture de ces mots que j’écris pour toi. Je ressens ton impatience, ce trouble délicieux qui glisse le long de ta peau. Il y a entre nous un jeu qui commence à peine, une tension qui s’étire, s’épaissit, prend forme à chaque échange.
Tu le sais déjà, n’est-ce pas ? Que ce n’est qu’un début. Que ce lien qui se tisse entre nous est voué à devenir plus profond, plus exigeant, plus insoutenable encore. Alors laisse-moi guider tes pensées, laisse-moi te façonner à travers mes mots. Laisse-moi t’entraîner dans cet univers où ta soumission deviendra inévitable.
Lis-moi. Ressens-moi. Et surtout, obéis-moi.
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Une pensée pour toi, douce colombe…
Je t’imagine en train de te préparer, sentant cette culotte s’humidifier sous l’effet de ton désir. Aujourd’hui, je peine à me concentrer. Mon esprit dérive, perdu dans des pensées bien trop troublantes.
Je t’imagine face à moi, offerte à mon regard, en position d’inspection. Nue. Vulnérable. Mais surtout, soumise. Tes yeux baissés, ton souffle suspendu à mon bon vouloir. L’attente te consume. Tu veux que je te regarde, que je t’approuve, que je décide enfin de ce qui va suivre.
Chaque matin, tu me servirais dans la tenue que j’aurais choisie pour toi… ou tout simplement nue. Tandis que j’écris, tu serais là, à mes pieds, en position d’attente, docile et silencieuse, comme il se doit.
Et puis, soudain, mon regard se poserait sur toi. Sérieux. Impérieux. L’ordre tomberait, net, sans appel. Alors, sans hésitation, tu te mettrais à quatre pattes, avançant lentement vers moi, soumise et dévouée. Tes lèvres viendraient effleurer mes pieds, les embrasser avec une infinie délicatesse. Tes mains glisseraient sur mes jambes, appliquées, précises, témoignant de ton dévouement absolu.
Je savourerais ce moment, conscient que dans cet instant suspendu, je t’ai entièrement, intensément, irrémédiablement…
Mes mains quitteraient lentement le clavier pour se perdre dans tes cheveux. Au début, de douces caresses, offertes en témoignage de ma satisfaction. Puis, mes doigts se refermeraient, resserrant leur prise, s’appropriant chaque mèche de ta chevelure pour guider tes mouvements.
Je veux.
L’invitation est claire. Tu n’as pas besoin de mots pour comprendre ce que j’attends de toi. Obéissante, tu glisses à quatre pattes, la tête basse, le dos cambré, ton cul relevé, offert à ma volonté.
Je te contemple, savourant l’instant. Ton souffle court, le frisson qui te traverse, cette attente fébrile que tu ne peux masquer. Tu sais ce qui t’attend.
Je m’éloigne un instant, juste assez pour aller chercher ton plug—celui que je t’ai offert récemment, celui qui porte nos initiales gravées. Un symbole silencieux de ton appartenance. Lorsque je le saisis, je ressens déjà ton impatience.
Je reviens à toi, effleurant ton dos, ta nuque, laissant planer l’attente. Lentement, je le fais glisser en toi. Un gémissement s’échappe de tes lèvres, ton corps s’adapte, s’ouvre, accueille. Tu ne bouges pas. Tu es là, immobile, parfaite. Mais ton souffle te trahit…
Je vois les frémissements qui parcourent ton ventre, ces contractions imperceptibles, ce corps qui sait. Qui sait ce qui va suivre.
Le premier coup tombe. Une claque sèche sur ton cul nu. Une marque, une brûlure brève, électrisante. Ton dos se cambre davantage sous l’impact. Et aussitôt, une caresse suit, lente, possessive, glissant sur la peau réchauffée par l’impact.
Un geste qui ne laisse aucun doute.
Un geste qui dit tout.
Je vais te prendre.
D.
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Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sont majeurs.
Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose.
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Le lendemain matin, je me réveille tôt sur mon divan, parce que mon patron dort mal avec une autre personne. Il m’a promis « pas de glory hole », sauf dans quelques jours, s’il y a quelqu’un d’important. Oui, mais je travaille toujours ici pour le moment ? Je suppose. Si c’est le cas, je dois me dépêcher de mettre mon uniforme. Il n’est plus très frais, mais ici on est dans un endroit qui ressemble à l’Estaque, pas à Monaco ! Je descends et dis à Carla, la cheffe des serveuses :
— Pardon pour le retard, Mademoiselle.
Elle renifle et répond :
— Tu es en retard et tu n’es pas fraîche, mais ici, c’est la mode Estaque.
Exactement ce que je pensais. Elle ajoute :
— Occupe-toi de Monsieur Jeannot.
Il me regarde, comme si j’étais Marilyn revenue sur terre. J’aimerais faire équipe avec Marilyn. Elle était très « négligée ». Tous les gens qui ont écrit sur elle notent le fait qu’elle avait une forte odeur de transpiration, elle n’était pas clean du tout. Je dois avoir un peu la même odeur, pas lavée dans un uniforme pas lavé non plus. J’ai lu aussi qu’elle était généreuse, qu’elle aimait les enfants et les animaux et qu’elle était intelligente, contrairement à ce qu’on croit.
Je suis la Marilyn de Jeannot aujourd’hui. Il me lèche bien. Je sors de là un peu plus propre, enfin surtout à certains endroits. La terrasse est remplie de gens venus déjeuner ET me voir. Dans l’ensemble, ils me plaignent. Je demande à une femme d’une quarantaine d’années qui est sympa et qui me caresse toujours les fesses au passage :
— Vous avez vu tout ce qui s’est passé, Madame ?
Elle répond en me caressant à nouveau les fesses, ben oui, j’suis Fanny :
— Oui, bien sûr, ils ne t’ont pas fait de cadeau. Tout est passé en direct sur World of India. Tu as aussi des films qu’on peut revoir. Heureusement que ton patron t’a dit que ça n’arriverait plus.
Alors, là j’ai le choix, soit je suis embarrassée, soit je souris, flattée. Je lui réponds :
— Mon patron m’a promis des aventures beaucoup plus agréables.
La femme sympa répond :
— Je rêve de toi.
Elle me dit :
— Tu sens bon.
Tout se sait ici. Carla arrive et lui dit :
— Quand vous voulez, Madame. Fanny est ici pour satisfaire les clients.
Eh, doucement, c’est à mon patron de décider. La femme ne me déplaît pas, elle est bien en chair et elle a un beau visage.
Monsieur Edgard arrive, il est bien propre, lui, et il dit à mon admiratrice :
— Elle va vous emmener dans une chambre, mais elle n’a pas beaucoup de temps, nous devons rencontrer le président.
On va dans une chambre au premier étage. Sa porte est ouverte, ce qui signifie qu’elle est libre. Elle me prend dans ses bras pour m’embrasser. Elle est forte mais c’est agréable de sentir cette chair un peu molle contre moi. Elle me déshabille, je lui dis :
— Je n’ai pas eu le temps de me laver ce matin.
Elle répond :
— Moi non plus, couche-toi sur moi dans la position du 69.
Je me couche sur elle et évidemment, je lui colle ma chatte sur la bouche et son nez file entre mes fesses.
Je crois qu’on aime ça toutes les deux, parce qu’il ne faut qu’un peu plus de cinq minutes pour qu’on arrose le visage l’une de l’autre.
Mon patron devait être derrière la porte, parce qu’il entre aussitôt et lui dit :
— Fanny a fait ce que vous souhaitiez ?
Elle répond :
— Oh oui.
— Demain, elle sera certainement là.
La façon dont il le dit, ce n’est pas sûr
J’embrasse la femme sur la bouche et je demande à mon patron :
— Je peux me laver, Monsieur ?
— On n’a pas le temps, habille-toi… Vite.
Bon, une Fanny qui sent la sueur et la chatte enfile des vêtements qui auraient bien besoin d’être lavés, eux aussi. Dès que je suis prête, on descend dans le bar. Les clients sont ravis de me revoir, mais mon patron leur dit :
— On doit aller au Fort, on sera de retour dans une heure
Pourquoi ? Mon patron ne me le dit pas, il est pressé.
On marche rapidement vers le Fort. Quand on y arrive on prend un ascenseur pour se retrouver au sommet. Il y a une très grande table. Plusieurs hommes et femmes sont attablés devant des écrans.
Il y a aussi plusieurs fauteuils dans lesquels sont assis des hommes et des femmes. Côté hommes, il y a le Président Shendy, un Indien et un Asiatique. Mon patron est le seul Occidental. Il y a aussi deux belles Asiatiques d’âges différents. Elles sont assises l’une à côté de l’autre. Sans doute des petites amies ou des courtisanes. Mon patron me dit :
— On va dire bonjour... très poliment aux gens dans les fauteuils.
Il va s’incliner devant eux tandis que moi, je fais une révérence en disant :
— Je suis Fanny, à votre service.
Une des Asiatiques, celle qui a l’air un peu plu âgée de près, me dit :
— Enlève tes vêtements.
Je regarde mon patron et il hoche vigoureusement la tête. Je réponds :
— Oui Mademoiselle.
Elle me sourit, elle ne doit pas avoir l’habitude qu’on l’appelle « Mademoiselle ». Qu’est-ce que j’en sais, moi ? Elle dit au président Shendy :
— Elle est naturelle ?
— Elle n’a qu’une seule dent qui a été remplacée, Madame Xiu, tout le reste est naturel.
Par contre, Madame Xiu et l’autre Asiatique sont un peu refaites, entre autres les yeux. Si vous regardez des feuilletons coréens ou japonais, vous voyez ce que je veux dire.
Une des femmes qui est à table devant un écran dit :
— Il faudrait qu’on puisse la voir nue.
Madame Xiu regarde Monsieur Shendy, qui me dit :
— C’est ce qu’elle va faire. Déshabille-toi, petite.
Quand je suis nue, un des hommes qui se trouve devant un autre écran dit :
— Le Président de Univers Co. voudrait la voir faire les positions de l’esclave à vendre.
C’est à nouveau la Chinoise, Madame Xiu, qui dit :
— Yao.
C’est tout et on dirait que ça suffit. Il ne faut que quelques minutes pour qu’un Chinois arrive. C’est un grand costaud et il me regarde. Aussitôt, je recule. Madame Xiu me dit :
— Tu ne dois pas avoir peur si tu fais ce qu’il te dit.
J’ai peur ! Le chinois baraqué me dit :
— Enlève tes vêtements.
Ça, je sais faire. Quand je suis nue, il me donne différents ordres :
— Bras levés, tourne sur toi-même, à quatre pattes, cambre-toi.
Et enfin :
— Debout et saute sur place en tournant lentement sur toi-même.
Quand je suis tournée vers la table, je vois qu’ils sont tous occupés à taper sur leurs claviers. Madame Xiu dit à Yao :
— 我们应该买吗 ? (Devrions-nous l’acheter?)
Il répond :
— 是的 (Oui.)
J’avoue, c’est du chinois pour moi. Je suis au milieu de ces gens, nue. Un peu comme si j’étais un joli poisson sur l’étal d’un poissonnier. Je suis fraîche, enfin, je sens un peu le poisson et je suis aussi… terrorisée.
Les enchères s’entrecroisent, oh mon Dieu, je n’en demande pas tant, je veux retourner à Marseille. Ils ne parlent ni en $ ni en Yuan, la monnaie chinoise… Et je suppose que Madame Xiu lance un chiffre. C’est tout, plus personne ne parle jusqu’à ce que Monsieur Shendy lui dise :
— Elle est à vous, chère Madame.
Les gens qui faisaient des enchères par le Net ferment leurs PC, saluent et s’en vont. Monsieur Edgard me dit tout bas :
— Va te mettre à genoux devant ta nouvelle propriétaire.
J’appartiens à quelqu’un ? C’est tout à fait illégal, ça… comme tout le reste, aujourd’hui. Je vais me mettre à genoux devant elle, les yeux baissés. Elle dit :
— Assieds-toi sur mes genoux.
Là, je suis embêtée, car je dois lui dire :
— Pardon Madame, mais je risque de vous tacher.
Ça la fait sourire et elle répond :
— Ce n’est pas grave, place ton bras autour de mon cou.
Je m’assieds sur elle en mettant mon bras comme elle m’a dit. Elle me caresse un peu et elle me renifle. Monsieur Shendy lui dit :
— Félicitations, chère Madame, quand vous voulez je vous en rachète 49 %.
Je sais que je dois la fermer mais tout est tellement dingue que je dis à ma propriétaire :
— Je préfère rester entière, Madame.
Là, il y a un inquiétant silence et puis Madame Xiu rit. D’un rire aigu, comme les Chinoises. Elle me dit :
— Hé bien, petite insolente !
— C’était juste pour vous amuser.
Elle dit :
— Tu es plus intelligente que je ne pensais.
Elle me caresse les seins et elle s’adresse à mon patron :
— Vous êtes partant pour une escale à Istanbul, puis le tour des Seychelles ?
Il répond :
— Avec plaisir, Madame Xiu.
— Un de mes employés vous accompagnera.
On s’en va ? Oui, on quitte le Fort Caveaux. Je sais ce que je quitte, mais qu’est-ce qui va m’arriver ? C’est un peu le cas de tout le monde…
— On sort du Fort, un Chinois grand et costaud nous dit :
— Bonjour, je suis Yao, je vous accompagne.
Là, il me prend dans ses bras et il me lève pour m’embrasser sur la bouche. Je lui rends son baiser. J’évite de vexer les Chinois qui pèsent 100 kg… de muscle.
Mon patron fait un peu la tête, enfin c’est l’impression que j’ai. Il y a un petit véhicule tous terrains devant le fort. Il me donne un paquet de vêtements et me dit :
— Habille-toi.
Il y a un jean, un tee-shirt et des baskets, l’uniforme des filles. Yao nous dit :
— Montez.
On va sur la banquette, je ne suis pas à l’aise, bien sûr. Yao conduit plutôt cool, heureusement pas trop vite. Il va jusqu’au petit port, où un bateau rapide nous attend. Madame Xiu devait être sûre de gagner les enchères et d’avoir la précieuse fille que des gens richissimes voulaient tous. Mon Dieu, mes fesses et moi, on a tant de valeur ? Il faut que je sois lucide, ce n’est pas moi qui ai de la valeur, c’est le fait que les gens aiment mes aventures…
On arrive au port, Yao sait où amarrer le bateau, tout est prévu. On descend du bateau et, à la sortie, un taxi nous attend. Il nous conduit à l’aéroport de Marseille Provence.
Yao nous dit :
— Il n’y a pratiquement pas eu d’enchères, ce qui fait qu’on est trop tôt, on va faire les formalités de douane.
Je ne veux pas me vanter, mais je vois bien que des gens me reconnaissent. Ils me sourient. Personne n’aurait l’idée de critiquer Fanny qui montre ses fesses, sans doute parce que je suis avec Yao.
Je ne sais pas ce qu’il a comme documents, mais la police et les douaniers nous laissent passer sans rien nous demander. Il nous dit :
— On va manger à la cafeteria, j’ai des choses à vous dire.
Je vois bien que ça ne plaît toujours pas trop à mon patron, le fait que ce soit Yao qui décide tout, mais je leur appartiens maintenant. Est-ce que c’est vraiment légal, ça ? Est-ce qu’on peut vendre les gens comme ça ? Il y a des conflits sanglants dans différents endroits du monde, mais les autorités mettent tout le monde dans le même panier et adorent promulguer des lois liberticides ? Yao me serre le bras.
— Aiiieeee ! Pardon Monsieur. Je vous écoute.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Nos livres sont ici :
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Toc Toc , ca frappe à la porte,
Hop hop à 4 pattes et que ça saute.
Malette à la main,
Remplie d'objets malins.
Une corde solide et puissante,
Pour attacher cette soumise douce et impuissante.
Bloquée sans plus aucunes façons de bouger,
La première fessée vient alors frapper.
Un cri soudain mélangeant douleur et extase,
Aux vibrations puissantes faisant trembler le vase.
Une cravache sortant de la malette,
Qui doucement caresse ces fesses en levrette.
L'avant bras droit qui recule d'un geste certain,
La main gauche aggripant ce doux bassin.
Les cheveux enroulés autour du poignet,
Un coup sec en arrière pour te cambrer.
Mon avant bras droit n'a pas pu résister,
La cravache vient de te frapper !
A suivre..
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Laura est une gynarchiste impitoyable et Laurent, son mari adore cela. Il aime obéir en tout et pour tout à son épouse. C'est elle qui porte la culotte et conduit la maison. Elle est juste et avisée.
Laura aime aussi jouer. Elle aime que son mari la serve nu, et reste ainsi le soir après le travail, ou le week end. Un statut d'esclave. Laurent est très bien monté. Il ne doit pas bander sans la permission de son épouse. C'est très dur pour lui car il est très amoureux et plein de sève et de désirs. S'il ne parvient pas à se maîtriser, il a droit à une terrible séance de canes anglaises. Cela calme bien.
La Saint Valentin, c'est spécial. Il doit offrir des roses rouges avec de belles épines et des tiges solides. Il doit d'abord s'agenouiller et dire à Laura combien il l'aime et est heureux avec elle. Sa récompense sera d'être fouetté avec son bouquet de roses. Et cela fait horriblement mal.
Heureusement Laura aime faire l'amour. C'est elle qui domine là aussi. C'est elle qui monte le pieu gonflé de sève de Laurent et se donne du plaisir. Il ne doit pas jouir sans permission. Il doit demander lorsqu'il sent qu'il ne peut plus retenir sa sève . Heureusement Laura n'est pas garce. Sa chatte est un puit de jouissance incroyable. Elle aime sentir le sperme de son époux gicler en elle.
Laurent s'estime le plus heureux des hommes. Il aime être fouetté avec des épines de roses.
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L’obscurité libératrice de la honte
L’humiliation. Un mot chargé d’histoire, de tabous, de rejets sociaux. Pourtant, dans l’univers du BDSM, elle se tord, se plie, se redéfinit pour devenir une clé vers un plaisir profond, inavouable, jouissif. La honte, ce poison de l’âme que l’on fuit toute une vie, devient ici un nectar exquis, une offrande volontaire, un terrain de jeu érotique où se mélangent la douleur, l’excitation et la liberté absolue.
Dans cette obscurité où les conventions n’ont plus cours, l’humiliation ne se subit pas : elle se réclame, elle se désire, elle se sculpte comme une œuvre d’art perverse et sublime. Ce n’est plus une punition, c’est une délivrance. Un instant de pure honnêteté où la soumise abandonne tout vernis social, toute prétention de dignité, pour devenir exactement ce qu’elle veut être : un jouet, une chose, un objet façonné par le regard et les mots de son Maître.
Mais comment la honte se transforme-t-elle en moteur du plaisir ? Par quel mécanisme psychologique une injure, une posture de soumission, une exposition dégradante deviennent-elles un déclencheur de jouissance ? Voilà le cœur de cette exploration. Loin de toute complaisance romantique.
Le paradoxe de la fierté et de l’abaissement volontaire
Le pouvoir de l’humiliation repose sur une contradiction fascinante : l’abaissement le plus extrême peut engendrer une fierté dévorante. Se livrer nu, soumis, vulnérable, et voir dans le regard du Maître non pas du mépris, mais une satisfaction carnassière, c’est là que naît l’ivresse. Offrir sa honte comme un présent est un acte de courage, une rébellion contre le monde extérieur qui impose la pudeur, l’image lisse, le contrôle de soi.
Être traité comme une chienne, une esclave, un déchet sexuel, et jouir de cette condition, c’est toucher à une vérité plus profonde que toute convention morale : le pouvoir de se dépouiller entièrement de l’égo. Car dans cette destruction symbolique de la dignité, la soumise retrouve une forme de pureté, une essence brute de désir et d’abandon qui dépasse le simple plaisir physique.
Le monde actuel, obsédé par l’image, la validation sociale et le consentement édulcoré, voit d’un œil suspect ceux qui recherchent l’humiliation. Comment peut-on librement choisir d’être rabaissé, insulté, traîné dans la boue du mépris et y trouver une extase ? C’est une question que seuls ceux qui ont osé briser leurs propres limites peuvent comprendre.
L’humiliation consentie est une transgression, une gifle aux normes policées du sexe aseptisé. Ici, on joue avec l’interdit, avec la souillure, avec les instincts les plus primaires. Ce n’est pas de la simple soumission : c’est une plongée abyssale dans la négation de soi comme individu pour renaître en tant qu’objet de pur désir, manipulé, utilisé, marqué par la domination.
Évidemment, tout ceci repose sur une règle absolue : rien ne se fait sans consentement. Mais ce consentement, dans le cadre de l’humiliation, dépasse le simple « oui » pragmatique. Il doit être un engagement total, une volonté sans réserve d’aller au bout de l’expérience, même lorsque l’égo hurle, même lorsque la société désapprouve.
C’est dans cet abandon extrême que réside la véritable beauté de l’humiliation BDSM. Elle ne détruit pas : elle reconstruit. Elle ne brise pas : elle transforme. C’est un art brut, une science du dépassement de soi, une danse où la douleur de l’ego se mue en plaisir de l’abandon.
De la peur du ridicule à la jouissance de la dégradation
Vicky n’avait jamais soupçonné que son éveil le plus profond viendrait du gouffre de la honte. Pendant des années, elle avait façonné une image respectable, une posture de femme maîtrisée, intacte sous le regard des autres. Pourtant, sous ma main, chaque certitude s’est effritée. La première injure prononcée, le premier ordre humiliant soufflé, et déjà, son monde vacillait. Elle se débattait, tiraillée entre la peur d’aimer cet abaissement et la révélation brûlante qu’il apportait. Mais la honte, lorsqu’elle est désirée, devient une force. Un territoire inconnu qu’elle avait désormais soif d’explorer.
Le dialogue intérieur fut d’abord chaotique. Elle voulait plaire, mais surtout, elle voulait être anéantie sous mes mots. Chaque insulte était une morsure, un frisson violent qui la faisait reculer autant qu’il l’attirait. "Salope", "chienne", "trou à foutre" – elle les redoutait autant qu’elle les espérait. Peu à peu, sa peau s’est faite plus réceptive, son souffle plus court lorsqu’elle entendait ces mots. Son ego fondait à chaque syllabe, et dans cette déchéance consentie, elle trouvait une lumière inédite.
Son corps, lui aussi, apprenait à parler une nouvelle langue. À genoux, offerte sans pudeur, elle savait que son corps ne lui appartenait plus. Je l’avais dépouillée de sa dignité sociale pour en faire un objet de dévotion et d’avilissement. Elle se courbait, se présentait, se laissait modeler par mes exigences. À l’instant où elle accepta de s’exhiber sous mon regard critique, où elle laissa de côté sa dernière résistance pour m’appartenir entièrement, elle toucha enfin à la jouissance pure de la soumission.
Puis vint la souillure. Le premier crachat, déposé lentement sur son visage, la figea dans une stupeur brûlante. Mais au lieu de reculer, elle l’accepta. Le laissa glisser, absorbant ce marquage comme une preuve d’appartenance. Plus tard, ce fut l’urine, la salive, ces fluides qui la redéfinissaient, l’éloignaient définitivement de cette femme qu’elle avait été. Chaque goutte la transformait, chaque humiliation la rapprochait de sa nature la plus crue : celle d’une soumise qui se nourrit du mépris autant que du désir.
Loin de se limiter à la chambre, ces rituels se sont inscrits dans son quotidien. Ne plus porter de sous-vêtements. Savoir qu’à tout moment, je pouvais la forcer à exposer sa honte. Un mot marqué sur sa peau qu’elle devait assumer toute la journée. Le simple fait de boire à genoux, en silence, alors que d’autres ignoraient son état, renforçait cette sensation d’être à moi, soumise à mon bon vouloir même en dehors de nos jeux. Elle ne jouait plus à être soumise : elle vivait son rôle, ancrée dans cette dynamique qui dictait chacun de ses gestes.
Et puis il y avait l’évaluation, brutale et sans concession. Sa bouche, son corps, son obéissance : tout devait être noté, critiqué, perfectionné. Je voulais qu’elle sente le poids de mon jugement à chaque instant. Une fellation jugée trop hésitante, un écartement de jambes pas assez large, une langue pas assez docile : chaque défaut souligné la poussait à s’améliorer, à s’enfoncer encore plus dans cette spirale où l’humiliation nourrissait son ardeur.
Ce que peu pouvaient comprendre, c’est que plus je la rabaissais, plus elle se grandissait. Dans la perte totale de son ego, elle ne disparaissait pas : elle se révélait. Parce qu’en acceptant d’être ma chose, en embrassant chaque ordre, chaque crachat, chaque moquerie, elle avait trouvé un pouvoir que peu osaient explorer. Elle n’avait jamais été aussi soumise, aussi avilie, mais elle n’avait jamais été aussi libre.
Je ne l’avais pas détruite. Je l’avais révélée.
Plonger plus bas – pratiques extrêmes et scénarios de dégradation totale
Vicky voulait s’enfoncer plus loin dans la soumission, ressentir chaque frisson de l’humiliation intensifiée, explorer les limites du plaisir et de la honte entremêlés. Ce n’était plus simplement une question de soumission physique, mais d’un effacement progressif des barrières mentales, où chaque acte devenait une signature gravée dans son corps et son esprit.
L’environnement lui-même devenait un outil de domination. La pièce où elle était amenée se transformait en un théâtre minutieusement orchestré. Miroirs sur chaque mur, capturant sous tous les angles son abandon, projecteurs accentuant chaque trace sur sa peau, chaque frémissement de son corps offert. Un simple bol posé au sol, une gamelle où elle savait qu’elle devrait boire, des harnais suspendus, des accessoires de contrainte disposés avec soin – tout cela formait un décor où le raffinement contrastait volontairement avec l’abjection de ce qui allait suivre.
Dans ce cadre, les scénarios se succédaient avec une précision calculée. Elle devenait la soubrette indigne, une domestique maladroite forcée de répéter inlassablement ses tâches, corrigée à chaque faute. Chaque imperfection était notée, chaque oubli sanctionné. "Recommence", ordonnais-je, alors qu’elle lavait le sol, son corps courbé, sa jupe remontée révélant l’empreinte de mes exigences sur sa peau. À chaque erreur, un rappel cinglant, un ordre sec. "Trop lente." "Pas assez appliquée." "Incapable de satisfaire." Chaque mot la piquait, la forçant à se surpasser, à rechercher mon approbation même dans le mépris affiché.
Mais la soubrette pouvait devenir chienne. À quatre pattes, privée du droit de se tenir debout, elle rampait sur le sol, son collier fermement tiré, réduite à un état où la parole n’avait plus sa place. Elle devait aboyer à mes ordres, tendre sa langue pour réclamer, manger à même le sol, sentir l’humiliation monter à mesure que chaque mouvement lui rappelait son état. Une tape sur son museau factice lorsqu’elle hésitait, un rappel sec de qui elle était. "Une chienne bien dressée ne réfléchit pas, elle obéit." Elle savait qu’elle devait s’abandonner totalement, se plier aux attentes, savourer cette animalité qui effaçait toute prétention humaine.
Puis venait le jeu de l’exhibition. Être livrée aux regards, sentir la brûlure du regard des autres, l’excitation mêlée à la crainte d’être découverte. Une jupe si courte qu’un geste brusque laissait entrevoir l’intime, des marques visibles sur ses cuisses qu’elle devait assumer dans la rue. Un plug anal télécommandé, vibrant au gré de mon humeur, la rendant fébrile au moindre son. Elle devait marcher normalement, parler avec assurance, feindre l’ignorance alors que son corps la trahissait, que son souffle se saccadait sous l’effet des vagues de plaisir et de honte mêlés. Son excitation grandissait sous cette tension constante, oscillant entre l’envie de se cacher et le plaisir d’être soumise à mon bon vouloir, même en public.
Les accessoires poussaient encore plus loin son immersion. Un masque de chienne couvrant son visage, une cagoule ne laissant apparaître que sa bouche, des pinces tirant sur ses seins marqués par mes précédents jeux. Un seau où elle savait qu’elle serait forcée de boire, des objets qu’elle devait lécher sans discuter, prouver qu’elle acceptait tout ce qui lui était imposé. Elle apprenait à ne plus réfléchir, à n’être que soumission, un corps et un esprit totalement malléables sous mes exigences.
L’humiliation n’était pas seulement physique, elle était mentale. La menace d’être capturée en image, de devoir prouver son dévouement par des photos osées, par des enregistrements de sa voix confessant ses désirs les plus inavouables. Elle savait que tout était consenti, mais cette simple possibilité l’électrisait, faisait naître une crainte délicieuse, un sentiment d’extrême vulnérabilité qu’elle embrassait pleinement. L’excitation montait à chaque mise en scène, chaque jeu où elle cédait une part de contrôle supplémentaire.
Mais même dans cet univers d’abandon total, la frontière de la sécurité restait intangible. Je connaissais ses limites, je savais jusqu’où la pousser sans la briser. Chaque humiliation était une offrande, chaque soumission une preuve de confiance absolue. La domination ne résidait pas dans la destruction, mais dans la maîtrise, dans cette capacité à la porter exactement au bord du gouffre sans jamais la laisser tomber.
Et elle, dans cet espace de contrôle total, s’épanouissait. Chaque séance creusait plus profondément son désir d’aller encore plus loin, de se découvrir dans des espaces où elle n’aurait jamais osé s’aventurer seule. Son corps portait mes empreintes, son esprit mes marques, son regard la certitude d’être là où elle devait être. Et elle savait qu’il restait encore des frontières à franchir, des limites à explorer. Elle était prête. Et moi, je la guiderais toujours plus loin.
L’après-coup et la gloire retrouvée – l’humiliation comme chemin vers une fierté sublimée
Quand tout s’arrête, quand les marques sur sa peau commencent à s’estomper, quand la tension extrême de la séance retombe, Vicky revient à la surface, flottant entre la fatigue et une satisfaction profonde. Il ne reste plus de hurlements, plus d’ordres claqués, plus de frissons d’exhibition interdite. Juste le silence, la respiration saccadée, le battement lent de son cœur reprenant un rythme paisible.
Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se redécouvrait après avoir franchi une frontière invisible. Ce moment de retour à la réalité est tout aussi essentiel que l’acte lui-même. C’est là que l’expérience prend tout son sens, que la fierté d’avoir exploré ses limites dépasse la simple sensation de soumission. Elle sait qu’elle a traversé quelque chose de rare, d’unique, un voyage intérieur où la honte s’est muée en puissance, où elle s’est dépouillée de toute façade pour toucher son essence brute.
Alors vient le réconfort. Je m’approche, mes doigts glissant sur sa peau encore tiède, marquée par mon empreinte. Les mots changent, ils ne sont plus cinglants, ils deviennent caresses, murmures d’apaisement. Une couverture posée sur ses épaules, une étreinte qui ne cherche pas à dominer mais à rappeler qu’elle est en sécurité. C’est l’équilibre absolu : l’extrême humiliation ne peut exister sans cette douceur qui la suit. Elle repose sa tête contre mon torse, et je sens son corps s’abandonner à une nouvelle forme de soumission, celle du lâcher-prise total, celle qui n’a plus besoin de jeux ni de mise en scène.
Le bain est souvent un rituel après ces séances. L’eau chaude l’enveloppe, effaçant la sueur, la tension, le souvenir immédiat de l’intensité passée. Je la lave, lentement, méthodiquement, et à chaque geste, je la reconstruis. Chaque caresse sur sa peau lui rappelle qu’elle est précieuse, que cette dévotion qu’elle m’a offerte ne la diminue pas, mais la grandit. Elle n’est pas une femme brisée, elle est une femme qui s’est trouvée dans l’abandon.
Ce qu’elle a vécu ne la diminue pas. Au contraire, cela lui confère une force que peu peuvent comprendre. Loin d’une soumission aveugle, elle a choisi chaque humiliation, chaque marque laissée sur son corps. Dans cette totale mise à nu, elle s’est libérée de tout artifice social, de toute image fabriquée. Elle s’est purifiée dans l’excès, a trouvé une sérénité au creux même de la souillure. Et lorsqu’elle se regarde dans le miroir après, ce n’est pas la honte qui l’habite, mais une étrange fierté. Celle d’avoir osé. D’avoir traversé l’interdit et d’en être ressortie plus forte.
Cette dynamique ne s’arrête pas à la chambre. Elle imprègne nos jours, nos gestes les plus anodins. Une simple caresse sur sa nuque dans un café, un regard entendu lorsqu’elle mordille sa lèvre, un murmure qui fait revivre un souvenir brûlant. L’humiliation s’intègre dans le quotidien, elle se glisse dans nos échanges avec subtilité, devenant une alchimie de complicité et de transgression. Parfois, un simple mot, un détail – une jupe trop courte qu’elle porte pour moi, une trace discrète sur sa peau – suffit à rallumer le jeu, à maintenir ce fil invisible qui nous lie, même en dehors des mises en scène extrêmes.
Mais tout cela ne serait rien sans ma maîtrise. Loin de n’être qu’un bourreau, j’ai sculpté son abandon avec une précision chirurgicale. Chaque ordre, chaque acte, chaque humiliation était un équilibre entre puissance et protection. J’ai pris plaisir à la voir se plier sous mon regard, à l’entendre haleter sous l’effet de la honte désirée, mais jamais je n’ai franchi la ligne qui aurait brisé quelque chose en elle. C’est là la vraie jouissance du Dom : voir sa soumise fléchir, vaciller, mais toujours la maintenir en sécurité, la voir renaître plus forte, plus dévouée, plus ancrée dans ce qu’elle est.
Vicky sait maintenant qu’elle ne sera jamais une femme ordinaire. Loin de la soumission passive, elle a trouvé un chemin de puissance dans l’abandon. L’humiliation n’est plus une faiblesse, mais un rituel de transformation. Chaque séance, chaque mot dégradant prononcé sous mon souffle devient une étape de plus vers une vérité qu’elle embrasse pleinement : elle est une femme qui s’élève en se donnant totalement.
L’apothéose de la honte lumineuse
L’humiliation, lorsqu’elle est désirée et menée avec intelligence, n’est pas une destruction, mais une libération. Elle ne réduit pas, elle révèle. Elle est une danse entre contrôle et abandon, entre pouvoir et vulnérabilité, entre effacement et exaltation. Bien plus qu’un simple jeu de domination, elle ouvre les portes d’un plaisir brut, viscéral, où chaque marque, chaque mot, chaque geste construit une expérience unique et inoubliable.
Mais cette exploration extrême ne peut exister sans lucidité. Jouer avec la honte, c’est manier un outil d’une puissance psychologique immense, une arme à double tranchant qui exige une confiance absolue entre les partenaires. Rien n’est laissé au hasard : l’humiliation, pour être un moteur de jouissance et non une blessure, doit s’ancrer dans une compréhension mutuelle et une communication sans faille. C’est là que réside toute la subtilité de ce jeu : il ne s’agit pas de briser, mais d’amener l’autre à se reconstruire, à renaître à travers la soumission et l’excès.
C’est aussi une invitation à dépasser les barrières. La peur du regard extérieur, du jugement moral, de l’inacceptable social est ce qui freine bien des âmes à s’aventurer dans ces territoires interdits. Pourtant, l’humiliation consentie est une épreuve de vérité, une transgression salvatrice où chacun peut toucher du doigt une facette cachée de son désir. C’est une zone de turbulence, exigeante mais gratifiante, où l’on apprend à se connaître sous un jour nouveau, délesté de toutes les fausses pudeurs imposées par la société.
Et c’est dans cette acceptation que se trouve l’apothéose. Loin d’être une chute, la honte devient un joyau sombre, une clé ouvrant les portes d’un plaisir que peu osent effleurer. Elle est le sésame qui permet d’explorer la profondeur de l’abandon, d’embrasser l’extrême sans crainte, de se consumer dans l’instant sans regret. Elle est ce vertige délicieux où l’ego se dissout pour renaître sous un regard dominateur et rassurant.
L’humiliation, lorsqu’elle est transcendée, n’est plus une faiblesse : elle est une puissance. Elle est un chemin vers l’extase, une alchimie entre la soumission et la maîtrise, une promesse d’abandon où chaque instant vécu avec intensité laisse une empreinte indélébile sur le corps et l’esprit. Ceux qui osent s’y plonger savent qu’il n’y a pas de retour en arrière – seulement une soif plus grande, une envie d’aller toujours plus loin, de toucher du bout des doigts cette frontière où la honte devient lumière, où la soumission devient une célébration.
Alors, à ceux qui hésitent, à ceux qui frémissent à l’idée d’explorer cet abîme, il n’y a qu’un seul conseil à donner : osez. Dépassez les limites, défiez le regard du monde, et laissez-vous emporter par cette onde de plaisir brut et indomptable. La honte est une porte, et derrière elle se cache un univers d’une intensité rare. À vous de choisir si vous voulez l’entrebâiller… ou l’enfoncer à jamais.
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Qu'est-ce que le VRAI PLASIR ?
Pour moi, le vrai plaisir est de voir ma partenaire en prendre encore plus que moi car oui, le plaisir rime avec complicité, c'est un lien qui unis 2 personnes.
Quand je domine une soumise, si je m'aperçois qu'elle n'aime pas et que je la force, alors jaurais l'impression de la v**ler !! Ce est tout sauf un plaisir !!
Le sexe est un art avec beaucoup de pratiques différentes, beaucoup de fantasmes et d'envies différentes.
Le BDSM est un art et une pratique qui regroupe beaucoup de fantasmes et d'envies !
Si une femme désire être soumise et qu'elle aime se prendre des coups de cravache alors je lui donne ce qu'elle veut.
Il faut alors toujours instaurer une limite, un mot qui me fera comprendre que j'y vais trop fort , une alerte pour me dire d'arrêter.
Lorsque que cette limite est franchit, J'ARRÊTE, car au delà se celle-ci, le plaisir se transformera en supplice.
Certaines personnes aiment le supplice et la torture mais quel est le plaisir pour un dominateur sensuel comme moi que de faire mal à ce point à une si belle créature qu'est la femme !
Même si la soumise veut avoir MAL, je ne sais pas si j'aurais le plaisir de lui instaurer cette douleur.
Je disait plus haut que mon vrai plaisir etait de voir une femme en prendre plus que moi mais a certaines limites..
Au final, pour une femme ou un homme qui aime vraiment avoir mal, est-ce vraiment de la torture et de l'humiliation, les coups de fouets jusqu'au sang sont t'ils vraiment une punition ou une recompense ?
Sont t'ils vraiment punnis s'ils aiment avoir autant mal.
La vraie punition serai elle pas au contraire de les caresser avec le martinet au lieu de les faires saigner?
La vraie punition ne serait elle pas de leur montrer un film avec des gens fouettés et de leur dire qu'ils n'auront pas cette joie de subir la même chose ?
LA VRAIE PUNITION NE SERAIT ELLE PAS DE LES LAISSER LA.. ATTACHÉS À LA CROIX À ATTENDRE EN REGARDANT LES MARTINETS, FOUETS ET CRAVACHES ET LES LAISSER S'IMAGINER SE FAIRE FRAPPER PAR LE CUIRE DE SES OBJETS JUSQU'AU GONFLEMENT DE LEUR PEAU ?
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Certains hommes se prétendant dom ou maitre dans le bdsm ne cherchent en réalité qu'à abuser émotionnellement et physiquement de femmes. En aucun cas ils ne cherchent l'intéret et plaisir mutuel, l'épanouissement de la soumise, une connection profonde et authentique, sa sécurité physique et émotionelle, ou sa protection. Un bon dom vous met géneralement à l'aise, sa domination sera posée et réfléchie, il maitrise bien les différents aspects du bdsm (techniquement et intellectuellement) s'intereressera à vos envies et besoins, vos expériences passées, vos limites, vos peurs, vos fantasmes/fétiches.
A contrario un dom nocif vous rendra sans doute inconfortable, se montrera pressant, ne s'interessera pas ou peu à vos besoins ou envies, paraitra impulsif ou peu réfléchi, parlera peu ou jamais de vos limites ou de safeword.
Voici des drapeaux rouges à destination des soumises pour vous aider à repérer un dom nocif et toxique :
Drapeau rouge 1 - il vous demande de l'appeler maitre très (trop) rapidement sans prendre le temps de vous connaitre. Une sub doit prendre le temps de connaitre et d'échanger avec un dom avant de le choisir comme maitre. On ne confie pas son corps, ses émotions, sa sécurité, et son âme au premier venu. Le premier rdv devrait se tenir dans un endroit public pour faire connaissance sans implication d'acte sexuel ou pratique bdsm.
Drapeau rouge 2 - il ne cherche pas à connaitre votre passé dans le bdsm, vos expériences, vos limites, vos envies.
C'est pourtant essentiel pour le bon déroulement de séances de jeux..
Drapeau rouge 3 - il vous demande des rapports sexuels non protégés dangereux pour votre santé ou souhaite des pratiques edge bdsm non sures comportant de grands risques pour votre sécurité physique.
drapeau rouge 4 - le dom n'a pas d'écrits dans son profil, pas de messages sur les forums, pas d'historique de ses pensées, opinions, ou avis, pas de traces d'échanges.
drapeau rouge 5 - vous remarquez des incohérences dans ce qu'il vous raconte, les versions changent. Cela dénote des mensonges, attention donc..
drapeau rouge 6 - il vous dit avoir eu beaucoup de soumises mais se montre incapable de vous donner les liens de profils des personnes concernées pour ne pas que vous vérifiez ou demandiez un feedback. Dans tous les cas, soit il ment et invente, soit les ex partenaires ont gardé de très mauvais souvenirs de lui. C'est un signal d'alerte...
Drapeau rouge 7 - il cherche à étendre contre votre volonté les périodes de temps de sa domination (au travail, seule chez vous etc..) pour faire de vous une esclave 24/7. (C'est ok si cest votre souhait le problème c'est quand le cadre et limites sont dépassées). Il utilise les blames, la culpabilisation, la manipulation, ou le dénigrement personnel pour vous faire accepter ses envies abusives.
Drapeau rouge 8 - le dom ne respecte pas vos limites ou le safeword. Il utilise le dénigrement personnel, blames, la manipulation, ou culpabilisation pour vous imposer des pratiques ou des niveaux d'intensité que vous ne souhaitez pas de manière non consensuelle.
Voilà, j'espère que ma contribution aidera les soumises à ne pas tomber dans le piège de dom nocifs et toxiques, et qu'elles se tourneront vers des partenaires adéquats. N'hésitez pas à partager avec des débutantes...
☆DragonRouge☆
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Le BDSM n’est pas qu’une affaire de fouets et de cordes. C’est une œuvre d’art saisissante et sublime, un équilibre parfait entre contrôle et abandon, où chaque détail compte. Parmi les outils qui transcendent le simple objet pour devenir des extensions de la volonté du dominant, la sex-machine Lovense occupe une place à part. Cet appareil technologiquement sadique est bien plus qu’un jouet – il est l’instrument parfait pour façonner la soumission et dépasser les limites. Aujourd’hui, plongeons dans l’intensité de son utilisation dans la formation de Vicky.
★★ Le Rituel du Petit Déjeuner – Stimulation et Contrôle Absolu ★★
Une fois par semaine, un rituel particulier transforme le quotidien en une épreuve intense. Vicky, agenouillée sur son tapis de chien, une gamelle posée au sol devant elle, garde son visage à quelques centimètres du récipient.
La sex-machine Lovense entre en scène, préparée avec précision, alternant habilement entre la pénétration de sa chatte, douce et insistante, et celle de son cul, intense et audacieuse. Chaque transition est une épreuve qui force Vicky à abandonner toute tentative de contrôle, absorbant chaque intrusion comme une marque de ma volonté. Ses émotions oscillent entre un plaisir ravageur et une humiliation douce-amère, le rouge de ses joues trahissant un mélange d’excitation et de vulnérabilité.
Chaque vibration, chaque coup de rein mécanique lui rappelle sa position, et dans ses yeux mi-clos, une lueur de dévotion s’entrelace avec la lutte pour contenir ses gémissements. Sa mission est simple : manger comme une bonne petite chienne sans laisser tomber une miette, tout en supportant les vagues de plaisir intenses que j’impose, alternant entre les deux orifices pour un supplice exquis.
Mais les règles sont strictes. Une bouchée oubliée, un écartement des cuisses non autorisé ou une goutte de lait renversée suffisent à déclencher la sanction. Et chez moi, les punitions sont un art en soi : un claquement sec sur ses cuisses, une cadence augmentée, ou un moment de pause douloureuse dans l’élan de la machine.
★★★ Les Punitions : Un Art Brut ★★★
Lorsque Vicky échoue, je ne me contente pas d’un simple avertissement. Les punitions sont une extension de ma domination, une façon de lui rappeler que chaque erreur a un prix.
Parfois, c’est un claquement sec sur ses cuisses, laissant une marque rouge qui contraste avec la pâleur de sa peau. D’autres fois, c’est une cadence augmentée sur la machine, la forçant à subir une pénétration plus rapide et plus profonde, jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir et de douleur.
Mais ma punition préférée est le moment de pause. Juste au bord de l’orgasme, j’arrête la machine, la laissant pantelante, suspendue entre frustration et soulagement. Ses yeux se remplissent de larmes, et je vois dans son regard une supplication silencieuse. C’est à ce moment-là que je sais qu’elle est entièrement à ma merci.
★★ Attachements et Torture – Un Corps Mis à Nu ★★
Pendant certaines de nos séances, nous entrons dans un espace d’exploration pure, un moment unique où je teste ses limites avec une intensité et une précision calculées. Une fois la décision prise, Vicky est attachée à mon chevalet de punition, chaque poignet et cheville immobilisés par des attaches en cuir, son corps entièrement exposé, offert à ma volonté.
La sex-machine Lovense, repositionnée stratégiquement, reprend son travail. Son mécanisme alterne entre des caresses lentes et des intrusions profondes, brisant la résistance de Vicky avec une précision presque clinique. Les coups de fouet rythment chaque élan de la machine, venant marquer ses fesses d’éclats rouges qui racontent l’histoire de sa dévotion.
Chaque coup est calculé. Le son du cuir qui s’abat sur sa peau résonne dans la pièce, suivi d’un gémissement étouffé. Je vois son corps se tendre, ses muscles se contracter sous l’impact, puis se relâcher dans un soupir de soumission. Entre chaque coup, j’ajuste la machine : une vitesse accrue pour intensifier son supplice, ou une pause calculée qui la laisse tremblante, suspendue entre douleur et soulagement.
Les émotions de Vicky sont une tempête. Dans ses cris et ses gémissements, on entend le combat entre la peur et l’abandon, l’envie de plaire et le désir ardent d’atteindre cet état de totale capitulation. Ses larmes coulent parfois, non comme un signe de faiblesse, mais comme une offrande à cette dynamique brute et sincère.
Lorsqu’elle me regarde entre deux sanglots, ses yeux parlent plus fort que ses mots : une reconnaissance silencieuse, une gratitude de pouvoir explorer cette part d’elle-même avec moi.
★★ La Machine Comme Extension du Maître ★★
La technologie rencontre la domination dans une symphonie parfaite. La sex-machine Lovense est bien plus qu’un appareil : c’est une extension de ma volonté, une preuve tangible de ma maîtrise. À travers son application, je contrôle chaque aspect de la stimulation – la vitesse, la profondeur, l’angle – même si je ne suis pas physiquement présent.
Certains jours, je la laisse seule face à la machine, la contraignant à affronter ses limites sans mon intervention. Elle lutte, ses mains tremblent, mais elle sait que je l’observe, que chaque mouvement est pour moi. D’autres fois, je combine ma présence à celle de la machine, utilisant mes mains pour intensifier chaque sensation, chaque douleur, chaque abandon.
La variété est cruciale. Tantôt, je prolonge son supplice avec des séquences longues et lentes, tantôt, je lui accorde des orgasmes brûlants et soudains. Chaque session est une étape dans son éducation, un rappel que son corps m’appartient entièrement.
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La lumière tamisée danse sur les murs, enveloppant la pièce d’une chaleur intime. Toi, nue et à quatre pattes devant moi, es l’incarnation parfaite de la soumission. Ton dos légèrement cambré, tes fesses offertes, et tes mains posées docilement sur le sol, tout en toi crie l’abandon et la dévotion. Ton souffle, court mais régulier, trahit ton anticipation. Tu sais que chaque instant, chaque geste de ma part sera une exploration de tes limites.
Je m’approche lentement, mes pas résonnant avec gravité sur le parquet, chaque son amplifiant l’attente. Tu ne bouges pas, mais je devine la tension dans ton corps, ce mélange exquis de peur et d’excitation qui te consume déjà. Ma main effleure d’abord la courbe de tes fesses, douce et possessive, comme pour savourer pleinement cette offrande que tu fais de toi-même. Mes doigts glissent avec une lenteur délibérée, marquant leur territoire sur ta peau frémissante, et je m’arrête un instant, mes paumes s’attardant sur la chaleur déjà naissante de ta chair.
Puis, mes doigts descendent plus bas, traçant une ligne intime entre tes cuisses. La chaleur qui irradie de ta chatte m’accueille immédiatement, et cette moiteur, ce doux ruissellement, trahit l’intensité de ton désir. Un sourire imperceptible étire mes lèvres tandis que mes doigts effleurent juste assez pour te faire soupirer, juste assez pour éveiller en toi une faim plus profonde. Mon murmure brise enfin le silence, grave, chargé de promesse.
“Tu es déjà prête, n’est-ce pas ?”
Tu ne réponds pas, mais ton corps parle pour toi. Tes hanches bougent imperceptiblement, cherchant à retenir mes caresses. Pourtant, je me retire avec une lenteur calculée, laissant un vide presque cruel. Mon regard descend sur toi, admirant cette posture parfaite, cette soumission totale. Mes doigts reviennent une dernière fois, glissant une fois de plus sur ta chatte humide, avant que je m’écarte pour mieux contempler l’ensemble.
Je recule d’un pas, laissant mon regard glisser sur ton corps cambré, offert dans une vulnérabilité totale. Chaque détail de toi est une invitation, chaque frisson une réponse silencieuse à ma présence. La pièce, silencieuse à l’exception de ton souffle irrégulier, devient une scène où je suis le seul maître du jeu.
Ma main s’élève, suspendue dans l’air quelques instants, comme pour te faire ressentir le poids de l’attente. Puis elle s’abat dans un claquement sec sur tes fesses offertes. Ta réaction est immédiate : un sursaut suivi d’un souffle coupé, comme si le choc avait chassé l’air de tes poumons. Ta peau commence à rosir là où mes doigts ont frappé, une marque vive et prometteuse qui ne fait que m’inviter à continuer.
Je laisse ma main parcourir la chaleur de la marque, mes doigts traçant lentement les contours de ton abandon. Puis une autre claque tombe, plus forte cette fois, tirant un gémissement étouffé de tes lèvres. Je note chaque réaction : la manière dont ton dos se tend légèrement, tes cuisses qui tremblent à peine, cette légère cambrure de tes hanches qui trahit ton désir croissant.
“Tu tiens bien,” murmuré-je, d’une voix posée, mais teintée d’une satisfaction évidente. “Mais je veux voir jusqu’où tu peux aller.”
Je ralentis, alternant entre des caresses appuyées sur tes fesses rougies et des claques précises qui font résonner la pièce. Ton souffle devient plus audible, presque haletant. Chaque impact semble te libérer un peu plus, brisant les barrières de ton contrôle pour te plonger dans un abandon total. La moiteur entre tes cuisses ne fait qu’augmenter, et je ne peux m’empêcher de laisser mes doigts glisser de nouveau sur ta chatte, trempée de désir.
Mes doigts s’insèrent doucement, mais avec une assurance qui ne laisse aucun doute sur mon contrôle. Ton corps se tend, ton souffle se suspend, mais tu ne recules pas. Au contraire, tu t’ouvres davantage, accueillant chaque mouvement avec une docilité enivrante. Je ressors lentement, laissant un filet de chaleur couler le long de tes cuisses, et je me retire complètement, t’abandonnant un instant à ton propre désir.
Puis, sans prévenir, je m’éloigne pour saisir le paddle. Le cuir noir glisse contre ma paume alors que je lève l’objet pour que tu l’aperçoives du coin de l’œil.
“Tu vois ça ?” dis-je, d’un ton qui ne laisse aucune place à l’interprétation. “Ceci marquera ta peau plus profondément que ma main, et chaque marque sera un rappel que tu es à moi.”
Le premier coup tombe, sourd et puissant. Ton cri, étouffé par le choc, remplit la pièce. Le cuir laisse une marque vive, rouge et parfaite, une empreinte claire de mon autorité sur toi. Je fais une pause, observant ta respiration saccadée, tes mains qui se crispent contre le sol, ta peau qui rougit et chauffe sous mes gestes.
Je continue, méthodiquement. Chaque coup du paddle est calculé, ni trop violent, ni trop léger. Je joue avec l’intensité, te guidant dans ce mélange exquis de douleur et de plaisir. Les marques s’accumulent sur ta peau, des preuves vivantes de ton abandon, de ma maîtrise. À chaque impact, ton corps se tend, puis se relâche, ton souffle se faisant plus rauque, plus désespéré.
Mes mots accompagnent chaque geste. “Respire,” je murmure, ma voix basse mais impérieuse. “Sentez-le. Accepte-le. C’est à ça que ressemble l’abandon.”
Tes gémissements deviennent plus intenses, presque incontrôlables, alors que je trace les marques du paddle de mes doigts. Chaque rougeur, chaque ligne laissée par le cuir est un trophée, un témoignage de ta capacité à te dépasser. Ton corps entier vibre sous mes caresses, ton souffle se hache, mais tu ne bouges pas, ne protestes pas. Tu es là, parfaitement docile, parfaitement mienne.
Lorsque je m’arrête enfin, je prends un moment pour te contempler. Ton corps, marqué et tremblant, est l’incarnation de la beauté brute et sauvage de la soumission. Je me penche, mes lèvres près de ton oreille, et murmure :
“Regarde-toi… une œuvre d’art, une preuve de ta dévotion.”
Je te redresse doucement, te guidant pour que tu t’agenouilles devant moi. Tes yeux, brillants de larmes et de satisfaction, croisent les miens. Tu es magnifique, et je sais que chaque marque sur ta peau s’effacera, mais que ce que tu ressens maintenant restera gravé en toi pour toujours.
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Comme pour le dressage des belles juments retives, un manège. Cours Heidi cours tant que tu veux, tourne bien en rond. De belles boucles. Et lève bien ta croupe quand tu cours.
Le dresseur lui ne bouge pas, il est au centre et tient à la main une fine et longue baguette en bambou souple.
Après quand tu auras bien tourné manège et que tu seras épuisée....mum
Oui, cela t'irais bien, un mors de jument dans la bouche et un harnachement de tête pour jument rétive avec un joli plumeau au dessus. Après dressage de belles bottines en cuir pour que tu puisses bien trotter sous la baguette. Un plug anal avec une belle crinière. Le manège c'est pour t'éxercer, le pas, le trot, les figures imposées.
Bonne jument, bonne jument...une petite carotte à croquer en récompense.
Après, le programme "cours Heidi, cours" , c'est le dressage au sulky. Ton maître sera bien assis avec une bonne cravache pour ta croupe bien musclee. Trotte Heidi trotte...
Tu seras ainsi exhibée nue à faire la jument de race tirant son sulky avec ses belles bottines et son harnachement. Tu seras frottee à la paille par ton propriétaire et maître après tes courses pour bien prendre soin de ta jolie peau et la rendre luisante.
Bonne jument, bonne jument,....
Et toute bonne jument mérite une bonne saillie avec son étalon reproducteur. ...
Le propriétaire de la jument se réservera ce droit de saillie par l'orifice qu'il lui plaira d'utiliser et quand il voudra l'utiliser.
Au séries de manège, de dressages et de courses au trot avec un sulky, il faudra rajouter les mises au pré, avec une herbe bien verte ou Heidi la jolie jument pourra gambader comme il lui plaira, entièrement nue, sans bottines, pour se renforcer.
Le propriétaire veillera au bien être animal de sa jument bien dressée.
A suivre
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Je me souviens parfaitement de ce jour, non pas parce qu’il était exceptionnel pour moi, mais parce qu’il l’était pour elle. Une simple mission : acheter une baguette et prendre un café. Ridiculement banal, n’est-ce pas ? Mais sous mes ordres, tout, même l’acte le plus insignifiant, devient une preuve de soumission totale.
Ce matin-là, je lui ai ordonné d’insérer un plug anal avec une queue de renard. Pas un jouet discret, mais un symbole évident. Une invitation à la honte, un rappel constant de qui détient le pouvoir. J’ai choisi une jupe en cuir pour elle, suffisamment moulante pour que la silhouette de la queue éveille la curiosité sans tout révéler.
Elle est sortie, le visage déjà teinté de rouge. Je savais que chaque pas qu’elle faisait était une torture douce, une caresse humiliante contre sa fierté. Le plug, bien ancré, amplifiait chaque mouvement de ses hanches. Quand elle est arrivée à la boulangerie, je l’imagine demander sa baguette, la voix tremblante, incapable de soutenir le regard du vendeur. Peut-être avait-il remarqué quelque chose. Je l’espère.
Le véritable moment de gloire était au café. Elle m’a avoué plus tard que s’asseoir était une épreuve insupportable. Le plug s’enfonçait un peu plus, envoyant une vague de plaisir et de honte à travers son corps. La serveuse l’a regardée plusieurs fois. Avait-elle compris ? Je me plais à penser que oui. Peut-être qu’elle a vu la queue appuyer contre la chaise, ou peut-être que c’était son rouge aux joues qui la trahissait.
Chaque instant était calculé, une orchestration parfaite de son humiliation. Je ne lui ai pas permis de retirer le plug jusqu’à ce qu’elle rentre, et même là, elle devait d’abord me le présenter, encore chaud de sa honte. Ce n’était pas juste un jeu. C’était une affirmation. Je l’ai marquée ce jour-là, doucement, publiquement, et elle a adoré chaque seconde.
Elle m’appartient, et le monde entier peut bien le deviner. Cette journée restera gravée, non seulement dans son esprit, mais aussi dans le mien. Et la prochaine fois ? Peut-être que je rajouterai un élément supplémentaire. Après tout, la honte n’a pas de limite.
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Petit texte personnel sur ma vision de ce que l'on appelle dans le BDSM un safeworld.
Déjà pour commencer rappelons que le safeworld est un mot, une phrase que l'on utilise pour faire arrêter la séance.
Maintenant certaines personnes utilisent des graduation, type jaune orange rouge pour graduer le ressenti annoncé. Cela peut être utile mais néanmoins cela implique une communication constante lors de la séance, ce qui peut être difficile dans certains cas ( cagoule, bâillon....) et cela peut faire sortir la personne sub de sa bulle.
En tant que dominant, je trouve que lorsque quelqu'un déclenche un safe World, c'est la preuve d'un échec. Je n'ai pas réussi à trouver la ligne fine entre le presque insupportable et l'insupportable, cette ligne fine est pour moi quelque chose qui me fait vibrer et vers laquelle après un bon échauffement j'aime emmener les gens. Le safeworld signifie la fin de la séance, ce n'est en soi absolument pas le but que je convoite car mon but est avant tout de profiter un maximum, tant d'un point de vue temporel et intensité de mes " bestioles" . Donc un safeword oui, au cas où, mais ce n'est pas un but en soi . De toute façon si je veux déclencher le safeworld, je peux le faire en moins de 15 secondes ; quand on connaît l'anatomie des gens et ses instruments, il est facile de trouver l'instrument adéquat pour appliquer sur la personne une douleur insupportable.
Petite chose que j'aime beaucoup faire c'est taper sur l'extérieur des cuisses avec une canne, et lorsque la personne commence à vraiment souffrir, lui dire de continuer à se battre et vivre l'intensité du moment les yeux dans les yeux jusqu'au stop.
Maintenant le vif du sujet.
Pour moi, il peut y avoir des séances où il n'y a pas de safeworld, soit parce que la personne veut se dépasser et être entièrement à la merci du bon vouloir de la personne top, soit parce que l'absence de safeworld fait partie intégrante du scénario, par exemple dans les scénarios d'interrogatoire, il n'y a pas de safeworld chez moi, le seul moyen d'arrêter la torture c'est d'avouer. Je trouve cela beaucoup plus cohérent avec ce genre de pratique que de ne pas avoir d'autre échappatoire que d'avouer.
Là nous arrivons sur un point très important pour moi, un safeworld ne dédouane absolument pas des responsabilités du dominant , car la personne n'est pas forcément en état de déclencher son safeford ou même de juger de l'état dans lequel elle est. Il est donc de notre responsabilité en tant que top de veiller à l'état de la personne sub sans se dire de toute façon elle déclenchera si cela va trop loin. Peut-être ne peut-elle pas déclencher son safe world et dans ce cas c'est au top de savoir à quel moment arrêter, à quel moment il est inutile de continuer car la personne ne sent plus rien, parce qu'elle saigne abondamment, parce que vous estimez qu'il faut arrêter tout simplement. Rester à l'écoute bienveillante de l'autre tout en lui faisant affreusement mal est un art subtil mais que je juge indispensable.
Je pense que le safeworld a pour but principale de rassurer la personne sub. Pour ce qui est du dom, si il a besoin de cela pour comprendre la personne qu'il a en face de lui, arriver à appréhender la situation, je pense qu'il y a un problème . Même cagoulée, une personne est compréhensible par les émotions, les sons, la gestuelle qu'elle dégage et si l'on se réfère uniquement au safe world, on risque de ne pas écouter son instinct et de ne pas être assez attentif à tous ces signes physiques, sonores, visuel qui sont autant d'indices pour l'interprétation du sub.
Pour finir je dirais ceci :
Un safeworld pourquoi pas, si cela peut rassurer, mettre en confiance le sub, mais en fait d'un point de vue du dominant, cela ne sert pas vraiment, en général lorsque l'on se pose la question de savoir où en est la personne, c'est que le safeworld n'a pas été déclenché et à l'inverse, en général on sait très bien quand on risque de faire déclencher le safeworld à la personne, un stop ou un par pitié suffit largement à exprimer la chose. Cela ne veut absolument pas dire que tant que le safeworld n'a pas été prononcé tout est permis, car en fait beaucoup de choses peuvent arriver à la personne sub et il est de notre devoir d'être et de rester vigilant à tout moment, sans compter sur l'illusoir sécurité que pourrait nous apporter le safeworld.
Ceci est une opinion personnelle et je suis et reste ouvert au débat avec les pratiquants.
Ps: j'ai tout mis au masculin car je suis un homme mais les histoires de dominant, de dominé et de sub peuvent se décliner au masculin comme au féminin.
Précison : Quand je dis que le safeworld est un aveu d'échec pour le dominant, je ne me place que d'un point de vue du dominant.
"Ca peut être un signe de courage pour le soumis d'avouer que ça ne va pas. On veut toujours montrer et subir plus et plus alors le fait de stopper ou de ralentir les choses peut être un cap à passer de courage et de communication." ( Citation de soumise Clara)
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Briser le Mythe du « Safe Word »
Dans l'antre sombre et envoûtant du BDSM, le « safe word » est souvent élevé au rang de saint Graal , le mot magique censé offrir un bouclier impénétrable contre la douleur et le non-consensuel. Mais, soyons réalistes, cette illusion de sécurité peut être aussi fragile qu'une corde de bondage trop tendue. Ce n'est pas juste un mot ; c'est une promesse – parfois brisée, sovent ignorée, et bien trop fréquemment mise en avant comme une solution miracle à des dynamiques de pouvoir bien plus complexes. À l'heure où le désir de repousser les limites rivalise avec celui de se sentir en sécurité, il est temps de lever le voile sur les véritables enjeux du « safe word » et de questionner sa toute-puissance. Es-tu prêt à explorer le côté obscur de cette pratique ? attache ta ceinture, parce qu'ici, rien n'est tabou.
La Psyché des Aventuriers de l'Extrême
Dans le royaume interdit du BDSM, où la douleur et le plaisir dansent ensemble dans une étreinte électrisante, la frontière entre la sécurité et le danger est une ligne ténue, souvent floue , parfois volontairement effacée. Pourquoi certains d'entre nous sont-ils attirés par cet abîme où le contrôle et l'abandon se mêlent ? La réponse réside dans les recoins les plus sombres et intimes de notre psyché.
Pour ceux qui osent s'aventurer au-delà des limites conventionnelles, le « safe word » n'est pas une sécurité, mais un défi à la hauteur de leurs désirs les plus enfouis. C'est l'appel du vide, le besoin irrépressible de ressentir chaque nuance de pouvoir et de soumission. Ces âmes audacieuses ne cherchent pas juste à être touchées ; elles veulent être transcendées, déchirées de leur zone de confort et jetées dans le tourbillon de la sensation pure et débridée.
Dans cet espace, les motivations ne sont pas celles du commun des mortels. Ici , le controle absolu ou l'absndon total ne sont pas simplement des options ; ce sont des nécessités vitales. La soumission n'est pas une faiblesse, mais une force. La domination n'est pas une simple maîtrise, mais une compréhension approfondie des besoins de l'autre. Et dans cette danse délicate, le « safe word » peut devenir une limite qu'ils choisissent de franchir.
Est-ce une témérité insensée ou une recherche profonde d'identité ? Peut-être un peu des deux. Ce qui est sûr, c'est que dans le feu de cette quête de soi, le « safe word » n'est qu'un fil de sécurité que certains choisissent consciemment d'ignorer, car c'est seulement en repoussant ces frontières qu'ils touchent du doigt la véritable essence de leur désir.
Quand le « Safe Word » est Ignoré
Dans l'univers BDSM, le « safe word » est censé être la corde de rappel dans une escalade périlleuse. Pourtant, que se passe-t-il quand ce filet de sécurité se brise, ou pire, est délibérément ignoré ? Le théâtre BDSM est un lieu où le pouvoir et la vulnérabilité s'entremêlent , mais parfois, la pièce prend un tour inattendu et effrayant.
Imagine une scène où le jeu commence comme une danse bien chorégraphiée. Les participants se sont entendus sur un scénario, des limites claires ont été établies, et le « safe word » a été échangé comme une clé de confiance. Mais à mesure que l'intensité monte, les lignes se brouillent. Le dominant, peut-être enivré par l'autorité accordée, ou poussé par une quête inextinguible d'authenticité émotionnelle, choisit de fermer les oreilles à ce mot de sécurité.
Pour le soumis, la panique s'insinue comme un poison lent. L'esprit hurle pour retrouver le contrôle, mais le corps est déjà captif du moment, de l'extase et de la terreur confondues. Ce n'est pas seulement une trahison de confiance ; c'est une immersion brutale dans un cauchemar éveillé. La rupture est palpable, l'espace sécuritaire s'est transformé en un champ de bataille émotionnel où les armes sont la peur, la confusion, et un étrange frisson de plaisir déviant.
Pourquoi ce risque est-il pris ? Parce que, dans cet univers de masques et de vérités crues, certains cherchent à tout prix cette poussée d'adrénaline ultime, à défier le confort trompeur du « safe word » et à s'abandonner pleinement à la mer impétueuse de leurs désirs. Cela soulève une question obsédante : le jeu de pouvoir en vaut-il la peine, lorsque le mot censé vous libérer est celui qui pourrait vous enchaîner ?
Dans ces moments, le « safe word » devient un écho vide dans une pièce où la domination et la soumission ont transcendé le consensuel, et où le danger et la vulnérabilité s'entremêlent dans une danse dangereusement séduisante.
La Foi Aveugle en un Mot
Dans les donjons où règnent fouets et chaînes, le « safe word » est souvent perçu comme le dernier bastion de sécurité, le gardien inébranlable entre plaisir et traumatisme. Mais accorder une confiance aveugle à ce simple mot peut être un jeu dangereux, voire fatal, lorsqu'on plonge tête baissée dans l'abîme du BDSM.
Considérons ceux qui s'abandonnent à cette pratique avec la conviction que ce mot leur permettra de reprendre le contrôle à tout moment. Le piège ici est subtil : il repose sur l'illusion que le « safe word » suffira à briser l'enchantement d'une scène qui tourne mal. Cependant, comme une ancre qui ne tient pas face à la tempête, la foi en ce mot unique peut être naïve.
Les récits abondent de sessions où le « safe word » a été crié mais n'a jamais été entendu, étouffé par la cacophonie des sensations ou, pire, volontairement ignoré. Ces témoignages révèlent un paradoxe cruel : en s'abandonnant à la sécurité promise par un seul mot, certains oublient qu'il doit être prononcé, compris, et respecté pour avoir un effet réel. La réalité est que la puissance du « safe word » dépend autant de la volonté de l'entendre que de celle de le dire.
Derrière cette confiance mal placée, se cache souvent un besoin désespéré de croire en la bonté et la compréhension inconditionnelle du partenaire dominant. Pourtant, comme toute chose humaine, cette confiance est faillible. Les participants aux jeux BDSM doivent constamment négocier entre leur désir ardent de s'abandonner totalement et la nécessité de garder une part de vigilance.
Ainsi, dans l'ombre des donjons et des chambres feutrées, il est vital de reconnaître que la foi aveugle en un « safe word » peut mener à des désastres silencieux. Avant de l'invoquer comme un bouclier imparable, il est crucial de bâtir une confiance bien plus profonde et authentique, où la communication dépasse la simple invocation d'un mot, et devient un véritable dialogue de confiance et de respect mutuels.
Réflexion Sans Fin
Alors que les ombres du BDSM continuent de fasciner et de séduire, le mythe du « safe word » comme rempart infaillible mérite d'être reconsidéré. Dans cet univers de désirs profonds et de jeux de pouvoir, nous avons exploré comment, souvent, ce mot sacré est surévalué et, dans certains cas, désastreusement ignoré. La vérité est que le « safe word » n'est qu'une infime partie d'un tissu complexe de communication et de confiance qui nécessite une compréhension mutuelle bien plus profonde.
Chaque interaction dans cet univers n'est pas simplement un jeu, mais une danse délicate d'identité, de pouvoir, et de consentement. Le BDSM, dans toute sa gloire et sa transgression, nous pousse à questionner non seulement les limites de notre corps, mais aussi les frontières de notre confiance en autrui. C'est un miroir de nos désirs, une quête de vérité où la sécurité ne repose pas uniquement sur un mot, mais sur une alchimie fragile entre contrôle et abandon.
Il est crucial, pour ceux qui choisissent d'arpenter ce chemin, de toujours se rappeler que derrière l'intensité des cordes et des lanières, se cache la responsabilité de cultiver un espace où chaque voix est entendue et respectée. Le véritable défi n'est pas de trouver le mot parfait, mais de forger une relation où chaque participant est écouté et valorisé, au-delà des simples échos du « safe word ».
Laisse cette réflexion te hanter, te pousser à explorer les nuances de chaque interaction. Car, dans ce voyage où le plaisir et la douleur s'entrelacent, le véritable art du BDSM réside dans l'absence de réponses faciles, et dans la quête perpétuelle d'un équilibre où les mots prennent tout leur sens.
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Elle erre dans la brume, le cœur en éveil,
À la quête d’un maître, d’un feu sans pareil.
Ses yeux cherchent l’éclat d’un regard souverain,
Un conquérant tendre pour lier son chemin.
Elle rêve d’un homme, de force et de flamme,
Qui saura la lire au creux de son âme.
Qu’il soit doux et puissant, qu’il soit fort et secret,
Qu’il guide ses pas là où elle se tait.
Elle s’imagine, offerte à ses bras,
Soumise et sereine, sous le poids de sa loi.
Elle désire ses chaînes, douces, infinies,
Que ses mains la tiennent dans l’ombre d’un lit.
Mais plus qu’un maître, elle attend un amant,
Un roi et un rêve, un lien apaisant.
Qu’il dompte son cœur avec une tendresse,
Qu’il lui donne en amour sa juste faiblesse.
Dans le silence de la nuit étoilée,
Elle cherche cet homme, en secret, en pensée,
Un conquérant tendre, un souffle profond,
Pour que dans sa soumission, elle trouve son nom.
J'utilise une IA et je lui pose des questions
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Mon maso n'a droit à rien...et rien c'est rien. J'ai bouffé son âme !!!
Pas de profil sur bdsm fb, ou autres....pas de contacts avec d'autres femmes, sauf sa famille.
Ma domination c'est pire que l'esclavage. Il n'existe plus seul. Il est une partie de moi même. Même son tel, c'est moi qui lui ai offert, mais celaxreste mon tel, il faut ma permission.
Est il heureux ainsi ? Je n'en sais rien. Sauf qu'il ne changerai pas sa situation pour rien au monde. Nous sommes allé trop loin dans les pratiques ?
Il m'appartient entièrement et totalement. Même ses pensées sont à moi. Il me donne tout de lui même depuis si longtemps déjà. Il est plus dévoué qu'un labrador.
C'est son choix de vie. L'abandon total. Ce n'est pas un modèle. Non c'est une lente glissade vers des pratiques de plus en plus hard, jusqu z la possession complète de son âme.
Bisous à lui. Oui, j'aime mon maso. Il le sait, il le sent, c'est pour cela qu'il s'est donné complètement.
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Cela fait longtemps que je n’ai pas partagé nos progrès ici. Au fil du temps, ma relation avec ma soumise a évolué de façon significative, et je ressens qu’il est temps de la pousser au-delà de ce qu’elle a déjà enduré. J’ai décidé de lui faire passer une série de défis inspirés des “12 travaux”. Pour l’instant, rien n’a encore commencé, mais je prépare ces épreuves avec soin, en anticipant chaque réaction, chaque faiblesse qu’elle pourrait dévoiler.
Le premier défi sera simple, mais efficace. Je vais la faire se tenir debout, jambes écartées, bras tendus, tenant un plateau avec une bouteille d’eau dessus. Elle devra maintenir cette position pendant 10 minutes. Mais je ne lui laisserai aucun répit. Pendant ces 10 minutes, je la déstabiliserai avec des coups de martinet bien placés, des fessées légères pour tester son équilibre, et quelques chatouilles pour la pousser à bout. Le moindre faux mouvement, la moindre chute de la bouteille, et elle échouera. Ce sera un véritable test de sa concentration et de son endurance mentale.
Le deuxième défi mettra son corps et son esprit à l’épreuve. Des pinces à seins seront fixées à ses lèvres vaginales, reliées à un poids qui l’obligera à s’accroupir. En même temps, des pinces à seins supplémentaires seront attachées vers le haut, la forçant à se redresser. Le défi sera de trouver l’équilibre parfait, sans que ni les pinces du bas, ni celles du haut ne se détachent. 10 minutes dans cette position, à lutter contre son propre corps pour ne pas échouer. Si une seule pince se détache, elle aura échoué.
Le troisième défi testera son endurance à un tout autre niveau. Je vais l’attacher, les bras tendus au-dessus de sa tête, ses pieds touchant à peine le sol. Elle devra rester ainsi, immobile, pendant 15 minutes, sans bouger ni émettre un son. Chaque mouvement, chaque signe de faiblesse sera corrigé immédiatement. C’est dans ces moments d’immobilité que l’esprit combat le corps, et je veux voir jusqu’où elle peut aller sans craquer.
Le quatrième défi sera encore plus éprouvant. Elle devra commencer par verser une bonne quantité de riz par terre. Ensuite, elle se déshabillera et insérera un plug anal avant de se mettre à genoux sur le riz, les mains croisées derrière la tête. Pendant 10 minutes, elle devra me parler, lentement et distinctement, m’expliquant à quel point elle me vénère et me trouve exceptionnel, tout en me détaillant pourquoi elle ferait une bonne soumise. À la fin des 10 minutes, elle devra se relever, retirer son plug, et le nettoyer parfaitement avec sa bouche.
Ces quatre épreuves ne sont que le début. J’aimerais beaucoup avoir vos suggestions et idées pour les défis suivants. Je veux vraiment explorer des épreuves qui pousseraient encore plus loin sa soumission, son endurance, et son dévouement. Tous vos conseils sont les bienvenus pour que ces 12 travaux soient mémorables et stimulants. Merci d’avance !
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A la suite de l'introduction au sujet (https://www.bdsm.fr/blog/10171/Parentalit%C3%A9-et-BDSM---Part-0/), voici la partie une !
Vivre son couple BDSM : les différentes périodes de parentalité
Partie I : pratiquer le BDSM lorsque la soumise est enceinte et maintien du lien
Comme toute relation humaine, le couple et les conséquences de la grossesse sont très variables. D’un côté comme de l’autre, la libido peut passer à zéro, comme elle peut être considérablement augmentée.
Nous tenons compte du fait, car nous considérons cela comme un fait, que les ressentis de la maman passent au fœtus, puis au bébé. Et, en BDSM, il y a beaucoup de risques : les humiliations peuvent déborder un peu, des pleurs survenir, la douleur ne plus être tolérée.
De notre côté, nous avons donc presque tout interrompu les activités sadomasochistes lorsque mon épouse était enceinte. Plus d’humiliation, plus de douleur, j’ai simplement pris soin d’elle.
Quelques activités pour maintenir le lien :
Des massages, avec une huile adaptée ça évite par ailleurs les vergetures. Et cela permet, à un moment, de soulager le dos. Attention toutefois à ne pas utiliser d’huiles essentielles qui augmentent les contractions, et à bien écouter votre partenaire.
Pour ceux qui apprécient, vous pouvez continuer les jeux de rôles. Avez vous des idées de rôles à partager ?
Vous pouvez créer des rituels (des exemples dans notre jeu dans le chapitre sur les périodes d’immersion).
Vous pouvez pratiquer le shibari en veillant bien à ne pas mettre votre partenaire dans une position pénible, et à ne pas positionner les cordes là où ça fait mal. Ici, il faut voir la pratique du bondage comme un moment doux, artistique, de connexion.
Profiter, si c’est votre premier enfant, de pouvoir prendre des bains à deux, de faire de la méditation ensemble ou quelques balades en discutant.
Exploration de la discipline domestique : Intégrez la discipline domestique de manière douce en créant des règles et des conséquences pour le non-respect de celles-ci, avec un accent sur le jeu et le renforcement de la discipline.
Alors, vous me direz, tout ça c’est bien, mais le sexe la dedans ? Déjà, les idées précédentes peuvent y mener, si on est à l’écoute, sans que ce soit obligatoire. Et cela peut d’ailleurs générer de la frustration, qu’il faudra gérer. Quelques activités sexuelles, donc, pour satisfaire l’appétit, mais d’intensité très faible :
La tenir part la nuque / gorge en la prenant, ou sans la prendre.
Qu’elle dise “je t’appartiens”, ou bien “je suis ta chienne“ en remplaçant chienne par ce qu’il vous plaira (plein d’idées ici).
Vous pouvez diriger Mme lorsqu’elle se masturbe, lui donner des ordres, ou le faire vous-même.
Dans le cas de la mise en place de rituels, ou de la discipline domestique, des punitions peuvent être prévue par les partenaires.
Une bonne pipe, à genoux par exemple, c’est toujours efficace. La poitrine de madame prenant du volume, on peut en profiter pour éjaculer dessus et ça reste “doux” et néanmoins très plaisant ! Cela peut par ailleurs être un investissement minimum si Mme a peu envie, mais souhaite satisfaire son dominant.
Concernant le dernier point, je vous renvoie à un article précédent : Je suis soumise, je n’ai pas envie, que faire ?
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Comment être parent et pratiquer le BDSM ?
Grande question que voilà : peut-on pratiquer le BDSM lorsqu’on est parent ? Je vais d’emblée, répondre “oui“, et par conséquent la page est :
Comment pratiquer le BDSM quand on est parent.
Avant-propos.
La plupart des articles que l’on trouve sur internet précisent ce qu’est le BDSM, ce qu’est le consentement… Je pars du principe qu’il s’agit d’un acquis et ne vais donc pas revenir dessus. Je ne reviens pas non plus sur le fait que, non, la vie sexuelle d’un couple continue avec un ou des enfants. Votre compagne devient simplement une MILF
Cet article est en permanente évolution, il se nourrit entre autre de notre quotidien avec ma femme soumise, mais aussi des échanges sur le Discord Parentalité et BDSM (dont l’activité est variable…) que je vous conseille de rejoindre si vous avez des interrogations à ce propos. Il aura plusieurs parties, entre-temps, il semblera un peu décousu.
Plusieurs fois, je ferai référence à notre jeu, c’est assez logique, car il a été créé pour les couples et a évolué avec nous. Les solutions que nous avons trouvées ont donc naturellement été intégrées au jeu.
En général
La communication au sein du couple BDSM
La communication est la clé de toute relation, en particulier dans une relation BDSM. Il est important de discuter régulièrement avec votre partenaire de vos désirs et limites, ainsi que de la façon dont la relation BDSM peut affecter votre vie de famille. Assurez-vous que vous et votre soumise êtes sur la même longueur d’onde quant à la manière dont vous gérez votre relation BDSM et comment vous la maintenez loin des enfants.
La communication ne veut pas dire “parler”, surtout qu’à un moment avec les enfants ça va devenir compliqué. Personnellement, je suis plus à l’aise à l’écrit, cela me laisse par ailleurs le temps d’analyser mes émotions. Pour échanger :
La discussion en direct, pour ceux qui y arrivent, mais les moments pour le faire vont être de plus en plus compliqués à trouver.
Les échanges par SMS, je recommande vivement d’utiliser Signal y compris, voire essentiellement pour envoyer des photos / vidéo.
On peut s’écrire des lettres, soit à la main, soit informatiquement et les imprimer ou les envoyer par courriel. Prévoir, dans ce cas-là, de ne pas utiliser les adresses de messagerie pro.
Dernière possibilité, s’écrire dans un journal partagé, des notes partagées, ou des post-it partagés. Par exemple les applications Notes, Deck dans Nextcloud, dites-moi si vous voulez que j’en parle plus.
D’une manière générale, vous devriez être attentif aux signes de fatigue ou d’épuisement de votre partenaire, en particulier si vous avez des enfants. Soyez attentif à vous-même, également, et alertez votre partenaire si besoin.
La planification
En tant que parents, il nous faut particulièrement être attentifs à la planification de vos activités BDSM. Il peut être difficile de trouver du temps pour vous deux sans interruption, alors planifiez soigneusement vos sessions BDSM pour vous assurer que vous avez suffisamment de temps et d’espace pour vous concentrer sur votre relation. Une mauvaise gestion du temps peut avoir des conséquences lourdes : être surpris, devoir arrêter précipitamment, ne pas avoir le temps d’accompagner la redescente…
Priorités
Bien que votre relation BDSM soit importante, votre rôle de parent est également essentiel. Il est important de maintenir un équilibre entre votre vie de famille et votre vie BDSM pour éviter tout conflit ou toute tension inutile.
Cela étant dit, aimer la domination et la soumission ne fait pas de vous de mauvais parents : plusieurs témoignages remontent des arrêts nets de BDSM au début de la parentalité, je pense qu’il s’agit d’une erreur. Vous frustrer volontairement n’aidera en rien au quotidien, ni pour vous ni pour vos enfants. Votre équilibre personnel et de couple est important et doit demeurer. Vos enfants sont le prolongement de votre couple, si vous retirer le couple, tout s’effondre.
Le bruit
Limiter, ou bien annuler les activités trop bruyantes. Ou trouver des moments pour le faire. Pour ceux qui aiment l’impact, c’est compliqué, il faut tenter d’autres pratiques.
Trucs et astuces :
Pour signifier l’appartenance de Mme, ou marquer le début d’une période de soumission tout en restant discret vis-à-vis des autres, on peut porter un bracelet ou une chaine de cheville. Jusqu’à tard, devant les enfants on peut même opter pour des bracelets au texte explicite. Attention à ne pas les oublier en sortant !
Donner un ordre discrètement, c’est possible ! Avec Soumise C., nous ne nous appelons jamais par nos prénoms (je ne vais pas mettre d’exemple ici de peur d’être trop guimauve, mais vous avez tous des idées). Pendant une période de soumission H24, ou bien à un moment où il a été décidé qu’elle obéisse, il suffit de précéder la phrase par son prénom pour qu’elle sache que c’est à la soumise que je m’adresse et nous à l’épouse. Une manière discrète de renforcer l’ordre !
Pour la rééducation du périnée, la sonde connectée et ludique Perifit peut s’avérer utile. Il s’agit d’un “sextoy” dont le but est de ludifier la rééducation. C’est très important pour la femme, et on pourrait considérer cela comme un devoir, pour la soumise…
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Chapitre 3 (Elle)
20 Juillet (séance 7)
Juste un petit récapitulatif.
Nous sommes maintenant mi juillet et cela fait un mois et demi que j’ai signé un contrat avec mon mari. Bien sûr, ce contrat n’a aucune valeur juridique mais j’ai pris l’engagement de le respecter pour me faire pardonner de mon infidélité et je ne suis pas de celles qui renoncent.
En un mois et demi il s’est passé tellement de choses.
Au tout début ,quand je lui ai dit: "Pardonne-moi, je t'aime. Demande-moi tout ce que tu voudras" Je ne m'attendais pas à ça. J'avoue que, au début, j'ai carrément pris sa proposition pour un canular. Lui, que je tenais pour intellectuel, cultivé, esthète, même , enfin tout sauf un hooligan ou un macho de base, j'en était sidérée.
Un contrat? Des positions? Ma chatte de "salope"? J'ai dû me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas. Tout d'abord, j'ai pensé que, meurtri par ma trahison, il voulait me traîner dans la fange avant de me quitter comme, de toutes façons, il en avait eu l'intention dès le début.
Et puis, j'ai pu constater deux choses:
1 Pendant les séances, il était extrêmement attentionné. La voiture était-elle suffisamment chauffée, le collier ne me serait-il pas trop le cou?
2 Dans la vie de tous les jours, il était redevenu, peu à peu, le même qu'auparavant: prévenant, galant même, courtois, spirituel.... Enfin toutes les qualités pour lesquelles j'étais tombée raide dingue de lui sept ans auparavant et qui font que je l'aime encore d'avantage aujourd'hui.
Alors qu'était-ce?
Des fantasmes auxquels il pouvait, à cette occasion, donner une réalité ?
Bon sang! Sept ans de vie commune et jamais, jamais il ne m'en avait parler. J'en finirais presque par me sentir coupable, c'est un comble.
Finalement, la tension est un peu retombée et par la suite, je me suis interrogée sur le rapport que j'avais avec mon corps, la nudité, la sexualité et donc, l'amour.
Ah! l'amour! Un bien grand mot, mais en fait, une abstraction qui ne peut s'exprimer que par le don se soi et l'envie d'être attentif à l'autre.
J'ai repenser à ce film, Avatar, dans lequel, sur Pandora, les amoureux se disent: "Je te vois".
Pendant les séances, je me suis mise à apprécier que mon homme ait les yeux rivés sur mon corps et plus particulièrement sur ce qui fait de moi une femme. A l'extérieur, notamment sous le regard des hommes, je réalise maintenant le potentiel érotique qui peut émaner de ma tenue, de mes gestes.
Ma libido a évolué: Avant, j'avais juste envie de faire l'amour avec mon mec, maintenant j'ai envie de jouer et de le surprendre en devançant ses attentes.
La séance 5 avec Laurent m'a fait découvrir que je pouvais prendre du plaisir à m’exhiber. En fait, une fois excitée, ma libido prend le dessus et je n'ai plus de limite. Plus les positions sont obscènes et plus je mouille. Montrer ma chatte toute mouillée à un inconnu me fait chavirer.
J’ai aussi découvert les plaisirs du martinet. Sentir la piqûre des lanières sur tout mon corps me chauffe dans tous les sens du terme. J’adore ça. Bien lancée, je peux même apprécier d'être fouettée "chatte écartée".
Les lendemains sont plus difficiles. A froid, j'ai même parfois du mal à imaginer que j'ai pu avoir de tels comportements. Et puis mon chéri arrive, tout guilleret, il me regarde avec des yeux plein d'amour et je suis prête à recommencer.
Il m’avait dit :» Ce soir, dix-huit heures, tenue publique »
Alors à dix-sept heure cinquante, je n’avais même pas eu le temps de finir de me pomponner dans la salle de bain que j’entends frapper à la porte.
Mon mari ouvre :
« Bonsoir, vous êtes le représentant que j'ai eu au téléphone ? »
Le gars répond :
« Oui c’est ça : Akéna, les vérandas sur mesure »
« Très bien, alors c’est là, sur la terrasse. Qu’est-ce qu’il est possible de faire ?»
De mon côté, je réfléchis. Je sais que la maison ne lui appartient pas vraiment ou, du moins pas à lui seul. C’est une vieille maison familiale qui sera vendue au décès de sa maman et dont le produit de la vente sera partagé entre la fratrie. Surement pas l’endroit ou faire les frais de l’installation d’une véranda.
Donc, c'est un faux prétexte pour faire venir un spectateur à la maison. Que vais-je devoir faire devant lui cette fois. Sûrement me mettre nue, c'est le minimum. Humm! rien que d'y penser je me sens toute chose. Peut-être faire ma pisseuse, me caresser? Ca y est je suis partie! Il me faut de moins en moins de temps pour me mettre en condition.
Il est dix-sept heures cinquante-huit, j’ai encore deux minutes.
Le représentant se met en branle :
« Je vais prendre les mesures de la terrasse »
Mon homme le seconde et donne des infos :
« Il faudrait que ça parte d’ici jusque…. Là. Et l’entrée… plutôt par ici.»
Pendant ce temps, je suis descendue et je suis devant la porte d’entrée, les yeux baissés, les bras derrière le dos.
Le représentant m’a vue :
« Bonsoir Madame »
Je réponds :
« Bonsoir…Monsieur !» J’ai un peu insisté sur le « Monsieur », mais il ne fait pas attention, tout occupé qu’il est à déployer son mètre ruban.
Mon mari reprend :
« Comme je vous l’ai dit au téléphone, je suis obligé de vous laisser. Voyez ça avec ma femme et proposez-nous des devis » Il rejoint sa voiture et s’en va.
Allons bon! C'est nouveau. C'est à moi de prendre les rênes. D'habitude, je ne fais qu'obéir mais cette fois, je dois me jeter toute seule dans la gueule du loup.
Je réfléchis: Je n’ai pas eu de directives particulières mais nous sommes en « séance » et mon mari n’a que faire d’une véranda.
Je sais ce que mon homme attend de moi mais comment faire pour me retrouver nue le plus rapidement possible. Une idée me vient. Je vais à la cuisine préparer des amuse-gueules. J'en profite pour boire un grand verre d’eau, on ne sait jamais ! Rien que de penser que je vais peut-être me retrouver tout à l'heure à faire pipi devant cet étranger me donne des picotements à l'entre jambe. Quelques dés de fromage, des rondelles de saucisson, des chips. Dans le même temps, je me dis qu’un représentant, à l’heure du dîner, n’a pas forcément envie de trainer chez des clients. Il faut que je trouve quelque chose.
Monsieur Akéna rentre dans la maison et vient vers moi. Il ouvre un classeur qu’il pose sur la table de la salle à manger.
« J’ai pris les mesures. Regardez, je peux vous proposer différents modèles »
Sans rien dire, j’ai disposé sur la table des coupelles avec le fromage, le saucisson et les chips. Quand j’avais le dos tourné, j’ai enlevé un bouton à mon chemisier. Ma jupe, que je porte normalement en « taille basse », est remontée un peu et je n’ai pas rectifié. Je me penche maintenant pour prendre la bouteille de whisky qui est dans le placard du bas. Bien sûr, je ne plie pas les genoux. Il est assis derrière moi et il doit au moins voir la naissance de mes fesses par-dessous la jupe.
Je perçois une émotion dans sa voix :
« Ça, c’est un modèle standard qui peut…euh… être mis en place… dans moins d’un mois »
Je reviens à la table avec une bouteille et un seul verre :
« Prendrez -vous un apéritif, Monsieur ?«
Je n'ai pas autre chose à lui proposer parce que c'est tout ce que nous avons.
Il a dû voir mon chemisier mal fermé et ma jupe qui est remontée encore un peu. Il hésite, regarde la bouteille, jette un coup d'oeil à sa montre puis revient sur mon chemisier.
« Pourquoi pas, vous êtes mes derniers clients de la journée. C'est très gentil de votre part, comme ça j'aurai le temps de vous expliquer les différences entre les modèles standards et le sur-mesure. »
Très bien ! ça me donne un peu plus de temps. Mais je ne vois toujours pas comment arriver à mes fins.
Je verse un fond de Glenfiddish dans son verre et je prend la position n°3, en bout de table, immobile.
Le représentant continue de tourner les pages de son classeur en donnant des spécifications et des prix mais je ne l'écoute pas vraiment.
J’imagine que mon chéri a dû se garer un peu plus loin et est revenu discrètement à la maison. Selon toute logique, il est entré par la baie vitrée de la chambre du rez de chaussé. . Il doit écouter attentivement et attendre la suite des évènements.
Finalement un peu gêné par ma posture et mon comportement, le représentant demande :
« Tout d'abord, est-ce qu’il y a un modèle parmi ceux là qui vous conviendrait ? »
Je me dis qu’il faut que les choses bougent. Au diable les vérandas ! Je tente le tout pour le tout. Les yeux baissés.
« Excusez moi Monsieur, est ce que vous me trouvez séduisante ? »
Il marque un temps d’arrêt. Il sent que la situation est en train d’évoluer. Jusque-là très professionnel, il se dit qu’il y a peut-être une aubaine à saisir. Il quitte son classeur des yeux et lève la tête.
« Euh…Oui, Plutôt… »
J’embraye immédiatement et j'y vais "franco". Si ça ne marche pas, mon chéri ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé:
« Je suis naturiste et je me sens beaucoup plus à l’aise sans vêtement. Est-ce que cela vous gêne si je me déshabille ? »
Il bafouille :
« Non ! Euh non bien sûr ! Faites… comme chez vous ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je fais glisser ma jupe à terre et j’enlève mon haut. Me voilà complètement nue devant lui.
Il y a encore des moments, en pleine «séance», pendant lesquels je me vois en train d’agir. Une sorte d’éclair de lucidité, comme si je reprenais conscience. Le contrat, la culpabilité de mon adultère, mon amour pour mon chéri et surtout, ma libido en pleine explosion, m’ont ammené à des comportements qui m’étaient innimaginables jusqu’à présent. Ma vie était tellement écrite d’avance: Fille de bonne famille, diplomée d’état, mariée à un intellectuel charmant, Il ne me restait plus qu’à laisser les choses advenir: Faire des enfants peut-être; Travailler jusqu’à la retraite, sans doute; Mourir un jour, sûrement. Mais, le tout, dans une sorte de banalité aussi épuisante que consternante. Que m’était-il arrivé? Quelle était cette excitation que je ressentais et qui rend les choses rares et donc précieuses. Je n’en finis pas de me poser des questions que malheureusement je ne peux partager avec personne pour l’instant.
Je me tiens devant un homme que je ne connaissais pas il y a dix minutes. Je suis entièrement nue face à lui, je bombe le torse pour faire ressortir mes seins, j’écarte les jambes pour que mon sexe épilé soit visible dans tous ses détails.
Je sais, maintenant, le pouvoir que j’ai sur les hommes. J’ai compris qu’ils étaient finalement faibles face à l’objet de leurs désirs. Mais cette faiblesse m’émeut plus qu’elle ne pourrait me rendre victorieuse. Assurément, je prends mon plaisir à être soumise plus qu’à être dominatrice.
Je reviens à la réalité:
Il a pu constater que je ne portais ni soutien-gorge ni culotte et il doit commencer à se demander si tout ceci n’est pas une mise en scène. Tant mieux, comme ça, s’il reste, c’est en sachant qu’il ne vendra pas de véranda aujourd’hui. Je rassemble mes vêtements, les pose sur une chaise et je vais au frigidaire chercher des glaçons. Il est derrière moi, mais je sais que ses yeux détaillent mes reins et mes fesses. Je me mets à sa place : Il était venu vendre une véranda et c’était devenu tout autre chose, mais quoi ?
Il y va sur la pointe des pieds :
« Alors comme ça, vous êtes naturiste ? Votre mari aussi ? »
Je le mets à l’aise :
« Mon mari aime que je sois nue en toutes circonstances Monsieur»
J’imagine que rien que le fait de terminer ma phrase par « Monsieur », doit l’interroger.
Je reviens vers lui avec mes glaçons. J’en mets deux dans son verre et je me mets en position n°1 devant lui : les jambes écartées, les mains sur la tête.
Je lui explique :
« C’est la position n°1, Monsieur : une position d’attente » et je me tais.
Il s’inquiète :
« Mais votre mari est au courant ? Il va bientôt revenir. Non ? «
Il a du mal à comprendre ce qui se passe. Il se demande s’il n'est pas tombé sur une femme frustrée qui a envie de se faire sauter vite fait par un inconnu.
Il se lève et descend sa braguette. Ça y est, il est chaud :
« C’est de la bite que tu veux ? » il sort son sexe déjà dur.
Vite ! Il faut que je recadre ! Je me mets en position n°3 et je fais deux pas en arrière :
« Non Monsieur, Je veux juste m’exhiber. Vous devez rester habillé. Si cela ne vous convient pas, je comprendrais. » Je fais un autre pas en arrière.
J’ai affaire à un gentleman : il ramasse son outil et se rassied. Cependant, il s’enhardi tout en fixant ma chatte.
« Je vois ! T’es juste une pisseuse en fait ! »
Intérieurement, je souris :
« C’est cela Monsieur. » Intérieurement, je me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir la confirmation.
Il enchaîne :
« Alors ? Qu’est ce qui se passe maintenant ? »
Il a raison, qu’est-ce qui se passe maintenant ? Je suis excitée d’être nue devant un étranger mais je ne sais pas quoi faire. D’habitude, j’attends les ordres, alors je lui dis :
« J’attends vos ordres Monsieur »
Il est dubitatif mais il se dit que puisqu’il n’a pas le droit de sortir son matériel, il peut au moins s’amuser. Il s'installe plus confortablement sur sa chaise et prend son verre sur la table.
« Mets toi un doigt dans la chatte ! » Et c'est parti!
Finalement, ça a été assez facile d'en venir là, alors je prends mentalement des notes, pour une prochaine fois:
1 Porter des vêtements exagérément sexys.
2 Trouver un prétexte pour me mettre nue.
3 Fixer les règles.
4 Attendre les ordres.
Présentation de la chatte, c’est la position n°4. Je suis une petite soumise bien dressée alors j’écarte largement les jambes, avec ma main gauche, je sépare les petites lèvres de mon sexe puis, je raidis le majeur de ma main droite et je me le mets bien au fond.
Il me laisse comme ça, les jambes écartées devant lui, le bassin bien en avant, et un doigt dans la moule pendant au moins vingt secondes pendant lesquelles il sirote son whisky. Ses yeux passent de mes seins à ma chatte et il a un petit sourire pervers sur le visage. Il a compris qu’il ne me baiserait pas alors il a envie de m’humilier et de me pousser dans mes derniers retranchements.
« Retire ton doigt et suce-le ! » dit-il froidement.
Moi aussi, j’ai envie de le provoquer.
« Oui Monsieur, je suis une petite salope. Vous pouvez m’insulter, si vous le souhaitez, Monsieur »
J’avais déjà senti que j’étais mouillée, mais là, j’en avais la confirmation : Mon doigt était gluant de l’excitation que je ressentais en moi depuis le verre d’eau. Je teste le goût de ma chatte : c’est un peu crémeux avec une saveur douçâtre. Heureusement que je suis excitée sinon j’aurais du mal.
« Mets le dans ton cul maintenant ! »
« Oui Monsieur ».
D’accord ! Il va se venger. A tous les coups le prochain ordre sera de remettre mon doigt dans la bouche. Je m'en fiche, je suis prête.
Tout ce qui touche au "derrière", sodomie, introduction de plugs et autres, c'est compliqué: Ca me plait mais j'ai peur de ne pas être "propre". Et puis, un jour, il m'a dit: " Tu sais, quand je vais par là, je sais qu'il y a un risque. Tu n'y es pour rien".
Je suis quand même allé voir sur internet et j'ai découvert que certaines femmes, adeptes de la sodomie, avaient recours à une poire à lavement pour être tranquilles. J'en ai commandé une ainsi que tout une gamme de produits adaptés et dorénavant, quand je me prépare pour une séance, je fais un nettoyage "en profondeur" pour parer à toute éventualités.
Pour l’instant, je tourne le dos et je me mets en position n° 5 : présentation des fesses. Le doigt est mouillé de salive et je le rentre doucement dans mon petit trou.
Comme tout à l’heure, il attend au moins quinze secondes pendant lesquelles il se rince l’œil en finissant tranquillement son verre.
J’ai le temps de réfléchir :
Je mouille parce qu’un inconnu me regarde en train de me doigter le cul.
Mon mari, en principe à moins de deux mètres, se régale du spectacle.
J’ai, malgré tout, très peur de l’ordre qui va probablement suivre.
La porte d’entrée qui s’ouvre :
« Salut chérie, ça a été moins long que prévu », et il entre dans la pièce.
Je n’ai pas bougé, je suis penchée en avant, nue, les fesses dirigées vers Akéna avec un doigt dans mon cul. Monsieur Véranda, s’est levé et baragouine ne sachant plus où se mettre.
« Oui ! alors voilà ! Bon !...J’allais justement y aller »
Il doit être surpris que je reste en position.
Mon mari :
« Mais non ! mais non ! Je vois que vous avez fait connaissance. Ou en étiez-vous exactement ?»
Je saute sur l’opportunité :
« Je suis une bonne petite pute qui se met un doigt dans le cul Monsieur »
Du coup, les vérandas Akéna sont muettes.
Mon mari se sert un verre et en profite pour resservir notre « invité ».
« Comment vous la trouvez, plutôt obéissante non ? » Puis vers moi : » Viens ici et position n°4 ! Garde ton doigt là où il est. »
J’avance vers mon homme, je m’installe la chatte en avant, j’écarte bien les lèvres avec ma main libre pour dégager le clito.
« Oui Monsieur »
Sa main se dirige vers mon entre-jambe et deux de ses doigts testent l’entrée de la moule.
« Je suis une petite salope qui mouille de la chatte Monsieur »
Mon chéri à l’air satisfait :
« Va faire voir à notre ami »
Je fais le tour de la table, toujours avec un doigt dans le cul et une main devant qui écarte la chatte.
J’ai manqué d’oublier : « Oui Monsieur »
Je m’arrête devant « notre ami ».
Sans rien dire, il me plante son majeur direct dans la moule et je ne peux retenir un petit râle de surprise et de plaisir.
Je suis dans une position extrêmement humiliante qui m’excite au plus haut point mais depuis une minute ou deux une envie à commencé à se faire sentir :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur »
Mon homme réagit :
« Ah, il va falloir sortir la chienne. Va chercher ta laisse et ton collier.»
« Oui Monsieur ».
Quand je reviens, j’ai le collier autour du cou et je tends la laisse à mon maître.
« Demande à notre invité s’il veut bien s’en occuper »
Je vais vers Monsieur Akéna :
« Accepteriez vous de m’emmener en laisse dans le jardin pour y faire ma pisseuse s’il vous plait Monsieur ? »
Il ne répond pas mais prend la laisse que je lui propose. Je me mets à quatre pattes et j’attends.
Finalement il accroche le mousqueton sur l’anneau du collier. Je pars devant lui vers la porte d’entrée. Il m’ouvre et me laisse passer devant. Il a dû se douter que c’était le meilleur endroit ou se tenir. En restant derrière moi il a vue sur mes fesses et en dessous la fente de ma chatte que je fais ressortir en creusant mon dos.
J’avance jusqu’au milieu du jardin et n’y tenant plus, j’écarte les jambes au maximum mais mes petites lèvres restent collées. Je vais en mettre partout ! Je mets mes coudes au sol et je cambre à fond : ça y est, ma chatte est grande ouverte.
Je me relâche. En même temps que le jet d’urine, notre « ami » doit voir mon petit trou se détendre.
Ça y est, les objectifs sont atteints. Je suis à poil et je fais ma pisseuse, dans une position parfaitement indécente, devant un inconnu. Tout ce qu’il faut pour me mettre en état d’excitation extrême. Je sais que mon homme me regarde et que ça l’excite aussi.
Quand j’ai fini, je retourne vers l’entrée de la maison en tirant sur la laisse comme une chienne mal dressée et comme si j'avais hâte de passer à la suite. Mon homme retire le mousqueton du collier :
« Grimpe sur la table et met toi en position n°6 »
J'obéi : à quatre pattes, les coudes et les avant-bras posés à même le bois, les jambes très écartées, le dos creusé comme tout à l’heure, dehors, pour faire ma pisseuse.
Mon chéri dispose deux chaises juste derrière moi et les deux hommes s’assoient leurs verres à la main.
« J’adore voir sa chatte par derrière, très écartée. Qu'en pensez-vous ? »
"Euh.... Oui " .
C’est pas un bavard lui ! Ou alors la situation lui convient et il a peur de rompre le charme.
Ils ont les yeux à la hauteur de ma moule à moins de trente centimètres. Si ça, ce n’est pas de l’exhibition ! Je les imagine en train de détailler mon sexe béant. Ça me fait mouiller un maximum.
Mon homme me tend une lingette :
« Essuie toi »
« Oui Monsieur je suis une bonne petite salope »
Je suppose que cet ordre n’a pour but que de m’humilier d’avantage. De me mettre en situation de femelle en proie à ses désirs et ses besoins. Ma chatte est luisante des deux. J’en éprouve à la fois de la honte et de l’excitation.
Je passe la lingette sur le haut de ma cuisse droite parce qu’il m’avait semblé qu’une goute ou deux avaient coulé à cet endroit, puis entre mes petites lèvres déjà très écartées. Quand j’ai terminé je me remets en position.
Mon chéri en sirotant son verre de whisky et s'adressant à son voisin:
« Je vous propose un petit jeu : Nous allons l’attacher, je vais disposer quelques accessoires sur la table et vous allez essayer de la faire jouir le plus rapidement possible. Ça ne devrait pas prendre plus de trois minutes. »
Mr Akena semble intéressé, il lâche une approbation: « Ça a l’air amusant ! »
Alors c'est ça!
Après m' être montrée nue sous toutes les coutures, avoir exposé ma chatte ouverte à moins de trente centimètres de son visage, si près qu'il a sans aucun doute pu sentir mon odeur de femelle en chaleur, je vais devoir jouir devant lui.
L'orgasme, c'est quelque chose de très intime également. Il va me voir crisper mon visage, m'entendre gémir, pousser des petits cris, peut être même supplier pour qu'il continue à me donner du plaisir. J'ai honte mais j'en ai envie.
De toutes façons, mon homme ne me laisse pas le choix :
« Allonge toi sur le dos et approche tes fesses au bord de la table »
« Oui Monsieur »
La première corde relie mes poignets et va se fixer en haut de la table au-dessus de ma tête. Mes seins pointent vers le plafond.
On me fait plier et remonter les jambes vers la poitrine comme une grenouille et deux autres cordes prennent sur les genoux et tirent vers l’extérieur pour écarter les cuisses et m’empêcher de les refermer. Je ne peux plus bouger et je sens ma chatte et mon petit trou très exposés et à la merci de mes deux tortionnaires.
Un bandeau vient se poser sur mes yeux.
Je ne vois plus ce qui se passe mais j’entends un tiroir de la cuisine s’ouvrir et le bruit d’objets que l’on pose à côté de moi.
« Maintenant tu vas commenter ce qui se passe. J'ai parié que tu allais jouir en moins de trois minutes. Ne me fais pas mentir ! »
« Oui Monsieur »
Je n’ai pas à attendre longtemps, je sens un liquide couler sur mon pubis et une main qui vient l’étaler sur ma chatte en insistant sur le clito et l’entrée du vagin.
Je connais cette sensation :
« Je sens une main qui met du lubrifiant sur ma chatte de salope »
j'entends la voix de mon homme:
"Elle aime recevoir des claques à cet endroit, allez-y"
Je sursaute quand même sous l’effet de la première :
« Je suis une petite salope qui se prend des claques sur sa moule bien écartée »
Et c’est vrai que j’aime ça ! J’en redemande :
« Encore, s’il vous plait Monsieur »
Il ne se fait pas prier, une autre arrive.
Je compte : » 2, Merci Monsieur ».
Sous l’effet des claques, mes jambes voudraient se refermer vers l’intérieur et se rejoindre pour protéger ma chatte mais là, avec les cordes qui tirent sur les genoux, je suis écartelée au maximum et mes deux trous sont exposés et ouverts.
Les claques se succèdent avec un bruit de plus en plus « mouillé ».
Je compte : « 3, merci Monsieur, je suis une bonne petite sal……»
« 4, merci Monsieur »
Deux de ses doigts entrent dans ma moule dégoulinante de plaisir. Il fait des aller retours de plus en plus vite.
« Je me prends deux doigts dans la chatte et c’est bon Monsieur !»
J’aurais bien aimé qu’il continue encore mais je sens maintenant les doigts se retirer et…forcer l‘entrée de ma bouche, ils sont tout gluants. Je les suce comme si c’était la queue de mon homme. J’ai à peine le temps de reconnaître le gout de ma chatte que :
« Je sens un autre doigt qui s’enfonce dans mon cul de petite pute Monsieur »
En effet, dans ma position et trempée comme je suis, mon petit trou doit s’ouvrir tout seul et le doigt rentre sans difficulté. S’il veut me le remettre dans la bouche, cette fois, je ne pourrais rien faire. Mais je m’en fiche, je suis trop excitée.
« Je me fais doigter le cul et j’aime ça. Je suis une bonne petite pute Monsieur ».
En même temps, je sens une pression sur mon clitoris.
« Oui ! Mon petit clito de salope est tout dur Monsieur. Encore s'il vous plait ! »
J’aimerais bouger mon bassin pour accompagner le doigt qui tourne autour de mon petit bouton mais je ne peux pas. Cette immobilité forcée m’excite encore davantage.
« Oui ! C’est bon sur ma petite chatte de salope. Oui ! »
Un bruit sec sur mon sein droit. C'est le martinet.
Un autre coup sur le sein gauche. En fait, le bruit de claquement est très impressionnant mais je ne sens qu’une chaleur qui diffuse sur la poitrine. J’ai envie de voir ce que ça donne quand les coups seront plus forts.
« Je me fais fouetter mes seins de petite chienne. Plus fort s’il vous plait Monsieur » A côté, mon homme doit sourire.
" Plus que deux minutes"
Cette fois, le bruit ressemble à un vrai coup de fouet mais la douleur est plus que supportable ou alors, je suis vraiment très excitée.
« Oui ! Encore, je suis une bonne petite chienne qui aime se faire fouetter les seins . Encore ! »
Monsieur Akéna ne se le fait pas dire deux fois et les coups de martinet pleuvent sur mes seins. A chaque coup, je sens une petite piqure sur mes tétons. Mon excitation et mon plaisir nait du fait de sentir en même temps mon clito, mon trou du cul et mes seins. Je me sens chienne, salope et pute offerte. J’ai une folle envie de me faire prendre par tous les trous mais ça, c’est réservé à mon homme.
« Soixante secondes » dit-il justement.
Le doigt se retire doucement de mon petit trou.
Ah ? c’est l’instant de vérité…
Oh et puis après tout. Je vais leur montrer ce que c’est que d’être une bonne petite pute. J’ouvre grand la bouche. Un temps…
J’entends : « Allez y, c’est elle qui demande ! »
Le voilà… ce doigt qui sort à peine de mon cul, je l’ai dans la bouche et je le suce avidement comme si je voulais faire éjaculer la bite de mon homme. J’ai pris le parti d’être la plus grosse salope de l’univers alors, je pompe, je suce, je lèche comme si ma vie en dépendait. Satisfait de ma prestation, le propriétaire du doigt le récupère dans un bruit de succion.
C’est un autre bruit qui me fait sursauter. On dirait qu’ils ont envie de tester le martinet sur ma chatte écartelée.
« Je me fais fouetter ma chatte de petite sal... »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que le deuxième coup arrive.
Mon dieu, ce martinet, je l’adore. J’entends des bruits de fouet cinglants mais pas vraiment de douleur, juste un échauffement. J’en veux encore !
« Oui c’est bon ! Je suis une bonne salope qui se fait fouetter la chatte !»
Ça tombe bien, le rythme s’accélère. Les coups tombent tantôt sur le clito, tantôt sur la moule. J’adore ! Je n’ai pas mal, mais je sens que ça chauffe. Me faire fouetter, nue, écartelée et à la merci d’un étranger m’excite un maximum.
Les coups se sont déplacés. Ils arrivent maintenant en plein sur mon petit trou. Et je sens une vibration à l’entrée de ma chatte. Oui c’est ça, j’entends un petit ronronnement électrique.
« Je suis une petite pute qui se fait fouetter le trou du cul et je sens que je vais me prendre un vibro dans ma moule de salope »
L’engin force l’entrée sans grandes difficultés et s’enfonce doucement jusqu’au fond. J’ouvre la bouche malgré moi comme si c’était par là que j’étais pénétrée.
Ça vibre aussi sur mon clito. Les coups de fouet pleuvent sur mes fesses en même temps. Alors là, je ne réponds plus de rien. Je m’envole !
Mon périnée se contracte et je sens encore mieux ce sexe en plastique vibrer en moi. Un autre coup de martinet sur mon petit trou. J'en ai la voix qui chevrote:
« Ouuuuui ! C’est boooon ! Je jouuuuis comme un salooooope ! Ouuuuui ! »
C’est le combo orgasme clito/vagin et pile en même temps. Jack pot !
« Encoooore ! Plus foooort ! Oui ! c’est boooon ! Je vieeeeens ! »
L’orgasme me fait trembler de tout mon corps.
Mes jambes forcent pour se refermer mais c’est impossible, je reste écartelée et le gode continue de vibrer et de faire des aller et retours dans ma chatte.
J’essaie de me soustraire à cette pénétration mais je ne peux pas.
Mon clito est devenu hypersensible et je crie :
« Stop, stop stop arrètez !» Je crois que je vais mourir et puis tout d’un coup, je sens que le plaisir revient mais violement cette fois. Mon sexe se contracte comme si j’avais une crampe, et je me mets à crier :
« Non. Oui encore ! Ah ! Oui ! Ah ! Aaaaaah ! Les seins ! Pincez les seins ! S'il vous plait! Ouuuui ! »
Des doigts viennent pincer les tétons en les tirant vers le haut. La douleur ou le plaisir, ou les deux, je ne sais pas, sont fulgurants. Mon visage se crispe, Je sens maintenant comme des chocs électriques qui partent du fond de mon ventre et qui parcourent tout mon corps. La sensation de pince sur mes tétons s’amplifie encore, je manque de m’évanouir. Je me cambre et me tortille autant que je peux. Il me semble que je suis en train d’uriner par saccades mais je n’en suis pas sûre.
Les contractions et les chocs électriques s’espacent doucement.
Puis tout redescend. Je fais des « aie ! aie ! » en cherchant à soustraire mes seins à la douleur. Les pinces s’arrêtent, le gode se retire de ma chatte.
Je suis morte.
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En coller une bonne, cela me demange parfois. Je sens que cela bouillone en moi et après tout, une bonne claque pour calmer tout le monde, cela fait son effet.
La baffe, bien sonore, bien claquante, qui fait très mal, c'est terriblement humiliant pour ceux qui la reçoivent en public. Parfois ils ne s'en remettent pas, cela leur laisse des traces longtemps sur le plan psy.
Il est préférable de frapper avec la paume, l'intérieur de la main, c'est moins dangereux. Côté revers c'est redoutable mais plus dangereux avec les os de la main.
Avec de l'exercice, une gifle sans élan, directe peut faire très très mal. C'est le but recherché. Ne pas blesser. Claquer une belle joue et la laisser bien rouge, c'est suffisant.
Celui qui l'a reçoit comprendra vite qu'il a affaire à une experte et qu'il vaut mieux qu'il n'aille pas plus loin. Car les suivantes pourraient ne pas être ...disons correctives.
Il s'agit d'un article pour publier en vidéos de belles gifles en commentaires. Une belle baffe, bien donnée, je trouve cela joli.
Bises et sadiquement votre.
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Vivre à plusieurs dans le même corps, s'oubliez au profit d'une carrière, caché les sentiments pour se sentir moins vulnérable, caché qui nous sommes réellement, ne pas montrer où ne pas savoir qu'il l'on ait réellement voilà les différents passages que traverse depuis plusieurs jours.
Emmy l'actrice, mon autre je vais la nommé Evy, l'humaine.. un peu d'histoire pour comprendre.
Qui es Evy? Evy c'est l'histoire d'une petite princesse qui s'évade, elle s'en tape, elle se sent libre, elle s'amuse comme elle souhaite mais Evy se sent seule.
Evy est née à la suite de la séparation brutale avec mes parents suite à mon début de transition puis à évolué très rapidement avec mon ex-copain (les surnoms, les petites phrases amicales..) bref l'éloignement rapide de mon cercle familial puis de mes amis à l'époque a fait en sorte que mon ex-copain récupère ce "rôle parental"
Je ne vais pas aller plus dans les détails afin de protéger le peu de jardin secret qu'il me reste.
La relation entre les deux?
Evy elle est souvent là le soir, sauf que je ne contrôle pas du tout cette "phase" de moi-même, dès que Emmy "l'actrice" à un moment de calme, de repos ou de vide il y a de grande chance pour que les émotions sortent d'un coup peu importe le moment qu'il soit joyeux ou calme alors j'entend d'un coup des voix, je sens des mains sur mon corps, je revois des moments "flash" de cette période de transition loin sans repère.
Une cohabitation difficile
À être hyper active sur Internet dû à mon métier je m'oublie dans la belle carapace qui se nomme "Emmy" elle qui est beaucoup plus solide, distante, restreinte sur les émotions afin de ne pas avoir à ouvrir mes sentiments ou montrer les blessures du passées pour ne pas me reconstruire une seconde fois.
Je me sens seule à force de me caché.
Les chiffres puis les photos
Bien souvent les sourires de mes photos cachent derrière une dose d'émotions difficiles à retenir. J'ai souvent l'illusion d'être entourée quand je vois les chiffres, le nombre de play en donjon, les messages, les commentaires, les connaissances BDSM qui m'entourent sauf que derrière les chiffres il y a la réalité où je m'efface personnellement au profit d'Emmy puis de mes ambitions de carrière et de BDSM.
Le BDSM puis les soirées
Les donjons sont le rare seul moment où je me sens moins seule, d'où cette forte addiction à toujours attendre la prochaine soirée puis être en bad mood si je ne pratique pas pendant 1 semaine. Même si sur place j'utilise cette carapace "d'Emmy" je me sens bien mieux que dans n'importe quelle situation car j'ai du contact humain puis réel loin d'internet, je m'habille comme je souhaite, je gambade dans le club sourire au lèvre, je rencontre des personnes agréables.
Suis-je masochiste parce-que j'aime la douleur, suis-je masochiste pour effacer cette douleurs intérieur?
Conclusion
Je sens qu'aujourd'hui je tire une seconde sonnette d'alarme puis que des décisions vont devoir être prises rapidement afin de réussir à sortir de ce gouffre sans fin.
Apprendre à me redécouvrir, apprendre à sortir, apprendre à parler en dehors du BDSM puis de mon métier, nouée des amitiés non Kinky, faire des sorties..
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Dans le monde des relations intimes, la communication est une clé essentielle pour bâtir des connexions profondes et authentiques. Cela est particulièrement vrai dans le cadre des relations BDSM qui regroupe un éventail de pratiques différentes (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme, et Masochisme), où la complexité des dynamiques et des pratiques nécessite une compréhension et un consentement mutuel clairs et prédéfini. Les "checklists BDSM" et autres "sex menus" sont des outils simples mais efficaces qui peuvent grandement faciliter cette communication. Mais que sont-ils exactement, et comment influencent-ils les relations ?
Qu'est-ce qu'une Checklist BDSM ?
Une "checklist" est un document, physique ou numérique, que les partenaires utilisent pour discuter de leurs limites, intérêts, et préférences en matière de pratiques sexuelles, et en l'occurence BDSM. Elle répertorie diverses activités et scénarios, permettant à chaque partenaire de les évaluer selon leur degré de confort ou d'intérêt. Les réponses vont généralement de "intéressé(e) à essayer" à "ne jamais essayer", avec des nuances pour indiquer les préférences spécifiques ou les réserves, avec parfois quelques ajouts personnels.
Ces dernières peuvent êtres relativement simples, et composées de quelques entrées, comme complètement exhausitves sur les jeux et pratiques désirés. De plus, celle-ci peut être actualisée régulièrement, en effet les préférences et les limites peuvent évoluer avec le temps. Il est donc conseillé de réviser régulièrement les checklists pour s'assurer qu'elles reflètent toujours les désirs et le confort des partenaires.
Le concept de Sex Menu
Un "sex menu" est une liste ou plutôt, comme son nom l'indique, un catalogue de pratiques sexuelles. À l'instar d'un restaurant où l'on choisit quels plats déguster, il s'agit ici de jeux de rôles et de diverses autres activités que les partenaires peuvent explorer ensemble. Ce menu est conçu pour encourager la découverte et la communication continue, servant de guide pour naviguer dans les désirs de chacun et offrant des options variées qui peuvent être discutées et adaptées au fil du temps.
L'Impact sur la relation
Renforcement de la communication : Les checklists et sex menus encouragent une discussion ouverte et honnête sur les préférences sexuelles, ce qui peut renforcer la confiance voir même l'attirance entre les partenaires, en se rendant compte des points communs partagés. Cela permet également de clarifier les malentendus potentiels avant qu'ils ne se transforment en problèmes plus graves.
Définition des limites et consentement : Ces outils permettent aux partenaires de définir clairement leurs limites, ce qui est crucial dans les relations BDSM. Cela assure que toutes les activités sont consensuelles et que le respect mutuel est maintenu.
Exploration et liberté : Un sex menu peut introduire des éléments de jeu et de créativité dans la relation, offrant aux partenaires la liberté d'explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité de manière sécurisée et consensuelle. Pourquoi ne pas imprimer un menu différent chaque semaine avec quelques "plats" qui resterai à la carte, et d'autres goûter à de nouvelles choses ? Cela peut être particulièrement libérateur pour ceux qui souhaitent découvrir des aspects de leur sexualité qu'ils n'ont pas encore explorés mais qui peuvent être un peu dépassé par l'étendue du choix.
Évolution de la relation : Les préférences et les limites peuvent changer avec le temps. Les checklists et sex menus peuvent être révisés régulièrement, permettant aux partenaires de réévaluer et d'ajuster leurs dynamiques et pratiques en fonction de leurs évolutions personnelles et de celles de leur relation.
En résumé
Les checklists BDSM et les sex menus sont bien plus que de simples outils organisationnels ; ils sont le reflet d'une communication ouverte et d'un respect profond dans une relation. En permettant une exploration sécurisée et consensuelle, ils offrent aux partenaires une liberté unique de découvrir et de redéfinir continuellement les limites et les désirs. Dans une culture souvent marquée par des tabous et des stéréotypes, ces outils constituent un moyen puissant de bâtir des relations intimes basées sur la compréhension et la confiance mutuelle.
Et vous, avez-vous déjà eu recours à une checklist ou est-ce que vous y penserez à l'avenir ? N'hésitez pas à répondre, et pourquoi ne pas réaliser un exemple de liste dans un futur article.
Au plaisir,
Erebus
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Image d'illustration : web, black and white beauty lingerie
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Lorsque Mary débarque à Kiev en ce début d'été, elle a comme un vague ressenti. Quelque chose lui rappelle la débâcle américaine à Saigon. La majorité des ukrainiens ne veut plus de cette guerre pour le compte de l'occident. Les jeunes ne veulent pas aller se faire tuer sur le front. Les bombes planantes aussi précises que les prédictions de Paco Rabane sur la chute de Mir, font des ravages. La technique russe du pilonnage pour tout écraser. Bref, Mary, va se retrouver dans une galère, à la tête de la CIA en Ukraine. Cela ne l'effraie pas, bien au contraire. Elle adore la difficulté. C'est une surdouée, une prodigieuse, une insondable tant son cerveau déborde de neurones et de synapses. Elle sourit. Ce con de Zelinski devra bientôt venir lui bouffer la chatte à quatre pattes sous son bureau, s'il veut sauver sa tête.
Mary prend possession de son bureau. Une vaste salle climatisée, insonorisée, doublée de deux cages de faraday et de toutes sortes de systèmes pour l'isoler complètement de toute intrusion extérieure. Toutes....pas tout à fait. Les technologies dérivées de la mécanique quantique on fait des progrès. Certaines ondes cérébrales peuvent tout traverser. Heureusement très très peu d'humains savent se servir de ces ondes et fréquences. Elle ôte ses chaussures, se sert un whisky glace et allume un énorme havane. La sécurité s'affole des les premières volutes.
-faites pas chier les tafioles de service et que personne ne vienne m'emmerder. Je fume mon cigare! Et c'est un bon !
Les sécurités et alarmes se taisent. Mary remonte sa jupe et enleve sa culotte, dégriffé son sous tif. Là, elle est bien. Il est temps pour elle de tester sa puce neuralink.
Mary, fille de bonne famille faisait ses études au collège de son patelin. Une surdouée cela se fait vite repérer surtout lorsque c'est une phénoménale. Bénéficiaire d'une bourse spéciale, elle a eu accès au meilleur du savoir. Une véritable éponge, un.cerveau sans fond qui peut tout engloutir.
La puce neuralink branchée sur les neurones de son cerveau, c'est un cadeau de son amant, le célèbre Elon, l'homme le plus riche du monde. Certains offrent des bijoux, des résidences de luxe, Mary a eu droit à une puce dernière génération. Elle se pensait moche, avec ses taches de rousseur, son gros cul, ses hanches larges, ses gros seins, ses cheveux crépus de rousse. C'est Elon qui a craqué pour elle. Un homme à femmes qui a besoin d'elles, d'aimer, de baiser pour stimuler sa créativité. Mary fait partie de son harem et elle s'en fout, elle n'est pas jalouse, ne veut pas se marier. Un enfant, pourquoi pas?
Première observation, avec sa puce dans le cerveau, elle peut appeler son amant et maître quand elle veut. Une ligne directe. Plus besoin de clavier. Avec les images et le son. Et donc, le chemin inverse existe, son Maître peut venir en elle quand il veut. Elle aime cela, sentir qu'elle est à lui, entièrement, complètement.
Certaines personnes ont des crises d'épilepsie, c'est toujours impressionnant. Mary, elle, à des crises d'orgasmie. Ses neurones partent en flash. Elle jouit de façon incroyable sans rien faire. Une sorte d'explosion mentale. Cela intéresse au plus haut point Elon. La crise vient. Elle le sent. Elle tire quelques bouffées de son cigare, détend ses jambes. Elle se tétanise et deconnecte d'un coup. Un flash de lumière jaune...un premier orgasme violent...elle tremble et le second est déjà la. Sa chatte coule, son clito se dresse et ejacule. Elle a le souffle coupé et le troisième provoque l'état de transe. Cela se fait seul. Une anomalie cérébrale? En tout cas elle jouit avec son cerveau. Elle se détend enfin, la crise orgasmique est passée. Elon à suivi cela à distance. Il la rejoint dans sa tête, lui parle, la caresse. Elle ressent son envie de baiser.
La puce marche d'enfer. Elle peut consulter toutes les bases de données de l'agence y compris les plus confidentielles. En apparence, elle fout rien. Elle fume son cigare et boit son whisky avec les pieds sur son bureau, jupe relevée chatte à l'air pour être à l'aise. Elle consulte les dossiers sur le général Valeri. Ses joues deviennent rose de rage. Elle veut se faire ce tueur russe. Oui mais comment? Ce général et sa milice privé Stalin ont résiste à tout et réussi beaucoup de coups tordus. Il lui vient une idée....
.../...
A suivre dans un prochain article
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Bonne nuit
Ou bon matin, qui le sait ...
Posée entre la nuit et le jour
Je reste à vaciller
Dans cet entre deux
Ni la nuit ni le jour
La nuit et le jour à la fois
Volets fermés
Hors du temps
Vous me parlez le jour
Je vous réponds la nuit
Je suis dans votre coeur le jour
Vous êtes dans ma tête la nuit
Ou l'inverse
C'est l'un, l'autre
L'Une et l'Un
L'Un pour l'Autre
Chacun avec l'Autre , son Autre
Et l'inverse
Balancier jour-nuit inexorable
Je suis à Vous
Vous êtes pour moi
Effrayée
Patient
Ou l'inverse
Équilibre des jours, des nuits
Subtile exploration d'une rencontre
Bouleversante
Échange des coeurs
Balance des âmes
Et l'inverse
Comment définir un équilibre...
Une suspension. ...
Je Vous appartiens
Tout en légèreté
Vous me tenez
Sans me lâcher
Votre coeur pris dans mes câbles d'acier
Mon âme soutenue dans Vos fins fils d'araignée
Et l'inverse
Équilibre fragile
Qui reste à penser
À panser
A respirer
Puis à danser
Inspirer expirer
Respirer
Cycle du corps
Parcours de l'âme
Chemin du coeur
Jour, Nuit, L'Une, l'Autre, Vous, Moi
Nous
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Une Nuit Inoubliable : Une Soirée BDSM dans une Église Abandonnée
L'obscurité s'était installée lorsque nous avons pénétré dans les vestiges de cette église abandonnée. L'air était chargé de mystère et d'anticipation, l'endroit parfait pour une soirée BDSM d'une intensité rare. Nous étions cinq : deux dominants et trois soumis, prêts à transformer cette nuit en une expérience inoubliable.
Le Choix du Lieu
L'idée d'organiser une telle soirée dans une église abandonnée pouvait paraître sacrilège pour certains, mais pour nous, c'était l'ultime provocation, l'ultime liberté. L'atmosphère gothique de l'endroit, ses vitraux cassés et ses bancs poussiéreux, créaient une scène presque théâtrale. Les ombres dansaient sous la lumière des bougies, donnant à notre réunion des allures de rituel satanique.
Le Périple pour Arriver
Le voyage pour atteindre l'église s'est révélé être une aventure en soi. Située dans une région isolée, l'accès n'était pas simple. Nous avons dû emprunter des chemins de terre tortueux et mal entretenus, ce qui a ajouté une dimension supplémentaire d'excitation et de défi à notre soirée. Chaque embûche rencontrée sur la route renforçait notre détermination à parvenir à destination.
Les voitures chargées d'équipements, de costumes et de participants ont lentement progressé dans l'obscurité, les phares perçant à peine l'épaisse végétation environnante. Lorsque nous sommes enfin arrivés, le soulagement et l'anticipation se mêlaient, marquant le début d'une nuit mémorable.
Un Rituel de Soumission
La soirée a débuté par un cérémonial de soumission. Chaque soumis a été conduit à l'autel, où il devait s'agenouiller et prêter serment d'obéissance. Les paroles résonnaient dans l'espace vide, amplifiées par l'acoustique de l'église. L'énergie qui circulait entre nous était presque palpable, une connexion profonde et intense.
Les Jeux de Pouvoir
Les dominants ont pris leur rôle à cœur, explorant les limites de chaque soumis avec une précision et une attention aux détails fascinantes. Les murmures de douleur et de plaisir se mélangeaient, créant une symphonie unique. Chaque acte, chaque geste était imprégné de respect mutuel et de consentement, fondement essentiel de notre communauté.
Le Dépassement de Soi
Parmi les soumis, l'un d'eux, Alex, a vécu une expérience de dépassement de soi particulièrement marquante. Alex, habituellement réservé et prudente, a choisi cette nuit pour explorer ses limites plus profondément que jamais. Sous la supervision attentive d'un dominant, Alex a accepté des défis qu'elle n'aurait jamais envisagés auparavant.
L'un des moments les plus intenses a été lorsqu'elle a été attaché aux colonnes de l'église, ses bras étendus, et soumis à un jeu de sensations extrêmes. La douleur se mêlait au plaisir dans une danse envoûtante, chaque coup de fouet devenant un pas de plus vers une libération intérieure. Malgré la douleur, Alex a trouvé une force nouvelle en elle, découvrant une capacité de résistance et de résilience qu'elle ignorait posséder.
Ce moment de vulnérabilité extrême a transformé Alex, lui permettant de se reconnecter avec elle-même d'une manière profondément authentique. L'émotion était palpable lorsqu'elle a exprimé sa gratitude et sa reconnaissance, les larmes aux yeux, marquant ce moment comme un tournant majeur dans sa vie.
Un Rituel de Libération
Au fur et à mesure que la nuit avançait, nous avons atteint un état de transe collective. Les limites du physique et du mental étaient repoussées, et nous nous sommes trouvés dans un état de libération totale. La soumission et la domination n'étaient plus que des concepts, remplacés par une pure expression de soi.
Une Expérience Transformative
Lorsque l'aube a commencé à poindre, nous étions tous transformés par cette expérience. L'église, témoin silencieux de notre soirée, semblait imprégnée de notre énergie. Nous avons quitté les lieux, laissant derrière nous un espace marqué par des souvenirs indélébiles.
Cette soirée BDSM dans une église abandonnée restera gravée dans nos mémoires comme un moment de pure connexion, de dépassement des limites, et de liberté absolue. Ce fut, sans aucun doute, une nuit où nous avons touché l'essence même de notre être, dans un cadre à la fois sacré et profane.
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J’ai envie de les voir
Les yeux noirs
Noirs de jais
Je les imagine, les savoure à l’avance
Le moment où je vais sentir ce regard qui devient plus profond
Plus présent, plus intense
Disparu le petit air amusé
Envolé le sourire
Cette lave liquide
Ces deux lacs, puits sans fond
Qui peuvent ordonner, me faire plier
Me frustrer ….. et recommencer
Ces deux lacs qui me regardent
Sans rien me dire
Juste me regarder
Sur le grill
Comme ils savent faire
Laidy Sienne, tous droits réservés – Ne pas reproduire sans mon autorisation
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Sur les plateformes de dédiées à la rencontre comme Tinder ou partiellement dédiées à la rencontre comme notre site BDSM.FR, tout à chacun a pu constater le déséquilibre marqué entre le nombre de femmes et le nombre d'hommes. Ce déséquilibre impacte lourdement l'expérience des utilisateurs, hommes comme femmes.. Ce problème n'est donc pas cantonné à Tinder, mais c'est un symptôme généralisé sur toutes les plateformes de rencontres. Certains nouveaux membres de BDSM.FR s'en plaignent de manière assez critique et voir de manière acerbe comme si nous étions responsables et coupables de la disparité de nombre entre les femmes et les hommes sur le site (il n'y a pas une semaine sans qu'on se fasse littéralement insulter par le biais du formulaire de désincription). Dans le cas de Tinder, Nicolas Kayser-Bril et Judith Duportail ont effectué un test, il y a quelques années, et le résultat de l'expérience est à peine surprenant et en tout cas très significatif.
L'expérience de Judith et Nicolas sur Tinder
A des fins expérimentales les deux enquêteurs ont voulu voir "ce que ca faisait" d'être du sexe opposé sur l'application phare de la rencontre en ligne, Nicolas, s'est ainsi créé un profil féminin sur Tinder, et a rapidement dû fermer son compte, véritablement submergé par les sollicitations tournant parfois assez vite à l'agressivité. Judith, quant à elle, a constaté un manque de sollicitation sur son profil masculin, à l'inverse de ses expériences habituelles sur Tinder ou elle avait du succès, mettant en lumière que l'expérience entre un homme et une femme est radicalement différente en fonction du sexe. En effet, selon leurs recherches, le taux de match est de 50 % pour les femmes contre seulement 2 % pour les hommes sur Tinder.
Causes et conséquences de cet état de fait
Sur-sollicitation des femmes : les femmes sur les plateformes de rencontre sont souvent sursollicitées à un point tel qu'elles peuvent se sentir harcelées. Ce phénomène n'est pas seulement inconfortable; il peut conduire à jusqu'à des sitations réelles de cyberharcèlement.
Frustration des hommes : les hommes, confrontés à un faible taux de réponse, peuvent ressentir une grande frustration. Cette situation est exacerbée par le modèle économique de Tinder, qui encourage les hommes à acheter des fonctionnalités supplémentaires pour augmenter leur visibilité, sans pour autant que les résultats soient à la hauteur des espérences que la monétisation fait naître.
Conséquences : les femmes deviennent plus sélectives n'ayant que l'embarras du choix et voulant s'épargner les plus "collants" des hommes, et en arrivent juger de manière expériditive les dizaines (voire centaines) de solicitations qu'elles recoivent, tandis que les hommes peuvent se sentir floués et devenir agressifs face aux échecs répétés au quotidien (en ayant pourtant parfois bourses déliées).
Et BDSM.FR dans tout ça ?
BDSM.FR, comme tous les sites permettant l'interaction homme/femme et le contexte "Rencontre" pour bon nombre d'utilisateurs/utilisatrices, nous avions consience de cette problématique dès la création du site en 2012 et avons fait dès la genese ce que nous pouvions pour "soulager" les dames, tout en restant gratuit pour les hommes. Ce système repose depuis 2012 sur une prise de contact (demande d'ami) avant de pouvoir échanger, et sur un volontairement bridé (court) message introductif, pour que les dames est assez vite des éléments pour se faire une première impression sur leur correspondant (ne serait-ce pour voir les hommes qui font l'effort de personnaliser leur demande en quelques mots). Voici ainsi comment nous abordons la situation depuis 2012 (putain, 12 ans !):
Gratuité, non discrimination par l'argent : BDSM.FR est un site entièrement gratuit qui ne repose pas sur un modèle économique poussant à l'achat de visibilité ou d'avantages supplémentaires. Chaque utilisateur, indépendamment de son genre, a les mêmes chances de réussite à partir de ses qualités intrinsèques (plutôt qu'à partir de son compte en banque), sans coût supplémentaire.
Respect et sécurité : nous avons mis en place des mesures strictes pour éviter le harcèlement et assurer un environnement le plus sûr possible pour tous nos utilisateurs et surtout utilisatrices. Nous nous efforçons au quotidien, d'écarter les malfaisant(e) le plus rapidement possible, les fondateurs sont en cela bien aider par une équipe de modérateurs bénévoles, que nous ne remercieront jamais assez.
Favoriser le dialogue et la convivialité : en offrant des espaces publics pour que les utilisateurs et les utilisatrices puissent se "vivre" pour se découvrir sans nécessairement encore avoir "matché" (demande d'amitié aboutie, sur BDSM.FR), nous encourageons une communauté basée sur le respect mutuel et l'ouverture. BDSM.FR se veut bien plus qu'une plateforme de rencontre; mais à l'ambition d'être un espace où les individus peuvent discuter, apprendre et explorer en toute sécurité et sans engagement.
L'expérience de Tinder des deux journalistes montre clairement les limites et les défis des plateformes de rencontre traditionnelles. Sur BDSM.FR, nous nous efforçons de créer une alternative à la disparité homme/femme en nous efforçant à ce que chacun puisse se sentir valorisé et respecté. Nous invitons nos utilisateurs à contribuer à cette communauté, tout en profitant d'une expérience si possible la plus positive et la plus équilibrée, en espérant que certains puissent se rencontrer, s'il le souhaite, dans de bonnes conditions.
Voir l'article sur Huffing Post
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Judith Duportail, est une journaliste qui, suite à une rupture amoureuse, décide de s'inscrire sur Tinder pour se distraire et reprendre confiance en elle. Alors qu'elle se laisse emporter par la frénésie de l'application, échangeant des textos avec une multitude d'hommes et profitant de l'attention qu'ils lui portent, elle découvre par hasard que Tinder utilise secrètement des données personnelles pour attribuer une note de « désirabilité » à ses utilisateurs. Cette révélation la choque profondément, car cela signifie que l'application manipule les rencontres en classant ses membres sans leur consentement.
À travers son récit autobiographique, Judith partage non seulement les détails de son enquête, mais aussi ses expériences personnelles et émotionnelles, illustrant les impacts psychologiques des mécanismes de l'application de rencontres. Le livre offre ainsi une perspective unique sur la manière dont les technologies de rencontre influencent la séduction et les relations amoureuses, tout en mettant en lumière les enjeux de pouvoir et de domination, particulièrement en ce qui concerne la place des femmes dans ces dynamiques.
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Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle :
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question :
Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ?
Je suis jeune.
Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts.
M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien.
J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger.
Je suis des études.
Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape".
Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion.
À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi.
J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser..
Ce mec / cette meuf est trop beau / belle !
J'ai juste envie de m'éclater et de voyager.
Je suis jeune.
D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française
(Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE).
Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes..
Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ?
La réponse est non.
Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême.
L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses.
Cependant..
Il existe un petit pourcentage..
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
- Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là.
- J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale.
- J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique.
- J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents.
- J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer !
- J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans.
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains.
Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement.
Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité.
Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins.
Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter.
Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM".
Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau.
Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail.
Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte.
Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose..
Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" :
- Être Dominant.
- Ne pas être Dominant.
Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle".
Plusieurs états d'esprits en résultent :
Je ne suis pas dominant.
- Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin.
- Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là !
- Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante.
- "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller.
- "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ???
- "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda)
- "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?"
Je ne suis pas dominant.
Je suis Dominant.
- Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance.
- Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres.
- "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter."
- "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?"
- "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?"
- "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM."
- "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner."
Je suis Dominant.
Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge.
Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez.
Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences.
Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM.
Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence".
Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas).
En conclusion :
La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..)
Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent.
Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux.
Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ?
La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ?
Allez savoir..
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître !
https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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L’une des pires choses qu’un être humain puisse faire, selon moi, c’est de se comparer à un autre être humain.
Mais…
Mais il y a des fois où cette petite voie, insidieuse, vient distiller son venin dans les limbes de ma conscience.
Surtout concernant ma « place » dans le milieu BDSM ainsi que mon « étiquette ».
Une amie m’as dit : Souvent les femmes se mettent dans un rôle de soumise et les hommes dans celui de Dominant alors qu’en les regardants ou en les côtoyants un peu, on se rend compte que le « casting » n’est pas bon ! Tout ça pour coller au standard que la société nous inculque.
Se faisant, et malgré le fait que je ne me sente pleinement épanouis qu’en ayant un Dominant, je me repose quand même la question ..
Oui j’ai un caractère bien tremper,
J’adore taquiner, provoquer.. Une Brat dans toute sa splendeur,
Le filtre entre mon cerveau et ma bouche n’a pas bien été calibré non plus, se qui donne une franchise pas toujours bienvenue… !
Et (parce qu’on me le dit assez) que j’ai une sacrée énergie pas forcément facile ni à gérer, ni à appréhender.
Et quelques personnes m'ont dit que je serais une bonne Domina...
Problèmes : je n'en ressent ni l'envie ni le besoin ...
Donc avec tout ça, je me demande souvent (très, très, très souvent), si la personne avec qui j’ai fait une session a aimé le moment partagé.
Parce que pour moi, le plaisir de l’autre dans le partage de ces moments est une question primordiale.
Si il (quelque fois elle mais le plus souvent c’est il ^^) n’ai pas frustré et/ou agacé par mon comportement.
Si je suis pour lui une « bonne soumise » ou un « bon modèle »,
Si je ne l’ai pas déçus en étant assez "endurante" (dans les cordes ou dans mon masochisme),
Si je n’ai pas fait quelque chose de déplacé,
Si j’ai été assez ceci ou assez cela.
Si je n'ai pas pousser le bouchon un peu trop loin (n'es ce pas Maurice!)
Bref un peut ce syndrome (tout vilain et pas sympa) de l’imposteur qui te dis « non mais tu n’as pas ta place ici, regarde toi » !
Une autre voie se fait aussi entendre : une petite voie qui me dit que si les gens pratique avec moi (et aime pratiquer avec moi) c’est justement parce que je suis moi.
Entre attachiante et adulescente !
C’est toujours cette ambivalence entre le "moi" fait de feu et le "moi" qui s’épanouis sous le contrôle de quelqu’un qui se livrent bataille..
Et ce sont ces mêmes facettes, en symbiose bancale, qui font que je doute.
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Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler.
Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts.
Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal.
Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage.
Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin.
À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité.
Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices.
Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour.
Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps.
--
Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués.
Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter.
Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps.
Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet.
Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot.
À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents.
Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre.
Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes.
D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé.
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Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe.
Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir.
L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes.
Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille.
Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids.
Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander.
Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité.
Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie.
Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû.
Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient.
Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant.
Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse.
Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !"
Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail.
D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi.
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Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Je ne sais pas si c’est un questionnement, un débat ou juste ma perception des choses que je met là mais après une conversation avec une certaine personne je vous pose ces réflexions ici.
Notre conversation nous à emmener sur les sujets tels que l’emprise dans une relation D/s, le « pouvoir » que détenais le ou la soumise, les limites et la sexualisation dans certaines pratiques plus que d’autres.
Je m’explique :
Pour moi, il y a déjà la base à savoir qu’une relation D/s est consensuelle.
C’est un accord entre deux parties dans laquelle l’une des partie cède le contrôle à l’autre.
C’est une relation consensuelle ET hiérarchisé sur la base d’accord écrit ou verbaux passé entre deux personnes.
Sans accords de l’un ou de l’autre : pas de pratique.
L'interrogation qui viens naturellement après ça est tout simplement « Puisque c’est généralement le/la soumise qui pose les limites, au final, n’es ce pas elle/lui qui détiens tout le pouvoir dans cette relation ? »
Et là, comme j’ai répondu lors de notre échange, c’est une question délicate. Certains vont crier au souminateur(trice) si je répond oui.
Mais franchement, pour moi, c’est bien le cas. Et je n’ai pas l’impression de dominer quand je dit « non » ou « stop » à un Dominant.
C’est parce que je suis consentante que l’échange de « jeu » est possible. Sans cela, c’est une agression, point.
Et le pire des affronts ce sont les « dominants » (et je ne mettrais pas de majuscule dans ce cas là!), qui, sous couvert du « bien-être » et de « l’éducation » de leurs soumis(e) vont faire fît de ces limites !
En tant que Dominant, vous avez la responsabilité du bien être physique et mentale de votre soumise (que se soit en session ou autre : 24/7) !
C’est pour ça que ce type de relation n’est pour moi, vraiment mais vraiment pas à prendre à la légère !
C’est un engagement personnel envers quelqu’un, où la limite entre relation saine et emprise destructrice peut être ultra fine et qu’il se faille d’un rien pour passer dans quelque chose de malsain.
Évidemment, il faut être en accord avec sois même, être le plus équilibré possible mentalement. Savoir ces faiblesses et, en fin de compte, simplement : se connaître.
J’ai remarqué que les gens avaient peur de se retrouver/confronter face à eux même… Mais sans ce travail là comment pouvez vous mettre le moindre curseur « d’acceptable ou non » sur quoi que se sois dans votre vie ?
Dans le BDSM cela se traduit par « es se que se que je vie est en accord avec mes principes ? Cela me porte t-il préjudice mentalement, physiquement ou émotionnellement ?
Dans ma vision d’une bonne relation D/s, le Dominant est là pour « révéler » le/la soumise. Pour l’amener à se découvrir, à faire confiance et à céder le contrôle au Dominant (n’es ce pas ça qui vous fait vibrer ? Le pouvoir et le contrôle que vous exercer sur votre soumis(e) ?)
Ce qui me fait peur c’est certains postes (et je ne citerais personne) que je peut lire où le/la sub est du « côté obscure de la force ». Il/elle c’est perdue, annihilé par cette relation qui est devenue écrasante que son/sa Dom n’a pas su gérer.
C’est ça le secret : donner sans s’oublier. Céder sans que l’on devienne une coquille vide, avide de la remplir avec tout ce que l’autre donne.
Parce que quand on est plus capable de remplir sa coupe (émotionnel, d’égo etc..) sois même on deviens dépendant.
Et aucune drogue n’est jamais bonne à court ou long terme.
La suite plus tard !
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-Bravo Général Valeri, la mise sous contrôle de Donald est une totale réussite.
-une opération très amusante. Et qui pourra servir de modèle, camarade Président.
-elle m'a beaucoup fait rire, il est vrai. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.
L'opération "une chatte pour Donald" à pris du temps. Comment sélectionner une bonne espionne? D'abord, il faut une fidélité et loyauté à toute épreuve. Rien de mieux qu un conditionnement extrême sur mode bdsm. Au bout de quelque mois, l'espionne n'obéira plus qu'à son Maître qui pourra tout lui demander. Ce n'est toutefois pas le plus important. Ce qui compte c'est de réussir et donc d'alpaguer si fort la cible qu'elle passera sous contrôle.
Donald s'est vanté de choper les femmes par la chatte. Valeri a donc fait en sorte de lui en fournir une qui le rende fou.
Comment savoir si une femme est vraiment bandante. Ce n'est pas nécessaire qu'elle soit sublimement belle, non, c'est autre chose. Valeri, en bon militaire a voulu tester. Il a sélectionné des hommes de la façon la plus variée possible et les à mis par groupes de douze, nus, dans une pièce, avec une grande baie vitrée et une glace spéciale pour qu'ils puissent voir sans être vus. Interdiction de se toucher le sexe. Les filles devaient attendre une par une, une dizaine de minute, dans la pièce en face, avec une simple chaise pour s'assoir et rien d'autre et vêtues comme elles avaient l'habitude de l'être dans la vie courante.
Aux hommes de choisir. Pour chaque fille un numero et un vote de zéro à dix. Cela n'était en fait qu'une sorte de leure ou de mise en condition. Les hommes nus étaient observés sans qu'ils le sachent, et plus. Les votes n'avaient de fait aucune importance. La seule chose prise en compte était le désir réel.
Ne fait pas bander qui veut. Et c'est de la sorte que la milice privé Stalin recruta ses meilleures espionnes pour ces missions très spéciales reposant sur le sexe. Laura fut vite repérée comme la championne toute catégorie. Sa seule présence faisait lever les bites comme des régiments levent les baillonettes. Aucun raison, aucune explication. Laura fait bander un homme par sa seule présence et ensuite par le souvenir.
Des que Donald a vu Laura, il a voulu la chopper par la chatte et pas que. Il en est devenu raide dingue.
Et donc, fini les aides à l'Ukraine, fini les ambiguïtés. Pour avoir sa drogue quotidienne, une bonne baise avec Laura, il a du obéir.
En conclusion la bite est elle le véritable cerveau de l'homme ?
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Attention, ceci n'est pas pour les personnes qui sont émotionnellement fragiles, ceci parle d'une relation que j'ai eu avec un dominant en fin 2022, avec des choses pouvant parler de suicide ou meme des descriptions de crises d'angoisse. A vos risques et périls.
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30/10/22
Je ne sais pas trop ce que se passe, enfin si mais peut être que je ne veux pas me l'avouer, je me lance sur la fin de ma relation avec Maître K. Beaucoup trop de choses ne vont pas, le manque de communication est très présent, j'ai vraiment l'impression d'avoir créé plus de liens avec L qu'avec Maître, et du coup la voir dans cet état a cause de lui me fait beaucoup de mal... Le manque de soumission est assez présent, il n'y a pas vraiment de contraintes, il n'en donne que quand il est triste ou en colère. A vrai dire j'ai pas spécialement l'impression de compter pour lui, et pourtant j'ai fait ma demande, peut être ai-je trop écouté mes manques ? J'ai été bien quand même parfois, mais finallement ces moments sont très rares et ils sont tout de suite mangé par une sorte de remords. On est 4 soumises, L et A sont là depuis longtemps et avec F nous on est arrivées il y a pas longtemps, et j'ai l'impression que c'est un peu du remplacement, mettre les anciennes de côté pour laisser la place aux nouvelles, j'ai pas l'impression d'être mise au même niveau que L, loin de la même et cela me dérange beaucoup. Les soumises appartenant au même Maître, peu importe le nombre, doivent avoir le même temps qui leur est offert par leur Maître, le même taux affectif ect... Enfin bref, elles doivent être au même niveau. C'est sur que nous avons des pensées, des corps, des pratiques, des manieres de faire différentes mais cela ne justifie en rien ces différences dans notre soumission, même si nous avons toutes les quatres le même problème, la communication avec Maître.
Peut être lui faudra-t-il un déclic, car a ce qui parrait, il n'était pas comme cela avant, je ne le connais que depuis un mois a vrai dire. C'est peut être court pour se faire une idée de la relation mais je me sent mal, très mal. Peut être suis-je trop empathique, mais avoir vu L fondre en larme car elle ne se sent plus considérée par Maître ma choquée et ma attristée énormément. Elle a vécu beaucoup de choses, beaucoup de choses très lourde, elle est restée pendant tout ce temps et c'est ainsi que ça finirai ?... Elle s'est retrouvée a boire pour essayer de faire passer la pilule, j'ai préféré prendre ma progestérone plus tôt et me shooter plutôt que de rester ainsi... Ça m'a rendue assez shootée pour me mettre à rire de n'importe quoi au bout d'une heure, j'étais a moitié la, je me sentais vaciller quand j'étais debout, j'arrivais à peine a penser. Mais ça a fait passer un certain type de soirée, avec L bourrée, A éméchée et moi shootée. On est restés à discuter dans la chambre avec F pendant que Maître était concentré sur la télé comme a son habitude, L riais pour rien, a peine elle lit un prout qu'elle est morte de rire pendant bien dix minutes, et je ris avec elle.
La soirée se termine autour de minuit, lorsque Maître fini sa série, tout le monde part se coucher mais on oublie de se faire le bisou, on était trop a l'ouest sur le moment, je le dit a Maître et il me réponds :"On ne réclame pas". Du coup pas de bisou pour moi...
C'est un coup de poignard en plein cœur, avec tout ce qu'il s'est passé, je n'ai même pas eu le droit au bisou... Tout autour de moi s'effondre, ma sécurité, ma carapace d'émotions que j'avais mise en place et que j'avais retiré grâce à la progestérone, n'a pas pu me protéger de cela. Tout ce que j'encaisse depuis des semaines, tout les doutes, les questions que je me posais sur ce que je fais la remontent, me rongent, mais je ne peux pas encore me permettre de craquer, je suis juste à côté de lui dans le lit. Les pensées fusent dans ma tête et le temps passe lentement, j'attends une dizaine de minutes sans trop bouger puis je me lève, je prends le plaid, puis je pars dans le salon. Je m'asseois j'essaie de me calmer de remettre ma carapace en place mais je craque, encore plus que d'habitude. Quelqu'un part dans les toilettes donc je reste silencieuse et j'attends qu'elle ai terminé pour fermer la porte. C'est a ce moment là où je m'effondre par terre, je me retrouve comme paralysées sur le sol du salon, a pleurer silencieusement pour ne réveiller personne. Mais il y en a deux qui viennent, elles ont entendu quelqu'un aller dans le salon et sont venus voir, L et A me voient dans cette position, cette position que je n'ai pas eu depuis mes 18 ans. J'essaie de leur faire croire que tout vas bien, qu'elles peuvent aller se coucher mais ça ne marche pas, elles se mettent au deux extrémités puis je fonds a nouveau en larmes d'une manière plus puissante qu'habituellement. On discute, de ce qu'il s'est passé, de ce qui passera. Cela dure une bonne vingtaine de minutes plus ou moins car je ne voulais pas retourner dans le lit, mais elles voulaient que j'y aille, je ne sais pourquoi... J'y ai passé une très mauvaise nuit, a m'endormir entre deux larmes qui coulent.
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08/11/2022
Le BDSM a toujours été tout pour moi, je n'ai d'yeux que pour mon Maître ou ma Maîtresse, tout ce que je fais tourne autour de lui ou elle, c'est pour lui faire plaisir, le/la rendre heureuse ou fière. Avec cela, mon côté hypersensible et hyperempathique qui ressort, ce n'est pas top, car je passe d'un extrême à l'autre, d'un côté des chocs forts de dopamine des le moindre geste ou le moindre mots, de l'autre des états dépressifs forts et des questions sur le fait de rester en vie, les larmes montent facilement autant dans la joie que dans la tristesse...
Pendant un long, long moment j'ai caché cela, mais depuis que j'appartiens a Maître K, tout est différent. Je n'arrive plus à me cacher, a me renfermer sur moi même, ou lorsque j'y arrive ne serais-ce qu'un peu, c'est déjà trop tard. J'avais réussi à contrôler mes émotions depuis quatre ans maintenant mais du coup tout ressurgit...
Quelque part, je sais que je ne serais jamais heureuse, c'est ainsi, c'est comme ça, je suis née ainsi. Je suis trop dans les extrêmes, je suis trop fragile, trop dépendante pour. Mais du coup je fais tout pour rendre les personnes que j'aime heureuses mais ça ne fonctionne pas non plus, donc parfois je me demande a quoi bon. Je sais que je ne ferais rien d'important dans ma vie, et si en plus je n'arrive pas a remplir mon objectif de vie, a quoi bon vivre finalement ? Mais si je ne me suis jamais suicidé, depuis que j'ai commencé à avoir ce genre de pensées il y a quatre ans, c'est car j'ai peur, j'ai peur que ça me fasse mal, et j'ai peur que ca fasse aussi mal aux autres. Donc je ne le fais pas...
Je suis restée une enfant au fond de moi, voire même un bébé... Cela m'a choquée moi même mes comportement avec Maître, L et A, je m'attendais pas du tout a cela. C'est un peu instinctif a vrai dire, et je m'y sent bien, même si j'ai énormément peur de demander certaines choses telles que des câlins ou des bisous... J'ai toujours peur de les déranger, peur de toujours demander trop, peur de trop vouloir, peur de moi même également, je ne veux pas devenir celle qui veux tout, tout le temps. Je suis une soumise, je souhaite, je laisse Maître vouloir et décider.
Je n'aurais jamais pensé en arriver là finallement, j'appartiens a quelqu'un qui fume, et j'ai deux soeurs de soumission, deux choses que je considérais comme rédhibitoires chez la personne que je convoitait, mais finalement avoir des soeurs de soumission, enfin celles que j'ai, c'est vraiment génial, elles sont extrêmement bienveillantes, toujours là quand il faut, et même la quand il faut pas... Mais grâce à elle, je peux me libérer de certaines choses, des choses que j'aurais énormément de mal a dire a Maître, comme mes envies suicidaires... Mais il faut que je les laisses elles aussi gérer leurs soucis a présent, et que j'aille voir Maître, car c'est a lui que je suis soumise, et c'est a lui que je dois dire ce genre de choses.
Finallement, je ne sais pas vraiment si j'ai plus peur de moi même, car je ne sais pas jusque ou je peux aller dans ma soumission, dans l'abnegation, ou si j'ai peur que la personne a qui j'offre tout cela, l'utilise pour me détruire encore plus que maintenant.
Je ne sais pas...
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12/11/22
Finallement, les choses ne se passent toujours pas bien, je me suis remise à pleurer cette nuit car en quelque sorte, je détruit la relation entre L et Maître et A et Maître. Ce n'est pas ce que je voulais, je pensais que ça se passait bien que la relation était a quatre, mais Maître n'arrive a s'occuper que d'une soumise a la fois et a chaque fois, c'est la nouvelle. Pour le moment c'est moi car c'est moi la dernière arrivée, mais je sais que dans quelque mois cela changera et je ne serais soumise qu'à un fantôme, comme ça se passe avec L et A, qui sont là pour leur faire les courses, la cuisine et le ménage et c'est tout. Cela ne me donne pas envie, pour apprendre deux trois choses au début c'est cool, mais par la suite cela deviens très rapidement ennuyant et frustrant dans le mauvais sens, les manques remontent rapidement et certains sont déjà présents, j'ai besoin d'être soumise, j'ai besoin d'être une petite chienne pour mon Maître ou ma Maîtresse...
Cette situation ne pourras pas durer des mois...
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Peu apres, j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai récupéré les quelques affaires et j'ai posé les clés. Je suis repartie de mon coté et j'ai préféré couper court avec eux, meme si c'était tres tres difficile. J'ai découvert des choses assez bizarres a propos de K. C'était vraiment tres difficile, je me sentais inutile, la pire soumise qui existe, qui abandonnais son Dominant, les pulsions suicidaires etaient revenues mais c'est a ce moment la que j'ai commencé ma relation avec Maman, ce qui m'a beaucoup aidé.
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Je t'ai connu très jeune, trop jeune peut être.
À l'époque je n'ai pas compris,
Pas compris la boite de Pandore que tu représentais.
C’est ainsi, porté par les affres des hormones de mon jeune âge,
J'ai voulus tout découvrir, tout essayer, :
Tu t'es quelque peut épanouis.
J'ai aimé, j'ai pleuré :
Tu m'as haï autant que tu m'as chérie pour ça.
Je me suis découverte,
Et toi aussi.
J'ai eu peur,
Tu as ri : de toi, de moi, de nos actions, des Autres.
Et puis je t’ai relégué au fond de mon être,
Il m’as fallut ça pour te comprendre, nous comprendre.
Je me suis questionné, énormément,
J’ai fait de l’art de l’introspection un véritable toc !
D’où viens-tu ?
Suis-je normal ? D’où me viennent ces envies ?
Es-ce vraiment mes envies ? Mes besoins ?
Ou es-ce le résultat de mon formatage précoce ?
Et tu une partie de moi à découvrir ?
Ou un parasite à bannir ?
Je ne t’ai pourtant jamais vue comme un fardeau ou un secret,
Mais par tous les diables : qu’es se que tu es compliquée à vivre !
En fin de compte, même si je t’ai bâillonnée,
Tu étais là, grattant sous la surface,
Me poussant à te laisser sortir !
Nous avons grandis, pas forcément en symbiose.
Maintenant je te protège, farouchement.
Si l’un de ces corbeaux au plumage encore plus faux que leurs ramages s’approchent,
Je montre les crocs.
Comprend moi aussi :
« Chat échaudé craint l’eau froide » !
N’oublie pas que la confiance se gagne,
Elle ne se donne pas !
Toi qui a tant besoin de lâcher prise,
Qui ne demande qu’à t’épanouir,
Qui me supplie de ne pas résister à cet appel de te libérer…
Ne te fâche pas petite chipie,
Je fait des progrès pour te laisser mener la danse.
De se que j’ai compris,
Tu as le même feu que moi,
C’est peut être aussi pour ça que nous avons besoin,
Autant toi que moi,
Dans notre tourbillons extatique,
D’émotions incontrôlée,
D’une aura d’où émane autant de force que de sécurité,
Pour que nous puissions nous embrasser.
Nous avons aussi en commun cette soif d’apprendre,
De nous comprendre,
De nous transcender.
Alors,
Mon amour,
Même si le chemin est encore long,
Je te promet de tout faire pour que nous prospérions.
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Le BDSM et la franc-maçonnerie sont deux univers qui, à première vue, semblent n'avoir rien en commun. Cependant, si l’on y regarde de plus près, il est manifeste que l’un et l’autre partagent certains éléments fondamentaux, même si leurs pratiques et leurs objectifs soient évidemment très différents.
Une réputation sulfureuse
BDSM et la franc-maçonnerie ont un premier point commun : ils sont tous deux sujets à des idées reçues, rumeurs et clichés, souvent dus à un manque de compréhension ou à une représentation sensationnaliste dans les médias et la culture populaire.
Dans le cas du BDSM, les idées fausses sont largement répandues. Souvent, le BDSM est mal interprété comme étant abusif, dangereux voir pathologique d’un point de vue psychiatrique, ignorant le fait que les pratiques BDSM sont basées sur le consentement, la communication et la confiance mutuelle. La représentation médiatique du BDSM tend souvent à l'exagérer ou à le dramatiser, ce qui contribue à une incompréhension de ces pratiques et les caricaturant comme nécessairement extrêmes ou marginales.
La franc-maçonnerie, quant à elle, est souvent entourée de bien des malentendus. Beaucoup de rumeurs et de théories du complot circulent autour de la franc-maçonnerie, la dépeignant comme une organisation secrète ayant des intentions cachées ou un pouvoir considérablement exagéré. Ces clichés sont alimentés par la nature discrète de certains de ses rituels et par sa longue histoire longue parfois mal interprétée (y compris par certains franc-maçons eux-mêmes qui voit la franc-maçonnerie comme à l’initiative de la révolution française, alors que cette légende résulte de la propagande anti-révolutionnaire (voir l’oeuvre de l’Abbé Baruel https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_Barruel)). La représentation de la franc-maçonnerie dans les films et les livres, souvent dramatisée et romancée, contribue également à ces fausses idées, éloignant la perception du grand public de la réalité des pratiques et des objectifs de la Franc-maçonnerie.
Ces idées reçues et clichés ont bien des effets pervers (si l’on peut dire). Pour le BDSM, les clichés peuvent entraîner discrimination et jugement de ceux qui pratiquent ces activités. Pour la franc-maçonnerie, les malentendus peuvent mener à une méfiance et une suspicion injustifiées. Dans les deux cas, les individus peuvent se sentir obligés de cacher leur appartenance ou leurs intérêts pour éviter la stigmatisation.
La similitude dans la manière dont le BDSM et la franc-maçonnerie sont perçus par le grand public montre comment la méconnaissance et la représentation sensationnaliste peuvent fausser la compréhension des pratiques culturelles et des organisations.
Rituels et cérémonies du BDSM et de la Franc-maçonnerie
Dans le BDSM et la franc-maçonnerie, les rituels et les cérémonies jouent un rôle essentiel, bien que dans des contextes et avec des objectifs différents.
En franc-maçonnerie, les rituels sont ancrés dans une tradition séculaire et s’avèrent très structurant dans la démarche. Ils sont utilisés lors des cérémonies d'initiation pour accueillir de nouveaux membres, lors des « promotions » pour marquer le passage à un degré supérieur, et lors de commémorations spécifiques. Ces rituels sont chargés de symbolisme, chaque geste, parole et objet ayant une signification particulière. Ils visent à transmettre des enseignements moraux et philosophiques, mais aussi à renforcer les liens entre les membres, et à perpétuer les traditions et les valeurs de la franc-maçonnerie. La répétition et la mise en scène de ces rituels créent un sens de continuité et d'appartenance à une histoire plus vaste.
Dans le BDSM, les rituels peuvent, pour certains avoir une grande importance, même si bien sûr ils sont de nature différente. Ils sont souvent utilisés pour créer une dynamique et une atmosphère spécifiques dans le cadre des jeux de rôle et des interactions entre participants. Les rituels dans le BDSM peuvent inclure des pratiques comme la mise en place de règles ou de protocoles, des cérémonies de "collaring" (où un collier est utilisé comme symbole d'engagement dans une relation D/s), ou des scénarios élaborés où les participants jouent des rôles spécifiques. Ces rituels aident à établir les dynamiques de pouvoir, à renforcer la confiance et à intensifier l'expérience émotionnelle et physique des participants. Ils permettent également d'exprimer et d'explorer des désirs et des identités dans un cadre sécurisé et consensuel.
Dans les deux cas, les rituels servent à créer un espace distinct du quotidien, où les participants peuvent vivre des expériences qui ont une profonde signification personnelle ou collective. Il y a dans l’un et l’autre cas une sacralisation de l’instant. Les rituels offrent un cadre structuré au sein duquel les individus peuvent explorer, apprendre et s'exprimer, tout en renforçant les liens avec les autres membres de leur communauté respective. Anecdotiquement, tant en BDSM qu’en franc-maçonnerie, les rituels peuvent avoir recours au bandeau, au feu, aux cordes, à l’enfermement, aux serments, à la nudité (partielle en franc-maçonnerie ;-) ) ...
La confiance et le consentement sont déterminants en BDSM comme en franc-maçonnerie
La confiance et le consentement sont des élément fondamentaux aussi bien dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, jouant un rôle crucial dans la façon dont les interactions et les relations se développent dans l’un et l’autre des domaines.
Dans le BDSM, le consentement est la pierre angulaire de toutes les activités. C’est par une communication claire et honnête sur les désirs, les limites et les attentes de chaque personne impliquée que ce consentement est recherchée. Le concept de "SSC" (sain, sûr et consensuel) ou "RACK" (risk-aware consensual kink) est souvent mis en avant, soulignant l'importance d'une approche réfléchie et consensuelle des pratiques BDSM. Cette communication ouverte permet d'établir une confiance mutuelle, essentielle pour que les participants se sentent en sécurité et respectés. Dans les relations BDSM, la confiance permet aux individus de se livrer à des expériences intenses, sachant que leurs partenaires respecteront leurs limites et prendront soin d'eux.
En franc-maçonnerie, la confiance est également un pilier central. Les membres sont souvent tenus de garder confidentiels les détails des rituels et des enseignements maçonniques, ce qui requiert un haut niveau de confiance mutuelle. Cette confiance est nécessaire pour maintenir l'intégrité et la solidarité de la loge. Elle est aussi essentielle pour créer un environnement où les membres peuvent ouvertement discuter de questions morales, éthiques et philosophiques, partageant des réflexions personnelles dans un cadre sûr et respectueux. Certaines cérémonies initiatiques y sont assez « physiques » et prévoit que l’impétrant(e) confirme son désir de poursuivre au fil de l’avancée des cérémonies. La confiance au sein de la franc-maçonnerie permet aux membres de s'engager dans des discussions profondes et significatives, sachant que leurs pensées et opinions seront reçues avec respect et discrétion.
Dans les deux domaines, la confiance et le consentement sont donc non seulement essentiels pour la sécurité et le bien-être des individus, mais aussi pour renforcer la cohésion et la qualité des interactions au sein de la communauté. Que ce soit dans une loge maçonnique ou dans une relation BDSM, ces valeurs créent un fondement solide sur lequel les individus peuvent construire des relations enrichissantes et significatives.
Hiérarchie et définition des rôles en BDSM et en franc-maçonnerie
La notion de structures hiérarchiques et de rôles définis est un autre élément commun entre le BDSM et la franc-maçonnerie, bien que ces structures servent bien évidemment des buts et des dynamiques différents .
Dans le BDSM, la hiérarchie est souvent exprimée à travers les rôles de la personne dominante et de la personne soumise. Ces rôles ne sont pas simplement des étiquettes, mais représentent des dynamiques de pouvoir consenties et négociées et sont donc au cœur de nombreuses pratiques BDSM. Le dominant assume généralement un rôle de contrôle ou de direction, tandis que le soumis se place dans une position de consentement à cette direction. Cette dynamique hiérarchique est flexible et peut varier considérablement selon les personnes impliquées et leurs préférences. Elle est établie sur la base de la confiance, du respect et du consentement mutuel, et est souvent accompagnée de règles et de protocoles qui aident à définir la relation et à assurer la sécurité et le bien-être de tous les participants.
En franc-maçonnerie, la structure hiérarchique est plus formellement établie. Elle est organisée en différents degrés ou niveaux d'initiation, chacun avec ses propres enseignements, rituels et responsabilités. Les jeunes maçon(ne)s sont contrait au silence, et la personne qui dirige la loge est le/la « Vénérable Maître(sse) ». Les membres progressent à travers ces degrés au fil du temps, souvent en démontrant une compréhension et un engagement envers les principes maçonniques. Cette progression est symbolique de la quête personnelle et spirituelle. Différence notable, la hiérarchie maçonnique n'est pas une question de pouvoir sur les autres, mais plutôt de développement personnel et de service à la communauté.
Dans les deux cas, ces structures hiérarchiques et les rôles définis offrent un cadre pour la progression, l'apprentissage et l'expression. Dans le BDSM, ils permettent d'explorer des dynamiques de pouvoir complexes dans un environnement sécurisé et consensuel. En franc-maçonnerie, ils facilitent le perfectionnement moral et spirituel des membres et renforcent les liens entre eux. Bien que les motivations et les applications de ces hiérarchies soient différentes, elles jouent un rôle important dans la création d'une structure et d'un sens au sein de leurs communautés respectives.
Respect de la discrétion et de la vie privée
La discrétion et la vie privée sont des aspects cruciaux tant dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, bien que pour des raisons et dans des contextes différents.
Dans le BDSM, la discrétion est souvent lié à la protection de la vie privée des participants. En raison des jugements et des malentendus courants concernant le BDSM dans la société, beaucoup choisissent de garder leurs pratiques et intérêts dans ce domaine privés afin de s’épargner d’être victime de stigmatisation sociale, la discrimination au travail, ou simplement parce qu’ils nourissent le désir de séparer cette partie de leur vie de leur identité publique. La discrétion dans le BDSM est donc respectée pour sauvegarder l'intimité personnelle et la sécurité des individus impliqués, même dans les clubs ou les munchs. Elle permet aux participants de s'explorer et de s'exprimer dans un cadre où ils se sentent en sécurité et acceptés, sans crainte de jugement externe, en toute humanité et bienveillance.
En franc-maçonnerie, la discrétion (même si on parle parfois de secret) a historiquement joué un rôle différent. Bien que l'institution maçonnique (les obédiences et les loges qui en dépendent) ne soit pas secrète en elle-même, certains de ses rituels et enseignements le sont. Ces « mystères » ne sont pas destinés à exclure les non-initiés, mais plutôt à renforcer le lien entre les membres et à préserver la nature sacrée et sérieuse des enseignements maçonniques. Le secret maçonnique crée un sentiment d'appartenance et un engagement partagé envers les idéaux de la humanisme. Il contribue également à la mystique et au respect de la tradition au sein de la franc-maçonnerie, ajoutant une dimension de profondeur et de continuité à l'expérience maçonnique.
Dans les deux cas, le secret et la vie privée sont essentiels pour maintenir l'intégrité et la valeur de l'expérience pour ceux qui sont impliqués. Que ce soit dans le BDSM ou dans la franc-maçonnerie, la capacité de maintenir certains aspects de l'expérience à l'écart du regard public permet aux individus de se livrer plus pleinement et sincèrement à leurs activités, favorisant ainsi un environnement où ils peuvent s'épanouir et se développer en toute confiance.
Communauté et appartenance
Le sentiment de communauté et d'appartenance est un élément fondamental tant dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, jouant un rôle crucial dans l'expérience des individus au sein de ces deux sphères.
Dans le BDSM, la communauté offre un espace où les individus peuvent explorer leurs intérêts et désirs dans un environnement accueillant et sans jugement. Pour beaucoup, trouver une communauté BDSM (par les munchs, par exemple) est une expérience libératrice, leur permettant d'exprimer des parties de leur identité qui pourraient être incomprises ou stigmatisées dans d'autres contextes. Ces communautés fournissent souvent des ressources éducatives, du soutien, et des opportunités pour partager des expériences et des connaissances. Les événements sociaux, ateliers, et les sites communautaires comme BDSM.FR sont des exemples de la manière dont la communauté BDSM favorise la connexion et l'appropriation du rite par l'apprenti. Au sein de cette communauté, les individus trouvent souvent une réelle acceptation, un sentiment d'appartenance, et la possibilité de former des relations basées sur des intérêts et des valeurs partagés.
Dans la franc-maçonnerie, la communauté est également d'une importance capitale. Les loges maçonniques ne sont pas seulement des lieux de réunion pour la réalisation de rituels, elles sont aussi des espaces de fraternité, de soutien mutuel, et de développement personnel. Les membres partagent un engagement envers des principes et des valeurs communs, tels que la fraternité, l’humanisme, et la quête de la vérité. Cette communauté offre un environnement où les membres peuvent développer des liens forts, s'engager dans des discussions profondes, et travailler ensemble pour des objectifs communs.
Tant dans le BDSM qu’en franc-maçonnerie, la communauté et l'appartenance jouent un rôle essentiel dans l'enrichissement de l'expérience des individus. Que ce soit dans une loge maçonnique ou au sein d'une communauté BDSM, les membres bénéficient d'un sentiment de connexion, de soutien et de partage d'expériences. Ces communautés offrent un espace où les individus peuvent non seulement s'engager dans des activités qui leur sont chères, mais aussi trouver une reconnaissance et un respect mutuel, éléments clés pour le bien-être et l'épanouissement personnel.
(Les initiés pourront rejoindre le groupe V.I.T.R.I.O.L : demandez moi en ami et faites vous reconnaître comme tel.le dans le message d'accompagnement : https://www.bdsm.fr/vitriol/ )
VOUS ETES CURIEUX/SE ? DEUX LIVRES ! :
Pour les adeptes du BDSM curieux de la franc-maçonnerie :
Ce guide se présente comme une ressource pour celles et ceux qui envisagent de rejoindre la franc-maçonnerie ou qui à tout le moins ont de la curiosité à cet égard. Sa structure méthodique et son approche claire le rendent très accessible. Les auteurs abordent le sujet sans prosélytisme excessif et en fournissant des informations essentielles tout en préservant le mystère et le caractère sacré des cérémonies d'initiation.
L'un des points forts de "Devenir franc-maçon(ne)?" réside dans son approche pratique. Il guide le lecteur à travers les différentes étapes menant à l'initiation maçonnique, offrant une perspective introspective unique. Ce voyage initiatique est enrichi par la présentation des origines historiques et des idéaux maçonniques, permettant ainsi une compréhension approfondie de l'institution.
Un autre aspect remarquable est l'absence de parti pris envers une obédience maçonnique particulière. Cette neutralité que se sont imposés les auteurs est essentielle, car elle permet aux lecteurs de faire un choix éclairé en fonction de leurs convictions personnelles et de leur recherche spirituelle.
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L’auteure aborde le BDSM non pas comme une anomalie ou une perversion sexuelle, mais plutôt comme une forme d'art et de plaisir où la contrainte joue un rôle central. Le livre tord le cou aux représentations médiatiques stéréotypées ou irresponsables, qui omettent souvent l'importance du consentement et de la sécurité dans ces pratiques.
L’auteure, dont l'intérêt pour le BDSM a débuté presque par hasard pendant ses études, offre une perspective unique et éclairée. Elle a passé plus d'un an à interroger et observer attentivement de nombreux adeptes du BDSM et c’est à l’issue de cette immersion qui lui a permis de découvrir une communauté non seulement réglementée, mais aussi extrêmement solidaire, qu’elle a écrit ce livre.
"BDSM: Les règles du jeu" se pose donc comme une ressource précieuse pour ceux qui cherchent à comprendre les dynamiques complexes et les règles non écrites qui régissent le monde du BDSM. Il s'agit d'un guide éducatif et d'un témoignage culturel important, qui éclaire les aspects souvent méconnus de ces pratiques, tout en soulignant l'importance du respect, du consentement mutuel, et de la responsabilité partagée.
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✨ Au sommaire :
L’histoire et les particularités du Rite Français
Les étapes de l’initiation : épreuves, voyages, symboles du cabinet de réflexion
Une immersion dans la symbolique du Temple et des objets sacrés
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