La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 03/09/23
C'est un peu par hasard que nous sommes tombés sur un article concernant le Free use. On s'est rendu compte que la manière de percevoir le freeuse variait pas mal d'une personne à l'autre, et que la pornographie était assez réductrice quant à cette pratique. Le freeuse repose sur une séparation entre un partenaire utilisateur et un partenaire objet. Les videos pornos mettent souvent en scène des femmes qui servent les hommes, souvent dans des relations où la pluralité improbable. On essaie dans cet article de vous proposer une synthèse de ce que nous semble être la pratique du Freeuse en synthétisant ce que l'on a pu lire sur le sujet. Mais on ne détient pas la vérité. C'est une vision parmi d'autres. N'hésitez pas à commenter pour partager votre perception différente, si vous en avez une. Bonne lecture !!! :) --- Le terme "freeuse" (l'espace entre les deux a fini sur certains sites par disparaitre aboutissant à créer un mot presqu'à part !)  a récemment gagné en popularité dans les alcoves comme dans les médias, suscitant à la fois curiosité, débat voire controverses (notamment sur certains réseaux sociaux).. Mais qu'est-ce que le freeuse exactement ? Et comment se positionne-t-il par rapport à d'autres pratiques ( est-ce du BDSM ? du fétichisme ?) ou ce que beaucoup considèrent comme le sexe "normal" ? Vous avez dit "freeuse" ?!? Le terme "free use" provient de l'anglais, on pourrait le traduire littéralement par "usage libre", ou en se rapprochant de la réalité de la pratique "en livre service". Dans le contexte sexuel, il fait référence à une dynamique où un ou une partenaire est disponible pour l'autre à des fins sexuelles, souvent sur pulsion de la première (la personne "utilisatrice") et sans nécessité de séduction ou de préliminaires prolongés pour entamer la relation. C'est toujours plutôt bestial. Cette disponibilité de la personne "objet" est basée sur un consentement préalable, où le/la partenaire "utilisé(e)" accepte d'être disponible pour l'autre. Il est crucial de noter que, bien que cette dynamique puisse sembler unilatérale, elle repose sur le consentement mutuel et une communication ouverte entre les partenaires. Le freeuse peut prendre différente formes, allant de simples attouchements ou caresses à des actes sexuels plus hardcore. La clé est que le partenaire "utilisé" a accepté cette dynamique et est d'accord pour être "utilisé" de cette manière. Au cours des dernières années, le concept de "freeuse" a gagné en visibilité, notamment du sait de sa mise en lumière par Internet et les médias sociaux. Des forums de discussion aux plateformes de partage de vidéos, en passant par des récits érotiques, le freeuse est devenu un sujet de curiosité pour beaucoup et d'attirance parfois.. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette montée en popularité. Tout d'abord, la nature même du freeuse, qui joue avec les dynamiques de pouvoir et les tabous, peut être intrinsèquement intrigante pour certains couples. Dans une société où la sexualité est de plus en plus débattue ouvertement, de nouvelles formes d'expression sexuelle émergent et sont explorées. Cependant, il est important de noter que, comme pour toute tendance ou phénomène culturel, ce qui est représenté dans les médias ne reflète pas toujours la réalité ou la complexité des relations réelles basées sur le freeuse. Les représentations dans les vidéos (du genre Youporn/Pornhub) peuvent souvent être exagérées ou scénarisées pour l'effet "dramatique". Pour comprendre le "freeuse" et l'intégrer dans vos pratique, il est essentiel de bien distinguer la fiction de la réalité. Le free use, avec sa dynamique unique de consentement et d'utilisation, soulève de nombreuses questions quant à sa classification dans le vaste spectre des pratiques sexuelles. Est-ce une forme de BDSM, compte tenu de ses évidentes dynamiques de pouvoir ? Peut-on le considérer comme un fétichisme, étant donné que l'acte d'"utiliser" un partenaire peut être attirant et source d'excitation ? Ou est-ce simplement une autre facette de ce que l'on pourrait qualifier de sexe "normal", une variante parmi tant d'autres dans la diversité des relations intimes ? Ces questions ne sont pas seulement académiques ou théoriques. Elles ont des implications réelles pour ceux qui envisage de pratiquer le freeuse ou ont deja franchi le pas. Comprendre où se situe le freeuse peut aider à décomplexer r la pratique, à établir des limites claires et à assurer une expérience positive et consensuelle pour toutes les parties impliquées. En fait, le "freeuse" peut prospérer dans un cadre le BDSM, dans le fétichisme ou tout simplement dans le sexe vanille, et dans la pratique, explorer l'une ou l'autre de ces facettes, ou un peu toute.   Comprendre le concept de "freeuse" Le concept de "freeuse", bien que relativement récent comme on l'a vu, trouve ses racines dans des dynamiques plus anciennes de relations et de sexualité. Pour comprendre pleinement son émergence, il est essentiel de retracer son histoire et ses origines. Précurseurs historiques À travers les âges, différentes cultures et sociétés ont eu des pratiques où un partenaire était à la disposition de l'autre, souvent dans des contextes de hiérarchie ou de pouvoir. Bien que ces situations ne soient pas directement comparables au freeuse moderne basé sur le consentement, elles montrent que l'idée d'une disponibilité sexuelle n'est pas nouvelle. Dans nos sociétés patriarchales, il s'agissait surtout d'une mise à disposition du corps de la femme pour le mâle dominant. Émergence dans la culture érotique Avec l'avènement d'Internet et la démocratisation de la pornographie et de la littérature érotique, de nouveaux genres et niches ont vu le jour. Le free use, en tant que concept, a commencé à gagner en popularité dans ces cercles, souvent présenté comme une pratique où un partenaire est constamment (dans des intervalles de temps convenus, tout de même) disponible pour l'autre. Apparition du mot "freeuse" Le terme "freeuse" lui-même semble avoir émergé au début des années 2010, principalement sur des forums et des plateformes de partage de contenus pour adultes. Sa popularité a augmenté à mesure que la pratique gagnait en visibilité (en s'invitant dans la presse grand public) et que les discussions autour de celui-ci se multipliaient Le rôle et l'influence des réseaux sociaux Avec l'essor des médias sociaux, le freeuse a trouvé une plateforme pour une discussion plus large. Des communautés dédiées ont vu le jour, permettant aux adeptes d'échanger des expériences, des conseils et des réflexions, contribuant ainsi à façonner et à définir davantage le concept. Le freeuse et le BDSM Free use et BDSM ont des points communs À première vue, le freeuse et le BDSM peuvent sembler partager de nombreuses similitudes. Freeuse et BDSM ont des différences Bien que le freeuse et le BDSM partagent donc certaines similitudes, ils diffèrent également à plusieurs égards. Ces différences se manifestent principalement dans les objectifs poursuivis, les pratiques spécifiques et les limites établies. Le free use et le fétichisme Le fétichisme est un terme qui englobe une vaste gamme de fanstames sexuels. Pour certains, il s'agit d'une fascination pour un objet spécifique (example, fétichisme des escarpins), pour d'autres, d'une partie du corps (fétichisme du pied par exemple), et pour d'autres encore, d'une situation ou d'un scénario particulier (fantasme de l'infirmière par exempleà. Mais comment le freeuse s'inscrit-il dans le cadre du fétichisme ? Définition du fétichisme Dynamiques de pouvoir : Au cœur du BDSM et du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir. Dans le BDSM, cela peut se manifester par la domination et la soumission, tandis que dans le freeuse, cela se traduit par la disponibilité d'un partenaire pour l'autre. Dans les deux cas, un partenaire assume un rôle plus "actif" ou "dominant", tandis que l'autre adopte un rôle plus "passif" ou "soumis". Consentement : Le consentement est fondamental dans les deux pratiques. Sans consentement, ni le BDSM ni le freeuse ne sont considérés comme acceptable. Dans le BDSM, le consentement est souvent formalisé à travers des discussions préalables, des contrats et des safewords (mots de sécurité). Dans le freeuse, bien que les modalités puissent varier, le consentement est tout aussi crucial, garantissant que les deux parties sont à l'aise avec la dynamique, et revêtir, là encore, une formalisation..   Négociation : Avant d'explorer le BDSM ou une relation basée sur le freeuse, une négociation est souvent nécessaire. Cela permet aux partenaires de définir leurs limites, leurs désirs et leurs préoccupations. La négociation assure que les deux parties sont sur la même longueur d'onde et qu'elles ont une compréhension claire de ce à quoi s'attendre. Dans le freeuse, cela pourrait inclure des discussions sur quand et comment la "disponibilité" s'applique, ou quelles sont les limites à ne pas franchir. Objectifs : BDSM : Les adeptes du BDSM cherchent souvent à explorer des dynamiques de pouvoir, à repousser leurs limites physiques ou émotionnelles, ou à vivre des scénarios spécifiques. Il peut s'agir d'une exploration profonde de soi, d'une catharsis émotionnelle ou d'un jeu de rôle. Freeuse : L'objectif principal du freeuse est la disponibilité constante d'un partenaire pour l'autre. Il s'agit moins d'une exploration des limites que d'une immersion dans une dynamique spécifique de disponibilité et d'utilisation. Pratiques : BDSM : Le BDSM englobe une vaste gamme de pratiques, allant du bondage à la discipline, en passant par la douleur, la domination et la soumission. Ces activités peuvent nécessiter des outils, des équipements et une formation spécifique. Freeuse : Le freeuse est généralement plus centré sur l'acte sexuel lui-même, sans nécessiter d'équipement ou de préparation spécifique. Il s'agit davantage d'une disponibilité spontanée que d'une mise en scène élaborée. Limites : BDSM : Dans le BDSM, les limites sont souvent clairement définies avant une session. Les partenaires peuvent utiliser des "safewords" pour signaler leur inconfort ou leur désir d'arrêter. Les limites peuvent concerner des actes spécifiques, des zones du corps ou des scénarios. Freeuse : Bien que le consentement soit toujours primordial, les limites du freeuse peuvent être plus fluides. Par exemple, la disponibilité peut être constante, mais avec des exceptions spécifiques. Les limites peuvent également évoluer avec le temps, en fonction du niveau de confort des partenaires. Bien que parfois contractualiser, le freeuse est plus "souple" dans sa pratique. Le fétichisme se réfère à une attirance sexuelle intense pour un objet non vivant, une partie du corps non génitale, ou une situation spécifique qui n'est pas typiquement considérée comme sexuellement stimulante pour la majorité des individus. Cette attirance peut être si intense qu'elle est nécessaire pour la satisfaction sexuelle de l'individu.   Le free use comme fétichisme Objetification : Au cœur du freeuse se trouve l'idée d'objetification consensuelle. Un(e) partenaire est "utilisé" par l'autre, souvent sans les préliminaires ou la phase de séduction traditionnelle. Cette objetification peut être perçue comme un fétichisme en soi, où l'acte d'utiliser ou d'être utilisé est la principale source d'excitation. Le rôle : Dans le freeuse, les rôles sont clairement définis : un partenaire est l'utilisateur, l'autre est celui qui est utilisé. Pour certains pratiquants, c'est cette dynamique de rôle qui est la principale source d'excitation. De la même manière que certains fétichistes peuvent être attirés par des rôles spécifiques, les adeptes du freeuse peuvent être attirés par le rôle d'utilisateur ou d'utilisé. La situation : Le free use est souvent basé sur des situations spécifiques : un partenaire est toujours disponible pour l'autre, quelles que soient les circonstances. Cette constante disponibilité, et les situations qui en découlent, peut être le fétiche en soi. Que ce soit la spontanéité, l'absence de préliminaires, ou la nature "à la demande" du freeuse, la situation elle-même peut être la principale source d'excitation. Le fétichisme est-il toujours présent dans le freeuse Le freeuse, avec sa dynamique unique d'utilisation et de disponibilité, peut certainement présenter des éléments qui rappellent le fétichisme. Cependant, tous les actes ou relations basés sur le freeuse ne sont pas nécessairement fétichistes : Diversité des motivations : Tandis que certains peuvent être attirés par le freeuse en raison d'un fétichisme spécifique (comme l'objetification ou une certaine dynamique de pouvoir comme on vient de le voir), d'autres peuvent être attirés par le freeuse pour des raisons complètement différentes. Par exemple, certains peuvent voir le freeuse comme une expression de confiance et d'intimité profonde, sans nécessairement avoir une fixation fétichiste. La centralité de l'attirance : Dans le fétichisme, l'objet, la partie du corps ou la situation spécifique est souvent central pour l'excitation ou la satisfaction sexuelle de l'individu. Dans le freeuse, bien que la dynamique d'utilisation soit centrale, elle n'est pas toujours la principale source d'excitation. Pour certains, le freeuse peut être une partie d'une relation sexuelle plus vaste, et non la seule source d'intérêt. Fluidité des rôles : Alors que le fétichisme peut souvent être centré sur un intérêt ou une fixation spécifique, le freeuse peut être plus fluide. Par exemple, bien que le freeuse puisse souvent impliquer une dynamique unilatérale, les rôles peuvent parfois être inversés ou adaptés en fonction des désirs et des besoins des partenaires. Contexte culturel et social : Il est également important de reconnaître que la perception du freeuse comme fétichisme peut être influencée par des contextes culturels et sociaux. Dans certaines cultures ou communautés, le freeuse peut être vu comme une pratique marginale ou fétichiste, tandis que dans d'autres, il peut être perçu comme une expression normale et acceptable de la sexualité. Et si le "freeuse" était en fait l'antichambre de la Domination/soumission ? Le freeuse, avec sa dynamique d'utilisation et de disponibilité, a souvent été comparé à d'autres pratiques sexuelles, notamment le BDSM. Mais pourrait-on aller plus loin et suggérer que le freeuse est en réalité une introduction, ou une "antichambre", à la Domination ? Ou du D/s light. Le freeuse : une initiation aux dynamiques de pouvoir Au cœur du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir claire : un partenaire est disponible pour l'autre, souvent à la demande. Cette disponibilité, basée sur le consentement, introduit une asymétrie dans la relation. Pour certains, cette première expérience de dynamique de pouvoir peut éveiller un intérêt pour des jeux de domination/smoussion plus poussés.   Des rôles clairement définis Tout comme dans la Domination, le freeuse repose sur des rôles clairement définis. L'utilisateur/utilisatrice et l'utilisé(e) ont des responsabilités et des attentes spécifiques. Cette clarté peut préparer le terrain à des rôles plus élaborés, comme ceux de dominant(e) et de soumis(e), présents dans les relations BDSM.   La communication et le consentement comme fondements Le freeuse, lorsqu'il est pratiqué de manière éthique, repose sur une communication ouverte et un consentement mutuel. Ces compétences sont essentielles dans toute relation de domination. Ainsi, le freeuse peut servir de terrain d'entraînement pour développer ces compétences cruciales.   Limites et exploration : Le freeuse encourage les partenaires à définir leurs limites et à les communiquer clairement. Cette exploration des limites peut naturellement évoluer vers une exploration plus approfondie des désirs, des dantasmes et des dynamiques de pouvoir, conduisant potentiellement à la Domination. Les 7 obligations sexuels de la "personne objet" dans une relation "freeuse" Disponibilité : Être prêt et disponible pour des activités sexuelles selon les termes convenus, cela peut aller d'être réceptif à tout moment ou seulement pendant des périodes spécifiées à l'avance (exemple : pas durant le sommeil). Réceptivité : Répondre aux avances de la personne utilisatrice avec volontarisme et entrain,, en se conformant aux désirs et aux scénarios préalablement convenus. Préparation : Selon les préférences du couple, cela peut signifier s'assurer que le corps est propre, rasé, ou préparé d'une manière spécifique pour l'acte. Utilisation de protections : Si nécessaire, s'assurer que des protections comme des préservatifs ou d'autres méthodes contraceptives sont utilisées pour garantir la sécurité des deux partenaires. Participation active : Même si la personne "objet" est dans un rôle plus "passif", elle doit s'assurer de participer activement pour le plaisir de l'utilisateur, que cela signifie répondre aux stimulations Respect des scénarios : Si un scénario spécifique a été convenu (par exemple, jouer un rôle particulier ou adopter une certaine attitude), la personne "objet" doit s'y conformer. Utilisation de jouets ou d'accessoires : Si cela fait partie de l'accord, être prêt à utiliser ou à être utilisé avec des jouets ou des accessoires sexuels. Les 5 droits fondamentaux de la "personne utilisatrice" sur la "personne objet" Dans le cadre du freeuse, la personne "utilisatrice" est encouragée à embrasser pleinement son rôle, profitant de la dynamique unique offerte par cette relation. Ces droits, toujours basés sur le consentement mutuel, sont conçus pour maximiser le plaisir et l'expérience de l'utilisateur. Voici une liste incitative des droits de l'utilisateur, spécifiquement axée sur la dimension sexuelle de la relation. Droit à l'initiative : En tant qu'utilisateur, vous avez le droit de guider l'interaction sexuelle selon vos désirs, sans vous poser de questions sur le consentement (puisqu'il a été établi en amont). C'est où vous voulez, quand vous voulez, à la fréquence que vous voulez (plusieurs fois par jour, ou deux fois par an, c'est vous qui décidez). Droit à la disponibilité : Votre partenaire "objet" est là pour votre plaisir. Aucune autre considération ne compte. Vous avez le droit de vous attendre à ce qu'il/elle soit prêt(e) et réceptif/ve à vos avances, dans les limites que vous avez définies ensemble en amont. Exemple : Si une envie vous prend en pleine nuit, votre "objet" devrait être prêt à faire ce que vous lui demandez pour satisfaire pleinement vos désirs. Droit à l'exploration : Vous avez le droit d'explorer vos fantasmes et vos désirs, en utilisant votre partenaire "objet" comme instrument de votre plaisir. Droit à la satisfaction : Votre plaisir est au cœur de cette relation. Vous avez le droit de chercher à être pleinement satisfait à chaque interaction. Exemple : Si vous n'avez pas atteint l'orgasme, vous êtes en droit de guider votre "objet" jusqu'à ce que vous y parveniez, y compris en lui indiquant en quoi il/elle s'y prend mal.. Droit à la communication : Bien que vous soyez dans le rôle dominant, vous avez le droit d'exprimer vos besoins, vos désirs et vos limites clairement. Vous avez le droit d'arrêter un rapport en plein milieu si vous avez changez d'avis ,sans justification.  
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 30/09/21
Après des semaines de communications téléphoniques et d'appels visio ..... EN-FIN, la rencontre arrive. Je précise aussi que je ne suis nullement traumatisée par ce qui s'est passé ce soir-là. Au point que je la partage. C'était une expérience. Le texte ci-dessous a été rédigé à la demande de ce dom, pour avoir un retour à froid de la soirée 48h après. *************************************************************************************** Mercredi soir. J’arrive au château avec un peu d’appréhension pour mon retard, car vous êtes militaire. Et aussi, pour le lavement que j’ai fait avant, je ne sais pas si je vais devoir aller aux toilettes ou pas, c’est déstabilisant, c’est mon premier lavement. Jolie tenue, chemisette et style classique pour vous. J’embrasse votre main à genoux, comme convenu. Comment tout cela va-t-il tourner ? Est-ce que je vais découvrir un monde inconnu, des plaisirs inconnus ….. à voir. Tour de la maison, je sens votre poigne rapidement, dès que je monte une marche de trop sur l’escalier. Je me dis que ça ne doit pas être facile de s’opposer à vous, et quelque part ça me rassure. Je vais probablement pouvoir me lâcher un peu. Jolie propriété, vos informations historiques sont intéressantes aussi, et je profite de la marche pour vous observer. Pas une once de doute ou de détente dans cette démarche. Un homme qui sait ce qu’il veut, et qui l’aura, quand et où il le souhaite. Apéritif à l’intérieur. J’apprécie que vous me demandiez si je crains les moustiques, j’aurai préféré en extérieur mais ma peau l’aurait payé très cher. Il faut que je me déshabille, pour vous, je n’ai pas l’habitude de faire ça pour un Maitre. C’est drôle de se faire observer, sans une once de frémissement. Je comprendrais plus tard que vous exprimez peu de choses, en mots ou en gestes. Difficile pour moi de « lire » et de savoir quand vous prenez du plaisir. A moins que le plaisir soit uniquement d’obéir à vos ordres ….. sans chercher de connexion. Apéritif moi nue, nous papotons de tout et de rien, avec du champagne. C’est bien plaisant. J’embrasse vos chaussures puis vos pieds nus, des ongles taillés auraient été mieux accueillis je crois. Puis déshabillage, c’est étonnant de voir votre sexe qui ne réagit pas à mes caresses diverses, assez déstabilisant aussi. Du plaisir avec mon cul vers vous, j’aime bien me caresser mais d’une main, je manque de tomber. Vous me commandez de me caresser, et de jouir, ce que je fais. Je ne sais pas si cela vous convient ou pas, je ne vous vois pas et ne vous ressens pas non plus. Par contre, je remarque qu’il n’y a pas de caresses sur mon corps, uniquement sexe et seins. Début du « travail mammaire », comme vous l’appelez. Apparemment mes seins ne sont pas très sensibles, alors chaque travail se fera avec beaucoup de force, et donc de douleur pour moi. C’est fort, ça pince et ça fait mal. Je sais que vous avez dans l’idée de me faire jouir par les seins. Une fessée aussi, et je fonds en larmes de douleur. Pas l’habitude d’avoir mal comme ça, un peu oui, mais là c’est carrément déplaisant et je n’ai pas dans l’idée de dire « je suis cap », vous le savez. Une fois que je suis en larmes, de façon très surprenante, vous me prenez contre vous et j’entends le mot « câlin », « donne-moi ta douleur », ça ne résonne pas en moi, et ne vous ressemble pas non plus. Alors je me blottis pour avoir un peu de réconfort, ce qui ne dure pas car apparemment cela ne vous convient pas, c’est « trop vanille ».
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Par : le 13/02/22
Texte personnel, ne pas diffuser sans mon autorisation. Photo par @Dame Sweet SadiPerverse. *************************************************************** Monsieur gère mon emploi du temps. Nous sommes mardi, tous les mardis Il m'élargit, me sodomise. Profondément, avec force, sans oublier une certaine technique. Il arrive, immense dans l'encadrement de ma porte, descend les quelques marches S'installe dans le fauteuil Regarde la tenue qu'Il a souhaité que je porte Sans un mot, Il ouvre son zip et je le prends en bouche : c'est notre rituel. Rien ne se passe, pas un mot, pas une caresse, pas une salutation, avant ce moment précis. "Bonjour pute" dit-il. Vas-tu bien ce mardi ? Son sexe en bouche, je hoche la tête pour dire oui. Je savoure ce moment où je ne sers qu'à ça, à Lui. Un objet. Fonctionnel. Je me concentre sur Lui, Le prendre, arrondir les lèvres, pour Lui, que pour Lui. "Arrête, pute, c'est assez maintenant" Je me redresse, un filet de bave descend sur mon menton. Je ne sais pas quoi faire, que va-t’ Il décider pour la prochaine minute ? Un câlin, enfin. Qui fait du bien. Un contact humain, qui me nourrit. "Monte l'escalier devant moi, arrête-toi sur la première marche." Je m'arrête, Il écarte mes jambes avec son pied. Me fouille, installe Ses longs doigts dans mon sexe, mes orifices, tous mes orifices. Plusieurs doigts. "C'est bien, monte maintenant" Et je monte ainsi l'escalier, tenue bien fermement par mon intimité. Plusieurs doigts. Déjà un peu pleine de Lui. Cette prise étroite et profond me rassure, m'apaise. Et Il le sait. Il me dirige par le sexe, avec ses doigts, me fait arrêter sur le palier après quelques marches. "Bras sur le mur" Je m'exécute, évidemment. Il est en moi, avec ses doigts, preuve évidente de mon appartenance. Et je trouve ça normal, vu que mes orifices sont à Lui. Il me travaille avec ses doigts, encore et encore, entre et sort. "Jouis pour moi, pute, quand je te dirais" Bien Monsieur Que faire d'autre ? Echevelée, hypnotisée par ce qui se passe, par cette perversion que je vis, je suis stupéfiée de moi, d'aimer cette dépravation, cette souillure, cette luxure. "Jouis. Maintenant", dit-Il en accélérant le rythme Je hurle et jouis, je coule sur le sol en une flaque, témoignage de mon plaisir. Comment faire autrement ? Dès qu'Il passe la porte, j'ai envie de ça, de m'oublier et devenir cette part sombre de moi-même.
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Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 02/04/24
Ton souffle s’accélère, ton corps se tend, tu es y presque. Tu me demandes “Est-ce que je peux jouir?”. “Pas tout de suite” je réponds, tout en continuant les va-et-vients qui sont en train de te faire décoller. Après quelques dizaines de secondes, je plonge mon regard dans le tien et je te lâches “Tu veux un orgasme?”. Evidemment que tu veux… Je m’interromps brutalement, j’attrape tes cheveux et tourne ta tête vers le coin de la pièce. “Si tu en as autant envie, alors montre le moi. Va te mettre dans ce coin, face au mur, et fais toi jouir toute seule”. Tu me regardes incrédule, alors je t’encourage “allez!”. Tu m’as longuement dit ce besoin de te faire humilier, alors aujourd’hui j’en joue. Cela fait déjà plusieurs fois que je te pousse au dernier moment à te donner toi même la libération, telle une droguée qui a besoin de son shoot, celui que tu as tant de mal à obtenir avec la personne qui partage ta vie “civile”. Alors toujours à quatre pattes, tu descends du lit, tu rejoins le coin de la pièce, et tu t’accroupis. J’ai du mal à distinguer maintenant, mais je vois que tu t’actives, et puis très vite, je l’entends. Ton souffle s’accélère de nouveau, ta main remue furieusement. Tu manques de perdre ton équilibre. Alors je décide de porter l’estocade qui va, je le sais, t’emporter: “Allez dépêche toi, montre moi comme tu es une bonne chienne en chaleur”. Ta main accélère, ta tête bascule en arrière, et le long râle qui accompagne toujours ton plaisir commence à monter dans la pièce. Le râle retombe, puis haletante, au bout de plusieurs minutes, tu reviens sur terre. Tu réalises ce que j’ai fait de toi un court instant: un animal conditionné à son propre plaisir. Des larmes montent à tes yeux, des larmes de honte, d’en être réduite à cet état de dépendance, auquel tu ne cède pas d'habitude, mais aussi des larmes de joie, d’avoir su t’abandonner, quitter le rôle de la mère de famille propre sur elle. Celle qui ne doit pas craquer. Sous aucun prétexte. Ici ce n’est pas toi qui t’occupe des autres, c’est moi qui m’occupe de toi. Alors je ne te laisse pas longtemps dans cet état, je te prends dans mes bras, tu t’accroches à mon cou, et nous restons là longtemps, savourant le moment que nous venons de nous offrir hors du monde... (image du net)
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Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
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Par : le 24/07/21
(Texte personnel, ne pas copier ou diffuser sans mon autorisation) ********************************************************** ****************************** Je m’interroge sur cet étrange lien, qui perdure, au-delà de la relation. Quand le téléphone ne sonne plus, quand il n’y a plus de photos qui s’ajoutent dans le téléphone, de moi ou de Lui, et que Messenger est silencieux ….. Ce lien D/s est là, même si je ne le nourris pas ; comme une braise attendant d’être réactivée, comme une boite d’allumettes attendant la braise, ce lien attend. Est-ce moi qui ne suis pas capable de faire ça, de dénouer ce lien ? Est-ce moi qui suis handicapée à ce point ? Faire sans Dom ne m’est plus possible, déjà ? J’ai découvert le BDSM il y a 3 ans, 4 ans au plus ….. une addiction, un besoin vital. F. en 2019, puis C. que je n’ai vu que deux ou trois fois, G. l’amoureux que j’ai initié, tous sont là, présents, complets, et Dominants. Je sais qu’il me suffit de les regarder pour avoir envie d’eux, d’être leur soumise. Un besoin de baisser les yeux, de déposer les armes, de me livrer, sans combat, à celui que j’ai choisi : soumise dans l’âme, il semblerait ….. Juin 2021 Laidy Sienne
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Par : le 19/03/24
en savoir plus Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 04/12/22
4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions. 4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot. J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline. La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas. Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité. Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines. N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ? Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain. Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais. Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre. "Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi. Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ? Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?" (Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant. Caroline m'en dit plus : « Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1). Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… » J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une. Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland." Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait ! Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi » Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non. Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?" Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation. Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe. Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net ! D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !" Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence. Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée. « Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture. En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale. Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe... Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise. Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête. « Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? » Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux. Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans. Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger. La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte ! Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer. Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel. 19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute. Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys. Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie. Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ». Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard). Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants). Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté. Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.  "Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre. Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça. Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti ! Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille. Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion"). Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi... Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage. Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine. Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu. Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant. « C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards... L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue. Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément. « A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi… Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase. Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés. C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun. Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps. L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite. Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait. Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée. Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer. Merci d’avance.
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Par : le 05/10/21
Le texte ci-dessous a été rédigé à la demande de ce dom, pour avoir un retour à froid de la soirée 48h après. Attention, ça pique un peu les yeux. *************************************************************************************** Je commence à avoir faim, il doit être 21h ou 22h, et vous ne parlez pas de diner. Beaucoup de jeu avec mon sexe, j’aime le bruit des gants que j’entends dans mon dos, délicieuse introduction à la suite, je commence à fatiguer un peu d’être à quatre pattes, le ventre vide. Vous me pénétrez, et jouez avec mon anus, très réactif comme d’habitude. Une sodomie aussi, je sais que vous aimez ça, c’est la marque d’un Maitre et ça me convient. Par contre, j’ai craint que le lavement ne vous convienne pas, qu’il y ait des traces. Vous constatez que mon anus est sensible, et c’est bien agréable. J’aime me caresser tout en étant sodomisée. Mon sexe fatigue, avec toutes ces sollicitations. Diner à 22h30, ou je me frotte contre vous, apparemment vous appréciez. En posant une main sur votre épaule, je me rends compte que votre musculature est impressionnante de fermeté. Rien ne bouge. A l'âge que vous avez, ça en dit long sur les activités physiques que vous avez du avoir, à l'armée. Et encore une fois, ça me rassure aussi. On dirait que le diner vous convient, je vous suce, j’aime ça. J’aurai bien aimé me faire prendre dans la cuisine, en levrette debout. De la moutarde sur mon sexe, c'est nouveau, je ne connaissais pas. Ca pique un peu, mon corps a été bien assez sollicité déjà, vu ma fatigue. Je demande à passer aux toilettes, Vous m'y amenez en me conduisant par les seins, ça fait hyper mal, je commence à attendre ma limite. Et à vous craindre. Je me disais que la douleur pouvait arriver à n’importe quel moment, et que ça serait au-delà du désagréable. Ça serait du vraiment douloureux. A chaque fois. Et que c’était le jeu. Que j’essaierai de jouer. Montée au premier étage où la partie moins drôle a commencé. Je sentais une sorte d’acharnement à pratiquer, mais dans quel but ? Expérimenter comment mon corps réagit à la douleur ? Surement. Chaque orgasme s’est payé au prix d’une certaine douleur, je sais que la limite est fine entre les deux. Vous avez respecté mon souhait, préservatifs, lubrifiant, tout était prévu. Tentative de fist, à la main, puis avec bouteille remplie d’eau chaude : inventif ça, je retiens. Mais ......pas mieux. Ça fait mal, ça doit toucher le col de l’utérus, les grandes lèvres hypertendues, rien de bien plaisant pour moi, l’impression d’être dans la technique, pas dans une relation. Par contre, mon anus bien lubrifié, pour ne pas abimer la muqueuse. C’est bien. J’entends « je vais te défoncer ma salope » et j’aime ça, mais la douleur avait déjà pris le dessus, dommage ……. A la fin, vous me dites que j’avais les yeux verts, signe de jouissance intense. Je n’ai pas compris comment c’est arrivé …… je ressentais de la douleur et très peu de plaisir. Ça m’a questionné sur ce qui s’était passé, ce que j’ai ressenti, si vous avez vraiment vu cela. Je commence à fatiguer vraiment, à éviter les impacts sur mon sexe, mais plus assez d’énergie pour m’opposer à vous. Alors, je vous laisse me frapper et j’ai mal. Je me dis que ça s’arrêtera à un moment, je capitule. Je respire, et rentre en moi. Je reste, pour constater si quelque chose de spécial se passe, si j’allais ressentir des choses inconnues. De la pure curiosité. Je ne demande pas qu’on s’arrête, pas sure que ça soit admis. Vos doigts dans mon sexe, à régulièrement éviter mon point G, un peu frustrant à force, ça fait partie du jeu. Pas de jouissance comme femme fontaine, peut-être réservé à ma vie vanille, pourtant j’adore jouir comme ça, me sentir me lâcher totalement ; j’étais déçue de ne pas vous l’offrir. Après avoir joui, j’ai eu ma crise habituelle de froid. Ça vous a déstabilisé, il est vrai que je n’ai pas pensé à en parler. Ça ne se commande pas, se produit souvent quand je me caresse seule chez moi, c’est le lot des hypersensibles. Vous êtes étonné de ma vitesse de récupération….. mon entrainement d’hypersensible aussi, pas trop le choix pour avoir une vie quasi-normale. **************************************************************************************** Episode 3, et fin à venir.
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Par : le 14/08/23
Une voiture de gendarmerie se gare devant chez moi. Une superbe femme en sort, athletique, bronzée, en tenue civile, élégante et pleine de charme. Surprise, je reconnais mon adjudante préférée, celle qui aime me contrôler chaque fois que je la croise et qui s'amuse avec mes papiers où il est marqué "sexe masculin", ce qui ne correspondant pas du tout à ce que je suis, une femme trans. Elle tape. Maso est tout nu, il fait le ménage. Je l'envoi ouvrir la porte. L'adjudante rit en le voyant. Maso baisse les yeux et la fait entrer.  -Bonjour, fait l'adjudante. Alors vous m'adressez des bisous de la main au carrefour. Cela la fout mal devant mes hommes. J'apprécie pas beaucoup.  -Bienvenue, vous prendrez bien un thé ou un café. Veuillez m'excuser, mais c'est plus fort que moi lorsque je vous vois.  Je vous trouve si belle. J'ai adressé un bisou à la vie. Comment vous appelez vous? Moi c'est Toinette pour les intimes.  -Clara. J'accepte volontiers un café. J'ai eu une rude journée.  Nous papotons comme deux amies. Maso fait le service, toujours tout nu. Clara s'en amuse de plus en plus, surtout qu'il n'a pas le droit de regarder plus haut que nos genoux. Un service impeccable. Je l'envoie au piquet, mains sur la tête. Il nous montre ses superbes fesses bien musclées.  -Je suis domina Clara. C'est mon homme qui a voulu cela. Au debut j'ai fait cela pour lui faire plaisir et maintenant c'est notre quotidien.  Clara me regarde troublée. Elle est vraiment très belle, avec de tres belles formes. Je croyais que c'était une femme phallique. Non, pas du tout, sans son uniforme, c'est une femme tout court. Je devine qu'elle est celibataire et en manque de calins. Ce doit pas etre facile de diriger une brigade. Beaucoup de stress, des heures et des heures de boulot.  -Tu as envie de te détendre et d'essayer.  Clara est de plus en plus troublée. elle écarte doucement les jambes. Je lui empoigne les cheveux et je l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres sont si douces. Mes mains descendent sur ses beaux seins biens lourds. Elle se déshabille. Elle est encore plus belle nue. Je lui ecarte les jambes  et lui empiogne ses belles fesses charnues. Sa chatte est offerte. Je lui mange le clitoris. Elle jouit très fort dans ma bouche plusieurs fois. Je masse ses seins.  Et puis voilà, l'instinct de la domination ressort. Je la retourne et commence à lui claquer les fesses. Je sais faire très très mal. elle gémit. -plus fort, c'est trop bon. -une gourmande je vois. Allez zou, à coté de Maso et mains sur la tête.  Je vais chercher un tube de pvc. Un truc que m'a montré mon amant, Mael, et qui fait horriblement mal sans laisser de traces. Une vraie torture ce truc.  J'attache clara sur la table de la cuisine. Je devine que Maso est hyper excité de tout ce qu'il entend. Je vais donc le voir et lui flanque quelques coups de tube. il se contorsione aussitôt sous la douleur. -On ne bande pas quand Maitresse reçoit ! compris !.  Cela rassure Clara que Maso ne puisse pas la voir,  ni etre en erection pour elle. Elle n'est pas lesbienne, juste célibataire en manque.  -Tu n'aimes pas trop les hommes, je vois et tu trouves les femmes casse couilles. Je me trompe. -Non Maitresse. -Tu as des fesses superbes tu sais. Je vais bien te faire circuler le sang. Mais avant un baillon car tu vas hurler. Ici, il faut hurler en silence et pas me demander d'arreter. Tu es toujours ok, Clara. Elle tend les fesses. Elle meurt d'envie. Je commence par la caresser. Sa chatte dégouiline de douce cyprine qui sent très bon. Les coups pleuvent à présent. Clara se tord de douleur. C'est dingue ce truc de Mael pour faire si mal sans marquer. Juste de superbes rougeurs. Clara pleure. Larmes ou plaisir ? Ca y est, elle est prête pour la deconnection, lorsque le cerveau débranche pour ne plus sentir la douleur. Je vais toujours au bout. inutile de m'implorer. c'est ce moment là que je guette.  J'arrete enfin et laisse Clara récupérer. Elle tremble. elle est secouée de vagues ou douleurs et plaisirs s'emmelent. Une maso. et moi qui ne voulait plus prendre de nouveau partenaire de jeu. Je suis très fidele. Je ne cherche pas d'aventures. Mais là, comment refuser cette femme si belle et qui s'offre d'elle même. Je vais voir Maso. -Tu vois, avec une femme c'est pas te tromper. Avec mon unique amant non plus. Allez tu vas nous servir des rafraichissements. De bons jus de fruits ou de légumes. Zou ! Je détache Clara qui se love aussitôt dans mes bras. je lui caresse la nuque. Elle se rhabille. Nous papotons à nouveau comme de vielles amies en dégustant de délicieuses boissons, très vegan, très saines.  Je propose à Clara de rester pour dîner. Elle accepte. Maso fait le service, nu, debout derrière nous,  très heureux de son sort. C'est un excellent cuisinier. Un bip. Clara décroche. Elle doit partir. Son boulot et son devoir qui l'appele.  Je la racompagne  à sa voiture. -repasse quand tu veux ma chérie. tu seras toujours la bienvenue chez nous.  Elle doit repartir, très préssée, les yeux humides. Je souris en pensant qu'elle va avoir mal aux fesses toute la nuit. -ok, plus de bisous de la main au carrefour. Discrétion totale de rigueur à présent.  Clara apprécie beaucoup ma remarque. Je la sens heureuse et en confiance. Il n'y a pas de mal à prendre son pied dans les douleurs bien cuisantes.  Je garde mon bisou dans ma main.       
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Par : le 30/05/20
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux. Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait. Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin. Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air. À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ? Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas. Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées. Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait. Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui. Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne. Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire. Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître. Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Par : le 13/11/20
Ayana est une jeune et fort jolie japonaise, venue faire ses études en France. Elle est passionnée d'art , de littérature et elle aime Paris. Son père est un très riche industriel de Yokohama qui adore sa fille et veut le meilleur pour elle. Pourtant Ayana s'ennuie dans son univers hyper protégé. Son garde du corps, Naoto, est un expert en arts martiaux. Un très beau jeune homme qui en pince pour Ayana, sauf que cette dernière l'ignore complètement. Elle est même presque insupportable et souvent très désagréable avec lui. C'est son toutou, son jouet. sauf qu'il n'a pas le droit de toucher Ayana, sans quoi son père qui fait partie des Yakusas a promis de le castrer. Ayana se désespère. 26 ans et toujours vierge à cause de la jalousie maladive de son père. Contrainte à se caresser sous la douche ou sous la couette pour se détendre et se faire du bien. Elle a refusé tous les prétendants au mariage présentés par son père. A chaque fois elle a hurlé: -Occupe toi de ton entreprise mais laisse moi choisir moi même mon époux ! Un bon tempérament de fille de Yakusa, ???. Résultat, elle est célibataire et toujours vierge et toujours sous la surveillance de Naoto qui renifle en douce ses petites culottes qu'elle laisse exprès trainer pour le faire souffrir. Ayana rêve d'un male puissant qui la domine et l'embroche profond. Elle n'aime pas les petits sexes asiatiques, non, elle rêve d'un beau sexe d'homme, comme ceux qu'elle admire dans certains musées ou sur des sites pornos. Comme toutes les japonaises, elle surfe et fait dans le virtuel. Elle a beaucoup d'amants sur le net mais aucun amant concret, un de ceux qui posent les mains sur elle. Elle verrouille parfois la porte de sa chambre, avec Naoto qui se désespère derrière la porte, et s'amuse avec sa webcam à montrer sa chatte à ses amants virtuels et à jouir devant eux. Les autres sont trop content de se branler devant leurs écrans et d'écrire des cochonneries qui font rires Ayana. Il en faudrait bien plus pour déranger une fille de Yakusa, avec un père au petit doigt gauche tranché net dans la tradition du yubitsume (doigt coupé) et de l'irezumi (tatouage japonais). Seulement voilà, à force de trainer sur des sites peu sûrs, un jour Ayana a eu un choc en regardant sa souris se déplacer seule sur son écran. Elle n'avait plus le contrôle de son ordinateur. Un autre l'utilisait à sa place. Mais qui et où? Pas ce crétin de Naoto. A part faire des katas, il n'a pas les couilles pour cela. Non, un parfait inconnu ! Ayana aurait pu tout débrancher et faire désinfecter son ordi, pourtant cela l'amuse. Elle laisse faire cette souris baladeuse. Des fichiers s'ouvrent, se referment. La souris cherche ses photos intimes. C'est vrai qu'Ayuna est très belle et qu'elle aime se mettre en scène sur des photos. La souris ne s'intéresse qu'à celles ou elle est nue. C'est un peu comme un viol. La souris se ballade partout, explore son disque dur, enclenche la caméra, les micros et installe ce qu'elle veut comme programmes. Ayana laisse faire. Son ordinateur n'est plus à elle mais a un ou une inconnue... La voix a claqué. Une voix française de mâle. -Allez debout salope, fous toi à poil et magne ton cul ! Ayana a obéi. Elle a senti sa chatte s'ouvrir, son clitoris se dresser et un peu de cyprine couler le long de ses cuisses. Elle a chaud. Les pointes de ses seins se dressent. -Mais c'est vrai que tu es une salope, a dit la voix sèche et rauque ! Cela fait des semaines que je t'observe, pétasse. Allez, montre ta chatte et ton cul. Ouvre. Mieux que cela ! Ayana a obéi et elle a jouit très fort. L'inconnu a installé un programme d'hypnose. Il a forcé Ayana a regarder l'écran et ses spirales mouvantes et à écouter sa voix. Elle a fini par s'endormir. L'inconnu a prit le contrôle de son cerveau. Il s'est installé dans la vie d'Ayana en la suivant partout via son ordinateur ou son téléphone portable. Le pire, c'est qu'elle sent qu'il est aussi "en elle". Pourtant elle n'a pas peur. Elle aime sentir être devenue l'entière propriété de cet inconnu. Elle garde ses caméras ouvertes, elle en porte une en permanence à sa boutonnière, avec des écouteurs à ses oreilles. Son inconnu peut voir ce qu'elle voit et elle peut l'entendre, mais elle n'a pas le droit de lui parler. Elle doit obéir et se taire. En bonne japonaise, cela, elle sait faire. Un jour, elle reçoit l'ordre d'aller aux toilettes d'un restaurant, qui sont mixtes avec une vaste pièce, avec un lavabo, qui ferme à clé. Naoto reste à la porte. L'inconnu est là ! Ayana n'a pas le droit de lever la tête et de le regarder. L'inconnu la trousse, la retourne et l'encule d'un coup sec. Elle éprouve une douleur terrible. L'inconnu l'empêche de crier en lui fermant la bouche d'une poigne de fer. Il reste fiché en elle sans bouger. La douleur passe. Il commence les va et vient. Ayana se cambre. Enfin un homme qui la baise en vrai pour de bon. L'inconnu lâche son sperme dans ses reins. Ayana ne sait toujours pas qui il est. Naoto qui a entendu sa Maitresse gémir frappe à la porte. -Tout va bien, Maitresse ? -Oui, reste à la porte et me casse plus les couilles, a répondu Ayuna ! L'inconnu a demandé à sa soumise de lui laver le sexe. Puis il l'a regardé dans les yeux. Un fort beau jeune homme, très viril et imposant. Ayana a baissé la tête et joué à la soumise. Il l'a dépucelée et prise par sa chatte poilue de japonaise. Il a joui en elle. - A présent, nous sommes Mari et Femme, a dit Ayana en remettant sa petite culotte et en rajustant sa jupe plissée. Viens, allons boire un verre pour fêter cela. Ils sont sortis main dans la main sous le regard médusé de Naoto. Ayana lui a fait signe de se taire et de rester tranquille. Il a obéi en faisant une courbette de profond respect. Cette fois, ce n'est plus l'inconnu qui a la main, mais Ayana. Cette dernière a senti son clito se dresser. L'inconnu, bientôt son époux, va devoir filer droit et bien lui faire l'amour pour le reste de ses jours....Et pas d'incartades, sans quoi elle le castre elle même avec son kaiken ?? .
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Par : le 07/10/21
Quand j’ai cherché ma serviette dans la cuisine, j'ai vu l'heure : deux heures. J’ai espéré qu’on allait s’arrêter, ce qui n’a pas eu lieu. Je me suis demandée pourquoi on continuait, j’étais fatiguée, en manque de sommeil. Ensuite, bandeau sur les yeux et pinces sur les seins, déjà tellement malmenés que la douleur a encore augmenté. Des pinces sur les grandes et les petites lèvres, je ne savais pas ce que vous faisiez, ça faisait hyper mal. et vous me disiez que c’était les pinces qui pincent le moins. Est-ce que c’était votre première utilisation ? Ca faisait mal, très très mal, je ne me souviens plus quand j’ai eu une douleur physique aussi intense, il y a des années surement. Vous avez commencé à retirer les pinces à ma demande. Heureusement. En me disant que j’étais hypersensible. Et là .....Enorme crise de larmes, poumons bloqués par la douleur, je ne pouvais plus respirer, plus reprendre mon souffle. J’ai commencé à paniquer de ne pas respirer, je suis entrée en moi, me suis calmée seule, et ma respiration est revenue. Je ne voulais plus rien, juste m’en aller, et certainement pas vous approcher. Puisque vous êtes celui qui fait mal. La seule raison qui m’a fait rester est que j’étais épuisée, et vous, le seul être humain à la ronde. Je vous en ai voulu beaucoup, de ce peu de compassion et d’humanité apparente, pas de petite phrase « viens dans mes bras, tu as été courageuse ». Non, des ordres, juste « viens là, calme toi ». Votre explication : la jouissance d’après cette douleur devrait être encore plus forte. Ça n’a pas été le cas, je n’ai pas joui plus fort, j’ai subi cette douleur très vive pour peu de plaisir supplémentaire. Trop fatiguée pour aller plus loin dans la recherche de plaisir ? sûrement. Ou trop de force pour vraiment lâcher prise ….. Ensuite, du shibari que j’apprécie toujours autant. Une fessée avec un chausse-pieds en métal, froid, agréable, et aussi comme une menace de l’endroit à frapper. Après …. Les coups fatiguent. Les marques sont encore là, quatre jours après, elles partiront sûrement. Sur les pieds aussi, douloureux, aussi. Vous m’avez laissée un petit temps encordée, agréable pour me reposer, j'en profitais pour me remettre, et respirer longuement en attendant la suite. J’avais atteint le stade de capitulation, je n’osais plus rien faire, et plus rien dire non plus, de peur de me faire pincer les seins, ou avoir mal, encore et encore : ce n’était plus drôle depuis un bon moment, tard dans la nuit aussi, et vous n’aviez apparemment pas l’intention d’arrêter. Et pourtant, je continuais. C'était peut-être ce que vous souhaitez : me "mater" Je continuais, pour voir, pour savoir ce que cette découverte pouvait comporter. J’étais là pour apprendre, sur moi, c’est mon souhait. L’envie de savoir était plus forte que l’inconfort, la douleur ou la fatigue. MON envie de savoir, d'apprendre, d'expérimenter. MA volonté aussi, qui a été largement testée. Et je savais aussi que je pouvais m’en aller à tout moment. Une grosse sécurité pour moi. Quand vous avez mis une pince sur ma langue, je l’ai enlevée. Quand vous avez parlé de l'appliquer à mes narines, la phrase est sortie toute seule « si vous faîtes ça, je m’en vais ». J’ai rassemblé mes forces 3 secondes pour faire ça, mon instinct de survie probablement. Le silence est tombé dans la chambre, éloquent. Je vous ai senti déçu. Et surpris. De quoi ? Pour autant, vous avez respecté mon souhait et m’avez désencordée. Ouf. Ensuite je vous ai donné du plaisir avec ma bouche, j’ai entendu « ma douce soumise », à moitié endormi, sur le dos, tranquille. Un peu bougon, vous restez au lit, le temps que j’aille prendre une douche. Pas de douche ensemble, d'aftercare si précieux pour moi, l'eau c’est mon élément, je profite de ce moment seule, dommage. Ça m’aurait donné une occasion de vous voir nu. Une fois douchée, en guise de bonne nuit, c’était « fais moins de bruit », charmant ! Vais-je dormir dans cette chambre, ou dans la chambre à côté ? De fatigue, je suis restée. Dormi deux heures, réveillée avant vous, vers 5-6 heures à cause des ronflements, malgré les bouchons d’oreille et l’huile essentielle …... Une prochaine fois, je ferai autrement. Réveil presque câlin, fellation et sodomie. J’ai échappé à une nouvelle torture de mes seins, je ne sais pas si j’aurai supporté. J’aime entendre les hommes jouir, c’est mon plaisir, c’est gratifiant pour moi. Petit déjeuner calme, vous debout tout le temps, vous mangez, parlez et buvez debout. Allez-vous continuer à me pincer les seins, le jeu est-il fini ? Dans le doute, je reste en semi-alerte, je n'ai pas ou plus confiance. Mais vous ne me touchez pas, ça me détend. En tous cas, 3 petites heures de sommeil n’ont pas l’air de vous déranger, vous ne semblez pas fatigué, un homme solide. Un bisou sur la bouche en partant, une des rares récompenses accordée à ses soumises. Probablement un signe positif pour moi. Vous m’avez dit aussi que j’étais une bonne soumise. Retour chez moi, boulot le matin et 2 heures de sieste pour me remettre, vu qu’une longue soirée m’attendait. Criblée de courbatures le vendredi, le frottement de ma robe est douloureux devant. Du mal à dormir sur le ventre, les seins douloureux, bleuis et les tétons un peu écorchés. Pas trop de mal du côté des fesses, à part les traces violettes. Avec le recul, je me suis aussi demandée quand vous aviez prévu de vous arrêter pour cette première rencontre. Si je ne vous avais pas stoppé, aviez-vous prévu une nuit blanche ? Pourquoi trop fort, trop long, trop douloureux, sadique, peu voire pas sensuel ? Quelle aurait été votre limite ? Est-ce que vous n'en avez pas du tout ? (ce qui serait effrayant) Je me le demande encore. Je suis venue, j'ai vu, j'ai perdu (veni, vici, perdidi) ******************************************************************************************* Edit 2021 Avec le recul, deux années après, je me rends compte à quel point je voulais tester des choses. Et à quel point j'ai une très forte volonté. Cela n'aurait pas pu se faire sans. Et de la patience. Capable de me faire passer 7h avec une personne qui ne me correspond pas. Et à quel point mon instinct de survie s'enclenche. Quand il le faut. A bon escient. Ca me rassure, aussi de savoir que j'ai cette ceinture de sécurité personnelle. Et enfin, comment je sais entrer en moi, avec quelques respirations, comment je peux m'isoler du monde par la simple force de mon souffle. Pour ceux qui liraient mal entre les lignes, ce n'est PAS du masochisme. C'est une expérience. Sévère, abrupte, mais c'est ainsi. ****************************************************************************************** Quelle a été la suite de cette fameuse soirée ? Ce dom, d'une vieille famille bordelaise très connue, n' avait pas souhaité que l'on se rencontre dans un café à Bordeaux avant cette soirée, car il était marié. Et plutôt connu. Donc difficile pour lui de se promener avec une femme qui n'est pas son épouse. Et je ne me voyais pas l'inviter chez moi. Ensuite, il habitait en Normandie et je savais que ce ne serait pas une relation intense, vue la distance. Suite à mon courrier, il a été effaré par le retour que je lui en ai fait, la description précise. Et a signalé que ça le calmait bien de recommencer. Preuve qu'il n'avait pas observé/compris ce qui se passait durant la séance. Que sa limite était ...... la mienne : drôle de dom qui délègue la limite à sa soumise, sait-il lire mes signaux ?  Et pour la petite histoire, ce monsieur a vécu un sévère "retour de boomerang". Découvert par son épouse, son téléphone surveillé par ses fils, il a totalement disparu des réseaux sociaux. Et ses ex-soumises n'ont plus entendu parler de lui. C'était donc un dom ...... pas si dom que ça :-)
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Par : le 22/03/23
La porte se ferma et le cliquetis des clefs me fit comprendre qu’elle était verrouillée. Je restais là sans bouger quelques secondes, me voilà seule, avec des tâches à accomplir. Mais au fait il me restait combien de temps jusqu’à midi ? Je n’avais pas fait attention, mais je n’avais pas forcément vu d’horloge. Et qu’avait fait Monsieur S. à mes pieds ? Après un rapide examen, je compris rapidement. Il avait cadenassé des chaînes à mes bracelets de chevilles, mais pas entre elle non. Chaque chaîne passait sous la chaussure et allait se cadenasser de l’autre côté, impossible d’enlever les chaussures à présent. Me voilà entièrement nue, seulement habillée, d’un collier en cuir, de menottes en cuir aux poignets et chevilles et de talon haut. Le tout cadenassé et impossible à enlever. Bon il faut que j’arrête de perdre du temps, j’ai des choses à faire. Je voulu partir mais failli tomber. Ces talons étaient vraiment haut, je longeais les murs un moment histoire de m’y habituer sans tomber. Je fini par réussir à me tenir droite, les fesses légèrement en arrière, la démarche féline. Entendre ces talons claquer dans la petite pièce centrale me donna des frissons et m’excitait. Je prenais un réel plaisir à me promener, tel un chat, imaginant la vision que je pouvais donner. Le salon de réception où était-il au fait ? Dans mes souvenir, je suis remonté de la cave je pense et pas plus. Il devrait donc se trouver à cet étage. J’explorai rapidement du regard, pas énormément de porte inconnue. Je me retrouvais rapidement dans la pièce, mais rapidement mon entrejambe s’humidifia. Même si je ne l’avais jamais vu, c’est comme si je la connaissais par cœur. Là devant moi tout les endroits où je m’étais trouvé hier soir, le poteau, là où je me suis retrouvé à 4 pattes, apparemment une table et le panier. Par contre je ne savais pas qu’il y avait une table, avec des couverts pour 6 personnes, tout était laissé là en vrac. Et les paroles de Monsieur S. prennent encore plus de sens « Voici le dessert » c’était au sens littéral. Je devrais commencer à ranger, nettoyer, mais je ne peux m’empêcher de retourner vers mes lieux de plaisir d’hier. Mes doigts glissent sur la caisse où je m’étais affalée de fatigue alors que je n’étais que ce trou à bite. Mon désir remonte encore plus fort, j’ai envie de me toucher, mais cela m’est interdit et impossible de toute façon. Je grimpa à nouveau sur cette table, prenant la même posture qu’hier, avec les talons je sentait les courbes de mon corps comme encore plus amplifiées. Plus loin la barre, une barre de pole dance. Mais le moment n’était pas aux plaisirs, peut-être après si j’ai encore du temps. Enfin je vois une horloge dans cette pièces, déjà 10h30, plus qu’une heure trente pour tout faire il ne faut pas que je traine. En revanche je ne m’étais pas rendu compte que de transporter de la vaisselle et faire les aller-retours en talon serait si difficile. Le temps passait, la vaisselle diminuait lentement. Avant de commencer le nettoyage et rangement du salon, je regardais le repas à faire. Bien je pouvais mettre à chauffer, bouillir le temps de nettoyer. Je me démenais pour tout finir à temps. 11h55 tout était propre, rangé, comme si rien ne s’était passé hier. Le repas est déjà servi dans les assiettes, je ne sais pas où ils voudront manger, donc je le laisse à la cuisine. Qu’est-ce j’oublie ? La cagoule ! Il ne me reste que peu de temps vite. Je montais le plus rapidement possible les escaliers, ma chambre, la commode, même s’il y avait quelque jouets et accessoires, mon esprit était occupé que par cette cagoule. Là, une cagoule en latex, je l’attrape et descend rapidement me placer à genoux, jambe ouverte face à la porte. Et en attendant d’entendre la porte s’ouvrir j’enfile la cagoule. Elle est parfaitement adaptée, me colle à la peau, semble pousser mes lèvres en avant, j’y glisse tout mes cheveux, je ne suis plus qu’une tête lisse impersonnelle. J’aime cette sensation de glisse, à nouveau mon entrejambe est en feu. Des bruits de moteurs, je me met en position et attends. La porte s’ouvre.
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 24/04/23
Azhara a lancé il y a quelques semaines une discussion sur le forum qui interrogeait la communauté : dominer est-ce manipuler ? Comme chacun sait, la domination et la soumission sont deux piliers essentiels du BDSM. Les pratiques sexuelles et érotiques consensuelles impliquent une dynamique de pouvoir, où l'un des partenaires assume le rôle de dominant et l'autre celui de soumis. Toutefois, la question de savoir si la domination implique la manipulation a donc été soulevée dans dans cette discussion du forum (dans la continuitié d'un échange sur le Mur Général). Certains membres du forum estiment que la domination peut facilement se transformer en manipulation si l'on utilise son pouvoir pour son propre bénéfice sans prendre en compte le consentement de l'autre. Pour ces personnes, la frontière entre la domination et la manipulation est mince, et il est facile de tomber dans la manipulation lorsqu'on exerce un pouvoir sur l'autre. D'autres membres, en revanche, affirment que la domination et la manipulation sont deux concepts différents. Selon eux, la domination est un échange mutuel de pouvoir et de contrôle qui est décidé à l'avance, tandis que la manipulation est l'utilisation délibérée et trompeuse de l'influence pour obtenir quelque chose de l'autre. Faut-il le rappeler, la domination dans le BDSM ne doit jamais être abusive ou violente. Elle doit être exercée de manière responsable et éthique, avec le consentement de l'autre partie. La domination peut être une pratique saine et consensuelle dans le BDSM si elle est faite dans le respect des limites et des besoins de l'autre. La communication est un élément clé dans toute relation BDSM, et la domination ne fait pas exception. Les partenaires doivent discuter de leurs limites, de leurs désirs et de leurs besoins avant de s'engager dans toute pratique BDSM. Il est également important que les partenaires comprennent clairement ce que la domination implique pour eux et comment cela peut affecter leur relation. Les membres du forum ont également souligné que la manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM. La manipulation peut être nocive et abusive, et elle n'est pas une pratique consensuelle. Dans une relation BDSM, la communication doit être claire et les partenaires doivent être respectueux les uns envers les autres. En fin de compte, la domination peut être une pratique saine et éthique dans le BDSM si elle est faite dans le respect du consentement et de la communication claire. Les partenaires doivent comprendre les limites de chacun et être conscients de leurs propres besoins et désirs. La manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM, et il est important que les partenaires soient respectueux les uns envers les autres à tout moment. Cliquez ici pour relire l'intégralité de la conversation du forum (ce résumé peut être perfectible !) et participez au débat !
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Par : le 20/01/23
Pour se détendre avec humour parce que c'est pas parce qu'on est dans le BDSM pour coller des gifles et des fessées qu'on doit se priver de rigoler un-peu, voici quelques Dominants assez célèbres au cinéma.   King-Kong (King-Kong) Assez calin, genre grosse peluche. Enfin, très très grosse peluche, même. Il a également de la poigne, du doigté et du poil au menton (et un peu partout, en fait.). Ce qui en fait un homme, un vrai ! Il aime la vie au grand air et courir tout nu dans les bois. Spécialité(s) : Cordes, Shibari   La bête (La belle et la bête) D'humeur assez changeante, certains matins peuvent être assez pénibles. Il a également tendance à sortir la nuit pour manger des animaux tout crus et comme il ne connais toujours pas le dentifrice, ça reste un peu un problème... Cependant, il s'efforce de protéger sa prisonnière de tous les dangers extérieurs : les animaux aussi sauvages que lui, les voisins, le facteur, les amis, la famille, l'aide humanitaire, etc. Spécialité(s) : Griffures et morsures, Knife Play, Blood Play   Terminator, modèle T800 (Terminator) Fonctionnant sur piles (très) longue durée, il ne laisse JAMAIS tomber la personne qu'il protège. Cependant c'est du courant alternatif et il peut disparaître du jour au lendemain et réapparaître des années plus tard sans que vous sachiez ni comment ni pourquoi. Mais quand il est présent, il ne vous lâche plus d'une semelle et vous n'avez absolument pas le temps de vous ennuyer. Il vous change la vie... et le monde aussi. Spécialité(s) : Fusil à pompe.   Xenomorphe (Alien) Parle peu mais bave beaucoup. Assez collant et très gluant, avec une assez furieuse tendance à vouloir engrosser tout ce qui bouge (homme, femmes, chiens, etc.), adepte de l’échangisme et des orifices en tous genres, très peu porté sur la fidélité et l'hygiène. De plus, sa soumise ne sert généralement qu'une seule fois... Spécialité(s) : Gorge (très) profonde et césariennes foireuses.   Lord of Darkness (Legend) Très théâtral et sachant parfaitement soigner son entrée, il impressionne par l’ampleur des moyens qu'il met en œuvre pour captiver sa soumise : si il veut fermer la lumière, il éteint le soleil ; Si il veut manger un steak, il capture une licorne ; Si il veut un petit chez-soi avec sa belle, il s'offre un royaume. D'un caractère assez fougueux, il voit souvent rouge. Spécialité(s) : hypnose.   Jabba the hutt (Star Wars) Un autre Dominant très collant et très gluant. Ce magnifique corps d'athlète est aussi celui d'un riche homme d'affaire très influant qui sais toujours très bien s'entourer et placer sa soumise en bonne vue. Dans l'intimité, sa grosse langue très agile remplace admirablement tout le reste qui est beaucoup moins agile. Spécialité(s) : Cunnilingus.
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Par : le 11/04/23
Monsieur me saisi la tête et me l’enfonça à nouveau entre les jambes de Madame. Ma langue recommençait à s’occuper de l’entrejambe. Je n’osai enlever mes bras croisés dans le dos et m’appliquais au mieux. La pression sur ma tête se relâcha, cependant je continuais à m’occuper de ce succulent entrejambe. Il me délia les bras, je compris que j’en avais à nouveau l’usage, je me saisi des hanches et me plaqua encore plus contre. Monsieur fit le tour, à la réaction de Madame elle ne l’avait pas encore vu. Passé le moment de surprise elle semblait sourire à nouveau, semblant tenter de le charmer. La laisse fut libérée et Monsieur s’installa face à elle, ses jambes de part et d’autre. Vu qu’elle se redressait, je devais modifier mon angle d’attaque, inconfortable pendant un moment. Au bruit Monsieur devait jouer avec la chaîne entre ses seins et embrasser je ne sais quoi en même temps. Un temps calme et je devinais Monsieur enlever son pantalon et à voir la scène devait lui faire de l’effet. Madame repartie en avant et englouti ce membre, elle était bien obligée, la bouche tenue ouverte. Leurs gémissements s’unirent, me redonnant une nouvelle ardeur dans mon exploration, à la langue et aux doigts. Mon autre main partie vers mon entrejambe, mais ne tomba que sur l’anneau métallique et la ceinture de cuir. Cela dura un moment, Madame fut redressée, à ma plus grande surprise. Je fus obligée de m’interrompre, il y avait juste mes mains l’enlaçant et m’occupant du haut de ses grandes lèvres. Monsieur se leva, se saisi de la laisse et partit en direction de la porte avec Madame, qui marchait difficilement avec la barre d’écartement. Je restais à genoux à côté du lit et me remis les bras dans le dos en attendant d’autre instructions. Reste là je reviens. Oui Monsieur La porte se referma et les bruits de pas s’éloignèrent. Je redescendais de mon nuage de Domination, me surprenant de ma manière d’agir, je ne me reconnaissais pas. Mais qu’est-ce que j’avais aimé ça et cela devait être encore mieux avec la pleine jouissance de son corps. Devant moi restai la tache de bave laissé par Madame sur ma couette, je la devinais encore là à genou. Je ne sais combien de temps j’étais là à l’attendre, quand la porte s’ouvrit à nouveau il y avait juste Monsieur. Il me saisi par l’anneau du collier, et me faisant me relever m’emmena en direction d’une pièce déjà visitée, j’en frémi. Lorsque la porte s’ouvrit je reconnu cette planche où il avait voulu m’attacher pour ma première nuit, cette planche où j’utilisai mon Safeword de panique. Mais cette planche n’était pas vide. Dessus se trouvait Madame, attachée, sans défense, toujours bâillonnée un bandeau sur les yeux en plus. Monsieur en fit le tour, jusqu’à se trouver derrière sa tête, laissant glisser sa main sur son corps, elle frémit d’abord puis soupira ou gémit de plaisir. Apparemment cette planche n’avait pas le même effet sur elle que sur moi. Il me fit signe d’approcher, me pointant l’espace entre ses jambes écartées. J’approchais, il se tourna pris un objet et se rapprocha de moi. Mes yeux s’écarquillèrent quand je reconnu un gode d’une belle taille. Sans trop de difficulté il me l’installa à l’anneau métallique, comme s’il faisait ça souvent. Les préliminaires sont déjà bien entamés, passons à l’étape suivante. Et d’après ce qu’elle m’a dit, tu te débrouilles très bien dans ce rôle. Euh.. Merci Monsieur, comme vous le voudrez. Je voyais cet appendice, rouge translucide suivait mes mouvements, balançant si je bougeais trop rapidement. Alors que j’étais obnubilé par ce jouet je reçu un coup de cravache sur les fesses. Monsieur me regardait sévèrement. Je ne devais pas faire attendre ses ordres. M’approchant de Madame je vis son sexe dégoulinant. Fais comme si je n’étais pas là.
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Par : le 09/04/23
Mes doigts parcoururent l’ensemble de son corps, passant d’une partie recouverte de latex à de la peau nue. Je soupesais ses seins, volumineux, lourds, ses aréoles finirent rapidement entres mes doigts. Je m’excitais toute seule à découvrir et jouer avec, comme une gamine, c’était ma poupée à moi. Elle ne disait rien, gémissait au pire des cas, mais ne bougeait pas. Je me saisi de sa tête, la redressa et vint l’embrasser sur la bouche. Le baiser continuât, de plus en plus intense et profond. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, les malaxaient, la collant à moi, écrasant sa poitrine contre la mienne, situation des plus excitante. Puis je la lâchais, la repoussa dans son coin, jubilant de ce pouvoir. Me tournant je partis vers la commode, les talons me faisaient déjà onduler des fesses, mais je prenais un réel plaisir à amplifier la chose. Je me sentais belle, supérieur, désirable. Dans les tiroirs, laisses, menottes, mousquetons, martinets, bâillons, une belle collection de jouets mais rien pour pénétrer ou faire jouir. J’allais devoir m’occuper de cet aspect de façon artisanal. De retour vers ma soumise, je lui accrochai la laisse et la tira d’un coup sec en direction de la table, j’avais faim moi. Ses poignets furent attachés ensemble tout comme les bracelets qu’elle portait aux biceps, tendant sa poitrine vers l’avant. Avant d’aller m’asseoir de l’autre coté de la table, une tension sur la laisse la mit à genoux. En m’asseyant je senti les godes, à l’intérieur de ma ceinture, bouger et venir encor plus profondément. C’était surprenant et bon, je jouais à onduler du bassin sur ma chaise, pour amplifier le mouvement. Je voyais juste ses yeux me fixant, se demandant ce que j’allais faire d’elle. Je fini par récupérer la laisse sous la table et la tirai vers moi, l’obligeant à avancer à genou de manière maladroite. Quand elle fut à mon niveau je lui attachai des pinces à seins, reliée par une chaine, à ses grimaces cela lui faisait de l’effet. Lui relevant la tête, je fis quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire, une chose que j’avais vu sur le net, je lui crachais à la figure. A sa réaction cela la surprit, mais sans savoir pourquoi je jubilais encore plus. Cette secrétaire, hyper sexy, sure d’elle, sans doute Dominatrice à ses heures aussi, était là à ma merci. Faisant passer la laisse sous mon pied je l’obligeais à se pencher près de celui-ci. Embrasse et lèche, chaussure et pied. C’est tout ce que tu auras comme repas. Oui Madame. Je l’avoue c’était une pure revanche par rapport à son arrivée. Mais le « Oui Madame », me prit par surprise et me fit bien plus d’effet que tout le reste. Ne pouvant me toucher, j’ondulais encore plus fort sur ma chaise. C’était bon, je mangeai plus lentement qu’à l’accoutumée, tellement j’étais prise par des sensation nouvelles et étranges. Ses coups de langues et baiser occupaient tout mon esprit au début, mais plus le temps passait, moins j’y prêtais attention. Une fois fini de manger, je me relevais, elle ne bougeait pas à genoux sous la table, pliée en deux. J’en fis le tour, son postérieur était magnifique ainsi présenté. Debout et va te mettre dans la même position sur le lit, jambes encore plus écartées. Bien Madame Pendant qu’elle se déplaçait, j’observait à nouveau le contenu des tiroirs, pire qu’une gamine à Noël. Je fis mon choix dans les jouets et vins les poser à ses côtés. La barre d’écartement, fut rapidement installée entre ses chevilles, l’obligeant à les maintenir bien ouverte. Tirant sur le collier elle fut obligée de se redresser, je pu facilement lui installer le bâillon-O, l’obligeant à garder la bouche grande ouverte et disponible. Je l’embrassais sur le coins et lèvres et la repoussais sans ménagement elle s’écrasa sur le lit, dans un cri gémissement le temps de sa chute. Faisans le tour du lit, j’attachais la laisse à une des attaches qui m’avait maintenue cette nuit, impossible pour elle de se relever. Elle était tout à moi, offerte sans défense, j’allais pouvoir commencer à m’amuser. Chose étrange dans cette situation, c’était la soumise qui pouvait jouir, tandis que moi j’étais toujours interdite d’accès à mon entrejambe.
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Par : le 06/03/23
Le train ralentit, s’arrête. C’est un peu la cohue dans le couloir du wagon, les gens se bousculent pour prendre leur valise, passer. Moi j’attends, j’assiste à ce spectacle presque en ricanant, pourquoi être si pressé après tout. J’en profite pour réfléchir à ce qui m’attends, j’en frissonne, je sens mon entrejambe s’humidifier d’impatience même. Je dois vite penser à autre chose, n’ayant rien pour retenir cette humidité le siège et ma robe allaient avoir des marques. La tempête du débarquement est passé, je me lève, prend mon mini sac à main et descend. Le quai s’est bien vidé, je peux marcher à mon aise, je sens quelque regard se fixer sur moi, me suivre. Si seulement il savait que je ne porte rien dessous, j’hésite à relever ma robe pour leur faire voir et observer leur réaction. Seraient-ils gêné, encore excité ou simplement surpris. J’arrive enfin dans le hall et S. m’attends, comme promis, chemise, pantalon noir, bref simple et classe. Je me rapproche de lui, il me prend dans ses bras, mes instructions sont claires, à partir de maintenant je ne dois prendre aucune initiative sans lui demander la permission. Je le sers aussi, ses mains examine mon dos, pas d’attache de soutien-gorge, elles descendent vers mes hanches, pas de culotte. Tout en me prenant par les hanches il me décolle légèrement : Tu as fait bon voyage ? Oui, Monsieur, je n’ai pu m’arrêter de penser à ce que vous m’avez écrit. C’est bien, mais ce ne sera peut-être pas tout. En tout cas les instructions du voyage ont été respectée à la lettre, je te félicite de ça. Est-tu prête à suivre mes autres instruction ? Oui Monsieur. Et si cela va trop loin ou que tu es mal à l’aise que dois-tu faire ? Utiliser le SafeWord « Tracteur » et sinon le code couleur orange. Bien, alors suis-moi allons prendre la voiture. Et sans attendre ma réponse il part en direction des ascenseurs. Troisième sous-sol, la gare ne semblait pas être aussi pleine pourtant. Et en effet, l’étage est presque vide, seules quelques voitures et personne. Nous nous dirigeons vers un coins, les clignotants d’un gros 4x4 s’allume, il ouvre le coffre. Je reste étonnée de ce que je vois, comme une cage de transport pour les chiens, mais là pas de barreaux, des parois métallique rivetée qui semble lourde en plus. Bien, pour commencer tu vas enlever ta robe et la ranger ainsi que ton sac dans ce coffre, dont tu choisiras le code. Il me montre un petit coffre-fort comme dans les hôtels. Je rougis immédiatement, regarde autours, personne, regarde le plafond, pas de caméra, du moins me semble-t-il. Je pose mon sac, timidement enlève ma robe et la pose à côté. Rapidement je choisi un code et ferme le coffre. Je suis nue dans un parking, sans moyen de partir si ce n’est avec S. Allez monte ! Il ouvre la « cage » je monte sans me faire prier, au moins je serais cachée. Et là je sens des bracelets attachés à mes poignets et chevilles, je les examines, ils sont rattaché par des chaînes à la cage. Puis le noir, une cagoule avec uniquement des trous pour les narines m’est installée, fermée par un collier. Des *clic* m’indiquent la fermeture de cadenas, je suis tout à lui. Evidemment je mouille encore plus. Le coffre est refermé, la portière aussi et la voiture démarre.
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Par : le 31/03/23
Monsieur fit glisser ses mains le long des hanches de Madame. Elle ne se fit pas prier et se cambra encore plus pour venir frotter ses fesses contre l’entrejambe de Monsieur. Je les voyais entamer cette sorte de danse langoureuse, lascive étant une sorte de spectatrice malheureuse et fortement frustrée. Monsieur tira sur l’anneau au collier de Madame, pour l’embrasser amoureusement et profondément. Elle a mérité sa récompense ? Je pense, elle ne s’est pas plainte, gémi débattue. Je savais qu’elle allait apprécier ce moment avec toi. A ces mots il sortit de petites clefs de sa poche et s’approcha de moi. Fit glisser ses mains le long de mon ventre et me plaqua contre lui, me fixa d’un regard profond et supérieur, rapidement je baissais les yeux, me délectant de son odeur. Pendant ce temps ses mains s’affairaient autour de ma taille et ouvraient ces petits cadenas et finalement laissait tomber cette ceinture au sol. Le frais de la pièce semblait ne se concentrer que sur mon entrejambe, humide, tenue chaude. Ma récompense ? Allait-il me prendre là comme ça, je sentais à nouveau mon bas ventre s’enflammer. Sans que je ne l’aie vu il avait sorti un bandeau et venait de m’aveugler, cela eu le même effet que de jeter de l’huile sur le feu. Et finalement il recula, me laissant totalement offerte, sans défense. Madame était restée de côté, observant, souriant. Dans le silence de la pièce, j’entendais des bruits de tissus, ceinture et je sursautai quand Madame revint me caresser de ses mains latexée. Je ne souhaitai qu’une chose, qu’elle les descende et vienne s’occuper de mon bassin. Mais non, à nouveau elle s’occupait de tout mon corps sauf cette zone. Rapidement je sentais que ses gestes étaient plus saccadés, ondulant. Lorsque je l’entendis soupirer de plaisir je compris, Monsieur la prenait là devant moi, pendant qu’elle me caressait. Les anneaux de ses bracelets et collier tintaient sous les va et viens de Monsieur. Je coulai littéralement, ne souhaitant que quelqu’un vienne me faire jouir. Et finalement, je senti une main glisser sur mes grandes lèvres, elles s’y glissèrent sans souci. Je ne pouvais gémir, ma bouche étant bâillonnée par celle de Madame. Enfin mon sexe était stimulé, et mon corps prenait le même rythme que celui de Madame. Je me retins de gémir quand elle se détacha de moi, tant de sa bouche que de sa main. Mais rapidement je senti sa bouche se poser sur ma chatte et elle semblait s’abreuver de ma mouille et finalement venir me fouiller de sa langue. Je ne pouvais m’empêcher de me cambrer, tirer sur mes chaînes sous le plaisir. Le spectacle devait plaire à Monsieur, car je sentais son rythme s’accélérer. Les coups de langue de Madame, devinrent moins précis et moins soutenu. Et finalement elle s’arrêta, là le nez planté dans mon entrejambe, je sentais son souffle chaud, profond, ses gémissements étouffés en moi. Le bruit de leur corps s’entrechoquant emplissait la pièce, les gémissements de l’un et de l’autre devenaient de plus en plus fort. Et finalement ils jouirent ensemble, là devant moi, me laissant encore plus affamée qu’avant. La bouche de Madame, revint sur ma bouche, son goût avait changé. Je compris rapidement que je goûtai ma mouille, la sensation était très bizarre. Vient, on va la laisser se remettre de ses émotions. Je lui réserve encore une surprise. Aucuns autres mots ne furent échangés, un simple dernier smack sur mes lèvres et une main glissant le long d’un de mes seins en s’éloignant. Les bruits de pas s’éloignaient, me voilà à nouveau seule, dans le noir, nue. Je voulais jouir moi aussi, être prise, m’abandonner à ce plaisir. Mais à nouveau je me retrouvai privée de ce plaisir, quand j’ai accepté d’être soumise, je ne pensais pas que le plus dur serait cette privation.
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