La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/03/19
Jenny vient de se faire violer sur le capot de sa voiture de police flambant neuve, par Skhor, le viking des quartiers nord. Personne n'est venu lui porter secours. Cet animal lui a perforé le cul avec son manche de pioche. C'est pas un sexe qu'il a ce fou furieux mais un marteau piqueur. Son cul saigne, le sperme coule le long de ses jambes. Elle tremble. C'est con, mais elle vient de jouir a répétition. Ce fou de skhor qui la pilonnait encore et encore. Au début, elle hurlait de douleur. C’était sa première sodomie. et puis, le premier orgasme anal est arrivé, une vague de chaleur, des spasmes dans tout le corps. Elle a lâché prise. Plus honte de rien, et l'orgasme suivant était déjà là. encore plus puissant. Et Skhor qui rigolait. Et ses cons de subordonnés, des flics minables qui avaient la trouille et qui n'osaient pas bouger. Personne pour lui venir en aide. Et le troisième orgasme. Jenny pleurait. Jamais elle n'aurait pensé se faire violer un jour en pleine rue, elle la commandante, la chef du commissariat de police du coin. Jamais elle aurait cru cela possible, à la vue de tous, et personne pour l'aider. Que des trouillards qui filaient bas, le regard en coin. Et le pire c'est que ce con de Skhor la faisait jouir comme jamais elle n'aurait cru cela possible. Le viking vient de partir, les tremblements cessent peu à peu. Elle remonte son slip sur ses fesses bien rebondies et luisantes d'un rouge sang du à la terrible féssée qu'elle a reçue avant d'être violée avec cette brutalité inouïe qui caractérise Skhor, le Seigneur et Maitre des quartiers nord. Elle rajuste son uniforme. Elle prend le volant de sa voiture et part en trombe. Personne n'osait regarder le viking, mais là, elle sent que tout le monde la regarde et semble se moquer. Elle laisse là ses deux collègues mâles qui lui font honte. Des péteux minables. . Elle file chez elle. Une seule envie: un grand bain chaud, un peu comme Claudia Cardinale dans un western spaghetti après son viol. Jenny, c'est la première partout, la mieux notée partout. Elle se rend d'un coup compte que tout cela n'était qu'illusions. Skhor n'est pas sur sa juridiction, non, c'est elle qui est sur le territoire de ce seigneur de guerre et elle ne fait pas le poids. Elle passe des heures a réfléchir. Le viol, elle a déjà oublié. Skhor, n'est qu'un exécutant. Il existe plus puissant que cette brute. C'est cela qu'elle doit chercher. Le Marquis de Sade avait bien raison. Il n'est pas allé en prison pour ses délires sexuels, non, il y est allé parce qu’il décrivait trop précisément les sphères de pouvoir. Plus on s'élève dans ces sphères et plus il faut être un criminel. C'est cela qui n'a pas été pardonné au Marquis. Jenny comprend que ce viol est un test. Porter plainte? A qui, à elle même dans son propre commissariat? Non, elle préfère utiliser Skhor pour savoir qui le protège. Quand au pourquoi....il est des choses que même dans des fictions, il est préférable de ne pas écrire. Je laisse donc le soin au lecteur de les imaginer.
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Par : le 05/03/19
Malheur à vous, de la race des esclaves, des soumis, des écartes cuisses si vous tombez sur Skhor, le terrible viking, seigneur et maitre des quartiers nord. Il n'a aucun état d'âme, la pitié, il lui pisse dessus. La peur c'est pour les autres. Il fait peur à tout ce qui s'approche de lui et c'est un tueur, il fait clairement comprendre qu'il dispose de ce droit et que cela ne lui pose aucun problème. Oui, il fait peur, par sa seule présence et son ombre rode dans toutes les rues des quartiers nord. La loi c'est lui et mêmes les poulailles doivent lui rendre des comptes. Une fois, une commandante juste nommée a débarqué dans le commissariat sur le territoire de skhor. Elle ne connaissait pas les règles , croyait à toutes les conneries apprises dans les écoles de la raie-publique. Skhor l'a vite chopée et l'a dépucelée du cul en pleine rue, sur le capot de sa voiture pimpante, gyrophares allumés, devant ses collègues qui n'ont pas bronché, blancs de peur. Skhor porte toujours une hache dans son dos. L'acier brille et peut facilement couper un homme en deux. Comme la commandante n'ouvrait pas assez, elle a reçu une bonne raclée bien sonore. Le sang a afflué sur ses belles fesses bien rebondies. les connes ont toujours les fesses rebondies, allez savoir pourquoi. Cool, je blague, j’écris, c'est une fiction, c'est pour rire un peu. Et chose surprenante la commandante a fini par jouir. dépucelée du cul et contrainte à de violents orgasmes le même jour. Depuis elle file droit, elle a compris qui était son seigneur et maitre. De toute façon tous les culs et chattes du quartier nord sont propriété de Skhor. Il exerce son droit quand il veut et comme il veut. Juste il aime pas se faire des mecs. Alors il a délégué. Il s'est choisi deux femmes, des guerrières complètement dingues et expertes en god ceinture enduits d'harissa, et couteau castrateur si besoin. Les mecs des quartiers nord doivent baisser la tête et éviter de regarder Skhor et ses deux dingues dans les yeux. Ceux qui ont subi le supplice du god ceinture enduit d'harissa hurlent encore. La demeure de Skhor est sur un toit d'immeuble. Tout en bois, une sorte de hutte avec des cranes à l'entrée. C'est là qu'il reçoit ses guerriers, donne ses ordres et rend la justice à sa façon. Il n'existe pas d'endroit plus paisible que les quartiers nord. Aucune femme n'est agressée ou simplement embêtée. le vol n'existe pas. les mamies ne risquent pas de se faire arracher leur sac à main. La commandante est montée en grade, elle a été félicitée par son administration pour ses excellents résultats dans un quartier difficile. Personne ne va au commissariat porter plainte. C'est plus sûr de s'adresser à un des guerriers ou guerrières de Skhor. Pas de blablas, une justice vite rendue et sans erreurs. Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que la commandante aime se rendre dans la hutte de Skhor, le soir, en uniforme pimpant. On entend des cris dans la nuit. Cela met tout le quartier nord de bonne humeur. Cela donne des envies, surtout lorsque la commandante ne retient pas ses orgasmes, libérée de tout, le lâcher prise jusqu'au bout. Skhor en a une énorme. La commandante fait bien des jalouses avec son joli cul bien rebondi. Elle est tout sourire le lendemain. Allez savoir pourquoi?
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Par : le 06/07/15
La lune est rouge ce soir. Nous sommes au Japon. J’ai toujours voulu visiter ce pays. Il fait nuit, et un orage se prépare sur le Pacifique. La chaleur est étouffante. Je T'emmène avec moi, Tu es sublime, douce, fragile et forte à la fois. Tu ne sais pas ou nous allons. Nous marchons tranquillement vers cet endroit que j'ai repéré pour cette occasion. Un endroit isolé de tout. Nous serons seuls. Un endroit où Tu me dira ces mots que j'ai toujours refusé que Tu me dises. Je suis prêt aujourd’hui. Ta main dans la mienne se fait pressante. Moite. Tremblante. Hésitante. Tes petits escarpins blancs foulant le sol rocayeux T'empêche d'avancer rapidement. Je décide de Te prendre sur le dos. Nous rions comme des enfants. J'escalade cette pente qui mène vers notre avenir. Cette pente qui me rappelle tout ce que nous avons enduré pour enfin nous rencontrer et commencer cette vie. Devant nous, la lune nous regarde de son œil rouge et sombre. Au loin, le ciel est zébré de rayon de lumière. Un léger vent soulève tes cheveux qui me caressent la nuque. Tes bras autour de moi se resserrent un peu plus, je devine que Tu frissonnes de crainte. Nous arrivons enfin devant ce cerisier japonais isolé. Je te dépose délicatement sur la petite pelouse qui l'entoure. Tu admires les lieux si beaux. Si calme avant la tempête. Et moi, je ne vois plus que Toi. Et je me dis que maintenant cet endroit est beau car Tu y es enfin. Tu marches doucement jusqu'au bord de la falaise qui tombe à pic dans l'océan. Océan qui prend de plus en plus de force avec l’orage qui se prépare. Le bruit sourd du tonnerre prenant écho sur les vagues Te fait sursauter. Je m'approche derrière Toi sans un bruit. Je T'enserre de mes bras en T'embrassant dans le cou. Ta peau m'enivre de ses odeurs mêlant sueur et doux parfum. "Que faisons-nous ici Monsieur?" "Tu va voir. Regarde dans le buisson là bas. Mets ce que Tu y trouveras et uniquement ça." Tu T'exécutes sans un mot et je Te regarde T'en aller. Admirant Tes formes et Ta démarche. Le ciel est de plus en plus noir. Les nuages effacent peu à peu de la voute céleste les étoiles. Seule cette lune rouge nous éclaire de sa lumière froide. Je passe derrière le cerisier et récupère ce que j'y avais déposé plus tôt dans la journée. Des cordes. Ces liens que j'aime tant Te parer. Je m'approche d'une branche et passe plusieurs tours pour faire un point d'attache solide. J'y passe un anneau que j'ai forgé pour l'occasion. Autour de ce point, dans l'herbe humide, j'allume 2 braseros qui éclaireront ton corps. Et laisse un 3ème éteins. Le vent fait chanter le cerisier. Tu sors enfin. Tu es magnifique. Je T'admire dans ta robe blanche en soie. Je devine Tes seins nus sous la matière. Le vent se faufile, glisse et fais voler tes cheveux rajoutant une musique douce à cette vision angélique. Tu T'approches de moi et caresse mon torse bouillant sans un mot. Des larmes coulent sur mes joues. "Pourquoi pleurez-vous Monsieur?" Je ne réponds pas. Tu sais déjà tout de moi. Tu caresses ma joue et me dépose un baiser en Te serrant contre moi. Un éclair. Je prends Tes mains que j'attache d'un geste sur. Tu me regardes, curieuse et amusée. Tu plonges ton regard sans crainte dans mes yeux sombres. Tu y mets chaque jour un peu plus de Ta lumière parmi mes ténèbres. Je passe la corde dans l'anneau au dessus de Toi que Tu découvres enfin. Tu devines un peu ce que je vais faire. Et moi je souris intérieurement mêlant appréhension et amusement. Tu ne Te doutes pas de ce que je vais Te demander. Voici enfin le moment que j'imaginais depuis si longtemps... Je passe autour de Toi. Je caresse Ta peau. Ta peau qui comme la mienne est gravé de nos histoires passées. Tu parais si fragile, je parais si fort. Ou l'inverse peut être. Je m'éloigne un peu pour aller au bord de cette falaise, face à l'océan. Je sens l’électricité dans l’air, ma rage et ma peur qui monte. Et puis je sens Ton regard sur moi, qui m’apaise. Je me baisse et récupère mon fouet. Le cuir noir est chaud. J'aime cette sensation dans ma main. Je m'approche de Toi, le fouet trainant dans l'herbe. Un serpent rodant prêt à bondir. Je prends Ton cou de ma main libre et Te dévore la bouche. Tu es déjà haletante. Je recule et fais claquer mon fouet. Tu n'y as jamais gouté. Je vois Tes yeux qui se plissent, Ta bouche qui grimace déjà. "Tourne-toi." Tu fais face au cerisier. Ta robe blanche est collée à ton dos par la sueur. Un éclair. Un cri. Le premier. Le vent s'est arrêté. Il n'y a plus que le grondement du tonnerre. Et le crissement strident du fouet dans l’air. Deuxième coup de fouet. Puis un troisième. Tu cries encore plus. Je viens te voir et te caresse le dos, constate les déchirures dans ta robe et les traces sur ta peau. Je prends tes cheveux dans ma main et tire ta tête en arrière. "Dis-le." Tu ouvres les yeux, stupéfaite. Incrédule. Et tu me regardes . "Monsieur...?" "Dis-le." Je me recule, et je t'assène plusieurs coups de fouet. "Dis le !" Tu sais très bien ce que je veux entendre. Tu veux me le dire depuis si longtemps mais je n'ai jamais voulu l'entendre. Je ne voulais pas l’entendre. "Dis le je t'en supplie !!" Des larmes coulent sur mes joues. Le fouet lacère ta peau encore plus. Il s'enroule plusieurs fois autour de ton ventre. Tu ne cries presque plus. Je jette le fouet loin de moi. Ton corps est nu. La robe s'en est allé avec le vent. Le sang coule de quelques plaies. Je tombe à genoux. Epuisé. En pleurs. La rage au ventre. Plus un mot. Nous restons ainsi quelques secondes ou quelques minutes qui paraissent des siècles. La pluie commence à perler sur nos corps. "Maitre... je Vous aime." Enfin. Je me relève. Je te caresse le dos, la nuque, les cheveux. Je t'embrasse. Je parcoure ton corps brulant. Je te détache et tu me tombes presque dans les bras. Nous nous enlaçons. Nous nous embrassons. Je t'emmène près du premier brasero ou nous allumons une bougie blanche. "C'est toi." Nous allons, vers le second et allumons une bougie noire. "C'est moi." Le 3ème, toujours éteins. "C'est Nous." dis-Tu en l'allumant avec les 2 bougies. La lune a disparu derrière les nuages. Je Te réponds : "Je t'aime". ............... ............... ............... ............... Je me réveille, seul. La sueur coule sur mon front. Mes joues sont humides. Le lit est vide, comme depuis longtemps. Je me lève, il est 2h et des poussières. Ces images, ces visions trottent encore dans ma tête. Je vais me faire un thé qui me rappellera ton parfum. J'allume une cigarette et je regarde par la fenêtre. La lune est rouge ce soir. Une tempête se prépare.
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