La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/03/24
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage à livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage à faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2017 J’ai déjà survolé cette année de nymphomanie dans le chapitre précédent, l’année où Lady Bitch est née, où j’ai couché avec une centaine d’hommes et où je me suis affranchie de la morale ! Il y’a pourtant encore beaucoup à en dire tant cette année changea ma perception des hommes, du sexe et de la perversion. L’année 2017 commença par un nouvel an torride et immoral avec mon meilleur-ami, notre relation évolua au fil de cette année lors de multiples baises bien plus importantes mais je traiterais son cas comme d’habitude dans un chapitre bonus qui lui sera dédié. Restons donc concentrés sur mes coups d’un soir qu’ils viennent de sites de rencontres ou de mes sorties en boites de nuits. En avançant dans l’année, la salope avide de queues que j’étais devenue tournait a trois ou quatre plans culs par semaine avec de nouveaux mecs et il devenait de plus en plus difficile de m’exciter ou me faire jouir. J’avais prise conscience que je pouvais avoir n’importe quel mec, que s’il s’agit de sexe et uniquement de sexe, ils sont majoritairement toujours partants ! Je passa des mois à me taper des Apollon, des beaux-gosses qui me faisaient mouiller rien qu’avec leur belle gueule ou leur regard de feu, des corps musclés ou athlétiques, ces mecs n’avaient rien à envier à des mannequins et je coucha avec des physiques dont je n’aurais jamais osée rêver autrefois. Je découvris divers types de bites, des longues et épaisses, des longues et fines, des épaisses mais courtes, des raides, des courbées, des glands imposants, des glands pointus, des couronnes perlées,  etc… Je devins une experte pour les sucer, j’appris au fil de mes rencontres que tous les hommes ne sont pas sensibles de la même manière au traitement qu’on réserve à leur queue ! Certains gémissent et jutent rien qu’avec des léchettes répétées sur le frein, d’autres ne supportent pas qu’on le titille. Certains adorent qu’on roule une pelle à leur gland et lèche soigneusement chaque recoin de leur couronne, d’autres n’y prennent aucun plaisir. Certains aiment qu’on pompe et aspire fortement leur queue, d’autres trouvent ça désagréable. Certains aiment qu’on aspire et gobe leurs couilles, d’autres ne tolèrent que les coups de langues. Tous néanmoins aiment qu’on avale entièrement leur queue et mes années d’entrainement à la gorge profonde combla toujours ces messieurs. Après des mois a essayé diverses queues, je savais lesquelles étaient mes préférées et lesquelles pouvaient poser problème… Il arriva un moment où voir de nouvelles bites ne m’excitait plus autant les ayant toutes plus ou moins déjà vus. Il arriva un moment où coucher avec des beaux-gosses ne m’excitait plus autant c’était devenu courant. Il arriva un moment où les corps musclés, les abdos saillants, les pectoraux et biceps de dieu vivant ne m’excitait plus autant, j’en avais tellement eus que ça n’avait plus rien d’exceptionnel. En l’espace d’une année, ma surconsommation de partenaires tous plus sexy les uns que les autres m’avait fait perdre le fait d’apprécier de tels physiques. Je me souviens qu’il y’a quelques mois je fondais dans un regard ardent, je léchais avec envie du bout de ma langue les abdos et tétons des carrures fitness, je mouillais rien qu’en caressant leurs muscles, je jouissais quand des golgoths me pilonnait en me sentant si fragile sous leurs assauts mais tout ça c’était devenu trop fréquent pour être encore efficace… C’est comme si une partie psychologique avait quittée mes ébats, l’excitation n’y était plus malgré des partenaires plus qu’agréable, je n’étais plus stimulée par mes rencontres pourtant je ne pouvais m’en passer même si je jouissais de moins en moins.  Les plans culs devenaient lisses et seuls ceux qui faisaient preuve d’originalité dans leurs attitudes, pratiques, envies, insultes pouvaient encore me faire assez d’effet pour rallumer la flamme et que je jouisse pleinement. J’essaie de vous retranscrire cet attrait pour les beaux corps et les belles gueules qui m’avait quitté mais attention j’aimais toujours autant aller me faire sauter c’est juste que cela n’avait plus du tout l’intensité et l’euphorie des débuts. Je me tournai progressivement vers des annonces de sexe en ligne ayant conscience qu’il me fallait de l’originalité, que mes plans culs se ressemblaient trop. Je savais qu’il fallait que je ressente de nouveau le frisson de l’aventure, de l’inconnu car même si c’était de nouveaux partenaires, j’étais enfermée dans ce schéma où j’allais chez eux pour faire des préliminaires, baiser et partir ! J’avais plusieurs fois fait le lien entre ma jouissance et l’attitude de mes partenaires, ceux qui avaient fait preuve d’une perversion plus prononcée, qui m’avait exposée à leurs vices, c’était ceux qui m’excitait aujourd’hui et me laissait un souvenir d’eux. Il fallait que je rencontre des personnalités différentes, des hommes aux désirs singuliers, que je renoue avec cette sensation d’exploration de ma sexualité. Je me masturbai régulièrement sur divers sites répertoriant les annonces de sexe de centaines d’hommes, je passai de longues minutes à lire leurs envies, leurs fantasmes et m’imaginer les rencontrer ou non. J’épluchai les annonces de ma région, les catégories et plongeai encore davantage dans les vices masculins lisant certaines requêtes plus obscènes, tordues, assumées sur ces sites qu’aucun homme ne l’avait jamais fait sur mes sites de rencontres (l’anonymat aidant sûrement). Je fantasmai plusieurs fois à l’idée de publier moi aussi des annonces pour assouvir certains de mes fantasmes, certaines de mes envies qui germent en moi depuis l’adolescence, depuis Thomas, depuis mon addiction au porno, depuis ma dépression… Ma première rencontre fût un trentenaire qui voulait seulement toucher des seins… Il passa me chercher en voiture à la sortie de la Fac, j’avais mis un décolleté généreux ce jour-là. Je ne lui avais demandé aucune photo me disant qu’il était sûrement assez moche pour avoir si peu de prétentions (il ne se souciait pas non plus de ça puisque son annonce stipulait qu’il s’en fichait du physique, de l’âge et des mensurations, tout ce qu’il voulait de son côté c’était toucher une paire de seins). Je m’étais dit que ça serait bien de débuter ce type de rencontres par quelque-chose de léger et de faire en plus une bonne action, que si le gars ne me plaisait pas, tant pis, ce n’était que lui montrer ma poitrine et le laisser la tripoter un peu, pas besoin d’attirance pour ça... Cela ne manqua pas, il était assez vilain (cheveux courts avec une mèche façon Tintin, des petites lunettes carrés, une barbe de trois jours avec plusieurs trous dont la pilosité faciale ressemblait plus à des poils pubiens qu’une barbe, un sourire nerveux qui montrait trop ses dents) bref c’était pas un sex-symbol, il avait une allure plutôt négligé et sa tenue vestimentaire comme sa personnalité c’était le cliché du geek ou du trentenaire chez ses parents qui bégaie devant une fille et semble visiblement ne rien savoir de ce qu’il faut faire pour améliorer ses chances… Soyons clairs, si j’avais vu une photo ou qu’il m’avait abordé, j’aurais fuie et j’ai failli le faire devant sa portière tant il ne me plaisait pas mais je décida d’assumer jusqu’au bout en me rappelant que je n’avais pas demandé de photos car il n’y avait pas de rapports sexuels. Il s’était garé sur le parking devant ma Fac, je connaissais le modèle et la couleur de sa voiture, je l’aborda rouge comme une tomate étant très déstabilisée par son physique et ce que je faisais tout de même guidée par une adrénaline que je n’avais plus ressentie depuis un moment. Je monte côté passager quelques secondes plus tard, je fais bonne figure devant lui mais je suis tétanisée, je lui parle de tout sauf ce qui nous attends, je lui demande s’il a trouvé facilement, s’il y’avait de la circulation, s’il m’a attendu longtemps, s’il connait le coin et toutes ses réponses sont encore plus stressées que mes questions et malaisantes ! Je ne comprends pas comment l’idée de montrer mes seins a ce mec me gêne soudainement autant alors que je me fais défoncer à droite et à gauche depuis des mois par des inconnus. Le gars est gentil et doux ça se voit qu’il ne ferait pas de mal à une mouche, je ne me sens pas en danger mais je prends conscience que sortir de ma zone de confort et m’exhiber à un mec pour qui j’ai aucune attirance, aucun désir est ce qui me stress autant. J’ai une sorte de pression de devoir assurer, de lui devoir ça maintenant que je me suis mise là-dedans, de ne plus pouvoir reculer alors que je le peux, il suffit de me rétracter mais je ne veux pas le décevoir maintenant que je suis montée dans sa voiture, il a fait la route pour me voir, je n’ai pas demandé de photo c’est ma faute, j’avais envisagé cette option (qu’il soit repoussant), j’ai voulu me lancer un défi, je ne peux pas le décevoir et ME décevoir, suis-je vraiment la salope que je pense être ?   Il se gare sur le parking d’un magasin de literie après 5 minutes de trajet. Il n’a pas menti, c’est discret ! Son véhicule fait face a un mur de pierre et les deux seules autres places du parking sont derrière nous et vides, c’est l’un de ces parkings derrière le bâtiment d’une enseigne qui a peu de places, il m’a dit en connaitre trois ou quatre dans le coin si jamais celui-ci était occupé... Lorsqu’il coupe le contact, je sais qu’on y est et un blanc s’installe après ma confirmation que le parking est en effet discret ! Il me regarde gêné et me dit que je suis « vraiment très jolie » ce qui me fait sourire mais me rappelle que je ne peux lui retourner le compliment ... Je me décide néanmoins a prendre les choses en main et en finir le plus vite possible n’ayant aucunement envie de me décevoir et nous avoirs fait perdre tout ce temps. Je me mets face a lui, le dos contre la fenêtre. Assise en tailleur, je baisse mon décolleté sous ma poitrine sans retirer mon haut et extirpe mes seins hors de mon soutif pour les lui dévoiler ! « Bon, on est là pour ça alors voilà ! » Je me souviens de ses yeux qui s’écarquillent, de ses pommettes qui s’enflamment, de son sourire jusqu’aux oreilles alors qu’ils les regardent avec émotion. J’ai montré ma poitrine a des centaines de mecs avant lui et pourtant il n’y a que Kévin mon meilleur ami et Clément un de mes premiers copains (le précoce) qui m’ont paru aussi émerveillés par ma paire. J’ai dans cette voiture et les yeux de cet inconnu l’impression d’avoir une des poitrines les plus belles de la Terre, je vois dans ses yeux quelque-chose que je n’ai pas souvent vu, je me sens sexy, divine, torride et l’ambiance change alors peu à peu, le malaise ambiant se mue en quelque-chose de plus suave, je me sens soudainement plus à l’aise, coquine, attisée. Je discute quelques instants avec mon admirateur qui ne cesse de me complimenter ou du moins jeter des fleurs a ma poitrine. Je le taquine et le titille en lui demandant si elle lui plait alors que je commence à la malaxer et me tirer sur les pointes, le pauvre garçon semble bouillonner. Il ne peut plus décrocher son regard de mes seins et je pourrais presque dire qu’il en a la bave aux lèvres, voilà que la situation m’excite, rendre fou ce gars me plait soudainement… Je regarde son entre-jambe, je vois qu’il bande sous son jean, sa bite est plaquée contre sa cuisse gauche, elle ne semble pas très longue mais elle est bien visible… Je lui dis qu’il peut toucher, il avance alors timidement la main et caresse le haut de mes deux seins bien mis en avant par mon soutif et le décolleté, je le regarde faire avec amusement, je n’ai pas souvenir d’avoir un jour été touchée aussi délicatement par un homme. Je ne dis rien pour voir ce qu’il va en faire, elle est à lui pour l’instant cette paire de seins, amuse-toi bien garçon me dis-je. Il appuie maladroitement sur mes seins comme s’il voulait voir ce que ses gestes avaient comme répercussions sur la peau, c’est comme si ses yeux prenaient des photos pour plus tard, qu’il mémorisait ce qu’il voit, ce qu’il fait ! Je le trouve autant attendrissant que ridicule pour son âge, cette impression de faire une bonne-action m’envahit, moi qui avais peur d’assouvir sa demande il y’a encore quelques instants, voilà que j’ai envie de l’aider à en garder le plus beau souvenir possible ! Il caresse encore et encore mes mamelons en passant sa paume et ses doigts dessus, il fait tourner son pouce autour de mon mamelon droit, il effleure mes tétons mais n’ose pas tirer dessus ou les pincer, ça me frustre, « lâche-toi » me dis-je. Je lui dis qu’il peut se masturber s’il veut, il me répond que non ça va aller, je l’invite de nouveau à se mettre à l’aise en lui expliquant que je vois clairement qu’il est « à l’étroit » dans son jean mais il refuse une seconde fois me disant que ce n’était pas prévu et qu’il ne compte pas abuser de ma gentillesse. J’essaie alors de lui expliquer que si je lui propose c’est que je suis pour qu’il le fasse mais il se confonds en excuses avant d’avouer être pudique et que c’est moi qui devais m’exhiber pas lui. Je vois qu’il n’a pas confiance en lui et n’a peut-être jamais montré son sexe a une fille, il me fait de la peine alors qu’il remet les mains sur son volant et me remercie pour ce bon moment, il me dit qu’il va me déposer à l’arrêt de bus qu’on avait convenus. Je commence à remettre ma poitrine a sa place alors qu’il ne me regarde même plus, c’est alors qu’une pulsion s’empare de moi et que j’agis sans réfléchir, je pose ma main sur sa bite encore en érection ! Il sursaute et me regarde alors qu’il allait repousser ma main je lui dis de se détendre avec ma voix la plus douce ! Je lui explique que des bites j’en ai vus et revus, que la sienne ne peut en aucun cas me surprendre et que d’ailleurs ça m’importe peu à quoi elle ressemble ! Je frotte avec mon index le bout de son érection, je sens que je suis sur son gland, sa queue est coincée entre le jean et sa cuisse, ma paume va et vient le long de sa verge, je scan sa queue a travers son pantalon et prouve à mon peureux partenaire que tout va bien. Il est rouge de honte, il transpire et a le souffle court, il m’explique qu’elle n’est pas épilée, qu’il ne s’attendait pas à ça, que je n’ai pas besoin de faire ça, qu’il est déjà content comme ça ! Son comportement m’excite, ma prise de contrôle me fait me sentir supérieure, puissante, dominante et j’ai l’impression de pouvoir briser ou combler ce type, il est si attendrissant, ses failles si exposées, je veux prendre soin de lui, jouer avec son désir ! C’est nouveau pour moi, ce type de mecs, ce type de plans, cette position que j’ai visiblement sur lui, je ne sais pas ce que je ressens, l’effet que ça a sur moi mais je crois que c’était grisant a 21 ans d’avoir littéralement le dessus sur un mec de 35 ans, d’avoir une telle emprise sur la situation, j’avais jamais ressentie ça. Je lui explique que j’ai envie de lui laisser un souvenir inoubliable, qu’il a une fille chaude et ok pour faire plus que prévu dans sa voiture, qu’il devrait profiter d’une telle occasion qui ne se représentera peut-être pas, que je veux bien qu’il se branle pendant qu’il joue avec mes seins et que j’aimerais le voir éjaculer pour moi. Il me regarde alors en silence, je vois qu’il hésite, je n’en reviens pas comment on lit a travers chaque expression de ce gars comme un livre ouvert… Je retire ma main de sa cuisse, me remet en position face à lui et baisse de nouveau mon décolleté sauf que cette fois je décroche mon soutien-gorge par-dessous mon t-shirt pour être plus a l’aise et le jette sur mon spectateur qui rigole nerveusement comprenant que je suis sérieuse. Je me pétris les seins devant lui alors que je lui ordonne de se branler, « Allez sors-la, branle-toi » je sais que je l’ai répété plusieurs fois avant qu’il n’obéisse, déboutonne son jean, attrape sa queue et la sorte au grand jour. Une bite a l’effigie du bonhomme, quelconque, chétive, elle ressemblait a un os et il avait en effet une pilosité abondante plus que négligée ce qui refroidit directement mes ardeurs d’éventuellement lui offrir encore davantage. Il se branla doucement au départ alors que son regard plongeait de nouveau sur ma poitrine, je le provoquai en lui disant qu’il avait deux mains et en lui prenant le bras pour poser sa main gauche sur mon sein, il se tourna alors face a moi et entama une masturbation plus franche et frénétique alors qu’il soulevait a tour de rôles mes seins et les agrippais par moments enfin comme un vrai mec ! On s’échangea quelques grossièretés alors que je cherchais a l’exciter et lui répondre a mes provocations, je lui dit de me tirer sur les tétons, de les pincer, de maltraiter un peu ma paire car j’en crevais dorénavant d’envie, j’en avais marre qu’il soit sur la retenue, je voulais qu’il se lâche maintenant qu’il se dégorgeait le poireau sans pudeur devant moi ! Le gars devint alors de plus en plus viril et commença a m’écraser les seins, me tordre les tétons, me remettre a ma place et je pris du plaisir a me faire tripoter les seins par ce pauvre mec sur un parking … Une voiture entra soudainement sur le parking et une cliente du magasin se gara sur une des deux places derrière nous. Je remonta mon haut par sécurité alors qu’elle sortait de son véhicule et se dirigeait vers l’entrée du magasin mais lui cacha juste son sexe avec ses deux mains. La dame quitta le parking pour faire ses achats. Je ressortis de nouveau mes seins et agrippa le sexe du conducteur inquiet ! Je savais qu’elle reviendrait dans quelques minutes alors autant essayer de le finir rapidement. Je branlai avec vigueur le pauvre homme qui n’allait pas me résister longtemps, je le savais, je me défiais d’échouer avant le retour de la cliente. Mon pouce frottait parfois son gland baveux et le début de son frein, mon poignet s’abattait frénétiquement contre son jean alors que sa verge coincée dans ma poigne la plus ferme était pressée comme un fruit dont on veut extraire le jus ! « Touche mes seins et jouis avant qu’elle revienne » lui dis-je, il agrippa alors a deux mains mes seins et de multiples jets chauds ne tardèrent pas a jaillir sur ma main et partout sur son t-shirt. Je lui vida les couilles patiemment m’assurer de tout faire sortir car visiblement le garçon en avait a revendre. Je plaisante sur la densité de la vidange et l’état de son t-shirt complétement souillé, il me dit que ce n’est pas grave alors je m’essuie la main dessus puisqu’il est plus à ça près ! Je me rhabille alors qu’il étale son sperme qui pénètre le tissu de son t-shirt, un spectacle effroyable. Il me dépose a l’arrêt de bus pour rentrer chez moi en me remerciant pour la rencontre, je lui souhaite une bonne continuation et de toucher d’autres poitrines et quitte son véhicule. Je jette un dernier regard amusé a son t-shirt maintenant recouvert de tâches blanches en espérant qu’il ne croise personne jusqu’à pouvoir l’ôter... A peine arrivée chez moi, je fonce dans ma chambre, j’attrape mon plus gros gode et je me défonce la chatte en repensant a ce type, a celle que j’ai été pour lui, dans ses yeux, dans sa vie … Je suis euphorique de cette sensation que j’ai ressentie à ses côtés, cette supériorité sur lui, l’impression de pouvoir faire ce que j’en voulais, cette féminité et sensualité qui émanait de moi, cette assurance dont j’ai fait preuve, cette aventure que je viens de vivre, voilà ce qui me manquait cruellement depuis quelques-temps, du risque, de l’obscénité, l’expérimentation ! Les semaines suivantes j’alternai entre des plans culs comme d’habitude pour « le physique » et des rencontres avec de nouveaux pervers qui avaient tous différents types d’envies pour « le challenge » mais surtout « le psychique » que je tirais de ces rencontres plus stimulantes... Je continuai sur des rencontres légères et des envies humbles mais je me confrontai à des hommes plus âgés que mes habitudes dans ces annonces, des physiques encore une fois plus disgracieux que mes standards... Je m’habituai à faire des cochonneries avec des hommes qui ne m’attiraient absolument pas, à ne plus me soucier du physique mais plutôt de l’acte, la perversion, l’expérience et c’est parce-que je débutai par des plans sans pénétration et rapport complet que je m’acclimatai une rencontre après l’autre à ne plus être motivée par l’apparence de mes partenaires. Après le trentenaire qui me tripota les seins, je rencontra un fétichiste des pieds voulant que je le branle du coup vous l’aurez deviné avec mes pieds ! Il avait la vingtaine et on fit ça chez lui. Là encore, je tirai du plaisir à faire triper un mec avec si peu de choses, il vouait un culte à mes pieds toute la rencontre et semblait super épanoui d’être avec une fille qui assouvisse son penchant sans gêne ou jugement, le voir juter sur mes pieds et repartir de chez lui sans même avoir ôter un vêtement (juste mes talons) fut assez déroutant mais au final excitant et valorisant niveau sex-appeal ! Le suivant c’était un cinquantenaire voulant juste me lécher la chatte et me faire jouir avec sa langue. Il avait deux demandes, que je vienne a sa rencontre en jupe sans culotte et que je sois entièrement épilée (ce que je suis constamment). Ce fût un grand défi pour moi d’aller m’offrir a un homme de cet âge (plus du double du mien, plus de 30 ans d’écart…) mais cela faisait écho a mes penchants sombres envers mon père, a mon envie d’un jour faire du libertinage en club comme lui et de me taper des gars de son âge. J’appliqua le même raisonnement que pour les gars précédents, ce n’est « qu’un cunni », « que des coups de langues » pas besoin d’être séduite pour ça et justement voyons s’il saura quand même me faire jouir rien qu’avec la technique, sans le désir ! Je demanda quand même une photo de « Didier » un nom qui me marqua car il était camionneur et avait une belle bedaine de la bière, je me souviens que je m’amusai de ne tomber que sur des clichés ambulants mais Didier avait tout d’un nounours bienveillant, un regard doux et gentil, chauve avec un bouc, je me surpris à l’imaginer entre mes cuisses et me dire « pourquoi pas » ! Didier m’invita chez lui, il était divorcé et père de deux garçons, ils étaient chez sa mère ce soir-là. Je n’en menais pas large devant lui et il prit les choses en main avec beaucoup de douceur, il m’installa sur le bord de son lit, me coucha sur le dos, se mit à genoux face à moi, remonta mes jambes puis les écarta. Il contempla ma petite chatte quelques secondes en la complimentant puis il embrassa mes cuisses et plongea son visage sous ma jupe. Didier m’embrassa longuement les parties intimes, il n’arrêtait pas de me dire que j’avais une jolie chatte, ça me gênait à la longue car je prenais de plus en plus conscience que j’étais sur le lit d’un père divorcé ayant 30 ans de plus que moi. Je ne le voyais pas m’embrasser le sexe, la jupe cachait son crâne, je ne voyais que ses gros doigts enfoncés dans mes cuisses où il s’agrippait alors je me souviens que je regardais plutôt le plafond de sa chambre. Il y avait un ventilateur de plafond qui ne tournait pas mais que je fixais du regard longuement alors que Didier semblait tout faire pour me rouler une pelle langoureuse avec mes lèvres du bas, ça dura un moment interminable et pas l’ombre du début d’une sensation de plaisir. J’étais déçue, la magie n’opérait pas, l’excitation de la situation ne prenait pas et l’homme que j’imaginais expérimenté par son âge faisait ça mal, c’était la désillusion et je songeais a lui demander d’arrêter le massacre, que j’allais rentrée ! Didier releva le visage par-dessus ma jupe et me dit « Je te sens tendue, détends-toi ma chérie » avant d’embrasser tendrement mes cuisses et mon pubis. Cette phrase changea quelque-chose, déjà j’étais en effet tendue et il l’avait senti, c’était peut-être pas le manche que je croyais car beaucoup des mes plans culs ne se rendent pas compte quand ils sont en train de me perdre, ça me rassura sur le fait qu’il savait finalement peut-être comprendre une femme et être a l’écoute de son corps mais ce qui me déstabilisa c’était qu’il m’ai appelée « Chérie ». Il y’avait dans sa voix cette bienveillance des ainés sur les enfants, ce côté protecteur et rassurant que je n’ai finalement jamais vraiment connu ayant grandie sans père. Cette marque d’affection lui donna une aura, un charisme instantané sur moi et je ne pouvais plus qu’obéir, essayer de me détendre en effet et lui faire confiance, après tout c’était la spécialité du bonhomme de lécher une chatte ! J’acquiesça et m’excusa docilement, je pris une grosse respiration et posa mes mains sur les siennes, je ferma les yeux et me détendit autant que possible. Il me dit une phrase du genre « Bon, on peut- y aller » ou « Commençons les choses sérieuses » puis il retourna sur mon sexe mais cette fois-ci pas pour l’embrasser mais le lécher. Je ressentais dorénavant bien plus de choses, sa langue humide qui glissait le long de mes lèvres, qui roulait sur mon clitoris, qui allait et venait de plus en plus vite sur mes lèvres. Je commençai à prendre du plaisir, à gémir, à avoir chaud et je compris que le vieux briscard avait joué avec moi, qu’il m’avait faites languir, qu’il avait enquiquiné mon sexe de tous ces baisers pour le rendre aussi disposé à savourer sa langue au moment opportun. Je passai de baisers tantôt grossiers, tantôt délicat mais toujours ennuyants à une langue large, spongieuse, précise qui savait ce qu’elle faisait et comment asservir mon plaisir. Je me sentais vulnérable, prévisible et quelconque pour être finalement aussi simple à manipuler, il m’avait pourtant dit qu’il saurait me faire jouir juste avec sa langue mais son début calamiteux m’avait fait abandonner l’idée qu’il puisse y arriver. Un combat intérieur émergea en moi alors que le plaisir grandissait, je me refusai à l’accueillir me disant qu’il ne pouvait pas m’avoir aussi facilement, qu’il ne pouvait pas faire ce qu’il lui plait au départ puis après s’être bien amusé me faire jouir comme bon lui semble. Je maudissais ce lécheur autant que je l’adulais, comment pouvait-il être si doué ?   « Ne te retiens pas, jouis sans gêne ma chérie ! Je suis là pour ça, je veux t’entendre couiner » Comment savait-il que j’étais en train de me retenir ? C’était de la sorcellerie pour moi, il parlait toujours au moment propice et puis cette sensation de plénitude a l’entendre me dire « Ma chérie » j’étais SA chose a l’instant T ça c’était sûr ! « Huuuum d’accord » soupirais-je vaincue. Mes mains enlacèrent celles de Didier, je m’agrippai à ses phalanges alors que je cessai de lutter pour retenir mes gémissements, je me laissai aller et ébruita mon plaisir aux oreilles de mon bourreau. Il ralentit lorsque je culmina, sa langue effleurait dorénavant mon clito sans vraiment y appuyer un contact. Mon bas-ventre bouillonnait, ma fente voulait être fouillée par un doigt ou une queue, je perdais la tête alors qu’il faisait monter avec stratégie et maitrise l’orgasme en moi. Je m’imaginais déjà me faire prendre par ce camionneur bedonnant, le supplier de me passer dessus alors que j’étoufferais sous son poids le regard toujours sur ces foutues hélices au plafond ! J’avais envie de JOUIR, que ma chatte en feu se fasse calmer, qu’on me la laboure avec violence, que cet homme fasse de moi sa chose. J’avais les larmes aux yeux et je perdais le contrôle de ma respiration alors qu’il continuait d’effleurer mon clito, je mouillais abondamment et je voulais qu’il me boive ! Je tira sur ma jupe, agrippa son crâne chauve et le supplia de mettre sa langue en moi !  Il plongea aussitôt sa langue a l’intérieur de mon vagin, tirant sur mes cuisses pour me soulever en l’air, je bascula sur les épaules alors qu’il se redressait sur le bord du lit. Il m’avait soulevée comme un vulgaire sac, j’étais dorénavant les jambes suspendues dans le vide, le cul en l’air avec les mains de mon assaillant pour me maintenir droite et stable, il enfonçait sans aucune retenue sa langue en moi, je le regardais me baiser la chatte avec sa langue que je sentais aller et venir dans l’entrée de mon trou, j’hurlais comme une folle alors qu’il baignait dans ma mouille. On y était, l’orgasme, je jouissais, j’hurlais ma faiblesse devant le plaisir. Didier me léchait l’intégralité du sexe, passant de haut en bas mes lèvres du plat de sa langue, frappant sans douceur mon clito de la pointe de sa langue et enfonçant celle-ci en moi pour la remuer contre mes parois, quelle obscénité, quelle déchéance pour cet homme, quel cunnilingus ! Je cherchai à me dégager à plusieurs reprises pendant l’orgasme mais il me poursuivit de la bouche a chaque fois s’assurant que je ne me dérobe pas et subisse le plaisir ultime jusqu’au bout. Nous terminâmes au milieu du lit quand je le suppliai d’arrêter, que c’était fini. Je n’oublierais jamais son bouc luisant, ses babines trempées et ma chatte irritée et toute rouge par les multiples frottements de son menton. C’était le cunni le plus bestial de ma vie mais surtout le plus maitrisé, un véritable brasier qui avait pris petit à petit, d’une braise qui avait failli s’éteindre était née une explosion inoubliable, quel salaupard, il savait ce qu’il faisait le gourmand ! On discuta un moment au bord du lit de sa technique alors que mes jambes flageolaient trop pour que je tienne debout, ma chatte était hors-jeu et l’idée de coucher avec Didier éclipsée après avoir jouie. Je garda ça évidemment pour moi et seule la honte d’avoir été ainsi asservie et facilement pilotée subsista ! Je quittai Didier sans quoi que ce soit de plus entre nous, il était très satisfait d’avoir pu manger la moule d’une jeunette et moi très décontenancée par tout ce que j’avais ressentie.   Je me masturba plusieurs fois en repensant à Didier mais ma quête devait continuer.  La rencontre suivante fut moins réussie, un fétichiste de lingerie qui voulait me masturber à travers ma culotte, je sais même plus la tranche d’âge dans laquelle il était mais je me souviens que je n’y ai pas pris de plaisir. Il me frottait le clito à travers une culotte en dentelle, ce n’était pas fou et quand il me doigtait en enfonçant le tissu a l’intérieur encore moins… Je l’avais branlé avec mes seins en gardant mon soutif, coinçant sa queue dans le creux de mes seins et sous le gousset du soutif, ça avait été assez pratique car je n’avais rien à faire pour la garder en place grâce au gousset mais bon, zéro fun pour moi surtout qu’il y’avait pas ce petit feeling quand je vois que je comble ou rends-fou le mec en réalisant son kiff.   Le pire avait été qu’il voulait cracher dans ma culotte donc je l’avais retirée et pas remise en rentrant, assez écœurant de voir son sperme séché dedans en la mettant à laver alors que je n’avais pas spécialement passé un bon moment… Mes rencontres suivantes furent de nouveau un fétichiste des pieds et un fan de gorge profonde. Le fétichiste avait la quarantaine et voulait surtout me sucer les orteils, j’avais kiffé car là encore je voyais vraiment que le mec était a fond et adorait mes pieds. J’avais aussi été très excitée qu’il ai le double de mon âge et qu"il soit pourtant a mes pieds, a me demander de lui écraser le visage avec, voir un daron passer sa langue entre mes orteils pendant qu’il se branle c’était là encore grisant. Il était tombé si bas juste pour mes pieds, si docile, esclave de ses penchants, plein de désir… Ce quarantenaire qui lèche mon talon, respire la plante de mes pieds, se branle comme un chien en rut devant moi a des amis, une famille, des collègues qui ignore tout de ses petits penchants, du dépravé qu’il est et moi, je le vois tel qu’il est ! C’était ça que j’aimais dans ces rencontres, ces plans particuliers, voir leur part d’ombre et incarner leur plaisir ! Quand je suis allée me faire baiser la bouche par ce gars de mon âge, qu’il m’a insultée de tous les noms, m’a étouffée avec son sexe, faites pleurée et bavée sur sa verge, qu’il a pu assouvir ses bas instincts dans ma gorge et bien je savais très bien que je lui offrais une prestation qu’il n’est pas prêt de réassouvir. Je lui permets de kiffer comme sa future femme ne saura pas le faire, je sais que ce mec a envie de malmener une femme avec sa bite, qu’il est excité a l’idée de lui baiser la gueule sans respect pourtant il fera le gendre idéal devant ses beaux-parents, le féministe devant sa sœur ou sa mère mais moi, je le vois, je l’expérimente, tel qu’il est vraiment …. Je me questionne dorénavant sur deux voies qui semblent se dessiner devant moi et que j’ai envie d’explorer puisqu’elles m’offrent des sensations incomparables. L’une où je domine plus ou moins les hommes comme les fétichistes ou le tripoteur de seins sur le parking jouissant de cette sensation de pouvoir que j’ai sur eux et l’une où je m’offre et m’abandonne à leurs désirs pour devenir leur chose comme notamment avec Didier ! Il n’y a plus trop d’annonces avec des demandes humbles ou légères dans ma région, beaucoup d’autres choses me tentent comme des plans a plusieurs, essayer un couple, certaines propositions avec des scénarios plus hard mais même si je me sais dorénavant plus stimulée par le vice que le physique, j’ai quand même envie de prendre mon temps et ne pas faire tout et n’importe quoi trop vite alors je prends du recul et remets les étapes supérieures a plus tard.   Mon changement d’état d’esprit sur le physique me pousse dans une nouvelle direction, il y’a une catégorie dont j’étais particulièrement friande dans le porno, un contenu sur lequel je revenais souvent et qui m’excitait d’une façon que je n’arrivais pas expliquer, un contenu vers lequel on glisse vite quand on apprécie les grosses bites … Le sexe interracial ! J’ai des heures de masturbation sur des centaines de vidéos où des noirs baisent des blanches, des jouissances avec de grosses queues noires sous les yeux, j’aime les grosses bites et pourtant je n’ai jamais essayé les Blacks ! La raison est simple, je ne les trouve pas attirants physiquement, ce n’est juste pas ma came pourtant j’aime bien leurs queues enfin justement non pas vraiment ! Disons que visuellement je les trouve souvent monstrueuses, animales et c’est ce qui m’excite quand je les vois dilater des blanches par contre je ne trouve pas qu’elles soient jolies et je suis plus excitée par les nanas qui encaissent de telles poutres que les mecs à qui elles sont rattachées… On a tous des goûts, des préférences et sans être raciste, ce n’est pas mon délire les renois, les arabes, les latinos, les asiatiques, les indiens bref je suis exclusivement attirée par les blancs ! Les stars de couleurs ne me font pas fantasmer, les renois que j’ai rencontrés je n’ai jamais eu de bon feeling et la plupart étaient de gros lourds en discothèques ou sentaient mauvais (désolée). Ayant passé un cap, accordant moins d’intérêt au physique, ayant toujours autant envie de grosses queues, d’aventure, de me challenger, de rencontres différentes, cela m’apparait comme une expérience à tenter au moins une fois et une suite logique. Des mois que je refuse les avances des noirs sur des sites de rencontres, que je ne retiens pas leurs profils, je me dis qu’il est tant d’essayer !   Le prochain chapitre leur sera dédié car j’ai été accroc à la BBC quelques mois…
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Par : le 25/05/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2016   C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle école pour refaire mon année, je vais mieux et j’ai soif d’aventures, il est temps que je profite de tout ce que la vie peut m’offrir. Les derniers mois furent salvateurs pour la jeune femme abimée que j’étais, cette rentrée est pour moi un nouveau départ mais avant de vous conter cette nouvelle et tumultueuse aventure, revenons sur ma rédemption.   J’étais suivie par un psychologue à qui j’ai pu tout dire de mon rapport aux hommes, mettre le doigt sur mon problème avec mon père, ce que son absence a créée chez moi ainsi que pointer du doigt mon envie d’autodestruction et ma culpabilité vis-à-vis de Thomas. Je travaillais avec lui sur la vision que j’avais de moi et des relations hommes/femmes, je mettais pour la première fois de ma vie des mots sur mon besoin d’affection, mon insécurité quand il s’agit de s’attacher à un homme, ma peur de l’abandon ou encore mon estime de moi et au fil des séances, je sentais que je reprenais confiance en moi. Je me confiais beaucoup à ma mère sur mon manque de confiance en moi et ma peur de l’abandon, à Clara sur mes addictions et la relation toxique que j’avais eue avec Adrien et enfin à Kévin sur ma sexualité, mes vices et mon besoin d’affection, tout ce beau-monde m’aida a affronter mes démons. Il se passa plusieurs semaines où mon quotidien se résumait à regarder des séries, à jouer aux jeux-vidéos, à faire du shopping, profiter de mes proches. La vie était agréable, sans pression, loin des cours et de cette vie solitaire que j’avais menée, je pouvais me consacrer à mon introspection et ma thérapie mais surtout à tenir mon régime et me buter à la salle de sport pour retrouver un corps dont je sois fière. La salle de sport était l’endroit où j’étais le plus vulnérable, je devais faire face à mon corps et ce qu’il fallait que je change mais j’y étais majoritairement entourée d’hommes et je sentais leur regard sur moi. J’essayais d’y aller l’après-midi pour éviter les heures où la salle est trop fréquentée, je savais que voir des beaux garçons pourraient me donner des envies que je ne pouvais m’autoriser dans mon état actuel et que me faire accoster par des mecs là-bas mettrait à l’épreuve la vision que j’ai de moi, je n’étais pas prête pour du flirt surtout que j’avais jurée de faire abstinence le temps d’aller mieux. Etonnamment l’addiction dont j’avais le plus de mal à me sevrer ce n’était pas l’alcool ou la drogue mais la masturbation et ma consommation de porno, mon psy m’avait demandée de réduire drastiquement ma fréquence de plaisir en solitaire et c’est la résolution que j’avais prise que j’avais le plus de mal à appliquer. Ayant reconnue que j’étais nymphomane et que le sexe prenait trop de place dans ma vie et dans mon rapport avec les hommes, il fallait que je m’en détache un certain moment afin de mieux appréhender pourquoi j’étais aussi accroc à la chose.  Mon psy pensait que ma surexposition au porno et l’obscénité du contenu sur lequel j’avais l’habitude de fantasmer ne pouvait qu’alimenter la faible estime que j’avais de moi et ma vision peu flatteuse du rapport homme/femme donc il me conseillait d’essayer de ne plus en regarder et de faire appel à mon imagination si je devais me toucher. Ce qu’il n’avait sûrement pas imaginé c’est qu’un tel exercice me ferait fantasmer sur lui, il était automatiquement dans ma tête au moment où je devais me retenir de céder a mes pulsions et j’avais la sensation d’être sous son contrôle à lui obéir… Je me touchais en m’imaginant le faire sur son canapé en pleine séance, j’avais envie qu’il me voit en train de me toucher comme la petite salope que je suis, qu’il me dise qu’il allait calmer mes envies avec sa propre bite … Bref, je me touchais en m’imaginant me faire sauter par mon psy dans son bureau alors on ne peut pas dire que j’arrivais à m’assagir … Les mois passèrent et ma convalescence psychique commençait à arriver à son terme, je me caressais certes moins et faisait dorénavant beaucoup plus appel à mon imagination et mes fantasmes que du porno mais j’étais par contre plus perverse que jamais … Mon envie de sexe n’avait pas diminuée, il m’arrivait de temps en temps d’aller chercher dans le coffre de ma voiture mon sextoy a ventouse pour m’empaler dessus quand mon besoin de sexe était trop intense (vivant de nouveau chez ma mère, il était essentiel que je cache mes jouets dans ma voiture pour être certaine qu’elle ne tombe pas dessus) mais ça ne remplaçait pas une vraie bite et j’étais en manque. Je reconnais que m’éloigner du porno avait en effet participer à changer ma façon de voir le sexe mais cela n’avait en rien réduit ma perversion, je me touchais moins souvent mais j’étais toujours aussi cochonne quand je le faisais, il m’est arrivée de prendre la voiture et aller me garer sur une route de campagne pour me goder librement et pouvoir jouir sans retenue hors de la demeure familiale … J’avais souvent les mêmes garçons en tête : - Mon psychologue qui abusait de son statut sur moi durant une séance ... - L'’un des coachs de la salle de sport qui fermait a clé la salle des cours de fitness pour m’arracher mon jogging et m’offrir une séance cardio des plus intenses ... - L'’un des adhérents de la salle, un chauve hyper musclé à qui j’aimais m’imaginer donner rendez-vous aux toilettes pour qu’il me démonte comme une pute ... - Le père de Clara chez qui je dormais régulièrement et que je rejoignais secrètement en pleine nuit pour un 69 sur le canapé du salon ou qui me laissait m'empaler sur sa queue dans la salle de bain pendant que sa femme et sa fille dorment ... - Kévin, mon meilleur ami qui dormait régulièrement avec moi depuis des mois, je connais sa bite, je connais son désir pour mon corps et il serait si simple quand il dort de commencer à le branler, le sucer ou me mettre nue pour venir le chevaucher … Je confesse avoir tout fait pour que Kévin craque et se permette un geste ou une parole déplacée quand nous dormions ensemble … Je faisais exprès de ne porter qu’un t-shirt sans soutif avec une culotte pour l’aguicher, le tenter mais lui qui autrefois m’avait palpé le cul dans mon sommeil sans mon autorisation n’a jamais rien fait durant cette période. Je lui ai fait part de mon manque de sexe à diverses reprises pour lui lancer des perches, je le câlinais tendrement parfois comme une petite amie quand nous dormions mais rien ne semblait motiver mon meilleur ami a raviver la flamme qui l’avait autrefois consumé ! Pourtant tout bascula lors de notre dernière nuit avant qu’il ne parte en vacances avec sa petite amie pour deux semaines et que je ne fasse ma valise pour ma rentrée … Je ressentais une certaine nostalgie à me dire que nous n’allions plus dormir ensemble avant très longtemps mais j’avais aussi beaucoup de reconnaissance pour sa présence à mes côtés lors de ces derniers mois particulièrement difficiles alors je me montra particulièrement douce et attentionnée ce soir-là. On passa une belle soirée à discuter, délirer et regarder un film puis nous nous couchâmes afin de discuter encore un peu sur l’oreiller comme nous avions l'habitude de le faire. Je lui fit part de mes craintes pour la rentrée à venir, qu’il allait me manquer et nous nous primes dans les bras, il me réconforta sur le fait que maintenant j’étais « clean », forte et que c’était derrière moi. Je le remercia pour sa présence indéfectible et son soutien durant cette période de désintox, il m’embrassa sur le front. Je lui avoua avoir besoin de tendresse et être bien dans ses bras, il me dit qu’il serait toujours là pour m’en donner. Je lui confessa avoir besoin de plus d’affection qu’il ne pouvait m’en donner et un silence s’installa. Mon cœur se mit à battre la chamade, une chaleur s’empara de moi, j’attendais sa réaction, je leva les yeux vers lui et c’est quand mes yeux plongèrent dans les siens qu’il me demanda de quelle affection j’avais besoin ? Je fus intimidée comme une vierge qui n’oserait parler de sexe pourtant c’était mon confident sexuel, celui avec qui j’en parlais ouvertement, celui que j’avais déjà sucé plus jeune, qui m’avait bouffé les seins et que j’avais branlé mais j’avais l’impression que j’allais dire quelque-chose d’honteux, tabou et risqué … « J’ai besoin de tendresse, qu’on me fasse l’amour » Je me sentis rougir, cela faisait des années que je n’avais pas été intimidée de la sorte, je baissa les yeux, trop gênée pour soutenir son regard … « Tu sais que je ne peux pas Charlotte, y’a Laura et puis t’es dans une période de ta vie où c’est compliqué de savoir si tu le veux vraiment … Je veux dire, je ne sais pas si ça serait une bonne chose pour toi.  - Je sais, je sais, je n’aurais pas dû te le dire mais j’en ai vraiment besoin et puis va bien falloir que je remonte en selle. » Je m’allonge sur son épaule et pose ma main sur son pectoral, résignée mais toujours génée. « Haha ouais c’est sûr, je ne t’imagine pas te faire nonne ! - Aucune chance ! - On rigole mais reprends quand tu te sens prête et avec la bonne personne, quelqu’un qui te respectera et ne risquera pas de réveiller de mauvais souvenirs ... - Justement, je me disais et je voulais que ça soit toi mais je comprends vis-à-vis de Laura … » Un silence s’installe, il ne réponds pas, un bref espoir jaillit en moi, je connais cet instant. « Tu sais à quel point … J’ai toujours fantasmé sur toi malgré que tu sois ma meilleure amie alors je t’assure que j’en crève d’envie mais c’est aussi parce-que je suis ton meilleur ami que je dois prendre soin de toi plutôt qu’écouter mes bas-instincts.» Je passe ma main sous son t-shirt et caresse son torse, une flamme s’embrase dans mon bas-ventre. « Si tu veux prendre soin de moi, fais-moi tendrement l’amour Kévin, j’en meurs d’envie ! Tu sais que je ne dirais rien à Laura, ça restera entre toi et moi comme toujours et je sais que tu l’auras fait pour moi … Comme j’ai pu faire le reste autrefois pour toi …  - Beaucoup trop tentant mais de toute façon je n’ai pas de capotes … - Si c’est toi pourquoi en mettre ? Je n’ai rien fait depuis mon dernier test de dépistage et puis toi t’es en couple depuis des années, que je sache tu le fais qu’avec elle, non ? » Mes yeux descendent vers son caleçon, je constate qu’il bande, je prends ça pour un signal de départ et commence à l’embrasser dans le cou alors qu’il acquiesce ne coucher qu’avec sa petite-amie, mes lèvres humides embrassent langoureusement son cou et ma langue se permets quelques léchettes, je suis en chaleur et dorénavant incapable de ralentir les évènements. « Je veux te sentir en moi, je veux que tu jouisses en moi … dis-je entre deux baisers alors que je commence à agripper son sexe. - Ok, t’as gagnée ! » Il passe au-dessus de moi, m’embrasse fougueusement, nos langues s’entrelacent pour la première fois, mon cœur fait un bond, c’est mon meilleur ami qui m’embrasse, c’est la salive de Kévin qui coule dans ma bouche, ce geste d’amour que nous partageons ne devrait pas avoir lieu avec celui que je considère comme mon meilleur pote depuis plus de 8 ans et ça m’excite terriblement. Sa main remonte mon t-shirt au-dessus de mes seins, il descend dessus et les embrasses, les caresses, les lèches, il est doux, sensuel, patient rien à voir avec la dernière fois qu’il a eu l’occasion de les voir, je fonds sous ce traitement, ma poitrine ne m’a jamais autant excitée. Sa langue se perds sur mon ventre, il titille mon nombril, joue avec mon désir pendant qu’il s’approche de ma culotte que je sais déjà bien humide, il me l’ôte soudainement et contemple mon intimité, je suis embarrassée par le fait qu’il me regarde ainsi, ses doigts écartent mes lèvres, il complimente ma chatte en même temps qu’il commence a la caresser, je deviens folle alors qu’il stimule mon clitoris, je n’ai qu’une hâte, qu’il me laboure la chatte ... Il plonge sa bouche sur mon sexe et me goûte, des baisers, des coups de langues maitrisés et diverses caresses de la main me font jouir en quelques minutes, ça faisait longtemps, c’est si bon, il me fait prendre mon pied juste avec sa bouche. Kévin se redresse le menton trempé, il vient m’embrasser, il sent la mouille, il plonge un doigt dans ma chatte si sensible après avoir joui et me roule une pelle où j’ai l’impression de me bouffer le minou au passage. Je lui demande de ralentir avec ses doigts étant trop sensible après avoir pris mon pied, il retire alors sa main de mon sexe et je l’invite à me laisser faire à mon tour, il s’installe sur le dos alors que je retire son caleçon pour m’occuper de lui. J’empoigne sa queue qui n’est plus très dure, je commence à le branler délicatement tout en lui caressant les boules, sentir sa queue durcir dans ma main est plaisant, la chaleur et la douceur d’une bite m’avaient manqué. Je découvre que sa queue est bien baveuse, visiblement il a été très excité tout ce temps et son gland est déjà bien lubrifié,. Je promène ma langue sur sa verge et ses couilles sans jamais m’approcher de son gland luisant qui suinte du pré-sperme me suppliant de le mettre à contribution, je veux qu’il crève d’envie que je le prenne en bouche et les gémissements de Monsieur comme ses gestes me font sentir qu’il est a bout. Je me redresse face a sa queue, j’hésite un instant a baver sur le sommet de son gland ou a l’essuyer d’un bref passage du pouce mais finalement je décide de le savourer tel qu’il est, baveux et généreux, plein de désir pour moi. J’offre a mon meilleur ami la meilleure pipe possible, je lui lustre le gland avec passion et tendresse, je m’applique a promener ma langue partout et a varier la cadence de mes aspirations, succions et léchettes, il se régale et me complimente pour ma technique. « C’est pour te remercier d’avoir pris soin de moi ces derniers mois ! - T’avais aucunement besoin de faire ça mais je ne vais pas m’en plaindre … -Je veux que tu sentes à quel point je t’en suis reconnaissante - Tu suces tellement bien et c’est si excitant parce-que c’est toi … - T’aimes voir ta meilleure amie avec ta queue dans la bouche ? - Ouais ça me rappelle des souvenirs et faut dire qu’elle a bien progressée ! - Heureusement que je suce mieux qu’au collège … J’en ai taillé des pipes depuis. - Tu peux me branler dans ta bouche comme tout à l’heure pendant que tu me léchais ? - Attends, j’ai encore mieux à te montrer puisque tu vantais mes progrès, tu vas m’en dire des nouvelles ! » J’empoigne alors sa queue et la glisse tout au fond de ma bouche, je décompose le mouvement avec une cadence lente et salive a volonté sur sa verge raide que je fais à chaque va et vient glisser un peu plus loin dans ma gorge. Kévin se crispe et pousse des gémissements à chaque plongée, il devient plus vulgaire dans sa façon de parler mais gémit quand je l’avale complètement, son bassin commence a remuer instinctivement et ma bouche débute alors une gorge profonde plus rapide. Mon meilleur ami se fait pomper la dard sans retenue, je lui délivre ma meilleure performance en lâchant prise et ne me considérant plus que comme une ventouse bonne a aspirer son membre, il me baise la bouche du bassin alors que je m’efforce de ne pas m’étouffer et le garder dans ma gorge, il n'a plus l'air de se soucier de mon cas et me baise la bouche comme si c'était ma chatte. Après quelques minutes, il retire ma tête subitement en me suppliant d’arrêter sinon il va cracher, je l’embrasse a mon tour baveuse et je reprends mon souffle avant d'ôter mon t-shirt pour venir le chevaucher. Je prends sa queue baveuse et raide que j’oriente vers l’entrée de mon corps, je m’assois alors délicatement sur celui qui connait tout de moi, mon confident, mon meilleur pote, mon frère pénètre alors en moi. Je m’écroule sur lui, savourant sa queue qui commence à se remuer en moi, il imprime une cadence calme et efficace, je ne dis plus rien, je gémis juste dans son cou alors que ses mains parcourent mon dos, mes hanches, mes fesses et que sa queue me laboure. Je prends mon pied, le faire avec lui est plus fort émotionnellement qu’avec mes autres partenaires, quand il empoigne mon cul pour l’écarter et me baiser plus fort c’est plus intense que dans mes souvenirs, ma chatte se liquéfie sur son membre et j’ai terriblement honte qu’il m’entende jouir ou me voit ainsi mais c’est aussi ce qui rends l’instant si puissant et déroutant. Alors que j’allais jouir de ce divin traitement, Kévin me bascule sur le dos et ralentis la cadence, me disant qu’il commençait à perdre le contrôle et que je voulais "faire l’amour", il m’embrasse alors puis reprends plus doucement sa course de face. Il décompose les mouvements me faisant ressentir l’intégralité de sa queue en moi, je la sens frotter mes parois, taper dans le fond et limer l’entrée de mon trou, il joue avec mes seins, les embrasses, les suces et je me sens si belle, féminine, sexy entre ses mains, nos corps ne font plus qu’un, nos sexes fusionnent et pour la première fois depuis des années, je fais l’amour et je n’ai pas l’impression d’être l’objet de plaisir de cet homme mais que nous sommes égaux, qu’il se dévoue a moi. Il me demande si je suis prête a conclure ? J’acquiesce alors il se couche sur moi, empoigne mes fesses par le dessous et me fourre avec vigueur, sa queue bute au fond de ma chatte, j’ai l’impression de l’avoir dans le ventre, il s’affale de tout son poids sur moi et me pine comme un lapin, il buffle virilement sous l’effort et je couine comme une chienne en chaleur les jambes en l’air subissant la fougue de ce male devenue si sauvage, un long jet chaud me parcourt soudainement, puis un second et un troisième alors qu’il reste empalé profondément en moi. Il se retire puis bascule sur le coté, il reprends sa respiration, mes seins et mon ventre sont en sueur, la chaleur et le frottement de nos corps nous ayant faits transpirer c'est comme si l'air sur ma peau me démangeait, il reprends péniblement sa respiration alors que je regarde sa queue débander, il me demande si c’était bon, je lui réponds que c’était parfait. Alors que nous reprenons nos esprits et que les remords commencent à arriver, une première coulée de sperme se fit sentir entre mes lèvres, je l'abandonna alors pour aller me vider aux WC. Dans les toilettes, je regarde ce sperme visqueux dégouliner hors de ma chatte alors que je pousse pour le faire sortir, je m’essuie avec du papier et constate qu’il s’est bien vidé les couilles, je prends conscience que ce foutre est celui de mon meilleur pote et que je viens de commettre l’irréparable. J’inspire profondément alors que je tire la chasse et retourne en direction de la chambre, nue et de nouveau mal a l’aise, je m’empresse de chercher mon t-shirt pour me couvrir, c’est là qu’il se lève et m’enlace entre ses bras, me disant qu’il est heureux d’avoir pu le faire avec moi et qu’il ne regrettera de son côté jamais ce moment qu'importe les éventuelles conséquences. Je l’en remercie et l’enlace en retour puis me rhabille avant de glisser sous la couette. Nous parlâmes de sexe un moment, de nos sentiments sur ce qu’on venait de faire puis nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre sauf que pour la première fois il s’endormit avec sa main sous mon t-shirt avec l’un de mes seins en main. Lorsque je me réveilla il était déjà sous la douche, il avait un repas de famille de prévu le midi et notre grasse matinée ne lui permettait pas de trainer, je resta un peu sur ma faim ayant secrètement espérer qu’on recommence une dernière fois avant qu’il ne parte ... Je fis ma rentrée dans une nouvelle ville quelques jours plus tard, je me créa un profil sur deux sites de rencontres étant résolue a profiter de ma jeunesse et jouir de ce physique si durement retrouvé, je me jura de ne donner que dans les coups d’un soir et ne pas m’intéresser autrement que sexuellement aux hommes que je daterais. J'aimais le sexe, le plaisir charnel et il était temps que je puisse assumer la nymphomane accroc au sexe que j'étais ayant maintenant connaissance de mes faiblesses émotionelles et mes failles mais sachant aussi a quel point je ne pouvais pas me passer de cul, je décida de devenir une salope qui s'assume et qui resterait libre comme l'air refusant d'être sous le controle d'un homme. Un choix qui me changera a tout jamais avant que l'on ne me montre où est ma place.
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Par : le 02/02/20
Un dom qui en avait une grosse et qui savait bien s'en servir. Ce n'est pas tout d'en avoir une bien grosse, encore faut il savoir chasser les femelles, les choper et les emmancher. Cela Fidel a toujours su faire. C'est le matador. Mais c'est un matador attachant qui aime vraiment les femmes, et qui aime aussi les engrosser à l'occasion. Un dom impitoyable qui aimait Robespierre, un avocat comme lui, et sa terreur. Cela aussi, il a toujours su faire, commander et se faire obéir. Un dom fidèle juste le temps que dure l'amour...c'est à dire, pas toujours très longtemps. Mais bon nombre de ses femmes lui restent fidèles et très attachées...rires. C'est en cela que l'on voit un dom qui sait y faire avec ses femelles. Ce qui me fait rire chez Fidel, c'est qu'il n'a pas besoin de baguettes, de fouets ou autres pour dominer. Sa grosse bite lui suffit. Ses larges mains en battoirs peuvent compléter. Et puis après, un bon cigare. Histoire de se détendre comme un homme. La compagnie des femelles est parfois bien casse couilles. Rires. Comme dictateur par contre, il est nul. C'est dommage qu'il ait loupé sa révolution et qu'il se soit bien rempli les poches sur le dos de son pays. Il existait dans l'antiquité un sens grec au mot dictateur qui était positif pour la cité. Mais rares ont été les doms qui ont su faire cela, diriger d'une main de fer dans l’intérêt d'un pays à un moment donné de son histoire. Le coté dom, prédateur sexuel au charisme certain de Fidel me faisait rire. Ce qu'il a fait de son pays pas du tout. Au final, je dirais qu'il n'a pas su faire l'amour à Cuba. Cette histoire montre que le bdsm n'est pas forcément des pratiques saines. Il existe aussi de dangereux psychopathes chez les doms et d'autant plus dangereux qu'ils exercent des pouvoirs sur des masses. Le Marquis de sade l'avait bien compris et c'est ce qui lui a valu autant d'années de prison. Le coté sexuel de ces choses a peu d'importance par rapport aux pyramides de pouvoir. Et pour monter dans ces pyramides, il faut le faire en marchant sur la tête des autres. Certains n'hésitent pas à aller jusqu'aux éliminations physiques. Le Marquis de Sade a bien posé le problème dans sa description des perversions.
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Par : le 05/02/17
Préambule Je déambulais, voici quelques jours dans les sous-terrains de la science. Dans cet environnement de travail, j’étais en quête, sans but précis. Un objectif: Trouver quelque chose qui inspire mon BDSM... Armoires débordantes de reliques scientifiques. L'oeil non averti ne perçoit, ici bas, qu'objets industriels. Mon regard pervers cherche et fouille de mes mains habiles ce vieux laboratoire d’expériences. Docteur hyde cherche par mes yeux, ce qui va attiser mon inspiration lubrique, doper ma perversion, ​de LA voir se plier à mes caprices. Comme cette laisse collier en cuir servant à sangler un deward d'azote liquide ou ce morceau de plexis, qui se transforma en Gode, ou encore.. Ce garde corps transformé en... et puis aussi les pinces.. et encore.. et encore.. Cherche, re-cherche.. les tiroirs s'ouvrent, se referment, mes mains fouillent, se referment, mes yeux observent et mon BDSM trouve!.. Objet, mon bel objet, vintage, mais quel age as tu? tu sembles sortir tout droit du fond des ages, quelle sorte de fonction as tu? Étiquette des années 50 "testeur Haute fréquence" ... Humm... "WARNING! L'alimentation principale de ce testeur doit être branchée sur un fusible à 2 ampères, reliez le rouge à la phase et le noir au neutre. La sonde métallique ne doit pas être touchée par l'opérateur. Indépendamment de la position de la commande du pouce. Comme un léger choc peut être expérimenté" ... Docteur Hyde frissonne. Ce peut il? Il se peut. Un objet subtil et tant mieux. Je ne sais pas, ce que c'est?.. ce que c'est.. J'entends tes cris Linsoumise, J'entends tes cris.. Humm.. Douce perversion.. Mr Hyde ton sang mêlé me donne des visions torturantes, où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de SES aveux coupables arrachés par ses douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires. L'appareil sous tension, se met a grésiller. Nikola Tesla, quel génial inventeur fais tu.. Odeur de poussière brulée... des années de tiroirs.. il est temps d'une seconde vie pour toi, Objet du vice. La recherche t'as mise au placard, je t'ai trouvé, je t'ai sauvé de la destruction.. Le curseur a moitié, j'approche la sonde métallique du bâtit de ta prison. Un immense et magnifique arc électrique se crée... ma chair se hérisse: ... incroyables appréhensions ... le champ des possibles est ouvert [...] (silence) Le curseur au minimum, j'approche à nouveau... de mon bras, je dois savoir ce que cela fait pour pouvoir Infliger... La décharge électrique se veut surprenante de part sa légende urbaine avérée. Le picotement tend les muscles locaux comme la châtaigne électrique connue sauf que l'Intensité est bien moindre même si elle court circuite les récepteurs nerveux. Douleurs vive mais continue, supportable en détendant le muscle. Première expérience: exercice difficile sous contrôle, déjà, l'angoisse est là. Un sourire pervers découvre ma canine..Imposé? impossible... ​Satisfait, rassembler les affaires pour une dimension particulière à ma prochaine séance, Sceller le tout dans une mallette sobre et énigmatique que je stocke dans mon armoire... Coup de foudre Regardons nous ! Jusqu'au fond de l'âme en ce jour de pluie, mon Insoumise, Enlaçons nous! Jusqu'au fond de l'âme et mêlons nos cœurs palpitants en face à face croisés. lions nos jambes jusqu'à nos pieds sous la couette, et chauffons de la moite chaleur irradiée par nos corps, humides entre nos cuisses.. L'âme ouverte, déversoir à envies, je sent ton appel et plonge déja dans ton corps animé. Sourde tension dans ma poitrine, et remontant de mon sexe en mutation je commence à psalmodier dans le creux de ton oreille des sévices par un flot de paroles indociles et amorales. J'arque tes courbes dans mes puissantes mains, et mes dents commencent a vouloir te posséder. ma mâchoire comprimée d'envies, prête à chopper, la bride de ma conscience tient bon.. Envie de te soumettre à la question... te soumettre à la question... ... Maître a la question!.. Inquisition. Hyde, prends sinueusement sa place et fait bouger mes lèvres pour émettre "un caverneux": "C'est dommage... j'aurais bien aimé essayer cet objet improbable dans ma mallette.. Pour cela il faudrait que je t'attache et que je te bande les yeux.. tu n'entendras alors que mon activité et fantasmeras alors ce qu'il t'arrivera.. Assurément, une expérience que tu n'as jamais vécue, tu en auras peur..." [...] (silence) M’écartant, je te laisse seule avec mes mots. J'observe dans l'intrigue. Insidieusement le méandre de mes mots d’abord tortueux prend le plus court chemin; Les questions traversent tes yeux, alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. "c'est quoi?" "tu ne saura pas" [...] (silence) "Attache moi" "bien".. (la satisfaction lèche le coin de mes lèvres) "ça fait mal?" "oui .." (la satisfaction re-lèche le coin de mes lèvres) Insoumise ne reviendra pas sur son engagement. Insoumise n'a qu'une parole. [...] (silence) Hyde jubile…”pas maintenant!” Doucement, ménage l'instant.. savoure ses angoisses son appréhension.. Lis la saveur du doute. Insoumise aussi, l’envie devient palpable, la tension en suspens resserre les atome d’air. Inhaler demande un effort, hypoxie.. Espace trop confortable. La couette vole. Laissant place à ce terrain de jeu. Tu t'es mise en attente ouverte, visuellement prête, indifférente d’un regard, à mes sévices à venir. Prête a subir, te soumettre peut être? t'abandonner c'est sûr. Tu mouilles déjà d'envie, petite salope, j’ai encore rien fait ... Ton corps dénudé appelle les caresses, mes doigts lient et lacent tes membres. Peau fraîche, la douceur de ton grain sur mes lèvres humides détache des gouttes de salives.. Les ancrages aux pieds du lit ne le quittent plus. Tu vas prendre cette croix d'offrande et me la livrer, t'eXposer à moi , je te veux vulnérable La courbure de tes formes ainsi contrainte provoque déjà mes mains indiscrètes, Fouillant ton corps, 2 ou 3 doigts de dignité plus loin, je les enfonce dans ta bouche. J’adore ce geste, comme cracher violemment dans ta bouche ouverte.. déposant la mallettes entre tes cuisses, je la déverrouille, mais ne l’ouvre pas.. J’observe… ton envie de savoir , de voir.. tu regardes puis te résigne.. Hum.. frustration. Allant lentement chercher le foulard , enlevant le contenu de tes yeux. mes yeux seuls maintenant.. voient! La boite s’ouvre et laisse apparaître cet objet du fond des âges. ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille, tes cotes, le galbe de ton sein, ton aisselle, ton bras, ton épaule , tes trapèzes et vient saisir doucement et pleinement ton cou vulnérable… ta bouche formule le plaisir en pincent ta lèvre inférieure, fragile et forte, instant qui s’étire, l’attente .. Je savoure. L'appareil sous tension, se met à grésiller. Ton visage se tourne vers ma main, ton angoisse palpable.. “c’est quoi? j’aime pas ce bruit” [...] (silence) je n’ai pas encore bougé. Je t’observe. Hyde en moi. Tu commences ton bal. “on dirait un epilateur”.. tu sourit effrontément.. Pas de poils à épiler, justes tes cils et sourcils, sous ton bandeau, protégés ... tu te moques de moi.. quelle assurance! Insoumise.. je m’approche doucement. La mise à la masse est essentielle dans cette expérience; je pose mon pied nu par terre et met toute ma cuisse en contact avec ta peau. j’avais choisi de le faire sur tes lèvres, mais les pinces étaient trop douloureuses, et puis peut être que c’est trop intense pour une entrée en matière… je me ravise et tente une approche plus éducative. “Je vais d’abord le faire sur moi...” tu accueilles mes mots.. La portée en est monstrueuse. Hyde tremble dans son sadisme, il reconnait ma perversion.. la décharge s’exprime sans même que je la ressente. mon esprit est ailleur, je t’observe.. “non! c’est électrique! je veux pas!” tu te débats.. [...] (silence) ton angoisse a pris littéralement le dessus, tu as conscience de ta vulnérabilité.. [...] (silence) j’ai conscience du caractère de la situation. Le temps se fige. il n’y a plus que toi et moi. Tout ce passe là. Ton fantasme fait gonfler ton fantasme. ta respiration change. [...] (silence) je n’ai pas bougé. tu cherches a t’écarter de moi dans un geste futile de protection. tu ne sais pas qd cela va arriver, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas, tu as peur, tu paniques, tu sais que mon envie est perverse.. Sadique! [...] (silence) L’attente, déforme tes traits insoumise.. je t’observe avoir peur sous mes yeux. je ne ferais rien qui te fera mal. Mais tu as deja mal. Tu souffres de ne pas savoir. Ma main caresse ton corps, dans un geste rassurant. Au contact, tes questions fusent.. alors mes paroles sur ce que je fais, pour que ta cessité soit comblée sont accueillies. “je vais m’approcher de toi, ne bouge pas...” l’effort que je te demande est inhumain.. j’en ai conscience.. tu t’exécutes. ton courage est incroyable. mais mon approche pas a pas, rend ta tension nerveuse difficile a supporter. Tu gémis d’appréhension, tu me sent très proche et il ne se passe rien.. tu sent que les secondes s'étirent, et que la distance diminue... Contrôle, essaie un peu? tu dois te contrôler dans ta peur en 4 dimensions.. Un coup de foudre claque sur ton sein.. La pièce s’emplit soudain de ton appréhension intense et cristalline Se figeant en un cri de douleur et de surprise. AÏE ! rugit ta gorge! Ta vague d'émotion prend dimension réelle. Le fantasme bat plein régime. “J’ai peur, j’aime pas ça, j’aime paaaaas…” Recule Hyde! Ce n'est pas ton moment ! Ne vois tu pas qu'elle a peur. Il faut l'accompagner pour aller plus loin, si elle le souhaite, pas la torturer. Je caresse ta peau. Mes mots rassurant, t’expliquant ce que je fais, mes gestes, sont décortiqués, précisément, pour que ton bandeau ne te gêne pas. je te propose de le retirer. Tu refuses. Tu te caches de quoi? derrière ce masque.. Je vais le faire sur moi en continu. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Ton inconscient imprime: mon dom n’en souffre pas je m'exécute sur ta main. Tu me laisses faire. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Tes gémissement s'étirent comme ton aversion pour l'expérience. tu ne veux pas continuer. “arrêtes” “si tu veux j'arrête” [...] (silence) Je reprends quelques impulsions, sur ton bras. Tu réagis au claquage de l’arc! pas à la douleur. c’est ton angoisse irraisonnée.. non rationnelle. Pas de marques, pas vraiment de douleur, juste cette sensation désagréable d’une impulsion électrique et du claquage de l’arc. Juste?... “je vais dire mon safeword..” je fais une pause. J’aime pas arriver à cette limite sur une première expérience. [...] (silence) “Quel plaisir as tu?” “J’aime te voir dépasser la limite qui est tienne. T’accompagner à le faire. Je maîtrise les paramètres et les curseurs de l’outil et de son application. Toi tu t’ouvres à tes émotions. On est en plein dedans, là!” [...] (silence) je t’observe réfléchir mes mains te caressent j’aime ta peau putain, j’aime ton corps ma chienne.. [...] (silence) je pose l’objet et prends le wand.. Inutile de forcer, ce doit venir de toi. L’air se met à vibrer, et je te vois te détendre. Tu mouilles instantanément.. Chienne de Parloire, tes réflexes aux stimulis sont intenses ! J’aime ça! Basses fréquences, sur ton bouton, j’observe le ressac des vagues de ton bassin. Tu ondules sur courant continu maintenant, l'électricité te dérange moins là. Mais tes pensées sont ailleurs.. “Je ne comprend pas quel envie ça te procure de m'électrocuter?” J’arrête le wand, réfléchis, à ta question. [...] (silence) “C’est un dispositif qui crée un arc électrique à haute fréquence. La différence de potentiel entre l’appareil et toi ne t'électrocutes pas, car nous jouons avec l’arc, cependant le courant se décharge en toi par dissipation. Je te l’accorde, si l’appareil était en contact avec ta peau, tu deviendrait un conducteur, et alors, tu serais électrocutée à la hauteur du curseur. On joue ici sur un fantasme urbain commun, qui est la décharge électrique. Sauf que la chaine de risque est maîtrisée. Je pilote tout l’aspect technique pour que tu n’ai à te concentrer et te consacrer qu’à ce que tu ressens. Pas d’amplifications, on est trop près de la limite. Cette expérience a l’incroyable possibilité de jouer sur une peur, avec une douleur assez faible et pas de traces. Mais je reconnais volontiers, que c’est très impressionnant, de sentir les muscles se raidir.. Maîtrisant ici ton environnement, mon envie est de te voir évoluer entre mes mains en toute confiance. De te laisser aller chercher les nouvelles limites de ton corps et/ou de ton esprit, de ta volonté, de ta résistance. Peut importe le niveau, ce qui m'intéresse c’est que tu le fasses Toi, parce que tu as confiance en moi, parce que tu veux le faire, pour mieux te connaître, pour faire reculer ton inconnu. Je pense qu’une forme de contrôle sur tes émotions va te permettre de t’isoler de ta peur, de la douleur, de l’angoisse, une sorte de bulle. J’ai envie que tu fasses de ce réflexe un stimuli que tu appelleras pour nos expériences de ce type. puis que tu relâcheras ensuite pour te laisser aller à ce que tu ressens. Tu es bien sûr libre d'arrêter. Je respecte tes choix, mon rôle et mon envie ici sont de t’accompagner et de te ramener là où tu iras…” Comment casser le verrou qui me dit: “ne vas pas plus loin elle a mal, accompagne la” pour glisser vers: “elle a mal, mais j'aime ça putain!” Mr Hyde aux portes de mes lèvres cherche à s’exprimer, mais je lui montre la voie: sa torture doit être accueillie, pas contre elle. Nous ne cherchons rien d'elle, d'autre, que le plaisir.. mes envies perverses et sadiques semblent étendues, mais dans quel but? La surenchère ne change rien au mécanisme dans lequel nous sommes. Le principe est là, l’intensité est forte, je ressens son émotion, nous avançons à deux. J’ai envie d’aller plus loin, mais pas sans toi. Mon envie principale réside dans le fait de partager avec toi. faisons un pas, et le suivant nous en ferons deux, la suite on verra..Met toi en marge, Hyde, pour l’instant je veux construire notre terrain de jeu. Ce chemin est plus important que tes expressions sadiques.. [...] (silence) Ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille... [...] (silence) ..ta taille, ton haine, ta cuisse, ton genoux, ta cheville, ton pied puis remonte.. [...] (silence) ...alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. “je veux le faire. mais j’ai peur.” je pose le wand “tu veux voir?” [...] (silence) “non, je garde le bandeau” “bien..” Je reprends position. Tu es courageuse.. tu m’impressionnes. [...] (silence) Ta respiration s’accélère, je caresse ta joue et remet ton bandeau, Il est temps Mr Hyde, d’exprimer doucement maintenant … Tu gémis et tu cries insoumise, tu dépasses ta limite. Je te regardes avec plaisir, et je fantasmes le champs des possibles.. .. où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de tes aveux coupables arrachés par tes douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires, attachée, le cœur en croix et la bouche ouverte, ma queue enfoncée, à la merci de tes dents, je te soumettrais à la question.. et tu y répondras.. Soumise.
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