La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 06/05/20
Mamoud est un précoce comme le sont où l'ont été ceux qui génèrent par leur seule présence la peur et même la terreur. On ne sait pas s'il est mongol, turc, persan ou descendant direct d'Attila, ou de la bête du Gévaudan. La seule chose que l'on sait c'est qu'à douze ans, il était déjà bien formé et à la besogne. On l'appelait le décapsuleur. Il se tapait tous les petits culs des files ou des garçons de sa classe et du bahut et personne pour broncher, tous étaient terrorisés. Heureusement qu'il se contentait des petits culs et de la sodomie sans quoi il aurait finit par engrosser toutes les filles du coin. Mamoud en a seize et demi à présent. Tout le monde sait mais personne n'ose rien dire, à cause de cette peur qui colle au ventre et tord les boyaux. Mamoud est la "bête" du quartier. Même les flics marchent à l'ombre. Il continue a décapsuler quand et comme il lui plait. Il est des gens comme cela qui inspirent la terreur noire. Il est des femmes qui pissent dans leurs culottes rien qu'en voyant Mamoud de loin. Une angoisse terrible, les force à se vider. Il ne faut surtout pas regarder Mamoud dans les yeux, cela peut le rendre fou. Une jolie petite poupée a été mutée comme chef du petit poste de police du quartier. Une qui se la pétait avec une décoration de première de sa promo. Ses collègues ne lui ont pas dit. Elle est allé se faire décapsuler dans la rue. La pauvre! Mamoud est monté comme un âne. En plus un petit cul de flikette nouvelle et bien rose. Tout le monde a cru qu'il allait l'éventrer. Ben non, Mamoud a prit son temps pour bien la décapsuler, cette petite vierge des fesses. Il a finalement prit son pied et a mit la flikette a l'amende. -ce sera tous les soirs à 18 h. et t'as intérêt à être à l'heure ou je viens te chercher dans ton poste de police ou ailleurs. Personne pour résister aux ordres de Mamoud à cause de cette trouille qui ronge le cerveau. Et tous les soirs la flikette est là, sans culotte, le cul enduit de graisse, terrorisée, ouverte, à disposition. Et tous les soirs Mamoud la décapsule et la laisse le cul bien béant. Après il va bouffer chez Irma, la restauratrice, qui doit aussi se faire décapsuler et servir de bons plats. Puis il va dormir chez Irène qui y passe à son tour. Son mari, lui dort sur le paillasson, devant la porte avec une chaine cadenassée autour du cou. La morale de cette histoire c'est que le décapsulage ça creuse.
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Par : le 05/03/19
Malheur à vous, de la race des esclaves, des soumis, des écartes cuisses si vous tombez sur Skhor, le terrible viking, seigneur et maitre des quartiers nord. Il n'a aucun état d'âme, la pitié, il lui pisse dessus. La peur c'est pour les autres. Il fait peur à tout ce qui s'approche de lui et c'est un tueur, il fait clairement comprendre qu'il dispose de ce droit et que cela ne lui pose aucun problème. Oui, il fait peur, par sa seule présence et son ombre rode dans toutes les rues des quartiers nord. La loi c'est lui et mêmes les poulailles doivent lui rendre des comptes. Une fois, une commandante juste nommée a débarqué dans le commissariat sur le territoire de skhor. Elle ne connaissait pas les règles , croyait à toutes les conneries apprises dans les écoles de la raie-publique. Skhor l'a vite chopée et l'a dépucelée du cul en pleine rue, sur le capot de sa voiture pimpante, gyrophares allumés, devant ses collègues qui n'ont pas bronché, blancs de peur. Skhor porte toujours une hache dans son dos. L'acier brille et peut facilement couper un homme en deux. Comme la commandante n'ouvrait pas assez, elle a reçu une bonne raclée bien sonore. Le sang a afflué sur ses belles fesses bien rebondies. les connes ont toujours les fesses rebondies, allez savoir pourquoi. Cool, je blague, j’écris, c'est une fiction, c'est pour rire un peu. Et chose surprenante la commandante a fini par jouir. dépucelée du cul et contrainte à de violents orgasmes le même jour. Depuis elle file droit, elle a compris qui était son seigneur et maitre. De toute façon tous les culs et chattes du quartier nord sont propriété de Skhor. Il exerce son droit quand il veut et comme il veut. Juste il aime pas se faire des mecs. Alors il a délégué. Il s'est choisi deux femmes, des guerrières complètement dingues et expertes en god ceinture enduits d'harissa, et couteau castrateur si besoin. Les mecs des quartiers nord doivent baisser la tête et éviter de regarder Skhor et ses deux dingues dans les yeux. Ceux qui ont subi le supplice du god ceinture enduit d'harissa hurlent encore. La demeure de Skhor est sur un toit d'immeuble. Tout en bois, une sorte de hutte avec des cranes à l'entrée. C'est là qu'il reçoit ses guerriers, donne ses ordres et rend la justice à sa façon. Il n'existe pas d'endroit plus paisible que les quartiers nord. Aucune femme n'est agressée ou simplement embêtée. le vol n'existe pas. les mamies ne risquent pas de se faire arracher leur sac à main. La commandante est montée en grade, elle a été félicitée par son administration pour ses excellents résultats dans un quartier difficile. Personne ne va au commissariat porter plainte. C'est plus sûr de s'adresser à un des guerriers ou guerrières de Skhor. Pas de blablas, une justice vite rendue et sans erreurs. Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que la commandante aime se rendre dans la hutte de Skhor, le soir, en uniforme pimpant. On entend des cris dans la nuit. Cela met tout le quartier nord de bonne humeur. Cela donne des envies, surtout lorsque la commandante ne retient pas ses orgasmes, libérée de tout, le lâcher prise jusqu'au bout. Skhor en a une énorme. La commandante fait bien des jalouses avec son joli cul bien rebondi. Elle est tout sourire le lendemain. Allez savoir pourquoi?
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Par : le 05/02/17
Préambule Je déambulais, voici quelques jours dans les sous-terrains de la science. Dans cet environnement de travail, j’étais en quête, sans but précis. Un objectif: Trouver quelque chose qui inspire mon BDSM... Armoires débordantes de reliques scientifiques. L'oeil non averti ne perçoit, ici bas, qu'objets industriels. Mon regard pervers cherche et fouille de mes mains habiles ce vieux laboratoire d’expériences. Docteur hyde cherche par mes yeux, ce qui va attiser mon inspiration lubrique, doper ma perversion, ​de LA voir se plier à mes caprices. Comme cette laisse collier en cuir servant à sangler un deward d'azote liquide ou ce morceau de plexis, qui se transforma en Gode, ou encore.. Ce garde corps transformé en... et puis aussi les pinces.. et encore.. et encore.. Cherche, re-cherche.. les tiroirs s'ouvrent, se referment, mes mains fouillent, se referment, mes yeux observent et mon BDSM trouve!.. Objet, mon bel objet, vintage, mais quel age as tu? tu sembles sortir tout droit du fond des ages, quelle sorte de fonction as tu? Étiquette des années 50 "testeur Haute fréquence" ... Humm... "WARNING! L'alimentation principale de ce testeur doit être branchée sur un fusible à 2 ampères, reliez le rouge à la phase et le noir au neutre. La sonde métallique ne doit pas être touchée par l'opérateur. Indépendamment de la position de la commande du pouce. Comme un léger choc peut être expérimenté" ... Docteur Hyde frissonne. Ce peut il? Il se peut. Un objet subtil et tant mieux. Je ne sais pas, ce que c'est?.. ce que c'est.. J'entends tes cris Linsoumise, J'entends tes cris.. Humm.. Douce perversion.. Mr Hyde ton sang mêlé me donne des visions torturantes, où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de SES aveux coupables arrachés par ses douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires. L'appareil sous tension, se met a grésiller. Nikola Tesla, quel génial inventeur fais tu.. Odeur de poussière brulée... des années de tiroirs.. il est temps d'une seconde vie pour toi, Objet du vice. La recherche t'as mise au placard, je t'ai trouvé, je t'ai sauvé de la destruction.. Le curseur a moitié, j'approche la sonde métallique du bâtit de ta prison. Un immense et magnifique arc électrique se crée... ma chair se hérisse: ... incroyables appréhensions ... le champ des possibles est ouvert [...] (silence) Le curseur au minimum, j'approche à nouveau... de mon bras, je dois savoir ce que cela fait pour pouvoir Infliger... La décharge électrique se veut surprenante de part sa légende urbaine avérée. Le picotement tend les muscles locaux comme la châtaigne électrique connue sauf que l'Intensité est bien moindre même si elle court circuite les récepteurs nerveux. Douleurs vive mais continue, supportable en détendant le muscle. Première expérience: exercice difficile sous contrôle, déjà, l'angoisse est là. Un sourire pervers découvre ma canine..Imposé? impossible... ​Satisfait, rassembler les affaires pour une dimension particulière à ma prochaine séance, Sceller le tout dans une mallette sobre et énigmatique que je stocke dans mon armoire... Coup de foudre Regardons nous ! Jusqu'au fond de l'âme en ce jour de pluie, mon Insoumise, Enlaçons nous! Jusqu'au fond de l'âme et mêlons nos cœurs palpitants en face à face croisés. lions nos jambes jusqu'à nos pieds sous la couette, et chauffons de la moite chaleur irradiée par nos corps, humides entre nos cuisses.. L'âme ouverte, déversoir à envies, je sent ton appel et plonge déja dans ton corps animé. Sourde tension dans ma poitrine, et remontant de mon sexe en mutation je commence à psalmodier dans le creux de ton oreille des sévices par un flot de paroles indociles et amorales. J'arque tes courbes dans mes puissantes mains, et mes dents commencent a vouloir te posséder. ma mâchoire comprimée d'envies, prête à chopper, la bride de ma conscience tient bon.. Envie de te soumettre à la question... te soumettre à la question... ... Maître a la question!.. Inquisition. Hyde, prends sinueusement sa place et fait bouger mes lèvres pour émettre "un caverneux": "C'est dommage... j'aurais bien aimé essayer cet objet improbable dans ma mallette.. Pour cela il faudrait que je t'attache et que je te bande les yeux.. tu n'entendras alors que mon activité et fantasmeras alors ce qu'il t'arrivera.. Assurément, une expérience que tu n'as jamais vécue, tu en auras peur..." [...] (silence) M’écartant, je te laisse seule avec mes mots. J'observe dans l'intrigue. Insidieusement le méandre de mes mots d’abord tortueux prend le plus court chemin; Les questions traversent tes yeux, alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. "c'est quoi?" "tu ne saura pas" [...] (silence) "Attache moi" "bien".. (la satisfaction lèche le coin de mes lèvres) "ça fait mal?" "oui .." (la satisfaction re-lèche le coin de mes lèvres) Insoumise ne reviendra pas sur son engagement. Insoumise n'a qu'une parole. [...] (silence) Hyde jubile…”pas maintenant!” Doucement, ménage l'instant.. savoure ses angoisses son appréhension.. Lis la saveur du doute. Insoumise aussi, l’envie devient palpable, la tension en suspens resserre les atome d’air. Inhaler demande un effort, hypoxie.. Espace trop confortable. La couette vole. Laissant place à ce terrain de jeu. Tu t'es mise en attente ouverte, visuellement prête, indifférente d’un regard, à mes sévices à venir. Prête a subir, te soumettre peut être? t'abandonner c'est sûr. Tu mouilles déjà d'envie, petite salope, j’ai encore rien fait ... Ton corps dénudé appelle les caresses, mes doigts lient et lacent tes membres. Peau fraîche, la douceur de ton grain sur mes lèvres humides détache des gouttes de salives.. Les ancrages aux pieds du lit ne le quittent plus. Tu vas prendre cette croix d'offrande et me la livrer, t'eXposer à moi , je te veux vulnérable La courbure de tes formes ainsi contrainte provoque déjà mes mains indiscrètes, Fouillant ton corps, 2 ou 3 doigts de dignité plus loin, je les enfonce dans ta bouche. J’adore ce geste, comme cracher violemment dans ta bouche ouverte.. déposant la mallettes entre tes cuisses, je la déverrouille, mais ne l’ouvre pas.. J’observe… ton envie de savoir , de voir.. tu regardes puis te résigne.. Hum.. frustration. Allant lentement chercher le foulard , enlevant le contenu de tes yeux. mes yeux seuls maintenant.. voient! La boite s’ouvre et laisse apparaître cet objet du fond des âges. ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille, tes cotes, le galbe de ton sein, ton aisselle, ton bras, ton épaule , tes trapèzes et vient saisir doucement et pleinement ton cou vulnérable… ta bouche formule le plaisir en pincent ta lèvre inférieure, fragile et forte, instant qui s’étire, l’attente .. Je savoure. L'appareil sous tension, se met à grésiller. Ton visage se tourne vers ma main, ton angoisse palpable.. “c’est quoi? j’aime pas ce bruit” [...] (silence) je n’ai pas encore bougé. Je t’observe. Hyde en moi. Tu commences ton bal. “on dirait un epilateur”.. tu sourit effrontément.. Pas de poils à épiler, justes tes cils et sourcils, sous ton bandeau, protégés ... tu te moques de moi.. quelle assurance! Insoumise.. je m’approche doucement. La mise à la masse est essentielle dans cette expérience; je pose mon pied nu par terre et met toute ma cuisse en contact avec ta peau. j’avais choisi de le faire sur tes lèvres, mais les pinces étaient trop douloureuses, et puis peut être que c’est trop intense pour une entrée en matière… je me ravise et tente une approche plus éducative. “Je vais d’abord le faire sur moi...” tu accueilles mes mots.. La portée en est monstrueuse. Hyde tremble dans son sadisme, il reconnait ma perversion.. la décharge s’exprime sans même que je la ressente. mon esprit est ailleur, je t’observe.. “non! c’est électrique! je veux pas!” tu te débats.. [...] (silence) ton angoisse a pris littéralement le dessus, tu as conscience de ta vulnérabilité.. [...] (silence) j’ai conscience du caractère de la situation. Le temps se fige. il n’y a plus que toi et moi. Tout ce passe là. Ton fantasme fait gonfler ton fantasme. ta respiration change. [...] (silence) je n’ai pas bougé. tu cherches a t’écarter de moi dans un geste futile de protection. tu ne sais pas qd cela va arriver, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas, tu as peur, tu paniques, tu sais que mon envie est perverse.. Sadique! [...] (silence) L’attente, déforme tes traits insoumise.. je t’observe avoir peur sous mes yeux. je ne ferais rien qui te fera mal. Mais tu as deja mal. Tu souffres de ne pas savoir. Ma main caresse ton corps, dans un geste rassurant. Au contact, tes questions fusent.. alors mes paroles sur ce que je fais, pour que ta cessité soit comblée sont accueillies. “je vais m’approcher de toi, ne bouge pas...” l’effort que je te demande est inhumain.. j’en ai conscience.. tu t’exécutes. ton courage est incroyable. mais mon approche pas a pas, rend ta tension nerveuse difficile a supporter. Tu gémis d’appréhension, tu me sent très proche et il ne se passe rien.. tu sent que les secondes s'étirent, et que la distance diminue... Contrôle, essaie un peu? tu dois te contrôler dans ta peur en 4 dimensions.. Un coup de foudre claque sur ton sein.. La pièce s’emplit soudain de ton appréhension intense et cristalline Se figeant en un cri de douleur et de surprise. AÏE ! rugit ta gorge! Ta vague d'émotion prend dimension réelle. Le fantasme bat plein régime. “J’ai peur, j’aime pas ça, j’aime paaaaas…” Recule Hyde! Ce n'est pas ton moment ! Ne vois tu pas qu'elle a peur. Il faut l'accompagner pour aller plus loin, si elle le souhaite, pas la torturer. Je caresse ta peau. Mes mots rassurant, t’expliquant ce que je fais, mes gestes, sont décortiqués, précisément, pour que ton bandeau ne te gêne pas. je te propose de le retirer. Tu refuses. Tu te caches de quoi? derrière ce masque.. Je vais le faire sur moi en continu. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Ton inconscient imprime: mon dom n’en souffre pas je m'exécute sur ta main. Tu me laisses faire. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Tes gémissement s'étirent comme ton aversion pour l'expérience. tu ne veux pas continuer. “arrêtes” “si tu veux j'arrête” [...] (silence) Je reprends quelques impulsions, sur ton bras. Tu réagis au claquage de l’arc! pas à la douleur. c’est ton angoisse irraisonnée.. non rationnelle. Pas de marques, pas vraiment de douleur, juste cette sensation désagréable d’une impulsion électrique et du claquage de l’arc. Juste?... “je vais dire mon safeword..” je fais une pause. J’aime pas arriver à cette limite sur une première expérience. [...] (silence) “Quel plaisir as tu?” “J’aime te voir dépasser la limite qui est tienne. T’accompagner à le faire. Je maîtrise les paramètres et les curseurs de l’outil et de son application. Toi tu t’ouvres à tes émotions. On est en plein dedans, là!” [...] (silence) je t’observe réfléchir mes mains te caressent j’aime ta peau putain, j’aime ton corps ma chienne.. [...] (silence) je pose l’objet et prends le wand.. Inutile de forcer, ce doit venir de toi. L’air se met à vibrer, et je te vois te détendre. Tu mouilles instantanément.. Chienne de Parloire, tes réflexes aux stimulis sont intenses ! J’aime ça! Basses fréquences, sur ton bouton, j’observe le ressac des vagues de ton bassin. Tu ondules sur courant continu maintenant, l'électricité te dérange moins là. Mais tes pensées sont ailleurs.. “Je ne comprend pas quel envie ça te procure de m'électrocuter?” J’arrête le wand, réfléchis, à ta question. [...] (silence) “C’est un dispositif qui crée un arc électrique à haute fréquence. La différence de potentiel entre l’appareil et toi ne t'électrocutes pas, car nous jouons avec l’arc, cependant le courant se décharge en toi par dissipation. Je te l’accorde, si l’appareil était en contact avec ta peau, tu deviendrait un conducteur, et alors, tu serais électrocutée à la hauteur du curseur. On joue ici sur un fantasme urbain commun, qui est la décharge électrique. Sauf que la chaine de risque est maîtrisée. Je pilote tout l’aspect technique pour que tu n’ai à te concentrer et te consacrer qu’à ce que tu ressens. Pas d’amplifications, on est trop près de la limite. Cette expérience a l’incroyable possibilité de jouer sur une peur, avec une douleur assez faible et pas de traces. Mais je reconnais volontiers, que c’est très impressionnant, de sentir les muscles se raidir.. Maîtrisant ici ton environnement, mon envie est de te voir évoluer entre mes mains en toute confiance. De te laisser aller chercher les nouvelles limites de ton corps et/ou de ton esprit, de ta volonté, de ta résistance. Peut importe le niveau, ce qui m'intéresse c’est que tu le fasses Toi, parce que tu as confiance en moi, parce que tu veux le faire, pour mieux te connaître, pour faire reculer ton inconnu. Je pense qu’une forme de contrôle sur tes émotions va te permettre de t’isoler de ta peur, de la douleur, de l’angoisse, une sorte de bulle. J’ai envie que tu fasses de ce réflexe un stimuli que tu appelleras pour nos expériences de ce type. puis que tu relâcheras ensuite pour te laisser aller à ce que tu ressens. Tu es bien sûr libre d'arrêter. Je respecte tes choix, mon rôle et mon envie ici sont de t’accompagner et de te ramener là où tu iras…” Comment casser le verrou qui me dit: “ne vas pas plus loin elle a mal, accompagne la” pour glisser vers: “elle a mal, mais j'aime ça putain!” Mr Hyde aux portes de mes lèvres cherche à s’exprimer, mais je lui montre la voie: sa torture doit être accueillie, pas contre elle. Nous ne cherchons rien d'elle, d'autre, que le plaisir.. mes envies perverses et sadiques semblent étendues, mais dans quel but? La surenchère ne change rien au mécanisme dans lequel nous sommes. Le principe est là, l’intensité est forte, je ressens son émotion, nous avançons à deux. J’ai envie d’aller plus loin, mais pas sans toi. Mon envie principale réside dans le fait de partager avec toi. faisons un pas, et le suivant nous en ferons deux, la suite on verra..Met toi en marge, Hyde, pour l’instant je veux construire notre terrain de jeu. Ce chemin est plus important que tes expressions sadiques.. [...] (silence) Ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille... [...] (silence) ..ta taille, ton haine, ta cuisse, ton genoux, ta cheville, ton pied puis remonte.. [...] (silence) ...alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. “je veux le faire. mais j’ai peur.” je pose le wand “tu veux voir?” [...] (silence) “non, je garde le bandeau” “bien..” Je reprends position. Tu es courageuse.. tu m’impressionnes. [...] (silence) Ta respiration s’accélère, je caresse ta joue et remet ton bandeau, Il est temps Mr Hyde, d’exprimer doucement maintenant … Tu gémis et tu cries insoumise, tu dépasses ta limite. Je te regardes avec plaisir, et je fantasmes le champs des possibles.. .. où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de tes aveux coupables arrachés par tes douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires, attachée, le cœur en croix et la bouche ouverte, ma queue enfoncée, à la merci de tes dents, je te soumettrais à la question.. et tu y répondras.. Soumise.
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