La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/05/23
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm Comment débuter une relation BDSM ? Vous vous sentez attiré par le BDSM, mais vous ne savez pas comment débuter une relation BDSM ? Cette page est faite pour vous ! Après avoir répondu à de nombreux lecteurs, je vais mettre ici quelques-unes des questions les plus posées et y apporter mes réponses. Si vous avez d’autres questions  venez sur le forum ou contactez-moi via ce formulaire. Je ferai souvent référence à notre jeu pour soumise, pas forcément parce que je pense que c’est la meilleure solution mais parce que les conseils que je donne je les ai intégré à notre jeu. Comment dresser une soumise ! Cette page évolue au fur et à mesure des questions. Elle peut s’appliquer quel que soit le sexe de la personne dominante et de la personne soumise. Afin d’éviter les lourdeurs dans le texte, je ne mettrai pas systématiquement toutes les versions de “le” ; “la” “soumis” dominatrice etc. Attention Les conseils prodigués ici ont pour but d’amener deux personnes consentantes à avoir une relation BDSM (ou Maître(sse) / esclave ou Dominant(e) / soumise) pour le plus grand plaisir des deux. Si votre question est “comment faire pour que ma femme soit mon esclave” mais sans s’occuper d’elle ni s’intéresser à ce qui lui plaît, vous pouvez d’ors et déjà fermer cette page. Ça doit rester ludique et amusant pour vous deux. Bon, oui, il y aura des moments un peu difficile, ça peut chauffer durement une fessée… De quoi parle-t-on exactement ? BDSM sont les initiales de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme. Il s’agit d’un ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission. C’est un jeu sexuel où chacun décide de prendre une position définie. Il y a plusieurs types de relations BDSM, en fait il y en a autant que de couples (ou de groupes…). C’est a vous de créer ce qui vous ressemble, ne vous intéressez pas à “ce qui se fait” ou “ce qui doit être fait”. On peut être masochiste ou pas, sadique ou pas, aimer l’humiliation ou pas, être libertin ou exclusif… Tout est possible. Vous pouvez tout de même jeter un œil à une référence “les 9 niveaux de soumissions dans le cadre BDSM” Comment trouver une soumise / Comment trouver un soumis ? Dans la vie de tout les jours ! Et oui, parfois on trouve juste un(e) partenaire et on se dirige lentement vers une relation dominant(e) / soumis(e). Les forums et sites dédiés au BDSM. Attention si vous allez sur des forums, ne postez PAS de petite annonce, en plus d’être parfaitement inutile c’est souvent mal pris. Ces lieux sont des communautés, vous ne pouvez pas demander quelque chose d’aussi intime à un groupe 15 minutes après vous y être inscrit. Je suis sur quelques forums / sites : Sur notre forum BDSM, ici www.bdsm.fr https://fetlife.com/ Les munchs Il s’agit de rencontres réelles de gens intéressés par le BDSM. Lors de ces réunions on discute, parfois on boit et on mange. Généralement, ces échanges se font dans des lieux tout public : il faut être habillé normalement, pas de relation sexuelle, bref comme on fait dans un bar. C’est plus rassurant pour tous, d’ailleurs ! Rien n’empêche après, si des affinités se créent, d’aller finir la soirée ailleurs. Comment trouver une Maîtresse ? Comment trouver un Maître ? (Ou un(e) dominant(e). Voir réponse ci-dessus ! J’ai trouvé un soumis / une soumise / un dominant / une dominante sur internet, et ça a l’air d’être une perle rare. Attention. C’est peut être tout à faire vrai, et la personne est peut être totalement honnête. Ou pas. Il y a beaucoup de ce qu’on appelle des “fantasmeurs”, ce sont des gens qui vont se projeter, pour un temps dans un jeu de rôle qui les excite. Cela agit pour eux comme un jeu de rôle (RolePlay BDSM). De votre côté, vous vous investissez beaucoup : soit à créer des scénarios, des ordres, établir et entretenir un lien. Soit en étant obéissant, en montrant votre dévotion. Dans les deux cas en vous rendant disponible. Sauf que, d’une part, du jour au lendemain l’autre personne peut tout plaquet. D’autre part, êtes vous certain que la personne à qui vous écrivez est celle qu’elle prétend être ? J’ai déjà un(e) partenaire, comment lui faire savoir mes penchants ? Et oui, c’est compliqué ! Peur d’être honteux, rejeté, moqué… Surtout si on est jeune et qu’on craint que ça ne se répande dans le cercle d’amis ou de connaissances. Si vous êtes dans ce dernier cas, faites très attention, car le harcèlement peut prendre des proportions énormes en un rien de temps. En cas de catastrophe ne restez pas seul(e), parlez avec un(e) ami(e) sûr(e), ou parlez en sur un forum ou ici, je ferme la parenthèse. Si vous êtes un peu anxieux(se), pour en parler à votre partenaire optez pour une solution qui ne laisse pas de trace : l’oral, des exemples sur votre téléphone ou ordinateur, mais rien d’écrits que vous envoyez. Ensuite, vous pouvez opter pour plusieurs choses :  Un SMS, si comme moi vous avez du mal à parler directement, “tu connais le BDSM ? Je découvre quelques photos que j’aime bien” et ajoutez en une ou deux pour amorcer la discussion. C’est un peu bateau mais ça peut se mêler dans la vie de tout les jours. Une lettre manuscrite ou écrite à l’ordinateur et imprimée ou envoyée par courriel. Il faut se poser et l’écrire, la relire, peut être attendre un peu… Et envoyer ! Ça permet de bien choisir ses mots et son moment. Lui parler, lui expliquer, pendant un repas, un RDV ou un apéro. Mais qu’est ce que je lui dit ? Ce que vous ressentez, pour elle / lui, ce que vous aimeriez lui faire, ou qu’elle vous fasse. Ce que vous aimeriez en plus, ce que vous avez déjà fait et que vous avez apprécié. Vous pouvez ajouter des photos et / ou vidéos, ou des liens vers des photos et vidéos qui vous plaisent. Essayez de savoir un peu ce que vous voulez avant d’aborder le sujet avec l’autre. Est-ce que la personne va refuser ou accepter ? Ça je ne peux pas le savoir. Mais honnêtement, aucune des personnes avec qui j’ai parlé est revenu me dire “bon, elle n’a pas voulu”. Et si mon (ma) conjoint(e) décide de me quitter ? Concrètement, si vous ne pouvez pas parler de sujets comme celui-ci à votre partenaire… Avez vous vraiment un partenaire ? Autant ne pas perdre de temps, si vous vous rendez compte que ça vous est “vital” et que c’est hors de question avec votre conjoint(e), l’un, l’autre, ou les deux risquez d’être malheureux et de vous abîmer. Elle semble partante pour essayer et elle voudrait en savoir plus, que faire ? Discuter, encore. Échanger vos préférences. Pourquoi ne pas lui indiquer ce site ? La personne pourra lire des questions réponses, et poser toutes celles qu’elle veut ! Je pourrais également transmettre les questions à ma soumise qui répondra directement. Mon conjoint semblait partant, mais tarde à prendre des initiatives pour me soumettre. Déjà un homme très excité (ça marche aussi pour les femmes…) aura probablement beaucoup plus tendance à se lâcher et à aller vers ce que vous souhaitez. Vous pouvez essayez de créer un scénario, même des grandes lignes, et  lui présenter afin de le réaliser. Sinon essayez de savoir ce dont vous avez envie, puis pendant une partie de jambe en l’air bien chaude, lui dire de vous fesser, de vous baiser bien fort à 4 pattes. Vous pouvez essayer de bien l’exciter : en le suçant à genoux, en écartant votre cul, votre chatte pour le mettre dans l’ambiance. Attention, si le but est d’avoir un(e) partenaire soumise, le vous déconseille de bien l’exciter pour ensuite le / la soumettre par surprise : c’est de l’abus. Comment savoir ce qu’on aime, il y a une liste ? Hé bien… Oui, j’ai une page dédiée à cette liste : Liste de préférence sexuelle (Checklist BDSM, questionnaire bdsm) je vous conseille de la remplir chacun de votre côté et de mettre en commun ensuite. Il faut clairement poser vos limites, l’un comme l’autre. Allez, on se lance ! Faut-il du matériel en particulier ? Absolument aucun. Ça viendra avec le temps ! Pour démarrer, vous avez déjà vos mains pour fesser, pourquoi pas une spatule de cuisine. A-t-on besoin de quelque chose pour se mettre à genoux ? Au gré des envies, des cadeaux, des promos, vous ferez votre stock d’accessoires et de tenues. Le but est de prendre du plaisir à deux : votre corps suffit. Je manque d’idée… Qu’est-ce que je peux faire ? C’est précisément pour cette question que je partage notre jeu : allez voir sa page ou celle de la version vanille. Il y a au total plus de 200 idées pour soumettre sa femme, ou pour se soumettre. Une version pour homme soumis devrait arriver. Mademoiselle (ou Madame, ou autre) accepte d’être ma soumise une soirée, qu’est ce que je fais ? C’est toujours compliqué de répondre à ce type de question, car elle dépend vraiment de vous, du couple que vous formez et de vos préférences. Parmi les idées que je propose, c’est à vous de créer votre projet. En revanche je vous conseille de créer un SafeWord (mot de sécurité, mot de secours, vous ci-dessous). Respectez ses limites et son consentement. Comment débuter une séance ? Il y a mille manières ! Mais si on est ensemble, je conseil de la mettre à genoux, de lui mettre un collier (voir plus bas), ou autre signe distinctif et de lui demander “qu’est ce que tu es ?”, elle répond alors “Je suis ta chienne” ou quelque chose comme ça. Plusieurs propositions sont intégrées dans les règles de notre jeu. Qu’est-ce que le SafeWord ? Il s’agit d’un ou plusieurs mot, qui, lorsqu’ils sont prononcés, font baisser l’intensité du jeu, ou arrête tout. Soit le temps de reprendre ses esprits et de ce mettre d’accord, soit complètement jusqu’à un prochain jeu. Dans notre contrat nous en avons plusieurs : « Orange » on calme un peu. « Rouge » on arrête tout et on discute. « Câlin », tu te mets contre moi et je te câline, tu me redis quand tu te sens prête à continuer. Lorsque le safeword est prononcé faites ce qui est prévu : calmez-vous ou arrêtez-vous immédiatement. Vraiment, sinon vous torpillez la confiance de votre partenaire -et à juste titre- vous ne la méritez pas. Pour les premiers jeux, évitez les baillons pour que votre partenaire puisse s’exprimer librement. Faut-il créer un scénario complet ? Vous pouvez, mais je vous conseille de faire quelque chose de vague : quelques idées notées, quelques pratiques, un déroulement schématique. Sachez inviter l’inattendu ! Sur le moment vous aurez probablement d’autres envies, d’autres idées. Vous pouvez également créer un scénario très précis et essayer de le respecter à la lettre, c’est autre chose et ça peut rassurer de savoir à l’avance ce qui est prévu. Quelque chose ne se passe pas comme prévu, je fais quoi ? Il faut savoir s’adapter : il y aura des bonnes et des mauvaises surprises. Ne vous vexez pas et avancez. Vous trouverez d’ailleurs des exemples de mes “échecs” sur ce blog, nous sommes humains et je tiens à montrer que nous ne sommes pas différents, quel que soit le côté du fouet où on est. Elle refuse un truc, je la punis ? C’est très excitant, on est bien lancé… Mais elle n’agit pas comme prévu. Clairement, surtout au début, je vous déconseille de la punir si ça ne va pas comme vous voulez, ça braquerait encore plus. Vous êtes dans la vraie vie : prenez soin l’un de l’autre. Attention à l’effet que ça peut avoir sur elle, restez bien à l’écoute. S’il s’agit d’un jeu entre vous, qu’elle vous teste, vous pouvez insistez en restant dans le cadre définit au départ. Si vous avez essayé de faire quelque chose alors qu’elle vous avait dit que c’était en dehors de ces limites, vous êtes fautif, présentez vos excuses et rassurez votre partenaire. Si vous avez juste proposé pour voir si elle pouvait aller plus loin, revenez en arrière. Mais, ma compagne n’est pas forcément prête en même temps que moi. Je suis personnellement parti du principe que le dominant serait toujours plus ou moins prêt et que c’est à la personne soumise de définir lorsqu’elle est prête. C’est pour ça que dans notre jeu, la soumise ou l’apprentie pioche deux actions par mois et les réalise quand elle veut dans le mois. Ça permet qu’elle se sente bien, prête, et qu’elle ait pu faire tout ce qui lui semble nécessaire pour le bon déroulement de l’action et du jeu. Cette article peut également aider : Je suis soumise mais je n’ai pas envie, que faire ? Est-il possible de lui imposer un moment où elle est soumise ? C’est à vous de voir. Surtout, ne vous précipitez pas. Dans une situation comme la notre, à mon avis il peut être nécessaire à un dominant de choisir un moment ou Mlle ou Mme DOIT être soumise quoi qu’elle en pense -à partir du moment où elle a accepté cette possibilité-. Dans le cadre de notre jeu, ma soumise l’est : pendant ses actions, pendant 96h à la suite une fois par an (la date est choisie ensemble), 3 fois 24h répartie dans l’année quand je veux. Je lui envoie ou lui dis simplement quelque chose du type “à partir de maintenant et pour 24h tu es ma soumise”, elle signe son contrat et débute sa période de soumission. Lorsque l’ordre est donné par SMS le contrat est signé plus tard. Un contrat est-il obligatoire ? Absolument pas. Alors pourquoi on en fait un ? Déjà, pour entrer dans le rôle, ça a un côté solennel, comme le collier. Ensuite, parce que ça peut permettre de mettre noir sur blanc les limites, les obligations, les rôles de chacun. Dans le BDSM, tout est souvent du spectacle ! Si vous en faites un, ne signez pas ce avec quoi vous ne seriez pas d’accord. Nous proposons un grand nombre de contrats BDSM ici. Comment être guidé ? Il y a plusieurs solutions, les forums, les réseaux sociaux, vous connaissez tout ça. Il y a aussi le mentorat BDSM : il s’agit de choisir un mentor, un compagnon de route a qui poser nos questions, construire avec lui le cheminement. Les personnes dominantes et les personnes soumises peuvent demander ceci, et à mon sens même si le mentor est souvent un dominant pour un autre dominant : il n’y a pas de règle. J’ai moi même conseillé plusieurs soumises, qui se posaient des questions sur le chemin que prenait leur relation. Vous pouvez me contacter via le formulaire, via instagram,  Le collier est-il obligatoire ? Ma femme refuse de porter un collier. Absolument pas. Si elle refuse, elle refuse, point. Elle trouve peut être cela trop dégradant. La situation changera sûrement si elle comprend, ou plutôt lorsque vous lui aurez montré que devenir “une chienne” ne ternit pas son image à vos yeux, mais au contraire vous rend fier. Pourquoi ne pas lui proposer de porter un joli ruban au départ ? Ou un petit bracelet, ou une petite chaîne de cou, sans connotation autre que pour vous. Ça peut être l’occasion d’un petit cadeau ! Par ailleurs certains dominants estiment que le collier doit se mériter et s’obtenir après un certain temps. Est-ce qu’on peut inverser les rôles ? Absolument ! Dans le milieu ça s’appelle “switcher”, on appelle “switch” ceux qui inversent régulièrement. Je trouve que c’est très positif : ça permet à celui / celle qui prend le rôle de dominant de se rendre compte de la responsabilité, de savoir à quoi il faut penser, de préparer des choses, de prendre soin de l’autre. Pour celui / celle qui devient soumise, ça permet de savoir la difficulté d’obéir en tout, voir de souffrir pour son / sa dominant(e). Je souhaite faire du Shibari / bondage, ligoter mon / ma partenaire ? Tant mieux ! Renseignez vous bien sur les consignes de sécurité avant de vous lancer. Vous trouverez quelques tutoriels de bondage simple ici: https://*** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) ***/tag/tutoriel Mon / Ma conjoint(e) veux me soumettre, est ce qu’il m’aime ? Je ne connais pas votre couple, je ne peux pas être catégorique. Pour savoir s’il / elle vous aime : il faut lui demander. En revanche, est-ce qu’on peut être fou amoureux de quelqu’un et vouloir la soumettre ? Oui, c’est mon cas. Est-ce pour me punir, j’ai fais quelque chose de mal ? Non. Si d’ailleurs vous devez prendre une punition violente parce que vous “avez raté quelque chose” dans la vie de tous les jours, vous êtes probablement victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. On trouve d’ailleurs souvent des soumis(e)s qui disent “fauter” exprès pour que leur dominant(e) sen occupe. Mon mari veut me faire porter un collier en public, je ne veux pas ou Mon mari veut me prêter à d’autres hommes, je ne veux pas. D’une manière générale : mon (ma) conjoint(e) veut m’imposer quelque chose que je ne veux pas. Hé bien, ne le faites pas ! Si vous pensez qu’il / elle risque de vous quitter : avez vous envie de rester avec quelqu’un qui vous dit “soit tu fais ça soit je te quitte ?” ça finirai comment ? Après, oui, ça peut demander quelques efforts. Ne faites pas ce qui n’est pas tolérable pour vous, mais si un petit effort fait de gros effets ? J’essayerai bien, mais j’ai vu des photos de choses terrifiantes. Voir réponse ci-dessus : ne faites que ce que vous voulez. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Je n’y arriverai jamais ! Les soumis(es) sur internet font des choses extraordinaires, je vais forcément être une déception. Ayez confiance en vous ! Parlez avec votre partenaire, énoncez-lui vos craintes, vos limites, vos efforts. À chaque progrès il / elle sera comblé(e), promis. De nouveau, ne faites que ce que vous voulez, et que ce que vous pouvez assumer. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Il n’a peut être pas prévu de vous percer les seins à l’agrafeuse, il veut peut être juste vous contempler à genoux avec un beau collier. Mais si je me mets à ses genoux, si je me soumets… Il ne va plus me voir que comme une chienne ?! Si c’est quelqu’un de bien dans une relation équilibrée, non. Si ce n’est pas quelqu’un de bien : il vous voit déjà comme un trou. Personnellement, plus ma soumise accepte volontairement d’être soumise, humiliée, baisée… Plus elle est grande et merveilleuse à mes yeux. Il / elle veut me rabaisser en dehors des séances de BDSM Alors ce n’est pas un jeu, vous êtes juste victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM sain, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. Personnellement, je pense que plus la soumise est forte dans tous les aspects de sa vie, plus sa soumission volontaire et joyeuse à de la valeur. Le rôle du (de la) dominant(e) est de soutenir son (sa) conjointe dans la vie de tous les jours, de le (la) rendre fort(e) et autonome. Voir cet article : BDSM sain ou violences. Que faire pour ne pas avoir de marque ? (Pour les enfants, le sport, l’été…) Privilégier les techniques qui ne laissent pas de marque : pincement de tétons et de lèvres, jeux d’humiliation, doigts dans la gorge, dilatation, déni d’orgasme… Plus les objets sont larges, moins ils marquent facilement : le paddle, la main sont donc à privilégier. Bien entendu, ne pas utiliser d’objet qui laissent des marques ou les utiliser doucement. Avec l’habitude, la peau durcit et on marque moins. Nous, nous pratiquons peu la douleur la peau est donc sensible en permanence.   Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
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Par : le 24/04/23
Azhara a lancé il y a quelques semaines une discussion sur le forum qui interrogeait la communauté : dominer est-ce manipuler ? Comme chacun sait, la domination et la soumission sont deux piliers essentiels du BDSM. Les pratiques sexuelles et érotiques consensuelles impliquent une dynamique de pouvoir, où l'un des partenaires assume le rôle de dominant et l'autre celui de soumis. Toutefois, la question de savoir si la domination implique la manipulation a donc été soulevée dans dans cette discussion du forum (dans la continuitié d'un échange sur le Mur Général). Certains membres du forum estiment que la domination peut facilement se transformer en manipulation si l'on utilise son pouvoir pour son propre bénéfice sans prendre en compte le consentement de l'autre. Pour ces personnes, la frontière entre la domination et la manipulation est mince, et il est facile de tomber dans la manipulation lorsqu'on exerce un pouvoir sur l'autre. D'autres membres, en revanche, affirment que la domination et la manipulation sont deux concepts différents. Selon eux, la domination est un échange mutuel de pouvoir et de contrôle qui est décidé à l'avance, tandis que la manipulation est l'utilisation délibérée et trompeuse de l'influence pour obtenir quelque chose de l'autre. Faut-il le rappeler, la domination dans le BDSM ne doit jamais être abusive ou violente. Elle doit être exercée de manière responsable et éthique, avec le consentement de l'autre partie. La domination peut être une pratique saine et consensuelle dans le BDSM si elle est faite dans le respect des limites et des besoins de l'autre. La communication est un élément clé dans toute relation BDSM, et la domination ne fait pas exception. Les partenaires doivent discuter de leurs limites, de leurs désirs et de leurs besoins avant de s'engager dans toute pratique BDSM. Il est également important que les partenaires comprennent clairement ce que la domination implique pour eux et comment cela peut affecter leur relation. Les membres du forum ont également souligné que la manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM. La manipulation peut être nocive et abusive, et elle n'est pas une pratique consensuelle. Dans une relation BDSM, la communication doit être claire et les partenaires doivent être respectueux les uns envers les autres. En fin de compte, la domination peut être une pratique saine et éthique dans le BDSM si elle est faite dans le respect du consentement et de la communication claire. Les partenaires doivent comprendre les limites de chacun et être conscients de leurs propres besoins et désirs. La manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM, et il est important que les partenaires soient respectueux les uns envers les autres à tout moment. Cliquez ici pour relire l'intégralité de la conversation du forum (ce résumé peut être perfectible !) et participez au débat !
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Par : le 22/04/23
Résumé : Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.    Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils. Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne. Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petite pause nettoyage dès le début de la soirée.    Située au fond d’un fin pertuis, la petite voie ne servant initialement que dans un sens s’est soudainement ouverte d’esprit. Comme quoi, tout est une question de motivation... Pour la première fois, Lucie a donc laissé Max jouer avec son anus, pour le laisser lui insérer le plug de la queue de chienne. Elle s’est aussitôt enfuie du salon en riant comme une folle et en bougeant ses fesses dans tous les sens pour aller chercher ses genouillères avant de revenir à quatre pattes avec son collier et sa laisse entre les dents. Le si beau sourire de Lucie dévoilant ses canines blanches version OralB n’a pas tardé à disparaître derrière sa cagoule de chien. La « chienne » était très en forme ce soir là, Max a eu l’impression de faire un marathon dans leur petite maison isolée située à l’orée d’un petit bois, leur terrain de jeu lorsque la météo le permet.       Après une bonne heure de jeu, Lucie ne pouvait qu’avoir envie d’être prise en levrette, ce qui n’étonnera pas le lecteur. Etre prise avec un truc dans les fesses fut aussi une grande première pour la petite chienne, elle découvrit de nouvelles sensations qu’elle apprécia tellement que les lapins du bois très inquiets se sont demandés, si un loup s’était installé dans la région.   En clair, une femme malheureuse.... ************* Par une belle journée de printemps, Max équipa Lucie de tous ses accessoires de chienne pour la sortir au bois. Prudent, dans son sac, il avait toutefois glissé une robe d’été. La petite chienne s’amusa à renifler, à faire semblant de partir en courant puis à lever la patte. Max lui rappela que ce n’est pas ainsi que les chiennes se soulagent. Elle dut donc adapter sa position et, au dernier moment, il eut la présence d’esprit de soulever la queue pour l’épargner d’un jet d’urine, la little n’y pensant pas. Si les pinsons et rouge gorges pouvaient parler, ils vous diraient qu’ils ont trouvé mignons ses tourtereaux jouant à chien chienne en chaleur aux pieds de leurs arbres. Arrivés à la maison, Lucie décida de rester dans ce rôle qui lui colle à la peau et frise parfois un réel besoin. Elle alla s’allonger dans son panier où elle se mit en boule pour une petite sieste sous les yeux attendris de son mari. Au départ, Max était un libertin. Tombé fou amoureux de Lucie dès le premier regard, il a tout arrêté, sa chérie étant un peu bloquée sur ces pratiques. L’idée de revenir à la charge lui vint à l’esprit en la regardant dormir. Si bien que le soir après le repas, il ouvre la discussion sur ce sujet entre deux mamours.    - Tu sais, il faudra bien un jour que je te fasse couvrir par un chien ! -  Heu.... Je rêve ou tu me parles de zoo là ? - Mais non banane, d’un chien humain ! Imagine-toi en tenue, à quatre pattes attachée en train d’attendre d’être saillie par un beau mâle. Nous pourrions délirer, te faire prendre et lui promettre de lui donner un des chiens de la portée. Bien entendu, je serai là et te tiendrai pour pas que tu t’échappes ou le morde. A moins que je t’attache et me contente de te regarder couiner pendant qu’il te saute. Qu’en penses-tu ? - Du libertinage quoi ? - Oui et non ! Une chienne ne choisit pas, son maître sélectionne le reproducteur. La chienne n’a qu’à se laisser couvrir. D’ailleurs, pour t’habituer à ton statut de vraie chienne, je vais t’offrir une niche que nous mettrons dans la chambre. Qu’en penses-tu ? - Tu as toujours refusé qu’on mette une niche dans la chambre ! Mais tu ne serais pas jaloux ? - Jaloux de voir ma femme prendre du plaisir et jouir ? Non pas du tout, et puis n’oublie pas que je suis libertin. *********** Revenant régulièrement sur le sujet lors de leurs jeux, Max décida un jour d’attacher la chienne puis de la laisser méditer après avoir inventé une histoire de reproducteur. Entravée à quatre pattes au bord de la table basse, lorsqu’il a éteint la lumière pour venir la sauter comme un chien, Lucie a découvert cette nuit là, le plaisir de l’abandon sexuel sous bondage. Cette idée nouvelle et lubie de son Maître de la faire sauter par un inconnu commença à faire son chemin chez Lucie. Un jour, dans son délire, après avoir attaché sa chienne, Max lui déclara qu’il y avait deux chiens. Il joua le jeu de la prendre une première fois comme dans leurs câlins habituels mais il se retira avant de jouir pour la laisser mariner et fantasmer. Il enfila des gants, un pantalon et, toujours dans le noir vint la prendre en essayant d’être différent de d’habitude. Au départ, Lucie y cru, cela ne dura pas mais elle garda en mémoire cette sensation d’être réellement plus qu’une chienne. Si l’idée de l’inconnu lui avait déplu, sa queue très active ne l’avait pas laissée de marbre, même si il ne lui avait pas fallu  beaucoup de temps pour reconnaître son mari. Les femmes sont parfois surprenantes quand elles se lâchent. Lucie finit donc par dévoiler à son mari que finalement ses idées de reproducteurs commençaient à lui plaire. Elle ajouta même que trois ou quatre seraient bien, une réponse surprenant énormément Max. - Le libertinage pour le libertinage ne m’attire pas du tout. En fait, j’aimerai bien vivre une fois l’expérience de soumise sexuelle comme sur certaines vidéos de Fessestivites. Tu sais, quand les filles attachées passent à la casserole..... Mais si j’accepte, je ne veux pas voir la tête des mecs et encore moins les sucer, ça cela t’es réservé ! Oh mon dieu, qu’est-ce que je te raconte.... - Un de tes fantasmes tout simplement ma chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir que tu te confies comme ça. *********** Le temps passa et, entre les jeux de pets-play et câlins débridés Max ne lui reparla pas de cette idée de reproducteurs. Plutôt que de la gêner avec ce sujet, il se lança dans le bricolage. Pendant tout un week-end, Lucie n’eut pas le droit de rentrer dans leur garage pour cause de préparation d’une surprise. Le soir de son anniversaire, la petite chienne se retrouva attachée comme de la charcuterie. Il lui fit un bondage de façon à lui imposer la position à quatre pattes avec les membres maintenus pliés avec du cellophane. Une fois entravée, il passa la laisse du collier sous l’un des pieds de leur lit et quitta la chambre en lui souhaitant une bonne sieste. Autant dire que Lucie tenta de s’échapper mais en vain, les mains cellophanées et les bras pliés, elle dut se résoudre à être sage. Pendant la sieste de Lucie, il installa une niche très BDSM dans leur salon. Si elle ressemblait à celle que l’on peut voir dans les jardins, cette niche avait comme particularité d’avoir une sorte de porte d’entrée ajustable avec un trou en son centre permettant d’en faire un pilori. Décorée avec goût avec son nom écrit au dessus de la porte, cette niche molletonnée fut une sacrée surprise pour Lucie lorsqu’il la délivra. Toute émue, la petite chienne libéra quelques larmes de bonheur à défaut de pouvoir sauter sur son Maître. Le cadeau surprise ne s’arrêta pas là. Après que la petite chienne se soit amusée à entrer, sortir de sa niche, il lui fit découvrir la fonction pilori dans les deux sens. Il la bloqua à l’intérieur avec juste la tête dépassant par la porte. Ni une ni deux, il ouvrit la braguette de son pantalon, se mit à genoux devant la porte pour se faire lécher par sa pets-girl devant s’appliquer dans cette fellation, sous peine de passer la nuit comme ça. La pipe étant « satisfaisante », il la fit sortir pour la bloquer dans le pilori en ne laissant dépasser que son corps. La tête bloquée à l’intérieur de la niche, la chienne se fit « couvrir » sans pouvoir voir l’extérieur de la niche. Rusé et très joueur, il utilisa le téléphone de sa femme pour faire sonner le sien. Bloqué la tête dans sa niche, Lucie l’entendit discuter avec quelqu’un sans rien voir. Elle bondit de peur quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Il caressa la belle croupe de sa femme, après avoir trempé ses mains dans l’eau froide et les avoir séchées. Elle crut que comme cadeau d’anniversaire, il avait invité un reproducteur ! Lucie était un peu furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue. La suite fut bien pire !!!!! Amoureux fou de sa soumise, Max s’était acheté dans une boutique de déguisements d’animaux un costume intégral de furry dog à poils longs. Si il n’enfila pas la cagoule de chien poilu, lorsqu’il se plaça contre les adorables petites fesses de sa chérie, les poils la traumatisèrent. « Non, il ne va pas me faire sauter par un vrai chien » se dit Lucie pour se persuader que cela ne pouvait pas lui arriver, que son mari n’était pas zoo ! ! ! Max s’amusa un instant à jouer le chien avec ses « pattes » avant et sa verge cherchant la faille du temple de la fécondité. La tête bloquée dans sa niche pilori, Lucie tétanisée finit par se rendre compte que ce n’était pas un vrai chien derrière elle mais un homme, un pets-boy. La surprise passée et rassurée, elle finit par se détendre et apprécier de se faire couvrir sans ménagement. A l’intérieur de la niche, des plaintes mélodieuses ne tardèrent pas à se faire entendre et pour cause : elle réalisait le fantasme d’être couverte par un inconnu en position de soumise sexuelle et qui plus est en chienne. Le pied ! Des « pieds » elle en eut plusieurs, traduction, la belle jouit plusieurs fois. N’étant qu’un homme, tout seul, Max ne put « copuler » ad vitam æternam. Après avoir copieusement ensemencé la chienne, il installa leur machine à baiser qui elle, est infatigable.  La machine oeuvrant ardemment dans le chaton naturellement lubrifié et agrémenté de semence bio, il put à loisir claquer le beau fessier offert à sa guise ou jouer du magic wand massager sur le clitoris de la belle hurlant son plaisir à pleins poumons dans sa niche. Jugeant que même jeune, le coeur de sa femme avait ses limites, il décida de la libérer. Lucie fondit en larmes entre les bras de son mari. Ces larmes n’étaient pas de tristesse comme vous vous en doutez mais de trop de bonheur, trop d’émotions, trop de jouissances.  Depuis cette soirée spéciale, il leur arrive de faire venir un ou deux hommes pour faire couvrir la chienne qui se fait prendre la tête enfermée dans  « sa niche ». En échange de tant de bonheur et de générosité d’âme, Lucie a décidé de faire un cadeau spécial à son Maître. Il faut que je vous raconte ! Pendant qu’il faisait sa sieste, la belle a dessiné deux flèches sur ses fesses en désignant son délicat petit orifice. Elle a également préparé un petit mot avec des coeurs dessinés sur un papier avec comme indication « dépucelle-moi en me v i o l a n t par derrière ». Elle a attaché ses jambes pliées avec du cellophane avant de bloquer sa tête dans la porte pilori de sa niche. Une fois « pilorisée » elle s’est menottée de façon à ne plus pouvoir s’échapper. Lorsque Max se leva, il dut se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Lucie lui offrait son petit cul jusqu’à présent refusé. Autant dire qu’il ne prit pas le temps de se servir un café. Fin TSM          
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 08/04/23
Bonjour à tous, Cet article et ma vision propre de ce qui est pour moi le DDLG je dirais même le DLG Daddy little girl. - DLG pourquoi tout simplement parce que je me considère plus comme Daddy que Dom le mot Dom se rapporte plus pour une soumise et Maître pour une esclave mon avis à vous de définir ces thermes. - Donc dans mon « DLG » therme qui n’existe peu être pas mais c’est comme cela que je me définis. Je n’ai pas cherché si ce therme existait mais c’est le therme que j’emploierai pour définir ma relation avec ma little. Mon but comme le disent beaucoup d’articles qui rejoint ma pensée, c’est de rentrer dans ce que j’appellerai, là aussi therme que je n’ai jamais entendu mon « Daddy/little space ». . J’entends par là notre bulle qui nous sort du monde et nous font rentrer dans le monde où je deviens le Daddy à part entière et où ma little devient la little câline pour son Daddy. C’est dans ce mode là que je prends mon plaisir et que je me sens bien, bien sûr un plaisir psychologique et non physique quoi que les gâtés de ma little son un grand plaisir psychologique et physique (je ne parle pas de sexe ou attouchement seulement de relation Daddy/little pure et simplement). Dans cette bulle mon rôle « celui que j’estime être celui du Daddy » et de m’occuper à part entière de mon être de lumière ma little. Quand je dis m’en occuper c’est de la lever le matin, lui faire son petit déjeuner qui peu être un biberon, un déjeuner dans une tasse des tartines, cela sera bien sûr à définir suivant l’âge play de celle-ci, l’aider à s’habiller, surveiller qu’elle parte dans une tenue adaptée au lieu où elle va, où nous allons, lui préparer son repas de midi son goûter, son souper et bien sûr lui donner son bain ou lui demander de le faire toujours suivant son âge play. - La mettre au lit a une heure raisonnable suivant la journée prévue le lendemain, lui donner son doudou, lui faire un bisou, lui lire une histoire et si elle le désire dormir dans mes bras. - Je demande à ma little de faire son lit, de ranger sa chambre, de m’aider à débarrasser la table ect… - En échange la little fais des gâtées à son Daddy, elle est respectueuse, remercie son Daddy, lui demande des bonbons ou autres friandises qui seront bien évidements donnés par le Daddy dans la mesure du raisonnable. - La little aura obligation d’obéir à son Daddy, là je parle pour le moment de relation pur Daddy/Little. - Bien évidemment la Little étant une enfant, il y aura forcément punition car une little testera toujours les limites et c’est là que je ferais référence au base du BDSM DDLG mon DLG et surtout a toutes relations en fait. Le Daddy choisira la punition pour sa little bien évidement mais cette punition doit impérativement rentrer dans le consentement mutuel le respect et surtout ne jamais dépasser les limites définies préalablement par les deux parties, et quand je dis les deux c’est les limites de la little et les limites du Daddy. - Maintenant que nous abordons les limites nous allons pouvoir sortir de la bulle Daddy/little space et rentrer dans des pratiques plus orientées BDSM, pratiques qui je vous le rappelle ne sont pas forcement obligatoires dans une relation DDLG et dans mon DLG. - Après discussion avec la little et si celle-ci le souhaite ou demande certaines pratiques BDSM, alors elles peuvent être mises en œuvre mais toujours en prenant en compte le consentement et les limites après il n’y a plus de loi. Chacun est libre de ses envies tant que le consentement mutuel et les limites sont respectés, dans ce cas là je dirais que pour le temps de la séance ma little devient là une soumise et du coup je prends le rôle de Dom, nous rentrons donc dans une bulle BDSM. - Bien évidement dans chaque bulle il peu y avoir sexe ou pas au bon vouloir de chacun suivant toujours les limites et consentement mutuel définis toujours à l’avance. - Un petit résumé de ma vision des choses et ma phrase qui résume le consentement mutuel et les limites : Ne fait jamais ce que je ne veux pas et je ne ferais jamais ce que tu ne veux pas. J’espère bien évidement ne choquer personne et je ne suis pas donneur de leçons, je n’en ai aucun droit ni l’ intention, je suis un simple Daddy. Je vous souhaite à tous Maître, Dom, Daddy ,Esclave, Soumise, Little un bon week-end et que chacun trouve sa place et son BDSM, DDLG propre à leur « couple ». Amicalement Halvor        
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Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 27/03/23
L’ordre venait de Madame, son doigt pointait ses bottes, plus précisément l’extrémité de cette-ci. Me voilà à quatre pattes, devant lécher et embrasser les bottes d’une inconnue, à nouveau mon entrejambe s’enflammait. Oui, Madame. Je n’entendis qu’un rire comme réponse, puis ils semblaient m’ignorer et parler d’autre sujet. Je m’évertuais à couvrir ses bottes de mes baisers, du dessus du pied, jusqu’au haut de la botte au mollet. C’était de magnifiques bottes, en véritable cuir, l’odeur de celui-ci chauffé par Madame commençait à me remplir les narines, je découvrais et aimais de plus en plus cette odeur, prenant un plaisir à inspirer fortement. Je dû me glisser sous la table pour atteindre les 2 facilement, ne laissant que mon cul offert à l’air libre. Je sentais et voyais cette chaîne pendre et devais trouver un moyen de ne pas m’y emmêler. D’un coup un piqûre et griffure de mes fesses jusqu’à mon dos, heureusement que je ne suis pas relever d’un coup sec, mais ce n’était pas loin. Bien, tu te débrouille très bien avec ta langue. Va t’occuper de celle de ton Maître. Je rougissais d’une telle remarque et me tournais pour me retrouver aux pieds de Monsieur. Ses chaussures étaient plus petites bien évidemment, mais moins pratique avec ses lacets. La chaîne passait sous mon torse et venait par moment frapper contre mes seins, elle était froide et ce contact me surprenait à chaque fois. Je m’associait de plus en plus à une chienne, aux pieds de ses Maître, juste là pour obéir et cette pensée m’excitait encore plus. Apparemment leur repas était fini, car ils jouaient plus de la fourchette sur moi que dans leurs assiettes, tout en éclatant de rire en me voyant me trémousser. La chaîne fût tirée en arrière et décrochée de mon collier, Monsieur prit la parole. Débarrasse et mange ton repas. Quand tout sera propre tu m’attendras en position en bas des escaliers. Quant à nous, nous avons quelque chose à faire. Et ils partirent à l’intérieur, m’ignorant totalement. Rapidement je ramassais les assiettes, il faudra encore que je vienne nettoyer la table. Je rentrais, mangeais et m’occupais de la vaisselle. Impossible de savoir quand Monsieur allait redescendre, mais je pense que si je ne suis pas en bas de l’escalier cela ne lui conviendra pas. La cuisine est propre, la terrasse et sa table aussi. Direction le bas de l’escalier et me mettre en position. Et l’attente, une attente qui me semble interminable, n’ayant aucun moyen de voir le temps passer. Par moment j’entends des rires et son de discussion, puis enfin des pas dans le couloir et Monsieur apparaissant en haut. Dans sa main une laisse, où allait-il m’amener ? Accrochée à mon collier il tira dessus, je me mis debout, toujours bras croisé dans le dos et nous descendons à la cave. Endroit que je n’avais visité qu’aveuglée. Nous descendons les escaliers et arrivons vers cette cellule, elle me semblait plus grande quand j’étais aveuglée. La porte s’ouvre et plutôt que de me pousser dedans, il rentre avec moi et accroche chacun de mes bracelets à un anneau dédié. Me voilà totalement vulnérable, offerte à lui. Il me prend la tête entre ses mains, m’embrasse le front et me regarde dans les yeux. Tout va bien ? Sache que tu es impressionnante. Oui Monsieur, un peu surprise de l’arrivée de Madame. Merci pour le compliment. Il sourit, m’embrasse à nouveau et sa main descend vers mon entrejambe. Je n’avais même pas cherché à me toucher depuis qu’il me l’avait installée. Il semblait satisfait et je n’avais rien sentit, si ce n’est une pression. La porte se referma, seule une lumière sur moi restait allumée et lui remontait tranquillement les marches.
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Par : le 16/03/23
Pourquoi la plupart des gens ont peur du BDSM ? Il y a plusieurs raisons pour lesquelles certaines personnes pourraient trouver le BDSM intimidant ou effrayant. L'une des principales raisons est que le BDSM implique souvent des pratiques qui sortent des normes sexuelles traditionnelles et peuvent être considérées comme taboues ou déviantes par certaines personnes. Cela peut conduire à des idées fausses sur le BDSM, telles que la croyance qu'il est toujours abusif ou non consensuel, ce qui peut contribuer à la peur ou à l'inconfort. De plus, certaines personnes peuvent avoir peur du BDSM parce qu'elles l'associent à des stéréotypes de comportement extrême ou dangereux, comme la représentation du BDSM dans les médias populaires comme violente ou pathologique. Les représentations médiatiques du BDSM ont souvent été sensationnalisées ou déformées, créant une image biaisée du BDSM. Par exemple, certains films et émissions de télévision décrivent le BDSM comme violent, abusif ou non consensuel. Ces stéréotypes peuvent être inexacts et trompeurs, mais ils peuvent tout de même contribuer à la peur ou à l'inconfort. D'autres personnes peuvent tout simplement ne pas être familières avec le BDSM et ne pas comprendre les principes de consentement éclairé, de communication et de respect mutuel qui sont au cœur de la sous-culture. Sans cette compréhension, ils peuvent considérer le BDSM comme dangereux ou nuisible, conduisant à la peur ou à l'évitement. Alors que les participants aux activités BDSM prennent justement des mesures pour atténuer ces risques, comme établir des limites claires et utiliser des mots sûrs. Il est important de noter, cependant, que le BDSM peut être un moyen sûr et consensuel pour les individus d'explorer leur sexualité et leurs désirs. De nombreuses personnes qui pratiquent le BDSM rapportent que c'est une partie positive et épanouissante de leur vie, et que cela les a aidées à développer des liens plus profonds avec leurs partenaires et à explorer de nouveaux aspects de leur sexualité. Bien que ce ne soit pas pour tout le monde, il n'y a aucune raison de craindre ou de juger ceux qui choisissent de s'y engager.   Quelle est la philosophie du BDSM? Dans les profondeurs de la psyché humaine se révèle un royaume complexe et fascinant de désir et de plaisir. Un monde où le concept de pouvoir et de soumission, de douleur et de plaisir, se fond en une philosophie de vie profondément enracinée. Mais que se cache-t-il réellement derrière les liens noir et blanc de cette pratique ? Le BDSM, abréviation pour Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme et Masochisme, est bien plus qu'une simple inclination sexuelle ou une variante de l'érotisme. C'est un réseau complexe d'émotions, de confiance, de dévouement et de découverte de soi. Chaque lettre de cet acronyme dévoile une facette de l'être humain et nous invite à plonger profondément dans les abysses de nos propres désirs. Dans le BDSM, il ne s'agit pas seulement de céder au désir de douleur ou de soumission, mais aussi d'explorer les niveaux cachés de la psyché et de comprendre les nuances de l'interaction entre domination et soumission. C'est un voyage vers la connaissance de soi, où les limites sont repoussées, les peurs surmontées et une compréhension profonde de sa propre sexualité est acquise. La philosophie du BDSM repose sur les piliers du consentement, de la communication et du respect. Chaque action se déroule dans un cadre consensuel où tant le côté dominant que le côté soumis peuvent exprimer et respecter leurs besoins et leurs limites. C'est un monde de confiance et de responsabilité où les rôles sont clairement définis et où la liberté d'être soi-même existe, sans jugement ni honte. Le BDSM est une forme d'art érotique où le corps et l'esprit fusionnent. C'est une danse entre domination et dévotion, entre douleur et plaisir, qui nous apporte une profonde satisfaction et épanouissement. C'est une rébellion contre les normes sociales et un engagement envers la liberté de notre propre épanouissement sexuel. Dans les sentiers sinueux du BDSM se trouve une forme unique d'intimité où nous pouvons nous ouvrir complètement et nous découvrir d'une manière qui dépasse les limites du quotidien. C'est un monde d'extrêmes et de douceur à la fois, où les abîmes sombres de l'âme se fondent avec les sommets lumineux du plaisir. Le BDSM est un voyage de découverte, un voyage vers les recoins les plus profonds de nos propres désirs et peurs. C'est une invitation à nous explorer nous-mêmes et à trouver notre noyau véritable. C'est une philosophie qui nous enseigne que notre nature sexuelle est diverse et que la liberté d'exprimer nos besoins est une source de force et de bonheur. Dans la philosophie du BDSM, nous découvrons un espace de liberté, de croissance et d'accomplissement de soi, où les individus peuvent explorer leurs propres désirs et limites sexuelles. C'est un lieu où ils peuvent vivre leurs fantasmes les plus profonds sans jugement ni honte, afin de développer leur identité sexuelle et mener une vie épanouissante. Dans cet espace, la liberté individuelle, la croissance personnelle et la recherche d'une expression de soi authentique sont appréciées et encouragées. Certains thèmes et principes communs incluent : Consentement : Le consentement est la pierre angulaire de la philosophie BDSM. Toutes les activités doivent être négociées et convenues à l'avance par toutes les parties concernées, et toutes les frontières ou limites doivent être respectées.   Échange de pouvoir : le BDSM implique souvent une dynamique de pouvoir, où un partenaire assume un rôle dominant et l'autre un rôle de soumission. Cet échange de pouvoir peut être vu comme une forme de jeu, une façon d'explorer ses désirs et ses limites, et une façon d'approfondir l'intimité et la confiance.   Confiance et communication : étant donné que le BDSM implique un niveau élevé de vulnérabilité et de risque, il nécessite une base solide de confiance et de communication entre les partenaires. Une communication ouverte et honnête est essentielle pour négocier les limites, s'enregistrer pendant le jeu et assurer le suivi.   Exploration et découverte de soi : le BDSM peut être un moyen d'explorer sa sexualité, ses désirs et ses limites personnelles. En repoussant les limites de manière sûre et consensuelle, les individus peuvent découvrir de nouveaux aspects d'eux-mêmes et de leur sexualité.   Respect et empathie : Malgré la dynamique de pouvoir inhérente au BDSM, tous les participants sont égaux et méritent respect et empathie. Cela comprend le respect des limites et la reconnaissance de l'importance du suivi pour favoriser le bien-être émotionnel et physique.   La philosophie du BDSM est complexe et multiforme. Il souligne également l'importance de l'exploration de soi, de l'expression de soi et de l'acceptation de ses désirs et de ses fantasmes. Il encourage les individus à explorer leur propre sexualité, leurs désirs et leurs limites dans un environnement sûr et consensuel. Il met l'accent sur l'importance de la confiance et du respect entre les partenaires. Il est important de noter que l'échange de pouvoir n'est pas nécessairement une question d'abus ou de coercition. Dans le BDSM, le pouvoir est échangé de manière consensuelle et avec l'intention d'un plaisir et d'un épanouissement mutuels. Les deux partenaires doivent se sentir en sécurité, respectés et valorisés dans leurs rôles, et doivent pouvoir communiquer ouvertement et honnêtement l'un avec l'autre.   Comment se déroule une séance BDSM ? Les séances BDSM peuvent varier considérablement en fonction des préférences et des désirs des participants impliqués, ainsi que de la nature de leur relation. Cependant, il existe certaines directives générales que de nombreux praticiens BDSM suivent pour assurer la sécurité et le plaisir pendant leurs séances. Premièrement, les participants s'engageront généralement dans des discussions et des négociations détaillées au préalable pour établir leurs frontières, leurs limites et leurs désirs. Cela peut impliquer de discuter du type de jeu qui les intéresse, des limitations physiques ou émotionnelles qu'ils peuvent avoir et des déclencheurs ou des zones sensibles qui devraient être évités. Une fois ces détails convenus, la session peut commencer. Cela peut impliquer l'utilisation de divers outils BDSM, tels que des cordes, des menottes, des pagaies ou des fouets. Le partenaire dominant prendra souvent l'initiative de diriger les activités, tandis que le partenaire soumis peut être censé suivre ses instructions et céder le contrôle. Au cours de la session, les participants peuvent s'adonner à diverses activités, telles que le bondage, la domination, la soumission, le jeu d'impact ou la privation sensorielle. Ces activités peuvent être pré-négociées ou improvisées en fonction des préférences des participants. Tout au long de la session, les deux partenaires doivent vérifier l'un avec l'autre pour s'assurer que tout le monde est à l'aise et s'amuse. Il est important de prendre des pauses au besoin et de communiquer ouvertement et honnêtement au sujet de toute préoccupation ou problème qui survient. Les participants peuvent utiliser des mots sûrs ou d'autres signaux pour indiquer quand ils se sentent dépassés ou mal à l'aise, et le jeu peut être ajusté ou arrêté si nécessaire. Une fois la session terminée, les participants peuvent s'engager dans un suivi, qui consiste de débriefer et de discuter de ce qu'ils ont ressenti à propos de l'expérience, à fournir un soutien émotionnel, des soins physiques et à se rassurer les uns les autres. Cela peut être une partie importante du processus, car cela aide à garantir que les deux partenaires se sentent en sécurité, pris en charge et respectés après s'être livrés à des jeux intenses et intimes. Cela peut aider à établir la confiance et à renforcer la relation entre les partenaires. Il est important de noter que les séances BDSM doivent toujours être consensuelles, sûres et respectueuses, et ne doivent avoir lieu qu'entre des participants informés et consentants. Les participants doivent être conscients des risques liés à certains types de jeu et doivent prendre les précautions appropriées pour assurer leur sécurité et leur bien-être.   Quels sont les avantages d'une séance BDSM ? Les sessions BDSM peuvent avoir une variété d'avantages pour ceux qui choisissent de s'y engager. Voici quelques-uns des avantages potentiels du BDSM : Amélioration de la communication : le BDSM nécessite un haut niveau de communication et de négociation, ce qui peut aider les partenaires à développer des compétences de communication plus solides dans leur relation.   Confiance accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de confiance entre les partenaires, car un partenaire peut céder le contrôle à l'autre. Cette confiance peut aider à créer un profond sentiment de connexion entre les partenaires, alors qu'ils explorent ensemble leurs désirs et leurs limites.   Sens aiguisés : les jeux sensoriels, tels que le bandage des yeux ou la privation sensorielle, peuvent augmenter l'intensité des sensations et conduire à une expérience plus agréable.   Soulagement du stress : S'engager dans des activités BDSM peut fournir une libération du stress et des tensions quotidiennes, et permettre aux participants de s'immerger complètement dans le moment.   Exploration de la sexualité : les séances BDSM peuvent fournir un espace sûr et consensuel permettant aux individus d'explorer leur sexualité, leurs fantasmes et d'essayer de nouvelles choses. Cela peut aider à élargir les horizons sexuels et à augmenter le plaisir sans crainte de jugement ou de honte.   Autonomisation : pour certaines personnes, assumer un rôle de soumission ou de domination dans le BDSM peut être un moyen de se sentir autonome et en contrôle de leur sexualité.   Créativité accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de créativité et d'imagination, car les partenaires peuvent explorer différents scénarios et rôles. Cela peut aider à stimuler l'esprit et à augmenter la créativité dans d'autres domaines de la vie.   Conscience de soi accrue : S'engager dans des activités BDSM peut aider les participants à être plus en phase avec leurs propres désirs et limites, ce qui conduit à une plus grande conscience de soi et à une plus grande confiance en soi.   Pour ceux qui aiment le BDSM, cela peut être une partie enrichissante et épanouissante de leur vie sexuelle et émotionnelle. Maître Aik 2023
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Par : le 02/03/23
Guide pour fist et fist profond (mon expérience) Bonjour à tous , Avant de commencer mon guide , quelques petites consignes de sécurité (sans vouloir jouer les rabajoies ou donneurs de leçon) , ayez toujours en mémoire que tout acte surtout dans le sexe peut être lourd de conséquence . Faites en sorte que ce moment reste un moment fort , prenez vos précautions , il existe partout en France des centres CEGIDD qui pourront vous écouter et vous accompagner pour faire que tout se passe bien , tout est gratuit . Vous pouvez aussi adhérer au groupe de Marie  (lien :)" Le sexe et les pratiques BDSM safe, on en parle? "  partagez votre vision de votre sexualité en toute sécurité . . Loin de moi l'idée de tout connaître dans la pratique du fist , mon seul objet est d'éviter les erreurs à toute personne voulant débuter ou approfondir cette pratique . Vous pouvez compléter ce guide à loisir et me faire part de vos expérience , vous messieurs et surtout j'avoue que j'aimerais beaucoup partager avec des femmes qui aiment ou aimerez s'adonner à mon sport préféré . j'utiliserais dans ce texte le mot générique fisteur et fisté mais bien entendu il n'y a pas de sexisme dans mon propos , mesdames vous avez le droit d'aimer cette pratique et n'hésitez pas à commenter (attention quand on y goûte on ne peut plus s'en passer) . Pour ceux qui pratique le fist couramment qui veulent expérimenter le fist profond , vous pouvez passer au paragraphe B . Nota : je pratique le fist depuis une vingtaine d'année le fist profond depuis 4 ans , je n'ai jamais eu besoin de chems et je suis arrivé au poppers très tardivement donc nul besoin d'être perché au contraire si vous voulez profiter pleinement mieux vaut rester conscient Je vais parler de ce que je connais le fist anal , pour le fist vaginal , je manque de ressenti et pour cause . Pour la première étape le fist anal ou vaginal je pense que les premiers paragraphes sont identique : patience , communication , propreté , lubrification . Dans les 2 types de fist , l'important c'est l'objectif donc procéder par étape pour élargir vos orifices . D'abord utiliser un gode normal de la taille d'une bite puis augmenter le diamètre petit à petit , il ne faut pas brûler les étapes au risque de vous bloquer . Pour pouvoir introduire une main cela peu prendre plusieurs années mais les sensations seront toujours au rendez-vous Ceci est un guide pour le fisting et fist profond , pour le fist profond , il faudra d'abord pouvoir mettre facilement un poing ou deux dans votre cul pour l'envisager alors sortez vos jouets et commencez à vous étirer. A- le fist anal Avant de commencer avec les détails techniques, j'ai identifié quatre aspects clés pour le fist et ensuite le fist profond. Patience, communication, propreté et lubrification (comme dans toute chose). Je rajouterai si vous n'avez pas d'avis contraire qu'un peu de poppers vous facilitera la tâche , vous en avez beaucoup , les sites comme Menstore peuvent vous aider à choisir ... Attention , si vous avez des insuffisances cardiaques ou des tendances à l'épilepsie oublié . Si vous débutez n'abusez pas là encore Menstore peut vous conseillez . Pour les dilatations les arômes à base d'amyl sont conseillés , personnellement je prends Iron Fist . Attention les premières fois il décoiffe , vous pouvez même perdre l'équilibre . Commençons par le commencement La patience, probablement l'aspect le plus important. dans le fist . Ne vous attendez pas à renter votre coude dans le cul ou le vagin de votre partenaire pendant la première nuit. Pour certains, cela prendra des années. Se précipiter causera de la douleur et gâchera l'expérience ou pire encore, pire pourra causer blessure interne (mais jamais vu jusqu'à maintenant). Je suis sûr que nous sommes tous d'accord pour dire que se présenter à l'urgence et avoir à expliquer pourquoi nous ne pouvons pas arrêter de saigner à cet endroit est quelque chose que nous voulons tous éviter. Sur cette note. Un peu de sang n'est pas rare. Tant qu'il est rouge vif, ce n'est pas un problème. En particulier , le rectum et le côlon sont remplis de petits vaisseaux sanguins qui sont facilement endommagés. C'est probablement une bonne idée de s'arrêter, mais certaines personnes continuent s'il n'y en a qu'un petit peu et que ça n'empire pas. Cependant, une couleur rouge plus foncée peut être un problème. Arrêtez-vous immédiatement et surveillez. Si le saignement ne ralentit pas, une visite chez le médecin peut être nécessaire. Alors prenez votre temps, ne vous précipitez pas et assurez-vous que toutes les personnes impliquées sont en accord et que tout se passe dans la bonne humeur. La communication est évidemment importante. Peut être que vous aimeriez bâillonner votre partenaire et lui enfoncer direct votre bras dans son cul jusqu'à l'épaule mais ce n'est peut-être pas une bonne idée. Il est très important pour le fisteur et le fisté(e)" parlent de ce qui se passe , ralentir au besoin ". Vous devez créer un environnement relaxant sans faire pression sur le fisteur / fiste . Tout type d'anxiété ou de stress provoquera le plissement ou blocage de la partie concernée . C'est pourquoi une communication calme, rassurante et informative est bonne pour tout le monde. Pour exprimer l'évidence, tout type de douleur ou d'inconfort doit être exprimé. Même du fisteur , s'il sent que le ou la fisté est très tendue et non détendue, ils doivent l'exprimer plutôt que de le garder chacun pour soi et continuer. Une communication constante et libérée est la meilleure des approches . La propreté, c'est assez explicite. Rien de plus décevant que de se mettre dans l'ambiance et avoir tout préparé et trouver votre partenaire avec les intestins encombrés (même si certains aiment) . Cela peut être dangereux également car il peut y avoir des objets abrasifs ou tranchants dans votre intestin qui pourraient rayer ou déchirer les doublures de votre côlon. Tout ce qui dépasse le rectum nécessitera une préparation appropriée qui peut prendre du temps et nécessiter de la discipline et de la patience. Un bon lavement me semble indispensable , il existe des canules longues appropriées (30 à 40cm voir plus suivant votre appétit) pour une bonne préparation au fist , il est très important de retirer tous les solides de votre côlon sigmoïde et plus loin avant tout type de fist encore plus pour les fists en profondeur. De toute évidence, une hygiène complète est requise, vous devez prendre une douche , vous lavez particulièrement bien les parties intimes les mains et les bras et vous couper soigneusement les ongles pour éviter tout inconvénient désagréable , le but premier est de prendre du plaisir . Lubrifiant, eh bien c'est une autre évidence. Ce n'est jamais trop. Vous pouvez remplir le cul de vos partenaires avec un gallon de lubrifiant si vous le souhaitez. Plus il y en a mieux c'est t! De plus, tous les bruits et les reflux de lubrifiant sont toujours très amusants. Vous avez besoin d'un lubrifiant qui dure car fister quelqu'un crée probablement le plus de friction de tout acte sexuel. J'utilise personnellement du lubrifiant que prépare moi-même à base de poudre type J-lube , vous le préparais selon votre convenance épais ou plus liquide . Personnellement je le prépare ni trop épais , ni trop liquide , un peu la consistance d'une crème épaisse pour la cuisine . C'est aussi agréable et facile à nettoyer , plus facilement avec un peu de vinaigre . D'autres préfèrent commencer avec l'huile de crisco dont je ne suis pas si fan juste parce qu'elle est plus chère , plus difficile à nettoyer et aussi incompatible avec les certains godes et préservatifs Il existe de plus en plus de lubrifiants sur le marché spécialement conçus pour le fisting anal. Je ne les connais pas très bien mais je suis sûr qu'ils seront super. Cependant, la plupart ne sont pas bon marché. Il suffit de google et vous pouvez trouver les nombreuses marques autour. Pour moi le J-lube me semble bien , efficace et pas cher et plébiscité par de nombreux fistés . J'ai aussi trouvé sur un site vétérinaire des produits adaptés par exemple Vet Gel chez Praxisdienst plus cher que la poudre mais beaucoup moins cher que les gels siliconés personnellement je le coupe avec de l'eau(produit un peu trop épais pour moi) Attention un lubrifiant peu convenir en début de séance et demander des adaptations au fur et à mesure de la progression du fist , attention aussi s'il fait très chaud , l'eau du lubrifiant aura tendance à s'évaporer N'ayez pas peur de mettre du lubrifiant le plus loin possible dans le colon, j'utilise une seringue de 60 ml que j'ai acheté en pharmacie , j'ai élargie le trou d'injection avec un tourne vis (je crois) et j'ai adapté un tuyau en prolongement . Il existe aussi des seringues sur tous les sites de sexshop (un peu plus cher et pas forcément plus pratique) Ok, maintenant nous pouvons entrer dans le vif du sujet pourrais-je dire . Attention : pour progresser dans le fist , utilisez divers objets ou godes mais prévoyez toujours un moyen pour récupérer l'objet en question , attachez une ficelle par exemple , sans cela il pourrait être difficile de récupérer votre gode une fois introduit dans le rectum , ça peut être gênant ... Donc avant le fist , il faudra détendre votre sphincter c'est la première étape à franchir pas forcément la plus facile puisque dans ce cas vous débutez donc de la patience . Le mieux , c'est d'utiliser des godes ou tout objet assimilé , procédez étape par étape en augmentant petit à petit le diamètre de l'objet à insérer (attention on ne parle pas d'aller de cm en cm plutôt de mm en mm) seul le résultat compte et lubrifiez , lubrifiez , lubrifiez ... votre cul contrairement au vagin ne produit pas de lubrifiant naturel . Moi même encore maintenant , je commence toujours une séance pour un ouverture progressive du rectum avec ce type de plug qui a l'avantage d'être progressif . Attention , je dis bien pour moi , gardez à l'esprit que nous sommes tous différents je pense pour d'autre il faudra des plug plus court mais de toute manière toujours progressif , écoutez votre corps , c'est le meilleur indicateur si vous n'êtes pas bien ralentissez ou arrêtez vous recommencerez plus tard , le temps importe peu ... Quand vous pouvez accueillir un gode de 6 cm , vous pouvez penser pouvoir insérer une main , gardez à l'esprit que le corps de chacun est différent . Je pense que toute personne peut se faire fister , s'il a suivi les étapes décrites précédemment , pour certaines personnes, cela peut être plus long que pour d'autre , surtout si le fisteur a de grosses mains . Il faut préparer le lieu du fist , lit ou sol en mettant une toile imperméable , au minimum des serviettes ou des alèses et beaucoup de sopalin , même avec un bon lavement , il peut y avoir des reflux ou au moins des débordements de lubrifiant . Mieux vaut prévoir pour éviter les désagréments . Les gants , le poppers sont sorti si nécessaire , le lubrifiant est prêt (attention au fur et à mesure de la séance tout va être enduit de lubrifiant et donc glissant) , je recommande d'enrober le flacon de lubrifiant avec du sopalin maintenu par un élastique le tout dans une boite pour éviter de renverser surtout si le lubrifiant reste ouvert . Pour débuter , je conseille au fisté de se mettre à quatre pattes , les genoux sur des coussins ou un tapis rembourré Après s'être enduit les mains de lubrifiant avoir copieusement enduit l'anus et injecter du lubrifiant à l'intérieur , le fisteur introduira un doigt dans l'anus et le fera tourner pour assouplir l'orifice . Puis viendra le deuxième doigt , toujours faire des rotations . Même procédure pour le troisième et quatrième doigt ... Suivant le degré de préparation et d'entrainement avec les godes , cette étapes peut être plus ou moins longue voir nécessité plusieurs essais sur plusieurs jours . Pour passer le gros de la main cela va être plus difficile . Faites intervenir la deuxième main , même processus 1,2,3,4 doigts . Les phalanges des 4 doigts introduits , la première mains va rejoindre la deuxième , toujours la même progression 4 doigts plus 1,2,3,4 , vous avez introduit les phalanges des 8 doigts paume de mains jointes , faites des mouvement aller et retour , n'hésitez pas à lubrifier régulièrement . Mettez vos mains en opposition , dos des mains joints les phalanges des 8 doigts introduits , faites des mouvements d'étirement en écartant les mains . Répéter l'opération plusieurs fois , mains en opposition , étirement , mains jointes , va et vient . Le fisté commence à apprécier le travail de son anus , il veut arrêter ou faire une pause , le fisté commande , le fisteur doit être à l'écoute et suit les directives du fisté . Le fisté en demande plus , à cette étape s'il ne la pas déjà fait , plusieurs inhalation de poppers peuvent aider ... C'est le moment de passer aux choses sérieuses , le passage du gros de la main !!! Utiliser plutôt la main gauche en général moins grosse . Le fisteur met sa main en cuillère , pouce à l'intérieur de la paume et va exercer une pression constante sur l'anus comme vous feriez pour entrer un gode , on relâche la pression , on rajoute du lubrifiant et on revient à la charge , à cette étape un pression constante , pas de coup de bélier . Au besoin , le fisteur peu utiliser un doigt de sa main libre , l'insérer et faire le tour de la main introduite pour progressivement élargir . Le passage des articulations des phalanges (gros de la main) est toujours l'étape difficile et ultime du fist . Petit à petit l'anus va s'ouvrir , le fisté le ressent , la main n'est pas encore passée mais le fisté sent que l'apothéose est proche . Des miroirs judicieusement peuvent permettre au fisté de suivre la progression (pour moi , c'est une vision toujours terriblement excitante et motivante pour aller plus loin) . Un dernier effort , le fisté peut lui même venir pousser sur la main pour mieux contrôler l'avancée ... Enfin l'anus rend grâce , la main est comme aspirée à l'intérieur . A ce stade , main à l'intérieur , on fait une pause relâcher la pression et laisser au fisté le temps de s'acclimater ... Quelquefois juste après l'introduction , le fisté demande à ce qu'on ressorte la main tout de suite , la pression est trop grande , ressortir toujours la main en douceur , pas de mouvement brusque , sortir la main est aussi difficile que la rentrer ... Le fisté s'est habitué à la présence de cet intrus dans son intérieur , le fisteur peut commencer à faire doucement aller sa main suivant les indications du fisté . Dans un premier temps ne pas effectuer de rotation plus stressante que les va et vient . En général , à ce stade ,il n'est pas rare que le fisté éjacule , s'il ne l'a pas fait plus tôt , la proximité de la prostate y est pour quelque chose Voilà , vous faites partie du monde des fistés mais attention cette pratique est addict et un fil des séances , vous demanderait toujours plus gros toujours plus loin , une main , deux mains , la main ... le coude ce qui fait une excellente transition pour le chapitre B B -Le fist profond (pas la profondeur du fist) Tout d'abord, je pense que l'on devrait considérer l'anatomie du corps. La progression est la suivante , le rectum, l'ampoule anale , le côlon sigmoïde (premier coude), puis on remonte à gauche du corps du fisté le colon descendant , on prend ensuite un virage à droite ( deuxième coude)chemin en travers du corps un peu en dessous des côtes le colon transverse et enfin on redescend.(troisième coude) colon ascendant . Donc les termes médicaux (ascendant, transversal et descendant). Gardez à l'esprit que le corps de chacun est différent . Pour certaines personnes, le fist profond peut être plus compliqué que pour d'autre , observez les images ci-dessous. L'image en haut à droite montre le chemin le plus facile à suivre tandis que les deux dernières sont beaucoup plus courbés, ce qui rend toute pénétration profonde plus difficile. La première image représente ce que je pense être la forme la plus courante. Un "S" pointu juste après le rectum, d'où le nom sigmoïde signifiant en forme de S. Gardez à l'esprit que tout est assez flexible, plus vous fistez et plus vous allez profondément, plus le côlon commencera à se redresser et plus le fist profond deviendra facile. Je ne saurais dire exactement mais je pense que petit à petit la partie du sigmoïde se redresse pour passer de la figure 1 à la figure 2 ou tout devient plus facile . Pour moi je pense que toute personne peut recevoir un fist profond au moins jusqu'au coude , s'il est patient et motivé et s'il suit mes recommandations . Au préalable il va falloir préparer le terrain comme avec un fist "normal" avec un gode long minimum 45cm de diamètre minimum 3cm . n'oubliez pas la sécurité toujours mettre un lien à votre gode pour pouvoir le récupérer le cas échéant . Je recommande avant tout de commencer par un lavement profond , moi j'utilise un petit tuyau souple 10mm de diamètre et 1 mètre de long que j'adapte sur une douche ou un robinet , comme je l'ai dit , il existe des canules longues appropriées (30 à 40cm voir plus suivant votre appétit) . Procédez au lavement avec de l'eau tiède cela aura pour effet de détendre votre colon sur la longueur nécessaire . Pensez ensuite à lubrifier en profondeur avec une seringue . Bien enduire le gode de lubrifiant , un petit mais long gode , j'avais essayé directement avec le gode 70x5cm (trop gourmand pour un début) , j'ai finalement progressais avec son petit frère 70x4cm mais pour vous peut être il faudra vous limiter plus 45x3cm à priori pas moins si vous voulez travailler la profondeur , l'important c'est que le gode soit bien arrondi au bout , relativement régulier sur sa longueur et très important flexible , il devra suivre le méandres de votre colon et soyez à l'écoute de votre corps , n'hésitez pas stopper , si vous ne vous sentez pas de continuer . La plupart des fisteurs / fistes parviennent à entrer dans le rectum avec leurs mains (ils ne seraient pas des fisteurs / fistés autrement). Après ce point, le plaisir commence. Pour entrer dans le côlon sigmoïde, il y a une petite ouverture un peu comme votre deuxième trou du cul (rappelez vous vos débuts de fisté pour ouvrir votre rectum) . Contrairement à votre trou du cul, ce n'est pas un muscle , simplement une partie de l'intestin qui fait le premier coude (3 au total pour le gros intestin voir au dessus) . Il peut sembler difficile à franchir , tout l'art sera de progressivement trouver l'issue très serrée mais avec un peu de pratique, de patience vous franchirez l'obstacle mais cela pourra prendre plusieurs séances , n'hésitez pas à lubrifier , faites des va et vient sans trop forcer , faites des mouvements de rotation ... Votre posture peut aussi avoir de l'importance , si vous êtes seul , vous n'avez pas beaucoup de possibilité , vous êtes debout ou allongé sur un lit (à moins d'être contorsionniste) personnellement je suis debout comme sur les vidéos postées . J'ai réussi à faire pénétrer le gode de 70x4cm au bout de trois essais , c'est la vidéo ou je suis nu . Si vous avez un partenaire , vous pouvez prendre la position qui vous va le mieux : quatre pattes , sling ... Une fois le sigmoïde passé , vous êtes déjà très profond car les 20cm à 30cm suivant ne posent pas de problème , vous êtes dans la partie droite du colon descendant . Si on compare avec un fist , vous seriez juste avant le coude Les choses se complique à nouveau à 45cm (passage du deuxième coude) pour pénétrer dans le colon transverse .Même méthode que pour le premier coude , gode pas trop gros , lubrifiant , va et vient et rotation (et un peu de poppers ...) . Vous pouvez sentir en tâtant votre ventre au dessous des cotes la progression du gode , remuer le gode pour mieux le sentir , si vous n'êtes pas trop enrobé (ce qui n'est pas mon cas) vous pouvez voir votre ventre bouger , cette vision est terriblement excitante ... Pour ma part , j'ai besoin quelquefois de pousser de l'extérieur le gode pour lui faire franchir le virage . Ensuite une fois le deuxième coude franchit la progression redevient plus facile mais vous allez peut être ressentir de la gène et un certain inconfort et le besoin d'expulser le gode rapidement , c'est normal , moi-même , malgré l'expérience ça m'arrive parfois . Parfois , je fais un blocage et je ne peux pas franchir le deuxième coude , ce n'est pas grave , les chose se passeront mieux la prochaine fois . Si vous avez franchi cette étape vous saurez la franchir encore . Pour reprendre "l'anal-ogie" avec le fist , vous avez dépassé le coude et vous êtes à mi biceps (là c'est vraiment très profond ...) Au fur et à mesure de vos séances avec vos longs godes , vous allez progresser à votre rythme et petit à petit la pénétration sera de plus en plus grosse et plus profonde . Respectez toujours les étapes de préparations , lavement , lubrification . Ma préparation de j-lube est comme je l'ai dit moyennement épaisse , je trouve quelle adhère mieux à mes godes . J'ai changé de texture au fur et à mesure de mon expérience , j'utilise maintenant des préparation plus liquide . je progresse toujours lentement . J'avale maintenant trop facilement le gode de 70x4 en entier . Le gode de 70x5 demande quelquefois un peu plus de patience , après 20cm , je force un peu pour le passage du sigmoïde , je fais quelque va-et-vient pour bien l'ouvrir . Le passage au colon transversal (deuxième coude) reste toujours plus ou moins délicat et peut réclamer un peu de temps même avec de la pratique donc calme et patience , écoutez votre corps ... Une fois les 70cm avalé , le passage est fait ensuite je peut me ramoner comme il faut ... J'ai essayé des godes plus gros 80x6.5cm , 80x7.5cm , je bloque toujours au deuxième coude , je pense que les godes ne sont plus assez flexible à ces diamètres . Rassurez-vous cela ne compromet en rien , un fist jusqu'à l'épaule , le bras du fisteur saura mieux s'adapter à votre morphologie . Avec la pratique , comme je l'ai dit en préambule , je pense que votre colon se redresse comme à la figure 2 . Je pense ne pas pour l'instant pouvoir atteindre le colon ascendant (troisième coude) peut être faudrait-il un godes de 1m et assez fin mais je n'en ai pas encore ressenti le besoin (ça viendra peut être) . Maintenant , vous accepté les longs godes sans trop de problème , vous allez pouvoir passer au chose sérieuse avec votre partenaire Donc là encore soignez la préparation , les lieux , le lubrifiant , les gants , le poppers (pour moi ça aide) . Bien lubrifier l'anus extérieur , intérieur en profondeur avec la seringue . Ne négligez pas de préparer le terrain avec votre long gode préféré ... Pour le fist profond , après s'être introduit dans le rectum de son partenaire , le fisteur doit progresser main en canard doucement et cherche l'orientation du colon pour certain le 2ième sphincter (1ère boucle) est très proche du rectum pour d'autre plus loin (pour moi je l'estime à 20cm) . Pour passer le deuxième sphincter , avec les doigts il faut chercher l'issue , appliquer doucement une pression et travailler avec un ou deux doigts jusqu'à ce qu'à sentir le passage se détendre et s'ouvrir (cette étape sera d'autant plus facile si vous avez déjà bien travaillé avec le long gode) . À ce stade, votre partenaire peut commencer à vous étirer davantage avec plus de doigts , n'oubliez pas d'utiliser beaucoup de lubrifiant! Pour arriver au point où le fisteur est capable de détendre le sigmoïde et de l'étirer de plus en plus, cela peut vous prendre confortablement des heures, voir des jours. Vous aurez peut-être besoin de quelques séances pour vous habituer au franchissement du deuxième coude avec facilité, tant pour le fisteur que pour le fisté . N'oubliez pas que la patience est la clé, forcer ou précipiter cela gâchera l'expérience et pourra blesser le fisté . Si vous n'y arrivez cette fois-ci , ça ira mieux la fois suivante , profitez déjà de l'instant présent , vous êtes avec votre partenaire qui vous travaille copieusement l'arrière train , même si vous n'avez pas franchi le sigmoïde vous avez déjà une bonne longueur dans les entrailles , la main , le poignet et même un peu plus loin , c'est top non ... Tout va bien le sigmoïde est passé , c'est donc maintenant la prochaine étape et le bon fisting profond commencent. Entrer dans le côlon sigmoïde avec votre main est une étape importante, vous serez bel et bien en route pour pénétrer votre partenaire jusqu'au coude mais pas de précipitation continuer à échanger avec votre partenaire , échangez vos ressentis , ralentissez au besoin ou stoppez si besoin , le passage du sigmoïde est très important . Au fur et à mesure de cette pratique le passage sera de plus en plus facile . La communication est essentielle à ce stade, tout comme le lubrifiant, assurez-vous d'en utiliser beaucoup. Une fois que vous êtes dans le côlon descendant, vous pouvez pousser votre main / bras de plus en plus profondément tout en le gardant relativement droit. Rappelez-vous les photos, le côlon descendant est sur le côté gauche du corps du fisté , vous devez donc avancer votre main pour suivre dans cette direction. Jusqu'au point où vous êtes juste avant le coude au fond du cul de votre partenaire . Aussi bien pour le fisteur que pour le fisté la sensation est intense , en général vous aurez atteint les limites du côlon descendant , en bougeant votre main vous pouvez voir le ventre de votre partenaire bouger , vous pouvez suivre le déplacement (toujours en douceur) de votre main à l'intérieur de votre fisté . Comme je l'ai déjà dit pour moi la vision de mon ventre qui bouge et terriblement excitante , je demande d'ailleurs à mon fisteur de pointer ses doigts vers l'extérieur pour mieux voir où il se situe . J'adore aussi les miroirs ou la projection du fist sur la télévision , pour moi la vue est essentielle pour me stimuler . Vous avez donc le bras de votre fisteur en vous juste avant le coude et c'est génial , profitez bien tous les deux , va et vient , rotation mouvement léger de la main . Alternez les bras , n'oubliez pas de lubrifier l'intérieur et les bras . Comme avec les godes vous allez peut être ressentir de la gêne , c'est peut être le moment de faire une pause ... Soufflez , détendez-vous , la séance a été intense en émotion , vous avez encore à l'esprit la vue du bras de votre partenaire en vous , whaou ... Vous êtes détendu , vous voulez aller plus loin et passer le coude , ça n'ai pas évident vous avez deux problèmes la taille du bras de votre partenaire juste avant le coude et le passage du deuxième coude . L'entrée dans le côlon transverse est délicate et vous oblige à trouver l'ouverture du côlon transverse (comme le passage du premier coude) . Pour aller plus loin, la main des fisteurs doit faire un angle à un moment donné pour suivre la forme naturelle du côlon. Comme un poignet ne peut que se plier que vers l'intérieur, il est logique que le fisteur utilise la main gauche lorsque le fiste est à quatre pattes et la main droite lorsqu'il est sur le dos. Il convient de mentionner qu'en général la position à quatre pattes est la meilleure position pour jouer en profondeur. Les organes ne pèsent pas sur le côlon , avec le cul haut et le torse incliné vers le bas ce qui laisse plus de place au bras pour glisser .Cependant la position sur le dos permet plus d'échange entre les partenaires , elle permet d'observer la montée de la jouissance chez votre partenaire au fur et à mesure de la progression de votre main , le sentiment de possession et de reconnaissance est incroyable ... A vous de trouver la position qui vous ira le mieux . Le sling si vous êtes équipé permet au fisté d'être assez détendu et à la bonne hauteur pour le fisteur assis devant le cul du fisté , n'oubliez pas que la situation peut durer assez longtemps donc soyez confortablement installé . L'inconvénient du sling , c'est qu'il bouge , ça me gêne parfois . Pour passer le coude , le fisteur peut fermer son poing , il pourra donc passer son coude sans franchir le passage dans le colon transversal . Cherchez la position la meilleur pour facilité la progression , j'ai un partenaire qui a des bras vraiment épais , nous avons trouvez la position qui lui convenez , je suis à quatre pattes , il s'assoit sur moi , se penche légèrement vers mes fesses et pousse en forçant un peu , l'angle doit être idéal . A ce stade , c'est le rectum qui se manifeste car son bras juste avant le coude est vraiment très gros ... Comme à vos début dans le fist quand vous avez pris votre première main , le bras va être aspiré et là c'est l'extase , vous y êtes vous avez accepté le coude de votre fisteur !!! Pour les gourmands comme moi qui n'en ont jamais assez , il va falloir franchir ce deuxième coude , Comme pour le premier coude , il va falloir trouver l'issue mais là la capacité de mouvement et moindre , le fisteur a déjà son bras bien engagé ... Remuer la main , faites de lent mouvement de va et vient , tournez la main , essayez de trouver l'ouverture avec un doigt ... Vous l'avez ? tourner votre doigt lentement en poussant , essayez un deuxième doigt , là tout repose sur le fisteur et son habileté à utiliser ses doigts , le fisté lui peut commenter la progression , donner son ressenti et encourager son partenaire , le féliciter quand il progresse ou demander d'arrêter si la gêne est trop forte . ça m'est arrivé plusieurs fois de renoncer pourtant le fisteur n'était pas en cause simplement je pense que les conditions n'étaient pas réunies . Finalement après plusieurs essais et tâtonnements , les tentatives sont couronnées de succès , bravo à tous les deux maintenant vous avez le bras engagé jusqu'au biceps , ça n'est pas douloureux , pour moi le seul ressenti vraiment est au niveau de l'anus , le reste est surtout dans la tête "vous avez gober le bras de votre partenaire presque jusqu'à l'épaule et en remuant les fesses vous pouvez encore gagner quelques centimètres" le fisteur peut aussi amorcer quelques lents mouvements de va et vient et accélérer ou ralentir à votre convenance jusqu'à procéder à un ramonage plus vigoureux . Au bout d'un quart d'heure ou avant suivant votre endurance , vous demanderez une pause bien normale , vous arrêterez ou vous recommencerez aussitôt ou une autre fois ce n'est pas important :"vous l'avez fait , vous avez pris un bras ..." . Vous l'avez fait donc vous pourrez le refaire . Pour moi , la première fois , j'étais au 7ième ciel enfin j'avais atteint mon objectif prendre un bras entier , mon fisteur était très doué , il m'avait bien mis en condition , caresses des tétons , branlage couilles et bites , bouffage de cul , j'étais prêt . De plus il avait des mains et des bras fins , tout était réuni . Nous avons projeté sur la télévision toute la séance ça me stimule toujours . Nous avons essayé en premier à quatre pattes , après un démarrage en douceur et une progression lente pour passer toutes les étapes , il m'a piloné vigoureusement tellement que j'ai demandé grâce au bout d'un quart d'heure . Le temps de reprendre nos esprits , nous avons essayé sur le dos , là encore il m'a enfoncé son bras au delà du coude . La position était peut être un peu plus inconfortable car il faut avoir les jambes relevées et donc être en tension mais waouh quand même . Nouvelle pause et on a remis ça , cette fois , mon partenaire était allongé sur le lit au bord , le bras tendu et j'étais debout au dessus de lui (c'est de loin la position que je préfère) . je me suis lentement empalé sur lui , je contrôlais la progression , je me tenais au mur pour ne pas perdre l'équilibre , son bras n'en finissait pas d'avancer en moi ... Génial !!! A un moment j'ai ressenti le besoin d'être plus à la verticale de son bras , j'ai donc posé un pied à coté de sa tête et j'ai continué à descendre sur son bras . Arrivé presqu'à l'épaule , il avait mes couilles sur le visage , il les a gobées re waouh , quand je vous disais qu'il était doué ... Depuis j'ai eu de nombreuses expériences plus ou moins réussi , certaines formidables , certaines moins . j'aimerai beaucoup dans le futur me faire fister par une femme étant hétéro à la base mais les femmes fisteuses ou fistées sont trop rares amis avis aux amatrices ... Je suis donc devenu bi par nécessité ce qui ne m'empêche pas d'y trouver mon plaisir mais toujours associé au fist . j'ai participé à des plans fist à trois , à quatre voir beaucoup plus ou on fiste à tout va et on se fait fister pareil , quelles nuits !!! Je prends uniquement du poppers , je pense que j'ai beaucoup progresser dès l'instant ou j'en ai pris . N'oubliez pas que quelque soit la situation ou vous êtes , gardez toujours le contrôle , dites stop si vous en ressentez le besoin , arrêtez si votre fisté le demande ... L'objet est toujours de se faire plaisir et faire plaisir à l'autre ou aux autres , la contrainte n'est pas acceptable . Protégez-vous , faites-vous dépister et prenez la PREP , respectez les règles d'hygiène , lavez-vous les mains régulièrement , désinfectez vos jouets après usage et profitez de la vie et tous ces plaisirs Je suis disponible pour faire partager mon expérience avec vous messieurs et surtout mesdames si une de vous souhaite m'essayer je serais ravi , je suis disponible pour toute proposition simple discussion ou travaux pratiques soft ou hard voir travail au godes, strapon ou fist profond . . Depuis la première édition de ce guide , je l'ai plusieurs fois remodelé en fonction de mes expériences , je m'aperçois qu'il devient un peu long . J'ai pratiqué de nombreuses fois le fist profond suivant la taille de la main ou du bras qui me pénètre , je prends jusqu'au coude et si le bras est assez fin jusqu'à l'épaule une main de femme serait l'idéal . Si vous voulez apporter des modifications ou des précisions , je vous y encourage , Chacun a vécu des expériences et des situations différentes donc tout nouvel avis est bon à prendre . J'espère que ce guide vous a donné les informations que vous recherchiez . Si vous étiez indécis sur le fist , qu'il vous aura rassuré , je vous souhaite plein de chose et éclatez-vous (sans mauvais jeu de mot)
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Par : le 01/03/23
*Arrivée en gare dans 5 minutes* Ça y est, c’est le début d’une nouvelle aventure pour moi, 1 week-end avec lui, un week-end oui mais pas habituel m’a-t-il dis. Au fait je me nomme Susie et laissez-moi vous raconter comment je suis arrivé à ce point de ma vie. Il y a plusieurs mois de cela j’ai été à un munch, un rendez-vous pour les amoureux du BDSM pour pouvoir discuter librement de tout et de rien et faire des rencontres. C’était une première pour moi, non pas le monde du BDSM mais rencontrer des pratiquants de ma région à visage découvert. Je voulais passer une étape, oser faire des choses en réel et avec quelqu’un. C’est lors de ce munch que j’ai rencontré S. un homme grand, brun de beau, yeux brun foncé. Il se présente comme étant un Maître ou Dominateur, habitant à plusieurs heure d’ici. Devant ma surprise de le voir ici, il m’explique que cela fait longtemps qu’il fait des munchs et du coup connait du monde un peu partout et c’est un moyen de les revoir. Bref le feeling est passé assez naturellement et on a commencé à bien discuter, nos vie, nos désirs et expérience, sur ce point il en avait bien plus à dire que moi. Le temps passe, et nous devons rentrer, avant de se quitter on s’échange nos numéro. Sur le trajet du retour je ne sais pas pourquoi je me sens étrange, comme si je venais de sortir d’un moment hors du temps. Parler avec un inconnu de mes envies, pratiques et expériences sexuelles et cela tout naturellement au milieu d’autres personnes, n’était pas normal pour moi. Et ce S. avait quelque chose de rassurant et attirant, et apparemment il était connu de certains présent donc il ne m’avait pas menti. Le temps passe, les messages et appels échangé aussi, on a eu quelques rencontre en chambres d’hôtels pour des jeux plus intime. Ma première impression était la bonne, un réel feeling existe entre nous, les moments intense sont entrecoupé de franche rigolade. Même attachée à sa disposition, je ressent de la bienveillance de sa part, de la douceur même quand ses mains claquent sur mon corps. Et enfin cet appel, il me demandait si je voulais venir chez lui passer des vacances inhabituelles. En lui demandant ce qu’elles auraient d’inhabituelles, je ne me doutait pas de sa réponse. D’abord surprise et presque choquée, je sentais cette envie intérieure et cette excitation monter en moi. Après quelques jours de réflexion je lui envoyait ce message « Ok pour moi » et les instructions qui m’ont amenées à cette gare ont suivies. Je ne vais pas vous dire tous les détails de ce qu’il m’a raconté, seulement que les instruction pour venir étaient clair, robe légère d’été, sans sous-vêtements, pas de valise, seul un petit sac à main pour les papiers et l’argents. Alors prêt à me suivre pour ces vacances inhabituelles ?
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Par : le 27/02/23
Aventure au Maroc. Elle s’appelle Sanna, célibataire et a 25 ans, prénom d'origine arabe. Signifie: "élévation, grandeur". Ça lui va bien. Elle est masseuse au SPA du Riad ou nous sommes descendus au Maroc à Marrakech, pour quelques jours de repos et affaire un ami et moi. Sanna est beaucoup plus grande que la moyenne de son pays (1m78), de corpulence normale pour sa taille très fine avec un petit ventre tout petit et mignon. Brune, cheveux mi- longs aux yeux noirs bien sûr, des seins opulents vraiment comme des obus, un fessier harmonieux et ferme mais moins dodu que la moyenne des marocaines, vous verrez pourquoi plus loin je le sais. C’est vraiment une belle femme intimidante. Il faut savoir que dans ce pays musulman très libéral cependant, la prostitution est interdite. Les clients pris sur le fait vont en prison direct et ça coute très cher pour un touriste bien sûr. Ce genre de pratique est donc très discret et on prend des risques des 2 cotés. La moyenne des salaires étant de 250 € par mois, la vie est dure et pour s’en sortir, ils ont plusieurs petits boulots. Je suis un cérébral, j’adore faire des scenarii pour faire monter l’adrénaline mais celui-ci n’était pas prévu. J’ai eu des massages poussés des fois déjà dans des salons mais là… Compris dans le forfait du séjour, un gommage du corps avec une autre employée, Ind, et un massage avec Sanna pour 50 €  j’en ai donc profité. Après que la première m’ait bien arraché la peau, on me met dans une alcôve ou on me sert le célèbre thé à la menthe. Après 10 minutes arrive Sanna qui vient me chercher. Une musique douce envoutante vous permet de vous mettre à l’aise. Une douche et hop, étalé sur le ventre, nu bien sûr, la tête dans un trou, les bras le long du corps, elle commence par les jambes, les pieds. Elle prend son temps. La serviette cachant le haut de mon corps se déplace en bas, elle s’attaque à mon dos et remonte vers mon cou et ma tête. Ca endort, on est ailleurs…Sanna est douce et ferme en même temps. Je ne cherchais que mon bien être. Elle masse en passant mes bras et mes mains et c’est là que le jeu commence… Je lui attrape doucement la main dans mon demi-rêve, bercé par la musique. Elle revient et je suis plus ferme en la serrant comme un enfant qui tend la main. Elle accentue le massage, le prolonge, ça dure longtemps comme quelqu’un qui se cherche, ma main alors touche son intimité qu’elle a approchée au bord de la table. Je rêve toujours. Je ne veux pas sortir de ce jeu qui commence et me plait. Elle accentue la pression sur son sexe avec sa main et relève même une jambe. La pièce étant fermée par un rideau et du monde à coté, il faut rester discret. Elle m’aide à me tourner et me fait signe un doigt sur la bouche de ne rien dire. Je lui fais comprendre que j’ai des euros. Elle cligne un œil et m’embrasse sur la joue. La suite est bien meilleure que vous pouvez penser. J’ai rarement joui aussi vite. D’ailleurs, j’y suis retourné la veille de partir. On s’est compris rapidement. Elle n’avait pas de sous-vêtements, enlevés, avant mon arrivée programmée par l’accueil. . J’ai même réussis à la faire jouir. Célibataire, apparemment ça ne lui est pas arrivé souvent. Elle me l’a confirmé. J’ai encore la marque de sa morsure sur ma main. On a eu l’occasion de discuter de façon discrète ensuite. Ce n’est pas une pute comme on pourrait penser. Je sais qu’elle a aussi pris plaisir à nos jeux. Il y avait la partie plaisir et l’échange d’argent est une reconnaissance. Bien à vous
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Par : le 20/02/23
Cette chronique en quelques épisodes a comme volonté de partager mes expériences sexuelles qui m'ont, peu à peu, entraînées dans le monde du BDSM et de la domination.    mise en contexte : né avec une malformation du penis, j'ai toujours complexé quant à sa taille. Au fil des rencontres j'ai appris à l'accepter et à développer de nouvelles manières de donner du plaisir à mes partenaires.    L'action ou vérité de la découverte  Adolescent, j'ai fait de nombreuses expériences avec d'autres garçons. Toutes étaient plus ou moins mêlées de cet aspect de domination. Mettez des jeunes hommes pas encore matures seuls dans une pièce, l'un prendra le dessus sur l'autre.  Un soir, alors qu'on était avec mes parents chez un collègue de mon père, je joue à GTA avec le fils du collègue (appelons le Yohann ) que je fréquentais souvent. Il avait toujours été un peu efféminé et ce soir là, alors qu'on est plongé dans la partie de console, il me sort une phrase qui m'interpelle comme quoi c'était dommage qu'il n'y ait pas de prostitués hommes dans le jeu.  Nous commençons à en discuter puis nous en rigolons et passons à autre chose. Plus tard dans la soirée, une action ou vérité débute et très vite ça parle de cul, quand je choisis action il me demande de lui montrer mon torse, mes fesses... et quand je dis vérité est toujours sur des pratiques soit homosexuelles soit violentes. Mes questions sont plus naïves jusqu'à ce que je lui demande s'il a déjà aimé être frappé. Il me répond "oui, une fois". Quand je choisis action à mon tours, il me demande de lui donner une claque. Je fais de même et lui prends plus de plaisir que moi à la recevoir. on commence a se déshabiller puis quand je choisis action, non sans excitation, il me dit de lui donner des claques fortes sur différentes parties de son corps. Chaque fois il gémit et cela augmente quand, caleçon baissé, le lui mets des fessées.  le jeu continue et inévitablement cela arrive à ce que l'on se suce mutuellement. Alors qu'on est en 69, je lui mets des fesses et des claques de plus en plus fortes. Il augmente le rythme de la fellation allant de plus en plus loin.  pour le finir en beauté, je le mets sur le dos et tout en le branlant, je continue de la claquer, cette fois sur les testicules, sans attendre sa demande. Je frappe aussi ses cuisses et son ventre qui rougissent à vue d'œil alors même qu'il étouffe ses cris dans son oreiller.  l'ejaculation ne tarde pas et, comme récompense, je récupère son précieux liquide et lui fait avaler en enfonçant mes doigts bien profond dans la gorge avant de l'embrasser goulûment.  cela ne lui suffit pas et il veut que j'ejacule mais mon plaisir est déjà pris et le frustrer après un si bon moment était un régal...
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Par : le 15/02/23
Dans l'univers BDSM, la notion d'abnégation est souvent rapportée, comme une configuation extrème et idôlatrée d'une relation SM. De nombreux philosophes et écrivains se sont intéressés à ce sujet. Tel, Gilles Deleuze ou Pablo Neruda. “Si rien ne nous sauve de la mort, que l’amour nous sauve au moins de la vie.” Pour la psychanalyse, la sexualité et l’organisation du psychisme sont totalement interdépendantes. Selon la conception, la sexualité humaine est une psychosexualité, organisatrice du psychisme, des conduites, ne se réduisant pas au biologique. Plus précisément la théorie des pulsions place la sexualité au centre du psychisme, ce qui constitue la révolution initiée par Freud. La sexualité n’est pas un reliquat animal, vestige malpropre à laquelle l’humanité est soumise pour la seule survie de l’espèce. Elle est la condition même du devenir humain, c’est-à-dire du développement du psychisme et de la culture. Il n’y a pas chez l’homme de sexualité sans culture, le développement de l’une est consubstantielle à l’évolution de l’autre. Sacrifiées, sacrifiantes, une troisième version de la scène sacrificielle s’esquisse à côté des deux premières, celle de l’auto-sacrifice, au plus près de la première. Ainsi, Cordélia, la plus jeune fille du "Roi Lear" de William Shakespeare, lointaine cousine d’Iphigénie, se sacrifie par amour, au lieu de le sacrifier par haine, comme ses sœurs aînées. Cordélia se laisse ainsi détruire pour ne pas le détruire lui. Une femme se fait alors l’agent et l’objet de la mise à mort par le père. Les places changent dans le scénario du parricide originaire, mais le scénario ne change peut-être pas fondamentalement. Une fille est sacrifiée par son père, sacrifiée à ses propres idéaux puisqu’elle ne dérogera pas, sacrifiée à son omnipotence infantile de vieillard, mais, telle la silencieuse déesse de la mort, feu divin féminin, elle est aussi l’agent de son élévation. La symbolique du destin sacrificiel colle aux femmes et les illustrations de tuer de façon tragique une héroïne se bousculent sur la scène. Antigone qui, avec son désir de mort, sacrifia sa vie pour enterrer son frère, Iphigénie qu’Agamemnon son père, sacrifia pour que les vents enfin poussent les grecs vers Troie et la guerre, Médée qui sacrifia ses enfants pour se venger de Jason. Sans oublier le sacrifice que, bien obligée, la Vierge Marie fait de sa féminité, ni les petits sacrifices qui additionnés mènent les mères à la sainteté ordinaire et à la folie maternelle, ordinaire elle aussi. Médée n’est pas seule à le faire savoir.   "Elle me rendait amour pour amour, elle m'aimait avec toute l'énergie d'un cœur innocent et neuf, elle m'aimait comme les femmes savent aimer: s'ignorant, se se sacrifiant elle-même, sans savoir ce qu'est un sacrifice". Dans la langue même, sacrifice n’équivaut pas à passivité, ou alors il faudra préciser laquelle. Comme le deuil et le désir, dont il partage l’ambiguïté du génitif, le sacrifice en français est grammaticalement tantôt passif, tantôt actif. La demande de sacrifice d’Isaac par Abraham, mis à l'épreuve, est aussi le sacrifice d’Abraham, le sacrifice d’Iphigénie par Agamemnon est aussi le sacrifice d’Agamemnon. Dieu sait qu'Abraham le craint mais ne souhaite pas son abnégation. Les dieux qui demandent à Agamemnon de sacrifier sa fille le laissent seul avec son meurtre, auquel Iphigénie consent. La plainte mélancolique que le dehors réveille peut conduire jusqu’à la mise en acte sacrificielle. Il faudrait comparer de plus près les deux voies, celle du masochisme et celle du sacrifice, mais la mise à mal et le bénéfique narcissique qui en découlent se retrouvent dans l’une et l’autre, même si dans le masochisme la mise à mal est retournée sur soi, parfois jusqu’au suicide, avec un gain moindre en libido narcissique et plus souvent sous la forme du déchet que de la statue. Il faudrait aussi reprendre les trois masochismes, érogène, féminin et moral, que Freud décrit en 1924, pour examiner où et comment, dans laquelle de ces formes, le sacrifice jouerait sa partie. Montrer comment, dans le masochisme érogène, la douleur œuvre à l’élévation. Il faudrait expliquer comment dans le masochisme moral, le sacrifice viendrait satisfaire le besoin de punition réclamé à cor et à cri par le moi, objet du sacrifice. L’agent du sacrifice serait alors le surmoi, ou la réalité extérieure, sous le masque parfois des nécessités de la vie. L'abnégation serait-elle le sacrifice ultime de soi ? Pour répondre à cette question, il resterait à préciser la manière dont le sacrifice se situe entre le masochisme et la mélancolie, comme entre les deux rives de son cours, avec ses eaux mêlées de meurtre et de narcissisme, de mort et de libido, tout en touchant ces rives il se sépare et de la mélancolie, déliée et devenue pure culture de la pulsion de mort, et du masochisme où primerait la libido objectale, du moins à travers le fantasme de fustigation, version du fantasme de séduction. Concevoir le sacrifice comme une offrande à la divinité sacrée ou comme une communion avec elle, c’est se représenter le rite comme une relation ternaire dont les éléments constitutifs, le sacrifiant, la victime et le dieu, serait en quelque sorte homogènes. Or, si les deux premiers éléments de la relation sont immédiatement donnés à l’observation, l’existence et le statut du troisième ne vont pas de soi. Entre le sacrifiant et la victime, il y a bien, un troisième terme irréductible et surplombant, mais ce n’est pas le dieu, c’est-à-dire un tiers extérieur, c’est tout simplement la relation rituelle qui associe le sacrifiant et la victime et détermine chacun d’eux en tant que tel. Dans l'abnégation, même schéma. Décrire le sacrifice comme un don aux dieux, ou un acte de communion avec eux, est une chose, construire une théorie du sacrifice, une tout autre chose.   "L'acte d'amour le plus parfait est le sacrifice, cacher ses sentiments pour pouvoir être bon ami. Je t'aime et je crois que je t'aime depuis que nos regards se sont croisés". En effet, car une théorie ne doit pas expliquer les pratiques des hommes par les croyances qui les accompagnent, mais remonter aux causes communes des unes et des autres. C’est un point de méthode sur lequel des auteurs aussi divers que Marx, Freud ou Deleuze, s’accordent, et que l’on peut tenir pour acquis, même si l’on rejette par ailleurs toutes leurs thèses sur la nature de la vie sociale ou de la vie psychique. Rien donc n’autorise le théoricien à identifier la portée et le sens d’un rite accompli par des hommes avec les raisons que ceux-ci peuvent invoquer pour le justifier. Au demeurant, dans maintes religions, les croyances et les dogmes se réduisent à l’idée qu’il faut accomplir scrupuleusement les rites traditionnels. Car, si la divinité est seulement une représentation symbolique des institutions sociales, qui transcendent les individus, et leur apportent non seulement la sécurité matérielle mais les qualités spécifiques qui les distinguent des animaux, tout devient clair. La société, les dieux, et les rites où ils demeurent présents, ont autant besoin, pour subsister, des hommes et de leurs activités cultuelles, que les individus, de leur côté, ont besoin de la société et de ses dieux pour conduire durablement sans trop d'angoisses une vie proprement humaine. D’une part, l’individu tient de la société le meilleur de soi-même, tout ce qui lui fait une physionomie et une place à part parmi les autres êtres, sa culture intellectuelle et morale. Qu’on retire à l’homme le langage, les sciences, les arts, les croyances de la morale, et il tombe au rang de l’animalité. Les attributs caractéristiques de la nature humaine nous viennent donc de la société. Mais d’un autre côté, la société n’existe et ne vit que dans et par les individus. Que l’idée de société s’éteigne dans les esprits individuels, que les croyances, les traditions, les aspirations de la collectivité cessent d’être senties et partagées par les hommes, et la société mourra. Il est clair que, dans cette perspective anthropologique, le sacrifice est, par essence, tout autre chose qu’un don aux dieux. Il s’agirait plutôt d’un procédé d’autorégulation de la vie sociale, d’un des moyens les plus efficaces que les hommes aient découvert pour contenir la violence, pour borner la violence par la violence, tout comme dans l'univers du BDSM complice tirant sa force de son aspect psychologique qui est renforcé par la solennité des pratiques. Chaque étape de la relation, chaque progrès significatif est marqué par une cérémonie et des règles.   "Si un sacrifice est une tristesse pour vous, non une joie, ne le faites pas, vous n'en êtes pas digne". Tout est précisé par écrit et la soumise est ainsi guidée dans chaque étape de sa relation. Lorsque la soumise atteint un niveau supérieur elle devient dame du donjon. Elle peut elle-même fixer de nouvelles règles, écrire des protocoles, des cérémonies et les proposer au Maître pour faire évoluer la relation. Le rituel de fin de séance est très important. L'esclave est une soumise qui a atteint le niveau suprême de la soumission mais qui ne veut pas de responsabilité par humilité. Elle abandonne toute limite, elle laisse au Maître le choix de contrôler la relation, de fixer les objectifs et des limites. Elle se donne totalement sans condition, sans exigences et sert avec dévotion. Elle est la sœur de soumission des soumises et un modèle à suivre de perfection et d’abnégation. Les astreintes et les obligations sont pour la Maîtresse ou le Maître des moyens d'évaluer l'abnégation de la femme soumise en éprouvant ses motivations et sa dévotion selon son niveau d'avancement dans sa soumission. Le respect de ces attentes et demandes est associé à l'obéissance et a contrario le non respect à la punition. Il ne faut néanmoins pas confondre, ni répondre, de la même manière selon le niveau des déviations constatées. Seule l'expérience et le caractère du partenaire dominant lui permet de rester crédible aux yeux de la personne soumise. Ainsi, tous les écarts ne doivent pas entraîner une punition basique et dépourvue d'imagination. Il ne faut pas confondre l'erreur et la faute. Si la faute est un manquement à une règle établie, comprise et déjà appliquée, l'erreur est une inadéquation temporaire de l'attente par rapport à la demande à exécuter. Charlotte, tout de blanc vêtue, me fait penser à ces collections de plâtres façonnés par le sculpteur Rodin. Des vases antiques recyclés d’où sortent des formes naissantes, des figures d’étude fragiles, des êtres en devenir, des ébauches de femmes encore siamoises, des esquisses collées au ventre du vase dont elles tentent de s’arracher, de se décoller. Charlotte, comme une pièce de musée, se rend pour le moins intouchable. Elle se sent dans un carcan , une sorte de cercueil d’accueil. Elle est encartonnée, me dit-elle. Et sa voix se déforme et devient métallique quand elle accueille et garde à demeure le fantôme de son abnégation et sa fierté d’esclave sexuelle. Elle se donne corps et âme, toute dévouée à mon plaisir. L’abnégation est un sujet tellement abstrait, tellement loin des faits parfois. Je pense qu’il est facile d’en parler, facile d’écrire ce mot magnifique, mais il est sans doute plus difficile de le ressentir véritablement tant qu’on n’est pas face à la situation qui le démontre.   "Une vie de sacrifice ou d'abandon, est le sommet suprême de l'art. Elle est pleine d'une véritable joie. Ce qui compte, c'est la grandeur du but que l'on s'assigne". C’est un peu comme de dire que l’on est prêt à tout, jusqu’à ce qu’on réalise l’ampleur que peut prendre ce tout et alors on se met à douter de ce qu’on a promis. Lorsque, justement, il n’y a plus aucune question, juste de l’abandon. Elle avait beau toujours vouloir repousser ses limites et s’enfoncer un peu plus loin dans sa condition de soumise, elle avait conscience que les difficultés seraient très certainement plus importantes qu’elle imaginait et que son corps comme son esprit risquaient d’être mis à rude épreuve. Une fierté profonde éprouvée par les faits. Démontrée face aux situations les plus dures. Elle voulait cela et en même temps son abnégation l’effrayait. Ces tourbillons de sensations, se tariront quand les crises identitaires auront été traduites et remantelées dans la réalité. Aujourd’hui, la différence entre les mécanismes de déni et de dénégation ne posent que peu de problèmes, en théorie comme en pratique. Pour les psychiatres, cette bipartition est même considérée comme symptomatique des différences structurales entre les "organisations psychopathologiques génitales et prégénitales." De même, la différence ténue entre dénégation et négation n’entraîne pas davantage de difficultés, puisqu’elle n’est généralement pas retenue et que les deux termes sont employés indifféremment. Or, nous pourrions utiliser les deux termes dont nous disposons en français, négation et dénégation, sans en faire des synonymes comme nous avons l’habitude de le faire. L'abnégation désignerait dès lors l’envers, l’avatar développemental et le dévoiement pathologique d’un mécanisme de négation primaire qui échouerait à organiser, et a fortiori à structurer la psyché. Cette abnégation primitive pourrait relever d’un processus de répression précoce de l’excitation qui doublerait la négation par une hallucination négative de soi. L’abnégation serait le prix à payer dans ces traumatismes de l’irreprésentable. Dès lors, on pourrait interpréter l'abnégation comme négation lointaine, c’est-à-dire négation revenant de loin, et par extension, négation originaire dans la genèse de la psyché. Ab signifie, par interprétation, séparation, privation, abstinence, abdication, mais aussi achèvement. L’abnégation pourrait être ce qui est totalement totalement nié, ce qui parachèverait la négation, ce qui la renforcerait, ce qui la doublerait. Dans une relation de couple, les sacrifices continus ne mènent pas à un amour plus grand ou plus romantique. En fait, c’est tout le contraire. Les renoncements constants usent et abîment. Ils nous éloignent de nous-mêmes jusqu’à nous transformer en une autre personne.   "La vie, ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme". Dans une relation affective, il y a quelque chose de plus important que les sacrifices. Ce sont les engagements. "Quand on vous piétine, souvenez-vous de vous en plaindre." Dans le cas où vous ne le feriez pas, la personne en face de vous s’habituera sûrement à vous piétiner. Pourquoi ? Parce qu’elle pensera que cela ne vous blesse pas. Nous pourrions reprendre cette même idée pour l’appliquer aux liens de couple. Nous pouvons tous nous sacrifier pour l’autre personne à un moment donné. C’est parfaitement normal et compréhensible. Cependant, personne ne doit oublier que tout sacrifice a un prix. Tout renoncement fait du mal. Chaque changement de plan de dernière minute est désagréable. Chaque demi-tour ou virage effectué dans notre cercle vital, pour l’autre personne, est difficile. Ce peut être douloureux mais nous le faisons quand même, avec tout notre cœur. Parce que nous sommes engagés dans un même projet. Or, si l’autre personne n’est pas consciente de ce coût émotionnel qu’implique chaque sacrifice, cela veut dire que nous faisons fausse route. La confiance disparaîtra jusqu’à ce que les reproches éclatent. Les fantômes de chaque renoncement finiront par nous hanter et nous faire beaucoup de mal car les morceaux de notre être, abandonnés sur le chemin, ne reviendront pas. Ils seront perdus pour toujours. L’abnégation sans frontières dans les relations de couple n’est pas très saine. Le fait de céder et de se priver constamment est une façon triste de ruiner son estime de soi et de créer un substitut d’amour aussi douloureux qu’indigeste. Dans une relation BDSM librement consentie, il en va de même, car à force d'abandon et de renoncement, la personne soumise devenue esclave perd son identité, son moi profond. Sauf, si le bonheur est à ce prix et que l'épanouissement des deux partenaires est garanti. On dit souvent que les grandes amours, tout comme les grandes réussites conjugales et sexuelles, requièrent des sacrifices. Et nous ne pouvons pas le nier. Quand nous interrogeons des couples, investis dans une relation SM, beaucoup nous parlent des renoncements faits pour l’autre partenaire, des renoncements qui ont marqué un réel changement dans leur vie et qui en ont sans doute valu la peine. Car oui, désormais, ces couples profitent d’un présent heureux. Cependant, il y a des sacrifices qui ne sont pas acceptables. Beaucoup continuent de croire que plus le renoncement fait pour l’autre est grand, plus la relation sera authentique et romantique.   Dans ces cas, c’est comme si l’amour était une espèce d’ancien dieu atavique que nous devrions honorer. Ou une entité mystique pour laquelle nous devrions à tout prix nous sacrifier. Il est nécessaire de comprendre que tout n’est pas admissible. En matière d’affection, il ne faut pas s’immoler car les sacrifices en amour ne doivent pas être synonymes d’abnégation. Nous ne devons pas mettre en place un bûcher afin d’y jeter nos propres valeurs, notre identité et le cœur de notre estime de soi. Il y a des limites, des barrières de contingence qu’il est nécessaire de connaître. En d’autres termes, une personne n’a pas besoin que son conjoint soit constamment en train de faire des renoncements. Ce qui est très important, c’est de savoir que le moment venu, lors d’une circonstance ponctuelle et extraordinaire, l’être aimé sera capable de faire ce sacrifice. Nous savons tous que l’amour dans une relation BDSM implique un engagement. Nous sommes aussi conscients que parfois, nous sommes obligés de faire des sacrifices pour que cette relation ait un futur. Qu’elle se consolide comme nous le souhaitons. C’est donc le moyen d’atteindre un objectif. Les gains dépassent les pertes et nous réalisons cet acte en toute sécurité et liberté car nous comprenons que cela constitue un investissement pour notre relation. Or, parfois, le sacrifice en dévotion peut se transformer en dette. En fait, certains l’utilisent comme une extorsion émotionnelle. Cet aspect, celui des dettes, est un détail que nous ne pouvons pas ignorer à cause de son essence ténébreuse. Car certaines personnes comprennent l’amour en des termes absolus et extrêmes. "Je te donne tout mais tu me dois tout aussi." Ce sont ces situations qui nous obligent à sacrifier sacrifier notre identité pour faire du “moi” un “nous”. En faisant cela, nous perdons totalement toute once de notre dignité. Le sacrifice en dévotion doit être récompensé afin de s'inscrire dans le cadre d'une relation BDSM épanouie et pérenne. Dans l’abnégation, seul compte le libre choix de la personne assujettie. Mais il existe une frontière infranchissable comme celle qui consiste à la faire céder face à un chantage, ou pire encore, à la transformer en une personne qu'elle n'est pas. Est-il un plus beau sacrifice ? Est-il une abnégation de soi-même et une mortification plus parfaites que de s'abandonner ?   Bibliographie et références: - Friedrich Nietzsche, "Quel est le sens de tout idéal ascétique ?" - Michel Hulin, "Abnégation et vie mystique" - Pierre Hadot, "Abnégation et sexualité" - Alain Donnet, "Le concept d'abnégation" - Louis Gernet, "La notion mythique de l'abnégation" - Léon Robin, "La Pensée grecque et le sacrifice" - Marc Boucherat, "Ascèse et don se soi" - - Pierre Charzat, "Le concept de l'abnégation" - Gilles Deleuze, "Logique du sens" - Gilles Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch" - - Gilles Deleuze, "Essai sur la nature humaine" - Sigmund Freud, "Psychopathologie de la vie quotidienne"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/02/23
Avant propos Cet article peut être lu isolément. Cependant, pour en comprendre pleinement le sens, certains éléments de contexte apportés par mes articles précédents sont incontournables. La liste est ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). L'article étant assez long (désolée...), je l'ai découpé en cinq épisodes pour vous permettre, si vous le souhaitez, d'en interrompre la lecture pour la reprendre plus tard. Je vous souhaite une bonne lecture, en espérant qu'elle vous sera plaisante.   ************************************************** --- Episode 1:  Redoutable gravitation   Des barreaux pour seul horizon, des minutes qui semblent des heures, des questions sans réponse, ... J’en ai assez de moisir dans cette cage! Je me suis masturbée jusqu'à épuisement et maintenant je me languis dans le noir. C'est long, très long... J'ai l'impression qu'une bonne partie de la nuit est déjà écoulée. Mais que fait mon Maître?  Il est passé en coup de vent pour me retirer cet objet qu’il m’avait mis dans le cul et relier mon collier à l'un des barreaux par une courte chaîne.  Pourquoi ne m'a-t-il pas baisée?  Pourquoi me laisse-t-il seule, enfermée, au lieu de profiter de mes orifices?  Est-ce que je ne lui plais pas? Est-ce qu'il est en train de baiser Sonia ? Je me console en me disant qu'au moins j'ai eu l’un des plus puissants orgasmes de ma vie dans cette cage. La situation, l'enfermement, l’incertitude, ... C'était trop excitant. Mais maintenant j'en ai marre !!! Mes pensées ne sont pas celles de la soumise dans l'âme que je croyais être. Je me déçois moi-même. J'essaie de me raisonner mais ces pensées de gamine capricieuse me reviennent sans cesse dans la tête. J'ai envie de piquer ma crise et de hurler, d'appeler mon Maître: "Eh, je suis là! J'existe!" Et puis je redeviens rationnelle, avant de sombrer à nouveau dans l'énervement. Un cycle sans fin. Et si j'étais tombée sur un psychopathe ? Est-ce qu'il va me laisser mourir de faim et de soif dans cette cage ? A peine ces pensées m'ont-elles traversé l'esprit que je me sens ridicule, honteuse de les avoir eues. Est-ce qu'il est encore dans la maison? Suis-je totalement seule? Et s'il y avait le feu? Je secoue les barreaux, mais ils ne bougent pas. Ils sont solides et la cage est bien verrouillée. Aucune possibilité d'en sortir, même en y mettant toutes mes forces. J'examine la lourde chaîne reliant mon collier à l'un des barreaux. Il faudrait s'appeler Hercule pour la briser. J'ignore pourquoi mon Maitre a pris autant de précautions. Là c'est sûr que je ne risque pas de m'échapper ! Je me sentais déjà à l'étroit dans cette cage, maintenant la chaîne restreint encore davantage mes possibilités de mouvement. Elle est courte mais extrêmement lourde. Son poids et son inertie rendent chaque mouvement laborieux, pénible, épuisant. Par son intermédiaire, la pesanteur exerce une forte tension sur mon collier, même lorsque je reste tranquille: impossible de me sortir cette sensation désagréable de l'esprit. Impossible d'oublier que je suis esclave à présent. Le mince éclairage lunaire qui filtre à travers les volets me laisse apercevoir une enveloppe. Je la saisis en passant la main à travers les barreaux. "à n'ouvrir qu'en cas d'urgence", est-il écrit. La clé de la cage ? La clé de mon collier ? Les deux ? Je n'en sais rien, mais cette idée me rassure. J'essaie de sentir ce qu'il y a à l'intérieur, mais c'est impossible. Enveloppe à bulles contenant une autre enveloppe à bulles apparemment. Tant pis. Je la remets à sa place. L'ouverture des volets me réveille brutalement. Je m'étais endormie. Comment ais-je pu m'endormir alors que j'étais tellement énervée ? Je n'en ai aucune idée. Dès mon réveil, toutes les sensations désagréables reviennent. Je tente de me redresser un peu et je pousse un cri, surprise par l'énorme masse inertielle de la chaîne, qui se rappelle à mon bon souvenir. Mon Maître s'approche de la cage et m’observe, amusé. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" Il se fiche de moi, visiblement. J'ai bien envie de lui faire part de ma frustration, de mon agacement, de lui dire que je ne supporte plus cette chaîne, mais mon cerveau rationnel me rappelle à l'ordre et je me contente de faire la moue, sans vraiment répondre. Cela le fait rire. "Ouvre la bouche!" Pendant une fraction de seconde je crois comprendre que cela signifie "Répond!", et puis non, il m'ordonne de fermer les yeux et de pencher la tête en arrière. Pas facile de me positionner comme il l'entend avec la chaîne au cou, mais j'y arrive plus ou moins. J'attends ainsi, intriguée, mais rien ne se passe. J'ai l'impression qu'il est parti. La position est difficile à tenir, mais je n'ose pas entrouvrir les yeux pour en avoir le cœur net. Un liquide froid, presque glacé,  me coule sur la langue. Je le bloque avant qu'il s'infiltre dans ma gorge.  C'est inhabituel, mais il ne me faut qu'une fraction de seconde pour reconnaître le goût du sperme.  Sans doute qu'il en a congelé et l'a ressorti pour moi. Quelle idée bizarre. Mais c'est excitant. Le goût est tellement différent quand il est glacé. "Tu peux rouvrir les yeux et refermer la bouche, mais n'avale pas!" J'ai juste le temps d'apercevoir le sourire amusé de mon Maître, avant de m'empresser de baisser les yeux. Baisser les yeux face au Maître. Tellement simple à dire et si compliqué à faire. Il faut y penser tout le temps. Est-ce qu'un jour cela deviendra un réflexe? J’aime quand mon Maître me sourit. Ses dents blanches qui contrastent si joliment avec sa peau noire. Qu’est-ce qu’il est beau ! « Mais bien sûr qu’il est beau, idiote, puisqu’il est ton Maître ! », me dis-je à moi-même.  « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde », m’a dit un jour un grand sage. Me voilà seule à nouveau. Vais-je passer toutes mes journées ainsi, seule, en cage? Je dois reprendre le travail mercredi, à l'issue de ce week-end prolongé. Est-ce qu'au moins il me laissera sortir? Moi qui pensais venir ici pour être baisée, fessée, fouettée, ... Je ne m’attendais pas à passer du bon temps, je m'y étais préparée psychologiquement, mais jamais je n'aurais imaginé que mon séjour allait se dérouler ainsi. C'est terriblement frustrant ! J'adore le sperme, mais le garder en bouche pendant une éternité cela finit par devenir vraiment pénible. A mesure qu'il se réchauffe dans ma bouche, le goût change. C'est surprenant. Je me demande quand mon Maître va revenir et m'autoriser à avaler. Il m'en a mis des quantités et j'ai les joues presque gonflées. Initialement excitée par le fait de goûter pour la première fois le sperme de mon Maître, j'ai maintenant de plus en plus de mal à me retenir d'avaler. Voilà Sonia qui entre. "Hello Ysideulte! Nice day, isn't it ?" Elle se fout de ma gueule ou quoi ? C’est de l’humour britannique ? Impossible de lui répondre avec la bouche remplie de sperme, à part "humm, humm". Moi qui rêvais de harceler de questions cette femme que j'admire : entrevoir les coulisses de ses enquêtes, savoir comment elle fait pour se procurer de tels documents compromettants, comprendre d'où elle tire son courage et sa clairvoyance... Mais non, me voilà nue, en cage, la bouche remplie de sperme, sans possibilité de lui parler. Difficile de faire plus frustrant ! Elle ressort presque aussitôt en me faisant un grand sourire. Au moins, elle a l'air d'aller mieux, même si son visage a été salement amoché par les coups de matraque des défenseurs de la démocratie. Elle s’en fiche, on dirait. Quelle femme étrange… --- Episode 2: Une gifle bien méritée   Encore de longues minutes à attendre. Je n'en peux plus. Je crois que je vais finir par avaler, quitte à être punie. Heureusement, voilà enfin mon Maître de retour, et la permission tant attendue d'avaler. Il me demande de lui faire part de mes impressions, ce que je m'empresse de faire. Je lui témoigne l'honneur que j'ai ressenti à pouvoir goûter son sperme. Il s'éloigne. Zut! Il va encore me laisser seule dans ma cage. Tant pis, j'ose demander: "Est-ce que je vais rester longtemps dans la cage, Maître?" Au lieu de me répondre, il déverrouille la chaîne. Oh mon Dieu ! Quelle sensation incroyable d'être soudain débarrassée de cette masse pesante qui était devenue un vrai fardeau, comme si j'avais une tonne suspendue à mon collier. Je me sens légère tout à coup. Mon Maître ouvre la grille et m'ordonne de sortir. Ouf, ça fait du bien, je suis toute ankylosée. Je suis heureuse et soulagée d'être enfin dehors. J'ai le sourire aux lèvres, je m'apprête à dire un grand Merci et... je reçois une gifle magistrale. Je ne l'avais pas vue venir celle-là. Mon Maître me montre la cage du doigt et je m'empresse d'y retourner. C'était sa réponse... Sans doute était-ce nécessaire pour que je prenne conscience de l'insolence de ma question. Il me remet la chaîne, en la raccourcissant. C'est ma punition, certainement, pour avoir été insolente. Mon séjour en cage va être encore plus contraint, plus inconfortable. Je ne vois plus personne de la journée. Au moins, la lumière du jour me permet d'avoir une vague idée de l'écoulement du temps. J'ai une bouteille d'eau à portée de main, atteignable à travers les barreaux, un pot pour mes besoins, mais rien à manger, rien à lire, rien à faire ... C'est long ! C'est humiliant ! L'utilisation du pot est très très compliquée avec si peu de liberté de mouvement. Je fais extrêmement attention car lorsque nous échangions pas mail, mon Maître a de nombreuses fois insisté sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour. Je pensais qu'il voulait parler de mon hygiène intime et j'étais un peu vexée qu'il insiste autant car pour moi c'était une évidence de me présenter propre devant mon Maître. C'est seulement maintenant que je comprends vraiment de quoi il voulait parler. La lumière décroît et je sens que me voilà partie pour passer une nouvelle nuit en cage. Je vais essayer de dormir et de ne pas trop m'énerver cette fois. Je n'avais pas du tout imaginé ma vie de soumise comme ça. Est-ce que cela fait partie de mon dressage? S'agit-il de me faire bien comprendre que ce n'est pas moi qui décide? Mon Maître a dit que je peux mettre fin à cette relation à tout moment. Je n'ai pas de raison de ne pas continuer à lui faire confiance, même si je suis perturbée par l'écart entre ce que j'avais anticipé et ce que je vis. Il suffirait que je l'appelle et que je lui dise que c'est fini, que je veux partir. Mais non, il faut que je tienne bon. Je ne vais pas renoncer maintenant. Ce serait trop bête. Cette enveloppe qui contient très probablement des clés - du moins ais-je envie de le croire - me rassure. Il suffirait que je l'ouvre et... Je me suis endormie tôt cette fois, et facilement, même si je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit à cause de rêves érotiques intenses. Le clitoris en feu à chaque fois. A chaque réveil, les sensations désagréables reviennent, me rappelant brutalement ma condition d'esclave. Et pourtant, cela n'appaise en rien mon excitation sexuelle, bien au contraire. Au moins je peux me masturber pour me soulager. Il ne me l'a pas interdit. Il ne me l'a pas explicitement autorisé non plus. Est-ce que j'aurais dû demander la permission? Le doute m'assaille, mais je ne peux me retenir de crier de plaisir à chaque orgasme. La crainte qu'il m'entende et vienne me mettre une bonne raclée n'y change rien - le plaisir qui m'envahit est trop puissant, irrépressible, animal. Comment se fait-il qu'il ne m'ait pas encore baisée? C'est bizarre quand même. A l'aéroport il m'avait dit que je le faisais bander, et puis maintenant j'ai l'impression de ne lui faire aucun effet. Réveillée par l'ouverture de volets. La présence de mon Maître déclenche des frissons de plaisir qui me parcourent tout le corps, telle la chienne qui retrouve son Maître après une longue absence. C'est étrange, mais je me sens bien, apaisée, comme si l'énervement, la frustration, s'étaient envolés. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" "Oui Maître". Je me rends compte que je souris en lui répondant. Je me sens bien. "Voilà qui est mieux", me dit-il, d'une voix douce. Mieux que quoi? Mieux qu'hier matin sans doute, où mon énervement se lisait certainement sur mon visage. C'est donc comme cela que l'on dresse une chienne? En tout cas, c'est efficace. Je me sens heureuse, à ma place. Il me retire la chaîne. Je crois que c'est une récompense. « Ouvre la bouche ! »  Pas besoin d'explication cette fois. Je ferme les yeux, je penche la tête en arrière, bouche grande ouverte, avide de recevoir la précieuse semence, ... "Quand je reviendrai, je veux te voir en position, prête à accueillir ton Maître dans le cul". Et puis je me retrouve seule, avec le sperme en bouche. Je vois qu'il m'a laissé de quoi me préparer, me lubrifier le cul, me bander les yeux, ...   Je m'empresse de me préparer du mieux possible, n'ayant aucune idée du temps dont je dispose. J'ai tout le matériel à portée de main, mais c'est vraiment difficile de se préparer à la sodomie quand on est en cage. Les possibilités de mouvement sont restreintes. Je fais au mieux. Un semblant de toilette, un semblant de lavement, un rapide passage de rasoir, ... C'est loin d'être parfait, mais difficile de faire mieux dans ces circonstances. J'allais commencer à me lubrifier, et puis, je me ravise. Les multiples mails de mon Maître dans lesquels il insistait lourdement sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour viennent de défiler dans ma tête en accéléré. Je suis terrifiée à l'idée de le décevoir. Je recommence tout en m'appliquant du mieux que je peux: toilette, lavement, rasoir, ... Je me lubrifie copieusement l’anus. Je n’aime pas la sodomie. Je n’ai été enculée qu’une fois dans ma vie et j’ai tellement détesté que je n’ai jamais remis ça. Mais pouvais-je me porter candidate à la soumission et refuser à mon Maître l’accès à l’un de mes orifices ? L’aurait-il accepté ? Peu importe, de toute façon, c’était inenvisageable pour moi : j’ai besoin de cohérence, de logique, sinon je ne comprends plus rien à ma propre démarche. Je me sens un peu agacée à nouveau. "C'est vraiment n'importe quoi", me dis-je. Et dire que je m'étais parfaitement préparée avant de prendre l'avion ! Moi qui pensais être baisée tout de suite à mon arrivée. Je m'étais même examinée à la loupe pour m'assurer qu'aucun poil n'avait échappé au rasoir. La chatte parfaitement lisse, la raie des fesses parfaitement lisse, ... Quel gâchis ! Et pourtant je me sens excitée par la manière dont je suis traitée. Je crois que je perds mes repères. Ou bien suis-je en train de m'en recréer d'autres, plus conformes à mon nouveau statut ? Pas facile de trouver la meilleure position. J'essaie différentes possibilités. Il faut que je m'imagine du point de vue de mon Maître. Quelle position lui faciliterait au mieux l'accès à mon cul, à travers les barreaux? Quelle drôle d'idée quand même de m'enculer ainsi, en cage. Mais ce n'est pas moi qui décide... J'attends encore une éternité, en position, le bandeau sur les yeux... Dommage, si j'avais su j'aurais pris davantage de temps pour me préparer. Tant pis, maintenant il vaut mieux que je reste en position car il peut débarquer d'un moment à l'autre. S'il ne me trouve pas en position, il ne sera vraiment pas content, ça j'en suis sûre. Et Sonia, où est-elle? J'espère qu'elle ne va pas assister à ma sodomie ? Je me suis fermement plaquée le cul contre les barreaux après m’être bien écarté les fesses. Bien centrée, cambrée au maximum. J’ai bloqué mes tibias entre les barreaux du côté, ce qui par la même occasion me maintient bien ouverte. C’est très inconfortable, mais peu importe, la seule chose qui m’occupe l’esprit est que mon Maître y prenne du plaisir. Ma poitrine est plaquée au sol, mes mains tiennent fermement les barreaux. J’espère ainsi pouvoir tenir bon, ne pas trop bouger pendant qu’il s’enfoncera en moi. J’appréhende la sodomie. La seule que j’ai connue m’a laissé un souvenir amer, et je suis saisie d’angoisse quand j’entends mon Maître. Je m’attendais à une pénétration brutale, mais mon Maître y va lentement. Très lentement. « Ouh là ! Il va falloir travailler ce cul » me dit-il. « On est comme dans un étau là dedans. » Puis il accélère la cadence et je mets toutes mes forces en œuvre pour ne pas être projetée en avant sous ses coups de boutoir, tenant les barreaux le plus fermement possible. Mes muscles commençaient à tétaniser quand je l’ai entendu gémir de plaisir. Heureusement car j’aurai difficilement tenu plus longtemps. Je dois avoir les marques des barreaux sur les fesses, tellement j’ai poussé en arrière de toutes mes forces pour rester bien plaquée. Malheureusement, il m’a été impossible de garder tout le sperme en bouche. J’en ai laissé échapper pendant qu’il me sodomisait, j’ai bavé, je crois que j’en ai mis un peu partout mais avec le bandeau je ne peux pas voir… « Tu seras punie », me dit-il. Je remercie mon Maître, après qu’il m’ait autorisée à avaler le peu que j’avais réussi à garder en bouche. Je sais que cela se fait quand on est soumise, mais je n'y ai pas réfléchi :  les remerciements me sont venus spontanément. "La bite, ça se mérite" m'a-t-il écrit à plusieurs reprises lorsque nous échangions par mail. Je crois que je viens de vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.  J'ai tenu bon, je n'ai pas renoncé, malgré l'incertitude, malgré l'inconfort, malgré mes doutes, seule dans ma cage. J'ai mérité la bite. Enfin, je crois que c'est ce qu'il faut comprendre. "Tu es une bonne chienne" me dit-il pendant que je lui nettoie la bite avec ma langue. C'est tout ce qu'il m'a dit. Mais quel compliment !  Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer par son Maître ! Je n'aime pas être sodomisée, et pourtant, malgré l'inconfort, j'étais au bord de l'extase... Rien de physique, non, tout se passe dans ma tête, et c'est vraiment puissant. Mon cul déteste, mais mon cerveau adore. Je dois être un peu cinglée, me dis-je... --- Episode 3: Visite guidée Après avoir été autorisée à retirer mon bandeau et avoir soigneusement léché le sperme que j'avais laissé échapper, je suis enfin libérée de ma cage. Des douleurs aux articulations et quelques vertiges – j’ai repris trop vite la position debout. Mais rien de grave. C'est bon la liberté ! C'est quand on en a été privée que l'on s'en rend vraiment compte. Mon Maître m'autorise à utiliser les toilettes et la salle de bain. Il me suit et m'observe... Bonjour l’intimité… La douche à l'eau froide n'est pas des plus agréables, mais après presque deux jours en cage, on relativise... De toute façon, les règles sont claires: "pas d'eau chaude pour les chiennes". « J’aime bien tes mamelles », me dit-il, quand je sors de la douche. C’est la première fois qu’il me fait un compliment sur mon anatomie. L’eau était glaciale : j’ai la chair de poule et les tétons hyper saillants. C’est spécial… Mais plutôt joli. Maître accroche une laisse à mon collier et me fait visiter sa maison, puis son jardin. Nue, complètement nue... Heureusement qu'il n'y a pas de vis-à-vis... J’ai une bouffée d’émotions quand il me fait visiter sa chambre. Est-ce que je serai autorisée à partager son lit, une fois dressée ? Ou bien est-ce que je passerai mes nuits en cage ? Je cherche des yeux des affaires appartenant à Sonia, mais je n’en vois pas. Est-ce qu’il l’a baisée ? Je n’en sais toujours rien. Rien de visible. De toute façon, cela ne prouve rien, me dis-je. Elle n’aurait pas forcément laissé traîner sa culotte… Mais je regarde partout à la recherche du moindre détail. Une boucle d’oreille, un mouchoir, une plaquette de pilules, n’importe quoi… « Tu as perdu quelque chose ? » me demande mon Maître, l’air amusé. « Euh, non Maître, j’observe simplement ». La jalousie est un très vilain défaut, surtout quand on est esclave sexuelle… Dans la pièce voisine, un fauteuil d’examen gynéco, avec tout le matériel. Je savais qu’il en avait un, il me l’avait dit. Je m’attendais à être examinée très intimement dès mon arrivée, mais je ne l’ai pas été. Pourquoi ? Mystère. Je pensais qu’examiner le vagin de son esclave était une des premières choses qu’un Maître faisait. "Installe-toi pendant que je vais chercher Sonia. Elle souhaitait voir ton clitoris." Ces paroles me glacent le sang. "Rassure-toi, c'est purement professionnel. Elle ne te touchera pas. Tu comprendras plus tard." Qu'est-ce que c'est que cette histoire? Je n'y comprends rien, mais j'obéis. J'ai à peine le temps de m'installer que mon Maître est de retour, accompagné de Sonia, et je me fais immédiatement engueuler: "Décapuchonne-le correctement! Comment veux-tu qu'elle l'évalue?" "Do you think her clit is well suited for your needs ?" lui demande mon Maître "Perfect! It is far beyond my expectations", dit Sonia en me souriant. "Thank you so much, Ysideulte, and so sorry to have asked you that". Elle ressort aussitôt. J'apprécie la délicatesse qu'elle a eue de ne pas prolonger inutilement mon humiliation. Je m'attendais à ce que mon Maître poursuive mon examen et me mette le spéculum, mais il m'ordonne de redescendre. Je ne sais pas s'il fait exprès de contrarier mes anticipations. C'est très perturbant pour moi qui aime tout planifier. Certaines pièces ne font pas partie de la visite. Peut-être que Sonia a dormi dans l’une d’elles et que je me fais du souci pour rien. « C’est ici que tu seras attachée et fouettée », me dit mon Maître, en me montrant des anneaux au plafond de la cave. « Tu pourras hurler, personne ne t’entendra ». Ces mots me font frémir de crainte et d’excitation à la fois. C’est très désagréable de marcher pieds nus sur les gravillons qui tapissent l’allée, mais je m’efforce de ne pas me plaindre et de marcher à la cadence de mon Maître pour qu'il ne soit pas obligé de tirer sur la laisse. Sur la pelouse ça va mieux. Je me sens fière d’être ainsi promenée en laisse pour une visite guidée. Par chance, il ne me demande pas de marcher à 4 pattes. J’aime cet homme. Malgré mon énervement dans la cage, je sens que j’ai fait le bon choix, que j’ai viscéralement envie d’être sa chienne. Je sens sa bonté intérieure, malgré la manière dont il me traite. "Est-ce que tu étais consciente de ton érection quand Sonia t'a examinée ? J'ai vu ton clitoris gonfler dès que tu l'as décapuchonné.", me demande mon Maître. Non, pas vraiment. J'étais tellement perturbée que j'ai un peu déconnecté de la réalité. C'est que que je tente d'expliquer à mon Maître. "En tout cas, je suis extrêmement fier de toi. Tu lui as montré que tu es une salope, même si c'était involontaire". Alors là ! S'il savait l'effet que ces mots me font ! J’admire une nouvelle fois l’Aston Martin garée au fond du jardin. Je meurs d’envie de la conduire, mais malheureusement mon permis m’a été retiré. --- Episode 4: Plaisir d'un repas partagé Sonia nous rejoint pendant que l’on fait le tour du jardin. J'avais tellement de questions à lui poser et puis je me borne à quelques banalités. J'ignore pourquoi. Suis-je intimidée? Certainement. J'ai honte d'être nue, en laisse, en présence d’une autre femme. Et puis, elle m'impressionne. Un mental d'acier derrière une apparence toute douce. Je le ressens de plus en plus. Elle me fait presque peur parfois. Celui qui la fera plier n’est pas encore né. Elle nous annonce que le déjeuner est servi. Ah bon? Je croyais que c'était moi l'esclave ici. Mais je ne vais pas m'en plaindre. C'est tellement agréable de se faire servir. Je meurs de faim et sans même m'en rendre compte je me jette sur la nourriture, à peine servie. "Tu manges comme une truie ! Où as-tu été éduquée ?" me dit mon Maître, sur un ton proche de l'engueulade. Je me confonds en excuses, ne sachant plus où me mettre. Je viens de me rendre compte du ridicule de mon comportement. Sonia me demande ce que cela me fait de déjeuner nue en présence de deux personnes habillées, ce qui me fait rougir. Elle m'interroge au sujet de mon expérience en cage. Nous échangeons en anglais. Pas facile pour exprimer le fond de ma pensée mais, moi, la grande timide, j'ose m'exprimer. Il faut dire que les félicitations appuyées de mon Maître, pendant que l'on faisait le tour du jardin, m'ont vraiment dopée. Ces deux nuits en cages ont été très dures, mais quelle récompense à la clé! Rien à faire, ma curiosité dépasse ma timidité. Que faisait-elle sur le lieu de cette manifestation? Quel intérêt?  La population est en large majorité favorable aux miliciens et hostile aux manifestants : une bande d’ignorants, anti-vax, anti-science, racistes, fascistes, ... La lie de l’humanité, à en croire les journalistes. Ce n'est pas une vidéo montrant la brutalité des Brigades de Défense de la Démocratie qui y changera quelque chose. Que faisait-elle donc là? Pourquoi prendre le risque de se faire capturer par les défenseurs de la démocratie? Cela n'a aucun sens. Elle était certainement là pour une autre raison, mais laquelle? Et pourquoi s'inquiétait-elle autant de l'état de sa caméra? Il y a des éléments qui m'échappent. Je tente de lui poser quelques questions, mais je comprends vite que je n'en saurai pas plus. Après le dessert, mon Maître pose un petit flacon sur la table et me demande si je sais ce que c'est. Aucune idée... A part une forme un peu originale, je ne vois pas ce que ce flacon représente ni ce qu'il contient. Du verre tout ce qu'il y a de plus classique. A l'intérieur, un liquide transparent, qui a toute l'apparence de l'eau, quoiqu’un peu plus opaque. Sonia place une puissante loupe devant le flacon. Mais je ne vois rien de plus. Ah si! Je viens d'apercevoir deux formes bizarres qui nagent de concert dans le liquide. On dirait qu'ils sont liés l'un à l'autre tellement leurs mouvements sont parfaitement synchrones. Ils ont une tête, on distingue presque un visage très étrange, à la fois doux et inquiétant. Qu'est-ce que c'est que ce truc? C'est Sonia qui me donne l'explication. Un zébralyvox gémellaire, être improbable surgi de la préhistoire. Ils sont toujours par deux mais ne semblent faire qu'un: synchrones alors qu'ils ne sont pas matériellement reliés, incapables de survivre l'un sans l'autre. Intrication quantique? Non, je délire... Je me prends à rêver de ce lien impalpable mais pourtant tellement puissant qui, je l'espère, m'unira un jour à mon Maître. Les premiers spécimens ont été découverts dans la région du Nuvavut, au Canada, lors d'un sondage, dans la calotte glaciaire. Mais l'on a de bonnes raisons de penser que le gisement principal se situait dans le grand glacier de l’île Komsomolets, au Nord de la Sibérie. Comment a-t-elle pu se procurer ce spécimen ? Mystère. J'ose le lui demander mais elle me fait comprendre que cela fait partie des informations qu'elle ne peut pas divulguer. Le zébralyvox gémellaire est le plus remarquable anti-douleur qui soit. Il se fixe sur un faisceau de fibres nerveuses et émet une multitude de filaments pour établir des ponts électriques entre les points d'interruption de la gaine de myéline, prenant par la même occasion le contrôle total de la transmission de l'influx nerveux, qu'il détourne à son profit. L'électricité humaine ou animale lui fournit l'énergie essentielle à son métabolisme. S'il en est privé, il ne peut survivre plus d'une quinzaine de jours, d'où l'importance pour lui de trouver rapidement un hôte. Pendant des millions d’années, il a vécu en parfaite symbiose avec les vertébrés, apaisant leurs souffrances en échange de la précieuse énergie électrique. Puis il a disparu, on ne sait pourquoi. Enfin, pas totalement, puisque quelques spécimens ont traversé les âges, emprisonnés dans les glaces. Comment se fait-il que cette découverte ne soit pas connue du grand public? Ce serait une magnifique alternative pour apaiser les souffrances des malades, sans l'effet assommant, voire toxique, des analgésiques chimiques. Le marché des soins palliatifs est énorme et a explosé en raison de la forte dégradation de la santé de la population que l’on observe depuis quelques années. Ce n'est pas si simple. La Bill&Alvértos Fucking Corporation vise le monopole de la distribution de ce nouvel anti-douleur, m'explique Sonia. Ils sont en train de mettre au point une version génétiquement modifiée, stérile, qu’ils reproduiront dans leurs laboratoires par clonage. Parallèlement, ils cherchent à détruire les spécimens naturels, pour tuer dans l’œuf tout risque de concurrence. Ainsi, la BAFC pourra vendre à prix d'or ce remède miracle contre la douleur. Une magnifique invention de la nature détournée au profit de politiciens et de financiers véreux. Je comprends maintenant les motivations profondes de l'opération militaire massive menée par la Suprême Alliance Démocratique en Sibérie, qui me semblait absurde quand elle a été relatée. Pourquoi un tel déchaînement de violence dans une région qui ne me semblait pas spécialement stratégique ? Pourquoi raser l’île Komsomolets au point de faire fondre une grande partie du glacier sous un déluge ininterrompu de bombes thermobariques ? La Suprême Alliance Démocratique a perdu 53 bombardiers stratégiques dans l’opération, interceptés par les S-500 et les forces aérospatiales ennemies. Pourquoi assumer de telles pertes pour un enjeu qui me semblait dérisoire ? « Mais enfin ! On ne doit reculer devant aucun sacrifice quand il s’agit d’apporter la démocratie aux peuples opprimés. C’est ce qui fait la grandeur de la Suprême Alliance et la noblesse des valeurs que nous défendons », martelaient les journalistes… C’est cela, oui… J’y vois plus clair à présent. Quelle est l’idée de Sonia? Je ne vois pas ce que l'on peut y faire. Révéler l'affaire? Neuf citoyens sur dix n’en croiront pas un mot. Ils se laisseront facilement convaincre que tout cela n'est que « fake news ». Il suffit de lâcher la meute des fact-checkers, avec si besoin le soutien de quelques experts de plateaux, et le tour est joué. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais je comprends qu'elle veut absolument préserver ce spécimen et qu'il lui faut donc un hôte. Visiblement elle pensait à se l’implanter et maintenant elle pense à moi. Mais pourquoi moi? Qu'est-ce que j'ai de spécial? Et si j'accepte, qu'est-ce que je risque? Mon esprit fourmille de questions, mais ma curiosité est brutalement interrompue par mon Maître. "En cage!" Oui, Maître. Je m'empresse d'y aller et de refermer la grille, qui se verrouille automatiquement. Mon Maître a le don de me frustrer comme c'est pas possible. J'avais tellement de questions à poser. C'est bête. C’est énervant. Je suis en train de bouillir intérieurement. Et puis j’explose. Je secoue les barreaux de ma cage, de rage, mais ils ne bougent presque pas. C’est du solide. --- Episode 5: Décision difficile ? ... ou évidence ? Cette fois, je ne reste pas seule bien longtemps. Mon Maître me rejoint et sourit. Je me rends compte que la rage doit se voir sur mon visage et que, bien que je sois totalement nue, je transpire, je dégouline, tellement je me suis acharnée sur les barreaux comme une furie. « Vous, les femelles, vous possédez un organe dont l’unique fonction est de procurer du plaisir. Plus de dix mille terminaisons nerveuses dans un minuscule volume. Imagine l’énergie électrique que le symbiote pourrait récupérer sur ton nerf dorsal. Le paradis pour lui. »  « Et toi en particulier, tu semble exceptionnellement bien dotée, d'après ce que j'ai pu observer », rajoute-t-il en rigolant. Il m'observait donc les nuits passées quand je me masturbais. Comment? Caméra infra-rouge? Entrebâillement de la porte ? La honte... « Tu es intelligente, je suppose que tu as compris. Je te laisse réfléchir, Ysideulte. Appelle-moi quand tu auras décidé. » Tiens, il m’appelle par mon prénom maintenant. Je commençais à penser que je me prénomme « salope ». "S'il vous plait, Maître". Je l'interpelle avant qu'il ne me laisse seule. "Est-ce que Sonia vous a expliqué comment je devrai procéder, si j’accepte ?" "Tu ouvres le flacon et tu verses le contenu très délicatement sur ta chatte. Ne t'inquiète pas, le symbiote trouvera tout seul son chemin. Il a parasité des mammouths, alors ce n’est pas ta peau qui lui fera obstacle. Mais si tu veux lui faciliter la tâche, attends d'être bien excitée et décapuchonne soigneusement ton clitoris en érection". "Et si je perds une goutte et qu’il est dedans?" "C'est un liquide nutritif, légèrement visqueux. Si tu fais attention, tu n’en perdras pas. Et puis je serai à tes côtés pour te surveiller. Je ne tiens pas à rater ça» "Je risque de ne plus avoir d'orgasmes tant qu'il sera en moi ?" "Peut-être. Peut-être pas. Mais est-ce important ? N'es-tu pas esclave sexuelle à présent ?" Je me retrouve seule à nouveau. Cette fois je ne vois pas le temps passer. Les questions, les pensées, me traversent l'esprit dans tous les sens. Peser le pour et le contre. Méditer. C'est ce que voulait mon Maître, certainement. Il aurait pu m'imposer de servir d'hôte. J'aurais obéi. Mais il ne l'a pas fait. Pourquoi? Sans doute parce qu'il estime que ce serait de l'abus de pouvoir. C'est donc à moi de décider... Je sais ce qu’il veut, mais il me laisse le choix. Mes yeux restent fixés sur le flacon, que mon Maître m’a laissé à portée de vue, derrière la loupe. J'observe l'élégant ballet de ce duo impeccablement synchronisé. Il me devient presque familier. Je finis par éprouver une sorte d'affection pour cet être étrange surgi du fond des âges. Si j’accepte, est-ce que je devrai passer les prochains mois, ou peut-être même les prochaines années, avec un passager clandestin dans mon clitoris ? Quel étonnant passager ! Son double visage a presque l'air humain. On a envie de le protéger. Est-ce que je vais souffrir quand il percera ma délicate chair pour se frayer un chemin jusqu’au nerf dorsal de mon clitoris ? Et comment est-ce que l'on me le retirera? Est-ce qu’il ne risque pas de me grignoter peu à peu le clitoris de l’intérieur? L’influx nerveux lui fournit l’énergie, mais il doit bien manger un peu, non ? Il a une bouche – non, deux bouches. Je vais finir par péter les plombs à force de réfléchir. Le temps passe sans que j'arrive à y voir clair. Ma réflexion tourne en rond. Je me fais une liste de questions importantes, que j'essaie de mémoriser. Sonia y répondra. Mon Maître ne peut pas me refuser cela. Et puis je me ravise, je me dis que je ne prends pas le problème par le bon bout. Qu'y-a-t'il de plus important que d'aider Sonia dans sa démarche, quoi qu'elle ait en tête et même si elle ne peut pas me le dire? Qu'y-a-t'il de plus important que de montrer à cet homme - mon Maître - dont je suis en train de tomber éperdument amoureuse que cette relation compte vraiment pour moi, que ses souhaits, même s'ils ne sont pas des ordres, comptent plus que tout pour moi ? Ma liste de questions pratiques semble dérisoire en comparaison. Je suis à nouveau prise d'une folle envie de me masturber. Et si c'était l'un de mes derniers orgasmes? Cette seule pensée me fait hurler de plaisir à peine me suis-je effleurée. Bon sang, il était fort celui-là ! J'éprouve soudain un sentiment de honte en réalisant que Sonia, où qu'elle soit en ce moment dans la maison, m'a certainement entendue hurler de plaisir. Je dois être une sacrée salope à ses yeux... C’est pour cela qu’elle a pensé à moi, sans doute. à suivre...  
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Par : le 06/02/23
Bonjour, Je suis étudiant en cinéma. Je sort d'un BTS audiovisuel à Toulouse et après avoir réalisé quelques courts métrages je tente cette année le concours général de la fémis (école de cinéma à Paris) en section scénario. La première épreuve de ce concours consiste à la réalisation d'un dossier personnel d'enquête. Parmis les thèmes proposés j'ai choisi celui des "limites" pour la réalisation de ce dossier. Je doit donc produire une document moitié écrit et moitié visuel qui développe un angle personnel sur le thème des limites. Personnellement mon point de départ, c'est le lien entre les limites personnelles et les limittes de la société dans laquelle nous vivons, le stade d'évolution des moeurs, de la morale, de l'économie et de la philosophie où en est l'humanité. Je compte aborder des sujets très différents parmis lesquels l'espace, la mort, l'univers des boites de nuits et enfin le BDSM dans la sexualité. Mon but est de montrer que tous ces thèmes, si différents soit-ils, disent tous quelque chose du lien entre nos limites personnelles et les limites du monde dans lequel nous vivons. Cette reflexion m'a assez rapidement mener a également considérer des sujets comme la recherche et la peur de l'infini. Pour parler plus précisement de la partie liée au BDSM je suis à la recherche de personnes qui le pratique (quelle qu'en soit la forme ou l'expérience) pour une collaboration qui se déroulerais en deux parties: La première, c'est une discussion sur le rapport personelle que la personne entretient avec le BDSM et la sexualité en général. On pourras aborder cette question sous un angle societal, educatil et même philosophique (qu'est ce que la personne recherche dans le BDSM, quest-ce que cela lui apporte etc). Il n'y a pas d'impératifs la discussion doit être naturelle et apporter de quoi nourrir ma reflexion mais également, pourquoi pas, faire reflechir la personne interrogée sur l'origine de ses envies. Cette discussion serait enregistrée (son uniquement). Je me servirait ensuite de citation dans mon développement écrit mais aussi d'extrait sonore dans un montage son que je compte réaliser pour accompagner mon dossier. Le deuxième temps de la collaboration serait la réalisation d'un portrait photographique de la personne (là encore aucun impératif la personne doit seulement être à l'aise). Cette photo servira à illustrer mon dossier et me servira aussi pour réaliser un collage que j'effecturais à partir de plusieurs photos de personnes différentes. Enfin nous pourrions egalement, si la personne le souhaite, réaliser une dernière phase du projet enssemble: Il sagirait d'une série de photo à l'argentique qui présenterais l'ambivalence du BDSM et son rapport ambigu avec la société. La mise en scène de cette série de photographie reste à déterminer avec la personne (je tiens à ce que se soit une véritable collaboration) mais, comme je souhaite mettre en scène la porosité des frontières, mon idée de base et de prendre une série de photo de la personne portant des attribut, costumes et accéssoires BDSM dans un lieu public. Cette mise en scène aurait pour intérêt de ramener un univers "tabou" ou parfois considérer comme marginal, sur le devant de la scène, dans des lieux ou il n'a normalement "pas sa place". Ce choix est motivé par l'idée que cette série de photo illustrerais le propos celon lequel les lieux banal de la société, emprunté par tous, rejette des pratiques considérées comme extrèmes mais en sont pourtant à l'origine puisque les pratiques extrèmes, et le fait qu'elles soient considérées comme extrèmes découle de tout le monde qui nous entoure. Néanmoins j'ai bien conscience que prendre ce genre de photos nécéssite une certaines confiance en soit (même si la personne peut être masquée), aussi faut-il être pret à tenter l'aventure. Ceci étant dit je suis ouvert à d'autres propositions de mise en scène qui illustrerait des thèmes interessant mais sont différente de celle que j'ai imaginée. Si quelqu'un parmis vous, qui lisent ce texte, est intéréssé.e par le projet, que ce soit pour toutes les parties de la collaboration, ou seulement pour une seules des parties, n'hésitez pas à me faire signe, y compris si vous souhaitez plus de précision sur le projet et les intentions. N'hésitez pas à me contacter, j'habite près de Toulouse mais je peux me déplacer un peu partout en France dans le cas où vous seriez interessé.e par la prise de photos. De manière générale je suis ouvert à toutes discussion autour du BDSM mais aussi au fait d'assister à des évènements qui pourrait ausis nourrir ma reflexion. Merci de m'avoir lu et bonne journée! Note de l'admin BDSM : une adresse email a été retirée de la publication. Contactez le rédacteur en privé (où vous pourrez échanger des adresses emails)
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Par : le 01/02/23
Il est tôt ce matin-là, quand Fabrice est jeune diplômé d’une grande école d’administration et doit valider ses partiels par un stage en entreprise, se réveille, le soleil commence à apparaitre à travers ces volets. les réveils sont souvent pour fabrice un moment de plaisir solitaire car une belle érection est présente comme chaque jour. Après quelques va vient énergique, la queue du jeune homme devient dur comme un morceau de bois. si fabrice est bien pourvu, il n’a que peu d’expérience sexuel, qui se résume à un dépucelage avec une amie tout ce qu’il y a de plus vanille et le visionnage régulier de site porno suivi de masturbation rapide et orgasme perdu.   Karoline arrive très tôt à son bureau, sa journée commence souvent par un bon café avec une viennoiserie tout en parcourant ses emails reçus après son départ de la veille. Elle est assez raffinée, tailleur de marque bien dessiné bleu, chemisier blanc avec des sous-vêtements Chantal thomas, bas noir auto fixant, qu’elle préfère car plus simple à mettre le matin. ces chaussures à talon montrent bien ces formes bien proportionnées et la rendre très sensuel, et bien souvent elle aime voir le regard de ces collègues quand elle passe dans le couloir. - Karoline, votre stagiaire est à l’accueil, il vous attend ! -merci pascale, je finis mon email et je vais le chercher -d’accord Karoline, je préviens l’accueil de le faire patienter 5 minutes dit pascale Karoline arrive à l’accueil et aperçois le jeune homme plutôt beau garçon, 1,75m et assez musclé a première vue, un petit sourire de plaisir envahie Karoline et son imagination sexuelle fait le reste, elle le voit déjà se glisser sous bureau a ces pieds, remontant lentement sous ses ordres, elle jupe relever jusqu’aux genoux … -Karoline ! -oui pardon   , j’étais dans mes pensées excusez-moi !!!!! -je vous présente Fabrice qui sera en stage dans votre service pour 5 mois -enchanté jeune homme, suivez-moi, je vais vous présenter à mes collègues Dans l’ascenseur qui monte au 6eme étage, une ambiance étrange et excitante envahie l’esprit de Karoline. le jeune homme semble tétanisé et à la fois il a une forme d’assurance physique, ce qui émoustille encore plus Karoline, ces seins commence à trahir son excitation, car on aperçoit les tetons pointer à travers la dentelle de sous soutien-gorge. Fabrice le remarque et ne peut s’empêcher de regarder cette poitrine si belle et provoque une réaction rapide à travers son pantalon de costume, il se concentre pour que cela disparaisse mais trop tard l’érection est là et visiblement très forte. De son côté Karoline a bien remarqué cette belle bosse sur le pantalon du jeune homme et faisant semblant de reculer elle fait mine de perdre l’équilibre et pose sa main sur son sexe a travers le jeans, -excusez-moi fabrice, !!! j’ai perdu l’équilibre avec ces nouvelles chaussures -pas grave madame Karoline, ne vous excusez pas, d’ailleurs elles sont très jolies -c’est que le jeune homme est flatteur !!et  qu’il a l’air bien pourvu ce Fabrice se dit elle ) Ces quelques mots font rougir de plus belle fabrice qui en plus de son érection, voit son visage devenir chaud et bien rouge. Sauvé grâce à l’ouverture de la porte, fabrice sort rapidement afin de penser à autre chose. -suivez-moi fabrice, je vous présente -ici dans ce bureau c’est le service immobilier … La présentation permet à fabrice de reprendre ces esprits et ainsi faire retomber son érection. Karoline quant à elle, poursuit son chemin et indique à fabrice que pour un coté plus pratique, il sera installé dans le même bureau qu’elle ... Fabrice sur le coup fut un peu surpris mais cela ne lui déplait pas non plus et la 1ere journée se passe normalement même si dans la tête de Karoline, elle avait trouvé là un objet sexuel dont elle allait profiter au plus vite.       Le soir venu Fabrice rentrait chez lui et n’avait qu’une idée en tête, regarder une vidéo pour se masturber tellement l’envie du matin n’avait jamais quitter son esprit Je vais lui bouffer la chatte à cette Karoline se disait-il !!! Elle m’excite trop !!! Rien que d’y penser, son sexe se dressa rapidement et il n’en fallut pas plus fabrice de mit nu dans son canapé une main sur ces testicules et l’autre sur le sexe et commença une masturbation, ses mains malaxait ses couilles et il se branlait en imaginant Karoline devant lui nue qui le regardait dans les yeux en lui disant Branle-toi pour moi salaud, montre-moi comment tu jouis !!! Son esprit était rempli du visage et du corps de Karoline et rapidement sa masturbation s’accélérait et se mit  à gémir puis  un râle de plaisir , ce qui provoquaune belle ejaculation et un beau  jet bien visqueux sorti de sa queue. Il éjacula plusieurs fois, ce qui le rempli de satisfaction et de frustration a la fois  ,mais a quand une vraie partenaire ... ?   La nuit fut reposante et fabrice était rapidement prêt pour retourner à son stagele lendemain , en arrivant il fut déçu, pas de Karoline, au bureau, du coup il se replongea dans les dossiers qu’il devait analyser et présenter à Karoline.   Vers 15h00 Karoline entrait dans le bureau -bonjour fabrice, vous allez bien ? Fabrice leva les yeux et son regard fut figée ! -oui très bien Karoline et je… Fabrice n’eut pas le temps de finir sa phrase -ce soir j’ai besoin de vous pour analyser un dossier, ça ne vous gêne pas de rester un peu plus tard ? Euh !! non Karoline, pas de souci ! Je n’ai pas d’obligation vous savez !! -parfait !! je file en réunion et on se voit après . Karoline était repartie du bureau aussi vite qu’elle était arrivée Fabrice avait cependant pu voir sa tenue, elle était vêtue d’un robe portefeuille rouge qui malgré le peu de temps qu’elle fut dans le bureau, il réussit à voir ces bas ! (dont bien sur Karoline a volontairement ouverte sa robe pour qu’il puisse voir, mais ça il ne le saura que bien plus tard) Un petit chemisier noir bien déboutonnée laissait apparaitre un décolletée des plus sensuelle L’attente de fabrice fut longue, et vers 19h30, ne voyant personne arriver et les bureaux se vidés, se décida à partir … Arrivé devant l’ascenseur, il appuya sur le bouton quand la porte s’ouvrit -oh fabrice, je vous ai oublié, vous partez vraiment ? Je ne vous voyais pas arrivée donc j’ai pensé ... -oui desolé ! allez suivez-moi  , je vous paye un verre dans mon bureau et on s’y met, ça prendra 1h ou 2 pas plus N’attendant pas de réponse de Fabrice, Karoline avança d’un pas décidé vers son bureau et en ouvrant la porte se retourna : Venez fabrice !! (et avec une voix toute douce : svp fabrice Une fois assis dans le petit salon du bureau, Karoline assise en face de Fabrice croisait et décroisait ses jambes de manière volontairement provoquante. -Dites-moi Fabrice, parlez-moi de vous ! -que ... que voulez-vous savoir ? il  était désorienté, paniqué, il voulait parler mais ces yeux fixait les jambes de Karoline et le troublait -vous avez une petite amie fabrice ? -non, madame ! -ah, comment un beau garçon comme vous est célibataire ? Euh…. Vous savez je me suis concentré sur mes études Karoline s’approcha de lui et mis un doigt sur sa bouche et d’un ton doux et ferme a la fois ! -tu es pas puceau mais presque toi je pense , je vais m’occuper de ton éducation !!!si tu veux biensur ? -mais madame !! -tu veux ou pas ??répondit Karoline d’un ton plus ferme !! -Oui je veux bien ! réussi à dire Fabriced’une voix incertaine … -écoute moi attentivement, je vais faire de toi un amant docile et disponible de grande classe afin de venir une Appolon sexuelle !!! D’accord madame ! mais que dois-je f… -enlève-moi ton pantalon fabrice dit Karoline d’un ton autoritaire !!! Fabrice était excité, paniqué et ne sachant pas si elle blaguait ou pas -tu attends quoi pour m’obéir !! Fabrice fit glisser son pantalon de costume le long de ses jambes, il mit instinctivement ses mains pour cacher son érection qui faisait gonfler son caleçon -je vois que je te fais de l’effet dit elle !!!! -enlève tes mains ! Fabrice s’exécuta avec febrilité et docilité, laissa apparaitre un sexe bien dur à travers son caleçon, Karoline le fixa et lui dit avec un sourire malicieux : -tu bandes comme un âne mon bébé , tu as l’air d’aimer ce qui se passe ,  on dirait !!! Fabrice rougit, mais aucun mot ne put sortir sa bouche. Karoline s’approcha de fabrice et se posa devant lui écarta les jambes de fabrice et se mit debout près de lui : -regarde-moi !! Elle commença à défaire son chemisier, bouton après bouton lentement, fabrice était comme un statut de cire, fixé sur les yeux de Karoline, mais son sexe était gonflé à tel point qu’il pensa un instant qu’il allait éjaculer comme ça ! Karoline pris la tête de fabrice pour la plonger dans son décolletée !! -tu aimes mes seins fabrices ?? -oui oui madame !! Lèche-moi les tetons avec ta langue et ne t’arrête pas tant que je ne te le dis pas d’arrêter !! Fabrice sorti les seins du soutien-gorge avec douceur et excitation et se mit à les lécher, sucer , tel un veau qui tète sa mère … Il allait du sein droit au gauche sans pause, il gémissait aussi tellement son excitation lui faisait mal !!! Après un long moment Karoline sans ménagement le repoussa !! -Allez rhabille toi il est tard !! Fabrice ne compris pas ce qu’il se passait lui demanda : -j’ai …j’ai fait quelque chose de mal ? -non mais je dois partir, demain tu viens plus tôt et tu allumes ton ordi, je vais t’envoyer des instructions à suivre à la lettre. -compris bébé ? -oui madame !! -allez filer chez toi, et fabrice, interdiction à toi de te masturber et faire jouir tant que je ne l’ai pas décidé !!!!ok fabrice ? -oui madame !!!! -désormais ça sera « OUI maitresse quand on est seule ensemble » -oui maitresse !!!!!!! Refermant son chemisier, Karoline s’approcha de lui fit un doux baiser sur les lèvres en posant sa main sur sa queue en serrant assez fort Fabrice ne put retenir un petit gémissement de plaisir  !!-je vais t’apprendre à être un étalon du sexe !!   A demain mon bébé  dit d’une voix douce Karoline en quittant le bureau…     Fabrice était rentré chez lui avec la queue en erection  tellement l’excitation de ce moment passé avec Karoline était intense .la soirée fut longue et son érection ne retomba que tard dans la nuit. Au réveil fabrice était déjà surexcité, a l’idée de lire les instructions de sa maitresse. Mais déjà son portable sonnait :sms de Karoline -mon bébé !! j’ai oublié de te dire hier soir «  pas de caleçon sous ton costume » -oui maitresse répondit Fabrice par sms   Karoline de son côté n’avait pas résisté en rentrant chez elle a se caresser sous la douche, Et commençait à réfléchir sur ce qu’elle exigerait de fabrice le lendemain ... Après un repas des plus rapide, elle fila se coucher à côté de son mari Eric. Il sentit la main de Karoline qui se posa sur son sexe et commençait à le masturber, Voulant se retourner elle le repoussa et accéléra sa masturbation, son mari la laissa faire et Après 10 minutes de caresses, il finit par jouir dans les mains de Karoline qui lui sourit, l’embrassa. -bonne nuit chéri   6h00, Karoline est déjà debout, bol de café à la main en nuisette transparente, (qui laisse bien apparaitre sa poitrine qui pointe), file sur son ordi portable, très concentrée et avec le sourire en coin, elle prépare ses instructions … » clic (envoyé). Fabrice arrive comme prévu assez tôt vers 7h30 au bureau, seul un responsable marketing est la qui d’ailleurs lui fait remarquer : -bien matinale fabrice !! -oui monsieur, j’ai des dossiers à préparer pour Karoline, qu’ elle doit les rendre cet après-midi,et  elle m’a demandé de tout vérifier une dernière fois ! Fabrice trouva la première excuse qui lui passait par la tête, et  son collègue a cru à cette histoire : -bon courage alors et n’oubliez rien car Karoline est assez exigeante sur la qualité des dossiers qu’elle présente !   Fabrice alluma son ordi fébrilement et avec une pointe d’excitation aussi : Bonjour fabrice, je vais arriver à 9h30 au bureau, à 9h15 tu vas t’installer sous mon bureau qui tu pourras le voir est fermé en dessous donc personne ne te verra ! Je serais accompagnée d’une cliente avec qui j’ai rdv, elle ne doit absolument ni  t’entendre ni bouger ou quoi que ce soit !!! Quand je vais m’installer à mon bureau, voilà ce que tu devras faire Pour commencer, m’enlever mes talons délicatement, me faire un massage des pieds avec tes mains et me caresser avec ta bouche les pieds. Ensuite, dès que je vais écarter les jambes ça sera le moment de remonté le long de mes jambes en me caressant avec ta langue jusqu’à mon sexe, tu n’utiliseras jamais tes doigts mais uniquement ta langue et je jeux que tu me lèches tant que m’a cliente sera la …   Karoline positionnée dans son dressing commence à s’habillée en prenant soin de bien choisir sa tenue, toujours en nuisette, son mari rentre dans la pièce sortant de la douche encore humide, et s’approchant de Karoline qui était dos a lui : -dis donc hier soir tu étais excitée  j’ai l’impression !!!   dis Eric -un peu oui dit-elle avec un petit sourire et se retournant -je vois que tu es en forme ce matin Eric s’approcha de Karoline, la plaquant contre l’armoire et écartant ces jambes : A mon tour ma chérie !!! Il frotta son sexe déjà raide sur les fesses de Karoline et la pénétra lentement mais sans difficulté, Karoline était déjà bien humide à préparer son email pour fabrice. -je vois que tu es bien humide ma petite salope ,il  rentra sa queue sans ménagement dans le sexe de Karoline, qui commençai à lâcher quelques petits cris de plaisir -tu aimes ça que je te baise comme ça chérie, humm -tu m’as trop excité hier soir, à mon tour de te faire jouir !!!!écartes bien tes cuisses !!! Eric faisait des mouvements du bassin assez fort qui provoquait un gémissement à chaque coup de rein et accélérant la cadence, il sentit Karoline ondule de tout son corps, la jouissance était proche : -humm oui mon chéri ne t’arrête pas humm oui baise moi !! ouii -Karoline poussa un cri de plaisir sur les derniers coups de reins de son mari et se mit à vibrer par la jouissance. -avec un sourire aux lèvres Eric reparti se doucher de nouveau en ne manquant pas de dire à sa femme : -bonne journée chérie 😊       9h15, fabrice qui bandait déjà derrière son bureau, hésita à suivre les instructions, de peur de se faire griller par ces collègues, mais en y réfléchissant, le bureau de Karoline était assez isolé et de l’extérieur, avec une baie vitrée vue sur un parc. Son bureau d’un style assez large laissait la place pour se glisser dessous sans être trop comprimé du a sa taille. Mais l’heure n’était plus à réfléchir, car il entendit la voix de Karoline dans le couloir. Karoline rentre dans le bureau le tel portable collé à l’oreille : -oui faites monter madame dubordant, je viens d’arriver à mon bureau ! Fabrice était, comme prévu à genoux sous le bureau, il était en pantalon de costume chemise, il était pétrifié de la situation et pourtant son sexe raide le trahissait du plaisir qu’il ressentait ! -fabrice, tu as intérêt à pas faire de bruit !! -non maitresse !! -bonjour madame dubordant, installez-vous !! Les deux femmes commençaient à discuter.  Fabrice commença par enlever les chaussures à talons noires de sa maitresse, chaussures de grande marque avec des semelles rouge, ensuite avec ces mains commença à masser délicatement les pieds, ce que ne savait pas Karoline, c’est que fabrice était le fils d’un kiné et qu’il avait appris à prodiguer des massages des plus relaxant et connaissait les points de sensibilité de la voute plantaire. Karoline ne s’attendait pas à cette nouvelle sensation et fut agréablement surpris du bien-être et de la maitrise de son soumis. Fabrice profitait aussi de la situation et savait qu’en appuyant à certain endroit du pied, cela pouvait engendrer une montée de plaisir, Karoline se mordillait la lèvre pour ne pas gémir. Fabrice suivait à la lettre les instructions, il commença ces caresses non plus avec les mains, mais avec la langue le long des jambes, très vite il atteint le haut des bas, Il sentit Karoline décroisée les jambes et fabrice les yeux grands ouvert constatèrent qu’elle ne portait rien dessous sa jupe, son érection si forte désormais qu’il défait le plus discrètement sa braguette pour faire sortir son membre rouge d’excitation ! Avec douceur et sans un bruit il s’approcha de la toison de Karoline et sorti sa langue pour léchée sa maitresse ! Karoline ferma quelques instants les yeux dès qu’elle sentit les premières caresses Fabrice était aux anges et le gout de ces lèvres étaient divin, il buvait ce nectar sans discontinuer parfois en pénétrant légèrement du bout de sa langue. Karoline compris très vite que fabrice était plutôt doué malgré son peu expérience sexuelle, elle mouillait bcp, et plus il la léchait plus le plaisir montait en elle Il fallait qu’elle represse les reines sinon, elle ne pourrait plus contrôler la situation et par chance son tel fixe sonna et en profita pour recroiser les jambes et ainsi fabrice du reculé et attendre dans une position qui devenait très inconfortable du a sa grande taille. -oui faites monter le directeur, je suis actuellement avec madame dubordant ! Fabrice écoutait attentivement les mots que venaient de prononcer Karoline -je suis là sous le bureau alors que le directeur vient voir ma cheffe se dit fabrice !!!! -mais s’il demande ou je suis ? pensa t’il !! Figée et à genoux il s’efforça à ne pas bouger -entrez Alain, je vous présente madame dubordant qui va nous confier son projet à Dubaï. Après quelques banalités, Karoline suivi de son patron et la cliente allaient t sortir du bureau : -votre stagiaire n’est pas la aujourd’hui Karoline ? -si si mais je l’ai envoyé chercher un colis au service postaux a l’étage -ok prenez soin de lui, c’est le fis d’un de mes amis !! -oui bien sur Alain ! Fabrice profita du départ de tout ce petit monde pour sortir enfin et pris rapidement le temps de refermer son costume remettre sa queue qui avait un peu dégonflé à l’intérieur de son pantalon. il reprit sa place à son bureau, et essaya de se concentrer sur ces dossiers mais sans vraiment y arriver. Karoline revint une demi-heure plus tard, et a peine rentrée, ferma à clé et se dirigeant vers fabrice : -tu ne diras rien de ce qui se passe ici à ton père sinon je suis grillée !! Bien sûr maitresse ! mais il faudra aussi être gentil avec moi !! -comment ça ? -et bien je suis peut-être novice en sexe mais je sais profiter des opportunités !! -que veux-tu dire ?? ronchonna Karoline -tu vas m’apprendre à être un étalon comme tu me l’as dit mais en plus tu vas me trouver des femmes comme toi qui me payerons pour les baisers !!! -mais…. Je … on verra !! -non on signe un pacte, tu m’apprends à être un étalon du sexe et je suis à toi le temps de la formation sexuelle après tu me trouves des femmes à baiser, sinon. -sinon quoi ? J’en parle à mon parrain !! Karoline se mit à rire sur ces mots -je m’en fou de ton parrain -pas certain !! Pourquoi ? C’est Alain mon parrain ! Karoline resta bouche bée et retourna à son bureau, furieuse et mêlée d’excitation d’avoir le plaisir de former à son gout un jeune puceau -ok !!je signe où ? dit-elle - je prépare le contrat pour cette après-midi Karoline -ok mais ça ne change rien, c’est maitresse quand on est tous les 2   Karoline vexé n’adressa plus la parole a fabrice de la journée et replongea dans ces dossiers sans interruption jusqu’à 18h00, l’heure à laquelle partait en général fabrice !! -tu es encore la finit par lancer Karoline -oui j.… maitresse, répondit fabrice -je vous le dépose ici Karoline ! -déposé quoi ? -le contrat !! dit-il avec un petit rictus de provocation -ok je le lis ce soir et dès que je rentre de mon séminaire qui débute demain pour une semaine on en reparle Karoline attendit que fabrice parte pour prendre le contrat Après une lecture bien attentive, Karoline compris très vite que le jeune homme désirait apprendre à faire l’amour et procurer du plaisir à ces partenaires féminines, ce qui réjouissait Karoline. Quelques jours plus tard, Karoline vêtu d’une simple petite robe courte orange faisant apparaitre ces jolies jambes montées sur des talons qui faisait bien ressortir ses fesses et mollets revenait de son séminaire, et en rentrant s’approcha de fabrice et lui fit la bise ! -ça va fabrice ? -oui impeccable et toi ? -oui super bien, et puis dit-elle en fermant la porte, j’ai lu ton contrat, ça me va bien Si tu respectes tout ce que tu as écris, ça sera parfait pour moi -je respecterais le contrat Karoline affirma fabrice -ok, on déjeune ensemble ce midi ? demanda Karoline -oui avec plaisir maitresse !! dit-il en souriant Un sourire aussi était sur le visage de Karoline, qui se mit à son bureau décrocha son tel : -oui bonjour madame, je voudrais une réservation pour 2 personnes dans le petit salon si c’était possible … merci ,  a tou t a l’heure vers 12h30 -fabrice, on prendra ma voiture, vers 12h, c’est moi qui t’invite !! -d’accord maitresse L’atmosphère était des plus léger entre eux, et à 12h00 comme prévu il partait déjeuner. Une fois en voiture Karoline, assise et faisant volontairement remonter sa robe orange et regardant fabrice lui dit : -sort ta queue de ton pantalon et montre-moi comment tu es excité  ou pas encore !! Electrochoc, pour fabrice surpris, mais décidé à respecter le contrat, défait sa braguette et sorti sa queue molle mais qui rapidement se dressa comme un serpent pour impressionner sa proie !! Laisse-moi te caresser fabrice !! ordonna Karoline Elle prit sa queue et commença à le branler, fabrice avachit dans le siège et les yeux fermés essayait de se concentrer pour ne pas éjaculer trop vite mais Karoline le savait très bien, et accélérait volontairement sa masturbation !! -arrêtez maitresse !! je   … je vais … je …. Ahhhhhhhhh Fabrice ne put se retenir de jouir et un jet bien fournit et chaud sorti de sa queue pour finir sur la boite a gant devant lui, Karoline continua encore afin de faire sortir les dernières goutes de ce nectar perdu !!! -tu as des choses à apprendre pour ne pas jouir aussi vite !!allez essuies toi on file déjeuner maintenant !!   Arrivée 30 minutes plus tard au restaurant, fabrice avait repris ces esprits, et ils s’installaient l’un a coté de l’autre dans ce petit salon privatif . -servez nous 2 coupes de champagne et on prendra le menu découverte des saveurs du moment !! --tu as l’air de bien connaitre cette endroit Karoline ? -oui j’y ai mes habitudes !!et puis on est tranquille lui dit-elle en prenant sa main et la posant sur sa cuisse !! -mais on peut nous voir !! -fais ce que je te dis pour le moment !! Caresse-moi doucement avec tes doigts, tu m’as excitée à te voir jouir comme ça et si vite !! Bien sûr Karoline avait pris 5 min avant de partir de retirer son string pour être plus à l’aise -humm, oui fabrice comme ça !! doucement !!ouiii plus vite !!! -ça m’excite maitresse, j’ai envie de glisser sous la table pour te lécher !! -patience fabrice !!continue à me caresser !!ahhh hummmm Karoline ondule sur sa banquette ! -continue !!humm mm !! Soudain la porte du salon s’ouvre et la serveuse entre pour servir les coupes de champagne, fabrice retire sa main mais Karoline l’en empêche !! -tu ne bouges pas ta main lui ordonne Karoline en lui parlant dans l’oreille ! La serveuse pose les 2 coupes et son regard se pose quelques instants sur fabrice et Karoline, puis : -bonne dégustation avec un sourire malicieux !! La serveuse a peine partie, Karoline s’approche de fabrice et l’embrasse, les langues s’entremêles, Karoline prend les choses en main, prend l’autre main de fabrice pour la poser sur ces seins !! -continue à me caresser fabrice murmure Karoline !!j’adore !!fais-moi jouir avant qu’on mange !! -oui Karoline !! -hummm continue !!! Karoline, les jambes écartées, la tête en arrière, yeux fermés, est à la merci des doigts de fabrice !! Un doigt, puis 2 hummm ahh ouiiiiii fabrice ouiiiiiii vas-y ! ça vient continue salaud, tu vas me faire jouir !!!! Le moment est intense, Karoline ferme les yeux et dans un râle de plaisir jouis ainsi au grand plaisir de fabrice qui comprends à cet instant l’importance des caresses, ils retirent ces doigts, lèche ce nectar et bois une gorgé d champagne, sous le regard ravi de Karoline, chacun d’eux avait compris que le début d’une relation sexuelle allait les emmener vers des plaisirs divins.   Les semaines passaient et la formation de l’étalon avançait à grand pas, fabrice était capable désormais de gérer son excitation, récupérait très vite, et pouvait jouir 2 voire 3 fois en une heure, pour le plus grand plaisir de Karoline, mais toujours pas de pénétration, Karoline lui interdisait toute relation sexuelle, en dehors de leur rencontre. Très souvent elle le faisait venir aux toilettes lui baissait le pantalon et le masturbait ainsi pour voir combien de temps il résistait, et tant qu’il ne pouvait pas résister plus de 15 min a une masturbation intense, il ne pourrait pas la baiser, alors fabrice s’entrainait chez lui seul à contrôler sa jouissance. Parfois aussi Karoline lui donnait rdv dans un petit terrain privé pour pratiquer avec lui de long 69 jusqu’à la jouissance. Chaque fois était différente mais avec beaucoup de plaisir et s’excitation Le stage de fabrice se terminait dans 2 semaines, et toujours pas fait l’amour avec Karoline, fabrice commençait à s’impatienter, et Karoline l’avait remarqué …. Ce matin-là, fabrice reçu un sms différant de ceux habituel : -prévois des affaires pour 3 jours, on part cet après-midi à Deauville voire un client Fabrice était réjoui de ce sms et répondit très vite : -ok je prépare mes affaires et j’arrive Karoline était déjà arrivée quand fabrice rentra dans le bureau : -bonjour Karoline ! -bonjour fabrice, approche-toi !! Il avait l’habitude qu’elle vérifiait s’il ne s’était pas masturber la veille en défaisant sa braguette et elle le suçait juste pour vérifier que son gland ne sentait pas le sperme, et bien sûr il bandait rapidement, a peine avait-elle poser sa main sur sa queue que l’érection était présente. -j’adore ta queue mon pti fabrice !!on devrait bien s’amuser ces 3 jours et je t’ai réservé une surprise. Sur la route qui même à Deauville, fabrice conduit à la demande de Karoline, car elle se sentait fatiguée, avec sa robe courte a fleur, fabrice avait du mal à se concentrer et parfois il posait sa main sur la cuisse de Karoline, mais Karoline le stoppait : -conduis, concentre-toi et laisse-moi me caresser devant toi pendant que tu conduis, et fais-moi plaisir sort ta queue, je veux voir l’effet que j’ai sur toi quand je me caresse !! Fabrice ne perdit pas de temps et sa braguette rapidement défait, sa queue était à la vue de Karoline. -mais tu bandes déjà mon salaud !! Karoline la tête posée sur le dossier du siège se caressait lentement et fabrice conduisait du mieux qu’il pouvait mais il était excité de voir Karoline gémir sans retenue dans la voiture : -hummm !! que c’est bon fabrice !! ahhh je mouille comme une belle salope, donne-moi tes doigts !! Prenant la main droite de fabrice, elle le guide, pour lui faire gouter son nectar -mets tes doigts dans ta bouche !!!!goute mon nectar fabrice Fabrice adorait lécher Karoline donc il connaissait ce gout si doux et savoureux !! Et sa queue ne faisait que gonflé et durcir comme du bois !!mais Karoline avait décidé que ces 3 jours seraient l’aboutissement de son éducation sexuelle et elle devait voir sa résistance. Elle prit la queue de fabrice dans sa main et le branla doucement au départ pour voir sa réaction : -Je t’interdit de jouir !!! -Oui maitresse Les yeux sur la route, fabrice ne disait rien mais quelque râle sortait de temps en temps sur les accélérations de la masturbation de Karoline. Malgré tout fabrice tient sur la durer même si parfois il sent qu’il est au bord de la jouissance Karoline est fière de lui !! -tu es fin prêt mon pit fabrice pour ce soir !!lui dit elle en remettant sa bite dans le pantalon !   Arrivée à l’hôtel, chacun prend sa clé de chambre et monte se changer : -rdv à 20h30 à l’accueil fabrice, on a rdv à 21h00 -ah ok, je croyais que l’on voyait le client demain répondit surpris fabrice ! -changement de programme ! -ok Karoline a tout à l’heure 20h30 fabrice était déjà dans le salon de l’hôtel à attendre Karoline, quand il l’aperçue sortir de l’ascenseur, Karoline avait une robe en cuir noire moulante, et un haut transparent blanc et on devinait facilement les dessous en dentelles blancs, talon noire, maquillée comme jamais : -on y va fabrice !!? Euhhhh oui Karoline, tu es superbe !! -ravie que ça te plaise !! c’est moi qui conduis ce soir si ça ne te gêne pas ! - non Karoline ! Karoline restait silencieuse durant tout le trajet, ce qui perturbait fabrice, elle était si bavarde d’habitude. Après 15 min de route, Karoline se stationnais dans un pti square d’un pti village pas loin de Deauville ! -on fait quoi ici Karoline !!!?? -fais-moi confiance fabrice !! Fabrice suivait Karoline en reluquant ces fesses si bien galbées avec les hauts talons qu’elle portait. Karoline s’approcha d’une maison et sonna à la porte -coucou marie !! La porte s’ouvrit et les yeux de fabrice semblait sortir de ces orbites, une femme vêtue d’une simple nuisette totalement transparente était la devant lui ! -toujours aussi a l’aise chez toi à ce que je vois marie !! -bien sûr Karoline !! et là j’ai fait un effort, d’habitude je suis toujours nue chez moi -je te présente fabrice, le stagiaire dont je te parle régulièrement -bonjour madame !!dit fabrice en tendant sa main -pas madame !! mais marie et on se fait la bise !! Marie fit une bise bien forte sur la joue de fabrice -allez entrer mes amis !! Marie referma la porte et suivait fabrice et Karoline vers le salon -champagne ? -avec plaisir répondit Karoline !! c’est fête ce soir !! -et toi champagne aussi j’espère fabrice ? demanda marie -oui bien sûr marie ! La nuisette de marie attirait le regard de fabrice qui commença à bander à la vue de ces seins qui pointaient sous la nuisette, Karoline qui ne ratait rien du spectacle souriait -dis donc fabrice tu as l’air d’aimer la tenue de mon amie on dirait !!! -euh ...oui Karoline !! -alors montre lui comment tu es contente de la voir !!!ordonna Karoline -comment ça ? demanda fabrice surpris -défais ton pantalon t sors ta queue !!! -mais…  -sors ta queue, montre à marie ta bite !! Marie assise jambe écarté sur le fauteuil face à fabrice avait ces mains posées sur son sexe et commençait à doucement se caresser pendant que fabrice se relevait et baissait son pantalon et caleçon pour sortir sa queue bien raide et rasé de près depuis que Karoline lui avait dit qu’elle n’aimait pas les poils sur les testicules et autour du sexe ! son sexe était bien raide et Karoline s’approcha de fabrice et lui dit : -allonge toi sur le canapé !! Fabrice s’exécuta pendant que marie en profiter pour se lever et chevauchant fabrice au niveau du visage : -il parait que tu es doué en caresse, montre-moi cela fabrice ! dit-elle en approchait sa toison de la bouche de fabrice qui avait déjà sortie sa langue prête à accueillir le sexe de marie déjà humide ! Karoline de son coté avait retirer sa jupe et chemise et s’approchant de fabrice, elle commença à ouvrir la chemise de fabrice et lui faire des baisers sur les tetons, sur le torse, avec ces mains elle continue de titiller ces tetons tout en descendant sur le nombril !! Fabrice gémissait de plaisir et continuait de léchée marie qui émettait des ptis cris de plaisir a chaque coup de langue !! -humm, tu as raison ma Karoline, il est doué ton stage... ohh humm oui...stagiaire !!hummm continue fabrice hummm Quant à Karoline elle prit en bouche fabrice qui secoua le bassin tellement le plaisir montait !! Karoline commença sa fellation par de légère caresse sur le gland ... ensuite elle prit plaisir à prendre ces testicules dans ces mains tout en caressant le gland !! Fabrice était en état second avec ces deux femmes, Karoline décidait de passer à la vitesse supérieure en prodiguant sur la queue de fabrice une fellation bien humide et rapide qui faisait monter la sève et elle sentait qu’il était proche du a l’excitation du moment, proche de jouir et d’un ton malicieux : -tu me laisse ta place marie !! -bien sûr ma Karoline, dit marie en se relevant et embrassant sur les lèvres Karoline et s’enlaçaient sous les yeux de fabrice, prenant place sur le visage de fabrice Karoline donna ces ordres : -fais moi jouir avec ta langue mon pti chéri !! De son coté marie se mis à califourchon et s’empala sur le sexe raide de fabrice qui cria de plaisir Ahhhhhhhhhh !!! hummmmmmmmmmm -tu aimes ma surprise fabrice ??murmura Karoline -humm oh oui humm merci maitresse, ahhhh ohhh Il arrivait plus à parler entre le sexe humide de Karoline à lécher et marie qui faisait des vas et vient sur sa bite le plaisir était totale. Après un moment dans cette position, Karoline se releva elle mit ces mains sur le bord du canapé les fesses prête à accueillir fabrice, allez marie, laisse-moi voir de quoi est capable notre étalon : -je te confirme que sa queue est bonne, humm ouiii !!! dit marie en se relevant à son tour, pendant que fabrice se mit debout et se mettant derrière Karoline commença à la baiser en levrette, il entra sans difficulté dans la chatte de Karoline bien lubrifié avec ces caresses Et commençait avec vigueur ces coups de reins, sa queue raide et rouge gorgé de sang faisait effet sur Karoline qui yeux fermés faisait à son tour des ptis cris de plaisir. Marie était venue face à Karoline et commençait à l’embrasser et pincé a laide de ces mains les tetons bien dures et qui accentua les gémissements de celle-ci qui semblait être proche de la jouissance.   La scène mettait fabrice dans tous ces états et devenait de plus en plus rapide dans ces coups de reins. Karoline ordonna à fabrice de continuer sans arrêter car elle allait jouir : -oui vas-y , baise-moi !!!!! oui continue ……ahhhhhhhh je jouis fabrice !!  ouiiiii ahhhhhhhhhhhh !!!!!Karoline était sans voix et se laissa tomber sur le canapé, fabrice avait le visage radieux de voir Karoline comme ça et sa queue bien raide toujours et encore était prête pour baiser à son tour : - viens me baiser bel étalon cria marie jambes écarté assise sur le fauteuil !!! Fabrice la queue entre les mains s’approcha et comme Karoline il la pénétra sans souci humide voir plus que Karoline !!!!! Fabrice était devenu un vrai étalon, résistant doué, bien monté et ces coups de reins faisait mouche sur marie aussi, il faisait des vas et vient tel un taureau et marie avec les yeux mi-clos et était excitée comme jamais à lui parler avec un mélange d’excitation, et de jouissance -vas y baise moi comme une belle salope !! vas y mets moi ta queue bien a fond dans m.… oh ouiiiii vas y continue Karoline avait un peu repris ces esprits et s’approcha de fabrice et lui saisi les testicules et elle les serras dans sa main !! -vas-y baise mon amie et je veux voir quand tu jouis -ces mots avaient galvanisé fabrice qui accélérait la cadence et marie à son tour cria en atteignant l’orgasme, fabrice lui aussi était très proche d’éjaculer et a peine retirer de la chatte de marie, Karoline lâcha les couilles et pris la queue de fabrice pour le branlé avec une cadence tel que D’un coup fabrice se mit à gémir et un énorme premier jet sorti de son gland pour finit sur l’entre jambe de marie face a lui, d’autres jets suivirent sous les caresses de Karoline !!! Fabrice allongé sur le canapé venait de concrétiser ces quelques mois ou frustré il n’avait pas eu cet énorme plaisir de jouissance.     Les 3 étaient extenué mais heureux, sourire aux lèvres, ils se regardaient complices du plaisir qu’ils venaient de partager … Avec ces quelque mois fabrice avait appris toutes les subtilités du plaisir, du partage, des caresses. Karoline s’approcha de lui pour l’embrasser langoureusement suivi de marie et leurs mains caressaient de nouveau le sexe de fabrice qui très vite recommença à se dresser, toujours prêt C’était bien la fin de sa formation, le stagiaire est devenu étalon et la soirée continua dans le lit de marie ……        
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Par : le 18/01/23
 Il y a si longtemps que cette histoire a commencé que je ne me souviens même pas de l’année. Je me souviens de cette annonce sur une revue spécialisée, le net n’étant même pas encore inventé. De mémoire, elle disait à peu de chose près, ceci : « Maître pervers et vicieux cherche jeune salope à former à toutes les perversités, délocalisation et dépersonnalisation totale, si capable ». Suivait une référence et la mention : « Répondre à l’annonceur ». À cette époque, j’avais déjà une bonne expérience des bites et malgré mon jeune âge, je savais déjà que j’étais destiné à servir de jouet sexuel, tellement je prenais plaisir à sucer des queues et à offrir mon cul de jeune minet dans toutes les pissotières de la région. J’ai donc répondu sans vraiment espérer quoi que ce soit, persuadé qu’il s’agissait d’une blague, et j’ai oublié cette histoire jusqu’à ce jour où je reçus un colis… À l’intérieur, je trouvai un cahier à la couverture plastifiée marquée « Mon cahier de trainée » aux pages numérotées, un album photos vide et une lettre contenant les instructions. Salut salope, Alors comme ça, tu prétends être une bonne salope adorant les bites ? Il va falloir me prouver cela si tu espères un jour m’appartenir et apprendre à te dépasser. Comme tu peux le voir, je t’ai envoyé un cahier et un album photos. Chaque fois qu’un homme se servira d’un de tes trous, je veux qu’il mette un commentaire sur le cahier et une photo de toi où l’on voit bien son foutre soit dans ta bouche, soit dégoulinant de ton cul. Tu y ajouteras ton propre commentaire expliquant en termes aussi crus que possible que tu n’es qu’une salope bonne à fourrer. Une fois l’album photos rempli, tu me renverras le tout et je verrai alors si je peux espérer faire de toi une vrai chienne. Si tel est le cas, tu quitteras immédiatement tout ce que tu as et tu seras entièrement pris en charge. À ce moment-là, il sera trop tard pour changer d’avis. Alors réfléchis bien, je te laisse un mois jour pour jour. Après quoi, il sera inutile de me recontacter. Ton futur Maître La simple lecture de cette lettre fit littéralement bouillir mon sang et je ne résistai pas à l’envie de me branler, imaginant toutes les perversions que cet homme pourrait me faire subir. Mais j’étais loin de me douter que toutes mes espérances allaient être dépassées. Je me mis un doigt dans le cul, jouant à le bouger tout en me caressant, le ressortant pour le lécher et le remettre encore, gémissant comme une bonne salope, jusqu’à ce qu’une bonne dose de foutre vienne inonder ma main. Je m’en tartinai le trou, savourant le reste sur mes doigts, déjà prêt à une autre saillie. Une fois mes sens calmés, et après que j’eus savouré mon foutre jusqu’à la dernière goutte, je me dis qu’un mois c’était plutôt court comme délai et qu’il fallait que je me mette rapidement à l’œuvre. Je préparai donc un petit sac destiné à mettre le cahier, un stylo, un feutre indélébile et un appareil photos, et me dirigeai vers la pissotière des quais. C’était une vespasienne à l’ancienne, simplement un mur goudronné et une rigole, un lieu bien connu à l’époque pour être un rendez-vous homo, et où j’avais souvent sévi, suçant n’importe qui et me faisant baiser par tout le monde, et surtout devant tout le monde. En effet, je trouvais très excitant de voir tous ces mâles se branler en me regardant me faire baiser, me traitant de tous les noms, la plupart profitant de l’occasion et venant sans état d’âmes ramoner ma bouche et mon cul encore gluant du foutre du précédent. Je repartais toujours tard la nuit, couvert de sperme, n’ayant qu’une idée en tête, y retourner le plus vite possible. Ce soir-là, il devait y avoir trois ou quatre hommes debout devant l’urinoir et qui se caressaient doucement, attendant l’occasion qui ne manquerait pas de se présenter. À peine entré, je respirai à fond pendant de longues et délicieuses secondes cette odeur qui m’enivrant à chaque fois, mélange de goudron, de sperme, de vieille pisse et de sueur. Puis je m’approchai du mur couvert de petites annonces, y trouvai un lieu encore vierge et y inscrivis la mienne : Bonne salope docile avalant les bites par tous les trous cherche donneurs tous les jours dès 18h pour faire son press book. Laisser message Comme je le pensais, les hommes présents, voyant mon geste, vinrent lire l’annonce puis se tournèrent vers moi. Après un moment de silence, l’un d’eux s’approcha de moi et me mit la main sur les fesses : — Alors comme ça, on est une salope en chaleur qui a envie de se faire baiser ? — Oui, et je dois faire signer mon cahier de trainée et y joindre mon commentaire et une photo chaque fois qu’on me baise. Déjà ma main s’était posée sur le devant de son pantalon où une bosse prometteuse s’était formée. Presque par réflexe, je me suis mis à genoux et j’ai ouvert la braguette du type, dévoilant un sexe au dimensions plus qu’acceptables, sexe que j’ai immédiatement pris en bouche, ponctuant le tout d’un gémissement de plaisir non dissimulé. — Putain, c’est vrai que tu sais sucer, toi. On voit tout de suite que tu aimes ça et que tu fais pas semblant… Régale-toi salope! Je mettais tout mon cœur à donner du plaisir à cet inconnu, passant de petits coups de langue sur le gland à des gorges profondes, quittant parfois la bite pour gober les testicules, léchant la tige avant de la reprendre en bouche. Derrière moi, je sentais les autres mâles s’exciter devant le spectacle. Aussi je me remis debout, cassé en deux afin de leur offrir l’accès à mon cul. Comme je l’espérait, mon pantalon se retrouva très vite sur mes chevilles et un doigt emplit mon trou, suivi d’un autre. — Cette salope a un cul accueillant, pire qu’une chatte. Je lui ai glissé deux doigts sans même avoir à la lubrifier. — Ouais, et regardez-la trémousser du cul de plaisir. Il lui faut plus que des doigts. — On va lui en donner, les gars, tous et par tous les trous. On va la faire déborder de foutre, cette chienne. J’étais aux anges, à ma place, et j’abandonnai mon corps aux assauts de ces inconnus qui passaient à tour de rôle de ma bouches à mon cul, me retournant à leur gré dans toutes les positions sans se soucier de la pisse qui trainait au sol et dans laquelle ma figure frottait parfois, ne songeant qu’à leur plaisir. À chaque fois que l’un des hommes jouissait dans un de mes trous, il prenait une photo puis mettait un commentaire salace dans le cahier. Je rajoutai alors mon appréciation, à quatre pattes dans la pisse qui trainait, une bite enfoncée dans mon cul. Au fur et à mesure que les mecs se vidaient en moi, d’autres arrivaient et prenaient la place vacante. Et le manège continuait ainsi, sans une minute de répit. À la fin de la nuit, j’avais déjà une bonne douzaine de commentaires dans le cahier et autant de photos de moi couvert de foutre et de pisse. C’est ainsi que je rentrai chez moi me coucher, sans même prendre une douche, récupérant de mes doigts tout le sperme possible pour le savourer encore une dernière fois. Je sombrai ensuite dans un sommeil rempli de rêves où des mâles sans visages continuaient de me remplir de foutre chaud. Le lendemain, les paupières encore collées par les litres de sperme de la veille, je fis un compte rendu de la soirée à mon correspondant, lui donnant mon numéro de téléphone et lui demandant au passage combien il y avait de photos dans le film. Je lui annonçais également mon intention d’y retourner le soir même, essayant, pour son plaisir, d’être encore plus salope que la nuit d’avant. Pour ce faire, je préparai un sac avec du vieux pain et une pancarte en carton sur laquelle était écrit : « Pour nourrir la truie, jetez-lui simplement le pain dans la rigole ». Dès la fin de l’après-midi, j’étais à nouveau présent à la pissotière avec tout le matériel. En attendant la saillie, je jetai un œil à mon annonce. Surprise, un message y avait été ajouté : RDV à 22h devant les toilettes du parc de C. Je notai le rendez-vous, accrochai le sac au mur et me mis à quatre pattes devant la rigole, pantalon sur les chevilles, mes fesses écartées à deux mains, le sac de vieux pain à coté de moi et la pancarte accrochée au dessus. Je n’attendis pas plus de quelques minutes quand le premier homme entra. Lorsque ses yeux s’habituèrent à la pénombre, il remarqua ma présence, vit le sac et le panneau. — Mmmhhh, y a de la bonne salope aujourd’hui, on dirait. — Oui, je suis une truie à baiser par tous les trous et par tout le monde. — C’est clair, tu en a besoin, ça se voit. Mais avant tout, tu n’as pas faim ? — Si monsieur. Il posa son pied sur ma tête, la plongeant dans la rigole. — Commence donc par l’apéro, salope. Il m’obligea à laper la vieille pisse dans la rigole pendant qu’il ouvrait sa braguette, puis jeta quelque bouts de pain dans l’infâme ruisselet avant de m’arroser de sa pisse, visant alternativement mon cul offert, ma tête et les quignons de pain. — Vas-y salope, régale-toi ! Tu es vraiment une truie, à bouffer du pain à quatre pattes dans une pissotière. — Oui monsieur, une truie qui aime la pisse et le foutre. — Tu vas en avoir. Termine de bouffer pendant que je me sers de ton trou à foutre. Je n’avais pas encore fini qu’un deuxième arrivant se mêla à la scène, jeta un autre bout de pain puis pissa directement dessus avant de se branler et d’arroser le tout d’un épais nappage de foutre chaud. À ce moment, l’homme derrière moi accéléra le rythme et un liquide chaud remplit mon ventre. Il resta fiché au fond de mon trou un moment, puis se retira, me mit à genoux et me présenta sa bite à sucer. Une belle bite, longue et épaisse, encore gluante de foutre et maculée de traces brunes. — Nettoie, salope ! Je veux plus une seule trace. Je pris son sexe à moitié débandé en bouche et m’appliquai à le nettoyer, prenant plaisir à le sentir reprendre vigueur sous mes coups de langue, lorsqu’un autre homme entra. Il me regarda sucer en se caressant, sans visiblement se décider à profiter de mes trous. L’homme que je suçais l’invita ouvertement et le dialogue s’engagea : — Si ça te tente, je lui ai bien lubrifié le cul à cette salope ! — Je préférerais me faire sucer un peu avant, elle a l’air de savoir y faire. — Pas de problème. Tu as vu la pancarte au-dessus ? — Putain ! Quelle truie ! Je vais pas me gêner alors. — Y’a pas de raison. Et quand tu en auras fini, laisse-lui un mot sur son cahier et prends une photo, cette chienne doit encore apprendre. En attendant, je crois que je vais lui remplir le cul à la pisse, je suis sûr qu’elle aime ça. Aussitôt, la bite que je nettoyais reprit place entre mes fesses, tandis que le nouvel arrivant me fourrait la sienne au fond de la gorge, tout en émiettant à nouveau du pain sur le sol. Je sentis mes intestins gonflés sous la pression d’un liquide chaud pendant que le premier homme me remplissait le cul à la pisse comme il l’avait promis, tandis que le second écrasait du pied les bouts de pain trempés de pisse et me donnait son pied à lécher. Totalement avili, je couinais de plaisir, et lorsque la bite qui me remplissait le cul se retira, je me vidai sans retenue et sans honte sur le sol devant ces deux hommes totalement inconnus. Je fus à nouveau retourné et obligé de laper le pain baignant à présent dans mon lavement de pisse. — Vas-y, grosse truie, bouffe la pisse qui traîne. Tu dois aimer ça, c’est sûr ! — Montre-nous que tu aimes ça, doigte-toi pendant ce temps. — Frotte-toi la gueule dedans et regard-nous. Dis-nous ce que tu es ! J’obéis et me frottai la figure dans le mélange, me mis deux doigts entre les fesses, puis me remettant sur les genoux, je levai la tête et annonçai à haute et intelligible voix : — Je suis une truie, une chienne juste bonne à être tirée par tous les trous, à être nourrie au pain sec et à la pisse, et je suis heureux de le montrer. Au-dessus de moi, les deux hommes se masturbaient. C’est au moment où ils arrosèrent ma figure de longs jets de foutre chaud en me traitant de poubelle sur pattes, de truie immonde et de salope à clodo, qu’il entra. Je terminai de nettoyer les deux mecs pendant qu’ils prenaient les photos après avoir mis le commentaire sur mon cahier, lorsque je pris conscience du nouveau venu. La démarche hésitante et l’odeur de vin ne laissaient pas de doute : un SDF égaré là, sans aucun doute. Mais trop tard ! La figure couverte de sperme encore chaud, le pantalon sur les chevilles, le cul bien ouvert et la pancarte en plus, trop tard pour faire quoi que ce soit… Espérons qu’il ne fasse que passer. Alors que le clodo sortait sa bite, visiblement trop éméché pour remarquer quelque chose, ce fut le choc. L’un des deux hommes me prit par les cheveux et me mit la tête sous le jet de pisse du SDF en annonçant : — Tiens salope, en voilà encore. Tu es gâtée ce soir, de la pisse bien chaude à volonté — Oui, après la nôtre il y a celle-ci. Lève la tête et ouvre bien la gueule ! — Et quand tu auras bien tout avalé, tu lui feras une bonne pipe. Tu es très douée pour ça, salope, et je suis sûr qu’il va aimer ta bouche ! L’odeur était abjecte, mais le fait de me retrouver ainsi, obligé de sucer cette queue qui visiblement ne connaissait pas le savon, m’excitait. Aussi je m’efforçai de ne pas perdre une goutte du jet brûlant qui arrosait ma gorge. Mais malgré mes efforts, et du fait que l’on me secouait la tête, je fus vite trempé comme une soupe, puant la pisse et le sperme presque autant que lui sentait le vin. Dès que le flot de pisse se fut quelque peu calmé, je pus prendre cette bite fromageuse en bouche et commençai à la sucer tout en avalant les dernières saccades de pisse. L’homme, visiblement, appréciait et ne ressentait aucune gêne à se faire ainsi sucer la tige par une salope sur la figure de laquelle il venait de pisser, bien au contraire. — Putain, c’est bon, elle suce bien cette salope, et en plus elle avale la pisse ! — Oui, une bonne truie comme on en voit rarement. Si tu veux la baiser, te gêne pas, elle sait pas dire non. — Il a raison, on lui a déjà rempli deux fois le cul et la gueule, et elle en redemande ! — Et faut la voir bouffer son vieux pain à même le sol, dans la pisse et le foutre. Elle se régale, visiblement. — Montre-lui, salope, quand tu lui auras nettoyé la bite. Je veux que tu lui demandes de te nourrir et de te baiser pendant que tu lapes ta bouffe ! Bien entendu, aussi excité par la situation que les paroles, je finis de nettoyer cette queue immonde puis me remis à quatre pattes, fesses bien offertes et demandai : — S’il vous plaît, monsieur, pourriez-vous me jeter un peu de pain dans la rigole de pisse afin de me nourrir comme je dois et aime l’être, et profiter de mon cul pour me remplir de foutre pendant que je ramasserai ma bouffe au sol ? Le clodo accepta en rigolant grassement, et quelques minutes plus tard, il se déversa, lui aussi, avec un râle de plaisir entre mes reins. Puis ils quittèrent tous les trois la pissotière. Moi, rompu de fatigue et de plaisir, je m’écroulais, la figure dans la pisse et m’endormis sur place.  LE PARC  je me reveillais au petit matin, baignant dans une mare nauséabonde d'urine et de foutre, un gout acre de pisse et de sperme en bouche et rentrai chez moi, les vetements souillés et puants, après avoir récuperé mon sac et mon cahier. Devant la porte, m'attendait , bien en evidence, un paquet sur lequel une enveloppe était scotchée, adressée au feutre rouge et en majuscules: à "la roulure de pissotière". Priant tous les diables qu'un de mes voisins n'ait pas vu le colis, je me depechais de refermer la porte et ouvris le pli. "bonjour roulure de pissotiere, comme tu voit, je sais ou tu habites à présent, et je dois dire que ce que j'ai vu jusqu'à présent me plait assez, tu as de bonnes dispositions pour devenir une bonne petite salope accro à la bite de mâle. dans le colis ci joint, tu trouveras des vetements: ce seront les seuls que tu porteras derénavant, je reste de tes fringues seront mis dans un sac poubelle devant ta porte ce soir, je passerai les prendre durant la nuit, vu que d'apres ce que je sais, tu seras occupe à te faire ramoner la bouche et le cul dans les chiottes du parc de C. Il va de soi que ces tenues ne seront jamais lavées, mais simplement mis à secher pour etre remis plus tard. en effet, tu dois apprendre à aimer puer la pisse et pour cela, j'ai deja mouillé tes draps, tu dormiras ainsi en permanence dans cette odeur qui te rappellera ton rang de truie pisseuse. Pour le nombre de photos que contient la pellicule, ce n'est pas ton problème, tu verras bien quand elle sera fini." Je verifiai mon lit, et, effectivement, les draps était trempés d'urine, souillant le matelas. j'ouvris alors le colis joint et y decouvris une collection de slips, de t-shirts blancs, de serviettes blanches également, de collants ouverts et de culottes plastiques transparantes ainsi que d'un paire d'escarpins à talons, une cagoule en vinyl noir avec dux trous pour le nez et un ecarteur buccal en guise de bouche, un sac a main marqué "la khaba" (qui signifie "la pute" en arabe) et d'un long manteau. les t-shirts etaient marqués au feutre rouge de noms tels que "sac a pisse", "truie", "sac à foutre", "pute", "salope à dispo", "lope à jus" et autres nom humiliants et degradants. Une lettre était également posée au fond du carton: "voici ta nouvelle tenue de salope soumise. Ce soir, tu te rendra dans les chiottes du parc, dans la derniere cabine, uniquement vetu du slip, d'une serviette en pagne par dessus et la culotte plastique pour maintenir le tout, tu mettras un collant par dessus ainsi que le manteau et les chaussure, et une fois sur place, tu enfilera la cagoule et tu attendras, à genoux, les mains derrière la tête. Cette tenue sera desormais ton uniforme, et tu ne porteras plus que ceci. ce wc devienda ton nouveau chez toi toute les nuits, et je suis sur que les clients seront de plus en plus nombreux quand la nouvelle se sera répendue" Sous le choc, je restai un moment stupefait, mais après tout, n'etait ce pas ce que je voulais? je decidai de reprendre des forces après la nuit de dépravation que je venais de vivre et m'écroulais dans mon lit pisseux, tout habillé et m'endormis aussitôt. j'emmergeai de mon sommeil vers 15.00h, et reflechis à la situation un peu plus serieusement. Visiblement, cet hommme savait ou je logeai et pouvais à tout moment devoiler ce qu'il savais de moi en public. il me tenais mais je dois dire que le souenir de la nuit precedente, notemment le clochard qui m'avais humilié m'excitait encore terriblement, et j'y vais pris un grand plaisir. Je dcidai donc d'aller au bout de cette histoire et acceptais en moi même de perdre toute dignité et d'aller au bout de ma déchéance. Je commencais donc par trouver une phrase pour me présenter au cas où on me le demanderai et finis par arreter mon choix sur "je ne suis qu'une vulgaire catin de pissotiere, une roulure de chiotte, une souillure à humilier et une lopette mâle sans dignite, juste bonne à enfourner de la bite à la chaine en marinant dans sa couche trempee", phrase que j'appris par coeur. Vers 18.00, je mis comme exigé toutes mes affaires dans un sac poubelle, enfilai ma tenue, rempli les sac avec l'appareil photo et le cahier ainsi que la pancarte, puis me rendis au lieu indiqué, non sans passer au sexshop acheter un flacon de poppers sous le regard lubrique des clients présents et du vendeur. le wc en question était d'une saleté repoussante et il y regnait une odeur abjecte, d'autant plus qu'il etait bouché et rempli à ras bord d'un mélange de pisse de plusieurs jours. Sur la porte était marqué "truie a souiller no limite". J'accrochai le manteau au linteau, enfilai la cagoule et me mis en position. Il ne fallu pas longtemps pour que j'entende des pas deriière moi, puis un silence et enfin un sifflement et une voix: "oh putain, ca c'est de la salope!! tu cherche quoi, t'es un PD qui veux se faire baiser? c'est ca?" Je répondis la peur au ventre mais excite comme une chiene par la phrase apprise: "je ne suis qu'une vulgaire catin de pissotiere, une roulure de chiotte, une souillure à humilier et une lopette mâle sans dignite, juste bonne à enfourner de la bite à la chaine en marinant dans sa couche trempee. -elle est pas trempée, ta couche, salope! je vais t'arranger ça: écartes ta couche, que je puisse pisser tranquille." J'ecartais donc l'arriere de la culotte plastique et l'homme urina tranquillement dedans, la remplissant à moitié. Une fois fini, il me mis sa bite en bouche et me baisa sans ménagement, s'enfonçant bien au fond de ma gueule, enfonçant sa tige en me tenant par la tête. une bonne dose de foutre s'engouffra bientôt au fond de ma gorge, que je dus avaler si je ne voulais pas etouffer.puis il me plongea la tête dans la cuvette pleine de pisse, et me la maintient quelques secondes avant de me lacher et de s'en aller sans un mot. j'eus à peine le temps de reprendremon souffle qu'une main se posa sur ma couche gonnflée, appyant dessus en faisant remonter le liquide jusqu'au bord, et tandis que j'entendais une fermeture éclair s'abaisser, l'inconnu cria haut et fort: "hé les mecs! regardez moi quelle belle pute offerte qui n'attends que nos bites!!" Aussitôt, des hommes arrivèrent de partout et la curée se déchaîna:ma couche se retrouva très vite sur mes chevilles, suivi du lange et du slip, je fus rempli en permanence par la bouche et le cul, noyé sous des flots de pisse et de sperme, suçant les bites qui sortaient de mon cul, je n'étais plus qu'une poupée aveugle, dont on usait et abusait à loisir, sous les insultes de toutes sorte: "sac à pisse, lapes moi toute cette bonne pisse, tu dois avoir soif -son cul est bien lubrifié à la pisse, ma bite y entre toute seule -oui, on va y rajouter une bonne dose de foutre, on voit bien qu'elle aime macérer dans ses déjections -c'est sur, vu la façon qu'elle a de prendre nos queues, elle est faite pour ça, cette truie -faut continuer à remplir ce chiotte, les gars, on lui fera vider régulièrement, à cette lope -vous inquiétez pas, cette espèce de merde sera à votre disposition tous les soirs pendant un moment -super, je connais justement quelques potes bien vicelards qui ne demandent que de s'amuser avec une merde sans dignité -justement, il faut le formater en pute à jus et pissotière, ce bâtard, alors ne vous gênez pas avec lui -t’inquiète, on va totalement la déshumaniser cette salope -on devrait lui jeter sa couche dans la cuvette des chiottes, ça lui donnera plus de goût -d'accord, mais avant, on va lui demander de l'essorer par terre et de nettoyer le sol avec" j’obéis sans discuter, enlevai la couche trempée et l'essorai , avant de frotter le sol autour de moi avec, ne sachant pas dans quoi ni de quoi je l’imprégnais, alors même que des sexes anonymes continuaient de passer de mon cul béant dégoulinant à présent d'un mélange de pisse et de foutre à ma bouche offerte. Totalement avili à présent, je me laissai aller, toute honte bue, au plaisir de n'être qu'une pute de bas étage, gémissant à défaut de pouvoir parler, la figure régulièrement trempée dans la cuvette, obligé de laper cet infâme contenu sous les moqueries et les humiliations incessante durant une bonne partie de la nuit. les rares moments où mes orifices n'étaient pas utilisés, je récupérai à même le sol ce qui avait coule de mon cul, me régalant de cette situation abjecte, sûr à présent que c'était là la vie qui allait être la mienne dorénavant. Je réalisai soudainement que l'homme ayant affirmé que je serai la tous les soirs ne pouvait être que mon dresseur, et me pris a rêver qu'il était là, jouissant du spectacle de ma déchéance, ce qui ne fis que m'exciter d'avantage encore. Je ne sais combien de litre de foutre et de pisse j'ai avalé cette nuit, obligé de faire sous moi devant tout le monde, de lapper mes déjections à même le sol crasseux, sodomisé encore et encore, certain allant jusqu"à me pisser directement dans le cul, comme si je n'étais plus qu'une simple pissotière sur patte, sans jamais en avoir assez, jusqu'au moment ou un homme me dit: "Ca suffit pour cette nuit, serpillière a foutre, remets ton lange et ta culotte plastique que je te remplisse une dernière fois, et tu garde la cagoule encore 10minutes avant de rentrer dans ta porcherie" Et c'est ainsi que je rentrai chez moi ce matin là. Mon dresseur était passé car le sac avait disparu et une nouvelle flaque de pisse trempait à présent mon oreiller. Je me couchais heureux dans ces draps pisseux encore humides, le nez dans l'odeur de mon dresseur, la pisse s’écoulant peu à peu de ma couche totalement saturée. E RENCONTRE MON DRESSEUR J'ai été réveillé le matin par le bruit de la porte qu'on ouvrait: un grand black fit irruption dans ma chambre et, avant que je n'ai pu faire le moindre geste, il arracha mes draps et me plaqua sa main sur la bouche:     "Pas un mot, la catin, ou tu vas la sentir passer! je suis ici pour te ramener à ton nouveau domicile. Je vois que tu as gardé ta couche         pisseuse pour la nuit, tant pis! Tu feras donc la trajet trempé, comme la truie que tu va devenir. Mais avant de m'occuper de ton         déménagement, je vais m'occuper de toi. A quatre pattes sur le lit, face a moi, gueule bien ouverte." Encore à moitié endormis, j’obéis sans discuter à cet inconnu, terrorisé par sa voix et sa carrure. A peine étais je en position, qu'il ouvrit sa braguette et me mis un engin pas possible sous le nez. Son sexe devait bien faire dans les 30 cm et 10 de circonférence ....Ce type était monté comme un taureau!! et visiblement sa bite avait du servir car elle était maculée de traces brunes et sentait la pisse à plein nez. j'avalais tant bien que mal cette queue aux dimensions phénoménale, alors qu'il me prenait par les cheveux et me baisait la bouche sans ménagement en grognant de plaisir:     "-Mmmhhh salope, tu as vraiment une bouche faite pour sucer! Je vais t'envoyer ma purée bien au fond, et t'as pas intérêt à en perdre une         goutte. Après on verra pour tes affaires. Ouiiii, je suis, grosse pute...avales bien tout mon jus et ensuite tu me nettoie la bite et tu me         remercieras poliment de t'avoir baisé la bouche en m'appelant Monsieur. C'est d’ailleurs ce que tu feras dès maintenant et à chaque fois     qu'on te dosera au foutre ou à la pisse, et ceci quelque soit le trou qu'on aura choisi." j'obtemperai sans hésiter, constatant avec horreur qu'il avait laissé la porte grande ouverte et que mon voisin, un vieux pochtron, gros et repugnant de saleté et qui faisait la manche en rue observait la scène en se caressant doucement. Le grand noir a du voir la surprise dans mes yeux, car il s'est retourné, puis sans aucune gêne, annonça au voisin:     "C'est une truie en cours de dressage. Comme vous pouvez le voir, elle porte une couche bien trempée d'un mélange de sperme et de pisse de         tout ceux qui l'ont baisée par tous les trous hier soir au parc de C, ou elle est tous les soirs. Si l'envie vous tente, je viens juste de         me faire faire une bonne pipe et cette pute a bien tout avalé, la place est libre.     -oui, volontiers, ça fait bien longtemps que je ne me suis pas vidé les burnes dans la bouche d'une bonne salope, et apparemment, ça a l'être         d'en être une.     -Oui, des qu'elle voit une bite, elle ne peux pas s'empêcher de se jeter dessus la bave aux lèvres, comme une chienne en chaleur, ce qu'elle         est d’ailleurs.     -Je rêve ou en plus cette truie à pissé au lit? elle aime être la pisse en plus?     -En fait, c'est son dresseur qui est passé pisser dans son lit, mais il y a aussi ce qui a dégouliné de sa couche cette nuit. Elle doit     apprendre a aimer être souillée et perdre toute dignité. Son dressage ne fait que commencer. Elle a même un cahier ou ses utilisateurs         marquent leurs commentaires une fois qu'ils se sont servi d'elle" Le vieux lu attentivement les divers commentaires de mon "cahier de truies" puis s'approcha de moi, et, sans un mot, abaissa son pantalon et un slip crasseux, exhibant un sexe mou à l'odeur répugnante. Seigneur, il ne l'avais donc jamais lavé? Je la pris néanmoins en bouche, surmontant mon dégoût et les hauts le cœur et la suçai de mon mieux. je dus y mettre tout mon savoir, caressant le gland de la langue, massant les couilles flétries, avalant toute la longueur de ce sexe pour qu'enfin le bout de chair prenne vie et grossisse dans ma bouche. Mon baiseur ne disait pas un mot, se contentant d’apprécier la fellation par de petits grognements de plaisir. Enfin, il se retira de ma bouche et m'envoya une dose de foutre sur la figure. Mes ailleux, quelle réserve!! ça semblait de plus vouloir s’arrêter et je me retrouvais la figure couverte de sperme gluant. Puis il me remis sa bite en bouche, pour la nettoyer, et lâcha sa vessie d'un seul coup. Impossible de tout avaler, je me mis a tousser, recrachant la pisse qui coula sur mon lit, ce qui le fit bien rire. Il me maintient la tête enfoncée sur son sexe et fini de pisser tranquillement, directement dans ma gorge. Enfin, il remis sa bite dans son slip crasseux et moi, déjà bien dressé, je lui dit:     "-Merci monsieur d'avoir permis à votre pute de recevoir votre jus et d'avoir pu avaler votre pisse. N'hésitez pas à vous resservir de l'un         de mes trous à votre guise." Il me jeta un regard de dédain, me cracha à la figure et sortit, sur un simple "sale pute dégueulasse". Le black arrêta les rangement de mes affaires et se tourna vers moi:     "-putain salope, tu m'as remis la trique à sucer ce vieux porc. Tourne toi et baisse ta couche, je vais n’exploser le cul comme tu le         mérite. Et comme je veux pas t'entendre crier, tu vas fourrer ton lange pisseux dans ta gueule de truie" Quel bourrin, ce mec, il m'a pris par les hanche et a enfoncé son braquemart à fond d'un seul coup. J'ai cru qu'il allait me déchirer le cul tellement il me baisait sans retenue, en me tenant par les hanches pour imprimer son rythme. j Je serrai les dents sur mon lange pisseux, obligé par la même d'avaler le jus âcre qui coulait dans ma gorge. Mais bientôt, la douleur se calma et fis place à un plaisir inouï et je m’offrais entièrement à ce superbe mâle qui me ramonait le cul sans aucun ménagement, gémissant de plaisir et allant jusqu'à écarter de moi même mes fesses à deux main pour l'inviter à s'enfoncer encore plus profond dans mes boyaux:     "- salope, grosse pute, cuve à jus, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle par un black!!t'inquiètes pas, tu en prendras bientôt des         plus grosses encore. mmmhhhh, je vais te remplir la chatte à raz bord de foutre, sale truie, ton trou à bites restera ouvert un moment après         ça, et sous peu, ce sera toi qui demandera à te faire saillir comme une chienne!!9a y est, je viens, je te largue toute la sauce au fond de         la ton cul de chienne" des flots de foutre chauds me remplirent, alors que, spontanément, je me retournai pour nettoyer le pieu souillé qui venait de me pilonner mais il préféra arracher le lange pisseux de ma bouche et s'essuyer avec. Puis il me le jeta à la figure en me disant:     "-allez, la pute, rhabille toi, et mets tes draps dégueulasses et ton oreiller dans le sac poubelle, on s'en va, tu es attendu dans ta         nouvelle porcherie pour continuer ton éducation!!     -Mais, mais, je vais pas...." Et vlan, je pris une baffe magistrale qui m'envoya valdinguer à l'autre bout de la pièce. le colosse m'envoya un sévère coup de pieds dans les couilles et me releva par les cheveux, me faisant hurler de douleur, ce qui me valu un deuxième aller retour aussi sec. il plongea ses yeux dans les liens et me dit méchamment:     "-Ecoutes moi bien, salope! quand on te dit de faire quelque chose, tu obeis, point. Ni discussion ni excuses, c'est compris sale pute? et         comme tu as ouvert ta sale gueule pour autre chose qu'emboucher une bite ou remercier, tu sortiras simplement vêtu de ta couche et ton ton         t-shirt, sans rien d'autre au dessus. Et tant pis pour toi si on te voit ainsi. De toute façon, une truie comme toi doit pouvoir s'exhiber         sans honte, pour montrer à tout le monde que tu n'es plus rien qu'une sous merde dont on use à volonté. C'est bien compris ou je t'en         recolle une?     -oui, Monsieur, je vous remercie de m'avoir baisée comme la putain que je suis, de m'avoir rempi le cul de foutre et de m'apprendre à me      comporter correctement devant les vrais mâles.     A la bonne heure, tu comprends vite, traînée, bon, maintenant, je vais te poser un collier et une laisse, et tu me suivras en portant le sac         avec tes affaires. Mais avant de le refermer, j'ai une grosse envie de pisser, alors tu vas te mettre à genoux et me le tenir ouvert pendant         que je me soulage.     -merci monsieur de pisser sur mes habits de truie afin qu'ils sentent bon la pisse et me permettre ainsi de laisser votre jus s'ecouler de         ma chatte béante dans ma couche." Ainsi fut fait, et je me retrouvais en laisse et en couche, trainé comme un animal jusqu'à une camionnette garée non loin de la, sous le regard des passants qui me montraient du doigt avec dégoût, certains allant jusqu'à se bouchant le nez à mon passage. Je fus jeté sans douceur à l’arrière du fourgon ou se trouvaient quatre autre noirs, aussi baraqués que le premier, un sourire vicieux sur les lèvres.     "-Youssuf et Abdel, allez récupérer le matelas de notre invité, les deux autres, amusez vous avec en attendant, je lui ai déjà bien ouvert         la chatte et si cette pute n’obéit pas assez vite, vous lui rappelez les règles.     -Avec plaisir, une bonne khaba blanche, ce se refuse pas" La porte s'ouvrit et deux hommes quittèrent, tandis que les deux restants sortaient déjà un sexe au dimensions aussi impressionnante que le premier et sans plus de manière, me baisèrent la bouche et le cul en alternance. Bien que déjà bien ouvert, la brutale pénétration fut douloureuse mais le sperme resté dans ma chatte fit office de lubrifiant et le plaisir pris vite le dessus. Il ne fallu que quelques minutes aux deux mâles pour se vider en moi dans de longs jets puissants alors que les deux hommes revenaient déjà, jetant mon matelas crasseux au sol:     "Putain, vous lui avez bien explosé le cul, à cette pute, il y a du sperme qui lui coule de la chatte. On va se faire un plaisir de la         baiser à notre tour!!     -foutez moi cette truie sur le dos et tenez lui les pattes arrières, on va la faire déborder de jus, cette salope.     Bonne idée, on va voir combien de litre de foutre elle peut contenir" Je fus donc baisé non stop par chacun de ces hommes à tour de rôle, plusieurs fois chacun. Mon ventre tendu me faisait mal, celui qui me tenait les jambes se faisant lécher le cul en s'asseyant sur ma figure, mais ils n'en avaient cure, seul importait pour eux de se vider en moi jusqu'à mon arrivée. Enfin, la camionnette ralentit, je dus remettre mon lange et ma culotte plastique et fus entraîné les yeux bandés dans un lieu inconnu. Quand on m'ôta le bandeau, je me retrouvais enchaîné dans une pièce vide, à l'exception de mon matelas, posé devant un mur percé de 6 trous dont l'un était garni d'une petite étagère ou se trouvait deux gamelles en inox, directement fixées sur la tablette au dessus de l'oreiller. La longueur de la chaîne ne me permettais que de me mettre assis, allongé ou à genoux et l'autre extrémité coulissait librement sur une barre courant le long du mur. Une lumière crue éclairait l'endroit, et je remarquais une caméra dans l'un des angles de la piece, et un écran de contrôle au dessus.Le mur opposé était garni de deux grands miroirs de chaque côté d'une porte en  bois sans serrure apparente. Une voix se fit entendre, semblant sortir de nulle part:     "- Bienvenue dans ta nouvelle demeure, sale pute. Ici commence ton éducation. Comme tu as pu le constater, il y a des trous au dessus de ta         paillasse, ils sont fait pour que les hommes y passent leurs queues, comme dans les glory holes. au dessus de celui de ta gamelle de droite,         il y est noté WC, je te laisse deviner à quoi il sert...Tu suceras toutes les bites qui se présenteront, et ceci à n'importe quel moment. La         lumière restera allumée en permanence, et durant quinze jours, tu ne sortiras de la que pour être offert au parc C, mais cette fois ci, ty y         sera attaché dans les chiottes que tu connais si bien à présent. Après cela, on passera à la phase suivante: Ta couche sera cadenassée en         permanence durant un mois, pour te rendre totalement incontinent, ainsi, tu te pisseras et te chieras dessus sans pouvoir te contrôler. Tu         ne seras changé qu'une fois par jour, et seulement si tu le demande en termes suffisamment humiliants et avec des mots crus.     La caméra te surveille et diffuse sur plusieurs grands écrans dont un à l'exterieur, au dussus des orifices et un dans ta porcherie, pour         que tu puisse voir ta déchéance. Les miroirs sont des vitres sans teint pour les spectateurs preferant le live...De plus, la porte n'est pas         fermée ce qui permets à la fois de venir te baiser à loisir et de te remplir ta gamelle. Tu ne boufferas que des restes mêles de sperme et         n'auras à boire que ta gamelle à pisse. Si elle est vide et que tu as soif, tu demanderas qu'on vienne te la remplir, on trouveras bien     quelqu'un qui aura envie de se vider la vessie.     Après cela, tu devrai en théorie avoir perdu le peu de fierté et d'humanité qu'il peut encore te rester, d’ailleurs cela vaudrait mieux, car         sinon tu passera entre les mains des cinq hommes qui t'ont amené ici, et crois moi, ce coup ci, ils seront moins tendre avec toi.     bon, te voila mis au parfum, sale pute, alors au boulot! t'as déjà des clients qui ont les couilles pleines" En effet trois belles bites se présentaient deja au travers des trous et le souvenir de la raclée recu au matin ne ma laissait d'autre choix que de les prendre en bouche, l'ecran de ma cellule renvoyant l'image d'une truie en couche en train de sucer toutes les bites se présentant. Je passais d'un sexe à un autre, certains propres, d'autres moins et d'autres encore pas du tout, sans rien savoir de l'homme à qui il appartenait, avalant du sperme au goût varié. des litres et des litres de foutre me tapissaient l'estomac et j'en arrivais à apprecier la pisse de ma gamelle à présent pleine a ras bord pour m'abreuver et ôter le goût du sperme dans ma bouche. Je n'entendais que les commentaires salaces de l'autre côté du mur:     "-putain! elle suce bien cette salope.     -oui, je connais des putes qui n'arrivent pas à avaler autant de foutre à la suite.     -et  quelle bonne idée cette pissotière juste à côté, c'est très pratique.     -comme cet ecran qui permets de la voir sucer nos bites, si elle pouvait se voir ainsi, cette truie.     -je connais bien le proprio, il y a une télé pour qu'elle se voit tel qu'elle est cette truie.     -et vous avez vu l'etat de sa couche, cette salope se pisse dessus devant tout le monde.     -normal à force de boire nos pisses mélangées, faut bien qu'elle se soulage.     -et la gamelle qui déborde et mouille son matelas n'as pas l'air de la gêner plus que ça.     -C'est vraiment une pute sans aucune dignité." Et c'était absolument ce que j'étais devenu en à peine quelques jours. Je passais le reste de la journée ainsi, suçant toutes les bites qui se présentaient, m'abreuvant de pisse, ma couche tellement trempée que son contenu coulait le long de mes cuisses, souillant encore un peu plus mon matelas. Seul un homme passait de temps à autre pour m'enculer sans ménagement et repartait une vois soulagé. Le sperme qui coulait de ma chatte sechait dans ma couche et collait mon lange mais je n'avais guère le temps de m'en préoccuper de toute façon. Enfin, un homme penetra dans la pièce, un seau dans une main, un torchon blanc dans l'autre:     "-voila ta pâtée du soir, la pute, tu vas enlever ton lange dégueulasse et l'assorrer dedans. Puis tu as 10 minutes pour la vider si tu ne         veux pas prendre une rouste mémorable et tu n'as pas intérêt à te servir de tes mains:tu bouffe à même la gamelle. ensuite tu te laves ta         gueule de truie immonde avec ton lange trempé, tu le rince dans ta gamelle à pisse,tu le le pend à secher au crochet et tu mets ton lange         neuf. Tu as des clients qui t'attendent au parc, n'oublies pas." Il remplit ma gamelle d'un mélange pâteux de riz, de pâtes et d’épluchures diverses et y vida le contenu de plusieurs capotes et quitta les lieux non sans pisser à son tour dans mon abreuvoir. Je me dépêchais d’obier à ses instructions et vidai ma gamelle en moins de cinq minutes, me lavais la figure avec mon lange, le rinçais dans ma gamelle de pisse et le mis à pendre. J'avais à peine terminé que mon geôlier revint, décrocha la laisse du mur, me mit un bandeau et m'entraîna. Cette nuit, le parc allait avoir une pute gratuite à souiller et humilier à son entière disposition.
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Par : le 09/01/23
Qu'est-ce que le candaulisme ? S'il fallait en donner une définition simple, on dira que le candaulisme et le cocufiage sont des pratiques sexuelles qui dans l'acte se ressemblent mais qui dans la cérébralité sont assez différente. Dans tous les cas, il s'agit pour l'un des partenaires de regarder l'autre avec une personne extérieure au couple. A bien des égards, cette pratique sexuelle peut se rapprocher du fétichisme puisque le candaulisme joue en partie sur la fascination de l'observation, le voyeurisme... Ce n'est pas de l'échangisme (qui ne nous intéressait pas du tout). Au niveau le plus élémentaire, le candaulisme se caractérise par l'excitation de l'homme candauliste de voir sa femme avoir une relation sexuelle avec un autre homme Le candaulisme peut être très teinté BDSM si l'acte est mis en scène dans un cadre de soumission de l'homme. Candaulisme et BDSM Le candaulisme a un caractère très transgressif, au regard de la culture judéo-chrétienne, de la monogamie et le rapport à la fidélité et son pendant, donc l'adultère. Il se dit que plus de la moitié des hommes et un gros tiers des femmes ont déjà fantasmé sur le candaulisme et rêvés de voir leur partenaire gouter au plaisir de cette pratique sexuelle. Du fantasme candauliste au passage à l'acte, il y a certes une sacrée différence, et celles et ceux qui ont ainsi fantasmé ne sont pas nécessairement dans une relation de Domination (de la femme) soumission(de l'homme). Le désir candauliste dans le couple J'avoue avoir clairement fantasmé sur le candaulisme, depuis bien longtemps, et que dans le cadre de notre exploration du BDSM avec Chouchou, nous avons pu faire cette expérience de couple (ne jamais oublier que ces de cela qu'il s'agit pour les candaulistes, une démarche de couple, résolument). Même si c'était plus facile à gérer, je pense, dans un jeu D/s (en plus de me voir prendre du plaisir avec un autre homme, Chouchou était attaché et bailloné), même si j'ai pris énormément de plaisir pendant, et même après, et que lui aussi a été serieusement emoustillé de me voir jouir avec un autre ... (et de me prendre ensuite), il faut avouer que cela "secoue" quand même dans un couple, une fois l'excitation passée. Ou du moins, cela fait s'interroger grandement, sur son rapport à l'autre, mais aussi sur soi-même. Surtout quand on se rend compte qu'on a vraiment aimer ça, et que l'envie de recommencer est patente. Et cette expérience est devenu un levier de Domination/soumission. Dans nos séances de DS, j'use parfois de ces souvenirs de candaulisme pour lui rappeler le plaisir que m'avait donné un autre homme. Du fantasme candauliste à la pratique Notre chemin vers le candaulisme a été progressif, à la base on était encore très vanille et on s'était amusé à se raconter nos relations passées, avec nos ex ... nos meilleurs orgasmes, les positions que l'on pratiquait avec eux ... et je m'étais risquée (à sa demande hein ! Consensuel) à lui raconter ce que mon ex faisait mieux que lui dans le cul. On a compris que cela nous exciter ... Le désir grimpait à chaque fois que l'on échangeait sur le sujet... La graine du candaulisme était plantée dans notre jardin secret !!! Évidemment, la jalousie rode (surtout chez les femmes, il parait, quand il s'agit de voir son homme avec une autre, mais ca n'est pas mon sujet ici, car nous n'avons pas testé cela) ... L'excitation vient aussi de jouer avec ce risque, avec cette jalousie, de jouer avec le feu. Et accepter de s’accommoder de cet instinct initial est finalement une belle preuve d'amour dans un couple. Le candaulisme vécu  Lors de nos quelques expériences candaulistes, nous sommes allés assez loin ensemble (enfin je trouve). Mon souvenir le plus troublant et quand est quand j'avais choisi un Dom sur ce site après des recherches assez poussées, et que j'étais allée me donner à lui lors d'un rendez-vous (pour du bondage et un rapport sexuel très bestial poussé à son terme, le Monsieur se finissant dans ma bouche...) et que Chouchou m'attendait en bas dans la voiture. J'étais redescendue en sentant la baise à plein nez et une fois en voiture, je lui avais roulé une pelle monumentale pour partager le goût du sperme qui subsistait dans ma bouche... Puis lui ai raconté par le menu ce qui s'était passé avec mon Maitre d'un jour et cerise sur le gâteau, mon dominateur d'un jour avait fait des photos (dont une envoyé tandis que Chouchou attendait dans la voiture). Mon récit à mon conjoint de ce qui s'était passé avait été fait sans prendre de gants, en ne lésinant pas sur les détails de ce que nous avions fait avec mon amant, mais aussi en essayant de retranscrire le plaisir que j'y avais pris. Chouchou écouta mis excité (c'était ... visible), mi agacé ... vous auriez vu son regard !... Puis il me posa plein de questions. Certaines dictées par une vraie curiosité, d'autres avec un petit côté maso. En mots très crus (en mode, "tu es une salope"). Autant perturbant que ludique. Et cela m'a "décoincée" pour lui faire comprendre que dans cette phase de jeu, il avait été mon soumis cocu, comme je lui rappelai quand nous nous sommes retrouvés à la maison pour faire l'amour (moment très complice et très libérateur) Quelques conseils avant de se lancer Si vous décidez de vous lancer dans une expérience de candaulisme, le premier des conseils, c'est de trouver le bon partenaire. Nous l'avons cherché dans le milieu BDSM car c'était finalement commode de ranger cela dans la case de notre histoire D/s (et nous épargner une approche dite "libertine" qui finalement aurait, je crois, était plus compliquer à gérer pour notre couple). Trouver un homme pour un plan à trois, est d'une simplicité déconcertante, mais il y a vraiment de tout. J'avais exploré les sites libertins pour cela, mais cela m'a semblait beaucoup beaucoup beaucoup moins fin que les sites BDSM. Dans tous les cas, il faut sans doute être plus exigeant dans le choix de la personne que vous allez rencontrés. C'est un rôle, il y a de la théâtralité, et pour ne pas que cela finisse en bain de sang dans le couple, il faut que l'homme soit "de confiance". Ce qui semble clair, c'est qu'il ne faut pas se lancer sur un coup de tête. D'abord parce que comme toute activité BDSM, il faut que ce soit consensuel. Ensuite, parce que comme je le disais, la "montée en puissance du fantasme" est une grande partie du plaisir (des divagations solitaires, à l'aveu de l'envie, des explorations d’encanaillement par confidence de relations passées à une démarche active d'un cocufiage, des rencontres à trois à la rencontre a deux avec confessions au retour ...) . Ce serait bête de ne pas profiter de tout cela. Parler, parler, parler avant de se lancer Les choses doivent être dites en tout cas. Votre mari ou compagnon se contentera-t-il de regarder de loin ? Ou va-t-il s'impliquer, faire des suggestions ou diriger l'action ? (certaines personnes dominatrices le voit plus plutôt comme ca, même si nous en l'a abordé en mode "cocu soumis"). Tout doit être discuté à l'avance, car il n'y a rien de pire qu'une expérience de ce type "mal goupillée", le candaulisme devient l'enfer si la jalousie s'en mêle, ou du moins si elle n'est pas "domptée" sereinement. Là aussi, il faut sans doute un safeword ! Il faut être attentif à la réaction de son compagnon car si "sur le papier", dans le scénario tout semble géré, lorsque nous voyons notre partenaire prendre son pied avec quelqu'un d'autre, la pression sociétale peut se réveiller et nous pousser à la révolte et nous faire enclencher la marche arrière ! Quelle que soit votre fascination pour le candaulisme, il existe bien des manières de vivre l'expérience. Des confidences un brin salace au plan à 3 sous l'oeil du soumis cocu, la clef reste la bonne communication, le respect mutuel et de vérifier régulières que vous êtes toujours avec votre partenaire, sur la même longueur d'onde et que tout le monde y prends plaisir. Ce n'est pas simple mais, croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle, cet article se voulait un partage de ce que notre couple a pu tirer de l'expérience candauliste.
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Par : le 05/01/23
On avait fait connaissance sur internet. On a discuté longtemps en ligne, de tout et de rien, cachés derrière des pseudos. Et petit à petit, on s’est découvert des points communs, des affinités, ne serait-ce que dans la manière de s’exprimer. Au bout de nombreux échanges, j’ai fini par accepter l’évidence : à chaque fois que je lui laissais un message, je brûlais intérieurement dans l’attente de ce qu’il allait en penser, de la réponse qu’il allait y donner. Et quand il m’écrivait, ma journée en était toute bouleversée, parfumée par la saveur de ses mots. Je repense à tous ces états intérieurs, d’excitation et de tendresse, que j’ai ressentis en communiquant avec lui, à l’abri derrière mon écran. Alors que le train de banlieue m’emmène vers lui, j’accorde un peu d’attention à mes sensations, je respire profondément pour détendre mon ventre noué. Je le chéris, ce train qui m’emmène à lui, et en même temps je souhaiterais qu’il tombe en panne, qu’il arrive quelque chose qui entrave notre rencontre indépendamment de ma volonté. On a décidé qu’on se retrouverait chez lui, et sur le moment ça semblait plein de bon sens, de justifications pratiques. A présent je ne parviens même plus à savoir pourquoi nous avons pris cette décision, et je trouve un peu perturbant de ne pas se rencontrer en terrain neutre. Comme il habite assez loin de la gare, il m’a fait venir un taxi. Je monte dans le véhicule, et mes sens sont comme exacerbés : je perçois avec intensité le contact caressant de ma robe de laine mohair sur ma peau, la ceinture de sécurité qui enserre ma poitrine et ma taille. Je sens monter une chaleur presque douloureuse entre mes jambes, et je retrousse ma robe pour sentir la fraîcheur de la banquette en cuir sur le haut de mes cuisses. J’ai osé mettre ma plus belle lingerie, une culotte en dentelle que j’adore, et même des porte-jarretelles pour retenir mes bas. Rien que de penser à ça me semble vertigineux, et je suis à nouveau saisie par le trac. Je prends le temps de respirer profondément, et relevant encore ma robe, je pose mon attention sur le contact de mon sexe humide avec le cuir, au travers du mince morceau d’étoffe. Je savoure le fait de me faire conduire, de n’avoir presque rien à dire au chauffeur, qui par bonheur n’est pas bavard. Le paysage est très beau, mais le temps me paraît long. Mon excitation s’apaise doucement, et je commence même à m’ennuyer un peu. Par habitude, je cherche dans mon sac à main mon téléphone, et une bouffée d’angoisse m’étreint : je me souviens à nouveau qu’il m’a demandé de venir sans mon portable, « pour passer du temps de qualité ». Mais pas une seconde, avant cet instant, je n’ai imaginé que je me jetais dans la gueule du loup. Et si c’était un pervers psychopathe ? Si son projet était de me retenir, de me violer, me couper en morceaux ? Une panique monte à l’intérieur, je me reproche d’avoir été aussi naïve. Sur le point de demander au chauffeur de faire demi-tour, je me mets à réfléchir : lui au moins sait où je vais, il pourrait alerter la police si je disparaissais. L’idée me vient alors qu’il pourrait être complice, et je décide de le mettre à l’épreuve : « S’il vous plaît, arrêtez-vous ! ». Il ne discute pas, se range sur le bas-côté à la première occasion. A moitié pour me donner une contenance, je lui explique que je dois faire pipi de manière urgente. Je vais me dissimuler dans les fourrés, mais le sous-bois est très clairsemé, très ouvert. Je me rends compte que je peux difficilement me cacher entièrement, et j’ai l’impression très nette qu’il me regarde, silencieux et impudique, adossé à sa voiture dans ma direction. Malgré tout, l’urine qui s’écoule hors de ma vessie m’apporte une sensation de soulagement, toujours fidèle au rendez-vous. Je sens mon cœur accéléré, la chaleur du flot odorant, mon sexe gonflé. Un basculement s’opère en moi. Je décide de ne plus être la proie, de ce chauffeur, ou de qui que ce soit d’autre ; je me relève avant d’avoir remis ma culotte, lui offrant l’air de rien une vue splendide sur mes fesses, sur ma lingerie, et je prends tout mon temps pour me rhabiller, en pensant à l’intérieur de moi : « tu veux mater ? Hé bien mate, mon coco, tu n’en verras pas tous les jours des comme ça ! ». En lui lançant un regard de fausse innocence, je reprends place dans la voiture. Mon souffle est plus calme, ma volonté raffermie. Il me revient en mémoire que j’ai décrit mon rendez-vous, y compris l’adresse où je me rends, à ma meilleure amie. Si quelque chose d’anormal devait survenir, elle saurait quoi faire. Je me connecte à une envie profonde de faire confiance à ce jour, à ce lieu, à ces circonstances. Surtout, je ne me sens plus si vulnérable. Je laisse mon esprit s’égarer, porté par une sorte de colère animale. Je me mets à visualiser le chauffeur en train d’abuser de moi, et moi en train de le massacrer : un coup de genoux bien placé entre les jambes, le plat de la main dans le nez, et des coups de pied dans les côtes et dans le visage. L’instant d’après, la même scène de viol, mais au contraire je l’accueille, mon sexe s’ouvre tout grand pour le sien, et je contrôle l’acte par le plaisir bestial que j’y prends. Finalement, tout ça redescend, le ronronnement du moteur anesthésie lentement ma peur, la vibration se propage jusque entre mes cuisses et dénoue mes tensions. La voiture s’engage dans un chemin de terre, entre des arbres magnifiques et désordonnés. Nous arrivons en contrebas d’une maison ancienne de taille modeste, qu’on devine derrière la végétation, à laquelle on accède par un escalier en pierre rustique. Sans un mot ou presque, le chauffeur me laisse descendre et repart en sens inverse : manifestement, la course a été payée d’avance. Je me retrouve seule, au pied de cette bicoque perdue dans la campagne. Le trac et l’excitation sont encore là, sans aucun doute, mais j’ai surtout envie de découvrir cet homme qui a commencé à se faire une place dans mon cœur. Vulnérable et puissante, effrayée et émoustillée, en équilibre, je me sens prête.
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Par : le 03/01/23
Daddy Dom little girl, ou DDlg en abrégé, est un type de relation BDSM qui consiste en un jeu de rôle, entre adultes consentants. Ce jeu de rôle proposère entre un adulte (le Daddy Dom, le "papa") et un partenaire dans un rôle (on parle bien de rôle !) plus jeune (la little girl, la "petite fille"). Elle est basée sur l'idée que la little girl a besoin d'être guidée et protégée par le Daddy Dom, qui l'aime et la nourrit, prends soin d'elle. Dans le jeu DDlg, il existe une dynamique dans laquelle les deux partenaires du couple négocient les rôles et les limites, ainsi que chaque pratique qui va être accepté". Le Daddy Dom ("papa") prend soin de la little girl ("petit fille") de toutes les manières, lui fournit une structure et des limites à respecter, mais l'aime aussi inconditionnellement. Cela peut inclure le fait de lui apporter un soutien émotionnel dans les moments difficiles et d'être compréhensif lorsqu'elle fait des erreurs. La little girl doit faire preuve de respect envers le Daddy Dom tout en s'amusant dans leur relation qui reste teintée de BDSM. Le rôle de la little girl consiste à faire confiance au papa-domaine pour lui fournir amour et conseils, tout en assumant la responsabilité de ses propres actions. Elle doit être prête à accepter la discipline lorsqu'elle est justifiée et à apprendre de ses erreurs. En retour, elles peuvent compter sur le papa-domaine pour obtenir un soutien émotionnel et une stabilité. Bien que le DDlg puisse prendre de nombreuses formes différentes en fonction de la dynamique propre à chaque couple, il consiste généralement en des activités de punition telles que la fessée ou des "punitions scolaires" comme le fait de devoir écrire des lignes ou de se tenir dans un coin comme on le ferait avec un enfant méchant. Il peut aussi s'agir de se faire des câlins, de lire ensemble des histoires à dormir debout ou de jouer à des jeux de société comme les dames ou les échecs. Dans l'ensemble, cette forme de relation BDSM est conçue pour créer un espace émotionnellement sûr où les deux partenaires peuvent explorer leurs fantasmes sans crainte de jugement ou de punition. Tant que chaque personne impliquée se sent en sécurité à tout moment, le DDlg peut être une expérience épanouissante ! Le rôle du Daddy Dom Un Daddy Dom est le leader et le protecteur dans une relation DDlg. Il assume le rôle d'une figure d'autorité en fixant des règles et des limites, en fournissant une structure et des conseils, et en servant de soignant aimant. Il veut nourrir et prendre soin de sa lg, tout en l'aidant à se développer pour atteindre son plein potentiel Il l'éduque en fixant des attentes et des directives claires afin qu'elle puisse se sentir en sécurité dans leur relation. Cela peut aller de l'étiquette de base à des responsabilités plus complexes comme la gestion des finances ou l'exécution de tâches ménagères. Il encourage également les comportements positifs par le biais de récompenses, comme les éloges verbaux ou l'affection physique En même temps, il utilise une discipline ferme lorsque cela est nécessaire pour corriger un comportement qui va à l'encontre des règles. Cela peut aller d'un avertissement sévère à la suppression de privilèges ou à l'application de punitions plus sévères si nécessaire. Il garde la communication ouverte avec sa lg afin qu'ils puissent parler de tous les problèmes qui se présentent sans jugement ni crainte de punition Le Daddy Dom veut aider sa little girl ("petite fille") à donner le meilleur d'elle-même tout en assurant sa sécurité, il l'a guide. Au fond, il veille à son bien-être et à son épanouissement ; que ce soit en la validant dans les moments difficiles, en l'encourageant dans ses réussites ou en lui offrant une présence réconfortante dans les moments difficiles, il veut s'assurer qu'elle a les outils nécessaires pour réussir dans tous les aspects de la vie. Le rôle de little girl Une little girl est une femme adulte qui prend part à la dynamique DDlg. Il est important de noter qu'en dépit de son âge et de sa maturité, une "little girl" prend une allure d'enfant dans la pratique DDlg. Cela ne veut pas dire qu'elle se comporte de manière immature, mais plutôt qu'elle revêt une certaine innocence juvénile au sein du couple. La little girl aspire à la sécurité et à l'amour inconditionnel de la part de son Daddy Dom. Il doit être quelqu'un qui lui apporte un soutien émotionnel, une protection et des conseils tout en étant enjoué et compréhensif vis-à-vis de ses besoins de femme adulte. Un Daddy Dom doit être capable de la réconforter en cas de besoin, mais aussi de faire ressortir sa confiance et sa force. Il nourrira l'enfant qui sommeille en elle et créera un environnement dans lequel elle se sentira suffisamment en sécurité pour explorer différents aspects d'elle-même. La "fille" ne fait pas exprès d'être vilaine pour être punie par son "Papa" Daddy Dom.Plutôt que d'être axé sur la punition ou la discipline, le DDlg se concentre davantage sur le développement de la confiance entre les deux partenaires par le biais du respect mutuel, de la communication et de la connexion émotionnelle. L'aspect sexuel du DDlg est généralement réduit au minimum, voire inexistant, l'accent étant plutôt mis sur l'instauration de la confiance et de la stabilité au sein du partenariat. Comment se déguise et se coiffe une little girl dans la relation DDlg Une little girl dans une relation DDlg s'habille et se coiffe généralement d'une manière qui reflète son rôle. Elle porte généralement des vêtements mignons qui véhiculent l'innocence, comme des robes à jupe bouffante, des volants et de la dentelle. Elle peut accessoiriser sa tenue avec des bandeaux, des arcs ou des rubans pour compléter son look En plus de cela, elle a souvent un grand choix de vêtements aux couleurs pastel dans sa garde-robe - surtout ceux avec des personnages de dessins animés comme Hello Kitty ou My Melody. En outre, elle porte des bas colorés ou des chaussettes qui montent jusqu'aux genoux, ce qui contribue à accentuer le caractère girly de son look. Pour être sûre d'être encore plus mignonne, elle associe généralement ces bas ou ces chaussettes à d'adorables chaussures Mary Jane En termes de coiffure, une lg a tendance à opter pour des coiffures classiques comme les tresses doubles ou les nattes. Parfois, elle choisit de les laisser tomber et de les coiffer en deux chignons de chaque côté de sa tête. Comme la coloration joue un rôle important dans ce style de vie - surtout lorsqu'il s'agit de la préférence du papa-domicile - certaines lg teignent leurs mèches dans différentes nuances de rose, de bleu et de violet. D'autres options populaires incluent l'ajout de perruques et d'extensions à clip pour des occasions spéciales, comme des événements à thème et des rencontres organisées par d'autres membres de la communauté DDlg Pour les accessoires, de nombreuses lg accessoirisent leurs tenues avec des animaux en peluche et d'autres objets qui représentent leur personnage d'enfant intérieur et les font se sentir plus à l'aise lorsqu'elles s'engagent dans ce type de relation de jeu de rôle. Les articles comme les tétines sont également populaires dans certains cercles car ils aident à faire ressortir l'attitude ludique associée au fait d'être une lg dans cette dynamique.        
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Par : le 23/12/22
Le BDSM virtuel (à distance) est une forme de relation qui est en pleine expansion d’abord car la domination virtuelle offre aux couples la possibilité d'explorer et de vivre l'intense dynamique du pouvoir sans avoir à se trouver dans le même espace physique, mais aussi parce que pour différentes raisons personnelles, certaines personnes préfèrent commencer à explorer la domination/soumission sans entrer dans une relation réelle. Grâce aux progrès de la technologie, les relations BDSM peuvent se developper et prospérer de n'importe quel endroit disposant d'une connexion Internet (ou 4G). Le BDSM virtuel et à distance permet un plus grand niveau, ou à tout le moins une autre forme, de communication entre les partenaires, ce qui peut aider à établir la confiance et à renforcer leur lien. Les conversations via des plateformes de messagerie, des e-mails, des sms ou des courriers postaux permettent aux partenaires de discuter de leurs goûts, de leurs aversions et de leurs limites de manière sûre et non conflictuelle. Il y a un côté « confessionnal » dans la virtualité de ce type de relation. En outre, des photos, des vidéos et d'autres éléments visuels tels que des œuvres d'art peuvent être partagés entre les partenaires dans le cadre de leurs activités BDSM à distance. Pour ceux qui sont déjà en couple vanille, ou qui ont un cadre familial ou professionnel compliquant la réalisation de leurs fantasmes, le BDSM virtuel offre un moyen sûr d'explorer leurs fantasmes sans jugement ni crainte des réactions des membres de la famille par exemple. Il écarte également tout risque associé à la rencontre d'inconnus pour des activités sadomasochistes réelles puisque toute la communication se fait virtuellement. Un partenaire soumis peut se sentir plus à l'aise de se dévoiler en ligne que de se montrer physiquement pour des interactions en face à face ; de même, un partenaire dominant peut apprécier d'avoir le contrôle total de la scène sans avoir à s'inquiéter des dangers potentiels liés au contact physique Dans l'ensemble, les relations BDSM virtuelles/à distance ouvrent de nouvelles possibilités que les relations physiques conventionnelles ne peuvent tout simplement pas offrir. Qu'il s'agisse d'établir progressivement une relation de confiance par une communication honnête ou d'explorer différents types de jeu sans compromettre sa sécurité, la domination/soumission en mode virtuel offre une opportunité unique dont les deux parties peuvent profiter en toute sécurité dans le confort de leur propre environnement personnel, sans chambouler leur vie, à ce stade. La soumission virtuelle, comment ça marche À distance, les moyens de soumettre une personne peuvent résider dans l'écriture de descriptions d'actions qu'elle a faites ou d'expériences qu'elle a vécues, l'envoi de photographies ou de vidéos d'elle en train d'accomplir certains actes, la fourniture d'un accès ou d'un contrôle de biens ou de données lui appartenant, et le partage de fantasmes et de désirs. Par exemple, une façon pour un soumis de se soumettre à distance est d'écrire ses expériences dans un journal. En faisant cela, le soumis peut décrire le déroulé de sa journée et ce qui l'a fait se sentir particulièrement vulnérable et exposé, surtout s’il devait appliquer des directives BDSM intimées par la personne dominante. Les instructions du dominant peuvent par exemple inclure le port de certains vêtements lorsque la personne soumise est en public, l'expression de sa gratitude pour les faveurs qu'il lui a accordées, la participation à des tâches qui le mettent mal à l'aise mais qui repoussent aussi ses limites et l'aident à grandir tant en tant que soumise ou soumis, que plus généralement à titre individuel. En outre, la soumission à distance peut impliquer des activités plus interactives telles que le jeu BDSM par tchat vidéo/webcam. Cela peut aller des commandes verbales à la stimulation physique effectuée à distance avec des objets tels que des vibromasseurs connectés. Le ou la soumise peut également donner à son dominant l'accès aux applications de son téléphone afin de suivre sa localisation et son activité à tout moment. Cela permet une communication et un retour d'information constants entre les deux partenaires, même lorsqu'ils ne sont pas physiquement ensemble (pour les couples vivant aussi une partie de leur relation IRL). Le résultat de la soumission à distance peut être transmis à la personne dominante sous diverses formes, notamment des messages texte, des pièces jointes photo/vidéo envoyées par e-mail ou application de messagerie, des enregistrements audio envoyés par courrier ou des services de stockage en ligne tels que Dropbox ou Google Drive. Alternativement, si les deux partenaires sont situés assez près l'un de l'autre géographiquement parlant, le résultat peut être transmis en personne, en fonction du type de soumission et de l'effort qu'elle exige des deux parties concernées   Quelle que soit la forme utilisée pour transmettre le résultat de la soumission à la personne dominante, elle doit toujours inclure une sorte de preuve attestant que ce qui a été fait a bien été réalisé - qu'il s'agisse simplement d’un récit écrit relatant une expérience ou de preuves physiques réelles telles que des photographies ou des enregistrements envoyés par voie électronique ou par courrier postal. Cela contribuera à assurer la confiance entre les deux partenaires, de sorte que les sessions futures pourront être appréciées sans qu'il y ait le moindre doute sur le fait que l'une ou l'autre partie a manqué à ses devoirs.   7 exemples d’exercices de domination/soumission à distance 1. La personne dominante peut ordonner à la personne soumise de porter une tenue spécifique, par exemple des talons hauts, des bas et une jupe courte, qu'elle devra prendre en photo et lui envoyer comme preuve 2. La personne dominante peut ordonner à la personne soumise de passer un certain temps à faire une activité qui plaît à la maîtresse ou maître, par exemple lire un livre érotique ou regarder un film pornographique. Il pourrait ensuite leur demander d'écrire un bref résumé comme preuve d'achèvement 3. La personne dominante peut ordonner à la personne soumise de se donner du plaisir en solo mais en utilisant des formes de pratique que la personne dominate aime en BDSM comme par exemple la fessée, le bondage ou le edging, avec des photos envoyées comme preuve qu'il l'a fait 4. La personne dominante peut demander à la personne soumise d'effectuer certaines tâches autour de la maison ou en public, comme le nettoyage de la maison ou le jardinage en lingerie et culotte, et envoyer des photos comme preuve qu'elle l'a fait 5. La personne dominante peut donner l'ordre à la personne soumise d'écrire ses désirs et fantasmes les plus profonds et de les lui envoyer comme preuve de soumission ; cela leur permettra d'explorer ensemble de nouvelles idées plus intimement 6. Le dominant peut demander que le soumis lui envoie des mises à jour régulières de ses activités au cours de chaque journée ; cela peut inclure des photos ou des journaux qui documentent ce qu'ils ont fait au cours de leur vie quotidienne, leur permettant à tous deux de se connecter davantage à distance malgré la distance physique entre eux 7. La personne dominante pourrait demander des vidéos où la personne soumise lit à haute voix des livres autour de la thématique BDSM, et/ou lui demander d’exprimer la façon dont ces sujets les font se sentir et expliquant comment ils se rapportent à leur relation ; ce serait la preuve pour les deux parties que la communication est libre, intime, cohérente et en confiance, même lorsque le contact physique n'est pas possible entre eux en raison des restrictions liées à la distance.        
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Par : le 16/12/22
Je pratique le SM depuis quelques années et compte parmi mes adeptes régulier un évèque. Cet homme, cultivé, la soixantaine, légèrement rond, grisonnant et avec beaucoup d'élégance, aime la maltraitance qui pour lui est d'une jouissance extrême.  Je le rencontre tous les quinze jour depuis bientôt 4 ans et cette fois-ci il m'a demandé s'il pouvait venir avec un enfant de chœur de 40 ans son cadet.  Soit, il vient et comme à chaque fois qu'il vient , je lui demande de rentrer dans mon duplex par l'escalier, de se déshabiller au bas de l'escalier et de monter dans le plus,simple appareil. En arrivant , il me salut , bonjour étamé présente Julien, son enfant de chœur.  Je salue Julien et lui demande s'il a une ceinture. Il soulève son T-Shirt été montré qu'il en a une. Je lui ordonne de la retirer, et indique à Monseigneur de lécher mes chaussure pour être beaucoup plus respectueux qu'à son arrivée. Comme il avait oublié de m'appeler maître, il méritait une punition. Je lui demandais comme à notre habitude de choisir le nombre de coups de fouets qu'il choisissait. Il choisi 5 coups, le maximum. J'ordonnais à Julien de donner un coup de ceinture bien sec sur les fesses de monseigneur . Julien lui asséna un coup sec et bien ferme déclenchant un petit couinement de plaisir . Il recommença pendant que je pinçais ses tétons.  J'ordonnais à Julien de se déshabiller, ce qu'il fit en faisant apparaître une queue de 20 cm d'épaisseur normale environ 5cm. Je le dirigeais face à monseigneur afin qu'il se fasse sucer. Pendant que monseigneur suçait Julien, je le godais avec un gode de 25 cm avec une largeur de 7cm en haut à 12cm à la base. Je le fistais littéralement avec ce gode monstrueux en fouettant ses couilles....il hurlait de plaisir , étouffé par les gorges profondes que j'imposais à Julien de lui faire. Je lui ai même enfoncé en tapant avec le pied dedans. Il hurlait : encore, merci maître hummm !! En 4 ans il n'a jamais vu m'a queue et nous n'avons jamais eu de rapports sexuels.   La seule chose à laquelle avait droit monseigneur était de lecher ma queue au travers,de mon pantalon.  Ce jour là, je demandais à Julien de prendre monseigneur en le défonçant violemment pendant qu'il frottait sa langue et sa bouche sur ma queue au travers de mon pantalon.Au bout de quelques,minutes de coït, Julien me dis je vais jouir, j'ordonnais donc à notre chienne soumise d'évêque de se soumettre au baptême du sperme de son disciple et de n'en laisser aucune goutte. Il pris tout en bouche et lécha la moindre goutte de sperme du gland du jeune homme. En tant que maître SM je jouissais de voir ma lope d'évêque avoir tant de plaisir et jouir des coups et frustration infligées. A l'issue du rendez vous je félicitais Julien de son implication dans ce qui était un rendez-vous réussi pour le plaisir que chacun avait eut. Je prononçais ainsi une homélie sur la petite vertue de cet homme d'église, qui venait de recevoir une extrême onction digne d'une lope soumise. Mon absolution accordée, je fouettais ses fesses une dernière fois et ordonnais que tout ce petit monde se rhabille pendant que je préparais un petit café.  En effet, nos séances sont toujours suivies d'un moment convivial d'échanges intellectuels riches. A la prochaine...
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Par : le 13/12/22
Le edging, que l'on traduit le plus souvent  par "déni d'orgasme", est un type de pratique le plus souvent lié au BDSM (même si certains le pratique dans le cadre d'une relation de couple vanille). Le edging est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler son soumis ou sa soumise jusqu'au point de quasi-orgasme, et d'obliger le contrôle d'orgasme ou d'arrêter temporairement le jeu avant que votre orgasme arrive. Le déni d'orgasme dans le BDSM Dans le BDSM, le déni d'orgasme est donc utilisé comme un moyen d'assoir la relation entre le soumis ou la soumise et la partenaire qui domine tout en prenant du plaisir. La personne soumise devra faire attention à respecter le moment dont le partenaire dominant va décider s'il peut jouir. Cette pratique joue à plein sur la psychologie et s'articule autour de la dynamique du pouvoir. Le edging dans une relation BDSM aboutit donc à des moments très forts tant d'un point de vue physique qu’émotionnel. Le déni d'orgasme, au delà de la tension sexuelle est aussi une pratique extrêmement cérébrale. Ceux qui pratiquent le edging le font, en première intention pour prolonger le plaisir (en le faisant durer) tout en l'intensifiant (l'orgasme final est très puissant du fait de l'accumulation de la tension sexuelle qui va crescendo . Le plaisir à l'issue d'une séance de edging est quasi systématiquement bien plus puissant. Comme les autres pratiques BDSM, le déni d'orgasme se fait après accord de chaque membre du couple. Au delà du consentement qui est la pierre angulaire de toute relation BDSM, comme chacun sait, le edging implique en plus que la personne qui s'y soumet fasse tout pour obéir et retarder sa jouissance. Comment se lancer dans le edging ? Parmi les conseils que l'on peut donner si vous avez envie de tester le edging, on trouvera l'immuable invitation à discuter entre partenaires. Lors de la discussion préparatoire entre les partenaires, pourra être déterminé les pratiques qui vont être employé par la maîtresse ou le maître pour emmener la personne soumise au bord de l'orgasme. Les pratiques peuvent être de tout ordre, l'edging peut inclure des stimulations plus ou moins rugueuse du gland et surtout de son frein (pour les soumis), du clitoris, de l'anus et des tétons (pour les soumise). Le jeu sexuel pourra également se faire avec des sextoys, notamment des vibromasseurs plus ou moins puissants (du vibro de base au très intense magic wand). Pour mieux contrôler la personne soumise et assoir sa domination, on aura souvent recours à des moyens d'immobilisation type menottes ou liens ou cordes de bondage. Cela peut participer grandement à l'excitation et au délicieux tutoiement de la limite de son désir, avant le basculement dans la jouissance. Le edging c'est stimuler très très très (très) progressivement Le principe est dans tous les cas de commencer doucement les stimulations de la personne sur qui on va pratiquer le edging. Il faut commencer par des contacts légers comme des caresses (pas nécessairement portées sur des zones érogènes) puis augmenter progressivement la tension liée au plaisir en se focalisant de plus en plus sur des zones érogènes. C'est ensuite le levier de l’intensité de la stimulation qui sera activé. On caressera plus fort, on griffera, on pincera. La personne qui domine est libre de choisir les pratiques (et de les utiliser graduellement, en finissant par la pratique qui donne le plus de plaisir, d'habitude, à leur partenaire). Pour emmener votre soumise au edging, vous pouvez regarder du côté des vibromasseurs offrent des réglages de vitesse et de rythme ajustables et qui peuvent ainsi être utilisés pour explorer différents niveaux de sensation, des grondements lents aux vibrations rapides qui enverront des vagues de plaisir dans tout le corps. De la même manière, pour les soumis, on pourra utiliser cockring vibrants, qui offrent également des modèles de vibrations réglables qui produisent des effets similaires à ceux des vibromasseurs tout en offrant un maintien supplémentaire aux organes génitaux masculins. Le edging si je suis seul.e c'est mort ? On l'a vu, un des piments (fort !!!) dans le déni d'orgasme c'est ce qui se noue entre la personne soumise et la personne dominante. Toutefois, le plaisir du déni d'orgasme (et l'intensité de l'orgasme, au bout du compte) peut être exploré en solitaire lors de la masturbation (j'avoue y succomber quand Chouchou est en déplacement). 1) Commencez encore plus doucement que d'habitude : mettez le téléphone en mode avion, fixez vous une heure avant laquelle vous vous refuser à jouir, et augmentez très très progressivement la pression, la vitesse ou l'intensité de vos stimulations sexuelles (qu'elles soient manuelles ou avec sextoy). 2) Faites des pauses, c'est l'une des clés : Lorsque vous vous sentez au bord d'un orgasme, changez de stimulation ou faites une pause (ne serait-ce que pour quelques instants). Cela permettra aux sensations d'excitation de se dissiper un peu avant de reprendre ( la reprise est en général très très très intense, un à chaque fois encore un peu plus "compliqué" de garder le contrôle). 3) Changez de main ! Que vous soyez un homme ou une femme, vous avez une main agile et précise et l'autre un peu plus gauche (même si c'est la mais droite !). Vous pouvez vous contraindre à vous caresser avec votre main la plus maladroite pour retarder les risques de jouir. 4) Concentrez-vous sur la respiration : Prendre de profondes respirations pendant que vous vous masturbez (ou pendant vos pauses) peut aider à détendre votre corps ce qui est très important pour essayez de retarder l'orgasme ! 5) Limitez l'utilisation des vibromasseurs, par exemple forcez vous à n'utiliser que l'intensité la plus faible de votre vibro habituel, ou imposez vous à ne l'utiliser qu'à travers vos vêtements pendant X minutes. 6) Rédigez un texte sur vos pratiques et vos sensations au fur à mesure que votre excitation monte. La phase de rédaction étant incompatible avec la masturbation, d'écrire vous forcera donc à arrêter (tout en vous excitant de l'écrire, ce qui a un côté redoutable, j'en conviens). Si c'est une masturbation edging parce que votre partenaire habituel.le est loin vous pourrez d'ailleurs lui envoyer ce texte quand vous aurez craqué ! (si vous n'avez pas de partenaire attitré(e), pourquoi ne pas les partager sur les sites (ou même dans les commentaires de cet article !). --- La première fois que l'on teste "en conscience" le déni d'orgasme n'est rien quant à ce qu'on ressentira les fois suivantes. En réalité, c'est d'avoir connu le déni d'orgasme et la libération finale parfois après des heures de stimulations (et de pause) qui va rendre un peu plus délcieuse encore la pratique : on sait l'intensité de ce que l'on va ressentir à la fin si on résiste !!!  
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Par : le 12/12/22
Les pinces à tétons (on dit nipple clamps en anglais) m'ont longtemps semblé terriblement intimidantes de prime abord, même pour tout dire, elles me faisait peur, car j'avais peur que mes tétons ne supportent pas les pinces. Pourtant, j'aimais bien qu'on me pince les pointes de sein, mais entre la peau des doigts d'un partenaire (qui peut arrêter de suite si la pression est trop forte) et celle d'une pince qui continuera son serrage même si cela fait trop mal, il y avait dans ma tête une sacrée différence. Mais après avoir franchi le cap, en testant, d'abord seule, j'ai pris goût peu à peu à cette pression sur mes tétons, et mes seins, depuis n'ont cesse d'en redemander. Les mamelons étant une zone très érogène, les pinces à tétons peuvent donc être utilisées pour augmenter les sensations et dans certains cas peuvent conduire à l'orgasme, ou du moins y participer grandement. Je n'ai pas eu le bonheur de jouir rien que par les seins, mais quand on me stimule le clitoris alors qu'on m'a mis des pinces à seins, le plaisir est extrêmement rapide à venir et l'orgasme d'une intensité rare. Les pinces à seins meprocure des sensations graduelles (la première était une crainte quand je débutais, mais de nos jours, la crainte à laisser la place à l'envie). Le cheminement dans le plaisir lié à l'utilisation des pinces à sein.   La pince à sein et l'effroi Lorsque vous posez la première pince pour la première fois sur votre sein, vous pouvez être surpris par la sensation qu'elle procure, la pression est de la pince sur le bout des seins est une sensation inimitable, qui irradie littéralement tout le mamelon et même l'ensemble du sein. La sensation n'est comparable à aucune autre (même si la sensation des pinces sur le clito s'en rapproche peut-être un peu). L'excitation provoqué par les pinces Une fois la barrière de la peur et de l'effroi passée, vous commencerez à ressentir de l'excitation dans tout votre corps. Vous serez étonné(e) de constater à quel point cette expérience est aussi agréable que douloureuse. Ou plutôt que la douleur est une délicieuse stimulation de vos seins, qui rend la pratique terriblement excitante et vous emmène assez vite au plaisir. Et même visuellement, c'est terriblement excitant : j'adore voir mes seins quand ils arborent des pinces, c'est esthétique, je trouve, comme peuvent l'être les bijoux et quand j'ai commencé à pratiquer, seule, je le faisais devant un miroir et je trouve que cela participait grandement à l'érotisation de la pratique. J'ai commencé par pratiquer les pinces seule. Rien que de saisir la pince entre mes doigts, sentir l'acier (c'était des pinces en acier reliées entre elle par une chaîne) me faisait terriblement mouiller. Le plaisir de la torture des seins À mesure que le flux sanguin vers vos mamelons augmente du fait de la pression des pinces, vous commencez à ressentir une douleur et un plaisirs plaisir que vous n'avez sans doute jamais connu auparavant. La combinaison de la douleur et du plaisir vous donnera envie d'en d'aller encore plus loin, que vos seins soit encore un peu plus martyrisés. L'intensité de la pression des pinces Plus vous portez les pinces longtemps, plus les sensations deviennent intenses. Vous risquez assez vite d'être submergée par le plaisir, surtout si vous débutez, car cela n'en est que plus intense. Surtout si votre partenaire vous retire les pinces puis vous les remet juste après. La douleur et le plaisir décuplent à chaque retrait qui aboutit à remettre les pinces, quand la pression revient. La stimulation n'en est que plus intense. Je ne saurais que vous conseiller de disposer de pinces à tétons qui permettent le serrage avec une vis. Le serrage réglable va permettre à votre dominant de doser progressivement l'intensité de la douleur en jouant sur le réglage, et de vous faire monter au paradis crescendo. La libération du retrait des pinces à seins Lorsque vous aller finir par retirer les pinces, la libération de toute l'intensité accumulée peut être explosive.La douleur est très intense du fait de la stimulation aiguë des mamelons et de la souffrance qui en résulte. La sensation dépendra du temps pendant lequel vous avez porté les pinces, le poids qui reposait sur vos tétons (il est possible d'accrocher un poids à la pince), et la manière dont votre partenaire aura joué avec les pinces. Certaines pinces disposent d'une chaine pour que le dominant puisse jouer à tirer sur les pinces, ce qui pour les pinces japonaises aura en plus pour conséquence de les rendre un peu plus mordantes encore. Quand les pinces se font porte d'accès au nirvana Vous ressentirez une incroyable vague de douleur qui sera accompagnée d'une bouffée de plaisir qui vous fera parfois défaillir (on parle de subspace en SM). Une fois l'intensité retombée, vous vous retrouvez dans un état de bien-être incomparables. La rémanence de sensations aussi intenses ne ressemble à rien d'autre, et vous vous sentirez satisfait et content. La relaxation lors de la redescente Une fois que tout est dit et fait vos seins auront été stimulés, pincés, torturés et que la douleur et le plaisir liés aux pinces s'éloignera progressivement, vous vous sentirez probablement très détendue ! Les jeux de pinces sur les mamelons est une véritable épreuve, quand les jeux sont finis, le sentiment de relaxation est proportionnel à l'intensité de la stimulation de vos pinces à seins. Pourquoi j'en pince... Lorsque mes mamelons sont pincés juste comme il faut (vous l'avez compris, cela change au fil de la séance), je ressens une sensation électrisante qui parcourt mon corps et allume un feu en moi. Ce que j'ai compris en essayant de comprendre pourquoi, c'est que cette pratique entraine la libération d'hormones comme l'ocytocine et la dopamine, ce qui participe à une sensation de bien être malgré la douleur. J'aime quand Chouchou me les pince légèrement au début, puis qu'il augmente progressivement la pression pour finalement se libère de s'en occuper en m'apposant des pinces (pince à linge ou japonaise, en ce qui me concerne). D'avoir les seins pincés intensifie toutes les autres sensations, tant physiques qu'émotionnelles (ce qui est finalement le plus étrange dans cette affaire), que je ressens pendant les rapports sexuels. Lorsque mes tétons sont stimulés de cette manière, je deviens plus sensible à toutes les autres zones de stimulation, comme la stimulation clitoridienne ou vaginale. Disons les choses, ça me rend plutôt ... chienne... ! Et ça, Chouchou, il l'a bien compris même s'il aimait déjà mes seins avant !  
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Par : le 12/12/22
TIRE AU SORT 3 ou  Quitte double ? :   Un soir je reçois un SMS pour une troisième rencontre : En voiture, j'arrive un peu avant l'horaire prévue, le portail de la maison individuelle est ouvert et je me gare devant le portail avec un petit coup de klaxon pour prévenir de mon arrivée. Je prends mon sac de matériels ( différents cordages, une paire de ciseaux, 2 rouleaux plastique de momification de différentes largeurs, pinces à seins diverses, pompes à seins, baguettes chinoises, cagoule, lubrifiant, lunettes de natation, cordelette coton & cage de chasteté!). Je me mets devant la porte d'entrée et j'attends tranquillement, car j'espère bien cette devenir son MAÎTRE d'occasion certes( quitte à tricher un peu pour le tirage au sort!). Et encore cette musique à l'intérieur qui augmente bien lorsque mon "complice" ouvre la porte d'entrée. Je pose mon sac, un bonjour bref et je prépare la tirage au sort pour savoir aujourd'hui va être dominé ! Mon astuce fonctionne et je me retrouve comme MAÎTRE encore une fois, ce qui n'est pas forcément pour me déplaire, je dis souvent qu'un soumis peut-être un excellent dominateur, puisqu'il sait bien de quoi il s'agit de manière pratique! De suite, je lui pose les lunettes  de natation que j'ai pris soin de bien obscurcir soigneusement afin d'aveugler le porteur, et je lui demande de ne plus bouger, le temps que j'effectue une petite visite de la maison et surtout de la salle de bains! Bien sûr, je ne cherche pas à rentrer dans son intimité personnelle, mais plutôt à la recherche de la pièce la plus opportune à notre relation de domination. La maison est assez grande et après la cuisine, je trouve la salle de bains bien opportune. Je pose un collier, prolongé par une chaine, autour de son cou et l'invite à suivre la tension jusqu'à arriver à la salle de bains. Je lui demande d'entrer dans la baignoire plutôt que la douche ! J'enlève ses babouches, son pantalon et son slip kangourou, en lui laissant son tee-shirt sur lequel je pratique au ciseau une ouverture en forme de croix au niveau de ses deux seins ! Il me semble bien qu'il commence à bander ! Puis debout dans la baignoire, je pose les bandelettes de momification afin qu'il ne puisse plus plier les genoux, ce qui va l'obliger à rester debout et bien droit ! Pour le haut  je pose le pommeau de douche entre ses mains jointes que je lie également avec le petit rouleau plastique de momification : désormais ses mains sont tendues à la verticale au dessus de sa tête. Je prends soin de dévisser le flexible du pommeau et de faire couler de l'eau tiède, ce n'est parce qu'il est devenu mon soumis que je ne dois pas le respecter en lui infligeant une douche froide! Je remonte son tee-shirt sur les épaules et enduit généreusement ses seins de lubrifiant avant de poser les grosses pompes à seins que je serre à moitié ! Mon soumis temporaire commence à gémir ! je sais bien pourquoi car je pratique régulièrement l'usage de ces pompes assez douloureuses. Je redescend le tee-shirt pour que les 2 ouvertures  permettent d'accéder aux pompes afin de pouvoir de temps en temps re-pomper encore un peu plus ses seins dans le vide des pompes ! L'eau est tiède , je la coupe et remet le flexible sur le pommeau coincé entre ses mains bien au dessus de sa tête et ouvre légèrement le robinet afin qu'un petit filet dégouline le long de ses bras jusqu'au chevilles! Je pose une manille autour de son sexe déjà bien gonflé et le relie au collier en passant par le dos, entre les fesses ! La prochaine fois, je prendrais des photos pour lui montrer son excitation et son plaisir, non pardons, nos plaisirs bien partagés, chacun dans son domaine aujourd'hui! Son tee-shirt est bien trempé, une petite fessée sur ses fesses trempées et j'en profite ensuite pour vérifier l'aspiration de ses seins et d'augmenter alors un peu plus l'aspiration, ce qui provoque un nouveau gémissement. Pour le moment je n'ai pas utilisé le bâillon afin qu'il puisse boire l'eau qui continue à dégouliner sur son corps : c'est beau & bien excitant: mon sexe le prouve bien! Il ne peut ni s'asseoir ni baisser les bras bien momifiés en l'air ! Combien de temps pourra-t-il tenir cette position ? Il était bien convenu réciproquement qu'un non de la tête indiquait une limite de douleur! Je vérifie à nouveau l'aspiration de ses seins qui ne remplissent pas encore totalement les pompes, alors je les aspire au maximum en provocant encore une fois un gémissement de douleur ou de plaisir ? Son corps est trempé, dégoulinant d'eau tiède et je renouvelles les fessées  trempées, à mains nues  c'est assez  bruyantes et bien excitant pour l'un comme pour l'autre! La douche continue à couler lentement et surement et cette fois ci je décide déchirer son tee-shirt pour mieux profiter de ses seins outrageusement gonflés et colorés! Je tripote son sexe sans avoir l'intention de le faire jouir tout de suite, nos plaisirs réciproques doivent durer encore un peu! Mon soumis d'occasion doit être sous la douche depuis au moins une demie heure! Délicatement je libère ses seins de l'aspiration pour les lécher tendrement et sensuellement, j'ai l'impression qu'ils allaient exploser ! J'interromps la douche afin de pouvoir laisser sécher ses seins en furie avant de pouvoir lui poser les fameuses baguettes chinoises. Je lèche  à nouveau ses seins qui ont bien commencer à diminuer de volume, puis je les essuie délicatement et tendrement. (la domination n'exclue pas du tout la tendresse ni la sensualité). Le temps passe trop vite et je passe à la pose de ces fameuses baguettes chinoises de ma fabrication. J'ajoute par dessus les pinces à seins réglables qui vont pouvoir après le gonflement, augmenter désormais le pincement, plus tard j'ajouterai des poids ! Je profite un peu de la situation pour remettre la douche et poursuivre par un rasage intégral des aisselles, du bas ventre et des jambes, je laisse sa tête chevelue! Je diminue le débit de la douche pour mieux profiter de la mousse à raser sur l'ensemble de son corps, ce qui me permet une palpation générale réellement excitante pour nous deux complices volontaires! Désormais son corps totalement nu s'expose  à moi et son sexe a bien envie aussi d'exploser ! Encore un peu de patience, je dois augmenter la pression sur ses seins en serrant un peu plus et en ajoutant des poids sur chacun. L'eau tiède dégoulinante est un spectacle vraiment agréable et très sensuel, voir érotique ! La séance approche de sa fin, et je n'oublie pas de lui poser un bâillon, devant une telle situation, j'ai bien envie de me "branler" mais je préférerai une fellation bien jouissive! Je vais libérer ses mains en prenant soin de fixer le pommeau de telle sorte que l'eau ruisselle toujours sur son corps imberbe et bien excitant! Je monte sur le bord de la baignoire pour présenter mon sexe à sa bouche et je lui prends les bras afin qu'ils tripotent mes seins et de mon coté je lui impose une masturbation éblouissante : il me semble sous l'excitation mutuelle que Nous avons jouis ensemble de bon cœur ! Cette fois pour rincer, Nous prenons la douche l'un avec l'autre, se caressant mutuellement ! J'espère qu'il ne m'en voudra pas trop de lui avoir massacrer son tee-shirt! Une bonne bière et l'on se sépare sur un au revoir complice! Quand pourrais-je revenir, cela ne dépend que de lui pour être la prochaine fois encore son soumis, puisque Nous avons décider ensemble d'alterner les rôles de notre belle complicité! Si un jour je dois revenir, je n'oublierai pas d'effectuer un lavement interne également! J'ai hâte de pouvoir à nouveau mettre tout mon corps à son entière disposition, librement et volontairement !
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Par : le 07/12/22
L'utilisation du fouet : d'abord faire attention ! Jouer avec un fouet (ou autre accessoire de flagellation) n'est pas anodin, voici quelques points essentiels à avoir en tête avant de commencer à utiliser un fouet (ou un martinet). Tout d'abord, c'est en forgeant qu'on devient forgeron ! Avant de vous lancer, entrainez-vous ! Il vous faut perfectionner votre sens de la visée et votre technique avant de martyriser votre soumise ou votre soumis. Si elle n'est pas effectuée correctement, une flagellation peut entraîner un "enroulement". Cela se produit lorsque les extrémités des queues chevauchent la zone souhaitée, causant des blessures. L'enroulement peut-être intentionnel quand vous serez aguerrie. Mais si vous débutez, évitez ! Cela peut être extrêmement dangereux. Jusqu'à ce que vous soyez certain de viser (à peu près) juste, il vaut mieux protéger les zones vulnérables avec des vêtements, des couvertures ou des serviettes. Rappel des consignes quand on débute en fouet Évitez le coccyx, la colonne vertébrale, les reins, le visage et le cou. Protégez les endroits sensibles avec des vêtements, des couvertures, des serviettes ou des oreillers. Dirigez votre fouet de manière à ce que les pointes atterrissent en premier afin d'éviter de " s'enrouler ". Allez-y progressivement (voir doucement) avec la plante des pieds, les mollets, les organes génitaux et les seins. Arrêtez si vous remarquez des symptômes de problèmes circulatoires (surtout si le soumis ou là soumise est attachée)   Quel fouet choisir pour le BDSM? Un fouet est un outil plutôt sadique (on ne va pas se mentir !) qui comprend au principal un manche et plusieurs longues lanières, également appelées chutes. Il procure deux sensations : L'une est "piquante" et l'autre est "sourde". Dans la première une piqûre est ressentie à la surface de la peau, tandis que dans la seconde qu'un bruit sourd est une douleur beaucoup plus profonde. Quelles sont les caractéristiques du fouet qui vont déterminer si vos fesses vont recevoir un coup sourd ou un coup piquant ? Eh bien, plus le fouet a de queues et plus elles sont larges, plus la douleur est forte. À l'inverse, un fouet léger, avec très peu de lanières, plutôt étroite, produira une sensation de piqûre. Les débutants doivent éviter les fouets très lourds avec un grand nombre de lanières, car ils sont très difficiles à contrôler. Certains fouets ont des lanières extrêmement douces qui conviennent mieux aux personnes qui prefères les pratiques plutôt soft. Les différentes matières de fouet Fouet en caoutchouc Le fouet en caoutchouc rebondira sur la peau des fesses avec une piqûre satisfaisante. Réputé pour sa sévérité, il est réservé aux personnes les plus expérimentées. Il peut même provoquer des abrasions et des coupures, alors faites attention et suivez nos conseils de sécurité. Fouet en cuir ou en faux cuir Matière préférée de bien des amateurs et amatrices de BDSM, le cuir en tentera plus d'un. Alors, un fouet en cuir/faux cuir pourrait être le choix idéal pour vous. Ce type de fouet cingle fort et est conçu pour meurtrir l'ego aussi bien que la peau. Fouet en PVC Le fouet en PVC demande du self control. Il est déconseillé au débutant. Évitez donc d'utiliser un fouet en PVC, à moins que vous n'ayez beaucoup de pratique dans la flagellation. Le PVC est assez rigide, ce qui le rend un peu difficile à manier. Fouet en daim/peau de mouton Suède Tout en douceur ! Le fouet en daim a l'air tout doux. Idéal pour s'initier à la pratique du fouet, c'est aussi le choix parfait pour les amateurs de sensations forte. Fouet en Nylon Le matériau est peut-être synthétique, mais l'expérience est inimitable! Les fouets en nylon sont durables et beaucoup plus faciles à nettoyer que de nombreux autres matériaux (qui ne supportent pas l'eau). Lorsqu'elles les lanières s'enroulent, elles produisent une sensation de piqûre aussi bien que sourde, selon l'épaisseur des lanières. Fouet en corde Alors, vous avez réussi à convaincre vos fesses de se faire fouetter sévèrement ? Eh bien, félicitations, vous allez vous régaler. Un fouet à corde peut être doux ou piquant, selon la façon dont vous l'utilisez. Il est préférable d'être déjà expérimenté(e) pour utiliser ce type de fouet. Fouet en crin de cheval Les fouets en crin de cheval peuvent infliger une piqûre vive ; de plus, chaque poil est doté de minuscules barbes qui peuvent couper la peau, il faut donc donc à utiliser avec beaucoup de précaution. Déconseiller pour les débutants. Fouet en chaîne Le fouet dont les lanières sont remplacées par des chaînes offre des flagellations très particulières ? Il permet de jouer avec la froideur du métal quand on le déplace lentement sur chaque centimètre de la peau de la soumise. Le bruit fait par les chaînes est également très excitant. Fouet avec de la fourrure Plus rare, on trouve des fouets avec de la fourrure, qui sont davantage destinés à la caresse qu'à une réelle flagellation. Ce type de fouet est généralement fabriqué en fourrure de lapin ou dans un matériau synthétique qui y ressemble. Techniques de flagellation Tout est dans la technique ! Tout d'abord, pourquoi ne pas augmenter l’appréhension de votre partenaire, balancez le fouet de façon sadique dans un mouvement circulaire, en le laissant fendre l'air. Rapprochez-le du bas, de manière à ce qu'il ne soit qu'à quelques centimètres de sa peau. Permettez-leur de sentir le souffle du fouet contre leur peau et d'entendre ce son terrifiant lorsque le fouet qui se rapproche. Certaines personnes choisissent d'administrer leur châtiment corporel par séries. Entre les séries, les fesses se reposent. Quel meilleur moment pour passer doucement la queue du fouet entre les jambes et stimuler les parties génitales, ou pour caresser doucement la peau avec vos doigts ? Il est bon d'avoir un pulvérisateur ou un ventilateur à portée de main pour pouvoir rafraîchir la peau de temps en temps. Un moment de repos avant reprendre avec des coups beaucoup plus durs ?   La technique "Sting & Thud" Cette technique consiste simplement à alterner entre deux sensations de flagellation différentes : la sensation de piqûre et la sensation de bruit sourd. Pour ce faire, vous pouvez utiliser deux fouets différents ou simplement modifier la façon dont le fouet frappe la peau de votre soumise. Vous devriez maintenant avoir une idée des caractéristiques à rechercher et de la façon d'attaquer la peau, en fonction de la sensation choisie (soulever avant l'impact pour une piqûre, appuyer vers le bas pour un bruit sourd). La technique "Cyclique/Rythmique" La flagellation est une punition douloureuse. Lorsque l'on parle de cyclique/rythmique, nous entendons spécifiquement l'utilisation de figures géométriques. Il peut s'agir de simples cercles qui, avec un peu d'entraînement, vous permettront d'alterner les zones (par exemple, de la droite à la gauche de la fesse ou de la droite à la gauche de l'omoplate) en un rien de temps, ou de créer une figure en 8 ou d'autres motifs plus élaborés. Le chiffre 8 peut être obtenu en effectuant un mouvement diagonal vers le bas (à 2 heures) sur le côté droit, puis en reproduisant le même mouvement sur le côté opposé. La technique "Dual Wielding/Florentine" Pour doubler le plaisir/douleur, utilisez vos deux mains ! N'essayez pas la flagellation à deux mains avant d'être totalement certain d'avoir perfectionné votre technique a une seule main, déjà. Il est essentiel que vous alliez lentement et que vous progressiez avant de vous orienter vers ce genre de flagellation. N'oubliez pas que c'est en forgeant qu'on devient forgeron, alors ayez votre oreiller à portée de main pour vous entrainer. La Florentine (quatre ou six points) est une technique avancée de double maniement qui implique l'utilisation rythmique d'une paire de fouets assortis (identiques ou de même poids) dans un mouvement descendant sur le dos On evitera la colonne vertébrale et les reins. Il existe de nombreuses ressources Internet qui montrent/instruisent comment exécuter correctement la Florentine. La technique "happy ending" Il est probable que la victime soit en subspace suite à sa flagellation, et la façon dont vous la ramenerez à la réalité est donc très importante. Si le moment est venu de mettre fin à la séance , ou si vous voulez passer à autre chose, choisissez un moyen d'impliquer votre soumise ou votre soumis dans la décision. Certaines dominas demandent de choisir un nombre entre un et trente. Il s'agit du nombre de coups qu'ils leur donneront avant de mettre fin au jeu. Cela permet de préparer la personne soumise à la fin du jeu. Entretien et stockage des fouets Il peut être assez difficile de garder les fouets propres, notamment parce que la majorité, voire la totalité, des matériaux utilisés pour les fabriquer sont poreux. Il faut donc en prendre grand soin pour éviter le développement de bactéries. C'est pourquoi nous vous déconseillons de partager votre fouet avec plusieurs partenaires. Il est essentiel de nettoyer votre fouet après chaque utilisation afin qu'il soit prêt à jouer quand vous le souhaitez. Ne le plongez jamais dans l'eau, essuyez-le simplement avec de l'eau chaude savonneuse ou une solution d'eau de Javel (un volume d'eau de Javel pour dix volumes d'eau). Vous pouvez également le stériliser en utilisant un nettoyant antibactérien pour sextoys. Les fouets en cuir ou en daim doivent parfois être traités avec une crème spéciale. Cependant, certaines peuvent décolorer le matériau, il est donc conseillé de faire un essai sur une petite surface avant de nettoyer l'ensemble du fouet. Les fouets en crin de cheval nécessitent également un entretien particulier. Le poil peut être lavé avec du savon liquide et de l'eau tiède/chaude. Vous pouvez ensuite l'éponger et le brosser avec un peigne à larges dents. Faites sécher votre fouet lentement et naturellement, sinon il pourrait se fissurer et devenir rigide. Il doit être stocké suspendu dans un endroit bien ventilé pour éviter les plis. Essayez également d'ébouriffer les lanières de temps en temps. Cela les empêchera de se rigidifier. Il est également utile de saupoudrer les fouets en caoutchouc de talc de temps en temps.
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Par : le 04/12/22
4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions. 4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot. J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline. La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas. Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité. Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines. N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ? Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain. Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais. Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre. "Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi. Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ? Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?" (Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant. Caroline m'en dit plus : « Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1). Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… » J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une. Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland." Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait ! Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi » Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non. Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?" Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation. Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe. Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net ! D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !" Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence. Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée. « Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture. En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale. Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe... Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise. Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête. « Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? » Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux. Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans. Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger. La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte ! Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer. Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel. 19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute. Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys. Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie. Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ». Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard). Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants). Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté. Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.  "Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre. Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça. Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti ! Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille. Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion"). Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi... Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage. Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine. Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu. Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant. « C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards... L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue. Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément. « A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi… Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase. Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés. C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun. Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps. L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite. Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait. Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée. Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer. Merci d’avance.
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Par : le 04/12/22
Historiquement, le fétichisme des pieds remonte à l'Égypte ancienne. Les sandales étaient souvent gravées d'images érotiques et de nombreuses tombeaux contiennent des peintures murales intégrant des illustrations autour du pied. Au Japon, les Geishas se contraignaient parfois les pieds pour les faire paraître plus petits et plus délicats. S'il fallait en donner une définition, un fétichiste des pieds est une personne qui est sexuellement excitée par les pieds. Le fétichisme des pieds est l'un des fétichismes les plus courants, et on le trouve autant chez les personnes dominantes (qui vont contraindre par exemple leur soumise à porter des talons hauts) que chez les personnes soumises (qui vont prendre plaisir à embrasser les pieds de leur Maîtresse ou de leur Maître). Les fétichistes des pieds peuvent aimer embrasser, lécher, sucer les orteils, masser ou sentir les pieds (l'odeur du pied fait partie des déclinaisons fétichistes autour du pied) . Certaines peuvent également aimer voir des pieds gainés dans un bas nylon, dans des chaussettes ou dans des chaussures ouvertes. On trouve également des fétichistes qui vont trouver leur plaisir dans la vénération du pied (ce qui peut prendre deux formes différentes, la vénération du pied de leur partenaire, ou l'adoration par leur partenaire de leur propre pied). Le fétichisme des pieds est souvent considéré comme une déviance dans le monde vanille car les pieds sont considérés comme sales (car en contact avec le sol). Quelles sont les causes du fétichisme des pieds ? On dit souvent que les fétichismes se développent durant l'enfance. Si tel est le cas, le fétichisme des pieds pourrait trouver son origine dans vos jeunes années quand vous étiez chatouillé par les pieds ou que tout petit vous aimiez-vous que vos pieds soient frottés. D'autres pensent que les personnes fétichistes des pieds pourraient s'intéresser aux pieds parce qu'ils symbolisent le pouvoir et l'autorité. D'autres encore, suposent que les pieds provoque une excitation sexuelle car ils sont souvent cachés, ce qui peut les rendraot encore plus intrigants et désirables. Comment savoir si vous êtes fétichiste des pieds ? Si votre premier réflexe, l'été, quand les femmes sont courtes vêtues est de vous focaliser sur les pieds dénudés plutôt que tout autre partie du corps et de les regarder avec attention et en détail, spontanément, et d'en ressentir une excitation sexuelle c'est sans doute que vous êtes fétichiste du pied, à une échelle ou une autre. Si vous êtes un homme et que vous vous arrêtez devant les magasins de chaussures pour contempler les talons de stiletto féminins, c'est également un indice. Bien évidemment si la vue d'un pied vous procure de l'excitation ou du désir, il n'y a aucun doute. Mais si l'attrait est donc plus soft, ce peut être que vous faites un rejet de votre fétichisme (et de ses déclinaisons sexuelles). Beaucoup d' hommes sont donc fétichistes mais se refusent à se l'avouer à eux-mêmes. Il n'y a pourtant aucune honte à être fétichiste des pieds, regarder prioritairement les pieds d'une femme ou ses orteils n'est pas moins nobles que de regarder d'autres partie de son corps tels que ses seins, ses fesses ou ses parties génitales ! Si vous vous sentez fétichiste, il n'y a aucun mal à explorer davantage vos désirs, seul ou avec une partenaire consentante. Les femmes sont moins réfractaires qu'on ne le dit, et certaines adorent se faire masser les pieds ;-). Le fétichisme du pied en bas nylon Le fétichisme du pied en nylon est assez répandu et il se décline en plusieurs "sous catégorie" existe un certain nombre de sous-catégories différentes . Il existe ainsi plusieurs types de fétichisme des pieds en nylon, notamment -L'odeur des nylons : Certaines personnes sont attirées par l'odeur des nylons, qui peut varier en fonction du type de tissu utilisé, -La sensation des bas nylon : La douceur du tissu quand elles caressent le pied de leur partenaire peut être considérée comme excitante pour certaines personnes, -Le bruit des bas nylon : Le bruissement des bas nylon peut également être excitant pour certaines personnes, -La vue des bas nylon : L'aspect des bas nylon sur un pied peut provoquer une excitation visuelle. -Le goût des bas nylon sur le pied : Certaines personnes aiment lécher et goûter les bas nylon, souvent parce qu'ils ont un goût sucré ou sexy. Le fétichisme axé uniquement sur les doigts de pieds Une branche du fétichisme des pieds s'est développée pour devenir un fétichisme quasi à part entière. Les personnes qui ont ce fétichisme particulier sont souvent appelées, non sans mépris parfois, "suceurs d'orteils". Bien que la succion des orteils puisse être intégrée au fétichisme traditionnel des pieds, elle constitue donc également un fétichisme distinct. Les origines de la succion des orteils Les origines de la succion des orteils remontent à l'Égypte ancienne. En fait, de nombreux historiens pensent que la succion des orteils était pratiquée dans le cadre d'une cérémonie rituelle au cours de laquelle la femme du pharaon baignait les pieds de son mari, puis lui suçait les orteils. Cette pratique était censée symboliser la soumission de la femme à son mari. Bien que les origines spécifiques de la succion des orteils ne soient pas totalement connues, on pense que cette pratique a commencé à gagner en popularité au début du XXe siècle. À cette époque, de la littérature érotique incluant la succion des orteils comme acte sexuel a commencé à circuler. Ce phénomène, combiné au fait que les femmes portaient plus souvent des chaussures ouvertes (ce qui rendait leurs orteils plus accessibles), a probablement contribué au développement de cette perversion particulière. Le fétichisme des ongles de pied vernis Le fétichisme des ongles vernis est un intérêt sexuel pour les orteils qui ont été polis avec du vernis. Il peut s'agir d'un vernis à ongles transparent ou d'un vernis de couleur vive. Parfois les hommes fantasmes sur une couleur de vernis bien précise. L'excitation est provoqué par la vision d'ongles de pied de femme qui soient brillants et lisses. Pourquoi les hommes sont-ils si excités par les ongles d'orteils vernis ? Il existe plusieurs théories différentes sur les raisons pour lesquelles les hommes s'intéressent de plus en plus aux ongles vernis. L'une d'entre elles est que les ongles brillants sont considérés comme un signe de féminité et peuvent donc exciter les hommes qui sont attirés par les femmes très soignées, pour leur côté inaccessible. Le fétichisme des talons hauts qui mettent en valeur le pied féminin Dans l'histoire, Les premiers talons hauts ont été créés dans les années 1500 pour être portés par les hommes et les femmes. Cependant, ce n'est qu'au XVIIIe siècle que les talons hauts sont devenus populaires parmi les femmes de la noblesse européenne. Ces premiers talons hauts étaient constitués de fines bandes de métal ou de bois qui étaient fixées à la semelle des chaussures. Ces bandes permettaient d'élever le talon plus haut que le sol et rendaient la marche des femmes plus difficile, ce que beaucoup d'hommes trouvaient assez érotique. Ce qui s'exprime alors c'est une domination de l'homme et une soumission de la femme. Au fil du temps, les talons hauts sont devenus de plus en plus populaires parmi les femmes de toutes les classes sociales. Au début du XXe siècle, des stars hollywoodiennes comme Marilyn Monroe ont contribué par leurs films à sexualiser davantage l'image de la femme à talons hauts. Et dans les années 1950, les talons aiguilles ont été inventés, ce qui a ajouté à la fascination des hommes pour les chaussures de femmes. Aujourd'hui, il existe toutes sortes de types de talons hauts parmi lesquels les femmes peuvent choisir - et les hommes en baver ! Le fétichisme du pied a ainsi basculé, le plus souvent, comme un fantasme de soumis pour sa maîtresse. D'une dévotion de l'homme soumis pour la féminité de la dominatrice. Les fétichistes de l'odeur des pieds Les fétiches des odeurs de pieds sont plus courants que vous ne le pensez. En fait, selon une étude, près de 5 % de la population a une sorte de fétichisme olfactif. Et même si cela peut sembler peu, cela représente tout de même un nombre important de personnes. Alors, qu'est-ce qui fait que certaines personnes trouvent l'odeur des pieds si attirante ? Pour de nombreuses personnes fétichistes des odeurs de pieds, l'attrait réside dans la nature taboue de l'odeur elle-même. Il y a quelque chose d'excitant à savoir que quelqu'un trouve vos pieds si odorants qu'il en est excité. C'est la même raison pour laquelle certaines personnes sont fétichistes des odeurs corporelles ou même du léchage des aisselles, mais c'est un autre sujet. Mais pour d'autres, c'est simplement l'odeur des pieds qui les excite. Certaines personnes trouvent l'odeur de la sueur et du fromage carrément enivrante. Le fait que les pieds sont souvent chauds et transpirants parce qu'ils sont enfermés dans des chaussures toute la journée, semble être déterminant dans l’excitation sexuelle de ces fétichistes. Ce fétichisme de l'odeur des pieds est assez répandu dans les milieux gays. C'est même peut-être le principal fétichisme dans cette communauté. Voir également le fétichisme des collants
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Par : le 29/11/22
Bonjour à tous, J'ai pris du temps à prendre la parole, ou plutôt à prendre mon clavier, afin de vous soumettre une des mes histoires, qui a plus de 20 ans, certes, mais me définit bien. Pour être parfaitement honnête, je l'ai présenté sur un autre forum, il y a 4 ans... et le peu de réactions me laisse à penser que ce forum, qui a l'air beaucoup plus actif, facilitera la discussion car cela en est le but. Si je ne suis pas au bon endroit (ou si la section "cas vécus" n'existe pas), je présente mes excuses aux modérateurs et vous laisse gérer ce témoignage. Si ce dernier reste, bienvenu dans monde, c'est parti : Cela se passe dans nom Nord natal, une jeune femme apprend par hasard, lors d'une soirée étudiante, que je suis attiré par les jeux de domination et de soumission (à cause d'un ami qui, étant au courant de mes tendances, s'est permis d'en parler sans prendre garde à l'auditoire : la jeune femme en question). A l'époque, nous organisions un petit voyage à Disneyland avec ma promo étudiante, chacun d'entre nous avait la possibilité d'inviter une personne et devinez qui je pris ? La jeune femme pré-citée, que j'appellerai Géraldine (le prénom a été changé). Je me retrouve donc en vadrouille à Marne la Vallée au milieu des décors en carton pâte et autre Mickey. Peu de monde, période de juin, nous profitons des attractions mais, la fatigue aidant, je décide, avec ma compagne d'un jour, d'aller voir un spectacle histoire de s'asseoir un peu. Le spectacle commençant dans une vingtaine de minutes, le discussion s'enclenche sur le BDSM, puisque son oreille avait glissé quelques jours plus tôt sur mes pratiques lors de la fameuse soirée. Elle m'avoue (quoique je ne vois pas où soit l'aveu, je ne vois là aucune culpabilité) avoir envie de pratiquer le SM, en tant que soumise, et le plus vite possible ! Je vous refais la scène, je suis au milieu d'un parc à thèmes pour enfants et une jeune femme me demande de la dominer. Euh, comment dire ? Hors-sujet ? trop tôt ou trop tard ? Je me vois donc dans l'obligation de lui demander a minima d'attendre notre retour en terre flamande pour envisager quoique ce soit. Elle acquiesce, nous profitons du spectacle mais je dois avouer que quelques images de ma future soirée commencent à s'immiscer entre Minie, Donald et autre Mulan.... vision bizarre, mais que je dois bien assumer. Je vous épargne le reste de la journée, mélange de poupées qui chantent "It's a small World after all" et mon imagination débordante faite de menottes, de martinet et de pinces sur tétons. Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre ! Le soir venue, Géraldine se prépare à rentrer chez elle une fois descendue du bus. Tout mon imaginaire s'effondre sur le champs ! Elle a dû changer d'avis, dommage ! Je cherche donc un taxi pour rejoindre Fives (un quartier de Lille) où se trouve mon appartement lorsqu'une voix me demande au moment où j'allais annoncer l'adresse à mon transporteur : "Je peux venir ?". Mon "oui" fût si rapide que Géraldine crût un instant que je m'adressais au chauffeur. Je lui tint la porte de notre carrosse (une Peugeot, si me souviens bien). Cela la rassura, je la pris par le bras comme pour l'introniser dans un bal où personne ne l'avais jamais invitée. Je la sentis un peu frileuse pendant le trajet, je la pris par la main avec mon discours habituel (code de sécurité, pratique négociée avant et, surtout, mon appartement possède un lit d'appoint dans le cas où elle ferait marche-arrière). Arrivée à l'appartement, un verre, vite ! Nous avons tous les deux la gorge sèche, comment pourrait-il en être autrement ? Je lui présente ensuite le matériel, menottes, cordes, pinces à linge, bougies, martinet. Lui expliquant chacun sans tabou. Je sens désormais que sa frilosité déguise en fait une véritable excitation, la soirée peu commencer... Je lui fait d'abord essayer les menottes, les bas devant, tel un suspect au tribunal. Elle comprend désormais que les clés que je possède seront son seul salut, elle assume de statut de soumise et me demande de tout essayer. Je commence donc par la libérer, lui demande ensuite de retirer ces vêtements, hormis sa culotte et son soutien gorge, elle s'exécute, tremblante, je lui retire moi-même les bretelles de son soutien-gorge, ses épaules son dénudées, tant mieux, je peux donc désormais l'attacher sur une chaise présente depuis le début de la scène, au milieu de ma chambre, et que je ne vous ai pas présenté : La chaise, je te présente Géraldine. Géraldine, je vous présente la chaise. Assise et menottée, Géraldine me lance un "je te fais confiance" qui marque définitivement ma mémoire comme un acte fondateur de notre future relation. Je lui attache les pieds, les genoux afin de valider la contrition. Je relie ensuite le bas de ses chevilles aux menottes, pour que le mouvement soit très limité... Et je pars dans mon salon... pour regarder un épisode de Friends, dont je suis fan, en version originale, s'il vous plaît (ça passait sur une chaine qui s'appelait Jimmy et qui état la seule, à l'époque, à les passer en VO). Pour être honnête, le salon et ma chambre sont dans la même pièce, Seule ma salle de bain, mes toilettes, ma cuisine et ma salle à manger sont à part. Je laisse donc Géraldine regarder l'épisode avec moi. Elle n'a pas l'air de comprendre, je lui explique donc que je lui laisse une demie-heure pour entrer dans son statut d'objet. Dix minutes après, c'est le cas, elle accepte sa condition, je peux donc maintenant lui faire accepter la mienne. Un aller retour au frigo me fait sortir quelque glaçons que je pose directement dans les bonnets de son soutien-gorge. Frisson immédiat, avec cette impossibilité de les retirer rendant ce frisson plus... excitant. Ne prononçant aucun code de sécurité, je prends le martinet et lui frappe, doucement d'abord, puis plus fortement, les cuisses, cela commence à rosir doucement. Au bout de cinq minutes, les glaçons ont fondu, le soutien-gorge n'est donc plus nécessaire, je lui retire avec, dans mes mains, une vingtaine de pinces à linge. La suite, elle l'a compris. Ses seins vont désormais souffrir, elle le comprend et ne bronche pas. Je commence avec les contours, la poitrine est généreuse, les pinces y trouveront leur place. Je garde les 4 dernières pour les tétons, 2 chacun, la douleur devient intense mais toujours aucun code de sécurité, je continue après lui avoir donné un peu d'eau. Cela fait partie du jeu, une souffrance pour une récompense. Le contraste entre la chaleur interne de son corps et ses tremblements externes nous font comprendre à tous les deux que chacun a trouvé ce qu'il était venu cherché, un moment de complicité. Nous avions atteint un seuil de complicité entre son acceptation de sa situation et ma volonté de maîtrise. Cet équilibre, quand il est atteint, est un colosse au pied d'argile, un détail peu tout gâcher, un acte déplacé, un bruit dehors, un changement de ton. J'y prends garde, je la possède, elle aime ça mais je me dois d'être prudent. Je commence donc à changer de rythme pour sentir sa sensualité. Les pinces posées sur sa poitrine sont désormais toutes en place. un dizaine sur chaque sein, 2 sur chaque tétons. Elle se concentre, tente de s'éloigner de cette douleur. Je suis là pour la lui rappeler. Avec le martinet, je caresse délicatement les pinces qui, de fait, se mettent à bouger, pinçant ainsi un peu plus par un effet levier qu'Archimède n'aurait pas nié. Le hasard des lamelles de cuir se promenant sur sa poitrine transforme une douleur diffuse en vague nerveuse à intensité variable. Elle ferme les yeux comme pour s'éloigner de la pièce. Le martinet reprend son office, quelques coups un peu plus fort sur les cuisses, à intervalle irrégulier, Géraldine ne sait pas où le prochain coup va tomber. Ses cuisses sont désormais rouges, sa position assise lui permet de constater l'étendu des dégâts, j'ai une soumise bicolore. Je lui laisse reprendre son souffle... pas longtemps, un petit cri de douleur vient lui rappeler son statut, je viens de lui retirer la première pince à linge et, si jamais vous ne le savez pas, cela est douloureux car la pince a pris le temps de faire corps avec la peau, la retirer engendre donc une douleur de faible durée, mais intense. Une à une, je lui demande de choisir la prochaine en lui interdisant les deux placées sur chaque tétons, je me les garde pour la fin. Cela dure cinq longues minutes, entre le temps de son choix et mon choix de technique pour les retirer. Lorsque sa poitrine n'offre plus à mes yeux que deux tétons sertis de bouts de plastique, je décide d'utiliser une technique redoutable : le "retirer remiser" qui consiste a enlever la pince pour la remettre quasiment aussitôt, effet garanti. Ses cris me le confirment. Elle voulait un maître, elle l'a eut, je voulais une soumise, je la tiens au bout de mes pinces. Petite pause, les pinces sont maintenant un souvenir, je lui sers un verre de vin blanc, elle l'accepte, cela lui donne une petite ivresse et des yeux merveilleux regardant son bourreau avec au fond une question : et maintenant, que fait-on ? Je n'oublierai jamais ce regard, jamais cet instant, nous avions passé un palier, ensemble, une osmose, ce sont des moments rares, je me permets donc de le partager avec vous. Il est donc temps de passer à une autre étape, de la déshabiller entièrement car le lecteur attentif n'a sans doute pas oublié que Géraldine était encore vêtue de sa petite culotte. Une soumission totale engendre une nudité totale. Je la détache et prépare la scène suivante… Géraldine se frotte les poignets, essayant d'effacer les marques de cordes. Elle sait que ses derniers vont encore être mis à contribution, mais ça la rassure. Je lui demande, sèchement, de rester debout les mains dans le dos. Elle s'exécute. J'installe la scène suivante. Mon appartement est vieux, rénové, certes, mais vieux, un tuyau en fonte qui jadis servait à irriguer l'eau, n'a pas été enlevé par mon propriétaire lors de ladite rénovation. Bien lui en a pris. Cela se passe en deux temps : j'utilise trois cordes, une attachée à chaque poignée de Géraldine, c'est ce que j'appelle une corde de non-pression. C'est une technique de sécurité (encore) qui consiste à faire plusieurs tours de corde autour d'un même poignet et de lier les extrémités de la corde ensemble. La corde non-pression permet à Géraldine d'avoir le poignet maintenu mais avec une tension supportable. En effet, si je n'avais fait qu'un seul tour autour de son poignée, la pression au niveau de la jointure serait intolérable, voire dangereuse. Une fois les deux poignets ainsi traités, ils se transforment donc en "bracelets" qui vont être attachés à la troisième corde elle même suspendue entre deux points d'attache. Géraldine se retrouve donc les bras en V, face au mur. La petite culotte est toujours à sa place. Pas longtemps, je la lui retire en la faisant glisser délicatement, je veux que chaque molécules de peau de sa jambe soit en contact avec la dernière pièce de tissus encore présente sur elle. Elle est nue, de dos, ne sachant pas ce qui va lui arriver. C'est une première dans notre relation, ses yeux ne lui sont plus utiles. Je prends donc la décision de surprendre, je lui caresse de dos, délicatement, descend lentement jusqu'à ses fesses, promenant ma main entre les deux, sans forcer, c'est trop tôt. je change soudain de direction, passe vers l'avant et commence ostensiblement à la caresser à l'endroit que la morale réprouve mais que le désir inonde, si j'en crois mes doigts. Réflexe, elle resserre les jambes. Mauvaise idée, je me saisis de deux cordes et lui attache les chevilles une par une et attache la première corde au radiateur en fonte et la seconde au canapé servant de lit d'appoint pour mes invités. Ma soumise était en V, la voilà désormais en X. Je reprends donc mes attouchements, elle se débat, crie un peu, j'aime ça. Les yeux, toujours les yeux, reflet de l'âme et parfait miroir du désir naissant en sa bouche offerte. Mes doigts rejoignent sa bouche. Elle les lèche, les tripote avec sa langue, seul organe libre de l'ensemble de ses mouvements. Ses yeux sont fermés, elle imagine, elle rêve, elle part. Il est donc l'heure de la réveiller. Mon martinet la fait sursauter ! La douleur aussi, sans doute. Son dos comprend vite. Nous en sommes à une phase avancée de la séance, les coups sont plus rudes, plus ciblés, plus insistants. Ma soumise devient torsion, tentant en vain de s'éloigner des lanières qui, inlassablement, tombe juste à chaque fois. Je marque une pause pour voir le regard de Géraldine, légèrement crispé, un peu humide et pourtant soulagé, non pas parce que je me suis arrêté, mais parce que je prends soin d'elle. Je la soulage de ses larmes naissantes à l'aide d'un kleenex, lui donne un peu d'eau, pas trop. Je l'embrasse, délicatement, sur la bouche, elle opine, cela commence à devenir excitant. Pour être clair et cru, je bande. Mais, là aussi, c'est trop tôt. Il est donc l'heure de la fessée, donc de la fesser. La fessée est un art, un concept, une autre approche de l'autre. Les diverses méthodes pour l'infliger permettent d'être plus ou moins à l'aise pour la pratique. En ce qui concerne Géraldine, après l'avoir dé-crucifier, je décide de lui attacher les mains vers l'avant, bien que je lui ai fait déjà fait essayer les menottes, je reste fidèle à mes cordes. Elle se laisse faire, a t-elle le choix ? Je m'assied sur la chaise et lui demande de se poser à plat sur mes genoux. Elle comprend ce qui l'attend. Avant cela, j'ai attaché une autre corde autour de ses mains liés, un peu comme une laisse, mais pour les mains. Une fois en position, je saisis cette laisse, la fais passer sous la chaise pour la faire réapparaître de l'autre côté, au niveau des genoux de ma soumise. Je lui attache les genoux avec en tirant assez nettement de sorte que ses mains soient immobilisées, ça appuie un peu sur mes jambes mais, en échange, j'ai une femme offrant son postérieur à mes yeux et à mes mains qui n'en demandaient pas tant. Je frappe, une fois, nettement, pour lui faire comprendre le standard de la fessée. Sa tête, pendante au dessus du vide, se redresse aussitôt. Seulement retenue par la tension de la corde, ce mouvement demeure assez réduit. Je recommence, sur l'autre fesse, même sursaut. Je continue avec une alternance de caresses très douces et de claquements violents. Son cul n'est plus que vibration tantôt guimauve, tantôt acide et rien dans mes mouvements n'est régulier, de sorte que la pauvre Géraldine ignore le type et la violence du coup suivant. Je termine cette phase par une apothéose, le final d'un feu d'artifice, je claque violemment les zones pas assez rouges à mes yeux, ma soumise se débat, je ressent ça sur mes cuisses qui la supporte mais, peu importe, je continue, elle crie "Stop", je n'arrête pas, elle n'a pas dit le code de sécurité. Soudain, tout s'arrête, le silence s'installe, à peine perturbé par son essoufflement. Le calme, après la tempête, je lui caresse les fesses, très délicatement, elle sursaute d'abord, pensant aux prémices d'un nouvel orage. Je continue, délicatement, tendrement, presque amoureusement. Elle se détend, je lui re-caresse la zone érogène ultime, des petits cris de contentements commencent à exhaler ma libido. Elle s'en rend compte et décide de bouger son corps pour exciter son maître qui, si cela continue, ne pourra pas retenir indéfiniment les assaut de la bête excitée. Je la détache, à temps. Je prends les menottes et lui attache les mains dans le dos. "Tu vas maintenant devenir une esclave sexuelle !, lui dis-je d'un ton proche d'un péplum de la 20th Century Fox, à genoux...". Je déplie mon canapé d'invité, je vais avoir besoin de lui. En effet, les nouveaux pieds de lit vont me servir à lui attaché les siens, lui forcer la position agenouillé et maintenir ses mains fixes sur le barreau en fer. Je prends mon temps, d'abord parce que c'est technique et surtout pour faire baisser ma pression interne. Hors de question de jouir trop tôt ! Je l'abandonne, un bon quart d'heure. La position, supportable au début, commence à devenir délicate, puis douloureuse, puis insupportable. J'entends des petits "Aïe" à chaque fois qu'elle cherche à mieux se positionner. Elle m'avouera, plus tard, que c'est la partie de notre séance qu'elle a préférée. Souffrir en l'absence (relative, j'étais dans la pièce à côté) de son maître. Elle m'a même dit que cette douleur ne ressemblait pas aux autres. Après avoir regardé 15 minutes de reportage animalier, très efficace pour débander, je reviens dans la salle où ma soumise, crispée dans tous les sens, me supplie du regard d'achever ses souffrances. Évidement, je n'en fais rien. Je lui demande, car notre entretien préalable n'en avait pas fait état si, pardonnez moi du terme, elle avale. Elle me dit n'avoir jamais essayé la fellation, je lui propose donc deux nouveautés : elle accepte. Je lui annonce donc que sa libération coïncidera avec ses deux nouvelles expériences. La scène suivante, sur laquelle je poserai un voile pudique, a été notre apothéose (en tout cas pour moi  ), car chacun de ses allers-retours lui faisait de plus en plus mal mais, sans ces derniers, la douleur n'en serait que plus longue. Je ne sais pas combien de temps à duré cette fellation, à la fois maladroite (c'était sa première) et délicieuse, un sentiment de bien-être à tutoyer les anges au moment où mon âme, exalté au plus haut point, transforma l'essai en réussite et la réussite en Nirvana. Je la remerciai, la détachai. Elle me dit "merci", j'en fîs de même, notre complicité s'est finie le lendemain matin, après un petit-déjeuner copieux. Elle repartit chez elle, dans son logement étudiant, je repris mon chemin. Ce n'était pas la dernière fois que nous nous voyons, mais nous ne le savions pas encore. Elle allait reprendre contact et changer les règles du jeu, et je ne savais pas à quel point cela aller me convenir… Mais tout ceci est une autre histoire.... Frédéric (oui, c'est mon vrai prénom)
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Par : le 20/11/22
  J'avoue que cela faisait plusieurs fois que je m’intéressais à ce "mobilier" BDSM. Enfin, mobilier BDSM parce qu'aussitôt l'achat envisagé, j'y voyais sur tout un moyen de tester de nouvelles pratiques de D/s (celui qui est sur la balançoire est à la merci de son partenaire, voire en est l'objet sexuel, façon poupée gonflable presque !). Au final, super acquisition mais qui ne renouvelle pas tant que ça nos pratiques sexuelles et BDSM. En creusant ce qui est porposé en matière de balançoire dans les boutiques, j'ai pu me rendre compte que c'était finalement moins simple qu'il n'y semblait que de faire son choix. Les balançoires existent sous différentes formes et tailles, mais elles ont toutes un point commun : elles permettent à l'utilisateur d'être suspendu en l'air pendant vos ébats amoureux (ou pendant votre séance SM). Elles permettent ds variantes de positions sexuelles bien excitantes, dont la plupart peuvent être bien sûr obtenues en ayant recours aux cordes et au bondage, mais dans ce cas, 1- c'est plus compliqué 2- ca peut même être dangereux si vous vous y prenez mal. La balançoire sexuelle de porte Le premier type de balançoire sexuelle dont nous allons parler c'est la balançoire sexuelle de porte. (C'est la seule que nous ayons expérimenté en profondeur, hormis un autre test en club libertin)(enfin, c'est la seule pour le moment, car je suis très tentée par une de suspension). Comme le nom l'indique, les balançoires de porte sont conçues pour être suspendues au-dessus d'un cadre de porte. Les balançoires de porte sont une excellente option pour les personnes qui veulent essayer une balançoire sexuelle mais ne veulent pas investir dans un meuble BDSM plus permanent. Elles sont également faciles à monter et à démonter, ce qui en fait un bon choix pour les personnes qui vivent dans de petits espaces ou qui veulent pouvoir ranger discrètement leur balançoire L'un des inconvénients des balançoires de porte est qu'elles ne sont pas aussi solides que d'autres types de balançoires, elles peuvent donc ne pas être en mesure de supporter le poids de certains utilisateurs. De plus, les balançoires de porte peuvent endommager les cadres de porte si elles ne sont pas utilisées correctement, il est donc important de suivre attentivement les instructions si vous ne voulez pas faire des dégâts. Le processus d'installation de la nôtre est assez simple, et il n'y a pas besoin ni outils ni marqueurs permanents ! Il y a 4 sangles réglables (2 pour chaque jambe) ainsi que 2 tubes qui se calent en haut de la porte quand elle est ouverte. Les tubes sont bloqué par la fermeture de la porte, et voilà, c'est prêt pour le jeu. Ca se monte vite, mais ca se démonte donc vite aussi, ce qui est très appréciable (si belle maman vient diner le dimanche midi). La balançoire BDSM suspendue au plafond Un autre type de balançoire sexuelle est celle qui s'accroche au plafond. Les balançoires suspendues au plafond sont assez similaires aux balançoires de porte, à ceci près qu'elles sont conçus pour pour être suspendues à un crochet ou un python, à une poutre de soutien (pour ceux qui ont la chance d'avoir une demeure qui en a) ou encore à une autre structure solide de votre chez vous. Avantage, dans l'absolue, c'est beaucoup plus solide (si le montage est fait correctement !) et peut donc supporter davantage de poids. On ne va pas se mentir, pour les personnes costauds, c'est probablement la solution à privilégier. C'est ce type de balançoire que l'on trouve dans les clubs libertins ou les clubs SM (et chez les dominatrices disposant d'un donjon). Les balançoires de plafond offrent davantage de possibilités en matière de pratique de suspension et de sensation. Avec une balançoire au plafond, vous allez pouvoir explorer des positions sexuelles "ouaaah" (du genre tête en bas) et des sensations que vous ne pourrez pas avoir avec une balancoire de porte (être prise sur une balançoire de plafond c'est profiter d'une amplitude de balancement importante, qui rendra les pénétrations divines) ! La balançoire sexuelle de plafond, si elle est plus cher est un général un produit bien mieux fini : les matériaux sont en général de meilleur qualité (on en trouve en cuir alors que les balançoires de porte sont plutôt en nylon) et elles sont plus confortables car davantage rembourrés, là où les balançoires de porte sont plus "cheap". Néanmoins, la balançoire BDSM de plafond ont un inconvénient majeur : ce peut être compliqué à monter (si on veut le faire bien et ne pas se casser la figure pendant les ébats). Installer un python qui tienne la route (et surtout le poids des membres du couple ...) demande du matériel et un minimum de savoir faire. De plus, cela implique de percer votre plafond : ça laisse des traces et ce n'est pas forcément très discret d'avoir un anneau fixé au plafond de sa salle à manger ! Pas simple d'expliquer à belle maman la présence d'une balançoire, ou à tout le moins d'un python d'accrochage ! L'apport de la balançoire sexuelle dans les pratiques BDSM Nous avons pratiqué la balançoire une fois en club libertin (dans une relation sexuelle vanille donc, cela nous a permis de voir d'autres couples plus expérimentés faire l'amour en utilisant les possibilités de cet "accessoire"), et sommes équipés d'une balançoire de porte pour nos jeux BDSM à la maison. L'intérêt de la balançoire BDSM est à découvrir par chacun par rapport à ses pratiques et à ses fantasmes, et une partie du plaisir offert par ce type de jeu est justement d'imaginer des supplices (doux ou durs) pour sa partenaire. Nous avons aimé la balançoire comme alternative au bondage (que balançoire et bondage ne soit pas incompatibles, vous pouvez très bien utiliser les cordes et la balançoire conjointement !). Il y a un vrai plaisir pour le couple, telle (moi) de se sentir écartelée et offerte, et le cuni ou la pénétration (et les ondulations/balancements qui l'accompagnent) sont sublimes. Et celui ou celle qui est immobilisée va pouvoir être cravachée, fouettée, pincée à loisirs. Le côté exhib de la position imposée à celle ou celui qui est suspendue pimente un peu plus ces instants. J'étais accrochée, jambes écartées et mains contraintes quand chouchou s'est mis dans la tête de faire des photos. Super excitant !!! Scabreux mais nous avons pu tester des positions type tête en bas. Cela fait tourner la tête a plus d'un titre, mais on doit avouer que la partie de rigolade pour parvenir à prendre la position a un peu tuer l'excitation initiale ... Nous avons adorés cumulés balançoire et bandeau. La sensation de balancement couplée à celle de la privation sensorielle du bandeau est particulièrement excitante. Même si avec une balançoire de porte, le balancement est très limité. C'est ce qui nous donne envie (peut être si nous changeons de logement et que nous avons un grenier ou une cave "fréquentable") d'acheter une balançoire de plafond. Si vous êtes tentées et que vous avez la place et que vous êtes un peu bricoleur/bricoleuse, achetez directement une balançoire qui se suspend. Ou bricoler la vous même en DIY... Ces expériences autour de cet accessoire BDSM ne changent pas fondamentalement ni notre sexualité, ni nos sensations dans les jeux BDSM, on va dire que la balançoire permet de changer d'angles et de décliner des pratiques qu'on connaissaient déjà, et dont on a pu explorer des variantes. Une confidence, mon meilleur moment avec la balançoire n'est pas une excentricité, mais une sensation d'être pénétrée très très profond. Possédée. Alors qu'en fait, les cms du sexe de Chouchou, sont les mêmes que d'habitude. Ce doit être dans la tête (oui je sais, la tête, ce n'est pas là...).
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Par : le 15/11/22
https://youtu.be/OZbagrROhn0 Je me languis déjà depuis plusieurs jours de participer à mon tout premier munch. Je n'ai pas d'appréhension particulière. Au contraire je suis persuadée que cela va super bien se passer. Maître a posé pleins de questions aux organisateurs. Je n'en n'ai pas le détail et je m'en fou. IL a l'expérience. IL a fait ce qu'il fallait. Donc j'ai pas à m'en poser. Si IL etait au dessus de mon epaule à me lire, IL me dirait : "aphy, une soumise doit se poser des questions et ne doit pas obéir aveuglément..... et puis libre arbitre....consentement... premier munch" Oui Maître bien sur que Vous avez raison. Mais quand je suis en confiance, je vais pas me poser des questions tout le temps. Je lâche l'affaire et ça fait du bien. C'est pas ça l'objectif d'une relation D/s ? Et là IL doit être derrière son écran à s'embrasser le poing "c'est ma victoire✌️" et IL sourit. Une heure de route, arrêt à la boulangerie pour avaler un truc. "Tiens, je prendrai bien une tarte au citron pour là bas. Ou deux, on va être nombreux" "Hey ma pauvre fille, t'es pas invité à un week end en famille. Maître a payé pour avoir les entrées. Tu vas pas au restaurant avec ta bouteille de vin. Ben là c'est pareil". "Mouai, la petite voix, sauf que là c'est pas un truc purement commercial." Bref me voilà enfin avec mon Maître. IL me demande de marcher devant. IL le fera souvent dans la soirée alors que c'est pas du tout ce qu'IL m'a appris. Quand c'est pour mater mes fesses dans l'escalier, je comprends mais pour le reste... bof passons. C'est parti mon clicli : Je me présente aux personnes déjà là. Par mon prénom de baptême. "mais qu'elle idiote ! c'est mon nom de soumise qu'ils ont besoin de connaître." Je réalise, je suis encore en mode "Vanille". J'arrive direct du travail, avec ma tenue de ce matin. J'ai un métier de contact et de découverte de mon interlocuteur. Je suis encore dans ce mood là. Boh pas grave. Aphy dans le civil ne se fait pas appeler de la même façon mais n'est pas différente de la aphy soumise. Je vais finir de passer en mode soumise doucement. L'essentiel est de rester moi même et tant pis s'il y a des maladresses. Elles ne sont pas volontaires, pas connues. Je suis encore novice et mes maladresses jamais faites dans l'intention de faire du mal. Quand à ceux qui jugent sur le strict protocole, si il y en a, et qui ne prendraient pas le temps de m'expliquer, ben voilà c'est réglé. Personne ne perdra son temps. Des sourires sur tous les visages, c'est agréable. Je repère 2 ou 3 Dom. Rien qu'à leur facon d 'être assis dans le fauteuil, ils en imposent. On sait de quel côté ils sont. Je trouve ça dingue qu'on les devine Dom juste en les regardant. Ils occupent pleinement l'espace de leur fauteuil sans être avachi, tout en ayant une posture ouverte et une visage doux, serein. Très vite j'entends des jeux de mots. Ah si en plus on peut jouer avec les sens des mots....ça va me plaire. Quelques cartes de visite. Un book d'une soumise qui travaille le cuir. C'est très joli ce qu'elle réalise et très pro aussi. J'adore ce qui est artisanal et manuel. Et je reconnais que son travail a beaucoup de valeur. Le Maître des lieux et sa soumise nous font visiter les deux gîtes, nous parlent de leurs projets, de leur parcours. Je me sens bien là. J'entend sans écouter les conversations, regarde la lumière, les expressions de visage, les odeurs, dehors, les arbres, les oiseaux, des gens qui rient. Je me sens à la fois indépendante, en autonomie et à la fois rassurée par la présence de mon Maître. Je sens bien qu’IL n est pas loin. IL me laisse faire au naturel et doit sûrement être en train de m'étudier. C'est l'heure de la douche. Hhhhhhaaaaa j'adore ce moment. Ce moment où je lave mon Maître dans tous ses recoins. Hey hey, pas folle la guêpe, un bon prétexte pour le tripoter. Mais aussi parceque c’est le moment où mon quotidien se détache mon corps avec l'eau brûlante. C'est le moment où j'enfile la tenue de soumise choisie par mon Maître. Où je me maquille, me coiffe. Où je m'affirme comme soumise... Et au passage une petite fellation pour Mon Maître. La nuit est tombée sans que je m'en aperçoive. En fait tout se passera dans cette soirée avec un naturel et une fluidité étonnante. Je suis bien là à discuter avec ce petit groupe d'une dizaine de personnes. https://youtu.be/x9g7TJnJk48 Quelques uns jouent du fouet, sans soumis(e) au bout du cuir d'abord. Un fouet très très longs, apparemment difficile à manier. Mais il élague très bien les branchettes alentours. Il y a aussi un martinet à ventouses. J'aime beaucoup l'idée. Si Cthulu avait un martinet, il en aurait un comme ça c'est sur. Fouet et martinet ont été réalisés, sur commande, par la soumise dont j'ai feuilleté le book tout à l'heure. Quel boulot. C'est toujours plus parlant quand l'objet à une histoire quand on sait qui l'a réalisé. Un Dom teste le martinet ventouse sur sa soumise. Au bout d'un moment, Maître et moi entendons clairement le safe word de sa soumise. Bien sûr le Dom s'arrête aussitôt. "Tu as entendu aphy ?" "Oui Maître" comme pour me dire : "tu vois, tu peux l'utiliser ton Safe Word, c'est normal". Pour l'instant je n'en n'ai pas eu besoin. Maître est suffisamment à l'écoute et dans l'observation pour s'arrêter quand il est temps. IL me questionne souvent pour savoir si ca va. Je pense que le fait de LUI dire simplement "j'y arrive plus" peu suffire pour l'instant. IL n'est vraiment pas du genre à abuser ou à se laisser emporter. Si c'est le cas, se sera vraiment pas intentionnel ni conscient. Je garde le safe word pour ce possible dérapage. Les poignets des Dom sont échauffés. Ce nouveau long fouet intrigue tant les soumis(e)s que les Dom. Le Maître des lieux a l'air de s'y connaitre en fouet, et son nouveau jouet de plus de 2 metres n'a pas l'air si simple a manier. Sa soumise prend place. Une deuxième ne se fait pas prier pour s'enlacer avec la première. Il y a quelques grimaces de douleurs mais très peu. Le but de leur Maître est d'enrouler le fouet autour d'elles sans faire mal, comme une caresse presque. Y a bien eu un ou deux loupés mais très peu globalement, et puis c’est le jeux ma pauvre Lucette... hum Intéressant. Ça laisse à réfléchir. Ca demande au Maître une grande maîtrise de l'objet mais ça le dédiabolise. Et hop il sort de la trousse à outils de punition à côté de la badine et de la tige de kevlar et vient se ranger du côté des jouets pour plus tard quitte à morfler un peu. ....Je m'imagine quand je serai grande.... avec Maître qui apprend sur moi à jouer du fouet comme ça. Je pense qu'IL aimerait. Il en a déjà joué avec d'autres soumises. Si IL pouvait devenir encore plus Maître en s'exerçant sur moi.... IL l'est déjà mais au fur et à mesure qu'IL me fait progresser, IL doit bien évoluer lui aussi...non ? Mouais je fais maline, mais quand j'aurais goûté de sa morsure, je risque de moins rêver. Un gourmand demande à tester. On aurait dit qu'on autorisait un diabétique à manger une part de gâteau. Il en salivait du regard. Le voilà sous le fouet du Maître des lieux. La vache il encaisse ! C est pas tant à être enroulé qui lui plaît mais bel et bien la douleur du fouet. Le Maître y va crescendo. Et il encaisse toujours. Impressionnant. Et je suis pas la seule à être impressionnée. Le Maître lui demande a plusieurs reprise si ça va. Oui il veut continuer. J'observe. Il kiffe. C'est comme si chaque coup lui permettait de se reconnecter avec lui même. C est mon interprétation. Au final, de mémoire, c'est le Maître qui n y tiens plus. Pas par faiblesse, mais parceque le fouet est lourd et que ça fait un bon moment qu'il joue avec. Entre l'échauffement, les soumises, ce soumis. Et puis le soumis bientôt ne tiendra plus. Franche accolade entre les deux homme. Voir ces deux hommes dans les bras l'un de l'autre me fait penser à un mini aftercare. Une façon de se rappeler qu'on est copain et qu'on s aime bien. Comme deux potes qui se tapent dans le dos. Une façon de se dire "on a bien jouer, t'as été fort" https://youtu.be/Xi2Mu9KKA_g Nous discutons avec un couple charmant . Madame Domine, monsieur se soumet. Ils nous racontent une mauvaise d expérience d 'un munch. J'écoute, apprend, observe. Je me rends compte que beaucoup de Dom femme ou homme m'ont donné des conseils, m'ont expliqué à chaque fois que j ai dit. "Je ne sais pas ce que c'est, je ne connais pas." En fait tous... J'adore cette simplicité, cette fluidité. Je me surprend à penser que ce couple là est bien assorti. Ils ont l'air de se compléter parfaitement. Les deux sont calme, serein. Chacun sait comment compléter et équilibrer l'autre. Plus tard le soumis reviendra avec le dos paré d'aiguilles de différentes couleurs. Comme un tableau. Comme le travail d'une dentellière. Elle explique qu'il y a deux étapes. La dépose compte autant que la pose. Et c est en écoutant son soumis qu'elle l'a compris. J'aurais aimé les voir (sachant qu'ils ont pratiqué en presence d'autres personnes) mais je ne peux pas tout découvrir d'un coup. En tout cas j'aimerais les recroiser même sans aiguilles. Leur personnalité m'a beaucoup plu. Pour changer des aiguilles mais toujours dans le dos, une autre soumise est apparue tout à l'heure. Son Dom lui avait posé des percings avec des petits anneaux dans le dos. Un fin ruban violet lacait les anneaux entre eux. C'est son regard à elle qui m'a plu surtout. Elle était fière d'être parée ainsi. A même la peau. Le regard brillant, encore un peu dans la lune. Elle explique qu'elle n'a pas réussi à supporter la douleur pour faire plus d'anneaux.  Mais déjà comme ça c'est super beau. Il sera toujours temps d'en rajouter plus tard. .... je me trompais c'était de l'éphémère. Son Dom va s'occuper de la dépose aussi. Je crois comprendre que c'est son metier Tatoueur perceur. Il explique la cicatrisation. Elle explique la douleur.... et qu'elle en a qu'elle garde aussi.  Elle nous montre les anneaux qu'elle porte sur son sexe. Tiens ça m'interpelle. Impensable pour moi de faire un percing aux tetons mais à cet endroit..... Maitre m'emmène dans le gîte. Rez de chaussée, à gauche. Madame se regale d'un cunilungus. Ca doit être une Domina. Un(e) Dom ne pratiquera pas ça sur son ou sa soumis(e). La scène reste intime, par respect je détourne mon regard qui s'est égaré là. A doite, séance d'impacts d une soumise au pilori. La soumise au dos lacet. Elle exprime sa douleur. Enfin sa douleur ? Au fur et à mesure que les impacts s'enchaînent, on dirait qu'elle s'habitue. Qu'elle transforme la douleur en plaisir. Et elle prend beaucoup de plaisir. Elle l'exprime avec ses gémissements, ses râles. En se tortillant aussi. Ah ben moi qui croyais qu'il fallait rester le plus immobile et silencieuse possible. Je constate l'inverse, et ça me rassure. Je suis plutôt expressive. Et ça aide justement à gérer la douleur. Mais qu'est ce qui a bien pu me mettre cette idée de l'immobilisme et du silence en tête ? Ça n'a jamais été une consigne. Je me suis foutu ça dans le crâne toute seule. Mon premier "Dom" insistait beaucoup sur l'esthétique de la posture. Je me suis autoconditionnée pour ne pas gigoter et gâcher la position en exprimant ma douleur physiquement. Et par extension j'en ai conclu ne pas exprimer ma douleur tout court y compris à l'oral. Bref je me suis autoformatée de travers pour le coup. Bon ben voilà, c'est capté, y'a plus qu'à corriger. Je repose mes yeux sur la facon dont elle exprime sa douleur-plaisir. Sur les mouvements de ses jambes. Son Maître prend une latte en bois, genre un bout de sommier ikea, et pause aussi un paddle clouté à côté. Je m'imagine à la place de la soumise qui se tortille deja bien. Ah non j'y arriverai pas, trop tôt, trop d'un coup. La badine me fait deja peur, je suis pas prête pour les planches sur mes fesses. Elle kiffe, il maîtrise. Mais je sens que ça m'angoisse. Je préfère sortir. Maître me suit. "Vous pouviez rester Maître" "non, je reste avec toi. Qu'est-ce ce qu'il y a aphy?" [....] "tu as bien fait de sortir. Viens maintenant, montes" https://youtu.be/kFr8SdOS5ic Me voilà au premier étage face à une croix de Saint André. Sourire au coin des lèvres. Je devine la suite, ravie. Maître commence à m'attacher les poignets, puis les chevilles. Je ne sais plus ce qu'IL a bien pu me dire, sûrement du "ça va?", du safe word, t es OK ?.... moi j'etais déjà prête à le laisser faire. En mode anti-reflechissure. J'apprends pas, observe pas, juste j'écoute mon corps. Cette fois c'est lui qui s'exprime, qui prime et pas mes neurones. Ca lui arrive tellement rarement que je lui laisse sa place. Sentir la cravache qui me chauffe la peau. Le dos, les fesses.... puis arrive le martinet, enfin. Je l'adore cet instrument. Maitre le sait. Pas de douleur avec lui parceque Maître me prépare à le recevoir. Si c était direct à froid pas sûr que je réagirais pareil. Mais là, il chauffe, enveloppe, picote, il réveille mon corps qui se sent vivre. Enfin le cerveau se tait. Seul le corps est acteur. Et il a l’impression qu'il ne peut agit puisque pieds et poings liés. Alors il se laisse faire. Maître me parle. S'assure que tout va bien. Le cerveau répond en pilote automatique. Simplement. Une reponse reflechie demanderai trop d effort. La seule chose qui me rappelle à la réalité, c'est mes foutus escarpins. Ce n'est pas la douleur qu'ils me font aux pieds qui me gène. Mais j'ai l'impression de ne pas être ancrée au sol. Qu'il faut que je contrôle encore la position de mes pieds pour ne pas me tordre la cheville et tout envoyer valser. Maitre me détache. IL veut me faire tester le pilori. Petit problème technique de l'instrument qui se déboite. Ha crenon de non, c'est pas le materiel qui commande ! Maître veut tester le pilori, alors on va tester le pilori ! C'est bien ce qui se passe dans ma tête à ce moment là. Mais avec le recul, je dois bien avouer que moi aussi j'ai envie de tester. Hop me voila une corde à la main, deux noeuds, je m'enfile fissa les poignets et la tête dans le machin et voilà, on en parle plus du soucis technique. Manque plus que le petit bruit du micro-ondes qui annonce que le plat est chaud, y a plus qu'à ... Revoilà mon pote martinet. Je réalise qu'entre temps j'ai demandé l'autorisation de lever mes escarpins. Je suis pieds nu et je kiffe pleinement. Aucune notion du temps. Je m'apercois de ma jambe gauche tremble, sans raison. C'est curieux comme sensation. J'aime bien . Mon corps s'exprime. J'ai envie de le laisser faire. Et puis ca veut dire que les gestes de mon Maître lui font beaucoup d'effet. Mon Maître est bien. Je l'ai bien choisi et lui aussi, j'espere, ma bien choisi. MERCI. Maître décide qu'il faut s'arrêter. IL a raison, je sais pas si j'aurais fini par dire stop tellement j'étais déconnectée. J'aurais fini par capter qu'au moment où la douleur aurais été insoutenable. J'étais plus en capacité de pouvoir distinguer les nuances. Mais je suis comme ça aussi dans le civil aussi. Un seuil de douleur assez haut. Ca va, ça va, ça va, hop ça va plus. Des seances comme ça vont peut-être me permettre d'enfin écouter mon corps et d essayer de le comprendre et repérer ses nuances. Là il est temps de le reconnecter au cerveau. La tête sur les genoux de Maître emmitouflée dans mon manteau. Le plaisir de la chaleur des impacts et du manteau. Le plaisir d entendre la voix de son Maître. Je n'écoute pas ce qu'il me dit. Juste le plaisir de sa voix, comme une musique. IL pourrait me lire le discours de le méthode, l'histoire d'ernest et célestine ou me raconter l'importance du charbon de bois pendant la guerre de 14 18...ça me ferait le même effet. Je suis en boule, juste du chaud, une mélodie... je suis bien. Petit à petit les mots viennent se coller à la partition orale de mon Maître. Puis enfin le morceau qu'IL joue prend corps. Je reconnais des phrases, des sens. Les mots exact ? Aucune idée, j'étais trop dans le coton. En substance, quelque chose comme "c est bien. Je suis fier. Je pensais pas que tu irais aussi loin...et devant d'autres personne" un refrain qui revient plusieurs fois . Maitre encourage un couple à se lancer. Ils nous ont observé et hésitent aussi sur la croix. La main de Maître est sur mon dos, à l endroit des impacts. Ca rajoute de la chaleur, appuye légèrement. Le même plaisir que quand on joue avec sa langue sur un aphte. Je suis encore en boule et me déplie doucement. Le couple se lance. C'est leur première. C'est beau. Mais je suis plus trop en état de capter. Je regarde sans vraiment regarder. En fait je m imprègne de l'ambiance. Et réalise que je fais ça depuis le début de la soirée. Ca y est le cerveau se remet en route. Il n'y a de ma part ou de celle des participants aucun voyeurisme malsain. Oui on regarde, mais pas en se cachant, pas à l insu des principaux concernés. Pas dans le but de se satisfaire de la souffrance de l'autre ou de lui voler son intimité. Ce n'est pas un acte de profit égoïste et gratuit. C'est dans le partage. "Apprends en me regardant faire, réjouis toi dans les émotions que je transpire." C'est bizarre, j'ai l'impression de retrouver l'atmosphère des cours de catéchisme quand j'étais gamine. Ah si on faisait des messes BDSM.... je me fais rire. Ca y est le cerveau est à plein régime. Des croix, du partage, une communion, des bougies... il m'en fallait pas plus. https://youtu.be/6NhkjW9DYLw Maitre m'entraine dans la pièce d'à côté, pour me rafraichir à la salle de bain je suppose. La pièce est occupée Ils sont 4. Une little, son Daddy à sa droite, une Maîtresse et son soumis. Le Daddy fait signe à Maitre de rester. De ce que je comprend, Il prête sa little à une Maîtresse pour une séance de fessées. La little est enroulée sur un touret, les fesses déjà bien rouges. Je suis impressionnée par le geste de la Maîtresse. Je pensais pas qu une fessée pouvait être aussi technique. Le geste est précis, vif. La pression dosée. Il s'agit d'un roulement avec la tranche de chacune de ses deux mains. Cela pourrait ressembler limite à des carresses si la pression n'était pas suffisante. la Maîtresse veille à ce que sa reste une douleur plaisir. Et va crescendo sur la pression et la vitesse. Je sens bien qu'elle est à l écoute de la little. Elle regarde aussi régulièrement le Daddy pour valider d'un regard, d'un ochement de tête si c est ok. Le Daddy acquiesse content. "Quelle couleur baby...?" "Vert" repond une petite voix étouffée "ah si ça avait été moi, ça ferait un moment que tu aurais dit orange voir rouge." "C'est tellement insupportable ?" La petite voix amusée répond "oui Monsieur" "tu tends pourtant bien tes fesses pour quelques chose d'insupportable" et il fait signe en souriant à la Maîtresse de continuer. Elle est d'un calme, d'une agilité. Chaque geste est fluide, précis même quand elle se déplace dans la pièce . Aucun mouvement inutile. Son soumis est là pour l'assister. D'un regard, il comprend sa Maîtresse. Quand elle lui demande les deux martinets...quand elle lui demande de les désinfecter...de les aérer. Aucune fausse note. Il est fier. Ces yeux brillent. Il transpire le bonheur d'être la. Il fait tourner consciencieusement les martinets. Avant de les tendre à sa Maîtresse. Et moi je suis heureuse d'avoir vu ça. Ces expressions sur leurs visages à tous. Sauf celui de la little, cachée derrière le touret. Mais elle aussi on sentait qu elle était bien. J 'étais comme une petite souris autorisée à regarder l'envers du décor. Trop de la chance. La little ne pouvait, vu sa position, constater les échanges entre son Daddy et la Maîtresse. Et puis elle avait autre chose à profiter. Et ils ne voulaient pas justement qu'elle voit. Les Dom tout concentrés à ce qu'ils faisaient ne pouvaient profiter pleinement du visage rayonnant du soumis et de la minutie avec laquelle il assistait la Maîtresse. Moi j'ai eu cette chance de pouvoir voir et observer tous ces détails, toutes ces préparations qui font que les 4 étaient complices. Qui servait qui ? https://youtu.be/bKUMaibnQKU Maitre décide qu'il est temps de les laisser ensemble. Et que N/nous devons nous effacer. N/nous revoilà en bas, dans la tanière. Séance de shibari. Grande curiosité pour moi. La soumise est déjà bien encordee. N/nous arrivons presque au moment où son Dom veut la "suspendre". Les nœuds sont réguliers. Les cordes enlacées doucement minutieusement. C'est joli. Je ne sais pas ce qui me plairait le plus. Apprendre à faire les nœud ou me faire encoder ? Je réalise qu'on est tous assis autour des protagonistes. A chuchoter. Un peu comme une communion .... encore ! L idée de la communion. Je suis pourtant pas croyante. Ranges ton eau bénite, tes osties et profites ! .... heu par contre un peu de vin, je suis pas contre. Dans l'idée de communier bien sûr. Il range ses cordes méticuleusement. Plus tard, N/nous verrons un deuxième couple faire du shibari. Dans un style totalement différent. Ce qui compte pour le Dom ce n'est pas l'esthétique, mais bien d'accompagner sa soumise pour lui permettre de lâcher prise. IL nous explique la sciatique de sa soumise, sa peur de la suspension.... "je ne suis pas un oiseau. Mes pieds sont bien a terre " petit à petit IL la place dans un cocon de corde. L'oblige à prendre confiance dans les cordes et dans son corps. Ce n'est pas les cordes ou la volonté du Dom qui contraignent la soumise. Mais du fait de son dos et de ses peurs, c'est bien la soumise qui prend place dans ce cocon. Et son Dom prends bien soin de l'y accompagner. Je sens bien que si ça avait été quelqu'un d'autre, jamais elle ne se serait laissée faire. Je sens bien qu’Il a pour seul objectif de la faire se dépasser mais sans la blesser. Il teste, observe, defait, renoue. Il est un genoux au sol. Le premier pied de sa soumisse sur sa cuisse. Il gère la tension de la corde et la hauteur du buste de sa soumise d'une main. Il lui ordonne de prendre place dans la corde de laisser son corps aller. Elle obéi. Il lui prends l’autre pied. Le pose aussi sur sa cuisse à lui. Whaou. Finalement elle a levé les deux pieds du sol. C 'était pas gagné. Il le lui fait remarquer. Je suis admirative. Oui les nœuds étaient pas beaux mais on s’en fou. Il a réussi à l'amener là où Il voulait. Sans brusquer juste en accompagnant. Maitre m'a beaucoup expliqué ce rôle d'un Dom. Mais là ce n est pas qu'un concept. Je peux le voir, c'est concret. Les deux pieds retrouvent le sol. Leur séance continue. Lui a l'air de s'être détendu aussi. Pourtant il est arrivé stressé d'un après-midi perso compliqué et n'était pas sur d'arriver à faire quelque chose. Ben qu'est ce qu'il arrive à faire quand il est détendu alors ? Une autre soumise dors dans un canapé. La couverture glisse. On peut pas la laisser comme ça. Me voilà partie lui rechercher une couverture. En fait j ai envie de faire des câlins et de distribuer des couvertures à tout le monde. Je sens encore la chaleur des impacts sur mon corps, celle de mon manteau et j'ai envie de donner du chaud à tout le monde. https://youtu.be/g0_dyc4IrLg La soirée à été dense. Riche en observations en apprentissages en découvertes. Il est temps de remettre le cerveau en sommeil pour qu'il commence à classer, digerer tout ceci. Je me réveille sous les caresses et les gestes tendre de Maître. Le souvenir de cette soirée ? J ai passé une superbe soirée. Fait de très belles rencontres. Je me suis liée un peu plus encore à Maître. J'avais découvert dans un club echangiste que la diversité des corps était belle, naturelle , rassurante. J'ai eu la confirmation de ceci . J'ai appris hier soir que la diversité des pratiques, des relations était encore plus belle et enrichissante. J'ai été surpris par le naturel des communications, par la simplicité des échanges humains. Pas la fluidité des relations. Des couples D/s se tutoient, d'autres se vouvoient mutuellement. On était tous différents mais on était tous à notre place, dans notre élément. Le plaisir de savoir qu on a le droit d être soi-même. Ce sentiment de liberté, de partage. En fait y en a d'autres comme N/nous mais pas tout à fait N/nous. Et c'est ce qui les rends si intéressant. J'ai encore tellement de choses à découvrir. Et je ne suis pas seule. Même si IL a de l'expérience, j'ai l'impression que N/ous avons à découvrir. et qu'à travers moi IL va aussi apprendre. Merci Maître pour cette soirée et un grand merci à tous ceux que N/nous avons croisé , qui ont partagé avec N/nous et j'espère que N/nous recroiserons. https://youtu.be/r-or9APQKPo
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Par : le 08/11/22
Nous ne sommes pas spécialistes du bondage et encore moins du shibari (même si nous aimerions), mais nous nous interessons à ce sujet. Nous avons pas mal écumés le web et les forums pour essayer d'y voir plus clair. J'avais pris pas mal de notes, fais des copier/coller. J'ai essayé de synthétiser ce que j'ai lu et ce que j'ai compris. N'hesitez pas a commenter pour corriger une anerie ou pour faire valoir un avis différent (on se la jouera humble ;) ). Bondage ou shibari ? Le bondage est une version que l'on pourra appeler "grand public" de l'art japonais des cordes, qui s'appelle le shibari. Le bondage comme le shibari offre une expérience incroyablement sensuelle et érotique. Attacher ou se faire attacher permet d'explorer la soumission et la domination sous une forme plus apaisée (qui n’empêche pas l'extase) que les pratiques purement SM ou DS. Si pour les jeux BDSM, on explore surtout le volet SM par l'utilisation de cravache, martinet ou fouet, et de pinces en tout genre, le shibari se pratique uniquement avec des cordes en jute. Si vous êtes moins puristes et que vous souhaitez tester l'attachement et l'immobilisation sans pratiquer l'art du Shibari, mais juste "jouer", vous pourrez vous faciliter une partie de la prise de contrôle de votre partenaire en utilisant des bracelets en cuir avec des anneaux où vous ferez passer les cordes. Ces bracelets en cuir permettent de facilement prendre accroche autour des poignets ou des chevilles. L'autre point d'attache très prisé dans le bondage est le cou, là encore si vous n'êtes pas encore un pro du bondage, vous pourrez vous faciliter la vie en ayant recours à un collier en cuir, doté d'un ou plusieurs anneaux en inox dans lesquels vous pourrez faire passer votre corde. Il faut que les débutants soient très prudents. Passer la corde au cou de quelqu'un cela ne s'improvise pas... on devrait même dire que cela ne se fait pas, c'est autour des épaules, de la tête que cela se passera; Débutant, commencer avec un peu de cordes et des colliers et bracelets, plus tard, quand vous serez plus expérimenté, vous pourrez vous en passer et pratiquer les immobilisation de votre partenaire justes avec les cordes. Outre la simplicité des colliers et menottes (que les spécialistes du bondage trouveront regrettable), leur utilisation permet, pour les débutants, de ne pas prendre trop de risques en serrant à l'excès ou de manière inadéquate les poignets ou le cou de leur partenaire. Avec ou sans bracelets, avec les cordes, vous pourrez donc attacher, à l'aide d'un anneau votre partenaire juste pour l'immobiliser (maintenir les bras dans le dos attachés au niveau des poignets, forcer à écarter les jambes ...) ou vous pourrez jouer avec votre environnement (l'attacher à un lit, l'encorder à une rampe d'escalier ...). La plupart des menottes sont avec une boucle en acier inoxydable, mais vous en trouverez aussi qui se fixe avec du velcro. Dans les ersatz à disposition, on citera également les sangles (en général en nylon), prévues essentiellement pour les immobilisation sur un lit dans le cadre d'expérience de domination/soumission. Les remplace à la fois les cordes et les menottes puisqu'elles disposent en général de sorte de attaches en velcro pour attacher les chevilles et les poignées. Les premiers accessoires pour commencer dans le bondage Il vous faudra de la corde. Beaucoup de corde. Les puristes du shibari vous conseillerons souvent une corde de jute de 6-8 mm. La jute est une fibre naturelle qui est solide et durable, mais elle peut aussi être rugueuse pour la peau suivant la manière dont elle est préparée. En fonction de vos envies et celles de votre partenaire, vous pourrez jouer ou non avec la douleur en choisissant une corde plus ou moins douce et plus ou moins lisse. Il vous faudra également disposer d'une paire de ciseaux ou mieux d'un sécateur ! Évidemment, on ne découpe pas les liens après chaque utilisation. Par contre, un moyen de découpe efficace et rapide est toujours à prévoir en cas d'urgence (malaise, personne en soumission qui panique ou qui fait un malaise ...). N'importe quels ciseaux ou sécateurs fera l'affaire pour peu qu'il puisse trancher la corde efficacement. Il faut toujours en avoir sous la main. C'est tout sauf accessoire pour mettre fin dans l'urgence un bondage. Nous n'évoquerons pas dans cet article les accessoires BDSM qui n'ont rien avoir avec le bondage, stricto sensu. Certaines pratiquants aimeront s'adonner à des jeux et avoir recours à une cagoule pour la tête de la personne immobilisée pour la déshumaniser, d'autres mélangeront le bondage avec des pratiques SM (comme la pose de pinces sur les tétons ou sur le sexe de la personne soumise, le recours au masque pour les yeux, au collier de soumission, au bâillon pour la bouche...). Les types de cordes pour le bondage et le shibari Pour le shibari, il existe deux principaux types de cordes utilisées dans le shibari : hanayama et asanawa. Les cordes hanayama sont faites de jute tressé et mesurent généralement trois mètres de long. Les cordes asanawa sont faites de jute torsadé et mesurent généralement six mètres de long. Les deux types de cordes sont tout aussi efficaces pour le bondage, c'est donc vraiment une question de préférence personnelle de l'encordeur/encordeuse comme de l'encordé.e. Si votre envie vous incite à plus de simplicité, vous pourrez opter pour des cordes plus simples et donc pas cher, comme les cordes en nylon. Mais cela se manipule moins bien, c'est moins confort sur la peau, et vous vous privez de l'odeur toute particulière des cordes en jute. Quelle(s) longueur(s) pour les cordes de bondage ? Vous aurez besoin de longueurs de corde différentes pour chaque personne, même si vous utilisez le même type de corde. Ne vous souciez donc pas d'obtenir la "bonne" longueur Concentrez-vous plutôt sur l'apprentissage de la manière d'utiliser l'excédent de corde éventuel. A moins d'une exigence spécifique, la plupart des encordeurs travaillent avec un jeu qui contient 2 ou 3 longueurs standard : 3m :  Parfait pour les poignets ou les chevilles, ou pour attacher les membres aux poteaux de lit, des choses comme ça.   C'est ce qu'on appelle parfois une "corde courte". 4,5m :   Cette corde est appelée "demi-corde" et peut être utilisée autour des cuisses ou des genoux, comme ceinture de taille ou lorsque vous devez tirer une corde. 9m :   Très bien pour faire des harnais et les longues courses.   On l'appelle parfois simplement "corde". Quelle(s) épaisseurs pour les cordes de bondage ? Cela dépend ! :). Chacun ses goûts, mais on peut préciser quand même que : Le diamètre le plus prisé est de 6 mm, La corde de 5 mm offre plus de finesse dans l’exécution et propose un esthétisme particulier. Pour les suspensions on choisira souvent du 8mm, vous verrez de nombreuses personnes utiliser des suspentes de 6 mm également. Cela dépend aussi du gabarit de votre partenaire. Si votre partenaire est plus grand, vous pouvez utiliser une corde de 8 ou 10 mm pour le travail au sol (bondage non suspendu). Cela répartit la force sur une zone plus large et peut être plus confortable. Le seul inconvénient des cordes plus épaisses est que les nœuds ont tendance à devenir encombrants rapidement... Quelles cordes acheter des cordes pour le bondage et où ? Il y a quelques éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une corde de shibari ou de bondage. La première est le matériau dans lequel la corde est fabriquée. Les matériaux les plus courants sont les fibres naturelles comme le chanvre ou le jute. C'est le choix des puristes. Les pratiquants curieux pourront opter pour les fibres synthétiques comme le nylon ou le polyester. Les cordes en chanvre et en jute sont à la fois solides et durables, mais elles peuvent être agressives pour la peau. Elles ne sont pas non plus très élastiques et cela va avoir tendance à compliquer le bondage en suspension. La corde en nylon est, c'est un avis personnel, moins facile à travailler et moins agréable au toucher. La corde en polyester se situe entre le nylon et le chanvre/jute en termes de résistance et d'élasticité, ce qui en fait une corde polyvalente. Mais seul le chanvre et la jute sont utilisés par les puristes La deuxième chose à prendre en compte est le diamètre de la corde. Les diamètres les plus courants sont 6 mm, 8 mm, 10 mm comme on l'a vu et plus rarement le 12 mm. Là encore, chaque diamètre présente des avantages et des inconvénients. Les cordes plus fines sont plus faciles à nouer, mais elles ne sont pas aussi solides que les cordes plus épaisses. Les cordes plus épaisses sont plus adaptées aux jeux de bondage lourds, mais il peut être plus difficile de faire des nœuds complexes avec La troisième chose à prendre en compte est la longueur de la corde. Les cordes de bondage sont généralement vendues en longueurs de 3 mètres (10 pieds), 7,6 mètres (25 pieds), 15 mètres (50 pieds) ou 30 mètres (100 pieds). Évidemment, plus la corde est longue, plus elle est polyvalente. Cependant, les grandes longueurs de corde peuvent aussi être plus difficiles à travailler, donc si vous débutez, il est préférable de s'en tenir à des longueurs plus courtes jusqu'à ce que vous ayez le coup de main . Si vous êtes un pratiquant du BDSM qui cherche juste à tester le bondage, vous pouvez vous rabattre vers des cordes peu chères que vous trouverez par exemple dans les grandes surfaces (genre Leroy Merlin ou Castorama). Si vous souhaitez mettre plus de noblesse dans votre pratique, achetez des cordes en chanvre ou en jute. Nous vous conseillons de les acheter dans des boutiques spécialisées (ou sur leur site internet). Les cordes de boutiques BDSM ou Shibari ont subit des traitements compatibles avec leur utilisation. Faire un stage de bondage (voir de shibari) ? On trouve de plus en plus de formation ou de stage pour apprendre à jouer avec les cordes, avec plus ou moins de sophistication, des encordages simples à ceux plus artistiques des maîtres du shibari. Ce peut être une bonne idée de faire un stage, d'une part car cela permet de savoir si l'activité vous plait, mais cela vous permet vraiment de vous sensibiliser aux règles de sécurité, et au dela d'apprendre ce qu'il faut faire, une formation vous apprend ce qu'il ne faut pas faire, et à parer aux urgences, si votre bondage tourne à la catastrophe. C'est important pour vous (pour apprendre) mais aussi et surtout pour votre partenaire qui vous fait confiance en vous laissant l'attacher. Soyez prudents !
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Par : le 07/11/22
Elle est arrivée avant nous, comme prévu. Elle s’est douchée puis elle à enfilé la tenue laissée par nos soins sur le lit… très simple, des bas, une paire de talon rien de plus. Puis elle à attendu que son téléphone vibre, impatiente, déjà mouillée à l’idée de ce qui allait se passer bientôt dans cette chambre d’Hôtel… Nous l’avons rencontré valentine et moi, par hasard presque, lors d’une soirée bien arrosée chez des amis. Nous ne la connaissions pas. Très vite, elle remarque le collier de valentine, il est discret mais évocateur. Une paire de menotte sert de fermoir. Mais elle n’ose pas venir à nous et nous parler. Alcool aidant je pense, elle finit par lâcher un « joli collier ! » à valentine. C’est pour signifier mon appartenance à mon Homme lui répondra t elle. A ton homme ou à ton Maître ? Sourit Hélène. De là en découla une discussion entre ces deux femmes qui se découvraient. Soumise toutes deux, aux envies multiples et au besoin d’abandon, de lâcher prise évident. Ce n’est que trois jour plus tard que valentine me fit part de sa découverte et des envies d’Hélène. Surpris je lui demande ce qu’elle en pense et elle me répond qu’elle l’attire et que nos pratiques lui plaisent mais qu’elle n’a jamais franchi le pas. Elle aimerai nous rencontrer pour en discuter. Je réfléchi rapidement et je dis à valentine « non ! » « elle veut du frisson ? Elle veut connaître l’excitation, de l’inconnu ? Alors voila ce qui va se passer. Tu la contacte, vous convenez d’un jour où nous sommes tous les trois disponibles et tu lui dit que si elle veut découvrir c’est à nos conditions ! Elle aura des instructions par sms. » surprise valentine me dit mais tu vas lui faire peur ! Tant pis ! Il est un moment où il faut passer à l’acte ! Valentine s’exécute. Ce n’est que le surlendemain que la réponse arrive. « ok » Satisfait nous réservons une chambre dans un hôtel sympa et nous lui donnons toutes les instructions nécessaires... Son téléphone vibre, « enfile les boules quiès et le rosebud, bloque la porte à l’aide du verrou pour qu’on puisse entrer » bande toi les yeux. C’est debout jambes légèrement écartées les mains derrière la tête que nous te voulons à notre arrivée. Ceci étant dit, je prend valentine par le bras et nous nous dirigeons vers le bar de l’hôtel. Mais on monte pas ?? non ! Laisse la mariner un peu ! Elle va perdre la notion du temps et c’est bien cela que je cherche pour le moment. Nous buvons un verre et c’est une quinzaine de minutes après que nous montons et que nous la trouvons installée exactement comme nous le lui avons demandé… Elle est belle dans sa posture, déjà offerte, mais tremblante. Nous approchons sans bruit grâce à la moquette de la chambre et je dis a valentine touche la. La caresse sur sa joue la fait sursauter vivement. Cependant le parfum de valentine la trahie. Un sourires se dessine sur les lèvres d’Hélène. Rassurer, elle se laisse aller aux douces caresses de valentine sur son corps. Ne touche pas à son sexe ! Pas encore ! pas déjà ! Alors valentine caresse ses seins, en excite la pointe et les étire légèrement. Elle ne se prive pas de les mordiller et de les sucer non plus. La chatte d’Hélène s’ouvre de plus en plus, elle est trempée et je vois bien que valentine n’a qu’une envie c’est de la posséder. Je lui ôte les boules quiès et lui parle à l’oreille… tu es belle et tu as parfaitement exécuter nos instructions. Elle est ravie et un large sourire naît sur son visage lorsque d’un coup une belle claque sur une fesse tombe. Rappel à la réalité. Tu es à nous. Tu le sais. Une autre fessée. « Oui je suis à vous » Valentine passe à présent sa main sur l’intérieur des ses cuisses et commence à caresser son clito déjà tout enflé… elle réagi au quart de tour, son souffle s’accélère, son corps se cambre comme pour avaler ces doigts qui courent sur sa chatte… Je veux savoir quand tu vas jouir lui dis je… ça vient déjà ! Ça vient déjà répète elle, je fais un signe à valentine qui arrête d’un coup… la tension redescend mais les caresses reprennent les mains veulent bouger.. non ! Lui dis je en les bloquant, jamais elles ne doivent quitter ta tête… valentine accentue ses caresses et à nouveau Hélène va jouir. Stop ! Et le calme revient mais le corps parle, il bouge il cherche le plaisir les cuisses se ressent pour les sentir… une fessée tombe… reprise de la position… deux autres fessées puis trois et valentine reprends les caresses en même tps ! Douleur douceur mêlée… mais la encore au bord de l’orgasme les caresses s’arrêtent… la frustration est a son comble, alors je prends ses bras et la dirige sur le lit. Allongée sur le dos toujours sans rien voir elle se laisse faire, docile a souhait… Valentine s’approche et se mets à genoux devant sa chatte ouverte et trempée. Elle la lèche, tout doucement de la pointe de sa langue, l’excite encore, puis d’un coup l’aspire, la mordille et agite son clito frénétiquement sous sa langue… je suis assis su r le lit et je maintiens les bras d’Hélène valentine peine a garder ses cuisses ouvertes et d’un coup la délivrance, la jouissance tant attendue… plaisir fort, profond, libérateur…, valentine ne cesses de la caresser et deux doigts s’agitent à présent dans sa chatte, deuxième orgasme… retour à la douceur des caresses des baisers sur la peau… j’ôte le bandeau, je souris, et prends Hélène dans mes bras… valentine nous rejoint. J’embrase valentine puis me tourne vers Hélène et lui dit, tu a bon goût ; j’aime la mouille de ta chatte ! Mais ne crois pas que ce soit fini…
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Par : le 06/11/22
Ce n'était pas notre première envie, il faut bien l'avouer. Nous étions plutôt bandeau, menottes, un peu de bondage pour débutants, etc. Bref, à nos débuts, nous étions assez mainstream, biberonnés à 50 nuances de Grey ! Et puis de jeux en jeux, l'idée a fait son chemin dans sa tête. Il me disait que j'étais sa chienne, lors de nos jeux... Alors après tout ... J'avais regardé les colliers dans les sexshops SM en ligne mais je trouvais plus excitant les vrais accessoires destinés aux animaux. Je ne voulais pas un collier qui soit un bijou ou un accessoire de mode. Je lui ai donc dit que je voulais bien mais que je voulais un vrai collier en cuir de chienne avec une vraie laisse en métal, vous savez celles avec des maillons très lourd authentiquement prévus pour l'animal. Je trouve que cela participe au symbole et à la cérébralité du truc ! Il s'est donc débrouillé en allant en animalerie et m'a fait la surprise et faut offert un bon gros collier et la laisse qui va bien. Il m'a avoué plus tard qu'il avait même envisagé d'acheter un collier d'occasion déjà porté par un animal, sur le bon coin, mais n'a rien trouvé de probant. Il ne s'agissait évidemment pas d'économiser dans l'achat du collier, mais que ce soit de facto un vrai collier de chien. L'idée m'aurait profondément excitée au demeurant. Bref. Mais le tout neuf était très bien aussi, de bonne qualité, très classique, en cuir de couleur noire, avec une grosse boucle en inox pour la fermeture, et la force du tout neuf c'est sans doute la plus forte odeur du cuir, j'y reviendrais. On a fini par essayer et j'avoue avoir tripé sur la connotation de possession et de domination/soumission. Comme l'expérience était faite avec préméditation, j'ai essayé de me concentrer sur les sensations et le ressenti du port du collier et de la laisse. La sensation de possession J'ai adoré cette nouvelle manière d'être son objet, d'être SA chienne, cela m'a vraiment bouleversé. Même si je suis un peu brat, je sais bien, et lui aussi, que je suis une soumise dans l'âme, qui ne switche que parce que j'aime les expériences et pour faire plaisir. Quand il a ajusté le collier autour de mon cou, j'en ai eu le cœur qui s'est affolé. Ceci pour dire que porter un collier et être tenue en laisse, m'a semblé très "gratifiant" ... Qualificatif un peu bizarre, j'en conviens. Je me suis sentie un peu plus possédée encore. Mon partenaire devenait vraiment mon maître. Et en plus de la sensation du cuir sur ma peau, la sensation sur mon cou, j'ai trouvé l'expérience enivrante de par l'odeur du cuir. Et maintenant, quand je sens l'odeur du collier, je me fais un peu chienne de Pavlov ;-) La sensation d'être dominée avec le collier Alors la sensation de soumission, d'être dominée, je commence à bien connaitre. Mais là, la sensation m'a semblé un peu plus forte encore que d'habitude une fois le collier en cuir et la laisse posée est dans le prolongement de la sensation de possession qui était le premier à m'être venu. Mon Maître a quasi aussitôt tiré sur la laisse pour voir (en réalité pour voir si le collier était bien fixé et pour vérifier les points d'attache). Moments d'appartenance, de soumission et de dévotion qui m'ont fait terriblement mouiller (et lui bander, c'était manifeste) ! J'ai senti que j'étais sous son contrôle, et à cet instant-là, j'étais habitée par le désir d'obeïr à toutes ses exigences. J'étais une bonne chienne, avec mon collier et ma laisse (de vous l'écrire maintenant, même avec le recul m'excite encore ...). La sensation d'être contrainte par le collier Ca m'a fait quelque chose de particulier d'être limitée dans mes mouvements , même si ce ressenti m'était moins inconnu puisque nous avons une panoplie d'accessoires de contraintes (menottes etc...). Cela fait vibrer les mêmes cordes que le bondage, grosso modo. Mon collier de chienne et la laisse, avait peut-être cela de différent qu'ils contraignent moins les mouvements (sauf quand mon partenaire a enrouler la laisse dans sa main pour me tenir au plus court, en mode dressage ... ouahhhh) mais qu'il sert (avec prudence je vous rassure) le cou : cela fait se sentir davantage encore à la merci. Je me suis sentie très vulnérable et le sentiment de devoir obéir allait au delà du jeu consenti. Le collier facilite la contrainte par le Maître. Un collier (bizarrement) rassurant J'ai trouvé aussi, encore un paradoxe, que cela avait quelque chose de rassurant. Difficile à expliquer ... mais dans l'idée que je m'en fais le maitre d'un chien ou d'une chienne, en prend grand soin, veille sur lui, se fait caressant sauf si la chienne désobéit. La sensation d'être tenue en laisse à un côté libérateur, finalement. Mon Dominant a globalement été attentif à mon bien-être, cela rejoint sans doute ce que l'on récent dans les pratiques d'infantilisation (je ne connais pas cette pratique, je ne fais que supputer). De ce point de vue le collier et la laisse offre une sensation d'importance et de valorisation, que je n'imaginais pas. Avant qu'on explore les pratiques BDSM et la domination/soumission, je crois que j'aurais trouvé ces histoires de colliers et de laisses assez dégradantes. Et très cliché, genre un soumis soixantenaire et bien en chair avec sa cagoule, sa laisse et son collier. Mais maintenant que nous connaissons mieux ce milieu et que nous avons de l'expérience, mon vécu me donne à ressentir tout ce que je pouvais ignorer quand j'étais vanille. Devenir une chienne, être d'une autre façon à la merci de mon dominant m'a donner des sensations complètement inattendus... et délicieuse. J'avais été dominée de bien des façons. Mais la force du symbole, la collection de sensations qui en découle, le lien que la laisse et le collier tissent entre les partenaires. Il y a plein d'autres ressentis qui m'ont traversé : le froid du métal est par exemple très érotique, surtout quand la chaine courre sur les tétons ... Rhaaa !!!), la posture de chienne avec son collier autour du cou est bien plus qu'une mise à quatre pattes ! J'ai adoré cette expérience. Ca se sent, hein ? ^_^ Je me retrouve attachée (c'est le cas de le dire) comme rarement à ce collier au point que nous avons décidé d'en acheter un second collier bdsm pour que je fasse vivre l'expérience à chouchou qui lui aussi aime bien être dominé à ses heures (mais pas trop souvent quand même :) ). Cette fois ci c'est donc moi qui vais l'acheter. Probablement dans une boutique spécialisée cette fois, j'ai vu quelques belles pièces sur les boutiques SM mais celles orientées gay. Je crois que cela lui irait très bien... A lire également : https://www.bdsm.fr/blog/8226/Bondage-:-conseils-et-accessoires/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/3763/Cagoule/ https://www.bdsm.fr/collier-appartenance/  
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Par : le 05/11/22
Ha - assis : Ha si je pouvais retrouver un MAÎTRE qui aimerait immobiliser mon corps librement & volontairement offert! Ha si je pouvais rencontrer régulièrement : Un homme en région PACA qui me recevrait sereinement ! Un homme en région PACA qui me recevrait tranquillement pour me recevoir dans la tenue qu'il voudrait ! Un homme en région PACA qui me déshabillerait lentement & sensuellement, pour ensuite m'immobiliser tout nu & cagoulé ! Un homme en région PACA qui m'imposerait une cagoule, une cage de chasteté, un lavement extérieur, voir intérieur ? Un homme en région PACA qui prendrait un immense plaisir à m'imposer une contrainte physique, assis, debout en croix ou horizontalement, voir même suspendu (par les pieds?) Un homme qui pourrait me "convoquer" autant de fois qu'il le souhaiterait pour une intense pratique du "shibari" Un homme qui apprécierait de me voir ainsi offert et de disposer de mon modeste corps offert librement & volontairement ! Un homme qui pourrait éventuellement me livrer à d'autres MAÎTRES ou avec d'autres soumis ! Un homme qui saurait prendre son temps pour me "cagouler", me déshabiller sensuellement et lentement pour ensuite m'attacher pour mieux me voir ainsi à sa disposition ! Un homme qui prendrait du plaisir à prendre mon contrôle physique, sensuel & sexuel pour des satisfactions bien réciproques et agréablement partagées! Un homme qui saurait m'attacher, ma raser, me momifier, me travailler les seins, le sexe, tout cela sans sodo, ni Fist SVP ! Un homme qui aurait envie de me voir ainsi soumis physiquement, sensuellement, mais aussi sexuellement ! Un homme qui respecterait mes limites tout en m'aidant à me faire progresser suivant ses désirs et ses envies! Un homme qui pourrait me "convoquer" autant qu'il le souhaiterait pour une intense pratique du "shibari" Un homme qui apprécierait de me voir ainsi offert et de disposer de mon modeste corps offert ! Un homme qui pourrait éventuellement me livrer à d'autres MAÎTRES ou avec d'autres soumis ! Un homme qui saurait prendre son temps pour me "cagouler", me déshabiller sensuellement et lentement pour ensuite m'attacher pour mieux me voir ainsi à sa disposition ! Un homme qui prendrait du plaisir à prendre mon contrôle physique, sensuel & sexuel pour des satisfactions bien réciproques et agréablement partagées!
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Par : le 03/11/22
Qui n'a pas une bougie qui traine dans un coin de la maison, pour les diners aux chandelles ou pour pallier aux pannes de courant ? Alors, forcément, quand on s’intéresse au BDSM, il ne faut pas attendre bien longtemps pour que l'idée vous (nous :) ) vienne de jouer avec la bougie et de tester l'effet de la cire brulante dans nos jeux érotiques. Nous autres, les femmes, connaissons plutôt bien la sensation de la cire brulante, dans un contexte non-érotique (encore que ...). Mais pour les mecs (pour le mien du moins), ce fut une vraie découverte. Si vous lisez ces lignes, c'est sans doute que le sujet des jeux à la cire chaude fait partie de vos goûts, ou du moins que vous en avez la curiosité. La cire chaude, la flamme qui danse, la pénombre qui accompagne souvent la pratique, ou les jeux d'ombres accompagnent les jeux érotiques : la bougie en BDSM a bien des attraits. Ce peut être émoustillant si on joue soft, mais tout en perversité si on décide de jouer avec la douleur de son ou sa partenaire avec une arrière pensée SM. Comme bien des pratiques qui jouent avec la peau, qui va chercher la douleur, il faut savoir ce que l'on fait, et ne pas partir bille en tête. Je vous conseille de tester la température de la bougie avec laquelle vous allez jouer avant d'être "dans l'action" et surtout sur vous-même (que vous soyez celui qui torture à la cire ou sur votre partenaire pour être sûr(e) qu'elle/il pense pouvoir supporter le jeu. Quelles sont les sensations que l'on éprouve en jouant avec la cire brulante de la bougie ? >>> La cire picote ou brule (quelle surprise !) même en BDSM C'est la première sensation, sans surprise, que l'on éprouve quand la première goutte de cire tombe sur la peau. Selon la température de la cire (qui va dépendre de la bougie), cette sensation peut être légèrement désagréable ou atrocement douloureuse. Il existe des bougies basse température : à choisir si l'on ne veut prendre aucun risque et/ou si on débute (en celà, la bougie du fond du tiroir de la saint valentin d'il y a trois ans peut ne pas répondre à ce critère !). Bref, prenez des précautions ! >>> Le tiraillement de la peau quand la cire de la bougie refroidit Une fois que la cire de la bougie a refroidi et a durci, vous ressentirez une sensation de tiraillement sur votre peau. Cela est dû au fait que la cire se rétracte en refroidissant et entraîne votre peau avec elle. Personnellement je trouve ce moment absolument délicieux, d'abord parce qu'on sens la douleur qui s'estompe, que la sensation est inhabituelle et qu'il y a un côté "possession" ou "marquage" par celui ou celle qui tient la bougie. >>> Sans se détacher complétement de la peau, la paraffine va souvent "donner du lest" à la peau. Il y a une sensation de soulagement, et de relâchement de la tension. S'il y a eu sensation de brulure est devenue chaleur, l'effet des endorphines liés à la douleur, provoque, j'avoue, un certain bien être. >>> Quand le jeu à la bougie est fini ... et bien en fait, il n'est pas fini. Car il faudra retirer la cire, et cela fait partie des délices BDSM de cette pratique et peut être le moment le plus SM du jeu (surtout pour chéri, lui qui n'est pas habitué à ce que les poils partent avec !!!). Le retrait de la cire n'est donc pas sans picotement ou sans douleur. Cela dépend si on joue avec ce moment, et si on le fait avec tendresse ou avec fermeté. Vous pouvez retirer goutte de paraffine par goute de paraffine... ou plus rapide et moins doux, en grattant plus ou moins fort (c'est aussi un jeu !!!). Une fois la cire retirée, vous aurez un sentiment d'accomplissement et de satisfaction, surtout si vous avez pu résister à la douleur des brûlures pendant une longue séance de jeu. >>> Chouchou m'a avoué avoir ressenti une certaine fierté quand j'ai eu fini de m'occuper de lui. Il avait réussi à garder son sang froid (et quand cela brûle, garder son sang froid ...) alors que j'ai un peu tout essayer sur son petit corps (j'ai cru qui allait craquer et fuir quand j'ai fait tomber des gouttes de cire sur ses tétons et sur sa queue (surtout sur son gland !!!). **** Quelles bougies acheter pour vos jeux BDSM ? **** Vous trouverez des bougies dans les sexshop ou les boutiques en ligne spécialisées dans le coquin. Mais vous pouvez aussi en acheter dans le commerce traditionnel, c'est souvent nettement moins cher. Par contre, si vous débutez ou que vous voulez jouer la sécurité, acheter des bougies BASSE TEMPERATURE, qui limite notoirement les risques de se bruler dans le cadre de jeu BDSM. --- Les différents type de bougies : * La bougie "traditionnelle" (que certains appellent aussi bougie pilier). Les bougies piliers sont le type de bougie le plus populaire pour les jeux érotiques et les jeux BDSM. Elles existent dans une grande variété de tailles, des cônes fins qui peuvent être utilisés pour les jeux de cire aux piliers épais qui peuvent être utilisés non seulement pour jouer avec la cire mais aussi pour pénétrer votre partenaire. Certaines bougies piliers sont parfumées, ce qui permet de flatter un sens supplémentaire (se méfier toutefois des produits qui donnent la senteur : preferez le naturel car les produits de synthèse peuvent créer des réactions sur la peau). La cire de soja, cire de colza et cire d'abeille sont compatibles avec le jeu érotique. On trouve même certaines bougies avec de l'huile de coco nourrissante dedans ... cela rend la cire plus onctueuse (huuuuum), et au rayon du naturel on pourra choisir une bougie avec de l'huile essentielle de géranium dont le parfum est très suave. *Bougie conique Les bougies coniques assez prisés pour les jeux érotiques et les jeux BDSM. Elles sont plus fines que les bougies piliers et ont généralement une extrémité pointue, ce qui facilite la gestion des gouttes de cire. Les bougies coniques peuvent aussi être parfumées. *Bougie flottante Les bougies flottantes sont un type de bougie conçu pour flotter au-dessus de l'eau. Elles sont souvent utilisées pour les massages ou dans le cadre d'une expérience spa. On en avait une qui trainait à la maison, il semble qu'elle n'était pas basse température. Avec la tête froide (ahahah), on l'a essayé avant de jouer, elle brulait... fort. J'ai adoré la sensation sur mes tétons, j'avoue.. un petit plaisir maso.... Mais soyez prudents quand même. * Bougie à réchaud J'en parle ici pour avoir votre avis (en commentaires ?), car nous n'avons pas eu l'occasion de tester, mais je me dis que si c'est à réchaud, ce n'est peut-être pas très conseillé pour les jeux érotiques et pour appliquer sur la peau, surtout pour les parties intimes. Une rapide recherche sur Google ne laisser pas à penser que ces bougies sont basse température, ou qu'il en existe avec cette caractéristique.
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