La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/04/23
Je ne sais combien de temps s’est écoulé, surtout que la lumière fût éteinte lors de leur sortie de la cave. Entre la fatigue des émotions et de la positions j’avais beaucoup de mal à tenir cette position d’étoile contre le mur. Je somnolais, sentant mon poids qui tirait sur mes épaules, ma tête pendait en avant sans énergie. Lorsque j’ouvris les yeux j’était dans les bras de Monsieur, étais-ce un rêve ou la réalité, je n’avais rien sentis. Lorsque nos 2 regards se croisèrent il me sourit et m’embrassa sur le front. Chhhhh, rendors toi, tu as tenu bien plus longtemps que je ne le pensais tu mérite de te reposer dans ton lit un moment. Et tu es si belle quand tu dors. Je souris à mon tour, c’était la réalité, je devais dormir tellement profondément que je n’avais rien senti. Mais dans ce bref instant de lucidité je sentais quelque chose d’étrange entre mes jambes, m’aurait-il remis la ceinture de chasteté ? Au moins je pourrais me reposer convenablement, c’était déjà ça. Je percevais la douceur et le moelleux du lit, la chaleur de la couette qui était installée sur moi, sans plus réfléchir je repartais dans les bras de Morphée. A mon réveil, la lumière du jour commençait à se faire de plus en plus faible et je semblais ne pas me reconnaître. La cagoule était toujours présente, me transformant en quelque sorte, les bracelets aux poignets et chevilles aussi, me rappelant ma condition. Ces chaussures solidement attachée et … mais qu’est-ce que j’avais à l’entrejambe ? Je me levais et découvrais une autre ceinture, plus large sur le devant munie d’un anneau métallique, bien serrée et également cadenassée. Et d’après ce que je ressentais elle était munie de 2 godes, depuis tout ce temps j’était pleine sans m’en rendre compte la fatigue sûrement. Alors que j’explorais cette ceinture la porte s’ouvrit. Je me mis rapidement en position, Madame rentra avec un plateau. Son attitude était différente, moins sur d’elle, regard fuyant, tête basse, étrange. Elle posa le plateau sur une table et recula, regardant ses pieds, s’arrêta dans un coin et se mit dans la même position que moi. J’aime jouer avec les rôles et rappeler que chez moi, il n’y a qu’un seul Maître. Monsieur rentrait en prononçant ces paroles, en ignorant Madame. Je ne comprenais plus rien, je n’osai bouger, attendant un ordre, une autorisation. Monsieur s’approcha du plateau, pris un morceau de gâteau, qui semblait être une sorte de goûter. Dès à présent et jusqu’à ce que je le décide tu peux disposer de ta soumise comme il te souhaite. Elle est à toi. Cependant vous devrez rester dans cette pièce, examine les tiroirs tu as de quoi t’amuser rassure toi. J’étais encore plus perdue, je passai du rang de soumise à Dominatrice. Je pouvais diriger une autre femme, une grande première pour moi, même Dominer était une nouveauté, je sentais comme une pointe de stress monter. Je pris une grande inspiration, ferma les yeux. Merci Monsieur Tu n’as pas perdu les bons reflexe, sache que son SafeWord est Sunstone et que je ne suis pas loin non plus. Je vous laisse vous amuser entre fille. Partant il fermât la porte et d’après le bruit ce fût à clef. Je regardais Madame, qui n’avait pas bougé. D’un pas lent je m’approchait d’elle et profitais pour l’examiner encore mieux, son habillement n’avait pas changé et c’était vraiment une magnifique femme, de longues jambes, poitrine volumineuse. Je pense que je vais m’amuser.
550 vues 5 aime
Par : le 06/04/23
Pendant que je suspendais les manteaux sur des cintres, les invités de mon Maître prenaient place dans le salon. La femme s'assit dans un fauteuil, mon Maître dans l'autre et les deux hommes dans le canapé de l'autre côté d la table de salon. La jeune fille elle s'assit par terre, à côté de la cinquantenaire. Je remarquais alors qu'elle portait un large collier d'acier muni q'un gros anneaux et que ses poignets en portaient d'identiques. très jolie, elle avait les cheveux presque raz. Quand sur ordre de sa Maîtresse elle se déshabilla, on découvrit un corps très mince, des seins menus dont les tétons étaient percés de beaux bijoux bien travaillés. Son corps juvénile portait de nombreuses traces, certaines à peine rosées, d'autres bien plus marquées, violacées, qui expliquaient les larges cernes de ses yeux. Cambrée pour s'offrir aux regards, elle rayonnait. Son pubis parfaitement lisse était tatoué d'un complexe entrelassement d'initiales KR signifiant qu'elle était la propriété de la femme. Mon Maître claqua des doigts et d'un index tournoyant me fit comprendre que je devais servir. j'effectuais le service en me positionnant à droite de la personne que je servais. Leurs mains me palpaient, me griffaient ou m'éffleuraient. La Dominatrice elle me prit un téton entre ses doigts et me le tordit jusqu'à ce que je gémisse de douleur et que les larmes me remplissent les yeux. Maitre m'avait bien recommandé de ne jamais parler ou emettre un cir. Les coupes remplies, je vint prendre ma place aux pieds de mon Maître. Leur attention se concentrait sur la jeune fille exposée. Sa Maitresse se faisait un plaisir de raconter leur rencontre, comment d'une simple relation homosexuelle c'était devenue une relation ou la Dominatrice prit peu à peu le contrôle totalde son amante jusqu'à en faire une véritable esclave sexuelle. Que ce soit pour son plaisir mais également le plaisir d'autres personnes, hommes ou femmes selon son humeur. La jeune fille prenait les poses que sa Maitresse lui ordonnait. Elle exhibait chatte ou cul, s'écartant à deux mains, ouvrant une bouche capable d'accueillir des membres de taille très respectable tout comme son cul qui visiblement servait souvent. Prendre des positions dignes d'une pute semblait lui plaire vu la mouille qui coulait de sa vulve. l'un des hommes, Didier, était déjà bien excité et mon Maitre donnant son accord, me donna sa queue à sucer. Je m'appliquais comme Maître l'aimait. Malgré la taille, je l'avalais entièrement . j'avais quelques hauts le coeur quand elle passait la luette mais j'arrivais maintenant à parfaitement me retenir. L'homme poussait des soupirs de satisfaction et m'appuyait sur la tête, me la bloquant quand il voulait que mes lèvres soient collées à son pubis. Je ne voyais pas ce qu'il se passait derrière moi mais les commentaires m'indiquaient que la Soumise était explorée dans tous ses trous, poussant de petits gémissements de plaisir. Le spectacle devait être excitant car Didier éjacula rapidement tout au fond de ma gorge. J'avalais la totalité avec gourmandise puis je nettoyais sa queue très doucement. Maitre m'ordonna de me coucher sur le dos, la tête sous le ventre de la jeune fille. En me retournant pour me positionner, je vis que celle ci, à genoux avait les mains dans le dos et qu'elle sucait mon Maître. Sa Maitresse elle, avait la main enfoncée dans son anus la faisant gicler copieusement à chaque fois que la main s'enfoncait profondément. Je m'allongais sur le sol complètement trempé de cyprine. les orgasmes de la Soumise s'enchainaient. Rapidement j'eu le visage et le torse trempé, ça giclait sans interruption, même quand la main de la Dominatrice fut remplacée par une bite conséquente de l'autre homme et la pilonnait de toute ses forces. Maître savait s'entourer uniquement de Mâles ayant de grosses queues. Affalée dans le fauteuil, la brune fit venir son esclave entre ses cuisses. Celle ci fut immédiatement en place et se mit à déguster puis dévorer la vulve de sa Maitresse qui me demanda de nettoyer sa soumise de tout le sperme et la mouille qui coulait de son ventre et de ses fesses. J'aspirais le foutre de son anus boursouflé et béant y enfoncait la langue aussi loin que possible, elle était délicieuse, jusqu'o ce que la femme assouvie ne l'attache par le collier à l'un des radiateurs, me laissant seul faire le service.....
451 vues 7 aime
Par : le 06/04/23
Pour mes 17 ans, Maître profita d'un week-end prolongé de Pâques pour les fêter à sa manière. Mes parents comme souvent participaient à une concentration de vieilles voitures en région parisienne, j'étais donc seul durant 4 jours. dès le vendredi soir je me rendis chez Maître. Il n'était pas encore rentré mais j'avais la clé. Ma première action fut de me mettre nue et d'entasser mes vêtements dans un débarras et en claquait la porte. Il n'y avait que lui qui puisse la réouvrir. Je me rendis ensuite dans le salon où je trouvais sur la table basse ma tenue que j'enfilais et une feuille de consignes. Nuisette violette, bas assortis et une large ceinture de cuir qui comportaient 6 attaches pour les bas ainsi que mes escarpins à talons. Bizarrement, je ne vis pas mon collier ni mes bracelets de cuir que je portais habituellement chez lui. Parée, je me regardais dans la glace, je ressemblait à une vraie petite femelle bonne à baiser. Les talons me cambraient le cul et le corset bien serré faisait ressortir ma croupe, j'étais obsène. Cette vision provoquait en moi de l'excitation et je ne doutais pas que cela mettrait Maître en rut. Suivant les instructions, je préparais 6 coupes et mis une bouteille de champagne au frais. Nous ne serions pas seuls pour la soirée. Les amuses bouches prêtes sur la table, j'allais me mettre à genoux à 3 pas de la porte d'entrée, genoux  écartés, bras croisés dans le dos, les mains tenant mes coudes tête baissée et j'attendis. Avant que la porte ne s'ouvrit, j'entendais plusieurs voix. Maître n'était donc pas seul. Instinctivement, je me cambrais, adoptant une posture la plus soumise possible, je baissais la tête presque à touche mon cou du menton et regardais le sol. Maitre entra à la suite de deux femmes et deux hommes. Débarasse mes invités salope ! Je me redressais rapidement et entrepris de prendre manteaux et veste des invités ce qui me permit de les voir. L'une des femmes était grande et sèche d'une cinquantaine d'années, vétue d'une jupe en cuir longue et fendue, un chemisier et des escarpins. L'autre, bien plus jeune, un short en jean's très court, un débardeur trop court et des baskets blanches.
466 vues 4 aime
Par : le 06/04/23
Voici le lien vers ces règles ! https://www.bdsm.fr/blog/4753/Exemples-de-R%C3%A8gles/Contraintes-DDlg-/-ABDL/
287 vues 3 aime
Par : le 06/04/23
Après les événements décrits dans la dernière chronique, le temps passe, sans que des rencontres, temps musical que sexuel, ne se produise.  dans la dernière chronique, le temps passe, sans que des rencontres, temps musical que sexuel, ne se produise. Souhaitons toujours monter un groupe. Je décide de retourner sur le site de mise en relation entre musiciens sur lequel je vais rencontrer les deux frères, et je commence à écumer les annonces. Sans que je sache pourquoi l'une d'entre elle attire mon attention et je contacte l'auteur. Il s'appelle Raphaël, à peine entré dans la vingtaine et semble ultra motivé.  l'une d'entre elle attire mon attention et je contacte l'auteur. Il s'appelle Raphaël, à peine entré dans la vingtaine et semble ultra motivé. Après quelques échanges de mails, nous nous échangeons nos numéros de téléphone et continuons à discuter de ce que nous avons envie. Le projet est assez simple , si nous arrivons à bien nous entendre, nous souhaitons monter un groupe pour faire quelques concerts dans la région de Rouen. Au bout , si nous arrivons à bien nous entendre, nous souhaitons monter un groupe pour faire quelques concerts dans la région de Rouen. Au bout d'une semaine, le message pour le moi agréable et amicaux, nous décidons de nous rencontrer chez lui un mercredi. Comme à mon habitude, j'arrive en avance , et j'attends devant chez lui pour ne pas paraître impoli. Au bout de quelques minutes alors que l'heure du rendez-vous approche, je vois le rideau de la fenêtre du rez-de-chaussée se décaler et je vois mon Hôte tout sourire. Il ouvre la porte et me serre la main chaleureusement tout en me souhaitant la bienvenue. Il me propose de me mettre Alezes en déposant mes affaires dans un coin de la pièce et m'offres un café. Nous nous asseyons autour de la table et j'observe légèrement la pièce dans laquelle nous sommes. Rien de bien exceptionnel, c'est une pièce ouverte sur la cuisine avec au fond, une porte menant, sans doute vers un couloir, celui des chambres et des sanitaires. Rien de bien exceptionnel, c'est une pièce ouverte sur la cuisine avec au fond, une porte menant, sans doute vers un couloir, celui des chambres et des sanitaires. Au fil de nos discussions en physique, l'ambiance devient bien plus amicale, et nous passons quelques heures à jouer.   Alors que nous nous apprêtons à ranger notre matériel je lui demande comment est-ce qu'ils arrivent à faire des harmoniques artificielle (les guitaristes comprendront). Il me passe sa guitare commence à m'expliquer mais comme je ne comprends pas le principe il se place derrière moi, Prends ma main droite et fait en sorte qu'au moment où je joue la corde je l'effleur avec mon pouce afin de créer ce son si particulier. Cependant, sur le moment.  Je ne retiens absolument pas l'explication, Je ne retiens absolument pas l'explication, Bien plus attiré par ce contact avec lui que par le jeu. Je crois même sentir à un moment, une bosse dans son pantalon quand il touche mes fesses. Latouche mes fesses. La journée s'arrête. Là. Je repars chez moi et nous reprenons nos discussions strictement musicale. Un nouveau rendez-vous donné la semaine prochaine. Je retourne chez lui et à mon arrivée il me propose encore un café. Alors qu'il se tourne vers la cuisine pour aller me préparer ma boisson chaude, je remarque qu'il est vêtu d'un pantalon bien plus cintré que la dernière fois, mettant en valeur ses fesses. Je ne peux pas décoller mon regard de ce magnifique spectacle, et quand il se retourne il voit Que je l'observe. Pour le moment il ne dit rien, et s'assoit à côté de moi à table. Il est bien plus proche que la dernière fois et bien plus entreprenant au niveau des discussions. Très rapidement cela tourne autour de nos expériences sexuelles et musicales. Je lui Raconte alors ce qu'il s'est passé avec Alex, avec les deux frères… Et à la fin de mon récit, il m'annonce de but en blanc qu'il est gay et commence à me dire qu'avec un peu de chance, nos expériences musicales se terminerons de la même façon que mes précédentes. Au fond de moi, je l'espère sincèrement mais j'attends de voir la suite des événements avant de trop espérer. Alors que nos cafés sont finies depuis bien longtemps, nous décidons de jouer et de composer. Cette session est plutôt fructueuse. Et nous commençons l'enregistrement du morceau. Après une heure ou deux nous décidons de faire une nouvelle pause. L'atmosphère s'est réchauffée et j'ai l'impression de suffoquer tellement elle est lourde. Lui aussi semble avoir très chaud et il me demande d'attendre quelques instants qu'il aille se passer une tenue plus légère afin d' être plus à l'aise. Quand il revient, il est vêtu d'un short et d'un débardeur. Soit le short est trop court, soit son excitation est trop importante car son paquet est magnifiquement bien moulé. Son débardeur laisse quand lui laisse apparaître un torse légèrement poilu et bien dessiné. laisse apparaître un torse légèrement poilu et bien dessiné. J'avoue qu'à ce moment je suis très excité et ses regards appuyés vers mon entrejambe confirme que lui aussi. À ce moment, il n'y a plus de faux-semblants. il joue clairement avec moi. Passe très près de moi me frôle et me touche légèrement qui n'est pas sans me déplaire. Nous essayons de reprendre une discussion à peu près normal, sauf que nos corps sont très proche l'un de l'autre et un moment il se lève, me demande de le suivre car il a quelque chose à me montrer dans sa chambre. Les volets de celle-ci sont fermés et alors qui me précédé. Je le vois se décaler pour me laisser rentrer. Je n'ai pas le temps de m'habituer à la absence de lumière que la porte claque et que je le sent se coller à moi. Il frotte son sexe entre mes fesses. Ils sont torse contre mon dos. Seulement son baladeuse se diriger assez rapidement vers ma ceinture. En quelques mouvements, elle s'ouvre mon pantalon tombe, il se baisse en prenant bien soin de retirer mon caleçon et commence à m'embrasser les fesses et me caresser les cuisses pour descendre jusqu'à mes pieds et m'oter mes vêtements. Et la situation me paraît des plus excitante, ne voyant que peu de choses et le laissant complètement gérer la situation pour le moment. Alors que mon pantalon quitte mes chevilles, et je le sent remonter vers mes fesses qui se met à lécher sensuellement. Ses mains agrippe mon sexe bouillonnant et commence. Quelques mouvements de va-et-vient, tendit que sa langue se rapproche de plus en plus de Mon trou...
403 vues 1 like
Par : le 03/04/23
A 50 ans, sexuellement, j'étais inculte. Ma vie était organisée comme du papier à musique, une femme que j'estimais, des enfants source de joie et de bonheur, une famille solidaire, un emploi accaparant ... bref le genre de mari confort et bien être. La crise de la quarantaine a tout de même fini par me gagner. Après quelques échecs de manœuvres de séduction, j'ai tenté ma chance sur un site de rencontre gratuit. C'est là que je l'ai trouvée. L'annonce était sommaire, "femme mariée cherche homme pour plan sexe". En quelques lignes, je me suis présenté en lui disant que je pouvais facilement me libérer pendant la pause déjeuner. Je lui ai demandé ce qu'elle attendait de moi, à quoi elle a répondu qu'il fallait simplement que je trouve un lieu pour copuler. Pas très causante, elle ne voulait pas m'en dire plus sur elle sauf qu'elle avait une trentaine d'années et qu'elle avait un grand besoin de sexe et de lâché prise. Nous avons pris rdv quelques jours plus tard à 12h sur un parking d'une zone commerciale. Elle était prête à me consacrer 1h30 de son temps. Le matin en question nous nous sommes échangés des SMS. Au début les messages étaient sages, ils avaient vocation à s'assurer que ni l'un ni l'autre ne feraient pas faux bond, mais rapidement je me suis enquis de l'état de ses seins, de ses cuisses, de son minou. A la lecture de ses réponses je l'ai senti bouillonnant. De mon côté, j'avais une érection à chaque tintement de SMS. Nous n'avions échangé aucune photo, le fantasme de rencontrer une inconnue était préservé. Les mots suffisaient pour nous exciter. J'avais de plus en plus envie de la prendre, tandis qu'elle me disait qu'elle commençait à avoir mal à la tête tant son corps était en effervescence. A présent il fallait aller vite pour éteindre le feu. Je suis en route pour notre lieu de rdv, il est 11h50, je reçois un SMS "- où es tu ? je suis en route, j'arrive dans 5mn vite stp" me répond t'elle. Je l'imagine se caressant et se pinçant les tétons afin de maîtriser ses pulsions. J'arrive sur les lieux, reconnais la voiture qu'elle m'avait décrite. Là, surprise, je me trouve en face à une charmante maman, souriante, se pinçant les lèvres. J'ai pris ma respiration, intimidé, espérant qu'en découvrant que je suis un homme ordinaire elle ne soit pas déçue. 1er hôtel complet, 2ieme accès uniquement par cb, heureusement la 3ieme tentative est la bonne. Nous pénétrons dans la chambre, les préliminaires sont brefs, quasi inexistants. Sa culotte est trempée. Nos vêtements volent dans tous les sens, je la plaque sur le lit. Elle saisit ma queue, la serre fort, la prend en bouche. A peine ai-je effleuré sa chatte en chaleur, qu'elle se redresse, dirige mon membre raide vers son entre-jambe pour s'empaler dessus. La chaleur de ses entrailles est intense, Dieu que c'est bon ! La pénétration est brutale, virile, je la prends sauvagement, la retourne dans tous les sens, pour finir en levrette. Plus je la secoue et plus elle prend du plaisir. "Qu'est ce qu'elle est BONNE TA QUEUEEEEEE " rugit elle. Nous avons fini en sueur avec le lit décalé du mur de 80 cm. Les draps et les oreillers sont à présent dispersés parmi les sous-vêtement et habits aux 4 coins de la pièce. Nous avons fini par nous calmer, épuisés. Elle ne voulait pas que je sorte d'elle, alors je l'ai reprise en levrette et j'ai poursuivi avec des mouvements lents, de droite à gauche, de haut en bas, d'avant en arrière. Hummm que c'était bon. Je l'ai caressé longuement, et tout en continuant ainsi, nous nous sommes racontés. Je lui ai avoué que c'est la première fois que je trompais mon épouse. M'a t'elle cru ?
525 vues 11 aime
Par : le 01/04/23
Elle élève la voix et dit : — Meadow ! Une gamine bondit presque. Elle a des cheveux blond roux et un physique, disons, campagnard, des taches de rousseur, un nez un peu large et un espace entre les incisives supérieures. Elle n'a pas un bel uniforme comme les autres servantes mais une robe tablier pas très propre. Madame Stone me désigne du doigt en disant : — Cette fille va te remplacer et tu devras lui expliquer le travail. Tu lui donneras le vêtement que tu as sur le dos et tu pourras mettre un uniforme. Si tu la dresses bien, tu seras une servante. Grand sourire de la fille ! Oui, à l'idée d'être une servante... — Tu pourras la punir comme on a fait avec toi : des claques et le strap sur les fesses, autant que tu veux... sans la blesser. Si elle n'accepte pas sa punition, tu viens me trouver et elle aura le double. Maintenant, c'est ton esclave, tu comprends ? — Oui Madame. — Va chercher un uniforme et donne lui le tien Ah, avant ça... Lizza ! Aussitôt, une jolie rousse qui était occupée à nettoyer de l'argenterie se lève et vient lui faire une révérence. Madame Stone lui demande : — Tu étais une star des réseaux sociaux ? — Oui Madame. — Tu sais te servir d'une caméra ? — Oui Madame. — Tu vas la filmer chaque fois qu'elle fera un travail différent. Tu filmes ce qui est intéressant. Il faut que Meadow la punisse de façon variée, comme on a fait avec elle au début. Grand sourire de cette garce de paysanne de Meadow. Madame Stone poursuit : — Mettez-vous d'accord et si le film est bon, Meadow deviendra une servante et toi, Lizza, première fille. Prends cette caméra et allez-y... Les filles font une révérence et Meadow me prend par le bras. On va dans une petite pièce qui doit servir de vestiaire. Lizza commence à filmer tandis que Meadow enlève sa robe tablier. Elle me la tend en disant : — Mets ça Je la prends, mais elle me donne une gifle en disant : — Là, tu dis merci en faisant une révérence. Je le fais en disant : — Merci Mademoiselle. Elle a de la force, cette garce, elle a dû travailler dans les champs depuis ses 6 ans. Je frotte ma joue qui doit être bien rouge. La robe tablier qu'elle me donne se boutonne devant. Sur le dos, il est écrit « NETTOYAGE » en lettre rouge. Elle pue la transpiration. On finit toujours par payer... Enfin, pas tout le monde, mais moi, oui. Je me suis amusée à punir des esclaves, le Seigneur me le fait payer... cher. Peut-on imaginer plus grande dégringolade sociale que passer de Première Dame des États-Unis à esclave de Meadow ? Meadow enfile l'uniforme noir des servantes avec le tablier blanc. Lizza lui dit : — On commence par quoi ? Qu'est-ce qui est le pire ? — Les toilettes du personnel. — OK. Je les suis dans mon uniforme puant... On va dans un petit local et Meadow me donne une raclette, une brosse dure, un seau, une serpillière, du liquide de nettoyage et de l'eau de javel. Pas de gants en caoutchouc, bien sûr : une esclave doit nettoyer les chiottes à mains nues. Quand j'ai tout le matériel dans les mains, Lizza me filme tandis que je suis péniblement Meadow... On doit s'approcher des toilettes du personnel parce que ça commence à puer. Lizza lui dit : — Ça fait au moins une semaine que tu ne les as pas nettoyées. — Madame Stone m'a dit... — Parle pas devant la fille, Meadow. — Oui, pardon. Avant de commencer ma punition – non, mon chemin de croix – je suis bien consciente que tout ça n'arrive pas par hasard. Le fait qu'on a dit à Meadow de laisser les toilettes dans cet état renforce l'idée que mon acheteur savait très bien qu'il allait faire mon acquisition, même avant la fuite de mon couard de mari. Je suppose que tous ici, ils savent très bien qui je suis. Le film en est la preuve, je suis certaine qu'on ne filme pas les autres filles lors de leurs débuts. J'espère juste qu'après m'avoir bien punie et humiliée, ils me feront rencontrer des gens qui ont envie de s'envoyer la femme de l'ex-Président des États-Unis. Je vais serrer les dents, en attendant Summer. Les toilettes sont comme prévu : dégueulasses. Il y a deux urinoirs et deux w.c. Meadow me dit : — Remplis ton seau, mets du liquide de nettoyage, ensuite récure le sol avec la brosse. Quand c'est fait, je mets à genoux dans la vieille pisse et je récure le sol. Lizza me filme pendant un moment. Quand elle s'arrête, les filles discutent des autres servantes et de moi. Elle parle de ce qu'elles vont me faire... comme si je n'étais pas là. Hélas, je suis là et je frotte le sol dégoûtant. Puis je rince bien à l'eau et, avec la raclette, je fais tout partir vers une petite grille dans le sol. Lizza dit : — Vérifie si c'est propre, Meadow, je filme. Les mains derrière le dos, Meadow inspecte. Oh ! qu'elle se sent importante tout à coup, la sale petite péquenaude ! Du bout du pied, elle montre une trace sur le sol, en disant : — Et ça, cochonne ? Lèche. Je vais lécher entre ses pieds, mais je n'ai qu'un goût de produit de nettoyage dans la bouche. Ensuite, toujours du bout du pied, elle me fait lécher ici ou là, au gré de sa fantaisie.... Au pied d'un urinoir, il y a une saloperie de croûte qui n'est pas partie. Là, elle prend son pied en me faisant lécher et même gratter avec les dents une croûte qui a un horrible goût de pisse.  Lizza me demande : — Tu veux te rincer la bouche ? — Oui Mademoiselle... — Il y a de l'eau dans la cuvette des w.c., vas-y. Un jour, je paierai un tueur pour leur coller une balle dans les genoux. En attendant, elle rigole de me voir laper l'eau dans la cuvette des w.c. Lizza arrête de filmer et je continue mon nettoyage d'autant plus soigneusement que je sais que je devrai lécher ce qui est encore sale. Une heure plus tard, je suis rouge et en nage. Je n'ai jamais aussi bien nettoyé. Les deux filles n'ont pas arrêté de parler et de rire... Maintenant, Lizza reprend la caméra, tandis que Meadow me dit : — Inspection de ton travail, souillon !! Elle repère une ignoble virgule brune sur un mur et je dois la lécher : quelle horreur, je vais tomber malade !! Ensuite elle m'engueule, mais bien : — Tu appelles ça nettoyer ? — Mais... euh... — Tu es sale naturellement ou tu fais ça pour te foutre de nous ? On t'a dit que ces chiottes devaient être impeccables et ce n'est pas le cas. Tu vas être punie. Mets-toi à quatre pattes. Elle prend une bande de cuir assez rigide, longue de 50 cm, puis elle relève l'uniforme sale que je porte et, quand mes fesses sont nues, elle dit : — Tu vas avoir dix coups de strap. Écarte un peu les jambes. Ensuite, tu comptes et tu remercies. Compris ? — Ouiii. J’entends le bruit caractéristique de la bande de cuir qui fend l’air "Ffwwwiiiiii" et : — Aaaïïïeee ! Un, mer... merci. Une bande de feu me traverse les fesses d’une hanche à l’autre. elle dit : — Celui-là ne comptait pas, c’était pour m’exercer. Ensuite elle se met à taper très rapidement, depuis le haut des cuisses jusqu’au haut des fesses. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeee ! Un, merci. Ffwwwiiiiii ! — Ouch ! Deux, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeeeeeee ! Trois, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeee ! Quatre, merciii... Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeeeiiii ! Cinq, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïïïïïïïeee ! Six, merci. Ffwwwiiiiii ! — Ouch ! Sept, merci.... Elle s’arrête, puis se tourne vers Lizza pour lui expliquer pourquoi : — J’attends un peu pour qu’elle sente encore mieux les derniers coups. Maintenant, ce n’est plus une bande de feu, c’est mon derrière tout entier qui est un brasier. Je pleure en gémissant, tandis que mes fesses continuent à se contracter et à se relâcher spasmodiquement. Elle me demande : — Dorénavant, tu m’obéiras ? — OUI ! Oui, Mademoiselle... — Je te crois. Hélas pour toi, c’est trop amusant de voir ton gros derrière rougir. Attention !  Fffwwwiiiiii... Je crie... Je compte encore trois fois avant qu’elle ne s’arrête. Qui peut se réjouir autant de faire souffrir une esclave ? Une voix me dit « toi ». Mais c’était avant et je ne savais pas que ça faisait si mal ! Si, je le jure... enfin pas "si" mal. *** Je passe une semaine avec ces deux tortionnaires. Elles me font travailler et me filment depuis 7 h du matin jusqu'à 10 h du soir. Elles filment tout, surtout les punitions : les gifles, le fouet sur les fesses, les cuisses, les mollets. Il y a pire : les coups de baguette sur les mains et les doigts. Je ne comprends pas comment je tiens le coup. Enfin si, je n'ai pas le choix. Après 7 jours de cet enfer, exactement au matin du 8e jour, Madame Stone me regarde et claque les doigts, je suppose que c'est pour que je la suive. On prend l'ascenseur de service jusqu'au dernier étage. Madame Stone toque à une porte et une servante vient ouvrir. Elle fait une révérence et dit : — Je vous prie de me suivre, Madame. On va dans une grande pièce et là, je vois... le diable et des démons ! C'est-à-dire les Crasston, les rois du boudin, Madame Wolf et sa nièce Sarah. C'étaient les alliés de mon mari, les sales traîtres, je souhaite que... Rien, j'attends Summer, c'est tout. Madame Cochon me dit : — Quelle bonne surprise : la petite Ashley. Tu fais toujours la tête ? — Non, Madame. — Tu me trouves sympathique, maintenant ? — Oui, Madame. Elle rit puis elle me dit : — Je vais peut-être te prendre à mon service, tu aimerais devenir une de mes servantes ? — Oh oui, Madame ! Je suis comme Meadow : je veux être une servante.  À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
501 vues 6 aime
Par : le 31/03/23
Monsieur fit glisser ses mains le long des hanches de Madame. Elle ne se fit pas prier et se cambra encore plus pour venir frotter ses fesses contre l’entrejambe de Monsieur. Je les voyais entamer cette sorte de danse langoureuse, lascive étant une sorte de spectatrice malheureuse et fortement frustrée. Monsieur tira sur l’anneau au collier de Madame, pour l’embrasser amoureusement et profondément. Elle a mérité sa récompense ? Je pense, elle ne s’est pas plainte, gémi débattue. Je savais qu’elle allait apprécier ce moment avec toi. A ces mots il sortit de petites clefs de sa poche et s’approcha de moi. Fit glisser ses mains le long de mon ventre et me plaqua contre lui, me fixa d’un regard profond et supérieur, rapidement je baissais les yeux, me délectant de son odeur. Pendant ce temps ses mains s’affairaient autour de ma taille et ouvraient ces petits cadenas et finalement laissait tomber cette ceinture au sol. Le frais de la pièce semblait ne se concentrer que sur mon entrejambe, humide, tenue chaude. Ma récompense ? Allait-il me prendre là comme ça, je sentais à nouveau mon bas ventre s’enflammer. Sans que je ne l’aie vu il avait sorti un bandeau et venait de m’aveugler, cela eu le même effet que de jeter de l’huile sur le feu. Et finalement il recula, me laissant totalement offerte, sans défense. Madame était restée de côté, observant, souriant. Dans le silence de la pièce, j’entendais des bruits de tissus, ceinture et je sursautai quand Madame revint me caresser de ses mains latexée. Je ne souhaitai qu’une chose, qu’elle les descende et vienne s’occuper de mon bassin. Mais non, à nouveau elle s’occupait de tout mon corps sauf cette zone. Rapidement je sentais que ses gestes étaient plus saccadés, ondulant. Lorsque je l’entendis soupirer de plaisir je compris, Monsieur la prenait là devant moi, pendant qu’elle me caressait. Les anneaux de ses bracelets et collier tintaient sous les va et viens de Monsieur. Je coulai littéralement, ne souhaitant que quelqu’un vienne me faire jouir. Et finalement, je senti une main glisser sur mes grandes lèvres, elles s’y glissèrent sans souci. Je ne pouvais gémir, ma bouche étant bâillonnée par celle de Madame. Enfin mon sexe était stimulé, et mon corps prenait le même rythme que celui de Madame. Je me retins de gémir quand elle se détacha de moi, tant de sa bouche que de sa main. Mais rapidement je senti sa bouche se poser sur ma chatte et elle semblait s’abreuver de ma mouille et finalement venir me fouiller de sa langue. Je ne pouvais m’empêcher de me cambrer, tirer sur mes chaînes sous le plaisir. Le spectacle devait plaire à Monsieur, car je sentais son rythme s’accélérer. Les coups de langue de Madame, devinrent moins précis et moins soutenu. Et finalement elle s’arrêta, là le nez planté dans mon entrejambe, je sentais son souffle chaud, profond, ses gémissements étouffés en moi. Le bruit de leur corps s’entrechoquant emplissait la pièce, les gémissements de l’un et de l’autre devenaient de plus en plus fort. Et finalement ils jouirent ensemble, là devant moi, me laissant encore plus affamée qu’avant. La bouche de Madame, revint sur ma bouche, son goût avait changé. Je compris rapidement que je goûtai ma mouille, la sensation était très bizarre. Vient, on va la laisser se remettre de ses émotions. Je lui réserve encore une surprise. Aucuns autres mots ne furent échangés, un simple dernier smack sur mes lèvres et une main glissant le long d’un de mes seins en s’éloignant. Les bruits de pas s’éloignaient, me voilà à nouveau seule, dans le noir, nue. Je voulais jouir moi aussi, être prise, m’abandonner à ce plaisir. Mais à nouveau je me retrouvai privée de ce plaisir, quand j’ai accepté d’être soumise, je ne pensais pas que le plus dur serait cette privation.
614 vues 7 aime
Par : le 30/03/23
Une trainée d'étoiles.. De pourpre et de mauve Il dessine sur sa peau, le chemin jusqu'au ciel. De son pinceau, il recréait le monde et ses couleurs, de nuances et de chaleurs.. Sous ses doigts, la belle se dévoue. Et s'oublie. Son corps se cambre, lutte contre les chaînes invisible qui le retienne, fuyant ce qu'il ne peux fuir. Et retombe sur les draps. Frissonnant. Brûlant d'envie d'appartenir à ce peintre Qui fait de sa peau, sa plus belle esquisse.
444 vues 8 aime
Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
557 vues 14 aime
Par : le 29/03/23
Il nous est à tous arrivé de faire des rencontres plus ou moins intéressantes ou insignifiantes.   Malgré un bon feeling, on se rend compte qu’autour d’un verre que le virtuel était trop souvent exagéré, et que lorsqu’il faut passer à la partie réelle, très ou trop peu de répondant. Un fantasme à assouvir, sûrement…   Bref, je vais vous parler d’une rencontre que j’ai faite il y a quelques temps, mais qui m’a marquée…   Nous avons échangé longuement sur un autre site Bdsm, avant de faire l’échange classique de téléphone et d’échanger sur une autre plateforme plus conviviale. Elle était relativement débutante, n’avait eu que deux dominants jusqu'à présent, le premier n’y connaissant visiblement rien à notre art, et souhaitant assouvir un grand nombre de ses fantasmes, le second un peu plus expérimenté, mais qui s’est rapidement lassé, il voulait se faire deux – trois séances sans prendre en compte les besoins de la soumise et ses envies. C’est ainsi. Tant mieux pour moi, sinon nous ne nous serions jamais rencontrés.   Donc, nous avons échangé longuement avant de nous rencontrer. Nous avions chacun des occupations et des plannings respectifs chargés, mais savions que nous allions nous rencontrer et que cette rencontre serait terrible. Nous savions exactement ce que nous voulions tous les deux. Nous étions prêts. C’était écrit, ça se « sent » ces choses-là.   Puis ce jour est arrivé. Pas comme nous l’imaginions. Nous avons parlé d’hôtel, de journée tous les deux, de fantasmes que nous allions réaliser…. La date était même fixée et se rapprochait à grands pas. Et lors de nos échanges quotidiens, en milieu d’après-midi je lui dis que je serai dans sa commune vers 17h et elle me dit qu’elle souhaite me voir, n’ayant personne à son domicile. J’ai malheureusement très peu de temps disponible, 1/2h à 40 minutes max, et lui ai dit que ce serait dommage de ne se voir que ce temps, et que nous serions frustrés. Elle a insisté. J’ai cédé.   Vers 17h j’étais devant son immeuble. Elle est descendue dès que je lui ai écrit « je suis là ». Ce fut très rapide. La porte s’est ouverte, elle était sublime. En mini-jupe, bas noirs, talons et haut décollette, en retenant bien mes envies que nous avions évoquées lors de nos échanges. Je l’ai suivi jusqu’à son appartement, au premier. Au milieu de l’escalier, je lui ai demandé de s’arrêter, écarter ses jambes et de soulever sa jupe. J’ai souris quand j’ai vu qu’elle portait un plug.   Nous sommes rentrés dans son appartement, et nous sommes embrassés comme des adolescents. Nos langues se sont fouillées, ont goûté, mes mains également, elle était chaude, humide, prête.   Elle savait que j’allais la fesser. Elle s’est cambrée sur le canapé, prête à recevoir. Je n’avais que mes mains et ma ceinture. Rapidement ses fesses ont marquées. Les premiers doigts apparaissaient sur ces fesses, ce fut sublime. Lui laisser la trace de mes mains, quel honneur, quel plaisir. J’ai enlevé ma ceinture, l’ai pliée en deux, et ai continué à la caresser. Son cul fut magnifique, le haut de ses cuisses le devinrent. Heureusement qu’elle colorait rapidement, le temps fut court…. Je n’ai eu le temps de m’occuper de ses seins. Je les ai pincé, malaxé, serré, mais le plaisir s’arrêta rapidement. Elle mouillait, énormément. Excitée par cette rencontre non prévue, nous étions tous les deux excités comme de la braise.   Sa langue délicieuse se promena sur mon corps, sur mon sexe, dans mon cul, sur mes pieds. Elle était à sa place, avait compris que la soumission était son plaisir et que c’est ainsi qu’elle voulait et aimait vivre sa sexualité.   Nous avons baisé. Il n’y a pas d’autre terme. Rapidement. Comme des animaux. Nous avons joui, tous les deux. C’était intense, rapide, fort, formidable. Nous avions sans cesse le regard sur cette montre qui avançait, rapidement, trop rapidement. Nous avons dû nous quitter. Mais que c’était bien, cette première rencontre, complètement improvisée.   Quel pied. Nous nous sommes vu de nombreuses fois par la suite, des journées entières, des soirées, pour une vraie relation D/s, comme nous l’entendons tous. Mais cette première rencontre, nous en avons parlé souvent. C’est important une première rencontre. Celle-ci n’était pas insignifiante. Et aujourd’hui encore, même si nous ne sommes plus en relation D/s, lorsque nous échangeons, nous avons toujours tous les deux une pensée pour cette première rencontre.      
677 vues 9 aime
Par : le 28/03/23
Cela fait maintenant plus d'un an que nous sommes en relation D/s.  Notre relation se passe super bien. Nous naviguons de plus en plus dans nos envies BDSM.  Et justement, il y a quelques temps je t'avais fait pars d'un fantasme. Après une discussion. Tu m'as dit que tu allais y réfléchir.  Plusieurs semaines passe. J'en n'oublies cette discussion.   Nous sommes vendredi. J'arrive après toi du travail. Comme à ton habitude, tu es devant ton ordinateur  Je viens t'embrasser. Puis je vais rejoindre la chambre pour m'habiller plus confortablement.  En y arrivant je trouve sur le lit un harnais et un plug avec une queue. Ils sont accompagnés d'un mot qui dit " lave toi, habille toi simplement de ça et viens me rejoindre à 4 patte dans la salon" Je vais alors sous la douche me préparer. Je commence doucement à imaginer ce qu'il a préparé. Je sens l'excitation monter. Mais aussi une petite inquiétude. Une fois harnachée, je rejoins Monsieur à 4 patte.  Je me place devant lui et lui dit " qu'à tu en tête". Pour toute réponse, il me dit,  -Normalement, les chiennes ne parlent pas" Pour lui répondre alors j'abois. Alors il me félicite: - Ah voilà une bonne chienne." En disant ses mots, il accroche la laisse à mon collier. Il se lève et se dirige vers la porte. Il l'ouvre, alors je m'arrête net et je refuse de bouger.  Donc mon Monsieur se met à genoux et me rassure, - ne t'inquiètes pas j'ai regardé il n'y à personne et j'ai dans la voiture une couverture personne ne te verra" je le suis tout en étant sur mes gardes.  Je monte en voiture met la couverture sur moi et c'est parti.  Nous roulons pendant une vingtaine de minutes je ne reconnais pas la route et évidemment Monsieur ne m'a pas dit où on va. Il s'arrête devant une grande maison, l'extérieur est tout en pierre.  Nous sommes en pleine campagne, il n'y a pas de maison autour.  J'attend que Monsieur m'ouvre la porte et m'autorise à sortir. Je sort alors sans trop de craintes de la voiture. Je marche à 4 patte derrière Monsieur qui me tient par la laisse, nous arrivons devant la porte.  Il se baisse et me dit " soit une gentille fille et tu seras récompensé".  Je ne comprends pas trop ce qui se passe mais pour toute réponse j'abois. Content, il se lève et toc à la porte. Une dame nous ouvre, je ne l'a connais pas. Elle est grande, elle a des jolies formes mise en valeur dans sa robe moulante. "Bonjour, Monsieur. Je suis heureuse de vous voir" - Merci à vous de nous accueillir. Puis elle baisse les yeux et me regarde. - C'est donc elle votre petit chienne - Oui, Lady dit bonjour à Madame. Alors, j'abois tout en bougeant la queue.  - Elle a l'air bien gentille. Je vous en pris entrés.  L'intérieur est très propre et luxueux. La seule chose qui dénote se sont les jouets pour chien qui traine. Mais aucun signe de chien.  Ils s'installent sur le canapé et discute. Moi je reste à côté de Monsieur sur le sol en position assise du chien.  Au bous d'un moment, madame dit " il serait peut être temps de les faire rencontrer, vous êtes là un peu pour ça" - Effectivement, c'est quand tu veux - on peut l'enmener les voir. Tu vas voir, ils sont très exciter.  Il avait interdiction de faire quoi que se soit pendant 2 semaines,j e peux te dire qu'ils ont très très faim - Je suis sur que Lady va en être très contente. Monsieur prend alors ma laisse. Je les suis vers une porte au fond du salon. Madame rentre en première. On entend qu'elle donne l'ordre de s'assoir et de pas bouger. Nous rentrons dans la pièce, il y a deux hommes assient de la même manière que des chiens qui nous regarde. Ils portent tous deux un collier et un plug. Dans la pièce il y a des jouets pour chien et deux fauteuils. Monsieur m'ordonne de m'asseoir. Je ne bronche pas et j'obéis. Puis il détache ma laisse. Il s'éloigne de moi, par réflexe moi je le suis. Mais il se retourne et m'ordonne : -assis pas bouger!! J'obéis instantanément. Il va s'assoir sur le fauteuil au côté de Madame. Ils discutent tous les deux sans que je puisse entendre. Je me retrouve fasse à deux homme qui bandent déjà comme des taureaux, leurs sexes m'impressionnent. Je sens qu'ils attendent juste l'ordre de me sauter dessus.  Je me sens vulnérables face à eux.  Je le fais sortir de les pensées par les mot de Madame: - allez y. A ces mot, ils foncent sur moi. Je me met direct en mode défensive prête à répondre.  Soudain mon Monsieur voit que je suis tendu.  D'un voix résultante et ferme il dit " Lady gentille" C'est mot me font un électrochoc, je me calme tout de suite et je les laisse venir à moi. Ils viennent tous deux derrière moi. Il me renifle les fesses et la chatte. L'un d'eux en profite pour mettre un coup de langue.  Il me fait avoir un soupir de bien être. Alors il continue. Je me cambre pour qu'il est un bon accès. Il lèche avec soin les petits lèvres, les lèvres et le clitoris. Je gémi alors de bonheur. L'autre me mord de jalousie. Je pigne de douleur comme le ferait une chienne.  Il profite que ma bouche soit ouverte pour y glisser son pénis. Il gémi de plaisir sous ma langue et mes lèvres. Il fait des vas et viens plus ou moin rapide. Il se préoccupe que de son plaisir.  Moi je pense à rien d'autre à pars à la langue qui me faire gémir. Ses coups de langue s'arrêtent. Puis son pénis se présenta à l'entrée de mon sexe. M'étant fin aux préliminaires. Il rentra en moi sans aucune difficulté tout en gémissant tel un animal. Il me besogne sans se préoccuper de mon plaisir.  Son ami lui continue à me baisser la bouche. Pour celui qui est dans ma chatte, il lui faut peu de temps pour jouir.  Le deuxième, en profite alors pour venir en moi. La plaisir prodiguer par ma bouche aura bien fait son travail car en 5 coups de bassin il finit par venir. Moi je reste frustrer et sur ma fin, je n'ai pas pu jouir.   J'entends au loin madame dire à mon Monsieur. -Voilà avec un peu de chance on va pouvoir avoir des petit chiot. Je vais aller rentrer mes chiens. Et je reviens." Mon Monsieur vient vers moi. Il me carresse en me disant "Tu as été une bonne chienne, Lady je suis fière de toi en rentrant t'aura le droit à une récompense" Il me met la laisse.  Madame revient vers nous - Voilà mes chiens coucher. Voulez vous prendre un verre?" - Je vous remercie mais nous allons rentrer. Je vous remercie pour tous cela Elle lui répond - c'est moi qui vous remercie d'être venu. Mes deux puppy ont pu bien se défouler sur ta jolie chienne. Elle me fait une petite carresse sur la tête   Nous voilà de retour à la maison. Mon Monsieur m'enlève alors ma laisse et je retrouve mon statut d'être humain.  Je vais prendre ma douche, je viens dans la chambre. Je lui demande l'autorisation pour monter dans le lit. Une fois donner, je viens me blottir contre lui. Il me carresse la tête tout en regardant notre séries. Je m'endorme alors dans ses bras.      
4.3000 vues 17 aime