La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 29/03/23
Il nous est à tous arrivé de faire des rencontres plus ou moins intéressantes ou insignifiantes.   Malgré un bon feeling, on se rend compte qu’autour d’un verre que le virtuel était trop souvent exagéré, et que lorsqu’il faut passer à la partie réelle, très ou trop peu de répondant. Un fantasme à assouvir, sûrement…   Bref, je vais vous parler d’une rencontre que j’ai faite il y a quelques temps, mais qui m’a marquée…   Nous avons échangé longuement sur un autre site Bdsm, avant de faire l’échange classique de téléphone et d’échanger sur une autre plateforme plus conviviale. Elle était relativement débutante, n’avait eu que deux dominants jusqu'à présent, le premier n’y connaissant visiblement rien à notre art, et souhaitant assouvir un grand nombre de ses fantasmes, le second un peu plus expérimenté, mais qui s’est rapidement lassé, il voulait se faire deux – trois séances sans prendre en compte les besoins de la soumise et ses envies. C’est ainsi. Tant mieux pour moi, sinon nous ne nous serions jamais rencontrés.   Donc, nous avons échangé longuement avant de nous rencontrer. Nous avions chacun des occupations et des plannings respectifs chargés, mais savions que nous allions nous rencontrer et que cette rencontre serait terrible. Nous savions exactement ce que nous voulions tous les deux. Nous étions prêts. C’était écrit, ça se « sent » ces choses-là.   Puis ce jour est arrivé. Pas comme nous l’imaginions. Nous avons parlé d’hôtel, de journée tous les deux, de fantasmes que nous allions réaliser…. La date était même fixée et se rapprochait à grands pas. Et lors de nos échanges quotidiens, en milieu d’après-midi je lui dis que je serai dans sa commune vers 17h et elle me dit qu’elle souhaite me voir, n’ayant personne à son domicile. J’ai malheureusement très peu de temps disponible, 1/2h à 40 minutes max, et lui ai dit que ce serait dommage de ne se voir que ce temps, et que nous serions frustrés. Elle a insisté. J’ai cédé.   Vers 17h j’étais devant son immeuble. Elle est descendue dès que je lui ai écrit « je suis là ». Ce fut très rapide. La porte s’est ouverte, elle était sublime. En mini-jupe, bas noirs, talons et haut décollette, en retenant bien mes envies que nous avions évoquées lors de nos échanges. Je l’ai suivi jusqu’à son appartement, au premier. Au milieu de l’escalier, je lui ai demandé de s’arrêter, écarter ses jambes et de soulever sa jupe. J’ai souris quand j’ai vu qu’elle portait un plug.   Nous sommes rentrés dans son appartement, et nous sommes embrassés comme des adolescents. Nos langues se sont fouillées, ont goûté, mes mains également, elle était chaude, humide, prête.   Elle savait que j’allais la fesser. Elle s’est cambrée sur le canapé, prête à recevoir. Je n’avais que mes mains et ma ceinture. Rapidement ses fesses ont marquées. Les premiers doigts apparaissaient sur ces fesses, ce fut sublime. Lui laisser la trace de mes mains, quel honneur, quel plaisir. J’ai enlevé ma ceinture, l’ai pliée en deux, et ai continué à la caresser. Son cul fut magnifique, le haut de ses cuisses le devinrent. Heureusement qu’elle colorait rapidement, le temps fut court…. Je n’ai eu le temps de m’occuper de ses seins. Je les ai pincé, malaxé, serré, mais le plaisir s’arrêta rapidement. Elle mouillait, énormément. Excitée par cette rencontre non prévue, nous étions tous les deux excités comme de la braise.   Sa langue délicieuse se promena sur mon corps, sur mon sexe, dans mon cul, sur mes pieds. Elle était à sa place, avait compris que la soumission était son plaisir et que c’est ainsi qu’elle voulait et aimait vivre sa sexualité.   Nous avons baisé. Il n’y a pas d’autre terme. Rapidement. Comme des animaux. Nous avons joui, tous les deux. C’était intense, rapide, fort, formidable. Nous avions sans cesse le regard sur cette montre qui avançait, rapidement, trop rapidement. Nous avons dû nous quitter. Mais que c’était bien, cette première rencontre, complètement improvisée.   Quel pied. Nous nous sommes vu de nombreuses fois par la suite, des journées entières, des soirées, pour une vraie relation D/s, comme nous l’entendons tous. Mais cette première rencontre, nous en avons parlé souvent. C’est important une première rencontre. Celle-ci n’était pas insignifiante. Et aujourd’hui encore, même si nous ne sommes plus en relation D/s, lorsque nous échangeons, nous avons toujours tous les deux une pensée pour cette première rencontre.      
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Par : le 28/03/23
Cela fait maintenant plus d'un an que nous sommes en relation D/s.  Notre relation se passe super bien. Nous naviguons de plus en plus dans nos envies BDSM.  Et justement, il y a quelques temps je t'avais fait pars d'un fantasme. Après une discussion. Tu m'as dit que tu allais y réfléchir.  Plusieurs semaines passe. J'en n'oublies cette discussion.   Nous sommes vendredi. J'arrive après toi du travail. Comme à ton habitude, tu es devant ton ordinateur  Je viens t'embrasser. Puis je vais rejoindre la chambre pour m'habiller plus confortablement.  En y arrivant je trouve sur le lit un harnais et un plug avec une queue. Ils sont accompagnés d'un mot qui dit " lave toi, habille toi simplement de ça et viens me rejoindre à 4 patte dans la salon" Je vais alors sous la douche me préparer. Je commence doucement à imaginer ce qu'il a préparé. Je sens l'excitation monter. Mais aussi une petite inquiétude. Une fois harnachée, je rejoins Monsieur à 4 patte.  Je me place devant lui et lui dit " qu'à tu en tête". Pour toute réponse, il me dit,  -Normalement, les chiennes ne parlent pas" Pour lui répondre alors j'abois. Alors il me félicite: - Ah voilà une bonne chienne." En disant ses mots, il accroche la laisse à mon collier. Il se lève et se dirige vers la porte. Il l'ouvre, alors je m'arrête net et je refuse de bouger.  Donc mon Monsieur se met à genoux et me rassure, - ne t'inquiètes pas j'ai regardé il n'y à personne et j'ai dans la voiture une couverture personne ne te verra" je le suis tout en étant sur mes gardes.  Je monte en voiture met la couverture sur moi et c'est parti.  Nous roulons pendant une vingtaine de minutes je ne reconnais pas la route et évidemment Monsieur ne m'a pas dit où on va. Il s'arrête devant une grande maison, l'extérieur est tout en pierre.  Nous sommes en pleine campagne, il n'y a pas de maison autour.  J'attend que Monsieur m'ouvre la porte et m'autorise à sortir. Je sort alors sans trop de craintes de la voiture. Je marche à 4 patte derrière Monsieur qui me tient par la laisse, nous arrivons devant la porte.  Il se baisse et me dit " soit une gentille fille et tu seras récompensé".  Je ne comprends pas trop ce qui se passe mais pour toute réponse j'abois. Content, il se lève et toc à la porte. Une dame nous ouvre, je ne l'a connais pas. Elle est grande, elle a des jolies formes mise en valeur dans sa robe moulante. "Bonjour, Monsieur. Je suis heureuse de vous voir" - Merci à vous de nous accueillir. Puis elle baisse les yeux et me regarde. - C'est donc elle votre petit chienne - Oui, Lady dit bonjour à Madame. Alors, j'abois tout en bougeant la queue.  - Elle a l'air bien gentille. Je vous en pris entrés.  L'intérieur est très propre et luxueux. La seule chose qui dénote se sont les jouets pour chien qui traine. Mais aucun signe de chien.  Ils s'installent sur le canapé et discute. Moi je reste à côté de Monsieur sur le sol en position assise du chien.  Au bous d'un moment, madame dit " il serait peut être temps de les faire rencontrer, vous êtes là un peu pour ça" - Effectivement, c'est quand tu veux - on peut l'enmener les voir. Tu vas voir, ils sont très exciter.  Il avait interdiction de faire quoi que se soit pendant 2 semaines,j e peux te dire qu'ils ont très très faim - Je suis sur que Lady va en être très contente. Monsieur prend alors ma laisse. Je les suis vers une porte au fond du salon. Madame rentre en première. On entend qu'elle donne l'ordre de s'assoir et de pas bouger. Nous rentrons dans la pièce, il y a deux hommes assient de la même manière que des chiens qui nous regarde. Ils portent tous deux un collier et un plug. Dans la pièce il y a des jouets pour chien et deux fauteuils. Monsieur m'ordonne de m'asseoir. Je ne bronche pas et j'obéis. Puis il détache ma laisse. Il s'éloigne de moi, par réflexe moi je le suis. Mais il se retourne et m'ordonne : -assis pas bouger!! J'obéis instantanément. Il va s'assoir sur le fauteuil au côté de Madame. Ils discutent tous les deux sans que je puisse entendre. Je me retrouve fasse à deux homme qui bandent déjà comme des taureaux, leurs sexes m'impressionnent. Je sens qu'ils attendent juste l'ordre de me sauter dessus.  Je me sens vulnérables face à eux.  Je le fais sortir de les pensées par les mot de Madame: - allez y. A ces mot, ils foncent sur moi. Je me met direct en mode défensive prête à répondre.  Soudain mon Monsieur voit que je suis tendu.  D'un voix résultante et ferme il dit " Lady gentille" C'est mot me font un électrochoc, je me calme tout de suite et je les laisse venir à moi. Ils viennent tous deux derrière moi. Il me renifle les fesses et la chatte. L'un d'eux en profite pour mettre un coup de langue.  Il me fait avoir un soupir de bien être. Alors il continue. Je me cambre pour qu'il est un bon accès. Il lèche avec soin les petits lèvres, les lèvres et le clitoris. Je gémi alors de bonheur. L'autre me mord de jalousie. Je pigne de douleur comme le ferait une chienne.  Il profite que ma bouche soit ouverte pour y glisser son pénis. Il gémi de plaisir sous ma langue et mes lèvres. Il fait des vas et viens plus ou moin rapide. Il se préoccupe que de son plaisir.  Moi je pense à rien d'autre à pars à la langue qui me faire gémir. Ses coups de langue s'arrêtent. Puis son pénis se présenta à l'entrée de mon sexe. M'étant fin aux préliminaires. Il rentra en moi sans aucune difficulté tout en gémissant tel un animal. Il me besogne sans se préoccuper de mon plaisir.  Son ami lui continue à me baisser la bouche. Pour celui qui est dans ma chatte, il lui faut peu de temps pour jouir.  Le deuxième, en profite alors pour venir en moi. La plaisir prodiguer par ma bouche aura bien fait son travail car en 5 coups de bassin il finit par venir. Moi je reste frustrer et sur ma fin, je n'ai pas pu jouir.   J'entends au loin madame dire à mon Monsieur. -Voilà avec un peu de chance on va pouvoir avoir des petit chiot. Je vais aller rentrer mes chiens. Et je reviens." Mon Monsieur vient vers moi. Il me carresse en me disant "Tu as été une bonne chienne, Lady je suis fière de toi en rentrant t'aura le droit à une récompense" Il me met la laisse.  Madame revient vers nous - Voilà mes chiens coucher. Voulez vous prendre un verre?" - Je vous remercie mais nous allons rentrer. Je vous remercie pour tous cela Elle lui répond - c'est moi qui vous remercie d'être venu. Mes deux puppy ont pu bien se défouler sur ta jolie chienne. Elle me fait une petite carresse sur la tête   Nous voilà de retour à la maison. Mon Monsieur m'enlève alors ma laisse et je retrouve mon statut d'être humain.  Je vais prendre ma douche, je viens dans la chambre. Je lui demande l'autorisation pour monter dans le lit. Une fois donner, je viens me blottir contre lui. Il me carresse la tête tout en regardant notre séries. Je m'endorme alors dans ses bras.      
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Par : le 28/03/23
Après mes premières expériences avec Alex (voir chroniques précédentes), tant sexuelles que musicales, j'ai pas mal bourlingué à droite et à gauche, fait de nouvelles rencontres qui n'ont malheureusement que peu d'intérêt, tant musicalement que sexuellement.  Mais avant de parler de l'expérience la plus profonde (😏) que j'ai pu avoir avec l'un de mes complices musiciens, il y en a quand même une qui vaut la peine d'être couchée sur le papier.  Après avoir quitté mon groupe que j'avais avec Alex, alors même que nous avions fait pas mal de concerts dans la région rouennaise, me voilà à la recherche de partenaires musicaux. Je traine sur différents sites jusqu'à voir une annonce qui m'interpelle. Deux frères et leur père ont monté un groupe et cherchent un bassiste pour reprendre du rock des années 60-70. Je discute avec l'un d'eux et nous nous donnons rendez-vous dans l'une salle de répétition. L'un, Romain, est guitariste. L'autre, Hugo, est pianiste. Jean-Pierre, leur père, est à la batterie. Le feeling passe assez bien avec les 3 et la répétition se passe pour le mieux. A l'issue de nos 2h de jeu, nous allons boire un verre histoire de debriefer et voir si nous continuons. Le moment est agréable. Après 2 ou 3 verres, le père s'en va, il doit rentrer chez lui pour une réunion de travail. Les deux frères et moi décidons de rentrer également. Sur le chemin du retour, nous habitons dans a quelques centaines de mètres de la salle et les unes des autres, je sens comme une tension monter. Hugo se laisse aller de plus en plus à des allusions sexuelles, Romain lui s'en donne à cœur joie de raconter certains exploits avec sa copine.  Au bout de 15 minutes, nous voilà arrivés devant chez Hugo, Il nous propose de monter continuer la discussion. Étant fatigués, Romain et moi déclinons l'invitation et rentrons.  Quelques jours passèrent pendant lesquelles nous discutons avec Hugo et Romain. A ce moment je logeais dans une chambre étudiante chez des personnes âgées. Je n'avais donc pas le loisir de jouer de la musique autant que je voulais. J'en avais parlé à Hugo qui m'avait alors proposé plusieurs fois de passer chez lui pour qu'on joue ensemble. Un soir, alors que je m'ennuyais sévèrement, je décide de lui envoyer un message.  *Ah, enfin! Viens !* me dit-il.  Arrivé devant chez lui, il est aux alentours de 20h30, je sonne et le vois descendre en débardeur et short. A ce moment, il me sourit et m'embrasse. Cela me trouble car nous nous étions toujours serrés la main. Là, l'accolade et franchement amicale mais le baiser est très proche de la bouche.  Bref je ne dis rien, lui rend son embrassade et le suis. Son short épouse parfaitement ses fesses et cela me donne très envie. Mais je réfrène ma pulsion, le pensant hétérosexuel.  Il m'offre une bière, me dit de me mettre à l'aise et nous discutons un peu avant de jouer à bas volume pour ne pas déranger les voisins. Au bout d'un moment, nous nous mettons sur son canapé et nous discutons principalement de nos expériences musicales. Inévitablement, quand je parle d'Alex, il comprends ce qui a pu se passer entre nous et me raconte une histoire avec une de ses amies musicienne, devenue l'un de ses plans cul. J'apprends qu'elle l'a initié aux plaisir de la pénétration et qu'il adore ça.  De fil en aiguille, me voilà très proche de lui. Soudain, il me saute dessus et l'embrasse fougueusement. Son corps est parcouru de frissons, je le sens se tendre à mesure que mes mains descendent vers ses fesses.  Après quelques minutes, il me retire mon t-shirt et se met à lécher mes tétons. J'adore cette sensation d'autant qu'il les mordille de temps en temps. Je commence à gémir et le voilà qu'il débouche ma ceinture et ouvre ma braguette pour accéder à mon sexe.  N'ayant rien envisagé de tel, j'ai mis un caleçon. Peu importe, le voila qu'il se met à m'embrasser et lécher le sexe à travers le caleçon. A genoux devant moi, il me soulève les fesses pour me retirer mes vêtements et commencer à me sucer avec talent. Ses mouvements sont lents et sensuels. Je replie les jambes pour lui offrir une vue sur mes testicules et mon cul. Il comprends le message de se met à me lécher furieusement l'anus. J'adore tellement cette sensation ! Je suis aux anges tandis qu'il remonte vers mon sexe bouillonnant.  ne voulant pas le laisser ainsi, je le fais revenir sur le canapé pour pouvoir m'occuper de son sexe. Celui-ci est assez massif, courbé au niveau du gland a peine décalotté malgré une belle érection. Il passe sa jambe par dessus ma tête pour que nous nous fassions plaisir mutuellement.  Imaginez la scène, je suis affalé, à peine assis sur le canapé, je le suce pendant qu'il me suce, la tête vers sa table basse. Au bout d'un moment, alors que je lui caresse les fesses avec vigueur, je le sens descendre son bassin pour que je m'occupe de son anus. Avec un plaisir non dissimulé, je le lèche aussi profondément que possible. Il gémit fortement alors que je commence à enfoncer un doigt puis deux. Alors que j'atteins sa prostate, il gémit davantage et je sens un liquide chaud couler sur mon torse. Je continue mon travail car il semble en vouloir plus. Après un 3e doigt, le voilà qu'il ejacule à nouveau, mais cette fois dans ma bouche car j'avais prévu le coup et avais remonté son bassin au bon moment. Juste après, il se remet à genoux pour me terminer. Il descend vers mon anus et se met à me lécher et enfoncer ses doigts de plus en plus loin. Alors que le plaisir est à son comble, je perds le compte des doigts en moi, 3 ou 4? Peu importe car il continue à me titiller la prostate jusqu'à la jouissance. Elle fut fabuleuse et il n'en gâcha pas une goute.  Alors que sa besogne est achevée, il remonte vers mon visage, en léchant au passage son propre sperme étalé sur mon torse.  Après une dernière embrassade, je file à la douche. Quand je reviens, il a ouvert s'endort peu à peu sur le canapé . Je place un plaid sur lui, j'entends un "merci, merci pour tout. Rentres bien!" Me voilà donc de retour dans ma chambre de bonne, fatigué mais comblé.  La fin de l'histoire est moins excitante. Après une répétition supplémentaire, les deux frères se disputent et décident d'arrêter le groupe. Hugo déménageât peu après pour s'installer avec son plan cul.  Je ne les ai jamais revu, malheureusement mais c'est ainsi.   
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Par : le 27/03/23
L’ordre venait de Madame, son doigt pointait ses bottes, plus précisément l’extrémité de cette-ci. Me voilà à quatre pattes, devant lécher et embrasser les bottes d’une inconnue, à nouveau mon entrejambe s’enflammait. Oui, Madame. Je n’entendis qu’un rire comme réponse, puis ils semblaient m’ignorer et parler d’autre sujet. Je m’évertuais à couvrir ses bottes de mes baisers, du dessus du pied, jusqu’au haut de la botte au mollet. C’était de magnifiques bottes, en véritable cuir, l’odeur de celui-ci chauffé par Madame commençait à me remplir les narines, je découvrais et aimais de plus en plus cette odeur, prenant un plaisir à inspirer fortement. Je dû me glisser sous la table pour atteindre les 2 facilement, ne laissant que mon cul offert à l’air libre. Je sentais et voyais cette chaîne pendre et devais trouver un moyen de ne pas m’y emmêler. D’un coup un piqûre et griffure de mes fesses jusqu’à mon dos, heureusement que je ne suis pas relever d’un coup sec, mais ce n’était pas loin. Bien, tu te débrouille très bien avec ta langue. Va t’occuper de celle de ton Maître. Je rougissais d’une telle remarque et me tournais pour me retrouver aux pieds de Monsieur. Ses chaussures étaient plus petites bien évidemment, mais moins pratique avec ses lacets. La chaîne passait sous mon torse et venait par moment frapper contre mes seins, elle était froide et ce contact me surprenait à chaque fois. Je m’associait de plus en plus à une chienne, aux pieds de ses Maître, juste là pour obéir et cette pensée m’excitait encore plus. Apparemment leur repas était fini, car ils jouaient plus de la fourchette sur moi que dans leurs assiettes, tout en éclatant de rire en me voyant me trémousser. La chaîne fût tirée en arrière et décrochée de mon collier, Monsieur prit la parole. Débarrasse et mange ton repas. Quand tout sera propre tu m’attendras en position en bas des escaliers. Quant à nous, nous avons quelque chose à faire. Et ils partirent à l’intérieur, m’ignorant totalement. Rapidement je ramassais les assiettes, il faudra encore que je vienne nettoyer la table. Je rentrais, mangeais et m’occupais de la vaisselle. Impossible de savoir quand Monsieur allait redescendre, mais je pense que si je ne suis pas en bas de l’escalier cela ne lui conviendra pas. La cuisine est propre, la terrasse et sa table aussi. Direction le bas de l’escalier et me mettre en position. Et l’attente, une attente qui me semble interminable, n’ayant aucun moyen de voir le temps passer. Par moment j’entends des rires et son de discussion, puis enfin des pas dans le couloir et Monsieur apparaissant en haut. Dans sa main une laisse, où allait-il m’amener ? Accrochée à mon collier il tira dessus, je me mis debout, toujours bras croisé dans le dos et nous descendons à la cave. Endroit que je n’avais visité qu’aveuglée. Nous descendons les escaliers et arrivons vers cette cellule, elle me semblait plus grande quand j’étais aveuglée. La porte s’ouvre et plutôt que de me pousser dedans, il rentre avec moi et accroche chacun de mes bracelets à un anneau dédié. Me voilà totalement vulnérable, offerte à lui. Il me prend la tête entre ses mains, m’embrasse le front et me regarde dans les yeux. Tout va bien ? Sache que tu es impressionnante. Oui Monsieur, un peu surprise de l’arrivée de Madame. Merci pour le compliment. Il sourit, m’embrasse à nouveau et sa main descend vers mon entrejambe. Je n’avais même pas cherché à me toucher depuis qu’il me l’avait installée. Il semblait satisfait et je n’avais rien sentit, si ce n’est une pression. La porte se referma, seule une lumière sur moi restait allumée et lui remontait tranquillement les marches.
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Par : le 26/03/23
Monsieur S. ouvre la porte et laisse passer son invité, quoi son invitée ! Je me sens honteuse, presque mal à l’aise de me retrouver ainsi face à une femme. Etrangement je ne saurais dire pourquoi, face à 6 hommes cela ne me dérangeait pas, mais là face à cette femme ce n’était pas la même chose. Elle rentrait, de magnifique botte en cuir mat, lui tenaient ses mollets, une jupe crayon ne laissait que ses genoux visible et manifestement des collant ou bas couleur chair les recouvrait. Je tentais de regarder plus haut, une chemise blanche, un veston, veston visible quand elle enleva son trench, le profil d’une magnifique secrétaire, surtout avec ses lunettes encadrées par sa chevelure couleur châtain. Oh je vois que tu en as trouvé une nouvelle. Elle te plaît ? Ecoute jusqu’à présent je n’ai rien eu à redire. Reste à voir si elle sait obéir en mon absence. Ils discutaient, comme si je n’était pas là, même si elle me regardait d’une étrange façon, avec son petit sourire. Un sourire entre le soulagement de me voir et l’envie de me rencontrer. Je ne savais comment le prendre. Leur sac et veste furent posé au sol, sans qu’ils s’en soucient. Ils passèrent à mes côtés, sans un regard, me toucher, je n’étais apparemment qu’un meuble pour eux. Quand ils eurent atteint l’autre côté de la pièce Monsieur S. s’adressa de loin à moi. Tu sais ce qu’il te reste à faire. Et nous mangerons dehors. Bien Monsieur. Je me surpris à répondre aussi rapidement et fort, malgré une matinée seule, cette réponse était devenue une habitude. J’entendais la femme rire et parler avec Monsieur. Ce que j’avais à faire ? Surement ranger leurs affaires abandonnées dans le vestiaire. Les vestes suspendues, le magnifique sac à main de luxe de la femme, posé soigneusement sur une commode, tout comme ce dossier qu’elle portait. Rapidement, je me dirigeais vers la cuisine, les plats n’était pas froid et pas brûlant parfait. Cela me faisait étrange d’entendre mes talons claquer ainsi, ça ne me ressemblait pas, mais m’excitait toujours autant. Je sors avec les assiettes, les déposes devant eux. Reste ! A genoux ! Oui Monsieur. Impressionnant, elle est obéissante comme ça depuis le début ? Oui, même si elle oublie de répondre intelligiblement parfois, cela va en diminuant. J’espère que c’est la bonne et qu’elle voudra rester. Je peux ? Oui bien sûr. Plusieurs information se bousculaient dans ma tête, c’était la 2ème fois qu’on disait de moi que j’était peut-être la bonne, mais rester, où, quand, comment ? J’avais ma vie à côté moi. Et elle peut ? Manger, même elle serait soumise ? Pendant que je me questionnais, je ne l’avais pas vu prendre une chaîne accrochée à la cage. Mon collier fût tiré en avant et accroché, mais pas par la main de Monsieur, par celle de la femme. Elle n’était pas soumise apparemment. Jusqu’à nouvel ordre, tu obéiras à Madame également, tout comme si c’était moi qui te parle. Bi.. bien Monsieur J’étais hésitante, me voilà soumise à une femme, sensation nouvelle, étrange, excitante. Je sentais le regard de Madame sur moi, comme un feu de désire m’observer. La chaîne fut tirée, me projetant en avant. Occupe-t-en !
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Par : le 26/03/23
Être un peu objet sexuel à la merci des dominants hommes ou femmes est un fantasme qui est devenu réalité ce jour. Je suis entièrement nu dans cette pièce, le dos au mur à coté de trois personnes dans la même tenue. Une maitresse arrive pour nous poser un collier et une laisse et nous emmener vers le public devant lesquels nous devons nous agenouiller. Essentiellement des hommes venus pour se vider les couilles. Certains en habits de ville, d’autres déjà à moitié nus. La règle est simple : esclaves sexuels nous pouvons être enculé à souhait et devons servir de bouche sans aucune retenue. Le port du collier marque notre soumission totale. Toute plainte de l’un des « clients » sera immédiatement punie par le fouet Et pour bien montrer qu’elle ne rigole pas , la Maitresse qui orchestre le tout m’attrape brutalement par le collier , me fait m’incliner sur un dossier de chaise et m’applique quelques coups de fouet bien cinglants.   « Au  travail » Nous voici cote à cote, à 4 pattes le cul et la bouche offerts. Je suis immédiatement pris sans ménagement au gode ceinture et prié de creuser davantage les reins pour faciliter la pénétration. Je n’aime pas trop ce genre d’exercice mais puisque j’ai accepté d’être un « objet sexuel » , je dois me laisser faire . Je n’ai strictement rien à dire. Assez rapidement on me tire par les cheveux pour me faire lever la tète et absorber la  bite du mec qui s’est agenouillé devant moi pour être à la bonne hauteur. Malgré les coups de boutoir que je reçois dans le cul, je m’efforce de lécher consciencieusement cette bite qui grossit rapidement dans ma bouche. En alternant gorge profonde et titillement du gland avec la langue, je sens que je l’emmène doucement mais surement au plaisir. J’adore cette sensation.  Mais il ne veut pas , pas encore sans doute et se retire en me repoussant pour garder sa sève pour plus tard.  Ma tête retombe mais mon cul reste pris par l’impitoyable gode qui me tamponne de plus en plus. Et ma cavalière ou mon cavalier me faite remonter le thorax en arrière en tirant sur une chaine subrepticement attachée à mes tétons.  C’est très sadique mais je dois me laisser faire en espérant qu’un autre viendra prendre ma bouche, ce qui heureusement ne tarde pas à arriver . Ma tète est reprise et ma bouche trouve le contact d’une petite queue à travailler qui malgré sa petite taille grossit cependant rapidement, se décalotte et que je peux engloutir, lécher, titiller jusqu’à ce qu’elle explose dans ma bouche et sur mon visage. Le gode qui me tamponnait le cul s’arrête, l’homme qui occupait mon visage se retire et on me relève pour mieux me nettoyer la face. Je reste là, les bras ballants, quelques minutes quand on me prend par le collier « viens là, toi » et me voici installé, jambes écartées, ventre sur une table, une bite qui me remplit le cul .. Une vraie cette fois et je sens la différence avec ce membre fougueux qui me pénètre et me fouille avant de se contracter convulsivement et d’exploser. Un temps de repos pendant lequel d’autres soumis se font joyeusement enculer et me voici reparti dans un autre « jeu ». En 69 avec un autre soumis, nous devons nous sucer jusqu’à provoquer la jouissance de l’autre. Le « gagnant » est celui qui arrive à ne pas jouir, une maitresse s’occupera de lui pour l’amener à satisfaction tandis que l’autre recommencer à sucer des bites avant d’être fouetté d’importance pour n’avoir pas su résister.  Merci Maitresse de cette expérience qui me fait progresser
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Par : le 22/03/23
La porte se ferma et le cliquetis des clefs me fit comprendre qu’elle était verrouillée. Je restais là sans bouger quelques secondes, me voilà seule, avec des tâches à accomplir. Mais au fait il me restait combien de temps jusqu’à midi ? Je n’avais pas fait attention, mais je n’avais pas forcément vu d’horloge. Et qu’avait fait Monsieur S. à mes pieds ? Après un rapide examen, je compris rapidement. Il avait cadenassé des chaînes à mes bracelets de chevilles, mais pas entre elle non. Chaque chaîne passait sous la chaussure et allait se cadenasser de l’autre côté, impossible d’enlever les chaussures à présent. Me voilà entièrement nue, seulement habillée, d’un collier en cuir, de menottes en cuir aux poignets et chevilles et de talon haut. Le tout cadenassé et impossible à enlever. Bon il faut que j’arrête de perdre du temps, j’ai des choses à faire. Je voulu partir mais failli tomber. Ces talons étaient vraiment haut, je longeais les murs un moment histoire de m’y habituer sans tomber. Je fini par réussir à me tenir droite, les fesses légèrement en arrière, la démarche féline. Entendre ces talons claquer dans la petite pièce centrale me donna des frissons et m’excitait. Je prenais un réel plaisir à me promener, tel un chat, imaginant la vision que je pouvais donner. Le salon de réception où était-il au fait ? Dans mes souvenir, je suis remonté de la cave je pense et pas plus. Il devrait donc se trouver à cet étage. J’explorai rapidement du regard, pas énormément de porte inconnue. Je me retrouvais rapidement dans la pièce, mais rapidement mon entrejambe s’humidifia. Même si je ne l’avais jamais vu, c’est comme si je la connaissais par cœur. Là devant moi tout les endroits où je m’étais trouvé hier soir, le poteau, là où je me suis retrouvé à 4 pattes, apparemment une table et le panier. Par contre je ne savais pas qu’il y avait une table, avec des couverts pour 6 personnes, tout était laissé là en vrac. Et les paroles de Monsieur S. prennent encore plus de sens « Voici le dessert » c’était au sens littéral. Je devrais commencer à ranger, nettoyer, mais je ne peux m’empêcher de retourner vers mes lieux de plaisir d’hier. Mes doigts glissent sur la caisse où je m’étais affalée de fatigue alors que je n’étais que ce trou à bite. Mon désir remonte encore plus fort, j’ai envie de me toucher, mais cela m’est interdit et impossible de toute façon. Je grimpa à nouveau sur cette table, prenant la même posture qu’hier, avec les talons je sentait les courbes de mon corps comme encore plus amplifiées. Plus loin la barre, une barre de pole dance. Mais le moment n’était pas aux plaisirs, peut-être après si j’ai encore du temps. Enfin je vois une horloge dans cette pièces, déjà 10h30, plus qu’une heure trente pour tout faire il ne faut pas que je traine. En revanche je ne m’étais pas rendu compte que de transporter de la vaisselle et faire les aller-retours en talon serait si difficile. Le temps passait, la vaisselle diminuait lentement. Avant de commencer le nettoyage et rangement du salon, je regardais le repas à faire. Bien je pouvais mettre à chauffer, bouillir le temps de nettoyer. Je me démenais pour tout finir à temps. 11h55 tout était propre, rangé, comme si rien ne s’était passé hier. Le repas est déjà servi dans les assiettes, je ne sais pas où ils voudront manger, donc je le laisse à la cuisine. Qu’est-ce j’oublie ? La cagoule ! Il ne me reste que peu de temps vite. Je montais le plus rapidement possible les escaliers, ma chambre, la commode, même s’il y avait quelque jouets et accessoires, mon esprit était occupé que par cette cagoule. Là, une cagoule en latex, je l’attrape et descend rapidement me placer à genoux, jambe ouverte face à la porte. Et en attendant d’entendre la porte s’ouvrir j’enfile la cagoule. Elle est parfaitement adaptée, me colle à la peau, semble pousser mes lèvres en avant, j’y glisse tout mes cheveux, je ne suis plus qu’une tête lisse impersonnelle. J’aime cette sensation de glisse, à nouveau mon entrejambe est en feu. Des bruits de moteurs, je me met en position et attends. La porte s’ouvre.
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Par : le 20/03/23
"À ton tour"... Pendant quelques instants je reste interloqué par le ton impératif qu'il a utilisé. J'étais déjà rassasié par la fellation que je venais de lui faire, ma gorge me piquait et j'étais fatigué.  Vu mon absence de réaction il se lève, m'attrape par le cou en serrant les doigts, m'étouffant un peu au passage. Je sors de ma torpeur. Il s'en rend compte : "Maintenant tu vas faire ce que je te dis"! A ce moment je suis comme sa chose. Mon corps fatigué ne me répond plus. Je n'ai qu'une envie, le laisser faire. Je ne sais pas à quoi m'attendre mais j'ai confiance en lui. Je suis aussi excité car je n'ai jamais été en position de dominé. J'ai toujours mené le jeu avec lui. Sa hardiesse me désarçonne et je me laisse complètement faire. Je m'e tourne donc vers la chaise. Il commence a se saisir de ma ceinture, la déboucle puis il enlève les boutons de mon pantalon. Une fois fait, il introduit sa main dans mon pantalon alors même qu'il resserre son emprise sur ma gorge. Je sens ma respiration se couper peu à peu tandis que mon penis gonfle et se gorge de sang. Il en profite pour serrer sa prise sur mon sexe et me roule une pelle d'anthologie.  alors que je suis de plus en plus excité, il me lache la gorge pour se concentrer sur ma queue gonflée. Il descend mon pantalon et mon caleçon. Face à mon sexe rouge, il sourit, l'empoigne en même temps que mes testicules et commence à me titiller le gland avec sa langue.  Mon plaisir est décuplé par la sensation de mes testicules gonflées prises en tenaille dans sa main. Tendant l'autre main qu'il a de libre, il saisir un objet long et fin que je ne reconnais pas tout de suite.  C'est une ficelle! Il en profite pour me faire une sorte de garrot prenant mes testicules et ma bite. Il serre bien et m'ordonne de m'assoir sur le fauteuil. Je le fait sans me faire prier et me relève les jambes. Je pose mes pieds sur les accoudoirs lui offrant une vue imprenable sur la rondelle. Il se met à me sucer furieusement la bite et les testicules. Je commence à gémir alors qu'il se met à baver à mesure qu'il enfonce mon sexe de plus en plus loin.  ce n'est pas un suceur de folie mais la situation me procure un plaisir intense. Me voyant trembler de plaisir, il commence à me titiller la rondelle avec ses doigts pleins de bave. Cela ne dure que quelques secondes que voilà déjà un doigt en moi. La sensation est incroyable car je ne suis pas habitué et cela me gêne un peu. Mais à mesure qu'il entre et sort, je me détend et me dilate. Il en profite pour mettre un deuxième puis un troisième doigt. Il enfonce de plus en plus loin jusqu'à ce que je gémisse de douleur. Afin de se faire pardonner, il me lèche la rondelle puis enfonce sa langue tout en aspirant légèrement. Je sens mon cul s'ouvrir peu à peu, comme des lèvres qui se font aspirer et qui gonflent de plaisir.  A nouveau, il rentre 3 doigts. Son travail paye car je ne sens plus de douleur. Au contraire, alors même qu'il commence a masser la prostate, je sens que je mouille comme un fou. Il s'en rend compte et recommence à me sucer.  cela ne dure pas longtemps, j'explose dans sa bouche au bout de quelques secondes.  satisfait de lui, il continue à me masser tout en appuyant sur mon ventre pour que je ne bouge pas. Il n'en a pas fini manifestement car il augmente la cadence. Au bout de quelques seconde, je crache à nouveau de plaisir. Il s'empresse de lécher ma semence avant de m'enlever le garrot.  a ce moment, j'ai mal, je suis crevé mais je suis heureux.  c'est sans hésiter ma meilleure répétition !
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Par : le 20/03/23
J’ai l’impression que cela fait un bon quart d’heure que je suis posée là, devant mon plateau. Je vois mon café refroidir petit à petit, tout comme mes toasts. Je tente de jeter de bref coup d’œil à Monsieur S. comme pour lui rappeler que j’existe, mais sans émettre un bruit. J’ai l’impression qu’il m’observe par moment également, encore un test ? Il répond à un appel, j’écoute d’une oreille distraite, n’ayant rien d’autre à faire. Apparemment il a un rendez-vous ce matin, mais je n’ai pas bien compris pour qu’elle travail. Il raccroche, fini son café et jette un rapide coup d’œil à son téléphone : Déjà ! Allez dépêche-toi ! Il te reste 5 minutes pour déjeuner. J’allais répondre, comme par réflexe. Heureusement j’ai réussi à retenir mes premières réclamations : Bien Monsieur, merci à vous. Et je me dépêchais de manger et boire mon déjeuner froid maintenant. Etais-ce 5 minutes réel ou une expression, mieux valait ne pas tenter et manger le plus vite possible. Dès que j’eu fini il m’indiqua que je pouvais me lever et partir faire la vaisselle. Rapidement je partis en direction de la cuisine et nettoyer, tant la vaisselle, que le plan de travail. Il était là sur la fin, me regardant, je l’espère se délectant du spectacle. A peine le rangement fini qu’il m’accrocha à nouveau la laisse, me regarda, semblant attendre quelque chose. Il ne m’avait rien demandé, donc pas de réponse, ah oui la position. Je me redressais et croisa les bras dans le dos, il acquiesça de la tête et me conduisit vers une porte sous l’escalier. A l’intérieur, chiffons, produits, aspirateur, plumeau, bref tout ce qu’il fallait pour nettoyer : Comme tu le pense je n’ai pas rangé hier soir, cela te revient. Tu sais où est la cuisine, maintenant tu sais où se trouve le local pour le nettoyage. Quand je reviens, à midi, je veux le salon de réception rangé et propre, ainsi que mon repas prêt. Prépare pour 3 personnes, même si tu ne mange pas avec nous, tu as le droit de manger. 3 personnes, quelqu’un va venir ? Devant ma réaction surprise il sourit et tout en me conduisant à l’entrée il continuât : Je vois que tu es surprise que je reçoive quelqu’un chez moi. Il y a un problème ? C’est que je n’ai jamais été présenté ainsi à une inconnue, hier soir j’étais cagoulée ça me rassurait. Je comprends, dans la commode de la chambre tu trouveras une cagoule en latex, tu pourras la porter. Merci à vous Monsieur. En arrivant vers le vestibule de l’entrée il s’arrêta et pris une paire d’escarpin à talon très haut. Je me doutais qu’il n’allait pas les mettre et évidemment il me les tendit. Même si j’avais l’habitude des talons, ceux-ci étaient vraiment haut et il me faudra un moment pour m’y habituer. De son côté il mettait ses chaussures, prenait sa veste. Une fois les talons mit, j’avais l’impression que mon corps était mis en valeur, mais je me remit bien vite en position sans plus trop y penser. Il me regarda encore, apparemment le spectacle devait lui plaire vu le temps qu’il passait à m’observer. Il se mit à genou devant moi et des *clic* de 4 cadenas se firent entendre. J’aurait tout le temps d’observer à quoi ils servaient après son départ. Se levant il m’embrassa le front : A midi je reviens, je te veux à genoux face à la porte, jambe écartée. Puis il partis, fermant la porte à clef.
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Par : le 19/03/23
Je me retiens de baisser la tête, bouger mes bras pour bien comprendre ce qui vient de m’être installé. La fraîcheur de l’objet diminue et prend gentiment la température de mon corps. Je le vois qui repasse dans mon champ de vision, semble prendre quelque chose dans la commode, semblant hésiter. Et il repasse derrière moi, noue mes cheveux en une queue de cheval, bien serrée, il semble avoir l’habitude de l’exercice. Et un objet passe devant mes yeux et vient s’appuyer contre mon coup, un collier apparemment en cuir rembourré et un nouveau *clic*. Je sens mon entrejambe devenir en feu, je me sens lui appartenir encore plus, j’ai envie de me toucher, caresser pour calmer cette ardeur. Je me retiens, mais de plus en plus difficilement. Il vient se place devant moi, à 2 mètre pour avoir une belle vue d’ensemble. Il m’observe, longuement, tourne légèrement autour de moi, bouge légèrement cet objet autour de ma taille, une sorte de ceinture apparemment, en haut, en bas. Revient devant, me sourit et sort une laisse dorée de sa poche de pantalon : Parfait, je pense que tu as faim, suis-moi et garde tes bras dans cette position. A ces mots il attache la laisse à mon collier et tire dessus pour m’amener où il le souhaite. Je marche difficilement, ce n’est pas si évident les bras croisés dans le dos. Mes jambes se resserrant je les sent frotter contre quelque chose à l’entrejambe, mais je n’ose baisser la tête. Entre les bras dans le dos et la tension sur la laisse, ce serait le meilleur moyen pour partir en avant. La descente des escaliers est périlleuse, mais Monsieur ralenti le pas, prévenant. Je profite de découvrir la maison, elle semble grande, décorée avec goût, mais pas de manière ostentatoire. Nous finissons par arriver dans une belle cuisine : Voilà un de tes postes de travail, tu vas préparer le déjeuner pour moi, ce que je prends est sur une liste, et pour toi et apportera tout dehors par cette porte. Il indique la porte donnant sur l’extérieur au fond de la cuisine. Puis reste là à me regarder, ôte la laisse et continue à me regarder. Il finit par me fesser avec la poignée de la laisse : Tu ne réponds rien ? Oui, pardon Monsieur. Je m’exécute tout de suite, pardonnez-moi. Et sans rien dire il part en direction de l’intérieur de la maison. Je ne pense plus à cette ceinture, ces bracelets, ce collier, je cherche cette liste et ne pense même pas à ce que je vais manger. Sur la table une feuille plastifiée, avec une liste comportant tout ce que Monsieur prend à son déjeuner. Je m’affaire, place tout sur un plateau au fur et à mesure. Finalement je pense à moi et me prépare un déjeuner simple mais nourrissant. Dans la cuisine aucun miroir, impossible de me voir et surtout cette ceinture étrange. Je l’explore de mes mains, une sangle large fait le tour de mon bassin, un cadenas se trouve sous mon nombril, retenant les 2 extrémités ainsi qu’une autre sangle, de taille plus fine passant entre mes jambes. D’une main je suis sont trajet et découvre qu’il met impossible de me toucher. Mais je ne veux pas perdre trop de temps et portant le plateau sort pour découvrir Monsieur assis à une table de jardin sur la terrasse. Je m’approche et lorsque je vais poser le plateau, il le remonte en me faisant comprendre que cela ne se faisait pas. Je dépose donc un par un les différents éléments de son déjeuner. Quand il ne resta que le miens sur le plateau il me désigna un coussin au sol à ses côtés. Je n’étais plus digne de manger avec lui à table. Je pose le plateau devant le coussin m’y agenouille et attends. Il commence à manger, boire, regarder son téléphone, je n’ose commencer, n’en ayant pas reçu l’ordre.
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Par : le 18/03/23
J'enlève sa chaussure et sa chaussette. Première bonne nouvelle depuis que je suis ici : ses pieds sont presque propres. Bon, elle a transpiré et une odeur de sueur se mêle à celle du vieux cuir des chaussures militaires, mais elle n'a pas les pieds sales. Il y a une fille pour l'éventer, une pour l'ombrelle, une qui est allée lui chercher une bière et puis moi, son pied dans mes mains. La fille qui est allée chercher la bière, se met à genoux et tend la bière à la Black, qui lui dit : — Tu en as mis du temps. — Pardon, Maîtresse. — Pas Maîtresse. D'ailleurs, je dois me présenter, non ? Personne n'ose répondre. Elle répète : — Non ? Elle prend son boîtier, alors je dis très vite : — Oui... — Je m'appelle Madame Parker, mais vous direz juste Madame. Compris ? Huit voix répondent : — Oui, Madame. Elle rit... Elle s'amuse  bien. On la regarde boire des gorgées de bière fraîche, la gorge sèche... On a toutes terriblement soif. Elle boit, puis donne la bouteille à la fille qui l'apportée et qui est toujours à genoux, en disant : — Tu restes là et tu t'arranges pour que cette bouteille soit à portée de ma main. — Oui, Madame. — C'est moi qui m'occupe de vous jusqu'à votre vente. Pour vous, je suis Dieu le Père, je peux vous ménager ou vous en faire baver, ça dépendra de mon humeur. Vous avez donc intérêt à ce que je sois... de bonne humeur. Pour le moment, je n'ai pas encore utilisé le taser... on fera ça plus tard. Pour commencer, enlevez toutes vos uniformes. On pouvait s'y attendre, au taser. On cesse aussitôt la tâche importante qu'on effectuait. Moi, lui masser le pied gauche... Dès que je suis nue, je recommence à masser son pied ! Elle dit : — Rose et Barbie, allez chercher les seaux qui sont là. Aussitôt, deux des filles qui se trouvent devant nous vont chercher ces seaux. Madame Parker nous dit : — Buvez deux par deux, sans les mains. On va laper, tandis que les visiteurs font des photos. Quand on a fini, on reprend toutes notre place. Elle nous dit : — On va tester votre soumission. Ash et Tracy, sucez mes orteils. Je prends aussitôt son gros orteil en bouche... Le goût salé de sa sueur me dégoûte. Je me dis, "Elle connaît mon nom, elle sait sûrement qui je suis." Après le scanner de la rétine, on n'a plus de secrets pour personne, sauf pour les visiteurs. Jusqu'à présent... Elle nous  dit : — Maintenant, toutes sur une rangée devant moi. Les esclaves éventail, parasol, table basse pour la bière et lécheuses de pieds hésitent un instant, mais elle répète : — Toutes. On va vite se mettre devant elle. Il y a de plus en plus de monde autour de nous. Un visiteur glisse un billet à Madame Parker en disant : — On voudrait les voir à quatre pattes. — D'accord. Puis elle s'adresse à nous : — Marchez ! Aïe, aïe, aïe ! On sait ce qui va se passer. Les visiteurs s'écartent et on est toutes traversées par un courant électrique du cou aux pieds, on crie et on se retrouve à quatre pattes, au milieu des gens. Ils aiment ça, les visiteurs, on les entend rire. ! Il y a un autre visiteur qui lui donne un billet : — Les filles, debout et courez vers moi ! Dès qu'on court, on reçoitnous recevons a une décharge qui nous fait tomber, jusqu'à ce qu'on soit dans la bonne position. Les visiteurs adorent, moi j'adorerais qu'on leur fasse ! À ce moment-là, un garde vient dire à Madame Parker : — Je viens chercher celle qui s'appelle Ashley. — Je t'en prie, elle est toute à toi. Elle ajoute pour les visiteurs : — Qui a envie de voir fouetter les filles ? Ils ont tous envie... Le garde me prend par le bras et on va derrière la prison. On entre dans une grande pièce qui ressemble un peu à un théâtre. Plusieurs personnes sont là, téléphone en main. On me fait monter sur la scène. Je suis nue, mais on ne me m’oblige pas à prendre des poses spéciales, comme on le faisait au "Slave Paradise." Une caméra me filme. À tour de rôle, les gens avec un téléphone lèvent la main. Je suis vendue par téléphone... Pour finir,  un Noir en costume dit : — Adjugée à l'acheteur n° 12. Je suis vendue à un numéro. Et si c'était Summer qui avait pris l'argent de notre compte aux îles Cayman et qui m'achète ? Non, c'est trop vite... Elle avait quelque chose d'important à faire, mais elle viendra ! Le garde qui m'a amenée vient me rechercher. On monte à l'étage et il m'enferme dans une cellule. Inutile de lui poser des questions. J'attends... Je suis à la fois heureuse de partir d'ici et angoissée en me demandant qui m'a achetée... J'attends toujours... Je vais aux toilettes, pas facile avec la ceinture de chasteté. Quand c'est fait, je me lave soigneusement. Je suis assise sur le lit, quand un homme  arrive avec un garde. Sans un mot, il me met sur le ventre et il me fait une piqûre dans la fesse... Je perds connaissance. *** Je suis avec Summer sur la plage de Venice... Il fait beau et... on me donne une claque sur les fesses. C'est Summer ! C'est comme ça qu'elle me réveille... J'émerge péniblement de mon rêve... Ouch ! J'ai mal à la tête... et là, je me souviens que j'ai été achetée ! Summer ne viendra que dans deux mois, mais elle viendra. J'ouvre les yeux, la lumière est très forte et  je suis couchée sur le côté, dans le coffre d'une voiture ! Un homme me prend sous les épaules et sous les jambes pour me sortir du coffre. Il fait très chaud et humide... Il me dit : — Faut que tu boives. Oh oui, je me rends compte que j'ai terriblement soif. Il me tend une bouteille d'eau fraîche et je bois goulûment. Il m'enlève la bouteille en disant : — Ne bois pas tout d'un coup. Tu as faim ? — Oui, Monsieur. C'est un costaud d'environ 35 ans. Il ouvre un paquet dans lequel il y a des sandwichs jambon fromage, plus très frais... J'ai tellement faim que je dévore. Quand j'ai fini, il me donne la bouteille d'eau et je bois encore un peu. Je lui dis : — Merci beaucoup, Monsieur, c'est vous qui m'avez achetée ? — Non... moi, j'assure la livraison. Je te conduis où on m'a dit. Bon, on doit repartir. Il y a un short et un tee-shirt, mets-les et tu peux t'asseoir à l'avant. Ça m'arrangerait de ne pas devoir te rattraper. — Je n'essayerai pas, Monsieur. Oh, je n'ai plus la ceinture de chasteté... ça fait du bien : ma chatte peut respirer ! Je lui demande : — Vous savez... qui je suis ? — Oui. Je lui parle de Summer. Il ne m’interrompt pas... ça fait du bien de pleurnicher sur mon triste sort. On est sur une petite route dans une région aride, il y a même des grands cactus. Peut-être le sud des États-Unis ou le Mexique... Je pense à Summer... On est dans le Sud et je vois des panneaux "Las Vegas". On entre dans la ville et il s'arrête devant un grand casino et hôtel, le Red Rock Casino. On sort de la voiture et on se dirige vers l'entrée monumentale. Je touche son bras en disant : — Je voudrais rester avec vous, j'ai peur. — Fais profil bas et ça ira. On entre dans l'hôtel. Je le suis vers le comptoir, il dépose un papier sur la tablette en disant : — Bonjour, je vous apporte l'envoi 662. Il faut me remplir ce papier et  mettre le cachet de l'hôtel. L'employé le regarde bêtement, mais un homme plus âgé vient devant nous en disant : — Certainement, Monsieur. Je vais faire chercher l'esclave. Il appelle une servante et lui dit : — Tu conduis cette fille chez Madame Stone. Quoi ?!? Elle, encore.... c'est un cauchemar.... La fille fait une révérence en disant : — Oui Monsieur. Je me retourne vers celui qui m'a amenée. Il m'embrasse sur la joue et il me dit tout bas : — Patience. Je m'accrocherais bien à son jean en pleurant. Pas Madame Stone !!! La servante me dit : — Suis-moi. Elle me conduit dans les sous-sols de l'hôtel. On arrive dans une grande pièce sans fenêtre. Il y a plusieurs servantes qui travaillent. Elles rangent de la vaisselle, nettoient par terre, préparent différentes choses. Elles me jettent un rapide coup d'œil et, voyant que j'ai le collier des esclaves autour du cou, elles continuent ce qu'elles font. On va se mettre à côté d'une grosse femme d'une cinquantaine d'années. Elle a un petit nez, des grosses joues et des petites lunettes rondes. Elle est habillée d'une robe noire à longues manches. Je la connais, elle me faisait déjà peur quand elle était mon employée. La servante qui m'a conduit jusqu'ici attend sans bouger, tête baissée, mains croisées sur la chatte... Je fais comme elle avec une énorme envie de pisser, tellement j'ai la trouille ! La femme fait des comptes sans nous jeter un regard. C'est long... Enfin, elle nous regarde... Elle chasse la servante d'un geste de la main et me dit : — Tiens, qui voilà ! Je te manquais ? Je bredouille : — Je... oui, Madame... — Déshabille-toi. J'enlève vite mon short, mon tee-shirt et mes sandales. — Tourne-toi. Je lui montre mes fesses et elle me donne une petite claque, comme pour juger de la fermeté en disant : — Il n'y a pas dire, tu as un beau cul...  À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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