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Par : le 29/03/24
CHAPITRE 7   : MONSIEUR CHU   Mes rapports avec Maître Julian étaient ambigus. En lui j’aimais cette dualité entre le bien et le mal. En moi il avait éveillé une sensualité qui s’accordait en tous points à mes fantasmes. Il savait me prendre et me faire progresser, d’une progression toute calculée. Insensiblement, il repoussait mes limites et me faisait découvrir des horizons nouveaux.   Jouant sur l’excitation de situations nouvelles, tantôt tendre tantôt directif, ne me laissant d’autres alternatives que d’accepter. Ainsi en peu de temps, il avait fait de moi une parfaite et dévouée élève. Je soulevais ma jupe au moindre de ses désirs, lui offrant mon corps pour des moments intenses de plaisir. J’avais abandonné toute pudeur pour lui plaire. Pourtant je n’étais ni exhibitionniste, ni délurée, ni même masochiste. Etais-je folle ou amoureuse ? Certainement un peu des deux. Mais lui m’aimait-il ? D’une certaine manière, j’en avais l’impression. Du moins jusqu’à ce lundi.   Un certain monsieur Chu avait rendez-vous à 18 heures. Maître Julian me demanda d’être particulièrement polie avec lui. C’était un client important et je le reçus d’une manière parfaite. Je dois avouer que j’avais fait d’immenses progrès en anglais, et je m’exprimais avec une certaine aisance. Ma tenue, une de celles choisies par Mademoiselle, était composée d’une jupe assez courte et d’un chemisier blanc. Je portais des bas et des chaussures à talons. Pantalons et collants avaient été bannis des tenues que je pouvais mettre au bureau. Celle-ci était assez sexy, mais non dépourvue d’une incontestable touche de classe. Mais à peine Monsieur Chu avait-il pénétré dans les locaux que  je regrettais mon choix. Quelque chose en lui me mettait mal à l’aise. Peut-être sa façon de me dévisager, il me déshabillait littéralement du regard. Je feignis d’être très occupée afin de ne pas lui laisser deviner mon trouble. Le temps semblait suspendu et lorsque Maître Julian me pria de l’introduire dans son bureau, je me sentis immédiatement soulagée et c’est d’un cœur léger que je continuais à travailler. Ils étaient ensemble depuis environ une demi-heure, lorsque Maître Julian me pria de leur apporter deux martinis on the rox. A mon entrée, la conversation c’était interrompue. Pendant que je me penchais pour poser les verres et la bouteille, sur la table basse, je sentis leurs regards s’attarder sur mes fesses. Pourtant stoïque, je fis le service en les gratifiant de mon plus beau sourire. Je me préparais à sortir ou plutôt à m’enfuir lorsque Julian m’apostropha en anglais. « Nathalie, notre invité te trouve très jolie » Décontenancée, je me tournais vers lui et le remerciais. Julian reprit. « Mais il voudrait en voir un peu plus. Alors sois gentille, montre lui.»   « Pardon ? » dis-je  certaine d’avoir mal compris.   « Allons ne fais pas de manières. Vite, ou je serais obligé de te punir devant lui. »   Jusqu’à présent il avait été très discret. Personne ne soupçonnait la nature de nos rapports. Et voilà que non seulement il trahissait ma confiance, mais pire il me menaçait devant un parfait inconnu. J’étais effondrée. Devant mon absence de réaction, il s’empara négligemment de la cravache que je connaissais si bien et que je redoutais tellement, et la tapota entre ses mains. Je l’implorais du regard, mais il avait son air intraitable des mauvais jours. Jetant un bref coup d’œil vers son invité, je compris que je n’avais aucune aide à attendre de son côté. Au contraire, ses yeux pervers ne perdaient pas une miette du bras de fer qui se déroulait. Vaincue, j’entrepris de déboutonner mon chemisier, dévoilant un soutien-gorge blanc qui soulignait mes seins. Et baissant pudiquement les yeux, j’attendis.   « Approche un peu de monsieur Chu, ne fais pas ta timide »   Hésitante je fis quelques pas vers lui. J’étais en plein dans mon rêve, à la seule différence que tout cela était affreusement réel. Monsieur Chu me demanda d’une voix extrêmement douce de bien vouloir ôter ma jupe. Tremblotante, je m’exécutais. J’étais en bas, porte-jarretelles, et petite culotte en coton blanche. Il me fit signe d’approcher plus près. Ses yeux ne quittèrent pas les miens et d’un geste lent, il baissa ma culotte. A la vue de mon sexe épilé il eut un sourire de satisfaction. Maître Julian s’était silencieusement placé dans mon dos recréant la scène si souvent vécue dans mon rêve. Il dégrafa habilement mon soutien-gorge, libérant mes deux seins. M’obligeant à pencher la tête en arrière, il saisit mes lèvres et m’embrassa. Je lui rendis son baiser, reconnaissante de ne pas m’abandonner seule aux mains de cet homme. Monsieur Chu avait glissé sa main entre mes cuisses, et il put constater qu’une certaine humidité commençait à envahir mon bas-ventre. Vaincue je m’abandonnais à leurs caresses. J’avais l’impression d’être Ysabel, les images de mon rêve et la réalité se mélangeaient. C’était étrange et déroutant, un mélange de perversité et de volupté me poussait à accepter cette situation. Lorsqu’ils furent certains que toute idée de résistance avait quitté mon esprit, ils cessèrent de me caresser et me demandèrent de garder la position. Jambes bien écartées et bras dans le dos, c’était à la fois humiliant et terriblement excitant. S’offrir ainsi aux regards et savoir que mon corps éveillait leurs désirs me donna le courage de m’abandonner totalement. Monsieur Chu, sortit, de je ne sais où, des cordes. De vraies cordes en chanvre. Entourant mon cou de l’une d’elles, il la fit glisser en deux extrémités d’égale longueur. La crainte de me retrouver attachée totalement à sa merci me glaça plus sûrement que le froid des cordes et je ne pus m’empêcher de trembler. Faisant faire plusieurs tours à la cordelette, il m’emprisonna habilement les seins jusqu’à les compresser et les faire saillir. Puis après un nœud serré, il laissa descendre le fil de chanvre jusqu’à mon sexe et le coinça étroitement entre les deux cordelettes et les fit remonter le long de la raie de mes fesses. Le tout fut relié à mon cou, emprisonnant ensuite mes coudes dans mon dos. Les cordes furent serrées à la limite du supportable. Je ne pouvais esquisser le moindre mouvement, sans sentir au plus profond de ma chair, leur empreinte. Visiblement j’allais découvrir des sensations nouvelles, victime consentante entre les mains exigeantes de ces hommes mûrs.   Ensuite il me fit m’agenouiller et écartant mes cuisses d’un geste sûr, il entreprit de relever mes mollets. Il les fixa, à l’aide de deux lanières et je me retrouvais en équilibre instable sur mes genoux. Pour finir, il passa une autre boucle autour de ma taille, l’enserrant étroitement et relia l’ensemble des cordages à un crochet du plafond. Julian attentif, l’assista veillant à bien équilibrer la tension. Puis ensemble, ils me hissèrent à environ 1 mètre au dessus du sol. J’étais ainsi suspendue en l’air, incapable de bouger. Les cordes qui passaient entre mes cuisses comprimaient mon sexe, et me faisaient ressentir ma condition de femelle, offrant en prime, l’impudique spectacle de mes cuisses écartées au maximum. Je rougis de honte toute en me sentant terriblement excitée. Ce bondage était réalisé avec une rare maîtrise et Chu était assurément un maître dans ce domaine. Me faisant pivoter sur moi-même en se servant de mes seins, il s’amusa un moment à me faire tournicoter comme une toupie, puis il se recula pour admirer son œuvre d’un air satisfait.   Julian le complimenta et l’invita à se servir de ma bouche. Sans se faire prier il ouvrit sa braguette, et glissa son sexe entre mes lèvres. Je dus le sucer et le lécher selon ses désirs pervers, il fut particulièrement long à jouir et il veilla à ce que j’avale tout. Enfin, il m’abandonna. Sans attendre, Julian prit sa place et je dus le satisfaire pendant que sa cravache taquinait mon clitoris.   Après un nouveau verre, ils décidèrent d’aller dîner et m’abandonnèrent ainsi, malgré mes supplications.   Je passais des moments terribles, suspendue, seule dans les bureaux désertés. Les cordes entamaient ma chair et le moindre mouvement accentuait la douleur. Je maudissais Julian. Plus le temps passait, plus je me mettais en rage. Mes membres étaient engourdis, j’avais des fourmis dans tout le corps et je mourrais de soif. Puis à la colère succéda une profonde période d’abattement. Je subissais résignée, me demandant s’ils m’avaient oubliée, priant pour qu’ils reviennent vite. Ce n’est que quelques heures plus tard, qu’ils revinrent de très bonne humeur. Taquin, Julian s’approcha de moi et me demanda si j’allais être une parfaite soumise, où si je préférais continuer à bouder toute seule dans mon coin. Je promis d’être obéissante, je le suppliais de me détacher. Ce soir là, j’aurais promis tout ce qu’il voulait pour être libérée.   Enchantés de me voir dans de si bonnes dispositions, ils entreprirent alors de me faire toucher terre et me délivrèrent avec d’infinies précautions. En me détachant, le sang se remit à circuler et je criais de douleur. Je n’arrivais à allonger ni mes bras ni mes jambes. Ils me massèrent longuement presque amoureusement et séchèrent mes larmes. Julian déclara que je méritais bien une récompense et il déboucha une bouteille de champagne. Je bus plusieurs coupes et je sentis  une légère ivresse m’envahir, et je plaisantais avec eux plutôt contente de m’en tirer à si bon compte. Mais une fois de plus je prenais mes désirs pour des réalités. Je le compris lorsque d’un geste vif, Monsieur Chu m’attira vers lui, et glissant un doigt entre mes fesses, il s’approcha de ma rondelle. Je sursautais de surprise. J’étais vierge de ce côté là. Julian y avait bien fait allusion, de temps à autre, mais devant ma réticence, il n’avait pas insisté. Monsieur Chu n’avait pas cette délicatesse. Savoir que cet endroit était à déflorer, semblait l’exciter au plus haut point. Je gigotais, essayant de lui en interdire l’accès. Voyant cela Julian ordonna. « A quatre pattes, cuisses écartées et mains derrière la nuque. Obéis » Je protestais, implorais. En vain et je pris la position à contrecœur. Il faut dire que c’était une des premières qu’il m’avait enseignée. Bien cambrée, j’offrais mes fesses pour être punie. Il aimait me fouetter ainsi. Mais ce soir en la prenant, j’avais conscience de franchir un pas de plus dans ma soumission. Non seulement j’allais être livrée à un inconnu, mais de plus sodomisée. Approchant sa verge, Chu força mes reins et s’enfonça en moi sans aucune préparation.  Sa brutale pénétration me fit horriblement mal et je hurlais. Pourtant indifférent à mes plaintes il continua à s’introduire en moi. Son sexe était plus mince que celui de Julian. Mince consolation et je pleurais sous l’assaut. Il adopta un rythme rapide, veillant vicieusement à s’enfoncer au plus profond de moi. Je devinais qu’il voulait me posséder et m’asservir totalement, bestialement. Il était à sa manière beaucoup plus dur que Julian. Pas la moindre émotion ne transparaissait. Il me prenait comme on prend une femelle totalement soumise dans un coït brutal sans s’inquiéter de ses désirs, de sa souffrance. Emoustillé, mon Maître se glissa sous moi. Il m’obligea à m’allonger sur lui, et me pénétra. Leurs sexes remplirent mes deux orifices. Leurs mouvements se synchronisèrent et je criais à la fois de plaisir et de douleur. Et soudain je sentis monter un orgasme venu du plus profond de mon corps. Ils apprécièrent en connaisseurs l’arrivée de la déferlante de ma jouissance. Elle me laissa brisée et pantelante et ils ne tardèrent pas à jouir à leur tour. Satisfaits ils décidèrent d’arroser mon dépucelage au champagne. Après le départ de Chu ce soir là, Julian m’avoua qu’il était fier de moi, et en récompense il m’emmena pour la première fois dans son appartement situé à l’étage du dessus. C’est allongée dans son grand lit entre ses bras, que Julian me confia l’histoire de sa rencontre avec Chu. C’est la première fois qu’il se confiait à moi et sa confiance m’émut. « Ce jour là » commença-t-il d’une voix douce. «  j’avais rendez-vous avec monsieur Chu, un investisseur asiatique qui opère sur le marché du diamant.  C’est un monde très fermé où le Cartel, mot familier qui désigne la toute puissante CSO, contrôle près de 80% des approvisionnements en diamants de la planète. Monsieur Chu est un homme raffiné et d’une politesse exquise. Mais derrière ce masque se cache un redoutable homme d’affaires. Une grande estime doublée d’une réelle amitié c’est  tissé entre nous. »   « Et de quand date cette amitié ? » demandais-je curieuse. « C’était il y a de cela dix ans. Déjà dix ans. Tout jeune avocat je débutais ma carrière dans une grande banque de la City à Londres. Chargé de la partie juridique des opérations, mon travail consistait à finaliser des transactions à fort potentiel financier. Je voyageais beaucoup,  New-York, Paris, Hongkong…   J’avais fait la connaissance de monsieur Chu à Hongkong. A l’issue d’âpres négociations un excellent accord avait été conclu et Monsieur Chu pour me remercier m’avait invité à une soirée. En m’y rendant, je ne savais pas que toute ma vie allait être transformée. »   « Et la mienne ne crois-tu pas que tu l’as entièrement bouleversée ? » lui demandais-je en me serrant tout fort contre lui ? « Si bien-sûr, mais je suis à tes côtés » et il m’embrassa tendrement. Il poursuivit son récit.   « L’endroit où m’avait entraîné monsieur Chu ne payait pas de mine. Situé dans le quartier des entrepôts la façade ne possédait aucune enseigne. Une simple porte en fer surmontée d’une caméra avec sur le côté une sonnette. Monsieur Chu appuya 3 coups brefs et la porte s’ouvrit. Un costaud à la mine patibulaire nous accueillit. Il reconnut mon hôte et s’effaça poliment devant nous avec force de courbettes. Je suivis mon hôte dans un vestiaire où montrant l’exemple il m’invita à me déshabiller. Après  une rapide douche, deux jeunes ravissantes asiatiques entièrement nues nous invitèrent à nous allonger sur des tables de massage. Une très jolie eurasienne me prodigua un massage thaïlandais. Ces body-body ont fait fantasmer des milliers de touristes et la fortune des tours-opérator. Mais elle était exceptionnellement douée. Légère comme une plume, elle me frôlait de son corps souple aux formes troublantes. Mutine, câline, tantôt distraite et boudeuse, tantôt passionnée. Une femme enfant qui éveillait les sens et s’en émerveillait. Mon érection n’avait pas l’air de l’émouvoir le moins du monde, et elle en joua avec une diabolique habileté. Son corps semblait n’exister que pour se fondre dans le mien. Mais elle n’en fit rien. Elle  s’offrait et se dérobait prenant garde à ne pas se laisser saisir. Puis elle appliqua délicatement sur mon gland turgescent et mes bourses une pommade aphrodisiaque. L’effet fut prodigieux. Une chaleur envahit mon bas-ventre et mon sexe se durcit à un point incroyable qui me fit presque défaillir de désirs. Elle me regarda d’un air satisfait dévoilant ses petites dents nacrées. » « Tu en parles comme ci ce souvenir datait d’hier » l’interrompais-je un peu jalouse. « Ce sont des moments qui sont gravés dans ma mémoire…Ecoute la suite »   « Je compris alors que nous n’étions pas là pour une simple  partie de jambes en l’air. Ces préludes cachaient en fait le véritable objet de notre visite. Après nous avoir délicatement séchés, elles nous vêtirent de peignoirs en soie, et monsieur Chu m’entraîna dans une salle immense. Au centre, un podium identique à celui des défilés de mode, quoique moins haut, traversait la salle de part en part. De part et d’autres de confortables fauteuils en cuir des années 1930 étaient occupés exclusivement par des hommes. Ils portaient pour tout vêtement des peignoirs semblables aux nôtres. Des hommes d’âge mur issus des classes aisées. J’étais le seul blanc et le plus jeune participant. Je m’installais dans un fauteuil aux côtés de mon hôte et une charmante hôtesse très peu vêtue nous apporta une collation. L’ambiance commençait à s’échauffer. Un homme arriva sur  scène et prit la parole. Le public manifesta et applaudit à la présentation de la soirée. Je n’en compris pas un traître mot et Chu ne prit pas la peine de traduire se contentant de trinquer avec moi. Je pensais qu’il devait s’agir de paris clandestins et je m’attendais à assister à des combats de boxe.   Ce qui advint ensuite me laissa sans voix, proprement estomaqué. Les projecteurs inondèrent un coin de la salle et deux hommes de petite taille habillés en jockey, portant casaque et cravache à la main  firent leur apparition juchés sur deux montures. Tirant légèrement sur les rennes ils progressèrent lentement sur le podium. L’insolite de la situation tenait aux montures elles-mêmes. Il s’agissait de deux pony-girls. Chacune portant une petite selle étroitement sanglée sur son dos et harnachée comme un véritable cheval de course. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval, un mors dans la bouche relié à un harnais lui enserrait la tête. Des œillères complétaient le tableau et l’empêchait de regarder de côté.  Mais de temps en temps elles se jetaient un regard en biais plein d’animosité. Pour l’heure, elles trottaient à quatre pattes dans un mouvement harmonieux et synchronisé effectuant un tour d’honneur. La croupe bien saillante et les seins se balançant au rythme des pas. Elles étaient entièrement nues et épilées, le corps luisant telles deux pouliches prêtes à courir. De vraies bêtes de course. Lentement les jockeys les placèrent sur la ligne de départ. Au signal du starter elles s’élancèrent sur une distance que j’évaluais à 50 mètres. Les jockeys les cravachaient et elles galopaient, soutenues par le public. La fille au dossard rouge prit la tête. La casaque verte ne réussit pas à remonter son handicap malgré les encouragements énergiques de son jockey. Elles finirent en trombe luttant jusqu’à l’arrivée. La gagnante revint au centre sous les acclamations des spectateurs. »   « Mais c’est incroyable » m’exclamais-je. Il ignora mon interruption et poursuivit plongé dans ses souvenirs.   « Le présentateur réapparut et d’étranges échanges de signes eurent lieu entre lui et le public. Des applaudissements crépitèrent. Monsieur Chu se tourna vers moi et m’expliqua que la gagnante venait d’être vendue aux enchères pour la nuit. On lui ôta sa selle et toujours à quatre pattes, elle fut en effet emmenée par la bride, auprès d’un monsieur ventru qui affichait un grand sourire. Quant à la perdante, elle reçut une véritable fouaillée administrée par son jockey à l’aide de sa cravache. Puis elle sortit de la salle en larmes sous les cris de la foule. »   « Vendue » je frissonnais involontairement « Tu serais capable de me faire cela ? » lui demandais-je d’une voix apeurée. « Bien sûr, mais au poids tu ne me rapporteras pas grand-chose. » répondit-il sur le ton de l’humour. Il se resservit à boire avant de poursuivre.   « Monsieur Chu continua à m’expliquer. Nous allions assister à plusieurs courses. Toutes les  gagnantes seraient vendues et les  perdantes mises à disposition des spectateurs dans une salle appelée salle des supplices. Je me dis que le sort de la perdante ne devait pas être agréable. Livrée aux joueurs qui  pourront en quelque sorte se rattraper en nature. »   « Mais c’est cruel » dis-je révoltée. « C’est la règle du jeu. Il y a besoin de règles. Même toi tu les acceptes. Quoique parfois… » et il sourit. « Tu veux écouter la suite ? » « Oui, mais cela semble t’exciter de me raconter » Son sexe était à nouveau dur et je saisis son membre entre mes doigts.   « La deuxième course tenait du trot attelé. Chaque femelle debout tirait une espèce de buggie dans lequel un jockey avait pris place. La course fut très disputée et les deux juments ne se départagèrent  que d’une courte encolure. La vente eut à nouveau lieu et c’est mon voisin de droite qui remporta les enchères. La gagnante dételée lui fut amenée. Je ne pus m’empêcher de la regarder de près. Visiblement la course l’avait éprouvée.  Elle avait un visage très jeune. Le mors l’obligeait à tenir la bouche entrouverte, un peu de salive perlait entre ses dents et coulait le long de son menton. Ses deux jeunes seins montaient et descendaient au rythme de sa respiration. Sa peau fine et luisante brillait dans la pénombre. Des zébrures marquaient sa croupe et coloraient sa peau. Arrivée devant l’homme, le jockey remit la longe à son Maître d’un soir. Elle s’agenouilla à ses pieds les baisant en signe de respect et de soumission. La perdante pendant ce temps reçut sa punition et les coups de cravache lui arrachèrent d’émouvants gémissements. Je n’étais pas insensible à ce spectacle et ma verge me faisait mal tellement je bandais.   « Et là tu sens quelque chose ? » lui demandais-je en enserrant son gland. Il rit tout en se dégageant.   . Les courses se succédaient et bientôt je fus entouré d’hommes ayant à leurs pieds de jeunes pouliches soumises et dévouées. Chu participa à la vente aux enchères. Il m’offrit une somptueuse créature toute de cuir harnachée. Sa beauté me donna une irrésistible envie de la posséder sauvagement. Accroupie à mes pieds elle attendait un ordre de ma part. Je la saisis par ses cheveux noués en  queue de cheval et lui donnais ma verge à sucer. Je fermais les yeux de bonheur sous la précision de la caresse. »   « Cela ne m’étonne pas. » répondis-je. Il ne releva pas se contentant de caresser mes seins. Mes pointes frémissaient sous sa main et je ne bougeais pas, étendue lascivement à ses côtés Cette soirée m’apparut dans toute son irréalité. Ma métamorphose semblait correspondre à une inéluctable prise de conscience. Perdue dans mes pensées, des sentiments contradictoires occupaient mon esprit. Pouvait-on donner son corps à un inconnu par amour pour son Maître ? Et lui se pouvait-il qu’il m’aime et désire m’offrir à un autre ? Ou n’étais je qu’un objet entre ses mains ? Il me regarda et pendant un instant je sus qu’il devinait le combat qui se livrait en moi. Il faillit prononcer les mots que secrètement j’espérais mais il se ravisa et poursuivit son récit.   « Soudain monsieur Chu me toucha l’épaule et m’indiqua le podium. Levant les yeux je sursautais. Pour la première fois de la soirée une européenne allait affronter une asiatique. Elle était attelée à un buggie. Cette dernière course de la soirée promettait d’être passionnante. Les paris connurent un rebond de frénésie. Plus grande d’une tête que sa concurrente, elle avait de longs cheveux blonds, un corps musclé et de longues jambes. Ses seins généreux attiraient tous les regards, deux clochettes y étaient suspendues et tintaient à chaque pas. Le jockey armé d’un long fouet souple lui taquinait les fesses et elle sursautait à chaque caresse. Nerveuse, elle prit place sur la ligne de départ. Chu se pencha vers moi et me demanda si je voulais parier. J’acceptais avec joie et pariais 200 dollars sur sa victoire. Elle était cotée à 10 contre 1 ! »   « Et bien sûr tu as perdu ! » « Arrête de m’interrompre » tu es trop impatiente.   « Au signal elle bondit tétanisée par le coup de fouet qui atteignit le bas de ses reins. Elle prit la tête pendant les vingt premiers mètres, mais irrésistiblement son adversaire regagnait le terrain perdu. Son jockey l’encourageait de coups bien ajustés mais rien n’y fit. Elle fut coiffée sur le poteau par sa concurrente. Conscient des enjeux suscités, son driver la punit sévèrement. Elle cria et gémit bien plus fort que ses consœurs, suppliant son tortionnaire de l’épargner. Mais il n’en fit rien et elle dut subir sa punition jusqu‘au bout. Une dernière volée de coups de fouet la laissa effondrée sur le sol et elle fut rapidement traînée en direction de la salle des supplices. Chu me murmura à l’oreille que j’allais pouvoir lui faire payer chèrement sa défaite et cette proposition m’excita bien plus que je ne l’aurais imaginé. »   « Vois-tu, ce spectacle avait quelque chose de fascinant tout en étant profondément amoral.     La nuit que je passais fut peuplée de plaisirs indescriptibles. La docilité de celle qui était devenue ma petite esclave attitrée m’enchanta. La découverte de la salle des supplices où était pratiqué l’art du shibari enseigné par des maîtres de cérémonies m’émerveilla. Je restais admiratif devant le raffinement des tourments infligés et la mise en scène toute imprégnée de l’esprit japonais. J’étais conquis, subjugué par ce culte de la beauté et par ces rites secrets.  Et bien sûr, je m’initiais à ces pratiques découvrant le plaisir de tourmenter ces jeunes corps consentants.»   Il s’arrêta de parler et sembla émerger d’un rêve. Je lui caressais doucement son sexe dressé. « Et depuis tu ne peux plus t’en passer. Tu aimes me voir souffrir, n’est-ce-pas ? » dis-je dans un souffle. « Oui, mais tu ne fais pas que de souffrir dans mes bras, petite hypocrite » et il m’enlaça tendrement. Nous refîmes l’amour jusqu’au petit matin.   Suite à cette nuit nos relations prirent un tour nouveau. Une complicité nous unissait dans une même recherche. Il m’avait dévoilé une partie de son passé et m’avait jugée digne de confiance. Un trimestre idyllique venait de s’écouler ainsi. Contrairement à Valérie qui devait subir à son corps défendant, les attouchements de son patron et le satisfaire d’une manière conventionnelle, Julian avait instauré des règles d’obéissance basées sur l’imagination et la perversité. Ainsi pour ma tenue au bureau j’avais l’obligation de la choisir afin que je sois toujours accessible et offerte. Je n’avais bien entendu pas l’autorisation de croiser les jambes et sa main devait à tout moment pouvoir se glisser en moi. Il aimait m’exciter dès le matin et me maintenir dans cet état tout au long de la journée. Il variait les plaisirs à l’infini. Parfois il m’accrochait une pince à mes lèvres avec un poids afin disait-il de les allonger, ou parfois me glissait un god dans l’un ou l’autre de mes orifices afin que je me souvienne à tout instant de ma condition de soumise. Je ne savais pas à cette époque que cette domination physique et cérébrale était basée sur des rapports sadomasochistes. Il avait subtilement développé ma tendance naturelle à l’obéissance et j’étais continuellement humide. Les sens exacerbés j’étais prête à le satisfaire pour des demandes toujours plus insolites. Mon impudeur n’avait d’égale que son imagination perverse. Je me souviens qu’un des ordres auxquels j’avais le plus grand mal à obéir consistait à peine il effleurait mon clitoris, à tirer ma langue. Cela devait devenir un réflexe, une seconde nature. Devant mon manque d’empressement, il avait pris l’habitude de me punir en accrochant une pince lestée d’un poids à ma petite langue rose et j’étais particulièrement honteuse de voir couler ma salive en même temps que s’humidifiait mon petit bouton. Cette soumission quotidienne était facilitée par le fait que je vivais pratiquement chez lui, ne rejoignant mon appartement qu’épisodiquement. Parfois il m’attachait dans son lit, étroitement entravée et engodée et me laissait seule dans l’incapacité de bouger pour la nuit, sortant rejoindre des amis. Cela paraît complètement surréaliste mais son attitude était empreinte de respect et je me sentais désirée et aimée.
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Par : le 23/03/24
Né en Italie en 1945, Milo Manara est un artiste dont le nom est synonyme de souffre dans l'univers de la bande dessinée. Quatrième d'une fratrie de six, il grandit dans une petite ville italienne, Luson, nichée entre les montagnes et imprégnée d'Histoire, non loin de la frontière autrichienne. C'est un monde où l'art rencontre l'histoire, et où Manara, dès son plus jeune âge, se découvre une passion dévorante pour le neuvième art. Sa rencontre avec la bande dessinée s'effectue dans l'atelier du sculpteur espagnol Berrocal, où les œuvres de Barbarella et Jodelle lui ouvrent les portes d'un monde nouveau. Rapidement, sa vocation se précise et, dès 1968, il finance ses études d'architecture à Venise en publiant ses premières planches, des récits érotiques qui marquent le début d'une carrière qui allait s'avérer exceptionnelle. De Genius à Jolanda, de l'adaptation du Décaméron de Boccace à Le Singe, Manara ne cesse d'explorer et de repousser les limites de son art. En 1978, il lance les aventures de Giuseppe Bergman, personnage emblématique qui traverse des récits à la fois oniriques et profondément humains. Mais c'est en 1983, avec la publication du Déclic, que Manara devient un maître incontesté de la bande dessinée érotique. Cette œuvre, devenue culte, illustre à la perfection l'audace, la sensibilité, et l'élégance de son trait, captivant un public international. Sa collaboration avec Hugo Pratt pour Un été indien, puis El Gaucho, ainsi que ses travaux avec le grand Federico Fellini, témoignent de son incroyable capacité à fusionner les univers, à dialoguer avec les grands esprits de son temps, pour créer des œuvres immortelles. Toujours avide de nouveaux défis, Manara ne s'est pas contenté de régner sur le monde de la bande dessinée érotique. Son talent d'illustrateur s'est exprimé dans de nombreux projets, du diptyque consacré au Caravage à ses collaborations avec Alejandro Jodorowsky pour la série Borgia. Sans oublier sa passion pour la sculpture, illustrée par sa création à l'effigie de Brigitte Bardot. La reconnaissance de son œuvre est mondiale : prix, expositions, et même une monographie, "Sublimer le réel", célébrant cinquante ans de carrière. Mais ce qui frappe le plus chez Manara, c'est sa capacité à rester profondément humain, à toucher à l'universalité à travers l'érotisme, à célébrer la beauté sous toutes ses formes. Milo Manara, avec sa maîtrise incontestée du dessin et sa capacité à explorer les profondeurs de la psyché humaine, a su aborder les thèmes du fétichisme et du BDSM, de ci delà. Son œuvre, souvent empreinte d'une sensualité érotique et d'une exploration audacieuse des désirs, offre un regard nuancé et artistiquement riche sur ces aspects de la sexualité. Dans les univers créés par Manara, le fétichisme dépasse l'obsession autour d'un objet ou d'une partie du corps. Le fétichisme est souvent là en filigrane, du moins les adeptes savent le trouver dans la manière dont Manara l'intègre comm élément narratif, capable de révéler la complexité des relations et des désirs de ses personnages. Ses illustrations, d'une précision et d'une beauté captivantes, invitent le lecteur à explorer des fantasmes souvent inavoués, rendant le fétichisme non seulement esthétiquement séduisant mais aussi psychologiquement profond. Manara dépeint le fétichisme avec un respect et une délicatesse qui en valorisent l'aspect humain et relationnel, offrant une vision à la fois sensuelle et introspective. Quant au BDSM, il se glisse parfois discrètement dans ses œuvres les plus provocatrices, Manara le traite avec une habileté narrative qui transcende le sensationnel pour sonder les dynamiques de pouvoir, de contrôle et de libération. . Le BDSM, dans l'univers de Manara, est loin d'être un simple motif érotique ; il devient un moyen d'explorer les limites de l'expérience humaine, les frontières entre douleur et plaisir, domination et soumission, toujours avec une élégance graphique et une profondeur narrative. Les œuvres de Manara ne se contentent pas de représenter le fétichisme et le BDSM ; elles invitent à une réflexion sur la nature du désir et sur la recherche de l'épanouissement personnel à travers la découverte de soi et de l'autre. En cela, Manara ne se limite pas à illustrer ces thèmes ; il les intègre dans des récits complexes où la beauté artistique se mêle à une exploration sans jugement des aspects les plus intimes de l'âme humaine. Quarante ans après Le Déclic, Manara regarde son parcours avec une pointe de nostalgie, conscient des changements dans la perception de l'érotisme, mais toujours philosophe. Sa contribution à la bande dessinée ne se limite pas à ses créations ; il a ouvert des chemins, inspiré des générations d'artistes et de lecteurs. Milo Manara, c'est malgré tout une forme de candeur, d'ingénuité, le plaisir de l'art. Dans un monde où les saisons de la liberté semblent parfois incertaines, son œuvre reste un phare, illuminant la beauté éternelle de l'imagination et du désir. Il est plus qu'un artiste ; il est un voyageur entre les mondes de l'éros et du papier, un pont entre les rêves et la réalité. Et son voyage, à travers le neuvième art, continue de nous fasciner, de nous émouvoir, et surtout, de nous inspirer. Quelques albums cultes : L'art de la fessée Noirs desseins Le déclic : l'intégral  
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Par : le 22/03/24
Qu'est-ce que le Gooning? Le gooning est une des nombreuses pratiques qui se fait parfois introduction dans le monde du BDSM, elle se distingue par ses caractéristiques uniques et ses implications dans l'approche émotionnelles et physiques de la sexualité. Le terme "Gooning", qui ne possède pas de traduction littéral en français. Il évoque un état ou de transe où la personne impliquée atteint un niveau d'engagement dans l'acte et de plaisir intense, souvent dans un contexte de masturbation prolongée. L'origine exacte du terme reste donc floue, mais il s'est répendu comme une trainée de poudre au sein de la communauté BDSM pour décrire ce phénomène spécifique. Le "gooning" peut se résumer comme cet état généralement atteint après une longue session d'edging*, lorsque l'homme ou la femme devient complètement hypnotisé par la sensation d'hyper sensibilité de son pénis ou de son clitoris pour une femme. Puisque l'état de gooning ne peut être atteint qu'après du edging*, le pénis de l'homme ou le clitoris pour la femme sera à ce moment-là terriblement excité et chaque caresse à laquelle les organes génitaux masculins sont soumis déclenchera une puissante allégresse. Alors que l'homme ou la femme continue l'edging et donc continue d'expérimenter un plaisir intense, il entre dans un état de transe où son esprit fusionne intimement avec son sexe : l'état de gooning, où lui et son sexe ne font qu'un. Pour être encore plus précis, lorsque l'état de gooning est atteint, le corps de devient uniquement plaisir sexuel. Lorsque cet état est atteint, l'homme ou la femme se libère de tous les codes sociaux de conduite, et son excitation, seule, dicte ses réactions. En conséquence, un homme ou une femme en état de gooning deviendra très expressif et démonstratif : ils peuvet devenir très locaces, tandis que son corps et son visage peuvent prendre des expressions lubriques et indécentes, tout en réponse aux caresses intensément exquises auxquelles son sexeest exposé. D'où le terme "goon", puisqu'à ce stade, l'homme ou la femme ont effectivement l'air d'une personne stupide, folle ou excentrique. Le gooning n'est pas une manifestation narcissique. Le narcissisme est un égoïsme extrême, avec une vision grandiose de ses propres talents. Plutôt, le gooning se rapproche davantage d'une expérience de méditation, où l'esprit et le corps s'alignent, concentrés sur une seule pensée (ou sensation, dans ce cas). Contrairement à d'autres pratiques BDSM qui peuvent impliquer des éléments de douleur, de domination et de soumission, le gooning se concentre davantage sur l'exploration prolongée du plaisir et l'abandon de soi dans l'instant présent. Il s'agit moins de la dynamique de pouvoir traditionnellement associée au BDSM et plus d'une exploration profonde de l'auto-stimulation, souvent menée jusqu'à atteindre un état second où la conscience de soi et le temps semblent disparaître. L'un des aspects cruciaux du gooning est l'état d'esprit dans lequel la personne se trouve. Pour atteindre cet état de gooning, il faut une dévotion presque méditative à l'acte en cours. Cet état est caractérisé par une focalisation intense sur les sensations et les émotions émergeant du plaisir sexuel, à tel point que tout le reste semble s'effacer. Cela requiert une immersion complète dans l'expérience, permettant à la personne de se libérer de la Raison et des inhibitions. La dévotion joue également un rôle central dans le gooning. Elle n'est pas nécessairement dirigée vers un partenaire, bien que cela puisse être le cas, mais plutôt vers l'acte lui-même et les sensations qu'il procure. Cette pratique peut être solitaire ou impliquer un(e) partenaire qui guide ou participe à l'expérience. Lorsqu'un partenaire est impliqué, la communication et le consentement mutuel deviennent évidemment essentiels pour explorer cet espace partagé de vulnérabilité et de plaisir intense. Ainsi, le gooning se distingue d'autres pratiques BDSM parce qu'il s'articule autour d'une exploration prolongée du plaisir et l'atteinte d'un état de transe. Loin de se résumer à une simple dynamique de domination et de soumission, il s'agit d'une quête de connexion profonde avec soi-même ou avec un partenaire, à travers le prisme du plaisir sexuel. La dévotion et un état d'esprit méditatif sont des composantes clés pour atteindre l'état de gooning, marquant cette pratique comme une exploration unique de la sexualité et de la conscience. Contexte historique et culturel du Gooning Le gooning, bien qu'étant une pratique relativement récente dans le lexique du BDSM, puise ses racines dans une histoire plus large de l'exploration sexuelle et du plaisir. Son développement au sein de la communauté BDSM reflète l'évolution continue des pratiques sexuelles et la manière dont elles sont perçues et vécues par les individus. Contrairement à des éléments plus traditionnels du BDSM, tels que le bondage, le sadomasochisme, ou la dynamique dominant/soumis, qui ont des origines historiques profondément ancrées et documentées, le gooning émerge comme une réponse à la numérisation de la sexualité et à l'augmentation de l'intimité personnelle dans la recherche du plaisir. Cette pratique a gagné en visibilité et en popularité à travers les forums en ligne et les communautés, où les individus partageaient leurs expériences et leurs techniques pour atteindre cet état de transe. L'accès accru à l'information et la facilité de communication entre les personnes aux intérêts similaires ont permis au gooning de se développer et de se répandre au-delà des cercles initialement restreints. En cela, le gooning est un exemple de la façon dont la technologie et la communication numérique ont influencé et façonné de nouvelles pratiques au sein de la sphère sexuelle. Au fil du temps, la perception du gooning a évolué. Initialement, il pourrait avoir été vu comme une niche ou une curiosité au sein des pratiques sexuelles plus larges. Cependant, à mesure que la compréhension de la sexualité humaine s'est approfondie et que les conversations autour du plaisir sexuel sont devenues plus ouvertes et inclusives, le gooning a commencé à être reconnu comme une forme légitime d'expression sexuelle. Cette reconnaissance coïncide avec un mouvement plus large vers l'acceptation des diverses façons dont les individus peuvent explorer et expérimenter leur sexualité. En comparaison avec d'autres pratiques BDSM, le gooning se distingue par son focus sur le plaisir prolongé et l'état de transe plutôt que sur la douleur, la contrainte ou les jeux de pouvoir. Alors que de nombreuses pratiques BDSM impliquent une interaction physique intense et une dynamique claire de rôle entre les partenaires, le gooning peut être une expérience plus introspective et méditative. Cette différence met en lumière l'éventail des expériences au sein du BDSM et la manière dont les pratiques peuvent varier largement en termes d'objectifs, de sensations recherchées, et d'implications émotionnelles. A travers les époques, les pratiques BDSM ont souvent reflété les normes sociales et culturelles du moment, ainsi que la compréhension et l'acceptation de la sexualité humaine. Le gooning, avec son apparition relativement récente, représente un chapitre de cette histoire continue, illustrant à la fois l'innovation dans la manière dont le plaisir est poursuivi et une plus grande acceptation de la diversité des expressions sexuelles. En tant que tel, il offre une fenêtre sur l'évolution continue des pratiques BDSM et sur la manière dont elles s'adaptent et se transforment en réponse aux changements culturels et technologiques.   Le Gooning dans la pratique Le gooning, dans sa mise en pratique, va se manifester par l'entremise d'une grande variété de scénarios, chacun offrant une perspective unique sur cette expérience profondément personnelle et, dans certains cas, partagée. Ces scénarios varient largement, allant des séances en solo aux interactions en couple, jusqu'aux dynamiques de groupe, reflétant la flexibilité et l'adaptabilité de cette pratique à différents contextes et préférences individuelles. Dans le cadre d'une séance solo, le gooning devient une exploration intime de soi-même, où l'individu se concentre entièrement sur l'atteinte d'un état de transe sexuelle. Cela implique souvent une masturbation prolongée, pendant laquelle la personne se laisse absorber complètement par les sensations et les plaisirs générés, cherchant à prolonger cet état le plus longtemps possible. L'environnement joue un rôle crucial dans ces scénarios, les participants cherchant souvent à minimiser les distractions et à créer un espace où ils peuvent se sentir en sécurité, confortables et non jugés. Cette immersion peut être facilitée par l'utilisation de matériel pornographique, de fantasmes, ou d'autres stimuli érotiques qui aident à maintenir l'intensité du focus et de l'excitation. Dans un contexte de couple, le gooning peut prendre une dimension additionnelle de connexion et de communication entre les partenaires. Ici, l'un peut assumer le rôle de guide, aidant l'autre à atteindre et à maintenir l'état de gooning, soit par des encouragements verbaux, soit par des stimulations physiques directes ou indirectes. Cette pratique devient alors un acte de partage et d'intimité profonde, où le plaisir de l'un est étroitement lié à l'expérience et à la réaction de l'autre. Le consentement et la communication ouverte sont essentiels dans ces scénarios, chaque partenaire devant être attentif aux besoins, aux désirs, et aux limites de l'autre. Les dynamiques de groupe introduisent une complexité supplémentaire, transformant le gooning en une expérience collective où plusieurs individus partagent un espace commun de plaisir et d'extase. Ces scénarios peuvent varier de petits groupes intimes à de plus grandes assemblées, chacun apportant sa propre énergie et son propre niveau d'interaction entre les participants. Dans ces contextes, le gooning peut servir à renforcer les liens au sein du groupe, à explorer de nouvelles dynamiques de plaisir partagé, et à vivre une expérience collective unique. Comme dans les autres scénarios, la communication, le respect mutuel et le consentement sont fondamentaux pour assurer une expérience positive et enrichissante pour tous les participants. Chacun de ces scénarios reflète la diversité des expériences possibles dans la pratique du gooning, soulignant l'importance de la personnalisation et de l'adaptabilité. Que ce soit en solo, en couple, ou en groupe, le gooning offre une opportunité de plonger profondément dans le plaisir sexuel, d'explorer les limites de l'extase personnelle, et de connecter avec soi-même et avec les autres d'une manière profondément significative et intime.   Bienfaits (nombreux) et risques (modérés) de gooning L'exploration du gooning offre un éventail de bienfaits tant sur le plan émotionnel que physique, ancrant cette pratique dans une expérience profondément personnelle et parfois partagée. Sur le plan émotionnel, le gooning peut conduire à une sensation de libération intense, permettant aux individus de se déconnecter des pressions et du stress du quotidien. Cette immersion totale dans le plaisir peut également favoriser une meilleure compréhension de soi et une connexion plus profonde avec ses désirs et limites sexuelles. Physiquement, le gooning peut augmenter l'endurance sexuelle et intensifier les expériences orgasmiques, rendant le plaisir plus accessible et plus prolongé. Cependant, comme toute pratique impliquant un degré élevé d'engagement émotionnel et physique, le gooning comporte des risques potentiels. L'un des principaux risques est la possibilité de développer une dépendance à l'état de transe que le gooning peut induire, pouvant mener à une négligence des responsabilités quotidiennes ou des relations personnelles. De plus, sans une communication adéquate et un consentement clair, particulièrement dans les scénarios impliquant plusieurs participants, il peut y avoir un risque de malentendus ou de dépassement des limites personnelles. Pour minimiser ces risques, il est crucial d'adopter une approche réfléchie et consensuelle du gooning. Cela inclut la mise en place de limites claires avant de commencer, la communication ouverte avec soi-même et avec les partenaires potentiels sur les attentes et les désirs, et l'engagement à rester attentif aux signaux du corps et de l'esprit tout au long de la pratique. La sécurité, tant physique qu'émotionnelle, doit rester une priorité absolue. Après une session de gooning, le suivi et l'instrospection (si on était seul) ou le débrief (si on était à plusieur) jouent un rôle vital dans le maintien d'une pratique saine et équilibrée. Prendre le temps de réfléchir sur l'expérience, sur ce qui a été ressenti, ce qui a fonctionné ou non, peut aider à mieux comprendre ses propres besoins et limites. Cela peut également être l'occasion de reconnaître et d'adresser tout sentiment de vulnérabilité ou d'inconfort qui pourrait avoir émergé. L'auto-réflexion favorise une croissance personnelle continue et assure que les expériences futures soient abordées avec une conscience et une compréhension accrues. Le gooning, avec ses bienfaits potentiels et ses risques inhérents, invite à une exploration attentive et intentionnelle de la sexualité. En adoptant une approche réfléchie et en privilégiant le suivi et l'auto-réflexion, les individus peuvent naviguer dans cette pratique de manière sûre et enrichissante, découvrant de nouvelles dimensions de plaisir tout en respectant leurs propres limites et celles des autres. * L'edging est une pratique sexuelle consistant à amener soi-même ou un partenaire au bord de l'orgasme, puis à arrêter la stimulation pour éviter l'achèvement, prolongeant ainsi l'expérience sexuelle. Cette technique peut intensifier le plaisir et mener à des orgasmes plus puissants lorsqu'elle est finalement autorisée.
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Par : le 19/03/24
en savoir plus Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 15/03/24
Esclave financier, comment on tombe dans le piège ! Suite à différentes discussions que j'ai eues sur le site dernièrement, je vois que ce sujet revient sur le devant de l'actualité. Je me permets de (re)publier ce texte autobiographique que j'avais écrit il y a quelques années. En fait, il n'y a pas que moi en tant qu'idiot à avoir donné à sa Dame des moyens de pressions. Il y a aussi les esclaves financiers. Ces hommes (rarement des femmes) qui offrent à une Maîtresse du matériel à révéler publiquement s’ils ne remplissent plus leurs obligations de paiement. - Chantage dans le SM et le BDSM - un esclavage peut-être à vie ! Si vous cherchez une Maîtresse qui va, disons le clairement, vous faire chanter, vous trouverez généralement une Maîtresse, enfin je suppose, à qui vous allez envoyer, transférer régulièrement une somme d'argent prédéterminée. En retour, vous obtiendrez de l’humiliation verbale, des insultes, des remarques méprisantes et désobligeantes sur le fait de n’être qu’un porte-monnaie stupide qui n’est là que pour son argent. Un esclave financier peut être rapidement amener à signer un contrat qui induit un aspect juridique. Par exemple un contrat de prêt avec intérêts. Il ne touchera évidemment pas le montant du prêt. Mais Oui, juridique, rien à voir ici avec le BDSM. Ce contrat détermine combien d'argent est dû et à quels intervalles. Une fois conclu, la Dame peut toujours augmenter le taux jusqu'au maximum légal... Ainsi, il est facile d'imaginer quelles seront les conséquences si l'esclave financier est en retard dans un ou plusieurs paiements ou cesse de faire des paiements. Comment le chantage se met en place. Il existe plusieurs possibilités. Un site Web spécialement conçu, comme une sorte de pilori public où le contenu personnel collecté par la Maitresse est publié d'abord en privé. La Maitresse augmente au fur et à mesure la pression en donnant accès à ce site à l'esclave financier. Si l'esclave financier ne paie pas à nouveau, alors du contenu personnel sera rendu visible pour tous sur Internet. Évidemment, tout ce fait par étape. Il est clair que pour éviter une augmentation de la somme due, l'esclave financier pris dans l’engrenage devra remettre de plus en plus de documents pertinents à sa Maîtresse. Il creuse son propre trou. Selon le type et la portée du chantage, diverses formes de sorties publiques peuvent avoir lieu. Des photos qui le montrent clairement, de grandes photos faciales, des photos du corps entier nu, des photos de sa femme et des photos nues de sa femme etc… A un moment, sa Maîtresse peut lui demander de lui remettre une copie de sa carte d'identité ou les adresses électroniques de sa femme et de ses supérieurs, ses collègues et des membres de sa famille. - Promesse de séance SM, BDSM et l'avidité de vouloir tout remettre - le repentir s'installe rapidement. Il y a des Maîtresses qui offrent les premières séances. Ainsi, Elles peuvent, par exemple, prendre des photos, faire un film plus ou moins secrètement dans lequel l'esclave financier doit se présenter puis s'humilier verbalement en disant quelle misérable créature il est. La Maitresse continuera à le filmer et le photographier alors qu'il est soumis à des pratiques sexuelles dégradantes. Ensuite tout s’accélère. Les vidéos sont de plus en plus sales et violentes. Pisse, gode ceinture, utilisation par un autre homme, anal et oral etc… Pour certains esclaves financiers, le chantage les dépasse ; ils doivent humilier leurs femmes devant la caméra de la Maitresse en disant qu'elles ont trop peu à offrir sexuellement et donc qu’elles forcent leur mari à chercher une amante. D'autres ont dû prétendre avoir trompé leur femme avec des prostituées à plusieurs reprises et avoir eu plusieurs rapports sexuels non protégés dans leur voiture dans la rue. Tout ça très bien orchestré et filmé. Tout ça peut très bien rester dans le placard à poison si l'esclave financier remplit ses obligations financières. Mais ce que j'ai vu a été conçu que pour être complètement divulgué et publié. A un moment donné, les montants mensuels sont tout simplement trop élevés pour pouvoir continuer plus longtemps. Il y a des pratiques où, dès le premier versement manquant, la divulgation publique commence. Les pauvres gars retrouvent sur Internet leurs photos, leurs adresses, parfois des photos nues de leurs femmes, sous-titrées d'insultes humiliantes. Et il y a parfois pire. Il est absolument insensé de s'impliquer dans le SM et le BDSM en payant de l’argent chaque mois afin d'être soumis à un chantage qui pourrait publiquement révélé que vous êtes un "pervers" devant votre famille, votre travail, vos amis. Vous payez pour ne pas être publié sur Internet comme un idiot naïf. Tôt ou tard vous serez sur internet et reconnu. - Mon expérience Pourquoi ces pensées flottent en moi. Je ne savais rien de tout ça avant que ma première Dame entre dans ma vie. Pendant un certain temps j'ai poursuivi l'intention de devenir son esclave. Ne rien recevoir, ou en fait si peu, mais donner tout pour cette Dame. Devoir lui prouver que je l’aimais et que j’étais prêt à tout faire pour la mériter, m'excitait beaucoup. A mes débuts, j’ai été un esclave financier des années sans l'avoir appelé ainsi. Ma première Dame non plus ne l'a pas appelé ainsi. Elle a juste contribué à sortir l'argent de ma poche. Être contrôlé financièrement par cette Dame m'excitait beaucoup. Au final, cette forme existentielle de domination et de soumission nous a rapidement conduits à la surveillance et au contrôle de mes finances et jusqu’à me priver de mon propre argent. Voilà le résultat d’années avec une dominatrice qui n’a voulu que m’humilier, me détruire. Un soumis averti a autant de valeur que deux !
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Par : le 12/03/24
Namio Harukawa est un illustrateur japonais, bien connu pour ses œuvres érotiques mettant en scène des femmes dominantes hors normes. Né en 1947 à Osaka, Namio Harukawa a commencé à dessiner dès son plus jeune âge, développant très tôt un intérêt particulier pour des thèmes tels que la domination féminine et le facesitting, qui deviendront plus tard les sujets principaux de son œuvre. Il a laissé une empreinte indélébile dans le monde de l'art érotique, non seulement au Japon mais aussi dans le monde entier, grâce à son style unique et à ses sujets de prédilections si sulfureux. Début de carrière et influences Namio Harukawa a débuté sa carrière dans les années 1960, époque à laquelle le Japon connaissait un bouillonnement culturel et un renouveau quand aux traitements des thèmes érotiques dans l'art (qui avait connu un autre age d’or des "shunga" à l’époque d’Edo (1603-1868). Ces œuvres d'art étaient des estampes sur bois, représentant des scènes sexuelles explicites entre hommes et femmes, mais aussi entre personnes du même sexe ou avec des personnages fantastiques. Le shunga, littéralement "images du printemps" (ici métaphore de l'acte sexuel), était considéré comme une forme d'expression artistique et était largement répandu parmi différentes classes sociales au Japon, des samouraïs à la bourgeoisie. Bien que parfois critiqué et soumis à la censure, surtout à l'époque moderne, le shunga a joué un rôle important dans la culture et l'histoire de l'art japonais, influençant de nombreux artistes, y compris des figures modernes et contemporaines. On peut donc voir en Namio Harukawa un héritier de cette culture à bien des égards. Influencé par cette culture érotique, comme par le travail d'autres artistes japonais, étant richement ancré dans culture populaire de l'époque, il a su développer un style bien à lui qui met en avant la puissance et l'autorité de la Femme. Ses dessins, leur attention méticuleuse aux détails et leur représentation exagérée des formes, lui sont caractéristiques et font toute l’originalité de ses créations. Thèmes et style Ainsi, les œuvres de Harukawa sont reconnaissables à leurs représentations de femmes voluptueuses et dominantes, souvent en position de contrôle sur des hommes plus petits et soumis. Cette dynamique de pouvoir est centrale dans son travail, où il explore thèmes de la domination, de la soumission et certains fétichismes de manière à la fois érotique et artistique. Son approche unique du BDSM et du fétichisme place les femmes en position de force, inversant les rôles traditionnels de genre et mettant en lumière des désirs souvent marginalisés. Influence et postérité Au-delà de son apport à l'art érotique, Namio Harukawa a joué un rôle important dans la popularisation (certes relative) des pratiques BDSM dans la culture populaire. Ses dessins ont inspiré de nombreux artistes et amateurs d'art érotique, contribuant à la démocratisation des discussions autour du BDSM et des fétichismes. Namio Harukawa est décédé en avril 2020, mais son héritage perdure à travers ses œuvres, qui continuent d'inspirer , à fasciner. Son approche inimitable de l'art érotique et son exploration sans compromis des dynamiques de pouvoir entre les genres ont marqué un tournant dans la perception du BDSM et du fétichisme. Harukawa restera dans les mémoires comme un pionnier, dont les dessins continuent de résonner avec un public large et varié par le biais d’internet et des réseaux sociaux, bien au-delà des frontières de son pays natal et du microcosme fétichiste et BDSM. Les livres regroupant ses oeuvres sont souvent épuisés ou très chers. Voir tout de même ce livre hommage par un editeur spécialisé    
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Par : le 11/03/24
Acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Dans la quête de compréhension et d'acceptation des diverses expressions de la sexualité humaine, le BDSM occupe une place à part, qui si elle a l'attrait du mystère a à souffrir aussi de bien des préjugés. Historiquement marginalisées et mal interprétées, les pratiques  BDSM  ont longtemps été bien mal considérées (dans tous les sens du terme). Pourtant, au-delà des apparences et des idées reçues, ces pratiques révèlent une complexité et une profondeur qui méritent d'être explorées et comprises dans leur intégralité. Le BDSM, dans son essence, est un échange de pouvoir consensuel, où les participants négocient des dynamiques de domination et de soumission dans un cadre sécurisé et respectueux. Cette négociation repose sur une communication ouverte, le consentement éclairé et une confiance mutuelle, éléments fondamentaux pour une expérience satisfaisante et enrichissante pour toutes les parties impliquées. Contrairement aux perceptions courantes, le BDSM n'est pas uniquement axé sur la douleur ou la domination, mais sur l'exploration des limites physiques, émotionnelles et psychologiques, dans le but de renforcer les liens entre partenaires et de favoriser une plus grande intimité. Cette exploration des limites et de la dynamique de pouvoir nécessite une compréhension approfondie des besoins, désirs, et limites de chacun. Elle demande également une capacité à naviguer dans ces espaces avec soin, éthique et responsabilité. C'est dans ce contexte que "L'art de dominer" de Dossie Easton prend toute son importance. L'ouvrage propose un cadre réfléchi et éclairé pour aborder les relations de pouvoir érotiques, en mettant en lumière les nuances et les complexités du BDSM. Il s'adresse à ceux qui sont curieux de cette pratique, ainsi qu'à ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances et à affiner leurs compétences dans l'art de la domination et de la soumission. L'art de dominer" de Dossie Easton constitue une excellente approche. L'auteure ne se contente pas de tracer les contours d'une pratique  ; elle plonge au cœur de la complexité et de la beauté inhérente aux relations de domination et de soumission, offrant aux lecteurs un guide à la fois philosophique et pratique. Ce premier volet est destiné entièrement à à la domination (le second ouvrage "L'art de se soumettre" est lui, ça alors, dédié à la soumission)  Le livre dépasse les stéréotypes et les simplifications excessives. Easton démystifie l'idée réductrice selon laquelle la domination serait synonyme de tyrannie ou la soumission de faiblesse. Au contraire, elle révèle comment ces rôles peuvent être source d'empowerment et de croissance personnelle, soulignant la distinction cruciale entre "prendre" le pouvoir et "se voir confier" le pouvoir dans un cadre de confiance et de respect mutuel. Au fil des pages, "L'art de dominer" aborde avec clarté et profondeur les différents aspects qui constituent la base d'une relation BDSM saine : la communication, le consentement, la négociation des limites, et l'importance du debriefing après les sessions. Easton insiste sur le fait que ces éléments ne sont pas seulement des prérequis à une pratique sécuritaire du BDSM, mais qu'ils sont également fondamentaux pour renforcer la connexion émotionnelle et psychologique entre les partenaires. L'ouvrage se distingue par son approche pédagogique, guidant les novices à travers les premiers pas dans l'univers du BDSM, tout en offrant aux adeptes plus expérimentés des réflexions et des techniques avancées pour enrichir leur pratique. Que ce soit à travers la discussion des jeux de rôle, des scénarios de domination et soumission, ou encore de l'importance des aftercare, "L'art de dominer" se révèle être une ressource précieuse, soulignant la diversité et la richesse des expériences que le BDSM peut offrir. Enfin, l'auteure ne néglige pas les aspects éthiques et moraux inhérents au BDSM, confrontant les lecteurs aux questions de responsabilité, d'éthique du consentement et du respect des limites. Ce faisant, elle positionne "L'art de dominer" non seulement comme un guide pratique mais aussi comme une réflexion morale sur la nature du pouvoir, de l'amour et de la confiance dans les relations humaines. Avec "L'art de dominer", Dossie Easton livre donc bien plus qu'un simple manuel ; elle offre une invitation à repenser la manière dont nous comprenons et engageons les relations de pouvoir dans un contexte érotique, en mettant en lumière le potentiel de croissance, de découverte et d'intimité qu'elles recèlent. C'est un ouvrage indispensable pour tous ceux qui aspirent à explorer les profondeurs de leurs désirs et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants avec leurs partenaires. Après une lecture approfondie, il est manifeste que cet ouvrage se démarque car il se fait véritable ressource pour quiconque s'intéresse à la dynamique de la domination et de la soumission dans le cadre du BDSM. À travers ses pages, Dossie Easton transcende la simple explication des pratiques BDSM pour toucher à l'essence même des relations humaines, enrichies par un échange de pouvoir consensuel et réfléchi. L'auteur parvient à déconstruire les mythes et préjugés qui entourent souvent le BDSM, le présentant non pas comme un ensemble de pratiques marginales ou déviantes, mais comme une forme riche et variée d'expression relationnelle et érotique. Sa capacité à rendre ces concepts accessibles sans jamais simplifier à l'excès témoigne d'une réelle maîtrise du sujet. Un aspect particulièrement appréciable de l'ouvrage est d'insister sur l'importance du consentement, de la communication et du respect mutuel. L'auteure souligne régulièrement par l'exemple que ces principes ne sont pas uniquement cruciaux pour la sécurité et le bien-être des participants, mais qu'ils constituent également le fondement d'une relation BDSM épanouissante. En mettant l'accent sur le consentement éclairé et la négociation des limites, l'auteure encourage une pratique du BDSM qui est non seulement sûre mais aussi profondément connectée aux besoins et désirs de chaque partenaire. Le livre brille également par son approche inclusive, reconnaissant la diversité des expériences et des identités au sein de la communauté BDSM. L'auteure parvient à ne pas sombrer dans  une vision monolithique de la domination ou de la soumission, mais explore plutôt la richesse et la variabilité des rôles, des pratiques et des désirs qui caractérisent la communauté. Cette approche permettra à bien des lecteurs de se retroiuver dans les mots de l'autrice, qu'ils soient novices curieux ou pratiquants expérimentés cherchant à approfondir leur compréhension. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 11/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle s’éxécute, gravit prestement les marches, réajuste son maquillage de seins comme exigé. Puis elle s’installe sur le plancher, à quatre pattes, le cul en l’air, tête baissée, les mains posées bien à plat de chaque côté de sa tête, à genoux les cuisses bien écartées et la croupe cambrée, elle prend sa position de soumise, celle qu’elle aime qui précède des plaisirs intenses, qui rappelle sa condition de petite chienne. Rapidement, elle commence à s’impatienter, l’attente est interminable. Quand va-t-il monter pour enfin la rejoindre? Néanmoins, elle ne modifie pas sa posture de peur de lui déplaire et d’être forcément sanctionnée. Elle sait que son plug va décorer son petit trou et scintiller de mille feux à la lumière. Cette petite coquetterie l’excite un peu plus. Elle attend, le maître est toujours absent. L’absence est trop longue, peuplée d’angoisses et de désirs inavoués. Que va-t-il faire en arrivant? La féliciter de sa docilité ou seulement la chevaucher et l’enfiler de force juste pour vider ses couilles tout en l’inondant de sa semence poisseuse qu’elle devra recueillir avec ses doigts pour finir par la boire. Non, il ne peut se contenter de si peu. Il va jouir d’elle pour son unique plaisir à lui et lui faire subir les pires sévices qu’elle ne peut même pas imaginer encore.   Tara perçoit indistinctement ses pas, il approche, il est là enfin. Il lui tourne autour et de la pointe de sa cravage caresse cette croupe qu‘il ne trouve pas à son goût, trop relâchée. Il lui frappe violemment le bas des reins. Tara se cambre immédiatement sous la semonce. Elle le connait, il est sans concession et exige la perfection. Cette position le comble, Tara est à sa merci, mais pas suffisamment à son goût. Elle sait qu’il va vérifier les ajustement demandés. Elle pense ne rien avoir oublié. Il lui intime l’ordre de se lever et inspecte de nouveau chaque partie de son corps. Tara aime cette introspection et est fière de s’être apprêtée avec tant de minutie pour lui. Il commence par le haut : le maquillage de son visage semble à sa convenance, Il lui introduit deux doigts dans la bouche qu’elle suce goulûment et avec application. Puis il descend, titille le bout de ses seins qui pointent et dont les mamelons sont réhaussés de son collier. Il semble qu’il soit plutôt satisfait de son nouveau maquillage. Il descend toujours, en caressant son ventre et arrive sur sa chatte. Elle a pris soin de la tailler à la perfection comme il aime. De la distinction avant tout. Il enfile vigoureusement deux doigts dans son orifice intime afin d’en verifier l’état. Elle mouille bien sûr, tous ses préparatifs ont éveillé ses désirs. Il saisit une fesse d’une main ferme et la fait pivoter, elle exerce alors un léger déhanchement puis se penche en avant en exibant son derrière, fière de lui montrer son plug orné de sa pierre rouge qui scintille. Là encore il lui introduit deux doigts après lui avoir retiré son bijou de cul. Tara tressaille sous la douleur mais n’en laisse rien paraître. Soumise elle est, soumise elle reste pour l’unique plaisir de son Maître. Il prend soin de remplacer son plug par son crochet anal qu’il relie par un ruban à son collier, ce qui l’oblige à se cambrer un peu plus. Il saisit ensuite son collier de chienne et y accroche la laisse. Elle ne sait pas encore à quoi il veut jouer. Elle cherche par sa posture à déjouer ses desseins qu’elle devine funestes. Chienne, elle se doit de l’être. - A quatre pattes, - Oui Maître, à votre convenance. Elle obtempère, et endosse son rôle de chienne ; ce titre fait tressaillir tout son corps, elle subit cette humiliation dégradante, mais au fond d’elle, elle adore. Elle tire la langue, la passe avec gourmandise sur ses lèvres rouges, gémit, envahie par le désir de lècher une queue, de l’emboucher, l’aspirer, de la mordiller, de l’avaler jusqu’à la garde. Elle agite son corps en tout sens. Elle est rapidemment ramenée à son obligation d’obéissance lorsque la voix grave de son Maître associée à une tension sur la laisse lui intime l’ordre d’avancer. Ce dernier geste la fera se trémousser pour un petit plaisir anal conjugué à son oeuf de jade confiné dans son intimité. - Jappe comme un petit toutou et tortille des fesses. Oubliant toute dignité, elle s’exécute docilement. Il tire de nouveau sur la laisse tout en donnant un petit coup de cravache sur ses fesses afin de faire quelques mètres, elle se sent flattée par cette attention. Une petite tension sur la laisse, - Stop! - Lèche moi les pieds, suce mes orteils Elle s’éxécute, un peu réticente, mais respecte ces dernières consignes. Elle aspire consciencieusement chacun de ses doigts de pieds. - Lèche mes jambes et mes cuisses. Elle remonte lentement. Sa langue est un peu sèche. - Broute moi les couilles et ne touche pas à ma queue. Elle s’applique dans cette tâche plus qu’humiliante. Peut être y trouve-t-elle un plaisir indicible… Elle lui avale ses couilles, gourmande, les caresse de sa langue et les aspire avec douceur. Elle connait bien l’extrême sensibilité de ces jumelles. Elle regarde sa queue qui pointe fièrement au dessus, frustrée de ne pas avoir le droit de la flatter. Car elle l’aime ce pieu qui sait si bien la pilonner au plus profond de son intimité. Elle a mal parfois, mais cette douleur l’exalte aussi. Et puis l’avaler jusqu’au fond de la gorge à s’en étouffer,. Elle adore cette pratique jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche et l’inonde de sa semence. Ensuite tout avaler avec délectation. Tout en poursuivant son labeur, elle se permet de rêver. Allait-il l’honnorer ce soir ou alors la délaisser toute pantelante, ignorant ses désirs les plus profonds? Elle sait qu’il en est capable pour marquer un peu plus sa domination en la laissant inassouvie. “Tara cesse de penser et applique-toi”. - Lèche moi le cul à présent et rentre bien ta langue dans mon petit trou. Il fait volte face et elle se retrouve collée à ses deux fesses musclées. Elle les écarte et cherche sa voie. Elle trouve rapidement sa cible et d’une langue agile s’y enfonce le plus possible. Elle y trouve des goûts un peu forts mais néanmoins subtils, comme des fragrances de rut. Elle travaille de son mieux mais il se lasse vite de ce petit jeu. - C’est bien, va t’asseoir sur le lit, je n’en ai pas fini avec toi. Pose ton cadenas sur tes anneaux, je suis le seul détenteur de la clé qui le déverrouille, tu le sais. - Oui Maître, tout de suite.
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Par : le 08/03/24
A chacun de mes pas, le plug enfoncé dans mes fesses me rappelle sa présence invasive, me contraint à la conscience permanente d’être dilatée et occupée. Les pinces, bien serrées sur mes seins et dissimulées sous mon manteau tendent ma poitrine. Elles la sensibilisent au moindre frottement du tissu sur mes tétons nus. La chaîne qui relie les pinces se balade le long de mon bras, dans ma manche, de manière à ce que mon Maître n’ai qu’à simuler de me prendre la main pour intensifier toute la tension que je ressens. Il suffirait qu’il tire un tout petit peu pour m’arracher une plainte ou un gémissement. Je redoute qu’il décide de le faire. Tout comme je redoute que le plug ne tombe, si je devais avoir envie d’éternuer par exemple. Les néons de la grande surface me piquent les yeux et je dois concentrer tous mes efforts pour conserver mon air impassible, masquer le désir insatiable qui m’étreint, passer pour une cliente lambda. Heureusement, l’hypermarché n’est pas bondé en ce début d’après-midi et les clients qui m’effleurent en passant sont plutôt rares. Mon Maître me tire de ma bulle : « Comme je te le disais tout à l’heure, nous allons recevoir des invités ce soir, ainsi que tous les autres soirs de la semaine pendant les sept prochains jours. » Je déglutis, Maître avait effectivement indiqué que nous aurions des invités ce soir, mais j’ignorais que cela allait se répéter pendant toute une semaine. Maître poursuit, toujours aussi calme : « J’ai pensé que le plus simple pour profiter de nos invités serait d’organiser des apéritifs dînatoires. Nous allons prendre ce qu’il faut, et tu t’occuperas de tout préparer une fois rentrés. » Un silence s’installe. Je sais qu’il attend de moi une réponse mais je suis trop nerveuse. Il est vrai que je lui ai exprimé mon désir de voir sa domination se faire plus présente dans notre quotidien, mais je suis tétanisée par la peur que l’on m’entende prononcer ces mots. « Tu as perdu ta langue ? » s’impatiente-t-il. Une vague d’adrénaline me traverse alors que je balbutie : « N… non, pardon… » Son regard se durcit face à ma réaction. Sa main attrape discrètement mais fermement la chaîne que je cachais dans ma manche et tire : « Pardon qui ? » La tension sur mon sein droit est trop grande, la douleur prend le pas sur l’excitation et je gémis sans pouvoir me contrôler. « P…pardon Maître. Cela me semble être une b…bonne idée. » Maître relâche sa prise sur la chaîne ce qui a pour effet de me soutirer un nouveau gémissement. Je regarde frénétiquement partout autour de moi pour m’assurer que personne n’a rien remarqué. Au fond de l’allée, une dame âgée ne nous lâche pas de son regard réprobateur. Je pique un fard et baisse les yeux. Maître lui, lui adresse un signe de tête assorti d’un sourire assuré et poli. La vieille dame retourne à ses courses. En caisse, je range les courses dans les sacs pendant que Maître cherche sa carte bancaire dans son portefeuille. L’hôtesse de caisse me dévisage, je dois être soit cramoisie, soit livide. Si elle savait à quel point ma culotte est inondée… Cette pensée me fait sourire alors que mon égo se gonfle de la satisfaction de mon audace. Elle me tend le ticket et je lui réponds machinalement : « Merci. » Maître se tourne immédiatement vers moi, de manière à ce que je sois la seule à croiser son regard noir. « Merci… qui ? » Ma respiration a un raté alors que ma culotte doit en retenir encore davantage en silence. Je prends un instant pour relancer une inspiration avant de prononcer les mots attendus d’une voix éteinte : « Merci, Madame. » « J’aime mieux ça. » Siffle-t-il avant de reprendre son air poli pour s’adresser lui aussi à la caissière : « Veuillez excuser ma chienne, elle est encore en phase d’éducation ». Silence. La caissière nous regarde alternativement pour tenter de mesurer la situation. Je suis abasourdie et honteuse, mon regard ne quitte plus mes mains qui s’accrochent au ticket de caisse comme à une croix face à l’apparition du diable. Le plug, les pinces, ma culotte détrempée et maintenant ça… Je suis envahie d’une foule d’émotions contradictoires et un vertige m’envahit. Je me retiens discrètement sur le bord du cadis. Un sourire entendu de Maître oriente la caissière vers la supposition d’une simple plaisanterie et nous la laissons là-dessus.
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Par : le 04/03/24
"Celui qui n'ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile. Voir le monde dans un grain de sable et le paradis dans une fleur sauvage, tenir l'infini dans le creux de sa main et l'éternité dans une heure. L'arbre qui fait verser aux uns des larmes de joie n'est aux yeux des autres qu'une chose verte qui se dresse en travers du chemin. Certains ne voient dans la nature que ridicule et difformité. D'autres, c'est à peine s'ils voient la nature. Mais aux yeux de l'homme d'imagination, la nature est l'imagination même. C’est avec les pierres de la loi qu’on a bâti les prisons, avec les briques de la religion, les bordels. Pour créer la moindre fleur, des siècles ont travaillé". Le temps a rendu justice à celui qui, longtemps considéré comme un fou, fut le grand poète, graveur et visionnaire que l’on sait, éternel enfant, éternel "primitif" que son ardeur imaginative, son lyrisme, sa violence condamnèrent à n’avoir de renommée que posthume. Autodidacte, William Blake (1757-1827) dénonce la raison tyrannique des philosophes, s’enflamme pour la révolution. Ses admirations sont aussi significatives que ses refus. Il préfigure quelques-unes des lignes de force du romantisme et goûte certains de ses grands intercesseurs, Swedenborg, Shakespeare, Dürer. Une vie intérieure puissante, une simplicité mystérieuse et désarmante guide son bras. Dans "Le Mariage du Ciel et de l’Enfer", il proclame alors l’unité humaine, attaque la prudence et le calcul au nom de l’épanouissement de l’être réconciliant désir, sagesse et raison. L’amour comme la haine étant nécessaires à la vie, c’est le choc des contraires qui provoque le surgissement de la force créatrice et la progression de l’être individuel. Il oppose ainsi la raison à la vision intuitive, à laquelle va sa préférence. "L’astre Blake étincelle dans cette reculée région du ciel où brille aussi l’astre Lautréamont. Lucifer radieux, ses rayons revêtent ainsi d’un éclat insolite les corps misérables et glorieux de l’homme et de la femme" (André Gide). Bien que considéré comme peintre, il a peint quelques tableaux à l'huile, préférant l'aquarelle et le dessin, voire la gravure et la lithographie, il s'est surtout consacré à la poésie. William Blake, peintre, poète, graveur, prophète est né en 1757 au-dessus d’une échoppe de bonnetier, à Londres. De toute son existence, il ne quitta guère sa ville. Implantée dans cette sphère étroite, sa vie fut, à première vue, banale, sans aventure, centrée sur son travail de graveur. Elle échappe pourtant dans une large mesure, écrit Georges Bataille, qui consacra à Blake une étude dans "La Littérature et le Mal", aux "limites communes de la vie". C’est que Blake, au-delà du cercle restreint où il se déplaçait, de son occupation absorbante, des soucis d’une vie quotidienne difficile, voyait bien d’autres scènes et d’autres mondes.    "Celui qui veut conquérir la joie, malgré lui, la brisera. Mais celui qui, quand elle passe, sait doucement l'embrasser pourra toute sa vie en profiter". Sur la réalité prosaïque de l’univers extérieur, il donna la préférence à son pouvoir de vision, opposé à la simple vue, qu’il appelle alors "génie poétique" ou "génie prophétique", "imagination", ou par d’autres termes encore. L’imagination lui représentait un monde plus précis, plus vivant et plus vrai que celui qui nous est livré par le regard. Mais, insistait-il, un tel pouvoir ne lui était pas réservé. Chaque homme à l’origine le possède. "De même que tous les hommes sont semblables par la forme extérieure, de même, ils sont semblables par le génie poétique". Opprimés par la vie, lancés dans des poursuites sans intérêt, argent, pouvoir, paraître, ayant de ce fait perdu leur état de disponibilité, la plupart oublient le don qu’ils possédaient enfants, le sentiment d’éternité qui lui est lié. Cette capacité, il en fit très tôt l’expérience. Dieu d’abord, qui lui apparaît à la fenêtre, puis un arbre chargé d’anges et, un jour, parmi les ramasseurs de foin, des anges, encore, visions inspirées par la Bible. Sur la fin de sa vie, le soleil, bien différent de la pièce d’une guinée que verrait un avare, mais disque resplendissant d’esprits qui chantent en chœur "saint, saint, saint". Ces images se sont imprimées dans son imagination avec une si grande intensité que la vision s’est produite, projetée devant lui, la différence entre monde extérieur et intérieur effacée. Il ne voyait pas, comme il l’a écrit, "par ses yeux", mais "à travers". Et ce qui lui apparaît à travers, au-delà du monde sensible dont le témoignage lui sembla toujours douteux, à tout le moins insuffisant, c’est la réalité spirituelle, telle que la représente l’Imagination. Ainsi, cette "double vision" lui révélera non pas l’oiseau qui fend l’air, spectacle que nous montre l’organe œil, mais l’immensité que traduit son vol. "Ne comprends-tu pas que le moindre oiseau qui fend l’air est un monde de délices fermé par tes cinq sens ?" Dans le vol de l’oiseau, c’est l’illimité qui nous est donné, et la joie que procure une telle liberté. Pourvu que nous sachions "voir", c’est-à-dire que nous vivions par l’imagination cette expérience, éprouvant en nous-même la sensation de l’envol et de l’espace, l’oiseau qui fend l’air nous porte dans une tout autre région de l’être que celle qui est définie et bornée par les sens. Le vol de l’oiseau nous dévoile l’infini dont nous sommes faits. William Blake était un pur poète.    "Le chemin de l'excès mène au palais de la sagesse. Il importe peu qu'un homme prenne la bonne route ou la mauvaise, pourvu seulement qu'il la suive avec sincérité et dévotion, jusqu'à sa fin, car toute route le conduira à son but. Ceux qui répriment leur désir, sont ceux dont le désir est faible assez pour être réprimé". Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l’homme pour ce qu’elle est infinie". Mais nous sommes enfermés en nous-mêmes, à tel point que nous ne percevons plus que par les "fissures étroites de la caverne", écrit Blake se souvenant de sa lecture de Platon. De notre époque il avait tout prévu et de la sienne tout compris. Il ne fut pas entendu de ses contemporains qui, mis à part quelques esprits amis, l’ignorèrent. Il fut même jugé fou en raison de ses visions et parce qu’il s’entretenait avec les esprits, il ne s’en cachait pas, tout au contraire. Il vécut pauvre et incompris, sans pourtant jamais renoncer à sa vision, à sa mission, à laquelle il consacra l’essentiel de son art, de sa vie. Newton, Bacon, Locke étaient ses bêtes noires, ses ennemis déclarés et, selon lui, ceux du genre humain, même si dans ses écrits tardifs, à la fin de Jérusalem, ils bénéficient de la réconciliation universelle, la science venant se ranger aux côtés de la poésie dans l’harmonie des contraires. Newton, que représente une saisissante gravure de Blake, assis dans les eaux de la matière, mesure l’univers à l’aide d’un compas. C’est le monde de la "vision simple", expliqué, mesuré, mis en ordre, monde géométrique fait de particules de matière dure et solide, alors que Blake les voit brillantes comme des "joyaux de lumière". Celui de l’économie moderne et des "sombres moulins sataniques" qui broient et écrasent l’homme, celui d’hier comme d’aujourd’hui. Froideur rationnelle de la science divorcée de l’imagination, le système qui comptabilise et uniformise, c’est la technologie nouvelle et la production industrielle exclusivement occupée du nombre et de la masse. Non que Blake ait détesté les découvertes de la science dont il a donné de poétiques descriptions. C’est à ses prémisses qu’il s’attaque, à la prédominance donnée à la raison, domination qui implique l’exclusion de tout un ensemble de savoirs traditionnels considérés comme inadéquats par l’esprit rationnel. Newton est selon Blake l’annonciateur du matérialisme moderne, cette philosophie qui consiste à placer toute réalité non dans l’esprit, mais dans la matière, et que Blake avait donc en horreur. C’était là, a-t-il dit, la maladie la plus grave de l’âge moderne, la cause de notre absence de vision et celle de la mort intérieure de nos sociétés.   "Si les portes de la perception étaient purifiées, toutes les choses apparaîtraient à l'homme telles qu'elles sont, infinies. Car l'homme s'est enfermé, jusqu'à voir toutes choses au travers des étroites fentes de sa caverne". La philosophie matérialiste que combattait déjà Blake n’a fait depuis lors que croître et s’imposer. En 1945, dans un livre intitulé "Le règne de la quantité et les signes des temps", René Guénon écrivait: "Parmi les traits caractéristiques de la mentalité moderne, nous prendrons ici tout d’abord la tendance à tout réduire au seul point de vue quantitatif, tendance si marquée dans les conceptions “scientifiques” de ces derniers siècles qu’on pourrait presque définir notre époque comme étant essentiellement et avant tout “le règne de la quantité”. Mais, plus précisément, Blake s’attaque à ce qui va devenir le mode de fonctionnement principal du monde moderne, "le système", dont il eut à souffrir directement dans son métier et qui repose sur les lois de la marchandisation. C’est la conversion de l’art en argent qu’il accuse. "Partout où on a en vue l’argent, on ne peut justifier l’art, mais seulement la guerre", son enrôlement au service du profit, son évaluation, ainsi que celle de l’homme, en termes de chiffres et de la quantité. Dans son " Adresse publique", une suite de notes écrites après l’échec de l’exposition qu’il avait montée autour de ses propres œuvres et la publication, en 1809, du Catalogue descriptif, il dénonce: la soumission des esprits à l’air du temps, à l’opinion ambiante, aux modes et à tous leurs diktats. Esclavage qui implique alors le renoncement à penser par soi-même, dans la solitude, à l’abri du conformisme général. À son habitude, prenant de la hauteur, dépassant ce moment de l’Histoire, il élargit son propos. Il décèle une tendance à l’uniformisation, le "commerce" nécessitant pour plus d’efficacité la production massive des mêmes biens, et donc alors, bientôt, une forme d’enrégimentement des esprits formés à ce mode de fonctionnement, par la masse. "Le commerce ne peut supporter le mérite individuel. Son estomac insatiable doit être nourri par ce que tous peuvent faire aussi bien. William Blake, dans ses positions était avant-gardiste.    "Sans aucunes contraintes, il n'est pas de progrès. Attraction et répulsion, raison et énergie, amour et haine, sont nécessaires à l'existence de l'homme. Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu’imaginé". La crainte de Blake étant que ceux-là seuls qui savent faire la même chose, et pensent de la même façon, se prêtant aux lois du marché, aient le droit d’exister dans une société uniformisée, parce qu’ils sont des rouages utiles à la machine à produire, tandis que les autres, ceux qui ne sont pas conformes, qui pensent et créent par eux-mêmes, restent en marge de ce vaste mécanisme, ignorés, laissés pour compte. Pour Blake, soucieux au plus haut point de l’intégrité de l’homme, la division des tâches, quand la conception est séparée de l’exécution et que le travail devient purement machinal, était inacceptable. "Une machine n’est pas un homme ni une œuvre d’art, elle est destructrice de l’humanité et de l’art". Une machine, c’est-à-dire l’instrument qui exécute, ou l’ouvrier réduit à accomplir les mêmes gestes, auquel on a ainsi dénié la faculté de penser. Autrement dit, cesser de croire dans le pouvoir de l’esprit revient à se soumettre sans plus de résistance aux lois de l’économie. Celles-là détruisent l’art véritable, ou encore "l’homme véritable", la figure de l’artiste-poète-créateur étant au centre de son œuvre. Au nom de l’argent, elles assassinent la part vivante de lui-même, le transformant ainsi en une "ombre", un "spectre", selon ses propres termes. Épris de la Révolution, il en suivit l’éclosion avec espoir, puis, venue la Terreur, avec désillusion. Bientôt, il cessa de croire dans la politique. "Je suis vraiment attristé de voir mes contemporains se soucier de politique. Si les hommes politiques étaient sages, le plus arbitraire des princes ne pourraient leur faire de mal. S’ils n’ont pas cette sagesse, le plus libre des gouvernements ne peut être qu’une tyrannie. Homme de gauche, il le resta toute sa vie, en révolte contre l’ordre établi, antimonarchiste, anticlérical, pacifiste, défiant l’autorité, ses institutions et ses lois. Pour prophétique que soit sa poésie, elle présente, mêlée au message religieux, une suite de références aux événements de l’époque comme un énoncé de ses espoirs et déceptions. "Dans la vie, sois toujours prêt à dire ton opinion, et le lâche t'évitera".    "L'homme croit voir le monde à travers deux yeux, deux petites ouvertures étroites, et les choses lui apparaissent dès lors limitées et à distance. En réalité, nous ne voyons pas le monde à partir de petites ouvertures, deux petites fissures mais à partir de l'espace infini. Quand on s'éveille à cette vision sans voyant, alors les choses sont unes avec l'infini, deviennent elles-mêmes l'infini". Est-ce à dire que la liberté que revendique Blake et la confiance en l’homme dont elle témoigne autorisent la libération des instincts, tels qu’ils sont liés à "nos corps mortels végétatifs" ? Il n’en est rien. "L’Homme n’a pas de corps distinct de son âme, car ce qu’on appelle corps est une partie de l’âme perçue par les cinq sens. Toute jouissance est d’ordre spirituel. Blake a constaté l’insuffisance de son évangile libertaire, il n’y renonce pas mais chemine au-delà. On ne trouve pas de contradictions avec ses premiers textes. Mais on y découvre un point de plus: le pardon, le pardon absolu, inconditionnel, profond, lié à l’amour. Au bout de grands travaux sur lui-même, assouplissant sa vision pour y faire entrer la promesse d’un salut universel, il se reconvertit au christianisme. Jésus ne meurt pas sur la croix mais il y abandonne ce qui attache l’homme au monde, la sujétion à des lois restrictives et punitives, la soumission au monde sensible qui n’est alors qu’un reflet trompeur, l’attachement au "moi", au faux moi enclos en lui-même, avec son maladif appétit de puissance,"the satanic selfhood". Dans cette dépossession de soi se réalise la plénitude. Rouvrir les fontaines de lavie, rendre l’homme à lui-même et à la joie qui est en lui, telle est la mission du poète. La poésie, qui "nie et détruit la limite des choses, a seule la vertu de nous rendre à son absence de limites", écrit Georges Bataille. C’est par la poésie que Blake entendait délivrer l’homme de la geôle où il est enclos, lui restituant la vision double, c’est-à-dire le pouvoir dont il dispose, qui est de percevoir en lui-même l'essence de la vie.    "La prudence est une riche et laide vieille fille à qui l'incapacité fait la cour. Autrefois, les poètes de l'antiquité peuplaient le monde sensible de dieux et de génies, auxquels ils donnaient les noms, et qu'ils revêtaient des attributs, des bois, des ruisseaux, des montagnes, des lacs, des peuples, des cités, et de quoi que ce soit que leurs nombreux sens élargis pussent atteindre". Blake lui-même sacrifia ainsi ambition, argent, reconnaissance à sa conception de la poésie et du divin, qu’il voulut mettre au service de tous. Ce fut sa vertu, écrit Bataille, de dépouiller la figure individuelle de la religion comme de la poésie et de leur "rendre cette clarté où la religion a la liberté de la poésie, la poésie le pouvoir souverain de la religion". Livré à un matérialisme écrasant, passif, emprisonné, l’homme, écrit W.B. Yeats, que Blake inspira, "cogna à la porte". Il y cogne toujours. Mais Blake ne prône aucune liste de vertus, nulle recette, nulle règle de conduite. Il se contente de dénoncer le faux et d’exalter le vrai, qui loge dans l’esprit poétique. Dans cette vie, à ce stade de l’Histoire, l’esprit nous parle uniquement dans les révélations de la poésie. Elle seule est capable de dévoiler à l’homme la réalité de ses enfers et de ses ciels. La nouvelle "bonne nouvelle" est que la joie est en nous, et qu’elle n’est pas une question de circonstances mais de vision. "La joie que nous avons en vue ne tire sa dépendance d’aucun objet extérieur, elle arrache l’homme aux contingences, le hisse au-dessus de lui-même et ouvre devant lui la voie qui mène à la vraie vie". La vision poétique, consistant à percevoir le vivant, possède le pouvoir de nous conduire hors de nos enfers vers le ciel que des moments privilégiés nous ont fait entrevoir. "L’Enfer est ouvert au Ciel". En même temps, il fait figurer dans plusieurs expositions de l'Académie royale des peintures allégoriques, historiques et religieuses. Il publie en 1790 "The Marriage of Heaven and Hell", satire du "Heaven and Hell" de Swedenborg. Ses quarante dessins gravés par Luigi Schiavonetti pour une édition du poème "The Grave" (1808) de Blair sont très admirés,de même que sa grande estampe, le "Pèlerinage de Canterbury" (1809). Sa mort, le douze août 1827, à l'âge de soixante-neuf ans, interrompt l’illustration de "The divine comedy" (1825-1827) de Dante. Il est enterré, en compagnie de sa femme, au cimetière de Bunhill Fields, dans la banlieue Nord de Londres.     Bibliographie et sources:   - Gerald Eades Bentley, "William Blake" - John Johnson, "Memoirs of the Life of William Blake" - Hervé Le Tellier, "William Blake poesy" - Peter Ackroyd, "Life of William Blake" - Pierre Boutang, "William Blake: manichéen et visionnaire" - Armand Himy, "William Blake, peintre et poète" - Christine Jordis, "Vision prophétique de William Blake" - John Yau, The wild children of William Blake" - François Piquet, "Blake et le sacré" - Kathleen Raine, "Imagination chez William Blake" - David Worrall, "William Blake et ses mécènes"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 22/02/24
La semaine dernière, j'ai enfin pris les devants. J'ai décidé de la punir sévèrement pour une faute qu'elle avait commise. Je lui ai exposé sa sentence sans détour : 40 coups de martinet, administrés avec vigueur pour sa désobéissance. Chaque coup était une démonstration de ma domination, un ballet sensuel mêlant autorité et désir. Chaque coup était comme une caresse interdite, lui rappelant qui était le maître. Après chaque coup, elle murmurait des remerciements, avide de plus. Une fois les 40 coups infligés, je l'ai fait s'agenouiller face au mur, les mains derrière la tête. Prenant ma carte bleue, je l'ai plaquée contre le mur, détaillant la suite de sa punition. Elle devait tenir cette position pendant 20 minutes, en équilibre précaire, la carte pressée contre son front. Chaque fois que la carte tombait - et elle est tombée pas moins de 3 fois - 10 fessées supplémentaires venaient s'ajouter.  Pendant ces 20 minutes intenses, je l'ai tourmentée avec son vibromasseur et mes doigts, la conduisant au bord de l'extase à maintes reprises, sans jamais lui accorder le soulagement tant désiré. A chaque limite franchie, je marquais une pause, savourant le pouvoir absolu que j'avais sur elle. Malgré ses pleurs et ses supplications, j'ai persévéré, la guidant jusqu'au bout des 20 minutes. À la fin, épuisée mais comblée, je lui ai enfin permis de lâcher prise, de jouir sans retenue, avant de la laisser s'effondrer en larmes, submergée par la gratitude et la satisfaction.  
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Par : le 16/02/24
Tu as gainé tes formes généreuses de quelque dentelle et voile transparent Je devine quelque lingerie bien choisie, piège à peine dissimilé pour ton amant A cette vision, mon cœur bondit d’amour, tu devines mon désir ému Je te voulais séduisante, je te vois désirable, je te veux déjà nue,  Tu es si belle, amante séduisante, hôtesse prévenante, maitresse délurée Cette soirée est si douce mais si interminable de promesses inavouées Alors je jouerai ton jeu, comme si c’était la première fois, je veux te conquérir  Plus que nos mains, nos mots d’abord innocents trahissent l’envie de séduire Comme deux adolescents, nous retrouvons l’émotion de la première fois,  Comme deux amants, nous savons l’issue de cette rencontre avec émoi   Je vois chaque courbe de ton corps comme un nouvel horizon à conquérir Je veux chaque parcelle de ta peau comme un territoire que je veux asservir A chaque mouvement, tes bas crissent comme un archer sur mon impatience À chaque pas, tes fesses à peine couvertes ondulent avec éloquence A chaque regard, tes yeux sourient et enjôlent mon cœur avec défi A chaque mot, tes seins frémissent et m’haranguent en autant de préavis  Tu es chatte qui joue avec la souris, je suis souris qui rêve de dévorer le chat Je suis serviteur soumis à sa maitresse, tu es lionne en habits de geisha A la lueur des bougies, tu deviens rêve, tu deviens ombre mystérieuse La moindre courbe de ton corps se gave de cette lumière parcimonieuse  Je me repais de ta vision merveilleuse, je profite de ces instants préliminaires Je frémis à notre future escarmouche, mais je suis déjà soumis à mon adversaire Je sais déjà que je vais me rendre à ta raison, me soumettre docilement à ta loi Je serai esclave servile de ton plaisir, tu seras concubine gardienne de ma foi Mais avant de te concéder cette future victoire, il nous faut ouvrir la joute Je dois lancer l’offensive, fourbir mes armes malgré mon inexorable déroute Je suis mâle et tel est mon destin, je suis amant et telle est ma raison Tu es femme et telle est ton attente, tu es amante et je te dois passion J’effleure tes épaules fines vers ton cou frémissant à mes chuchotements Je mordille tes lobes et lèche tes oreilles, tu trésailles de ravissement Mes lèvres effleurent tes joues rosies et trouvent ta bouche entrouverte Je t’embrasse et je savoure cette victoire de te trouver presque déjà offerte Mes mains découvrent ton dos vers la douceur de tes fesses rebondies Ta peau si fraiche me fait chavirer, ta chair si douce me met en appétit Tes doigts viennent à la rencontre de mon désir, je te suis déjà dévoué En quelques passes adroites, nous voici nus et nos corps sont libérés   Tu t’exhibes devant moi, mon désarroi t’amuse, tes mains soulignent ta nudité Mes yeux rencontrent tes seins, ton ventre, tes cuisses et ton pubis rasé Cette vision me trouble et je viens poser mes lèvres sur ton secret révélé Tu agrippes mes cheveux pour guider mon visage contre ton ventre dévoilé Puis tu rejoins le lit pour mieux m’attirer dans le piège de ton envie Tu empoignes mon être, tu caresses mon membre dressé, tes yeux me défient Tes mains flattent mes couilles frémissantes, tes lèvres effleurent ma queue,  Je m’accroche à tes cheveux, je regarde ta langue gravir mon épieu, Soudain tu me gobes brutalement avec gourmandise et tu souris de me posséder Je me rends à ta domination, je m’offre à ta possession, je suis ta chose, ton jouet Ta bouche sur mon membre est si douce et chaude que mes sens me dévorent Nos regards se croisent, alors que sans aucune pudeur tes mains m’explorent Tes yeux m’interrogent avec provocation, tes doigts cherchent d’autres voies Tu revendiques mon plus intime comme ton fief, je me soumets à cette nouvelle loi Tu brandis le membre factice que je te destinais, ton nouvel allié traitre à ma cause Ce gourdin prêt à en découdre, je le sens déjà en moi, je suis déjà sous son hypnose  J’implore toutefois ta clémence mais je suis déjà impatient de recevoir l’artifice  Tu es clémente, tu consens à lubrifier la chose pour assurer sa faculté de glisse Tu affutes ta dague et tu l’enfonces en moi sans pitié en instrument de ton office Je te reçois par son entremise, je t’accueille avec humilité tant tu forces mon orifice A chaque offensive de ta bouche répond une charge du gredin expert entre mes reins Je ne sais te résister, je ne sais te remercier, je ne sais que t’encourager, moi le pantin Je caresse tes cheveux, je ne peux encore te montrer autrement combien je t’aime Mon corps entier tremble de plaisir, mais je sais que ce n’est que le premier thème Tu jubiles de cette empalement réciproque, duel sans vaincu mais à deux vainqueurs Pourtant ton exploit n’est qu’un avant-goût de futures batailles aux enjeux supérieurs Tu joues avec le feu qui me consume, tu ris de me voir pantelant sur ton glaive, déjà défait Me sentant défaillir, tu t’écartes de mon fleuret et tu me tends un sourire brillant et satisfait Non, c’est trop facile, tu exiges un adversaire à ta valeur, tu réclames la contre-offensive Tu veux à ton tour subir ma charge, tu veux être à ma merci, subir ma loi possessive    Doucement, tu me quittes pour mieux m’inviter à t’assiéger, tu revendiques ton plaisir Ton acolyte me délivre et s’écarte avec respect, pas trop loin, il peut encore servir Tu t’étends sur le dos, ton ventre impudique exhibé, tes doigts jouent dans ta fente Tes pieds gambadent sur mon ventre et s’emparent de ma queue si obéissante Tu m’ordonnes de m’incliner, je deviens ton vassal, tu exiges preuve de ma dévotion Je m’agenouille entre tes cuisses impatientes, ta fontaine dispense déjà sa douce potion Alors que tu caresses ton ventre, que tes doigts initient ta vulve aux futurs mystères Tu me souffles de te montrer adoration, tu m’intimes de te baiser depuis la terre  Mes lèvres entament l’ascension de tes jambes et glissent vers ta source inexorablement  Je suis la courbe de ta cheville, tu m’enserres de tes jambes, tu m’attires fermement Le bas me fait barrage mais m’excite à la fois, bientôt j’atteins ta peau au goût de brise Tu gémis lorsque je rallie ce nouveau territoire, tes cuisses me poussent en terre promise Je parviens enfin au but, je flaire ta nudité, je goûte ta féminité, je suis au commencement Je lape ton essence avidement, je suce ta chair et lèche ta substance avec ravissement Ma langue s’aventure vers le plus intime de toi, mes doigts te fouillent et ton corps se tend Tu saisis tes fesses pour t’écarteler encore et élargir la voie à mes hommages insistants Tes reins ondulent du désir de mon exploration, tes gémissements se font encouragements Ton sexe palpite du plaisir de ma perquisition, tes halètements deviennent commandements Tu m’enjoins de te caresser au plus profond, tu m’ordonnes de maintenant te pourfendre Je ne sais où te combler, dois-je me multiplier ? Je ne sais de quel instrument te prendre Finalement je m’assure d’un précieux duo d’auxiliaires zélés, à ton impérieuse requête J’enduis les duettistes et te pénètre doublement, alors que tu encourages ma conquête Tu te laisses aller à cette double pénétration avec volupté, au comble du renoncement Je me délecte du spectacle de ton corps ainsi supplicié, au comble du ravissement Tu m’appelles près de toi, je te rejoins, tu me réclames et je m’approche plus Ta demande est décidément gourmande, mais soit, j’autorise que tu me suces   Tu es belle ainsi criblée et j’exulte de te soumettre ainsi à mon asservissement Je te vois esclave et je me crois bourreau mais l’évidence s’impose finalement Je ne suis pas seigneur de ces tortures, tu es seule maitresse de ces instants précieux Même alors que tu jouis avec violence et sans retenue, je ne suis qu’un laquais envieux Haletante, tu réclames, tu appelles, tu convoques, tu m’ordonnes de te prendre Je décide de me venger de ton plaisir, je veux l’initiative, je vais te faire attendre Je chasse alors mes assistants tortionnaires devenus importuns et libère tes intimités Ma langue tyrannique affole ton précieux bouton et je caresse ton minou détrempé Avec délectation, je lèche une dernière fois le nectar de ta source en guise d’adieu J’entreprends alors l’assaut de ton corps sans défense, seulement armé de mon pieu Je rampe et arpente ton territoire nu, ma poitrine effleure ton chaton encore béant Je ne suis pas pressé, je sais que bientôt mon sabre y trouvera un fourreau accueillant J’atteins les douces collines de tes seins gonflés, tu me tends tes fiers mamelons Je m’attarde, je mordille l’un, je lèche l’autre, je suce et je gobe tes tendres tétons Puis je gravis ton cou, je croque tes lobes avant de conquérir ton visage Tu me souffles des mots d’encouragement, je souris de te voir si peu sage Je caresse tes lèvres de ma langue, je caresse tes lèvres de mon hampe A bout de désir, tu coupes court à mon jeu, tu m’empoignes, impatiente Un instant suspendu, tu sembles hésiter sur la destination du précieux membre Tu palpites encore au souvenir de mes deux gredins, tu les sens encore te fendre Je me glisse entre tes cuisses, je me présente contre ta vulve radieuse, tu frémis Je me glisse entre tes fesses, je me propose contre ton œillet épanoui, tu gémis Finalement à mon grand dam, tu guides résolument mon pal vers ta chatte  Comme je tergiverse, tu t’empares de mes fesses et m’enfonces à la hâte Tes râles accompagnent ma poussée, ton corps se cambre pour me recevoir Je commence à aller et venir en toi et tu gémis sous mes coups de boutoir Ton sexe est si humide, si chaud, si accueillant, tu m’encourages à t’enfiler Je te baise avec amour, je te fais l’amour avec violence, je t’aime à te déchirer Mais cette bataille aussi n’a qu’un temps, bientôt nous aspirons à d’autres mêlées Doucement, tu m’invites à basculer, je t’obéis et glisse hors de toi sur le coté  Tu m’enfourches brutalement, telle une amazone dans une farouche chevauchée,    Je te réclame patience et retenue, il est trop tôt pour exulter, je réclame ta pitié Tu reviens à la raison, tu m’accordes répit et tu me montes alors avec chasteté Tu joues de ton bassin, tu ondules en me souriant et te cambres, tu es majesté Sur le champ de nos batailles, le calme salue ton avantage, la trêve est bienvenue Mon amour, accordons-nous un instant de douceur, viens le long de moi avec retenue Je caresse tes seins, tu caresses mon torse, je caresse tes fesses, tu m’embrasses Nos sexes se fondent doucement, nos corps communient tendrement, je t’enlace Dis-moi tes envies, chuchote-moi tes désirs, murmure-moi tes exigences Je serai ton majordome servile, le domestique appliqué à ta seule jouissance   Tu me prends au mot, tu acceptes mon allégeance, tu seras donc ma souveraine Tu te redresses, me domines de ta splendeur et décides de ma nouvelle peine Je suis condamné à souffrir encore ton serviteur infatigable tandis que tu me recevras Ma foi, cette condamnation me sied, j’imite la résignation accablée mais j’en salive déjà De nouveau ton regard me défie, je te donne ma bénédiction et je me réjouis De nouveau, tu convoques ton lieutenant qui doit être convenablement enduit Je sens le coquin guidé par tes soins entre mes fesses, je feins le refus mais je capitule Ton regard indomptable me transperce aussi fort que ton artifice implacable m’encule Finalement, tu te lasses de me chevaucher, tu abandonnes mon dard pour te retourner Tu te renverses pour m’offrir ton cul à lécher, et tu t’emploies à mieux me sodomiser Je deviens fou lorsque tu me tends l’autre coquin et m’invites à te rendre la pareille Mon application paye, vous êtes si humides qu’il n’est nul besoin d’enduire l’appareil Alors que ma langue te lèche la chatte, le précieux auxiliaire me relaie au plus profond de toi Sans autre forme de procès, ta bouche confisque mon phallus tendu tandis que je te bois Tu me suces goulûment, tu me branles avidement, mon cul s’offre à ton appendice Tes reins accueillent mon gode, je te masturbe ardemment, je te lèche avec délice   Alors que notre frénésie porte nos corps et nos âmes vers d’autres rivages Notre plaisir nous rejoint au plus fort de notre soumission réciproque et sauvage Tu te cabres comme une pouliche effrayée alors que tu laisses éclater ta jouissance Ton plaisir m’inonde alors que ta bouche libère ma sève qui explose avec puissance Ton plaisir s’écoule sur mon visage alors que tu t’effondres sur mon corps   Ma semence s’écoule de tes lèvres alors que tu me dévores Je flatte ta croupe fourbue, mes mains pleines de ton essence caressent tes reins Tu embrasses mon étalon harassé, tes doigts pleins de ma liqueur massent tes seins Ta fontaine éventrée s’offre à mes derniers baisers, tu joues de mon manche brisé Tu rampes pour venir te blottir dans mes bras, tu agaces mes tétons encore dressés   Je caresse tes fesses et glisse distraitement un doigt au plus humide de ta raie Tu ondules pour ma faciliter l’accès à cette issue en toi trop rapidement délaissée Tu poses ta cuisse en travers de moi, ton sexe ruisselle sur mon ventre Tes doigts cajolent doucement ma verge déconfite et tremblante   Attention, je crois que ça pourrait me redonner envie de toi…     
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Par : le 13/02/24
Muriel Ojeda se dresse en figure de proue avec une histoire aussi singulière qu'inspirante. À travers son livre autobiographique, Chroniques d'une femme ordinaire, ou comment le sadomasochisme a sauvé mon âme, elle dévoile sans tabous comment cette pratique lui a non seulement permis de rompre avec le cycle de l'ennui mortel qui emprisonnait sa vie, mais lui a aussi permis de se redécouvrir et de s'affirmer. Mère de famille et professionnelle accomplie, Muriel n'était pas prédestinée à devenir une voix emblématique dans l'exploration du BDSM. Pourtant, sa quête de sens et d'équilibre l'a conduite sur ce chemin peu orthodoxe. Elle y a trouvé non seulement une échappatoire à une existence qui lui semblait préfabriquée, mais aussi une manière de renouer avec elle-même, loin des carcans sociétaux. L'histoire de Muriel est avant tout celle d'une transformation intérieure, catalysée par des circonstances de vie extrêmes, notamment un combat contre le cancer qui l'a confrontée à une remise en question brutale de son identité féminine et de sa place dans le monde. C'est dans cette période de vulnérabilité absolue que le BDSM est apparu comme un salut, une manière de reprendre le contrôle sur son corps et sa psyché, à travers des expériences qui, bien que pouvant paraître extrêmement violentes aux yeux du profane, sont encadrées par les principes de consentement mutuel et de respect. Ce que Muriel souligne à travers son récit de ses,expériences de domination et de sado-masochisme, c'est la dimension profondément humaine et libératrice du BDSM, lorsqu'il est pratiqué de manière saine et consensuelle. Elle met en lumière la manière dont ces pratiques, souvent mal comprises, peuvent servir de vecteur à une connaissance de soi accrue, à une affirmation de ses désirs et de ses limites, et finalement, à une forme d'épanouissement personnel. Le parcours de Muriel Ojeda est un témoignage puissant sur la capacité de l'individu à se réinventer, à trouver dans l'adversité les clés d'une renaissance. Son livre n'est pas une apologie du sadomasochisme, mais plutôt une invitation à dépasser les jugements hâtifs pour comprendre la complexité des chemins de vie. Elle y aborde avec franchise et courage son parcours, dans l'espoir d'éclairer, de rassurer, et peut-être d'inspirer. Muriel Ojeda, à travers son courage et sa sincérité, rappelle que l'authenticité et la quête de bonheur sont des valeurs universelles, qui peuvent prendre des formes inattendues. Son histoire est un appel à l'ouverture d'esprit, à la bienveillance envers soi et envers les autres, et à la reconnaissance de la diversité des parcours de vie comme autant de richesses humaines. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.      
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Par : le 10/02/24
Bonjour à tous, je vais vous raconter l'expérience où j'ai pris le plus mon pied avec ma femme. Il y a quelque été de ça m'a femme qui aussi ma dominatrice et moi, nous avons décidé de partir faire une balade en quad en forêt. Après une bonne heure de balade nous nous sommes arrêté dans un coin calme sans personne pour nous reposer, enfin ce que je croyais. Ma femme a décidé de faire une séance de domination soumission en plein air en pleine nature, elle m'ordonna de me mettre nu à genoux devant elle, chose que j'ai faits immédiatement. Elle était assise sur le quad face à moi, elle me regardait avec mépris, et me dit d'un air autoritaire: "retire mes chaussures délicatement et renifle mes pieds larbin". J'ai donc fait ce qu'elle m’a dit, j'ai reniflé ses pieds qui étaient nus dans ses baskets avec la chaleur elle sentait des pieds et elle souriait en me regardent faire. Je lui reniflais ainsi que léché les pieds avec passion, elle me l'ait frotté sur mon visage pour que l'odeur reste sur moi puis elle se rapprocher de moi pour me crachera la figure et m'envoyer un bâton à travers les bois pour que je cours comme un chien pour le lui rapporter. Elle a continué ma séance de dressage en me faisant renifler sa chatte humide et son anus transpirent tout en asseyent sur ma figure elle les frottait toujours pour que les odeurs restent sur moi elle crachait en même temps et tout en se frottent elle étalait sa bave sur toute le surface de ma figure jusqu'au moment où elle s'est arrête et a collé sa chatte poilue et humide de mouille et se salive au niveau da ma bouche et s'est soulagé de son liquide doré et chaud dans ma bouche tout en me disent:"n'en perd pas une gouté larbin". J'étais recouvert de pisse de bave et de ses odeurs intimes. Elle m'a ensuite obligé à me faire moi-même pipi dessus, puis elle m’a fait mettre à 4 pattes sur le quad lui offre mon cul et à commencer à me pénétrer avec ses doigts pour finir avec 4 de ses doigts dans mon anus, elle faisait des vas et viens de plus en plus vite je gémissais comme une chienne j'avais les jambes qui en tremblaient, elle me demandait de crier que j'aimais ça et que j'étais et que je suis toujours je tiens à le préciser une grosse salope. Et pour finir après m'avoir bien défoncé le cul elle m'a sucé en me titille le bout des seins chose qui m'excite énormément pour me faire gicler dans sa bouche et me le recracher dans la mienne et sur la figure. Voilà une de mes expériences le plus où on a pris notre pied.   PS: jhomme soumis.
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Par : le 03/02/24
Dans l'ancienne Grèce, Artémis, la déesse de la chasse et de la nature sauvage, régnait en tant que puissante divinité. Sa beauté était légendaire, avec des cheveux sombres comme la nuit et des yeux étincelants comme les étoiles. Elle était vénérée pour sa force et son indépendance, mais au fond d'elle-même, un désir brûlant grandissait, un désir de pouvoir et de domination. Artémis se sentait attirée par les récits des pratiques sensuelles qui se déroulaient dans les temples dédiés à Aphrodite, la déesse de l'amour et de la passion. Les murmures de ces histoires éveillaient en elle un besoin insatiable d'explorer les plaisirs interdits, de trouver un soumis qui succomberait à ses désirs les plus sombres. Un jour, alors qu'elle se promenait dans les bois, Artémis aperçut un jeune homme du nom d'Alexandros. Il était beau et vigoureux, avec des traits qui rappelaient les héros légendaires des mythes grecs. Intriguée par sa présence, Artémis sentit une énergie magnétique se développer entre eux, une connexion qui ne pouvait être ignorée. La déesse décida de mettre à l'épreuve Alexandros, de voir s'il serait capable de répondre à ses attentes érotiques les plus intenses. Elle le conduisit dans un lieu secret, un temple oublié où les murs étaient ornés de fresques dépeignant des scènes de plaisir et de domination. L'air était empreint d'une sensualité enivrante. Artémis, vêtue d'une robe légère qui soulignait sa silhouette divine, se dévoila peu à peu devant Alexandros. Elle lui raconta ses fantasmes les plus sombres, ses désirs de contrôle et de soumission. Alexandros, subjugué par la déesse, se sentit attiré par cette aura de pouvoir et d'érotisme. Dans le temple sacré, Artémis et Alexandros se livrèrent à des jeux intenses de domination et de soumission. Artémis utilisait des chaînes en or pour attacher Alexandros, l'immobilisant dans une position de totale soumission. Elle prenait plaisir à le taquiner, à le caresser avec des plumes douces avant de le punir avec des lanières de cuir. Les scènes se succédaient, mêlant douleur et plaisir dans une danse sensuelle. Artémis guidait Alexandros vers des sommets de jouissance qu'il n'avait jamais connus auparavant. Elle explorait chaque recoin de son corps, découvrant ses zones les plus sensibles et les utilisant à son avantage. Les échos des gémissements d'Alexandros résonnaient dans le temple, se mêlant aux prières des dévots qui vénéraient les dieux. Artémis, dans toute sa puissance et sa beauté, trouvait enfin un équilibre entre sa nature sauvage et son désir de domination. Chaque rencontre entre Artémis et Alexandros était une célébration des plaisirs les plus profonds et les plus tabous. Ils transcendaient les limites du temps et de l'espace, plongeant dans un royaume où le passé et le présent se confondaient, où le plaisir et la soumission étaient éternels.
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Par : le 01/02/24
Ce matin, j'étais tout exité. Après plusieurs semaines de realtion par messages, j'allais enfin rencontrer pour de vrai ma Maîtresse. On a beaucoup échangé, et je suis certain qu'elle saura être attentive et en meme temps suffisament sévère, une bonne Maîtresse. J'arrive devant son appartement, je sonne, et la, elle ouvre la porte : Elle est très belle dans sa robe de latex, et elle respire la domination et la fermeté. Elle me dit "Entre !". Je m'execute, et elle referme la porte sans rien dire de plus. Puis, elle me dit "Mets toi nu, a genoux et les mains sur la tête, Je vais chercher tes nouveaux habits !". Nous étions convenu pour trois jours de soumission de ma part, pour voir si le courant passe, et je trouve que ça commence très bien, je sens que je vais avoir du plaisir à être aux pieds de cette divine Maîtresse. Après plusieurs minutes, elle arrive, avec une robe de soubrette , des talons hauts, une couche et des menotes de tailles variées. Mon sexe est déjà, comme convenu, en cage de chasteté, et il le sera pour les trois prochains jours. Elle me fait mettre debout, m'enfile la couche, la robe, me met les chausures à talon, et puis me menotte. Après ça, elle me dit "A quatre pattes", et je la sens me mettre un collier. Puis, attachant une laisse à mon collier, elle commence a m'emener ver l'interieur de son appartement. Tout en marchant, elle commence à me parler : "Voila, ma chienne, tu t'apelle dorénavent petite pute, ou tout autre surnom qu'il me plaira de te donner. Tu as pu remarquer que tu porte une couche, ça veux dire pour toi que les toilettes sont interdits. Si tu veux faire tes besoins, c'est dans la couche. Tu devra m'appeller Maîtresse, te prosterner pour me parler, et répondre à toutes mes exigences, sans jamais désobéire; je sais punir les rebelles et les insolents de ton genre. Tu dormira dans une cage, et ton plaisir n'est pas toléré, seul compte le mien, c'est bien compris ?", je répond "Oui Maîtresse.".Elle reprend : "Bien, ma salope, je vais sortir, je veux que tu fasse le menage.". Puis, sur ces mots, elle prends son manteaux, et sort, me laissant seul. Ma première mission, trouver les outils de ménage, est rapidement accomplie. Les deux heures qui suivent, je brosse, balaie, netoie et range son appartement. Quand elle revient, je suis en train de terminer, et là, elle arrive et me dit "C'est l'heure de changer ta couche, viens", et elle me remet ma laisse. Elle me mene dans une piece ou trone un pilori et d'autres meubles bdsm, elle s'alonge sur un lit recouvert d'un drap en plastique, et me dit : "Allez, esclave, enleves ma couche, et prends en soin". Surpris d'abbord, je vois à son regard qu'elle ne plaisante pas. "Moi, je porte une couche pour le plaisir, contrairement à toi, toi tu en a besoin, espece de petite pute incapable d'être propre" rajoute-t-elle. Docile, j'enleve sa couche, et la mets de coté, puis, avec des lingetes, j'entreprend de netoyer ses fesses et son sexe. Alors que j'ai presque fini, elle tire fort sur ma laisse, me met la tête dans ses fesses, et me pête au visage. Sans me laisser de répit, elle met mon visage sur son sexe, et m'ordonne de lecher. Je m'execute, soumis a sa volonté. Quand elle a atteint son orgasme, elle m'ordonne de lui mettre une nouvelle couche, et, apres m'être executé, j'amorce un mouvement en direction de la couche salle, dans l'objectif de la jetter. Elle me met alors une giffle, puis, en tirant fort sur ma laisse, elle me hurle "Qui t'as dit de faire ça, salope ?"; puis elle me crache au visage, et me tire vers la croix de saint-André, qui était au fond de la salle. Après m'avoir solidement attaché, elle entreprend de m'enlever ma couche. elle la pose par terre, elle me netoie les fesses, et le sexe, puis elle saisi sa couche sale, qu'elle vient de porter, et me l'enfile. Quelle humiliation, et quelle plaisir, de sentir sa couche encore tiède, et souillée, quel bonheur de sentir ses excrements s'étaler sur ma peau. Après ça, elle me laisse attaché pendant plusieurs minutes, puis revient, me détache, et, toujours en laisse, m'amene vers le salon. Elle me pose une gamelle, par terre, remplie de nouriture, et m'ordone de la manger. Une fois mon repas fini, elle m'annonce que je vais être puni pour ma désobéissance de tout à l'heure. Elle me montre un pilori de contrainte, et m'attache dessus. Elle s'assoie sur le canapé, pose ses pieds sur moi, et commence a regarder la télé en mangeant. Plusieurs heures plus tard, elle a fini de regarder son émission, et me mene dans une cage, puis éteind la lumiere et me laisse là pour la nuit.
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Par : le 28/01/24
Nous nous sommes rencontrés sur un site BDSM,nos échanges d'idées et de désirs ont débuté. Nous avons ensuite décidé de développer nos scénarios et envies à travers des conversations enflammées sur WhatsApp.  Chaque message était une nouvelle étape dans notre exploration mutuelle, une plongée audacieuse dans les profondeurs de nos fantasmes. Nos voix se sont découvertes lors de nos premiers échanges téléphoniques, et bien que le ton de notre discours verbal soit moins enflammé que celui de nos échanges écrits, nos désirs étaient toujours palpables.  Les mots prononcés à voix haute étaient teintés de promesses et de désirs. Après des semaines d'échanges intenses, nous avons décidé de nous rencontrer autour d'un verre Nous avons choisi un lieu discret, propice à l'exploration de nos pulsions les plus profondes. Nous nous sommes salués avec une complicité évidente, conscients de l'intensité de nos échanges en ligne. Je vous ai appelé Madame, et vous m'avez appelée Pat, respectant les rôles que nous avions définis lors de nos échanges.  Le désir brûlait dans nos regards, et nos sourires en disaient long sur nos intentions. Pendant cette rencontre, vous avez pris doucement votre place de dominante, et j'ai savouré chaque moment.  Nos conversations étaient ponctuées de regards intenses,de gestes suggestifs et nos mots évoquaient les actes les plus audacieux que nous avions imaginés. Mais,comme toutes les bonnes choses,notre rencontre touchait à sa fin. L'heure de nous quitter approchait.  j'ai voulu vous embrasser tendrement sur la joue. Cependant, vous avez tourné votre visage et nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser passionné. Votre morsure douce mais déterminée sur ma lèvre a renforcé l'intensité de notre connexion,confirmant mon engagement en tant que futur soumis à vos désirs. Nous avons continué à échanger des textes et des photos perfectionnant notre futur rendez-vous dans les moindres détails.  Chaque message était une promesse de plaisir et d'excitation alimentant notre anticipation pour notre prochaine rencontre. Et ainsi,le jour tant attendu est arrivé. Nos corps frémissants, nos esprits embrasés, nous nous sommes retrouvés    Dès mon arrivée,vous m'accueillez avec un regard brillant d'une lueur dominatrice. D'un geste impérieux,vous me guidez vers un espace que vous avez préparé pour notre rituel de soumission. Sans un mot vous commencez à déboutonner lentement ma chemise,vos doigts glissant avec une précision calculée. Chaque pression légère de vos doigts sur ma peau fait naître en moi un mélange d'excitation et d'appréhension. Une fois ma chemise retirée que vous laissez tomber négligemment au sol,votre regard se fixe sur mon torse dénudé. Vos mains expertes continuent à m'explorer,dégrafant ma ceinture et ouvrant lentement mon pantalon. Puis tirez délicatement dessus le faisant glisser lentement le long de mes jambes jusqu'à ce qu'il repose en un amas de tissu à mes pieds.  Je me retrouve alors en sous-vêtements,exposé devant vous,ma vulnérabilité grandissante à chaque instant. Vos yeux scrutent chaque centimètre de ma peau, parcourant chaque détail avec une attention obsessionnelle.  Votre regard s'attarde,vous approchez votre visage près de mon cou,laissant vos lèvres effleurer ma peau,me faisant frissonner d'anticipation. D'une main ferme vous caressez mon torse,vos doigts dansant sur ma peau avec une précision hypnotique.  Vous explorez chaque courbe,chaque creux,comme si vous cherchiez à graver mon image dans votre esprit.  Votre toucher est à la fois doux et possessif,éveillant en moi un mélange de désir et de vulnérabilité. Descendant ensuite lentement vers mon bas-ventre,vos doigts traçant des cercles sur ma peau, provoquant des frissons le long de ma colonne vertébrale. Votre main glisse plus bas,atteignant l'élastique de mon sous-vêtement.Vous tirez dessus avec une lenteur calculée révélant peu à peu dans toute ma nudité. Vos yeux fixés sur mon intimité dévoilée,vous ne laissez rien échapper à votre inspection.  Vous observez chaque détail captant la moindre réaction de mon corps sous votre regard intense.  Je me sens complètement exposé, vulnérable à vos yeux avides d'exploration. Satisfaite de votre inspection,vous vous reculez légèrement un sourire étirant vos lèvres. Vous avez complètement pris possession de mon corps,l'ayant exploré en détails.  Les moments ardents que nous partageons renforcent notre connexion et dévoilent la dynamique de votre domination. Vous me guidez nu vers la salle de bain,votre main fermement posée sur mon épaule. Chaque pas que nous faisons renforce votre contrôle sur moi,ma soumission grandit. Vous allumez l'eau chaude,créant une atmosphère de chaleur et de vapeur.  D'une voix ferme et dominante, vous me commandez de me placer sous le jet d'eau,m'ordonnant de me tenir droit et les bras le long du corps.  Je me sens vulnérable et exposé,conscient que vous avez le plein contrôle sur moi et que vous allez me laver selon vos désirs. Une fois terminé vous me guidez hors de la douche d'un geste ferme et déterminé m'enveloppant dans une serviette douce et moelleuse. Vous ne laissez aucun centimètre de mon corps humide échapper à votre attention. Votre regard intense fixé sur moi, vous prenez le temps de sécher chaque parcelle de ma peau, vos mains fermes glissant avec une précision calculée,chaque contact de la serviette sur ma peau est empreint de votre fermeté  Séché, je me tiens là,exposé et vulnérable.Je suis pleinement conscient de ma place,entièrement à votre disposition. Mon corps nu étant un symbole tangible de votre contrôle absolu. Vous me prenez par la main et m'emmenez dans la salle à manger,chaque mouvement étant empreint de votre autorité dominatrice. Lorsque nous arrivons,vous m'ordonnez de me tenir au centre de la pièce les jambes légèrement écartées,une position qui me rappelle ma vulnérabilité à votre égard. D'un geste autoritaire, vous sortez de votre poche une cage de chastet un symbole puissant de mon entière dépendance à votre contrôle. Avec une lenteur calculée, vous en ajustez la taille pour qu'elle s'adapte parfaitement à mon sexe,une manipulation qui ne fait qu'accentuer mon excitation grandissante. Je vous observe attentivement captivé par chaque mouvement de votre main ferme, conscient que chaque clic de la cage se refermant est un rappel cinglant de ma soumission complète et de mon incapacité à jouir sans votre permission. Je suis maintenant prêt à me soumettre pleinement à vos désirs les plus profonds, à me perdre dans l'abîme de votre contrôle,à trouver une satisfaction totale dans mon abandon à votre pouvoir. Une fois la cage verrouillée, vous placez les clés dans une petite boîte,scellant ainsi mon sort et symbolisant votre contrôle absolu sur mon plaisir.  Un sourire satisfait se dessine sur votre visage Vous savez que je suis désormais à votre merci,incapable de me libérer de cette cage sans votre consentement. Je réalise avec une pointe d'excitation mêlée à une légère appréhension que je devrai attendre votre permission pour être libéré.Chaque instant passé avec cette cage resserrera les liens de ma soumission. Votre regard pénétrant me fixe, m'envoyant des ondes d'obéissance et de soumission.Je ressens une grande excitation mêlée à une vulnérabilité palpable,conscient que je suis entièrement à votre merci et prêt à vous obéir aveuglément. Je suis prêt à me perdre complètement dans l'abîme de votre contrôle et me laisser guider par votre volonté incontestable. Vous me surprenez en me passant un gode ceinture par-dessus ma cage, créant ainsi une double sensation de restriction et de stimulation. Je ressens la pression de la cage qui emprisonne mon sexe,tandis que le gode ceinture se presse contre moi rappelant ma totale dépendance à votre contrôle. Vous m'attachez ensuite fermement sur une chaise ne me laissant aucune chance de mouvement ou de libération.Mes poignets sont liés par des cordes solides m'immobilisant complètement. Mes jambes sont également attachées, mes chevilles maintenues par des sangles serrées. Je me retrouve complètement captif, incapable de résister. La chaise devient mon univers restreint, où je suis à votre merci.  La cage de chasteté et le gode ceinture sont des rappels constants de ma soumission totale et de mon incapacité à ressentir du plaisir sans votre autorisation. Dans cet état d'immobilité forcée je suis à votre entière disposition, prêt à subir toutes les sensations et expériences que vous choisirez de m'infliger. Mon corps immobilisé devient un terrain de jeu, un moyen de vous exprimer pleinement.  Vous prenez le temps d'admirer votre œuvre, Votre sourire satisfait témoigne de votre plaisir intense à me voir ainsi,complètement à votre merci. Vous savourez l'idée de pouvoir contrôler mes sensations et mon plaisir. D'un geste lent et provocateur, vous commencez à vous dévêtir, faisant tomber chaque vêtement avec une sensualité délibérée.  Chaque pièce de tissu qui quitte votre corps dévoile un peu plus de votre peau douce et désirable.  Votre silhouette se dessine progressivement devant moi, révélant chaque courbe, chaque ligne sculptée à la perfection. Mes yeux sont captivés par votre beauté envoûtante, chaque détail de votre corps éveillant en moi un désir intense et une excitation grandissante. Devetue a votre tour gardant une nuisette à demi transparente caressant délicatement votre peau.Le tissu léger met en valeur vos formes, accentuant la promesse de plaisirs à venir. Chaque mouvement que vous faites est empreint de grâce, un véritable ballet sensuel qui enflamme mes sens.  Votre assurance et votre puissance rayonnent à chaque instant me rappelant à quel point je suis à votre merci. Alors que vous vous approchez de moi,votre parfum envoûtant m'envahit créant une atmosphère enivrante. Je sens mon cœur s'emballer,l'anticipation et l'excitation faisant monter en moi une vague de désir. Chaque pas que vous faites est calculé pour intensifier cette tension électrique entre nous,renforçant le contraste entre ma captivité et votre liberté. Votre regard brûlant se pose sur moi, me transperçant de désir et de domination. Je me sens nu, non seulement physiquement mais aussi émotionnellement,exposé à votre regard impérieux. Chaque fibre de mon être est consciente de votre puissance qui émane,une puissance qui me submerge et me consume. Votre corps dévoilé et votre présence magnétique s'affirmant, c'est une véritable torture délicieuse pour moi.  Je suis captivé par votre charisme, votre domination évidente, et je me perds dans le tourbillon de sensations qui m'envahit.  Dans une ambiance brûlante et chargée d'érotisme, vous vous approchez de moi avec une assurance déconcertante.  D'un mouvement gracieux, vous vous asseyez délicatement sur mes genoux, positionnant votre corps face au mien. Je sens votre présence dominante s'imposer sur moi,votre souveraineté évidente qui éveille en moi une combinaison enivrante d'excitation et de frustration. Votre regard intense se verrouillé sur le mien capturant mon attention et mon désir.Un sourire malicieux se dessine sur vos lèvres, révélant votre plaisir à me voir dans cet état de vulnérabilité totale. Chaque expression de votre visage affirme votre contrôle absolu sur moi, renforçant encore davantage l'emprise que vous avez sur mes sensations et mes émotions. Le gode ceinture en place symbole de votre pouvoir et de votre désir de me dominer accentue mon excitation déjà à son comble.  Je sens sa présence,cette promesse de plaisir et de soumission qui fait battre mon cœur plus rapidement.  Chaque mouvement de votre corps, chaque pression de vos hanches contre les miennes, me rappelle ma place,celle d'un soumis prêt à se plier à vos désirs les plus profonds. La chaleur de nos corps en contact dégage une sensualité qui parcourt chacune de mes fibres.  Je peux sentir la pression du gode ceinture contre moi, une sensation à la fois délicieuse et frustrante, qui renforce mon désir.  Chaque mouvement que vous faites sur mes genoux est calculé pour intensifier cette tension érotique entre nous, un jeu de pouvoir qui fait monter en moi une excitation inébranlable. Dans une ambiance sensuelle et intense, vous commencez à me pinçer les seins avec une fermeté délibérée. Chaque pincement fait monter en moi un mélange exquis de douleur et d'ardeur.  Chaque pincement est comme une délicieuse torture, créant une symphonie de sensations contradictoires qui se mélangent dans mon esprit.  La douleur mordante se transforme peu à peu en un plaisir presque insupportable qui fait naître en moi une excitation inébranlable.  Je me retrouve pris entre deux feux,dévoré par le désir et celui me soumettre à vos volontés.  Vous continuez à me pincer les seins avec une précision calculée, variant l'intensité et la localisation des pincements pour explorer mes limites et me pousser toujours plus loin.  Chaque contact entre vos doigts experts et ma peau sensible provoque une réaction en chaîne de plaisir et de douleur m'amenant à un état de vulnérabilité extrême.  Vous jouez avec cette dualité de sensations, alternant entre des pincements plus doux qui font naître un frisson délicieux et des pincements plus fermes qui provoquent une douleur exquise,une souffrance plaisante. Vous exploitez ma vulnérabilité, me rappelant à chaque instant que je suis complètement soumis à votre volonté et incapable de bouger, enchaîné par les cordes de notre jeu de domination.  Mon corps réagit avec une ardeur indomptable à chaque pincement, chaque pression que vous exercez sur mes tétons. Chaque sensation intense que vous me procurez est un rappel puissant de mon statut. Mes seins deviennent un terrain de jeu où vous explorez chaque recoin, où vous mêlez habilement douleur et plaisir. Dans une atmosphère chargée de désir et de domination,vous vous relevez légèrement de mes genoux pour vous y reposé delicatement laissant glisser votre corps sur le gode ceinture que vous m'avez soigneusement enfilé auparavant.  Chaque centimètre de votre peau effleure le jouet, créant une friction délicieusement provocante. Je suis captivé par cette vue captivante,  incapable de participer activement à cette expérience en raison de mes liens et de ma cage de chasteté.Je suis réduit à un observateur impuissant. Votre silhouette se profile devant moi,votre corps se mouvant avec une grâce sensuelle et une confiance inébranlable.  Le gode ceinture symbole de votre pouvoir et de votre domination devient le prolongement de mon être,renforçant l'intensité de cette scène.  Je sens mon excitation monter,tandis que je vous observe mon corps enchaîné et ma virilité emprisonnée dans une cage de chasteté. Mes yeux sont rivés sur vous absorbant chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui se dessine sur votre visage.  Chaque va-et-vient de vos hanches sur le gode ceinture est une démonstration de votre pouvoir absolu sur moi, une démonstration de votre capacité à vous donner du plaisir sans que je puisse participer activement.  La frustration mêlée au désir consume mon esprit, alimentant le feu brûlant qui couve en moi. Je suis témoin de cette expérience érotique avec une intensité presque insupportable.  Vous contrôlez mon plaisir, vous le dirigez et le modulez à votre guise.  Mon corps est en éveil,chacune de vos caresses,de vos mouvements est ressentie avec une intensité exacerbée.  Mes sens sont en alerte, captant le moindre frisson,la moindre expression de plaisir qui se dégage de vous. Je me sens à la fois excité et frustré désirant ardemment participer activement à ce jeu de plaisir,mais suis réduit à un simple spectateur de votre domination. Chaque seconde qui s'écoule est une torture délicieuse, une démonstration de votre pouvoir à vous procurer du plaisir sans que je puisse y participer activement. Mon esprit est embrasé par le désir, la frustration et l'excitation qui se mêlent en une symphonie enivrante. Vous vous délectez de cette expérience,les va-et-vient de vos hanches s'intensifient,votre rythme s'accélère traduisant votre désir de plus en plus ardent.  Vous vous penchez vers moi, vos lèvres se mêlant aux miennes dans des baisers à la fois tendres et passionnés.  C'est un mélange enivrant de douceur trompeuse et d'ardeur brûlante qui évoque toute l'intensité de notre connexion.  Pendant que nos lèvres s'entrelacent, vous ne manquez pas de continuer à jouer avec mes tétons, les pinçant,les caressant,les mordillant avec une combinaison exquise de douceur et d'ardeur.  Chaque contact de vos mains expertes sur ma peau sensible enflamme mes sens. Je suis transporté par cette étreinte sensuelle,captivé par chaque sensation qui se propage dans mon corps,mais en même temps je suis frustré par mon incapacité à vous toucher pleinement,à vous donner le même plaisir que vous m'offrez. Je suis à votre merci incapable de bouger ou de contrôler le rythme effréné de notre étreinte.  Chaque mouvement de vos hanches est une démonstration de votre pouvoir,de votre capacité à me dominer pleinement.  Je suis pris dans un étau de plaisir complètement englouti par la force de vos va-et-vient. Le gode ceinture que je porte est le symbole de votre domination absolue sur moi.  Je suis attaché sur le siège,ma virilité enfermée dans une cage de chasteté me laissant à votre merci incapable de participer activement à cette expérience. Mes yeux ne peuvent s'empêcher de fixer votre silhouette gracieuse alors que vous vous mouvez avec une ardeur grandissante. Chaque va-et-vient de vos hanches témoignant de votre excitation croissante.  Je suis témoin de votre plaisir captivé par la vision de votre corps s'offrant avec détermination et passion. Mes sens s'enflamment alors que je vous observe impuissant et attaché. Chaque mouvement de vos hanches,chaque gémissement de satisfaction qui s'échappe de vos lèvres renforce ma frustration et alimente mon propre désir. Votre excitation grandissante se manifeste dans des mouvements de plus en plus rapides et profonds. Je ressens chaque poussée du gode ceinture,chaque mouvement vibrant à travers mon corps attaché.  Mes sens sont en émoi,mes nerfs à vif alors que je suis emporté par le spectacle envoûtant de votre extase. Je peux voir l'excitation briller dans vos yeux, vos mouvements devenant plus frénétiques,chaque contraction de votre corps alimentant mon propre désir et ma frustration.  Je suis spectateur silencieux de cette expérience ressentant chaque vague de plaisir qui vous traverse. Dans cet instant d'étreinte passionnée je suis témoin de votre puissance et de votre contrôle absolu. Mes yeux se délectent de chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui traverse votre visage.  Je suis à la fois honoré et tourmenté d'être le témoin privilégié de votre plaisir. Je suis subjugué par la vision de votre extase capturant chaque détail de ce moment intense et inoubliable. Vos ongles effleurent ma peau avec une légère pression créant une symphonie sensuelle de plaisir et de douleur.  Chaque caresse, chaque griffe parcourant mon corps font naître une sensation délicieusement contradictoire.  Vos doigts continuent leur exploration s'aventurant vers mes épaules. Chaque caresse,chaque pression légère sème le feu de l'excitation dans mon corps éveillant mes sens d'une manière enivrante.  Je me perds dans cette danse sensuelle abandonnant tout contrôle désirant chaque contact de vos doigts, chaque sensation qui parcourt mon corps. Vous êtes la maîtresse de mes sens,la créatrise de mes extases les plus profondes.  Je me laisse emporter par cette symphonie sensuelle savourant chaque caresse,chaque griffe,chaque frisson qui fait vibrer mon être tout entier. Chaque mouvement de vos hanches,chaque pénétration profonde rythmés de vos va-et-vient sur ce gode font monter en moi une multitude de sensations extrêmes,je suis captivé par la vision de votre corps en mouvement.  Les sensations oscillent entre une profonde satisfaction et une envie toujours plus grande de vous sentir en moi.  Je peux sentir chaque centimètre du gode ceinture de vos mouvements de plus en plus rapident écho de votre excitation grandissante alimentant ma propre montée de plaisir. Chaque va-et-vient font naître des gémissements de plaisir et de désir qui s'échappent vos lèvres.  La tension sexuelle dans la pièce est palpable,le spectacle de votre excitation grandissante,de votre plaisir qui se dessine sur votre visage ajoute une dimension supplémentaire à cette expérience enivrante.  Votre satisfaction est contagieuse alimentant encore davantage mon propre désir.  Je me sens comblé par la sensation de vous voir prendre du plaisir, même si je suis limité à être le récepteur de vos mouvements passionnés. Je me laisse emporter par cette danse passionnée me perdant dans les vagues de plaisir qui me submergent. Je suis spectateur de cette expérience ardente ressentant chaque pulsation de plaisir qui vous traverse. Dans cet instant nous sommes tous les deux transportés vers un état de béatitude sexuelle.  Les frontières entre le plaisir et la douleur s'estompent laissant place à une extase pure et inaltérée.  Nous sommes enveloppés dans un cocon de passion,de désir où le temps s'arrête et où seul compte le lien profond qui nous unit.  Je suis comblé par cette connexion unique, par cet échange de pouvoir. Puis vous decidez de vous rélevez avec grâce de mes genoux,votre corps enveloppé dans cette nuisette séduisante accentue votre allure captivante.  Votre démarche est empreinte d'une confiance inébranlable alors que vous vous éloignez légèrement pour préparer la prochaine étape de notre jeu sensuel. Vous revenez vers moi tenant entre vos doigts délicats des pinces à seins. Votre regard brûlant de désir transmettant une promesse de plaisir intense.  Avec une précision calculée vous fixez fermement les pinces sur mes tétons variant la pression et l'intensité pour me procurer un mélange exquis de plaisir et de sensations douloureuses. Chaque mouvement que vous faites est délibéré,chaque caresse est pensée pour me faire perdre le contrôle dans un tourbillon de sensations enivrantes.  Vous êtes maîtresse de l'art de la stimulation, sachant comment explorer les limites de mon plaisir et de ma douleur avec une adresse remarquable.  Vous observez attentivement mes réactions, lisant chaque frisson, chaque gémissement de plaisir mêlé de douleur.  Votre satisfaction est palpable,votre plaisir décuplé par l'effet que vous avez sur moi.  Vous êtes à la fois dominatrice et artiste, créant une symphonie de sensations qui me transporte. Chaque instant est un mélange exquis de douleur,de jouissance,d'excitation et de désir.  Vous me poussez au bord de l'abîme, jouant avec mes limites me faisant ressentir des émotions intenses et contradictoires. Malgré la douleur qui se mêle au plaisir, je ne peux nier que le fait de m'offrir cette expérience vous procure également une satisfaction profonde. Votre visage s'illumine d'un sourire de plaisir, vos yeux pétillent d'une lueur de jouissance.  Vous appréciez le pouvoir que vous exercez sur moi,le contrôle absolu que vous avez sur mon plaisir et ma douleur. Chaque caresse calculée,chaque sensation délibérée renforce notre lien et alimente le feu ardent qui brûle entre nous. Puis vous décidez de me détacher des cordes qui me maintiennent solidement attaché au siège.  Avec une aisance déconcertante vous défaites les nœuds qui maintenaient mes poignets et mes chevilles captives. Chaque mouvement de vos mains expertes est précis et calculé démontrant votre contrôle absolu sur la situation. Une fois libéré, je me retrouve à vos pieds, à votre merci. Vous me fixez d'un regard dominateur,votre autorité incontestable.  Vous décidez du déroulement de notre jeu,de ce qui va se passer ensuite.  Je suis prêt à me soumettre à vos moindres désirs,à me plier à vos volontés vous approchez votre corps du mien créant une proximité troublante,vos mains se promènent sur ma peau effleurant chaque parcelle de mon être.  Votre voix résonne dans la pièce, commandant mon obéissance, dictant les règles.  Vous me guidez avec autorité, me disant comment vous voulez que je me comporte, comment vous voulez que je vous serve.  Je suis prêt à me donner entièrement à vous,à répondre à vos moindres exigences. Dans cet instant, je suis votre jouet, votre objet de plaisir.  Vous décidez de mon sort,de la façon dont vous allez me ravir et m'emmener au-delà de mes limites.  Je suis prêt à vous suivre dans les recoins les plus sombres de notre exploration,à me perdre dans l'abîme de votre domination. Alors que vous me regardez avec un sourire satisfait,je sais que notre voyage dans le monde de la domination ne fait que commencer, je suis à la fois effrayé et excité de découvrir jusqu'où vous êtes prête à me mener. Vous me guidez à m'allonger sur le dos.  Votre regard dominant fixe le mien, transmettant une excitation électrisante.  Vous retirez lentement la cage de chasteté qui emprisonnait mon plaisir libérant mes sens et réveillant une anticipation palpitante. Avec une confiance calculée vous m'écartez les jambes, révélant ma vulnérabilité totale.  Une vague d'excitation parcourt mon corps alors que je me prépare à succomber à vos désirs et à votre contrôle absolu. Dans cet instant vous saisissez une corde fine, prête à explorer de nouveaux horizons de plaisir et l'enroulez autour de mon sexe créant une sensation à la fois sensuelle et stimulante. Chaque contact enflamme ma peau mes sens, m'invitant à me perdre dans cette danse sensuelle. Vous prenez votre temps pour y attacher mes testicules comme si vous vouliez les désolidariser.  Chaque nœud que vous faites est précis et calculé créant une tension délicieuse sur mes bourses tendues. Les cordes serrant mes testicules, les laissant bien en évidence à votre vue.  Je suis totalement exposé à votre merci,ce qui amplifie mon excitation et mon sentiment de vulnérabilité.   Vous prenez plaisir à observer votre œuvre, votre regard dominant fixé sur ma réaction,tandis que je suis à la fois captivé et ému par cette sensation. Les sensations intenses se mêlent à un mélange de plaisir créant une expérience érotique qui transcende les limites conventionnelles. Dans un moment intensément érotique, vous me laissez dans cette position vulnérable,mes testicules attachés et exposés à votre vue.  Vous vous munissez d'une bougie, allumant la mèche avec une lenteur délibérée. La flamme danse devant vous éclairant votre visage d'une lueur sensuelle. Vous savourez l'instant,prenant le temps de créer une tension palpable.  La cire chaude de la bougie commence à fondre goutte après goutte, les laissant tomber avec soin sur mon corps en choisissant délibérément les endroits où la sensation sera la plus intense. Chaque goutte qui touche ma peau fait naître une brûlure délicieuse, une combinaison exquise de plaisir et de douleur.  Mon corps réagit avec une intensité croissante se délectant de l'érotisme de cette expérience.  Je suis complètement à votre merci et cette sensation de soumission m'envahit mélangeant l'excitation dans une danse captivante. Vous observez attentivement mes réactions, cherchant à lire les signes de plaisir et de consentement dans mes yeux.  Chaque goutte de cire versée est un acte de contrôle, une exploration de mes limites et de ma confiance en vous. Vous savourez chaque instant, consciente de l'effet hypnotique que cela a sur moi. Chaque détail est soigneusement orchestré pour créer une expérience intense et captivante Le mélange de la chaleur et de l'inconfort me fait gémir de plaisir, tandis que vous savourez l'image de votre satisfaction.  Vous continuez à verser la cire, alternant entre douceur et intensité explorant les limites de mon plaisir. Vous m'observez, attentivement, cherchant à me pousser toujours plus loin dans cette extase torride. Alors que la cire continue de couler mêlant plaisir et douleur, vous me murmurez à l'oreille que je suis à votre merci, que je suis complètement à votre disposition.  Vous prenez plaisir à voir mon abandon total à vos désirs. Et dans un mouvement de commandement vous me demandez de me mettre à quatre pattes, assumant ainsi une position de soumission,je m'exécute, sentant l'excitation monter en moi.  La posture à quatre pattes accentue mon sentiment de vulnérabilité Dans cette position, je suis à votre entière disposition. Vous saisissez un fouet et avec une douceur calculée,vous laissez glisser les lanières du fouet sur mon dos, effleurant ma peau d'une manière créant une sensation de caresse sensuelle. Chaque mouvement est pensé, chaque contact est soigneusement orchestré pour faire naître en moi une anticipation palpitante Les lanières se promènent avec une grâce sinistre sur mes fesses et mes jambes, faisant frissonner tout mon être.  Je peux sentir le contact délicat de chaque lanière, éveillant mes sens les plus profonds. Et puis, sans le moindre avertissement, vous faites claquer le fouet sur mes fesses Encore et encore,les coups alternent entre douceur et intensité, créant une symphonie de sensations. Les lanières frappent ma peau avec précision, trouvant leur cible à chaque fois.  Une douleur délicieusement mêlée à une onde de plaisir se propage dans mon corps,m'enveloppant dans une extase indescriptible. Mes fesses,commencent à rougir sous l'impact, les marques de votre domination se dessinant sur ma peau. Chaque coup du fouet résonne dans l'air créant une atmosphère électrique chargée d'excitation et de désir.Je me retrouves pris au piège entre la douleur et le plaisir dans un état de vulnérabilité totale.  Mon esprit est submergé par cette expérience, mes sens sont en ébullition.  Chaque coup de fouet me pousse plus loin dans les abysses de la soumission, m'abandonnant un peu plus encore. Vous êtes là, observant avec un sourire les marques de votre oeuvre se dessiner sur ma peau.  Chaque coup est une preuve tangible de votre supériorité et de mon assujettissement.  Vous savourez cette scène,vous enivrant de mon désarroi et de mon plaisir mêlés. Une fois votre fouet posé,vous me demandez de rester bien cambré offrant ainsi une cible parfaite. Vous  approchant de moi avec une lueur dans les yeux, prête à poursuivre cette exploration. D'un geste ferme, vous prenez position derrière moi, capturant mon corps dans vos mains en laissant une posée sur ma fesse.  Puis, sans prévenir, vous la soulèvez,la laissant retomber avec force sur ma peau déjà rougie. Les claques résonnent dans la pièce créant une symphonie de douleur et de plaisir vous assurant de marquer chaque centimètre accentuant la rougeur déjà présente. Vos mains dominantes frappent avec une précision calculée, alternant entre des gifles douces et des claques plus intenses. Ma peau réagit à chaque impact, vibrant sous la sensation de vos mains possessives.  La douleur se mêle au plaisir créant une danse délicieuse ou je ne peux m'empêcher de gémir sous l'intensité de chaque coup, sentant mon corps se soumettre davantage à votre volonté. Vous savourez chaqu'une de mes réactions, chaque marque rouge qui se dessine sur ma peau. Voir mon désir se mêlant à la douleur vous ne pouvez vous empêcher d'être excité par cette vision.  La vue de mes fesses rougissantes sous vos coups, de mon corps cambré offert à votre volonté, est un spectacle qui enflamme vos sens  Lorsque vous me voyez cambrer davantage, offrant mon corps en une parfaite soumission, vos pulsions sont amplifiées. Cette position met en évidence ma vulnérabilité et ma dépendance à votre égard renforçant ainsi le lien de domination qui nous unit. Admirant mom postériure rougi, vous décidez de passer à l'étape suivante en enfilant votre gode ceinture.  Mais avant cela vous prennez un moment pour lubrifier vos doigts.  Vous vous approchez de mon anus, caressant délicatement cette zone sensible avec votre doigt lubrifié. Le contact de votre peau contre la mienne combiné à la sensation du lubrifiant provoque une onde de plaisir et d'excitation.  Vous me pénètrez doucement avec un premier doigt,sentant ma résistance initiale se mêler à une envie grandissant,me préparant à vous recevoir. Sans relâche vous insèrez un deuxième doigt élargissant progressivement mon anus pour y accueillir ce gode.  Chaque mouvement est calculé, chaque caresse interne est destinée à m'ouvrir davantage à votre domination. Vous sentez mon corps réagir à chaque pénétration,mes soupirs de plaisir se mêlant à une légère douleur. Votre objectif est de me préparer,de me faire ressentir une plénitude totale sous votre domination.  Chaque pénétration de vos doigts me rapproche de cet état de soumission ultime, où je vous recevrais avec dévotion et abandon. Avec une lenteur calculée vous guidez le gland de votre strapon vers mon anus lubrifié me faisant ressentir une légère pression à l'entrée.  Puis, d'un mouvement déterminé, vous vous enfoncez en moi, sentant les parois de mon anus s'ouvrir pour vous recevoir. Vous commencer à bouger votre bassin, faisant le faisantvglisser en moi avec une précision calculée.  Chaque mouvement crée une symphonie de sensations, où douleur et plaisir s'entrelacent dans une danse infernale.  Sans ménagenagement, vos pénètrations se font grandissante, sans relâche.  Chaque poussée du gode ceinture est empreinte de votre soif insatiable de pouvoir et de contrôle.  Vous sentez mon corps réagir à chaque mouvement, à chaque centimètre qui s'enfonce en moi. Chaque pénétration profonde et vigoureuse devient pour vous un moyen de canaliser ces sentiments refoulés.  Vous vous laissez emporter par une frénésie passionnée laissant votre frustration se transformer en une énergie brute et libératrice.  Chaque mouvement est une explosion de désir et de pouvoir, une libération totale de vos propres tensions. Mais ce n'est pas seulement vous que vous libèrez.  Chaque mouvement que vous faites résonne en moi, libérant une vague brûlante de désir ardent et une extase enivrante qui consume mes sens. Vous vous déchaînez avec des mouvements de plus en plus forts, de plus en plus profonds abandonnant toute retenue pour nous perdre dans cette étreinte ardente. La fusion de nos énergies de nos désirs brûlants crée une symphonie de plaisir et de libération,un acte de délivrance, une explosion de sensations qui nous transporte. Vos pénétrations deviennent de plus en plus rapides, de plus en plus puissantes créant une frénésie qui transcende les limites du plaisir physique. Vous sentez dans cet acte une libération psychologique, une exaltation. En inversant les rôles prenant la position du mâle, une transformation s'opère en nous. Nous nous libèrons psychologiquement, nous débarrassons des pressions de la société .  Me pénétrer devient un moyen de vous d'affirmer et d'explorer vos propres désirs. C'est une libération des tensions psychologiques qui nous entrave. Nous délivrant ainsi de la pression sociale, des inhibitions et des contraintes imposées par les normes. C'est un voyage vers l'acceptation de soi, vers la découverte de vos véritables désirs et de votre puissance. Vos mains se crispent sur moi,agrippant à mon corps avec une fermeté dévorante, marquant ma peau de votre passion déchaînée.  Les claquements sur mes fesses résonnent comme une symphonie sensuelle accompagnant vos va-et-vient de plus en plus puissants. La chaleur entre nos corps s'amplifie créant une véritable fournaise de désir.  Nos peaux se mêlent dans une danse enivrante transpirant l'abandon. Chaque mouvement est empreint d'une énergie brute d'une frénésie qui nous consume et nous pousse au-delà de toutes limites. À mesure que l'excitation monte, Vous sentez vos propres inhibitions se dissoudre.   Emporter par l'intensité de l'instant,c'est un véritable exutoire psychologique, une occasion de vous laisser aller et de vous perdre dans l'acte. Chaque griffure laissé sur mon dos, chaque claque sur mes fesses, représente une libération de vos propres tensions vous donnant l'opportunité de vous exprimer pleinement. Vous sentant enfin libre, débarrassé des barrières qui vous on retenu pendant si longtemps. Cette désinhibition psychologique vous fait du bien, vous procure une sensation de légèreté et d'euphorie.  Vous lâchant encore plus dans l'acte, laissant vos désirs les plus sombres et les plus profonds prendre le contrôle. C'est une véritable catharsis. Nous trouvons une connexion troublante où la libération psychologique s'entremêle au plaisir physique. Chaque gémissement extatique qui s'échappe de mes lèvres est comme une décharge libératrice pour vous.  Vous pouvez enfin exprimer pleinement cette part de vous même. Après quoi,vous vous retirez de mon être, laissant un vide en moi.  L'expression de satisfaction sur votre visage en dit long sur le plaisir que vous avez pris à me posséder.  Nos regards se croisent empreints d'une complicité. Alors que vous savourez l'image de ma soumission et de mon abandon,vous vous asseyez avec grâce sur le canapé, laissant une lueur de malice.  Vous sentez mon regard brûlant sur vous alors que vous ouvrez délicatement vote nuisette, révélant vos courbes voluptueuses.  Le tissu glisse le long de votre peau dévoilant maintenant en totalité votre corps Vos gestes sont lents et calculés,accentuant le suspense et l'excitation qui règnent dans l'air.  Vous me fixez intensément,vos yeux pétillant d'une lueur de désir. Vous savez que je suis captivé par cette vision et par l'anticipation de ce qui va suivre. Vos jambes légèrement écartées, votre corps offert à mon regard avide,vous m'invitez d'un geste à m'approcher, à me rapprocher de vous pour profiter de cette intimité partagée.  Le désir brûle en vous, prête à être libéré dans une explosion de plaisir. C'est a cette instant vous me dites: -"Laisse-moi te montrer tout ce que je suis prête à offrir, à te faire découvrir,les délices que nous pouvons partager ensemble.  Dans cette atmosphère chargée de désir, nous allons créer une symphonie de sensations et d'extase, explorant les recoins les plus intimes de nos fantasmes. Prépare-toi à plonger dans un océan de plaisir à te perdre et à vivre une expérience inoubliable.  Je suis prête à te guider. Viens à moi, laissons-nous succomber à nos désirs les plus profonds et à cette passion ardente qui brûle entre nous." Je m'approches de vous positionné entre vos jambes,mon regard s'embue d'excitation. Avec un sourire malicieux vous prenez doucement les cordes attachés autourt mon sex les défaisant délicatement,libérant mon intimité de leur emprise.  Chaque nœud qui se défait représente une nouvelle forme de liberté, une invitation à explorer des plaisirs encore plus intenses. Vous pouvez sentir mon souffle s'accélérer alors que je ressens la libération de mon corps laissant place à une sensation de légèreté et de vulnérabilité.  Ma peau frissonne sous vos doigts, révélant mon excitation grandissante. Vous voyez l'anticipation dans mes yeux, ma volonté de goûter à cette nouvelle liberté que vous m'offrez. me demandant de me mettre a genoux entre vos jambes Vous me guidez doucement la tête vers votre intimité.  Votre regard est rempli de désir et d'attente sachant que je suis maintenant prêt à vous donner du plaisir. D'une voix sensuelle, vous me dictez les mouvements que je dois effectuer, me guidant dans l'art de vous satisfaire,vous m'encouragez à prendre mon temps, à explorer chaque recoin de votre féminité. Vous sentez ma douceur sur votre peau, laissant ma langue se faufiler avec délice entre vos plis intimes.  Vous gémissez de plaisir alors que je me délectes, répondant à chaque mouvement que je fais avec une intensité grandissante. Vous m'encouragez à jouer avec votre clitoris, à le caresser avec habileté, créant des vagues de plaisir qui se propagent à travers tout votre corps. Vous me dites alors: -"N'hésites pas à explorer à varier les rythmes et les pressions, à me donner autant de plaisir que tu le désires.  Je suis là pour te guider, pour t'encourager à me faire atteindre des sommets de jouissance. Alors, plonges-toi dans cette expérience, savoure chaque instant de cette intimité partagée.  Je suis prête à me laisser emporter par les vagues de plaisir que tu créeras.  Montre-moi tout ce dont tu es capable avec ta bouche et ta langue, donne libre cours à ton imagination " Vous me guidez avec douceur, me montrant les angles et les mouvements qui vous procurent le plus de plaisir.  Je suis attentif à vos réactions, à vos gémissements, ajustant mes mouvements pour vous donner une satisfaction toujours plus intense. Vos mains se glissent dans mes cheveux, les caressant avec tendresse, amplifiant les sensations qui parcourent tout votre être.  Nous sommes enveloppés par cette intimité partagée, cette connexion unique qui transcende les limites du plaisir.  Vous êtes inondée d'une extase délicieuse, vous laissant emporter par des vagues de sensations.  Alors que nous sommes tous les deux pris d'une d'excitation ardente, vous décidez de mettre un terme à mes caresses.  Vous sentez ma frustration grandir, mais ce n'est que le début de quelque chose de plus intense. Avec une grâce sensuelle vous m'allonger délicatement. Vous positionnant au-dessus de moi, à califourchon. Sentant mon sexe tendu de désir contre votre peau chaude et humide. Vous vous frottez lentement, créant une friction délicieuse faisant monter encore plus notre excitation  Vos mains parcourent mon torse avec douceur, vos doigts effleurant ma peau brûlante.  Vous vous penchez en avant, vos seins frôlant ma poitrine créant une stimulation supplémentaire faisant monter notre désir à son paroxysme. Nous sentons la tension sexuelle entre nous augmenter et nos corps sont en parfaite harmonie. Frémissant d'excitation vous décidez de passer à l'étape suivante.  Vous vous redressez légèrement permettant à mon sexe ferme et impatient de s'introduire en vous.  Vous sentez mon désir grandir à chaque centimètre qu'il pénètre nous connectant d'une manière intime et profonde. Enfoncer entierement avec grâce et délicatesse en vous, chaque mouvement de nos hanches s'entremêlent.  Vous vous cambrez légèrement offrant une vue délectable sur nos corps en fusion. Nos souffles se mêlent dans un rythme effréné, nos gémissements emplissent la pièce alors que nous nous laissons aller à cette danse passionnée.  Vous sentez mes mains se poser sur vos hanches guidant nos mouvements,amplifiant notre plaisir commun. Vos ongles griffent légèrementmon torse laissant des marques éphémères de notre passion dévorante.  Nos corps sont en parfaite osmose se mouvant avec une synchronisation parfaite créant une symphonie de sensations envoûtantes. Chaque mouvement chaque va-et-vient fait monter notre plaisir. Dans un instant de pure extase,nous sommes submergés par l'orgasme. Nos corps se raidissent,nos soupirs s'intensifient et nous nous abandonnons à cette délicieuse libération. A l'apogée de notre plaisir partagé vous sentez l'orgasme vous envahir,les vagues de plaisir déferlent.  Vous êtes submergée par les sensations les plus délicieuses sentant ma semence chaude se répandre en vous.  Chaque pulsation de mon éjaculation vous fait frissonner, vous rappelant la puissance de notre passion partagée. Vous savourez l'extase de notre union nos corps vibrant d'une satisfaction totale.  Les spasmes de votre orgasme se fondent avec les miens, créant une symphonie de plaisirs inoubliables. Nous nous laissons aller, puis nos souffles s'apaisant peu à peu épuisés et comblés.  D'un geste délicat, vous passez votre doigt sur le bout de mon pénis pour y recueillir les dernières gouttes de notre plaisir partagé,le portant délicatement à mes lèvres. Ce geste symbolique soulignant notre lien profond et notre complicité dans cette relation de soumission.  Il est une marque de votre possession de mon plaisir et de ma soumissions. Il est le symbole de notre passion partagée et de notre engagement mutuel dans ce jeu de domination  Nos regards sont remplis de satisfaction et de complicité.  Nous avons créé un souvenir inoubliable, une expérience qui restera gravée dans nos mémoires et nourrira nos fantasmes futurs. Nos peaux encore chaudes se caressent doucement, nos doigts s'entrelacent dans un geste tendre et réconfortant.  Nous nous regardons avec des sourires complices, nos yeux reflétant la satisfaction  Nous évoquons notre expérience, partageant nos sensations et nos émotions.  Nous exprimons nos ressentis, nos désirs et nos envies créant un espace de communication profonde.  Nous partageons nos moments de vulnérabilité et nous nous émerveillons de la connexion que nous avons pu créer renforçant ainsi notre complicité tant physique qu'émotionnelle. Nous savourons chaque détail de notre aventure, revivant les moments les plus intenses Nous sommes reconnaissants l'un envers l'autre pour cette aventure inoubliable pour avoir créé un espace où nos désirs les plus profonds on pris vie. Nous en discutons,bâtissant un monde de plaisir et d'extase, où nos fantasmes futurs les plus audacieux se réaliserons.  Que notre passion continue de brûler, toujours plus ardente et toujours plus intense. Après avoir partagé une douche sensuelle,d'une main ferme mais délicate, vous me remettez ma cage de chasteté, scellant ainsi notre jeu de pouvoir et de contrôle qui me rappellera constamment ma soumission envers vous. Vous vous enveloppez dans votre nuisette.  Vous vous sentez puissante, confiante dans votre rôle de dominante, prête à m'emmener vers de nouveaux sommets de plaisir et de soumission. Nous prenons place sur le canapé, nos corps à peine couverts par nos vêtements et nous prenons un café. Vous me demandez de vous raconter comment j'ai vécu notre première expérience de domination, comment j'ai ressenti chaque moment, chaque geste de pouvoir que vous avez exercé sur moi.  Vous écoutez attentivement, cherchant à comprendre mes désirs, mes limites et mes envies. Puis, nous tournons notre regard vers l'avenir, évoquant nos futurs ébats et les nouvelles frontières que nous souhaitons explorer. Vous me partagez vos envies, me décrivant les scénarios qui enflame vos pensées. Les images se bousculent dans votre esprit, alimentant notre feu ardent de passion et de plaisir.  Nous sommes complices, deux âmes qui s'ouvrent l'une à l'autre, prêtes à se perdre dans un monde de fantasmes et de désirs inassouvis. Alors que nous savourons notre café, nos regards étincelants de désir et de complicité, nous sentons que ce ne sont que les prémisses de nos futurs ébats qui nous attendent.  Impatients de plonger dans ces nouvelles expériences,vous me dites : -"Mon cher soumis, maintenant que nous avons échangé nos paroles intimes, je te demande de te souvenir de ta nouvelle position dans notre jeu de domination.  Désormais, tu es entièrement mien, et lors de nos jeux passionnés, tu devras m'appeler "Maîtresse". C'est ainsi que je souhaite être honorée et vénérée par toi. Chaque geste, chaque mot que tu prononceras, sera une preuve de ton dévouement envers moi.  Je serai ton guide, ton inspiration, ta source de plaisir et de discipline.  Je t'apprendrai les délices de l'obéissance et de la soumission". Avec un sourire malicieux, vous me murmurez à l'oreille les règles que je devrais respecter : -" tu devras me servir avec dévotion, être à mon écoute et répondre à mes moindres demandes. Ta seule mission sera de me satisfaire, de me rendre heureuse et de te soumettre à mes caprices les plus audacieux. Dans notre intimité, tu seras mon jouet, mon objet de plaisir.  Je te guiderai à travers des jeux de soumission, t'offrant une expérience unique et inoubliable.  Tu seras à mes ordres, prêt à combler mes désirs avec une dévotion totale. Mon cher soumis, prépare-toi à entrer dans un monde où les frontières du plaisir seront repoussées", Maintenant Répète après moi : -"Je suis ton soumis, Maîtresse. Je me soumets entièrement à toi. Avec ces mots, tu scelleras ainsi notre pacte de soumission et d'adoration mutuelle". En prononçant ces paroles, je sais que je me livre corps et âme à sa domination. Mon cœur bat plus vite, empli de l'anticipation des plaisirs que qu'elle me réserves. En acceptant ce pacte, je me sens libéré de mes inhibitions Apres avoir prononcé ses paroles, je vous dit : -"Je suis rempli d'une gratitude profonde d'avoir été choisi pour être votre soumis, Maîtresse.  Je serai à la hauteur de vos attentes, prêt à vous satisfaire et à vous combler à chaque instant. Vous me repondez a votre tour -"Prépare-toi, mon cher soumis, car notre aventure ne vient que de commencer Je vais te guider vers des horizons inexplorés de soumission et d'extase." "Maintenant, tu m'appartiens, tu es à moi..."
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Par : le 27/01/24
Nous nous sommes vus deux fois uniquement. Pour être franc, nous nous sommes perdus de vue pour 2 raisons: elle avait des choses à régler avec son précédent Dom et j'ai dû repartir à Bucarest plusieurs mois pour mon travail Dommage pour moi bref... Après notre 1ere rencontre,  nous avons bcp échangé sur ce qu'elle avait ressenti, sur ce qu'elle avait plus aimé et souhaiterait pour la prochaine fois. Nous nous sommes donc donnés RDV dans mon hôtel du moment, dans le 9e. Elle devait arriver vers 19h. 19h15 puis 20, puis 25, tjrs pas de nouvelle. Puis elle m'envoie un sms: je me gare et je vous appelle lorsque j'arrive à l'hôtel. 5 minutes, 10 minutes, 15 minutes passent. Je lui envoie un sms, pas de réponse. Je m'inquiète. Et le téléphone de ma chambre sonne: "bonjour, Madame X vous attend à la réception". Surpris, je descends. Elle est assise devant le réceptionniste en jupe courte et talons. Il avait une vue imprenable sur ses jambes. Elle me voit et vient à ma rencontre. Elle est très gênée: elle n'avait plus de batterie et ne pouvait m'appeler.  Je me suis senti con de ne pas être aller à sa rencontre plus tôt. Ce n'était pas gentleman... Le réceptionniste nous regarde avec un sourire coquin. Nous montons dans l'ascenseur et je la prends par les cheveux pour l'attirer à moi. Je l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se mélangent, sa bouche est douce et humide. Nous arrivons,  je la relâche et nous entrons dans la chambre. Je l'invite à mettre son sac, son manteau sur une chaise. Elle pose son sac et avant d'enlever son manteau, elle ôte sa culotte en premier. Dans nos échanges avant ce rdv, elle devait venir en jupe et sans culotte. Elle m'explique qu'elle n'avait pas osé marcher dans la rue sans culotte. Elle semble très gênée de me l'avouer. Je souris parce que finalement à ce moment là, je me rends compte que de la voir ôter sa culotte devant moi, pour moi dès son arrivée m'excite. Par ce geste, elle me fait passer le message qu'elle se donne à moi. Loin de la réprimander, je suis au contraire excité. Elle enlève son manteau et se positionne devant moi en attente. Je la regarde et l'embrasse de nouveau. Une main tenant ses cheveux, l'autre glissant sur ses fesses. Je soulève sa jupe et empoigne ses fesses. Puis je glisse vers sa chatte.  J'aime les femmes épilées, c'est ainsi, mon choix. Et nous étions d'accord qu'elle serait inspectée à son arrivée. Sa chatte est douce, vraiment douce. "parfait"lui dis-je. Elle comprend bien sûr. "Déshabilles toi". Elle s'exécute sans attendre. Elle est nue devant moi. "J'ai rapporté mon collier et ma laisse, Mr" me dit-elle et me tent ses accessoires sortis de son sac. Je suis ravi et lui mets son collier, l'attache à sa laisse. Elle m'est alors reliée Je tire sa laisse pour lui faire sentir mon emprise et l'approcher de moi. Je suis plus grand qu'elle. Je la regarde de haut, elle n'ose pas lever le regard. "À genoux" Elle se positionne mais elle n'a pas le temps de rester ainsi,  je l'entraine par sa laisse à 4 pattes dans la chambre. Elle n'est malheureusement pas très grande alors je lui fais faire des ronds. Elle se dandine. Ses fesses sont à ma vue, ma merci. Je la fesse sans violence mais qu'elle sente sa domination. Je m'arrête "mets-moi nue pieds" Elle est à genoux et retire chaussures et chaussettes avec attention. Je prends sa tête par les cheveux et l'amène sur mes pieds "Embrasse-les, leche-les". Je sais qu'elle aimait cet acte. Elle m'en avait bcp parlé. En tant qu'homme, je me rend compte qu'une femme est en train de lécher,  embrasser mes pieds: c'est tout de même un instant assez incroyable. Je réalise un fantasme une nouvelle fois: lors de notre 1er rdv, elle avait déjà réalisé ce désir. J'ai une chance énorme de l'avoir rencontrée. Je reprends mon récit avant que mes souvenirs s'effacent... Elle est là, à genoux, à embrasser et lécher mes pieds. Je profite de ce moment de domination et cette sensation de sa bouche sur mes pieds. C'est une sensation agréable. "Ça suffit,  relève toi" elle reprends sa place à genoux. Elle n'ose me regarder alors que je n'attends que ça.  Elle rougit: a-t-elle honte de son acte? De son envie d'embrasser les pieds d'un homme ? Plus tard, je lui dirai que j'ai aimé cet instant.  Je veux qu'elle se sente en confiance, qu'elle se lâche, qu'avec moi elle peut être celle qu'elle souhaite être. Nos désirs sont nos plaisirs. Je ne la juge pas, bien au contraire je l'accueille volontiers. "Enlève mon pantalon" lui ordonne-je toujours tenue en laisse. Elle enlève ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait glisser sur mes jambes.  Elle soulève un pied et passe le pantalon,  soulève le second et me débarrasse de ce vêtement superflu. Elle se remets en place. Elle attends. "C'est très bien, enlève mon boxer" Elle prends mon boxer de chaque côté et le descend avec précaution. Mon sexe jaillit droit vers elle. Ce n'est pas une surprise,  je gardais tellement que s'en était évidemment visible et prévisible. Elle me débarrasse enfin... Elle se remets en place et attends. Je m'occupe de ma chemise seul. Je veux qu'elle reste ainsi dans l'attente d'un ordre. Je me débarrasse de ma chemise. Je suis nu devant elle. Sensation agréable d'être soi tout simplement sans arrière pensée. Je tire sur la laisse doucement pour qu'elle s'approche de mon sexe. "Prends mon sexe en bouche. Ne suce pas". Elle pose ses mains sur mon sexe dur. "Sans les mains". Elle les retire et avale mon sexe. Ses lèvres sont toujours aussi douces et sa bouche chaude,  humide. Un VRAI plaisir. Je suis dans sa bouche, elle ne bouge pas. Elle n'en a pas le droit. Je profite de cette bouche offerte. De son souffle sur mon sexe. "Suce maintenant doucement" Elle entreprend son va et vient. Ses mains sur ses cuisses. Juste sa bouche. Au bout de quelques minutes, je lui autorise d'utiliser ses mains. Et ses doigts fins caressent mon sexe pendant qu'elle continue son office. Je m'associe sur le lit juste derrière moi, elle me suit et continue sa condition. Je suis assis, jambes écartées, nu, ma soumise en laisse me suce. "Crache sur mon sexe, mets ta salive,  je veux sentir ton humidité". Elle crache ce qu'elle peut, glisse sa langue encore plus qu'avant. Mais clairement, elle ne sait pas cracher (je ne lui en veux pas naturellement, elle démontre son savoir-vivre). "N'oublie pas mes couilles". Et elle glisse sa tête entre mes jambes pour les lécher,  les sucer, les gober, les malaxer... Je me couche sur le lit. Je profite de cet instant intense de cette femme à genoux pour moi, en laisse pour moi, faisant de son mieux pour me satisfaire. Quel plaisir. Je sens sa salive couler sur mon entrejambe :-) Je me lève. "Ça suffit, monte sur le lit à 4 pattes". Je l'aide à se relever et elle se mets en position. Elle sourit: Je vais m'occuper d'elle. "Écartes tes jambes ". Imaginez la scène : elle est en laisse, cul et chatte offerts, jambes écartées, sa bouche humide de mon sexe, ses seins pendant. Rien que d'y repenser... Je me place derrière elle. Je caresse ses fesses, ses cuisses, ses mollets, ses pieds. Je prends mon temps. Et doucement je la fesse sur une fesse, puis l'autre. J'alterne. Elles rougissent doucement. Je n'ai aucune envie de lui faire mal mais juste lui faire ressentir mon emprise. J'alterne avec des caresses pour apaiser le feu des claques. Puis je passe ma main entre ses cuisses,  je passe sur sa chatte humide, lisse, douce. J'entreprends des va et vient sur ses lèvres. Je ne la pénètre pas encore. Puis je m'arrête et j'enfonce doucement un doigt en elle, puis deux. Elle est trempée. Et je prends ainsi, avec mes doigts. Doucement ou fort, j'alterne pour la surprendre. J'arrête et je me place à côté d'elle pour enfiler une capote. Je la regarde en même temps. Ses seins pendant m'attirent. Je les prends à pleine main, les caresse, les maltraite, pince ses tetons. Elle sourit ou grimace légèrement selon le moment. Puis Je monte sur le lit derrière elle, toujours en laisse. Je prends mon sexe et je m'enfonce en elle. Elle gémit de cette introduction. Je la prends alors par les hanches et je la baise ainsi. Elle retient ses gémissements, son souffle. J'aime. Mais encore plus, j'aime lorsqu'un rale s'échappe de sa bouche. Petit à petit elle se lâche et elle gémit plus fortement. Doux son que celui d'une femme qui gémit de plaisir. Je tire sur sa laisse pour qu'elle se cambre, je prends ses cheveux et d'une main sur son cul et l'autre tirant sur ses cheveux, je la possède. La suite dans le second article...
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Par : le 25/01/24
Il y a six mois, notre relation était des plus classiques, 'vanille' comme on dit. Mais depuis, nous nous sommes aventurés dans le monde captivant du BDSM. L'élément déclencheur a été la crise de la quarantaine de ma compagne, ma soumise d'aujourd'hui. À son retour d'un voyage, elle m'a avoué avoir rencontré un homme en ligne, et ce qui avait commencé comme une simple discussion avait évolué en une liaison BDSM le temps de son absence. De retour chez nous, elle a choisi de mettre fin à cette aventure et m'a demandé de prendre le rôle de son Maître, pour la guider sur le chemin de la soumission.Mon intérêt pour le BDSM n'était pas nouveau. Des années de lectures, de films et de visites sur des forums spécialisés m'avaient préparé, mais le passage à la pratique était un tout autre défi. J'étais prêt à devenir son Maître, à l'accompagner dans son éveil à la soumission, à explorer doucement ses limites, à la guider psychologiquement et physiquement... Nous avons dû prendre quelques semaines pour organiser notre nouvelle vie, établir des règles, notamment pour rester discrets vis-à-vis de nos enfants et de notre entourage 'vanille'. Nous ne vivons pas le BDSM 24h/24, mais c'est notre aspiration : concilier notre passion avec notre quotidien sans éveiller les soupçons, et vivre pleinement nos moments intimes. En tant que Maître, je suis patient et à l'écoute, guidant ma soumise dans son évolution quotidienne, la poussant à explorer ses limites dans la douleur, l'humiliation, ou sexuellement. Je suis fier de voir ma soumise aujourd'hui s'offrir à moi, de l'avoir vue réaliser son premier fist en solo, d'accepter les fessées, les pinces à linge sur ses tétons délicats, son corps, ou sur les lèvres de son vagin délicat. Qu'y a-t-il de plus gratifiant que cette confiance qu'elle me porte ? Quelle plus grande responsabilité que de guider une femme dans son épanouissement en tant que soumise ? De la conduire dans un état de transe érotique à la découverte du 'subspace'. Cette aventure, riche en découvertes et en évolutions, ne cesse de nous fasciner, ma soumise et moi. Pour partager cette expérience, j'ai décidé de tenir un journal quotidien. Dans ces pages, je raconterai notre parcours : comment je guide ma soumise au jour le jour, son apprentissage, nos craintes, nos désirs, et chaque nouvelle étape franchie dans notre relation BDSM. Ce sera l'occasion de documenter notre évolution, de réfléchir sur les défis rencontrés et sur les joies que cette vie nous apporte. J'espère ainsi offrir un aperçu sincère et détaillé de notre quotidien, partageant les nuances de notre dynamique de domination et de soumission. Au fil des jours, ces écrits deviendront le témoignage de notre histoire, un récit intime de notre transformation et de notre quête de dépassement, ensemble, dans cet univers captivant du BDSM
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Par : le 23/01/24
Dans mon exploration de la soumission et de la féminisation  J'aime me plonger dans des moments intenses de plaisir. Je me délecte de prendre un sexe d'homme dans ma bouche, le sentant se durcir et s'épanouir au contact de mes lèvres. Je m'applique à malaxer avec délice ses testicules, les excitant davantage, les voyant remonter dans un mélange de désir et d'anticipation. Mon excitation grandit alors que je sens son ejaculation imminente. Lorsque qu'un sexe d'homme pénètre en moi, je ressens un mélange de plaisir et de vulnérabilité. Je me laisse envahir par les sensations, me laissant emporter par les mouvements rythmés et la profondeur de la pénétration. Ce qui m'amène à l'extase, c'est quand je suis rempli de cette semence tant désirée. que Je la sens se répandre en moi, inondant mon corps de cette essence virile. Et lorsque qu'elle coule entre mes fesses, je suis rempli d'une satisfaction profonde, car cela confirme que j'ai pleinement embrassé ma nature soumise et mes désirs les plus profonds. Et si me retrouve entouré de plusieurs hommes,l'excitation monte en moi, chacun désirant prendre part à cette expérience intense. Mes mains sont occupées à caresser et à stimuler leurs sexes qui se présentent à moi, les prenant successivement dans ma bouche avec saveur. Je ressens le plaisir de les satisfaire, de sentir leur membre se durcir et gonfler entre mes lèvres. Pendant que d'autres hommes se positionnent derrière moi,me pénétrant avec une ardeur inébranlable. Je ressens un mélange de douleur et de plaisir alors qu'ils s'enfoncent profondément en moi, chacun prenant son tour avec une passion dévorante. Chaque pénétration me procure une extase indescriptible, mes sens submergés par la sensation de plénitude et de leur domination. Les va-et-vient se succèdent, les hommes s'alternant entre ma bouche et mon anus, m'offrant une expérience de plaisir multiple et intense. Je suis submergé par la sensation d'être pleinement comblé, de me sentir objet de désir et de satisfaction. Chaque partie de mon corps est sollicitée, chaque orifice exploré avec une ferveur déchaînée. Dans cet état d'extase indescriptible, je me perds dans un tourbillon de sensations, ne faisant qu'un avec le plaisir qui m'envahit.Me laissant guider par leurs désirs les plus profonds, sans limites ni retenue. C'est dans cet abandon total que je trouve l'ultime satisfaction, m'élevant vers des sommets de plaisir insoupçonnés.
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Par : le 20/01/24
Cet article conte la même punition que celle déjà décrite par Lily dans un article précédent, puis la suite de la séance, du point de vue du Maître cette fois-ci. Ce récit est plus long et plus détaillé car écrit plus tôt, et écrire des articles n’est pas ce que Lily aime le plus. Publier un texte sur sa punition faisait d’ailleurs partie intégrante de son châtiment.   Comme les fois précédentes, je laisse Lily se préparer, pendant que je prépare de mon coté le matériel photo et vidéo. Cette fois-ci je porte attention sur ma tenue : pantalon de costume, chaussures de ville et chemise HUGO BOSS, bref tenue un peu classe, ça fait son effet sur ma Lily.   Une fois prête, elle arrive dans le salon, vêtue d’un petit masque sur les yeux, de son collier de soumise, d’un harnais sur le buste, de collants ouverts, un string noir, son plug en verre et ses talons aiguilles.   Je prend le temps de l’observer un peu, je la fais asseoir sur le canapé, face à moi, jambes écartées. Je lui pose des ventouses sur ses tétons puis ma main se pose sur son entrejambe, je sens la chaleur de sa petite chatte à travers le tissus de son string, je la caresse un peu, puis c’est ma bouche qui viens se poser sur son petit minou, je tire son string sur le coté et ma c’est ma langue viens dire bonjour à ses lèvres…   Quelques minutes s’écoulent... Lily profite de ce moment de tendresse, puis je lui rappelle que je dois la punir. En effet, lors de notre dernière séance, Lily avait oublié de mettre ses talons aiguille, elle avait également oublié de recopier la liste des ses obligations préalables à nos séances, ça commence à faire ! Je ne peu pas tolérer autant d’étourderies, Lily doit y passer...   Donc, pour sa première punition relative à l’oubli du recopiage de sa liste d’obligations, je décida qu’elle n’allait non pas la recopier une seule fois, mais cinq fois ! Mais que vais-je faire moi pendant qu’elle recopie ses foutues lignes? La regarder en me pignolant ? Non ! Elle recopiera donc ses lignes pendant que je la sodomise ! Bon moyen de passer le temps, n’est-ce pas ?   C’est parti, je l’installe sur une chaise, à genoux sur celle-ci afin que son cul me soit bien accessible. Papier et stylo devant elle, je lui demande d’attendre avant de commencer à écrire, j’installe éclairage et camera afin d’immortaliser ce moment, je lui ôte son plug, une goutte de lubrifiant sur ma queue et je la glisse aussitôt entre ses fesses.   A présent elle peut commencer à recopier.   Je la pénètre lentement, sans entrain, pas de course de Formule 1 ici, mais plutôt un tracteur labourant son champ, lentement mais sûrement. C’est une sodomie ennuyeuse... en apparence. Je ne veux pas qu’elle prenne de plaisir, elle doit subir, c’est une punition après tout.   De mon coté, je feins de ne prendre aucun plaisir.   Mais soyons honnête, difficile de ne prendre aucun plaisir à pénétrer un beau petit cul hein ? D’ailleurs, au bout de cinq minutes environ, je sens que je vais jouir, je me retire de son cul, des gouttes de sperme coulent du bout de ma queue, puis j’expulse une grosse giclée, qui vient atterrir sur ses fesses… Je ne m’étais pas branlé et nous n’avions pas baisé non plus depuis au moins trois jours, les citernes étaient pleines.   La pression étant redescendue, je bande toujours et je reviens donc dans son petit cul. Je m’autorise parfois un petit tour dans sa chatte ou l’utilisation d’un gode, je contemple son anus qui commence à se dilater, tranquillement . Beau boulot me dis-je.   De temps à autres, Lily pose son stylo et relève la tête pour apprécier ce moment. Bien entendu je lui rabaisse la tête dans ses ligne et lui ordonne de continuer en intensifiant légèrement mes coups de queue.     Au bout de quinze minutes environ, Madame a finit de recopier ses lignes, encore quelques aller-retours dans son cul, j’ai toujours un mal fou à sortir de celui-ci, puis c’est la pause.   On se désaltère un peu, puis nous enchaînons sur la deuxième punition.   Punition plus physique cette fois, puisque je vais cravacher ma petite Lily, je vais la cravacher jusqu’à ce qu’elle prononce notre safeword. Safeword qu’elle prononcera quand elle sera à environ 10 % de sa limite. Elle est prévenue, elle se conditionne donc mentalement à ce qui va se passer. Et de mon coté cela me permettra d’avoir une idée de jusqu’où je peux aller avec elle.   Elle est donc à genoux sur le canapé, son cul face à moi. Je lui pose son crochet anal, que j’attache avec une corde et je passe la corde dans une boucle de son harnais afin de pouvoir y mettre un peu de tension. Puis tombent les premiers coups, plutôt gentillets, sur différentes partie de son corps, la cravache dans une main et la corde du crochet dans l’autre.   Les minutes passent et les coups s’intensifient et se concentrent de plus en plus sur ses fesses. Plus le temps passe, plus les claquements résonnent dans la pièce. Ses fesses prennent de la couleur, je calme le jeu de temps en temps en venant glisser ma queue dans son postérieur, difficile de résister à la tentation. Je prend soin de lui dire qu’elle est ma chienne. Mais surtout, je le lui fait dire à haute voix, c’est vraiment quelque chose de terriblement excitant de l’entendre dire « oui Maître, je suis votre chienne ».   Au bout d’une quinzaine de minutes, les coups pleuvent, je trouve que j’y vais fort, mais ma Lily n’a pas l’air prête de prononcer son safeword, je m’assure qu’elle est toujours là, je lui demande de me rappeler le safeword, elle s’exécute, Lily est toujours bien consciente, je peut continuer.   Je me lâche vraiment, je la cravache violemment et de plus en plus rapidement, je vois Lily qui commence à se tortiller, à vouloir éviter les coups, je n’entend rien, je continu.   Ce n’est qu’au bout d’une bonne vingtaine de minutes que le fameux safeword sort de sa bouche.   Les coups s’arrêtent immédiatement, je pose mon instrument de torture et je viens effleurer ses fesses, rouges et brûlantes, puis je la prend dans mes bras. Elle à besoin de réconfort, moi aussi à vrai dire, c’était assez intense, pour tous les deux.   On bois un coup, madame tire quelques taffes sur sa cigarette électronique, on discute un peu, un petit debriefing rapide sur cette punition, chacun y a trouvé son compte.   Afin de redescendre en douceur, on s’octroie un petit 69 dans la chambre. Je prend un plaisir immense à perdre ma bouche dans l’entrejambe de madame pendant que ses lèvres glissent le long de ma verge.   Instants de pur bonheur, puis je lui demande de venir s’asseoir sur ma queue.   Elle s’exécute et se met ma bite dans sa chatte, c’est son choix, je n’ai rien précisé après tout. Après quelques aller-retours, sans aucune instruction de ma part elle se la met dans le cul, elle me connaît tellement bien ma petite Lily...   Je suis dans son cul, nos langues commencent à s’entremêler, l’excitation commence à monter, j’ai envie de lui défoncer le cul, mais je veux filmer tout ça, immortaliser ce moment. Lily n’a pas l’air de vouloir interrompre ce moment torride, j’avoue que j’aimerai le continuer aussi, mais non, je décide de vouloir garder un souvenir de ce moment.   Je me retire, un gode traîne sur le lit, je lui donne et je lui demande de se le mettre dans le cul le temps que j’installe le matériel.     Je vais chercher la caméra, quand je reviens, Madame s’est mis ce long gode en silicone (double ended dildo) en double pénétration, anal/vaginal, la coquine.   Bref, une fois le matos installé, nous reprenons nos ébats où nous les avions stoppés.   Lily remonte sur moi pour me chevaucher, directement dans ses petites fesses.   Je la sodomise gentiment tout en lui mangeant les seins, j’affectionne tout particulièrement cette position : je noie mon visage dans ses seins et ma queue se noie dans son cul, sensation exquise !   Puis soudainement, je ne veux plus de douceur, je veux du hard, je veux lui démonter le cul. Toujours sur moi, madame se mets en position accroupi, j’ai une bonne amplitude de mouvement, et je commence immédiatement à la pilonner, fort, très fort. En regardant les vidéos, je pense que je ne l’ai jamais pénétrée aussi rapidement d’ailleurs. Puis je la serre contre moi, on retombe dans la douceur, on fusionne.   On recommence ainsi trois ou quatre fois. Je ne me rappelle plus si j’ai éjaculé, mais en tout cas je suis vidé. J’ai encore envie de malmener son postérieur, mais mon corps ne suit plus. Une pause s’impose.     Il est environ 17H, j’ai prévu d’emmener Madame au restaurant ce soir, on décide de faire une petite sieste, histoire d’être en forme pour le repas.   Une fois reposés, nous nous préparons pour sortir, Madame mettra un gros décolleté et je lui impose de porter son collier d’appartenance, ça sera la première fois qu’elle le porte en public.   Lily n’a pas l’habitude porter des décolletés, encore moins en public, elle n’est pas très à l’aise en arrivant au resto, il y a déjà quelques personnes attablées, mais bon rien d’insurmontable et je prend un plaisir coupable de la voir ainsi dans un lieu public, c’est assez excitant je dois avouer.   Après le repas nous avions prévu de continuer la séance, mais autant Lily que moi même n’avons pas l’énergie.   On décide de se poser devant un film, ce sera « Domination », très bon film sur le SM, tiré d’une histoire vraie.   Durant le film, je n’ai quand même pas pu m’empêcher de ressortir la cravache, quelques coups, pas très méchants, juste histoire de redonner un peu de couleur à ses petites fesses, que je finirais par pénétrer évidemment, tout en douceur, jusqu’à jouir dans son petit cul, au plus profond de celui-ci...     C’est ainsi que nous allâmes nous coucher, lessivés, mais disposés à faire de jolis rêves…         Bilan de la séance : Bien que nous ayons apprécié chaque instant de cette séance, le bilan de celle-ci est en demi teinte. Pourquoi ? Tout simplement car celle-ci est inachevée. J’avais prévu que cette rencontre se déroule en 4 temps : -Première punition -Deuxième punition -Partie de baise sur le lit -Jeu de cire/bougie avec Lily attachée sur le lit   Je sais que Madame attendait avec impatience cette dernière partie, malheureusement, je n’avais plus la force physique et mentale pour le faire. J’ai eu les yeux plus gros que le ventre. Lily était dans le même état que moi, donc sur le coup, la déception fut estompée.   Cette déception, était partagée, moi son Maître, je n’ai pas pu assurer jusqu’au bout, je ressentait un sentiment de défaillance, alors que je suis censé être son phare dans la nuit, son protecteur… Comment garder cette image de Maître protecteur/dominant si Madame ne peu pas me faire confiance ?   Plus les séances passent, plus je me rend compte de l’énergie que cette pratique demande.   Avant je fantasmais la chose : je fermais les yeux et le décor était planté, ma soumise était là, dans la position que je souhaitais, sans même lui avoir demandé, je bandais toujours dur, comme par magie, le fouet, la cravache, le martinet, les sextoys, tous les accessoires étaient à porté de main, pas besoin de les chercher ! Avec le peu d’expérience que j’ai, je me rend compte que la réalité est bien plus dur, bien plus compliquée, mais aussi bien meilleure...   A l’avenir, il faudra que je tienne compte de mes limites aussi.   Bref, après discussion, Lily me demande maintenant que je la fasse jouir à chaque séance. Je ne vois pas comment je peu lui refuser ça. La challenge pour moi sera d’arriver à la faire jouir tout en ayant la possibilité de continuer la séance, je m’en vais réfléchir à la chose…   A la prochaine, séance.   MJ.  
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Par : le 20/01/24
Amis lecteurs, bonjour, J’ai hésité à écrire ce texte, parce qu’il ne me met pas en valeur, intellectuellement s’entend. En effet, j’ai toujours pris mes précautions lors de mes rencontre BDSM. Si vous vous souvenez des épisodes précédents, J’ai dominé « Géraldine » dans l’épisode 1 et lui ai offert tous les gages de sécurité. Lorsque Caroline m’a pris en main (Episode 2), je connaissais son « vrai » nom et notre discussion matinale avait clarifié le menu de ce que qui m’attendais. L’épisode 3, bien qu’improvisé, était sécurisé car en présence de quelqu’un que je considérai, à l’époque, comme un ami et, pour être honnête, la partie BDSM avait été, au final, un préliminaire à un acte vanille mémorable (tousces épisodes sont disponibles sur ce site). Toujours prudent donc, sauf lors de cette soirée, je m’en vais vous conter : Petite précision, je suis membre d’un serveur Discord basé sur le BDSM et plusieurs membres de ce serveur m’ont affirmé que ce texte aurait une utilité publique pour ceux, et surtout celles qui, parmi vous, ne prennent pas toutes les précautions nécessaires avant la première séance. Allez, on est parti : Vous vous souvenez de l’association militante qui nous avait réuni Sylvana, Fabienne, l’autre Frédéric et moi-même dans l’épisode précédent ? C’était une période où nous allions être appelé à nous voir souvent car préparatoire à un festival dont nous avions la charge. Une semaine après cette soirée magique, donc, retour en réunion. Nous étions à 10 jours du premier concert et j’avais la charge du Catering pour les artistes, donc des achats de nourriture, de boissons et autres friandises pour toute la durée de l’événement. Le frais était géré par commande « traiteur » et je devais m’occupais des boissons, chips, des friandises et tout autre truc qui ne se périmait pas en une soirée. Grosse commande, donc, pour 6 concerts déjà complets. Seulement voilà, à l’époque, je n’avais pas de voiture (et pas le permis), car Lille est une ville où le métro, le tramway et autres lignes de bus font leur boulot (et pour pas cher à l’époque). Je n’ai passé mon permis que quelques années plus tard après avoir quitté la Capitale de ma région. Grand étonnement dans le groupe : un mec de mon âge n’est pas armé pour faire ce qu’on lui demande (NDLA : j’ai passé le permis à 28 ans, soit un peu plus de deux ans après). Après leur avoir signalé qu’avoir le permis n’était pas une obligation en France, quelqu’un vint à ma rescousse avant que la discussion ne s’envenime autour du thème « tu aurais pu nous le dire avant ». Ma sauveuse pris la forme de Sylvana, arrivée en retard car place de parking difficile à trouver, tout ça, tout ça. J’eus envie de l’embrasser pour la remercier mais notre statut relationnel n’étant pas encore très clair, je me retins et repris le fil de la discussion. Sylvana, sa voiture et moi allons nous charger d’entretenir le diabète et le cholestérol de nos invités. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais chez Drucker. Nous sommes jeudi. Nous avons cours demain, mais mon après-midi est libre, comme d’habitude (cf.épisode 3). Je conviens donc d’un rendez-vous avec ma belle et nous nous quittons, non sans un baiser annonceur d’autres soirées où le ciel et la terre se rejoignent en nos corps ébahis. Frédéric, de son côté, constatant l’absence de Fabienne, appelle sa dulcinée pour savoir ce qu’il se passe : « pas eu le temps de venir, gros travail à rendre demain mais tu peux passer ce soir, si tu veux, tu dormiras à l’appartement ». Frédéric annule donc la bière qui nous attendait dans notre bar favori en m’expliquant, un peu gêné, qu’entre une bière et Fabienne, il n’y avait pas photo. C’est de bonne guerre, bonne soirée à toi. Va savoir, demain, après les courses, il est possible que je goûte au même fruit que toi. Vendredi, jour de Vénus, pas de cours demain et je vais passer mon après-midi avec une femme qui commence doucement à m’attendrir. Bref, tous les voyants sont au vert. On passe à l’association récupérer le chéquier et nous voilà partis dans les méandres des temples de la consommation. Deux charriots, remplis à ras bord, parviennent à passer la douane de la caisse et nous partîmes à deux, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes une vingtaine en arrivant au port : la salle de spectacle où l’équipe nous attendait avec des sourires, des accolades et des bras utiles pour décharger la marchandise. Frédéric est là, tout sourire, lui aussi a dû décharger hier… et sans doute ce soir car il va au cinéma avec sa belle. Petit choc. Mon ami est heureux, je suis donc heureux mais, en comparaison, Sylvana ne me montre pas autant d’égard. Je suis dubitatif. C’est un contraste de sentiments que l’on ne rencontre plus guère que chez les chiens joyeux de voir leur maître rentrer avant de se rendre compte que ce dernier était juste passé pour prendre une veste et repartir aussitôt. C’est ça, je suis un chien qui ne sait pas s’il est abandonné ou pas. Nous avons été efficace, ma belle et moi, il est donc un peu tôt pour envisager un repas quelque part. Je ne peux même pas lui proposer d’aller manger un morceau (#Triste). Sylvana me ramène en voiture et commence enfin à discuter de nous deux, je vous résume : « C’était génial la dernière fois mais, pour ne pas te mentir, je me suis un peu emporté en te sautant dessus. Nous aurions dû finir la partie avant de jouir l’un dans l’autre. » Mode regard étonné enclenché. En se garant chez moi, elle arrête le moteur et m’explique qu’elle avait longtemps cherché un partenaire BDSM mais avait été soit déçue, soit trompée (le mec ne voulant finalement que du sexe). Elle marquait donc son désir de recommencer. Charmant projet, d’autant que je serai seul aussi ce soir suite à l’abandon inqualifiable dont je faisais l’objet de la part de mon ami (ça se voit que c’est ironique et de mauvaise foi ?). « Alors voilà, je t’explique, me dit-elle à l’oreille car la fenêtre de sa voiture était ouverte. Ce soir, j’ai rendez-vous avec une dominatrice qui me travaille de temps en temps et qui a clairement envie d’une séance avec une soumise et un soumis. » La confiance de Sylvana envers sa domina me rassurant, je lui donne mon accord de principe. Rendez-vous près de mon université où la circulation du vendredi soir est plus fluide qu’en centre-ville où j’habite. Préparation habituelle : douche, affaire propre, rasé de frais, excité espérant finir ma soirée dans les bras de Sylvana (bien que ses bras ne soient pas ma priorité – j’imagine votre tête en lisant ceci et je dois bien avouer que cela me plait :) ) « 4 cantons – Terminus – veuillez quitter la rame, s’il vous plait ». Sylvana est là, en bas de l’escalator. Elle me regarde comme une valise apparaissant enfin sur le tapis de l’aéroport, me prend par la main et m’emmène dans sa voiture où l’album de « Louise Attaque » nous accompagne, un peu fort il est vrai. Ma compagne baisse le son de l’autoradio, prend ma main afin, sans doute, de me rassurer et nous nous retrouvons donc à passer les vitesses ensemble. La discussion s’enclenche : « content que tu aies accepté. J’ai hâte de souffrir avec toi. » Vaste programme. Pendant le trajet, nous discutons, de tout et de rien, évitant de soigneusement de parler de « nous », mais cette main me rassure, c’est déjà ça. Arrivés sur place. Une belle maison nous attend. A l’entrée, une femme nous accueille, habillée en soubrette, les yeux baissés, peu de chance que ce soit notre hôte. Elle prend nos affaires, sacs, sacoches, téléphones portables (oui, ça existait déjà en 2000) et nos manteaux. Elle nous glisse un « c’est par là ». Nous la suivons, intrigués par cette première surprise : nous ne sommes pas les seuls invités. Premier étage : une chambre sombre, à peine éclairée, nous accueille. Personne. Un petit mot sur le bureau. Belle écriture en délié. « Bonsoir, vous deux, prenez ces menottes et attachez-vous les mains dans le dos aux chaises qui sont derrière vous, et vite ! ». Sylvana sourit, moi aussi, ça commence bien. Nous exécutons les ordres. Nous sommes face à face à se demander ce qui nous attend. 10 minutes passent, une horloge placardée au-dessus d’une armoire me donne l’info en direct. Des bruits dans l’escalier, des talons, pour être précis. Une femme rentre, me regarde et me dit « Baisse les yeux, soumis ». J’obtempère. Je prends à peine le temps d’estimer l’âge de ma désormais dominatrice, une femme d’une quarantaine d’année, parfaitement au fait des codes du BDSM. Elle détache Sylvana et lui demande de se mettre en position. Ma compagne se déshabille presque complétement, seule un string lui protège l’entrejambe de ma vue et, déjà, je sens poindre en moi un désir très visible. Elle prend position, a genou, devant sa chaise. Elle me tourne le dos. Ses mains viennent vite le rejoindre grâce aux menottes. Pas un mouvement. Pas un mot. Le silence. A mon tour, elle me détache également. « En position ! », m’ordonna-t-elle. Je comprends vite. Allez, en slip, à genou et mets tes mains dans le dos. Aucune remarque : j’ai donc bien agi. A cet instant, je ne me rends pas compte mais je n’ai aucune sécurité : Pas de discussion sur les pratiques acceptées ou non, sur les positions et aucun safeword. L’excitation du moment m’a fait oublier les précautions d’usage, comme ce jeune intrépide trop exalté par le corps nu devant lui oubliant son préservatif le condamnant à la trithérapie jusqu’à la fin de ses jours. Je suis dans l’instant. Je profite. J’aime ça. Ça ne va pas durer. Dire que Sandra (le prénom de ma Domina, évidemment modifié pour des raisons évidentes) nous a pris par surprise est un doux euphémisme. D’ailleurs, on ne pas dire « pris », elle nous a soulevé par les cheveux. Les mains dans le dos associés à ce soulevage violent me fait perdre l’équilibre, ce qui accroit la pression sur mes capillaires, persuadés d’en perdre une poignée dans la manœuvre. Une fois debout, mon regard a changé, il exprime la peur, j’ai changé d’univers et ai bien l’impression que Sandra en est fière. Je tente d’exprimer mon avis sur ce début de séance complétement dingue. Impossible. Le fait d’avoir parlé me condamne au silence. Elle me met un chiffon dans la bouche et me bâillonne avec du scotch. Je panique, tente de me défaire de mes contraintes mais rien n’y fait. Ma tortionnaire, car c’est une, me balade dans la pièce jusqu’à un poteau central, son pilori personnel. La chambre en question est clairement un donjon aménagé. J’y vois des cages, une croix de Saint-André, des chaines, des martinets, un fouet, une ceinture et tout le matériel qui, d’habitude, me fait clairement entrevoir le paradis. Mais je me suis trompé de porte, et Saint-Pierre a laissé sa place à Lucifer. Arrivé au pilori, Sandra comprend clairement que je ne vais pas me laisser faire. Au lieu de me détacher et de me demander, comme dans n’importe quelle séance de domination, de mettre mes mains dans les bracelets en hauteur, elle décide de me retirer mon slip et de me saucissonner les jambes au poteau afin de conserver son pouvoir de contrition sur moi. Les bracelets en cuir viennent ensuite se positionner en dessous des menottes et, une fois libéré de mes fers, je ne puis me débattre longtemps avant de voir les bras rejoindre la verticalité voulue par mon bourreau. Sylvana a assisté à toute la scène. Elle aurait sans doute voulu tenter une fuite mais la chambre est à l’étage et la porte sans doute fermée et gardée par la soubrette qui, elle, est libre de ses mouvements. Inutile de résister. Sandra est beaucoup plus forte que Sylvana. D’ailleurs, point de résistance à signaler. Elle rejoint la Croix de Saint-André sans sourciller. La culotte est retirée. La terreur peut commencer. Si vous êtes arrivés jusqu’ici, vous avez sans doute compris que la suite ne serait délectable que pour des pervers(es) et autres sadiques. Je ne vais donc pas m’étendre sur ce que j’ai subi, seulement vous indiquer quelques détails : - Je n’ai pu m’exprimer qu’au bout d’une heure, lorsque ma tortionnaire, m’ayant fait subir des trucs que je ne désirais pas, m’a enfin retiré mon bâillon. - Aucun code de sécurité n’a fonctionné durant cette séance. - La violence des impacts a entraîné des conséquences physiques dont quelques (petites) séquelles, apparaissent encore sur mon corps. - Sylvana ne s’est jamais remise de cette séance. Nous avons passé le reste de la nuit, chez elle, l’un contre l’autre et il me sera impossible de la lâcher avant une heure avancée de la matinée. - J’ai été suivi pour cette histoire et merci à lui. - Un médecin a constaté nos blessures et établit un arrêt de travail de 14 jours. - J’ai déposé plainte le lendemain après-midi pour violence, coups et blessures, seule la séquestration n’a pas été retenue car volontaire au début des faits. Je n’ai pas porté plainte pour agression sexuelle car aucune partie de mon « intimité » n’a été touchée. - Sandra a négocié avec nous deux « à l’amiable » afin de limiter les frais de procédures. Ce que nous avons accepté. Quelques mois plus tard, j’étais sorti de cet enfer, car bien accompagné. Sylvana a refusé toute aide. Nous ne sommes plus jamais revus. Je me surprends encore aujourd’hui à penser à elle et à ce qu’elle est devenue mais me refuse de la contacter, de peur de lui provoquer un choc émotionnel. J’attends, elle connait mon nom, elle me retrouvera. Nous n’avons pas participé au festival (dommage, on avait acheté des Dragibus). Pendant ma convalescence, en fêtant mon diplôme, je croisai la route d’une jeune femme étant intriguée par le BDSM, j’allais donc retourner dans ce monde sans crier gare et ce fût un retour gagnant puisque, plus de 20 ans après, je suis toujours là, à pratiquer, mais de manière beaucoup plus « safe ». Ah, j’allais oublier, cette jeune femme s’appelait Géraldine (cf. Episode 1) Désormais, toutes mes rencontres, et surtout les premières, s’organisent de la même manière : - Deux de mes amies connaissent le lieu, la date et l’heure de rendez-vous, et sont prêtes à réagir au moindre doute. - Je prends le plus de renseignements possibles sur la personne lors de ce rendez-vous. - Si quelque chose change, je les préviens. - Je préviens la personne avec qui j’ai rendez-vous de ce fait. - Nous avons un Safe Word avec mes amies, si je le prononce, ou l’écrit, cela voudra dire que je ne suis pas libre de mes paroles. La police sera prévenue immédiatement. Je vous invite à faire de même mais n’oubliez pas, quand même, que nous sommes dans un monde de désirs et de plaisirs. Mais des précautions s’imposent. Alors, soyez prudents et profitez !
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Par : le 17/01/24
l'homme entre dans une pièce sombre et mystérieuse. Chaque pas qu'il fait sur le sol s'ajoute à son inconfort, mais il sait que ce n'est qu'une partie essentielle de cette expérience unique. Les murs de la pièce sont tapissés de peintures macabres et de symboles énigmatiques, créant une atmosphère sinistre qui envahit ses sens. L'odeur enivrante de la cire brûlée et de l'encens flotte dans l'air, ajoutant une sensation étrange et captivante. Alors qu'il avance, le son de ses pas résonne dans la pièce, créant une tension palpable qui semble le serrer dans son étreinte. C'est alors que trois dominatrices, Sophia, Isabella et Victoria, se tiennent devant lui dans toute leur puissance et autorité. Leurs tenues mettent en valeur leurs formes séduisantes, accentuant leur pouvoir. Leurs yeux brûlent d'une lueur malicieuse, révélant l'intensité de leur sadisme. D'une voix ferme, elles ordonnent à Pat de s'agenouiller devant elles, lui faisant prendre sa place de soumis. Les dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique, leurs mains gantées de cuir s'enfonçant dans le tissu de ses vêtements. Elles les tirent violemment, déchirant les coutures avec une force dérangeante, dévoilant petit à petit sa nudité. Chaque déchirure est accompagnée du son strident des tissus qui se séparent, amplifiant l'humiliation de Pat. Sous leurs mains impitoyables, sa chemise est réduite en lambeaux, son pantalons baissé sans ménagement. Il se retrouve ainsi nu et vulnérable, exposé à leur regard avide. Sophia, Isabella et Victoria saisissent avec délectation une tenue de soubrette, leurs doigts longs et fins glissant sur les tissus doux et soyeux. Avec une précision cruelle, chaque pièce de la tenue est ajustée sur le corps nu de Pat, accentuant sa soumission et sa vulnérabilité. Le corset étroit est lacé avec une force implacable, comprimant sa taille lui coupant presque le souffle. La jupe courte et évasée, exposant ses jambes tremblantes à leurs regards. Les bas en résille sont tirés avec une précision calculée, mordant légèrement sa peau, marquant son corps comme leur propriété.Elles lui mettent une perruque bouclée, une touche finale qui marque sa transformation complète en soubrette obéissante, prête à satisfaire les moindres de leurs desirs Pat se tient là, a demi nu et vêtu de cette tenue humiliante, une vision de soumission et de vulnérabilité. Son cœur bat la chamade, mêlant l'excitation et la peur dans une danse enivrante. Il sait qu'il est désormais à la merci de ses dominatrices, prêt à obéir sans poser de questions. Elles sourient avec satisfaction, leur pouvoir et leur autorité s'affirmant davantage. La pièce sombre et mystérieuse est maintenant remplie d'une énergie électrique, chargée de la tension entre le désir et la soumission. Ses dominatrices se délectent de ce contrôle absolu sur Pat, prêtes à explorer et à repousser les limites de ses fantasmes les plus profonds. Puis elles se prélassent confortablement sur leurs chaises, commandant à Pat de les servir. Chaque désir et caprice est exécuté avec diligence par Pat, qui se plie à leurs moindres volontés. Pendant qu'il s'affaire, elles le scrutent avec mépris, le taquinant en se délectant de sa soumission. Soudain, Sophia se lève d'un air autoritaire. Son visage rayonne d'une cruauté sans limites. Sans prévenir, elle assène à Pat une gifle retentissante, sa main claquant contre sa joue avec une violence déconcertante. La douleur se propage instantanément, laissant une marque rouge et brûlante sur sa peau, témoignant de son pouvoir absolu sur lui. Pendant ce temps, Isabella, s'amuse avec un plaisir sadique à soulever la jupe de soubrette de Pat. Elle révèle ainsi son intimité, l'exposant à leurs regards impitoyables. Elles éclatent de rire, savourant chaque seconde de son humiliation.  Pat, quant à lui, est à la fois envahi par la douleur de la gifle et le sentiment d'humiliation intense d'être exposé ainsi. Son esprit est rempli d'un mélange d'excitation et de crainte. Il sait que sa place est d'obéir et de satisfaire leurs désirs. La tension dans la pièce est à son comble. Pat est à la merci de Sophia, Isabella et Victoria, prêt à répondre à tous leurs caprices. Elles savourent chaque instant de leur pouvoir, profitant de leur domination totale sur Pat. Pat reste à la merci de ses dominatrices. Isabella avide de sa domination, décide de lui donner une fessée avec une ardeur implacable. Elle attrape fermement les fesses de Pat, exposées et vulnérables, et les claquent avec une force brutale. Chaque claquement résonne dans la pièce, amplifiant sa douleur et sa honte.Ses dominatrices se délectent de ses gémissements de souffrance. Malgré la douleur et la honte qui l'envahi, Pat reste captivé par l'excitation mêlée à son humiliation. Il est complètement sous l'emprise de ses dominatrices, prêt à subir tous les châtiments qu'elles lui infligent. Son corps et son esprit sont entièrement à leur disposition. Les humiliations sont savamment orchestré. Chaque action, chaque regard méprisant, renforce son statut de soumis.  Nos trois dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique. Leurs yeux pétillent de malice, annonçant l'humiliation à venir. Elles se tiennent devant lui. Leurs doigts effleurent sa peau a demi nu avec dédain, provoquant des frissons d'humiliation mêlée à l'excitation. Chaque caresse annonçant les jeux pervers qui vont suivre. Avec un sourire, Sophia glisse ses mains sous la jupe de soubrette de Pat. Sans la moindre hésitation, elle la soulève, révélant ses attributs masculins au grand jour. Pat se retrouve vulnérable, exposé à son regard impitoyable. Elle savoure chaque instant de cette mise à nu. Son intimité exposée sans pitié. Sophia joue avec ses attributs masculins, le ridiculisant sans relâche. Elle les manipulent avec une cruauté déconcertante, les taquinant et les moquant. Ses paroles cinglantes s'ajoutent à l'humiliation de Pat, soulignant son statut de soumis à ses yeux. La honte envahit Pat, se mêlant à son excitation. Il se sent réduit à un simple jouet.  Elles prennent un malin plaisir à rabaisser Pat, à le ridiculiser sur ses attributs masculins. Ils deviennent le terrain de jeu de leur sadisme, amplifiant son humiliation à chaque instant. Pat est complètement sous leur emprise, offrant son corps et son esprit.  Dans un acte d'humiliation ultime, Victoria ordonne a Pat de s'agenouiller, de se prosterner devant elle, lui rappelant ainsi sa position inférieure. Pat obéit. Une fois à genoux, Victoria décide de se concentrer sur l'intimité la plus intime de Pat, son anus. Elle affirme qu'elle va en faire une "femelle" à leur service, intensifiant ainsi son humiliation. D'une main ferme, elles écartent ses fesses, exposant son intimité vulnérable. Ses doigts lubrifiés glissent avec facilité, pénétrant son anus avec une détermination cruelle. Chaque mouvement est accompagné d'une sensation douloureuse et humiliante, lui rappelant qu'il est à son entière merci. Chaque pénétration anale est un rappel brutal de son statut de jouet entre ses mains expertes, de sa dépendance à sa domination impitoyable. Pat se retrouve pris au piège de sensations douloureuses et humiliantes, mêlées à une excitation indéniable. Son esprit est rempli d'un mélange de honte et de désir, se soumettant pleinement. Il est conscient que son corps et son plaisir sont désormais sous le contrôle absolu de Victoria.  L'humiliation anale devient le symbole de sa soumission totale, de son abandon à sa volonté. Sophia, Isabella et Victoria ne se contentent pas de la pénétration anale, elles se moquent et ridiculisent Pat sans relâche, lui rappelant qu'il est désormais leur "femelle" soumise, destinée à servir leurs besoins. Leurs mots cruels et dégradants résonnent dans la pièce,chaque pénétration, renforce son statut de jouet sexuel entre leurs mains impitoyables. Leurs rires sadiques, mêlés aux gémissements de douleur et de honte de Pat, créent une symphonie qui remplit l'air. Ses dominatrices se délectent de sa réaction, savourant chaque instant. Les mains expertes de Victoria continuent de stimuler son anus, alternant entre des mouvements lents et profonds, et des coups rapides et violents. Chaque sensation, chaque douleur, est un rappel constant de son statut d'objet sexuel à sa disposition. Ses dominatrices n'ont aucune pitié pour Pat, jouant avec lui comme avec une marionnette entre leurs doigts. Elles explorent chaque recoin de son intimité, l'humiliant encore plus en le forçant à exprimer son plaisir face à l'humiliation qu'il subit. Les caresses dégradantes et les mots cruels se mêlent à ses gémissements. Alors que l'humiliation atteint son paroxysme, Ses dominatrices décident de faire participer d'autres soumis présents dans la pièce, les invitant à se moquer et à ridiculiser Pat. Ils se rassemblent autour de lui, témoins de sa soumission totale et de son humiliation extrême. Les rires et les moqueries fusent de toutes parts, élevant l'expérience à un niveau de perversion inimaginable. Pat est plongé dans un mélange de douleur, de honte et d'excitation, se soumettant pleinement à leurs désirs  . Il est désormais leur jouet, leur "femelle" soumise, destinée à satisfaire leurs besoins les plus pervers. Les limites sont repoussées, l'humiliation est poussée à son paroxysme, Ses dominatrices décident de lui attacher une ceinture spéciale, un symbole physique de sa soumission. Elles serrent fermement la ceinture autour de sa taille, marquant ainsi son corps comme leur propriété. Chaque boucle et chaque claquement de la ceinture sont une nouvelle marque de son statut d'objet sexuel à leur entière disposition. Une fois la ceinture bien attachée, Isabella continue à le ridiculiser avec une cruauté délectable. Elle tire sur la ceinture, le forçant à se courber encore plus bas, lui rappelant avec chaque geste qu'il est à sa merci absolu. Chaque mouvement qu'il fait est contrôlé par Isabella, chaque respiration est dictée par sa volonté. Ses dominatrices jubilent de leur pouvoir, riant aux éclats alors qu'elles continuent à jouer avec Pat. Leur plaisir se mêle à sa douleur et à sa honte. Leurs rires résonnent dans la pièce, mêlés aux gémissements soumis de Pat, formant une symphonie qui alimente leur excitation et leur plaisir.  Marqué physiquement par la ceinture qui rappelle constamment sa position inférieure. Sa douleur, sa honte et son désir se mêlent dans un tourbillon intense, le conduisant à se perdre dans un océan de sensations troublantes. Victoria et Isabella s'approchent de Pat, leurs mains puissantes le maintenant fermement, l'empêchant de bouger. Leur force combinée est suffisante pour le maintenir en place, incapable de résister à leur volonté. Leurs regards sont emplis d'une lueur malicieuse, savourant l'idée de ce qui va suivre. Sophia, la dominatrice attache son gode-ceinture, s'avance avec une assurance déconcertante. Son regard refléte sa volonté de prendre le contrôle absolu sur Pat. Elle se penche vers lui, ses lèvres effleurant son oreille, lui susurrant des mots d'humiliation qui font frissonner sa peau. "Désormais, tu es notre femelle, notre jouet à notre disposition", susurre Sophia d'une voix rauque, sa voix porteuse de pouvoir. "Tu n'es rien d'autre qu'un objet de plaisir à soumettre et à dominer selon notre bon vouloir." Le souffle de Pat se mêle à l'excitation et à la peur alors que Sophia guide le gode en direction de son intimité, le pénétrant avec ardeur. Les mouvements sont rapides, puissants, remplis d'une intensité qui le font vaciller . Chaque pénétration est accompagnée de mots cruels et dégradants qui résonnent dans la pièce, lui rappelant de manière brutale et inébranlable qu'il est totalement soumis à leur volonté. Victoria et Isabella se délectent de sa vulnérabilité et de son humiliation, savourant chaque instant de leur pouvoir sur lui. Leurs sourires malicieux ne font que s'accentuer, leurs rires emplissant la pièce alors que Sophia le pénètre sans relâche. Pat se retrouve pris au cœur d'une tempête émotionnelle. Les sensations s'entremêlent dans son esprit tourmenté, éveillant des désirs enfouis et des émotions contradictoires. Il est à la merci de ses dominatrices, un simple jouet dans leur jeu de domination et de contrôle. La scène se poursuit, un ballet pervers où les limites sont repoussées, où les mots d'humiliation se mêlent aux gémissements de Pat. Victoria et Isabella continuent de le maintenir immobile, renforçant ainsi son sentiment d'impuissance et de soumission totale. Après avoir été pénétré par Sophia, Pat reste se remet à genoux devant elles, les yeux baissés, attendant leurs prochaines instructions. Ses dominatrices se regardent avec satisfaction, savourant leur pouvoir sur lui. Leurs regards brûlants de désir et de domination le maintiennent dans un état de soumission totale. Avec un sourire Sophia s'approche de Pat. Attrape son menton avec fermeté, le forçant à la regarder dans les yeux. Puis, avec une ardeur dominante, elle l'embrasse passionnément, lui montrant ainsi sa supériorité totale. Leurs lèvres se mêlent dans une danse sensuelle, démontrant la fusion de la douleur et du plaisir qui règne entre eux. Isabella et Victoria observent avec amusement.Après cette embrassade passionnée, Victoria ordonnent à Pat de se rhabiller. Il obéit, se levant avec difficulté, ressentant à la fois une honte profonde et un étrange sentiment de bien-être. Les marques  sont visibles sur son corps,un rappel de son statut de soumis. Les émotions se mélangent en lui, créant une expérience complexe et troublante. Il ressent une douleur persistante, les marques et les empreintes de leur domination gravées sur sa peau, mais il éprouve également une certaine satisfaction d'avoir pu servir ses dominatrices, même si cela signifie être leur objet de plaisirs pervers. Cette contradiction entre la honte et le plaisir le trouble profondément. Alors qu'il se rhabille, une pointe de tristesse l'envahit, sachant que cette expérience de domination et de soumission est terminée, du moins pour le moment. Mais en même temps, une part de lui est soulagée, libérée de l'emprise. Il se sent vidé, physiquement et émotionnellement, mais également transformé par cette expérience intense. Sophia, Isabella et Victoria, quant à elles, se retirent avec un air de satisfaction, laissant Pat seul avec ses pensées tourmentées.  Cette expérience a laissé une marque indélébile en lui, une empreinte mêlée de honte, de douleur et de plaisir. Chaque sensation, chaque mot d'humiliation et chaque acte de domination ont laissé une empreinte profonde dans son esprit et dans son être. Il ne peut s'empêcher de ressentir une excitation troublante, un désir ardent de revivre cette expérience intense malgré les règles établies par la société. Les règles établies par la société deviennent des barrières qu'il souhaite briser, des limites qu'il désire repousser. Il ressent un besoin intense de s'affranchir des conventions et d'explorer les profondeurs de ses désirs les plus sombres. Il est conscient que cela va à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable", mais l'appel de la soumission est plus fort que tout Cette expérience, bien qu'empreinte de honte, de douleur et de plaisir, a également éveillé en lui une envie irrésistible de vivre selon ses propres règles, de s'épanouir dans sa sexualité sans compromis. Il est prêt à embrasser cette part de lui-même, à s'accepter pleinement et à trouver le bonheur dans l'exploration de ses désirs les plus profonds.  
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Par : le 17/01/24
Rêve ou réalité, Vous le saurez à la fin du récit :   Comme convenu, je dois présenter à neuf heures devant la porte d'entrée de la villa de l'arrière pays Grassois! Comme consigne : Ne pas sonner, dos à la porte, mains dans le dos et avoir procéder à un lavement interne préalable et des vêtements de rechange ! Je passe plusieurs fois devant la villa pour arriver à l'heure précise de ce premier rendez-vous. Neuf heure, je suis devant la porte, short blanc, nus pieds et vieux tee-shirt! J'entends des voix et de la musique à l'intérieur, je suis incapable de dire combien de temps a duré mon attente, lorsque la porte s'ouvre " ne bouge pas" et je sens la pose d'un bandeau un peu trop serré à mon gout! La porte se referme et je reste là bien déçu de ce début! Un peu plus tard, la porte s'ouvre à nouveau et bien aveuglé, je sens la boule du bâillon s'insérer dans ma bouche! et la porte se referme à nouveau! Un peu plus tard, sans m'être aperçu de l'ouverture bien discrète de la porte, je sens un collier métallique serré autour de mon cou! Une main me pose un bracelet au poignet et l'accroche au collier, deuxième poignet également et je me retrouve les deux bras repliés et serrés autour de mon collier! ( j'espère que je ne vais pas devoir garder longtemps cette position inconfortable!) La porte se referme à nouveau, je suis encore habillé comme un jour d'été ! Un peu plus tard, la porte s'ouvre à nouveau et je comprends vite que mon attente est réellement terminée! Mon short est descendu, mon tee-shirt déchiré et pieds nus je suis tiré par le collier pour entrer nu, mais j'ai gardé un string cuir noir! "stop", donc je m'arrête et subitement je reçois une belle paire de fessées à mains nues, mon string est enlevé, puis je sens la pose d'une cage de chasteté sur mon sexe qui a commencé à bander. Je me rend vite compte que je n'ai surement pas à faire à un novice. Mon string est remonté, puis vient la pose de bracelets aux chevilles et de pinces sur mes seins ( je pense que ce sont des pinces en formes de ciseaux à pression réglable!) Pour le moment, la pression des pinces est réelle mais bien supportable. Toujours aveuglé, en silence avec un petit fond musical, je suis debout presque nu probablement au milieu d'un salon. Mes jambes sont fortement écartés par les bracelets de mes chevilles à la limite de mes possibilités. Combien de temps suis-je ainsi resté exposé, aveuglé devant combien de personnes ?     A nouveau, je suis tiré par la chaine du collier et je dois difficilement me déplacer comme un canard! "stop" et je sens à nouveau une main caresser mes fesses puis les frapper de plus en plus fortement. J'apprécie beaucoup l'alternance de douceur, de sensualité et de domination! Je ne sais vraiment pas où je suis, ni combien de personnes profitent du spectacle.   La pression des pinces sur mes seins s'accentuent et je sens mon sexe réellement, voir douloureusement prisonnier de la cage de chasteté.     Mes jambes trop écartées commencent à me faire mal aux fesses tendues lorsque je sens un objet pénétrer délicatement mon anus bien propre. Probablement ce crochet est tendu et relié à mon collier. Une main caresse mon string cuir, puis passe sur les pointes de mes seins écrasés. Je pense être dans la salle de bains? Les pinces des seins sont enlevées et désormais libres agréablement et douloureusement triturés. Le string cuir est enlevé et complètement nu, je sens un liquide couler de ma tête aux pieds! Une ou deux mains étalent de l'huile sur l'ensemble de mon corps, je sens bien cette sensation TRES sensuelle! Enfin la barre d'écartement de jambes est remplacée par une chaine courte, et je pense comprendre que je suis rentré dans une douche ou une salle de bain ? Un liquide chaud coule et je sens la pose de pompes sur mes deux seins! ( je connais bien cette aspiration terriblement excitante) Il me semble que mon sexe est en feu, prêt à éjaculer! Nu, seins aspirés goulument, sexe en cage, subitement je me retrouve solitaire dans cette extraordinaire situation que j'ai librement et volontairement désirée. Le temps n'existe plus et probablement comme Mon Maître ou Ma Maitresse, chacun dans son domaine profite de la situation ! Je suis à mon aise, malgré la douleur de plus en plus forte de l'aspiration de mes seins : je suis content et fier de pouvoir ainsi être exposé ! Un mince filet d'eau tiède continue de couler de  ma tête aux pieds et je comprends alors la raison du bandeau aussi serré. Une main parcoure l'ensemble de mon corps ruisselant et s'attardant plus particulièrement sur mon sexe prisonnier et mes seins bien aspirés. Les pompes sont enlevées, puis mes seins libérés sont manipulées avec dextérité et fermeté, puis les pompes sont à nouveau remises en places! Le crochet de mon anus est enlevé et probablement remplacé par un fin tuyau de lavement. Le liquide coule toujours lentement à l''extérieur, comme désormais à l'intérieur de mon corps offert! Aucun bruit, suis-je seul désormais ? Debout, mains toujours accrochées au collier, j'essaye d'imaginer dans ma tête le spectacle de mon modeste corps offert ruisselant ! Combien de temps vais-je pouvoir garder le liquide tiède qui commence lentement et surement à bien remplir mon ventre ! Je n'aime pas devoir expulser parfois violemment un liquide de lavement interne, surtout en présence d'autre personne! Une main huilée semble parcourir l'ensemble de mon corps, et avec étonnement une autre main caresse ma cage de chasteté et surprise une autre enlève délicatement les pompes sur mes seins! Le liquide coule toujours lentement de la tête aux pieds! Ne pouvant plus retenir le lavement, j'expulse l'eau et probablement aussi le tuyau ! Un doigt pénètre et caresse mon anus et une autre main devant me libère de la cage de chasteté tandis que je sens à nouveau un massage bien pervers sur mes deux seins! libérés des pompes! Je ne devrais guère tarder avec toutes ces sollicitations à expulser mon sperme, j'essaye de retarder le plus possible pour faire encore plus durer le plaisir et surement aussi celui des autres personnes présentes !! Le ruissellement de l'eau s'arrête et des fessées bien sensuelles, bruyantes frappent mes deux fesses humides ! En plein délire, sous le titillement de mes seins, les caresses sur mes fesses, une nouvelle sensation sur mon sexe qui vient d'être goulument avalé : une langue bien perfide s'active et provoque rapidement un fort soulagement sexuel ! C'est fini, je pense avoir donné le meilleur de moi-même. Je suis débarrassé de mon bâillon, des bracelets, et toujours bien humide, aveuglé, je suis sollicité par une traction sur le collier à me déplacer, lorsqu'une main m'enlève le bandeau et le collier, je me trouve alors comme à l'arrivée, mais nu, devant la porte à coté de mon sac! et j'espère bientôt une nouvelle rencontre !   Je me retrouve encore bien mouillé dehors à devoir m'essuyer, m'habiller à nouveau et  rentrer avec mes seins encore bien douloureux de plaisirs partagés! Désolé, encore peu de patience, il Vous faudra attendre la prochaine version de Rêves ou réalités pour savoir si c'était une fiction ou un récit d'expérience réelle !!!                            
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